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coursdefrancais · 9 months
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Comment Maîtriser la Grammaire ?
Comment Maîtriser la Grammaire : Guide Complet pour Perfectionner vos Compétences Linguistiques
Introduction : La maîtrise de la grammaire est la clé pour communiquer efficacement dans n'importe quelle langue. Que vous soyez étudiant, professionnel ou simplement un passionné de langues, cet article vous guidera à travers les étapes essentielles pour perfectionner votre compréhension de la grammaire. Découvrons comment transformer la grammaire de défi à atout.
Chapitre 1 : L'importance de la maîtrise de la grammaire Comprendre pourquoi la grammaire est cruciale dans la communication. Explorez comment une maîtrise solide de la grammaire peut améliorer la clarté de vos idées et renforcer votre crédibilité linguistique.
Chapitre 2 : Comprendre les bases grammaticales Jetez les bases solides en explorant les concepts fondamentaux tels que les parties du discours, la syntaxe et les règles de conjugaison. Apprenez à reconnaître et à appliquer ces concepts de manière pratique.
Chapitre 3 : Utiliser des ressources éducatives Découvrez les ressources éducatives disponibles pour perfectionner votre grammaire. Des livres aux applications en passant par les cours en ligne, explorez diverses options pour trouver celle qui convient le mieux à votre style d'apprentissage.
Chapitre 4 : Pratiquer la grammaire au quotidien L'adage "la pratique rend parfait" s'applique également à la grammaire. Découvrez des astuces pour intégrer la pratique de la grammaire dans votre quotidien, que ce soit par la rédaction, la conversation ou la lecture.
Chapitre 5 : Identifier et corriger les erreurs fréquentes Analysez les erreurs grammaticales courantes et apprenez à les éviter. Comprenez les pièges fréquents qui peuvent entraver votre maîtrise de la grammaire et adoptez des stratégies pour les surmonter.
Chapitre 6 : Engager un feedback constructif Sollicitez des retours sur votre utilisation de la grammaire. Découvrez comment le feedback constructif peut accélérer votre apprentissage en identifiant vos faiblesses et en vous guidant vers des améliorations.
Chapitre 7 : Utiliser des outils technologiques Explorez les outils technologiques tels que les correcteurs grammaticaux et les applications d'apprentissage de langues. Découvrez comment ces ressources peuvent compléter votre apprentissage en fournissant des suggestions instantanées.
Chapitre 8 : La persévérance dans l'amélioration continue La maîtrise de la grammaire est un voyage continu. Adoptez une mentalité de croissance et comprenez que l'amélioration de vos compétences grammaticales demande du temps et de la persévérance.
Conclusion : En maîtrisant la grammaire, vous investissez dans une compétence linguistique précieuse qui enrichira tous les aspects de votre communication. Que ce soit pour des besoins académiques, professionnels ou personnels, une grammaire solide vous donne le pouvoir de vous exprimer avec clarté et confiance. Suivez les conseils de cet article, engagez-vous dans une pratique régulière et observez comment votre maîtrise de la grammaire s'épanouit, ouvrant ainsi de nouvelles portes dans le monde des langues.
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dooareyastudy · 3 months
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Impression de gueule de bois post électorale non ?
On pourra dire qu'il y a 12 millions de racistes en France, c'est peut-être vrai mais n'oublions pas aussi que nos dirigeants portent une immense responsabilité dans le résultat de ce premier tour.
Voilà le résultat de la politique de casse sociale menée par Macron depuis son premier mandat (et les autres, depuis longtemps). Voilà le résultat d'une politique qui prétend s'adresser aux citoyens et qui ne sert qu'à tenter de relancer la machine de la croissance en France. Voilà le résultat d'une politique qui s'adresse d'abord aux agences de notation et aux créanciers de la France. Voilà le résultat d'une politique qui sacrifie progressivement de plus en plus de gens au sacro-saint marché.
Voilà aussi le résultat du discours d'incrimination de la gauche que Macron et ses sbires cherchent à nous faire avaler depuis des mois (s'il faut reconnaître et lutter contre les problèmes de la gauche, c'est bien à *nous* électeurs et militants de gauche de le faire, pas à cette bande d'hypocrites de droite). Voilà le résultat des ambiguïtés de Macron, qui se pose en rempart contre l'extrême-droite mais fait le pique-assiette quand il s'agit d'appeler à voter contre le RN.
Il n'y a rien d'anodin à dire que LFI est un parti antirépublicain aujourd'hui, alors même que le RN a clairement affiché et défendu des propositions discriminatoires toute cette campagne. RIP notre devise, j'imagine.
Ce n'est pas à Macron et ses pauvres 20 % de faire la police entre qui est un bon allié et qui ne l'est pas. Les macronistes ont prouvé qu'ils ne l'étaient pas en continuant à soutenir le Président qui nous a foutu dans cette situation dégueulasse, indirectement par sa politique et directement par cette dissolution dont on ne sait plus si elle relève du calcul politique ou de la pure bêtise.
Bon allez, j'arrête, j'ai une thèse à écrire...
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Cela faisait un bail que je n’avais pas écrit sur Arsenic et Vieilles Enseignes. En ces temps agités, j'ai donc jeté un œil sur la cité martyr de Dortan, témoin muet des horreurs nazies de juillet 1944. Les troupes allemandes, véritables apôtres de la barbarie, ont transformé ce village paisible en un champ de ruines, semant terreur et destruction. Les habitants, otages de cette violence aveugle, ont vécu l'enfer : tortures, exécutions, pillages et viols. Pourtant, en 2024, 68 % des votants à Dortan ont choisi le RN aux législatives ! C'est à se demander si les leçons du passé ne s'évaporent pas aussi vite que les promesses politiques. Comment peut-on, en toute conscience, tourner le dos à l'histoire et se laisser charmer par des discours de haine et de division ? Rien ne justifie de replonger dans l’obscurité des idéologies extrémistes. Il est urgent de dire haut et fort que le fascisme n'est jamais la solution. Et comme l'oubli est la pire des trahisons, rappelons autant que possible les horreurs d’hier afin qu'elles ne puissent jamais refaire surface.
Les photos ci-jointes ont été prises dans la cité provisoire, construite après la destruction de Dortan pour reloger les sinistrés jusqu’à la reconstruction du village. Elle est aujourd’hui en partie abandonnée. Pour connaître son histoire et les horreurs qui y sont associées, suivez le lien.
