#oreilles de chien
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He was young once
Charles-Maurice de Talleyrand by Louis-Marie Sicard (n.d.)
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En ce Jour du Souvenir, portons le coquelicot et accordons une minute de silence pour tous les soldats qui se sont sacrifiés pour notre liberté! N'oublions pas non plus d'honorer nos vétérans et ceux qui servent le pays car ils le méritent. En espérant que l'avenir nous apportera des temps de paix, voici un poème de Paul Eluard:
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté.
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Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom
Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom
Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom
Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard
Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin) Au rendez-vous allemand (1945, Les Editions de Minuit)
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Leïna et l'aventure des petits nuages
Un beau matin, Leïna se réveilla avec un grand sourire. Le soleil brillait, et dans le ciel, de jolis petits nuages blancs flottaient comme des peluches. Elle sauta hors de son lit et courut chercher son grand frère, Eïden.
« Eïden, Eïden ! Viens voir, les nuages ont l'air tellement doux aujourd'hui ! » dit-elle, les yeux brillants d'excitation.
Eïden, qui aimait toujours jouer avec sa petite sœur, regarda dehors et sourit. « Tu sais quoi, Leïna ? Et si on allait voir ces nuages de plus près ? »
Leïna ouvrit grand ses yeux. « Mais... comment ? »
« Ferme les yeux et tiens ma main », dit Eïden avec un clin d'œil mystérieux.
Leïna ferma ses petits yeux, serrant fort la main de son frère. Soudain, elle sentit une brise légère et... hop, quand elle ouvrit les yeux, elle et Eïden flottaient dans le ciel, juste au-dessus des nuages !
« Ohhh ! » s'exclama Leïna. « Regarde, Eïden ! Les nuages sont tout mous ! »
Ils se promenèrent de nuage en nuage, riant et sautant comme sur des oreillers géants. Leïna s'amusa tellement qu'elle voulut emmener un nuage avec elle à la maison. Mais alors, un petit nuage timide s'approcha d'eux.
« Bonjour ! » dit le nuage en souriant. « Je m'appelle Poffy. Vous voulez jouer avec moi ? »
Leïna sauta de joie. « Oui, Poffy ! Viens jouer avec nous ! »
Alors, ils firent la course dans le ciel, s'amusant à former des formes rigolotes avec les nuages : un cœur, un papillon, même un petit chien ! Leïna riait tellement que son ventre en faisait des guilis.
Mais bientôt, le soleil commençait à se coucher, et le ciel se teinta d'un joli orange. Eïden regarda sa petite sœur et dit doucement : « Il est temps de rentrer, Leïna. »
« Oh... d'accord », répondit Leïna, un peu triste de quitter ses nouveaux amis les nuages.
Poffy les regarda et dit : « Ne t'inquiète pas, Leïna. Chaque fois que tu regarderas le ciel, je serai là pour te saluer ! »
Leïna sourit et dit au revoir à Poffy. Elle serra la main d'Eïden, et en un clin d'œil, ils étaient de retour dans leur chambre.
« C'était tellement magique ! » dit Leïna en se blottissant contre son frère.
Eïden lui sourit. « Oui, c'était une belle aventure. Et maintenant, il est temps de rêver à d'autres ! »
Leïna se mit dans son lit, ferma doucement les yeux, et cette nuit-là, elle rêva de sauter à nouveau sur les nuages, avec Eïden à ses côtés.
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Comme il est profond, ce mystère de l’Invisible ! Nous ne le pouvons sonder avec nos sens misérables, avec nos yeux qui ne savent apercevoir ni le trop petit, ni le trop grand, ni le trop près, ni le trop loin, ni les habitants d’une étoile, ni les habitants d’une goutte d’eau. .. avec nos oreilles qui nous trompent, car elles nous transmettent les vibrations de l’air en notes sonores. Elles sont des fées qui font ce miracle de changer en bruit ce mouvement et par cette métamorphose donnent naissance à la musique, qui rend chantante l’agitation muette de la nature. .. avec notre odorat, plus faible que celui du chien. .. avec notre goût, qui peut à peine discerner l’âge d’un vin ! Ah ! si nous avions d’autres organes qui accompliraient en notre faveur d’autres miracles, que de choses nous pourrions découvrir encore autour de nous !
