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Comment Maîtriser la Grammaire ?
Comment Maîtriser la Grammaire : Guide Complet pour Perfectionner vos Compétences Linguistiques
Introduction : La maîtrise de la grammaire est la clé pour communiquer efficacement dans n'importe quelle langue. Que vous soyez étudiant, professionnel ou simplement un passionné de langues, cet article vous guidera à travers les étapes essentielles pour perfectionner votre compréhension de la grammaire. Découvrons comment transformer la grammaire de défi à atout.
Chapitre 1 : L'importance de la maîtrise de la grammaire Comprendre pourquoi la grammaire est cruciale dans la communication. Explorez comment une maîtrise solide de la grammaire peut améliorer la clarté de vos idées et renforcer votre crédibilité linguistique.
Chapitre 2 : Comprendre les bases grammaticales Jetez les bases solides en explorant les concepts fondamentaux tels que les parties du discours, la syntaxe et les règles de conjugaison. Apprenez à reconnaître et à appliquer ces concepts de manière pratique.
Chapitre 3 : Utiliser des ressources éducatives Découvrez les ressources éducatives disponibles pour perfectionner votre grammaire. Des livres aux applications en passant par les cours en ligne, explorez diverses options pour trouver celle qui convient le mieux à votre style d'apprentissage.
Chapitre 4 : Pratiquer la grammaire au quotidien L'adage "la pratique rend parfait" s'applique également à la grammaire. Découvrez des astuces pour intégrer la pratique de la grammaire dans votre quotidien, que ce soit par la rédaction, la conversation ou la lecture.
Chapitre 5 : Identifier et corriger les erreurs fréquentes Analysez les erreurs grammaticales courantes et apprenez à les éviter. Comprenez les pièges fréquents qui peuvent entraver votre maîtrise de la grammaire et adoptez des stratégies pour les surmonter.
Chapitre 6 : Engager un feedback constructif Sollicitez des retours sur votre utilisation de la grammaire. Découvrez comment le feedback constructif peut accélérer votre apprentissage en identifiant vos faiblesses et en vous guidant vers des améliorations.
Chapitre 7 : Utiliser des outils technologiques Explorez les outils technologiques tels que les correcteurs grammaticaux et les applications d'apprentissage de langues. Découvrez comment ces ressources peuvent compléter votre apprentissage en fournissant des suggestions instantanées.
Chapitre 8 : La persévérance dans l'amélioration continue La maîtrise de la grammaire est un voyage continu. Adoptez une mentalité de croissance et comprenez que l'amélioration de vos compétences grammaticales demande du temps et de la persévérance.
Conclusion : En maîtrisant la grammaire, vous investissez dans une compétence linguistique précieuse qui enrichira tous les aspects de votre communication. Que ce soit pour des besoins académiques, professionnels ou personnels, une grammaire solide vous donne le pouvoir de vous exprimer avec clarté et confiance. Suivez les conseils de cet article, engagez-vous dans une pratique régulière et observez comment votre maîtrise de la grammaire s'épanouit, ouvrant ainsi de nouvelles portes dans le monde des langues.
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Salut Panda!
Je suis curieux de savoir comment décidez-vous quand publier du contenu en français et quand publier en anglais ? Merci d'avoir utilisé les deux.
Désolé pour mon français. Je manque de pratique.
Je sais pas si je dois répondre en anglais ou en français Mdrrr
Well first of all your French is absolutely great, you made no mistakes, you're just a little bit too formal but that's fine !
I mostly use English because it's my default language on the internet, but sometimes my brain is too tired to translate shit, or sometimes I just don't care about being read/understood by the audience so I just write in french
Sometimes I WANT to write in French but my brain is settled on english mode and every french word sounds wrong and fake so I have to pretend I'm an American or something. It's really fucking weird. I have no control over that. (it mostly happens because I read more English than French so it somehow feels more natural to me ?)
Also sometimes I start in French then end in English because that language feels more emotive to me so I'm basically just- "Ouais Gojo est un excellent personnage et je l'aime d'amour, mais Geto a définitivement mon coeur I mean HAVE YOU SEEN THAT MAN HE DESERVES THE WORLD, YOU DON'T UNDERSTAND I WOULD DIE FOR HIM !!!"
And sometimes it's the other way around, I start in English then realize I don't know how to express myself properly so I switch to my native language
Bref c'est cool que tu parles un peu français !! C'est une langue très compliquée à apprendre. Sache d'ailleurs que si tu pense que l'écrire c'est compliqué, le français oral est encore pire. C'est impossible d'avoir une conversation avec des français si le français n'est pas ta langue maternelle, on a beaucoup trop de jargon et d'expressions et de vocabulaire bizarre, et la moitié sont pas dans le dictionnaire. On en est au point que parler un français grammaticalement correct ça revient à avoir l'air snob, parce que personne utilise le français des livres.
Anywayy sorry I write too much ! That was a nice ask, stay curious !
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En français, rendUS est grammaticalement correct si l’un des deux est masculin, donc si l’insistante rumeur est exacte, il n’y a pas de faute…
Ou alors Gabriel Attal ("j’ai été à l’école privée") ne connaît pas le français… Impossible pour un ministre de l’Éducation, non?
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Droit:Les méthodes d'interprétation de la loi.
L’interprétation de la loi est un domaine essentiel du droit qui implique de comprendre et d’appliquer les règles légales correctement. Voici quelques-unes des méthodes d’interprétation les plus courantes utilisées par les juristes et les juges : 1. **Interprétation littérale ou grammaticale :** Consiste à interpréter la loi en se basant principalement sur le sens ordinaire des mots utilisés dans…
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Quand Dieu apparut à Moïse dans le buisson ardent, Il lui dit : « JE SUIS CELUI QUI SUIS » (Exode 3 v.14). N’y a-t-il pas une faute de grammaire dans cette expression ? Ne devrait-on pas plutôt dire : « Je suis celui qui est » ? C’est d’ailleurs ainsi que quelques traducteurs de la Bible ont traduit le texte original, voulant utiliser un français correct. Mais la plupart des traducteurs ont préféré garder la précision de la pensée exprimée en hébreu : Dieu se révèle comme celui qui s'appelle “JE SUIS”, c'est-à-dire l'Être qui existe de toute éternité, en dehors de toute notion de temps et qui ne tient son existence d'aucun autre. Cela est inconcevable pour les êtres créés que nous sommes : un Être suprême qui n’a ni commencement ni fin qui crée tout ce qui existe à partir de rien. Pourtant ce Dieu Éternel qui se nomme « JE SUIS » n’a pas voulu rester inaccessible. Il envoie vers son peuple asservi Moïse qui doit leur déclarer : « Celui qui s’appelle JE SUIS m’a envoyé vers vous. »
Plus tard, ce même Moïse sera chargé de transmettre la loi divine à son peuple. Loi que personne n’a pu respecter. Dieu n’a alors plus envoyé un intermédiaire, mais Il est venu lui-même dans la Personne de son Fils unique : « La loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ » (Jean 1 v.17)
Jésus dit aux Juifs : « En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, JE SUIS » (Jean 8 v.58)
Là encore on peut penser qu’il y a une faute grammaticale. N’aurait-il pas dû dire : “avant qu’Abraham fût, j’étais” ? L’expression “JE SUIS” que le Seigneur emploie a le sens d’une existence éternelle, qui remplit l’éternité de sa présence, en dehors du temps et de l’espace. Cette similitude de langage attire notre attention sur le fait que Jésus est Dieu, Dieu le Fils, « Dieu manifesté en chair » (1 Timothée 3 v.16) pour sauver sa créature.
