#pâte de chili
Explore tagged Tumblr posts
Text
RECETTE DE PÂTE DE PIMENT FRAIS (COMMENT FAIRE DE LA PÂTE DE PIMENT)
View On WordPress
0 notes
Text
Un collectif d’organisations et d’associations dont les Amis de la Terre, Greenpeace, Extinction Rébellion affichent leur soutien aux manifestants et annoncent les rejoindre.
Nous nous adressons à tous les agriculteurs et agricultrices ayant manifesté leur colère ces derniers jours, mais aussi à toutes celles et ceux qui hésiteraient encore à les rejoindre. Nous, organisations écologistes, paysannes et militantes pour un autre modèle agricole depuis des décennies partageons cette colère, et refusons le discours dominant qui voudrait faire de nous vos ennemis.
Nous sommes en colère parce que nous savons que la destruction des conditions de vie des paysan.ne.s comme la destruction des écosystèmes profitent aux mêmes personnes, et que ce ne sont ni vous ni nous.
Depuis les tout débuts des mouvements écologistes, nous nous sommes toujours mobilisés avec détermination sur la question du modèle agricole et des conditions de travail et de vie des agriculteurs. Parce que nous savons l’importance considérable de l’agriculture sur l’environnement : ainsi la qualité de la terre, de l’air, de l’eau, de ce que nous mangeons, et bien sûr le climat, dépendent de ce que nous cultivons et élevons et de la manière dont nous le faisons.
Nous avons lutté contre les traités de libre-échange, pour la souveraineté alimentaire et pour que chaque pays – et chaque paysan.ne – puisse vivre de son agriculture et la faire vivre plutôt que de la soumettre à la concurrence internationale. Nous avons manifesté main dans la main avec les agriculteurs contre la grande braderie du monde paysan à la finance, contre le Tafta (avec les Etats-Unis), le Ceta (avec le Canada), le Mercosur (avec l’Amérique latine), maintenant les traités de libre-échange avec la Nouvelle-Zélande, le Chili et le Kenya soutenus par Emmanuel Macron.
Le principe d’une sécurité sociale de l’alimentation
Nous avons en tant que consommateurs et militant.e.s soutenu l’agriculture paysanne, créé et promu les Amaps, les circuits courts, l’agriculture bio, nous avons mis la main à la pâte jusqu’à mettre de l’épargne au service de nouvelles installations. Nous appelons depuis longtemps à ce qu’il y ait au moins un million de paysan.ne.s en France, et nous savons l’urgence qu’il y a à trouver des repreneurs, car dans moins de dix ans maintenant la moitié des agriculteurs du pays partira à la retraite. Et même si c’est loin d’être assez, ce sont déjà des milliers de militant.e.s écologistes qui ont entrepris des reconversions en agriculture pour s’y mettre concrètement.
C’est encore pour cela que nous sommes nombreuses et nombreux à défendre désormais le principe d’une sécurité sociale de l’alimentation, un système de solidarité entre consommateurs et producteurs qui permette à ces derniers de vivre décemment de leur travail et de reprendre la main sur notre alimentation.
Dans le domaine de l’agriculture comme dans d’autres, nous discernons bien aussi toute l’ambiguïté des normes. Certaines peuvent bel et bien protéger la santé des travailleurs, la fertilité des terres, les ressources en eau… Mais sous des prétextes vertueux, elles sont parfois aussi conçues pour impliquer des contraintes techniques, pratiques et une aseptisation du métier telles qu’elles vont dans le sens de la disparition des petites fermes au profit de ceux qui peuvent s’industrialiser et s’endetter plus encore. Il n’y a pas lieu de s’attaquer sans discrimination aux normes environnementales mais de les financer de manière à maintenir les revenus et d’en rendre l’application compatible avec la pratique paysanne.
Alors nous sommes nombreux à avoir soutenu et proposé sans succès une autre PAC, qui aide réellement aux reconversions et pour ne pas vous abandonner face à des normes environnementales imposées sans aucune contrepartie derrière pour les appliquer concrètement et de manière juste.
Même et surtout quand nous nous battons contre des projets agricoles, contre des mégabassines, ou des élevages industriels aux proportions absurdes : nous le faisons systématiquement avec des agriculteurs, et pour le monde paysan. Parce qu’il est injuste et hypocrite que quelques agriculteurs s’accaparent l’eau au détriment de ceux qui cherchent à produire autrement. Parce que les fermes-usines contre lesquelles nous nous battons détruisent de l’emploi paysan et mettent une pression déloyale sur les petits éleveurs qui sont contraints de s’aligner ou de mettre la clé sous la porte. Et tout ça au bénéfice de grands groupes qui les poussent à des élevages toujours plus grands pour leur racheter leurs produits à des prix dérisoires – c’est par exemple la stratégie du groupe Duc révélée par une enquête.
L’échec et le drame d’un modèle productiviste
Stopper ces projets, c’est défendre un modèle agricole qui protège le vivant mais surtout qui permet au reste du monde paysan de vivre dignement d’un travail de qualité.
Car, qui est à l’origine de la chute du nombre de paysan.ne.s à moins de 500 000 en France ? A l’origine des suicides d’agriculteurs chaque jour, des montagnes de dettes ? A l’origine des obligations de rendements toujours plus importantes, de la concentration toujours plus forte des terres dans les mains de quelques-uns, des prix toujours plus bas de ce que vous produisez ? Les prix agricoles ont baissé de 10 % en moyenne rien que l’année écoulée, tandis que l’inflation bondissait et les bénéfices des grands groupes agro-industriels et de la grande distribution également.
Cet échec et ce drame, ce sont ceux d’un modèle productiviste, poussé par la grande distribution et des gouvernements successifs depuis des décennies, contre lesquels nous alertons depuis tout ce temps.
Le modèle agricole que nous défendons se bat précisément contre les causes de ces drames. Mais aussi contre l’autoritarisme qui s’offre comme une solution, alors qu’en excluant plus qu’en rassemblant, jamais l’extrême droite n’a été du côté des travailleurs.
Depuis toujours, nous sommes les alliés des paysans. Et contrairement à ce que racontent la propagande du gouvernement ou les discours autoritaires qui attisent la haine entre nous pour mieux s’engraisser sur nos vies : nous continuerons à être vos alliés, parce que c’est une question de survie.
Alors c’est en tant qu’alliés que nous appelons à vous rejoindre dans vos actions les jours qui viennent pour porter ce message, et pour défendre le monde paysan.
Nous serons là avec différents points fixes pour discuter avec tous les agriculteurs qui le veulent, et ensemble rappeler que les véritables responsables de la crise que vit la profession ne sont ni les consommateurs ni les écolos – mais bien la lâcheté des gouvernements successifs, la grande distribution et l’agro-business qui s’engraissent pendant que tant d’entre vous se tuent à la tâche.
Nous refusons de laisser des industriels possédant des milliers d’hectares, le gouvernement ou encore les éditorialistes de CNews bien au chaud dans leurs bureaux parisiens nous traiter comme la cause de la crise que subit le monde paysan depuis si longtemps.
Nous préférons construire ensemble un modèle qui profite aux agriculteurs, aux consommateurs et à la vie, comme il aurait toujours dû l’être. Et nous serons ensemble dans la rue pour en discuter et manifester, car oui, il est bien possible d’être militant à la fois pour l’environnement et pour l’agriculture de demain.