Le Horla, Guy de Maupassant
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Louvre-Lens : il y a une expo : “Mondes souterrains : 20.000 Lieux sous la terre”. la suite et fin.
anonyme - recueil de figures de plantes - la Mandragore - XVIIe s.
Guillaume Le Clerc - "Bestiaire divin - Récolte de la Mandragore" - 1270 (pour info, il faut l'accrocher à la queue d'un chien pour la déterrer et se boucher les oreilles car elle hurle un cri pouvant tuer, en étant extirpée...Pas simple)
carottage de roches du Stéphanien (étage du Carbonifère, Paléozoïque) -390m, Vosges
gaillette de charbon (-1261m sous Maisnil); Lépidodendron (-930m sous Calonne); Neuroptéris (-1210m sous Ruitz)
#louvre-lens#expo#mondes souterrains#20.000 lieux sous la terre#géologie#botanique#mandragore#monstre#guillaume le clerc#bestiaire#carbonifère#stéphanien#vosges#fossile#charbon#maisnil#calonne#ruitz#ptéridophytes#neuropteris#lepidodendron#paléozoïque
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Une montée
Il était une fois une montée. Elle marche. Ses pieds avancent sur les pierres, écrasent les brindilles, passent au travers des escargots et verres de terre, les flaques de pluie et la boue. Le soleil se fait encore timide mais le jour arrive pourtant. Ses yeux, sous les paupières des restes embrumés de la nuit, observent le ciel. Encore gris toutefois, mais la tempête est passée. Les oiseaux perchés sur les branches des arbres, et leur envol, au travers des nuages, elle les regarde. Eux chantent par tous les temps, tous les matins, au creux de son oreille, ils la réveillent. Les chats aussi sont là. Ils se faufilent derrière les murs, perchés sur les parapets des maisons dès qu’ils la voient. Ce sont ses pas qui les font fuir, ils la pressentent comme une menace et ses sourires n’y changent rien. Et puis les chiens, ceux qui aboient derrière les grilles de leurs maisons, ils grognent sur son passage et elle frémit, elle accélère, court presque jusqu’au sommet, arrive tout essoufflée. Le danger est passé, c’est autre chose que voilà. Maintenant, de sa hauteur, elle voit le monde tout en bas, ce paysage qui est le sien et tous ces gens qui l’habitent, petits, si petits sous le regard de la colline et des pics des arbres. Elle se sent grande au milieu d’eux et dans ce temps silencieux. C’est une respiration après ce temps pluvieux.
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mes oreilles sont re re re re percées j'ai dit que c'était la dernière fois et qu'il fallait qu'il me foute des gros coups de pression s'il me voyait sans boucles d'oreilles, on a marché 19 putains de kilomètres en errant dans paris de crêpe en crêpe de milkshake en milkshake et de chien en chien avec lequel tokyo voulait devenir copain, on a retrouvé une nouvelle copine (j'espère... j'ai déjà prévu de l'amadouer en lui faisant un collier de sa couleur préférée mouahaha elle veut trop) pour lui filer des cartouches de clopes et au final on a continué de gambader sous le soleil avec elle, on a bu des skoll en observant les canards juste après que je me sois pris une capsule dans la gueule, on a aussi découvert que tokyo avait peur desdits canards puis on a laissé notre copine avec son date qu'on aime bien aussi, en se baladant on a repris une nouvelle crêpe en faisant des pinky promises avant de refaire 15 allés retours pour racheter des bières et les meilleures pizzas du coin on s'est posé devant sa péniche préférée on est devenus potes avec son proprio et maintenant il espère pouvoir faire des before sur sa péniche plutôt que devant, on a aussi voulu sauver une abeille en lui donnant un peu d'eau sucrée mais un gars l'a écrasé c'était horrible mais sinon on a beaucoup rigolé, c'était calme et agréable, des fois je me suis sentie un peu down car l'intuition toujours je sens souvent que c'est la fin des choses alors que pas forcément mais là je sens un changement de forme mais ce n'est pas encore déterminé néanmoins je crois que si c'est le cas la chute sera douce puisqu'on sera toujours