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thebusylilbee · 2 months
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L' « extrême centre » est une notion forgée par Pierre Serna, professeur à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et membre de l’Institut d’histoire de la Révolution française. Elle vise à décrire les gouvernements qui apparaissent après des périodes politiques marquées par des violences ou des instabilités fortes, qui se revendiquent de la modération et souhaitent se débarrasser du clivage gauche-droite. Napoléon Bonaparte dira par exemple en 1799, après le coup d’État du 18 Brumaire : « Ni talon rouge, ni bonnet rouge, je suis national. » D’après Pierre Serna, auteur de L’extrême centre ou le poison français : 1789-2019 (Champ Vallon, 2019), cette politique survient notamment en France en 1793, en 1799, en 1815, en 1851 ou encore en 1958, avec le retour au pouvoir de Charles de Gaulle, qui se présente alors comme au-dessus des partis. Depuis 2017, Emmanuel Macron « coche toutes les cases de l’extrême centre », assure l’historien. Pour Les Jours, Pierre Serna analyse à l’aune de cette notion la naissance du macronisme, son héritage et ses dérives. Entretien.
Qu’est-ce que l’extrême centre ?
C’est un concept historique qui m’est apparu parce que je n’arrivais pas à nommer les événements historiques qui se sont produits entre 1790 et 1815, surtout durant Thermidor, le Directoire et le Consulat. L’extrême centre est la réunion de plusieurs phénomènes. Lors de cette période, l’ensemble de la classe politique s’était beaucoup dédit et avait prêté moult serments à tous les régimes, de 1789 à 1815. Il y avait donc toute une série de personnages qu’on peut appeler « girouettes ». Ensuite, dans les périodes suivant des moments d’intenses violences politiques, ce groupe revendiquait la rhétorique de la modération pour revenir au calme et à une forme de réconciliation, de compromis. À partir de là, ces gens se légitimaient eux-mêmes dans leur changement d’avis, mettant leur positionnement politique au-dessus de leurs principes. Pour justifier cela, il fallait qu’ils se situent dans un échiquier politique déjà clairement défini depuis la Constituante : au centre. Ils vont alors comprendre que la conquête du pouvoir exécutif est ce qui compte le plus. Et bien souvent, leur usage du pouvoir exécutif va être particulièrement dur, particulièrement répressif et sévère, tant du point de vue politique que militaire. C’est donc cette pensée oxymorique qui m’a donné envie de donner un titre à cette mouvance jamais nommée.
Ces personnes qui tiennent le pouvoir ne le lâchent pas, au nom du fait que les autres sont des extrêmes. Mais ce sont eux qui les qualifient d’« extrêmes ». C’est donc un centre qui a une radicalité de par son absence idéologique et par sa capacité à utiliser les forces de répression de l’État qui sont à sa disposition.
[reste de l'article sous le trait parce que c'est long - mais très intéressant ! ]
En quoi Emmanuel Macron en est-il un représentant ?
De 2017 à la dissolution de 2024, Emmanuel Macron, dans sa version la plus « pure », coche toutes les cases de l’extrême centre. D’abord, il est passé de la gauche jusqu’à une politique au moins de centre droit, voire délibérément de droite. Emmanuel Macron est donc une figure de girouette et pousse les autres à le devenir : que ce soit les membres du Parti socialiste ou des Républicains qu’il entraîne avec lui. Il pousse donc à un « girouettisme » de masse qui déstabilise tout l’équilibre politique existant.
Deuxièmement, il se positionne comme quelqu’un qui n’est pas dans la rhétorique de l’extrême ni dans l’idéologie, avec un discours conciliant. Autre exemple, plus récent : alors qu’il a mis un désordre effroyable dans les institutions avec la dissolution, il demande une trêve olympique. Il appelle donc régulièrement à des formes de modération parce qu’il en a besoin pour qualifier ses deux adversaires principaux. Des adversaires qu’il a d’ailleurs contraints à se radicaliser parce qu’il prenait de plus en plus de place au centre.
Troisième élément, enfin : il a fait preuve d’une surutilisation, documentée et dénoncée par des instances internationales, des forces policières, voire des adjuvants militaires, pour maintenir l’ordre lors des moments de contestation et de désapprobation de sa politique. On coche donc les trois éléments structurants de l’extrême centre, dont il est une figure en continuité avec l’histoire de France.
L’extrême centre a donc toujours existé. Emmanuel Macron s’est pourtant présenté comme en rupture avec « l’ancien monde »…
Il est parfaitement dans la continuité d’une politique qui correspond à un des cadres évidents de la politique française née pendant la Révolution. Cela pourrait être irritant pour lui, parce que là où il se veut un homme moderne, il est en fait l’incarnation d’une très vieille recette thermidorienne.
Vous dites qu’Emmanuel Macron contraint ses adversaires à se radicaliser. C’est donc lui qui provoque la radicalité de la gauche et de l’extrême droite ?
Pas exactement. La gauche radicale et l’extrême droite sont évidemment antécédentes à Emmanuel Macron. Dans le même temps, les partis de droite et de gauche républicains étaient eux aussi antécédents et avaient la main sur l’échiquier politique de façon majoritaire. Mais il faut qu’il y ait une crise de ces forces traditionnelles pour qu’un homme se plaçant au-dessus des partis sorte de l’anonymat, s’il en a la force, le charisme et les soutiens financiers. Dès lors, à partir du moment où les forces traditionnelles sont plus faibles et que lui occupe un centre de plus en plus important, les forces radicales, de droite et de gauche, doivent « surexprimer » leurs volontés de passer par une conquête du pouvoir législatif pour exister face à celui qui a le pouvoir exécutif. On assiste donc à une radicalisation de ce discours aux extrêmes de façon mécanique. Ainsi, ces radicalités préexistent à l’extrême centre, mais sont encore plus fortes lorsque celui-ci est présent dans la vie politique française.
Le pouvoir exécutif est donc l’objectif de l’extrême centre, au détriment du législatif. Emmanuel Macron a-t-il donc quitté l’extrême centre en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale qui remet, de facto, le Parlement au centre du jeu politique ?
