#mais faut pas abuser
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Depuis quelques jours je vois sur TikTok fleurir des vidéos de personnes qui décident de faire un régime sans sucres et qui expliquent le plus sérieusement du monde que même les fruits sont à proscrire de notre alimentation car il y a du sucre dedans et j'étais là en mode mais quel est donc ce ramassis de conneries qui vise à culpabiliser les gens et leur implanter des idées à la con dans la tête puis j'ai eu une révélation : on est le week-end de Pâques, donc des chocolats, et quelle merveilleuse idée que de faire culpabiliser les gens
#ptn mais les gens me fatiguent#effectivement le sucre transformé c'est caca boudin#mais le sucre autrement c'est plutôt ok#c'est même nécessaire#laissons les gens tranquilles svp#faire de la sensibilisation c'est une très bonne chose#mais faut pas abuser
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Je viens de recevoir un mail au sujet de mon assurance habitation et le mail commence comme ça s'il vous plaît :
Avec mon prénom !!!! Le respect est mort ???
Non, non, vous vous êtes trompés de touche sur votre clavier, je pense que vous vouliez écrire "votre contrat d'assurance" !! Je l'ai déja dit et je me repète mais je ne SUPPORTE pas qu'on me tutoie dans des mails comme ça, je suis pas votre pote, donc il n'y a pas de "Salut" et d'émojis........ ***ANGRY FRENCH NOISES****
Notes : je viens de + verbe : I just verb+ed recevoir un mail : to receive an email au sujet de : regarding assurance habitation : home insurance contrat d'assurance : insurance contract supporter quelque chose : to bear/tolerate sth tutoyer : to use "tu" (vs vouvoyer : to use "vous") un/une pote : a buddy
#frenchblr#c'est surement ce qui arrive quand tu prends l'assurance la moins chère sur le marché mais bon faut pas abuser non plus
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Lettre VI
@ninadove
1F MADEMOISELLE, J'ay receu vos magnifiques braſſelets, qui m'ont ſemblé tout glorieux de porter vos chiffres; ne craignez plus aprés cela, qu’un priſonnier arreſté par les bras & par le cœur, vous puiſſe echapper.
1A MADEMOISELLE, I've received your magnificent cuffs, which seemed to me proud to bear your code. After this, fear no longer that a prisoner bound by the wrists and by the heart could escape you.
2F Je confeſſe cependant que voſtre don m'euſt eſté ſuſpect, à cauſe qu'il entre preſque toûjours des cheveux & des caracteres dans la compoſition des charmes; mais comme vous avez tant d'autres moyens plus nobles pour cauſer la mort, je n'ay garde de vous ſoupçonner de ſortilege; & puis j'aurois tort de me dérober aux ſecrets de votre Magie, ne m'eſtant pas poſſible de me ſouſtraire à mon Horoſcope, qui s'eſt accordée avec la vôtre, de ma triſte avanture.
2A I confess, however, that your gift was suspicious to me because hair and characters almost always enter into the crafting of charms. But since you have so many nobler means of causing my death, I take care to avoid suspecting you of enchantment, and then I would be wrong to shield myself from the secrets of your magic, as it is not possible for me to evade my horoscope, which is compatible with yours, of my final misadventure.
3F Adjouſtez à cette conſideration qu'elle ſera beaucoup plus recommandable, ſi elle arrive par des moyens ſurnaturels, & s'il faut un miracle pour la cauſer.
3A Add to this consideration that it will be much more commendable if it arrives by supernatural means, and if a miracle is needed to cause it.
4F Je m'imagine, Mademoiſelle, que vous prenez cecy pour une raillerie. Hé bien parlons ſerieuſeſement, dites moy donc en conſçience: N'eſt-ce pas acquerir un cœur à bon marché, qui ne vous coûte que cinq ou ſix coups de broſſe?
4A I imagine, Mademoiselle, that you take this to be mockery. Well, let's talk seriously, tell me honestly then — is it not a bargain to acquire a heart that costs you five or six mere brush strokes?
5F Par ma foy, ſi vous en trouvez d'autres à ce prix là, je vous conſeille de les prendre; car il peut revenir plus facilement des cheveux à la teſte, que des cœurs à là poitrine; Mais n'auriez-vous point choiſi par malice, des cheveux à me faire preſent, pour m'expliquer en hierogliphe, l'inſenſibilité de voſtre cœur?
5A My word, if you find any others at such a price, I advise you to buy them, for hair returns more easily to the head than hearts do to the chest. But wouldn't you have chosen rather mischievously, in making me a gift of hair in order to explain to me through hieroglyphs the insensitivity of your heart?
6F Non je vous tiens plus genereuſe; mais quelque mal intentionnée que vous ſoyez, je confonds tellement dans ma joye toutes les choſes qui me viennent de votre part, que les mains qui m'outragent, ou qui me careſſent, me ſont également ſouhaittables, pourveu qu'elles ſoient les voſtres, & la Lettre que je vous envoye en eſt une preuve, puis qu'elle ne tend qu'à vous remercier de m'avoir lié les bras, de m'avoir tiré par les cheveux; & par toutes ces violences, m'avoir fait, MADEMOISELLE, Votre Serviteur.
6A No, I hold you to be more generous. But ill-intentioned though you be, in my joy, I so confuse everything that comes to me from you that the hands that abuse me or that caress me are equally desirable, provided that they're yours. The letter I send you is proof of this, since I offer it only to thank you for tying me by the arms, for pulling me by the hair, and by all this violence having made me, MADEMOISELLE, your servant.
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Eldarya, A New Era - Episode 20
Originellement publié ici le 16 octobre 2023.
Et bien nous y voilà, l’épisode final d’Eldarya est là, c’est la fin des aventures d’Erika !
Je suis sincèrement désolée d’avance pour la longueur gargantuesque de cet avis 😆
Je vais le dire d’emblée, comme ça c’est fait, cet épisode n’est pas digne d’une fin de saison, encore moins d’une fin d’histoire. On croirait un peu revoir la malédiction de la dernière saison de Game of Thrones. Il y a eu beaucoup de raccourcis et de facilités, et la scène finale tombe terriblement à plat.
Après, ce serait malhonnête de notre part de prétendre qu’il ne s’agit que d’un problème de scénario et de rédaction. Les circonstances ont fait qu’il n’était pas possible de produire un épisode à la hauteur de ce qu’on aurait pu en attendre.
Bon après c’est loin de tout excuser et y’a aussi des décisions complètement lunaires, hein, faut pas abuser non plus 😆
J��ai dépensé 2474 maanas, je suis assez surprise, je pensais que ça ferait plus.
Allez, pour la dernière fois : c’est parti mon kiki !
CDC TO : Valkyky de Mémoria-peut-être-on-sait-pas CDC ANE : Personne, route de Mathieu
L’épisode s’ouvre sur Terre, juste après que 10 000 faëries ont traversé la faille d’Eel. Tout le monde ne peut rien faire d’autre que de regarder ladite faille se refermer, puis disparaître, emportant avec elle tout ce qui pouvait rester de leur monde d’origine (et d’adoption, pour Mathieu et Erika lol).
Après, c’est là que ça se gâte, parce qu’on rentre dans les considérations techniques que plusieurs autres personnes ont déjà évoquées de façon claire et développée : comment gérer 10 000 faëries paniqué-e-s qui viennent d’être définitivement séparé-e-s de tout ce qu’iels connaissaient ?
Bien sûr, je peux comprendre que, pour les besoins du scénario et à cause du fait qu’il fallait tout boucler en un épisode, on ne pouvait pas perdre trois heures sur un mouvement de panique et/ou sur l’impossibilité matérielle de gérer 10 000 pégus à 15, de les diriger comme il faut et de les installer vaguement confortablement en attendant de trouver mieux, ou sur le fait qu’il est tout bonnement impossible que cet attroupement n’ait pas été repéré par quelqu’un habitant la ville qui est littéralement à quelques minutes de marche de la forêt. Impossible. Mais malheureusement, les faits sont là : c’est complètement irréaliste. J’y reviendrai plus tard en détails mais je pense qu’une majorité du contenu de cet épisode aurait dû être une ellipse. Ne pas s’attarder sur cette scène dans le présent aurait permis d’éviter qu’elle ne fasse aucun sens puisque c’était impossible de la décrire de façon réaliste si notre perso la vit en direct.
Après c’est un choix de le faire quand même dans le but de, j’imagine, montrer la panique et la désorganisation après l’arrivée sur Terre, mais quitte à faire ça, je pense qu’il y aurait eu des moyens plus pertinents de les montrer que de se farcir Jamon qui pleure pour Hua pour le drama, Adalric qui s’égare pour le lol, les deux Purrekos les plus insupportables de la Création qui se découvrent soudainement de l’empathie alors qu’on leur a jamais demandé l’heure, et Orgelz et Maora qui jouent les têtes-à-claques de privilégié-e-s énervé-e-s de pas être au centre de l’attention pour… Pour on ne sait quelle raison ??
Même pas 10 minutes après le début de l’épisode c’est mesquin
Il y a un tas de scènes qui ne méritaient pas d’être dans cet épisode ou bien qui n’auraient pas dû s’étirer autant, mais celle-là elle est au moins dans le top 3 : on vous l’a déjà DIT, on sait TRÈS BIEN qu’Orgelz est un abruti hors-sol qui ne comprend rien à la réalité qui existe en dehors de sa bulle de privilège, POURQUOI on perd deux minutes et 45 secondes à lire Orgelz et Maora chialer qu’on prend pas soin d’eux et Karenn et Chrome se foutre ouvertement de leur gueule ??? On en a RIEN à cirer, ça n’apporte RIEN à qui que ce soit, on a déjà eu la même scène 36 fois depuis l’épisode 15, les inquiétudes sur l’existence de la Garde d’Eel sont déjà évoquées plus tard et le déni sur la disparition d’Eldarya aurait pu se faire à travers au bas mot au moins 250 autres personnages, plutôt qu’à travers celui dont le seul vrai rôle est l’idiot du village que personne peut encadrer.
On peut au moins reconnaître à Huang Chù qu’elle tente de prendre les choses en mains en faisant collaborer le BOAE avec des membres de la Garde pour gérer la foule. Par contre le passage où Mathieu suggère qu’ils se fassent passer pour des cosplayers, bon déjà perso moi j’aurais dit que GNiste ça aurait eu plus de sens mais je suppose que cosplayer c’est plus connu, ensuite de ça si un flic passe et voit un môme avec une épée plus large que lui je suis presque sûre que ça va mal se passer, cosplay/GN ou pas 😆
Le coup de Cobra qui dit que s’il avait voulu s’opposer à ce que les 4 gus passent avec nous, il n’était pas en mesure de le faire, je sais pas ce que ça signifie, mais moi j’y vois juste une confiance aveugle alors que la go elle pourrait juste faire sortir ses meilleurs assassins pour buter toute la ville et il y aurait vu que du feu…
Il est temps de prendre d’assaut la commanderie de Papounet.
La scène commence sur la tristesse d’Erika en remarquant à quel point l’ambiance est différente de la dernière fois qu’elle a marché dans ces rues. Pour le coup ça passe bien, ça retranscrit la douleur et le choc, et c’est quand même bien dommage qu’on n’ait pas eu ça plus souvent. C’est un peu le problème qu’on a retrouvé tout au long de la saison : on trouve çà et là de bonnes scènes qui arrivent à faire passer les bonnes émotions, mais ce sont les exceptions et non la règle.
Après malgré tout j’suis pas sûre que certains passages dans la route de Mathieu soient nécessaires quand on répond qu’on aurait fait le même rêve machin. Le ton clash un peu.
Alors qu’on aurait pu se demander pourquoi une commanderie d’une organisation top secrète se trouve en plein centre-ville ou pourquoi y’a zéro personnel à l’accueil d’une organisation top secrète, on finit par se demander pourquoi nos seuls choix pour s’annoncer c’est de beugler un truc, dire à Mathieu de beugler un truc, ou cogner une poubelle… Même l’Elfe qui toque à la porte des ennemis pour qu’on vienne leur ouvrir dans le Donjon de Naheulbeuk ça avait plus de sens.
MAIS BON. On n’en a pas fini avec le non-sens dans cette scène. Elle commence de façon logique, avec les soldats armés qui débarquent, suivis de près par le méchant cro méchant qui mise tout sur le charisme et son petit pistolet inutile. Après Erika tente son super plan de la mort-qui-tue, à savoir tout jouer au bluff pour prendre le contrôle de la commanderie et espérer que les soldats sont aussi stupides qu’elle l’imagine. Je m’attends alors à quelque chose d’impressionnant, quelque chose qui justifierait un retournement soudain des soldats, parce qu’à ce stade c’est pas des jolis mots qui vont changer la do–
« HERIBRAND GROMEYCHAN MOI JONTILLE FAËRIE OBÉISSEZ-MOA ET VOUS VERREZ DES ELFES ET DES SIRÈNES ET VOUS POURREZ DEVENIR JONTIS A VOTRE TOUR APRÈS QUE VOUS NOUS AVEZ TORTURÉS ET COMME JE ÊTRE JONTILLE JE VOUS PRÉVENIR QUE SI VOUS COOPÉREZ PAS C’EST PANPAN-CUCUL »
…
Le seul truc qui m’a pas fait rage-quit c’est l’espoir que le chemin daemon lui fasse dire des trucs plus menaçants qui ont quand même plus de chance de leur faire retourner leur veste >_> Parce que là tout ce qu’on a c’est « arrêtez d’être méchants et suivez-moi svp » couplé à « ouais en fait il est nul notre chef j’préfère en changer » et c’est d’une paresse incroyable.
Alors que pourtant on avait le début d’une bonne idée avec Erika qui fait joujou avec sa lumière magique et ses ailes, imaginez qu’elle ait fait ça x1000 en se transformant en ange de lumière/démon de ténèbres, c’est réussite critique au jet de présence, c’est rapide et c’est beaucoup plus crédible que ce qu’on se tape dans cette scène ??
Imaginez une apparition quasi-divine sur des soldats impressionnables
Perso ça m’aurait bien plus convaincue qu’elle joue à fond la carte de l’aengel/daemon, parce qu’entre nous à part quelques coups pour impressionner les gens elle s’en sert jamais et ça n’a aucun impact dans l’histoire qu’elle en soit une. On laisse quand même un petit discours, mais même son discours pourri il aurait eu plus d’impact avec un visuel pareil. Ça aurait potentiellement toujours eu l’air expédié et un peu facile mais ça aurait eu le mérite d’avoir de la classe et d’être plus crédible. C’est possible de faire une scène du genre qui tienne la route mais au bout d’un moment faut le vouloir aussi.
Mais non, Héribrand cro nul et soldats cro marre de lui du coup ils préfèrent suivre une meuf qui sort de nulle part mais elle fait de la lumière avec ses mains et c’est joli.
Erika s’en va dans les geôles pour vérifier que tout va bien, et on retrouve notre bon vieux Guerric, qu’on avait laissé à l’abandon la dernière fois. Lui aussi il devient jonti parce que c’est pas sympa de la part des Templiers de l’avoir oublié, et puis t’façon il a jamais aimé Héribrand. Puis Erika s’en va dans la salle de stockage (et je sais pas pourquoi on me dit que j’y suis jamais allée parce que c’est faux j’ai vérifié j’y suis allée dans l’épisode 12 j’ai juste pas eu de dialogues lol) et libère le maana en se faisant chier à ouvrir les bocaux un par un au lieu de genre faire tomber toutes les étagères ou j’en sais rien, puis le maana, je cite, « disparaît. ».
Et du coup ça corrobore d’autres répliques qu’on a pu avoir, à savoir qu’une fois le maana échappé d’Eldarya, c’est fini y’en a plus, mais ça pose plusieurs questions :
- Il est rappelé rien que dans cet épisode que le maana est l’énergie vitale des faëries… S’il disparaît, comment les faëries survivent ? A moins qu’il ne disparaisse que quand il est extrait d’un être vivant ? Pourquoi c’est pas précisé ? Que se passera-t-il pour les faëries « pur sang » qui naîtront sur Terre ? - Du coup pareil pour la magie, est-elle liée au maana ? Comment peut-elle fonctionner sur Terre si le maana disparaît ? Peut-être qu’il y a des infos que j’ai juste pas comprises mais je trouve que le système de magie est très mal expliqué. - Et pour le coup ça c’est sûr c’est une incohérence : qui dit plus de maana, dit, plus d’ingrédients eldaryens. Et comme ça a été souligné par d’autres personnes, comment fabriquer des potions magiques, et comment nourrir les familiers qui ne mangent pas de nourriture terrestres ? Peuvent-ils s’acclimater ou vont-ils juste dépérir faute de nourriture adaptée à leur condition d’êtres purement magiques ? Les familiers n’ont jamais été terriens, c’est pour ça qu’ils peuvent se nourrir avec les plantes et bestioles d’Eldarya, contrairement aux faëries qui ont besoin de nourriture terrienne pour survivre.
Punaise cette affaire de bouffe ça m’aura poursuivie jusqu’à la fin, hein !
C’était mignon Lance avec le téléphone. Très pratique aussi que les terrains de la commanderie soient éloignés, entourés de clôtures et apparemment assez grands pour faire tenir tranquille 10 000 personnes – je suis pas géographe mais ça fait quand même beaucoup, pour ce qu’on en sait c’est plus que les habitant-e-s de la ville juste à côté donc bon, encore une fois on est obligé-e-s de faire jouer la suspension d’incrédulité parce qu’on a pas l’temps de détailler mais y’a des gros airs de forêt des coïncidences dans Galavant où oh là là ça alors ça tombe bien dis donc, les terrains sont super bien placés et assez grands pour y construire un village, c’est fou !!!
C’est surtout vachement gros, oui 🙄
On va passer sur le mot de passe de Papounet, même Erika est dépitée, c’est pour dire. Même une scène avec un soldat random hackeur qui tape très vite sur le clavier ça aurait été plus rigolo.
J’ai pas trop compris ce qu’elle passe la nuit à chercher, si c’est du matos de construction chez Castorama ou les comptes bancaires de Papounet, mais pas le temps de s’en occuper, Nevra nous exhorte à le suivre, c’est très urgent !!!
Le vampire nous traîne jusqu’au manoir familial d’Erika, qui se dit « oui bon t’as voulu y installer tes potes je comprends c’est pas grave on va pas en faire un fromage ! » Mais non, c’est pas ça, il a voulu mettre quelqu’un à l’abri… « Oui bon bah la première personne qui me vient en tête parmi la myriade de possibilités c’est Eweleïn car pourquoi pas, mais je comprends, Nevra, elle est choquée elle a besoin de repos etc » Mais non Erika c’est toujours pas ça, va voir tu vas comprendre !!!