« Le Christ est au-dessus de toutes choses, Dieu béni éternellement. Amen ! » (Romains 9 v.5)
Ce Dieu béni éternellement a vécu comme un homme sur la terre pour se rendre accessible. N'est-ce pas à la fois incompréhensible et merveilleux?
(Adapté du calendrier La Bonne Semence)
Quelques expressions formulées par le Seigneur Jésus Christ :
JE SUIS le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais faim, et celui qui croit en moi n’aura jamais soif. (Jean 6 v.35)
JE SUIS le pain vivant descendu du ciel : si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. (Jean 6 v.51)
JE SUIS la lumière du monde : celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie. (Jean 8 v.12)
JE SUIS la porte : si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. (Jean 10 v.9)
JE SUIS le bon berger : le bon berger donne sa vie pour ses brebis. (Jean 10 v.11)
JE SUIS le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent. (Jean 10 v.14)
JE SUIS la résurrection et la vie : celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. (Jean 11 v.25)
JE SUIS le chemin, la vérité, et la vie ; nul ne vient au Père si ce n’est par moi. (Jean 14 v.6)
JE SUIS le vrai cep, et mon Père est le cultivateur. (Jean 15 v.1)
JE SUIS le cep, vous les sarments. Celui qui demeure en moi, et moi en lui, celui-là porte beaucoup de fruits. (Jean 15 v.5)
JE SUIS dans le Père, et le Père est en moi. (Jean 14 v.10 & 20)
JE SUIS l’alpha et l’oméga, dit le Seigneur Dieu, Celui qui est et qui était et qui vient, le Tout-puissant. (Apocalypse 1 v.8, voir aussi 21 v.6 & 22 v.13)
JE SUIS ... l’étoile brillante du matin. (Apocalypse 22 v.16)
Avant qu’Abraham fût, JE SUIS. (Jean 8 v.58)
Quand la troupe armée, conduite par Judas arriva pour prendre Jésus, il dit :
« Qui cherchez-vous ?
― Jésus le Nazaréen, répondirent-ils.
― C’est moi (littéralement : JE SUIS)
Lorsqu’il leur dit « JE SUIS », ils reculèrent et tombèrent par terre (Jean 18 v.4 à 6)
La déclaration de son existence éternelle produit une telle puissance que les hommes reculent et tombent à terre. Qui peut résister devant Celui qui est le créateur des cieux et de la terre et qui a autorité sur tout ? Personne, non, personne ne peut se saisir de lui contre sa volonté. Mais il n’était pas venu pour terrasser les pécheurs, mais pour les chercher et les sauver. Il n’utilise pas son pouvoir de «JE SUIS » pour se défendre et anéantir ses ennemis, mais il se livre lui-même, volontairement, confirmant ce qu’il avait déclaré auparavant : « Je donne ma vie … Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner et j’ai le pouvoir de la reprendre. » (Jean 10 v.17-18)
Il se livre lui-même volontairement à ses ennemis sachant d’avance les souffrances atroces et la mort ignominieuse qu’il devra subir. Pourquoi ?
Parce qu’il nous aimait :
« Le Christ nous a aimés et s'est livré lui-même pour nous » (Ephésiens 5 v.2)
Qu’y a-t-il de plus beau, de plus grand que cet acte de Celui qui s’appelle « JE SUIS » c’est-à-dire le Dieu d’éternité en éternité (Psaume 90 v.2) se livrant lui-même, volontairement, par amour pour nous, pour le salut des pécheurs que nous sommes ?
Il n’y a pas de plus grand amour.
http://www.la-verite-sure.fr/page883.html
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Chronique des débuts avortés
On ne pense pas assez à ces choses-là. On oublie toujours qu’au commencement (la Genèse de la Bible), Adam et Ève étaient orphelins. Du moins en gros. Certes ils se promenaient tout nus dans les allées de l’Éden, cueillant une cerise par-ci, une baie par-là, mais n’avaient ni parents, ni grands-parents. Même pas d’oncle Eliezer ou Nathan. Ni de tante Abigaïl ou Jézabel. Avec des conséquences inouïes, que le Créateur, malgré son insondable providence, n’avait pas prévues. Car non seulement Adam ne fut jamais le fils de son père, comme nous le sommes la plupart du temps, mais même pas le petit-fils de son grand-père. Si bien que il ne put jamais hériter de la montre gousset de ce dernier. De même, cette pauvre Ève n’obtint jamais en héritage une parcelle cadastrale exposée plein sud, avec un coquet château et une partie arborée traversée d’une rivière poissonneuse. Tout simplement parce qu’aucun paternel ne l’avait couchée sur son testament. Ce qu’il faut donc comprendre, c’est que nos premiers ancêtres n’eurent eux-mêmes pas d’ancêtres. Pas le moindre ! De nos jours, l’homme a un arbre généalogique, avec un géniteur putatif sur une branche porteuse. Et avec des grands-pères, grands-mères et bisaïeuls. Avec des oncles et tantes, des neveux et nièces, des cousins et cousines un peu partout, jusque sur les tiges les plus hautes de la couronne. Tandis que nos premiers ancêtres furent privés de cette arborescence touffue.
On voit par là à quel point les choses ont mal tourné depuis le début. Car si Jahvé avait modelé l’homme après mûre réflexion, il aurait commencé par lui donner des ancêtres. Pour qu’ils puissent élever leur progéniture, leur apprendre à s’habiller correctement, à se tenir à table, à ne pas parler la bouche pleine, à respecter les règles grammaticales du Bon Usage et à honorer père et mère. Pour qu’enfin ceux-ci puissent transmettre par héritage leurs terroirs et vignobles, leur château médiéval, leur commanderie, leur buffet Henri II, que sais-je ?
A la réflexion, on peut d’ailleurs se demander pourquoi Jahvé les façonna dans la force de l’âge, avec des corps bien fuselés pleins de biceps, de triceps (et même de quadriceps), qui ont tellement fait suer Michel-Ange sur les voûtes de la Chapelle sixtine. Tant qu’à faire, il aurait pu les créer non en taille adulte, mais en modèles réduits. En nourrissons, par exemple. Mais ce serait oublier que, depuis toute éternité, Jahvé avait été seul, avec personne à qui parler. On conçoit dès lors qu’il ait préféré créer non seulement des athlètes aux corps parfaits, mais aussi des gens avec un minimum de conversation, parfois des réparties spirituelles, peut-être même des réflexions théologiques. Et non des bébés en couches-culottes qu’il faut langer et biberonner, et qui ne parlent pas encore l’hébreu, le grec ou le latin, comme tout le monde. Des gosses qui n’ont d’ailleurs pas la moindre idée de la Torah, du Talmud, des dix commandements ou du péché originel.