On se trouve dans une confusion intégrale. Emmanuel Macron est désormais un avatar d’extrême centre parce qu’il n’a plus la possibilité de gouverner comme il le souhaiterait. La décision de dissoudre l’Assemblée nationale un soir d’élection où il y a eu un raz-de-marée de l’extrême droite et où moins d’un Français sur deux a voté est choquante, en ce sens qu’elle crée un choc historique (lire l’épisode 1, « Macron, maboul de cristal »). Soit le Président est prêt à gouverner avec l’extrême droite mais il ne le dit pas, soit il envisage une possibilité d’alliance entre son parti et la droite. Les deux ont échoué. Il n’est donc plus dans une figure d’extrême centre, mais bien dans une situation particulièrement délicate : tant qu’il ne peut pas gouverner comme il le désire, c’est-à-dire imposer par l’exécutif quelque chose au législatif, il ne nomme pas de Premier ministre. C’est pourtant à lui de le nommer et de faire appel à la force politique qui est majoritaire, fût-elle relative à l’Assemblée, pour lui demander de gouverner. Il y a là un abus d’autorité et des moyens institutionnels et constitutionnels que lui confère l’hyperprésidentialité de la Ve République (lire l’épisode 42, « “Nous risquons d’entrer dans une zone de turbulences” »).
L’extrême centre n’est-il pas voué à disparaître avec l’impossibilité qu’a Emmanuel Macron de gouverner ?
L’extrême centre n’est jamais appelé à durer. En politique, à droite ou à gauche, il y a des invariants politiques, des marqueurs idéologiques. Le seul invariant de l’extrême centre, lui, est la crise politique qui l’a fait naître, non l’idéologie. Il y a donc deux moyens de « terminer » l’extrême centre : soit aller vers une droite autoritaire, soit aller vers une recomposition totale du paysage politique. Et là, il faut un événement qui dépasse notre quotidien. Concrètement, soit la France suivra le modèle d’une mondialisation brune, soit il y aura un événement dramatique, comme un conflit extérieur qui pourrait changer la donne politique et sociale, comme on l’a vu après 1918 ou 1944. Je ne nous le souhaite pas, mais je constate qu’avec mes outils d’historien je ne peux pas dire quelque chose d’autre.
Quel pourrait-être l’héritage d’Emmanuel Macron ?
À mon avis, il laissera un héritage très fort. D’abord parce que les périodes d’extrême centre ne sont jamais anodines. Elles sont liées généralement à une personne qui est capable d’incarner une désidéologisation. Il laissera donc un héritage fort qui exigera une recomposition en fonction de ce qu’il a été. Celui-ci me semble peu commenté. Il apparaît clair, quand on lit son programme Révolution (XO, 2016) pour 2017, qu’il veut transformer la France à la manière d’un État américain. C’est-à-dire défaire et déconstruire totalement la puissance de l’État social, sortir complètement de ce qui a été une des particularités fortes de la France : un État keynésien et protecteur, à la pointe des avancées sociales et sociétales, capable d’intégrer des populations immigrées. Je pense que la déconstruction de l’État et des services publics, la volonté de faire de toute une jeunesse des autoentrepreneurs, le jeu d’un libéralisme total et la politique sociétale, qui, malgré une rhétorique de façade, renvoie à un rétrécissement et un resserrement de chacun sur soi à la condition d’une hypersécurité, nous conduisent à cela.
Que penser du refus de nommer à Matignon Lucie Castets, pourtant désignée par le Nouveau Front populaire ?
Le Président abuse de ses prérogatives institutionnelles. Il fut un temps, lors de la crise de mai 1877, quand naissait la IIIe République, où le conflit entre le Parlement et le Président se solda par un renforcement du pouvoir législatif. Dès lors, le Président fut obligé légitimement de se « soumettre ou se démettre » une fois que le suffrage universel avait parlé. Aujourd’hui, Emmanuel Macron refuse cette règle républicaine en refusant de nommer une personne, en l’occurrence Lucie Castets, grande servitrice de l’État et des services publics, dont il redoute par-dessus tout la probité et la cohérence. Il semble que le Président ajoute de la confusion à la confusion en s’enfermant dans une forteresse vide, l’Élysée, au lieu d’accepter démocratiquement sa défaite.
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ekman · 1 month
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Le mensonge a cessé d’être un vice moral et intellectuel pour devenir un système de gouvernement. C’est un progrès considérable pour les mondialistes, car il a pour première vertu de faire disparaître toute notion d’éthique dans les sociétés dites “avancées”. Comment le mensonge généralisé – statistique, médiatique, étatique – est-il parvenu à effacer non une quelconque vérité, notion fumeuse et très discutable, mais plus radicalement, à escamoter la réalité toute entière ?
Première mise au point, indispensable : qu’est-ce que la réalité aujourd’hui ? Est-elle seulement définissable ? Fait vérifié : la réalité n’est plus le produit de l’observation individuelle, mais celui du discours collectif. D’où l’importance du contrôle permanent et méticuleux des médias classiques, à l’exclusion (très provisoire) des canaux présents sur Internet. Le discours collectif donc, est souvent résumé par l’appellation anglicisante de “narratif”. Les narratifs qui se succèdent, s’enchainent et parfois se chevauchent, ont pour fonction d’installer un climat dans l’opinion publique – euphorisant, anxyogène, consensuel, solidaire, etc. Les problèmes sont créés, les réactions contrôlées, les réflexions orientées, les solutions suggérées. Cela fait partie de l’ingénierie du “soft power”, concept  directement sorti de l’esprit des publicitaires américains... et c’est ainsi que la réalité devient une vérité, celle de “On” qui prospère ainsi sous mille visages. C’est le consensus majoritaire : Monsieur Moyen et Madame Tout-le-Monde, qui ont du bon sens, adorent tout ce qui est très équilibré, donc central, et ne supportent pas les à-coups suggérés par les opinions radicales, trop réactives. L’affect collectif balance du paradis sucré des bons sentiments à l’entêtant pizzicato des situations stressantes. Des Jeux Olympiques à la variole du singe, si vous me suivez.
La force du discours collectif ne tient pas au fait qu’il soit collectif, c’est à dire reçu et relayé par la masse, mais plus par sa capacité de diffusion et de répétition. Ici aussi, on est dans la pure technique publicitaire. On comprend mieux la prise en charge, par l’État, de la santé financière des organes de Presse qui, dès lors, lui sont durablement redevables. Je dis bien “l’État” et non le “gouvernement”, ce qui souligne que le premier est l’expression directe du système qui désormais le contrôle, alors que le second n’a qu’un rôle illustratif, cosmétique.
Que reste-t-il alors de l’observation individuelle ? Eh bien elle ne puise sa valeur que dans celle des individus eux-mêmes. Celui qui ne veut pas voir ne verra pas, ni n’entendra, ni ne réfléchira. Celui qui constate que ce qu’il voit n’est pas ce qu’on lui raconte – pour peu qu’il ait un peu d’instruction et de courage – se sentira tenu de dire et de contredire, surtout. Très vite il deviendra l’emmerdeur, le facho, le complotiste, le parano... autant d’insultes qui deviendront des médailles. Celui qui s’isole dans sa bulle afin d’échapper au bruit ambiant, celui qui a renoncé au succès d’apparence, à l’audience, aux soutiens et aux relais, celui-là souffrira de la solitude et de l’incompréhension. Mais si un seul concitoyen peut, au final, être convaincu d’ouvrir les yeux, alors la journée se soldera par une victoire de plus puisque le discours collectif comptera une paire d’oreilles en moins.
