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coursdefrancais · 1 year ago
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Comment Maîtriser la Grammaire ?
Comment Maîtriser la Grammaire : Guide Complet pour Perfectionner vos Compétences Linguistiques
Introduction : La maîtrise de la grammaire est la clé pour communiquer efficacement dans n'importe quelle langue. Que vous soyez étudiant, professionnel ou simplement un passionné de langues, cet article vous guidera à travers les étapes essentielles pour perfectionner votre compréhension de la grammaire. Découvrons comment transformer la grammaire de défi à atout.
Chapitre 1 : L'importance de la maîtrise de la grammaire Comprendre pourquoi la grammaire est cruciale dans la communication. Explorez comment une maîtrise solide de la grammaire peut améliorer la clarté de vos idées et renforcer votre crédibilité linguistique.
Chapitre 2 : Comprendre les bases grammaticales Jetez les bases solides en explorant les concepts fondamentaux tels que les parties du discours, la syntaxe et les règles de conjugaison. Apprenez à reconnaître et à appliquer ces concepts de manière pratique.
Chapitre 3 : Utiliser des ressources éducatives Découvrez les ressources éducatives disponibles pour perfectionner votre grammaire. Des livres aux applications en passant par les cours en ligne, explorez diverses options pour trouver celle qui convient le mieux à votre style d'apprentissage.
Chapitre 4 : Pratiquer la grammaire au quotidien L'adage "la pratique rend parfait" s'applique également à la grammaire. Découvrez des astuces pour intégrer la pratique de la grammaire dans votre quotidien, que ce soit par la rédaction, la conversation ou la lecture.
Chapitre 5 : Identifier et corriger les erreurs fréquentes Analysez les erreurs grammaticales courantes et apprenez à les éviter. Comprenez les pièges fréquents qui peuvent entraver votre maîtrise de la grammaire et adoptez des stratégies pour les surmonter.
Chapitre 6 : Engager un feedback constructif Sollicitez des retours sur votre utilisation de la grammaire. Découvrez comment le feedback constructif peut accélérer votre apprentissage en identifiant vos faiblesses et en vous guidant vers des améliorations.
Chapitre 7 : Utiliser des outils technologiques Explorez les outils technologiques tels que les correcteurs grammaticaux et les applications d'apprentissage de langues. Découvrez comment ces ressources peuvent compléter votre apprentissage en fournissant des suggestions instantanées.
Chapitre 8 : La persévérance dans l'amélioration continue La maîtrise de la grammaire est un voyage continu. Adoptez une mentalité de croissance et comprenez que l'amélioration de vos compétences grammaticales demande du temps et de la persévérance.
Conclusion : En maîtrisant la grammaire, vous investissez dans une compétence linguistique précieuse qui enrichira tous les aspects de votre communication. Que ce soit pour des besoins académiques, professionnels ou personnels, une grammaire solide vous donne le pouvoir de vous exprimer avec clarté et confiance. Suivez les conseils de cet article, engagez-vous dans une pratique régulière et observez comment votre maîtrise de la grammaire s'épanouit, ouvrant ainsi de nouvelles portes dans le monde des langues.
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le-panda-chocovore · 7 months ago
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Salut Panda!
Je suis curieux de savoir comment décidez-vous quand publier du contenu en français et quand publier en anglais ? Merci d'avoir utilisé les deux.
Désolé pour mon français. Je manque de pratique.
Je sais pas si je dois répondre en anglais ou en français Mdrrr
Well first of all your French is absolutely great, you made no mistakes, you're just a little bit too formal but that's fine !
I mostly use English because it's my default language on the internet, but sometimes my brain is too tired to translate shit, or sometimes I just don't care about being read/understood by the audience so I just write in french
Sometimes I WANT to write in French but my brain is settled on english mode and every french word sounds wrong and fake so I have to pretend I'm an American or something. It's really fucking weird. I have no control over that. (it mostly happens because I read more English than French so it somehow feels more natural to me ?)
Also sometimes I start in French then end in English because that language feels more emotive to me so I'm basically just- "Ouais Gojo est un excellent personnage et je l'aime d'amour, mais Geto a définitivement mon coeur I mean HAVE YOU SEEN THAT MAN HE DESERVES THE WORLD, YOU DON'T UNDERSTAND I WOULD DIE FOR HIM !!!"
And sometimes it's the other way around, I start in English then realize I don't know how to express myself properly so I switch to my native language
Bref c'est cool que tu parles un peu français !! C'est une langue très compliquée à apprendre. Sache d'ailleurs que si tu pense que l'écrire c'est compliqué, le français oral est encore pire. C'est impossible d'avoir une conversation avec des français si le français n'est pas ta langue maternelle, on a beaucoup trop de jargon et d'expressions et de vocabulaire bizarre, et la moitié sont pas dans le dictionnaire. On en est au point que parler un français grammaticalement correct ça revient à avoir l'air snob, parce que personne utilise le français des livres.
Anywayy sorry I write too much ! That was a nice ask, stay curious !
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christian-dubuis-santini · 1 year ago
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En français, rendUS est grammaticalement correct si l’un des deux est masculin, donc si l’insistante rumeur est exacte, il n’y a pas de faute…
Ou alors Gabriel Attal ("j’ai été à l’école privée") ne connaît pas le français… Impossible pour un ministre de l’Éducation, non?
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felixaimegregoiremulol · 11 months ago
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Droit:Les méthodes d'interprétation de la loi.