Premiers signataires : Alix Brun pour les Youth for Climate, Jean-François Deleume, porte-parole Alerte des médecins sur les pesticides, Cyril Dion, réalisateur et écrivain, Simon Duteil et Murielle Guilbert, co-porte-paroles de l’Union syndicale Solidaires, Khaled Gaiji, président des Amis de la Terre, Antoine Gatet, président de France Nature Environnement, Hanzo pour Extinction Rebellion, Axel Lopez pour la coalition Résistance aux fermes-usines, Gilbert Mitterrand, président de la Fondation Danielle-Mitterrand, Lotta Nouki, porte-parole des Soulèvements de la Terre, Sandy Olivar Calvo, chargée de campagne Agriculture et Alimentation chez Greenpeace France, Alessandro Pignocchi, auteur de bandes dessinées, Priscille de Poncins, secrétaire de Chrétiens unis pour la Terre, Jérémie Suissa, délégué général de Notre affaire à tous, Emma Tosini, porte-parole de Alternatiba, Victor Vauquois, co-coordinateur de Terres de luttes…
3 notes
·
View notes
Text
Dans tous les grands voyages, il y a des journées épiques qui font la une de Paris Match et du JT de 20h. Et puis il y a les journées dédiées à la logistique du voyage, trop souvent passées sous silence. Voici le récit d'une telle journée.
Sur les conseils de notre experte en mécanique Docteur Rathatton, nous nous rendons de bon matin chez un garagiste spécialisé en campervan, Rolling Patagonia, à Coyhaique. En une heure, celui-ci a parvient à soigner notre boîte à gants maltraitée, notre frigo mal branché, et notre pare-brise caillassé. De plus, après une série de mesures, il s'avère que notre batterie... est en pleine forme (12.78 V mesurés en sortie)! Contre toute attente, il ne faudra donc pas la changer pour le moment; la suite au prochain épisode.
C'est un Patochimbo et des protagonistes rassurés qui partent donc faire leurs courses à Unimarc. L'occasion de se rappeler que les prix au Chili sont similaires à ceux rencontrés en France... pour une qualité souvent inférieure :(. Mention spéciale à notre Brie importé que nous gardons précieusement sous clé.
Une fois notre garde-manger débordant de victuailles, ce sont nos ventres qui se repaissent de... pizzaaas! Chez Mama Gaucha, nous obtenons la preuve qu'au Chili aussi on peut manger de bonnes pizzas. Docteur X commet une hérésie en prenant des pâtes, et est justement puni par un retard conséquent sur son service (un chaton de plus malmené dans une vie antérieure).
Il est déjà 15h! Prochaine étape de toute journée à la logistique bien huilée, une douche chaude ! Nous trouvons un mignon petit camping disposant d'eau à température corporelle (on ne va pas s'ébouillanter non plus). Pendant que nos corps revivent sous le savon, le ciel en profite pour octroyer une douche bien méritée à Patochimbo.
La pluie ne voulant apparemment jamais cesser dans ces contrées humides, nous décidons de terminer cette journée par un trajet tactique sous la pluie en direction de Puerto Aysen, prochaine étape de notre périple patagonien. Sur la route, nous observons de belles cascades, dont certaines ont une fâcheuse tendance à nous mouiller avec l'aide du vent.
Nous arrivons cependant sans coup férir à au confluent du Rio Simpson et du Rio Maniguales, où nous espérons que la pluie nous octroiera un court répit pour installer notre belle tente de toit bien sèche (pour le moment...).
5 notes
·
View notes
Text
Avant-dernière journée à Santiago
Notre premier objectif aujourd’hui était de nous rendre au Sky Costanera, la plus haute tour de l’Amérique du Sud. Robert a commandé un Uber et nous y sommes arrivés un peu après l’ouverture à 10 h du matin.
Quelle vue splendide du haut de ces 62 étages. L’ascenseur est super rapide et on y arrive en moins de deux minutes. Nous sommes à la même hauteur que les nuages. On voit la cordillère des Andes, mais pas de neige éternelle.
On décide de dîner au Sky, qui est en fait un immense centre commercial et qui abrite aussi des bureaux. On opte pour un restaurant de crêpes, un peu comme un Cora déjeuner chez nous. C’est le pire restaurant où nous sommes allés de tout le voyage. Quand notre assiette est arrivée, les œufs étaient froids. Je n’ai pas mangé le jambon qui était dans l’assiette, car ça devait faire un bout que ça trainait sur le comptoir. Comme je suis très sensible côté digestif et que je termine à peine un rhume, grippe ou… autre, je ne voulais pas en rajouter.
On a repris un Uber pour revenir à l’appartement et j’y ai fait un « petit repos » pendant que Robert est allé se promener.
Vers 14 h, direction foire artisanale pour trouver des cadeaux pour nos quatre petits cocos.
Puis, en route vers le palais présidentiel, la Moneda, le théâtre de Santiago, et le musée des beaux arts. Tout cela, en marchant à 30 degrés. Sur la route, on entendait encore des manifestants et on voyait beaucoup de camions de police, de paniers à salade, etc. Devant le palais, un policier en uniforme nous a dit que le président était présentement au palais, ce qui expliquait le niveau de sécurité accru dans le secteur. Nous nous sommes empressés de déguerpir.
Pas grand-chose à dire du musée des beaux-arts, qui est en rénovation. Tout de même gratuit, comme la plupart des musées ici.
Nous avons pris un verre dans le quartier Listeria, Robert a pris deux Picso Sour. Je crois que ce sera son nouveau drink en revenant au Québec.
Nous sommes restés dans le coin et avons soupé tôt pour éviter d’être à l’extérieur tard dans la nuit.
Beaucoup beaucoup de trans ici. Peut-être que ça coûte moins cher les opérations? On en croise partout!!! Beaucoup d’itinérants et de pauvreté aussi. Nous sommes bien au Québec.
Il nous reste une dernière journée à passer ici. Nous avons prévu des activités tenant compte du fait que demain, tous les commerces seront fermés. À moins que cela soit différent dans les grandes villes comme Santiago? Nous verrons bien.
Du haut du Sky Costanera, au 62e étage.
Robert a pris un espresso du haut de l’édifice. Il est aussi haut que la Tour Eiffel.
Les Andes, au loin.
Le palais présidentiel, ou Moneda, où se trouvait le président du Chili au moment de notre visite. Les policiers montaient la garde, car on entendait des manifestants qui se rapprochaient au loin.
Le théâtre de Santiago. L’équivalent de notre Place des arts.
Le musée des beaux-arts vers 17 h aujourd’hui.
Exposition de photos de la vie au Chili vers la fin des années 1950. Musée des beaux-arts.
Picso Sour pour Robert et Spritz aperol pour moi. Robert est tombé en amour avec cet apéro.
Pizza de la casa et pâtes au beurre pour souper, avec un très bon Carmenere Gran Reserva.
Juste à côté de notre restaurant, Beatle originale devant le Bistro Viet où nous avons soupé hier soir.
2 notes
·
View notes
Note
top 5 best meals you've ever had (so far) - seriously the way you talk about foods/restaurants in your area has me intrigued
Oh Lords okay we're going to stick SPECIFICALLY to meals in my area (Baltimore) and recent meals because if i were to bring in places I've traveled and go back past years the list would go on forever lmao
In no particular order-
Cosima- for my birthday last year we went to our local favorite Sicilian restaurant and had mussels with spicy Italian sausage and broth, a pizza to share with scallops/bacon/chili oil, I had the duck breast with yam puree and cranberry confit, and they brought us a limoncello tiramisu for dessert. The drink parings were an Italian golden ale and an amaro Manhattan.
Lamb tajine - i made this myself in the traditional clay tajine my bf got me for Christmas. We take half a leg of lamb, dice and marinade it in olive oil and Ras Al hanut, then brown it in a skillet. Once that's browned you add yams, beets, onions, figs, carrots, about two cups of beef broth, and a cup of red wine. Let it simmer for ten minutes then carefully ladle it into the warmed tajine, which should have been brought to temp in the oven. It cooks at 300° for about three hours or so, occasionally adding water if it gets too dry. It's excellent with pita and saffron rice.
