#manquer à un homme
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vrai marabout du retour d'affection
omme son nom l’indique, le rituel du cadenas d’amour est très simple , vous venez nous avec le nom et prénom de la personne que vous voulez attacher pour qu’il ou elle soit a vous pour toujours
Rituel du cadenas d’amour pour attacher l’être aimé Comme son nom l’indique, le rituel du cadenas d’amour est très simple , vous venez nous avec le nom et prénom de la personne que vous voulez attacher pour qu’il ou elle soit a vous pour toujours, il vous suffit de confié cette rituel au fétiche Gambada , vous allez acheter un cadenas et venir vers nous afin que le rituel se faire devant vous ,…
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COMMENT RÉCUPÉRER SON EX À DISTANCE ? LES 7 ASTUCES POUR RECONQUÉRIR SON COEUR !
Votre ex a décidé de partir, au sens propre comme au sens figuré ? Que la décision émane de lui/elle ou l’inverse c’est toujours aussi douloureux de se séparer de quelqu’un que l’on a aimé très fort. Alors vous n’avez plus qu’une idée en tête : faire revenir cette personne si importante à votre équilibre car vous ne pouvez pas vivre sans lui/elle ! Mais tout n’est pas aussi simple car vous…
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C'est pour vous ?
Cette confidence, comme celles qui suivront sont plus tardives. Ces aventures me sont arrivées lorsque j'étais en couple depuis plusieurs années. Nous avions l'habitude, ma femme et moi, de partir en vacances à la campagne. Bien sûr, je portais déjà des culottes et je les achetais en magasin ou sur catalogue. La facilité des achats sur internet n'existait pas.
En nous promenant sur un marché, un étal de lingerie m'a attiré. Je ne pouvais pas manquer une petite exploration… En m'approchant, j'ai repéré quelques jolies parures et des mignonnes petites culottes. C'est à ce moment là que la vendeuse s'est tourné vers moi et discrètement m'a demandé "C'est pour vous ?" J'ai dû rougir comme une jeune fille car elle a ajouté aussitôt "Ne soyez pas gêné, jeune homme, j'ai des clients habitués comme vous qui viennent chez moi depuis des années. Vous savez, ici, il n'y a pas de grand magasin et sur les catalogues, c'est difficile de trouver sa taille." Mis en confiance, ma femme à mes côtés, j'ai alors pu regarder les modèles qu'elle me conseillait. Je voulais des slips avec un fond assez large, sans trop de dentelle pour pouvoir les porter au travail et me sentir à mon aise. La vendeuse m'a conseillé un lot de culottes en coton, toutes simples avec un élastique large. Elles n'étaient pas trop féminines mais après les avoir essayé à la maison, je les ai adopté.
Et cette gentille vendeuse a gagné deux clients car ma femme et moi nous y sommes retourné la semaine suivante pour lui acheter des choses beaucoup plus féminines et assorties pour nous deux.
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Is it for you?
This confidence, like those that will follow, is later. These adventures happened to me when I had been in a relationship for several years. My wife and I used to go on vacation to the countryside. Of course, I already wore panties and I bought them in stores or from catalogs. The ease of shopping on the internet did not exist. While walking around a market, a lingerie stall attracted me. I could not miss a little exploration…
As I approached, I spotted some pretty sets and cute little panties. It was at that moment that the saleswoman turned to me and discreetly asked me "Is it for you?" I must have blushed like a young girl because she immediately added "Don't be embarrassed, young man, I have regular customers like you who have been coming to my place for years. You know, there is no department store here and it is difficult to find your size in the catalogs." Reassured, with my wife at my side, I was then able to look at the models she recommended. I wanted briefs with a fairly wide bottom, without too much lace so that I could wear them to work and feel comfortable. The saleswoman recommended a set of cotton panties, all simple with a wide elastic. They were not too feminine but after trying them at home, I adopted them. And this nice saleswoman gained two customers because my wife and I went back the following week to buy her much more feminine and matching things for both of us.
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Ce que vous savez peut être mal c’est à quel point vous êtes un besoin pour ceux qui vous aiment, et qui sans vous , ne vaudraient plus grand chose. Je parle d’abord pour moi qui ne me suis jamais résigné à voir la vie perdre de son sens, et de son sang. A vrai dire, c’est le seul visage que j’aie jamais connu à la souffrance. On parle de la douleur de vivre. Mais ce n’est pas vrai, c’est la douleur de ne pas vivre, qu’il faut dire. Et comment vivre dans ce monde d’ombres ? Sans vous, sans deux, trois êtres que je respecte et chéris, une épaisseur manquerait définitivement aux choses. Peut-être ne vous ai-je pas assez dit cela, mais ce n’est pas au moment où je vous sens un peu désemparé que je veux manquer à vous le dire. Il y a si peu d’occasions d’amitié vraie aujourd’hui que les hommes en sont devenus trop pudiques, parfois.
Albert Camus à René Char
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Automne 1923 - Champs-les-Sims
6/7
Comme mes filles, votre Lucien est un garçon fiable, même si il semble manquer d'ambition. Non pas que ce soit un mauvais trait de caractère, mais il me fait l'effet d'un jeune homme posé. A t-il envie de faire des études ? Je sais que ma Cléo veut aller à la Faculté de Lettres dont lui a parlé Antoine, et je pense que cela lui correspondra. D'ailleurs, elle est tellement motivée à y aller qu'elle redouble d'efforts en latin et en grec alors qu'elle n'aime pas tellement ces matières et qu'elle n'est pas très douée. Je ne sais pas si elle pourra réussir, mais je soutient sa décision, de même que Constantin. Sélène se destine au sport de haut niveau et Marc Antoine parle également de l'Ecole libre des sciences politiques. Jean-François veut suivre les traces de son père. Noé est à la meilleure des écoles avec Adelphe. En tous cas, notre rôle est bien de les aider dans les choix qu'ils font.
En revanche, il me parait dommageable que Jules ne soit pas prêt à prioriser les études de son fils. Tant mieux pour lui si il n'en a pas envie, mais tout de même, décréter que cela ne sert à rien ! Voilà une remarque avec laquelle Constantin n'est absolument pas d'accord. ("C'est tout simplement honteux ! Un gouffre de dépenses inutiles... Comment peut-il affirmer une chose pareille ?") Constantin fulmine derrière-moi et n'en démord pas. ("Il ne faut bien entendu pas dénigrer les formations de terrain, mais le terreau universitaire est primordial ! Sans lui, il aurait sans doute un ami de moins, moi ! Scandaleux, honteux !"). Ne le dites pas à Jules, mais il risque de ne pas recevoir de courrier de la part de Constantin avant un bon moment.
Transcription :
Cléopâtre « Ne t’inquiète pas. Personne ne t’as vue. »
Arsinoé « De quoi tu parles ? »
Cléopâtre « Tu es une sacré bonne actrice, si je n’étais pas sure de ce que j’ai vu, j’aurai presque pu croire à ton innocence. En tous cas, je t’ai couverte, tu n’as pas à t’en faire. Reviens me voir quand vous voudrez vous voir en douce, je m’occuperai de tout. »
Arsinoé « Merci Cléo… Pourquoi tu me couvre comme ça ? »
Cléopâtre « Bon, je l’avoue. Quand je t’ai vue te faufiler et rejoindre un beau rouquin derrière la barrière, j’ai été très jalouse ! Puis je me suis laissé prendre par le romanesque de la situation. La jeune princesse, timide et obéissante, mais si consumée par les flammes de l’amour et tant grisée par la passion qu’elle risque tout, ne serait-ce que pour un regard de lui. De quelle couleur sont ses yeux d’ailleurs ? »
Arsinoé « Hum… verte. »
Cléopâtre « Oh, un bel Adonis à la chevelure de feu et aux yeux verts vivant un amour secret avec une naïve Perséphone aux cheveux de blé et aux prunelles bleues comme les glaciers… C’est d’un tel... »
Arsinoé « Tu n’en fais pas un peu trop ? »
Cléopâtre « Je n’en fait jamais trop. La vie ordinaire est si barbante, si insipide et banale. Sélène qui aime son Berto le joueur de tennis, Maman qui a rencontré Papa dans une librairie, sans compter tous les habitants de ce village qui épousent le fils du voisin ou leur amie d’enfance… Regarde, je baille rien que de le dire ! Mais toi, ce que tu vis, c’est si intéressant, si intense ! Comme Cousine Emma avec son châtelain déchu, qui on sombré dans l’amour au détour d’un pré... »
Arsinoé « S’il te plait Cléo. Ce n’est pas drôle, c’est grave ce qui leur est arrivé. »
Cléopâtre « Tu es bien placée pour le dire dis donc ! Tu fais exactement pareil… ou plutôt vous l’auriez fait si tu n’étais pas si… toi ! »
Arsinoé « Mais non… pas du tout... Je veux dire… à part un baiser… »
Cléopâtre « Mais c’est merveilleux ça ! Navrée de te taquiner comme ça, j’ai menti je suis extrêmement jalouse ! Mais tu as de la chance Noé, avec cette vie, tu n’as pas eu beaucoup d’occasions de t’amuser. Alors c’est le moment. Crois moi, tu dois absolument en profiter avant que Grand-Mère te trouve l’époux qui te sera le mieux assorti, c’est à dire ennuyeux à mourir. »
Arsinoé « Heu... »
Cléopâtre « Oh c’est sorti tellement de travers, pardonne moi ! Je veux juste te dire que quoi qu’il arrive, je serai là pour t’aider ou te couvrir grande sœur. Vas-y et amuse toi ! »
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Soft Hanky | Steve Kemp x ftm!reader
notes : écrit avec un reader opéré du torse en tête
résumé : Pour le bien de son commerce, Steve Kemp prend connaissance de l’existence d’une catégorie de personnes spéciales. Il trouve donc un jeune transgenre et met en place son plan habituel. Problème, cet homme cache bien des surprises.