L’interprétation de la loi est un domaine essentiel du droit qui implique de comprendre et d’appliquer les règles légales correctement. Voici quelques-unes des méthodes d’interprétation les plus courantes utilisées par les juristes et les juges : 1. **Interprétation littérale ou grammaticale :** Consiste à interpréter la loi en se basant principalement sur le sens ordinaire des mots utilisés dans…
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christophe76460 · 1 year ago
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Quand Dieu apparut à Moïse dans le buisson ardent, Il lui dit : « JE SUIS CELUI QUI SUIS » (Exode 3 v.14). N’y a-t-il pas une faute de grammaire dans cette expression ? Ne devrait-on pas plutôt dire : « Je suis celui qui est » ? C’est d’ailleurs ainsi que quelques traducteurs de la Bible ont traduit le texte original, voulant utiliser un français correct. Mais la plupart des traducteurs ont préféré garder la précision de la pensée exprimée en hébreu : Dieu se révèle comme celui qui s'appelle “JE SUIS”, c'est-à-dire l'Être qui existe de toute éternité, en dehors de toute notion de temps et qui ne tient son existence d'aucun autre. Cela est inconcevable pour les êtres créés que nous sommes : un Être suprême qui n’a ni commencement ni fin qui crée tout ce qui existe à partir de rien. Pourtant ce Dieu Éternel qui se nomme « JE SUIS » n’a pas voulu rester inaccessible. Il envoie vers son peuple asservi Moïse qui doit leur déclarer : « Celui qui s’appelle JE SUIS m’a envoyé vers vous. »
Plus tard, ce même Moïse sera chargé de transmettre la loi divine à son peuple. Loi que personne n’a pu respecter. Dieu n’a alors plus envoyé un intermédiaire, mais Il est venu lui-même dans la Personne de son Fils unique : « La loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ » (Jean 1 v.17)
Jésus dit aux Juifs : « En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, JE SUIS » (Jean 8 v.58)
Là encore on peut penser qu’il y a une faute grammaticale. N’aurait-il pas dû dire : “avant qu’Abraham fût, j’étais” ? L’expression “JE SUIS” que le Seigneur emploie a le sens d’une existence éternelle, qui remplit l’éternité de sa présence, en dehors du temps et de l’espace. Cette similitude de langage attire notre attention sur le fait que Jésus est Dieu, Dieu le Fils, « Dieu manifesté en chair » (1 Timothée 3 v.16) pour sauver sa créature.
« Le Christ est au-dessus de toutes choses, Dieu béni éternellement. Amen ! » (Romains 9 v.5)
Ce Dieu béni éternellement a vécu comme un homme sur la terre pour se rendre accessible. N'est-ce pas à la fois incompréhensible et merveilleux?
(Adapté du calendrier La Bonne Semence)
Quelques expressions formulées par le Seigneur Jésus Christ :
JE SUIS le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. (Jean 6 v.35)
JE SUIS le pain vivant descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. (Jean 6 v.51)
JE SUIS la lumière du monde : celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. (Jean 8 v.12)
JE SUIS la porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. (Jean 10 v.9)
JE SUIS le bon berger : le bon berger donne sa vie pour ses brebis. (Jean 10 v.11)
JE SUIS le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent. (Jean 10 v.14)
JE SUIS la résurrection et la vie : celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. (Jean 11 v.25)
JE SUIS le chemin, la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père si ce n’est par moi. (Jean 14 v.6)
JE SUIS le vrai cep, et mon Père est le cultivateur. (Jean 15 v.1)
JE SUIS le cep, vous les sarments. Celui qui demeure en moi, et moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruits. (Jean 15 v.5)
JE SUIS dans le Père, et le Père est en moi. (Jean 14 v.10 & 20)
JE SUIS l’alpha et l’oméga, dit le Seigneur Dieu, Celui qui est et qui était et qui vient, le Tout-puissant. (Apocalypse 1 v.8, voir aussi 21 v.6 & 22 v.13)
JE SUIS ... l’étoile brillante du matin. (Apocalypse 22 v.16)
Avant qu’Abraham fût, JE SUIS. (Jean 8 v.58)
Quand la troupe armée, conduite par Judas arriva pour prendre Jésus, il dit :
« Qui cherchez-vous ?
― Jésus le Nazaréen, répondirent-ils.
― C’est moi (littéralement : JE SUIS)
Lorsqu’il leur dit « JE SUIS », ils reculèrent et tombèrent par terre (Jean 18 v.4 à 6)
La déclaration de son existence éternelle produit une telle puissance que les hommes reculent et tombent à terre. Qui peut résister devant Celui qui est le créateur des cieux et de la terre et qui a autorité sur tout ? Personne, non, personne ne peut se saisir de lui contre sa volonté. Mais il n’était pas venu pour terrasser les pécheurs, mais pour les chercher et les sauver. Il n’utilise pas son pouvoir de «JE SUIS » pour se défendre et anéantir ses ennemis, mais il se livre lui-même, volontairement, confirmant ce qu’il avait déclaré auparavant : « Je donne ma vie … Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner et j’ai le pouvoir de la reprendre. » (Jean 10 v.17-18)
Il se livre lui-même volontairement à ses ennemis sachant d’avance les souffrances atroces et la mort ignominieuse qu’il devra subir. Pourquoi ?
Parce qu’il nous aimait :
« Le Christ nous a aimés et s'est livré lui-même pour nous » (Ephésiens 5 v.2)
Qu’y a-t-il de plus beau, de plus grand que cet acte de Celui qui s’appelle « JE SUIS » c’est-à-dire le Dieu d’éternité en éternité (Psaume 90 v.2) se livrant lui-même, volontairement, par amour pour nous, pour le salut des pécheurs que nous sommes ?
