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coursdefrancais · 1 year ago
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Comment Maîtriser la Grammaire ?
Comment Maîtriser la Grammaire : Guide Complet pour Perfectionner vos Compétences Linguistiques
Introduction : La maîtrise de la grammaire est la clé pour communiquer efficacement dans n'importe quelle langue. Que vous soyez étudiant, professionnel ou simplement un passionné de langues, cet article vous guidera à travers les étapes essentielles pour perfectionner votre compréhension de la grammaire. Découvrons comment transformer la grammaire de défi à atout.
Chapitre 1 : L'importance de la maîtrise de la grammaire Comprendre pourquoi la grammaire est cruciale dans la communication. Explorez comment une maîtrise solide de la grammaire peut améliorer la clarté de vos idées et renforcer votre crédibilité linguistique.
Chapitre 2 : Comprendre les bases grammaticales Jetez les bases solides en explorant les concepts fondamentaux tels que les parties du discours, la syntaxe et les règles de conjugaison. Apprenez à reconnaître et à appliquer ces concepts de manière pratique.
Chapitre 3 : Utiliser des ressources éducatives Découvrez les ressources éducatives disponibles pour perfectionner votre grammaire. Des livres aux applications en passant par les cours en ligne, explorez diverses options pour trouver celle qui convient le mieux à votre style d'apprentissage.
Chapitre 4 : Pratiquer la grammaire au quotidien L'adage "la pratique rend parfait" s'applique également à la grammaire. Découvrez des astuces pour intégrer la pratique de la grammaire dans votre quotidien, que ce soit par la rédaction, la conversation ou la lecture.
Chapitre 5 : Identifier et corriger les erreurs fréquentes Analysez les erreurs grammaticales courantes et apprenez à les éviter. Comprenez les pièges fréquents qui peuvent entraver votre maîtrise de la grammaire et adoptez des stratégies pour les surmonter.
Chapitre 6 : Engager un feedback constructif Sollicitez des retours sur votre utilisation de la grammaire. Découvrez comment le feedback constructif peut accélérer votre apprentissage en identifiant vos faiblesses et en vous guidant vers des améliorations.
Chapitre 7 : Utiliser des outils technologiques Explorez les outils technologiques tels que les correcteurs grammaticaux et les applications d'apprentissage de langues. Découvrez comment ces ressources peuvent compléter votre apprentissage en fournissant des suggestions instantanées.
Chapitre 8 : La persévérance dans l'amélioration continue La maîtrise de la grammaire est un voyage continu. Adoptez une mentalité de croissance et comprenez que l'amélioration de vos compétences grammaticales demande du temps et de la persévérance.
Conclusion : En maîtrisant la grammaire, vous investissez dans une compétence linguistique précieuse qui enrichira tous les aspects de votre communication. Que ce soit pour des besoins académiques, professionnels ou personnels, une grammaire solide vous donne le pouvoir de vous exprimer avec clarté et confiance. Suivez les conseils de cet article, engagez-vous dans une pratique régulière et observez comment votre maîtrise de la grammaire s'épanouit, ouvrant ainsi de nouvelles portes dans le monde des langues.
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christian-dubuis-santini · 4 days ago
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«Ce séminaire, je le tiens moins qu'il ne me tient.
Est-ce par l'habitude qu'il me tient?
Sûrement pas, puisque c'est par le malentendu.
Et il n'est pas prêt de finir, précisément parce que je ne m'y habitue pas, à ce malentendu.
Je suis un traumatisé du malentendu.
Comme je ne m'y fais pas, je me fatigue à le dissoudre.
Et du coup, je le nourris.
C'est ce qui s'appelle le séminaire perpétuel.
Je ne dis pas que le verbe soit créateur. je dis tout autre chose parce que ma pratique le comporte : je dis que le verbe est inconscient - soit malentendu.
Si vous croyez que tout puisse s'en révéler, eh bien, vous vous mettez dedans: tout ne peut pas.
Cela veut dire qu'une part ne s'en révélera jamais.
C'est précisément ce dont la religion se targue.
Et c'est ce qui donne son rempart à la Révélation dont elle se prévaut pour l'exploiter.
Quant à la psychanalyse, son exploit, c'est d'exploiter le malentendu.
Avec, au terme, une révélation qui est de fantasme.
C'est ce que vous a refilé Freud.
Quel filon, il faut le dire.
Tous autant que vous êtes, qu'êtes-vous d'autre que des malentendus ?
Le nommé Otto Rank en a approché en parlant du traumatisme de la naissance.
De traumatisme, il n'y en a pas d'autre: l'homme naît malentendu.» (Jacques Lacan, séance du 10 juin 1980, "dissolution", in Ornicar n°23)
Impossible d’entrer dans l’enseignement lacanien sans prendre la mesure de ce que signifient le Réel, le Symbolique et l’Imaginaire dans leur logique de nœud.
Le jeu d'échecs peut fournir une première approche illustrative de cette structure nodale inventée par Lacan:
• imaginaire est la forme des pièces qui détermine leur désignation: le cavalier pourrait aussi bien s'appeler coursier ou messager et avoir une forme différente, la tour être figurée en gardien, les pions en fantassins, la reine en dragon, etc. mettant en scène d'autres univers formels...
• symbolique est le système de relations qui noue les pièces entre elles, indissociable de la loi qui régit leurs déplacements et interactions...
• réel est le jeu à proprement parler dès lors qu’une partie a commencé, la temporalité qui s'y installe, avec sa contingence et ses nécessités, les hésitations, les décisions, les erreurs, etc. des joueurs qui s'y livrent, leurs conséquences…
Une autre illustration de la logique nodale lacanienne à partir de la figure de Don Giovanni: imaginaire est l’apparence des femmes dont il entreprend la séduction, réelle la rencontre sexuelle lorsqu’elles cèdent à ses avances, symbolique lorsqu’il les inscrit sur son carnet (le moment de sa jouissance...)
En termes de logique borroméenne, le nouage Réel - Symbolique - Imaginaire permet d’interdéfinir religion, science et psychanalyse:
• la religion (RSI) réalise à travers un symbole ce qu’elle donne à imaginer, par exemple pour les catholiques, le mystère de l'Eucharistie comme réellement corps et sang du Christ (R=percept) à travers le Symbolique (S=concept du Dieu trine) de l'idée (I) image qu'elle se fait de Dieu (l'homme à l'image de Dieu, et la réciproque tout aussi bien = Idée du Dieu parfait, infiniment "bon" et aimable...)
