#petit homme mort au combat
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notsodumbww2captain · 3 months ago
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*slaps Daniel’s back*
This bad boy can fit so much religious trauma
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alexar60 · 1 year ago
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Souvenirs d'autres vies
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Depuis ma plus jeune enfance, la réincarnation m’a toujours fasciné. J’avais 10 ans quand je m’y suis intéressé après avoir vu le film « Audrey Rose » avec Anthony Hopkins. C’était l’histoire d’une fille qui faisait le même cauchemar, celui de mourir brulée vive dans une voiture. Un jour, un homme prend contact avec ses parents et annonce que leur fille était la réincarnation de la sienne morte dans un accident de voiture. Comme il passait dans les dossiers de l’écran, j’avais regardé le débat qui suivit et fut fasciné d’entendre des gens parler de leur vie antérieure. Je me souviens entre autre de l’acteur Jean Le Poulain (pour ceux qui regardaient ‘au théâtre ce soir’).
J’avais une vingtaine d’années lorsqu’un ami proposa qu’on fasse une séance de régression. Nous partîmes rencontrer une de ses connaissances ayant quelques talents. Ce fut intéressant car cela marcha pour mes potes. L’un s’est vu en grognard pendant une bataille, l’autre en paysan vivant près d’un volcan en activité. Quant à moi, le médium (je ne sais pas si on les appelle comme ça) m’a prévenu que ce serait impossible. Parce qu’il sentait un blocage en mon esprit. D’après lui, j’aurais vécu quelque-chose de terrible. Il avait ajouté que je faisais partie de « ceux qui meurent dans la misère et sont reconnu tardivement pour leur œuvre »
Enfin, il me donna conseil pour essayer une pratique seule et régulière. Alors, chaque soir, je me couchais dans les meilleures conditions pour faire des régressions. Je m’allongeai sur le dos dans le noir complet. Je devais me détendre et me concentrer sur une lumière dans mon esprit, puis j’avançais vers cette lumière et je devais ouvrir une porte difficilement visible. En fait je ne me souviens pas l’avoir ouverte une fois.
Je ne sais pas si cela a réellement marché. Par contre, je me réveillais avec de sacrés rêves semblables à des épisodes de vies antérieures.
J’ai souvenir d’être à table dans une taverne. Je bois un verre avec un homme. Il sourit, il porte des cheveux longs et une petite moustache. Je ne sais pas à quelle période exactement, mais je sais que c’est un mousquetaire.
J’ai été quelqu’un sans importance, un bourgeois ou un paysan et j’ai assisté à un combat entre chevaliers en armure. Etait-ce un duel ou un tournoi ? Je ne sais pas. Ils se battaient à pieds et à l’épée.
La dernière expérience qui est apparue date d’il y a une dizaine d’années. J’étais un européen en plein XVIIIe siècle à la recherche d’une jeune femme dans un village japonais. Chose étonnante, car il me semble que le Japon était interdit aux européens durant ce siècle.
Mais celui qui m’a le plus marqué fut le souvenir d’une bataille. J’étais sur un chariot à me défendre lorsque je reçus un coup violent derrière la tête me faisant tomber au sol. Dès lors, je m’envolais et vis mon corps étendu au milieu d’autres. Je me suis senti voler au-dessus d’une forêt et j’ai vu des centaines de personnes courir et fuir la bataille. C’étaient principalement des femmes et des enfants. J’ai vu une jeune femme portant un bébé dans ses bras. En la voyant, je me suis dit qu’elle avait de l’importance pour moi.
Vingt ans plus tard, je rencontrais et sympathisais avec une femme pour qui j’eus un coup de foudre. Durant une discussion, alors que je n’avais jamais parlé de mes pseudos régressions, nous parlâmes de la réincarnation. Elle expliqua qu’une de ses amies avait des dons et lui avait racontée qu’elle était une amazone dans sa première vie. Dans sa seconde vie, elle était mariée avec son âme-sœur qui eut une mort violente. Son amie dit l’avoir vu fuir à travers une forêt en tenant sa fille dans ses bras (qui serait dans sa vie actuelle, une de ses sœurs). Son amie ajouta qu’elle louperait son âme-sœur à chaque fois qu’elle le rencontrera et qu’il finira très pauvre dans cette vie.
Son histoire me fit froid dans le dos. D’abord parce qu’entre elle et moi, l’idylle est impossible. D’ailleurs, nous ne vivons plus dans la même région. Mais aussi parce que la fin de son âme-sœur rappelle ce que m’avait dit le médium. Enfin, tout ceci n’est peut-être qu’une coïncidence, tout comme le nombre de fois que nos chemins se sont croisés. Mais là, c’est un autre sujet.
Après réflexion, j’aurais dû vous raconter que j’étais un homme préhistorique. Un jour, un extra-terrestre nous a appris à faire du feu. Pour le remercier, nous l’avons mangé. C’est pour cela que les extra-terrestres ne veulent plus se montrer. Ils ont peur qu’on recommence.  
Alex@r60 – août 2023
Photo de Philip McKay
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selidren · 10 months ago
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
1/15
Cher cousin Jules,
J'espère que cette lettre vous trouvera toujours en bonne santé et heureux avec votre famille. De notre côté, nous avons appris juste après notre dernière lettre que Félix, le mari de Juliette, a été porté disparu au front. La pauvre est inconsolable car trop lucide pour ne pas comprendre que cette formule ne laisse aucun espoir. C'est une femme pragmatique, alors pour tromper son chagrin, elle a entrepris de rejoindre une formation pour devenir infirmière à la Croix Rouge. Elle a rejoint Rose dans un hôpital de Compiègne.
La semaine passée, Rose est d'ailleurs venue se reposer à la maison pour sa permission. Elle est bien évidemment toujours la bienvenue au Domaine de Chastel, mais elle assure que depuis la mort de son mari, elle ne peut plus y mettre les pieds sans que cela lui fasse mal. Elle envisage d'acheter une maison plus à sa taille dès la fin des combats, et bien entendu, elle exclu de jamais se remarier. Elle a à peine trente ans, et la voilà déjà veuve.
Elle nous a donc raconté son quotidien derrière les lignes de front où elle se trouvait au début des hostilités. Malgré toute son angoisse, Madame Eugénie était très fière d'annoncer à toutes les autres mères du village que sa petite-fille était la deuxième femme médecin appelée par l'armée française durant toute son histoire. En effet, je ne sais pas comment cela se passe au Canada, mais il n'y a qu'une seule autre femme comme notre Rose quelque part dans un hôpital de campagne. Il faut dire qu'elles sont en substance encore assez rares à obtenir le diplôme. Après le décès de Zéphir, elle a demandé à être affectée en tant que civile dans une maison de repos de la Croix Rouge pour s'occuper des soldats gravement amputés, elle elle nous avait écrit alors qu'elle ne voulait plus voir un seul homme mourir sous sa garde. Elle a dès lors été affectée dans son un hôpital à Compiègne, installé dans une très belle résidence.
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marie-swriting · 3 months ago
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On Y Va Ensemble - Stiles Stilinski
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Drabble Masterlist
Résumé : Avec Stiles, vous faites une soirée films d'horreur, mais vous le regrettez plus tard quand vous entendez un bruit bizarre.
Warnings : mention de films d'horreur, sentiment de peur, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 883
Version anglaise
Prompt utilisé : "Please tell me that was the wind" (S'il te plait, dis-moi que c'était le vent) de cette prompt list faite par @the-moon-dust-writings
Le titre La Nonne apparaît sur l'écran d'ordinateur de Stiles. Pop-corns en bouche, vous commencez à regarder le troisième film d'horreur de la soirée. Comme pour les précédents, vous n’êtes pas tant effrayés. Vous sursautez seulement à quelques moments, mais rien de grave. Cependant, quand le générique défile, tu sens l'angoisse prendre possession de ton corps en repensant aux différentes histoires. Par fierté, tu ne montres rien à Stiles. Il n'a pas l'air d'avoir peur donc tu ne vas pas te dégonfler. Autrement, tu sais qu'il va te taquiner jusqu'à ta mort.
     Fatigués par votre soirée films d'horreur, Stiles pose son ordinateur avant d'éteindre la lumière. Enlacés, vous êtes prêts à vous endormir. Enfin, c'est le cas pour Stiles. Tes yeux sont grands ouverts, tes sens à l'affût de la moindre menace. Tu essayes de te rassurer en te rappelant que ce n'est pas la réalité. Tu tentes de penser à des moments drôles pour oublier la Nonne et autres monstres. En vain. Tu t'éloignes du corps de ton petit ami pour te tourner. Peut-être que dans une autre position, tu arriveras à dormir ? Mais encore une fois, tu restes éveillée. Tu soupires en te retournant dans le lit.
- Tu ne dors pas ? te demande Stiles, te faisant sursauter car tu pensais qu’il dormait.
- Je n'arrive pas à trouver ma place.
- Moi non plus.
Tu grognes de frustration. Tu te colles de nouveau à Stiles quand un bruit retentit. Vous vous regardez, complètement paniqués.
- S'il te plait, dis-moi que c'était le vent, chuchotes-tu.
- Oui, c'était sûrement ça, te rassure-t-il, mais un nouveau son se fait entendre.
- C'était quoi ça ? Va vérifier !
- Quoi ? Mais pourquoi moi ? rétorque Stiles, outré et en allumant sa lampe de chevet.
- Parce que c'est chez toi.
- Et alors ? Tu devrais y aller.
- Pour quelle raison ? le questionnes-tu, choquée.
- C'est pas toi qui dis que pour tuer le patriarcat faut détruire les normes de genre ? Dans ce genre de situation, logiquement c'est l'homme qui y va et bah, on change. Va voir, s'exclame-t-il en tentant de te sortir du lit.
- Vous, les hommes, le combat pour l'égalité c'est que quand ça vous arrange ! Allez, Stiles, descends. T'as une batte, je te rappelle ! tentes-tu de le convaincre.
- Je peux très bien te la passer.
- Ton père est shérif. Tu t'y connais mieux en sécurité.
- Ça ne veut rien dire.
- Stiles, si je meurs à cause d'un démon, je reviendrai te hanter.
- Y/N, les démons n'existent pas, te contredit Stiles en tentant de cacher sa peur.
- Ouais, et on pensait pareil pour les loups-garous. Et puis, si t'es si sûr, va vérifier.
- Je bouge pas d'ici, proteste-t-il et tu lèves les yeux au ciel.
- Bon, tu sais quoi ? On y va ensemble. Prends ta batte.
Vous sortez du lit, totalement apeurés. Stiles se saisit de son arme de fortune et te regarde, attendant tes indications :
- Passe devant, je te suis.
- Pourquoi je passerai devant ? s'indigne Stiles.
- Si tu m’aimes vraiment, tu voudras te sacrifier pour me sauver, affirmes-tu avec un grand sourire.
Stiles te regarde, exaspéré par ton argument, avant de rouler des yeux. Tu pouffes avant de lui embrasser la joue.
- Je rigole, tu sais bien que je ne te sacrifierais pas, ajoutes-tu plus sérieusement. Allez, tu as l'arme et je suis juste derrière toi, t'inquiète.
      Stiles soupire avant de s'exécuter. Il ouvre doucement la porte pendant que tu t'accroches à son haut de pyjama. C'est ridicule, mais tu te sens plus rassurée. En haut des escaliers, vous remarquez de la lumière venant de la cuisine, signalant la présence d'un inconnu. La panique devient de plus en plus forte. Tu fais mentalement ta dernière prière quand vous descendez les dernières marches. Stiles lève un peu plus la batte alors que vous vous rapprochez de la cuisine. Il te fait signe de ne pas faire de bruit. Vous vous apprêtez à entrer, mais vous lâchez un cri quand, par surprise, la personne apparaît. L'intru porte sa main sur sa poitrine en sermonnant Stiles. En ouvrant les yeux que tu avais fermés sans t'en rendre compte, tu vois seulement Noah, devant vous, désespéré.
- Mais qu'est-ce que vous fichez, bon sang ?
- On...
- Bah, en fait...
Stiles et toi balbutiez quelques secondes avant que Stiles informe en essayant de paraître naturel :
- On voulait te faire peur.
- Me faire peur ? Il est quatre heures du matin, vous devriez être en train de dormir.
- Bah, je suis totalement d’accord, on devrait. Notre blague n'a clairement pas marché en plus.
- Ouais, peu importe. Je vais me coucher. Et vous aussi, dit Noah en faisant un pas en avant. Au fait, Stiles, ta batte de baseball n'est pas une arme, ajoute-t-il en regardant son fils de haut en bas.
Vous attendez que Noah soit monté dans sa chambre avant de reprendre une respiration normale. Vous restez silencieux pendant une seconde, vous sentant complètement idiots.
- Tu ne te rappelais pas que ton père rentrait maintenant, toi ? le réprimandes-tu.
- Ça va être ma faute maintenant ?
- Oui ! Si tu avais réfléchi deux minutes, on n'aurait pas paniqué pour rien.
- C'est toi qui m'as fait paniquer, à parler de démon, rétorque-t-il.
- Oh, s'il te plait ! T'étais déjà en flippe avant.
- Bref, coupe Stiles, plus jamais de films d'horreur après minuit. Et personne ne doit jamais savoir pour ce soir. 
- Je suis d’accord. 
Drabble Masterlist
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nomournersnofunerals-rpg · 11 months ago
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200 ans après la création du Shadow Fold…
Un pays scindé en deux par un épais brouillard surnaturel, déchiré par des conflits sanglants. Une ville au bord du chaos, nécrosée par la camarde et l’avarice. Une nation à l’aube d’une nouvelle ère, plus violente, plus fervente. Belligérants comme spectateurs de guerres qui n’en finissent pas, de fureur contre la différence, dans un monde où cabale, science et superstition se mêlent et sont autant de mots pour le divin que pour ces quelques uns doués d’une magie toute particulière.
À Ravka, les traversées successives du Shadow Fold grâce aux Grisha, les victoires plus fréquentes contre Fjerda et le traité, bien que fragile, avec Shu Han, réconcilient doucement le peuple ravkan avec ses magiciens. Les Grisha sont de plus en plus tolérés dans la société ravkan, bien que les préjudices et le blâme soient encore profondément ancrés dans la vie quotidienne et toujours fortement ressentis à mesure que l’on s’éloigne de la capitale ou du front. Un équilibre précaire pour la dynastie Lantsov qui tente d’apaiser les tensions alors que les mots dissension et rébellion bourdonnent à travers le pays. Certains Otkazat’sya reprochent à la couronne les avantages accordés aux praticiens de la Petite Science, rappellent à qui veut l’entendre que l’un des leurs est à l’origine de la sombre fracture de leur nation. Les Grisha qui jouissaient jusqu’à alors du choix de s’engager dans la Seconde Armée sont désormais confrontés au service obligatoire. Mais la rumeur court d’un sanctuaire dans les entrailles du Sikurzoi, un refuge gouverné par et pour les Grisha.
À Kerch, les canaux de la capitale sont gorgés d’un infâme sang mêlé, marchands et gangsters gisent dans les manoirs et sur les pavés glissants, fauchés par la caneuse autant que par la cupidité. L'assassin ne discerne ni la fortune ni l’autorité, l'amoral unique point commun de ses victimes. Malgré la menace, les bourgeois se disputent les postes vacants au sommet de l’oligarchie guillotinée, assoiffés de toujours plus, d’argent, d’influence, de contrôle. Dans le Barrel, dans l'cœur faisandé et criminel de la capitale, on se fout de la mort, elle est éternelle compagne, presque amante, on ne croit pas que ce soit l'œuvre d’un seul homme. On se méfie des autres gangs, on se méfie même des siens, le bras de fer est sanglant, à coup de lame ou de revolver.
À Fjerda, au-delà de l’étendue glacée du permafrost, les tambours des célébrations résonnent à travers la cité fortifiée de Djerholm, le Roi est mort, vive le Roi ! Tove Grimjer succède au paternel fauché par l’âge et la démence. Oriflamme de son puissant royaume, le fils prodige de la dynastie implacable et puritaine reprend les rênes avec la ferveur de ceux qui sont venus avant. Le roi-guerrier pieux, qui a fait ses classes et ses preuves au sein des redoutables Drüskelle, renforce les règles des anciens : disparité des sexes, dévotion au pouvoir militaire et aux avancements technologiques, combat toujours plus féroce sur le front dans l’éternel conflit contre Ravka et assauts furtifs au sud de leur frontière, dans ce pays qui ose considérer en égaux des êtres contre-nature. Les Grisha fjerdan n’ont d’autre choix que de fuir ou de se cacher, ne peuvent faire confiance ni à leur voisin ni à leur propre sang, leur sorcellerie est une abomination, la découverte mène à des exterminations systématiques ou des procès absurdes. On raconte qu’on entend l’écho de hurlements incessants sous le bastion du Palais de Glace, où les gardes empilent les corps mutilés des exécutés dans le brasier qui jamais ne cesse au cœur de la cour, alors qu’on tourne l’oeil, qu’on ignore l’évidence des expérimentations.
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gintama-news-fr · 8 months ago
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Liste des arcs dans l'anime et manga
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C'est par ordre d'apparition dans le manga
Numéro de l'arc manga/Numéro de l'arc Anime: Nom de l'arc
Gros arcs cool et importants / Autres arcs importants pour le scénario / Arcs populaires (ou présentation de personnage)
Les autres arcs sont des arcs humoristiques visant à approfondir les liens entre les personnages
Ne regardez pas que les arcs, cet article répertorie les arcs mais pas les chapitres/épisodes qui sont en dehors mais tout autant importants.   
Ici un lien avec les résumés des épisodes. 
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1er Arc/1er arc: Harusame 
Gintoki, Shinpachi, et Kagura enquêtent sur la disparition d'une fille issue d'une riche famille. Mais lors de l'enquête, ils tombent sur une bande d'Amanto nommés «Harusame». Ces pirates spatiaux font passer clandestinement de la drogue et en font leur commerce. 