⚠︎ warnings : Description volontairement maladroite de la transidentité, idolâtrie du transgenre, Steve Kemp est un red flag à lui seul (cannibalisme, violence, manipulation..), kinks (dégradation, soumission, proie/prédateur)
english version here
- Description à la deuxième personne
- 2 509 mots
Tu avais pensé à un accident, peut-être même à un signe du destin. Il faut dire que ta vie sentimentale ne s’étalait pas sur des kilomètres, pas même quelques mètres. Alors tomber nez à nez avec un si bel inconnu, souriant et intéressé, ça avait été une sorte de miracle à tes yeux, et malheureusement pour toi il le savait. Steve, c’était son prénom, assez classique, rien d’original et un côté de déjà vu. Pourtant il t’avait attrapé en quelques secondes, à peine avait-il commencé à te poser des questions que tes joues étaient devenues aussi rouges que les sièges de la salle de cinéma où vous vous étiez rencontrés.
Pas de chance pour toi, le destin n’avait rien à voir dans cette romance soudaine. Cela faisait deux jours que Steve te suivait, apprenant principalement tes lieux les plus fréquentés et surtout les personnes avec qui tu y allais. Là se creusait le piège, tu n’avais personne, et c’était ton atout majeur. Aucun ami, aucune famille, pas même un poisson rouge à qui tu allais manquer. Tu étais un être vivant sur Terre sans attaches humaines, ce qui faisait de toi un fantôme, la victime parfaite.
Non je n’ai pas vraiment de famille, c’est assez compliqué à ce niveau-là, lui avais-tu naïvement confirmé lors de votre premier rendez-vous. Puis, disons plutôt des connaissances que des amis, avait-il réussi à te faire avouer. Enfin le bouquet final, c’est bizarre à dire vu que je ne te connais que depuis peu mais je t’apprécie beaucoup Steve. Le sourire qui t’avait accueilli à cette déclaration avait fait bouillir tes joues, et alors l’homme en face de toi tenta une approche – pensant qu’il s’agissait du moment idéal – il déposa sa main par-dessus la tienne sur la table de restaurant. Ta réaction ne fit que l'encourager, et quelques instants plus tard vous étiez en train de vous embrasser au coin d’une rue. Tout se déroulait à merveille, tout était parfait, dans les temps et même agréable. Il ne restait plus qu’à te faire di– Attends je..excuse-moi je crois que c’est un peu trop d’un seul coup pour moi, l’avais-tu couper alors que vous vous dirigiez vers chez toi. Il n’avait rien laissé paraître, seulement sourit avant de te rassurer, c’est rien on a tout le temps pas vrai ? Il aurait dû s’y attendre, tu avais été différent dès le début, tout ne pouvait pas être aussi simple.
À vrai dire tu n’étais à l’origine pas sur sa liste. Vanessa, Penny, Kate. Mais pas ton nom, pas un homme. Les femmes étaient demandées, recherchées et meilleures, pas les hommes.
Puis, un jour, lorsqu’il effaçait le compte instagram d’une précédente candidate, il tomba sur un post : Journée internationale de la visibilité des personnes transgenres. Les couleurs vives l’interpellèrent et puisqu’il n’avait plus rien à faire, il se balada à travers ce sujet. Plusieurs photos de personnes concernées, mais rien de spécialement intéressant, ils n’avaient rien qu’il ne pouvait pas trouver ailleurs. Quand soudain, une photo le stoppa net. Un dessin fait au crayon, représentant un être androgyne magnifique. Steve cliqua sur la photo de profil du créateur, et tomba sur toi. Tu n’avais que très peu de publications, mais assez pour qu’il te choisisse. Ton visage, ta silhouette, tes cuisses, hanches. Il y avait quelque chose de spécial dans ton être, différent des femmes, des hommes, différent des cisgenres. Dans ta biographie trônait fièrement le drapeau tricolore transgenre, accompagné de trois lettres “ftm”. Steve ne mit pas longtemps à ressembler toutes les pièces du puzzle, tu étais exceptionnel. Le parfait mélange de la beauté harmonieuse de la femme avec la sublime force calme de l’homme. Ton corps était splendide, tes traits divins. Ton goût ne pouvait qu’être sans égal.
Alors, tu passas en quelques heures premier de sa liste. Ton visage angélique allait rendre fou les acheteurs, et tu rendais déjà fou Steve. La nuit de sa découverte il ne ferma pas l'œil, cherchant toutes les informations possibles sur toi et sur ce qui te représentait. Il n’avait pas l’habitude de se sentir aussi impliqué, mais tu étais différent, c’était sûrement pour ça.
C’est de cette façon qu’une semaine plus tard, tu rencontras le subjuguant Steve Kemp en sortant de ta séance cinéma hebdomadaire. Tu fus surpris de tomber face à un homme aussi attirant, intéressé et surtout cultivé sur les sujets qui te tenaient à cœur. Il connaissait les termes queer, riait en disant qu’il avait visité ton endroit de rêve, ou freignait l’ignorance en découvrant ton nom.
Mais outre cette spécificité physique, il avait – avec surprise – découvert que tu n’étais pas aussi rapide que les autres. Tu ne l’invitais jamais chez toi, esquivant les sous-entendus d’un prochain date là-bas. Tu étais ouvert à ses avances et pourtant quelque chose semblait toujours te faire reculer au moment fatidique. Il avait d’abord pensé que tu étais inquiet par rapport à ton genre “spécial”, que tu avais peur de le lui en parler. Mais tu ne donnais pas l’impression que le sujet était sensible, au contraire tu en parlais avec légèreté. Le problème venait donc d’ailleurs. Steve avait dû creuser, mais la source avait fini par devenir visible. Tout venait d’un domaine plus intime. La façon dont tu mordais ta lèvre lorsqu’il te complimentait, croisais les jambes à certains regards insistants, gémissait faiblement dans vos baisers. Il avait cru à un comportement basique, il te plaisait ça se voyait. Puis, il avait remarqué ton léger inclinement de tête vers le bas, tes yeux fuyeurs, tes muscles faiblissant. Ton corps se soumettait à lui, consciemment ou non, tu réagissais d’une façon primale à lui. Cette conclusion lui avait sauté au visage lors de votre dernier baiser. Il t’avait gentiment bloqué contre un des murs extérieurs du restaurant asiatique, sa main à la jonction de ton cou et de ton épaule, ton corps avait semblé se ramollir dans son étreinte. Tu te laissais contrôler par lui, protéger, épauler. Il avait alors accentué votre échange buccal, et tout s’était confirmé. Ton corps avait besoin d’être soumis, vulnérable dans des bras puissants et protecteurs.
Après s’être rendu compte de cela, Steve a su trouver le problème : tu n’étais pas à l’aise avec ce fantasme. Ça tombait sous le sens, tu ne connaissais que depuis quelques jours l’homme qui te faisait sentir ainsi, c’était évident que tu ne voulais pas laisser ton corps à un presque inconnu.
Mais tout problème avait une solution, et il l’avait trouvée.
Humide de ta récente douche, ta main attrapa ton téléphone portable déposé sur le rebord de ton lavabo. Steve venait de t’envoyer plusieurs messages.
– Bon matin angelot – Un café pour commencer la journée ?
Tu répondis avec enthousiasme, lui disant que tu acceptais avec plaisir son invitation et en quelques secondes tu reçus une réponse.
– Je peux passer te prendre d’ici une vingtaine de minutes – Et si ça te va, je pourrais te montrer le fameux tableau que j’ai à la maison ? – Je te l’aurais bien apporté mais il faut croire qu’il ne rentre pas dans le coffre 🦣
Ton sourire t’accompagna pendant que tu enfilais des vêtements propres. Sa proposition te tentait énormément mais il y avait un hic. Passer du temps avec Steve te plaisait toujours, cependant aller chez lui voulait forcément dire passer une étape. Il n’était pas du style à te presser le pas, mais tu en avais envie et d’après vos échanges il semblait également en avoir envie. Avec un soupçon de doute, tu attrapas de nouveau ton portable pour lui répondre :
– Ok pour chez toi, mais seulement pour voir le tableau ;)
À seulement deux rues de ton immeuble, Steve esquissa un vague sourire en tapant une rapide réponse. Il se doutait que tu allais réagir ainsi, mais tu étais malgré tout tombé dans le piège et c’était le plus important. Le plan n’était de toute façon pas de coucher avec toi, seulement de te ramener en lieu sûr, chez-lui. Il ne couchait jamais avec ses cibles, parce qu’il n’en avait pas spécialement envie et surtout qu’elles venaient sans soucis chez lui, sans avoir besoin d’en arriver là.
Le trajet en voiture avait été plus long que tu ne l’aurais imaginé. Entre les petits chemins et les routes étroites, il vous fallut en tout à peu près une heure et demie pour enfin arriver vers ce qui devait être chez Steve. Un peu – beaucoup, mais l’avouer serait étrange – perdu au milieu d’une épaisse forêt de sapins en tout genre, trônait une longue et grande bâtisse. Tu sortis de la voiture en premier, voulant avoir le temps de détailler la maison avant d’y rentrer.
Pour être honnête, beaucoup de branches et de végétations camouflaient l’habitacle, tu ne parvenais qu’à deviner des lignes modernes et rectangulaires qui finissaient par disparaître derrière des troncs d’arbres. Mais malgré ça, tu trouvas la maison assez jolie de l’extérieur.
Steve arriva par surprise derrière toi, te faisant sursauter et pousser un petit cri peu viril. Son rire mélangé au tien fit voltiger quelques oiseaux à côté de vous, aussitôt tu t'inquiétas du possible bruit que ton cri aurait pû poser. Mais Steve te rassura immédiatement, déposant une main sur ton épaule il te sourit en disant : “Pas besoin de s’inquiéter, aucun voisin aux alentours, personne pour se plaindre du bruit”. Tu fus sur le coup soulagé, répondant quelque chose comme “oh génial” sans savoir que ce détail ne t'était absolument pas favorable.