• la science (SIR) est du côté du discours du maître: elle symbolise (S=concept), les images (I=intuitions, idées...) qu'elle se donne du Réel (R=percept des observations expérimentales), par exemple les discours et les images autour du fameux «trou noir»...
La psychanalyse (IRS) imagine, invente (I=Idée), ce qui du Réel (R=ce qui relève de l'immédiateté supposée du percept, par le biais de la jouissance, de la souffrance...), peut se symboliser, se dire, s'écrire (S=concept=mathème, topologie).
L’art et la psychanalyse partagent la même structure IRS, si l’art a des choses à apprendre à la psychanalyse, l’inverse n’est pas vrai, une «psychanalyse de l'art» est une escroquerie, comme sont des escrocs ceux qui disent que la psychanalyse aurait apporté du nouveau à la biologie, ou que les neurosciences «prouvent» la psychanalyse...
Le propre de la psychanalyse est de ne pas convaincre, ni con ni vaincre.
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dooareyastudy · 10 months ago
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Impression de gueule de bois post électorale non ?
On pourra dire qu'il y a 12 millions de racistes en France, c'est peut-être vrai mais n'oublions pas aussi que nos dirigeants portent une immense responsabilité dans le résultat de ce premier tour.
Voilà le résultat de la politique de casse sociale menée par Macron depuis son premier mandat (et les autres, depuis longtemps). Voilà le résultat d'une politique qui prétend s'adresser aux citoyens et qui ne sert qu'à tenter de relancer la machine de la croissance en France. Voilà le résultat d'une politique qui s'adresse d'abord aux agences de notation et aux créanciers de la France. Voilà le résultat d'une politique qui sacrifie progressivement de plus en plus de gens au sacro-saint marché.
Voilà aussi le résultat du discours d'incrimination de la gauche que Macron et ses sbires cherchent à nous faire avaler depuis des mois (s'il faut reconnaître et lutter contre les problèmes de la gauche, c'est bien à *nous* électeurs et militants de gauche de le faire, pas à cette bande d'hypocrites de droite). Voilà le résultat des ambiguïtés de Macron, qui se pose en rempart contre l'extrême-droite mais fait le pique-assiette quand il s'agit d'appeler à voter contre le RN.
Il n'y a rien d'anodin à dire que LFI est un parti antirépublicain aujourd'hui, alors même que le RN a clairement affiché et défendu des propositions discriminatoires toute cette campagne. RIP notre devise, j'imagine.
Ce n'est pas à Macron et ses pauvres 20 % de faire la police entre qui est un bon allié et qui ne l'est pas. Les macronistes ont prouvé qu'ils ne l'étaient pas en continuant à soutenir le Président qui nous a foutu dans cette situation dégueulasse, indirectement par sa politique et directement par cette dissolution dont on ne sait plus si elle relève du calcul politique ou de la pure bêtise.
Bon allez, j'arrête, j'ai une thèse à écrire...
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droitsdesfemmes · 2 months ago
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Marisol Escobar en 1963
Marisol Escobar (1930-2016) était une artiste vénézuélienne d'origine française qui a profondément marqué le monde de l'art en raison de son engagement féministe et de ses œuvres audacieuses, qui abordent des thèmes liés à l'identité féminine et à l'autonomisation des femmes. Elle est souvent reconnue pour ses sculptures qui réinventent les représentations traditionnelles du corps féminin, les transformant en figures puissantes, parfois animales, parfois mythologiques, mais toujours autonomes.
Escobar a été influencée par l'iconographie religieuse, mais aussi par des éléments de la culture populaire, de l'art classique et de l'avant-garde. Elle a notamment intégré des éléments de la culture hispanique et des traditions artistiques, tout en questionnant la place de la femme dans la société et dans l'histoire de l'art. Sa série de sculptures en métal et en résine, qui explore le corps féminin, a souvent été vue comme une tentative de rompre avec les stéréotypes traditionnels et de subvertir les attentes sociales.
L'art de Marisol a été exposé dans de nombreuses galeries de renom à travers le monde, dont le Museum of Modern Art de New York et la galerie de la Biennale de Venise. Sa démarche ne se limitait pas seulement à la création artistique mais visait aussi à intervenir dans le discours social et politique autour de la condition féminine, en remettant en question la domination masculine dans le monde de l'art, ainsi que les rôles traditionnels imposés aux femmes.
Ses œuvres sont donc à la fois un reflet de son époque et un moyen pour elle de redéfinir le rôle des femmes dans l'art et dans la société. Elle fait partie de ces artistes dont le travail continue d'inspirer les générations futures, notamment les féministes, qui trouvent dans son art une dénonciation de l'objectification du corps féminin et une revendication de l'indépendance des femmes. Malgré une reconnaissance initiale, Marisol est tombée dans l'oubli dans les années 1980. Elle est décédée le 30 avril 2016 à New York. Depuis, son œuvre a fait l'objet de réévaluations critiques, notamment en raison de son exploration des rôles de genre et de sa critique des stéréotypes féminins.
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ekman · 3 months ago
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Quelle confusion. L’élection du géant blond à l’oreille percée semble réjouir une large partie de la droite authentique, comprenez celle qui s’emploie à défendre l’identité de la nation et les intérêts du peuple qui l’incarne et qu’elle incarne en retour. Les décrets succèdent aux discours et déjà quelques promesses semblent vouloir être tenues. “Voilà comment nous devrions être gouvernés ! Les initiatives de Trump inaugurent le processus de renaissance des États-Unis !” Certes, cela se défend tout à fait. Le problème, ajoutent les plus modérés, serait qu’un retour en force de “l’ami américain” serait une catastrophe pour l’Europe, ce grand asile psychiatrique à ciel ouvert, et en particulier pour la France, profondément dévitalisée par l’abandon de ses valeurs morales et la multiplication des initiatives visant à la détruire, ni plus ni moins. Les deux réactions se comprennent et les arguments s’entendent. 
Ce sont toutefois là d’assez vaines discussions. L’Amérique reste aux Américains, c’est à dire aux tenants de la “destinée manifeste”, concept qui supplante toute idée politique un tant soit peu raisonnable et cohérente. Trump semble vouloir sauver son pays du monde, mais pas de lui-même. Il annonce que le temps n’est plus aux conquêtes guerrières et aux croisières pétrolifères sur fond d’accès à la sacro-sainte démocratie. Pour le pétrole – et tout ce qui se trouve au-dessus, en dessous et à côté – c’est toujours oui, mais par d’autres moyens. La guerre sera donc économique, ce sera celle du dollar centripète contre la dynamique centrifuge des BRICS, et elle se jouera à coups de technologies, d’intelligence très artificielle, de sanctions, d’embargos et autres réjouissances financières. Si, comme prévu à Washington, les États-Unis maintiennent leur domination sur l’Europe en étendant l’emprise toujours plus soviétoïde de Bruxelles sur ses peuples, alors le règne de Trump sera peut-être le dernier clou de notre cercueil. Les gouvernements provinciaux continueront d’œuvrer contre leurs intérêts vitaux, et donc le grand remplacement s’accélèrera, les économies seront mises sous perfusion, les dernières manifestations de souveraineté disparaîtront, la répression deviendra létale.