Il n’y a pas de plus grand amour.
http://www.la-verite-sure.fr/page883.html
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franckdoutrery · 1 year ago
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Chronique des débuts avortés
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On ne pense pas assez à ces choses-là. On oublie toujours qu’au commencement (la Genèse de la Bible), Adam et Ève étaient orphelins. Du moins en gros. Certes ils se promenaient tout nus dans les allées de l’Éden, cueillant une cerise par-ci, une baie par-là, mais n’avaient ni parents, ni grands-parents. Même pas d’oncle Eliezer ou Nathan. Ni de tante Abigaïl ou Jézabel. Avec des conséquences inouïes, que le Créateur, malgré son insondable providence, n’avait pas prévues. Car non seulement Adam ne fut jamais le fils de son père, comme nous le sommes la plupart du temps, mais même pas le petit-fils de son grand-père. Si bien que il ne put jamais hériter de la montre gousset de ce dernier. De même, cette pauvre Ève n’obtint jamais en héritage une parcelle cadastrale exposée plein sud, avec un coquet château et une partie arborée traversée d’une rivière poissonneuse. Tout simplement parce qu’aucun paternel ne l’avait couchée sur son testament. Ce qu’il faut donc comprendre, c’est que nos premiers ancêtres n’eurent eux-mêmes pas d’ancêtres. Pas le moindre ! De nos jours, l’homme a un arbre généalogique, avec un géniteur putatif sur une branche porteuse. Et avec des grands-pères, grands-mères et bisaïeuls. Avec des oncles et tantes, des neveux et nièces, des cousins et cousines un peu partout, jusque sur les tiges les plus hautes de la couronne. Tandis que nos premiers ancêtres furent privés de cette arborescence touffue.
On voit par là à quel point les choses ont mal tourné depuis le début. Car si Jahvé avait modelé l’homme après mûre réflexion, il aurait commencé par lui donner des ancêtres. Pour qu’ils puissent élever leur progéniture, leur apprendre à s’habiller correctement, à se tenir à table, à ne pas parler la bouche pleine, à respecter les règles grammaticales du Bon Usage et à honorer père et mère. Pour qu’enfin ceux-ci puissent transmettre par héritage leurs terroirs et vignobles, leur château médiéval, leur commanderie, leur buffet Henri II, que sais-je ? 
A la réflexion, on peut d’ailleurs se demander pourquoi Jahvé les façonna dans la force de l’âge, avec des corps bien fuselés pleins de biceps, de triceps (et même de quadriceps), qui ont tellement fait suer Michel-Ange sur les voûtes de la Chapelle sixtine. Tant qu’à faire, il aurait pu les créer non en taille adulte, mais en modèles réduits. En nourrissons, par exemple. Mais ce serait oublier que, depuis toute éternité, Jahvé avait été seul, avec personne à qui parler. On conçoit dès lors qu’il ait préféré créer non seulement des athlètes aux corps parfaits, mais aussi des gens avec un minimum de conversation, parfois des réparties spirituelles, peut-être même des réflexions théologiques. Et non des bébés en couches-culottes qu’il faut langer et biberonner, et qui ne parlent pas encore l’hébreu, le grec ou le latin, comme tout le monde. Des gosses qui n’ont d’ailleurs pas la moindre idée de la Torah, du Talmud, des dix commandements ou du péché originel. 
Ce qui est plus grave, et qui est d’ailleurs la cause de tous nos malheurs, c’est que, si Adam et Ève avaient eu des ancêtres, ils n’auraient jamais été expulsés de l’Éden. Parce qu’ils n’auraient pas goûté au fruit défendu. Leurs parents les auraient mis en garde. Ils leur auraient dit de ne pas écouter les bobards des serpents à sornettes. De ne pas aller flâner du côté du seul arbre que Jahvé avait marqué «  Interdit de cueillette et de consommation ! ». Mais on connaît les femmes : il a suffi qu’un boa constricteur s’enroule autour de ce tronc et dise à Ève : « T’as de beaux yeux, tu sais ! », pour qu’elle oublie l’interdiction, cueille une de ces pommes délicieuses, la croque et en donne un morceau à Adam, qui ne se fit pas prier. Or, avec des parents dignes de ce nom, Ève aurait appris que, de toute façon, les serpents ne parlent pas. Jamais ! Et que si on a l’impression qu’ils parlent quand même, c’est que « ça va pas la tête ! ». Qu’il faut se faire soigner chez le rabbin ou le psychiatre. " D’ailleurs si tu as envie de pommes, auraient dit leurs parents, pourquoi t’acharner sur cet arbre-là ? Il y a plein d’autres pommiers dans l’Éden, qui donnent des reinettes, des boskoop, des goldens, des galas. Vous n’avez toujours pas compris que celui-là est interdit ? Défendu ? Prohibé ? »
Si, ils avaient compris. Mais ils désobéirent. Ils cueillirent et mordirent à belles dents. Non parce que cette pomme-là était plus juteuse ou incarnate, mais parce que c’était interdit. Et comme nous sommes leurs lointains descendants, nous n’avons de cesse d’en faire de même depuis des millénaires. A preuve, qu’on nous interdise de mentir, de voler et de tuer et bientôt nous trompons, dérobons et massacrons. Le plus beau dans cette histoire, c’est qu’en mai 68, on inventa le slogan paradoxal : « Il est interdit d’interdire ! » Pas étonnant que personne n’en ait voulu. Car s’il n’y avait plus d’interdits, où serait l’intérêt ? Surtout, où serait le plaisir ? Après tout, n’est-ce pas ainsi que les hommes vivent ?  