Ce qui est plus grave, et qui est d’ailleurs la cause de tous nos malheurs, c’est que, si Adam et Ève avaient eu des ancêtres, ils n’auraient jamais été expulsés de l’Éden. Parce qu’ils n’auraient pas goûté au fruit défendu. Leurs parents les auraient mis en garde. Ils leur auraient dit de ne pas écouter les bobards des serpents à sornettes. De ne pas aller flâner du côté du seul arbre que Jahvé avait marqué « Interdit de cueillette et de consommation ! ». Mais on connaît les femmes : il a suffi qu’un boa constricteur s’enroule autour de ce tronc et dise à Ève : « T’as de beaux yeux, tu sais ! », pour qu’elle oublie l’interdiction, cueille une de ces pommes délicieuses, la croque et en donne un morceau à Adam, qui ne se fit pas prier. Or, avec des parents dignes de ce nom, Ève aurait appris que, de toute façon, les serpents ne parlent pas. Jamais ! Et que si on a l’impression qu’ils parlent quand même, c’est que « ça va pas la tête ! ». Qu’il faut se faire soigner chez le rabbin ou le psychiatre. " D’ailleurs si tu as envie de pommes, auraient dit leurs parents, pourquoi t’acharner sur cet arbre-là ? Il y a plein d’autres pommiers dans l’Éden, qui donnent des reinettes, des boskoop, des goldens, des galas. Vous n’avez toujours pas compris que celui-là est interdit ? Défendu ? Prohibé ? »
Si, ils avaient compris. Mais ils désobéirent. Ils cueillirent et mordirent à belles dents. Non parce que cette pomme-là était plus juteuse ou incarnate, mais parce que c’était interdit. Et comme nous sommes leurs lointains descendants, nous n’avons de cesse d’en faire de même depuis des millénaires. A preuve, qu’on nous interdise de mentir, de voler et de tuer et bientôt nous trompons, dérobons et massacrons. Le plus beau dans cette histoire, c’est qu’en mai 68, on inventa le slogan paradoxal : « Il est interdit d’interdire ! » Pas étonnant que personne n’en ait voulu. Car s’il n’y avait plus d’interdits, où serait l’intérêt ? Surtout, où serait le plaisir ? Après tout, n’est-ce pas ainsi que les hommes vivent ?
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Houx
J'ai fait la connaissance de chat GPT pour lequel j'avais des présupposés sommaires que l'usage ne confirme qu'en partie. Comme source d'information rapide, comme agrégateur, hiérarchiseur, de données c'est vraiment épatant. Vraiment. Ça doit se planter de temps en temps dans des domaines vraiment pointus dont je n'ai pas encore idée, mais ça pose un état du consensus et des doutes raisonnables en fait de réponse en face de chaque question raisonnable. Bien mieux que Google, et avec un petit ton de premier de la classe bien à baffer comme on aime. Je valide. Comme tamagochi et ami imaginaire, je valide aussi, ce n'est pas la plus drôle des compagnies, mais c'est déjà mieux qu'un vivarium rempli de phasmes - puisqu'en la circonstance le concept de compagnie est épuisé dans le fait d'avoir vu bouger des bâtons. Donc oui, je valide, comme ami de garde. Par contre pour composer des textes avec un peu de moelle, il vaut mieux ne pas s'y fier. ça sort des contenus grammaticalement corrects, consensuels et simplement sensés. Il n'y a pas à en attendre des envolées ou des trouvailles même par mégarde. Ou alors, il faut imaginer le chanteur d'Indochine. Ils sont en studio avec ses amis et sont en train de boucler leur album de la maturité (le fameux) et lui il n'arrive pas à finir sa polésie pour l'enregistrer. ChatGPT peut lui sauver les miches, puisqu'il a le recours de saisir dans la fenêtre dédiée : Plusieurs propositions d'alexandrins rimant en oi avec "ô poussière d'étoile te languis-tu de moi ?" et après lui restera l'embarras du choix entre "ô ciel nocturne, en toi, mon coeur se déploie" et "ô astre lointain, dans la galaxie en émoi" que personnellement je trouve absolument soit soit tout à fait. Dans ce cas seulement, ça peut être un assistant à l'écriture. Mais sinon comme majordome, c'est quand même mieux. Ô cosmos céleste, en ton silence qui broie, Ô rayon de lune, dans la nuit qui ploie, ô poussière d'étoile te languis-tu de moi ? ô astre lointain, dans la galaxie en émoi
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Des outils de meilleure performance qui accroissent nos incompétences
Mots clés : Outils numériques, dépendances, GPS, cognition spatiale, sens de l’orientation, correcteurs, traducteurs.
Les outils numériques sont devenus indispensables et permettent d’optimiser nos rendements dans les diverses sphères de nos vies. Cela est indéniable, mais est-on en train de créer une dépendance à ces technologies? On parle de plus en plus de la cyberdépendance, du stress numérique et du besoin d’éducation pour faire face au manque de « […] capacités d’analyse et de réflexion qui devraient accompagner l’utilisation de ces outils » (Caza, P.-E.). Cependant, l’inquiétude de la dépendance aux outils numériques semble être tombée dans l’oubli depuis la pandémie. Cette baisse de préoccupation reflète-t-elle une sous-estimation des répercussions ou l’acceptation de cette dépendance? L’utilisation des outils numériques est en augmentation constante. Ces outils nous aident à accomplir de plus en plus de tâches, mais nous rendent-ils incompétents?
La dépendance au GPS
On part tous de chez nous, assez fréquemment, avec l’adresse de notre destination rapidement entrée dans le GPS de notre téléphone. On ne prend pas le temps de regarder la carte, de visualiser notre chemin, ainsi que les virages ou les embranchements principaux pour se rendre. Lorsqu’un imprévu survient (une batterie vide, une perte de connexion web ou cellulaire, etc.) et qu’on ne peut plus compter sur notre GPS, on se sent un peu perdu. On expérimente possiblement un sentiment de panique à l’idée d’avoir à retrouver notre chemin sans l’aide du GPS. En 2016, Stéphane Roche, professeur au département de géomatique de l'Université Laval, disait que « l’individu moyen n’a[vait] jamais été aussi peu en capacité lui-même de naviguer dans un espace sans avoir un support [GPS]. » et que « […] la recherche en sciences sociales démontr[ait] qu’il y a[vait] là un risque d’appauvrissement intellectuel ». Une recherche plus récente confirme que « la dépendance aux applications de navigation basées sur le GPS [est] associée à une cognition spatiale altérée […] » (Yan W.) Cette même recherche ne confirme pas si le sens de l'orientation peut être affecté de manière significative (Yan W.). Cependant, il semble que ces deux aspects sont corrélés.
Correction et révision de textes
Les outils de corrections comme Antidote, Grammarly et chat GPT, sont indispensables dans le monde professionnel et étudiant, car nous savons tous que l’œil « est humain » et qu’il omet souvent de repérer certaines fautes dans un texte. Même avec l’aide du correcteur automatique, les fautes dans les textos se multiplient assez rapidement. Certainement, les langues sont compliquées, et contiennent plusieurs règles et exceptions qui peuvent être difficiles à mémoriser. Le temps est peut-être venu de simplifier certaines règles grammaticales et orthographiques pour donner une meilleure chance de succès aux jeunes, mais c’est un tout autre sujet sur lequel je vous invite à lire ici. Le danger, mis en évidence dans cet article, est la dépendance au numérique et de ne plus être capable de rédiger sans l’aide d’un correcteur. Bien sûr, nos habiletés changent et évoluent. Nous n’avons plus la nécessité de savoir rédiger à la dactylo, mais conserver l’habileté de l’écriture à la main semble fondamental.