J.-M. M.
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je-suis-ronflex · 7 months
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J'ai fait virer une collègue sans faire exprès
Une nouvelle collègue a été recrutée pour commencer lundi dernier. Jusqu'ici tout va bien sauf que la meuf a peine arrivée elle fait des dingueries de zinzin.
Déjà la meuf nous explique sans pression que les gens qui fume et/ou qui boivent son "sales" dans le sens de "impur" car pour sa religion, il ne faut ni boire ni fumer. Déjà avec les collègues on s'est regardé en mode ???? qu'elle ne veuille ni boire ni fumer par respect pour sa religion c'est tout à fait ok mais tenir ce genre de discours a des gens que tu ne connais pas c'est déjà un peu chaud
Plus tard dans la journée de lundi, deux collègues parlaient de moi et du prof d'anglais (oui cette histoire n'en finira jamais) car ils s'étonnaient de ne pas l'avoir revu et une des deux collègues sort "il n'est pas revenu car il a du se faire croquer par un requin quand il est parti surfer à défaut de se faire croquer le cul par Quentin" et là la nouvelle c'est pas qu'elle explique que les homosexuels ne la dérange pas mais qu'il ne faut pas qu'ils se reproduisent ???? euh ma belle l'homophobie c'est un délit on t'a jamais expliqué ou quoi
Puis la meuf prend trop la confiance avec les élèves, elle leur parle comme si c'était leurs potes, et elle a même claqué la bise a une élève sans rien lui demander et la gamine était ultra gênée Donc la meuf fait toutes ces zinzineries en 1 journée (et elle ne revenait que le vendredi) donc moi j'en parle aux CPE en mode "ouais son attitude est problématique mais elle n'a pas l'air foncièrement méchante" afin que les CPE puissent recadrer un peu le truc quoi sauf que les 2 CPE en ont parlé vite fait à la proviseur qui l'a appelé et qui lui a dit "en fait ne revenez pas merci bisous"
ptn j'avoue du coup je culpabilise un peu wsh je pensais pas que ça irait jusque là
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Pour le déficit de médecins il y a non seulement le fait qu'ils n'aient pas formé assez de médecins pour compenser les départs en retraite mais aussi que beaucoup de jeunes médecins sont à temps partiel (même si ça n'est parfois qu'une journée de pause par semaine ça fait des patients en moins).
Dans le cabinet médical où je vais, les 4 médecins généralistes partis en retraite ont la chance d'avoir trouvé des "successeurs" mais tous sont à mi-temps. Résultat ça revient à avoir pris 2 médecins à temps complet...
Ce n'est pas une critique, juste que les jeunes médecins n'ont pas envie du même rythme que leurs aînés. Mais c'est très rarement évoqué dans les causes de la pénurie... Et pas sûr qu'augmenter le numerus clausus suffise à compenser tout ça!!
Hello!
Alors tout à fait, pendant longtemps le nombre de médecins qui sortaient de l'école était inferieure au nombre de médecins qui partaient en retraite. Faire varier le numerus closus ça marche mais il y aura toujours une inertie de 10 ans.
Pour les jeunes médecins je ne sais pas si "beaucoup" sont en temps partiels (quand on regarde les stats sur les internes et les jeunes médecins on est plutôt sur du dépassement des horaires max de 48h/sem.
Mais par contre oui c'est très très très vrai que les jeunes médecins sont beaucoup plus attentifs à leurs conditions de vie, et c'est très bien ! Le discours "oui mais moi de mon temps blablabla" on l'entend encore beaucoup de la part de médecins "plus anciens" qui acceptent de faire des choses qui ne le sont pas par la "jeune génération" comme travailler jusqu'à 80h par semaine ou des trucs pas légaux comme ne pas prendre les repos de garde.
Donc du coup se dire "oui mais en fait j'ai aussi une vie en plus du travail" ben moi ça me parait assez normal. Les médecins généralistes se font arnaquer par la sécu pour ce qui est du tarif des consultations, à l'hopital on travaille avec du matos des années 60 donc heureusement que les jeunes se protègent.
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ernestinee · 29 days
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J'ai terminé de lire "Réparer les vivants" et j'en parlerai une autre fois.
J'ai commencé "Les papillons", c'est écrit par Barcella et c'est assez poétique, dans le sens où parfois ça rime, et j'ai zéro atome crochu avec les rimes en général. Parfois ça rime et parfois ça ne rime pas mais c'est le rythme de lecture qui semble induit par les mots utilisés.
Si ça rime, j'ai les mots qui riment qui se mettent en exergue, comme s'ils apparaissaient en gras, et j'ai du mal à me concentrer sur la signification. Pour les textes en prose, ce sont des citations, des mots importants, les mots des ressentis, les mots des portraits, et c'est tout un plan qui se crée entre mes yeux et les pages, avec du gras, de l'italique, du surlignage et des couleurs. Quand je dis "entre mes yeux et les pages", c'est presque littéral. J'ai comme un plan en surbrillance et je sais le consulter du coin de l'oeil. C'est comme ça que l'histoire s'installe dans mon cerveau, c'est très visuel.
Je suis incapable de comprendre aussi précisément une histoire écoutée. C'est pareil avec les podcasts. Ma perception auditive est tronquée car j'entends les tics de langage, je détaille mentalement la position des organes phonateurs, le placement un peu trop décalé d'un apex ou sa tension un peu trop forte par rapport au souffle qui doit sortir. J'entends l'accentuation des mots, la nasalité ou le voisement, j'entends où se crée le R, où se liquéfie le L, je sens la tension dans le risorius quand un CH est prononcé. Le contenu me demande une concentration profonde. Dans une conversation c'est différent, la dynamique du discours simplifie l'accès au sens.