Petit Louis - after i got out of my recent cancer treatment and isolation we went for dinner to my favorite french place here in Baltimore. It's a classic bistro style place with dusty mirrors and red leather seats and wine bottles on the wall. Their best deal is the prix fixe lunch they do from 11-2pm but i can't get away with it all the time. We shared the Pâte de campagne, had a glass of wine each to pair with our main courses, and i got the roast lamb, which was some of the best I've had in a while. And yes i treated myself to a pot of chocolate mousse and a glass of Armagnac for dessert.
Neopol Smokery - this is the smokery/deli I've been talking about a lot recently they have a store front set up in an open market and visit a few farmers markets where you can get their prepared salmon filets, pies, grav lox, and more. The smokery in the market however makes some of the best sandwiches I've had and they also have smoked mussels, duck confit, salmon plates, all kind of daily rotating offerings for lunch and dinner and the staff are phenomenal, everything you want out of the old school deli you become a regular at.
Mason's Lobster Rolls- look. I do not live in New England. I know that. Our lobster will not compare. These are however the only lobster rolls i will eat outside of New England. They do them every still, CT/Bar Harbor/RI, and have a few soup options as well. It's pricey as good seafood usually is, but it's filling and delicious so i tend not to mind as a treat. Also fantastic crew running the show.
Honorable mentions
Wet City Brewing - great drinks, great brisket poutine, excellent vibes. Highly recommended for hanging out and getting some food after a long day though parking will be a headache.
Di Pasquale's - old school Italian deli and market that is so old school Al Capone once did their book keeping as a teenager. Yes it's actually true the owner has the old employee registers from his grandfather hung up on the back wall of the new store. The sandwiches are stunning, the arancini are authentic, the cannoli are worth getting two. Tied with Pastore's for my favorite Italian deli (the latter is closer to work).
Clark Burger - great burgers, great poutine, next to a vintage 1920s movie theater that routinely shows golden age classics alongside new films. My favorite local burger joint.
4 notes
·
View notes
Text
Bog’s blog 21
Cette semaine a été ponctuée par le covid. Commençons par le commencement, voulez-vous ? Sally était la première à tomber. Elle était dans un piteux état tout le weekend dernier. Jamie est revenu de son weekend à Wellington avec ce qu’il croyait être une grosse gueule de bois. Après une journée de travail compliquée lundi, il a été testé positif le soir même. Mark est rentré du travail plus tôt mardi et depuis il dort la plus grande partie de ses journées. Il est dans sa chambre à l’heure où je vous parle (mardi 11 avril à 16h20 soit légèrement plus d’une semaine après avoir été testé positif).
Kate et moi (les irréductibles gaulois ou même « les Amants Vigoureux » ou alors « les invincibles) nous sommes donc occupés de nos malades le début de semaine. Nous avons fait de délicieux repas dont notamment un bbq et des pâtes carbo. La journée, Kate était la seule à partir travailler. Elle devait assumer le travail de réceptionniste parce que, Sally étant malade et Pam (l’autre réceptionniste) étant au Japon, il n’y avait plus personne pour assurer ce poste au combien crucial. Elle était donc au four et au moulin chez Tisley pendant qu’à la maison je faisais profiter tous les malades de ma spécialité pour le lunch : « le croc ». Il y a bien entendu de nombreuses déclinaisons qui varient en fonction des restes et des saisons mais la plupart du temps c’est : salami – fromage- pain – huile d’olive. Le tout est trempé dans un mélange d’aioli maison et de sweet chili sauce. Le gras et le sucré se rencontrent dans une explosion de saveur. Dans l’idée c’est un peu comme le boulet liégeois. Terriblement addictif si vous voulez mon avis. Ça fait bientôt 6 mois que j’en consomme à chaque fois que je peux. Plus récemment j’ai décidé de me mettre à faire de la soupe parce que je constatais une forte envie de siester consécutivement à mon lunch (envie complètement incompatible avec la vie effrénée que je vis). J’apprécie cette petite diversité. J’ai néanmoins la fâcheuse habitude de mettre trop de piquant dans mes soupes. L’envie de dormir est donc remplacée par une sensation de brulant qui n’est-elle même pas idéale.
Tout le monde a apprécié les crocs. Je les avais agrémentés de quelques tomates cerises pour contenter les amateurs de salades.
Lundi et mardi matin je me suis attaqué à une nouvelle petite tâche d’homme à tout faire. Je suis allé mettre deux couches d’huile sur la terrasse en bois de Bob (le boss de 85 ans de Kate). Ça a été vite fait et en parallèle j’ai pu tiquer de ma liste les choses liées à la tiny house. Notamment enlever la peinture de planche de kaori qu’on va utiliser pour faire notre plan de travail. On fait de « l’upcylcing ». Ça prend pas mal de temps parce que les boards ont été peinte 5 ou 6 fois. Le produit que j’utilise est très toxique (donc je fais gaffe). Il faut 4 couches (+scraping à chaque fois) pour que je remette le bois à nu.
Mercredi était une grosse journée. Je me suis levé tôt et j’ai préparé la pâte à pizza. Cette semaine grâce au long weekend de Pâques et parce qu’on partait en vacances le lendemain, j’ai eu l’idée de génie de déplacer le repas phare de la semaine. Le mercredi était donc le nouveau vendredi. Jamie et moi sommes descendu à la tiny après un café. L’objectif était de commencé la cuisine. On a vite trouvé notre rythme et arrivé 17h, on avait construit toute l’ossature des meubles. Kate était aux anges en rentrant du boulot. On a enfin (je dis ça à chaque fois) une compréhension de comment va être l’espace. Je suis vraiment convaincu que notre design est super optimal. Tellement impatient de le tester. En attendant on réfléchit toujours beaucoup sur les choses qui restent à designer et c’est super fun. On se réjouis de partager les images avec vous quand ce sera construit. Ça pourrait arriver de manière imminente parce que Jamie a quitté son boulot et aura fini son préavis la semaine prochaine. Il a deux trois cashies à droite à gauche mais il a envie de terminer la tiny au plus vite. Une de mes responsabilités cette semaine est d’aller chercher toutes les choses nécessaires à cette fin. Ce weekend va être intense, c’est moi qui vous le dit.
Mais avant ça, rétro pédalons à ce fameux mecredi de cuisiniste. Le menu du soir a changé entre temps et il s’avère que le nouveau vendredi sera en fait jeudi. Psychologiquement, il est beaucoup facile d’avancer les pizzas que de les repousser. Ceci dit, Il y a quelque chose de plus terrible qu’un repoussage ; une annulation. Mais, merci mon bon dieu, la pâte étant prête, une annulation n’était pas au menu. On a donc décidé de les faire quand même et de les prendre avec nous quand on monterait chez l’oncle de Kate le lendemain. Les pizzas sont passées au four vers 21h30, après la tarte aux fijoas qui elle aussi partait pour le nord. J’ai pu regarder un peu de pirate des caraïbes avec Jamie entre deux cuissons.
Grant (l’oncle de Kate) voulait qu’on se test pour le covid avant de lui rendre visite pour le long weekend de Pâques. Nos deux tests sont sortis négatifs et on a pu prendre la route aux premières lueurs de l’aube. On a trainé un peu sur le chemin, ce qui n’est pas dans nos habitudes. Kate avait deux jobs sur le trajet et on s’est arrêté pour midi. Si on ajoute le trafic dans l’équation, ça résulte à une arrivée vers 15h. Aussitôt sur place, on s’est assis (mes fesses ne m’ont pas remercié) autour de la table et on ne s’en est relevé que pour aller au lit. C’est la tradition. Grant et Jill adorent avoir les nouvelles et les potins. Les sujets de conversations s’épuisent rarement. Le frigo de bière était prêt pour nous accueillir. Les pizzas étaient un peu bourratives parce qu’elles étaient à la farine complète (farine blanche étant out of stock à la maison) mais délicieuse. On a dû faire un peu de place pour la tarte au fruit et bien entendu, la boule de vanille qui allait avec. Tout est quand même descendu sans difficulté.