De multiples dépendances au numérique
De même, on a de la difficulté à faire des additions et multiplications simples sans une calculatrice. Nos mémoires semblent être affaiblies par le manque de mémorisation nécessaire dans la vie de tous les jours, ne plus avoir à mémoriser des numéros de téléphone et l’information qu’on trouve maintenant si facilement en « cliquant du doigt ». La nouvelle tendance est probablement la peur d’être remplacé par l’intelligence artificielle. Sur plusieurs aspects, elle n’est pas encore à la hauteur de l’humain, mais sur bien d’autres points, elle nous dépasse.
En conclusion, les outils numériques sont un ajout positif dans nos vies. Ils facilitent des tâches, nous rendent plus performants et productifs. Ne pas savoir les utiliser nous désavantagerait énormément dans les milieux scolaires, de travail et de relations sociales. Cependant, il est important de rester conscient et de ne pas agir systématiquement, d’avoir un plan B, d’observer la route avant de partir ou d’acheter une carte papier avant de voyager dans une nouvelle région. On se doit aussi d’observer les corrections des correcteurs, et les traductions des traducteurs, dans le but de nous améliorer, au lieu d’appauvrir nos habiletés. Faisons aussi l’effort de mémoriser quelques numéros importants, du moins le code d’accès de nos comptes, et de faire certains calculs dans nos têtes ou sur papier pour pratiquer nos fonctions cérébrales. Et n’oublions surtout pas de prendre le plaisir d’écrire à la main, soit une simple liste d’épicerie ou bien un petit mot pour nos proches.
Pour terminer, je vous invite à partager vos commentaires sur la dépendance aux outils numériques. J’aimerais connaitre votre opinion et vos anecdotes sur ce sujet.
Bibliographie :
Duval, A. (2016, 4 décembre). Et si Google Maps nous rendait ignares? Radio-Canada. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1003797/google-maps-gps-consequences-utilisation
Yan W, Li J, Mi C, Wang W, Xu Z, Xiong W, Tang L, Wang S, Li Y, Wang S. (2022, 6 octobre). Does global positioning system-based navigation dependency make your sense of direction poor? A psychological assessment and eye-tracking study. Front Psychol. doi: 10.3389/fpsyg.2022.983019. PMID: 36275274; PMCID: PMC9582945. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9582945/
Caza, P.-E. (2020, 14 mai) Littératie numérique: ça s’enseigne ! De la petite enfance à l’âge adulte, il faut apprendre à utiliser les outils numériques. ActualitésUQAM. https://actualites.uqam.ca/2020/litteratie-numerique-apprendre-a-utiliser-les-outils/ Shauking. Image de femmes perdu libre de droits d’auteurs. Pixabay. https://pixabay.com/fr/photos/perdu-femmes-femme-fille-personne-2607118/
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🎯 50 Verbes en Français et Anglais - Apprendre la conjugaison
La conjugaison est cruciale pour une communication efficace et grammaticalement correcte dans une langue donnée. Elle permet d'exprimer le temps, le mode, la voix, la personne et le nombre des actions, ce qui facilite la transmission d'informations précises et la richesse de l'expression linguistique.
Dans cette vidéo vous allez apprendre la conjugaison de 50 verbes en français au présent de l'indicatif avec la traduction en anglais.
N'hésitez pas à vous mettre aux exercices, plus vous vous entraînerez à conjuguer les différents verbes, plus vous progresserez rapidement dans l'apprentissage de l'anglais et du français.
🚀 Pour voir cliquez ici 👉 YouTube
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Quand la faute est grammaticalement correct si tu conçois le message comme étant passif et aggressif.
#on ne me suggère pas d'accepter on me l'impose on me vouvoie pas on me garoche des piasses#pis ça passe dans le spam pareil#pis t'as mis un “a” de trop...
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#maîtriser la grammaire#règles grammaticales#conjugaison précise#syntaxe des phrases#accords en genre et nombre#exceptions grammaticales#ponctuation correcte#usage des pronoms#structure syntaxique#bases linguistiques#compétences linguistiques#communication écrite#pratique grammaticale#apprentissage constant#perfectionnement linguistique
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Entretien d'embauche en anglais: Comment se sentir en confiance
Comment se sentir en confiance et prêt pour votre entretien d'embauche en anglais Une bonne préparation à un entretien d'embauche en anglais est essentielle ! Apprenez à vous organiser, à vous préparer et à repérer les questions qui peuvent vous être posées. Ce guide va vous donner des astuces pour affronter calmement cette étape importante et réussir l'entretien. Pratiquez votre prononciation et votre grammaire. Si vous êtes à l'aise avec votre maîtrise de la langue anglaise, pratiquez encore! Assurez-vous que votre prononciation et votre grammaire soient irréprochables avant un entretien d'embauche. Utilisez des outils audio ou en ligne pour apprendre à mieux prononcer certains mots particuliers et testez-vous régulièrement pour vérifier que vous maîtrisez toujours la bonne grammaire. Vous pouvez également utiliser un dictionnaire de langue anglaise pour mieux comprendre certains termes ou expressions que vous rencontrerez lors de l'entretien. Pensez également à rechercher des rédactions linguistiques et faites-les relire par un ami. Cela vous aidera à repérer et corriger les erreurs avant le grand jour. Pratiquez souvent afin que votre prononciation et votre grammaire soient impeccables pendant l'entretien. Apprenez à bien vous présenter et à répondre aux questions difficiles. Une autre partie importante pour se sentir en confiance et prêt à réussir son entretien d'embauche en anglais est de pouvoir bien se présenter et répondre aux questions difficiles. Avant un entretien, essayez de visualiser et d’anticiper les différentes questions que vous pourriez recevoir. Si vous avez du mal à trouver des réponses ou si vous avez du mal à structurer ce que vous allez dire, essayez de faire plusieurs fois l'entretien devant un miroir ou demandez conseil à un ami. D'autre part, apprenez à poser vos propres questions lors de l’entretien. La préparation ou le fait de répondre aux questions des recruteurs peut être intimidant et effrayer, mais posez des questions qui vous intéressent et prenez le temps de présenter votre travail passé et vos qualifications. De cette façon, votre employeur potentiel sentira que vous êtes sérieux au sujet de ce poste et comprendra mieux vos capacités. I am looking for a new job because I want to have some new experience with a position of responsibility in a major company. Écoutez toutes les questions et attendez deux secondes avant de répondre pour penser aux bons mots à utiliser. Afin de s'exprimer correctement et d'être en confiance durant l'entretien d'embauche en anglais, il est important de prendre le temps de bien comprendre les questions qui vous sont posees. Pour cela, prenez une pause assez longue pour réfléchir aux bonnes