liés d'une manière toute aussi agréable puis il m'a encore offert des ferrero rochers car j'en suis folle et qu'il sait que je bouffe rien en ce moment, dans le métro qui m'a fait rater le dernier bus il m'a dit qu'il aurait voulu que je dorme chez lui au final mais qu'il avait en même temps besoin d'être seul et qu'il ne comprenait pas la dichotomie de ce besoin lui paraissant extérieur à lui et de son envie, il m'a dit que les antidépresseurs le rendaient bizarre et qu'il se comprenait plus trop qu'il avait peur que je prenne mal le fait de ne pas dormir chez lui alors que non petit cœur je comprends totalement, puis qu'il était stressé que je passe une mauvaise journée alors que j'ai vécu ma best life mais il m'a répété qu'il voyait toujours dans mon regard qu'il y avait quelque chose de triste et ça je lui avais dit avant de partir que oui il y avait bien quelque chose car je suis toujours maussade comme lui mais qu'il était trop fort pour me rendre tout soleil, sinon avant on avait parlé de libido et purée je crois que rien que pour ça je devrais me mettre aux antidépresseurs je sais que ça commence à le soûler un peu mais je ne dirais pas non à une baisse drastique de la mienne j'ai l'impression que ça réglerait tellement de problèmes mais je crois que c'est pas la raison principale pour laquelle il faudrait même si je fais quand même des liens dans ma tête mais il est trop tard pour les écrire et j'ai oublié ma pensée cohérente du long trajet retour à pieds enfin bref j'ai passé une bonne journée qui vient de se terminer par un échange de messages trop gentils et mimis je suis remplie d'amour
#bon plus de 20 kilomètres avec mon bus raté du coup#je tiens à dire que ça n'arrive jamais#de marcher autant
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Kyrillios version Littlest Petshop
Je me suis demandée si faire des créations autour des petshops étaient considéré comme de l'art furry, mais normalement les furry c'est des animaux anthropomorphiques. Et là c'est plus le mélange d'un chien et d'un rouge gorge ?
Je crois, que je l'avais commencé l'année dernière à sculpter les ailes, (ailes oreilles et aile queue parce que pourquoi pas) et entre mon travail et mes créations artistiques, j'ai complétement délaissé ce pauvre Kyrillos (d'ailleurs je ne me suis toujours pas mise d'accord -avec moi même- sur l'orthographe de celui-ci).
Vu que je n'ai plus de travail et que je serai bientôt travailleuse handicapée (je vous raconte pas ma vie mais l'année dernière on m'avait vendu un avenir bieng dans l'industrie, c'était bieng jusqu'à que mon corps lâche) et que au bout de 4 mois d'arrêt maladie je me faisais royalement chier - je me suis remise à la création, que j'avais délaissé à cause de mon travail et de mes douleurs.
Donc nous voilà fin juin, et je retrouve au fond d'une caisse ce pauvre toutou, obligée de le continuer, le pauuuuvre.
Un p'tit peu de peinture acrylique, de la pâte polymère et de bon pinceau pour cette petite créature.
Dans le détail de la peinture j'ai rajouté des zébrures, ce ne sont pas des cicatrices, c'est des zébrures dorées parce que ça faisait jolis.....
Après sur les ailes c'est censée être des étoiles ✨ bon j'ai eu la flemme et un peu mal au dos et à la fin ça donne des croix. (Croix qui ne sont pas toujours associés aux chrétiens et bon les anges à la base ça appartient à la kabbale..)
Puis les photos dans la cour c'est parfait avec la canicule qui arrive doucement, j'ai droit à quelques rayons de soleil, entre deux orages (vive le sud...) .
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Parfois je pense au jour où je vais mourir, mes proches donneront sans doute ce kyrillos à un emmaus (tout comme mes 800 petshops) et personne ne saura qu'à la base c'est un OOC de cyril mp4.
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bref on se dit à dans six mois, avec la prochaine adaptation de Kyrillios, pas de la 3D parce que miskina j'ai pas trouvé de formation avec pole emploi et les écoles c tro cher.