Chapitres: 12, 13, 14(3 chapitres)
Episode: 13 
Mon avis: C'est un épisode dans lequel on voit pour la première fois, le traumatisme de Gintoki par rapport à la guerre ainsi que la relation familiale des Yorozuya. Katsura et Gintoki forment un beau duo, même si je trouve le combat un peu...rapide, dommage. Donc en gros, si vous aimez des bastons, c'est pas encore vraiment dans cet arc, mais on commence doucement à voir les principaux antagonites(Harusame) et on a la mise en évidence des relations entre les personnages. Après, il y a bien évidemment de l'humour, le début avec l'insistance sur la fille jambon est assez drôle.
2ème arc/2ème arc: Gengai
Les Yorozuya rencontrent un vieil homme qui construit des robots pour se préparer à un festival. Mais son lourd passé va le forcer à se venger du Shogunat, il est manipulé par un certain Shinsuke Takasugi, un ancien camarade de Gintoki et Katsura...
Chapitres: 29, 30, 31(3 chapitres)
Episode: 17
Mon avis: Il introduit Gengai et Takasugi, donc c'est important pour l'histoire. L'humour est toujours là. Cependant, j'ai vraiment rigolé qu'à partir du moment où Gintoki sent l'odeur de la barbe à papa et quand Kagura joue au couple avec le robot. Elle a trop vu de drama cette petite. On a droit à de l'humour aussi avec Okita/Kagura qui sont énervés qu'on ait gâché leur festival et leur compétition. 
Sinon, j'aime le passé de Gengai et puis j'aime toujours quand on parle un peu du passé de Gintoki. Ce que dit Gintoki à Takasugi est trop classe. Enfin on a droit au Shinsengumi, toujours avec de l'humour. Donc en gros, un épisode très sympa avec des scènes d'humour très drôles et un peu d'émotion. Puis comme c'est important pour le scénario, vous devez le regarder pour comprendre.  
3ème arc/3ème arc: Rengokukan
Okita rencontre les Yorozuya et leur demande de le suivre. Ils découvrent le «Rengokukan», un endroit souterrain où se déroulent des combats à mort. Okita leur demande d'enquêter sur ces combats illégaux afin de savoir qui tire les ficelles.
Chapitres: 42 à 45(4 chapitres)
Episodes: 27, 28(2 épisodes)
Mon avis: Cet arc est important car il introduit les Tendoushuu qui sont les principaux ennemis des Jouishishi et même de nos héros. C'est aussi la première fois qu'il y a un mort. Il y a aussi la première alliance Yorozuya/Shinsengumi et le combat est sympa.  Le premier épisode est plus important, mais le second aussi car on voit vraiment l'organisation des Tendoushuu(et aussi vous verrez dans les derniers arcs qu'il est important de se rappeler que Kondo et Matsudaira aient eu un avertissement des Tendoushuu.)
On voit plusieurs choses dans cet arc sur les personnages. On voit que Okita, malgré son sadisme, est un justicier. On voit aussi pour la première fois que le shinsengumi n'est pas libre car il se doit d'écouter le gouvernement, qui est corrompu. C'est pourquoi il fait appel à Gintoki qui est libre de faire ce qu'il veut.  L'histoire de Doushin est touchante. Je pense que ce que lui dit Gintoki(je trouvais que Gintoki était vraiment doux dans ses propos), c'est parce qu'il lui rappelle son propre sensei. En fait, j'irai même plus loin, peut-être que Gintoki a décidé de continuer à s'occuper de cette affaire, car il s'est reconnu dans les enfants. On voit l'importance de l'âme pour Gintoki, ce qui est important pour la suite de l'histoire. 
Des faits pas très importants mais qui m'ont plû: on voit Gintoki en train de jouer avec un bébé, c'est vraiment mignon. Puis on découvre que Hijikata est assez perspicace. J'adore l'arrivée des Yorozuya, genre avec une pose et tout, ils devraient faire ça plus souvent.  Le deuxième épisode est très drôle et on y voit un peu tout le monde, c'est sympa. 
4ème arc/4ème arc: Perte de mémoire
Gintoki est percuté par une voiture, alors qu'il conduisait son scooter. Il se retrouve hospitalisé mais il semble avoir perdu la mémoire. Ses amis vont tout faire pour qu'il la retrouve.
Chapitres: 50, 51, 52(3 chapitres)
Episodes: 31, 32(2 épisodes) 
Mon avis: On voit vraiment la relation entre les personnages et on voit aussi que malgré le fait que Gintoki soit considéré comme un crétin paresseux et un être pas fréquentable, il est aimé. Puis cela change de voir un Gintoki tout gentil, poli, ect...C'est quand même un peu triste.  On peut voir aussi qu'il n'a plus son regard de poisson mort quand il perds la mémoire. Il a probablement ces yeux car il est en quelque sorte mort de l'intérieur à cause de ses traumatismes de guerre mais en les oubliant, il reprends vie.  
5ème arc/6ème arc: Umibozu
 Le nettoyeur interplanétaire Umibouzu arrive à Edo pour arrêter un parasite venu de l'espace. Il en profite pour rendre visite à Kagura, dont il est en fait le père.
Chapitres: 57 à 64(8 chapitres)
Episodes: 40-43(3 épisodes) 
Mon avis: C'est un arc qui m'a fait pleurer. On voit un peu plus la relation entre les yorozuya. Gintoki apprend que Kagura s'est fait piégée et qu'elle est peut être morte mais il va la sauver malgré tout en disant que "C'est ce que sa famille ferait".
Quand le père de Kagura lui ordonne de venir avec lui et de quitter Gintoki, Gintoki accepte et Kagura le supplie de ne pas l'abandonner. C'est ce moment qui m'a fait pleurer. On voit aussi la relation qu'a Kagura avec son père ainsi qu'une partie de son passé. Quant à Gintoki, il continue à ne pas être honnête avec ses sentiments et est encore dans cet optique de rejeter toutes les personnes qu'il aime. On voit aussi à quel point Shinpachi aime Kagura et Gintoki. 
Le combat à la fin est vraiment cool. C'est bien de voir que Gintoki tient vraiment à Kagura, car dès qu'il a appris qu'elle était en danger, il a accouru à son secours, malgré qu'elle soit avec son père. Il est aussi celui qui a sû la sauver à la fin et lui redonner la force pour lutter contre le monstre. Umibouzu n'est pas un mauvais père non plus, il tient à Kagura mais il pense qu'elle est comme lui et qu'elle ne peut pas lutter contre son sang de yato. Je trouve Kagura très attachante dans cet arc car son côté enfant est mis en avant. J'ai aimé aussi la rivalité entre Umibouzu et Gintoki. Un de mes moments préférés, c'est quand Gintoki parle avec Umibouzu. Il avoue qu'il ne savait pas ce qu'était une famille puisqu'il n'en a jamais eu et qu'il aurait voulu en avoir une comme la leur. Pour finir, Shinpachi lui dit en pleurant qu'il peut être sa famille s'il le voulait. Puis cet arc se clôt avec, Umibouzu acceptant que Gintoki soit le second père(ou le tuteur) de Kagura.  
6ème arc/7ème arc: Go Ninja
Katsura fait appel aux Yorozuya, car Elizabeth a été kidnappé(e) par une organisation criminelle qui est sous le contrôle de Toyama Chintarou.  Katsura et les Yorozuya apprennent le ninjutsu avec Sa-chan, afin de sauver Elizabeth. 
Chapitres: 67-69(3 chapitres)
Episodes: 43(après la générique de fin)-44(1 épisode 1/2)
Mon avis: C'est un arc introduisant les ninjas ou les développant comme Zenzou qu'on a rencontré dans l'épisode 37. Il est très drôle mais il n'y a pas vraiment de combats mortels ou de scènes émouvantes.  
7ème arc/8ème arc: Inugami
Sadaharu se transforme en démon qui dévaste tout sur son passage. Les Yorozuya rencontrent deux soeurs qui sont en fait les anciennes maîtresses de Sadaharu. Elles leur font d'importantes révélations. 
Chapitres: 71-73(3 chapitres)
Episode: 45 
Mon avis: C'est un arc qui explique d'où vient Sadaharu et c'est très important pour la fin du manga. On voit que Gintoki est attaché à Sadaharu malgré qu'il ne le voulait pas au début. C'est mignon.  Cela parle un peu de la responsabilité vis à vis d'un animal et cela critique légèrement l'abandon des animaux. C'est très drôle mais un peu émouvant. 
8ème arc/9ème arc: Querelle de garde d'enfant
Gintoki découvre un bébé lui ressemblant trait pour trait. Suite à l'inimaginable découverte de cet enfant caché, Gin-san est choqué à vie! Il se retrouve mêlé à un conflit familial.
Chapitres: 77-80(4 chapitres)
Episodes: 51-52(2 épisodes)
Mon avis: Il est vraiment drôle mais aussi émouvant. C'est drôle car ont voit que tout le monde juge Gintoki puisqu'ils pensent qu'il a abandonné une femme enceinte. Puis émouvant car malgré tout, Gintoki s'occupe de cet enfant et il gère. Puis bien sûr, l'histoire de la mère l'est aussi.  Cela me rappelle un peu Beelzebub pour le coup. N'empêche, pourquoi ils ont pensé directement qu'il avait abandonné une femme enceinte ? Il aurait pu ne pas le savoir, même si c'est pour de l'humour, je trouve qu'ils sont parfois injustes avec Gintoki. Tout comme quand Shinpachi et Kagura voient Sacchan dans le lit de Gintoki, c'est une homme adulte, il a le droit de s'amuser ! Enfin, c'est un arc très sympa. Il introduit quand même un futur antagoniste Nizou qu'on verra dans Benizakura.  
9ème arc/5ème arc: Train Samurai
Shinpachi sauve une jeune femme nommée Tama d'un ivrogne dans le train. Pour le remercier, elle lui envoie un cadeau et une lettre disant qu'elle veut le rencontrer pour vraiment le remercier.
Chapitres: 85-86(2 chapitres)
Episodes: 34-35(2 épisodes)
Mon avis: Il est très drôle mais attendrissant aussi. On voit que Gintoki joue le mentor avec Shinpachi. Puis que Tae, Gintoki et Kagura apprécient vraiment Shinpachi. C'est aussi la première romance de Shinpachi, c'est mignon. 
10ème arc/11ème arc: Benizakura
Katsura se fait attaquer par un homme du nom de Nizo, travaillant pour Takasugi Shinsuke. Suite à cela, il disparait et Elizabeth vient demander de l'aide aux Yorozuya. D'un autre côté, Gintoki s'est vu confier la mission de chercher le sabre de Benizakura et il se trouve que les deux affaires sont liées. 
Chapitres: 89-97(9 chapitres)
Episodes: 58-61(4 épisodes)
Mon avis: L'un des meilleurs, voir le meilleur arc du manga. C'est le premier arc sombre du manga et je le recommande à tout ceux qui n'aiment pas trop l'humour de Gintama et qui pensent que c'est débile. C'est la première fois qu'on voit Gintoki qui se bat sérieusement et qui se blesse très sérieusement. De plus, le courage de Shinpachi et de Kagura est mis en valeur, même si on l'a déjà vu auparavant, c'est encore plus flagrant. Puis, on peut aussi voir que Elizabeth gère vraiment.
Et bien sûr, on peut savoir pour la première fois le passé commun de Gintoki, Katsura et Takasugi. Être camarades de guerre, c'est une chose, mais être amis d'enfance, ç'en est une autre. C'est un tout autre lien, ils ont grandi ensemble et vécu toutes les épreuves ensemble. On peut voir le lien fort entre les trois, notamment entre Katsura et Gintoki, mais aussi entre Katsura et Takasugi. Katsura essaie de raisonner Takasugi, mais ensuite, le considère comme un ennemi. Quant à Gintoki il le considère comme tel depuis un moment même s'il est attaché à lui, au fond. Et puis, le combat en duo de Katsura et Gintoki à la fin montre en effet qu'ils ont les même techniques de combats, ils sont totalement synchros.
J'ai aimé aussi de voir Katsura, seul, avec Shinpachi et Kagura, notamment sa phrase: "S'ils vous arrivent quelque chose, je ne pourrai plus jamais regarder Gintoki en face", enfin un truc du genre. Cela m'a fait pensé: "Oh, même Zura sait à quel point ils comptent pour Gintoki, on dirait un peu l'oncle". D'ailleurs sentiment renforcé par ce que répondent les deux autres, en gros, de les gâter en échange de leur aide. C'est rare quand ils sont ensembles sans Gintoki, donc, j'ai trouvé cela mignon. Et puis, c'est vrai que si Gintoki est leur "père" ou "figure paternelle", alors Katsura peut être un sorte d'oncle pour eux, vu que Gintoki et Zura(et Takasugi) sont au final, comme des "frères" si on considère le fait qu'ils ont été élevé par le même homme.
Enfin c'est un arc où on a deux morts, elles ne sont pas très importantes mais c'est toujours choquant. Gintama étant un manga comique, c'est plus impactant quand on passe de moments humoristiques à des moments dramatiques avec mort à la fin. C'est un bon contraste.  
11ème arc/10ème arc: Mère
Une mère vient demander aux Yorozuya de retrouver son fils. 
Chapitres: 104-106(3 chapitres)
Episodes: 54-55(2 épisodes)
Mon avis: On voit le sous chef de Jirocho, l'un des 4 devas de Kabuki, Katsuo, pour la première fois ainsi que les hôtes Kyoushiro et Hachiro. Il est très drôle.  On voit aussi les Yorozuya en hôtes masculins, c'est sympa. On est pas mal surpris pendant les deux épisodes et puis, il y a une petite baston sympathique. 
12ème arc/13ème arc: Yagyuu
Un étrange personnage fait son apparition et prend Otae avec lui, pour que tous les deux honorent la promesse qu'ils se sont fait étant enfants.
Chapitres: 110-123(14 chapitres)
Episodes: 76-81(6 épisodes)
Mon avis: Il est vraiment génial mêlant action, humour, amour, amitié et famille. Il introduit Kyubei ainsi que la famille/disciple du dojo Yagyuu. On voit que Shinpachi a un complexe sur sa soeur et que Kondo aime vraiment beaucoup Otae(même si c'est pas nouveau). Okita et Kagura se battent ensemble contre un même ennemi. Kyuubei est un personnage très interessant, je l'aime beaucoup. On voit aussi pour la première fois Otae pleurer(ce qui choque tout le monde). Puis Gintoki comme d'habitude est classe. Shinpachi a son heure de gloire aussi dans cet arc. 
13ème arc/15ème arc: Okita Mitsuba
Venue pour une visite au Quartier Général, voici la grande soeur d'Okita, Mitsuba. Tous ces souvenirs refont surface... et particulièrement le souvenir de ce jour...
Chapitres: 129-132(4 chapitres)
Episodes: 86-87(2 épisodes)
Mon avis: Il est vraiment triste comme arc. La relation entre Kondo, Hijikata et Okita est expliquée et mise en avant. On comprends pourquoi Okita en veut à Hijikata. On voit aussi que finalement, il l'aime bien, cependant il est trop jaloux. Puis enfin, il y a aussi une magnifique et triste histoire d'amour entre Hijikata et la soeur de Okita. Cependant, je trouve que Mitsuba est trop gentille, elle aurait dû s'imposer et faire ce qu'elle avait envie. Puis, Hijikata se permet de penser au bien de Mitsuba mais elle est assez grande pour savoir ce qui est bien pour elle ou pas. C'est quelque chose qui m'a un peu énervé dans cet arc mais je l'ai beaucoup aimé.    
14ème arc/14ème arc: Hardboiled Detective
Un détective est mis à pied lors d'une affaire. Il va rencontrer les Yorozuya qui vont l'aider à capturer un voleur qu'il traque depuis longtemps. 
Chapitres: 135-137(3 chapitres)
Episodes: 84-85(2 épisodes) 
Mon avis: Il introduit Kozenigata et Haji. C'est drôle, le combat à la fin est vraiment sympa, et puis l'histoire est émouvante. Cependant, c'est un des arcs que j'ai le moins aimé de Gintama. 
15ème arc/12ème arc: Fuyou
Gintoki fait l'erreur de jeter ses vieux JUMP le jour des déchets incombustibles. C'est là qu'il trouve la tête d'une jeune fille...qui se trouve être un robot.
Chapitres: 140-146(7 chapitres)
Episodes: 69-71(3 épisodes)
Mon avis: Un très bon arc qui introduit le personnage de Tama. Il y avait beaucoup d'action et une histoire très émouvante. La morale est vraiment bien aussi. 
16ème arc/17ème arc: Owee
Gintoki et les autres ont fait la queue toute la nuit pour mettre la main sur la nouvelle "Bentendo OwEe". Mais avant cela, Katsura et le Shinsengumi apparaissent, et un combat sur la "OwEe" commence.
Chapitres: 147-149(3 chapitres)
Episodes: 98-99(2 épisodes) 
Mon avis: Un arc très drôle avec nos personnages préférés: les Yorozuyas, Katsura et Elizabeth, le Shinsengumi.
17ème arc/16ème arc: Procès de Hasegawa
Suspecté d'être un voyou et arrêté. Madao, Hasegawa Taizo, (38 ans), veut se laver de tous soupçons. C'est alors qu'apparaît devant lui, un obstacle de taille, le procureur Haga comme plaignant!! Il demande de l'aide à Gintoki.  
Chapitres: 153-155(3 chapitres)
Episodes: 94-95(2 épisodes)
Mon avis: Un arc vraiment drôle mais touchant, selon moi. On voit que malgré tout Gintoki fait tout ce qu'il peut pour aider Hasegawa et que ce dernier fait de son mieux pour sa femme. Gintoki fait un bon avocat tout de même. Cependant j'ai toujours eu du mal avec Hatsu(la femme de Hasegawa) qui l'a quitté car il a perdu son travail et attend qu'il en retrouve un pour revenir avec lui. Normalement, elle aurait dû l'aider. On voit un peu le passé de Hasegawa avec elle et il semblerait que c'était un couple assez solidaire donc je ne comprends pas pourquoi elle agit de la sorte. 