Guidé par la main chaude du propriétaire, tu te laissas porter jusqu’à la porte d’entrée – même s’il devait sûrement en avoir plusieurs au vue de la taille de la maison –. Tu aurais en temps normal était quelque peu suspicieux par rapport à cette taille justement. Une habitation aussi grande signifiait grands revenus, Steve t’avait dit qu’il travaillait comme chirurgien plastique et ça pouvait expliquer ce détail là. Néanmoins, ton attention ne se porta absolument pas sur ses revenus, ni même la possible dangerosité d’une maison aussi éloignée de la civilisation. À vrai dire, une fois la porte franchie tu fus hypnotisé par la décoration. Tout était extrêmement sombre, dans des teintes marrons et noires. Il n’y avait que le minimum de lumières, et même les fenêtres ne donnaient pas assez de luminosité pour pouvoir apercevoir les quatres extrémités de la cuisine ouverte sur le salon. Les murs étaient très hauts, sombres eux aussi, seulement entrecoupés de quelques touches beiges. Vu de l’intérieur on oubliait le loyer de l’habitat, on se laissait dévorer par l’atmosphère si spéciale. Si tu prenais chaque petit détail à part, la décoration n’avait rien d’extraordinaire, mais mis bout à bout c’était comme si tu rentrais dans une sorte de tableau immersif. Sûrement à cause de la luminosité inégale au dehors ou de l’odeur flottante d’encens, mais tu avais le sentiment d'être coupé du monde extérieur. C’était étrangement agréable.
« Je ne te propose pas d’eau, intervint Steve en montrant d’un signe de tête ton café encore chaud dans tes mains »
Tu souris timidement en secouant la tête de gauche à droite. Même s’il conduisait, Steve avait fini sa boisson en moins de vingt minutes. Une main sur le volant, une autre toujours sur son gobelet en carton – à croire qu’il avait peur de le perdre – il enchaînait les petites ou grandes gorgées de caféine comme s’il s’agissait d’un élixir de jeunesse. Tu ne t’étais pas vraiment posé de questions sur le moment, supposant qu’il avait mal dormi ou que quelque chose lui prenait la tête.
Une fois ta petite observation complétée, tu proposas un peu de ton café à ton interlocuteur – ce qu’il accepta – puis tu te dirigeas vers le fameux tableau qui t’avait fait venir ici. Il n’avait rien de si spécial, juste une grande toile horizontale pleine de touches de peinture en relief. Tu n’étais même pas un expert en art, mais lorsque Steve t’avait parlé de cette œuvre tu avais été curieux et au fil de vos conversations tu avais eu envie de le voir en personne. C’est comme si on voyait plein de personnes vivre, t’avait-il confessé, comme si j’avais le super pouvoir de transformer les corps en âmes colorées. Sa description t’avait intrigué, tu avais voulu mettre une image sur ce pouvoir, et puisque Steve n’avait pas de photo sur lui quoi de mieux que de le voir en vrai.
« J’aurais plutôt dit qu’elles meurent, commenças-tu en inclinant la tête, regarde leurs positions on dirait qu’elles se font aspirer ou qu’elles pleurent, ton doigt accusateur accompagna ton analyse en dessinant des formes abstraites dans l’air, et puis les couleurs sont en train de disparaître, le orange vif devient cramoisi »
Trop absorbé par ton investigation, tu ne prêtas pas attention à Steve se plaçant derrière toi. Vos deux silhouettes étaient dans un parfait alignement, fades et indéfinies à cause de la pénombre, vu de face tu semblais disparaître dans la carrure glaciale de l’homme te surplombant de plusieurs centimètres. Ses yeux couraient au ralenti sur ta nuque dévoilée et nue, ton dos dessiné. Ils imaginaient les courbes alléchantes qui étaient camouflées sous deux ou trois couches de tissus – si facilement déchirables, même du bout des dents –. Tes épaules étaient relaxées, tu étais en confiance. Tu ne faisais qu’observer un tableau, sans te douter de la menace qui se trouvait derrière toi ni des preuves dissimulées derrière la peinture. Tu ne faisais qu'observer l'œuvre qu’un homme qui te plaisait avait chez lui. Sans penser un instant que derrière toi ce même homme serait désespérément un mouchoir en tissu imbibé de GHB. Sans penser que son bras était bloqué dans cette position, alors qu’il devrait être enroulé autour de ton cou. Sans imaginer le flot de pensées qui dévalait au même moment l’esprit de cet homme. Tu ne faisais qu’admirer une toile dont il t’avait parlé, qui lui tenait à cœur, dont il n’avait jamais parlé à personne à part toi. Tandis que lui était pétrifié par le doute.
« Je pense que j’aimerais pas avoir ce super pouvoir, de voir les âmes de gens, déclara ta voix, j’aimerais pas savoir qui est bon ou mauvais c’est trop volatile, continuas-tu en reculant d’un pas, et puis les mauvaises personnes sont juste incomprises, et j’aime bien essayer de les comprendre »
Ton talon heurta la pointe d’une chaussure cirée, tu crus tomber en arrière. Ton dos fut stoppé par un buste bouillant, et un sourire revint sur tes lèvres.
Un mouchoir tomba au sol et alors que tu te baissais pour le rattraper, la main ferme de Steve stoppa ton mouvement.
« Laisse-le ici, soupira presque une voix que tu n’avais jamais entendu aussi légère, il ne servira plus à rien »
Très envie de faire une partie deux, qui sait peut-être un jour ?
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Aujourd'hui nous vous présentons quatre familles de chaebol ainsi que les entreprises qu'elles ont créée. Il s'agit des anciennes familles qui règnent depuis des décennies, mais aussi les plus riches et puissantes du pays (voir du monde).
CHAEBOLS LES PLUS CONNUS, PAR ORDRE DE RICHESSE ET DE PUISSANCE
DAEHAN MOTORS Création : 13 janvier 1952. Fondateur : Seol Byungchul.
Autres dirigeants : Seol Taejoon (fils du précédent), Seol Minkyu (actuel, fils du précédent).
Ce groupe d'entreprises était initialement spécialisé dans la fabrication de véhicules sous la marque Daehan. Aujourd'hui, Daehan Motors est réputé comme l'un des plus grands constructeurs automobiles mondiaux, et touche également à l'aérospatial mais aussi aux transports publics et à l'ingénierie. Devenu le groupe le plus riche du pays, sa famille est l'une des plus puissante au monde.
— FAMILLE SEOL
Famille traditionnelle et patriarcale de chaebols coréens, les Seol résident dans une villa ancestrale du quartier de Yeonhwa où les enfants sont élevés strictement, portant l'héritage d'une grande famille d'entrepreneurs sur leurs épaules. Dans cette famille, les hommes sont largement favorisés pour obtenir les meilleures places de Daehan Motors, les dirigeants de l'entreprise étant choisis de père en fils. A l'inverse, les filles sont élevées de manière à devenir les parfaites épouses au foyer d'un homme riche. Si son épouse est une femme douce et aimante, Seol Minkyu est un homme particulièrement sanguin, stricte, et exigeant, en particulier avec ses enfants. Certains d'entre eux ont docilement suivi la voie qui leur était toute tracée dans l'espoir d'obtenir, peut-être, l'amour d'un père antipathique. D'autres enfants en revanche, plus rebelles, préfèrent prendre un chemin différent, choisissant de dissimuler ou non leurs intentions à leur paternel, à leurs risques et périls.
Seol Minkyu (M, 56 ans). Marié à Cheon Eunjung (F, 52 ans). - Seol Prénom au choix (M, 32 ans). - Seol Prénom au choix (M, 30 ans). - Seol Prénom au choix (F, 27 ans). - Seol Prénom au choix (F, 24 ans).
MIDO GROUP Création : 26 novembre 1962. Fondateur : Ryu Jaehoon.
Autre dirigeant : Ryu Hyesoo (actuelle, fille du précédent).
Leader mondial dans l'industrie cosmétique et la mode, Mido Group détient un réseau exceptionnel de filiales couvrant tous les aspects du secteur. En plus de cela, Mido Group possède également AriL, une chaîne de magasins de cosmétiques omniprésente en Corée du Sud. Les magasins AriL sont réputés pour vendre une variété de produits, des plus abordables aux plus grandes marques de luxe, comme la marque Seora, filiale du groupe. Mido Group est aussi un acteur majeur dans l'industrie de la mode et possède plusieurs chaînes de magasins de vêtements dans le monde entier.
— FAMILLE RYU
Ryu Hyesoo, dirigeante actuelle de Mido Group, est une ancienne mannequin dont le visage a grandement participé à l'explosion de la marque de luxe Seora. Mère de deux jeunes femmes dont elle a fait de véritables princesses, poupées de porcelaines, toujours apprêtées et mises en beauté, elle est une femme de caractère, dirigeante ambitieuse et très acharnée. C'est elle qui a insisté pour que ses filles prennent son nom, plutôt que celui de leur père, afin de perpétrer l'héritage laissé par Ryu Jaehoon. Les filles de la famille Ryu, bien qu'ayant reçu une éducation stricte, ont eu la chance de ne jamais manquer de rien, y compris de l'amour d'une mère qui, bien qu'exigeante, a toujours cédé à leurs moindres caprices. On dit de ces filles qu'elles sont de vraies divas, extrêmement hautaines, et que personne ne peut résister à leur incroyable beauté. Cette façade parfaite cacherait-elle un hideux secret ?
Ryu Hyesoo (F, 52 ans). Mariée à Kang Sungmin (M, 53 ans). - Ryu Prénom au choix (F, 26 ans). - Ryu Prénom au choix (F, 23 ans).