paroles démontrant votre dynamisme, votre intelligence et vos capacités. Évitez à tout prix les réponses trop courtes ou les phrases avec la structure grammaticale erronée. Soyez clair et concis en énonçant des exemples pertinents pour montrer vos points forts ! Dans l'ensemble, une bonne préparation pour un entretien en anglais consiste à lire régulièrement des articles et des romans en anglais. Écoutez attentivement les questions posées et prenez le temps de remplir vos connaissances sèches sur le sujet dont vous parlerez. Cela peut considérablement améliorer la facilité avec laquelle vous comprendrez la question et trouverez des mots appropriés et bien choisis pour la réponse. La meilleure façon d’être plus à l’aise est donc d'avoir pratiquer votre lecture et votre écoute ainsi que de connaître la terminologie idoine. Restez calme et souriant, montrez que vous êtes motivé(e). Entretien d'embauche en anglais Rester calme et souriant est essentiel pour convaincre votre recruteur que vous êtes la bonne personne pour le poste. Affichant une attitude positive, votre interlocuteur comprendra que vos compétences sont celles dont ils ont besoin. De plus, restez spontané et montrez à travers votre posture et vos gestes que vous êtes motivé(e) et désireux de démontrer tout le meilleur de vous-même! Afin de bien préparer votre entretien, pensez à aller au-delà des questions habituelles et à démontrer aux recruteurs que vous êtes intéressé par le poste et la mission à accomplir. En effet, réfléchissez aux qualités que vous pourriez apporter et aux solutions uniques et innovantes que vous pouvez proposer. Pendant l'entretien, dites simplement oui ou non aux questions. Surchargez pas d'information en expliquant tous les détails…vous auriez alors tendance à divaguer! Au contraire, restez professionnel en étant attentif(ve) et engageant avec votre interlocuteur. Effectuez une recherche sur l'entreprise avant l'entretien pour pouvoir poser des questions intéressantes au recruteur et démontrer votre engagement à la clôture de l'entretien. Il est très important que vous ayez des informations à propos de l'entreprise à laquelle vous postulez avant votre entretien. Effectuer une recherche approfondie sur ses produits et services, sa mission, sesvales ou encore son actualité. Cela vous permettra de posernotamment des questions pertinentes au recruteur et faire ressortir votre passion et votre investissement pour le poste. Une bonne recherche ne se limite pas à vous informer sur l’entreprise, elle comprend aussi des informations sur les métiers et secteurs qui voutouchent. Si vous passez un entretien d'embauche pour un poste de rédaction par exemple, il est fort probable que votre futur employeur veut êtresûr que vous êtes bien au courant des termes et des idées en lien avec le travail. Prenez le temps de relire quelques articles ou blogs ayant trait au métier en question afin d'être plus préparé le jour J et impressionner votre interlocuteur. Talk&Chalk Brasil - Talk&Chalk France Read the full article
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Comment ethnographier les pratiques de communication. L’un des principaux concepts de l’anthropologie de la communication est celui de compétence de communication. Contrairement à la notion de compétence linguistique au centre des approches formelles du langage, celle-ci ne porte pas sur la seule maîtrise des règles grammaticales, mais plus largement sur les normes socioculturelles qui régissent les usages de la langue. Modèle SPEAKING : la méthode de communication efficace de Dell Hymes Le modèle Speaking de Hymes En communication générale, ou aussi en communication d’entreprise, il faut une rétroaction ou un feed-back pour que tout fonctionne au mieux. Les spécialistes de l’école Palo Alto ont fait une analyse de la communication, sur les points à analyser pour une communication sans faille. C’est en 1967 que le sociolinguiste anthropologue Dell Hymes a mis en place le modèle SPEAKING, la méthode d’analyse de communication efficace. Les parties théoriques de ce modèle sont déjà nombreuses sur internet, donc dans cet article, je miserai surtout sur les illustrations pour être plus explicite. Le modèle SPEAKING est un modèle pour optimiser la communication pour éviter les malentendus et les failles communicationnelles. Pour cela, nous avons le modèle de communication efficace, comprenant 8 paramètres. Ethnographier les pratiques de communication speaking de dell hymes ok Il s’agit de savoir parler correctement, mais également de pouvoir déterminer quand parler, de quoi, avec qui et de quelle manière. De manière corrélative, l’anthropologie de la communication ne s’intéresse pas à une communauté linguistique abstraite, mais à ce que l’on appelle à la suite de Gumperz une communauté langagière (speech community). On entend par là tout groupe de personnes qui partagent une même langue, mais aussi les mêmes façons de parler et un même ensemble de normes à propos des usages du langage. On étudiera alors par exemple les façons de parler propres à un groupe social donné (ce qu’on appelle des sociolectes), à l’image du travail pionnier de Labov sur le parler noir américain. A lire aussi Modèle d'expression orale de Dell Hymes ou Speaking Model Seule l’enquête de terrain permet d’identifier et de décrire une communauté langagière et d’en cerner les contours. Cela exige d’adopter un principe de relativisme méthodologique concernant les critères d’inclusion ou d’exclusion au groupe. Si, dans une société, certaines espèces animales ou les esprits des ancêtres sont considérés comme des interlocuteurs légitimes, alors il faut les compter parmi les membres de cette communauté langagière. Dans cette perspective, les anthropologues se sont employés à étudier les moyens (tant linguistiques qu’extralinguistiques) par lesquels, dans un contexte rituel notamment, les participants sont amenés à prêter une voix à une entité invisible ou non humaine ou à un artefact chargé d’incarner sa présence (tels un masque, une statue ou un instrument de musique). L’anthropologie de la communication a élaboré un ensemble de concepts et de méthodes pour définir le plus précisément possible les façons de parler à l’intérieur d’une communauté langagière donnée. Selon Hymes, l’unité d’analyse la plus pertinente est ce qu’il appelle l’événement de communication (communicative event ou speech event). Il entend par là toute séquence d’activité où le langage (ou plus largement la communication) joue un rôle constitutif et non pas seulement accessoire. Cela peut être une prière religieuse, une plaidoirie judiciaire, une conférence savante, une joute verbale ou encore des brèves de comptoir. Hymes a proposé un modèle pour guider l’analyse des événements de communication en les décomposant en une série de paramètres socialement pertinents. Il lui a donné un nom en forme d’acronyme : SPEAKING. Pour illustrer la présentation de ce modèle, nous nous appuierons sur un bref exemple (tiré de The Ethnography of Communication.