Bon en vrai je reviendrai peut-être avant pour écrire le lore de Kyrillos :)
#cyrilmp4#youtube#youtubefr#celestial#esoterism#angelcore#littlest pet shop#lps art#lps custom#lps photography#lpscommunity#lps toys
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Persona art 🔥
C’est quoi 😶 la musique 🎵 qui a été tourné dans la salle des maîtres 🧑🏫 à manger 🍽️ en haut 👆 du jardin 🪴 des enfants 👧 à droite 👉 et de gauche de l’autre et du côté des petits chiens 🐶 à côté des petites tables à la fin c’est un ☝️ truc qui s’appelle les enfants 👧 à la place du du côté côté du du jardin 🪴 et c’est quoi 😮 c’est une 1️⃣ million et après il est où c’est une 1️⃣ tonne c’est quoi 😶 la la les enfants 👧 qui a fait ✅ ça s’appelle les petites maisons 🏡 de village de village et tout le reste du village c’est une ☝️ grosse pièce 🎭 et tout tout ça tout le temps tout ça ça fait ☑️ des trucs et et voilà c’est ça le pire des cas ça c’est pas ça qui fait ☑️ de moi je te dis que ça va ☺️ ça c’est un ☝️ petit problème 😈 et c’est un ☝️ problème 😈 et et voilà voilà quoi 😶 je je suis en en plus j’ai plus envie que je me casse les les oreilles 👂 avec tout tout le reste et et puis puis après j’ai pas pas de chance chance chance et et et voilà et voilà je vais me casser la figure je suis en mode c’est
#persona#persona art#art#artist on tumblr#ME!!#socvinc#drawing#illustration#doodle#oc art#oc fanart#my ocs art#my ocs#digital art#digital illustration#digital aritst
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Particularités innées - métamorphomage
HÉRÉDITÉ ‧₊˚ Ce don est héréditaire mais pas systématique et se manifeste dès la naissance.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Les métamorphomages sont des sorcier·e·s ayant la capacité de changer d'apparence à volonté, sans s'aider de potions ou de sortilèges. La métamorphomagie touche l'ensemble du corps, de la pointe des cheveux jusqu'au bout des pieds, en passant par un changement d'âge et de genre. Il est également possible de s'affubler d'attributs animaux, comme un bec de canard, un museau de chat, des oreilles de chien. La transformation s'effectue par la visualisation de l'aspect recherché ; elle devient de plus en plus facile avec la pratique. Les vêtements et objets, quant à eux, ne se transforment pas il est donc nécessaire d'apprendre à les modifier en même temps que son apparence physique. Si la métamorphose est indolore, elle est néanmoins rendue plus ardue selon les modifications voulues. Il sera ainsi plus compliqué de changer drastiquement sa taille ou son âge que la couleur de ses yeux, puisque il nécessite de modifier son ossature ou de rajouter des rides artificielles. Plus la transformation est importante, plus il sera difficile de la conserver ; elle risquera également d'engendrer des douleurs articulaires. L'apprentissage de la métamorphomagie est longue et difficile ; elle passe notamment par la maîtrise des émotions. L'humeur change l'apparence, notamment la couleur des cheveux et des yeux (par exemple, rouge pour la colère). Il est donc primordial pour un·e métamorphomage d'apprendre à dompter ses sentiments. L'imitation est une étape incontournable, il n'est pas rare de les voir observer leurs pairs afin de s'en imprégner, reproduire ce qu'iels voient, en passant par l'intonation de la voix jusqu'au plus petits tics d'expression. Iels prennent très vite conscience de chaque partie de leur corps comme d'une entité à part entière, qui peut donc subir des changements distincts les uns des autres.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ Très recherché·e·s par le gouvernement, les métamorphomages sont soumis·e·s à un recensement de la part du ministère de la magie, qui aime à les orienter vers des métiers où leur talent sera utilisé pour la bonne cause. Il n'est notamment pas rare de les voir devenir aurors. Les relations envers les autres sorcier·e·s sont généralement compliquées, si bien souvent iels font rire leurs pairs, iels provoquent également de la méfiance ; qui connaît dans son entourage un·e métamorphomage ne peut se fier à tout le monde, encore moins raconter ses secrets sans s'assurer de la véritable identité de son interlocuteur·ice.
#RPForum#forum rpg#rpg ressources#Megaverse#Fantasyrp#fantasy#Magic#Roleplay#MagicalCreatures#Sorcery#Fae#Wizards#ParallelWorlds#FantasyWorld#rpg forumactif#hp rp
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Les relations sont une course contre la montre / On les consommes comme un Mcdo
ça faisait longtemps que je n'avais pas écrit comme ça j'espère que ce texte trouvera une "oreille"
J'ai l'impression que le "feeling" qu'on peut avoir avec des personnes peut se perdre très vite, quand tu ne vas pas à leur rythme, ou bien quand tu "casses" ce rythme. On peut parler ensemble tous les jours, ou du moins régulièrement, mais si je te réponds plus pendant un temps (chose qui arrive souvent et c'est jamais personnel, c'est juste moi et je ne comprends pas pourquoi je suis comme ça et je me déteste d'être comme ça.).