La lecture associe une perception visuelle, les mots qu'on voit, à une évocation multimodale : verbale car je vois les mots en gras et en couleurs, je crée un plan, visuelle car je vois une sorte de petit dessin animé et auditive car les mots chantent, j'entends parfois une voix, pas forcément la mienne, qui me lit le texte. Une quatrième évocation pourrait exister, celle du ressenti, ça m'est arrivé dans "réparer les vivants". L'évocation varie d'une personne à l'autre, en général dans un mélange équilibré des 4 modalités. Lorsqu'une modalité est surinvestie au détriment des autres, on tombe parfois dans le pathologique, avec des troubles dans la compréhension. Cette association perception-encodage est la base de la gestion mentale et répond parfois à des questions auxquelles je ne savais pas répondre avec ma seule formation de logopède.
Whah ce billet est plus technique que ce que je pensais.
J'apprends dans la foulée que Barcella est un chanteur, du coup c'est un homme et j'ai cherché son identité quand les premières pages décrivaient la mini jupe d'une demoiselle. J'ai soufflé un peu pcq bon. Mais en vrai ça sert à l'histoire, il consacre plusieurs pages à être blasé des femmes avec qui il est et à ne voir que leurs défauts. Je crois que j'ai lu une majorité de livres écrits par des femmes cette année. Barcella a l'air cool et il est même le parrain d'une association dont je fais partie ("on souffle dans ton dos" pour l'immersion scolaire des enfants autistes et handicapés). Bref je vais essayer de m'imprégner du rythme propre à cette lecture qui a l'air assez poétique et au pire je viendrai râler ici si ça m'énerve.
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lounesdarbois · 5 months
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"Article intéressant mais je vous promets que nombre de nationalistes français métissés ne trouvent pas vos propos de nationalisme racial pan-européen, poivré dans quelques articles ici et là, drôle. Ce sont des gens qui se savent trahi. C’est la trahison qui leur incite le plus et quand ils voient qu’après avoir été trahi par les réseaux vétérotestamentaires cosmopolites à la Kalergi, puis par la nouvelle gauche, puis par des influenceurs du nationalisme auparavant français mais finalement racialiste pan-européen, ce seront ces derniers qui se prendront des bombes, innovatrices, mais nuisibles et violentes, des nationalistes français trahis. L’élément est dorénavant planté. Les bombes et autres armes de vengeance commencent déjà à se faire contempler. Ca va finir très mal."
Cher "anonyme".
Le ton de demi-menace et les termes "inciter", "bombes", "armes de vengeance" rendent votre démarche curieuse. Cette équivoque est le privilège des anonymes et la pente naturelle des lettres anonymes.
Est-ce que vous suivez mon parcours? E&R est composé pour 1/3 de banlieusards et métis patriotes comme moi. Depuis 15 ans j'espère en l'avènement d'une classe "racailles patriotes" pour simplifier, comme le furent autrefois corsaires et flibustiers sur les mers pour le compte du Roi. Hommes durs, fraternels, collectifs, et par-dessus tout LOYAUX envers le pays. Ni ratonneurs ni racailles. Loyauté envers le pays c'est loyauté envers les lignées patrilinéaires des hommes de la souche du pays, qui nous ont précédé, qui ont façonné le pays, qui en ont fait ce merveilleux potentiel, cette table toute prête à laquelle nous venons nous asseoir. Les Desouche ont la préséance dans un ordonnancement national. C'est normal. Nul ne récuse la préséance des Desouche en Italie, Tunisie, Thaïlande etc. Voyez comme la Tunisie a expulsé sa 1ère invasion de migrants en 2023! Patriotisme = loyauté = gratitude. Tout le reste est idéologie, névrose, manipulation.
Je viens de Grenoble ultra-gauchiste bordéleux corrompu, j'y ai appris la vie. Je ne suis pas un Français de souche et rallie la France car je n'ai qu'elle, cela par gratitude, par souvenir de tout ce qu'elle m'a donné de Charité, de Beauté, de grandeur et j'aimerais que nos "nationalistes français métissés" dont je fais partie, s'occupent, dans un contexte de racisme anti-Blanc banalisé, de modérer les invectives de certains "métis" attentistes. Les diatribes des Noah, Booba sont des appels à la destruction par métissage et agression et sont i-nac-cep-tables. Le discours de haine de soi de certains bobos Blancs comme Sylvie Laurent, Molard etc doit être critiqué par les Blancs ET les métis unis. "L'humoriste en paix", je ne l'aime pas. Dans les moments cruciaux il a toujours pris la voie facile. L'affaire Obono… Assez de ce "métissage" qui ne tolère les Blancs de France que comme corvéables, métissables dociles réceptacles.
Cher "anonyme" seuls des métis patriotes loyaux (comme vous et moi), sont opportuns pour contredire durement de tels propos. Quand des Blancs le font, le mot magique "raciste" met fin au débat. Nous les métis devront faire face à une autre mise en danger qui sont les références à la "harka" et au "bountisme", j'y reviendrai en détail c'est important.
Je ne suis pas moi un de ces types qui chie sur les Blancs ou au contraire qui appelle à la violence contre tel ou tel autre en restant en retrait.
Nous sommes Français par la bonté des Français qui ne le savent même pas et se croient coupables de tous les maux. Il faut répondre au bien par le bien. Nous ne devons AUCUNE LOYAUTÉ à des partis communautaires quels qu'ils soient: ni chinois du 13e ni LFI ni likoudnik ni antillais ni espagnol ni franmac ni rien de tout ça. Ils n'ont rien fait pour nous, ils sont incapables par eux-mêmes de produire, de servir, d'ordonner, d'apaiser. Quand il y arrivent c'est par la souche française pré-existante. Ils ne sont pas la vraie substance qui souffre, qui paie, qui porte le pays. Par exemple qui en France produit la nourriture ? Les 1% d'agriculteurs blancs persécutés, suicidés de désespoir sans personne pour les aider, accablés de moqueries, d'impôts et d'ingratitude alors qu'ils sont les plus utiles, les plus bosseurs, les moins payés, et pourtant les plus directement issus des plus anciennes lignées populaires françaises.
J'aime Bassem. Et des gars, des bons gars, maghrébins bac+5 m'ont dit "Mais pourquoi tu le relaies c'est une caillera il nous enfonce". Ce n'est pas ainsi qu'il convient de regarder les choses leur ai-je dit. Il faut pour le pays des bac+5 spécialisés et précis oui mais aussi des patriotes de rue, ouvriers, avec émotion directe. J'espère que Bassem fasse un jour de la politique car c'est sa vocation profonde: passer de blogueur "leader d'opinion" à "Grand frère des Français patriotes et traditionnels d'origine immigrée". Mais je prends mes distances quand soudain malgré 10 ans de d'expérience il dit soudain à un gars assez connu "sale gw** de merde". La voie facile du racisme anti-Blanc dans un contexte d'invasion massive constitue une aggravation du déséquilibre. Je suis pour l'équilibre, l'ordre, la tranquillité de l'ordre qui est la définition même de la Paix. Quand on est immigré, écraser les Français de souche conduit par Justice Immanente à se faire ensuite écraser par d'autres immigrés plus récents, ça se vérifie à chaque génération depuis les premiers Italiens de 1960. Aimer les Français de souche rendra la paix au pays et à tous les hommes dans le pays. Les Français de souche doivent sortir de la haine de soi vendue par la Canaille au pouvoir. Et les non-Blancs comme vous et moi doivent aider ces Blancs à s'aimer eux-mêmes. Et nous le faisons non servilement dans un esprit mondain mais pour le pays, pour la "chose en soi" comme disait Kant.