Une des raisons pour laquelle on entreprenait ce voyage chez Grant était pour usiner le bois du mur de notre salon. Grant a acheté une structure que tu attaches à une longue tronçonneuse qui assure une coupe constante. Ça permet de découper des arbres en tranches qui peuvent ensuite être elles-même slicées perpendiculairement si nécessaire. Après ça elles passent tous dans une machine qui retire une fine couche de bois pour enlever toute imperfection et les avoir toutes à la même épaisseur. On travaille également les bords sur un banc de scie et les angles sont arrondis avec un autre outils pour un finishing aux petits oignons.
Malheureusement la tronçonneuse avait un problème et on n’a pu usiner que ce que Grant avait préparer (soit 3 tranches). Ça représente la plupart de nos besoins mais je pense qu’on devra quand même remettre le couvert quand Jamie partira pour son road trip. On compte l’accompagner pour sa première étape qui sera vers le nord et donc, inéluctablement chez Grant.
Le reste du weekend s’est “relativement” bien passé. On est allé pêcher avec la longue ligne et on a eu 16 poissons !! Jamie nous a rejoint samedi matin et était là pour cet exploit. Dimanche matin j’ai été testé positif au covid. Je ne me sentais pas bien samedi pendant la journée. J’ai mis ça sur le dos de quelques bières de trop et d’un temps changeant mais c’était apparemment plus que ça. Le soir quand il a fallu fileter les 16 poissons à l’extérieur, j’ai jeté l’éponge. Je me suis rendu compte que ma fièvre était bien réelle. L’aprem dans le vent et le soleil sur la plage m’avait lessivé. En me réveillant le matin, j’étais guéri. Cependant, le test en a décidé autrement. Nos hôtes n’étaient pas super contents de la situation mais on s’y est mis tous ensemble donc on s’est pas senti trop coupable avec Kate. On a repris la route la veille du départ prévu parce que ça ne faisait pas trop vacance que je doive manger dans ma chambre. Le partage de la nourriture est une loi fondamentale de l’hospitalité et ne pas pouvoir la respecter rend la situation, par conséquence directe, inhospitalière. Pas d’offense à Grant et Jill qui nous ont encore une fois reçu comme des rois (jusqu’à ce qu’ils soient “forcés” d’en être autrement) et couvert de cadeaux (nourriture+bois) pour ramener chez nous.
C’est donc lundi aprem, après avoir fait une nième tentative pour refaire fonctionner cette fichue tronçonneuse que nous somme reparti. Le trafic était surprenament inexistant. De retour chez les parents, on s’est partagé quelques nouvelles avec les deux coviteux qu’on avait laissé à la maison puis on est allé se coucher.
Je ne vais pas trop empiéter sur la semaine de Kate aussi non elle risque de m’en vouloir ;)
Une bonne semaine à vous !
2 notes
·
View notes
Text
Singapour est un véritable paradis pour les gourmets
En raison du mélange des cuisines nationales (chinoise, malaisienne, indienne), ainsi que d'une influence occidentale importante (en particulier l'Angleterre et le Portugal), il est facile de trouver ici des créations culinaires pour tous les goûts.
Le plat national de Singapour est le riz hainanais au poulet ou simplement le riz au poulet (riz au poulet) riz cuit à la vapeur avec des morceaux de poulet et du concombre. Il est généralement consommé avec de la sauce soja noire, de la sauce chili ou de la pâte de gingembre.
Avez-vous déjà essayé des sandwichs à la crème glacée? A Singapour, ce dessert insolite est très apprécié
Il est vendu dans les étals de rue en barres de 200 g enveloppées dans une fine tranche de pain. Le goût de la crème glacée peut être différent avec la vanille, le fruité, la baise et même le durian exotique. Les touristes disent que cette glace est l'une des meilleures de Singapour. Il peut également être acheté dans un verre en plastique ordinaire sans pain.
Les Singapouriens cuisinent rarement et certains appartements n'ont même pas de cuisine. La plupart des gens mangent dans des aires de restauration.
Ainsi, un petit-déjeuner composé d'un œuf, de rôties et de café ne coûtera que 2,50 $ dans l'aire de restauration
Les portions de nourriture sont grandes, le plus souvent assaisonnées avec de grandes quantités d'huile. Les habitants mangent soit avec des baguettes, soit avec une fourchette et une cuillère, pas avec une fourchette et un couteau comme les Européens. En général, les Singapouriens aiment bien manger et parlent souvent de nourriture.
Maintenant, les bouteilles portent la quantité de sucre et les aires de restauration ont commencé à indiquer le nombre de calories dans les plats
#voyage#lesvues#pays#apprendlemonde#temps#bonjourvoyage#repos#joie#plaisir#environnementinconnu#faitsintéressants#finaguide
0 notes
Text
Bigoudi Bouclebrunes et les enveloppes brunes
« Il est inadmissible, mes chers orcs et gobelins, que nous soyons à la merci des woks! Nous devons à tout prix résister à l’emprise de ces bols métalliques pour la cuisine. Les gens qui les utilisent sont des idiots. Qu’ont-ils contre les poêles en teflon? Et puis une fois les woks admis, qu’arrivera-t-il à la cuisine? La prochaine mode sera-t-elle aux lattés à l’avocat? Aux pâtes sans amidon? Aux bonbons aux patates? HÉRÉSIE! HÉRÉSIE, vous dis-je. Ouvrir la porte aux woks et vous ouvrez la porte aux infâmies, telles que la cuisine sans gluten!»
- Venez, Bigoudi! Il ne fait pas bon de lire ce qui est écrit dans ces mines… dit Grandoulf.
En effet, en entrant dans les mines de la Moria, nos deux comparses n’avaient pas prévu de lire autant de cochonneries des feuilles du Journal du Mordor. Ces dernières étaient placardées de-ci, de-là, au gré des chemins labyrinthesques de ces constructions naines. Il y avait des chroniques de Dick Tartineault, de Nathieu Cock-Bôté, de Bénise Dombardier… et tous ces autres orcs, trolls et gobelins de la congrégation conservatrice du Mordor pour qui rien, absolument rien dans le progrès ne pouvait être un bon signe.
- Allez, lui dit Grandoulf. Venez vous restaurer un peu. Avant d’avancer dans ces mines moribondes, prenons un petit quelque chose pour nous aider à attendre nos compagnons, Laurengorn Duvernay-Tardif et Legrolasse. Bigoudi regarda leurs maigres rations : quelques barres tendres Val-Nature, des passion flakies, mais aussi un petit dahl aux patates douces et épices, des œufs frits sur lit de riz blanc à l’huile de sésame, sauce soya et oignons verts, de la soupe de miso avec nouilles udon et graines de sésame noires, des petits rouleaux au riz et au chili, une belle poêlée de saumon en croûte d’épice, quelques petites boulettes de viandes sur lit de légumes à la vapeur, du fromage brie, du fromage bleu de la comté, du cheddar du Rohan, du Chèvre des terres d’Erebor, de l’émental, de la régiond de l’emmental, mais surtout du pain d’épautre, du pain aux graines de citrouille et chocolat, un pain aux canneberges et lardons, des scones au maïs et oignons verts, des scones aux chocolats, des scones aux bleuets, des scones à la lavande, des pains briochés, des carrés blancs avec coulis de dates, des financiers, des canelés, des petits gâteaux Reine Arwenzabeth, des madeleines au citron et des madeleines au chocolat et surtout… SURTOUT! … des chouquettes…
Bigoudi trouvait néanmoins que cela faisait peu…
Il s’assit pour manger… mais c’est alors que nos compères entendirent des sons de pas dans les couloirs sombres…
Des pas se rapprochant…
Toujours plus près.. Puis, une éructation… TADROSS! TADROSS!!!