Et bien ce "feeling" va se casser. Et il y a comme un engrenage que tu dois relancer, c'est pour ça que je n'aime pas les échanges virtuels en continu, tu dois toujours maintenir une sorte d'intérêt, sinon tout le potentiel de la relation part dans le néant.
Je trouve qu'il y a une réelle pression à répondre vite, pourquoi ? Parce que l'autre t'oublie ou il se lasse, encore une fois, on fonctionne de façon très consumériste. On veut tout, tout de suite, et il y a une date de péremption, il y a un temps imparti, il y a comme "tu as été trop lent, je suis passé à autre chose tu ne m'intéresse plus" ; en fait, c'est comme au McDo, tu ne supportes pas d'attendre ton repas plus de 10 minutes, et si tu attend trop de temps, tu en as même plus envie. L'analogie est drôle, on consomme les gens comme des McDo, on les veux tous, tout de suite maintenant et après on les digère mal, et s'ils mettent trop de temps à arriver, on ne prend pas de plaisir.
Le temps, c'est de l'argent ? Oui, mais pas que. Le temps, c'est aussi l'importance, tu es aimé si tu es le plus rapide, le premier à réagir, à être présent, à répondre. On ne veut plus prendre le temps de connaître et d'apprécier les gens, tant on veut les consumer aussi vite qu'on les a découverts, c'est comme tout. Pourquoi beaucoup ont la flemme de voir un très bon film 3h, mais disent oui à un film médiocre de 1h15 ? Pour les mêmes raisons. Et c'est à l'image de nos relations d'aujourd'hui, on ne connaît même pas son propre entourage, tu ne connais même pas les passions de tes propres "ami.es" ni de ta famille. Voilà pourquoi j'y vais parfois à reculons avec les nouvelles (pas que) personne dans ma vie ou autour, ou bien que j'arrête. Parce que je sais que je ne vais pas forcément avoir l'énergie de me battre pour maintenir une forme d'intérêt qu'a la personne pour moi, forcément je suis (de)nouveau dans sa vie, et la (re)nouveauté attise la curiosité, puis quand tu connais... Tu te lasses, ou pour ce qui est de mon cas, on découvre à quel point je suis inconsistant, banal et sans intérêt voir médiocre et méprisable, mais des gens restes pour je ne sais qu'elles raisons, sûrement car on aime avoir cette personne de bon coeur sur qui on sait qu'on compter et piétiner à la fois. Tel un chien qui reviens pour des caresses malgré que tu l'es tapé avant.
Ou l'énergie d'être le seul à maintenir une relation qui probablement ne va exister que dans ma tête, car moi je m'attache, j'ai décris un comportement que j'ai observé, que ne je fais pas, du moins pas totalement, car je pense qu'on est tous un peu comme ça à cause de notre système.
Alors parfois j'abandonne, car je sais que j'ai mis trop de temps à répondre aux messages, ou que je n'ai pas pu être assez présent à tout les événements, à toutes les soirées, que je n'ai pas assez liké ou commenté.
J'abandonne aussi d'avance, car je ne serai pas à la hauteur, je ne pourrais pas te parler h24, tout simplement car je ne suis pas doué pour ça, j'admire ceux qui peuvent entretenir des conversations. ça me rend triste aussi, je vois cette amie avec qui je parle tout les jours, enfin, parlait... Plein de vocaux, elle pourrait disserter sur la pluie et le beau temps, et tu as moi... Moi qui ne peux pas parler autant, qui n'arrive pas à parler de sa journée plus de 10 min et encore parce que il y a juste rien d'intéressant à dire. En fait c'est ça, j'ai rien d'intéressant à dire, et je ne le suis déjà pas moi même, je suppose que ça s'apparente à de l'ennui. Je ne m'ennui pas des autres, je m'ennui des conversations superflues, inutiles...
Je m'ennui de beaucoup de choses, mais pas des gens.