Bon, très hésitante, je me dis que ça doit être une grosse surprise, si ça se trouve c’est un autre perso important genre un horrible retour de Miikonne, je sais pas à quoi m’attendre, et là je me dis « hahaha imaginez c’est Hua mais ça serait franchement con ça n’aurait aucun sens lol bon alors qui... »
…
…
Pardon ?!
C’est une illusion de Koori hein, c’est ça ??
Comme beaucoup de mes camarades au-dessus, je suis tombée des nues en la voyant assise là tranquille. D’autant plus que cette histoire du phénix qui renaît de ses cendres, c’est beau c’est poétique, mais c’est en contradiction avec le lore donné en saison 1, ce que les persos reconnaissent, mais la deuxième théorie est tout aussi bancale ???
On en a parlé tout à l’heure mais il a été établi que le maana est l’énergie vitale des faëries, comment la résurrection de Hua peut-elle être liée au fait que son énergie vitale a disparu ??? Je ne comprends pas la logique, le maana c’est tout et son contraire, il y a rien d’expliqué c’est un foutoir sans nom et c’est incroyablement frustrant. Vous allez me dire, « mais Nore t’es débile le maana était perturbé donc maintenant qu’elle a plus de maana ‘corrompu’ en elle bah ça va mieux >_> » Bah oui mais ça change rien au fait qu’elle a plus l’énergie vitale qui faisait d’elle une faërie ?? Du coup quoi elle devient une terrienne comme les autres ? Ça colle pas avec le fait que tous les prisonniers de la commanderie sont morts quand on leur a aspiré trop de maana… Les calculs sont pas bons, Kévin.
Et je vous parle même pas de l’intérêt scénaristique de ce retour à la vie parce qu’en fait… Y’en a pas. Les résurrections j’suis pas contre mais y’a intérêt à y avoir une justification en béton parce que sinon c’est soit du osef total, soit du fanservice inutile, soit un deus ex machina fainéant. Ici je penche pour un mix entre le osef et le fanservice parce que vraiment qu’est-ce que ça apporte, sa résurrection ?? A part que vous aimez bien trop ce perso par rapport à ce qu’elle mérite et pour faire genre « HAHA en fait y’aura un couple homo qui aura bien une fin heureuse nik votre diffamation » ?? Parce que même pour ce dernier point c’est tout juste effleuré, et Hua n’a AUCUN rôle significatif qui aurait pu justifier sa présence dans cet épisode…
« Nore stop je te sens venir gros comme une maison tu vas encore parler de ton perso chouchou parce qu’il a été ressuscité lui aussi >_> » Alors oui exactement parlons de Gaara dans Naruto et de pourquoi je suis pas fâchée qu’il ait été résurrectionné !!!
Résumé : Gaara c’est un chef de village avec un démon scellé en lui, et un jour son village est attaqué par un méchant, et en protégeant son village il est kidnappé, les méchants extraient le démon qui est en lui mais lui non plus il a plus d’énergie vitale après donc il meurt. Sauf que son super pote est pas d’accord, tape les méchants, une vieille utilise une technique interdite pour transférer son énergie vitale et une partie de celle du pote à Gaara, du coup elle meurt et il revit après.
Pourquoi selon moi ça marche mieux ? Premièrement, ça a du sens pour le background du personnage : Gaara son histoire elle est basée sur le fait qu’il a été rejeté par tout le monde et maintenant il essaie de se racheter et de se faire accepter, et à son réveil il découvre que tout son village était venu pour le sauver, y’a la comparaison avec Naruto et le développement de leur amitié, bref émotionnellement ça fait du sens pour développer le caractère du personnage et sa relation avec les autres. Ici on a vaguement la notion au moins que Hua retrouve sa meuf, et encore, et Erika est contente de retrouver sa pote mais ça a zéro impact sur leur développement en tant que persos.
Deuxièmement, ça a du sens dans l’histoire : ses expériences et ses discours vont avoir un impact dans les derniers arcs du manga (le discours en tant que chef des armées, par exemple), son statut en tant qu’ancien porteur de démon, et aussi il lui restait des trucs à régler, genre apprendre la vérité sur sa mère et avoir une explication avec son père. On peut rétorquer qu’on aurait pu se passer de ces derniers points mais ça a le mérite d’avoir étoffé un personnage populaire. Ici, Hua, n’a absolument aucune influence sur le reste de l’épisode, elle est là elle fait sa vie mais ça sert à rien. Et je dis pas qu’il aurait fallu qu’elle ait un rôle décisif mais c’est à peine si elle a un rôle de soutien, Koori le fait très bien toute seule, alors c’est quoi l’intérêt ?
Troisièmement, c’est pas gratuit : j’entends par là qu’il est pas revenu à la vie comme ça, pouf, y’a quelque chose qui a été donné en échange, la vie de la vieille. Et ça aura pas été une vieille random, c’était une vieille qu’on avait appris à connaître depuis le début de l’arc, on s’y était attaché-e-s (ou en tout cas c’était le but), et du fait de son lien avec Gaara dans l’histoire, son sacrifice pour le ramener à la vie et faire en sorte qu’il répare les erreurs qu’elle a pu commettre etc ça a du sens. Ici, bah y’a plus d’maana déréglé du coup plus besoin d’être morte ¯\_(ツ)_/¯
Quatrièmement, de toute façon il est bien plus stylé.
A titre de comparaison j’ai jamais digéré la résurrection de Kakashi dans ce même manga lol, même s’il a un rôle après désolée c’était du pur fanservice et ça n’avait aucune justification.
Et sans transition nous avons une première ellipse durant laquelle le chantier de construction du village de fortune commence, avec Jamon et les Templiers qui construisent des préfabriqués qui ressemblent vachement à des maisons, et Erika qui fouille les affaires de son père pour trouver des sous et on ne sait quelles infos. J’aimerais juste savoir comme ils ont fait pour « acheminer DISCRÈTEMENT » les faëries au village « par PETITS groupes de PLUSIEURS CENTAINES » parce que j’avoue que chez moi ces notions vont pas très bien ensemble et j’ai du mal à visualiser la chose.
L’on apprend ensuite que le Conseil ainsi que quelques gardien-ne-s, AKA les persos principaux qui ont vraiment de l’intérêt en gros, se sont octroyé le luxe de loger dans un manoir géant et profitent des services d’un cuisinier et d’un majordome personnel pour se nourrir… Y’aurait beaucoup de choses à dire sur le fait d’avoir choisi de donner une vie de palace aux chefs pendant que les gueux traînent dans un village a priori sans eau courante, électricité ou évacuation des eaux usées, mais bon.
Et pour toutes les utilisations utiles qu’auraient pu avoir les quelques potions de camouflage qu’on a sauvées, Erika choisit de s’en servir pour aller au ciné et en profiter pour galocher son mec, puisqu’apparemment c’est ce que font « la plupart des couples » qui vont au cinéma. Mince alors, ma meuf et moi on a pas eu le mémo, faudra que je lui en parle.
Vient ensuite la conversation avec Mathieu (pour ma part), et ça vient soulever des points importants. Déjà, je note qu’il a l’air plus en phase avec les faëries exilé-e-s que ne peut l’être Erika, puisqu’il passe ses journées avec eux sur le chantier. On nous dit qu’elle passe tous les jours au village pour voir si ça se passe bien, mais pas beaucoup plus. J’ai le sentiment qu’il sait mieux ce que vivent les faëries que notre héroïne. Et ensuite, Mathieu nous parle un peu de lui, et on arrive à un détail que je trouve invraisemblable.
Je suis sa route depuis le début, et je ne sais toujours pas pourquoi il lui manque une jambe.
Tout ce qu’il nous dira, c’est que ses parents « auraient préféré avoir un fils entier. » Mais ça ne nous éclaire pas sur ce qu’il lui est arrivé, on sait juste que c’est pré-Eldarya et probablement pré-armée, puisqu’il s’est émancipé à 16 ans (ok vu Castiel). Ça ne nous dit toujours pas comment il s’est retrouvé dans cet état. Est-ce que c’est de naissance ? Si oui, comment ? Sinon, est-ce une maladie ? Laquelle ? Est-ce un accident de la route ? De moissonneuse-batteuse ? D’écureuil enragé ? De transmutation humaine ratée ?
On me répondra peut-être qu’au final, est-ce vraiment important de savoir d’où vient l’infirmité d’un personnage ? « Après tout Nore ça n’apporte aucune info essentielle à l’histoire, toi qui nous casses les pieds avec ça à chaque occasion qui se présente è_é »
Bah ça apporte des infos sur le personnage et son histoire déjà ptdr puis d’autant plus quand c’est notre CDC ??? Moi je retourne la question, c’est quoi l’intérêt de lui donner une particularité si c’est pour jamais en donner l’origine, même au détour d’une conversation de routine ? On a bien eu l’explication pour l’œil de Nevra (et tant mieux), pourquoi on l’a pas eue pour la jambe de Mathieu ???
(J’aurais aussi des questions sur comment il est entré dans l’armée en tant que soldat avec une jambe en moins mais je sais pas comment ça se passe lol)
Erika fait une crise existentielle parce qu’elle a pas assez regardé C’est Pas Sorcier et Le Bus Magique quand elle était môme et maintenant elle sait rien expliquer de son monde. Bon, pourquoi pas, puis tout le monde sait qu’elle a pas la lumière à tous les étages, mais bon la fontaine et le conseil municipal c’est quand même une question de logique… Oui, je sais, elle en a pas beaucoup non plus, mais c’est quand même frustrant de la voir dire qu’elle sait pas qui décide de la présence de trucs dans la commune, de la savoir incapable de dire que c’est une obligation légale pour les restos et les bars de te donner de la flotte gratos si t’en demandes pour nous caser ensuite un laïus moralisateur sur « oh là là sur Terre on donne pas à boire aux gens qui ont soif » ça m’énerve.
Retour dans la forêt des coïncidences lorsqu’on apprend que d’autres failles se sont ouvertes et que les campagnes de désinformation suffisent à éloigner les curieux et les médias… Encore une fois c’est complètement surréaliste mais je sais même pas comment ça se passe : c’est d’autres branches du BOAE ? Je suis pas sûre de me souvenir si on nous a dit qu’ils avaient des antennes ailleurs, on sait juste que l’organisation est très jeune (par rapport à l’Ordre qui a quelques siècles) et que Cobra communique avec des gens qui lui disent que y’a eu des failles et des faëries qui en sont sorti-e-s, sans plus.
La scène du dîner est inutilement longue, on s’en fout un peu de la comparaison nutritionnelle entre la ratatouille et un cheeseburger, surtout quand on nous a déjà saoulé-e-s avec la scène du fast-food à l’épisode 11.
Vraiment je déclare la nourriture taboue dans Eldarya.
Arrive enfin la fameuse scène où, ah oui, on se souvient qu’Erika est censée être une humaine avec des émotions, une histoire, des traumas, et que tout ça peut avoir des conséquences sur sa psyché.
Attention : qu’elle ait un moment de faiblesse, qu’elle craque à ce moment de l’histoire, c’est logique. Pour une fois, oui c’est vrai que ces derniers jours ne lui ont pas laissé le temps de réaliser ce qui se passait, et que globalement c’est la première fois qu’elle a le temps de comprendre qu’elle ne reverra plus Eldarya. Mon problème c’est quand vous lui faites dire que « c’est pas la pression de ces derniers jours c’est celle depuis ma sortie du Cristal parce que j’ai jamais pris le temps de faire mon deuil j’ai scellé mes sentiments du coup je ne réalise que maintenant ce que j’ai perdu » etc.
Parce que c’est tout simplement faux.
On compte plus les moments où elle est partie se promener pour prendre l’air, les épisodes à se préparer pour un bal, pour un enterrement de vie de garçon où elle a rien foutu, les nuits à la belle étoile à penser à tout sauf à ce dont elle parle dans cette scène. Le problème c’est pas qu’elle a scellé ses souvenirs pour se protéger, le problème c’est qu’elle est terriblement mal écrite.
Et ça, c’est pareil, y’avait aucun moyen de s’en sortir correctement avec ça dans cet épisode, parce qu’il aurait fallu qu’elle ait ces révélations beaucoup plus tôt. On le sait, vous le savez, mais vous avez pas agi dessus, alors vous faites comme avec Hua dans l’épisode précédent et vous casez tout maintenant dans une scène émotionnelle qui a sa place dans l’histoire à ce moment précis, mais pas avec ce contenu-là. Réaliser la perte d’Eldarya, mais aussi que sa vie sur Terre n’est plus là alors qu’elle y est revenue, oui, très bien. Mais Valkyon, c’est non.
On n’écrit pas de la même façon un personnage où vraiment la pensée de son ex mort (ou parti à l’autre bout de la map mais je sais pas comment ça a été géré avec Ezarel) ne lui traverse absolument pas le cerveau, et un personnage qui choisit d’ignorer ses pensées sur le sujet. Erika, elle a été écrite d’une telle façon qu’on peut facilement croire qu’elle ne sait même plus qui était Valkyon pour elle, elle ne réagit pas comme un personnage qui veut tout faire pour ne pas se souvenir de lui, mais comme un personnage qui ne se souvient pas de lui. Elle est là votre grosse erreur, et j’ose espérer que vous en avez conscience.
D’ailleurs lol y’a une vague évocation de Mémoria, mais pourquoi faire ? Est-ce que c’est une manière subtile d’enfin nous révéler où il était enterré ? Parce que si oui moi ça me suffit pas, je veux qu’on me dise texto « On m’a dit que Mémoria, sa dernière demeure, avait disparu, » c’est pas un truc qui se devine, nous Mémoria on sait que c’est le repos de l’âme des dragons mais personne a parlé des dépouilles, du coup même là j’aurai jamais la certitude de s’il a été enterré là ou bien si son âme est là-bas et c’est censé être l’essentiel mais on sait pas où il aura reposé sur Eldarya, et je ne comprends pas l’intérêt de ne PAS donner cette info-là non plus, encore une fois même au détour d’une conversation, pourquoi une telle rétention d’informations sur des persos que l’on a, pour certain-e-s d’entre nous, mis en CDC/ancien CDC ? Ça me dépasse…
Bien sûr, ça n’empêche pas que ces éléments puissent quand même faire partie de sa crise de larmes, au même titre que la réalisation qu’elle ne reverra jamais sa mère, c’est normal qu’elle pleure pour ça et c’est normal que se mêlent à ça tous ses autres traumas, le problème c’est que certains ont été oubliés par l’histoire alors qu’elle aurait dû en parler bien plus tôt, plutôt que de tout caser dans un épisode final qui aurait gagné à explorer d’autres choses.
Bref, que quelqu’un trouve un-e psy compétent-e à Erika.
Et un neurologue pour sa mémoire.
J’ai choisi, avec un peu d’appréhension, d’aller voir Hua et Ewe pour savoir ce qu’elles avaient à nous dire. Au final ça va, Hua dit « j’suis là pour toi » et Ewe « on aurait pas dû compter autant sur toi pour sauver le monde »… Je sais, retranscrit comme ça c’est pas positif, mais déjà c’est rigolo, et entre nous ça me fait prendre conscience qu’au final dans cette saison, Erika est loin d’avoir un rôle aussi important à jouer que dans The Origins. Elle est qualifiée d’« enfant des deux mondes » par l’Oracle à plusieurs reprises, mais ça nous apporte quoi ? Le seul intérêt de son statut de terrienne dans cette saison, c’est qu’elle était la fille d’un chef d’une commanderie de Templiers, mais en fin de compte, si on omet son temps dans le Cristal, Mathieu il a pas passé beaucoup moins de temps qu’elle sur Eldarya, on a convenu que la saison 1 dure un an si on est généreux, et Mathieu est arrivé environ un an avant le début de la saison 2… Grosse vibe de Neville qui aurait très bien pu remplir la prophétie à la place de Harry Potter mdr, la seule différence c’est qu’Erika a des pouvoirs d’aengel/daemon, et comme je l’ai dit ça n’a pas beaucoup de conséquences à part impressionner les ennemis, son statut d’aengel ne sert pas à grand-chose, comparé à The Origins où c’était la clé pour réparer le Cristal, quoi.
Chù a apparemment de grandes et importantes nouvelles à nous annoncer. Pour la première, elle commence par nous dire qu’elle ne peut plus rester cheffe de Garde, puisque la Garde n’a plus les mêmes missions. Soit, ça s’entend, je commençais à me demander s’ils allaient pas essayer de remettre Hua en place et j’ai eu peur, mais je suis pas sûre qu’on y gagne au change.
En effet, quand elle a commencé à dire qu’elle y connaissait rien aux humains, j’ai senti le coup venir, en me disant que non, c’était pas possible, ils allaient quand même pas faire ça…
Et ben si…
Erika devient co-cheffe de la Garde d’Eel ?!?!
On est dans Vidéo Gag hein, c’est ça ?
Honnêtement j’ai espéré très fort qu’on ait la possibilité de refuser plus tard dans le dialogue et ai été bien déçue que ce ne soit pas le cas, tant cette décision me paraît incongrue.
Alors oui ok dans la théorie ça fait sens parce qu’elle est terrienne et connaît un peu Eldarya, et en plus elle a du sang faélien, mais allô c’est E.R.I.K.A les enfants, elle a jamais rien dirigé, elle a jamais eu de respect pour la hiérarchie, elle sait pas comment fonctionne son monde, elle sait à peine comment fonctionne Eldarya, sa définition de la diplomatie c’est de sortir des jets de lumière en disant « suivez nos ordres sinon je vous dégomme avec ma lumière, » elle est pas fichue d’écrire un discours qui se résume à « moi aussi je suis triste mais vous verrez ça va aller les humains sont sympa et on a le Pouvoir de l’Amitié™ » en moins de six jours, je suis désolée mais même Mathieu s’en sortirait probablement mieux, ça n’a aucun sens, elle a ce rôle que parce que c’est l’héroïne, ça valait bien la peine de faire dire à Ewe qu’on avait trop fait peser sur ses épaules y’a deux minutes si c’est pour que maintenant on la colle cheffe de la Garde, même en tandem avec Chù…
C’est même pas juste une histoire de pas aimer le personnage, vraiment elle a jamais montré à aucun moment des qualités de leader, j’suis désolée…
Y’a l’histoire de l’addendum je vais pas revenir dessus, y’a la musique d’angoisse qui colle pas avec cette scène, y’a le fait que je vois pas trop l’intérêt de faire voter celleux qui font pas partie du Conseil parce que dans ce cas-là qu’est-ce qui justifie que Caméria et Adalric ont pas pu voter parce qu’iels étaient pas là, bref. Après dans l’absolu c’est pas con comme idée de mettre deux chef-fe-s à la Garde pour gérer aussi les relations avec les humains, mais vraiment Erika je hurle. Et j’ai pas spécialement de solution de remplacement à part Mathieu, c’est juste que rien depuis décembre 2014 ne nous a laissé penser qu’elle pouvait avoir une quelconque capacité à être cheffe de quoi que ce soit. C’est pourtant pas faute de pas savoir écrire des personnages de leaders, on a eu Nevra et Lance, donc bon.