C’était conspiragollum!
- Vite, Grandoulf! Cachons-nous dans cet abri rocheux! Dit Bigoudi en ramassant leurs effets à la hâte.
Puis, l’être vile et vouté qu’était Conspiragollum arriva à leur hauteur, sautillant.
- Mes sources! Mes précieuses sources! TADROSS! TADROSS! Que ceux qui ne savent pas lire s’en mordent les doigts!
Il étala alors un peu de colle sur le mur pour y poser une feuille de choux, signée Jean-Jacques-Grimat-Langue-De-Serpent. De ce que pouvait lire Bigoudi, c’était encore des âneries contre tout… sauf contre les chakras ou autres contes de fées du genre.
- Vite, dit Grandoulf. Profitons du fait qu’il aille dans cette direction pour nous enfoncer plus loin dans la montagne. Il ne nous y suivra pas!
Nos deux comparses prirent leurs jambes à leur cou… autant que faire se peu.
Après être passé dans des passages étroits, sombres et humides, ils entendirent des voix, des esclamations, des protestations.
Ils s’approchèrent donc du bruit.
- Mes amis, merci infiniment de votre confiance! Malheureusement, je dois nous déclarer forfait. Val-Minifée Plante a obtenu la confiance des gens de la Comté, mais… NOUS OBTIENDRONS LES SUFFRAGES DE LA TERRE DU MILIEU!
- Ah merde, c’est Denis Coderre, dit Bigoudi.
- Tu veux dire Mathieu Boudreault? Répliqua Grandoulf…
Nos amis se regardèrent, interdits… ni l’un ni l’autre ne savait démêler ce casse-tête de personnages…
- Je dois vous dire, mes chers amis orcs, gobelins et trolls que nous vaincrons! Les enveloppes brunes seront redistribuées à foison dans un futur proche! Et je vous promets que plus jamais nous n’aurons à nous justifier de texter au volant!
- OUAIS!!! S’exclama la foule, galvanisée par une musique des ténèbres dons les paroles étaient « I’m too sexy for your love ».
- C’est affreux, Grandoulf! Il faut arrêter ce malotru!
- En effet, Bigoudi. Même s’il a perdu du poids, il en a repris en matière de connerie!
Bigoudi vit Grandoulf se concentrer… puis, de l’eau jailli du toit de la caverne où était attroupée la foule.
- Ah non! Pas une conduite d’eau qu’on aurait dû réparer depuis 1975! S’écria Denis Mathieu Coderre Boudreault.
Puis la foule se précipita à l’extérieur. Certes, ces créatures se croyaient des révolutionnaires, mais elles ne feraient pas la révolution à l’humidité.
- Et voilà, mon ami… c’est comme cela que nous décimons des orcs, trolls et gobelins… en les menaçant de leur faire prendre une douche. AH AH!
Ils rirent de bon cœur.
- Vite, Grandoulf, nous devrions quitter notre poste. Peut-être que nos compagnons nous ont rejoint au point de rendez-vous!
- Vous avez raison. Il faudra affronter Conspiragollum tôt ou tard…
Fin du chapitre
0 notes
Text
Bœuf : 6 recettes savoureuses pour se régaler en toute simplicité !
Les recettes à base de bœuf sont très populaires dans de nombreuses cultures du monde. Le bœuf est une viande polyvalente qui peut être cuisinée de nombreuses façons différentes, que ce soit en rôti, grillé, sauté, bouilli, mijoté, etc. Il existe une variété de coupes de viande de bœuf, chacune ayant ses propres caractéristiques et utilisations culinaires. Par exemple, le filet de bœuf est connu pour sa tendresse et est souvent utilisé pour des plats de luxe comme le steak tartare ou le tournedos Rossini, tandis que le bœuf haché est souvent utilisé dans des plats tels que les hamburgers et les spaghettis bolognaise. Les recettes à base de bœuf peuvent être simples ou complexes en fonction de la méthode de cuisson et des ingrédients utilisés. Les épices et les herbes sont souvent utilisées pour donner de la saveur à la viande, tandis que les légumes peuvent être ajoutés pour créer un plat plus complet et équilibré. Que vous soyez novice en cuisine ou un chef expérimenté, les recettes à base de bœuf sont une excellente option pour des repas savoureux et satisfaisants. Voici six recettes à base de bœuf - Boeuf bourguignon : un plat classique de la cuisine française, consistant en des morceaux de bœuf mijotés dans du vin rouge avec des légumes et des herbes. - Steak grillé : un plat simple mais délicieux consistant en un steak de bœuf grillé à feu vif et assaisonné avec du sel et du poivre. - Chili con carne : un plat épicé d'origine texane, composé de bœuf haché, de haricots rouges, de tomates et d'épices. - Boeuf strogonoff : un plat russe traditionnel, composé de cubes de bœuf mijotés dans une sauce à la crème sure, accompagné de champignons et de nouilles. - Kebab de bœuf : une délicieuse préparation de viande marinée, coupée en lanières et grillée sur des brochettes, généralement servi avec une salade et du pain pita. - Ragoût de boeuf : une préparation mijotée de bœuf et de légumes, généralement préparée dans une cocotte, qui peut être servie sur du riz ou accompagnée de pain frais. Recette de boeuf bourguignon Ingrédients : - 1,5 kg de viande de bœuf coupée en morceaux - 200 g de lardons - 2 oignons coupés en quartiers - 3 carottes coupées en rondelles épaisses - 2 gousses d'ail émincées - 3 cuillères à soupe de farine - 1 bouteille de vin rouge de Bourgogne - 400 ml de bouillon de bœuf - 1 bouquet garni (thym, laurier, persil) - 250 g de champignons de Paris coupés en quartiers - 2 cuillères à soupe d'huile d'olive - Sel et poivre Instructions : - Dans une grande cocotte, faire chauffer l'huile d'olive et faire revenir les lardons jusqu'à ce qu'ils soient dorés. Retirer les lardons et les réserver. - Ajouter les morceaux de viande dans la cocotte et les faire dorer de tous les côtés. Retirer la viande et la réserver. - Dans la même cocotte, faire revenir les oignons et les carottes jusqu'à ce qu'ils soient dorés. - Ajouter l'ail émincé et la farine dans la cocotte, et bien mélanger jusqu'à ce que la farine soit bien incorporée aux légumes. - Ajouter les lardons, la viande, la bouteille de vin rouge, le bouillon de bœuf et le bouquet garni dans la cocotte. - Porter le tout à ébullition, puis baisser le feu et laisser mijoter à feu doux pendant 3 heures, en remuant de temps en temps. - Ajouter les champignons dans la cocotte et poursuivre la cuisson pendant 30 minutes supplémentaires. - Retirer le bouquet garni et servir chaud, accompagné de pommes de terre ou de pâtes fraîches. Recette de steak grillé Ingrédients : - 4 steaks de bœuf (200g chacun) - 1 cuillère à soupe d'huile d'olive - Sel et poivre Instructions : - Sortir les steaks du réfrigérateur environ 30 minutes avant la cuisson pour qu'ils atteignent la température ambiante. - Préchauffer votre grill ou votre poêle à feu vif. - Badigeonner les steaks d'huile d'olive sur les deux côtés, puis assaisonner généreusement avec du sel et du poivre. - Une fois le grill ou la poêle bien chaud, poser les steaks dessus et les cuire pendant environ 3 à 5 minutes de chaque côté pour une cuisson à point, ou plus ou moins selon la cuisson souhaitée. - Retirer les steaks de la poêle ou du grill et les laisser reposer pendant 5 minutes avant de servir. Vous pouvez accompagner vos steaks grillés de légumes grillés, de frites ou de salade pour un repas équilibré et délicieux. Recette de carpaccio de boeuf à la roquette, au parmesan et a l'aioli Ingrédients : - 400 g de filet de bœuf très