An introduction de Muriel Saville-Troike, 1982) : une assemblée villageoise chez les Bambara du Mali. S comme Situation : quand et où l’événement peut-il avoir lieu ? speaking Une assemblée coutumière se tient généralement en journée sur la place publique du village, sous l’arbre à palabres, car il s’agit d’un événement qui intéresse toute la communauté. Le paramètre « S » ou Setting Le premier paramètre détermine le cadre de la communication, on peut parler du cadre physique et du cadre socioculturel. LE CADRE MATÉRIEL OU PHYSIQUE Le cadre physique prend en compte la scène de communication. Les paramètres et les attitudes à adopter dépendent des conditions physiques. Pour cela, le temps et le lieu sont les paramètres à identifier. En gros, il faut bien choisir le « bon moment, au bon endroit ». Le lieu peut varier de formel à informel. Il y a des endroits qui nécessitent des contraintes particulières comme un tribunal par exemple, qui est un endroit formel. Le temps est aussi très important pour la réussite d’un échange. Par exemple, pour l’organisation d’un événement en mois d’octobre, par rapport au climat à Madagascar, il n’est pas trop conseillé d’opter pour un style champêtre, un événement à l’extérieur. LE CADRE SOCIOCULTUREL Cela prend en compte le domaine où se déroule la communication. On peut aussi l’appeler cadre psychologique, car l’attitude dépendra de la scène culturelle et sociale. Il faut pour cela bien analyser le domaine et la culture, suivant le cadre physique comme disait Paul Watzlawick : « on ne communique pas, on participe à une communication ». On peut prendre en compte différents degrés de domaine comme le domaine familial, le domaine professionnel, le domaine religieux, etc. Par exemple, vu le problème de la sécurité à Madagascar, on ne va pas se balader ou aller chez les marchands de friperies en portant des bijoux en or ou valeureux, même les bijoux fantaisie pas cher attirent les pickpockets. C’est ça prendre en compte le cadre social. P comme Participants : qui peut participer à l’événement ? Pour répondre à cette question, il convient d’enrichir le modèle dyadique de l’émetteur et du récepteur pour envisager, à la suite de Goffman, l’ensemble des statuts et des rôles que les participants peuvent assumer au cours de l’événement. Du côté de l’émetteur, le locuteur (celui qui parle) peut différer de l’énonciateur (celui au nom de qui on parle). Du côté du récepteur, le destinataire principal se distingue du public, ce dernier pouvant inclure des personnes à portée de voix, mais auxquelles le message n’est pas principalement destiné. Les stratégies d’adresse indirecte (qui servent par exemple à critiquer quelqu’un de manière détournée) sont une bonne illustration du fait que le destinataire réel d’un message peut différer de son destinataire apparent. Dans le cas d’une palabre bambara, tous les hommes du village peuvent participer, mais en principe pas les femmes. « P » ou Participant dell hymes - speaking ok Lors d’une communication, on peut avoir plusieurs interlocuteurs. Mais les participants ne sont pas seulement ceux qui participent directement aux échanges. Dell Hymes dans son étude a confirmé qu’on qualifie de participants ceux qui participent directement ou indirectement à la communication. En effet, on peut distinguer plusieurs types de récepteurs dans l’analyse du modèle SPEAKING. LES TYPES DE RÉCEPTEURS Le récepteur allocutaire et le récepteur non-allocutaire. On peut qualifier de récepteur allocutaire toute personne directement ciblée par le message. Évidemment, un récepteur non-allocutaire est donc celui qui reçoit le message malgré le fait que l’émetteur ne s’adresse pas directement à lui. Pour être plus claire, voyons un exemple : lors d’une annonce écrite pour la distribution d’appareil auditif gratuit au sein d’une commune, on cible ceux qui ont un problème auditif. A lire aussi Dell Hymes et le projet de l’anthropologie de la communication
Mais tous ceux qui passent peuvent lire l’annonce, même s’ils ne sont pas ciblés.On peut donc dire que ces personnes sont des récepteurs non allocutaires. On peut aussi distinguer le récepteur ratifié et non ratifié. On qualifie de ratifiées les personnes dont la présence est acceptée pendant la communication. Les récepteurs non ratifiés sont ceux qui reçoivent la communication sans y être invités. Par exemple, lors d’une réunion administrative au sein d’une entreprise ou au sein d’une société, une décision est prise par les responsables administratifs. Ces personnes sont des récepteurs ratifiés. Mais à ce moment, la femme de ménage passe et entend cette décision à travers la porte, donc c’est un récepteur non ratifié. A lire aussi 30 millions de PC de Dell présentent des dysfonctionnements sécuritaires Le récepteur peut aussi être anonyme ou personnalisé. Un récepteur est dit anonyme lorsqu’il ne présente aucune relation personnelle avec l’émetteur du message. Même si cette relation existe, on le qualifie d’anonyme lorsque la relation n’est pas manifestée. Par exemple lors du discours du président de la République, le peuple est un récepteur anonyme, car personne ne manifeste aucune personnalisation de la communication. LES CARACTÉRISTIQUES DES PARTICIPANTS Ces caractéristiques sont vraiment importantes. On peut distinguer l’importance numérique et la répartition. L’importance numérique qualifie le nombre de participants et on peut en distinguer 3 sortes : ♦ la communication interpersonnelle ou interindividuelle, entre deux personnes ♦ la communication de groupe, entre plusieurs personnes ♦ la communication médiatique, sur les médias comme la radio, la télévision ou la presse écrite. Pour la répartition, il y en a aussi 3 sortes : ♦ la communication unilatérale, par le modèle linéaire de Shannon et Weaver, c’est à dire de l’émetteur au récepteur sans feed-back. ♦ la communication réciproque, suivant le modèle de Ferdinand de Saussure qui favorise l’échange. ♦ la communication médiatisée qui utilise un média quelconque. Il y a la diffusion minoritaire comme un appel téléphonique et la diffusion majoritaire, comme une émission de télé-réalité par exemple. LA PRÉSENCE ET LA NON-PRÉSENCE La présence détermine les situations de face à face, c’est-à-dire quand les interlocuteurs se voient directement. Tandis qu’on parle de non-présence les situations qui nécessitent des intermédiaires. Ends ou objectifs pour « E » speaking2 Dans une communication d’entreprise, l’objectif contribue beaucoup aux enjeux. C’est pourquoi le modèle SPEAKING prend en compte les objectifs de la communication. Pour cela, nous avons les 6 fonctions de communication établies par Jackobson. Selon ce linguiste, la communication présente 6 fonctions, selon les éléments du message. Les voici : ♦ la fonction référentielle : fait référence au contexte général de la communication ♦ la fonction expressive ou émotive : correspondant à l’émetteur. Ce dernier communique ses sentiments, ses ressentis. On peut voir une fonction émotive dans la phrase : « j’ai faim » ♦ la fonction conative : également appelée impressive, cette fonction va susciter une réaction au récepteur. La fonction conative vise à inciter le récepteur à réagir comme dans « ferme la porte ! » ♦ la fonction métalinguistique : au niveau du code linguistique, c’est donner plus d’explication, d’améliorer les codes communicationnels. Par exemple, au lieu de « j’ai faim », on peut dire « je n’ai rien mangé depuis ce matin, c’est normal si j’ai faim » ♦ la fonction phatique : elle sert à commencer, à maintenir et à mettre fin à la communication. Il y a le phatique d’appel comme « allô », le phatique de maintien comme « ne quittez pas la ligne » et le phatique de clôture comme « je vous souhaite une bonne journée, au revoir » ♦ la fonction poétique : c’est la beauté du message à proprement dit. Cette fonctio
n concerne surtout les figures de style et les petits jeux de mots pour améliorer un message. Les 6 fonctions de Jackobson « A » ou Acts du modèle SPEAKING dell hymes - speaking Le terme « acts » est un peu implicite pour ce paramètre. En effet, il s’agit des différentes séquences de la communication par ordre chronologique. Ce paramètre prend aussi en compte le fond et la forme de la communication. On peut distinguer pour cela la communication ritualisée et la communication non ritualisée. La communication ritualisée est celle qui suit un cours logique et qui nécessite quelques rituels à suivre. Par exemple lors d’une inauguration, il y a un programme à suivre qui ne sera pas interrompu par d’autres. Par contre, lorsque la communication est libre, on la qualifie de non ritualisée. Par exemple lors d’une réunion entre amis, plusieurs sujets de discussion peuvent avoir lieu et en couper d’autres. Le paramètre « K » pour Key speaking de dell hymes Key ou tonalité, en communication désigne en quelque sorte l’atmosphère de communication. On peut donc distinguer : ♦ la tonalité positive lorsque l’atmosphère est détendue, voire joyeuse comme lors d’une fête de fin d’année ♦ la tonalité neutre comme lors d’une simple discussion ou d’une réunion d’information ♦ la tonalité négative lors d’un conflit Instruments pour le paramètre « I » prise-de-parole-bien maitriser C’est l’ensemble des instruments qu’on peut utiliser pour communiquer. Il y a plusieurs instruments, mais je tiens à noter que dans une communication, on peut utiliser simultanément plusieurs instruments. On peut distinguer : ♦ la communication verbale, c’est-à-dire tout moyen utilisant la langue comme la parole, les écrits, etc. ♦ la communication non verbale qui n’emploie pas le langage. Par exemple les gestes, les attitudes, la posture, etc. ♦ il y a aussi la communication numérique qui peut être verbale ou non-verbale. C’est dans le cas où on emploie des outils numériques comme les réseaux sociaux, les médias ou seulement la technologie pour communiquer. Le paramètre « N » ou Norms prise-parole-public Il s’agit des règles à suivre lors des échanges. En termes de normes, on peut en distinguer 3 sortes de normes communicationnelles : ♦ les normes langagières, c’est le langage utilisé dépendra de la situation de communication. ♦ Pour cela, nous avons les différentes sortes de langage : soutenu, courant, familier et technique ♦ les normes interactives ou appelées normes d’interactions qui est la connexion et les effets conatifs des uns envers les autres ♦ les normes d’interprétation qui est surtout présent au niveau du récepteur. Il s’agit du sens du message. On peut inclure la connotation et la dénotation dans ces normes d’interprétation. Le dernier paramètre du modèle SPEAKING : Gender pour G Anthropologie de la communication Notre sociolinguiste Dell Hymes n’a pas vraiment rendu cette partie de son étude assez explicite. C’est en gros le genre de communication, le type d’activité selon le langage. Le type de discours peut déterminer le genre de la communication. Par exemple, pour une conférence de presse, le genre de communication utilisé est la communication journalistique. Pour conclure, le modèle SPEAKING est le modèle de communication à ne pas négliger pour une communication réussie. Elle est aussi importante pour la mise en place des différentes stratégies marketing avec les autres formes d’analyse comme SWOT, QQOQCP, etc. D’ailleurs, ce modèle est le plus prisé à la filière STICOM dans l’étude de la communication organisationnelle. Alors, parce que « tout est communication », n’hésitez pas à appliquer ce modèle même dans la vie quotidienne.