Le deuxième truc que Chù voulait dire à Erika c’est qu’elle veut qu’elle prononce un discours aux faëries pour les rassurer. J’ai un peu envie de dire que ça fait au moins deux ou trois semaines qu’iels sont là et qu’il serait peut-être temps d’y songer, mais je suppose que c’est trop s’attarder sur les détails.
Perso de base j’avais pas confiance dans la capacité d’Erika à écrire un discours parce qu’on a déjà parlé de sa notion de diplomatie, mais il semblerait qu’elle n’ait pas plus confiance que moi, parce qu’au bout de trois jours à se focaliser sur ça elle a toujours rien écrit, et il faut une intervention de Koori pour la débloquer. J’ai d’ailleurs pas compris le délire dans cette scène où Koori nous dit qu’elle a écrit des trucs mais faut pas qu’on sache quoi, je sais pas si y’a une option de dialogue qui nous permet de l’apprendre, si oui je veux bien savoir de quoi elle parle, sinon encore une fois je vois pas l’intérêt d’évoquer ça si c’est pour jamais donner de réponse claire.
Il faudra encore trois jours de plus à Erika pour pondre son discours, et à lire les descriptions à nouveau elle a l’air de foutre que ça de ses journées et finalement c’est un assez bon résumé de son séjour sur Eldarya : à quelques exceptions près, elle ne fiche absolument rien de constructif pour Eldarya ou les faëries entre deux événements racontés de l’histoire. Je sais pas, juste dire « après être rentrée du village où j’avais aidé à l’installation de quelques familles encore perdues, je me remis à mon discours » ou j’en sais rien, qu’on n’ait pas l’impression qu’elle a passé littéralement 6 jours à écrire une page de texte et deux jours à juste répéter avec Mathieu, quoi.
Ah heureusement qu’elle est pas leader, hein, hahaha !
Ensuite on notera qu’elle a dépensé toute la thune dans des matériaux de construction, mais des mégaphones pour se faire entendre dans une foule pendant qu’il faut les installer, bon, whatever. Le discours en lui-même n’est pas mauvais, un peu gnan-gnan mais je n’ai vu que la version aengel, à lire les autres avis la version daemon est un peu plus agressive et je serais curieuse de savoir ce qu’elle donne. Ici son discours est assez bateau et générique mais ça positive et encourage à garder espoir, c’est dans la lignée de ce qu’on a pu voir dans l’histoire donc bon y’a pas grand-chose à dire de plus.
Commence alors la phase « que sont-iels devenu-e-s » après quelques mois passés sur Terre. Parmi les différents postes occupés, je suis très déçue que Lance ne soit pas devenu électricien mdr. Le rôle de Mathieu de dissuader les humains d’ébruiter le fait qu’ils avaient vu des faëries me fait doucement rigoler, je pense que tout le monde a conscience ici que statistiquement c’est mission impossible. Nevra et son service de renseignement oui ça tient la route, les remarques sur Orgelz mais qu’est-ce qu’on s’en serait bien passé vous avez pas idée, suffisait de nous dire qu’il avait son clan avec quelques fidèles de son côté et c’est marre. L’idée d’avoir les Purrekos en train d’essayer d’arnaquer les gens j’avoue ça me fait marrer, y’a pas de petit profit comme on dit.
Karuto et son resto ça rentre dans la problématique globale du camouflage parce que bon Monsieur a des jambes de chèvre ?? C’est bien beau de nous parler sans relâche des potions de camouflage où va bien falloir nous expliquer d’où elles sortent vu qu’il y a plus les ingrédients, mais le bougre il va pas en avaler 6 par semaine pour tenir son resto ?? De même pour les faëries qui, on nous l’indique après, finissent par trouver un travail (avec quoi ? Quel numéro de sécu ? Quel compte bancaire ? Quelle identité ? Est-ce le BOAE qui leur fournit ça ? Si oui, une ligne pour le préciser ça coûte quoi ?), pour celleux comme Leiftan, Chù, Lance ou Hua, qui ont une apparence relativement humaine, ça va, mais si demain Jamon il veut devenir bénévole à la SPA il va faire quoi ?
Pareil l’alchimie c’est censé donner quoi ? Sur Eldarya c’est mélanger des ingrédients eldaryens en y infusant de la magie au moyen d’incantations le plus souvent, s’il y a plus de maana, comment ça peut fonctionner ? Comment on transfère l’alchimie eldaryenne à la Terre et à ses ingrédients ? Est-ce qu’il s’agira juste de faire des mélanges incongrus de plantes et PAF ça fait un nouveau médoc ? Parce que du coup ça a plus grand-chose à voir avec l’alchimie, que ce soit celle d’Eldarya ou celle qui a pu être pseudo-pratiquée sur Terre.
C’est donc au bout de quelques mois (???) que la Garde s’installe enfin parmi les faëries au lieu de leur faire traverser la ville pour aller au manoir et parler aux seigneurs. On a quelques phrases sur la situation globale entre quelques faëries agressé-e-s et se défendant et quelques humains s’installant au village.
Arrive la scène finale. Comme beaucoup, je pensais que CDC allait demander Erika en mariage, et j’avais aussi été perturbée par le dessert qui lui filait la nausée, et finalement, le gars lui dit juste « je t’aime » pour la première fois et lui propose de s’installer ensemble, fin, adieu, finito, sayonara, adios.
C’est… Expéditif et plat.
Je dis pas que demander à vivre ensemble c’est pas une grande étape dans la vie de couple au même titre qu’un mariage, mais c’est le côté « ah on est ensemble depuis l’épisode 9 et c’est que maintenant qu’on se dit ‘je t’aime’, » déjà pourquoi ça aussi ça arrive que maintenant on est toujours censé-e-s être dans une jeu de romance, ensuite bah « eh on habite ensemble ? » ; « oué ok allons là » ; « trop bien ! » (j’ai flippé sur la réponse mdr mais j’imagine que CDC répond pareil à chaque fois) avec simplement une illustration sans fond alors qu’on aurait pu avoir la vue d’ensemble du village dont ils parlaient juste avant, ça laisse un gros goût d’inachevé dans la bouche. La scène dure littéralement 30 secondes à peine, alors qu’elle conclut la saison, l’histoire et la romance entre notre perso et son CDC, du coup je pense que même si c’était mignon, on était en droit d’en attendre un peu plus.
Et c’est la fin de l’épisode !!!
… Mais désolée, c’est pas encore la fin de cet avis :’) J’aimerais m’attarder un peu sur l’aspect fin précipitée de notre histoire en faisant une petite comparaison.
« Oh non Nore tu vas encore nous casser les bonbons avec une analyse comparative qui n’intéresse que toi ?? u_u » Parfaitement !!! Moi ça me permet de mieux poser mes idées en les appuyant sur des exemples concrets, mais je mets ça dans une partie à part comme ça vous pouvez l’ignorer si ça vous chante :’)
Pour commencer, restons un peu sur Eldarya : qu’est-ce qui fait que cet épisode ne fait pas une conclusion satisfaisante ?
- Pas assez de temps : un seul épisode pour tout conclure, c’est très peu. Ce n’est pas mission impossible, mais la question est de savoir ce qu’on fait du temps qui nous est imparti, comme dirait Gandalf. Ce qui m’amène à mon deuxième point.
- Une focalisation mal choisie : la majorité de l’épisode se concentre sur les jours qui suivent l’arrivée sur Terre, et je pense que c’était une erreur, parce qu’alors vous vous retrouvez obligé-e-s de détailler des choses que vous ne pouvez pas expliquer de façon réaliste avec les contraintes que vous avez, à savoir le temps et le monde dans lequel les personnages évoluent.
- Des bases très mal construites : c’est pas nouveau, très peu de personnages ont leur relation développée au cours de l’histoire (et malheureusement ça n’inclut pas Erika et son CDC, dont la relation est excessivement creuse), le lore est très peu fouillé, et les éléments importants comme les portails, la magie et le maana ne sont pas cohérents. Comment apporter une conclusion à des points qui ne sont pas clairs de base ?
Maintenant, ma comparaison : j’ai choisi l’anime de 2003 de FullMetal Alchemist, déjà parce que j’aime bien mdr, et ensuite on parle d’un personnage vivant dans un monde fantasy relié à la Terre, et il se retrouve coincé sur Terre en passant par un portail compliqué, je me suis dit que c’était de circonstance 😆 De plus, l’histoire devait se conclure par une mini-série, mais par manque de temps, ça s’est fini avec un film, qui lui-même a été bien raccourci. J’ai pensé que c’était pertinent.
Je pense aussi que ça a son importance de préciser que si l’intrigue dans cet anime de manière générale tient une grande place, la focalisation se fait aussi énormément sur les personnages, leur développement et leurs relations les uns aux autres. Dans Eldarya, l’histoire tient une plus grande place, et si en soi c’est pas une mauvaise chose de choisir l’histoire par rapport aux persos, je m’interroge tout de même sur la pertinence de ce choix dans un otome, dont l’aspect principal est normalement la romance, et donc les relations entre personnages. Ici, au lieu d’avoir l’histoire mise en avant en complément de la romance, elle a été mise en avant au détriment de la romance. Et encore, on le sait, ça n’a même pas été exploité comme ça aurait pu l’être.
Surtout qu’en plus, cette saison a été beaucoup plus focalisée sur le texte pour des raisons évidentes, alors on aurait pu s’attendre à un développement de l’histoire et des dialogues pertinents, mais les choix ont été douteux 🙄
J’accélère, j’accélère (enfin j’essaie)
Concernant l’anime, l’un des premiers points que je veux comparer est le contexte dans lequel les personnages se retrouvent embarqués et la façon de gérer le tout. Je reconnais d’abord que la grosse différence c’est que dans FMA, Edward, le héros, se retrouve dans l’Allemagne des années 1920, et il est le seul à se retrouver dans la situation, à part son père au début du film puis son frère à la fin, ce qui n’a pas grand-chose à voir avec des milliers de faëries qui débarquent d’un coup dans un champ de patates.
Ensuite, faire débarquer un personnage en Allemagne il y a un siècle n’aura pas les mêmes conséquences pour le lecteur qu’un groupe de personnages dans ce qui est censé représenter notre époque, et très probablement la France. Dans les deux cas, le récit est très profondément ancré dans le contexte terrien : le film FMA se situe début novembre 1923 à Munich quelques jours avant le putsch, qui sera évoqué, il y a des institutions et des personnages historiques, et le contexte du NSDAP et de la traque de personnes Roms est central à l’histoire, et dans Eldarya on a tou-te-s repéré la myriade de références à la pop culture moderne, aux technologies que vous et moi utilisons tous les jours, à la bouffe, les décors nous sont particulièrement familiers, etc.
Ce qui veut dire qu’à la différence de FMA, il sera beaucoup plus facile pour le lecteur de repérer les anomalies dans le contexte d’Eldarya, puisque c’est littéralement le lieu et l’époque où l’on vit. Ça veut pas dire qu’il aurait fallu que les faëries débarquent à Munich en 1923, mais ça veut dire que bien ancrer un récit dans un contexte ça suffit pas, il faut aussi prendre en compte le fait que plus le contexte est proche de nous dans le temps et dans la culture, plus les lecteurs seront capables de l’analyser. C’est pour ça qu’on est déjà un certain nombre à avoir souligné tout ce qui ne va pas dans la gestion de l’arrivée des faëries : on connaît ce monde, on connaît Internet, on connaît les réseaux sociaux, beaucoup d’entre nous savons aussi que gérer une foule paniquée ne se fait pas aussi facilement, on sait donc que c’est irréaliste que tout se passe aussi bien sans que jamais la rumeur ne s���ébruite à grande échelle. Et le problème c’est que vous avez placé ça dans un contexte réaliste, qui ne colle pas avec le niveau d’improbabilité auquel on a eu droit dans l’épisode.
Est-ce que j’ai une solution magique pour que tout se passe tranquillement sans perdre trois heures avec des péripéties pour calmer des foules, faire taire des rumeurs mondiales et construire un village digne de ce nom ? Non, parce que je ne vois honnêtement pas dans quelle version de la Terre où le surnaturel et le merveilleux ne sont pas connus du grand public ça pourrait passer. Mais je pense qu’il y avait un moyen de limiter les dégâts : l’ellipse.
A la toute fin de l’anime, Edward est projeté sur Terre en 1921, à Londres de mémoire. Et le film se passe donc deux ans plus tard, dans un autre pays, où on peut voir qu’il s’est assez adapté pour passer pour un mec lambda juste un peu bizarre. Avec cette ellipse, pas besoin de se poser 36 questions sur ce qu’il a fait pendant deux ans, et on peut se concentrer sur l’intrigue du film, qui vaut ce qu’elle vaut, mais qui a le mérite de continuer d’explorer les thèmes de l’anime, qui apporte une fin aux persos, qui réussit même à en intégrer des nouveaux, et qui apporte une fin à l’histoire.
Est-ce que j’aurais pas voulu savoir comment son atterrissage sur Terre s’est passé alors qu’a priori il y arrive à moitié à poil avec un bras et une jambe arrachés ? Comment il a retrouvé son père planqué on ne sait où ? Comment il a appris l’allemand ? Comment il a rencontré son coloc ? Où il a trouvé le fric pour vivre et voyager ? Si, et je suppose que la mini-série prévue de base devait en parler, mais voilà, quand on a pas l’temps, ben on a pas l’temps.
C’est triste mais heureusement, les fanfictions existent.
Et pour moi, une ellipse au début de l’épisode 20 aurait permis de s’épargner beaucoup de problèmes. C’est une opinion personnelle et tout le monde ne sera sans doute pas d’accord, mais je pense que non seulement ça aurait peut-être permis de se concentrer sur d’autres trucs, mais ça aurait permis d’éviter d’écrire autant d’incohérences. On aurait sans doute pas pu en éviter si vous tenez absolument à partir du principe que les faëries ne seront pas découverts à l’échelle mondiale, mais au moins l’attention n’aurait pas été focalisée là-dessus et sur les autres détails qui ne font pas sens, de la gestion de l’arrivée à la construction du village, en passant par la prise nanardesque de la commanderie.
J’aurais pas été contre une mini-intrigue le temps de l’épisode, il aurait pu s’ouvrir sur de la narration qui explique que l’arrivée a été chaotique, les rumeurs n’avaient que difficilement été contenues, la commanderie avait été prise d’assaut par la Garde, etc, et avoir une ultime confrontation avec un Papounet qui se sera échappé, aura été trouver des Templiers j’sais pas où, baston et discours larmoyant sur la nécessité de cohabiter avec des gens qui n’ont rien demandé à personne, genre jsp ça se passe en ville et des humains en sont témoins, et c’est le début de la révélation des faëries au monde où malgré parfois des tensions les humains sont ok parce que y’a rien de mal non plus à une histoire qui finit bien, j’en sais rien j’invente n’importe quoi mais c’est pour dire qu’il y aurait eu plein de solutions possibles pour en faire un épisode intéressant, qui couvre le fait qu’Eldarya n’existe plus mais les faëries finissent par vivre en paix sur Terre (après partir sur une mauvaise fin moi j’m’en fiche ça me gêne pas ce qu’il faut c’est que ça tienne la route lol). Avec, on aurait bien aimé, une scène de fin entre Erika et CDC un peu plus fournie en émotions.
(D’ailleurs j’y pense mais la fin du film FMA c’est juste le héros qui part sur les routes avec son frère, mais y’a eu aussi deux ou trois OAV (mini-épisodes de quelques minutes à peine pour un anime) dont un où à la fin on voit Edward en 2005, et on a des plan sur des photos de son temps sur Terre, des souvenirs etc, et je me disais ça aurait été joli pour une illu de fin pour notre couple ? Bon pas forcément alors qu’ils ont 100 ans hein mais genre quelques années après entouré-e-s de souvenirs et de photos d’eux et/ou des copains ? Moi c’est mon kif ce genre de trucs mdr après voilà mais vraiment pour une illu de fin elle était quand même décevante. Très jolie, mais pas différente de toutes celles d’avant. J’ai l’impression qu’en plus cette saison il n’y a eu que très rarement des fonds originaux, le plus souvent c’est les persos collés sur une version flou d’un fond qu’on trouve en jeu.)
Oui y’a ce style aussi mais c’est pas les mêmes implications lol
Oui ça aurait été dommage de pas en savoir plus sur l’acclimatation des faëries, de comment on s’est organisé, de pas voir de baston pour la commanderie, ce qu’on veut, mais j’aurais préféré ça à essayer de se dépatouiller dans des choix qui, de toute façon, ne pouvaient pas fonctionner. Et bon, tout ça c’est sans compter sur les trucs qui auraient dû être réglés plus tôt, comme le fonctionnement du maana en général et sur Terre en particulier, ou développer le BOAE pour qu’on ait un minimum l’impression qu’ils peuvent s’organiser à l’internationale et fournir par exemple des papiers aux faëries, parce que là on dirait juste que les mecs ils viennent de débarquer et ils savent pas trop quoi faire de leur vie, quoi. Et ça, même dans notre épisode ça aurait pu être dit.
BREF, tout ça pour conclure que : écrire un épisode de fin quand on a pas le temps, non c’est pas facile, oui va falloir faire des choix, oui y’aura des frustrations, mais c’est pas mission impossible si on y met un peu de logique.
Ça y est, c’est la fin de notre aventure avec Erika, après quasiment neuf ans de bons et loyaux services. A priori c’est la fin de notre aventure à Eldarya tout court mais bon ça faudrait encore que ce soit confirmé officiellement ahem.
Qu’est-ce qu’on peut en conclure pour cette saison ?
1) L’écriture Je l’aurai évoqué plusieurs fois au cours de mes avis de A New Era, mais il est clair qu’un gros effort a été fait. En saison 1, on avait fini par nous parler de bêta-readers et de relecteurs, mais honnêtement je n’en avais jamais vu la couleur, car tout du long la rédaction était parsemée d’erreurs de grammaire et d’orthographe à un niveau qui frôlait la faute professionnelle, si vous voulez mon avis. Le contraste saisissant qu’on a pu voir à partir de l’épisode 30 (sur lequel est arrivé le nouveau scénariste, si j’ai bien compris) était plus que bienvenu de ce point de vue-là. C’était également beaucoup plus fluide à lire, même si sa manie de caser des mots obsolètes ou très peu usités n’était pas nécessaire (et pas toujours bien employée, n’en déplaise au scénariste).