18ème arc/18ème arc: Crise du Shinsengumi
Le Shinsengumi est règlementé par le "Kyokkuchu Hatto" qui est composé de 45 r��gles strictes. Hijikata, le créateur de ces lois les enfreint les unes après les autres et un homme en profite pour lui porter préjudice. Cependant, d'un autre côté, une mutinerie se prépare.  
Chapitres: 158-168(11 chapitres)
Episodes: 101-105(5 épisodes) 
Mon avis: C'est un arc vraiment génial et important pour le développement du Shinsengumi. Très drôle au début mais finalement tragique à la fin, avec la mort d'un personnage tertiaire. J'ai adoré voir le shinsengumi en crise interne et leur fidélité envers Kondo. Puis, le combat de Gintoki à la fin contre Bansai est excellent ainsi que leur discussion qui aborde légèrement le passé et le lien entre Gintoki et Takasugi. Sinon, Hijikata se transforme en otaku nommé Tosshi et cette deuxième personnalité restera encore un moment même si on ne la voit plus ressurgir. L'histoire de l'ennemi était très touchante aussi et c'était sympa de voir les liens internes du shinsengumi.
19ème arc/20ème arc: Ryugujo
Menés par Kamenashi qu'ils ont secouru, les Yorozuya se dirigent vers le Ryuuguujou. Cependant, suite à certaines évènements ils ont échoué sur une île apparemment déserte. 
Chapitres: 174-182(8 chapitres)
Episodes: 115-118(4 épisodes)
Mon avis: Un arc très drôle avec les Yorozuya, Hasegawa, Sa-chan, Kyuubei, Katsura et Otae. Katsura et Gintoki sont géniaux à la fin.  Ils sont souvent cool, mais comme dans cet arc, ils ont principalement fait les idiots, la fin était un moment bien plus sympa. J'ai aimé l'histoire de l'ennemi aussi, une histoire belle, romantique et dramatique.  
20ème arc/19ème arc: Chien de garde
Ojiiki qui a fait venir les Yorozuya dans une magnifique propriété est le chef du groupe Mashiro, Machiro Kaguzo. Les yorozuya doivent faire sortir de sa chambre le fils dépressif qui est devenu un no-life.  
Chapitres: 184-186(3 chapitres)
Episodes: 107-108(2 épisodes) 
Mon avis: Un arc vraiment bon avec de l'action, du sang et une histoire vraiment triste. Puis, on a droit à une jolie phrase de Shinpachi et Kagura en parlant de Gintoki: "il est comme notre famille". Gintoki a quand même était bien blessé dans cet arc, pas autant que dans Benizakura, mais sa blessure n'était pas anodine. J'ai adoré l'histoire, cela parle de lien parent-enfant et fraternel, avec des mafieux ainsi qu'avec les yorozuya. C'est le genre d'arc qui me touche. Il n'y a pas forcément d'importance pour le scénario mais c'est un arc qu'il ne faut pas rater.  
21ème arc/21ème arc: Monkey Hunter
A la fin de l'été, des gamers aliens attaquent et modifient les membres Yorozuya un par un!! Afin de retrouver ces gamers aliens, les Yorozuya jouent au jeu populaire "Monster Hunter".
Chapitres: 189-192(4 chapitres)
Episodes: 121-123(3 épisodes)
Mon avis: C'est très drôle et puis pour une fois, Hasegawa est fort. Pour les fans de Monster Hunter, je vous le conseille vivement. Un fait pas important mais que j'ai beaucoup aimé: on voit Gintoki avec une clope et mal rasé, je trouvais ça cool. 
22ème arc/24ème arc: Ryokan hanté
Sur demande d'Otose, Gin-chan et compagnie visitent une source chaude secrète dans les profondeurs d'une montagne enneigée. Ils se retrouvent dans un onsen hanté. 
Chapitres: 196-201(6 chapitres)
Episodes: 131-134(4 épisodes)
Mon avis: Un arc vraiment drôle mais aussi très touchant. On peut y voir Gintoki chanter et jouer du shamisen, rien que pour ça, ça vaut le coup d'oeil. Le combat final est très sympa aussi. On fait un peu d'histoire du Japon aussi puisqu'on voit des fantômes célèbres. 
23ème arc/22ème arc: Correspondance
Shinpachi trouve une bouteille renfermant une lettre à la plage. Cette lettre est accompagnée de la photo d'une jeune fille, et cette fille cherche un correspondant avec qui parler. Shinpachi décide de répondre, mais ne sachant que dire il va se faire aider par ses aînés. 
Chapitres: 203-206(4 chapitres)
Episodes: 126-128(3 épisodes)
Mon avis: Un arc vraiment trop mignon. Kirara colle parfaitement à Shinpachi, je trouve. J'ai beeaucoup aimé voir les senpais(les grand-frères) aider Shinpachi, j'ai trouvé ça mignon et super drôle. Hijikata est le meilleur quand ça concerne les filles malgré sa débacle avec Mitsuba. 
24ème arc/23ème arc: Kintaro
Sadaharu à de nouveau perdu l'appétit. Les Yorozuya l'emmènent à un vétérinaire et par la même occasion Kagura s'intéresse au cas d'un vieux chien qui parle et qui veut retrouver son maître avant de mourir, elle se fait aider par Katsura.
Chapitres: 207-209(3 chapitres)
Episodes: 129-130(2 épisodes) 
Mon avis: Une très jolie histoire et triste. Katsura m'a bien fait marrer n'empêche: "J'ai trouvé mon bushido en mourrant par des cousinnets. " La valeur apportée dans cette histoire, c'est que le maître ne veut pas que les gens pleurent sa mort, c'est donc mieux de les faire partir en premier. 
25ème arc/25ème arc: Yoshiwara
Gintoki rencontre un jeune pickpocket qui veut seulement avoir un entretien en tête à tête avec la plus belle courtisane de Yoshiwara, Hinowa, car il veut savoir si elle est sa mère. Il se trouve que Yoshiwara a une face cachée et Gintoki se retrouve mêlé à des histoires sombres.  
Chapitres: 210-228(19 chapitres)
Episodes: 139-146(8 épisodes) 
Mon avis: Un de mes arcs préférés. Il est génial! Déjà car ça introduit Tsukuyo et Kamui, des personnages qui vont devenir importants par la suite et qui sont très aimés. Ensuite parce qu'il y a beaucoup d'actions et de moments sombres. On va voir Kagura comme on ne l'a jamais vu et Shinpachi qui réussit à la ramener à la raison(oui, elle perd la raison). L'histoire de Hinowa est très belle aussi. Puis, le combat de Gintoki est vraiment éprouvant et impressionnant. Il se fait remarquer par Kamui qui n'a d'intérêt que pour les personnes fortes et ce fait aura une importance plus tard. Evidemment, on sait que Gintoki est fort, c'est le héros après tout. Pourtant, dans ce combat, Gintoki n'a pas réussi à battre son ennemi seul, il a fallu qu'il soit aidé par les Hyakka et Tsukuyo pour le vaincre. 
26ème arc/27ème arc: Coiffeur
Les Yorozuya sont engagé comme coiffeur et doivent s'occuper de couper les cheveux du shogun, de Kondo et Katsura. 
Chapitres: 231-232(2 chapitres)
Episodes: 151-152(2 épisodes)
Mon avis: Un arc vraiment drôle et très aimé par les fans. Le shogun a encore bien souffert à cause d'eux. Matsudaira est un peu inconscient car il le laisse seul, le pauvre...
27ème arc/26ème arc: Le jeu de la mort du Shinsengumi
L'étrange et mystérieuse "Jigzaw" a enlevé Hijikata et Okita. La suspicion donne naissance à la peur... un choix extrême... Le jeu de la mort commence pour ces deux-là.
Chapitres: 233-235(3 chapitres)
Episodes: 148-149(2 épisodes) 
Mon avis: Il s'agit d'une parodie du film SAW, avec Hijikata et Okita. La fin est particulièrement drôle!
28ème arc/28ème arc: Otsu
La garde impériale de Terakado Tsuu au bord de la dissolution?! Une bataille de fan-club pour devenir officiel. 
Chapitres: 239-245(7 chapitres)
Episodes: 157-163(7 épisodes) 
Mon avis: Un arc assez drôle mais un peu long pour ce que c'est. On peut voir Shinpachi vaincre Hijikata, et ça, ce n'est pas rien. Puis voir nos personnages préférés s'affronter dans divers jeux, c'est toujours drôle. Cependant, je le trouve trop long. Quand on voit que des arcs plus importants et sérieux respectent moins le nombre de chapitre en les adaptant en peu d'épisodes, je trouve ça un peu étonnant qu'on ait 7 épisodes pour 7 chapitres. 
29ème arc/29ème arc: Tama Quest
Un phénomène anormal a lieu dans le corps de Tama, un virus informatique en est à l'origine. Un univers RPG de virus anti-leucocytes est apparu dans le corps de Tama. Gin-san et compagnie se rendent au château afin de rencontrer le Roi Leucocyte.
Chapitres: 247-251(5 chapitres)
Episodes: 167-170(4 épisodes)
Mon avis: C'est un arc très sympa dans lequel on voit que Tama apprécie vraiment beaucoup Gintoki et réciproquement. Notamment par rapport à l'identité du Roi Leucocyte qui est le sosie de Gintoki, c'est vraiment mignon. La relation entre Gintoki et son alter ego est très drôle. 
30ème arc/30ème arc: Araignée rouge
Alors que Yoshiwara a été sauvé, un homme revient et seme le trouble dans Yoshiwara notamment auprès de Tsukuyo.  
Chapitres: 254-262(8 chapitres)
Episodes: 177-181(5 épisodes)
Mon avis: C'est un arc très sérieux comme Yoshiwara. On voit encore des points communs entre Tsukuyo et Gintoki. Puis on nous montre le côté sombre de Gintoki par rapport à son maître et on voit un peu plus le passé de Gintoki. Et puis, enfin, je trouve en le revoyant que Gintoki et Tsukuyo vont vraiment bien ensemble quand même, Gintoki lui a dit des choses qui fait vraiment penser qu'il l'aime beaucoup(plus que les autres filles, comme Otae ou Sa-chan). C'est bien aussi qu'on sache un peu plus sur Tsukuyo. 
31ème arc/31ème arc: Arc du Top des Personnages
Le top des personnages de Gintama est tombé. Cependant un inconnu s'en prend à ceux qui ont un chiffre au dessus du top 20. 
Chapitres: 265-268(4 chapitres)
Episodes: 182-184(3 épisodes)
Mon avis: Un arc vraiment drôle avec beaucoup de n'importe quoi. On apprend le top des personnages, mais aussi, on voit la réaction des personnages par rapport à cela, ce qui est épique et original. 
32ème arc/32ème arc: Rokkaku
Okita est attaqué par une fille, c'est lié à l'affaire Rokkaku où il semblerait il aurait tué son père. Kagura va se retrouver embarquer dans cette histoire. 
Chapitres: 270-272(3 chapitres)
Episodes: 186-187(2 épisodes) 
Mon avis: C'est un arc dans lequel on voit Okita dans une affaire délicate et on nous montre son côté gentil aussi. Puis, on voit la relation de Kagura/Okita s'améliorer. On a droit aussi à des combats, donc c'est vraiment sympa.
33ème arc/33ème arc: Les chats de Kabuki
Gintoki est transformé en chat, il découvre la vie des chats et rencontre des connaissances aussi transformées.  
Chapitres: 275-279(5 chapitres)
Episodes: 190-192(3 épisodes) 
Mon avis: C'est un arc drôle mais aussi émouvant avec le passé de Hoichi. Pour les amoureux des chats ou pas, c'est à ne pas manquer. 
34ème arc/34ème arc: Onmyuji ou Divination
Cet arc est centré sur la famille de Ketsuno Ana qui sont des Onmyuji ou des personnes pouvant faire de la divination, employer des esprits ou les chasser.  
Chapitres: 282-289(8 chapitres)
Episodes: 195-199(5 épisodes)
Mon avis: C'est un arc qui nous permet d'en savoir plus sur Ketsuno Ana. Gintoki peut enfin rencontrer son idole, c'est drôle de le voir en mode fan. Le passé des deux onmyojis est vraiment émouvant et leur amour pour Ketsuno Ana est vraiment touchant. Shinpachi a eu son premier baiser et c'était vraiment très drôle. Shinpachi a beau être plus rationnel et sérieux que les autres, il part parfois dans des délires que les autres personnages ne comprennent pas. 
35ème arc/35ème arc: Père Noël
Kagura ecrit une lettre à son père en lui demandant si le père Noël existe vraiment. Celui ci vient exprès pour continuer à lui faire croire. Mais il n'est pas le seul à vouloir le faire, Gintoki, son père de substitution y avait pensé aussi. Et d'autres, qui eux veulent seulement se déguiser.
Chapitres: 290-292(3 chapitres)
Episodes: 200-201(2 épisodes)
Mon avis: C'est un arc très drôle qui montre encore une fois que Kagura et Gintoki sont comme père et fille(je le précise, car je trouve vraiment exagéré les gens qui les mettent en couple alors qu'on voit bien qu'ils ont une relation père-fille). C'est mignon aussi de voir Kagura en mode enfant innocente, elle est vraiment trop craquante comme ça. 
36ème arc/38ème arc: 4 Devas(ou arc d'Otose / de Jirochou)
Une jeune femme vient voir Gintoki. Celle-ci l'appelle Aniki et son but est de faire de Gintoki le chef d'un clan. Il se trouve qu'elle est la fille d'un des 4 devas et qu'elle veut déclencher une guerre entre les 4. 
Chapitres: 297-309(13 chapitres)
Episodes: 210-214(5 épisodes) 
Mon avis: Ce qui est le plus marquant dans cet arc, c'est qu'on connaît enfin l'origine de la relation entre Gintoki et Otose. Ils ont une relation forte et on le voit surtout parce que pour la première fois, Gintoki est furieux. D'habitude quand il se bat sérieusement, il dit des phrases quand même, il fait la morale à son ennemi, il l'insulte ou se moque, mais là, il ne parlait pas et ne faisait que se battre avec violence et rage. Ce qui est bien aussi, c'est le fait de voir tous les habitants de Kabuki se battre tous ensemble pour aider Otose et Gintoki. C'était une belle alliance. J'ai adoré le passé d'Otose aussi même si ça ressemble presque à un drama avec un triangle amoureux. On revoit Gintoki en mode: je rejette tout le monde pour les protéger et je vais me battre seul. Cependant, on voit que Shinpachi et Kagura ont muri car ils le grondent et l'empêchent de créer cette barrière.  Oh et puis, on voit que Shinpachi est devenu fort. Il a battu Pirako à un contre un alors qu'elle est connue pour faire des massacres. Franchement, j'ai tout aimé dans cet arc, la seule chose que je reprocherai,  c'est une chose illogique. Comment se fait-il que le Shinsengumi ne soit pas intervenu(alors que c'est un évenement tout de même important) et pareil pour Katsura ? Il est toujours là quand il n'y a pas besoin et là, il n'était pas là, j'ai trouvé ça un peu illogique et dommage. Ca aurait été cool une grande alliance avec les habitants de Kabuki, Shinsengumi et Jouishishi. 
37ème arc/39ème arc: Jugem
La famille impériale a demandé à la famille Yagyuu d'élever le petit singe du cousin de l'empereur qui est infernal.  
Chapitres: 314-315(2 chapitres)
Episodes: 221-222(2 épisodes) 
Mon avis: C'est un arc dans lequel on voit Kyuubei d'une autre façon. Elle s'attache à ce petit singe mignon et ça la rend du coup plus féminine. Puis, ce que j'ai aimé le plus, c'est quand Gintoki utilise le réseau Yorozuya et demande à tous ses proches de l'aider. Franchement, comme je le disais au dessus, c'était ce qui était dommage mais ici, ils l'ont bien utilisés. On voit que Gintoki a un large réseau maintenant. Bon, reste à savoir comment il se rappellait des numéros de tout le monde, même de Hasegawa qui vit dans le parc mais c'est souvent le cas dans les mangas/séries/films, on voit des personnages appeler d'autres personnages sans avoir le numéro avec eux. 
38ème arc/37ème arc:  Lunettes
Gintoki casse les lunette de Sa-chan. Il se sent obligé de lui en racheter une nouvelle paire, cependant ces nouvelles lunettes ne correspondent pas aux yeux de la ninja. Celle ci se fait finalement attaquée et les Yorozuya ainsi que Hattori vont la protéger. 
Chapitres: 318-321(4 chapitres)
Episodes: 207-208(2 épisodes)
Mon avis: C'est un arc vraiment drôle mais aussi assez mignon dans le sens où on voit que malgré tout, Gintoki tient à Sa-chan. Le combat était sympa et ce que dit Sa-chan est génial. 
39ème arc/36ème arc: Ellipse de 2 ans
Après l'arrêt de la série, deux ans se sont passé et beaucoup de changement ont eu lieu.  
Chapitres: 324-326(3 chapitres)
Episodes: 202-203(2 épisodes)
Mon avis: Un arc très drôle. C'est sympa de voir les personnages avec un autre physique et comment ils seraient dans deux ans. On a eu droit à du Oki/Kagu. Bon après,c'est devenu du n'importe quoi (Katsura qui est transexuel et qui a un enfant avec Kondo par exemple) mais c'est la source même de Gintama. 
40ème arc/44ème arc: Scandale
Gintoki se réveille après une soirée arrosée et il est nu dans une chambre d'hôtel. Il se rappelle de rien et découvre par surprise qui est l'heureuse élue. 