Si, en revanche, le sentiment national parvient, en Europe, à supplanter les manœuvres mondialistes sous l’influence et avec le soutien d’esprits agités comme celui du très fameux Elon Musk, alors on peut espérer la mise en place, ça et là, de gouvernements qui en s’émancipant opportunément de l’autorité supposée de l’UE par des violations répétées des traités-carcans, finiront par jeter à terre cette monstruosité technocratique. Après tout, il suffit juste de constater que c’est la Commission qui a commencé ces viols manifestes en s’arrogeant des prérogatives politiques et décisionnelle jamais conférées par aucun de ces funestes traités.
C’est donc plutôt vers Musk et ses agissements – assez erratiques en apparence – qu’il convient de porter notre regard. Car Trump va faire du Trump, c’est à dire du yankee dans l’acception la plus vulgaire du terme. Si j’étais taquin, je dirais “Torah, pollution et moraline à tous les étages”. Avec Musk, on peut espérer quelques bonnes surprises qui accéléreront la déstabilisation de l’UE, en riposte aux entreprises de la pieuvre Soros et de ses affidés tentaculaires. Une sorte de rééquilibrage, en quelque sorte. Pour autant, on n’oubliera pas Neuralink et ses potentielles dérives, ni la folie d’une inutile conquête martienne.
Et puisque tout ce qui advient aux États-Unis est sensé se produire un jour chez nous, souhaitons que le retour aux fondamentaux voulu par le peuple américain et incarné par Donald, Elon et leurs nombreux nouveaux amis, soit un succès. C’est peut-être de ce pragmatisme que notre survie dépend.
J.-M. M.
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transparentgentlemenmarker · 3 months ago
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Le patron de Meta a tenu des propos à teneur masculiniste et met fin à son programme en faveur de la diversité dans son entreprise. Un revirement surprenant mais opportuniste. ll semble loin l’époque où Facebook était accusé d’être prodémocrate. L’entreprise, depuis rebaptisée Meta, s’était défendue en 2016 de tout parti pris politique, mettant en avant sa neutralité. Désormais, son célèbre patron Mark Zuckerberg abandonne ce vernis d’objectivité pour se lancer dans la gueule des discours d’extrême droite. Après avoir annoncé la fin du système de fact-checking et un changement de sa modération aux Etats-Unis, le boss de la Silicon Valley poursuit un virage conservateur inattendu. Fin des programmes conçus pour favoriser la diversité du personnel chez Meta, propos sur un « monde de l’entreprise culturellement émasculé », regrets d’avoir « accordé trop de crédit » aux médias dans le passé. La firme a par ailleurs annoncé mardi 14 janvier 2025 le licenciement d'environ 3.600 employés jugés les moins performants. Ces prises de position « anti-woke » surprennent d’autant plus que Mark Zuckerberg « a souvent été présenté en opposition à Elon Musk, s’affichant comme quelqu’un d’équilibré, maîtrisé, qui pesait ses mots », note Francesca Musiani, chercheuse au Centre Internet et société (CIS) du CNRS.
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arsenicetvieillesenseignes · 9 months ago
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Cela faisait un bail que je n’avais pas écrit sur Arsenic et Vieilles Enseignes. En ces temps agités, j'ai donc jeté un œil sur la cité martyr de Dortan, témoin muet des horreurs nazies de juillet 1944. Les troupes allemandes, véritables apôtres de la barbarie, ont transformé ce village paisible en un champ de ruines, semant terreur et destruction. Les habitants, otages de cette violence aveugle, ont vécu l'enfer : tortures, exécutions, pillages et viols. Pourtant, en 2024, 68 % des votants à Dortan ont choisi le RN aux législatives ! C'est à se demander si les leçons du passé ne s'évaporent pas aussi vite que les promesses politiques. Comment peut-on, en toute conscience, tourner le dos à l'histoire et se laisser charmer par des discours de haine et de division ? Rien ne justifie de replonger dans l’obscurité des idéologies extrémistes. Il est urgent de dire haut et fort que le fascisme n'est jamais la solution. Et comme l'oubli est la pire des trahisons, rappelons autant que possible les horreurs d’hier afin qu'elles ne puissent jamais refaire surface.
Les photos ci-jointes ont été prises dans la cité provisoire, construite après la destruction de Dortan pour reloger les sinistrés jusqu’à la reconstruction du village. Elle est aujourd’hui en partie abandonnée. Pour connaître son histoire et les horreurs qui y sont associées, suivez le lien.
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aurevoirmonty · 1 month ago
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Points forts de la déclaration du Ministère russe des Affaires étrangères en réaction aux propos du Président français Emmanuel Macron:
(Traduction non officielle)
À la veille du sommet de l’Union européenne consacré à la crise ukrainienne et à l’affrontement avec la Russie, le Président français Emmanuel Macron, tentant manifestement d’imprimer une tonalité particulière à cette rencontre, a prononcé un discours violemment agressif à l’encontre de la Russie.
Le Président français s’efforce de convaincre ses concitoyens de l’existence d’une soi-disant « menace existentielle » en provenance de la Russie. En réalité, notre pays n’a jamais menacé la France. Au contraire, la Russie l’a aidée à défendre son indépendance et sa souveraineté lors des deux guerres mondiales. Les propos d’Emmanuel Macron constituent, en revanche, une menace directe à l’encontre de la Russie.
Le discours d’Emmanuel Macron est largement consacré aux garanties de sécurité pour l’Ukraine, sans même évoquer celles nécessaires pour la Russie. Or, c’est précisément l’absence de telles garanties et la création continue de menaces à l’encontre de notre pays par l’Occident – notamment par l’expansion effrénée de l’OTAN en dépit des engagements pris, ainsi que par la transformation de l’Ukraine en un véritable bastion anti-russe – qui ont conduit à la crise actuelle.
Quel « chemin vers la paix » propose donc le dirigeant français ? Toujours les mêmes recettes : un approvisionnement accru de l'Ukraine en armes occidentales, la poursuite des hostilités et une augmentation sans précédent des dépenses militaires des pays européens membres de l'OTAN et de l'UE. Dans ce contexte, les accusations portées contre la Russie pour l'augmentation de ses budgets militaires et de ses effectifs sont absurdes.