Je dirai quand même un mot sur la gestion du ton. La saison 1 a commencé sur une ambiance très guillerette, un peu je-m’en-foutiste de la fin du monde imminente, pour plonger petit à petit dans une direction que l’on voulait qualifier de « mature » (mais on a déjà vu que ça avait été compliqué lol car je pense que les scénaristes de l’époque n’avaient pas forcément intégré qu’on ne rend pas une histoire « mature » simplement en y ajoutant des thèmes adultes et en tuant des enfants), et si en saison 2 on a pas eu vraiment de problèmes de pseudo-maturité en lâchant du pathos à tire-larigot, on a quand même souvent eu des soucis avec les scènes dramatiques qui sortaient de nulle part ou qui ne sont pas apparues quand il le fallait, une très mauvaise gestion des sentiments des personnages, ce qui nous donne une Erika qui n’évoque jamais Valkyon/Ezarel (j’imagine) en se cachant derrière une indisponibilité physique et émotionnelle (inventée de surcroît parce qu’elle aurait eu mille occasions d’y penser), ainsi que des persos qui la démontent parce qu’elle est en colère et qui ne sont JAMAIS contredits par l’histoire, à part un mot d’excuse à la toute fin parce qu’on gueule là-dessus depuis deux ans et demi.
2) Le scénario Très frustrant. Vraiment frustrant. Parce que y’avait de l’idée, à tous les stades de la saison. L’immeuble à Genkaku avec des humains coincés dedans et le background de Koori ? Incroyable. L’idée de failles entre les mondes avec le maana qui s’échappe et des trucs eldaryens qui disparaissent vers la Terre ? 10/10. Le retour sur Terre avec Papounet dans une organisation de Templiers avec des infos qui coïncident pas avec ce qu’on nous a dit sur Eldarya ? J’achète sans réfléchir. Mais à chaque fois, ça s’est éclaté par terre de façon hyper pathétique, parce que y’avait un méchant qui ressemble à rien, parce que l’arc se clôt aussi vite qu’il commence, parce que finalement c’est manichéen au possible alors que ça se donne toutes les peines du monde pour se faire passer pour nuancé, parce qu’on se retrouve bloqué par des incohérences liées à la saison 1 et/ou à l’absence totale de tentative de les redresser en saison 2. Du coup on se retrouve avec des ascenseurs émotionnels où on a l’ébauche de trucs construits et haletants, qui viennent se retrouver gâchés par votre impossibilité à prendre en compte le lore donné en saison 1, directement ou en essayant de le réparer, à écrire des antagonistes dignes de ce nom et à gérer le rythme du récit. Parce que désolée mais je me remets toujours pas du fait qu’on a perdu trois épisodes à rien faire dans le dernier quart de la saison, alors que l’intrigue ET la romance auraient pu en profiter.
Gif réglementaire d’animal mignon pour aérer le texte.
3) Les personnages On a bien assez parlé des antagonistes. Qu’en est-il des héros ?
- Erika : Les dieux soient loués, elle a beaucoup moins de réactions complètement idiotes et de remarques insultantes envers la notion même d’intelligence, mais c’est toujours pas ça. De plus, j’ai l’impression qu’elle n’a pas eu l’occasion de grandir en tant que personnage, et c’est un peu pareil pour beaucoup d’autres, en fait. De son réveil à la scène de fin de l’épisode, elle aura les mêmes réactions, les mêmes idéaux, et la seule conséquence de nos choix ce sera la teneur de ses discours à la commanderie et aux faëries, et d’autres détails sans grande influence. En tant que daemon je pense que ça a un intérêt, mais en tant qu’aengel, ça ne change rien à ce qu’elle était déjà en saison 1 : un ange représentant la pureté et la beauté du sacrifice, par opposition à l’« égoïsme » des daemons. Elle restera donc au final un personnage assez plat, que nous n’aurons pas eu beaucoup l’occasion de façonner, vu que nos choix de réponses nous apporte un sentiment de contrôle sur sa réaction sur le coup, mais ça ne changera rien à l’histoire, ni beaucoup de choses dans les dialogues avec les autres.
- Mathieu : Avant toute chose, c’est moi ou j’aurai été quasiment la seule personne à poster des avis suivant sa route ?? 😆 Le pauvre Mathieu est parti sur de mauvaises bases, parce que beaucoup ne voyaient pas d’intérêt à romancer un humain dans un monde fantasy. Je comprends le raisonnement, moi je suis partie un peu par défaut vers lui, mais pour moi c’était aussi évident qu’il allait avoir un gros secret à cacher. Ça s’est d’ailleurs révélé assez vite. Il a pas beaucoup évolué non plus, mais au moins on s’est éloigné de sa relation malsaine avec Koori. C’est d’ailleurs dommage que ça n’ait pas été réévoqué plus tard, une petite ligne ici ou là sur comment iels sont toujours ami-e-s mais sans s’envoyer d’insultes. Au final c’était le bon p’tit gars un peu marrant, naïf et qui balance les trucs comme ça lui vient, il casse pas trois pattes à un canard (si je puis me permettre) mais c’était pas un mauvais personnage non plus. Je ne regrette pas d’avoir testé sa route. Par contre j’admets toujours pas qu’on ne sache pas ce qui est arrivé à sa jambe.
- Nevra : Honnêtement ? Un de mes pref. Et j’aurais jamais pensé dire ça un jour, surtout alors qu’à sa première apparition il se prenait pour le perso trop dark et mystérieux qui te regarde en coin en marmonnant des menaces dans les ténèbres. Mais je préfère mille fois ça plutôt que la figure du séducteur/harceleur dans The Origins ; cet archétype ne m’intéresse absolument pas. Et il se révélera plus tard, surtout dans la deuxième moitié de la saison, être un leader charismatique qui sait donner des ordres et diriger une troupe en ayant la tête froide, et c’est appréciable, surtout quand c’est bien la première fois qu’on voit un chef digne de ce nom dans Eldarya.
- Lance : Bon, je vais pas revenir sur ce que je pense de sa réintroduction dans l’histoire, moi non plus j’ai plus le temps. Mais dans l’ensemble, son personnage était agréable à côtoyer. Il est similaire à Valkyon comme ça a déjà été noté, et j’aime bien les persos calmes x) Je pense que là le problème c’est surtout qu’il avait une personnalité trop proche de celle de Nevra : ferme, sérieux, en retrait, avec de la répartie. Il ne se démarquait pas assez de lui, et comme craint, il a perdu le sel de ce qui avait fait de lui un personnage attrayant en tant qu’Ashkore. Pour moi un perso comme ça c’est pas un souci, mais là il ressemblait trop à Nevra.
- Leiftan : Alors lui c’est la pire déception de la saison, genre c’est littéralement un personnage qui ne sert à RIEN. Non seulement il allait en mission sans y avoir sa place mais vraiment il a RIEN FAIT pour faire avancer l'histoire en fait, il aurait pas été là que ça n’aurait rien changé, j'ai l'impression que la seule fois où il a vaguement servi à quelque chose c'est quand il a buté tout le monde à la commanderie mais bon à part ça… Et encore, les seules conséquences que ça a eues c'est que Karenn et Chrome sont allé-e-s sur Terre et nous ont posé des questions après. Alors que les autres ont leur propre rôle au sein de la saison (Nevra est un bras droit/chef, il a Yaqut, Lance il a son passif, il participe aux missions et à l'action, Mathieu il est l'humain qui vient des templiers), Leiftan n’a rien à lui dans l'histoire en elle-même… Il participe pas à l'action, il participe à peine aux décisions, sa seule particularité c'est qu'il essaie de retrouver ses pouvoirs via la méditation, et encore selon nos choix il nous jarte quand on essaie de méditer avec lui mdr. J'aime pas le personnage mais c'est quand même con, c'est un CDC et il n'apporte absolument rien de concret à l'histoire, quoi.
- Les autres : Si Hua est moins mauvaise que Miiko comme cheffe, elle reste antipathique de mon point de vue. Elle cache des choses, elle n’a pas de considération pour Erika, et son gros problème vient surtout de l’adulation qui lui a été portée alors qu’au final elle n’a pas de rôle prophétique, et sa mort et sa résurrection resteront incompréhensibles. Au moins elle est moins insupportable que dans TO. Chrome est l’un de ceux qui m’auront le plus surprise en bien : il a toujours un rôle de comic relief, mais c’est beaucoup moins casse-pied et enfantin, même si ça n’empêche pas qu’il aura souvent été à l’origine de dialogues bouffe-maanas inutiles. Karuto aura été plus agréable aussi, le trope du bougon qui crie sur tout le monde ça va cinq minutes (et son histoire avec Cif aura été le gros point noir de son personnage). Ewe et Karenn auront été égales à elles-mêmes par rapport à la saison 1, la première comme médecin la tête sur les épaules, la seconde comme peste dont chaque réplique me donnait envie de lui clouer la bouche :’) Koori aura rapidement laissé tomber son petit jeu de séductrice qui ne devait pas amuser grand monde, pour au final devenir le personnage de bonne amie un peu extravagante mais mignonne quand même, et Chù aura été le personnage sérieux, très (trop ?) terre à terre, qui n’hésite pas à s’exprimer quand elle a quelque chose à dire (même si des fois c’est impoli ou juste bête), et son gros problème c’est qu’elle n’aura à aucun moment été contredite directement dans l’histoire sur son comportement avec Mathieu. Adalric était fun mais parfois sur-utilisé.
Courage on est presque au bout !!!
4) La romance Ah, le point qui fâche… Eldarya est décrit sur la page d’accueil comme un otome et un dating sim, ce qui implique, comme on l’a vu, que la romance doit tenir une place importante. Et comme on l’a vu aussi, ANE n’a rien à envier à TO sur ce point, puisque la romance peine à se faire sentir. Comme elle commence pareil pour tout le monde, c’est déjà très gênant quand on avait Ezarel ou Valkyon en CDC, ou bien qu’on choisit quelqu’un d’autre que Nevra/Leiftan alors qu’on l’avait avant, puisque les premiers signes arrivent très vite sans l’ombre d’une pensée pour l’ancien CDC, puis plus rien, puis « oh là là malgré mon expérience à Genkaku je réalise que ce mec est mignon hihi, » une vague phase de séduction sur laquelle on ne s’appesantit pas vraiment alors que globalement c’est un peu l’un des meilleurs trucs sur un otome, et après le premier baiser, la « romance » est représentée par des scènes de sexe sans saveur, sans romantisme, par d’occasionnels « je passai la nuit à parler avec CDC » et de vagues « il m’embrassa avant de partir en mission. »
Et c’est tout.
Ah ça le côté aventure et fantasy du contrat il est rempli, ça y’a aucun souci, mais le côté romance c’est peut mieux faire, alors que c’est un des deux arguments de vente du jeu. J’entends bien que c’est compliqué d’équilibrer les deux sans qu’il y en ait un qui passe au second plan, mais là y’a même pas eu de tentative d’équilibrage, en fait. Vous pouvez faire un jeu d’aventures moi ça me dérange pas, mais juste n’appelez pas ça un dating sim, parce que ça n’en est pas un. On a été extrêmement passif-ve-s en tant que joueurs/euses cette saison je trouve, les choix permettaient d’apporter un peu de saveur à nos réponses, mais ils ont eu beaucoup moins de répercussions dans les dialogues avec les autres persos qu’en saison 1. Ce qui est quand même sacrément ironique quand le focus de la saison a été sur les dialogues.
5) Les réponses aux interrogations Alors oui y’a les trucs avec lesquels je fais chier tout le monde comme la sépulture de Valkyon et la jambe de Mathieu, mais au final plein de détails n’auront jamais de réponses, ceci incluant des trucs de la saison 1. On saura jamais qui avait appris à Naytili à corrompre le Cristal, à un moment dans une vision Erika voyait un coffre mystérieux en lien avec Hua, on sait pas ce qui motivait personnellement Leiftan à détruire le Cristal, on a jamais rien su de son passé, on saura pas ce qu’était le dernier truc qu’il a fait juste avant qu’on rentre dans le Cristal, on saura pas comment Caméria a failli être une valkyrie, on saura pas pourquoi Karuto s’est pas marié, on saura pas ce qu’a écrit Koori, on saura pas ce que devient Papounet, on saura pas comment la magie fonctionne sans maana, ça va du détail qui permet de connaître un perso à des trucs de l’intrigue principale et ça me fume. Je comprends pas comment c’est possible, est-ce que personne n’a jamais relu les épisodes antérieurs ? Quelques trucs par-ci par-là osef, mais là il suffit de se pencher pour trouver un truc qui n’aura pas de réponse…
Une réponse qui me manque aussi c’est pourquoi y’a eu un CDC sur « Personne » vu que visiblement ça change absolument rien ?
Bon, rassurez-vous, je crois que j’ai fait le tour x)
C’était donc officiellement la fin d’Eldarya telle que nous la connaissons, l’histoire d’Erika est terminée. On n’attend plus qu’un mot de votre part pour officialiser la fin du jeu tout court, puisque c’est apparemment ce qui nous attend, mais les seules infos qu’on a viennent de screenshots d’échanges avec le support, disant que le jeu ne s’est pas relevé depuis l’incendie d’OVH et doit donc prendre fin. On aimerait bien juste savoir ce que ça signifie pour nous. Allez-vous vendre le jeu comme Cromimi ou le laisser dans un coin comme Ma Bimbo ?
Honnêtement on va pas se mentir, l’incendie n’a, à mon avis, fait que précipiter l’inéluctable. Je pense que tout le monde ici connaît au moins une personne qui a fait le choix de ne pas se recréer de compte au retour du site parce qu’iel n’était déjà plus convaincu-e par le jeu et/ou l’histoire (ou bien était trop dégoûté-e d’avoir perdu ses ressources plus ou moins bien acquises). Et quand il n’y a pas eu d’amélioration au niveau du contenu et de la communication, ça n’a pas aidé. Du coup ben pas étonnant que le jeu ne se soit pas relevé.
Je vais reprendre des trucs que j’avais dits dans mon avis sur l’épisode 30 quand je pensais que je jouerais pas à ANE : merci aux personnes qui ont eu la foi de lire mes pavés, et merci pour vos réactions ! Mon but n’a jamais été de basher pour basher parce que ça n’aide personne, mais je prends plaisir à l’exercice de l’analyse, et je pense qu’une œuvre qui se prend un minimum au sérieux comme Eldarya mérite qu’on essaie au moins de creuser un peu. Alors que j’en suis à la seizième page de cet avis, je me vexerai si on me dit que je ne suis pas une joueuse un minimum investie x)
Je n’ai pas toujours été aussi critique d’Eldarya, j’étais très hypée au tout début, et jusqu’à la fin il y aura eu des choses qui m’auront maintenue en jeu : des tropes qui m’intéressent, des familiers à attraper, des jolies tenues, des répliques cinglantes et des persos qui auront su être attachants. La nostalgie a beaucoup joué aussi, je suis sur le jeu depuis le début, je l’avais attendu après les teasers, et mine de rien je me suis beaucoup impliquée dans ces avis. Au final, le seul épisode que je n’aurai jamais commenté est le spin-off de Valkyon, je suis une fake fan :’)
Je remercie les personnes qui ont participé à l’élaboration des épisodes, parce que malgré mes râleries, bah si y’a personne pour faire les épisodes, y’a pas d’épisode à commenter x) Ça reste un gros travail, et je crois en l’amélioration, je ne désespère pas que la prochaine fois, ce sera mieux.
Petite mention spéciale à la musique, il n’y a personne de crédité donc je sais pas d’où elle sort mais il y avait de très bons morceaux, notamment celui de fin, c’est juste dommage que le bug persiste encore à ce jour.
Merci à toutes les personnes qui ont fait vivre le site, que ce soient les développeurs, les illustrateurs ou les membres actifs du forum. On ne sait pas encore ce qu’il va advenir d’Eldarya, mais malgré tout je ne regrette pas d’avoir participé à l’aventure, parce que je mentirais si je disais que je n’y avais pas passé de bons moments et que ça ne me fait rien que tout se termine.
Eh bien écoutez, si on se revoit pas, je vous souhaite à tou-te-s une très bonne continuation, continuez à être critiques même envers les œuvres que vous adorez, prenez soin de vous, prenez soin de vos proches, moi je vous laisse avec le même gribouillis nul que j’avais mis en fin d’épisode 30 parce que pourquoi pas, après tout x)
Au revoir, et peut-être à une prochaine fois vers d’autres horizons !
#eldarya#eldarya a new era#eldarya spoilers#mes avis#eldarya a new era episode 20#ptn en vrai j'ai du mal à me dire que c'est fini#enfin fini ça serait bien qu'on ait une confirmation un mot quelque chose#qu'on se retrouve pas tou-te-s comme des cons à faire nos adieux alors qu'en fait ça reprend dans trois mois#ça m'étonnerait mais bon quand même#cela dit on est pas à l'abri d'une reprise#enfin j'ai pu caser mes deux fils préférés dans le même avis je peux partir en paix lol#je parle de gaara et du edward de 2003#also 17 pages word cet avis c'est mon record#que vais-je faire de ce tumblr maintenant#un peu tout et n'imp je pense mdr#peut-être qu'un jour je reprendrai moonlight lovers#je pourrais aussi tester uncoven remarquez quitte à rester dans beemoov#d'ailleurs je repense à fma03 y'aurait sûrement des trucs à dire entre lance et roy#en tant que génocidaires qu'on rend sympas#bon ce serait un peu injuste parce que les thèmes des 2 oeuvres sont différents mais ce serait marrant
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Lady Jane Grey (1537-1554)
Si vous suivez l’actualité des séries, vous aurez vu passer les news sur la série My Lady Jane, adaptation du roman éponyme de Jodi Meadows, Brodi Ashton et Cynthia Hand. Mais la vraie Jane Grey a eu un destin plus tragique : on ne l’appelle pas pour rien « La reine des neuf jours »
Ou celle qui n’a régné que neuf jours sur l’Angleterre.
Si je vous demande de me donner des noms de monarques sous la dynastie des Tudors, vous allez me dire Henry VIII et Elizabeth I. Les plus historiophiles me diront : Henry VII, Henry VIII, Edward VII, Mary I et Elizabeth I.
Vous en avez oublié un.
Vous avez oublié Lady Jane Grey.
Figure relativement connue en Angleterre, inconnue au bataillon en France, l’histoire de Jane est une véritable tragédie shakespearienne.
Jane est le premier enfant et la première fille de Henry Grey, Duc de Suffolk (1517-1554) et de Lady Frances Brandon (1517-1559).
Elle descend de la vieille noblesse anglaise par son père.
Sa mère, quant à elle, est la fille de Charles Brandon (C. 1484-1545) qui a été un ami proche d’Henry VIII (1491-1547) et de Marie Tudor (1496-1533), la sœur d’Henry, laquelle mériterait elle aussi son petit article.