À bien y réfléchir je vous remercie de votre message et des menaces voilées qui s'y trouvent car je dois dévoiler un manifeste qui s'appelle "Vous avez dit bounty?" que j'ai en réserve depuis longtemps et vous m'en rappelez l'urgence.
Cordialement,
Lounès Darbois
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Billionaire wife unhappy with reduction in opportunities for corruption.
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Le futur Premier ministre britannique Keir Starmer a promis vendredi un renouveau national pour le Royaume-Uni, après la victoire écrasante du parti travailliste aux élections législatives qui revient ainsi au pouvoir après 14 ans dans l'opposition. "Notre tâche n'est rien de moins que de renouveler les idées qui maintiennent l'unité de notre pays, un renouveau national", a-t-il déclaré dans un discours prononcé alors que son parti venait de s'assurer une majorité absolue dans le futur Parlement 4 juillet 2024 résultats définitifs du 5
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Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: trois concepts pour comprendre la faillite de la raison discursive, dont le discours analytique révèle le mécanisme logique: plus tu fais de profit plus tu veux en faire, plus tu obéis au surmoi plus tu es coupable, plus tu bois de Coca plus tu as soif...
Le "plus de jouir" lacanien — concept indispensable à la saisie des impasses et paradoxes du parlêtre que nous sommes — est directement tiré de la plus-value marxienne.
Pour "illustrer" l'impossibilité du "riche" à payer, un retour à l'original n'est peut-être pas superflu, et voici donc la logique (hegelienne!) que Marx déploie pour décrire le processus de la "consommation":
"En convertissant une partie de son capital en force de travail, le capitaliste valorise son capital global. Il fait d’une pierre deux coups. Il ne profite pas seulement de ce qu’il reçoit de l’ouvrier, mais aussi de ce qu’il lui donne.
Le capital aliéné dans l’échange contre de la force de travail est transformé en moyens de subsistance dont la consommation sert à reproduire les muscles, les nerfs, les os, le cerveau des ouvriers qu’il a déjà et à engendrer de nouveaux ouvriers.
À l’intérieur même des limites de ce qui est absolument nécessaire, la consommation individuelle de la classe ouvrière est donc la retransformation des moyens de subsistance que le capital a aliénés contre de la force de travail, en une force de travail que le capital peut réexploiter.
Elle est production et reproduction du moyen de production le plus indispensable au capitaliste, l’ouvrier lui-même."
(Le Capital, 1867, Livre I, Quatrième édition allemande, Puf, 1993, p. 642.)
Ce qui n'est pas sans éclairer d'une lumière singulière la fameuse déclaration de Patrick Le Lay (alors PDG de TF1) de la logique sous-jacente des médias:
"Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective ”business”, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit (...).
Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible (...).
Rien n’est plus difficile que d’obtenir cette disponibilité. C’est là que se trouve le changement permanent. Il faut chercher en permanence les programmes qui marchent, suivre les modes, surfer sur les tendances, dans un contexte où l’information s’accélère, se multiplie et se banalise."
Plus-value marxienne, surmoi freudien, objet a lacanien: voilà donc les trois notions paradoxales qui permettent d’aborder le réel dans son rapport au symbolique, et qui permettent de comprendre pourquoi l’idéal de l’échange équilibré reste voué à l’imaginaire, les prétentions rationnelles étant toujours ravagées par une logique de l'excès qui les ruine - plus tu bois de Coca plus tu as soif, plus tu obéis au surmoi plus tu es coupable (plus il t’en coûtera), plus tu fais de profit plus tu veux en faire...
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empiredesimparte · 1 year
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Opening speech of the Cannes Film Festival by His Imperial Majesty Emperor Napoleon V
Only the pronouncement is authentic.
Cinema is part of the Francesim. Francesim saw, in 1895, the first public projection organized by the Lumière brothers at the Salon Indien of the Grand Café in Paris, projection which attracted 33 spectators at 1 Franc the place. In Francesim, one can see simultaneously all the new works, French as well as foreign, a panorama of creativity.
Yes, ladies and gentlemen, the Festival is a time of meetings and exchanges. During two weeks, all the professionals of the cinema, actors, directors, technicians, come daily to share their passion with the public. It is also a time of opening on the foreign very precious.
The Cannes International Film Festival was born from a will to fight against a fascism that had distorted European cinema, and it has never stopped welcoming, protecting and bringing together the greatest filmmakers of their time and from all horizons.
Cinema is a dream that we all share. We all have the feeling that there is, on the map of the universe, one more country, where cities all over the world where stories are told, where images are invented, where children's dreams become adults' dreams.
Thank you @officalroyalsofpierreland and @nexility-sims for sharing your fantastic sims :)
⚜ Traduction française
Discours d'ouverture du Festival de Cannes par Sa Majesté Impériale l'Empereur Napoléon V :
Seul le prononcé fait foi.
Le cinéma fait partie de la Francesim. La Francesim a vu, en 1895, la première projection publique organisée par les frères Lumière au Salon Indien du Grand Café à Paris, projection qui attira 33 spectateurs à 1 Franc la place. En Francesim, l'on peut voir simultanément toutes les oeuvres nouvelles, françaises comme étrangères, un panorama de créativité. Oui, Messieurs Dames, le Festival est un temps de rencontres et d'échanges. Pendant deux semaines, tous les professionnels du cinéma, acteurs, réalisateurs, techniciens, viennent quotidiennement partager leur passion avec le public. C'est également un temps d'ouverture sur l'étranger très précieux. Le Festival International du Film de Cannesest né d’une volonté de lutte, contre un fascisme, qui avait dénaturé le cinéma européen, et il n’a cessé d’accueillir, de protéger et de réunir les plus grands cinéastes de leur temps et de tous les horizons. Le cinéma, c'est un rêve que nous partageons tous. Nous avons tous le sentiment qu'il y a, sur la carte de l'univers, un pays en plus, où les villes partout dans le monde où se racontent des histoires, où ils s'inventent des images, où les rêves d'enfants deviennent des rêves d'adultes.