En ce qui concerne les propositions d’Emmanuel Macron relatives au déploiement de contingents militaires occidentaux en Ukraine sous couvert de forces de maintien de la paix, nous avons répété à maintes reprises qu’elles étaient inacceptables. Une telle occupation de l’Ukraine ne ferait qu’aggraver dangereusement l’escalade.
Le discours d’Emmanuel Macron laisse transparaître des accents de chantage nucléaire. Les ambitions de Paris de s’imposer comme le « protecteur nucléaire » de toute l’Europe, en lui offrant son propre « parapluie nucléaire », presque en substitution de celui des États-Unis, sont désormais affichées au grand jour.
Ce discours suscite un sentiment de malaise pour Emmanuel Macron lui-même, qui cherche à se poser en nouveau leader du « monde libre ». Il illustre parfaitement l’ampleur du déclin et de l’aigreur des élites européennes actuelles.
L’intervention d’Emmanuel Macron fait définitivement tomber les masques, révélant qui dirige aujourd’hui le « parti de la guerre », qui s’oppose réellement à un cessez-le-feu, misant sur la poursuite du conflit en Ukraine et son escalade toujours plus grande.
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wumisims · 14 days ago
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Williams' curse - Un beau discours #10
"Je suis née et j'ai grandit à Appalosa Plains. J'ai vu cette ville changée, j'ai évolué avec elle !"
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"Ma mère et ma tante, que vous connaissez tous, m'ont introduit dans le milieu des affaires. A l'époque, j'étais jeune et bête. Je voulais absolument satisfaire les autres. Je n'avais pas confiance en mes capacités... Alors, j'ai fui avant même d'essayer. Je ne me croyais pas à la hauteur. J'ai fui à Bridgeport puis je suis revenue à la maison, complètement perdue. Et brisée."
Le matin
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Inès : "Ah oui ! Ne pas oublier de prendre ma potion... [tend l'oreille et entend des rires provenant de la cuisine] Tiens, il y a encore quelqu'un à la maison ?"
Inès se dirige avec la cuisine.
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Francis : "Tu fais un travail super ici ! Te voir travailler avec le sourire, c'est très agréable..."
La femme de ménage (rit) : "Haha merci ! Je suis toujours bien accueilli ici, quand vous êtes présent en tout cas. Votre compagne est beaucoup moins avenante..."
Inès s'en va discrètement dans la salle de bains
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Après quelques minutes, elle se reprend et monte au grenier
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Inès : "Vite, vite... Je grossis à vu d’œil..."
Une heure plus tard, Inès se rend dans la chambre de Laure
Francis (surprit) : "Ah mon amour ! Tu n'es pas entrain de préparer ton discours pour la soirée d'inauguration de ton salon là ?"
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La femme de ménage (gênée) : "J'ai terminé, je vous laisse !"
Le soir
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"Pourtant j'étais entourée d'une armée de femmes encourageantes, piliers de notre communauté, et je ne les ai pas cru... A qui dois-je plaire, réellement ? A eux ? A lui ?"
Le soir : soirée d'inauguration du salon d'Inès, Beauty and The Beat
"C'est une bataille constante. Et aujourd'hui, j'ai décidé de m'équiper pour la gagner. Aujourd'hui, je reprends le contrôle ! Je veux que ce nouvel endroit fasse pleinement parti de notre belle communauté..."
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"Ce nouveau salon de beauté et sa salle de concert ont été créé pour ancrer une vision dans vos imaginaires : nous sommes beaux, belles et stylées. Et grâce à votre soutien, mon projet est né et je suis comblée. Vous êtes tous les bienvenus ici !"
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thebusylilbee · 9 months ago
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L' « extrême centre » est une notion forgée par Pierre Serna, professeur à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et membre de l’Institut d’histoire de la Révolution française. Elle vise à décrire les gouvernements qui apparaissent après des périodes politiques marquées par des violences ou des instabilités fortes, qui se revendiquent de la modération et souhaitent se débarrasser du clivage gauche-droite. Napoléon Bonaparte dira par exemple en 1799, après le coup d’État du 18 Brumaire : « Ni talon rouge, ni bonnet rouge, je suis national. » D’après Pierre Serna, auteur de L’extrême centre ou le poison français : 1789-2019 (Champ Vallon, 2019), cette politique survient notamment en France en 1793, en 1799, en 1815, en 1851 ou encore en 1958, avec le retour au pouvoir de Charles de Gaulle, qui se présente alors comme au-dessus des partis. Depuis 2017, Emmanuel Macron « coche toutes les cases de l’extrême centre », assure l’historien. Pour Les Jours, Pierre Serna analyse à l’aune de cette notion la naissance du macronisme, son héritage et ses dérives. Entretien.
Qu’est-ce que l’extrême centre ?
C’est un concept historique qui m’est apparu parce que je n’arrivais pas à nommer les événements historiques qui se sont produits entre 1790 et 1815, surtout durant Thermidor, le Directoire et le Consulat. L’extrême centre est la réunion de plusieurs phénomènes. Lors de cette période, l’ensemble de la classe politique s’était beaucoup dédit et avait prêté moult serments à tous les régimes, de 1789 à 1815. Il y avait donc toute une série de personnages qu’on peut appeler « girouettes ». Ensuite, dans les périodes suivant des moments d’intenses violences politiques, ce groupe revendiquait la rhétorique de la modération pour revenir au calme et à une forme de réconciliation, de compromis. À partir de là, ces gens se légitimaient eux-mêmes dans leur changement d’avis, mettant leur positionnement politique au-dessus de leurs principes. Pour justifier cela, il fallait qu’ils se situent dans un échiquier politique déjà clairement défini depuis la Constituante : au centre. Ils vont alors comprendre que la conquête du pouvoir exécutif est ce qui compte le plus. Et bien souvent, leur usage du pouvoir exécutif va être particulièrement dur, particulièrement répressif et sévère, tant du point de vue politique que militaire. C’est donc cette pensée oxymorique qui m’a donné envie de donner un titre à cette mouvance jamais nommée.
Ces personnes qui tiennent le pouvoir ne le lâchent pas, au nom du fait que les autres sont des extrêmes. Mais ce sont eux qui les qualifient d’« extrêmes ». C’est donc un centre qui a une radicalité de par son absence idéologique et par sa capacité à utiliser les forces de répression de l’État qui sont à sa disposition.