Notre Jane est donc une petite-nièce du roi d’Angleterre et une cousine des futurs Edward VI, Mary I et Elizabeth I.
Elle naît vers 1537 à Bradgate, non loin de Leicester.
Jane s’avère être une enfant précoce, scolaire, qui aime les études. Elle est élevée dans la foi protestante. Vers ses 10 ans, elle est confiée à la reine Catherine Parr (1512-1548), la veuve d’Henry VIII, laquelle s’occupe déjà de l’éducation de sa belle fille, la future Elizabeth I (1533-1603), pour laquelle elle a une profonde affection.
L’enfance de Jane n’est guère heureuse : sa mère est une mère abusive et maltraitante. Elle l’insulte, la rabaisse, la frappe, pensant ainsi l’endurcir car sa fille, de nature timide et soumise, l’irrite. Ainsi, malgré ses capacités, la jeune fille se croit idiote et surtout indigne de ses parents, comme elle le confiera à Roger Ascham (1515-1568), le précepteur qu’elle partage avec Elizabeth :
« Quand je me trouve en présence de mon père ou de ma mère, si je parle, me tais, m’assois, suis debout, pars, mange, bois, me réjouis ou m’attriste, couds, joue, danse, fais n’importe quelle chose, il faut que je l’entreprenne comme si la tâche était d’une importance infinie et que je l’achève à la perfection avec laquelle Dieu a créé le monde ; sinon, ils me raillent sans merci, ils me menacent cruellement, parfois par la force… pour que je me croie être en enfer. »
Sous l’égide de Catherine Parr, Jane est plus heureuse et reçoit enfin l’affection dont elle a tant besoin.
Hélas, ces jours heureux ne durent pas et un an après son entrée dans la maison de Catherine, Jane doit lui dire adieu : en effet, la reine douairière, qui s’était remariée à Thomas Seymour, l’oncle d’Edward VII, meurt en mettant au monde son première enfant, une petite Mary, dont on perd la trace après sa deuxième année de vie. Agée de 11 ans, Jane sera le « chief mourner » lors des funérailles : c’est elle qui veillera le corps. Thomas, lui, sera arrêté et exécuté pour trahison.
Jane rentre donc à Bradgate pour y poursuivre sa vie.
On commence à envisager son mariage : Thomas Seymour, du temps où il vivait encore, avait suggéré qu’elle épouse son neveu ! Il semble l’avoir tenue en haute estime : lui proposer la main du roi, dire qu’elle pouvait rester chez lui après le décès de Catherine, ce qui a été annulé suite à son arrestation…
Jane, elle, aimerait bien épouser Edward Seymour (1539-1621), le neveu de Thomas, ce qui ne se fera pas et l’homme épousera, plus tard… Catherine, la plus jeune sœur de Jane !
Frances, la mère de Jane, décide de lui faire épouser Guilford Dudley (1535-1554), pour le plus grand effroi de sa fille qui déteste cette famille. Une bonne petite rouste et le mariage est célébré le 25 mai 1553.
Sinon, au gouvernement, on se pisse dessus : Edward, le jeune roi, est à l’agonie, rongé par la tuberculose. Il n’est pas marié, il n’a pas d’enfants et selon l’acte de succession instauré par son père, s’il meut sans héritier, la couronne revient à l’aîné de ses sœurs : Mary (1516-1558).
Le souci, c’est que Mary est… catholique !
Pour vous la faire courte parce que l’histoire religieuse sous Henry VIII est un bordel !
Quand Henry VIII accède au trône à 18 ans, l’Angleterre est catholique. Henry est pieux, il défend la foi chrétienne, il rédige des écrits contre l’hérésie, tant est si bien que le pape le considère comme défenseur de la Foi, ce qui est un titre qui pète sa mère quand vous êtes croyant.
Henry est marié à Catherine d’Aragon (1485-1536), la veuve de son frère Arthur, et contrairement à ce que l’on pourrait penser, Henry ne l’épouse pas tant pour conserver l’alliance entre son pays et les royaumes de Castille et d’Aragon mais parce qu’il est sincèrement amoureux ! Le problème, c’est que des six grossesses qu’ils ont, seuls deux enfants sont nés : le petit Henry, mort à 52 jours de vie et Mary.
Ce qui fait qu’Henry n’a pas d’héritier mâle alors qu’il est la deuxième génération des Tudor, son père ayant gagné la couronne lors de la guerre des Deux Roses qui a mis fin au conflit entre les Lancastre et les York. (Je vous la fais courte, ça aussi, c’est un bordel!). Ca la fout mal.
Selon la Bible, on n’a pas le droit d’épouser la veuve de son frère, sinon on est condamné à ne pas avoir d’enfants. Sauf si le mariage n’a pas été consommé : là, le frère doit prendre sa belle-sœur pour femme. Catherine soutient et soutiendra jusqu’à sa mort qu’elle est arrivée vierge dans les bras d’Henry.
Sauf que pour Henry, l’absence d’enfant, il la traduit par l’absence de fils vivant, surtout que la belle Anne Boleyn (c.1501-1536) commence à lui faire de l’oeil et contrairement à sa sœur Mary Boleyn (C.1499-1543) qui a été la maîtresse du roi, elle refuse de coucher avec lui et de n’être qu’une maîtresse. La bague au doigt sinon rien !
Henry cherche donc à faire annuler son mariage, le Pape refuse (il kiffe Catherine et il n’a pas envie de se mettre son neveu, Charles Quint (excusez du peu), à dos). Du coup, Henry dit au Pape d’aller se faire voir chez les grecs, il fonde sa propre église : l’Anglicanisme, qui est un mélange entre le catholiscime et le protestantisme, dit qu’il est le chef de l’Église dans son pays, il fait annuler son mariage, il épouse Anne qui lui donne Elisabeth, avant de la faire exécuter le 19 mai 1536 pour épouser, dix jours plus tard, Jane Seymour (c.1508-1537) qui lui donnera enfin le garçon tant espéré : Edward.
Sauf que pour annuler les mariages, il a fallu reconnaître qu’ils n’étaient pas légaux, donc dire que ses deux filles étaient des bâtardes.
Vers la fin de sa vie, en signe de réconciliation, Henry crée l’acte de succession, mettant ses filles dans la lignée, si et seulement si leur frère n’a pas d’héritier légitime.
Ca va, vous suivez toujours ?
Du coup, on est en juin 1553, Edward est en train de mourir, il n’a pas d’enfants et si Mary prend le trône, elle qui est une catholique convaincue, elle va tout faire pour remettre l’Angleterre dans le giron de Rome et forcément, le gouvernement ne veut pas ça.
Edward, élevé en protestant, malgré l’amour qu’il a pour sa sœur (et marraine!) ne le veut pas non plus.
Pensant donc protéger son pays, il décrète que c’est sa cousine Jane Grey qui est son héritière puisque ses deux sœurs, Mary et Elizabeth, sont des bâtardes.
Oui, encore une fois.
Le 06 juillet 1553, Edward meurt et le beau-père de Jane, John Dudley : le duc de Nothumberland, la proclame reine. Si Jane l’accepte, elle semble le faire avec énormément de réticence. Elle élit domicile à la Tour de Londres et refuse que l’on appelle son mari « le roi ». Il sera duc de Clarence, c’est déjà pas mal.
Evidemment, Mary n’accepte pas la situation, rallie rapidement ses partisans et aux côtés d’Elizabeth, elle marche sur Londres pour récupérer son trône.
Oui, on dirait un épisode d’House of the Dragon ou de Game of Thrones, c’est normal, George R.R Martin s’est énormément inspiré de cette période de l’Histoire pour écrire son banger qu’est « A Song of Ice and Fire », les livres qui ont crée cet univers.
Malgré ses tentatives, le duc de Nothumberland ne parvient pas à consolider le pouvoir de Jane et neuf jours après son accession au trône, la voilà déchue : les partisans de Mary ont réussi à la priver de ses droits le 19 juillet 1553, soit 9 jours après son arrivée sur le trône d’Angleterre puisqu’on ne lui a annoncé tout cela que le 10 juillet.
Mary est à Londres le 03 août et elle reprend sans efforts ce qu’elle considère être son droit.
Le 12 novembre 1553, un procès a lieu et Jane est reconnue coupable de haute trahison et condamnée à mourir « brûlée vive ou décapitée, selon le bon plaisir de la reine ». L’ambassadeur d’Espagne rapporte à Charles Quint, cousin de Mary, que sa vie devrait être épargnée. Jane écrit à Mary, s’excuse pour le mal qui lui a été causé, lui relate la vérité des événements. Dans cette lettre, elle se décrit comme une femme aimant son époux. D’ailleurs, Guilford, dans sa cellule, a gravé le prénom de Jane. Est-ce pour elle ou en hommage à sa mère, seul lui le savait.
A la surprise générale, Mary se montre étonnamment bienveillante : elle refuse de punir Jane ! Elle a bien compris que cette pauvre adolescente de 16 ans n’a été qu’un pion sur l’échiquier politique des plus grands. Si elle la garde enfermée, elle refuse de faire exécuter la jeune fille.
Hélas pour Jane, les conseillers de Mary la pressent : son choix est beau, il est noble mais Jane demeure, malgré elle, un point de ralliement pour les protestants. De plus, la rébellion de Sir Thomas Wyatt en 1554 précipite la fin de Jane : Thomas Wyatt voulait renverser Mary, catholique, pour mettre sa sœur Elizabeth sur le trône car protestante. Lors de son exécution, Wyatt démentira la participation de la princesse dans ce complot.
La mort dans l’âme, Mary doit se résoudre à signer les arrêts de mort de Jane et de Guilford.
Le 12 février 1554, Guilford est décapité à la hache. On dit qu’il a fait face à son destin avec courage. De sa fenêtre, Jane aurait murmuré : « Oh, Guilford, Guilford ! ».
Le même jour, Jane monte sur l’échafaud.
Mary demande à ce que l’exécution ait lieu à Tower Green, une pelouse de la Tour de Londres, loin des yeux curieux, afin qu’elle soit exécutée en petit comité, un honneur généralement réservé aux personnes de sang royal.
Jane prononce ces quelques mots :
« Gens de bien, je viens ici pour mourir, condamnée par la loi au même lot. L’acte contre la majesté était illégitime, comme ma participation : mais ce jour, pour autant que je l’aie désiré et en aie ambitionné l’achèvement, j’en lave les mains, devant Dieu et devant vous, bons chrétiens. »
Elle récite ensuite Miserere mei Deus (psaume 50) en anglais. John Feckenham, un chapelain catholique, lequel n’a pas pu la convertir à la foi de la reine, reste à ses côtés.
C’est elle qui s’agenouille, qui se bande les yeux mais alors qu’elle cherche, en vain, le billot du bout des doigts, elle panique : elle craint de mourir sans dignité et s’exclame « Que dois-je faire ? Où est-il ? ». Une âme charitable mène son bras et le bourreau l’exécute sans heurt.
Jane et Guilford reposent en paix, côte à côte, dans la chapelle de Saint Peter ad Vincula.
Le père de Jane, Henry, est exécuté onze jours plus tard, le 23 février 1554.
Frances, sa mère, vivra dans la pauvreté sous le règne de Mary. La reine se montre magnanime, même si elle reste méfiante, la laisse vivre à Richmond et engage à son service ses deux filles survivantes, Mary et Catherine, comme dames d’honneur.
Le père et les frères de Guilford demeureront emprisonnés mais Mary leur pardonnera. Robert, l’un des frères de Guilford, sera libéré et sera le grand ami (voire le grand amour) d’Elizabeth I.
Jane, quant à elle, survit dans les mémoires surtout grâce à la série My Lady Jane qui vient de sortir et avec le film Lady Jane de 1986 où son rôle est tenu par nulle autre qu’Helaena Boham Carter.
– Marina Ka-Fai
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Jane, tu peux aller regarder ces sources :
Jane Grey : épisode de l’histoire d’Angleterre. Tome 1 d’Alphonse Brot
Nine Days Queen of England de Faith Cook
Lady Jane Grey : A Tudor Mystery d’ Eric Ives
Lady Jane Grey: Nine Days Queen, d’Alison Plowden,
Sovereign Ladies : Sex, Sacrifice, and Power. The Six Reigning Queens of England de Maureen Waller, ;
Children of England: The Heirs of King Henry VIII d’Alison Weir
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Il faut profiter des gens qu'on aime, en abuser. Abuser de leur présence, de leur temps, de leur rire, de cette douceur intérieur. Remplir son cœur de souvenirs et son cerveau de sérotonine au maximum.
Le bonheur ce n'est pas TOUT cocher, c'est cocher l'essentiel. ✅
A chacun de trouver son essentiel. Son essence. Pour avancer, pour supporter.
Il faut savoir mettre son énergie au bon endroit, choisir les bonnes personnes.
Moi j'avais tout, depuis un bon moment. Et j'en avais toujours eu conscience.
Mais c'est à l'aube de mes trente ans que j'ai réalisé cette indéniable vérité.
Aimer me rend heureuse, l'être un peu moins.
Quand j'aime, j'explose d'amour. Je déborde d'émotion, j'aimerais ne jamais être désagréable, j'aimerais toujours répondre aux attentes de mes proches, répondre ce qu'ils ont envie d'entendre, aller où ils le veulent quand ils le veulent. Etre là, dans les bons et les mauvais moments.
Les rendre heureux.
LB
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Bonjour les ami(e)s, voici l'horoscope de la semaine du 15 au 21 juillet, par Reynald, bonne lecture et excellente semaine!
Horoscope de la semaine Bélier
Amour : Acceptez de voir la vie à deux sous un angle nouveau et préparez-vous à faire des compromis. Vous serez beaucoup plus serein et patient que ces derniers temps, ce qui aura des conséquences positives sur votre vie de couple. Vous rétablirez des rapports de confiance et de complicité. Célibataire, vous semblez cette fois irrésistiblement attiré par les amours impossibles ! Gardez les pieds sur terre et contentez-vous de ce qui est à votre portée.
Travail : Le climat vous communiquera un dynamisme et un enthousiasme remarquables. Vous aurez envie de sortir de la routine, d'aller à l'aventure, d'entreprendre des choses grandioses et démesurées. Tout cela pourra être excellent. Cependant, vous subirez de fortes pressions de la part de vos supérieurs. Vos nerfs seront à fleur de peau. Ne vous laissez pas déstabiliser et accordez-vous des moments à l'écart si vous en ressentez le besoin.
Santé : Vous serez plutôt en forme mais faites tout de même attention à ne pas dépenser votre énergie à tort et à travers. Vous pourriez être sujet à des crampes ou des maux d'estomac probablement dus à votre état de stress. Vous pourriez évacuer votre nervosité en pratiquant une activité physique régulière plutôt qu'en augmentant votre consommation de cigarettes.
Humeur : Vivement la semaine prochaine !
Horoscope de la semaine Taureau
Amour : Vous êtes très passionné, vos désirs de bonheur sont sans limites et votre partenaire pourrait avoir du mal à vous suivre. Il est essentiel de communiquer, car cette différence d'investissement pourrait venir d'une inégalité de sentiments ou simplement du fait que vous n'avancez pas à la même vitesse. Parlez-vous si vous ne voulez pas foncer droit dans le mur, c'est encore la meilleure solution.
Travail : Même si c'est votre façon de vous exprimer et que vous ne pensez pas à mal, il se peut que certains de vos collègues soient dérangés par votre comportement. Veillez à ne pas abuser de vos libertés si elles empiètent sur la bonne humeur de vos collaborateurs. Côté finances, rien à signaler, vous êtes stable et rien ne devrait venir perturber cette situation. C'est peut-être le moment de faire des économies en vue d'un projet !
Santé : Baisse de tonus et de vitalité ? C'est peut-être le moment de démarrer une cure de vitamines et de magnésium, pour vous redonner un coup de fouet. Demandez conseil à un professionnel, il vous aiguillera pour que vous retrouviez rapidement votre forme. La chance sera avec vous en fin de semaine pour vous aider à reprendre le dessus. En effet, un événement inattendu pourrait bien vous redonner confiance et cela vous boostera.
Humeur : Vous pourrez passer du rire aux larmes.
Horoscope de la semaine Gémeaux
Amour : Célibataire, comment se fait-il que vous n'ayez jamais remarqué ces yeux si bleus ou ce corps de rêve ? Vous pourriez trouver l'âme sœur dans votre entourage proche et vous en serez le premier surpris. Si vous vivez en couple, vous noterez un regain de sensualité chez votre partenaire. Cette semaine s'annonce agréable et pleine de surprises alors profitez-en, cela ne pourra faire que du bien au moral !
Travail : Vous réaliserez les projets qui vous tenaient à cœur grâce à votre ténacité et votre courage. Cette semaine sera particulièrement chargée dans le domaine professionnel, mais cela ne vous fait pas peur. Un coup de chance est possible sur le plan financier. Une belle rentrée d'argent est probable, mais comme il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, faites attention à ne pas dépenser ce que vous n'avez pas encore…
Santé : Cette semaine, grâce à vos bonnes défenses immunitaires, vous résisterez à tous les assauts des microbes et autres virus. Pour rester en forme vous devrez faire un effort pour améliorer votre hygiène de vie. En effet, depuis quelque temps, vous vous autorisez certaines libertés alimentaires que vous allez payer tôt ou tard ! Une petite cure détox ne vous fera pas de mal et assainira votre organisme.
Humeur : Belle semaine en perspective.
Horoscope de la semaine Cancer
Amour : Le climat astral vous incitera à examiner et à améliorer la qualité de vos relations sentimentale et familiale. Vous serez plus prévenant et attentionné. Certaines planètes vont protéger votre vie sentimentale mais d'autres pourraient s'avérer plus gênantes. Tout ira bien si votre couple est solide mais si vous rencontrez quelques problèmes, ce n'est pas cette semaine que vous parviendrez à les régler. Vous ressentirez le besoin de sortir, de voir du monde. C'est le moment d'inviter la famille ou les amis ou d'organiser des sorties.
Travail : Vous évoluerez avec aisance, dans un climat agréable et porteur, et vous pourrez mettre en place les jalons pour un succès total. Soyez patient et ambitieux. Toutefois, vous ne pourrez travailler efficacement que dans le calme. Vous aurez besoin d'une grande concentration. Si vous adoptez une attitude provocante ou revendicatrice vous irez au-devant des ennuis. Côté finances, si vous savez rester raisonnable, les astres ne viendront pas vous mettre de bâtons dans les roues.
Santé : Vous serez peut-être en proie à des insomnies. Vous avez besoin de décompresser, mais vous y parviendrez seulement si vous sortez de la routine quotidienne. N'attendez pas d'être fatigué pour prendre soin de vous. Un massage vous ferait le plus grand bien.