Moi ça me va d'être chill avec toi en silence, ont est pas obligé de casser absolument ce silence, c'est là où je ressens une vrai connexion, quand on peut-être ensemble en silence sans que ça soit gênant, que ça soit même agréable, le plaisir d'être ensemble.
Alors il y a des personnes avec qui ça s'arrête, d'autres avec qui ça ne (re)commencera jamais, parce que je n'ose pas et que je sais que c'est perdu d'avance.
À toutes nos histoires mortes avant d'avoir démarré. Et à toutes nos histoires mortes dans l'oublie au fond de ce portable.
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L'avantage du chien domestique sur le loup solitaire c'est qu'il a droit de temps en temps à une gratouille derrière les oreilles...
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Shuu Sakamaki
Nom: Sakamaki.
Prénom: Shuu.
Parents: Karlheinz et Beatrix.
Âge: 19 ans (physiquement)
Race: Vampire.
Taille: 1m80
Date de naissance: 18 octobre.
Signe astrologique: Balance.
Nourriture favorite: Steak saignant.
Hobbies(s): Écouter de la musique et jouer du violon.
Physique: Shuu est un jeune homme aux cheveux blonds légèrement bouclés, et aux yeux bleu océan dont il a hérité de sa mère. Il a des clous noirs aux deux oreilles. Shuu est toujours vu avec son mp3 attaché à un fil qui est enroulé autour de son cou et avec les écouteurs toujours aux oreilles.
Caractère: Shuu est un vrai dormeur et est vu en général en train de dormir dans le salon ou dans la salle de musique de l'école. Il sèche souvent les cours et a été retenu une fois en tant que senior du lycée. Selon d'autres étudiants, il est le propriétaire de la salle de musique. Apathique et paresseux, Shuu n'aime rien d'autre que la musique. Il écoute toujours de la musique, même dans son bain, aimant la musique classique allant du violon au piano. Il manque de motivation et est assez paresseux pour ne presque rien faire, s'ennuyant de la vie à cause de tous les événements de son enfance traumatisante. Bien que Shuu soit le fils aîné, il ne prend pas la responsabilité de s'occuper de ses cinq frères ou de la maison, poussant principalement le travail à Reiji. Shuu est également un peu pervers. En raison de son passé avec Edgar, il est pyrophobe.
Histoire: Shuu se sent étouffé par l'attention, les restrictions et les responsabilités qui lui ont été imposées, le conduisant à fuir sa maison. Il a ensuite rencontré Edgar, un garçon humain d'un village éloigné dans le monde des humains. Shuu l'atteignit à travers les passages souterrains qui reliaient les mondes démon et humain. Ils sont vite devenus les meilleurs amis. Parce que Shuu a pris l'habitude de s'enfuir pour jouer avec Edgar, Reiji a détruit le village dans un incendie dans une tentative malavisée d'impressionner et d'aider sa mère qui souffrait à chaque fugue de la part de son fils, et d'enlever le bonheur de Shuu par jalousie. Voulant sauver ses parents malgré les protestations de Shuu, Edgar alla dans le feu et "mourut". En raison de la "mort" d'Edgar, Shuu s'est blâmé et a développé un traumatisme grave de l'incident. Avec les propres caprices de Reiji que Shuu était inutile et ne pouvait rien faire de lui-même, mais surtout à cause de la pression de Beatrix, Shuu se retira et perdit tout intérêt à faire quoi que ce soit, sauf si Reiji le provoquait. Comme punition d'avoir échoué à son examen et devoir répéter une année scolaire, Karlheinz l'a envoyé en exil dans le pôle Nord. Il devait faire attention à ne pas tomber dans l'océan et devait combattre les ours polaires. Il a même été griffé quand il est revenu à la maison.
Bonus:
Il redouble la troisième année de lycée.
Il est gaucher.
Il déteste la nourriture trop sucrée.
Sa taille de pied est de 27,5cm.
Shuu a peur du feu depuis l'enfance, car il a supposé que son meilleur ami Edgar soit mort dans un incendie.
Shuu aime la musique classique.
Il joue le violon et le piano.
Il avait un chien.
Il déteste les vers.
Son père lui a donné un violon, mais Shuu l'a perdu et on soupçonne que Reiji l'ait cassé. Ensuite, dans Dark Fate, il a été révélé que Cordelia a cassé ce violon avec l'aide de Richter.