[reste de l'article sous le trait parce que c'est long - mais très intéressant ! ]
En quoi Emmanuel Macron en est-il un représentant ?
De 2017 à la dissolution de 2024, Emmanuel Macron, dans sa version la plus « pure », coche toutes les cases de l’extrême centre. D’abord, il est passé de la gauche jusqu’à une politique au moins de centre droit, voire délibérément de droite. Emmanuel Macron est donc une figure de girouette et pousse les autres à le devenir : que ce soit les membres du Parti socialiste ou des Républicains qu’il entraîne avec lui. Il pousse donc à un « girouettisme » de masse qui déstabilise tout l’équilibre politique existant.
Deuxièmement, il se positionne comme quelqu’un qui n’est pas dans la rhétorique de l’extrême ni dans l’idéologie, avec un discours conciliant. Autre exemple, plus récent : alors qu’il a mis un désordre effroyable dans les institutions avec la dissolution, il demande une trêve olympique. Il appelle donc régulièrement à des formes de modération parce qu’il en a besoin pour qualifier ses deux adversaires principaux. Des adversaires qu’il a d’ailleurs contraints à se radicaliser parce qu’il prenait de plus en plus de place au centre.
Troisième élément, enfin : il a fait preuve d’une surutilisation, documentée et dénoncée par des instances internationales, des forces policières, voire des adjuvants militaires, pour maintenir l’ordre lors des moments de contestation et de désapprobation de sa politique. On coche donc les trois éléments structurants de l’extrême centre, dont il est une figure en continuité avec l’histoire de France.
L’extrême centre a donc toujours existé. Emmanuel Macron s’est pourtant présenté comme en rupture avec « l’ancien monde »…
Il est parfaitement dans la continuité d’une politique qui correspond à un des cadres évidents de la politique française née pendant la Révolution. Cela pourrait être irritant pour lui, parce que là où il se veut un homme moderne, il est en fait l’incarnation d’une très vieille recette thermidorienne.
Vous dites qu’Emmanuel Macron contraint ses adversaires à se radicaliser. C’est donc lui qui provoque la radicalité de la gauche et de l’extrême droite ?
Pas exactement. La gauche radicale et l’extrême droite sont évidemment antécédentes à Emmanuel Macron. Dans le même temps, les partis de droite et de gauche républicains étaient eux aussi antécédents et avaient la main sur l’échiquier politique de façon majoritaire. Mais il faut qu’il y ait une crise de ces forces traditionnelles pour qu’un homme se plaçant au-dessus des partis sorte de l’anonymat, s’il en a la force, le charisme et les soutiens financiers. Dès lors, à partir du moment où les forces traditionnelles sont plus faibles et que lui occupe un centre de plus en plus important, les forces radicales, de droite et de gauche, doivent « surexprimer » leurs volontés de passer par une conquête du pouvoir législatif pour exister face à celui qui a le pouvoir exécutif. On assiste donc à une radicalisation de ce discours aux extrêmes de façon mécanique. Ainsi, ces radicalités préexistent à l’extrême centre, mais sont encore plus fortes lorsque celui-ci est présent dans la vie politique française.
Le pouvoir exécutif est donc l’objectif de l’extrême centre, au détriment du législatif. Emmanuel Macron a-t-il donc quitté l’extrême centre en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale qui remet, de facto, le Parlement au centre du jeu politique ?
On se trouve dans une confusion intégrale. Emmanuel Macron est désormais un avatar d’extrême centre parce qu’il n’a plus la possibilité de gouverner comme il le souhaiterait. La décision de dissoudre l’Assemblée nationale un soir d’élection où il y a eu un raz-de-marée de l’extrême droite et où moins d’un Français sur deux a voté est choquante, en ce sens qu’elle crée un choc historique (lire l’épisode 1, « Macron, maboul de cristal »). Soit le Président est prêt à gouverner avec l’extrême droite mais il ne le dit pas, soit il envisage une possibilité d’alliance entre son parti et la droite. Les deux ont échoué. Il n’est donc plus dans une figure d’extrême centre, mais bien dans une situation particulièrement délicate : tant qu’il ne peut pas gouverner comme il le désire, c’est-à-dire imposer par l’exécutif quelque chose au législatif, il ne nomme pas de Premier ministre. C’est pourtant à lui de le nommer et de faire appel à la force politique qui est majoritaire, fût-elle relative à l’Assemblée, pour lui demander de gouverner. Il y a là un abus d’autorité et des moyens institutionnels et constitutionnels que lui confère l’hyperprésidentialité de la Ve République (lire l’épisode 42, « “Nous risquons d’entrer dans une zone de turbulences” »).
L’extrême centre n’est-il pas voué à disparaître avec l’impossibilité qu’a Emmanuel Macron de gouverner ?
L’extrême centre n’est jamais appelé à durer. En politique, à droite ou à gauche, il y a des invariants politiques, des marqueurs idéologiques. Le seul invariant de l’extrême centre, lui, est la crise politique qui l’a fait naître, non l’idéologie. Il y a donc deux moyens de « terminer » l’extrême centre : soit aller vers une droite autoritaire, soit aller vers une recomposition totale du paysage politique. Et là, il faut un événement qui dépasse notre quotidien. Concrètement, soit la France suivra le modèle d’une mondialisation brune, soit il y aura un événement dramatique, comme un conflit extérieur qui pourrait changer la donne politique et sociale, comme on l’a vu après 1918 ou 1944. Je ne nous le souhaite pas, mais je constate qu’avec mes outils d’historien je ne peux pas dire quelque chose d’autre.
Quel pourrait-être l’héritage d’Emmanuel Macron ?
À mon avis, il laissera un héritage très fort. D’abord parce que les périodes d’extrême centre ne sont jamais anodines. Elles sont liées généralement à une personne qui est capable d’incarner une désidéologisation. Il laissera donc un héritage fort qui exigera une recomposition en fonction de ce qu’il a été. Celui-ci me semble peu commenté. Il apparaît clair, quand on lit son programme Révolution (XO, 2016) pour 2017, qu’il veut transformer la France à la manière d’un État américain. C’est-à-dire défaire et déconstruire totalement la puissance de l’État social, sortir complètement de ce qui a été une des particularités fortes de la France : un État keynésien et protecteur, à la pointe des avancées sociales et sociétales, capable d’intégrer des populations immigrées. Je pense que la déconstruction de l’État et des services publics, la volonté de faire de toute une jeunesse des autoentrepreneurs, le jeu d’un libéralisme total et la politique sociétale, qui, malgré une rhétorique de façade, renvoie à un rétrécissement et un resserrement de chacun sur soi à la condition d’une hypersécurité, nous conduisent à cela.