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monsieurhihat · 1 year ago
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Houx
J'ai fait la connaissance de chat GPT pour lequel j'avais des présupposés sommaires que l'usage ne confirme qu'en partie. Comme source d'information rapide, comme agrégateur, hiérarchiseur, de données c'est vraiment épatant. Vraiment. Ça doit se planter de temps en temps dans des domaines vraiment pointus dont je n'ai pas encore idée, mais ça pose un état du consensus et des doutes raisonnables en fait de réponse en face de chaque question raisonnable. Bien mieux que Google, et avec un petit ton de premier de la classe bien à baffer comme on aime. Je valide. Comme tamagochi et ami imaginaire, je valide aussi, ce n'est pas la plus drôle des compagnies, mais c'est déjà mieux qu'un vivarium rempli de phasmes - puisqu'en la circonstance le concept de compagnie est épuisé dans le fait d'avoir vu bouger des bâtons. Donc oui, je valide, comme ami de garde. Par contre pour composer des textes avec un peu de moelle, il vaut mieux ne pas s'y fier. ça sort des contenus grammaticalement corrects, consensuels et simplement sensés. Il n'y a pas à en attendre des envolées ou des trouvailles même par mégarde. Ou alors, il faut imaginer le chanteur d'Indochine. Ils sont en studio avec ses amis et sont en train de boucler leur album de la maturité (le fameux) et lui il n'arrive pas à finir sa polésie pour l'enregistrer. ChatGPT peut lui sauver les miches, puisqu'il a le recours de saisir dans la fenêtre dédiée : Plusieurs propositions d'alexandrins rimant en oi avec "ô poussière d'étoile te languis-tu de moi ?" et après lui restera l'embarras du choix entre "ô ciel nocturne, en toi, mon coeur se déploie" et "ô astre lointain, dans la galaxie en émoi" que personnellement je trouve absolument soit soit tout à fait. Dans ce cas seulement, ça peut être un assistant à l'écriture. Mais sinon comme majordome, c'est quand même mieux. Ô cosmos céleste, en ton silence qui broie, Ô rayon de lune, dans la nuit qui ploie, ô poussière d'étoile te languis-tu de moi ? ô astre lointain, dans la galaxie en émoi
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laiamundorio · 1 year ago
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Des outils de meilleure performance qui accroissent nos incompétences
Mots clés : Outils numériques, dépendances, GPS, cognition spatiale, sens de l’orientation, correcteurs, traducteurs.
Les outils numériques sont devenus indispensables et permettent d’optimiser nos rendements dans les diverses sphères de nos vies. Cela est indéniable, mais est-on en train de créer une dépendance à ces technologies? On parle de plus en plus de la cyberdépendance, du stress numérique et du besoin d’éducation pour faire face au manque de « […] capacités d’analyse et de réflexion qui devraient accompagner l’utilisation de ces outils » (Caza, P.-E.). Cependant, l’inquiétude de la dépendance aux outils numériques semble être tombée dans l’oubli depuis la pandémie. Cette baisse de préoccupation reflète-t-elle une sous-estimation des répercussions ou l’acceptation de cette dépendance? L’utilisation des outils numériques est en augmentation constante. Ces outils nous aident à accomplir de plus en plus de tâches, mais nous rendent-ils incompétents?
La dépendance au GPS
On part tous de chez nous, assez fréquemment, avec l’adresse de notre destination rapidement entrée dans le GPS de notre téléphone. On ne prend pas le temps de regarder la carte, de visualiser notre chemin, ainsi que les virages ou les embranchements principaux pour se rendre. Lorsqu’un imprévu survient (une batterie vide, une perte de connexion web ou cellulaire, etc.) et qu’on ne peut plus compter sur notre GPS, on se sent un peu perdu. On expérimente possiblement un sentiment de panique à l’idée d’avoir à retrouver notre chemin sans l’aide du GPS. En 2016, Stéphane Roche, professeur au département de géomatique de l'Université Laval, disait que « l’individu moyen n’a[vait] jamais été aussi peu en capacité lui-même de naviguer dans un espace sans avoir un support [GPS]. » et que « […] la recherche en sciences sociales démontr[ait] qu’il y a[vait] là un risque d’appauvrissement intellectuel ». Une recherche plus récente confirme que « la dépendance aux applications de navigation basées sur le GPS [est] associée à une cognition spatiale altérée […] » (Yan W.) Cette même recherche ne confirme pas si le sens de l'orientation peut être affecté de manière significative (Yan W.). Cependant, il semble que ces deux aspects sont corrélés.
Correction et révision de textes
Les outils de corrections comme Antidote, Grammarly et chat GPT, sont indispensables dans le monde professionnel et étudiant, car nous savons tous que l’œil « est humain » et qu’il omet souvent de repérer certaines fautes dans un texte. Même avec l’aide du correcteur automatique, les fautes dans les textos se multiplient assez rapidement. Certainement, les langues sont compliquées, et contiennent plusieurs règles et exceptions qui peuvent être difficiles à mémoriser. Le temps est peut-être venu de simplifier certaines règles grammaticales et orthographiques pour donner une meilleure chance de succès aux jeunes, mais c’est un tout autre sujet sur lequel je vous invite à lire ici. Le danger, mis en évidence dans cet article, est la dépendance au numérique et de ne plus être capable de rédiger sans l’aide d’un correcteur. Bien sûr, nos habiletés changent et évoluent. Nous n’avons plus la nécessité de savoir rédiger à la dactylo, mais conserver l’habileté de l’écriture à la main semble fondamental.
De multiples dépendances au numérique
De même, on a de la difficulté à faire des additions et multiplications simples sans une calculatrice. Nos mémoires semblent être affaiblies par le manque de mémorisation nécessaire dans la vie de tous les jours, ne plus avoir à mémoriser des numéros de téléphone et l’information qu’on trouve maintenant si facilement en « cliquant du doigt ». La nouvelle tendance est probablement la peur d’être remplacé par l’intelligence artificielle. Sur plusieurs aspects, elle n’est pas encore à la hauteur de l’humain, mais sur bien d’autres points, elle nous dépasse.