Humeur : Semaine plutôt banale.
Horoscope de la semaine Lion
Amour : Pas de grands bouleversements dans la vie affective des célibataires, mais ils vivront de bons moments de complicité avec leurs amis et seront pleinement confiants en leur avenir sentimental. Les couples, eux, sont en recherche d'équilibre et d'harmonie. Ils auront droit à des moments inoubliables et les projets à deux iront bon train. Cette semaine marque un vent de liberté dans votre vie quotidienne et relationnelle.
Travail : Dynamique, rigoureux et efficace, vous faites largement vos preuves sur votre lieu de travail. Mais vous regardez vos performances avec un peu de distance car ce n'est pas ce qui vous préoccupe le plus. Vous chercherez à établir de bonnes relations avec votre entourage professionnel et à dépasser l'entente cordiale pour créer de vrais liens en profondeur. Si vous exercez un métier créatif, l'inspiration ne vous fera pas défaut. Les idées fleuriront sans que vous ayez à vous creuser la tête.
Santé : Vous démontrez une belle vitalité au quotidien. Profitez-en, car vous pourriez subir des influences plus ou moins néfastes et une chute d'énergie s'annonce dès la semaine prochaine. Alors ne la gaspillez pas, elle va vous êtes bien utile. Mettez le week-end à profit pour recharger vos batteries et faire le vide dans votre esprit. Vous ferez la fête une autre fois, pour l'instant vous avez besoin de bonnes nuits de sommeil.
Humeur : Vous êtes d'humeur joviale.
Horoscope de la semaine Vierge
Amour : Vous entrez dans une période positive. Tout s'arrange ! En couple, vous serez pris dans un tourbillon d'activités avec votre partenaire amoureux, vous allez profiter de son énergie. Vous ferez tout à deux et renouerez une complicité à toute épreuve. Célibataire, vous pourriez faire une belle rencontre. Soyez à l'affût des moindres remarques et des petites attentions. Montrez-vous sous votre meilleur jour et laissez faire l'ambiance positive de cette semaine.
Travail : La période qui arrive sera propice aux échanges et aux démarches en tout genre. Si votre métier implique des déplacements, vous aurez toute l'énergie pour les organiser et les mener à bien. Vous aurez de nombreux projets en tête, un associé ou un collaborateur pourrait enfin vous aider à en concrétiser au moins un ! Cette semaine, vous serez plus efficace si vous travaillez en équipe. Dans le secteur matériel, vous devrez rester vigilant ; ne prenez pas de risque inconsidéré.
Santé : Bon dynamisme et belle énergie. Vous pourriez entamer un petit régime dès le début de la semaine, ce sera une de vos bonnes résolutions mais ce sera surtout pour vous donner bonne conscience après les excès de ces derniers jours. Vous n'avez pas l'intention de changer votre mode vie et vous fuirez les donneurs de leçons !
Humeur : Semaine plutôt positive.
Horoscope de la semaine Balance
Amour : Vous devez prendre un peu de recul face à une situation familiale ou sentimentale complexe. Vous aurez besoin de vous mettre en retrait pour faire le point. Ne vous mettez pas martel en tête, le plus simple sera de dire ce que vous ressentez, avec un minimum de tact, bien sûr. Les personnes qui vous aiment vraiment feront preuve de bienveillance et seront attentives à votre bien-être. Célibataire, vous pourriez avoir un coup de cœur qui ne sera pas forcément réciproque.
Travail : Au travail, vous surmonterez facilement les quelques obstacles que vous trouverez sur votre route et des opportunités se présenteront. Cette semaine vous serez dynamique et efficace. Certains de vos collègues tenteront de vous détourner de votre but mais pour une fois vous serez clairvoyant, on ne vous fera pas prendre des vessies pour des lanternes. Vous ne serez pas très préoccupé par l'état de vos comptes en banque et vous ne devriez pas avoir de mauvaises surprises de ce côté-là.
Santé : Vous serez en excellente forme. Et si vous faisiez un peu de sport ? Vous avez un peu trop tendance à vous trouver de bonnes excuses pour ne pas reprendre la pratique d'une activité physique régulière. Même si vous n'êtes pas un grand sportif, il y a pourtant bien des activités qui pourraient vous convenir et vous permettraient d'entretenir votre forme.
Humeur : Les choses vont se débloquer.
Horoscope de la semaine Scorpion
Amour : Soumis à des influences explosives, vous ne serez pas à prendre avec des pincettes cette semaine. En couple, votre partenaire sera le premier à faire les frais de votre mauvaise humeur. Célibataire, vous vous montrerez particulièrement difficile dans le choix de votre partenaire potentiel, chez lequel vous ne souhaitez voir aucun défaut. S'il est bien d'être exigeant, prenez garde car en agissant de la sorte vous risquez de paraître réfractaire à toute rencontre.
Travail : Des contretemps risquent de vous retarder. Vous rejetterez la faute sur vos collaborateurs mais êtes-vous bien sûr qu'ils en portent l'entière responsabilité ? Puisque vous n'êtes qu'un des maillons de la chaîne, vous semblez avoir du mal à percevoir le projet sur lequel vous travaillez dans sa globalité. Cela vous rendra la tâche plus compliquée que prévu et vous n'avancerez alors pas aussi vite que vous le souhaitez.
Santé : Il va vous falloir adopter une meilleure hygiène de vie, votre manque de patience est en partie dû à un manque de sommeil et à une alimentation anarchique. Il est temps de faire mieux que de prendre des bonnes résolutions trop vite oubliées. Si vous voulez tenir la cadence, il faut arrêter de tourner autour du pot, imposez-vous des règles élémentaires : coucher à heure fixe, dîner léger, arrêt de l'alcool.
Humeur : Semaine plutôt stressante.
Horoscope de la semaine Sagittaire
Amour : Si votre charme est à son apogée, vous ne vous priverez pas d'en user et d'en abuser ! En couple, ne prenez pas de risques inutiles car vous allez bénéficier d'un joli climat amoureux. Un lien solide est en train de se construire, lentement mais sûrement. Alors, contrairement à vos habitudes, essayez de progresser de façon plus prudente dans votre relation. Pas de panique : votre intuition vous guidera.
Travail : Vous croulez sous les dossiers et les décisions à prendre, mais rien n'entravera votre envie de réussir. Profitez-en, vous bénéficiez d'une période où tout vous sourit. Même si les choses s'annoncent difficiles, elles n'en sont que plus motivantes. Vous sortirez de votre routine mais aborderez ce nouveau chemin avec confiance. C'est une nouvelle fois l'occasion de progresser.
Santé : La gourmandise ? Oui mais il faut savoir s'arrêter au bon moment. Cette semaine vous frisez la correctionnelle ! Entre les repas avec les amis, les petites pépites de boulangerie et les tentations incessantes nichées au fond de vos placards, il va falloir vous ressaisir ! Et pas seulement pour éviter de prendre du poids, mais aussi pour vous sentir moins fatigué et plus dynamique. Enfilez vite vos baskets et que ça saute !
Humeur : La notion de progression est essentielle cette semaine.
Horoscope de la semaine Capricorne
Amour : Ne vous attendez pas à des bouleversements époustouflants dans votre vie de couple, mais vous allez noter les signes annonciateurs du changement tant espéré durant cette semaine. Des événements positifs vont vous donner de l'espoir. Votre vie amoureuse va prendre un nouvel essor. Célibataire, ouvrez l'œil et le bon ! Dans les jours qui viennent votre horizon amoureux va s'élargir.
Travail : Vous obtiendrez enfin le feu vert de vos supérieurs pour entreprendre un projet auquel vous tenez beaucoup. Vous allez pouvoir prendre les choses en main et montrer de quoi vous êtes capable. Toutefois, vous allez devoir faire face à des imprévus ou des contretemps et votre patience sera mise à rude épreuve, mais c'est là que vous pourrez faire la différence. Le secteur des finances est plutôt calme et ne devrait pas vous causer de problème cette semaine.
Santé : Dans l'ensemble, vous bénéficierez d'une bonne énergie tout au long de la semaine. Vous ne manquerez pas de tonus et vous vous sentirez plus en forme car votre moral sera nettement meilleur. En effet, les petits troubles psychosomatiques vont disparaître avec le retour de votre joie de vivre.
Humeur : Cette semaine s'annonce laborieuse.
Horoscope de la semaine Verseau
Amour : Sauf erreur de votre part, vous avez toujours raison. Si vous continuez dans cette voie, le dialogue avec votre partenaire se transformera vite en monologue et surtout n'oubliez pas que sa patience a des limites. Vous savez que vous exagérez parfois, alors ne jouez pas avec le feu sinon une belle dispute vous pend au nez. Célibataire, ce n'est malheureusement pas le moment d'attendre un geste du hasard… Prenez votre mal en patience.
Travail : Vous vous laissez porter par la routine professionnelle, tranquillement, sans vous poser de questions. Méfiez-vous, car si vous souhaitez continuer dans cette voie-là, d'autres voudraient bien être à votre place quitte à ne pas toujours employer des moyens très fair-play. Côté finances, une pause dans les dépenses inutiles serait bienvenue car un pépin d'électroménager pourrait vous tomber dessus sans prévenir.
Santé : Attention cette semaine il faut surveiller votre alimentation. D'abord parce que vous avez fait de nombreux excès en tout genre et que votre organisme en paye le prix fort, ensuite parce qu'une nourriture saine et équilibrée, riche en vitamines notamment, boostera vos défenses immunitaires et vous aidera à éviter tous les petits virus qui traînent. N'hésitez pas à consulter un spécialiste pour des conseils sur les compléments alimentaires.
Humeur : La vigilance est de mise.
Horoscope de la semaine Poissons
Amour : Vous vous montrez très exigeant à l'égard de votre entourage et il en résulte de fréquentes disputes dont vous vous passeriez volontiers. Retournez vos prétentions contre vous-même et vous verrez que vos désidératas ne sont pas si simples à mettre en pratique. Si l'heure est au bilan, vous faites erreur en rendant vos proches responsables de votre manque d'optimisme. C'est à vous de remanier votre mode de vie pour qu'il soit mieux en adéquation avec vos aspirations.
Travail : Dans le secteur professionnel, cette période de bilan sera bien plus facile à gérer que dans le domaine affectif. Au boulot, vous ferez preuve d'un calme et d'un discernement à toute épreuve. Vous saurez fédérer une équipe et mettre tout le monde d'accord. Vous ferez office de médiateur et faciliterez la communication entre les différents services avec lesquels vous êtes amené à collaborer.
Santé : L'ambiance morose dans votre foyer vous donne l'impression de brasser du vent et vous ressentez le besoin de redistribuer votre énergie au travers d'actions concrètes et efficaces au travail. Ne fuyez pas trop longtemps les remises en question auxquelles vous devez faire face sur les plans intime et affectif ou vous allez finir par déprimer. Vous avez besoin de trouver un dérivatif : sport, art, lecture, musique… à vous de choisir.
Humeur : Ambiance changeante cette semaine.
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C'est les vacances !
L'année scolaire commençait à être vraiment trop longue. Avec le bac de français, j'ai été débordé ces derniers mois, alors que le tssa de touche-à-tout que je suis avait plein d'autres projets en tête. Je ne sais même pas si j'aurais le temps de tout faire, c'est peu probable car en route j'aurais surement trouvé de nouveaux projets qui s'accumuleront, mais c'est déjà bien d'avoir du temps.
Que penser de cette année scolaire ? Vsy pourquoi je me pose ce genre de questions...
Rien à dire de spécial. C'est passé vite, comme d'habitude j'ai tout trouvé facile, sauf quand un prof abuse COMME CE FOUTU PROF DE PHYSIQUE-CHIMIE
Ah bah si, y a des choses à dire.
Ahem. Mais c'est vrai, je n'ai rien compris à ses cours, car il enseigne mal. Tout le monde est d'accord sur ce point dans la classe, et moi j'ai bien vu ma moyenne chuter alors que le programme en enseignement scientifique est clairement plus léger et simple (car je suis en littéraire, même si je suis vraiment bon dans toutes les matières, c'est mon choix de me tirer une balle dans le pied). Je regarde une vidéo de 2 min sur un chapitre entier et je comprend mieux qu'en écoutant ses cours d'une heure... Et pour couronner le tout il nous sort des évals qui n'ont rien à voir avec le peu qu'on a appris !
Bref une arnaque, un prof n'a rien à faire dans un lycée quand Youtube est plus instructif.
Et le prof de français qui est pas mieux. Le gars il est sensé nous préparer au bac de français, eh bah je me suis dit qu'on était bien dans la merde. Le gars il n'explique rien explicitement, genre peut-être commencer par expliquer la méthode de l'analyse linéaire avant d'avoir fait la moitié des textes jsp ? Qu'on puisse savoir ce qu'il faut noter... Parce qu'il donne aucun cours, imprimé, normal vous me direz QUAND ON LE FAIT COPIER LE COURS. Oui il y a la prise de note, mais quand on sait même pas ce qu'on est en train de faire -il parle d'un texte du bac mais on sait pas exactement ce qu'on va y faire- bah tu notes pas ce qu'il faut. Résultat, pour tous les textes d'avant son "tient je devrais leur explique ce qu'est une analyse linéaire" bah mes notes sont nulles.
Puis le prof nous donne enfin les analyses linéaires imprimée des derniers textes. Au premier abord, c'est bien. Mais quand tu reconnais la fiche d'un élève random postée sur internet, tu te dis qu'il se fout de notre gueule quand même. Le gars est prof de français, il nous imprime des trucs qu'il a trouvé sur internet. Eh bah bravo, lui effectivement je sais pas ce qu'il fait pendant les vacances mais ça doit pas être du travail. Bref. Des fiches qui étaient pour la plupart vraiment pas ouf en plus.
Donc heureusement que je suis littéraire de choix et que j'ai fait mes propres analyses, parce que les autres je sais vraiment pas comment ils ont fait.
Alors à part ces deux phénomènes, tous les profs sont convenables. Mention spéciale à la prof de philo avec des discussions intéressantes. Je la cite, s'exclamant : "LES MANCHOTS VONT AUX PUTES !". Merci à une élève qui a trouvé intéressant de sortir cette information (il y a vraiment des études là-dessus, par contre regarde sur internet, c'est hors sujet) à l'occasion d'un débat "l'homme est-il un animal ?" BAH OUI ÉVIDEMMENT, c'est même le plus con de tous.
Mentions spéciale aussi à madame espagnol, très sympathique -trop gentille peut-être- qui m'a permis de collectionner les 20/20 dans cette matière. Vraiment, évaluations trop faciles, reportables... Bref pas compliqué d'avoir la note maximum.
Á propos des autres élèves de ma classe, ça n'a rien de méchant, rien de spécial.
Je suis quelqu'un de naturellement solitaire, j'évite volontairement les autres donc je ne connais pas très bien la classe. Cependant des téméraires ont décidé de me considérer comme leur ami malgré mon caractère fuyant et mon désintéressement total aux interactions sociales. C'est tout à leur honneur, et comme je ne suis pas méchant (aussi un peu parce que je cède aux menaces de ma sœur qui me voudrait plus sociable) je ne les repousse pas quand ils viennent me parler, je les écoute et leur répond toujours. Ça fait partit de mes valeurs.
La seule personne que j'ai spontanément envie d'aborder est mon amie de longue date, mais ça c'est parce qu'elle est aussi introvertie que moi, alors on parle pas énormément, j'essaie de la sociabiliser car contrairement à moi elle est timide, et on se comprend, on a aucune attente sociale.
Je parle ici des attentes de ces personnes qui veulent parler au moins une fois par jour à leur ami, et être assis à côté, sinon ce serait plus vraiment un ami. Je me rappelle ces filles de ma classe qui s'engueulent car une telle s'est pas assise à côté de l'autre, préfère machine à celle-ci... Moi à ces moments, je dis toujours "Voila pourquoi je ne fais pas d'alliances. C'est le début des disputes et de la jalousie."
Ces personnes qui me parlent, je vais les appeler "amis" car ils me considèrent probablement comme tel, moi je ne sais pas si je les voit comme des amis je m'en fiche un peu. Sauf mon amie de longue date, qui est mon amie je n'ai pas de doute là-dessus.
J'ai ainsi remarqué que ces personnes qui me parlent sont majoritairement des filles ! Pour être plus précis, je n'ai qu'un seul ami masculin. C'est beaucoup moins que quand j'étais en primaire et au collège, alors que j'étais une fille. Maintenant que je suis transmacsculin, je suis entouré de filles ! C'est hilarant. Écoute, moi ça me dérange pas du tout 😏
Donc ces amies, eh bien plutôt sympas et originales dans la majorité, tout ce que j'aime et c'est tant mieux. Il y en a que j'apprécie pas trop mais bon j'ai rien à leur reprocher de spécial, alors elles me parlent si elles ont envie hein.
Il y a une d'entre elles qui est lesbienne féministe radicale. Elle ne se définit pas comme tel, mais ce qu'elle dit correspond. C'est assez amusant, je trouve ça bizarrement sympa, quand elle me discrimine car je suis un garçon. C'est mieux ça que d'être considéré comme une fille ou discriminée en tant que fille. Quand ça arrive, bah je me sens vraiment garçon, et je me sens respecté (c'est contradictoire hein, je me fais discriminer, genre parce que je suis un garçon, cette chose négative). Je crois que c'est un peu en second degré qu'elle fait ça aussi, qu'elle le pense pas vraiment. C'est pour ça que je trouve que c'est sympathique et amusant. Et il n'y a rien de grave, donc ça renforce c'est impression. Je ne suis pas le genre de personne à me laisser faire, s'il y avait une raison je serais énervé.
Il y a une autre avec qui je m'entend super bien, on a plein de points communs. Cébi1.
Il y en a une qui me tape un peu sur les nerfs par son comportement, genre mettre 2 ans à te répondre, et aussi parce qu'elle est pas très fut fut je vais pas vous mentir. Mais bon elle a l'air de me considérer comme un ami, alors bon. Elle est pas méchante, elle le fait pas exprès. Mais moi je suis solitaire et j'ai pas de patiente, je préférerais clairement être seul.
Il y en a deux autres qui me parlent plus rarement. Au premier abord je n'ai pas vraiment d'affinité avec elles, et je n'ai pas apprécié l'un de leurs comportements dans les deux cas. Donc c'est pas des amies, des connaissances dans les deux sens je dirais.