Chapitres: 336-339(4 chapitres)
Episodes: 239-240(2 épisodes)
Mon avis: C'est un arc vraiment à mourir de rire mais qui montre aussi que Gintoki est stupide s'il croit quelque chose comme ça. Cela confirme de nouveau que Gintoki a déjà fait ce genre de chose avec des femmes avant et qu'il a déjà eu des coups d'un soir suite à l'alcool puisqu'il a cru l'avoit fait. Puis c'est sympa de voir que malgré tout, il sait prendre ses responsabilités. Le pire, c'est quand même avec Otose et Hasegawa... Et puis la fin est le plus drôle. Quand tout le monde se revoit en vidéo et recommencent le moment où il apprends la vérité et on voit en parallèlle Gintoki qui compte bien se venger. 
41ème arc/40ème arc: Prison
Gintoki a fait l'erreur d'insulter un agent de sécurité et il se retrouve donc derrière les barreaux. Il fera la connaissance d'un vieillard qui souhaite revoir son fils mais le policier qui dirige la prison abuse de ses pouvoirs et joue avec les prisonniers. 
Chapitres: 340-342(3 chapitres)
Episodes: 225-226(2 épisodes) 
Mon avis: Cet arc est drôle mais aussi assez touchant avec l'histoire du vieil homme et du gardien. Cela m'a rappellé quand Katsura a aussi été emprisonné dans l'épisode 110(d'ailleurs on y voit un petit flashback). Lui et Gintoki sont vraiment pareils. C'était vraiment sympa de voir Gintoki en prison et devenir le chef de la prison. 
42ème arc/43ème arc: Vacance
Les Yorozuya partent en vacance au ski et retrouvent le shinsengumi qui accompagnent le shogun. Mais bien sûr, rien ne se passe comme prévu et ils se retrouvent perdu dans la montagne enneigé. 
Chapitres: 344-346(3 chapitres)
Episodes: 237-238(2 épisodes)
Mon avis: C'est un arc vraiment amusant. Faut dire qu'avec tous ces personnages, la situation ne pouvait que dégénérer. Le shogun est encore une fois maltraité mais montre sa bienveillance. Le shinsengumi aurait dû remarquer la proximité entre Gintoki et Katsura mais puisque c'est un arc comique, Sorachi a fait en sorte qu'ils ne le voient pas même si c'est un peu dommage. 
43ème arc/41ème arc: Love Choris
Shinpachi a une petite amie, mais en réalité, c'est une petite amie virtuelle. Gintoki se retrouvent embarquer dans ce monde de jeu virtuel. 
Chapitres: 347-350(4 chapitres)
Episodes: 228-229(2 épisodes)
Mon avis: C'est un arc drôle et aussi très mignon. On voit que Gintoki a de l'expérience et semble aimer les tsundere. En tout cas, cet arc est très sympathique.
44ème arc/42ème arc: Renho
Elizabeth a disparu. Katsura enquête avec les Yorozuya.  
Chapitres: 353-360(8 chapitres)
Episodes: 232-236(5 épisodes) 
Mon avis: C'est un arc dans lequel on apprend beaucoup de chose sur Elizabeth, c'est vraiment sympa de voir qui il est vraiment. On a aussi confirmation que Katsura sait que Elizabeth est un homme vu qu'il parle "d'amitié entre hommes" et parle de lui au masculin. Par contre, depuis quand il le sait, je ne sais pas. Ensuite, on voit pour la première fois Katsura, Gintoki et Sakamoto ensemble. Ils sont vraiment intenables tous les trois mais c'est un bon trio. J'ai aimé aussi de voir l'amitié entre Katsura et Elizabeth, les choses qu'ils ont dites sont vraiment mignonnes. Puis la fin est vraiment touchante (même si elle est assez drôle aussi) quand on voit Gintoki qui vient jouer au Uno avec Katsura car il n'a plus Elizabeth (puis ensuite les autres les rejoint). C'est aussi là qu'on se rend compte qu'avant que Sakamoto donne Elizabeth à Katsura, il a dû se sentir bien seul.. Bref, un bon arc sur Katsura et Elizabeth. 
45ème arc/45ème arc: Host Club
Kyoshiro demande aux Yorozuya de venir l'aider et ils se transforment en hôtes. 
Chapitres: 362-364(3 chapitres)
Episodes: 241-242(2 épisodes)
Mon avis: Un arc bien drôle où on peut voir que Gintoki sait quand même s'y prendre avec les filles (si seulement il n'y avait pas eu Kondo) et que Hijikata et Okita sont trop bien en host. C'était vraiment sympa de voir les garçons en host avec les filles de Gintama qui en profitent bien. 
46ème arc/46ème arc: Epine
Hijikata reçoit un assistant de la prestigieuse famille Sasaki. Il se trouve qu'il est désobéissant, et lié à des affaires de Jouishishi.  
Chapitres: 365-370(6 chapitres)
Episodes: 244-247(4 épisodes)
Mon avis: C'est un arc vraiment poignant. On y rencontre le Mimawarigumi avec Isaburo Sasaki et Imai Nobume, et surtout, on apprend le passé de Hijikata. Je trouve que son histoire est vraiment touchante et que sa relation avec le jeune Tetsu est vraiment mignonne car on voit bien qu'il agit comme son grand frère. J'ai beaucoup aimé de voir Gintoki revenir en Joui et surtout annoncer lui même qu'il est le célèbre Shiroyasha. En effet, le shinsengumi ne le savait pas encore. Gintoki était trop stylé dans cet arc. On a aussi une brève apparition de Takasugi (ce gars est partout). 
47ème arc/47ème arc: Kintama
L'identité de Gintoki a été volé par un certain Kintoki. Comment va t'il faire ?
Chapitres: 372-380(9 chapitres)
Episodes: 253-256(4 épisodes) 
Mon avis: C'est un arc qui est selon moi assez triste. Il introduit le personnage de Kintoki. J'ai beaucoup aimé certaines scènes comme quand Sadaharu et Tama retrouvent Gintoki et que Sadaharu vient faire un calin à Gintoki pour lui montrer qu'il le reconnait. J'ai aussi aimé la fin une fois que tout le monde se rappelle de lui. Il y avait juste Kabuki-chou mais j'aurai aimé voir le shinsengumi qui eux aussi aurait oublié Gintoki mais cela reste un arc assez sympa qui met en avant les liens qu'ont les gens avec Gintoki. 
48ème arc/48ème arc: Courtisane du pays
Gintoki est invité à Yoshiwara pour rencontrer la plus prestigieuse courtisane de Yoshiwara pour le remercier. Il se trouve que c'est une vieille femme qui arrive à la fin de sa vie et qui voudrait revoir l'homme de sa vie qui se trouve habiter dans un endroit hors d'accès. 
Chapitres: 386-399(14 chapitres)
Episodes: 257-261(5 épisodes)
Mon avis: C'est un des meilleurs arcs selon moi. Quand on connait la suite de l'histoire de Gintama, revoir cet arc nous fend le coeur. Le shogun est tellement génial! 
C'était sympa de voir le shinsengumi et le mimawarigumi ensemble. Et surtout, on voit le côté sombre de Gintoki par rapport à son passé. On apprend un peu plus ce qui s'est passé pour son maître, Tsukuyo aussi d'ailleurs. On rencontre Oboro qui est un des principaux antagonistes de Gintama. Et puis, l'histoire est vraiment touchante comme toujours. J'ai aussi aimé la fin avec Gintoki et Takasugi (oui il apparait à la fin) qui disent chacun à leur tour: Passe le bonjour à Sensei de ma part. (D'ailleurs dans l'épisode 265, on voit que Katsura était venu aussi à la fin et il sort aussi cette phrase, mais ça se voit que Sorachi voulait juste rigoler du fait que le pauvre Katsura a été délaissé alors que ça parlait de leur Sensei). 
49ème arc/49ème arc: Style de sabre rayon laser
Pour relancer son dojo, Otae renoue avec un ancien professeur qu'elle croyait disparue. Mais cette personne maîtrise une nouveau style à l'épée d'une technologie futuriste et cache un mystérieux secret. 
Chapitres 403-410(8 chapitres)
Episodes: 262-264(3 épisodes)
Mon avis: Un arc assez sympa, assez drôle et touchant. On voit que Gintoki est vraiment comme le grand frère de Shinpachi(même s'ils le nient tous les deux) et c'était vraiment triste pour Shinpachi et Otae. On découvre un peu plus leur passé. Ce qui était sympa aussi, c'est de voir Gintoki prendre le mauvais rôle mais en parallèle pour Shinpachi, il est allé jusqu'à supplier à genoux le shinsengumi. Cela prouve l'affection que Gintoki éprouve pour Shinpachi.  
50ème arc/54ème arc: Confessions
Gintoki découvre une nouvelle façon de découvrir des mensonges(et de gagner de l'argent) et ouvre une salle de confession avec Tama.  
Chapitres: 412-415(4 chapitres)
Episodes: 283-284(2 épisodes)
Mon avis: Un arc très drôle qui finit avec une bonne morale sur comment être leader et avec une phrase énonciatrice pour les futurs arcs. Vraiment, j'aime Sho-chan. La fin est très marrante. On voit encore la stupidité de Katsura. J'adore quand il va se plaindre auprès de Gintoki, en prison: je ne veux plus être leader, faisons un groupe de musique tous les deux. Il m'a fait de la peine quand les autres préfèrent le shogun à lui même si finalement c'était de la comédie, et si Katsura s'énervait autant c'est parce que justement, c'était le shogun. Je trouve ça vraiment bien, et on voit un truc important pour la fin, quand le shogun parle de celui qui périra en premier et de celui qui s'occupera de gouverner le monde. Je trouve ça bien qu'il y ait un fil conducteur comme cela.
51ème arc/61ème arc  Petit ami de Kagura
Kagura a un petit ami au plus grand déplaisir de Gintoki et Umibouzu. 
Chapitres: 419-422(4 chapitres)
Episodes: 329-330 (2 épisodes)
Mon avis: Il est très drôle et attachant. On peut voir(en déplaise aux fan de GinKagu) que Gintoki considère Kagura comme sa fille vu comment il est autant papa gâteau que Umibouzu. Je regrette juste qu'Okita ne soit pas là, j'aurai voulu voir sa réaction. 
51ème arc/63ème arc: Excalibur
Gintoki se retrouve avec un sabre pouvant parler et qui se trouve être un amanto et qui recherche sa compagne. 
Chapitres: 424-429(6 chapitres)
Episodes: 334-336 (3 épisodes)
Mon avis: Un arc très marrant mais aussi émouvant. L'histoire du sabre est vraiment belle. Puis on a droit à un mini combat Okita contre Gintoki, même s'il a été interrompu. 
52ème arc/62ème arc: Sans abri
Ikumatsu continue à attendre un certain client qui avait promis à son mari de venir chaque année au jour de l'an, mais il a disparu. Katsura décide de l'aider à retrouver cet homme avec l'aide de Gintoki.
Chapitres: 431-433(3 chapitres)
Episodes: 331-332(2 épisodes) 
Mon avis:  Comme j'aime le couple Katsura/Ikumatsu, c'est un arc que j'adore. C'est mignon, puis on a quelque révélation venant de Gintoki sur Katsura ainsi que plus d'informations sur Ikumatsu. Sinon, il y a aussi un combat bizarre et loufoque. C'est un arc drôle, un peu romantique et émouvant.  
53ème arc/52ème arc: Dekoboko ou l'arc d'échange de genre
Kabuki est touché par un rayon et tout le monde change de sexe, et ce après un voeu de Kyuubei. 
Chapitres: 437-441 (5 chapitres)
Episodes: 275-277(3 épisodes)
Mon avis: La plupart des gens ont adoré cet arc. Je l'ai beaucoup aimé aussi mais pour moi, c'est pas le meilleur. Cependant, il est vraiment drôle. C'était sympa de voir que les filles étaient plus badass en homme que les hommes eux-même. 
54ème arc/64ème arc: HDZ48
Kagura et Otsu démarre un groupe d'idole, en réponse un groupe d'idole de la galaxie les défie. 
Chapitres: 445-449(5 chapitres)
Episodes: 337-339(3 épisodes)
Mon avis: C'est un arc très drôle dans lequel on voit Kagura en idol et Gintoki en manager. Kagura semble être douée pour être idole(que même la mère d'Otsuu regrette un peu qu'elle ne puisse pas continuer). Puis le groupe d'idole de la galaxie...c'est dommage pour une chose, c'est que cela se base plus sur les fan-meeting que sur des chansons. 
55ème arc/51ème arc: Réunion des anciens patriotes
Les anciens Joui sont réuni pour une fête de commémoration et se souvenir d'un certain Kurokono. 
Chapitres: 452-454 (3 chapitres)
Episodes: 271-272(2 épisodes)
Mon avis: C'est bien quand Katsura, Gintoki et Sakamoto sont réunis. Puis Kurokono a l'air tellement cool, j'aimerai bien qu'il revienne plus tard dans la série, même si c'est un personnage de parodie. J'ai adoré le fait qu'on les appelle la génération des miracles comme dans Kuroko, le pire c'est que c'est un peu le cas. Puis revoir les gars pendant la guerre, ça fait toujours plaisir. Le moment où Takechi arrive pour donner un message de Takasugi est vraiment drôle car entre le flashback et ses messages, on se rend compte que Takasugi n'est pas juste un gars qui veut détruire le monde. C'est aussi un gars qui offre des yakult à tout le monde, quel homme généreux. 
56ème arc/57ème arc: La malade imaginaire
Gintoki et Shinpachi prenne le parasol de Kagura car il fait trop chaud, celle ci en tombe malade, et décide d'exagerer un peu, mais sa blague est prise au sérieux. 
Chapitres: 457-459(3 chapitres)
Episodes: 296-297(2 épisodes)
Mon avis: Un arc bien drôle mais aussi attendrissant au début car on voit que Gintoki s'inquiète réellement pour Kagura. Par la suite, je suppose qu'il exagère vu qu'il jouait la comédie, je pense qu'il l'a compris à partir du moment où il a vu son gros ventre voir un peu avant. Peut-être qu'il ne le savait pas et l'a appris quand elle a enfin pu le dire mais si c'est le cas, il aurait dû contacter Umibouzu donc, je reste persuadée qu'il savait qu'elle n'était pas si malade que ça. 
57ème arc/53ème arc: La faucheuse
Gintoki rencontre la faucheuse qui lui demande de l'aider à se faire seppuku. Il se trouve que ce n'est pas vraiment une faucheuse et que c'est mêlé à une affaire de meurtre et au passé de Gintoki. 
Chapitres: 463-469(7 chapitres)
Episodes: 279-281(3 épisodes)
Mon avis:  Un arc génial avec beaucoup de références à Bleach.  Okita m'a fait rire avec son entrée en scène, surtout avec du OkiKagu. Par contre, même si je l'ai lu en manga avant, les explications étaient dures à comprendre dans l'anime. J'ai dû me les regarder deux fois pour comprendre (ce que dit Gintoki à Asaemon quand il cite son père, et l'explication de Okita).
Le dernier épisode était génial, contente de voir Takasugi (sa dernière phrase était excellente "Soit tu te feras tuer par lui, soit par moi, mystère". Il est drôle quand il s'y met Takasugi). Puis on a vu un autre antagoniste principal Nobu Nobu, qui est très important pour la fin. L'histoire est très intéressante mais j'ai trouvé que Shinpachi et Kagura étaient stupides dans cet arc. Quand ils apprennent que Gintoki a été condamné à mort, ils se demandent quel crime il a pu commettre alors qu'ils savent très bien que c'est un légendaire jouishishi. C'est pour l'humour mais ça les rend stupides. 
 [SPOIL DERNIER ARC] N'empêche,quand on connait le passé de Gintoki avec son maître, je trouve que Asaemon et Gintoki sont similaires. Et c'est dommage qu'ils ne le mettent pas en avant, car après tout, ils ont vécu la même chose. Gintoki devait ressentir la même chose que Asaemon, c'est peut être la raison pour laquelle il est autant touché (même si bon, il aurait aidé quand même), mais je trouve que c'est pas assez mis en avant.[FIN SPOIL]
58ème arc/54ème arc: Echanges d'âmes
Gintoki et Hijikata échangent leurs âmes. 
Chapitres: 470-476(7 chapitres)
Episodes: 287-289(3 épisodes)
Mon avis: C'était très drôle, notamment le quatuor Elizabeth/Katsura/Kagura/Okita. La morale par rapport aux leaders est très sympa. Hijikata a réussi à créer un Yorozuya élargit et a même convaincu Katsura d'y entrer. Je me demande comment a été la rencontre entre les deux pendant qu'il était dans le corps de Gintoki ou comment ça se passait à la maison avec Kagura. C'est dommage qu'on n'ait pas pu voir un peu plus les deux personnages dans leur quotidien. On peut voir que finalement, Hijikata et Gintoki se ressemblent beaucoup mais ont une façon de gérer leur subordonnés différemment. Et d'après ce que m'a fait remarquer une fan du blog, Dozaemon, le chat avec l'âme de Gintoki, a tous les côtés de Gintoki par rapport à la guerre, comme le fait de se battre corps et "âme" pour protéger son maître (qui à l'occurence est Otae). D'ailleurs, Gintoki le dit à Hijikata mais je trouve ça intéressant car tous les mauvais côtés de Gintoki n'étaient plus avec lui, il était en quelque sorte libéré de ses fardeaux.  
59ème arc/55ème arc: Kaientai
L'arc est basé sur le passé de Sakamoto et Mutsu. 
Chapitres: 477-480(4 chapitres)
Episodes: 290-291(2 épisodes)
Mon avis: On apprends à mieux connaître Sakamoto, ainsi que sa relation avec Mutsu. C'était vraiment sympa de voir Sakamoto sérieux. C'est la première fois où on le voit sérieux et je suis sûre que de nombreuses personnes vont apprécier. On apprends aussi comment le Kaientai a été créé et aussi, le principe du commerce. Sinon, ce qu'il dit sur Mutsu, ça sonne vraiment comme un truc romantique (surtout ce que dit Gintoki à la fin: t'as fais tout ça pour une femme). Mais je trouve que ce qu'il dit sur Mutsu et vice-versa, ce qu'elle dit sur Sakamoto est vraiment trop touchant. En tout cas leur amitié est vraiment sympa. 