CHEONGHWA CORPORATION Création : 13 août 1964. Fondateur : Cheon Daesik.
Autre dirigeants : Cheon Daehyun (frère du précédent), Cheon Taejin (actuel, fils du précédent).
Chaebol sud-coréen majeur possédant un grand empire commercial et touchant à divers secteurs de l'économie. Fondé dans les années 1960 par la famille Cheon, Cheonghwa Corporation englobe diverses activités allant de l'aviation à l'hôtellerie de luxe, le commerce et les loisirs et infrastructures. Cheonghwa Corporation est notamment à l'origine de la construction du plus grand stade de Corée du Sud qui accueille de grands événements sportifs et concerts, ainsi que de la Dojang Nexus Toxer, un centre de loisir révolutionnaire, devenu l'une des plus belles attractions touristiques de la capitale.
— FAMILLE CHEON
Cheon Taejin espère bientôt prendre sa retraite et compte sur son fils aîné pour prendre la relève. En tant que seul garçon et plus âgé de sa fratrie, Cheon Prénom au choix est au cœur des attentes de ses parents afin de reprendre l'entreprise familiale. Pourtant, le jeune homme au caractère bien trempé préfère profiter de sa jeunesse et ne s'établir sous aucun prétexte. Etant le fils préféré de ses géniteurs qui cèdent à tous ses caprices et le chouchoutent comme s'il n'était encore qu'un enfant, il ne cesse de s'enliser dans des situations compliquées et des scandales qui attisent les gros titres de la presse. Entre drogue, alcool, courses de voiture, bagarres, le couple Cheon ne sait plus comment calmer les ardeurs de ce garçon immature à qui ils n'ont pourtant jamais rien refusé. Ses quatre sœurs, pourtant plus sages, plus matures, peinent à obtenir la moindre attention de la part de leurs parents. La jalousie les poussera-t-elles à briser la future carrière de leur frère dont elles pourraient prendre la place, ou choisiront-elles de rester fidèles et honnêtes envers le clan Cheon ?
Cheon Taejin (M, 63 ans). Marié à Kim Mikyung (F, 54 ans). - Cheon Prénom au choix (M, 27 ans). - Cheon Prénom au choix (F, 25 ans). - Cheon Prénom au choix (F, 22 ans). - Cheon Prénom au choix (F, 19 ans). - Cheon Minji (F, 17 ans).
HYEONMI TECHNOLOGIES Création : 14 mai 1971. Fondateur : Hyeon Jiho.
Autres dirigeants : Hyeon Prénom au choix (actuel, petit-fils du précédent).
Chaebol fondé dans les années 1970, Hyeonmi Technologies est spécialisé dans les secteurs de l'électronique et des communications. Sa filiale, Hyeonmi Electronics, est un leader mondial dans la fabrication d'appareils électroniques, dont des téléphones portables, télévisions, ordinateurs, tablettes, consoles de jeux vidéos, et batteries. Hyeonmi Technologies possède également son propre opérateur de télécommunications : MiTelecom, l'un des principaux fournisseurs coréens, ainsi qu'une chaîne de magasins d'électronique, Mi Store.
— FAMILLE HYEON
Suite au décès de Hyeon Jiho en fin d'année 2023, Hyeon Prénom au choix a hérité de l'entreprise de son grand-père en lieu et place de son propre père, disparu 17 ans plus tôt. Soudainement propulsé à la tête d'une des entreprises les plus puissantes du monde alors qu'il n'était âgé que de 28 ans, le jeune homme a du faire des concessions et abandonner sa vie d'avant, ses amis, ses rêves et ses passions, afin de faire tenir le cap à Hyeonmi Technologies face à la concurrence, et de permettre à sa mère et ses frères et sœurs de continuer à profiter de tout le luxe et le confort que l'entreprise familiale leur permet. Heureusement pour lui, son grand-père, particulièrement dur et autoritaire, lui a enseigné tout ce qu'il avait besoin de savoir avant de lâcher son dernier souffle. Si aujourd'hui, beaucoup de personnes se plaignent du changement de personnalité soudain de Hyeon Prénom au choix, personne ne peut imaginer la difficulté de sa situation et la lourdeur de son fardeau.
Hyeon Minseok (M, 1969-2006). Marié à Yoon Seonhee (F, 53 ans). - Hyeon Prénom au choix (M, 29 ans). Dirigeant actuel. Marié à Nom et prénom au choix (F, âge au choix). - Hyeon Prénom au choix (M, 26 ans). - Hyeon Prénom au choix (F, 22 ans).
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Whumptober 18 : Revenge
Vengeance, Sherlock Holmes 2009
L’hôtel particulier dans lequel Mycroft Holmes s’était établi à Reichenbach était sans conteste l’un des plus beaux endroits où John avait jamais séjourné. Et il ne pensait pas se tromper en songeant qu’il en était de même pour Simza, qui s’était installée dans un fauteuil tourné vers l’une des grandes baies donnant sur la chaîne de montagnes enneigées. La majesté du paysage rappelait à qui la regardait la merveille qu’est la vie et l’imminence de la mort – John savait que ses plus riches compatriotes y séjournaient volontiers pour cultiver cet exaltant memento, mais lui n’avait guère besoin du tourisme pour lui raviver la mémoire, après les terrifiantes aventures qui avaient déraillé son voyage de noces.
Il avait vu sa femme jetée d’un train, il avait failli enterrer Holmes.
Et s’il n’avait perdu personne pour le moment, qu’avaient-ils gagné à ce harassant périple ?
Des informations, s’il fallait en croire les conciliabules de Holmes depuis qu’il avait quitté sa chambre, où John et Mycroft l’avaient enfermé de force pour qu’il se reposât au moins quelques heures après leur arrivée en Suisse. John l’avait surpris en train de conférer avec son frère, avec le secrétaire de ce dernier, et même en train d’écrire à Lestrade, ce qui l’avait évidemment empli d’une grande suspicion, car Holmes n’admettait pas souvent que ce dernier savait lire.
En ce moment, il voyait son ami penché au-dessus du dossier de Simza. Leur conversation se termina avant que John fût arrivé à leur hauteur et le détective s’esquiva avec un sourire pour John, manifestement à la poursuite du prochain rouage de son plan.
« Docteur Watson ! » salua Simza, avec un geste d’invitation en direction du tabouret qui flanquait son fauteuil. John s’assit de bonne grâce.
« Vous devez être rassuré d’avoir eu des nouvelles de votre femme.
– Et vous devez être inquiète de ne pas avoir encore retrouvé votre frère. J’espère que Holmes vous ménage ? Je sais qu’il peut… manquer de tact. »
Elle rit.
« Il… vise souvent au plus court. Mais je sais ce que c’est de protéger les siens : ça excuse beaucoup de choses. Et puis il a la vengeance au cœur, je crois. Moi aussi. Elle rend les femmes patientes… et les hommes encore plus impatients.
– Si vous le dites, acquiesça John, qui se sentait un peu perdu par la conversation.
– Vous la connaissiez ?
– Euh…
– La femme que Moriarty a tuée à Paris ? Miss Adler, je crois ? Tamas a entendu parler d’elle, mais il n’était pas sûr de son prénom. Ines ? Irma ?
– Irene, corrigea John doucement. Irene Adler. »
Holmes n’avait rien dit et John n’avait pas demandé, mais il s’était douté que le détective, qui collectait les articles et les photographies de l’aventurière, n’avait pu jeter son mouchoir – surtout s’il portait son monogramme ! – que pour lui dire adieu.
« Vous la connaissiez bien, alors ?
– Non. Pas vraiment. Elle était… c’est Holmes qui... était proche d’elle. »
L’expression le fit grimacer, tant elle semblait inadéquate.
« Mais elle était remarquable. Et si Moriarty… Il a tué une femme extraordinaire. »
Et Holmes n’avait sûrement pas besoin de cette motivation pour s’attaquer à un génie du crime, ni même de vouloir « protéger les siens » comme le résumait Simza, mais John ne doutait pas que sa tristesse le rendrait sans pitié.
« Tant mieux », songea-t-il avec férocité. Un homme qui avait commandité des assassins pour fusiller Mary ne méritait aucun compassion, et il était temps d’en finir : les brumes qui montaient des chutes du Reichenbach dissimulaient progressivement les sommets rocheux dans la froideur du soir.
#whumptober 2024#no.18#revenge#sherlock holmes 2009#sherlock holmes: a game of shadows#fanfic#fanfiction#tw death#john watson#sherlock holmes#madam simza#irene adler#mycroft holmes
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Dans ma tête
J'aimerai comprendre comment on en arrive là, à une vie d'adulte incomplète et incompatible avec des sentiments d'enfants.
Je n'ai jamais été comme ces autres, à vouloir grandir trop vite pour être "libre". Je l'ai toujours su, plus on vieillit, moins on est libre.
Libre de rêver, libre de jouer, libre d'aimer pleinement sans crainte du jugement, libre avec insouciance. La seule liberté que j'ai gagné à ma majorité est bien celle de souffrir seule et en silence. Me retrouver tel Eve dans le jardin d'Eden, nue et apeuré.
Pourquoi est-ce à nous, jeune enfant inachevé, de réparer les erreurs commises par nos ainés ? Les angoisses et les peurs projeter sur notre avenir encore incertain.
Je ne pensais pas qu'en tant qu'enfant mon rôle serait, en grandissant, de devoir tout réapprendre. Apprendre l'amour sain, apprendre la confiance, apprendre le respect, apprendre les limites, apprendre que les avis des autres ne sont que des avis et non une vérité absolue. Apprendre que se faire plaisir ne veut pas dire faire plaisir aux autres. Apprendre que s'aimer soi-même est la seule preuve d'amour qui sera sincère.