frais - 100 g de roquette - 50 g de parmesan en copeaux - 2 cuillères à soupe d'huile d'olive - 1 gousse d'ail hachée finement - 2 cuillères à soupe de mayonnaise - 1 cuillère à soupe de jus de citron - Sel et poivre Instructions : - Placez le filet de bœuf au congélateur pendant environ 30 minutes pour faciliter la découpe en fines tranches. - Lavez et essorez la roquette, puis disposez-la dans un grand plat de service. - Mélangez la mayonnaise, le jus de citron et l'ail dans un petit bol pour préparer l'aioli. Réservez. - Sortez le bœuf du congélateur et tranchez-le en fines lamelles avec un couteau bien aiguisé. Disposez les tranches sur la roquette. - Arrosez le tout d'huile d'olive, salez et poivrez généreusement. - Parsemez les copeaux de parmesan sur le dessus du carpaccio. - Servez immédiatement avec l'aioli sur le côté pour tremper. Cette recette de carpaccio de bœuf à la roquette, au parmesan et à l'aioli est un excellent choix pour un repas léger et élégant. https://youtu.be/vvow83gjgVU Recette de boeuf strogonoff Ingrédients : - 600 g de filet de bœuf coupé en lanières fines - 2 oignons émincés - 250 g de champignons coupés en lamelles - 2 cuillères à soupe de farine - 3 cuillères à soupe de beurre - 2 cuillères à soupe d'huile d'olive - 1 tasse de bouillon de bœuf - 1 tasse de crème fraîche épaisse - 2 cuillères à soupe de moutarde de Dijon - 2 cuillères à soupe de persil frais haché - Sel et poivre Instructions : - Dans une grande poêle, faire fondre 2 cuillères à soupe de beurre et l'huile d'olive à feu moyen-vif. - Ajouter les oignons émincés et les faire revenir jusqu'à ce qu'ils soient dorés, environ 5 minutes. - Ajouter les champignons et les faire cuire jusqu'à ce qu'ils soient dorés, environ 5 minutes. - Retirer les oignons et les champignons de la poêle et réserver. - Dans la même poêle, faire fondre le reste de beurre à feu moyen-vif. - Ajouter le bœuf en lanières et le faire dorer sur tous les côtés, environ 5 minutes. - Ajouter la farine et mélanger pour enrober le bœuf. - Ajouter le bouillon de bœuf et laisser mijoter jusqu'à ce que la sauce épaississe, environ 5 minutes. - Ajouter la moutarde de Dijon, la crème fraîche épaisse, les oignons et les champignons réservés. - Assaisonner de sel et de poivre, puis laisser mijoter pendant encore 5 minutes pour que tous les ingrédients soient chauds. - Saupoudrer de persil frais haché avant de servir. Servez le bœuf stroganoff avec du riz, des pâtes ou des pommes de terre pour un repas réconfortant et délicieux. Recette de kébab de bœuf Ingrédients : - 600 g de bœuf coupé en fines lanières - 4 pains pita - 1 oignon rouge émincé - 1 tomate coupée en dés - 1 concombre coupé en dés - 1 tasse de yaourt nature - 2 gousses d'ail hachées finement - 1 cuillère à soupe de jus de citron - 1 cuillère à soupe de cumin moulu - 1 cuillère à soupe de paprika - 1 cuillère à soupe d'huile d'olive - Sel et poivre Instructions : - Dans un grand bol, mélanger le yaourt, l'ail haché, le jus de citron, le cumin et le paprika. Ajouter le bœuf coupé en fines lanières et bien mélanger pour enrober. Couvrir et réfrigérer pendant au moins 1 heure pour mariner. - Faire chauffer l'huile d'olive dans une poêle à feu moyen-vif. Ajouter le bœuf mariné et faire cuire jusqu'à ce qu'il soit doré et cuit à point, environ 5 à 7 minutes. - Pendant ce temps, faire griller les pains pita sur une plaque chauffante ou sous le grill du four. - Dans un petit bol, mélanger l'oignon rouge, la tomate et le concombre. Assaisonner avec du sel et du poivre selon votre goût. - Pour assembler les kebabs, placer une pita sur une assiette, puis ajouter une portion de bœuf cuit. Garnir avec le mélange de légumes et répéter avec le reste des ingrédients. - Servir les kebabs de bœuf chauds accompagnés d'une salade verte et de sauce yaourt. Cette recette de kebab de bœuf est facile à préparer et offre une alternative délicieuse et saine aux fast-foods. A lire également : Les salades avec de l’agneau Ragoût de boeuf Ingrédients : - 1 kg de viande de bœuf coupée en cubes - 4 carottes coupées en rondelles - 4 pommes de terre coupées en cubes - 2 oignons hachés - 2 gousses d'ail hachées - 2 cuillères à soupe de farine - 2 cuillères à soupe de concentré de tomate - 1 litre de bouillon de bœuf - 2 feuilles de laurier - 2 branches de thym - 2 cuillères à soupe d'huile d'olive - Sel et poivre Instructions : - Dans une grande cocotte, faire chauffer l'huile d'olive à feu moyen-vif. - Ajouter la viande de bœuf coupée en cubes et faire dorer sur tous les côtés, environ 5 minutes. - Ajouter les oignons hachés et les gousses d'ail hachées, et faire revenir jusqu'à ce qu'ils soient tendres, environ 3 minutes. - Saupoudrer la farine sur la viande et mélanger jusqu'à ce que la farine soit bien incorporée. - Ajouter le concentré de tomate, le bouillon de bœuf, les feuilles de laurier et les branches de thym. - Porter à ébullition, puis baisser le feu et laisser mijoter à feu doux pendant 1 heure. - Ajouter les carottes coupées en rondelles et les pommes de terre coupées en cubes dans la cocotte. - Poursuivre la cuisson pendant encore 45 minutes à 1 heure, ou jusqu'à ce que la viande et les légumes soient tendres. - Assaisonner avec du sel et du poivre selon votre goût. - Retirer les feuilles de laurier et les branches de thym avant de servir. Le ragoût de bœuf est délicieux servi avec du pain frais ou des pâtes. Bon appétit ! . Read the full article
0 notes
Photo
À cuisiner ce week-end : un chili sans fèves, qu'on servira à la façon de Cincinnati sur des pâtes avec du fromage râpé. La recette détaillée est sur mon blogue!😋 #recette #chili #chilisansfèves #recettesimple #comfortfood #chilidecincinnati #cincinnatichili #pasta #pâtes https://www.instagram.com/p/CpS7OW2JfaJ/?igshid=NGJjMDIxMWI=
#recette#chili#chilisansfèves#recettesimple#comfortfood#chilidecincinnati#cincinnatichili#pasta#pâtes
0 notes
Text
RECETTE DE HARISSA MAISON (COMMENT FAIRE DE LA PÂTE DE HARISSA)
View On WordPress
0 notes
Text
Ma la xiang guo est un sauté épicé et salé originaire de Chongqing en Chine. Il est emballé avec ma la (épicé engourdissant) et c'est le moyen idéal de donner un nouveau souffle à un sac de restes ou à des spéciaux post-Noël.Dans les restaurants ma la xiang guo du monde entier, vous choisissez parmi un éventail de viandes cuites et crues ; Fruit de mer; des légumes; nouilles et féculents; choisissez votre niveau d'épices puis remettez-le au chef (et préparez-vous à être époustouflé). L'assaisonnement lourd couvre efficacement toutes les saveurs des ingrédients individuels, ce qui donne un plat cohérent et savoureux.Vous ennuyez-vous encore? Quatre façons étonnantes de tirer le meilleur parti des restes, des cochons dans des couvertures au pud de NoëlLire la suiteCe plat est généralement assaisonné de piments séchés, de grains de poivre du Sichuan et de pâte de fèves au piment (doubanjiang) avec une pâte de raccourci facile connue sous le nom de base de hotpot. Avec une poignée d'épices parfumées, ce sont des ingrédients que j'ai toujours dans mon garde-manger. J'ai fait quelques ajustements à la recette traditionnelle pour plus de