Que penser du refus de nommer à Matignon Lucie Castets, pourtant désignée par le Nouveau Front populaire ?
Le Président abuse de ses prérogatives institutionnelles. Il fut un temps, lors de la crise de mai 1877, quand naissait la IIIe République, où le conflit entre le Parlement et le Président se solda par un renforcement du pouvoir législatif. Dès lors, le Président fut obligé légitimement de se « soumettre ou se démettre » une fois que le suffrage universel avait parlé. Aujourd’hui, Emmanuel Macron refuse cette règle républicaine en refusant de nommer une personne, en l’occurrence Lucie Castets, grande servitrice de l’État et des services publics, dont il redoute par-dessus tout la probité et la cohérence. Il semble que le Président ajoute de la confusion à la confusion en s’enfermant dans une forteresse vide, l’Élysée, au lieu d’accepter démocratiquement sa défaite.
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je-suis-ronflex · 1 year ago
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J'ai fait virer une collègue sans faire exprès
Une nouvelle collègue a été recrutée pour commencer lundi dernier. Jusqu'ici tout va bien sauf que la meuf a peine arrivée elle fait des dingueries de zinzin.
Déjà la meuf nous explique sans pression que les gens qui fume et/ou qui boivent son "sales" dans le sens de "impur" car pour sa religion, il ne faut ni boire ni fumer. Déjà avec les collègues on s'est regardé en mode ???? qu'elle ne veuille ni boire ni fumer par respect pour sa religion c'est tout à fait ok mais tenir ce genre de discours a des gens que tu ne connais pas c'est déjà un peu chaud
Plus tard dans la journée de lundi, deux collègues parlaient de moi et du prof d'anglais (oui cette histoire n'en finira jamais) car ils s'étonnaient de ne pas l'avoir revu et une des deux collègues sort "il n'est pas revenu car il a du se faire croquer par un requin quand il est parti surfer à défaut de se faire croquer le cul par Quentin" et là la nouvelle c'est pas qu'elle explique que les homosexuels ne la dérange pas mais qu'il ne faut pas qu'ils se reproduisent ???? euh ma belle l'homophobie c'est un délit on t'a jamais expliqué ou quoi
Puis la meuf prend trop la confiance avec les élèves, elle leur parle comme si c'était leurs potes, et elle a même claqué la bise a une élève sans rien lui demander et la gamine était ultra gênée Donc la meuf fait toutes ces zinzineries en 1 journée (et elle ne revenait que le vendredi) donc moi j'en parle aux CPE en mode "ouais son attitude est problématique mais elle n'a pas l'air foncièrement méchante" afin que les CPE puissent recadrer un peu le truc quoi sauf que les 2 CPE en ont parlé vite fait à la proviseur qui l'a appelé et qui lui a dit "en fait ne revenez pas merci bisous"
ptn j'avoue du coup je culpabilise un peu wsh je pensais pas que ça irait jusque là
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girafeduvexin · 10 months ago
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Anne, ma sœur Anne,
Si j’ te disais c’ que j’ vois v’nir,
Anne, ma sœur Anne,
J’arrive pas à y croire, c’est comme un cauchemar
Sale cafard!
Anne, ma sœur Anne,
En écrivant ton journal du fond d’ ton placard,
Anne, ma sœur Anne,
Tu pensais qu’on n’oublierait jamais, mais...
Mauvaise mémoire!
Elle ressort de sa tanière, la nazi-nostalgie:
Croix gammée, bottes à clous, et toute la panoplie.
Elle a pignon sur rue, des adeptes, un parti...
La voilà revenue, l’historique hystérie!
Anne, ma sœur Anne,
Si j’ te disais c’ que j’entends,
Anne, ma sœur Anne,
Les mêmes discours, les mêmes slogans,
Les mêmes aboiements!
Anne, ma sœur Anne,
J’aurais tant voulu te dire, p’tite fille martyre:
"Anne, ma sœur Anne,
Tu peux dormir tranquille, elle reviendra plus,
La vermine!" mais ...
… beaucoup d’indifférence,
de patience malvenue
Pour ces anciens damnés, au goût de déjà-vu
Beaucoup trop d’indulgence,
trop de bonnes manières
Pour cette nazi-nostalgie qui ressort de sa
tanière... comme hier!
Anne, ma sœur Anne,
Si j’ te disais c’ que j’ vois v’nir,
Anne, ma sœur Anne,
J’arrive pas à y croire, c’est comme un
cauchemar...
Sale cafard!
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christian-dubuis-santini · 2 months ago
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Dans le texte "Analyse finie, analyse sans fin", que Lacan lui-même considère comme un écrit-testament de Freud, le père de la psychanalyse semble faire signe vers notre époque de déliquescence des discours en proposant une inversion de perspective qui permette d’entrevoir où se situerait la sortie de cet effondrement de la logique en tant qu’elle est "la science du réel" (Lacan)...
«Au cours du travail analytique, rien ne nous donne plus l’impression d’une résistance que cette force qui s’agrippe entièrement à la maladie et aux souffrances. C’est assurément à juste titre que nous avons attribué une partie de cette force au sentiment de culpabilité et au besoin d’auto-punition et que nous l’avons située dans les relations du moi avec le surmoi. Mais il ne s’agit là que de la partie liée psychiquement, si l’on peut dire, par le surmoi et qui devient ainsi connaissable ; d’autres éléments de la même force doivent, libres ou non, jouer on ne sait où. Si l’on considère l’ensemble du tableau, qui comporte les manifestations du masochisme immanent de tant de gens, celles de la réaction thérapeutique négative, celle du sentiment de culpabilité du névrosé, on cesse de croire que les phénomènes psychiques sont exclusivement dominés par la recherche du plaisir. Ils constituent un témoignage irréfutable de la présence, dans la vie psychique, d’une force que nous appelons, d’après les buts qu’elle poursuit, instinct d’agression ou de destruction et qui, à ce que nous croyons, découle de l’instinct de mort inhérent à la matière vivante. Nous ne cherchons nullement à opposer à une théorie optimiste de la vie une autre théorie, pessimiste celle-là ; les actions communes et antagonistes des deux instincts primitifs, l’Éros et l’instinct de mort, peuvent seules expliquer la diversité des phénomènes de la vie, jamais une seule de ces actions seulement.»