Il y a une fille dans ma classe, j'ai l'impression qu'elle me déteste. Je l'ai remarqué par rapport à ses comportements vis à vis de moi, qui ont changé. Je la connaissais de la primaire, depuis c'est la première fois qu'on est dans la même classe. Je pensais qu'elle ferait parti de mes "amies", au début d'ailleurs ça allait dans ce sens mais son comportement a rapidement changé vers le négatif. Je ne comprend pas pourquoi, il ne s'est rien passé de spécial. Elle ne m'a rien dit à ce sujet, d'ailleurs elle me dit rien. J'ai tenté un interaction pour voir sa réaction, j'ai ramassé son écharpe qui était tombée, elle a juste dit merci et a continué sa route. Logik, mais c'était en mode ouais je suis sympa enfin montrer que j'ai pas de problème avec elle. Ça n'a rien changé. C'est un mystère, je comprend pas du tout. Je m'en fiche un peu. J'aime pas que les choses ne soient pas réglées mais bon, c'est elle qui a crée cette situation. J'ai laissé tomber. En plus elle s'est fait une couleur avec des reflets roux, c'est trop beau, elle est trop MIAM COMME ÇAEUH non j'ai rien dit c'était chelou.
Parfois je me dis que c'est fou que moi qui ne veut pas d'amis, ou pas trop, aie plein d'amis alors que des personnes timides qui en veulent sont seuls. C'est injuste, ça me fait un peu chier pour eux, mais je peux rien y faire.
Voila, une belle année à être emmerdé par deux profs et à emmerder mes "amies" à mon tour (oui car j'aime beaucoup embêter les filles héhé). C'est fou que ces filles continuent à me parler, enfin elles font ce qu'elles veulent.
#Je raconte ma vie#grandes vacances#vacances#vacances scolaires#année scolaire#scolaire#lycée#prof#profs#professeur#professeurs#amis#ami#amie#amies#bilan#bac#bac de français#ma vie
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Le diable est dans les détails
L’église catholique a longtemps eu droit de regard sur la vie des Québécois. Elle contrôlait le gouvernement, éduquait les enfants, soignait les malades et s’immisçait même dans les chambres à coucher d’un regard sévère et accusateur.
Ce n’est pas sans raison que le blasphème, les sacres, ce sont vite répandus afin de soulager un excès émotif.
Mais loin de se limiter au « caliss » et au « tabarnak », la langue québécoise regorge d’expressions au vocabulaire religieux. En plus du « rare comme de la marde de pape » que nous avons déjà abordé, voici quelques autres exemples:
Ambitionner su’l’pain béni
Abuser d’une situation avantageuse
Avoir du monde à la messe
Une foule, beaucoup de personnes
L’habit de fait pas le moine
Il ne faut pas se fier aux apparences
S’en aller chez le diable
Tomber en ruine, se détériorer, se diriger vers un échec.
(Ne pas confondre avec…)
Va donc chez le diable!
Va te faire foutre!
Se pogner le moine
Ne rien faire, perdre son temps
Accouche qu’on baptise
Dis tout de suite ce que tu as à dire
Pas le diable
(prononcé « pas l’yable »)
Pas beaucoup, presque rien.
Sentir le diable
Puer
Ça parle au diable!
C’est incroyable!
Le diable est aux vaches
(D’origine française, cette expression, désuète en France, est encore très utilisée au Québec.)
Plus rien ne va, c’est le bordel, le chaos
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I'm Glad My Mom Died, by Jennette McCurdy (January 2023)
Jennette McCurdy's memoir about her relationship with her mother, the impact she had on her both during her life and after her death, and the consequences of being a child actor.
Would I recommend it to anyone? Yes, but not to everyone because it's really "child abuse, addiction and eating disorders", The Book. So you have to make sure those aren't triggers for you before reading this book.
Level of (dis)satisfaction based on the summary and my expectations? I almost never read non-fiction, I'm trying to read more of it so I'm glad I liked this one.
My thoughts on it? I had heard several people say that the narration feels child-like at the beginning and that it was because Jennette McCurdy wrote from child-her's point of view, and I didn't really get what they meant. And then I read it and I understood. As an adult reader, I could understand things that 8-y.o-Jennette or 13-y.o-Jennette couldn't, I could see how toxic and abusive her mother's behavior was. And it was gut-wrenching.
It was a very interesting read on several levels, we see a bit of the reality of child actors, and I think that the people who watched Nikelodeon during the iCarly years etc will sse the show and Jennette in a new light. That said, I also know someone who couldn't finish the book because they were a fan of Jennette and reading it was breaking their heart.
Anyway, Jennette McCurdy is right to focus on writing now, she's talented (and it makes her happier).
btw, i think it's sad that the first thing the official summary says is “A heartbreaking and hilarious memoir by iCarly and Sam & Cat star Jennette McCurdy” while she clearly said she doesn't want to be remembered as Sam. i understand that it's for marketing reasons, but it's still sad
French version under the cut
Les mémoires de Jennette McCurdy sur sa relation avec sa mère, l'impacte qu'elle a eu sur elle de son vivant comme après sa mort, et les conséquences d'une carrière d'enfant star.
Est-ce que tu le conseillerais à quelqu’un ? Oui, mais pas à tout le monde parce que c’est vraiment “maltraitance d’enfant, addiction et troubles alimentaires”, Le Livre. Donc il faut s’assurer que ce sont pas des déclencheur avant de commencer le livre.
Niveau de déception/satisfaction par rapport au résumé et tes attentes ? Je lis quasiment pas de non-fiction, j’essaie dans lire plus donc je suis contente d’avoir aimé celui-là.
Avis sans spoiler ? J’avais entendu plusieurs personnes dire que la narration est un peu enfantine au début et que c’était parce que Jennette McCurdy écrivait de son point de vue en tant qu’enfant, et je comprenais pas trop ce que ces personnes voulaient dire. Puis j’ai lu le livre et j’ai compris. En tant que lectrice adulte, je comprenais des choses que Jennette-à-8-ans ou Jennette-à-13-ans ne comprenait pas, je voyais à quel point le comportement de sa mère était toxique et abusif. Et c’était vraiment déchirant.
C’est vraiment une lecture très intéressante à beaucoup de niveaux, on voit un peu la réalité des enfants star, et je pense que pour les personnes qui regardaient Nikelodeon à l’époque de iCarly etc vont voir la série et Jennette sous un nouveau jour. Après je connais aussi quelqu’un qui n’a pas réussi à finir le livre parce qu’iel était fan de Jennette et que ça lui brisait le cœur de le lire.
En tous cas, Jennette McCurdy a raison de se concentrer sur l’écriture maintenant parce qu’elle a vraiment du talent (et ça la rend plus heureuse).
d’ailleurs, je pense que c’est triste que le premier truc que le résumé officiel dise c’est “Un mémoire déchirant et hilarant par la star de iCarly et Sam & Cat, Jennette McCurdy” alors qu’elle dit clairement qu’elle veut pas qu’on se souvienne d’elle comme Sam. je comprends que c’est pour des raisons marketing mais c’est quand même triste
#i'm glad my mom died#jennette mccurdy#memoirs#celebrity books#celebrity memoirs#books#book recs#book reviews#booklr
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Addiction et drogues dures..
Le drame de la drogue ne se définit normalement pas seulement par la prise d'un produit interdit (ou plus... si affinités !), mais par un phénomène annexe, plus dramatique que le premier, qui se nomme ''l'addiction''. Ce mot anglais est passé dans le franglais actuel, préféré au mot français ''dépendance'' qui désigne pourtant ''une envie irrépressible et répétée de faire ou de consommer quelque chose en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire''. Etrangement, cette définition fait l'amalgame entre, par exemple, le sport ou la lecture... et le cannabis ou la cocaïne...
Mais comme rien n'est jamais simple, les champs d'application de la dépendance sont multiples, et on peut en trouver des manifestations là où, normalement, on devrait les attendre le moins. J'ai d'ailleurs découvert, récemment, un nouveau ''variant'' de cette nouvelle pandémie qui vous, qui nous concerne, tous ! (''Pandémie'' ? Pourquoi se gêner ? Nos gouvernants, du haut de leur immense ''perspica-cécité'', attribuent ce qualificatif à n'importe quel virus qui fait son métier de virus et n'est en rien responsable des folies commises en son nom sans la moindre raison objective. Je ne vois pas pourquoi moi, je devrais me montrer plus sage qu'eux !),
Nouveau virus, donc, et nouvelle ''pandémie'' (sic !), entraînant une nouvelle ''dépendance''... le sujet méritait bien un ''édito'', non ? Je ne vais donc pas vous laisser sur le gril plus longtemps, chers Amis-lecteurs, et je vais vous révéler le nom de la nouvelle coqueluche –addictive, elle-- de notre microcosme politique dont les membres sont soit pour soit contre, ou s'en foutent, ''comme d'hab''. Cette pandémie terrifiante a, comme les autres ou comme les ouragans, ces temps derniers, reçu un nom : elle s'appelle ''le 49-3'' et, comme disait la Fontaine dans ''Les animaux malades de la peste'', ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés... en tout cas tous ceux qui font partie de la phalange macronienne qui n'ont pas encore compris qu'ils n'avaient pas compris qu'ils n'avaient rien compris ! Je vous avais promis de vous en reparler, de ce 49-3 ? Promesse tenue.
Car où que l'on pose les yeux sur notre ''représentation nationale'', qui est de moins en moins l'une et plus du tout l'autre, on est sûr de croiser un ''49-3'' qui se cherche une piste d'atterrissage. ''Tiens, disent les anciens habitués de ce qui fut une démocratie... encore un 49-3 qui passe''... si vite qu'on l'aperçoit à peine ! Après tout, dit Théodecte (NB : c'est ''le Bavard'', dans les Caractères de la Bruyère), ce n'est que le 17 ème depuis qu'Elisabeth borne les ébats et les débats, mais tous les espoirs nous sont permis. Elle ne juge même plus utile de se déplacer (elle a d'ailleurs raté le dernier épisode, le 13 novembre dernier : elle avait un truc plus important à faire !). Et au fond, le précédent ne datait que de la semaine d'avant, et il ne faut pas abuser des bonnes choses (cette maîtrise dans l'exercice de son addiction sera portée à son crédit, le jour du jugement dernier, c'est sûr !).
Addiction, accoutumance... cette ''vapoteuse'' (donc ex-dépendante du tabac) devrait savoir de quoi elle parle : elle est ''accro'' à ne pas pouvoir se passer de son vice, même dans ''l'Hémicycle'', au point de se faire ''tancer'' comme une sale gosse qui met ses doigts dans son nez ! Il faut dire que, en plein milieu du ''mois sans tabac'', ça fait désordre ! Mais bon... on ne va pas en faire tout un plat : elle ne fume pas, vous a-t-on dit, puisqu'elle elle vapote. Et même, elle me manque pas de souffle : une bouffée... un 49-3... une bouffée... un 49-3... une bouffée... En la voyant tellement à son aise dans ses addictions, il m'arrive de regretter parfois de n'avoir jamais eu ce problème, n'ayant jamais réussi à fumer une seule cigarette... que dis-je !... à ''tirer une seule bouiffe'', malgré l'envie qui me taraudait souvent.
C'est que ''in illo tempore'' (je le dis en latin, parce que ça remonte à ''y a très longtemps'' !) en ce temps-là, donc, cette addiction (au tabac, bien sûr ! Pas au 49-3 –qui est une prérogative macronienne, à ce degré), était synonyme de vraie virilité. Dès la cinquième, les ''redoublants'', qui avaient déjà embrassé une fille, nous écrasaient de leur mépris hautain en tirant sur leur Camel ou leur Philip Morris... en adoptant la gestuelle de James Dean ou de Marlon Brando (c'était un temps où on osait être ce qu'on était, et où on n'intervertissait pas encore les rôles respectifs de la chevelure et du menton).
Question (à ce jour non résolue) : une goulée de 49-3 procurerait-elle la même impression de toute-puissance et d'invincibilité qu'une bouiffe de Gauloise dans les années '50 ? C'est en pensant à ça que j'ai été amené à me demander si le phénomène ''vote bloqué'' ne procurait pas, comme les autres moyens susceptibles de générer une ou des addictions, une impression de sécurité, de cylindrée virile, de toute puissance occulte... créant ainsi, insidieusement et odieusement, un besoin irré-quelque-chose-able-ou-ible d'addiction à cette addiction, une sorte de ''syndrome d'Obélix''. Car si tel était le cas, il serait peut être sage d'envisager la création d'un ''mois sans 49-3'' ?
En somme, ''cigarette, cannabis, ou 49-3,... même combat'' ! En cas de crise, de doute, de crainte... une aspiration de 49-3, et Hop ! on se sent comme Astérix lorsqu'il s'est tapé une gourde (mais non, je ne parle pas de Mme Borne ! Mais qu'alliez vous penser ? Vous devez être complotiste !) de potion magique. Le seul ennui, c'est que l'excès appelant la surenchère, on sait où ça commence, mais on ne sait pas où on finit... Imaginez que l'évolution de cette dépendance soit similaire à celle des autres addictions connues : Madame notre Premier Ministre aurait alors un besoin irrépressible de sa dose de 49-3 quotidienne, et elle sauterait allègrement par dessus tout vote ''normal'' dans l'Hémicycle transformé en ''lieu de deal'', avec des députés LFI dans le rôle des ''choufs''. Déjà qu'on vient de découvrir que, au Sénat, on ''deale'' l'extasy quand on veut entraîner une députée... à la chambre... Tous les désespoirs sont donc permis : ''Buvez donc ce breuvage, chère amie : j'y ai versé en douce une rasade de 49-3 !''
Allons ! Comme en toute chose, la solution n'est évidemment pas dans l'excès. Le plus sage, pour Mme Borne, aurait été de ne jamais commencer, mais maintenant qu'elle les a dépassées (les bornes, bien entendu !), le mal est fait, il ne reste plus qu'à appointer grassement un bon addictologue à l'Assemblée nationale et un autre à Matignon : dans les flots de la gabegie du ''quoi qu'il en coûte'', ça ne se verra même pas ! Et puis, mieux vaut ça, paraît-il, que l'addiction à d'autres drogues encore plus dures… qui durent. A quelque chose, notre malheur serait bon !
Cependant, vous allez voir les cataractes de 49-3 qui vont nous tomber sur la cafetière, avec le vote de l'inutile loi, néfaste et –ou ''parce que''?-- dite Darmanin, prétendument contre l'immigration... qu'elle va, de fait, mieux ''con-trô-ler'' –ce qui n'a jamais voulu dire ni ''ralentir''... ni ''arrêter'', comme il le faudrait. Nos nuls (je veux dire : les députés des partis qui se coalisent pour garder le pouvoir ''quoi qu'il nous en coûte'') appellent action leur inaction et croient que le salut de la Nation dépend du seul ''contrôle'' : plus il sera tatillon, plus les problèmes se résoudront d'eux-mêmes ! Ah ! Les cons ! Leur seule ambition est de défaire tout l'excellent travail qu'ont fait, sur ce texte, nos Sénateurs... On va comprendre notre douleur un peu plus tard, lorsqu'on constatera que l'immensité de l'addiction-dépendance de nos ''élus du peuple'' (lequel ? J'ai beau chercher...) à ce ''49-3'' de malheur nous a définitivement mis ''dans la gueule du loup'', avec ce loupé !
H-Cl.
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Au travers des sessions HEALTHY EXPERIENCES Il s’agit de comprendre l’importance de CHANGER DE PRISME par le mouvement corporel &respiratoire + le vocabulaire
💯 de vigilance VOCABULAIRE en mode sophro- logique:
Cesser de dire J´AI MAL au profit de JE VAIS MAL est d’un grand secours. C’est se donner les moyens de penser autrement pour se relier à la Vie ..c’est exercer la volonté de se redresser et de gagner en maturité en autonomie.
“Dans la vie il n’y a pas pire maladie que celle à laquelle on ne peut donner de sens”
“In life there is no worse disease than the one to which we cannot give meaning"
Oui je pose ça en anglais car c’est parfois plus parlant…
Il s’agit d’ explorer beaucoup et d’ouvrir sa manière de concevoir les maladies. De s’interroger beaucoup et de mobiliser ses propres ressources..de donner du sens et de se questionner sans retomber dans un mécanisme. Trop de haut diplôme.es en sciences pullulent de partout et nient complètement la complexité et la richesse des expériences de l’humain.
L’erreur serait de continuer à concevoir qu’1 seule technique ou 1 seul médicament peut resolver 1 problème ou 1 maladie.
Un problème ou une maladie c’est souvent multi factorielle et j’ai toujours trouvé important d’élargir mes propositions et mes partenariats pour éviter les dérives.
Chaque HEALTHY EXPERIENCE que je propose sera toujours un cheminement afin que l’individu s’oriente par rapport à lui-même. Mes principes s’articulent autour et à partir de ce que l’on m’énonce et de se que je détecte..( visible invisible dit et non-dit) d’où mon expression de spirale dynamique mise en actions qui favorisent l’autonomie de guérison de chaque individu.
Normalement 1 accompagnement ou coaching permet le changement de prisme. Pour éviter d’être abusé.e il me semble nécessaire d’ajouter qu’il faut:
1/ Reconnaître qu’on ne peut pas résoudre un problème et sa guérison avec une seule technique et un seul médicament
2/ Se fier à son corps physique et à l’état de sa psyché pour éviter les prises de pouvoir abusives et les états de culpabilité.
3/ L’anamnese la recherche et le positionnement que l’on se doit d’avoir face au soignant réclame une maturité de chacun des protagonistes ( il est fondamental de ne pas se sentir infantilisé)par “son coach” … “son doc”
4/ Revoir avec honnêteté la vraie définition du mot charlatan (pour les identifier et s’en éloigner )
Charlatan définition: Personnalité qui affirme que vos manifestations sont des symptômes corporelles et ou psychiques et ou psychologiques et que ceux-ci ne peuvent être résolues que par sa technique et son savoir.
5/ Considérer que très souvent le diagnostic de départ dépend de l’état d’esprit ( le votre et celui de l’intervenant)
Ex:👉🏽 connaissez-vous l’histoire de l’oncologue et de sa patiente? Le jour J de la découverte de sa totale rémission Mme x lors de son rdv médical vient pour dire merci et au revoir à son médecin spécialisé en oncologie qui lui dit: « Oui ça a bien marché mais vu que votre cancer va revenir je vais vous prescrire un médicament » la patiente c’est retrouvée prise dans un tel choc qu’elle a développer une pneumonie dès le lendemain ..son médecin généraliste très fâché a appelé son confrère …le spécialiste en oncologie se justifia en expliquant qu’il venait de perdre sa femme d’un cancer du sein ..fin. Mais vous voyez l’affaire!? L’état d’esprit de lors d’un rdv est déterminant..donc à chacun d’en être conscient en mode “ RIEN N’EST FIGÉ “…je pense d’ailleurs que ce spécialiste n’a plus jamais dit ça!