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raisongardee · 18 days
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"A partir du moment où le capitalisme devient un "fait social total", les catégories qui permettaient de penser le fonctionnement de ses stades antérieurs doivent être en partie redéfinies […] C’est bien sûr ici que les intellectuels de gauche doivent entrer en jeu. Et, de fait, il n’est pas difficile de reconnaître, sous leur déconstruction "postmoderne" de tous les anciens "tabous" de l’idéologie bourgeoise, l’une des formes les plus sophistiquées du nouveau "discours du capital" (comme en témoigne, entre autres, le fait que la carrière d’un universitaire français - du moins dans le domaine des "sciences sociales" - dépend avant tout, de nos jours, du nombre de génuflexions qu’il acceptera d’accomplir devant l’œuvre de Foucault ou de Derrida)."
Jean-Claude Michéa, Notre ennemi, le capital, 2018.
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didierleclair · 3 months
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PAUL AUSTER, VOUS ÊTES DANS MES PENSÉES
L'écrivain Paul Auster me manque beaucoup. Il est décédé le dernier jour d'avril 2024. J'ai adoré certains de ses livres mais ce vide mérite une explication.
Permettez-moi de commencer par dire que comme la plupart des lecteurs qui aiment son travail, j'ai commencé avec « La Trilogie New Yorkaise » (1987). Je l'ai lue quand j'étais étudiant. J’ai trouvé l'œuvre mystérieuse. Toutes ces coïncidences inexpliquées, le pastiche d'un roman policier et la venue d’un personnage appelé Paul Auster. Tout cela m’a donné une bonne idée de l’homme derrière le livre. C’est un écrivain audacieux et curieux.
Cependant, je ne l'ai jamais suivi dans les labyrinthes qu'il a souvent créés dans plusieurs de ses livres. Par exemple, « Voyages dans le Scriptorium » est un livre dans un livre. La spirale a un effet claustrophobe sur moi et je n’aime pas une pièce pleine de miroirs.
Pourtant, j’ai adoré « A Man in the dark », « The Brooklyn Follies », « Moon Palace » et quelques autres dans une certaine mesure.
Maintenant, ce que j’ai le plus apprécié chez lui, ce sont ses interviews. L’homme était un magnifique communicateur. Il donnait tout ce qu’il pouvait à chaque fois qu’un micro était allumé. La franchise, l'honnêteté et la simplicité m'ont conquis. J'écoutais ses interviews sur ses livres, sur la vie ou la politique depuis des années.
Ses conseils aux jeunes écrivains n'ont pas de prix. « Oubliez votre ego ». J’aurais pu utiliser ce conseil dans ma jeunesse. « Ne soyez pas trop attachés aux choses que vous jugez intelligentes dans ce que vous faites. N'attendez rien de personne car le monde ne vous doit rien. »Il le dit avec affection, avec tendresse.
Lorsqu'on lui demande ce qui l'empêche de dormir la nuit, il admet que c'était autrefois savoir s’il pouvait payer le loyer. Est-ce quelque chose que de nombreux écrivains ont vécu ? Bien sûr. Il avait une manière simple de transmettre ses idées, ses pensées. C’est ce qui me manque chez lui et pour très longtemps. La capacité de viser l’essentiel de la vie et de vous le donner directement et sans méchanceté.
Je redoute le discours alambiqué des auteurs, le discours de vente du type égoïste ou celui de l’intellectuel torturé. Ils existent tous, mais Paul Auster n’en fait pas partie. Je suis toujours impressionné quand il parle des parties complexes et mystérieuses de la vie. Son écriture est louable. Mais ses conversations sont mémorables.
Grâce à la technologie, je peux reculer le temps, l'écouter et apprécier son approche humble de la vie. Humble mais audacieuse à la fois. Il partageait sa curiosité de la vie avec tous ceux qui voulaient bien l'écouter.
Dans le roman « Moon Palace », il dit : « Et maintenant, nous arrivons à la partie la plus difficile. Les fins, les adieux et les fameux derniers mots. Si vous n’avez pas souvent de mes nouvelles, n’oubliez pas que vous êtes dans mes pensées.
Vous êtes aussi dans les miennes, Paul.
Didier Leclair, écrivain
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girafeduvexin · 3 months
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youtube
Anne, ma sœur Anne,
Si j’ te disais c’ que j’ vois v’nir,
Anne, ma sœur Anne,
J’arrive pas à y croire, c’est comme un cauchemar
Sale cafard!
Anne, ma sœur Anne,
En écrivant ton journal du fond d’ ton placard,
Anne, ma sœur Anne,
Tu pensais qu’on n’oublierait jamais, mais...
Mauvaise mémoire!
Elle ressort de sa tanière, la nazi-nostalgie:
Croix gammée, bottes à clous, et toute la panoplie.
Elle a pignon sur rue, des adeptes, un parti...
La voilà revenue, l’historique hystérie!
Anne, ma sœur Anne,
Si j’ te disais c’ que j’entends,
Anne, ma sœur Anne,
Les mêmes discours, les mêmes slogans,
Les mêmes aboiements!
Anne, ma sœur Anne,
J’aurais tant voulu te dire, p’tite fille martyre:
"Anne, ma sœur Anne,
Tu peux dormir tranquille, elle reviendra plus,
La vermine!" mais ...
… beaucoup d’indifférence,
de patience malvenue
Pour ces anciens damnés, au goût de déjà-vu
Beaucoup trop d’indulgence,
trop de bonnes manières
Pour cette nazi-nostalgie qui ressort de sa
tanière... comme hier!
Anne, ma sœur Anne,
Si j’ te disais c’ que j’ vois v’nir,
Anne, ma sœur Anne,
J’arrive pas à y croire, c’est comme un
cauchemar...
Sale cafard!
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selidren · 3 months
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Printemps 1921 - Champs-les-Sims
5/10
Cependant, il faut comprendre que Madame Eugénie est en odeur de sainteté par ici. Je ne sais pas si vous étiez au courant, mais elle fête cette année ses cent ans. Figurez vous donc ! Elle est née en 1821. Cela me semble si loin. Elle est encore plus âgée que la maison où le père de Constantin ont vu le jour. Elle nous enterrera tous j'imagine.