Etre un adulte avec un enfant intérieur, c'est épuisant. Cet enfant qui hurle en moi de ne pas se laisser faire. Un enfant qui pleure et qui à mal. Un enfant qui ne sera jamais d'un adulte écoute et soutien. Un enfant que je suis seule à devoir protéger. Un enfant qui aurait préféré ne jamais grandir plutôt que de se retrouver face à de tel dégât.
Alors merci papa car grâce à toi, je sais que les hommes font actes de présences uniquement.
Merci maman, grâce à toi j'ai des TCA.
Merci à mes grands-mères, grâce à vous j'ai appris quand sans amour, il n'y a pas de haine possible.
Merci à mes grands-pères qui sans eux, ou du moins sans leur décès prématurés, je n'aurai jamais su que l'on pouvait manquer d'une chose que l'on n'a jamais eu.
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JO Paris 2024 : une ouverture… sur le néant...
La convention entre nous est précise : l'été, ce blog devient hebdomadaire... ''sauf nécessité''. J'ai un peu hésité avant d'écrire quelque chose sur la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de 2024, ce moment de honte et de déshonneur. J'en avais envie autant que j'étais dégoûté de m'abaisser à commenter un tel étalage de saletés. Quelques demandes de lecteurs ont fait taire cette fausse pudeur. Et puis les sondages : 83% de satisfaits (ceux, sans doute, qui regardent le doigt de celui qui montre la lune...), mais 72% de dégoûtés... les gens ne savent plus ! On avait cru ''toucher le fond'' avec l'Eurovision 2024... mais il ne faut jamais douter de la dangerosité du progressisme et de la perversité des progressistes !
J'avoue avoir été rassuré par la levée de boucliers mondiale qui a condamné sans appel cette infâme ''wokerie'' française : même les évêques catholiques français, peu habitués à un tel courage et à une telle conviction, ont trouvé à redire, timidement (''le spectacle était beau, mais...''). Et le plus ridicule a –comme souvent, voire comme toujours-- été notre Méchencon : comblé au début, il a retourné sa veste lorsqu'on lui a confirmé que l'Islam condamnait de tels blasphèmes... et il s'est alors con-fondu (je tiens à ce tiret !) en tweets contre ceux qui ont pratiqué ce soir-là son sport préféré : taper sans limite sur l'église, la foi et les croyants...
Mais revenons à nos moutons –qui sont des moutons enragés. Il ne fait pas de doute que les 2 milliards et quelque de chrétiens, de par le monde, ont été humiliés par le spectacle décadent dirigé contre eux par ceux qui pratiquent au quotidien toutes les horreurs qu'ils essaient d'imputer à cette religion... dont ils ne savent rien et qu'ils assimilent donc à leurs mœurs dépravées et à leurs pratiques décadentes... Car ce que ces pornographes ont étalé n'avait rien à voir avec une célébration de l'esprit sportif : cette enfilade de scènes provocantes et perturbantes était une tartinade d'extrémisme woke. Tous les poncifs, les lieux commun et les contre-vérités cent fois démontrées fausses étaient au rendez-vous de cette misère de la pensée... Il ne manquait pas un seul des clichés cent fois éculés, sauf l'incontournable ''bonne-sœur-en-cornette'', obligée des défilés LGBT etc... ! Que ces ''créatifs'' peuvent donc manquer d'imagination ! Ils sont nuls !
Seuls points ''nouveaux'' (= ceux dont on se serait le mieux passé !) : Marie Antoinette en rose et rouge, mais décapitée (c'est charmant !), l’ostension d'une relation de trouple (= un ''couple à 3''. Que c'est frais et romantique !), ou des hommes qui s’apprêtent à copuler ensemble (quel joli spectacle pour les enfants !)... sont autant d'insultes à la décence et au respect humain. Question suivante : quel rapport peut-il y avoir entre l’esprit sportif et ces mises en scène provocantes.... si ce n'est le désir de ''dé-catholiciser'' un peu plus, par ce spectacle d'une extrême indécence, et de choquer les ''conservateurs'' –qui n'ont jamais mérité autant qu'aujourd'hui d'être écrits, à jamais, en un seul mot ?
Le tableau de la Cène, honteusement souillé avec des drag queens en un soi-disant défilé de mode... les éléments de disco et les performances (?) de Lady Gaga... la scène où Jésus est remplacé par une femme obèse LGBT... la représentation grotesque de Marie-Antoinette dont la tête coupée parlait, ou l'inclusion d'un homme nu (laid, gras et suiffeux, moche à faire peur) peint en bleu Schtroumpf (il paraît que ça se voudrait ''inclusif''. En quoi ?) s'ajoutent à l'insulte aux français qu'est le coût de cette prétentieuse décadence, à un moment où la Nation n'arrive pas à se dépêtrer d'une crise immense due, comme par hasard, à l'impéritie absolue des inspirateurs de cette gigantesque clownerie dégueulasse... On attendait d'eux une description de ''la France recevant le monde'', et on a eu ''la France telle qu'ils voudraient la voir disparaître''... Le monde, en fait, a tranché : c'est NON !
Le coût de cette cérémonie est un outrage pour les contribuables. Le budget initial de 122 millions d'euros pour la cérémonie a explosé, avec un coût total des Jeux désormais estimé à 11 milliards d'euros. La France, déjà endettée à hauteur de 3.100 milliards d'euros, gaspille ses ressources dans un spectacle de débauches même pas tentantes. Les cachets extravagants (700.000 € pour Aya Nakamura, 2 millions pour Céline Dion (unique joli moment, dans ce cauchemar), sans oublier Lady Gaga et l'océan des inconnus grassement rémunérés pour cette horreur, alors que de nombreux français peinent à joindre les deux bouts) illustrent un mépris total pour la réalité économique du pays. Que les ''gros sous'', pourtant, ne nous fassent pas oublier le ridicule de notre belle Garde Républicaine se trémoussant sans grâce autour de la chanteuse sans voix Aya Nakamura, dans un mélange incongru où ce symbole de la République a été associé à la déchéance des traditions républicaines, et où la dignité de la France a été bafouée dans une scène qui ridiculise son image, son Histoire, et son honneur.
Ce mélange de diversité perverse, de féminisme déplacé et mortifère, de wokisme destructeur de toute humanité, de fausse inclusion et de clichés à prétention culturelle... ne fait que diviser plutôt qu'unir. Ce n'est pas ce que l'on attend des Jeux Olympiques, qui devraient être un moment de rassemblement et de célébration des valeurs universelles du sport. Comme le disait récemment Henda Ayari : ''Si c’est ça, le Nouveau Monde qu’on nous propose, je n'en veux pas : je préfère faire machine arrière…''. Cette musulmane (connue pour son rôle important dans le scandale dit ''Tarik Ramadan'') ajoute : ''En tant que femme, je tiens à défendre nos valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité, et les racines chrétiennes de notre pays, même si je ne suis pas chrétienne. Ces racines font partie intégrante de notre identité nationale et méritent d'être respectées. Nous devrions être plus nombreux à soutenir nos frères chrétiens face à ces attaques. Les Jeux Olympiques doivent être un moment de fierté et d'inspiration, et non un spectacle de débauche et de provocation imposé par un extrémisme woke qui fait penser à un remake de Sodome et Gomorrhe, et qui marque la déchéance de notre société et de ses valeurs''.
Sa conclusion est un appel vibrant qui devrait réveiller nos consciences endormies, hébétées, et comme droguées : ''Les chrétiens et les patriotes français qui sont attachés à nos valeurs et à la dignité humaine doivent se réveiller. Ils doivent réagir, refuser de se laisser piétiner et dénoncer ces abus, et pas seulement sur les réseaux sociaux, il faut agir concrètement ! Il est temps de rétablir le respect et la dignité lors d’événements importants et de leur rendre leur véritable sens''. Tant qu'une seule voix comme celle-ci se lèvera et se fera entendre dans les borborygmes vulgaires des ennemis de l'humanité et de toute civilisation... l'espoir ne sera pas définitivement perdu...
H-Cl.