En conclusion, les outils numériques sont un ajout positif dans nos vies. Ils facilitent des tâches, nous rendent plus performants et productifs. Ne pas savoir les utiliser nous désavantagerait énormément dans les milieux scolaires, de travail et de relations sociales. Cependant, il est important de rester conscient et de ne pas agir systématiquement, d’avoir un plan B, d’observer la route avant de partir ou d’acheter une carte papier avant de voyager dans une nouvelle région. On se doit aussi d’observer les corrections des correcteurs, et les traductions des traducteurs, dans le but de nous améliorer, au lieu d’appauvrir nos habiletés. Faisons aussi l’effort de mémoriser quelques numéros importants, du moins le code d’accès de nos comptes, et de faire certains calculs dans nos têtes ou sur papier pour pratiquer nos fonctions cérébrales. Et n’oublions surtout pas de prendre le plaisir d’écrire à la main, soit une simple liste d’épicerie ou bien un petit mot pour nos proches.
Pour terminer, je vous invite à partager vos commentaires sur la dépendance aux outils numériques. J’aimerais connaitre votre opinion et vos anecdotes sur ce sujet.
Bibliographie :
Duval, A. (2016, 4 décembre). Et si Google Maps nous rendait ignares? Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1003797/google-maps-gps-consequences-utilisation
Yan W, Li J, Mi C, Wang W, Xu Z, Xiong W, Tang L, Wang S, Li Y, Wang S. (2022, 6 octobre). Does global positioning system-based navigation dependency make your sense of direction poor? A psychological assessment and eye-tracking study. Front Psychol. doi: 10.3389/fpsyg.2022.983019. PMID: 36275274; PMCID: PMC9582945. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9582945/
Caza, P.-E. (2020, 14 mai) Littératie numérique: ça s’enseigne ! De la petite enfance à l’âge adulte, il faut apprendre à utiliser les outils numériques. ActualitésUQAM. https://actualites.uqam.ca/2020/litteratie-numerique-apprendre-a-utiliser-les-outils/ Shauking. Image de femmes perdu libre de droits d’auteurs. Pixabay. https://pixabay.com/fr/photos/perdu-femmes-femme-fille-personne-2607118/
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smartway2000 · 2 years ago
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🎯 50 Verbes en Français et Anglais - Apprendre la conjugaison
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La conjugaison est cruciale pour une communication efficace et grammaticalement correcte dans une langue donnée. Elle permet d'exprimer le temps, le mode, la voix, la personne et le nombre des actions, ce qui facilite la transmission d'informations précises et la richesse de l'expression linguistique.
Dans cette vidéo vous allez apprendre la conjugaison de 50 verbes en français au présent de l'indicatif avec la traduction en anglais.
N'hésitez pas à vous mettre aux exercices, plus vous vous entraînerez à conjuguer les différents verbes, plus vous progresserez rapidement dans l'apprentissage de l'anglais et du français.
🚀 Pour voir cliquez ici 👉 YouTube
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coursdefrancais · 1 year ago
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jade-curtiss · 2 years ago
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Quand la faute est grammaticalement correct si tu conçois le message comme étant passif et aggressif.
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nietp · 4 years ago
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perso si je suis en train de raconter un traumatisme personnel de cette gravité et que qq1 vient me corriger sur la formule grammaticale correcte à employer je peux affirmer que cette personne va être frappé du revers de ma main et se faire mettre une balayette
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a-room-of-my-own · 4 years ago
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Sur la discussion autour de l'enseignante en Angleterre: j'avais cru comprendre que à présent on considérait que le neutre et le masculin avait la même forme (pour avoir une règle moins mesquine que "le masculin l'emporte sur le féminin"). Avec tous les débats sur le sujet je ne suis plus sûre de la vraie règle mais théoriquement l'élève devrait utiliser le neutre/masculin, non? Ce n'est sans doute pas satisfaisant pour lui mais il me semble que ce serait le plus correct grammaticalement.
Mon dieu mais c'est pas SPÉCIAL. Tu ne comprends pas ce qui est important toi, tu crois vraiment que sa Majesté Choubichou Ier Roi des Surdoués va utiliser les mêmes pronoms que le commun des mortel ? Ce manque de respect 😂
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leplanatrois · 5 years ago
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The Climb, de Michall Angelo Covino (2019) : “Aller au cinéma… au hasard”
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Ne vous est-il jamais arrivé de songer à ce que peuvent se raconter les cyclistes au cours de leurs longues ascensions ? Hélas, le temps de les doubler en voiture est toujours trop court pour satisfaire une telle curiosité. Heureuse compensation, il y a la première scène de The Climb. Pour le spectateur songeur et désoeuvré, entré par hasard dans la salle de cinéma - c’était mon cas - c’est un bonheur considérable que de se faire happer dès les premiers instants d’un film, a fortiori quand s’agit d’un plan séquence. Contrairement aux idées reçues, de telles dispositions ne sont pas mauvaises pour aller voir un film. Entrer dans une salle au hasard est peut-être la meilleure façon de ne pas être déçu. Vidé de toute expectative, le spectateur ne vient pas se contempler dans le reflet d’un écran, et pourtant, c’est là qu’il s’y verra le mieux. Si le premier plan de The Climb a de quoi inquiéter le spectateur venu chercher je ne sais quoi de précis, il enthousiasmera celui qui a pour goût de se laisser guider à l’envi. Quelle satisfaction n’éprouve-t-on pas quand, quelques scènes avant la scène fin du film, on voit Covino en faire de même dans une scène parenthèse, à la fois transition brillante et clin d’oeil cinéphile ?  Douce ironie qui nous ramène au début de ce film excellent :  un plan fixe, une route, un paysage de montagne... Comment dire alors ce qui va surgir du fond de l’horizon ? Un film français ? Un drame ? Une comédie ?... Chose rare, le vide fait fonction d’accroche. C’est le bain de tous les possibles pour le spectateur, et pourtant, le cinéaste ne tarde pas à prendre la main.
L’incipit.