commodité.Choisissez de la viande et des fruits de mer précuits coupés en morceaux de 4 à 5 cm, accompagnés de légumes de votre choix pour le croquant. J'ai ajouté des tranches de jambon de Noël fumé, de l'agneau braisé froid et des crevettes cuites, puis j'ai pillé mon réfrigérateur pour trouver les restes de légumes de la sur-restauration de Noël. Je me suis retrouvé avec de la laitue gemme fanée, des courgettes, du céleri et des radis – tous croquants, frais et délicieux même lorsqu'ils sont sautés.Les quantités pour cette recette sont vraiment un guide, utilisez ce que vous voulez, mais essayez de sélectionner une gamme de textures pour une expérience culinaire amusante. Beaucoup de riz cuit à la vapeur chaud n'est pas négociable - vous en aurez besoin pour refroidir la brûlure.Restes de Noël ma la xiang guoPréparation 15 minutes Cuisiner 10 minutes Sert Quatre à six, avec du riz"Essayez de sélectionner une gamme de textures pour une expérience culinaire amusante." Photographie : Rosheen Kaul125 ml d'huile de cuisson 8-10 piments séchés, Préférez les piments du Sichuan 1 cuillère à soupe de grains de poivre de Sichuan entiers 1 anis étoilé 2 feuilles de laurier 4 tranches de gingembre, peau sur 4 gousses d'ail, découpé en tranches 2 piments rouges frais, taillé en diamants 3 cuillères à soupe de doubanjiang sauce aux haricots chili, disponible dans les supermarchés et les épiciers asiatiques 100g de fond de fondue facultatif, mais recommandé 1 cuillère à soupe de poudre de bouillon de poulet 1 cuillère à soupe de sauce aux huîtres 1 cuillère à soupe de sauce soja légère 1 cuillère à soupe de sucre semoule 300 g de reste de viande cuite dinde, jambon, poulet, etc., râpé ou coupé en bouchées 100g de fruits de mer cuits crevettes, palourdes, huîtres, homard, etc., coupés en bouchées 100g de légumes verts à feuilles laitue, chou, chou frisé, etc., coupés en bouchées 100 g de légumes croquants radis, céleri, oignons, chou-fleur, etc., coupés en bouchées Suppléments supplémentaires en option – œufs durs, champignons, pommes de terre frites / rôties, etc. 2 tiges d'oignon de printemps coupé en morceaux de 4 cm ½ botte de coriandre couper en morceaux de 4 cm Chili pétrole servirPotée après Noël de Rosheen Kaul. Photographie : Rosheen KaulAllumez votre hotte aspirante à plein régime et ouvrez une fenêtre à la manivelle, car vous êtes sur le point de faire cuire du piment à une chaleur torride.Chauffez l'huile dans un grand wok ou une poêle à feu vif jusqu'à ce qu'elle frémisse. Assurez-vous que votre récipient de cuisson est assez grand pour contenir tous les ingrédients avec de l'espace à revendre.Ajouter les piments séchés, les grains de poivre de Sichuan, le laurier et l'anis étoilé. Faire sauter jusqu'à ce qu'il soit parfumé, environ 30 secondes.'Pourquoi le mien a-t-il l'air de pleurer
?' Un guide sans larmes pour la pavlova parfaiteLire la suiteAjouter les tranches de gingembre, les piments frais et l'ail, faire sauter à feu vif pendant 10 à 20 secondes. Ajouter la base de fondue (si utilisée), doubanjiang, bouillon de poulet, sauce aux huîtres, sauce soja et sucre semoule et faire revenir à feu moyen jusqu'à ce que l'huile se sépare.Ajoutez vos ingrédients un à la fois, et laissez à chaque fois bien frire avant d'ajouter le lot suivant. Si vous surchargez votre wok ou votre poêle à frire, vous finirez par faire mijoter vos ingrédients. Faites sauter à feu vif après chaque ajout – le wok doit être grésillant et non fumant.Faire sauter à feu vif pendant deux à trois minutes après avoir ajouté tous les ingrédients. Incorporer les tiges d'oignon de printemps et de coriandre, et de l'huile de piment supplémentaire si vous le souhaitez.Servir avec du riz et manger immédiatement. Rosheen Kaul est chef cuisinier à Etta à Melbourne et co-auteur de Chinois-ish.
0 notes
Photo
PAD THAI - C'est l'un des plats thaïlandais les plus connus hors du pays. Il est devenu le plat national de la Thaïlande à la suite de la récession économique qui a touché le pays après la Seconde Guerre mondiale. Ce plat de nouilles est né… par décret ! Un texte aussi autoritaire qu’improbable, émanant du Premier ministre en poste à Bangkok à la fin des années 1930, le dénommé Plaek Pibulsonggram, Pibun, pour faire court. Ce militaire de carrière et admirateur de Mussolini s’était déjà fait remarquer en 1932 en participant au coup d’Etat qui renversa la monarchie. Quand il accéda au pouvoir, six ans plus tard, il était bien décidé à réformer son pays, qu’il jugeait arriéré. Et à contrer l’influence étrangère, chinoise surtout. Pour réduire la consommation de riz, le gouvernement a alors lancé une campagne pour la production de pâtes de riz en distribuant la recette du plat à travers tout le pays. Pour la recette traditionnelle, il faut faire sauter des nouilles de riz au wok, à feu vif, avec des œufs, diverses graines germées, du tofu émietté, des haricots jaunes, des oignons nouveaux et des crevettes grillées trempées dans de la sauce poisson nam pla. Le tout est servi avec une sauce sucrée à base de tamarin et de citron vert. En Thaïlande, il est servi avec un morceau de fleur de banane fraîche à côté. Il existe des variantes agrémentées de viande de porc, ou bien où l'ensemble de la préparation est enveloppé d'œufs, ou encore agrémenté de ce dont les gens disposent chez eux. La recette du pad thai servie dans les restaurants thaïlandais des pays occidentaux est plus riche. Les crevettes peuvent être remplacées par du poulet ou des cacahuètes émincées, et le plat est éventuellement agrémenté de coriandre, de jus de tamarin, de poivrons chili rouges.
8 notes
·
View notes
Text
Cher journal,
Nous sommes arrivés à Wavre, petit Wavre de paix où sont venus s'établir en leur temps Maurice Carême, Soeur Sourire (interprète de l'inoubliable chanson "Dominique-nique-nique"), Walibi et Aqualibi.
Aujourd'hui, cher journal, une fois n'est pas coutume, nous allons parler de la course en elle-même. Mais d'abord, revenons où nous t'avions laissé hier : notre gîte dans le petit bourg de Noduwez.
Nous faisons la connaissance de notre hôte, un type affable, qui n'hésite pas à papoter quand il trouve un partenaire enthousiaste. Et avec nous, ça fait deux partenaires enthousiastes : chic, a-t-il dû se dire, j'ai bien fait de me lever ce matin.
Nous avons évoqué notre périple assez largement, mais nous avons aussi échangé sur différents sujets. Par exemple, dans notre démarche de transparence, nous n'avons pas hésité à nous ouvrir sur notre impression que nos amis belges avaient fait "le choix du tout bagnole", comme on a coutume de dire dans les métropoles où on a pas besoin de voiture. Il nous l'accorde ("certains ont vite deux, trois voire quatre bagnoles !"), et nous explique que c'est un cercle vicieux : plus les gens font tout en voiture, plus les commerces de proximité sont superflus et donc désertés pour des hypermarchés meilleur marché et plus pratiques ; plus les commerces de proximité ferment et plus les gens sont contraints de tout faire en voiture. Voilà. Les choses sont dites, et bien dites, tout ira sans doute mieux très vite maintenant que le constat est posé.