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❝ Tant que les hommes n’auront pas pris conscience de leur condition — je ne dis pas seulement de leur condition sociale mais de leur condition en tant qu’hommes et de l’extrême précarité de celle-ci : durée dérisoire par rapport au champ d’action de l’espèce tel que l’esprit croit l’embrasser, soumission plus ou moins en cachette de soi-même à des instincts très simples et très peu nombreux, pouvoir de penser, oui mais d’un ordre infiniment surfait, pouvoir frappé d’ailleurs de routine, que la société veille à canaliser dans des directions déjà définies où sa surveillance peut s’exercer et, de plus, pouvoir sans cesse défaillant en chaque homme et sans cesse équilibré par un pouvoir au moins égal de ne pas penser (par soi-même) ou de penser mal (seul ou, de grande préférence, avec les autres) ; tant que les hommes s’obstineront à se mentir à eux-mêmes ; tant qu’ils ne feront pas la part sensible de l’éphémère et de l’éternel, du déraisonnable et du raisonnable qui les possèdent, de l’unique jalousement préservé en eux et de sa diffusion enthousiaste dans le grégaire ; tant que sera départi aux uns, en Occident, le goût de risquer dans l’espoir d’améliorer, aux autres en Orient la culture de l’indifférence; tant que les uns exploiteront les autres sans même en tirer de jouissance appréciable — l’argent est entre eux en tyran commun — l’argent est entre eux en serpent qui se mord la queue et mèche de bombe — ; tant qu’on ne saura rien en faisant mine de tout savoir, la bible d’une main et Lénine de l’autre ; tant que les voyeurs parviendront à se substituer aux voyants, au cours de la nuit noire, et tant que... (je ne puis non plus le dire, ayant moins que quiconque la prétention de tout savoir; il y a plusieurs autres tant que, énumérables), ce n’est pas la peine de parler, c’est encore moins la peine de s’opposer les uns aux autres, c’est encore moins la peine d’aimer sans contredire à tout ce qui n’est pas l’amour, c’est encore moins la peine de mourir et — printemps à part, je songe toujours à la jeunesse, aux arbres en fleurs, tout cela scandaleusement décrié, décrié par les vieillards — je songe au magnifique hasard des rues, même de New York, c’est encore moins la peine de vivre. Il y a, je songe à cette belle formule optimiste de reconnaissance qui revient dans les derniers poèmes d’Apollinaire : il y a la merveilleuse jeune femme qui tourne en ce moment, toute ombrée de ses cils, autour des grandes boîtes de craie en ruine de l’Amérique du Sud, et dont un regard suspendrait pour chacun le sens même de la belligérance; il y a les Néo-Guinéens, aux premières loges dans cette guerre — les Néo-Guinéens dont l’art a toujours subjugué tels d’entre nous bien plus que l’art égyptien ou l’art roman — tout au spectacle qui leur est offert dans le ciel — pardonnez-leur, ils n’avaient à eux seuls que les trois cents espèces de paradisiers — il paraît qu’ils « s’en payent », ayant à peine assez de flèches de curare pour les blancs et les jaunes ; il y a de nouvelles sociétés secrètes qui cherchent à se définir au cours de multiples conciliabules, au crépuscule, dans les ports ; il y a mon ami Aimé Césaire, magnétique et noir, qui, en rupture avec toutes les rengaines, éluardienne et autres, écrit les poèmes qu’il nous faut aujourd’hui, à la Martinique. Il y a aussi les têtes de chefs qui affleurent à peine de la terre et, ne voyant encore que leurs cheveux, chacun se demande quelle est cette herbe qui vaincra, qui aura raison de la sempiternelle « peur de changer pour que ça recommence ». Ces têtes commencent à poindre quelque part dans le monde — tournez-vous sans fatigue et sans cesse de tous les côtés. Nul ne sait avec certitude qui sont ces chefs, d’où ils vont venir, ce qu’historiquement ils signifient — et peut-être serait-il trop beau qu’ils le sachent eux-mêmes. Mais ils ne peuvent manquer d’être déjà : dans la tourmente actuelle, devant la gravité sans précédent de la crise sociale aussi bien que religieuse et économique, l’erreur serait de les concevoir comme produits d’un système que nous connaissons entièrement. Qu’ils viennent de tel horizon conjecturable, nul doute : encore leur aura-t-il fallu faire leurs plusieurs programmes adjacents de revendication dont les partis jusqu’ici ont estimé n’avoir que faire — ou l’on retombera vite dans la barbarie. Il faut, non seulement que cesse l’exploitation de l’homme par l’homme, mais que cesse l’exploitation de l’homme par le prétendu « Dieu », d’absurde et provocante mémoire. Il faut que soit révisé de fond en comble, sans trace d’hypocrisie et d’une manière qui ne peut plus rien avoir de dilatoire, le problème des rapports de l’homme et de la femme. Il faut que l’homme passe, avec armes et bagages, du côté de l’homme. Assez de faiblesses, assez d’enfantillages, assez d’idées d’indignité, assez de torpeurs, assez de badauderie, assez de fleurs sur les tombes, assez d’instruction civique entre deux classes de gymnastique, assez de tolérance, assez de couleuvres ! Les partis : ce qui est, ce qui n’est pas dans la ligne. Mais si ma propre ligne, fort sinueuse, j’en conviens, du moins la mienne, passe par Héraclite, Abélard, Eckhard, Retz, Rousseau, Swift, Sade, Lewis, Arnim, Lautréamont, Engels, Jarry et quelques autres ? Je m’en suis fait un système de coordonnées à mon usage, système qui résiste à mon expérience personnelle et, donc, me paraît inclure quelques-unes des chances de demain.❞
— André Breton, Prolégomènes à un troisième manifeste du surréalisme ou non (1942) in Manifestes du surréalisme
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Les armes rhétoriques de Brigitte, voici comment elle ne va pas vous mentir sur sa supposé usurpation d'identité
Imaginons la question simple et sans détours suivante : Madame, êtes-vous née homme et avez-vous changé de sexe au cours de votre vie ?
Voici les réponses qu'elle pourrait répondre sans pour autant vous mentir :
Finesse et ironie : "Quelle question fascinante, elle doit sans doute remporter le prix de l'originalité. J'aurais presque envie de vous demander quelque chose de tout aussi personnel, mais je préfère garder une certaine classe."
Sarcasme doux : "Oh, on dirait que nous sommes soudain devenus très proches pour que vous me posiez une question aussi intime. J'ai dû manquer le moment où nous sommes devenus meilleurs amis."
Réponse détournée humoristique : "Si j'avais un euro à chaque fois que quelqu'un me pose une question aussi subtile, je serais probablement en train de me prélasser sur une plage privée loin d'ici."
Ironie sur la curiosité : "Félicitations pour avoir atteint un nouveau niveau dans le jeu de 'Questions Indiscrètes'. Votre prix ? Une invitation à réfléchir sur les limites personnelles."
Réplique sur l'éducation : "Je me demande toujours dans quelle école on enseigne que poser de telles questions est de bon goût. Je serais curieux de connaître le programme."
Affirmation ferme et éducative : "Votre question est non seulement intrusive mais profondément transphobe. Ce genre de curiosité ne contribue qu'à perpétuer des stéréotypes nuisibles et une discrimination inacceptable. J'espère que vous prendrez le temps de réfléchir à l'impact de vos mots."
Réponse soulignant la transphobie : "Il est profondément décevant et troublant de constater que la transphobie est encore si présente dans nos interactions. Poser une telle question n'est pas seulement irrespectueux, c'est aussi profondément offensant."
Mise en garde sur les conséquences : "Saviez-vous que ce type de question peut avoir des conséquences très réelles et néfastes sur la vie des personnes trans? Votre question n'est pas seulement inappropriée, elle est dangereuse."
Réponse appelant au respect : "Nous sommes en 2024, et il est temps de comprendre que les questions transphobes, même masquées par de la curiosité, ne sont pas acceptables. Chacun mérite le respect et la dignité, indépendamment de son parcours de vie."
Expression de la colère de manière constructive : "Je suis en colère et déçu(e) que vous pensiez que poser une telle question est acceptable. C'est une manifestation de transphobie et c'est inexcusable. Nous devons tous faire mieux pour comprendre et respecter les identités trans."
Et toi, à quel jeu de dupe souhaites-tu jouer ?
Brigitte Macron
On m'informe que ce n'est pas le bon tatouage donc acte
Alors qu’il pensait la victoire face aux Russes acquise et levait déjà les bras en signe de victoire, le punching-ball à lancé une « contre-attaque spéciale » inattendue qui a blessé le président à l’arcade sourcilière droite
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"Il était dix heures du matin et il neigeait de nouveau. Une neige légère, presque des gouttes de pluie. Elle avait froid et elle sentait des points douloureux dans tout son corps. Il fallait "dénouer les nœuds", comme disait Kniaseff. Alors, elle décida de se rendre chez Pola Hubersen. Elle était la seule à pouvoir la soulager. Elle s'allongeait sur le lit, Pola Hubersen la caressait, et ses doigts s'arrêtaient aux bons endroits, avec une précision d'acupuncteur. Ses lèvres effleuraient les siennes, et leur contact, sur son corps, était encore plus doux que ses doigts. Peu à peu, les nœuds se dénouaient sans qu'elle éprouve la souffrance qui était la sienne au début des cours de danse. Il lui arrivait de manquer un cours et de se retrouver au lit avec elle. Alors, elle se laissait aller au fil de l'eau en fermant les yeux. (...)
Elle entra dans l'immeuble du début de la rue Quentin-Bauchart. Pola Hubersen se levait très tard et peut-être n'était-elle pas encore réveillée. Elle traversa le vestibule, et quand elle fut entrée dans le salon, elle remarqua un manteau d'homme sur le grand canapé. Pola Hubersen était sûrement en compagnie de quelqu'un dans sa chambre et elle ne voulait pas la surprendre. Cet appartement donnait l'impression d'être exigu : le vestibule, le salon sur la rue et le long couloir qui menait à la chambre. Mais une petite porte qui se confondait avec le mur, de l'autre côté, donnait accès à une enfilade de pièces le long d'un autre couloir, des pièces dont la plupart étaient vides, ou simplement meublées de divans très bas. Elle prit ce chemin-là, ouvrit la dernière porte à droite et se retrouva dans la grande salle de bains contiguë à la chambre de Pola Hubersen. La lumière était allumée, la porte grande ouverte sur la chambre.
Elle se déshabilla et enfila un peignoir, l'un de ceux qu'elle portait toujours après un spectacle et qu'elle avait oublié là. Elle entra dans la chambre. Un homme était allongé sur le lit, qu'elle reconnut aussitôt et avec qui elle avait répété un duo au studio Wacker, un certain Georges Starass. En dansant avec lui, elle avait eu une sensation qu'elle n'avait jamais ressentie avec aucun de ses partenaires, comme si ce contact était plus intime qu'un simple exercice, au point qu'elle avait voulu le prolonger.
Maintenant, ils étaient seuls tous les deux dans la chambre, et au bout de quelques instants elle avait de nouveau cette sensation, comme l'autre jour au studio Wacker, de danser avec lui à la même cadence, en parfaite harmonie... Et bientôt des éclats de plus en plus forts se succédaient à des intervalles de plus en plus courts. Chaque fois, elle éprouvait un vertige qui s'amplifiait à l'infini.
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En 2023
Je re-rencontre un homme aux yeux si malicieux. Sous les cheveux blancs, le crâne est rose comme une crevette.