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raisongardee · 7 months ago
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"A partir du moment où le capitalisme devient un "fait social total", les catégories qui permettaient de penser le fonctionnement de ses stades antérieurs doivent être en partie redéfinies […] C’est bien sûr ici que les intellectuels de gauche doivent entrer en jeu. Et, de fait, il n’est pas difficile de reconnaître, sous leur déconstruction "postmoderne" de tous les anciens "tabous" de l’idéologie bourgeoise, l’une des formes les plus sophistiquées du nouveau "discours du capital" (comme en témoigne, entre autres, le fait que la carrière d’un universitaire français - du moins dans le domaine des "sciences sociales" - dépend avant tout, de nos jours, du nombre de génuflexions qu’il acceptera d’accomplir devant l’œuvre de Foucault ou de Derrida)."
Jean-Claude Michéa, Notre ennemi, le capital, 2018.
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lilias42 · 2 months ago
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Yunaka d'Engage - refonte
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Suite à une conversation avec Ladyniniane où on parlait d'Engage, notamment du chara design, voici une tentative de refonte de Yunaka pour qu'elle colle mieux aux habits "traditionnels" des voleurs dans la série.
Honnêtement, même si j'en attendais rien quand je l'ai pris vu que bon, c'est un jeu anniversaire fan-service d'une licence à laquelle j'ai peu jouer à part la Fée des Houles (vu que bon, j'ai même pas fini Awakening, le jeu m'a battu avant qui a fini revendu, et j'ai juste regardé ma soeur jouer à Radiant Dawn donc, voilà quoi, autant dire que les 3/4 des références et persos dans le jeu sont d'énormes inconnus au bataillon), j'adore Engage ! J'adore Alear, Luméra est ultra attachante du peu qu'on les voie dans l'histoire principale (gros coup de coeur sur Zelkov, Amber, Jade [pourquoi ta promotion de classe ne lui donne pas un cheval ?! Elle serait plus jouable comme ça au lieu d'être lente comme la mort! 😭), Alcryst et Diamant, Citrinne... bref, les persos de Brodia sont trop attachants ! Et j'ai pas encore vu beaucoup des soutiens des persos de Solm mais, ils ont l'air super attachant aussi ! J'aime beaucoup qu'on joue sur le côté sans souci de Timerra et Pandreo alors qu'ils sont sérieux dans le fond, et qu'on s'en serve pour tromper le joueur), les persos sont aussi ultra attachants...
De plus - choses incroyable après la Fée des Houles et SURTOUT l'autre dont on ne parlera pas - ils prennent et assument la responsabilité de leurs actes ! Même après avoir été libéré de son contrôle mentale, la sale gamine insupportable qu'est censé être Hortensia veut toujours assumé la responsabilité de ses actes et s'attend à avoir une punition sévère de la part de la reine de Solm et l'assumera ! Et tout ce petit monde ne veut que le bonheur de leur peuple et les protéger sans de "ouin, ouin ! Quelle malchance j'ai eu de naitre prince / princesse ! Je veux courir dans la campagne et les champs fleuris sans avoir ce maudit emblème ! 😭😭😭" C'est un miracle de Sothis à ce stade ! En plus, tous les thèmes sur la famille me parle vraiment beaucoup et je les trouves vraiment bien gérer pour le moment alors, c'est encore plus agréable de suivre l'histoire !
Même pour le chara design et les fusions, on s'y fait à force je trouve. ça fonctionne par accoutumance : au début, tu trouves ça assez exagéré puis, une fois que tu es habitué à te transformer et à voir les attaques spéciales, tu trouves ça cool et tu veux juste éclater les ennemis avec ! Engage a misé sur la qualité plutôt que la quantité comme la Fée des Houles et est bien mieux fichu au niveau technique, là où la Fée des Houles... hein... c'était hautement perfectible et il n'y aurait VRAIMENT pas fallu qu'une partie du budget parte en dernière minute dans la dernière route qui a transformé tout le discours en feu de poubelles nauséabond dont même une déchetterie ne voudrait pas ?
Mais bon, même si au final, le jeu est vraiment très bon même pour une relative néophyte, faut être honnête : certains chara design, c'est pas ça du-tout, en particulier celui des persos féminins. Tout le monde a dû en parler depuis le temps mais, la robe meringue de Céline sur le champ de bataille, Lapis qui a le ventre à l'air avec juste un collant pour le protéger, les robes ballons de Timerra et Hortensia, la robe avec d'énorme pics sans aucun sens d'Ivy et juste une sorte de pagne pour cacher l'essentiel MAIS qui permet de bien mettre en avant ses collants en résille devant malgré sa longue traine alors qu'elle monte une maudite wyvern - et même pas à califourchon pour être sûr de ne pas tomber, elle monte en amazone avant qu'on invente la selle d'amazone et qui était ultra dangereuse - (même si j'avoue, je trouve ça plutôt mignon que sa wyvern, celle de Rosado et le pégase d'Hortensia soit assorti à leur tenue, c'est le genre de détail qui est pas mal quand on les remarques... même si Rosado met de gros rubans à sa wyvern pour aller au combat...) ou - le sujet du jour - Yunaka qui a une combi très moderne ultra moulante avec des trous sur ses côtes pour montrer sa peau en plus de son décolleté plongeant où elle peut écrire "cible, visez là !" dessus, évidemment (même si elle esquive la moitié des coups qu'elle prend en terrain normal alors, ceci explique peut-être cela), là où Zelkov a un design qui se rapproche plus de celui d'un voleur / assassin de l'ombre je trouve (j'adore le petit détail qu'il a des clés partout dans son grand manteau d'après l'artbook). On va pas se mentir, ils auraient pu faire bien mieux, surtout qu'IS a prouvé qu'ils savaient faire des design de persos féminins qui tiennent la route par le passé.
Alors, voici une petite tentative de faire ressembler Yunaka aux autres voleurs de la série. Pour se faire, j'ai pris le wiki à la page "Thief" et regarder tous les persos qui ont cette classe pour en faire une sorte de synthèse afin de l'appliquer à Yunaka. Alors :
Vu que souvent, les voleurs ont une écharpe ou un col haut en plus d'une cape (ou au moins de longue bande de tissu qui courent derrière eux), je lui en ai mis une, ce qui lui permet de voyager discrètement tout en cachant sa dague qui est de son côté droit. Elle est fermé par des sangles vu que c'est un motif qui semble revenir assez souvent également. Une d'entre elle est défaite pour qu'elle puisse bouger plus facilement.
Son pantalon est relativement large pour l'aider à bouger, en étant retenu par une ceinture large vu que c'est également un motif réccurent. Ici, je me suis inspiré de la ceinture de Lifis dans Thracia 776.