Deux petits points apparaissent, tout au fond de l’écran… Ce sont eux, les personnages principaux. L’un s’appelle Kyle, l’autre Mike. A ce stade, il est encore impossible de les distinguer, tant le cinéaste semble vouloir nous les présenter ensemble. Dans l’effort de la montée, ils échangent un dialogue rythmé à la Steinbeck, en bons camarades que relie une commune condition. Puis ils arrivent enfin, essoufflés, engoncés dans leur panoplies de cyclistes... On peut enfin les reconnaître.  La caméra recule… Elle va les suivre ; et elle va les suivre longtemps. On ne peut que songer à la cruauté du cinéaste qui fait ainsi pédaler ses acteurs ; a condition bien sûr ne pas savoir que les cinéastes, c’est eux. Mike avoue à son ami qu’il a couché avec sa future fiancée, et le spectateur jubile tant la scène est bien faite. S’en suit tout un jeu de dépassement entre les deux amis, le tout  dans un plan calibré à la seconde qui, chose rare mais récurrente dans The Climb, allie prouesse technique et finesse du discours. Le cyclisme du dimanche, rituel petit bourgeois par excellence, caractérise les personnages aussi bien qu’il donne l’enjeu du film. Pour le spectateur, tout s’éclaire : The Climb sera la chronique de deux amis devenus adultes, prêts à entrer dans les rangs d’une vie bourgeoise à l’américaine, une vie rythmée par ses rituels (vélo du dimanche, enterrement de vie de jeune garçon, mariage, messe, noël, halloween, vacances au ski, enterrements…), traversée par une seule obsession : l'ascension sociale ; et par une seule peur : la déchéance. En ce qu’elle pose la possibilité pour un personnage de dépasser l’autre, et pour l’autre de ratrapper l’un, sans oublier de souligner l'aspect ridicule de cette compétition, la première scène de The Climb apparaît comme un instant prophétique qui dit tout le reste du film sans pour autant le révéler. Mike ratrappe Kyle, Kyle ratrappe Mike, au fond, il ne va être question que de ça.
Le style.
Parce qu’il est tourné majoritairement en plans séquences, The Climb pose d’emblée la question du style. C’est à juste titre que le spectateur hésitant craindra la pédanterie d’exploits techniques un peu trop revendiqués, surtout quand ils servent à la promotion du film… Qu’il se rassure cependant, car si toutes les scènes de The Climb sont des prouesses techniques, elles n’en ont pas la lourdeur, tant elles servent le discours avec pertinence. Le cinéaste en herbe reste sans voix : pas de contorsions inutiles, pas de poses affectées. La caméra se déplace avec la fluidité toute naturelle d’une prose réaliste.
D’où cette idée : tout comme il y a selon Proust “une beauté grammaticale [chez Flaubert] qui n'a rien à voir avec la correction” il doit y avoir chez Covino une beauté technique qui n’a rien à voir avec l’exploit. Cette beauté, en apparence si simple, ne s’obtient qu’au prix d’un travail pénible et douloureux : un travail technique. Ainsi, tout comme Flaubert s’est débattu avec les règles de grammaire pour “faire jaillir du coeur d’une proposition l’arceau qui ne retombera qu’en plein milieu de la proposition suivante,” et ainsi assurer “l’étroite, l’hermétique continuation du style.” , Covino use des compétences, visiblement très nombreuses, de son chef op, pour faire du plan séquence la prose même de son film. Qu’il s’agisse de la montée en vélo ou des tours de maison, ces plans nous surprennent tous autant qu’ils sont, moins par leur technicité que parce qu’ils nous tirent hors des sentiers battus. A les voir, l’étudiant rêve d’un travail d’analyse qui s’attaquerait à chacune de ces séquences, et mettrait à jour le style Covino, tout comme Proust a mis à jour le style Flaubert.  A défaut de mener ici un tel travail, il y a quelques exemples que l’on pourrait déjà donner, et qui inspireront peut-être quelqu’un..: Il s’agit de cette habitude qu’a le cinéaste de faire commencer la scène sur élément secondaire, de telle sorte que le spectateur se retrouve sans cesse trompé sur qu’il s'imagine en être le centre. Certes, c’est un film choral, mais la manière dont s’enchevêtrent les voix n’en est pas moins organisée en motifs. Ainsi la séquence de l’enterrement commence sur le visage du prêtre en train de faire ses oraisons, ne faisant entrer que le personnage principal que progressivement, petit à petit, par le fond du champ, exactement comme on peut voir dans l’incipit, avec l’arrivée des vélos. 
Valentin Ricart
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christophe76460 · 2 years ago
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SÉRIE- LA VÉRITÉ VOUS RENDRA LIBRE
#Série_La_Vérité_vous_rendra_libres #Samuel_Matthews #Exhortations Qc_0663
LEÇONS : 58. LE BAPTÊME DOIT-IL ÊTRE ADMINISTRÉ "SEULEMENT" AU NOM DE JÉSUS POUR ÊTRE VALIDE ? - 59. (RELIGION) : CE QUE LES LAÏQUES MANQUENT
ORIGINAL ENGLISH LESSON : THE TRUTH SHALL MAKE YOU FREE SERIES – 58 (What Name) and 59 (Religion)
LEÇON 58. LE BAPTÊME DOIT-IL ÊTRE ADMINISTRÉ "SEULEMENT" AU NOM DE JÉSUS POUR ÊTRE VALIDE ?
« Sur ces Paroles, ils furent baptisés au nom du Seigneur Jésus. » Actes 19.5 (KJV).
Chers amis, certains individus malavisés soutiennent que Matthieu 28.18-20 ne s'applique pas à nous aujourd'hui, (c'est-à-dire le baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit). Ils affirment qu'à partir du jour de la Pentecôte, le baptême n'a été administré qu'au nom de Jésus.
Il y a plusieurs choses à dire en réponse à cette supposition injustifiée. "Le pentecôtisme unitaire ou unitarien", parfois appelé mouvement Jésus Seul, (également connu en anglais sous le nom de Oneness Pentecostalism), et d'autres ont manifestement l'impression qu'il existe une formule de mots particulière qui doit être récitée lors de l'administration du rite du baptême.