Je regarde l’homme qui danse-vole en ailes de pardessus, devant le cercueil de son amour assassiné. Mon cœur s’est remis en marche.
Mon cœur repart en chamade. Attention.
Attention à celui qui a les yeux aux rides jolies.
C’est une folle envolée. C’est une pointe d’amour.
Au final, point d’amour, en 3 jours. Je ris. J’ai pleuré puis je ris. De m’observer être si nulle en ça. Je ne m'y entends pas en rétention d'homme.
A tout âge, on apprend. En 2023 je rencontre un goujat.
En 2023, Dominique A, Bertrand Belin, Inspector Cluzo, Arthur H, et aussi des plus et aussi des moins au Bateau Ivre.
Je fais un pogo à Aucard. J'adore Aucard comme tous les ans.
Je ne dors pas pendant une semaine. J'arrive avec mes valises à la librairie. Il y a foule et je sors les rames et ma honte.
Orelsan à Terres du Son. J'ai supporté Terres du Son comme il y a 15 ans.
En 2023, c'est l'été. J’attire la curiosité de deux petits alpagas. Je mange des larves d'insectes. Goût de chips. Je mangé des grillons. Goût d'amande. Je fais du pédalo, du VTT cross, du paddle, du canoë. J'ai le mal de mer en rêve tous les soirs au bord du lac.
Je suis claustrophobe quand je ferme le gilet de sauvetage. Ma fille rit.
En 2023 je rencontre Galaad le facho de 18 ans. Son espoir en la vie est de buter une racaille. Il a le bac, il reçoit un mail, il est admis dans un truc militaire pour devenir instructeur en arme à feu. Son papa chéri conduit un Duster avec un très gros autocollant " Support our troups". Il fait du jogging avec un sac à dos rempli de pierres.
Le chien vomit à l'avant de leur canoë kayak.
Je visite des trucs qui se visitent. Je pense aux trucs qui se pensent.
J'écris au calme et au cagnard au bord du Cher chez E et A.
En 2023, je fais l'amour deux fois pour la dernière fois avec l'homme de ma vie qui ne m'aime plus depuis 3 ans. On ne peut pas faire l'amour à deux, seule.
En 2023, je veux acheter un bidon d'eau.
Je serre fort Fanie ma belette dans les bras deux fois par semaine car la tendresse se partage.
Je récupère des bidons d'eau dans la rue.
Je perds beaucoup de kilos. Je cours des kilomètres en portant mes parpaings.
En 2023 j'entends bien creuser une cave ou un abri antinucléaire au milieu de mon jardin. Creuser la nuit.
En 2023 j’ai peur de manquer d’eau
En 2023 je fais l'amour quelques fois avec un homme qui se demande encore après 50 ans si elle est assez grosse.
Je veux me couper les cheveux en juillet.
En 2023, S tombe dans les bras d'un camion de pompiers.
Je prends M dans mes bras parce qu'elle tremble de peur. Je serre S dans mes bras car elle tombe d’effroi. Je prends J dans mes bras parce qu'elle est trop fière. Pour le faire. Je prends B dans mes bras parce qu'elle, son amour est mort à 47 ans. Je pleure longuement.
Je me coupe les cheveux en août et ils se rebiquent en biquelettes.
En 2023 je parle et pense espagnol, beaucoup. Je pense breton beaucoup à l'intérieur de moi.
Jane B. est morte et je pleure une avalanche
Je me souviens d'Agnès Varda. De Gainsbourg. Je pense à Charlotte. Tous ils sont mes intimes. Je ne suis pas la leur. J'ai écouté tous les podcasts. J'ai pleuré pour tous ceux qui étaient tristes.
En 2023, je me fonds toujours, en grâce, avec elle et eux: la Nature. Je suis devenue longuement une biche.
Je discute avec un rouge gorge très gourmand.
J'entends une invasion de geais.
En 2023 les deux canards en planeur sont empêchés par un grand bouclier de vent de traverser l’autoroute.
Le cormoran se prend les pieds dans les glouglous tourbillonnants du Cher.
Je parle des écrevisses de Californie, qui marchent des heures pour disperser leurs gènes.
En 2023, je m'inquiète pour Miossec. Je discute avec ma collègue MC. Pour qu'elle sauve sa voix. Elle dit que c’est du carton maintenant.
En 2023 j'ai dû faire un choix de merde. J’ai dit adieu à la libido. Le choix de vivre.
Je me suis enfin lancée pour expliquer aux miens comme Noël m’est un odieux moment. Je me sens libérée de Noël.
Je pense beaucoup trop à F et son amoureux décevant.
J’écrase une souris écrasée. Je la remets sur ses pattes. Plate.
Je compte 23 oiseaux. Mangés par mon chat.
Je mange une tarte au fenouil et au saint nectaire. Les Studio, un lieu safe, une deuxième maison, une tanière.
J’aime encore plus mon vélo d'amour, ma ville-cité, les cinés Studio, mes chats.
J’ai de nouveaux voisins. Ils sont gentils et silencieux.
Je fusionne avec ma fille enchantée.
Je glisse sur l'asphalte. Fais du roller à toute bombe
En 2023 je suis correspondante fière des Studio, je vais voir un match de Roller Derby.
Mes lunettes me vont bien.
En 2023, au Bateau Ivre j’ai porté à bout de bras une drag queen magnifique et terrifiante de désespoir.
Je compte 31 oiseaux.
Tu fais chier Paprika - c'est le chat.
J'aime encore plus fort Piment- c'est le chat.
En 2023, j’affine la légende de moi. Comment les autres nous voient. Est-ce soi ? Est-ce un bazar de soi ?
Je m’interloque.
Je réponds à la journaliste.
J’ai mon comportement-ben-ouais.
J’en fais trop mais avec conviction.
J’écoute les autres.
En 2023 je rencontre un plaintif,
Ça me fait chier.
Ma fille prépare une cape jaune fluo en crochet pour le chat.
J'aime mettre des chaussettes colorées. C'est du soleil aux chevilles dès le matin, et la fierté.
Je crois que j'ai fait une grosse boulette au boulot. Il y a 15 ans, j’ai couché avec le mari d'une collègue avant qu'il soit son mari, avant qu'elle soit ma collègue. Il y a des trucs à ne pas raconter mais aussi bon, je ne pouvais pas deviner hein. La reine des boulettes mais c'était drôle.
Je m’interpelle.
J’ai failli pleurer. Le film était si réussi. Ce n’est pas un film. Little Girl Blue. Et la tendresse en ce jour.
La boutique Emmaüs s’est rapprochée de la maison tendrement. Ma fille et moi déposons quelques euros pour des tas de vêtements à mettre en tous sens. C’est chaud et coloré, c’est vivant et plein de cœur de plein de gens.
Je parle beaucoup avec l’homme aux yeux malicieux. Il est tendre froid, il aime et n’aime pas, il est seul et entouré. Il aimerait, mais abandonne. Il aime, mais pas trop longtemps. Il ne sait pas, il est perdu au milieu de sa vie
On met les vêtements au congélateur pour ôter les phobies de punaises.
En 2023, j’ai envie de donner une vie entière et mon royaume pour la santé de mon fils.
Je fusionne tendrement avec mon amie I au poignet qui se tord de rire, mon amie A qui fuit à l'intérieur, mon amie A à l'épaule qui tressaute d'envie, mon amie B au bras qui s'enfuit déjà. Oublier le temps.
Je mange une galette FCPE. Ecoute attentivement ma copine D, chargée de comm'. On ne croirait pas comme cela, mais elle aussi a besoin des autres.
En 2023 je marche sur le fil des émotions de mon fils. Je me sens éléphant dans son magasin de porcelaine.
Je ne peux plus pleurer.
C'est l'hiver. J’écris au calme et encheminée chez E et A. J’y rencontre Totoro le vrai.
En 2023 je pense encore avec tendresse au goujat plaintif.
J’aime tant serrer dans mes bras celui aux yeux si malicieux et perdus.
Je fais arrêter les voitures pour la traversée lente du brocard. Il me sourit.
Le douanier Bolo, lui, ne laisse rien passer, son képi lui va comme un gant.
En 2023, je fais un doggy bag avec les macarons au fois gras du séminaire.
Dans le train du retour, j'ouvre mon doggy bag devant le gros monsieur qui fait semblant de lire le dernier F.O.G. Il regarde par-dessus, un peu en biais comme tous, les fesses rouges serrées de la belle lurette entrée après moi dans le wagon. On ne regarde plus mes fesses comme une belle belette.
J'emmène ma fille au spectacle encore. Elle parle au micro.
Mon fils est dans le dur.
En 2023 l’homme de ma vie qui ne m’aime plus depuis trois ans envoie en sms en décembre. Qu’en faire.
Quand.
Paprika ramène un 32ème oiseau.
Avec la cape jaune fluo en crochet, sa saison 2024 sera une saison maigre.
On ne peut pas laisser ce chat gourmet liquider tous mes efforts pour la biodiversité de ces jardins urbains.
Il n’y aura plus un seul hérisson dans deux ans, dit l’article.
Le 31 je marche seule dans les rues qui se donnent et j’m’en fous de ces chaines qui pendent à nos cous. J’apprends ce qu’est un Rashômon. Je reste jusqu’au bout du bout du film, je sors la toute toute dernière de la salle de la toute toute dernière séance. Je rentre à pied. Je verse des petites étoiles dorées dans les boîtes à lettres des gens de mon quartier.
Je monte une toute dernière fois en 2023 sur mon tabouret magique pour mieux y voir ce qui est tout petit, de haut.
Un petit tour de 2023.