Moi-même je suis souvent admirative devant tout ce qu'elle a traversé. Elle a perdu presque tous ses enfants (la dernière qui lui reste est la prieure de Notre-Dame-aux-Bois, à Ognolles), nombre de ses petits enfants et a vécu une vie conjugale tout bonnement catastrophique. On ne compte plus ses mérites, et c'est pour cela que je ne peux m'empêcher d'éprouver de la culpabilité quand elle m'agace en se mettant en travers du bien-être de mes enfants. J'ai été d'autant plus active dans l'organisation des festivités. Une partie sera réservée à la (très nombreuse) famille, à la maison, et il y aura même un discours de Monsieur le Maire Musclet (l'époux de l'une de vos nièces par Jeanne) sur la place du village. Il remettra à Madame Eugénie une sorte de médaille, mais sans réelle signification légale il me semble.
Pendant ce temps, elle a continué ses missions familiales telle une ambassadrice de la société des nations. Son dernier exploit en date (et qui augmente d'autant plus la brillance de son auréole) est la réconciliation imminente entre Adelphe et ses enfants, même si le conflit est davantage avec Alexandre qu'avec ses filles. Elle a fait reconnaître ses torts à mon beau-frère avec un certain brio, il faut bien l'admettre, et a initié le dialogue entre père et fils. Ce dernier s'est grandement apaisé. De ce que j'entends, il est beaucoup moins sujet à ses accès de colère et de tremblements qu'auparavant, même si il est certain que personne ne l'en guérira. Il a d'ailleurs assuré à son père que c'est à cause de cela qu'il repousse sans cesse son mariage avec Sylvette. Il pense que cela serait mauvais pour elle de devoir supporter ses propres fardeaux, et je partage ses inquiétudes.
Transcription :
Alexandre « Vous devriez aller vous coucher Grand-Mère, la journée de demain ne va pas exactement être de tout repos. »
Eugénie « J’ai été sommée de débarrasser les lieux dans ma propre maison et voici qu’on veut maintenant me mettre au lit et me border comme une petite fille. Je sais bien que je vais fêter mon centenaire, mais je n’aime pas bien qu’on me traite comme si j’étais en verre. »
Alexandre « Ce n’est pas ce que je... »
Eugénie « Allons bon, je te taquine mon garçon ! Je ne vais pas tarder à aller au lit, mais je voulais prendre un peu de temps pour venir te parler en toute tranquillité. Je ne suis pas la seule à me coucher à des heures tardives semble t-il... »
Alexandre « Vous savez que j’ai du mal à dormir, ne revenez pas dessus. »
Eugénie « Non, je l’ai bien compris. Par contre, j’aimerais que nous discutions de cet autre sujet de litige. »
Alexandre *soupire*
Eugénie « Allons, je sais que ton père est passé vous voir aujourd’hui. Avez-vous parlé ? Sans crier, j’entends. »
Alexandre « Oui, mais ce n’est pas pour autant que tout est réglé. »
Eugénie « Vraiment ? Développe donc ! »
Alexandre « Et bien… Il s’est excusé, ce qui me semble être la moindre des choses, puis il m’a détaillé le récit de toutes ses visites précédentes. Comme si c’était à moi qu’il lui fallait rendre des comptes. »
Eugénie « N’est-ce pas le cas ? Il s’est toujours senti énormément coupable pour ce qu’il s’est passé. »
Alexandre « Ne revenez pas là dessus, je sais bien que j’ai eu tort de l’accuser des pires horreurs. Ce n’est pas de cela que nous devions parler. »
Eugénie « Mon garçon, cesse donc de tourner ainsi autour du pot ! Je t’ai connu bien moins casanier. »
Alexandre « J’admets qu’il a fait des efforts. »
Eugénie « Mais ? »
Alexandre « Mais c’est encore un peu tôt pour le pardon. Mais je lui pardonnerai un jour. »
Eugénie « Tu es un bon garçon. »
Alexandre « Arrêtez avec cela, je ne suis plus un enfant depuis très longtemps. »
Eugénie « Certainement, tu as même la moustache que ton père a toujours rêvé d’avoir. Mais puisque tu mentionnes ton âge, il est temps de revenir sur le dernier sujet de litige qui nous concerne. »
Alexandre « Qui nous concerne ? Je… Ah non ! Cela ne vous regarde absolument pas ! »
Eugénie « Tout me regarde dans cette famille, c’est moi qui ait mis ta grand-mère au monde jeune homme ! Tu devrais le savoir puisque tu n’est plus un enfant. »
Alexandre « Au moins vous ne me donnez plus du « mon garçon »... »
Eugénie « Alors donc, quand vas-tu épouser ta bonne amie Sylvette ? »
Alexandre « Heu… et bien je ne sais pas. Ce n’est pas le bon moment pour moi, c’est tout. »
Eugénie « Alors inutile de la faire attendre si longtemps. Si tu ne comptes pas l’épouser, laisse la avant que son honneur ne soit ruiné. »
Alexandre « Mais… je n’ai jamais dit que je ne voulais pas l’épouser ! »
Eugénie « Fichtre, qu’est-ce que c’est que ces histoires de ne pas être prêt alors ? Ce ne sont que des excuses. Quand nous nous marions, nous ne sommes jamais prêt. Nous sommes prêts quand arrive le premier enfant et que nous sommes devant le fait accompli. »
Alexandre « Je ne suis pas en état de me marier maintenant. Par pitié, ne faites pas semblant de ne pas comprendre... »
Eugénie « C’est toi qui ne comprends pas il me semble. Un jeune homme qui a connu toutes ces horreurs, qui a été si courageux, il ne peut pas s’en sortir sans une femme à ses côtés. La petite veuve Barthélémy par exemple, elle serait bien sotte de ne pas épouser cet anglais venu d’on ne sais où mais avec un bon patrimoine. Tous ce dont ils ont besoin, c’est de se marier. Et c’est la même chose pour toi ! »
Alexandre « Je ne pense pas vous voyez. Et si vous vous inquiétez pour l’honneur de Sylvette, sachez que je n’ai jamais rien fait qui puisse l’entacher. J’attends simplement… d’aller mieux, c’est tout. S’il vous plait, ne nous fâchons pas la veille de votre anniversaire, ça ne me ferait pas plaisir. »
Eugénie « Moi non plus mon petit, moi non plus. Nous en reparlerons plus tard si tu y tiens. »
Alexandre « C’est gentil, mais je n’y tiens pas tant que cela. La manière dont je conduis ma vie me satisfait plutôt bien. »
Eugénie « C’est cela, c’est cela… Nous en reparlerons une autre fois. En attendant, il est temps d’aller se coucher. »
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