Notre hôte est très sympathique, mais on sent une animosité larvée en filigrane dans son discours : les flamands l'énervent. C'est pas leurs villes, qu'il trouvent très jolies et très apaisantes ; c'est EUX, tout simplement. On acquiesce (ça coûte pas cher, en plus ils font même pas l'effort de parler français contrairement à lui, notre camp est vite choisi - sans parler des sabotages de transfos).
Tout passe très vite ; on a même pas le temps d'évoquer la nouvelle tournée des Pandora Chili Papers qu'il est déjà l'heure de vaquer à nos activités.
D'abord, nous entreprenons de laver nos vêtements de course, dont l'odeur commence à rendre indélicate sinon franchement inopportune notre présence dans tout établissement recevant du public. On met tout ce a sécher tant bien que mal et on croise les doigts pour que ce soit à peu près sec le lendemain.
C'est ensuite l'heure pour nous d'aller faire le tour du bourg et de manger la salade de pâtes qu'on avait achetée le midi à la pizzeria d'Orp, faute de tout autre commerce.
Le dîner pris, on va se coucher et on se propose de regarder Un Condé, avec Michel Bouquet. Malheureusement, la balance entre ravissement et fatigue est lourdement déséquilibrée en faveur de cette dernière, et nous sombrons vite dans le sommeil.
Ce matin, pleine forme. Nous appréhendons un peu l'étape sportive car même s'il ne pleut pas, il semble faire bien froid et le vent est vif. D'autant que nous avons déjà noté que le dénivelé serait plus important que sur les étapes précédentes.
Nous allons prendre notre petit déjeuner. Notre hôte nous a concocté un petit repas de champion et se révèle être un cuisinier enjoué. Nous papotons à nouveau. Cette fois, les hasards de la conversation nous portent sur la conduite des péniches sur le canal du midi et son lot d'emmerdements quand il s'agit de leur faire passer les écluses et que le loueur n'a pris la peine que de donner quelques vagues instructions générales.
Nous préparons nos affaires, nos gourdes et nos vêtements que nous terminons de sécher. Pendant ce temps, faisons un point sur la forme de la course.
Nous avons pris l'habitude de découper la course en trois sections de 9km, séparées par une inter-section marchée de 1km. Pour faciliter la lisibilité de ce blog, nous nous référerons à ces sections en utilisant les noms que nous leur avons donné : la section chauffe, la deuxième section, et enfin la section plaisir ("section plaisir", qui est rapidement devenu le nom d'un groupe fictif de zouk-love à succès dont le tube éponyme et lui aussi fictif a fait la renommée : "section plaisir - pour tous vos désirs - section plaisir - c'est notre désir - le matin c'est plaisir, le midi c'est plaisir, et le soir... pas besoin de dire !").
Rapportée à notre étape du jour, cette structure s'incarne de la manière suivante : la section chauffe de 9km en côte douce mais continue traverse des villages sympathiques ; la deuxième section se déroule sur le plateau, à travers champs ; et la section plaisir (pas besoin de dire) se compose d'un enchaînement de trois vilains raidillons successifs de 100m chacun de dénivelé positif, que nous rebaptisons "les trois dents du loup".
Nous nous mettons en route. La section de chauffe se déroule plus facilement que prévu. La côte est douce et la température aussi. La traversée de villages un peu variés rend la promenade agréable. Nous déchantons un peu sur la deuxième section car le plateau est littéralement vide et plat, planté de champs de betteraves à sucre sans le moindre bosquet, avec pour conséquence le balayage du vent de sud-ouest, qui, eut égard à notre direction, se nomme cette fois "saloperie de vent de trois-quarts face". La deuxième section ayant été assez éprouvante, la section plaisir promet de mal porter son nom. Et en fait pas tant. Nous attaquons l'ascension de la première dent du loup dans la forêt, ce qui est un cadre plutôt agréable. La deuxième est plus rude mais nous en venons à bout. Et la troisième nous amène à Wavre, notre destination. Le panneau d'entrée de la ville se trouve à plusieurs kilomètres du centre, et nous décidons de ne pas nous y arrêter parce qu'il commence à pleuvoir, et que marcher sous la pluie est pire que de courir sous la pluie. Arrivés dans le centre, nous nous jetons dans un petit restaurant qui s'avérera charmant, et les plats excellents. Nous persistons dans notre découverte de la gastronomie belge (entre les pizzas et les pâtes quand on ne trouve rien d'autre), et goûtons les croquettes de crevettes en entrée et le pain de viande en plat. Un délice ! Nous commencons a comprendre que la gastronomie belge ne met pas en avant la légèreté et la subtilité. C'est bon, c'est gras et c'est copieux. Pile ce qu'il nous faut !
En sortant il n'est que 13h30 et il pleut toujours. Notre chambre ne sera prête qu'à 15h et l'hôtel est à 30 minutes de marche. Nous prenons le parti de nous réfugier dans un café pour prendre un petit Perrier rondelle avant de décoller. Avant cela, nous nous fendons d'un petit détour par l'hôtel de ville tout proche pour toucher la statue du Maca, emblème de la ville, dont on dit qu'il porte chance à tous ceux qui lui touchent le postérieur.
Après avoir terminé nos boissons, nous nous rendons bien compte qu'il ne cessera pas de pleuvoir et nous nous mettons en route. Nous prévoyons de nous arrêter à un hypermarché sur la route, car Thomas souhaite acheter une brosse a cheveux pour démêler ses cheveux qui commencent à s'agglomérer dangereusement sous la forme une volumineuse dreadlock unique.
Nous trouvons l'hypermarché sans difficulté et constatons à nouveau combien la Belgique a "fait le choix du tout bagnole", tant il est difficile de traverser ces zones à pied.
Nos courses en poche, nous sortons du magasin. Nous constatons que la vilaine bruine a monté en intensité et que le ciel ne laisse pas présager d'amélioration notable. Nous soupirons pour la forme, enfonçons nos poings dans nos poches et démarrons. Alors quand on se dit que ça peut pas être pire, on se rend compte qu'il peut quand même pleuvoir plus fort. Et donc voilà, on se retrouve sous une drache battante à rejoindre depuis le parking de l'hypermarché une voie ferrée qui passe sous une autoroute. Pas le moment le plus super de la journée.
On arrive à l'hôtel, où on est très bien accueillis par un Francesco qui a l'air sympa, et qui tient la pizzeria au pied de l'hôtel. Sympa certes mais qui ne propose pas de petit déjeuner. On va donc devoir ressortir faire quelques emplettes.
Mais c'est déjà bien assez d'aventures pour aujourd'hui ! Laissons cela ici, et retrouvons-nous demain pour la suite !
Bonne soirée, cher journal, et bonne nuit !
2 notes
·
View notes
Text
29 octobre 2021
Déjeuner : Chili (pu capab), yogourt, jus d'orange
Diner : 2 petits hamburgers, frites, salade de pâtes, clémentine et ananas, jus de raisin
Légumes, oeuf, purée de pâte, dumpling, divers morceaux de viande, riz assaisonné à je ne sais trop quoi
1 note
·
View note
Photo
Une recette de pâtes à réaliser dans ce temps de confinement toujours dans l'originalité : la recette de nos pâtes au chili corn carne que vous nous aviez demandée. La recette : https://ift.tt/3aKiVrH #pâtes #pates #chiliconcarne #cuisine #food #homemade #faitmaison #coronavirus #covid19 #covid_19 #recette #recipe #confinement #confinementfood #instagood #photooftheday #amazing #foodporn #Instafood #yummy #foodie #foodstagram #foodgasms #eat #tasty #foodpics #hungry #cooking #dinner #lunch https://instagr.am/p/B-nSDSSIAPI/
7 notes
·
View notes