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perso si je suis en train de raconter un traumatisme personnel de cette gravité et que qq1 vient me corriger sur la formule grammaticale correcte à employer je peux affirmer que cette personne va être frappé du revers de ma main et se faire mettre une balayette
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SÉRIE- LA VÉRITÉ VOUS RENDRA LIBRE
#Série_La_Vérité_vous_rendra_libres #Samuel_Matthews #Exhortations Qc_0663
LEÇONS : 58. LE BAPTÊME DOIT-IL ÊTRE ADMINISTRÉ "SEULEMENT" AU NOM DE JÉSUS POUR ÊTRE VALIDE ? - 59. (RELIGION) : CE QUE LES LAÏQUES MANQUENT
ORIGINAL ENGLISH LESSON : THE TRUTH SHALL MAKE YOU FREE SERIES – 58 (What Name) and 59 (Religion)
LEÇON 58. LE BAPTÊME DOIT-IL ÊTRE ADMINISTRÉ "SEULEMENT" AU NOM DE JÉSUS POUR ÊTRE VALIDE ?
« Sur ces Paroles, ils furent baptisés au nom du Seigneur Jésus. » Actes 19.5 (KJV).
Chers amis, certains individus malavisés soutiennent que Matthieu 28.18-20 ne s'applique pas à nous aujourd'hui, (c'est-à-dire le baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit). Ils affirment qu'à partir du jour de la Pentecôte, le baptême n'a été administré qu'au nom de Jésus.
Il y a plusieurs choses à dire en réponse à cette supposition injustifiée. "Le pentecôtisme unitaire ou unitarien", parfois appelé mouvement Jésus Seul, (également connu en anglais sous le nom de Oneness Pentecostalism), et d'autres ont manifestement l'impression qu'il existe une formule de mots particulière qui doit être récitée lors de l'administration du rite du baptême.
Cette idée fausse est au coeur de l'erreur qu'ils épousent. Nous présentons les observations suivantes à ce sujet :
Jésus a ordonné le baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit ; cependant, une formule de mots est-elle nécessaire pour administrer le baptême ?
Il est irresponsable de soutenir que le Seigneur a ordonné à ses apôtres de baptiser "au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit", (Matthieu 28.19), puis de soutenir qu'ils ne l'ont jamais fait et que si nous pratiquons exactement ce que le Sauveur a dit de faire, nous sommes dans l'erreur.
Le Christ a-t-il ordonné le baptême "au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit" ? Oui, il l'a ordonné. Les apôtres lui ont-ils obéi ? On peut supposer que oui.
S'ils lui ont obéi, quand l'ont-ils fait ? Cela se limitait-il exclusivement à la période de dix jours entre l'ascension du Seigneur et le jour de la Pentecôte ?
Il n'y a aucune preuve qui soutienne l'idée que la mission apostolique, telle qu'elle a été formulée par Matthieu, était de nature temporaire.
Le fait est que la bénédiction attachée à la charge (« Et voici, je suis avec vous tous les jours, jusqu'à la fin du monde. ») plaide clairement en faveur d'une durée à long terme de la Commission.
PAS DE FORMULE MAGIQUE
Aucun passage du Nouveau Testament mentionnant le baptême au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, ou en Christ, ou en son nom, ne fait référence à ce qui est dit au moment de l'immersion.
Chaque texte décrit ce qui est fait avec un accent légèrement différent selon la construction grammaticale. Il n'y a aucune allusion à une formule de mots qui serait nécessaire pour valider l'immersion.
UN LANGUAGE DIFFÉRENT
Il est évident qu'il n'y a pas de phraséologie précise associée au baptême, même en ce qui concerne ce qui est fait.
Les textes relatifs à cette question sont variés dans la langue originale.
- Matthieu dit : « les baptisant au (eis) nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. » Matthieu 28.19
- Luc utilise de expressions telles que : « baptisés au (epi) nom de Jésus-Christ. » Actes 2.38
- « baptisés au (eis) nom du Seigneur Jésus. » Actes 8.16
- « baptisés au (en) nom de Jésus-Christ. » Actes 10:48
- « baptisés au (eis) nom du Seigneur Jésus. » Actes 19.5
Si l'on part du principe que le Nouveau Testament est inspiré par Dieu et qu'il est sans contradiction, alors chacun de ces textes est correct. Ils ne sont pas en conflit mais discutent simplement de la relation entre le baptême et la divinité sous des angles légèrement différents.
Dans aucun de ces textes, une "formule de mots" n'est prescrite. La signification du baptême au nom de Jésus varie légèrement selon la préposition grecque utilisée.
Dans Actes 2.38, Pierre exhorte les Juifs à se repentir et à se faire baptiser au nom de Jésus-Christ (epi), en s'appuyant sur son Autorité et en se consacrant à Lui.
Plus tard, Pierre a demandé à Corneille de se faire baptiser au nom de Jésus-Christ (en), en agissant selon l'Autorité du Seigneur, [Actes 10.48]. Trois passages utilisent eis (Matthieu 28.19 ; Actes 8.16 ; 19.5) ainsi que l'expression parallèle "baptisé en Christ", (Romains 6.3 ; Galates 3.27).
L'étude de ces versets, ainsi que du verbe baptizo et de eis dans I Corinthiens 1.13 ; 10.2 ; 12.13, indique que la personne baptisée est identifiée au Christ, (ou à Paul ou à Moïse) et qu'elle devient son nouveau propriétaire ou partenaire, avec une loyauté et une fraternité toutes deux nouvelles.