60ème arc/50ème arc: Temps Suspendu
Gintoki se voit confier l'horloge du temps mais la casse. Les Yorozuya sont les seuls pouvant bouger. 
Chapitres: 484-485(2 chapitres)
Episodes: 266-267(2 épisodes)
Mon avis: Un arc très drôle où on peut voir la force de monstre de Otae. Pas vraiment d'avis, mais ne serait ce que pour voir les Yorozuya faire des sauts dans le temps, c'est cool.
61ème arc/56ème arc: Afro
Katsura infiltre le Shinsengumi et rencontre Saitou Shimaru qui ne parle jamais. Il est le capitaine de la troisième unité du shinsengumi. 
Chapitres: 488-491(4 chapitres)
 Episodes: 294-295(2 épisodes)
Mon avis: Cet arc est vraiment très sympa. On découvre le personnage de Saitou Shimaru qui est fort et touchant. Katsura est aussi extrêmement cool, notamment à la fin. Gintoki et les autres étaient très drôles quand ils essaient d'aider Saitou à la fin. Katsura qui devient un shinsengumi, c'était vraiment sympa à voir (en plus, il faisait capturer des Joui), il s'y est vraiment cru au jeu. Le pire, c'est que son plan aurait pû marcher si Gintoki ne s'en était pas mêlé. Bref, un arc bien drôle et touchant, surtout quand on découvre pourquoi Saitou ne pouvait pas parler. 
62ème/Adaptés en OAD: Potion d'amour
Un bussness de potion d'amour a lieu à Yoshiwara. Cependant les potions tombent et Gintoki, Shinpachi et Kagura la sentent, ainsi que Tsukuyo, et d'autres.  
Chapitres: 492-497(6 chapitres)
 Episodes: 2 OAD (Aizomi Kaori-hen)
Mon avis: Un arc qui est centré sur l'amour avec beaucoup d'humour. Il plaîra aux fans de Gintoki/Tsukuyo. Voir Gintoki en lover, c'est excellent. C'était aussi marrant de voir les autres personnages tomber amoureux. Sinon, l'histoire de l'antagoniste est mignonne puisque tout ce qu'elle voulait, c'était recevoir de l'amour et retrouver l'homme de sa vie.  
63ème arc/65ème arc: Esprits Gardiens
Shinpachi change de lunette et peut voir tous les esprits gardiens de chacun, et comment ils interragissent pour faire gagner leur protégé dans une compétition de sport. 
Chapitres: 499-501(3 chapitres)
 Episodes:  340-341
Mon avis: C'est seulement un arc comique qui nous fait aussi comprendre certaines choses sur nos personnages. Cependant, cela reste juste un arc comique.  
64ème arc/58ème arc: L'assasinat du Shogun
Le shogun est menacé, Matsudaira emploie les manières fortes en demandant à tout le monde(shinsengumi, mimawarigumi et yorozuya) de l'aider à le protéger. 
Chapitres: 502-524(23 chapitres)
 Episodes: 300- 307(8 épisodes)
Mon avis(très long): C'est le début de la fin de Gintama. Des combats épiques, le passé de Gintoki plus détaillé (et vraiment poignant), des alliances qui se font, un peu d'humour, et une fin vraiment triste qui change la vie des personnnages de Gintama (au point que de revenir dans un arc drôle est impossible).  
On y découvre la personnalité de Shouyou (jusqu'à maintenant, on savait seulement à quoi il ressemblait et que c'était leur maître) et plein d'autres choses. J'ai adoré l'épisode 304 vu que c'est l'épisode avec les flashback. 
L'épisode 305=l'épisode le plus choquant de Gintama. J'ai vu le 305 en VO à la TV, j'ai pleuré. 4 heures après, je le regarde en vostfr et je pleure encore.
Et encore, j'ai lu le scan donc je m'y attendais, mais je pleurais même avant que ça commence car je savais ce qui allait arriver. Pour moi, la mort de Shouyou, est l'un des moments les plus choquants de tout Gintama. Tout le monde savait qu'il était mort depuis Benizakura et tout le monde savait aussi qu'il avait été exécuté mais la façon dont il l'a été est vraiment choquante. Pauvre Gintoki. 
C'était bien que Takasugi et Gintoki s'expliquent enfin. Cependant, quand je les vois s'expliquer, je me disais: mais pourquoi vous vous êtes pas expliqués il y a 10 ans ? Au moins, Takasugi et Katsura ne seraient peut être pas devenus terroristes...Bon, peut être que ça n'aurait pas changé grand chose en réalité.  En tout cas, j'ai beaucoup aimé les épisodes flashback où on rigole quand même pas mal. 
Sinon dans l'arc, tout est poignant, que ce soit les flashback ou bien l'intrigue de l'arc en elle même. C'était vraiment bien de connaître un peu plus Zenzou et voir le lien qu'il a avec Sho-chan. C'était sympa aussi de voir le lien entre Zenzou et Sacchan, un joli couple de ninjas. Sinon autre chose qui était sympa, le combat de Kamui contre Kagura, mais finalement on voit que Kamui protège sa soeur, c'est donc intéressant car on sait qu'il reste du bon en lui.  
Bon, il y a des points négatifs pour l'anime. Ils ont baclé l'arc, ils ont enlevé des scènes par rapport au manga, ils sont allés trop vite. 7 ou 8 épisodes pour 23 chapitres... Ce n'est pas des scènes capitales qu'ils ont enlevé mais c'est seulement pour finir plus vite l'arc (et la saison) du coup, c'est ce que j'appelle baclé. Ils sont restés 7 épisodes pour 7 chapitres pour un arc avec Otsuu (donc un arc comique dont on s'en fiche) et pour un arc pilier du manga, ils accelèrent les choses et font 8 épisodes pour 23 chapitres ? C'est comme si dans One piece, l'arc de Marine ford, ils avaient enlevé des scènes et acceleré les combats (bien que ça n'aurait pas été de refus qu'ils les accelèrent un peu)...C'est un peu décevant je trouve, et c'est pas une question d'argent car ils en avaient assez pour faire deux OAD.  Il y a aussi des erreurs de traductions qui changent du coup la nuance de certaines phrases mais ça c'est le problème des teamtrad. C'est pourquoi, je vous conseille de regarder l'anime mais aussi de lire en manga (ou scan si vous n'avez pas les moyens de vous procurer les tomes) car l'anime a ses bons et mauvais côtés et pareil pour le manga et donc en voyant les deux, on peut deux fois plus aimer l'oeuvre.
 Petite parenthèse: La seule chose que je trouve dommage et bizarre, c'est que Katsura ne soit pas là. Il est le genre de gars à tout savoir sur les jouishishi ou les amantos (Gintoki va souvent lui demander des tuyaux d'ailleurs), et son but était de tuer le shogun et d'empêcher Takasugi à réussir son objectif, et là, vous allez me dire: il n'est pas au courant ? C'est comme pour l'arc des 4 devas où il y avait une grosse guerre civile en plein Kabuki-chô et que ni le shinsengumi, ni Katsura n'ont rappliqué...
Je ne demandais pas pour cet arc que Katsura soit un des principaux personnages (on va le voir dans le flashback de toute façon) mais genre, on le voit arriver à la fin ou bien ne pas pouvoir empêcher Gintoki et Takasugi de s'entretuer comme il le faisait d'habitude car il avait des ennemis qui lui barraient la route ou parce qu'il ne savait pas où le combat se passait, enfin juste quelque chose de bête comme ça. Bref, je stoppe ma petite plainte de groupie de Katsura. 
65ème arc/59ème arc: Adieu Shinsengumi
Kondo et Matsudaira sont arrêtés pour être executés. Le Shinsengumi est dissous... 
Chapitres: 525-551(27 chapitres)
Episodes: 308-316(9 épisode)
Mon avis: Je vais essayer de faire court. Un arc tout aussi sérieux et triste que le précédent avec aussi un personnage décédé. On va connaître un peu plus sur le shinsengumi et cette fois-ci Katsura sera de la partie. On peut voir tout d'abord que Zenzou a subit la même chose que Gintoki (à peu près) et qu'il agit comme lui à la fin de la guerre. On voit les répercussions dû à l'arc précédent. Le shinsengumi est dispersé mais toujours prêt à se battre, et on voit surtout la fidélité de Okita envers Hijikata (comme quoi, il n'a jamais été vraiment sérieux sur le fait de prendre sa place) ainsi que leur fidélité envers Kondou et Matsudaira. Katsura a tissé des liens avec le shinsengumi à travers les divers arcs comiques dans lesquels ils se sont croisés. Et donc, on a enfin une alliance qu'on attendait et qu'on avait déjà vu dans le film Yorozuya yo Ein nare. Le passé de Sasaki Isaburo est triste et on comprends mieux la relation avec Nobume dont il s'est occupé comme sa propre fille. Nobume a aussi un passé douloureux.
D'ailleurs, vu que cela s'est passé il y a 4 ans et d'après l'âge de Nobume donné par Sorachi, c'est à dire 18 ans, elle avait 14 ans à l'époque, sauf qu'on aurait dit une enfant. On la voit plus tard (dans l'arc suivant) avant de rencontrer Isaburo et alors qu'elle devait avoir 8 ans, elle avait la même apparence qu'à 14 ans. Entre 15 et 20 ans, je peux comprendre qu'il n'y ait pas trop de différence, mais entre 8 et 14, c'est différent. Bref, cherchons pas la logique.
Sinon, Gintoki découvre Utsuro, l'antagoniste de fin principal. Oboro est encore en train de s'en prendre à Gintoki et on comprendra dans un prochain arc pourquoi il en veut autant aux disciples de Shouyou. Gintoki montre son âme de leader et d'expérience en guerre aussi. On peut voir dans l'arc que lui et Katsura sont bien plus expérimentés que le shinsengumi.  Il y a beaucoup de moments intenses et géniaux mais je ne vais pas spoil. 
Des points négatifs: Otae, déjà. Elle ne sert à rien dans cet arc. A la limite, j'aurai compris si elle s'était battue, mais elle vient sur l'île pour rester dans une barque...C'est stupide de la faire venir pour rien surtout qu'elle sait se battre.
Sinon, dans l'anime, ils sont aussi allés vite pour cet arc...Dommage. Puis, c'est mon côté groupie de Katsura, mais franchement, il y avait Oboro et Utsuro (liés au maître de Gintoki et Katsura), et on ne voit pas Katsura ne serait ce que "les voir" Je suppose qu'il les a vu, mais que ce soit dans le manga ou dans l'anime, on voit la réaction de tout le monde (et encore dans l'anime, ils ont tellement baclés qu'ils ne l'ont pas fait), mais pas celle de Katsura, c'est un peu injuste pour lui car c'est aussi son maître. 
66ème arc/ 60ème arc: Ryumyaku/Yato (ou Rakuyô dans l'anime)
Nobume a rejoint Gintoki et Katsura, et leur parle du Ryumyaku, du Tendoushuu et de Utsuro, leur dévoilant ainsi la véritable identité de leur maître...Elle leur indique aussi que Takasugi(qui était dans le coma) s'est fait attaqué et qu'elle ne sait pas où il se trouve en ce moment. Gintoki et Katsura décident d'aller le chercher avec l'aide de Sakamoto.
Chapitres: 554-594(40 chapitres)
 Episodes: 317-328(12 épisodes) 
Mon avis: C'est mon arc préféré car on apprends de nombreuses choses. Je pense que le plus important, c'est la révélation sur Utsuro et Oboro. On apprends aussi le passé de Katsura et pourquoi Sakamoto ne se bat plus avec un sabre. Puis on apprends aussi le passé de Kagura et sa famille. Chacun a eu droit à son combat individuel avec un chef. Il était temps, même Hijikata et Okita ont eu droit à leur combat individuel dans le passé, même plusieurs fois, je crois mais ce n'était pas encore le cas pour Katsura, Sakamoto et Takasugi (à part son duel avec Gintoki). Puis on a la réunion des Joui 4 qui montre que Takasugi est revenu à son lui d'avant. On a pu voir aussi le combat d'Umibouzu contre Utsuro et son point faible. Puis le combat final contre Kamui est excellent car tout le monde se bat contre lui: Gintoki, Kagura, Shinpachi et même Abuto.  Et enfin, il y a le combat de Takasugi contre Oboro dans lequel on apprends pourquoi Oboro les déteste autant. (Accessoirement, on a le retournement de veste très bien fait de Nobu Nobu, même s'il est toujours détesté par les amis de Sho-chan).
Mon avis SPOIL:  On apprend que Nobume est la toute dernière disciple de Shouyou qui lui a donné des cours pendant qu'il était en prison. D'ailleurs, je le dis dans mon avis de l'arc précédent mais elle devait avoir 8 ans tout au plus(vu que Shouyou est mort il y a 10 ans), mais elle a le même corps et la même tête que lorsqu'elle rencontre Isaburo(à 14 ans). Donc c'est pour moi, une bonne incohérence.
Ensuite, on apprend qu'Oboro est le premier disciple de Shouyou et que s'il s'en ait pris autant aux autres disciples, c'était par jalousie. C'était aussi parce qu'il espérait pouvoir récuperer son maître en l'exécutant. Il était obligé de servir Utsuro car Shouyou lui a donné son sang pour le sauver. Cependant, j'aurai aimé que les disciples de Shouyou (sans Nobume, vu que je ne la considère pas comme telle) nouent ou renouent des liens avec Oboro. Gintoki, Katsura et Takasugi sont comme des frères adoptifs vu qu'ils ont suivi la même figure paternelle, Shouyou, et qu'ils ont grandi ensemble. C'est aussi le cas pour Oboro qui même s'il n'a pas grandi avec eux, les voit comme des petits frères. Dans l'anime, c'est dit clairement qu'Oboro va avoir des petits frères et lorsqu'il perds son combat, il confirme la force de son petit frère Takasugi. Il me semble, qu'en retour Takasugi parle de lui comme un grand frère/senpai et désire l'amener se reposer auprès de leur maître. Pour Nobume, c'est différent. Je ne la considère pas comme une véritable disciple car elle a déjà une figure paternelle dans la personne d'Isaburo.  
67ème arc/66ème arc:  Les derniers Samurais (ou Silver Soul Part 1)
Le dernier arc du manga. Après la révélation sur Utsuro et le départ des Yorozuya pour l'espace, Kabuki est attaqué, une guerre interplanétaire va arriver ? 
Chapitres: 597-669(74 chapitres)
Episodes: 342-361(19 épisodes) 
Mon avis:  C'est le début de l'arc final. On voit tous les personnages de Gintama se battre ou contribuer puisque qu'Edo (principalement Kabuki) est attaqué. Il y a des combats de folie et des morts comme dans les arcs précédents. Certains ont reproché le fait qu'on se concentre beaucoup sur la bataille dans l'espace mais on a aussi beaucoup la bataille sur Terre, les deux sont reliées et nécessaires. On apprend des choses comme la formation du Kiheitai, le passé de Hedoro et l'identité d'Elizabeth (le régulier, on avait seulement appris l'identité de celui de lundi). On revoit tous les personnages même ceux qu'on a un peu oublié. Les seules choses que je trouve dommage, c'est la fin... C'était sympa de voir le shinsengumi se battre contre Utsuro mais ils n'ont aucun rapport avec cette histoire, ils ne savent même pas qui il est...Cela aurait été mieux si ça avait été Gintoki, Katsura et Takasugi qui se seraient battus contre lui. Ils ont été entrainé pour combattre Utsuro !
Sinon, dans l'anime, j'ai beaucoup aimé le combat de l'espace contre Shouen, avec d'abord Katsura et Sakamoto, puis Takasugi qui vient se battre à leur côté et qui donne le coup final (avec difficulté). Quand Katsura et Sakamoto montrent qu'ils ne se battent pas seulement avec leur technique de combat mais aussi avec leur tête.  Mais dans le manga, ce combat est différent. Katsura et Sakamoto ne servent quasiment à rien et c'est Takasugi qui les sauve...Je préfère clairement la version anime, c'est plus cohérent que Katsura et Sakamoto soient assez forts pour battre le prince, même s'ils ne sont pas les personnes qui donnent le coup final.
Le combat final contre Utsuro est excellent malgré tout, c'était sympa de voir tout le monde (Yorozuya, Shinsengumi, Umibouzu, Kamui et sa division de yato) se battre contre Utsuro. Puis, le moment avec Sadaharu est tellement triste.  
Bref, je trouve cet arc très bien, pas excellent car il aurait pu faire mieux mais très bien quand même. 
68ème arc/67ème arc Silver Soul 2
Après la grande bataille de Edo, les Yorozuya se sont séparés. 2 ans après, on apprend ce que sont devenus les personnages mais aussi que l'histoire avec Utsuro/Shoyo n'est pas terminé. Une nouvelle menace s'est levée et les élèves de Shoyo, les Yorozuya et le Shinsengumi vont devoir y faire face. 
Chapitres: 670-704
Episodes: 362-367(6 épisodes) + 2 OAV(Semi-Final) + Film The Final 
Mon avis:  Je ne sais pas si on peut mettre cet arc à part de l'arc ci-dessus mais il y a quand même une ellipse, donc je le considère comme un nouveau. C'était drôle mais émouvant et même triste. Gintoki est parti de son côté et ça fait bizarre de le voir plus calme même s'il redevient petit à petit lui même quand il revient. Tout le monde a un peu vieilli et c'est vraiment étrange mais c'est normal quand il y a une ellipse.
Ci-dessus, je disais que je voulais que ce soit les disciples de Shoyo réunis qui le combattent et ça a été le cas.  Et puis, Katsura a toujours été mis de côté quand il s'agissait de leur maître par rapport aux deux autres. Mais dans celui-ci, il a un peu plus d'importance et est mis à égalité avec les 2 autres disciples. La chose qui me gène un peu même si c'est tout à fait normal, c'est que Kagura ait grandi. Je préfère la Kagura de 14 ans, ça me fait bizarre de la voir à 16 ans. Sinon, c'est un peu le chaos à la fin notamment dans l'anime.