Cette idée fausse est au coeur de l'erreur qu'ils épousent. Nous présentons les observations suivantes à ce sujet :
Jésus a ordonné le baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ; cependant, une formule de mots est-elle nécessaire pour administrer le baptême ?
Il est irresponsable de soutenir que le Seigneur a ordonné à ses apôtres de baptiser "au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit", (Matthieu 28.19), puis de soutenir qu'ils ne l'ont jamais fait et que si nous pratiquons exactement ce que le Sauveur a dit de faire, nous sommes dans l'erreur.
Le Christ a-t-il ordonné le baptême "au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit" ? Oui, il l'a ordonné. Les apôtres lui ont-ils obéi ? On peut supposer que oui.
S'ils lui ont obéi, quand l'ont-ils fait ? Cela se limitait-il exclusivement à la période de dix jours entre l'ascension du Seigneur et le jour de la Pentecôte ?
Il n'y a aucune preuve qui soutienne l'idée que la mission apostolique, telle qu'elle a été formulée par Matthieu, était de nature temporaire.
Le fait est que la bénédiction attachée à la charge (« Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. ») plaide clairement en faveur d'une durée à long terme de la Commission.
PAS DE FORMULE MAGIQUE
Aucun passage du Nouveau Testament mentionnant le baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, ou en Christ, ou en son nom, ne fait référence à ce qui est dit au moment de l'immersion.
Chaque texte décrit ce qui est fait avec un accent légèrement différent selon la construction grammaticale. Il n'y a aucune allusion à une formule de mots qui serait nécessaire pour valider l'immersion.
UN LANGUAGE DIFFÉRENT
Il est évident qu'il n'y a pas de phraséologie précise associée au baptême, même en ce qui concerne ce qui est fait.
Les textes relatifs à cette question sont variés dans la langue originale.
- Matthieu dit : « les baptisant au (eis) nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. » Matthieu 28.19
- Luc utilise de expressions telles que : « baptisés au (epi) nom de Jésus-Christ. » Actes 2.38
- « baptisés au (eis) nom du Seigneur Jésus. » Actes 8.16
- « baptisés au (en) nom de Jésus-Christ. » Actes 10:48
- « baptisés au (eis) nom du Seigneur Jésus. » Actes 19.5
Si l'on part du principe que le Nouveau Testament est inspiré par Dieu et qu'il est sans contradiction, alors chacun de ces textes est correct. Ils ne sont pas en conflit mais discutent simplement de la relation entre le baptême et la divinité sous des angles légèrement différents.
Dans aucun de ces textes, une "formule de mots" n'est prescrite. La signification du baptême au nom de Jésus varie légèrement selon la préposition grecque utilisée.
Dans Actes 2.38, Pierre exhorte les Juifs à se repentir et à se faire baptiser au nom de Jésus-Christ (epi), en s'appuyant sur son Autorité et en se consacrant à Lui.
Plus tard, Pierre a demandé à Corneille de se faire baptiser au nom de Jésus-Christ (en), en agissant selon l'Autorité du Seigneur, [Actes 10.48]. Trois passages utilisent eis (Matthieu 28.19 ; Actes 8.16 ; 19.5) ainsi que l'expression parallèle "baptisé en Christ", (Romains 6.3 ; Galates 3.27).
L'étude de ces versets, ainsi que du verbe baptizo et de eis dans I Corinthiens 1.13 ; 10.2 ; 12.13, indique que la personne baptisée est identifiée au Christ, (ou à Paul ou à Moïse) et qu'elle devient son nouveau propriétaire ou partenaire, avec une loyauté et une fraternité toutes deux nouvelles.
Le fait est que si quelqu'un est immergé "au nom de Jésus", c'est-à-dire par son Autorité, alors son baptême doit se faire au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, car c'est précisément ce que le Christ lui-même a autorisé. (Matthieu 28.19).
Encore une fois, il faut souligner qu'il ne s'agit pas d'une formule verbale, mais qu'il s'agit plutôt de souligner le but ou l'objectif du baptême. ( POUR être LAVÉ de ses péchés ... )
Ananias dit à Paul : « Et maintenant, pourquoi tardes-tu ? Lève-toi, sois baptisé et lavé de tes péchés, en invoquant son nom. » Actes 22.16
Enfin, si l'expression "au nom de" représentait un modèle verbal requis dans la prononciation de ces mots exacts, il faudrait alors répéter cette phrase chaque fois que l'on fait quoi que ce soit, car Paul ordonne que tout ce que vous faites, en paroles ou en actes, soit fait "au nom du Seigneur Jésus". (Colossiens 3.17).
Le Dieu des cieux est si bon. Nous lui rendons gloire pour ces Paroles. Nous vous aimons tous énormément.
Samuel Matthews
SÉRIE - LA VÉRITÉ VOUS LIBÉRERA
LEÇON 59. (RELIGION) : CE QUE LES LAÏQUES MANQUENT
« La religion pure et sans tache, devant Dieu le Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se garder des souillures du monde. » Jacques 1.27 (KJV).
Chers amis, la religion est bonne pour vous : Émotionnellement, physiquement et économiquement. Qui l'aurait cru ? Pas les laïques ...
En 2000, Robert Putnam, sociologue à Harvard, a publié un ouvrage révolutionnaire intitulé "Bowling Alone". Putnam affirmait que le désintérêt des Américains pour l'engagement civique - qu'il entendait non seulement par des activités de nature politique, mais aussi par des activités telles que l'association des parents d'élèves, les scouts, des groupes comme les Elks.
Et, oui, les ligues de bowling - avait réduit le stock de ce que l'on appelle le "capital social".
Le "capital social" est ce que les sociologues appellent "les réseaux de relations entre les personnes qui vivent et travaillent dans une société donnée, permettant à cette société de fonctionner efficacement".