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Chapter 4 (French): Far away from land, intrusive thoughts and important crisis
Zeff regardait le ciel d'un air penseur. Tout jusqu'ici se déroulait à merveille : le temps était clément, les 4 nouveaux passagers respectaient les règles et ils devraient atteindre Alabasta dans quelques jours. Tout se déroulait pour le mieux et c'était ce qui le rendait nerveux. Après avoir passé des années en mer, Zeff savait parfaitement que cela signifiait le calme avant la tempête et il n'avait pas vraiment hâte.
Normalement ils ne devraient pas manquer de nourriture pour les jours à venir. À part si une catastrophe se produit et que soudainement la moitié du stock devenait non comestible, il ne s'inquiétait pas pour leurs réserves.
Depuis qu'ils avaient quitté Whiskey Peak il y a quasiment une semaine (plus précisement 5 jours), d'après Tara, ils atteindraient les côtes d'Alabasta dans deux ou trois jours. Dans ces moments là, Zeff aurait aimé que son bateau soit équipé pour la navigation comme les caravelles. Or, le Baratie était un bateau spécialement créé pour rester sur place ou effectuer de simples voyages et non pas entreprendre une véritable escapade sur Grand Line.
Le journal n'était prêt d'arriver, ce qui ne faisait que rajouter du stresse au chef. À ce rythme, l'équipage au chapeau de paille parviendraient à Laugh Tale avant même qu'ils n'aient traversé la première partie de Grand Line.
Zeff essayait tant bien que mal de se rassurer en se disant que son fils n'était pas faible, qu'il était bien capable de se défendre. Mais Zeff l'avait aussi vu grandir. Il avait vu les réactions excessives de Sanji face à ses erreurs, comment il gardait un oeil alerte sur tout ce qui se passait autour de lui et comment il évitait les endroits fermés et sans lumière.
D'ailleurs, Zeff se doutait que le père biologique de Sanji devait posséder quelque chose que le jeune homme aimait entre ses mains, sinon il n'y aurait aucune raison pour Sanji d'accepter de rejoindre sa famille de sang.
Honnêtement, cela l'effrayait un peu. Si Sanji avait abandonné ses rêves et sa liberté pour le sauver, Zeff n'était sûr qu'il puisse rester calme plus longtemps.
Il fut tiré de ses pensées par Carne qui s'approchait rapidement de lui.
"Chef, on a un problème.
-Développe.
-Yan a fait une réaction allergique mais on ne sait pas à quoi mais maintenant les trois autres sont hostiles. Ils pensent que nous avons tenté de les empoisonnés."
À ces mots, Zeff décida que les âneries de son équipage et du petit groupe avaient assez durées.
Une réaction allergique...s'il y avait bien une chose que tout le monde était capable de traité sur ce navire, c'était une réaction allergique.
Et voici Carne qui venait le voir en courant comme un enfant se réfugiant dans les jupons de sa mère.
Sans un mot, Zeff se rendit dans la chambre qu'il avait prêté aux quatre. Devant la porte, Eri faisait la garde.
Son expression était orageuse et quand elle vit Zeff, elle se mit à hausser la voix d'un ton accusateur.
"Tout ça c'est de votre faute ! Je savais qu'il ne fallait pas vous faire confiance, vous êtes un pirate ! Vous nous avez menti et maintenant Yan est malade !
-Gamine, une réaction allergique ça se soigne mais pour ça je dois aller le voir.
-Non ! Ne vous approchez pas ! Qu'est ce qui me dit que vous n'allez pas l'achever hein ?!"
D'un soupire, il poussa Eri sur le côté puis entra dans la chambre. Elle le suivit rapidement et attrapa son bras pour le tenir de toutes ses forces.
Dans la pièce, Kehos était en train de paniquer devant Yan qui toussait violemment. Depuis son emplacement, Zeff parvenait à voir les plaques rouge qui parsemaient sa peau. Tara s'était tournée vers lui et semblait l'analyser tandis qu'Eri tirait toujours sur son bras pour le faire reculer.
"SORTE DE LÀ.
-De 1 c'est encore mon bateau, de 2 votre ami a du mal à respirer et vous restez là à ne rien faire alors que j'ai ce qu'il faut. Mais bon si vous voulez qu'il s'étouffe allez y."
Tara réfléchit face à sa proposition. Zeff devait bien lui donner ce compliment, parmi eux, elle était la plus posée et la plus réfléchit.
Quand elle eu prit une décision, elle soupira et fit signe à Eri de le lâcher.
"Mais Tara ! C'est un pirate il va forcément l'achever !
-Dois je te rappeler que ce sont des pirates qui ont sauvé notre pays ? Lâche le, on va rester dans la pièce pendant qu'il le soigne.
-Je ne lui fais pas confiance.
-Moi aussi mais il est notre seul solution donc lâche le et viens soutenir Kehos, il va finir par faire une crise d'angoisse à ce rythme."
Eri finit par laisser le bras de Zeff et se rendit auprès de Kehos. Tara croisa les bras sans jamais détourner le regard.
"Eh bien faites donc !"
Zeff, qui était complètement désespéré par la situation, se dirigea vers la salle de bain où étaient entreposés tout le nécessaire médical qu'ils avaient.
Il pris les stylo à adrénaline puis fit demi tour.
Stylos en main, il rentra dans la chambre sans toquer et se dirigea directement auprès de Yan dont la respiration ne s'améliorait pas.
"Écartez vous."
À contre coeur, Kehos s'éloigna avec Eri qui n'avait pas lâché Zeff du regard depuis son retour. Son bras était autour des épaules de Kehos dont les tremblements ne semblaient vouloir s'arrêter mais qui pourtant était encore totalement lucide.
Le chef soupira, prépare le stylo et l'enfonca d'un geste rapide et précis dans la cuisse de Yan.
Une fois fait, il attendit quelques secondes avant de retirer le stylo tout en suivant les réactions de l'homme.
Au fur et à mesure sa respiration se calma et il parvint à mieux respirer. Toutefois, le contre choc arriva tout aussi vite et il perdit connaissance. Sa tête n'eut pas le temps de toucher le sol que Zeff l'avait attrapé et l'installa plus confortablement.
Puis il reporta son attention sur les trois restant.
"Si jamais ça repart, vous lui administrez une autre piqûre. Dans la cuisse je vous préviens. Il devra voir un médecin une fois à Alabasta mais pour le moment ça fera l'affaire."
Honnêtement il avait l'impression d'être sous le regard d'un prédateur. Les trois ne le lachaient plus des yeux même si les choses étaient différentes désormais. Kehos s'était calmé, Eri ressemblait à un chat enragé tandis que Tara toujours la plus calme pesair ses options.
"Est ce de votre faute ? Finit elle par demander.
-Parce que tu crois que ça m'amuse de presque tuer quelqu'un avec de la nourriture ?
-Il n'a jamais eu de réaction allergique auparavant ! Vous avez forcément mis quelque chose ! Renchérit Eri qui semblait prête à lui sauter dessus.
-Ça se contrôle pas les réactions. Il a probablement mangé quelque chose de nouveau ce qui a déclenché la réaction. Maintenant si tu continues à vouloir m'égorger alors que je viens de sauver ton ami, libre à toi d'essayer."
Cela calma Eri rapidement qui préféra recentrer son attention sur Yan.
Kehos se releva bien que des jambes semblaient être faites de coton et marcha vers Zeff. Une fois à sa hauteur, il lui prit la main et la serra avec force.
"Merci."
Mal à l'aise, le chef grogna un "les jeunes je vous jure" avant de se décider à quitter la chambre.
"Prenez le log pose éternel. On va rester ici."
Tara lui tendit l'objet en question.
"Dès que nous arrivons nous quitteront ce navire."
Il n'attendit pas plus longtemps et quitta la pièce. Une fois éloigné et son équipage rassuré, une nouvelle tension prit place sur épaules. Maintenant que le petit groupe était encore plus hostile qu'auparavant, les choses allaient être plus fatiguantes à gérer.
Il avait hâte d'arriver à Alabasta.
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N°2035 - Vendredi 07 juillet 2023
Je n'ai pas envie de faire semblant. Je n'ai pas envie de me forcer à aller à un repas qui ne m'intéresse pas. Je n'ai pas envie de côtoyer des personnes qui sont, pour la plupart, des faux culs ambulants. Je n'ai pas envie de faire ma sociable, alors que mon taux de sociabilité est au plus bas. J'ai besoin de temps avec moi, avec mon homme. Le week-end dernier, je n'étais pas à la maison et j'ai besoin de me retrouver avec lui. Alors, vraiment, c'est sans façon.
Puis, c'est le dernier jour de l'école. Les CM2 sont partis et certains, je les connaissais depuis le CP. Ma petite Lili va me manquer, c'est sûr. Puis, sa lettre m'a fait chaud au cœur. C'est sûrement une des plus belles qu'un enfant ne m'est faite. Je suis heureuse de les voir autant m'apprécier. Autant se confier à moi et me faire confiance. Puis, en même temps, j'aimerais me blinder et arriver à prendre de sacrées distances. Mais, je n'y arrive pas. Je me demande qui peu. Sûrement des personnes moins sensibles que moi, je suppose. Ses petits me procurent tant de joie, tant de fierté. Je suis passionnée par ce que je fais, et je sais que les enfants ont un grand rôle dans le fait que j'apprécie plus que tout mon travail. Alors, oui, certains vont beaucoup me manquer. Mais c'est ainsi.
La vie suit son cours et personne ne peut l'arrêter. Ils doivent grandir, évoluer, apprendre pleins de choses. J’ai fait ma part de travail, même si ce n'est pas la plus grosse. C'est au tour des prochains de continuer. J'espère que ces petits cœurs tomberont sur de bonnes personnes, qu’ils deviendront de bonnes personnes et qui sèmeront la joie et la bonne humeur autour d'eux. Qu'ils soient bien entourés et que personne ne leur fasse de mal. Je sais que ce souhait est voué à l'échec, mais j'ose espérer qu'ils souffrent le moins possible à l'avenir.
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