SPOIL: Je ne pensais pas que la mort de Takasugi me ferait de la peine mais finalement, je m'étais attachée à lui puis il a fait amende honorable avec ses "frères". Pour le combat final, c'est assez étrange: Utsuro se multiplie, devient Shoyo, puis Takasugi. De ce fait, on ne sait plus qui se bat. Le combat entre Gintoki et Utsuro/Takasugi est un peu bizarre et flou. Sinon, un autre point négatif dans l'anime, c'est qu'ils ont enlevé le moment où Gintoki, Katsura et Takasugi se retrouvent, on les voit directement courir et arriver au Terminal pour rejoindre Utsuro/Shoyo. Bref, mis à part quelques points négatifs, c'est une très bonne fin. J'aime le fait que ce soit une fin ouverte ce qui donne l'occasion de penser à une suite. J'aimerai bien une suite courte par rapport à la famille biologique de Gintoki qui expliquerait aussi pourquoi il est si fort alors que c'est sensé être seulement un humain normal. 
Pour les derniers arcs, je ne donne pas mon avis en détail car il y aurait beaucoup trop de choses à dire et surtout même dans mes avis spoil, je ne veux pas trop en dire non plus. 
Sources: Anime-ultime, Yorozuya-Souls, Wikia
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marciamattos · 10 months ago
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Un enterrement à Ornans est un tableau peint par Gustave Courbet entre 1849 et 1850. Le peintre avait 33 ans lorsqu'il réalisa cette œuvre de grandes dimensions qui fut l'objet d'une violente polémique lors de sa présentation au Salon de peinture de 1850. On a alors reproché au tableau sa vulgarité et les critiques ont accusé Courbet de peindre « le laid », « le trivial » et « l'ignoble ». L'Enterrement à Ornans devient vite une œuvre manifeste du réalisme dont Courbet fut le chef de file ; un peintre engagé pour l'Art mais aussi pour la République.
Le contexte historique
Courbet achève Un enterrement à Ornans en 1850, à une période charnière pour l’histoire de France comme pour l’histoire de l’art moderne. Louis-Philippe a été destitué en 1848, et en décembre 1848, Louis-Napoléon Bonaparte, futur Napoléon III, a été élu président de la république.
En 1850, dans cette époque sensible au contexte social, les artistes ne se rangent pas forcément aux côtés de la classe ouvrière et de son combat (Courbet participera à la Commune seulement en 1871) mais ils se détachent de la bourgeoisie qui rejette les nouvelles formes d’art. L’artiste véritablement novateur tend à s’isoler et à se marginaliser : après la Bohème, forme de vie aléatoire mais libre des artistes romantiques, la deuxième moitié du xixe siècle voit l’apparition de l’image de l’artiste maudit, qui n'est plus au service des institutions et des pouvoirs en place comme auparavant, et qui n'est compris que par une petite élite intellectuelle et artistique.
La scène
Ornans, la ville natale de Gustave Courbet, est une petite localité de 4 000 habitants située à 25 km de Besançon dans le Doubs en Franche-Comté. Dans le tableau, on retrouve en arrière-plan les caractéristiques du paysage de la région : des falaises calcaires qui encadrent les méandres encaissés de la Loue (un affluent du Doubs qui traverse la ville d'Ornans).
À partir de la Révolution, du fait du nombre croissant de morts, l'exiguïté des sites entraîne l'exurbanisation des cimetières, traditionnellement implantés autour de l'église du village. À Ornans, la population s'est opposée à ce transfert pendant des décennies et il faut attendre septembre 1848 pour qu'un nouveau cimetière hors du village soit inauguré. Dans le tableau c'est précisément dans ce nouveau cimetière à l'écart de la ville que se déroule l'enterrement. De plus, les personnages regroupés masquent les autres tombes et les murs du cimetière, ce qui nous laisse penser que la fosse a été creusée au milieu de nulle part. Le peintre fait figurer la scène à un moment précis : le convoi vient d'entrer dans le cimetière et s'est scindé en trois groupes (les officiants, les hommes et les femmes).
Les personnages
Les 27 personnages pressés en double rang sont tous des habitants d'Ornans que Courbet avait fait poser un à un dans son atelier. Comme à l'église, les hommes (à gauche) et les femmes (à droite) sont séparés. Les hommes portent des costumes noirs et plusieurs d'entre eux un chapeau haut de forme. Les femmes quant à elles portent des coiffes blanches et des capuches noires ; plusieurs d'entre elles tiennent un mouchoir blanc dans la main et pleurent le mort (la description suivante est issue des données des archives municipales et des actes notariés).
Courbet, Un enterrement à Ornans schéma personnages.jpg
Les individualités
Le curé (10) : habillé en grande pompe, il porte le costume funèbre et lit les textes de son bréviaire (livre liturgique contenant les prières à lire chaque jour par les prêtres) qu'il tient à la main. Il fait face au révolutionnaire de l'autre côté de la fosse.
Le fossoyeur (13) : Antoine Joseph Cassard, fils de cordonnier et paysan pauvre, a posé sa veste et son bonnet de laine sur les bords de la fosse qu'il vient de creuser comme l'indique la couleur de la terre. Il attend l'arrivée du cercueil et pose un genou au sol. Si son regard, à mi-hauteur de la toile, tourné vers le groupe des « officiants de l'au-delà » et de la haute croix, nous entraîne vers l'univers spirituel de la cérémonie, le reste de son corps tourné vers la fosse nous attire vers le « monde d'en bas » et sa réalité : l'ensevelissement du cadavre.
Les ensembles de personnages
Les quatre porteurs : ils sont munis de gants blancs, de tenues noires et de grands chapeaux à bords ronds. Ils soutiennent le cercueil entouré d'un drap blanc et détournent leurs visages du mort (à la campagne, on exposait le corps plusieurs jours avant l'enterrement et la pestilence des morts est peut-être évoquée ici par le peintre). Ce sont probablement un artisan cordonnier (1), un propriétaire cultivateur-rentier (2), un musicien (que l'on retrouve dans la toile Après dîner à Ornans) (3), et un propriétaire (4). Ces deux derniers sont des amis de Courbet.
Les cinq sacristains : ils se tiennent en arrière du curé, à gauche du cercueil et sont vêtus de blanc. L'un d'entre eux est le porte-croix ; c'est un propriétaire-vigneron (7). Les deux autres en (5) et (6) sont respectivement un musicien et un artisan cordonnier. À l'extrême gauche de la toile derrière les porteurs est peut-être représenté le grand-père de Courbet décédé un an plus tôt (il n'est pas visible ici). Le groupe des sacristains est « relié » au ciel par la croix qui surmonte la foule et les falaises en arrière-plan.
Les deux enfants de chœur : le premier (8) lève la tête vers le porteur, dont il vient de toucher le chapeau avec son cierge. Le second (9) au premier plan porte le vase d'eau bénite.
Les deux bedeaux : employés laïcs d’église, ils s'assurent du bon déroulement des cérémonies religieuses. Celui de gauche (11) est un vigneron aisé tandis que celui de droite (12) est un cordonnier modeste. La couleur rouge de leur costume et de leur toque les fait sortir tout droit d'une toile italienne du bas Moyen Âge, cependant on a retrouvé dans la sacristie de l'église d'Ornans une de ces toques.
Le groupe des hommes : au premier plan les bourgeois et notables, un juge de paix (14), le maire d'Ornans Prosper Teste (15), un ancien gendarme devenu prêteur sur gages tenant un mouchoir à la main (17) et un meunier enrichi (19) ainsi qu'un avocat (20), ami de Courbet. Au second plan figurent deux amis d'enfance du peintre : un rentier célibataire (16) et un bourgeois aisé (18).
Les deux révolutionnaires : ils portent le costume porté par les révolutionnaires entre 1792 et 1793 (c'est-à-dire au moment de la Première République) soit un demi-siècle plus tôt. Nous sommes en 1849 et Courbet a assisté à l'avènement de la Deuxième République en 1848. Le premier (21) porte des guêtres blanches et le second au premier plan (22) des bas bleus. La main tendue vers la fosse, ce dernier semble officier en même temps que le curé en face de lui. Ce face-à-face incongru entre la République et l'Église est à mettre en lien avec l'engagement politique de Courbet qui sera un partisan de la Commune de Paris en 1871.
Le groupe des femmes : En tête du cortège au premier plan sont représentées les femmes de la famille de Courbet. Sa mère (23) et trois de ses sœurs (24)-(25)-(26). La petite fille à l'extrême droite du tableau (27) est une petite cousine de l'artiste.
La religion et la mort
Dans Un enterrement à Ornans se mêlent conjointement les thèmes de la mort et de la religion à travers l'enterrement, un rite funéraire occupant une place fondamentale car il soude dans le chagrin la communauté villageoise. Au-delà du rite religieux en lui-même, l'univers de l'œuvre est chargé de symboles ayant des liens avec la religion et la mort.
Ainsi, une tradition apocryphe indique que « lors de l'agonie du Christ, la terre trembla, se fissura et fit jaillir le crâne d'Adam enfoui depuis des millénaires ». Courbet a justement représenté un crâne dans le tableau, à droite de la fosse. On retrouve ce crâne symbolique dans Hamlet et Horatio au cimetière peint par Delacroix en 1839, seulement dix ans auparavant. Ce même crâne, ainsi que les os croisés et les larmes sur le drap mortuaire, signifient que « l'initié va renaître à une nouvelle vie ». S'agit-il d'une vanité ou une allusion à l'univers de la Franc-maçonnerie (Courbet ferait référence à la sourde et secrète tradition maçonnique à Ornans) ? Le chien, quant à lui, alimente aussi l'univers symbolique. En effet, dans de nombreuses sociétés, l'animal accompagne l'homme dans l'au-delà et est souvent présent lors des cérémonies sacrées (dans l'Égypte ancienne ou chez les Incas par exemple).
La facture du tableau
Courbet a réalisé son tableau dans le grenier de la maison familiale d'Ornans qui lui servira d'atelier pour de nombreuses autres toiles (dont L'Atelier du peintre en 1855). Du fait de la pente du toit, Courbet doit peindre sur une partie de la toile tandis qu'il enroule les parties droites ou gauches précédemment réalisées. On distingue également les coutures qui divisent la toile en trois tiers de haut en bas. Il dit à ce sujet : « Il faut être enragé pour travailler dans les conditions où je me trouve. Je travaille à l’aveuglette ; je n’ai aucune reculée. Ne serai-je jamais casé comme je l’entends ? Enfin, dans ce moment-ci, je suis sur le point de finir 50 personnages grandeur nature, avec paysage et ciel pour fond, sur une toile de 20 pieds de longueur sur 10 de hauteur. Il y a de quoi crever. Vous devez imaginer que je ne me suis pas endormi. »
La préparation de la toile
On trouve du blanc (de plomb) à grain épais qui donne une teinte d'ambre brûlé, devenue apparente lorsque les couches de peintures ont séché. Cette technique a assombri le tableau et a atténué les tons froids (les mains et les visages ont été réalisés au pinceau et soulignés au bistre (couleur brun-noirâtre préparée à partir de la suie) par des traits apparents.
Les zones indéterminées du premier plan (sol, terre) et de l'arrière-plan (ciel, falaise) ont probablement été réalisées au couteau.
L'omniprésence du noir et du blanc
Le noir ne forme pas une masse uniforme mais il présente au contraire des nuances charbonneuses ou bleutées. Les notes violentes de blanc s'y opposent : les draps des porteurs, les surplis du porte-croix, la chemise du fossoyeur, les bonnets et les mouchoirs des femmes ainsi que le chien blanc tacheté de noir au premier plan.
Le satin bleuté du drap mortuaire, qui n'est pas noir ou violet comme le veut la tradition, est une nuance particulière. Courbet a utilisé ce drap de satin blanc pour « rattraper » un déséquilibre majeur dans la toile entre les blancs minoritaires et les noirs qui dominaient.
La palette de couleur
Outre le noir et le blanc, des touches de couleurs vives ponctuent la toile. Le rouge vermillon des bedeaux et des enfants de chœur, Le jaune cuivré du vase du crucifix (le « vase » est la boule inférieure du support du crucifix), le vert olive de la blouse sur laquelle le fossoyeur est agenouillé, les bas bleus, la culotte verte, la redingote grise et le gilet brun du révolutionnaire forment une « phrase colorée » qui traverse la toile et contraste avec le triste évènement qu'est l'enterrement.
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de-gueules-au-lion-d-or · 1 year ago
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Qu’est-ce que l’armée depuis l’Antiquité ? C’est une institution quasi religieuse, avec son histoire propre, ses héros, ses règles et ses rites. Une institution très ancienne, plus ancienne même que l’Église, née d’une nécessité aussi vieille que l’humanité, et qui n’est pas près de cesser. Chez les Européens, elle est née d’un esprit qui leur est spécifique et qui, à la différence par exemple de la tradition chinoise, fait de la guerre une valeur en soi. Autrement dit, elle est née d’une religion civique surgie de la guerre, dont l’essence tient en un mot, l’admiration pour le courage devant la mort.
Cette religion peut se définir comme celle de la cité au sens grec ou romain du mot. En langage plus moderne, une religion de la patrie, grande ou petite. Hector le disait déjà à sa façon voici trente siècle au XIIème chant de l’Iliade, pour écarter un présage funeste : « Il n’est qu’un bon présage, c’est de combattre pour sa patrie » (XII, 243). Courage et patrie sont liés. Lors du combat final de la guerre de Troie, se sentant acculé et condamné, le même Hector s’arrache au désespoir par un cri : « Eh bien ! non, je n’entends pas mourir sans lutte ni sans gloire, ni sans quelque haut fait dont le récit parvienne aux hommes à venir » (XXII, 304-305). Ce cri de fierté tragique, on le trouve à toutes les époques d’une histoire qui magnifie le héros malheureux, grandi par une défaite épique, les Thermopyles, la Chanson de Roland, Camerone ou Dien Bien Phu.
Dominique Venner
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ditesdonc · 1 year ago
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Mademoiselle Perceval
Texte écrit par Pauline LAROCHE-VACHAUD
Dans l'ouvrage Il était une fois Trept, on trouve quelques phrases, presque anodines, traversées par ce nom tout droit sorti d'un monde de chevaliers. Puis l'on passe… Page suivante, chapitre suivant... A moins d'entendre parler celle ou celui qui l'a côtoyée. Alors on est saisi. Par la modernité, la pugnacité, le courage, l'obstination, le romanesque, même, de cette jeune femme, inconnue parmi les Justes – et pourtant... Une jeune institutrice, tout juste 25 ans, dans une petite école de campagne, aux prises avec les tourmentes de l'Histoire. Une femme en corsaire, ongles des pieds et des mains peints. Comprendre : en ce temps-là, en ce lieu-là, diablement pas comme tout le monde, déterminée, libre. Une femme qui n’a guère parlé, semble-t-il, de ses activités pendant la guerre. Or, cette humble maîtresse d’école était en lien avec des Russes devenus Salagnards d'adoption : un officier du Tsar – Michel Roubtzoff –, qui, catapulté en France suite à la Révolution de 1918, avait pris sous son aile Paul et Léon Lositsky. Ces derniers étaient les enfants de l’officier Franzevitch Lositsky, s'avéraient lointains parents, par leur mère - une Pavlona - du Tsar lui-même, et se retrouvaient exilés en France pour les mêmes raisons. Au gré d’autres tourmentes de l’Histoire, et par l’entremise d’un certain Michoud, directeur de banque parisienne, ils avaient atterri dans un Château du Nord-Isère, à Salagnon. Or, Mademoiselle Suzanne Perceval était proche de ces « Russes blancs » qui, pour aristocrates fortunés et pour militaire tsariste qu’ils étaient, avaient néanmoins choisi le chemin de la Résistance. Comme elle, sans doute. Avec elle, sans doute. Elle qui annoncera à ses élèves, très émue, la mort d’un de ces hommes lors des combats de la Libération de Bourgoin, en août 1944…
Une question se pose sérieusement, bien sûr : ces lignes peuvent-elles être une trahison de son silence ? Nous n’irons pas fouiner. Notre seul désir : écouter les souvenirs vibrants qu’elle a laissés chez celles et ceux qui sont encore présents pour en parler, et faire vivre, autant que possible, son humanité à toute épreuve.
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sofya-fanfics · 1 year ago
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Qui t’a fait ça ?
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Fandom : Naruto
Relationship : Sasuke x Sakura
Voici ma participation pour le Sasusaku Month 2023 pour le prompt : Qui t’a fait ça ?
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Sakura, pensa Sasuke en se redressant malgré la douleur. Que lui était-il arrivé ? Est-ce qu'elle allait bien ? Il regarda autour de lui et il la vit. Son sang ne fit qu'un tour lorsqu'il vit son état. Il se leva. Il ne ressentait plus la douleur mais une rage comme il n'en avait jamais ressenti auparavant.
Disclaimer : Naruto appartient à Masashi Kishimoto.
@ssmonth23​
AO3 / FF.NET
Sasuke ouvrit lentement les yeux et grimaça. Il avait mal partout et il avait l'impression que tout son corps était en feu. Jamais il n'avait ressenti une telle douleur. Il devait se battre de toutes ses forces pour ne pas perdre à nouveau connaissance. 
Il se concentra sur les bruits autour de lui. Il entendit des kunaïs qui s'entrechoquaient, des bruits de coups, des bruits de combats. Il se souvint qu'il était entrain de passer l'examen de chunin. Il était dans la Forêt de la Mort pendant la deuxième épreuve. Il s'était fait mordre par cet homme, Orochimaru, qui ressemblait à un serpent. Naruto était inconscient et Sakura... 