Le fait est que si quelqu'un est immergé "au nom de Jésus", c'est-à-dire par son Autorité, alors son baptême doit se faire au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit, car c'est précisément ce que le Christ lui-même a autorisé. (Matthieu 28.19).
Encore une fois, il faut souligner qu'il ne s'agit pas d'une formule verbale, mais qu'il s'agit plutôt de souligner le but ou l'objectif du baptême. ( POUR être LAVÉ de ses péchés ... )
Ananias dit à Paul : « Et maintenant, pourquoi tardes-tu ? Lève-toi, sois baptisé et lavé de tes péchés, en invoquant son nom. » Actes 22.16
Enfin, si l'expression "au nom de" représentait un modèle verbal requis dans la prononciation de ces mots exacts, il faudrait alors répéter cette phrase chaque fois que l'on fait quoi que ce soit, car Paul ordonne que tout ce que vous faites, en paroles ou en actes, soit fait "au nom du Seigneur Jésus". (Colossiens 3.17).
Le Dieu des cieux est si bon. Nous lui rendons gloire pour ces Paroles. Nous vous aimons tous énormément.
Samuel Matthews
SÉRIE - LA VÉRITÉ VOUS LIBÉRERA
LEÇON 59. (RELIGION) : CE QUE LES LAÏQUES MANQUENT
« La religion pure et sans tache, devant Dieu le Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se garder des souillures du monde. » Jacques 1.27 (KJV).
Chers amis, la religion est bonne pour vous : Émotionnellement, physiquement et économiquement. Qui l'aurait cru ? Pas les laïques ...
En 2000, Robert Putnam, sociologue à Harvard, a publié un ouvrage révolutionnaire intitulé "Bowling Alone". Putnam affirmait que le désintérêt des Américains pour l'engagement civique - qu'il entendait non seulement par des activités de nature politique, mais aussi par des activités telles que l'association des parents d'élèves, les scouts, des groupes comme les Elks.
Et, oui, les ligues de bowling - avait réduit le stock de ce que l'on appelle le "capital social".
Le "capital social" est ce que les sociologues appellent "les réseaux de relations entre les personnes qui vivent et travaillent dans une société donnée, permettant à cette société de fonctionner efficacement".
C'est plus que de la théorie. Elle touche au coeur de l'un des problèmes les plus urgents de notre époque : L'inégalité sociale et économique. Et si les Américains, dans l'ensemble, préfèrent jouer seuls, cette solitude n'est pas également répartie.
Comme le montre Putnam dans son dernier ouvrage, "Our Kids : The American Dream in Crisis", le capital social est l'un des éléments qui distingue les enfants des familles appartenant aux 25% de ménages les plus aisés en termes de revenus et d'éducation de leurs homologues des 25% de ménages les moins aisés.
Les parents aisés présentés dans "Our Kids" étaient, en fait, très engagés et impliqués dans des réseaux de grande envergure qui amélioraient la vie de leurs enfants.
S'il n'est pas surprenant que de bonnes relations offrent aux enfants plus aisés un avantage significatif sur leurs homologues plus pauvres, il y a quelque chose d'autre qui offre un autre avantage significatif : La participation à la vie religieuse.
Les jeunes qui vont à l'église "sont moins enclins à l'abus de substances, (drogues, alcool et tabac), aux comportements à risque, (comme le non-port de la ceinture de sécurité), et à la délinquance", (vol à l'étalage, mauvais comportement à l'école, suspension ou expulsion).
Mais les avantages d'une fréquentation régulière de l'église ne s'arrêtent pas là. Comme l'explique Putnam, "par rapport à leurs pairs non pratiquants, les jeunes qui participent à une organisation religieuse suivent des cours plus difficiles, obtiennent de meilleures notes et de meilleurs résultats aux examens, et sont moins susceptibles d'abandonner l'école secondaire".
Ils ont également de meilleures relations avec leurs parents et d'autres adultes, ont plus d'amitiés avec des camarades performants, sont plus impliqués dans le sport et d'autres activités extrascolaires.
En fait, la fréquentation de l'église est si bénéfique pour les résultats scolaires "qu'un enfant dont les parents vont régulièrement à l'église a 40 à 50% plus de chances d'aller à l'université qu'un enfant du même âge dont les parents ne vont pas à l'église".
Cela est vrai quel que soit le statut socio-économique de l'enfant. Le problème est que la fréquentation régulière de l'église est de plus en plus liée au statut socio-économique.
Selon Putnam, alors que la "fréquentation hebdomadaire de l'église" est restée plus ou moins la même depuis la fin des années 1970 dans les familles ayant fait des études supérieures, elle a chuté de près d'un tiers dans les familles ayant un diplôme d'études secondaires ou moins.
Il en résulte "un écart substantiel entre les classes qui n'existait pas" il y a quelques années. C'est une autre façon pour les enfants pauvres de prendre du retard par rapport à leurs homologues plus aisés.
Étant donné les avantages d'une fréquentation régulière de l'église, l'insistance à minimiser le rôle de la religion dans la vie publique américaine est, pour le moins, perverse.
La société n'a pas encore trouvé le moyen de donner aux enfants pauvres l'accès aux avantages matériels et immatériels que les jeunes plus aisés considèrent comme acquis.
Mais nous, l'Église du Christ, savons comment leur tendre la main, ainsi qu'à leurs familles, au nom de Jésus. (Matthieu 28.18-20).
Nous avons des millénaires d'expérience dans la prise en charge des plus petits, des derniers et des perdus.
Aujourd'hui, nous avons la preuve que ce type de ministère a des effets bénéfiques que peu de gens, chrétiens ou non, ont jamais soupçonnés.
Les "méprisants cultivés" de la religion d'aujourd'hui en tiendront-ils compte ? Probablement pas.
Mais nous devons à tous les enfants d'ignorer ces opposants et de leur donner gratuitement ce que nous avons reçu gratuitement. (Matthieu 10.8).
Le Dieu du ciel est si bon. Nous vous aimons tous énormément.
Samuel Matthews
Texte traduit, édité et adapté par Gilles Boucher
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Sur la discussion autour de l'enseignante en Angleterre: j'avais cru comprendre que à présent on considérait que le neutre et le masculin avait la même forme (pour avoir une règle moins mesquine que "le masculin l'emporte sur le féminin"). Avec tous les débats sur le sujet je ne suis plus sûre de la vraie règle mais théoriquement l'élève devrait utiliser le neutre/masculin, non? Ce n'est sans doute pas satisfaisant pour lui mais il me semble que ce serait le plus correct grammaticalement.
Mon dieu mais c'est pas SPÉCIAL. Tu ne comprends pas ce qui est important toi, tu crois vraiment que sa Majesté Choubichou Ier Roi des Surdoués va utiliser les mêmes pronoms que le commun des mortel ? Ce manque de respect 😂
#Ça me fait penser quand je m'occupais de gamins#Et que 100% des mal élevés étaient précoces et hyper-actifs#Comme j'avais dit à une mère#Avec toute la pédagogie qui me caractérise#Je suis pas psy en ce qui me concerne il est juste mal élevé#Vous insinuez que j'élève mal mon fils ?#Qu'elle me répond#Et moi#Je n'ai rien insinué madame je viens de vous le dire#Non heureusement que je suis pas prof
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