J'ai aussi ajouté des ornements en forme d'étoile qui pendent tout en tenant sa ceinture : ils servent autant à être sûr qu'elle reste en place, que de décoration afin de souligner la personnalité légère de Yunaka. Les étoiles sont sa marque de fabrique qu'on retrouve sur son visage et ses cheveux alors, vu que je les ai supprimé à ces deux endroits afin que cela ne la gêne pas, je l'ai ajouté à sa ceinture pour que son motif phare reste quand même.
L'étoile sur sa joue a sauté car elle la rendait trop reconnaissable, même si j'ai failli la laisser en mode "elle peint ce motif sur son visage pour attirer l'attention dessus et détourner le regard des gens de ses traits comme ça, le jour où elle enlève l'étoile, les gens ont plus de mal à la reconnaitre" mais, vu l'angle et que c'était déjà bien chargé du côté droit de son visage, ça a été abandonné.
Elle a aussi un haut sans manche assez large étant donné que beaucoup de voleur semble porter des tops de ce genre à part ceux qui ont des grands manteau comme Volke (Sothe par exemple a toujours un top). Il est également assez large pour plus de praticité, même si elle a surement des bandelettes pour bien tenir sa poitrine et la comprimer un peu pour qu'elle ne la gêne pas (la pauvre, elle doit avoir un de ses mal de dos !). Pour compléter, elle a également une paire de mitaine qui sont accroché à son majeur pour qu'elles tiennent mieux, tout en gardant son annuaire libre pour l'anneau de Micaiah.
Pour les chaussures, y a deux écoles : soit des chaussures basses avec des sortes de bandages pour protéger les jambes, soit des boites relativement haute. Yunaka a la première option afin de pouvoir courir plus vite et avoir plus de liberté de mouvement qu'avec de hautes bottes en cuir bien épaisse. Elles sont aussi inspiré de celle de Lifis.
Elle en profite pour planquer un poignard dans les bandages de sa jambe gauche. Etant donné que les voleurs / assassins doivent savoir s'adapter à chaque situation, j'aime bien m'imaginer que Zelkov et elles sont tous les deux relativement ambidextre, même s'ils sont plus à l'aise avec leur main dominante. Yunaka a donc son bras droit plus libre mais, comme son bras gauche est caché par le pan de sa cape, elle peut planquer une autre arme de ce côté-là et un poignard de secours pour les situations désespérés sur sa jambes qu'elle peut tirer rapidement.
Enfin, elle a attaché ses cheveux en queue de cheval pour lui dégager la vue. Même si elle n'est plus assassin, elle a dû se faire pas mal d'ennemi alors, elle doit quand même pouvoir se battre en toute situation. Elle n'a plus d'étoile dans les cheveux non plus à cause du risque de perdre un de ses ornements à l'endroit où elle s'est battu qui permettrait de remonter jusqu'à elle.
J'ai pas refait son habit civil vu que là, c'est plus osef et ça ne cherche pas vraiment à être une tenue militaire, même si j'avoue, j'ai un peu de mal à m'imaginer Yunaka en chemisier avec une longue jupe alors, disons simplement que j'aurais remplacer ça par un haut plus décontracté avec un pantalon, le tout avec beaucoup de motif d'étoiles partout.
Enfin bon, j'espère que ça vous plait !
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ekman · 8 months ago
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Le mensonge a cessé d’être un vice moral et intellectuel pour devenir un système de gouvernement. C’est un progrès considérable pour les mondialistes, car il a pour première vertu de faire disparaître toute notion d’éthique dans les sociétés dites “avancées”. Comment le mensonge généralisé – statistique, médiatique, étatique – est-il parvenu à effacer non une quelconque vérité, notion fumeuse et très discutable, mais plus radicalement, à escamoter la réalité toute entière ?
Première mise au point, indispensable : qu’est-ce que la réalité aujourd’hui ? Est-elle seulement définissable ? Fait vérifié : la réalité n’est plus le produit de l’observation individuelle, mais celui du discours collectif. D’où l’importance du contrôle permanent et méticuleux des médias classiques, à l’exclusion (très provisoire) des canaux présents sur Internet. Le discours collectif donc, est souvent résumé par l’appellation anglicisante de “narratif”. Les narratifs qui se succèdent, s’enchainent et parfois se chevauchent, ont pour fonction d’installer un climat dans l’opinion publique – euphorisant, anxyogène, consensuel, solidaire, etc. Les problèmes sont créés, les réactions contrôlées, les réflexions orientées, les solutions suggérées. Cela fait partie de l’ingénierie du “soft power”, concept  directement sorti de l’esprit des publicitaires américains... et c’est ainsi que la réalité devient une vérité, celle de “On” qui prospère ainsi sous mille visages. C’est le consensus majoritaire : Monsieur Moyen et Madame Tout-le-Monde, qui ont du bon sens, adorent tout ce qui est très équilibré, donc central, et ne supportent pas les à-coups suggérés par les opinions radicales, trop réactives. L’affect collectif balance du paradis sucré des bons sentiments à l’entêtant pizzicato des situations stressantes. Des Jeux Olympiques à la variole du singe, si vous me suivez.
La force du discours collectif ne tient pas au fait qu’il soit collectif, c’est à dire reçu et relayé par la masse, mais plus par sa capacité de diffusion et de répétition. Ici aussi, on est dans la pure technique publicitaire. On comprend mieux la prise en charge, par l’État, de la santé financière des organes de Presse qui, dès lors, lui sont durablement redevables. Je dis bien “l’État” et non le “gouvernement”, ce qui souligne que le premier est l’expression directe du système qui désormais le contrôle, alors que le second n’a qu’un rôle illustratif, cosmétique.
Que reste-t-il alors de l’observation individuelle ? Eh bien elle ne puise sa valeur que dans celle des individus eux-mêmes. Celui qui ne veut pas voir ne verra pas, ni n’entendra, ni ne réfléchira. Celui qui constate que ce qu’il voit n’est pas ce qu’on lui raconte – pour peu qu’il ait un peu d’instruction et de courage – se sentira tenu de dire et de contredire, surtout. Très vite il deviendra l’emmerdeur, le facho, le complotiste, le parano... autant d’insultes qui deviendront des médailles. Celui qui s’isole dans sa bulle afin d’échapper au bruit ambiant, celui qui a renoncé au succès d’apparence, à l’audience, aux soutiens et aux relais, celui-là souffrira de la solitude et de l’incompréhension. Mais si un seul concitoyen peut, au final, être convaincu d’ouvrir les yeux, alors la journée se soldera par une victoire de plus puisque le discours collectif comptera une paire d’oreilles en moins.
J.-M. M.
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