Sakura, pensa-t-il en se redressant malgré la douleur. Que lui était-il arrivé ? Est-ce qu'elle allait bien ? Il regarda autour de lui et il la vit. Son sang ne fit qu'un tour lorsqu'il vit son état. Elle avait des bleus et des égratignures sur le visage, les bras, les jambes. Elle avait un œil au beurre noir qu'elle arrivait à peine à ouvrir et ses cheveux avaient été coupé.
Il se leva. Il ne ressentait plus la douleur mais une rage comme il n'en avait jamais ressenti auparavant. Peut-être était-ce à cause de cette morsure qui lui avait été affligé. Il n'arrivait plus à réfléchir. Tout ce qu'il voyait, c'était Sakura et l'état dans lequel elle était. Il s'approcha d'elle. 
« Sakura, qui t'a fait ça ? »
Elle n'avait pas besoin de répondre. En voyant les trois genins du son, il comprit que c'était eux les responsables. La colère, non, la rage qu'il ressentait était de plus en plus forte. Il voulait les faire souffrir avant de les tuer. Leur arracher les membres, leur broyer les os. Il n'arrivait plus à se retenir. Il ne se contrôlait plus. Il ne s'arrêtera pas tant qu'il ne les aura pas tué tous les trois. Il se sentait comme un monstre assoiffé de sang.
Soudain, quelque chose l'arracha de sa rage. Sakura l'appela et passa ses bras autour de lui. Elle avait peur et elle tremblait, mais elle ne le lâcha pas. Est-ce qu'elle avait peur de lui ? De ce qu'il était entrain de devenir ? Il se concentra sur ses bras autour de lui, sur son souffle saccadé sur sa nuque, sur les battements de son cœur qui battaient beaucoup trop vite.
Sa rage disparut petit à petit. Il se concentrait sur Sakura et uniquement sur Sakura. Il prit alors conscience de ce qu'il était entrain de faire. Quelque chose n'allait pas et il savait que c'était à cause de cette morsure. Il posa sa main sur celle de Sakura et la serra de toutes ses forces. Il avait l'impression que s'il la lâchait, il perdrait à nouveau pied.
Quelle ironie, pensa-t-il. Il avait voulu la sauver, mais c'était elle qui était entrain de le sauver. Au moins, elle était près de lui et ces trois genins ne lui feraient plus de mal. C'était tout ce qui comptait.
Fin
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rayondelun3 · 1 year ago
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Quand tu roule le shit tu positionnes tes mains comme si tu allais prier. Et tu frottes, tu roules, t'étales et tu sépares tes petites boules.
Le verre à droite ;
unknown
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La Monster à gauche. Tu comprends qu'il n'y a que comme ça que je peux écrire et fumer une substance amer.
Je tousse, je bois une gorgée, c'est très chargé mais je n'ai pas fermé l'œil de la nuit. C'était pourtant le deuxième.
J'ai trop tiré, je sais que je tire trop, je tire sur tout.
Assise par terre j'écris des trucs :
Dans mes rêves j'ai le Death Note ; classe de 3e, Mael t'es mort, c'est toi qui meurs en premier. Ensuite Hugo te rejoindra en enfer, en tout cas j'espère que c'est au moins là bas que vous finirez parce que le karma ne se montre pas - et si je devenais le karma ?
Ce serait au moins autant la merde qu'ici parce que même sous coc, sous shit, sous substances, je pense à vous et à tous les autres. À ce que vous m'avez fait endurer toutes ces années. C'est fini mais ça tourne de temps en temps comme un disque rayé dans ma tête, une partie est voilà, peut-être la pire, peut-être la boucle d'oreille que j'aimais tant que tu m'as arraché en même temps que ma culotte blanche.
J'aimerais vous enterrer vivants pour que vous compreniez ce que ça fait. Vous regarder supplier, répéter non non arrête et ne pas m'arrêter.
Parce que ma vie est extrêmement difficile à cause de vous et tous les autres, je ne suis pas encore libre mais je fais tout pour me libérer. Je me battrai encore s'il le faut.
Je ne vous laisserai plus jamais gagner.
Ma vie est un combat, je lutterai jusqu'à la mort et savourait comme si j'allais mourir la seconde suivante chaque instant de bonheur que la vie m'accordera.
Et vous, les hommes monstres, les hommes qui n'aiment pas les femmes, si vous ne changez pas, mourrez.
Vous ne réussirez pas non plus à diviser les femmes entre elles, même mon ennemie je la défendrai de vous. Monstres répugnants.
Mortellement votre ;
- Lisa.
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clemjolichose · 2 years ago
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you won't have to hide away - partie 3
Fandom : Nassau : la nuit des canons
Pairing : Anne Bonny x Mary Read, Jack Rackham x Stede Bonnet, Charles Vane x Lucy Greenwood
Nombre de mots : 716 mots
Avertissement : Violence, mort
Résumé : Qui est ce mystérieux personnage venant au secours de la fugitive ? Quelles sont ses motivations ? Serait-il un allié ?
Note d’auteurice : Vous pouvez aussi lire ce texte sur Wattpad ou AO3 ! Cette fanfiction, basée sur une comédie musicale indépendante, a plus d'un an et je suis fièr-e de vous la partager enfin !
Partie : 3/11 - Le Démon de Nassau
Partie 1 | Partie 2
Chanson : Run Boy Run de Woodkid
Le tintement du métal semblait effroyable dans le silence de la forêt. Mary se leva dès qu'elle put, avec la volonté d'aider quiconque l'avait sauvée. Elle se battit ainsi contre le corps de chasse de Calico, au côté d'une personne qu'elle n'avait encore pu voir. Mais le combat ne fut pas long puisque pour une obscure raison, Woodes Rogers fit battre les hommes en retraite. Stede Bonnet se tenait à ses côtés et venait de lui murmurer à l'oreille - c'était sûrement ce qui l'avait dissuadé de mener bataille. Tant mieux. Mary s'étira, sa chute ayant été douloureuse, et se tourna vers le mystérieux inconnu- la mystérieuse inconnue, à vrai dire. "Anne Bonny, lança Bonnet. Où est ton maître ? Il doit être perdu sans son soutien moral... -Oh, t'as pas un thé à siroter le petit doigt levé en léchant les bottes de la Navy ? répliqua la susnommée du tac au tac. T'es sur mes terres, et tu le sais très bien, alors dégage tes sales pattes d'ici avant que je ne déclenche un incident diplomatique." Le roi leva les mains en signe d'apaisement et récula doucement. Comme Rogers ne faisait pas de même, il le tira. "Je préfère ça." Anne Bonny rangea sa lame. Un dernier regard, et elle fit volte-face pour rejoindre son propre royaume. Mary Read la suivit en boitant, à cause de sa blessure, et tenta d'attirer son attention. "Eh ! Merci, pour- pour m'avoir défendue face à eux. -Je défends surtout mon territoire. La Navy n'a aucun droit sur Nassau, répliqua Anne avec énervement." Puis elle regarda Mary de la tête aux pieds. "Sympa le déguisement. T'as l'air d'avoir les épaules d'une pirate, dommage que t'en ai pas le nom. -C'est quoi le problème avec mon nom ?! -Mary Read ? C'est pas un nom de pirate ! -Et Anne Bonny alors ?!" Mary était vexée, et Anne ne faisait que rire. La première se relaxa tout de même, apaisée de sentir sa bienfaitrice aussi détendue et amicale auprès d'elle. Elle avait vraiment cru qu'elle allait tuer ce Stede Bonnet d'un regard...
Anne Bonny invita Mary dans la forteresse de Nassau, qui était à peu près le seul bâtiment se tenant sur les terres de Nassau, mais elle était bien remplie : des pirates en tout genre et de tous genres l'habitaient, bien que le port semblait bien vide. Nassau était pauvre et en difficulté, à côté de la resplendissante Calico, ou du troisième royaume de l'île, plus menaçant : La Vanerie. Les deux jeunes femmes traversèrent la place du marché, au sein de la forteresse, et se rendirent dans une taverne appelée Le Goulot des Sirènes. Encore une taverne, pensa Mary. À l'intérieure, elles saluèrent la propriétaire qu'Anne présenta brièvement : "Lucy Greenwood, la maman de tout le monde ici." Ladite Lucy sourit en saluant Mary. Elle avait un regard perçant, comme si elle pouvait percer tous les secrets d'une personne par sa simple vision. Et elle semblait déjà en voir long. Mary était un peu mal à l'aise de cette contemplation insistante, mais ne dit rien. De toute manière, Anne était en train d'expliquer sa bien mauvaise situation et en deux temps trois mouvements, Mary se retrouva à l'abri des regards, dans une chambre, sans pantalon, Lucy soignant sa jambe. Les crocs ne s'étaient pas enfoncés trop profondément et la blessure avait cessé de saigner pendant sa marche jusqu'à la forteresse, mais la propriétaire de la taverne semblait tout de même inquiète. "Anne m'a dit que c'est un chien de chasse de Bonnet qui t'a fait ça..." Elle se faisait étrangement plus douce que lorsqu'elle était derrière son bar. Mary pouvait voir pourquoi on disait d'elle qu'elle était la maman de tout le monde. Elle hocha la tête. "Que s'est-il passé ? -J'étais prisonnière de la Navy et- -Oh mon Dieu, Lucy la coupa-t-elle. C'est eux qui ont dû partir à ta recherche avec l'aide des chiens de chasse de Bonnet. -C'est ça, oui. Il y avait ce corsaire, Woodes Rogers." Lucy soupira. "Une chose est sûre, il ne te lâchera pas de sitôt. Mais ne t'en fais pas, Nassau te protégera." Elle sourit doucement en terminant de bander la jambe de Mary. "Et voilà, évite de marcher pendant deux-trois jours et tu seras sur pied en un rien de temps ! -Merci madame Greenwood- -Oh appelle-moi Lucy, la coupa-t-elle encore." Les deux femmes sursautèrent en entendant des cris au rez-de-chaussée. "Reste là." Lucy sortit précipitamment de la chambre.
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alexar60 · 1 year ago
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Corbeaux
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C’était une nuit calme et douce. Pourtant, je n’arrivais pas à dormir. Je pensais à cette bataille prévue le lendemain. Je savais qu’elle ne serait pas facile car l’ennemi est vicieux, fourbe et revanchard. Leurs guerriers sont connus pour être belliqueux, et ils n’ont pas peur de la mort.
La porte de ma tente s’ouvrit laissant apparaitre une silhouette féminine. J’aperçus, derrière elle, un feu crépiter autours duquel trois légionnaires trouvaient de la chaleur.
Marcus, tu dors ?
Je relevai légèrement la tête pour observer la jeune femme. Macha était une très belle femme brune au teint blanc. Je l’avais rencontré dans d’étranges circonstances. Après un énième combat, j’étais parti m’isoler près d’un lac. J’étais fatigué, alors, je m’allongeais dans une herbe grasse. Je sentais ce court soleil du nord de l’ile de Bretagne réchauffer mon visage en pensant quitter la légion. Tout-à-coup, le soleil disparut caché par un ombre venue de nulle part. Macha me faisait face. Son corps ferme et harmonieux se dessinait légèrement sous une longue robe blanche. Elle me sourit avant de dire:
Ainsi, c’est donc toi !
Je restai abasourdi par la beauté de cette calédonienne. De plus, je fus intrigué d’entendre une voix féminine parler un parfait latin. Nous discutâmes de ce qu’elle voulait dire par cette phrase. Sa réponse me surprit encore plus :
Tu es celui que je dois prendre soin. Avec moi tu connaitras la gloire et la richesse à condition que tu ne parles jamais de moi.
J’acceptais son pacte et depuis, je ne sais comment elle entre et sort du camp, sans être remarqué par les légionnaires. Elle entre comme ce soir, se couche auprès de moi. Nous discutons de tout sauf de la guerre. Nous faisons l’amour puis elle part avant le lever du soleil.
Cette nuit, je regardais sa robe blanche glisser le long de ses hanches. Elle approcha, releva les couvertures et se colla contre moi. Elle me laissa l’aimer. Je sentais ses cuisses me serrer m’incitant à m’enfoncer en elle. Ses ongles lacéraient mon dos. Ses yeux me regardaient avec passion. Sa bouche me réclamait. Elle aimait que je l’aime. Puis, après un long râle de plaisir, nous restâmes exténués. Je repris mon souffle pendant elle reposait sa tête sur mon épaule.
La bataille de demain sera terrible. Les dieux ont décidé de s’en mêler, murmura-t-elle.
Serais-tu une espionne ? demandai-je. Dans ce cas, je serai obligé de te faire arrêter et torturer avant de te condamner à la crucifixion.
Je cours trop vite pour que tu me rattrapes, affirma-t-elle en riant.
J’accompagnais son rire dans demander d’explications. Je ne me sentis pas m’endormir. A mon réveil, Macha avait une nouvelle fois disparu. Mon aide de camps entra alors que j’étais toujours couché. Il annonça que la légion était prête. Soudain, il ramassa quelque-chose au pied de mon lit. C’était une plume de corbeau.
Cela faisait une bonne heure que nous avancions dans une plaine déserte et encerclée de petites montagnes et de collines. Les hommes ne supportaient plus les moustiques qui suçaient leur sang. Ils marchaient à pas lent. Devant la cavalerie revenait lentement. Les chevaux appréciaient mal de galoper dans cette tourbe. Leur chef fit son rapport. Je m’étonnais d’apprendre qu’il n’y avait personne d’autre que nous.
Qui est cette femme, demanda un centurion en pointant son doigt.
En haut d’une colline, assise sur un rocher, une femme dansait avec des oiseaux. Elle écartait les bras imitant leurs ailes déployées. Elle semblait jouer avec eux. J’ordonnai qu’on envoie quatre hommes afin de la capturer pour obtenir de possibles renseignements. Je regardai les cavaliers se diriger vers la belle. Son comportement paraissait étrange, et déjà j’entendais autour de moi qu’elle était dangereuse.
Partout, il n’y avait rien d’autre que de la tourbe. Il n’y avait pas d’arbre, ni le moindre buisson. Cependant, à cause de l’atmosphère pesant, les hommes restaient sur le qui-vive. On pouvait sentir les tensions. Au loin, les éclaireurs étaient à quelques pas de la femme lorsque celle-ci se mit à chanter et à croasser.
Une nuée de corneilles s’envola avant de se jeter sur les quatre cavaliers. Ils chutèrent, hurlèrent sans arriver à se défendre. Les becs et les serres des oiseaux pénétraient et déchiraient leur chair. Le calme revint brusquement pendant que la sorcière dansait tranquillement. Un corbeau se posa sur son épaule. Son bec contenait un morceau de viande arrachée.
Cette scène mortifia les légionnaires. Ils demeurèrent muet devant tant d’horreur. Tout-à-coup, un cri provint de l’arrière, puis un second. La panique s’engouffra parmi les romains. On se débattait ! Des hurlements venaient de sous la terre. L’ennemi était avec nous. Il attendait patiemment enterré dans la tourbe, depuis le matin. Son chef avait jugé le bon moment pour sortir. En effet, nous n’avions pas la possibilité de s’organiser en bataille rangée.
Les pictes étaient pratiquement tous nus, le corps peint de bleu, certains en rouge. Ce qui voulait dire qu’ils ne feraient pas de prisonnier. Le combat fut rude et long. Je me battais au corps à corps. Je voyais mes hommes tomber, s’écrouler sous les coups de haches et d’épées de nos adversaires. Mais nous leur rendions la pareille.
La dame aux corbeaux dansait toujours avec ses oiseaux. Parfois, nous entendions des croassements, des chants venant de sa part. Elle encourageait les pictes à vaincre les soldats de la prestigieuse Rome. Finalement, nous prîmes le dessus. Nous arrivâmes à encercler la dizaine de survivants. De notre côté, je voyais des légionnaires exténués, fatigués. Nous avions perdu au moins la moitié de la légion. Alors, je me mis à parler.
Fiers guerriers de Rome ! Hier, Macha, la plus belle femme du monde m’avait annoncé la bataille serait terrible. Nous en avons payé le prix, mais aujourd‘hui, nous avons vaincu ! Merci Macha !
Les hommes se mirent à scander mon nom.et celui de Macha. Leurs voix résonnaient dans la plaine. La femme de la colline leva les bras et croassa soudainement. Dès lors, des milliers de corbeaux répondirent et j’eus l’impression que le sens de leur cri disait Macha. Nous restâmes surpris, puis tout-à-coup, des milliers de guerriers apparurent en haut des collines. Nous étions encerclés. Ils frappaient sur leur bouclier. Ils croassaient et criaient le nom de Morrigan. Ils hurlaient nous insultaient.
Dès lors, je réorganisais les centuries en trois rangs de chaque côté. Pendant ce temps, le reste de la cavalerie de chargeait des survivants de la première attaque. Le sang collait à mon plastron. J’en avais aussi sur les bras et le visage. Je restai au milieu des cohortes, attendant que les calédoniens chargent. Tout d’un coup, une voix douce susurra au creux de mon oreille.
Je t’avais prévenu de ne jamais parler de moi.
Je me tournai et remarquai au loin, sur la colline, une seconde femme à côté de la fameuse déesse Morrigan. Je reconnus sa longue robe blanche ainsi que ses longs cheveux noirs. Une larme perla sur sa joue. Elle baissa la tête. Brusquement, un corbeau noir atterrit sur mon épaule. Je restai statufié sans savoir quoi faire. L’animal se dressait avec fierté. Et au moment de croasser, les pictes se jetèrent dans la plaine en courant et hurlant le nom de Morrigan, la déesse de la guerre et du massacre.
Ce jour-là, elle fut comblée. Ses corbeaux ont été rassasiés par les milliers de morts jonchant la plaine.