Il est révélé dans Dark Fate de Yuma Mukami que le vrai nom de Shuu est Ririe.
Shuu a déjà travaillé comme caissier.
Une fois il a dormi sur Shin sous sa forme de loup.
Il a déjà proposé à Kou de devenir son frère cadet, bien que ce dernier ait rejeté cette offre.
Quand ils étaient enfants. Laito a mangé tous les bonbons dans le réfrigérateur, mais caché les emballages de bonbons dans les poches de pantalon de Shuu donc Reiji a fini par gronder Shuu au lieu de Laito... Shuu dit qu'il est toujours en colère contre Laito à ce sujet.
Son endroit préféré où sucer le sang est la poitrine.
Chanson thème: 🎵
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Les étés à Curtin
Texte écrit par Jean-Claude Long
Fin des années cinquante. La grande maison est divisée en deux, louée en partie l’été par les sœurs Rochet, Berthe et Denise, mariées plus tard à Robert Magaud et Georges Guichert.
Dans le coin cuisine, un grand évier noir, en pierre, sert aussi à se laver. Le réchaud fonctionne avec une bouteille de butane ; au fond de la maison, une pièce fraîche sert de cellier. Un garde-manger à grille , suspendu, dissuade les mouches et les fourmis .
Dehors, une pompe, qu’il faut « amorcer », c’est un jeu ; un puits, dont on ne se sert pas, des granges, des hangars, des greniers, des machines et des outils mystérieux, des odeurs de paille et de grain, des poules en liberté. La vraie vie est là, pas en ville.
Un chien noir, Jimmy, est attaché à une grande chaîne, en permanence. Il a creusé un chemin sur son passage. Robert le lâche parfois, Jimmy part courir dans la campagne, si vite qu’on dirait un dessin animé : il a douze pattes. Quelques heures après, il revient en lambeaux, boitant, saignant d’une oreille. Cinquante ans après, on aurait dit « il s’est mis minable ».
Lorsque Robert revient sur sa moto, Jimmy s’agite avant que les humains aient entendu le moindre bruit ; Berthe dit alors : « voilà Robert ».
A gauche en sortant de la maison, un pré, dont l’enfant rêve l’hiver, comme une préface à des récits d’explorateur. On le traverse pour aller à la boulangerie à Thuellin.
Souvent vient brouter un troupeau de vaches. L’enfant aime les vaches, à la robe marron et blanche, cette odeur à la fois sauvage et rassurante, leur chaleur épaisse et grasse, maternelle . Elles font un peu peur avec leurs gros yeux, mais sont paisibles, c’est fascinant !Aujourd’hui encore, l’odeur des vaches me met les larmes aux yeux. "Voilà les vaches ! " est un cri de fête, un alléluia païen. Avec les enfants qui mènent le troupeau, je crois qu’il y avait une Mireille, on va jouer à cache- cache , à Colin Maillart, à Mère veux-tu. On mangera la tarte aux pommes de ma mère, on boira du Pschitt, l’après-midi ne sera que féerie. La Dent-du-Chat est une frontière au loin, les dieux juchés nous observent.
Fête aussi les commerçants ambulants, qui arrivent en klaxonnant ; galopade ! Dehors en pyjama ! Ducard, petit monsieur chauve aux yeux vifs, sa camionnette bleue aux odeurs de sucre et de bonbons chimiques. Fontana, fruits et légumes, sa camionnette verte, « l’Increvable », ses grosses lunettes. Le boucher a une fourgonnette deux-chevaux, grise .
L’enfant aime la campagne ; la liberté est totale. Sa mère, si craintive en ville, le laisse pendant deux mois divaguer parmi les faux, les herses, les tracteurs, dont un jour il desserra un frein à main dans une pente, bourde réparée d’urgence. Il aime l’errance, nez dans les nuages, la rêverie dans les odeurs. Il est shooté au foin, au fumier, à la pluie, aux animaux, coqs, renards toujours lointains mais dont le glapissement est proche, témoin d’un monde secret qui nous entoure, le comprendra-t-il plus tard ?
Le soir, les chiens discutent de loin en loin, que se racontent-ils ? Il pose un jour la question, un adulte répond : « ils ne racontent rien, ce sont des bêtes ». L’enfant pense que le grand se trompe, je le crois encore aujourd’hui.