C'est plus que de la théorie. Elle touche au coeur de l'un des problèmes les plus urgents de notre époque : L'inégalité sociale et économique. Et si les Américains, dans l'ensemble, préfèrent jouer seuls, cette solitude n'est pas également répartie.
Comme le montre Putnam dans son dernier ouvrage, "Our Kids : The American Dream in Crisis", le capital social est l'un des éléments qui distingue les enfants des familles appartenant aux 25% de ménages les plus aisés en termes de revenus et d'éducation de leurs homologues des 25% de ménages les moins aisés.
Les parents aisés présentés dans "Our Kids" étaient, en fait, très engagés et impliqués dans des réseaux de grande envergure qui amélioraient la vie de leurs enfants.
S'il n'est pas surprenant que de bonnes relations offrent aux enfants plus aisés un avantage significatif sur leurs homologues plus pauvres, il y a quelque chose d'autre qui offre un autre avantage significatif : La participation à la vie religieuse.
Les jeunes qui vont à l'église "sont moins enclins à l'abus de substances, (drogues, alcool et tabac), aux comportements à risque, (comme le non-port de la ceinture de sécurité), et à la délinquance", (vol à l'étalage, mauvais comportement à l'école, suspension ou expulsion).
Mais les avantages d'une fréquentation régulière de l'église ne s'arrêtent pas là. Comme l'explique Putnam, "par rapport à leurs pairs non pratiquants, les jeunes qui participent à une organisation religieuse suivent des cours plus difficiles, obtiennent de meilleures notes et de meilleurs résultats aux examens, et sont moins susceptibles d'abandonner l'école secondaire".
Ils ont également de meilleures relations avec leurs parents et d'autres adultes, ont plus d'amitiés avec des camarades performants, sont plus impliqués dans le sport et d'autres activités extrascolaires.
En fait, la fréquentation de l'église est si bénéfique pour les résultats scolaires "qu'un enfant dont les parents vont régulièrement à l'église a 40 à 50% plus de chances d'aller à l'université qu'un enfant du même âge dont les parents ne vont pas à l'église".
Cela est vrai quel que soit le statut socio-économique de l'enfant. Le problème est que la fréquentation régulière de l'église est de plus en plus liée au statut socio-économique.
Selon Putnam, alors que la "fréquentation hebdomadaire de l'église" est restée plus ou moins la même depuis la fin des années 1970 dans les familles ayant fait des études supérieures, elle a chuté de près d'un tiers dans les familles ayant un diplôme d'études secondaires ou moins.
Il en résulte "un écart substantiel entre les classes qui n'existait pas" il y a quelques années. C'est une autre façon pour les enfants pauvres de prendre du retard par rapport à leurs homologues plus aisés.
Étant donné les avantages d'une fréquentation régulière de l'église, l'insistance à minimiser le rôle de la religion dans la vie publique américaine est, pour le moins, perverse.
La société n'a pas encore trouvé le moyen de donner aux enfants pauvres l'accès aux avantages matériels et immatériels que les jeunes plus aisés considèrent comme acquis.
Mais nous, l'Église du Christ, savons comment leur tendre la main, ainsi qu'à leurs familles, au nom de Jésus. (Matthieu 28.18-20).
Nous avons des millénaires d'expérience dans la prise en charge des plus petits, des derniers et des perdus.
Aujourd'hui, nous avons la preuve que ce type de ministère a des effets bénéfiques que peu de gens, chrétiens ou non, ont jamais soupçonnés.
Les "méprisants cultivés" de la religion d'aujourd'hui en tiendront-ils compte ? Probablement pas.
Mais nous devons à tous les enfants d'ignorer ces opposants et de leur donner gratuitement ce que nous avons reçu gratuitement. (Matthieu 10.8).
Le Dieu du ciel est si bon. Nous vous aimons tous énormément.
Samuel Matthews
Texte traduit, édité et adapté par Gilles Boucher
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dailykoreanselfstudy · 5 years ago
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Mes sources (part 2)
Korean Grammar Dictionary (anglais)
Répertorie pratiquement toutes les structures grammaticales possibles et imaginables.
Naver Dictionary [Mobile Version] (du coréen à l’anglais, pour ceux qui apprennent le coréen)
Contient plusieurs fonctionnalités que la version PC ne possède pas comme les conversations, les expressions idiomatiques et les recherches par thème.
 Papago GYM (du coréen à l’anglais et de l’anglais au coréen)
Est une espèce d’exercice ou on doit voter si la phrase donnée est correcte ou non. (moi je l’utilise simplement pour pratiquer la lecture ou apprendre des mots, car beaucoup des phrases données sont soit grammaticalement incorrectes, soi beaucoup trop longues et compliquées)
한국어기초사전 (100 % coréen)
Dictionnaire très complet, avec beaucoup d’explications et d’exemples (aussi bien pour le vocabulaire que pour la grammaire)
Nihongo Ichiban (japonais/anglais)
J’utilise ce site pour avoir des gifs montrant l’ordre des traits des caractères chinois.
Encykorea (100% coréen)
Encyclopédie sur l’histoire/la culture coréenne.
Branah (Korean Keyboard)
Pour s’entraîner à taper au clavier coréen.
V Live
Site ou on peut voir pleins de vidéos d’idoles et d’acteurs coréens.
Viki
On peut y trouver la plupart des dramas coréens (et d’autres pays d’Asie), mais il peut y avoir des problèmes de régions. Le site est tout de même super et il contient des sous-titres dans beaucoup de langues et surtout un mode apprentissage qui mets à la fois les sous-titres en coréen mais aussi dans la langue de votre choix.
Topik Guide (anglais)
Donne pleins d’infos, de listes de vocabulaires mais aussi les fiches d’exercices des précédents TOPIK (examen à passer si on veut travailler en Corée).
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