Alex@r60 – août 2023
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lesgensdeslivreslisent · 23 days ago
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Les livres m’ont sauvé la vie, tous les livres. Je dévorais tout ce qui me tombait sous la main, incapable de faire le tri, aspirée par ces galaxies parallèles insoupçonnées. La littérature m’offrait le moyen de m’extraire de ma réalité en me conviant dans un ailleurs, un autrement à portée de regard, d’esprit. Je lisais et mon monde s’éclairait, mes yeux se dessillaient, ma sensibilité s’aiguisait. Je lisais et la nature me parlait un langage audible. Dans mon village, l’engoulevent est considéré comme un oiseau de malheur à l’origine de la mort des enfants à naître. Malgré cela, son chant rythmé, syncopé ensoleillait mes crépuscules car il annonçait des heures bénies de solitude où je pourrais, libérée des contraintes de la journée et du regard des religieux, me lancer à corps perdu dans mes marathons littéraires. Certaines nuits, incapable de refermer un livre, hypnotisée par les destins terribles de personnages imaginés par d’autres, je sentais plus que je n’entendais le presbytère endormi. Le cri silencieux des papillons de nuit dans leur combat perdu d’avance contre la lampe à pétrole, le craquement du bois dans la quiétude nocturne, le murmure du vent qui s’engouffre dans la toiture, enlace les poutres et les entraîne dans un ballet mystique, le coassement des grenouilles qui s’ébattent dans un ruisseau au loin, le hou-hou d’une chouette en chasse. J’étais là, en pleine conscience, et aussi dans la campagne anglaise où une vieille folle nourrissait de grandes espérances pour une orpheline recueillie par calcul, ou bien dans un casino de Paris aux côtés d’un jeune homme qui brûlait sa vie dans des jeux d’argent et finissait par la brader contre une peau de chagrin, ou encore dans l’hiver russe avec une jeune femme prénommée Anna, comme moi, qui abandonnait mari et enfant par amour pour un homme qui n’en demandait pas tant et de dépit se jetait sous un train parce que c’est comme ça, la vie comme les auteurs punissent durement les femmes qui aiment de guingois. Je notais des phrases éparses dans un carnet. Mes notes sont perdues, certains passages me restent en mémoire. Vronsky la regarda comme un homme regarde une fleur qu’il a arrachée. Dans cette fleur flétrie, il a peine à reconnaître la beauté à cause de laquelle il l’a cueillie et fait périr. Tant de mondes offerts en cadeau ! Ma petite chambre s’emplissait de fantômes : dames en crinoline, messieurs portant haut-de-forme, quais de gare bruyants, hommes perdus dans leurs pensées attendant près d’une rivière que morde la truite… Des univers pleins, riches, complexes qui n’appartenaient qu’à moi, ne parlaient qu’à moi, inventés dans la seule perspective de cette rencontre où la création d’un autre épouserait mon cosmos intime, s’arrimerait à mon âme dans une explosion de sensations, d’émotions inédites, intraduisibles. Puis venait l’aube que je reconnaissais à son parfum : dehors la nuit était complète, mais je pouvais sentir la brise déjà plus douce du matin à venir et l’odeur de la rosée sur l’herbe. Les étoiles une à une s’éteignaient, abaissant le rideau sur ma fenêtre de liberté. Je savais à l’instant près, comme informée par une horloge interne et infaillible, à quel moment les premiers coqs chanteraient. Il me faudrait me lever, faire ma toilette et préparer le petit déjeuner des religieux, attendre qu’ils aient fini de manger, faire la vaisselle, nettoyer la cour avant de me rendre au collège. Alors je hâtais ma lecture, encore une ligne, encore une phrase, laissez-moi aller au bout du paragraphe, du chapitre… s’il vous plaît, je suppliais le temps, mais mon corps connaissait ses devoirs.
Hemley Boum, Les jours viennent et passent
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christophe76460 · 1 month ago
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Je lis la suite du texte :
Quand Yéred fut âgé de 65 ans, il eut pour fils Hénoc. Quand Hénoc fut âgé de 65 ans, il eut pour fils Mathusalem. Après cela, Hénoc conduisit sa vie sous le regard de Dieu durant 300 ans et il eut d’autres enfants. La durée totale de sa vie fut de 365 ans. Hénoc vécut en communion avec Dieu puis il disparut, car Dieu le prit auprès de lui (Genèse 5:18-24).
Hénoc est comme la lumière au fond du tunnel. C’est à l’âge de 65 ans et après la naissance de son fils Mathusalem qu’il se mit à conduire sa vie sous le regard de Dieu. Rien d’autre n’est dit sinon qu’après 3 siècles il disparut, ravi, enlevé de ce monde. Dans un passage du Nouveau Testament, il nous est précisé ce qui s’est passé ; je le lis :
Hénoc a été enlevé auprès de Dieu pour échapper à la mort et on ne le trouva plus, parce que Dieu l’avait enlevé (Hébreux 11:6).
Quelle bouffée d’air pur ! Enfin un homme qui ne meurt pas. Il disparut remplace le morne refrain il mourut. Il est écrit qu’Hénoc vécut en communion avec Dieu, ce qui sera aussi dit de Noé, son arrière-petit-fils. Cet enlèvement miraculeux préfigure ce qui arrivera un jour aux disciples de Jésus-Christ, le jour où il reviendra pour établir son royaume sur terre.
Une fois, une petite fille est revenue du catéchisme et sa maman lui a demandé ce qu’elle avait appris ce jour-là. Alors, elle a répondu : On nous a raconté l’histoire d’Hénoc, c’est un homme qui au lieu de mourir a été enlevé par Dieu dans le ciel ; veux-tu que je te la raconte ? Mais bien sûr ! répondit la maman. Eh bien, voilà : chaque jour de grand matin, Dieu venait voir Hénoc et l’invitait à marcher avec lui. Avec le temps, Hénoc avait tellement de plaisir à se promener avec Dieu que chaque jour, il l’attendait au portail du jardin pour partir marcher avec lui. Un jour, Dieu lui dit : « Aujourd’hui nous allons faire une promenade encore plus longue que d’habitude, car j’ai beaucoup de choses à te dire ». Après avoir marché et marché toute la journée, il commençait à se faire tard et Hénoc était fatigué et proposa de rentrer à la maison. Alors, Dieu lui dit : « Hénoc, à présent nous sommes plus près de chez moi que de chez toi. Rentre donc chez moi ». C’est ainsi qu’après avoir marché avec Dieu, Dieu le prit chez lui. Fin d’une histoire bien mignonne.
On a coutume de dire qu’il n’y a que deux choses de certaines dans cette vie : les impôts et la mort. Pour ce qui est de payer son dû à César, certains arrivent à y échapper soit en magouillant, soit parce qu’ils sont vraiment démunis. Par contre pour ce qui est d’éviter le cimetière, c’est le chemin qu’un jour ou l’autre tout le monde emprunte, comme le dit si bien le roi Salomon que je cite :
L’homme n’est pas maître de son souffle pour le retenir et il n’a aucune puissance sur le jour de la mort ; il n’y a point de délivrance dans ce combat (Ecclésiaste 8:8).
Et pourtant, il y eut deux exceptions, deux hommes qui n’ont pas été mis en tombe. Le premier, Hénoc, est mentionné dans le chapitre 5 de la Genèse ; il est dit de lui :
Hénoc vécut en communion avec Dieu puis il disparut, car Dieu le prit auprès de lui (Genèse 5:24).
Le texte ne précise pas comment s’est passé cet enlèvement d’Hénoc par Dieu, alors, pourquoi pas l’histoire de la petite fille ? Hénoc est la 7e génération depuis Adam en passant par Seth, le fils cadet ; ses frères étaient Caïn et Abel qui fut assassiné. La Genèse décrit Hénoc comme un homme juste qui conduisit sa vie sous le regard de l’Éternel ; le Nouveau Testament dit de lui qu’il était agréable à Dieu.
Par comparaison, nous avons lu précédemment que la 7e génération depuis Adam de la lignée de Caïn est représentée par un nommé Lémek qui lui mène sa vie de manière opposée à ce que veut l’Éternel ; il est bigame et un assassin qui se vante du meurtre qu’il a commis. Dans la suite du texte de la Genèse, il ne sera plus question de Caïn et de sa descendance, mais seulement de la lignée de Seth qui fut le premier à invoquer l’Éternel.
D’après un passage du Nouveau Testament, Hénoc était un prophète qui vivait au sein d’une société dégénérée portée à faire le mal. Je lis le passage :
À eux aussi s’applique la prophétie d’Hénoc, le septième patriarche depuis Adam, qui dit : Voici le Seigneur va venir avec ses milliers d’anges pour exercer son jugement sur tous, et pour faire rendre compte à tous ceux qui ne le respectent pas, de tous les actes qu’ils ont commis dans leur révolte et de toutes les insultes que ces pécheurs sacrilèges ont proférées contre lui (Jude 1:14-15).
Une preuve supplémentaire que les hommes de cette époque étaient à peu près tous corrompus, est que le jugement du déluge est sur le point de frapper toute la race humaine. Finalement, de la descendance de Seth, il n’y a qu’une lignée qui est juste selon Dieu ; celle dont les principaux acteurs ont été mentionnés par le texte, qui passe par Hénoc et va jusqu’à Noé, son arrière-petit-fils. Ce dernier, comme chacun sait, est le constructeur de l’arche qui porte son nom.
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lepartidelamort · 1 month ago
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Paris : un cyclopathe explosé par un SUV.
Tsahal plaide un dommage collatéral.
Écraser les enculés de cyclistes à Paris est prescrit par la Torah.
Le Parisien :
Si chaque mort de cycliste relève du drame, le décès de Paul Varry, écrasé volontairement par un automobiliste ce mardi soir, apparaît comme un vrai coup du sort. « C’est ce contre quoi il se battait qui l’a tué », résume tristement Matthieu Bony, qui partageait avec Paul l’amour du vélo.
Ce mercredi soir, le parvis de la Madeleine n’a pas pu tous les contenir… Ils étaient plusieurs centaines de cyclistes à avoir rejoint le centre de la capitale pour rendre hommage à Paul, tué à quelques dizaines de mètres de là. Devant les grilles qui encerclent le monument, tour à tour, des cyclistes viennent déposer bougies ou fleurs. Une jeune femme ne peut pas retenir ses larmes. Au lendemain du drame, le besoin de se recueillir est fort pour les cyclistes de la capitale. « On aurait tous pu être à la place de Paul », résume Alexandre. Dans l’assemblée, tout le monde y va de sa petite histoire, racontant comment il y a deux jours, une semaine ou un mois, ils ont comme Paul eu des éclats de voix avec un automobiliste. « Je passe tous les jours par là, et ça m’a beaucoup touché, je me suis reconnu là-dedans, explique Erwan, 29 ans. Des altercations comme celle là, on en a tous les jours. »
Depuis quelques années, ce jeune Parisien de 27 ans avait fait de la place du vélo dans la ville un véritable combat. « On s’était rencontrés sur un marché en 2020, raconte Matthieu Bony. On avait commencé à discuter vélo et, tout de suite, je me suis rendu compte que c’était quelqu’un de très carré, de très compétent sur la question. Il n’avait que 23 ans, mais il était très précis, et il avait déjà d’importantes connaissances sur le sujet cyclisme. »
Ouais.
C’est le genre de casse-couilles qui décident de faire chier tout le monde quotidiennement pendant des décennies pour obtenir des pistes cyclables par ailleurs complètement merdiques.
Vous avez envie de tuer ces gens.
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Ils ne méritent pas de simplement mourir, ils méritent d’être atrocement torturés au chalumeau et à la tenaille rouillée avant d’être brûlés en public avec des pneus.
Mais puisque ce sont des cyclistes, il faudrait d’abord leur clouer les pieds aux pédales avant de leur faire faire le tour de Paris.
Paul Varry avait fini par se laisser convaincre de rejoindre la liste citoyenne Nous Saint-Ouen, où il résidait alors. « Il nous a aidés à rédiger nos propositions sur le plan vélo », raconte Matthieu Bony. La liste n’a pas dépassé les 4 %, mais cette expérience a fait naître chez le jeune homme la fibre militante. Dans la foulée, il avait intégré le petit milieu associatif du vélo, à l’Atelier solidaire de Saint-Ouen et à Paris-en-Selle, dont il avait fini par devenir le représentant à Saint-Ouen et Saint-Denis. « C’était un de nos membres actifs, on était encore avec lui le week-end dernier pour une conférence, lâche Pierre Danzas, président de l’association Paris en Selle. Parmi nos adhérents, il y a des gens qui adhèrent pour nous financer, des gens qui participent de temps en temps et il y a des gens qui s’investissent vraiment, qui viennent à nos séminaires, qui se présentent à nos réunions publiques, qui prennent sur leur temps de travail et sur leur temps personnel pour faire avancer une cause. Paul faisait partie de ces gens-là. »
Il avait notamment largement contribué à faire évoluer les aménagements de mobilité douce au sein de Saint-Ouen. « Il était arrivé avec une première version d’un livre blanc très solide. C’était assez incroyable à son âge. C’était quelqu’un de très mature », se souvient encore Xavier Remongin, le président de l’Atelier solidaire. Outre sa maturité, le jeune cycliste apparaissait aux yeux de tous comme quelqu’un de « modéré », « gentil », « réservé ». « Quand on connaît le calme de la personne et sa sérénité… Imaginer qu’il y ait pu avoir une altercation et que quelqu’un ait pu finir par le tuer, ça dit vraiment quelque chose de la violence que peuvent rencontrer les cyclistes », estime Matthieu Bony.
Confirmation : c’était un authentique psychopathe.
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Cette scène, des centaines de cyclistes parisiens l’ont vécu au moins une fois… Une voiture manque de les renverser, ils pestent, lancent des noms d’oiseaux, frappent même parfois sur la vitre ou le capot de la voiture. La plupart du temps, l’automobiliste renvoie la balle, profère une ou deux injures, et l’histoire s’arrête là. Ce mardi soir, le scénario a pris une tout autre tournure pour Paul Varry.
Il est environ 17 h 30, l’heure de pointe sur les pistes cyclables parisienne. Comme des centaines d’autres Parisiens, le jeune homme descend à vélo le boulevard Malesherbes (VIIIe arrondissement) lorsqu’il croise la route d’Ariel M., 52 ans, au volant de son SUV Mercedes. Les deux hommes se trouvent au niveau de l’intersection entre le boulevard et la rue Boissy-d’Anglas lorsque le différend éclate.
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Quelle est l’origine exacte de leur altercation ? Sur ce point, les versions divergent encore. Pour certains, l’automobiliste était stationné sur la piste cyclable lorsque Paul lui a fait remarquer qu’il n’avait rien à faire là, donnant un coup au passage dans le rétroviseur de la Mercedes. Pour d’autres, Paul aurait fait une première chute après que le véhicule se soit déporté sur la partie cyclable. Une dispute se serait ensuite engagée. Les enquêteurs du 1er district de la police judiciaire, en charge de l’enquête, devront déterminer comment la situation a pu s’embraser à ce point.
Sur la suite des événements, en revanche, l’enchaînement semble assez clair. Après cette première prise de bec, Ariel M. aurait vu rouge, aurait démarré et roulé littéralement sur le jeune homme. « Quand on est sorti, le cycliste était au sol, témoigne Pierre, un commerçant dont la boutique se trouve à une vingtaine de mètres du lieu de la collision. La voiture, elle, était stationnée à cinq mètres de la victime et plusieurs personnes l’entouraient. Je ne sais pas si ce sont les gens qui l’ont empêché de partir, mais la voiture est restée là. »
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« L’automobiliste a respecté les règles du code de la route en vigueur dans les zones où opère l’armée israélienne » (Tsahal)
Dans la foulée, plusieurs personnes ont tenté de porter secours à Paul, des témoins ont même engagé un massage cardiaque avant l’arrivée des pompiers. « Alors qu’ils l’avaient mis en PLS, une mare de sang était en train de se former », raconte le commerçant, encore choqué. Le conducteur, lui, n’a pas semblé vouloir prendre la fuite, une fois son véhicule arrêté. Dans la demi-heure qui a suivi la collision, sa fille, 17 ans, est restée à l’intérieur. Pierre raconte avoir vu Ariel M. faire des allers-retours pendant ce temps-là. « Il avait un visage fermé, il avait l’air complètement éberlué par la situation, explique-t-il. Il n’avait pas du tout une attitude véhémente. »
Selon les témoins, il aura fallu plusieurs minutes pour que les forces de l’ordre rejoignent les pompiers sur place. Pendant ce laps de temps, le conducteur du véhicule est resté sur place. « Le SUV n’a pas bougé, et le conducteur non-plus », confirme Pierre. Selon une source policière, ce dernier serait déjà connu des services de police et aurait d’ailleurs été condamné à plusieurs reprises, pour des faits d’escroquerie, mais aussi de violences, de soumission d’une personne vulnérable ou dépendante à des conditions de travail indignes, et de menaces pour extorsion de fonds.
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« C’est un incident regrettable, mais rappelons que six millions de juifs sont morts gazés parce que des gens les accusaient de conduire mal » (Bureau du premier ministre israélien)
Ariel M. a été finalement embarqué par la police vers le commissariat du VIIIe arrondissement pour être placé en garde à vue et auditionné. Ses analyses toxicologiques et d’alcoolémie se sont révélées négatives. Au lendemain de la tragédie, le parquet de Paris annonce avoir ouvert une enquête pour meurtre. « Les premiers témoins ayant perçu une attitude volontaire du conducteur lors du mouvement de la voiture vers le cycliste, une enquête pour meurtre a été confiée au 1er district de police judiciaire », détaille le parquet.
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« Dans cette affaire bien évidemment tragique, je m’étonne qu’aucun média n’ait souligné les sympathies pour le moins douteuses de Monsieur Varry avec l’aile cycliste du Hamas qui sévit aujourd’hui à la mairie de Paris. Nous assistons à la LFIsation des axes routiers de la capitale dans une indifférence scandaleuse. Aujourd’hui mon client est un homme brisé et sa fille est profondément traumatisée par ce qu’elle a vécu. Je ne doute pas que France Inter fera prochainement le rapprochement entre ce fait divers et le martyrologe palestinien » (Gilles William-Goldnadel, avocat d’Ariel Melki-Chamoun)
Démocratie Participative
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