On peut prendre des bâtons tant qu’on en veut, pourfendre les ennemis ; les plantes, les herbes sont des légumes pour jouer à l’épicier ; infinie profusion de cailloux pour lancer et construire. Deux shorts, deux chemises pour tout l’été suffisent pour fouler l’herbe menue par les soirs bleus d’été et sans avoir lu Rimbaud. Ma sœur et moi allons chaque soir acheter le lait à la ferme Teillon, dont les bâtiments existent encore. Quand le soir tombe au retour, et que les hirondelles se rassemblent sur les fils électriques en pr��vision de la migration, c’est que la rentrée des classes est proche. On transporte le lait dans un bidon en aluminium, qu’on appelle une berthe. Je suis gêné que le bidon porte le même nom que la propriétaire, gentille et aimable. Je n’ose prononcer le mot de peur de la froisser.
Après la pluie, au retour, début septembre, l’ombre monte des fossés dans des odeurs de trèfle et d’orties.
Ma mère achète parfois un lapin vivant chez Mme Guetta (Guettat ?) Mon père pourtant plutôt doux et pacifique, mais initié par ses vacances enfantines ardéchoises, assomme, suspend, saigne, écorche et éviscère l’animal sous le regard de l’enfant.
Nous rendons parfois visite à la Génie, vieille dame moustachue qui habite une sorte de chaumière dans une cour herbue et intarissable pourvoyeuse de potins de village. Tonton Maurice vient aussi parfois, il y a toujours une bouteille de vin dans la pièce fraîche.
L’église et la procession du 15 Août font un peu peur.
Mais le plus étonnant c’est le bruit fracassant des métiers à tisser. Comme c’était étrange, ce bistanclaque pan (on dit tchique tchaque pan) parmi les chevaux de trait, les vaches, et l’odeur des charrettes de foin.
Merveilleuse époque : les locataires lyonnais devinrent amis avec les propriétaires, particulièrement Berthe et Robert, qu’ils fréquentèrent jusqu’ à la mort de ma mère, en 1979 ; celle-ci allait voir aussi Denise Rochet, installée à St Sorlin. Le pluvieux été 1958, la belote, les tartes aux pommes, les gâteaux de riz au caramel favorisèrent sans doute le rapprochement. Mon père et Robert, le citadin et le campagnard, « se chambraient » amicalement, ma mère et Berthe riaient en faisant la lessive, parfois au lavoir. L’on prêtait un vélosolex. Avec Denise les conversations étaient plus sérieuses ; Georges était taciturne.
Aujourd’hui, Curtin sort parfois des brumes et ressuscite l’enfant, dont les sens et la pensée s’ouvraient au monde : quelle place y prendrait-il ?
Je voudrais avoir des nouvelles de Brigitte et Jean-Claude Magaud, les enfants de Berthe et Robert. Michel Guichert, fils de Denise et Georges ; il habite encore la maison, me permettrait-il d’y entrer ? La famille Teillon ; j’ai vu qu’il y a un boulanger, un plaquiste, un décorateur. Tonton Maurice buvait rituellement un canon avec Victor, en embarquant la provision de pommes de terre de ma mère dans la quatre-chevaux. Mireille Rochet (existait-elle, est-elle encore en vie ?) Une jeune fille aujourd’hui vieille dame, Hélène, qui était horrifiée par mes acrobaties en trottinette : « je vais le dire à ta mère ! »
D'autres soirs bleus, par Irène, août 2023.
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« On nous a corné aux oreilles : « Croyez en homme! » mais nous avons vu s'écrouler dans la poussière ce pauvre dieu fabriqué avec des idées et du papier et nous exigeons le retour des vrais Dieux, obscurs ou aveuglants, auxquels la mort, seule, nous égalait. L'homme-humanité : une boule de colle qui roule sur du sable et agrège à sa glu des millions de grains. Haro sur cet « idéal »! L'une des plus démesurées folies de notre siècle est de prêter l'ouïe à un immense « on », à un monstrueux « nous » qui, en cacophonie, hurle ou balbutie sur la tombe des Dieux et des héros ses désirs et volontés informes. Tel le troupeau, privé de berger et de chien, bêle à l'aventure et chaque mouton croit que son bêlement est unique et d'importance. »
Jean Cau - Les écuries de l’Occident
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