6/ Il est important de ne pas reproduire une causalité mécanique 👉🏽 20 personnes ont mal au genoux et 1 solution identique??! Faut arrêter ça…
Non ..halte aux fidélités inconscientes et infantilisantes sachez que l’héritage du vivant est réversible
On peut se libérer des schémas qui manipulent et impactent les générations suivantes.
7/ Notre épigénie est très dynamique et donc il n’y a pas qu’une seule réplique sensible face à la diversité de nos environnements !..hormones comprises (pour l’environnement corporel )
Lors de mes sessions vous découvrirez donc des pratiques encourageantes pour:
S’autotransformer et se réhumaniser ( MDR…j’ ose c’est hyperbien en place ici 😅)
Souvent en supplément vous gagnerez 👉🏽une santé spirituelle comme repulpée dès que la ou les fausses identités ( fausse.s idée.s) sont déboulonnées le paradoxe c’est que l’on révèle un état d’être meilleur et plus enclin à l’autonomie ds tous les domaines de sa vie.
You can join me on insta @lisaesta8💋
#level up#healthylifehealthymind#coaching#wellness#quote#autonomie#harmonisation#energetic#in corpore sano#pilates#massagetherapy#sophrologie
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Vous m’en direz des nouvelles !
À relire la Bible d’un œil mi-sérieux mi-sourire, on peut s’imaginer que le premier humain, ou plutôt la première humaine, qui utilisa cette expression, fut notre ancêtre à tous et à toutes, une nommée Ève. C’est elle en effet qui cueillit le fruit défendu et en parla à son compagnon Adam en lui tenant à peu près ce langage : « Goûtez-moi ça, mon ami, vous m’en direz des nouvelles! » (On voit par là qu’elle ne tutoyait pas Adam, car elle venait de faire sa connaissance et au début, on ne sait pas encore si ce sera du sérieux. D’autant qu’elle n’avait pas eu le choix, car à l’époque les hommes ne couraient pas les allées de l’Éden, Adam étant le seul de ce sexe.) Voyant que le fruit était appétissant, ce dernier croqua donc la pomme, mais déjà la première bouchée lui resta en travers de la gorge. (C’est à cause de l’organe qu’on appelle depuis lors la pomme d’Adam.) Les nouvelles n’étaient donc pas bonnes, mais elles allaient déjà vite, d’autant qu’un ange délateur avait noté l’infraction sur son calepin et en avait dressé procès-verbal en très haut lieu. Pour se défausser, Adam accusa Ève de l’avoir incité à la consommation prohibée. À l’entendre, il avait simplement voulu honorer le dicton « Ce que femme veut, Dieu le veut ! ». Or justement, et ce fut bien sa veine, ce jour-là, ce que femme voulut, Dieu ne le voulut point. Ève accusa à son tour le serpent de l’avoir séduite avec des sornettes – un serpent à sornettes, comme de bien entendu ! Dès lors Jahvé, car c’est ainsi que Dieu s’appelait en ces jours-là, décida de punir à la fois l’ophidien et nos premiers parents, celui-là en l’obligeant à se déplacer sur le ventre, ceux-ci à travailler à la sueur de leur front et à engendrer dans la douleur.
Vu ce début catastrophique, l’humanité aurait dû retenir la leçon en proscrivant tout bonnement l’expression. Mais le pli était pris, un faux pli bien sûr, dont aucun fer à repasser ne viendrait à bout. Ainsi, quand Ésaü rentra des champs tenaillé par une faim de loup, son frérot Jacob lui présenta, paraît-il, un bol de lentilles en lui disant : « Mange ça, mon vieux, tu m’en diras des nouvelles! » Or, sitôt avalé son plat préféré, Ésaü s’aperçut que les nouvelles étaient mauvaises. Car en avalant tout son content, il avait en même temps mangé son droit d’aînesse, c’est-à-dire celui de succéder à son père Israël et de devenir à son tour patriarche, avec tous les privilèges, héritages et honneurs dus à ce rang. À d’autres occasions encore, tout au long de l’Histoire sainte, des rois, des juges ou des prophètes offrent à boire ou à manger à des hôtes, si bien que le lecteur n’a aucune peine à imaginer qu’ils le font en usant et en abusant de cette formule. Même dans le Nouveau Testament on trouve des passages qui y font spontanément penser, sans qu’on veuille pousser au blasphème. Ainsi quand Jésus parle à la Samaritaine d’une eau qu’il suffit de boire pour ne plus jamais avoir soif, peut-on évoquer un tel breuvage et l’offrir à son interlocuteur sans ajouter : vous m’en direz des nouvelles?
Mais ces temps bénits ne sont plus. On est passé de l’eau de la vie éternelle à l’eau de vie tout court. À preuve, tel lointain cousin, que vous ne voyez qu’une fois par an – et encore, les années fastes ! – vous entraîne dans sa cave, où sont entassés des fagots. De derrière ces fagots, il sort une bouteille dont le contenu le fait sourire d’un œil malicieux et pour cause : ce liquide transparent est de sa propre distillation. C’est une eau de vie de mirabelles ou de quetsches titrant 45°, à laquelle vous n’échapperez pas. Vous avez beau l’adjurer que vous ne tenez pas l’alcool, que vous avez encore une longue route à faire et qu’entre boire et conduire, il faut choisir, il vous répliquera qu’on ne videra pas la bouteille, bien sûr, mais un petit verre, rien que pour le goût, ça n’a jamais fait de mal à personne ! « Viens t’asseoir au coin du feu et goûte-moi ce nectar, mon vieux, tu m’en diras des nouvelles! » Bien que votre for intérieur ne pense qu’au refus, vous poussez la politesse jusqu’à dire que « c’est pas de refus ». Vous levez le petit verre ad hoc, trinquez à la santé de la cantonade et laissez une petite gorgée vous brûler le palais, puis l’œsophage, enfin un coin d’estomac où une bataille se déclenche illico entre le jus de l’alambic et les acides gastriques.
Un autre jour c’est une vieille tante célibataire qui vous accueille dans sa cuisine tout emplie d’odeurs du même nom. En se penchant sur une marmite bouillonnante, elle vous jette un œil scrutateur et vous trouve une petite mine. Et de vous interroger : « Que fait ta femme ? Dans la direction d’une grande banque ? Oui, mais comme cuisine, comme nourriture, qu’est-ce qu’elle fait ? Du « light » pour le régime ? Mon Dieu, mais qu’est-ce qu’elles ont toutes de nos jours avec leur jus de carottes et leur brin de persil ? Ce qu’il te faut, c’est du solide, mon garçon, du costaud, du roboratif ! » Et ça tombe bien : elle a préparé du bœuf miroton. Elle est aux petits oignons à la fois avec vous et avec le plat qu’elle mitonne. De celui-ci elle coupera tout à l’heure une belle tranche bien trempée dans la sauce – également aux petits oignons – en pronostiquant : tu m’en diras des nouvelles !
Ce qu’il y a de navrant dans l’expression, c’est qu’elle présuppose une suite résolument favorable, à laquelle l’interlocuteur poli n’a aucun moyen de se soustraire. En effet, à moins d’insulter les convenances, jamais il ne pourra exprimer une réserve, encore moins une critique. Quant à dire qu’il a trouvé cela « carrément dégueulasse », même et surtout si c’est le fond de sa pensée, voilà qui est tout à fait inconcevable. Bref, les nouvelles qu’il en rapportera ne pourront être que bonnes, voire excellentes ! Au point que même un silence poli ou une abstention ne fera pas l’affaire. Quand on vous promet que vous en direz des nouvelles, on ne saurait se contenter d’un hochement de tête ou d’un accord tacite. On attend au contraire des propos élogieux accompagnés d’ovations nourries. Rien à voir avec les nouvelles que votre facteur vous apporte. Celles-ci sont tantôt bonnes, tantôt des feuilles d’impôts ou des faire-part de deuil. Or, les nouvelles dont il s’agit ici échappent à cette règle : dès que vous êtes incité à les exprimer, elles ne sauraient être que prometteuses, regorgeant de vertus insoupçonnées.
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Le coup d’archet vainqueur de Freud fut d’avoir rouvert la jonction entre vérité et savoir, l’inconscient étant ce savoir insu du sujet d’où provient toute véritable révolution, à savoir celle du sujet sur lui-même.
Il est rigoureusement impossible de sortir du capitalisme, sans avoir au préalable opéré, en tant que sujet, sa propre sortie du Discours Capitaliste, le terme de "discours" étant à prendre dans son acception stricte lacanienne.
Encore aura-t-il fallu admette pour cela que ce n’est pas le sujet qui fait le discours mais bien le discours, qui fait le sujet, et qu’il y est "fait comme un rat".
Pour se libérer du capitalisme, il ne suffit pas de s’y opposer, se poser en s’opposant renforce ce à quoi on s’oppose, rien ne se passera réellement pour le sujet du Discours Capitaliste sans une acceptation de perdre quelque chose de soi-même, quelque chose qui touche directement à son identité...
Il y en a qui voudraient "changer le monde" sans vouloir changer quoi que ce soit à la position subjective depuis laquelle ils voudraient voir "changer le monde".
Mais comme disait Robespierre, il ne saurait exister de "révolution sans révolution", le sujet désirant accomplir un véritable changement doit être prêt à payer le prix pour ce changement, à savoir appliquer d'abord sur lui-même un changement, ou pour reprendre la formule de Gandhi, être lui-même le changement qu'il voudrait voir s'accomplir dans le monde.
Sortir du capitalisme, présuppose toujours déjà d’avoir extirpé le capitalisme hors de soi, avoir fait faire la révolution de son sujet, c’est à dire être revenu, en tant qu’énonciation, sur chacun de ses énoncés.
Lacan appelait ça la voie de la sainteté, en référant au génial Baltasar Graciàn, seul selon lui à donner au mot «saint» exacte la même acception qu’il avait en ancien chinois...
«Je n’ai pas pris au sérieux cette question que je n’ai interprétée, comme vous le voyez, que comme un déplacement, ou peut-être une façon d’éviter de ma part la question : "Enfin, à quoi est-ce que tout cela sert?"
Pas que je dise que le capitalisme ne serve à rien. Non. Le capitalisme sert justement à quelque chose et nous ne devrions pas l’oublier.
C’est les choses qu’il fait qui ne servent à rien.
Mais ça c’est une toute autre affaire.
C’est justement son problème.
Enfin, ce sur quoi il s’appuie, et c’est une grande force, devrait s’éclairer.
Elle joue dans le même sens que celui que je vous disais tout à l’heure, elle va contre le pouvoir.
Elle est d’une autre nature.
Et elle donne au pouvoir de grands embarras.
Là aussi, c’est évidemment nachträglich; c’est après coup qu’il faut voir le sens de ce qui se passe.
Le capitalisme a tout à fait changé les habitudes du pouvoir.
Elles sont peut-être devenues plus abusives, mais, enfin, elles sont changées.
Le capitalisme a introduit ceci, qu’on n’avait jamais vu, ce qu’on appelle le pouvoir libéral.
Il y a des choses très simples dont, après tout, je ne peux parler que d’expérience très personnelle.
Observez ceci: de mémoire d’historien on n’a jamais entendu parler d’organe de gouvernement qu’on quitte en donnant sa démission.
Là où des pouvoirs authentiques, sérieux, subsistants, existent, on ne donne pas sa démission, parce que c’est très grave comme conséquence.
Ou alors c’est une simple façon de s’exprimer, on donne sa démission, mais on vous abat à la sortie.
J’appelle ça des endroits où le pouvoir est sérieux.
L’idée de considérer comme un progrès, et encore libéral, les institutions où, quand quelqu’un a bien saboté tout ce qu’il avait à faire pendant trois ou six mois et s’est révélé un incapable, il n’a qu’à donner sa démission et il ne lui arrive rien; au contraire, on lui dit d’attendre pour qu’il revienne la prochaine fois; ça veut quand même dire quoi?
On n’a jamais vu ça à Rome, enfin!
Aux endroits où c’était sérieux!
On n’a jamais vu un consul donner sa démission, ni un tribun du peuple!
C’est, à proprement parler, inimaginable.
Ça veut simplement dire que le pouvoir est ailleurs.
Il est évident — tout le XIXe siècle l’éclaire — que si les choses se déroulent par cette fonction de la démission, c’est que le pouvoir est dans d’autres mains.
Je parle du pouvoir positif.
L’intérêt, le seul, de la révolution communiste, je parle de la révolution russe, est d’avoir restitué les fonctions du pouvoir.
Seulement on voit que ce n’est pas commode à tenir, justement parce que dans le temps où c’est le capitalisme qui règne, le capitalisme règne parce qu’il est étroitement conjoint avec cette montée de la fonction de la science.
Seulement même ce pouvoir, ce pouvoir camouflé, ce pouvoir secret et, il faut bien le dire, aussi anarchique, je veux dire divisé contre lui-même, et ceci sans aucun doute de par son appareillement avec cette montée de la science, il en est aussi embarrassé qu’un poisson d’une pomme maintenant, parce qu’il se passe quand même, du côté de la science, quelque chose qui dépasse ses capacités de maîtrise.
Alors ce qu’il faudrait c’est qu’il y ait au moins un certain nombre de petites têtes qui n’oublient pas ceci, c’est qu’une certaine association permanente est vaine, de la contestation avec des initiatives non contrôlées dans le sens de la révolution.
Eh bien! c’est encore ce qui dans le système, le système capitaliste, peut le mieux le servir.»(JL)
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TW : Relations abusives et violences domestiques Ces derniers temps je vois passer pas mal de reviews sur les livres de Colleen Hoover (que j'ai honnêtement découverte via ces reviews, je savais même pas qu'elle était autant à la mode mdrrr), et plus ça va, plus y'aurait des parallèles à faire avec la première saison d'Eldarya.
Alors disclaimer j'ai jamais lu Colleen Hoover mais après avoir vu des reviews détaillées de 3h remplies d'extraits des livres je pense pouvoir dire sans sourciller que je vois à peu près de quoi on parle lol
Et j'ai parlé d'Eldarya mais en vrai ça rentre dans la dynamique globale de relations présentées comme romantiques mais qui sont bourrées de red flags, à la Twilight ou Fifty Shades of Grey, et qui sont malheureusement très populaires, surtout auprès d'un public jeune et influençable (je dis pas ça de façon péjorative, c'est juste normal, quand on est plus jeune on est plus réceptif-ve à des trucs auxquels on prêterait même pas attention avec un peu plus d'expérience).
Et j'avais pas forcément fait le lien avec The Origins, mais quand on se rappelle que cette histoire rentre totalement dans cette mode de faire passer pour de la romance des relations pleines d'abus et de violence, finalement je m'étonne moins des réactions outrancières qu'on avait eues à l'époque. Ca veut pas dire qu'elles sont moins outrancières, ça veut juste dire que je réalise qu'elles s'inscrivent dans un phénomène de romantisation des violences domestiques à travers la fiction, dont les emblèmes ont évolué ces 15 dernières années, passant de Twilight à Fifty Shades à Hoover aujourd'hui (entre autres, mais je suis pas trop l'actu littéraire).
Concernant le fait que Colleen Hoover est passée maîtresse dans l'art de cette romantisation des relations abusives, je vous recommande du coup >cette critique< de It Ends With Us (Jamais Plus en français), où le perso masculin est censé être dépeint comme un auteur de violences domestiques, mais où au final, il n'est pas très différent des autres protagonistes de l'autrice, juste celui-là est censé être perçu comme violent, mais comme c'est un bg et que c'est le héros, l'autrice et ses personnages se donnent toutes les peines du monde à lui trouver des excuses. Bien sûr, attention, la vidéaste discute de ces sujets graves et partage son expérience sur le sujet.
Pour en revenir à Eldarya, pour les gens qui sont arrivé-e-s plus tardivement et/ou n'ayant pas joué à The Origins, peut-être n'avez vous jamais entendu parler de l'affaire de la potion, de l'épisode mauuuudit, j'ai nommé l'épisode 13 de la première saison :') Il s'agit de la potion mentionnée plusieurs fois au cours de A New Era, qui, après avoir été bue par Erika, a fait en sorte que toute personne ayant connu cette dernière sur Terre est censée l'avoir oubliée (c'était fort mal foutu mais passons). Et au cours de ce fameux épisode 13, après qu'on apprend que des mercenaires ont foutu le zbeul au temple fenghuang pour retrouver Erika et dont on n'entendra plus jamais parler après (non c'était pas des soldats de Papounet il a découvert Eldarya qu'après la prise de la potion), Miiko dit à Erika qu'ils vont lui faire boire une potion qui la rendra indétectable par les mecs qui la cherchent, quelque chose comme ça. Mais pour que ça marche, il faut qu'elle la fasse elle-même, aidée par l'un des trois chefs de garde. La romance piétinait déjà, on était à l'épisode 13 et il se passait rien, évidemment que le but était de choisir son CDC (Leiftan n'en était pas encore un). Et au moment de prendre la potion, après un indice d'Ashkore/Lance sur la véritable nature du breuvage, Erika ne veut plus la boire. Et là, après une tentative du CDC pour nous convaincre, on se retrouve face à un choix : soit on boit volontairement la potion, soit on la refuse. Si on la boit, il ne se passe rien, à part la tristesse d'Erika et l'encadré nous signifiant qu'on a raté l'illu, mais si on refuse, CDC met la potion dans sa bouche et plaque ses lèvres contre celles d'Erika, la forçant à ouvrir la bouche pour y transvaser la potion et l'obliger à la boire.
Là, si vous êtes doté-e d'un minimum d'empathie et de bon sens et que vous avez pas été trop matrixé-e par la culture du viol, vous vous rendrez très vite compte qu'il y a un problème. Seulement à l'époque, c'est parti en steak, entre les gens choqués que ce qui constitue légalement une agression sexuelle soit présenté comme un acte romantique récompensé par l'illustration de l'épisode, les gens qui chialent que "oh là là les râleuses féminiss qui gâchent tout c'est qu'un jeu/de la fiction lâchez-nous", les modos qui lâchent le mot "diffamation" quand on dit que c'est irresponsable de laisser une scène comme ça alors qu'elles savaient visiblement pas ce que "diffamation" voulait dire, et l'équipe qui a fait la sourde oreille jusqu'à ce qu'on fasse la révolution après l'épisode 14 juste pour dire "dsl que ces derniers épisodes vous plaisent pas mais on peut rien y faire c'est écrit à l'avance mais on va engager des bêta-readers et aussi arrêtez de débattre sur le forum un forum c'est pas fait pour ça lol"
(Wé j'ai toujours de grosses rancœurs sur le fonctionnement du forum mais c'est un autre débat.)
Bref, les discours habituels de "c'est de la fiction/c'est qu'un jeu" alors qu'on parle d'une situation vécue par des dizaines et des dizaines de femmes qui voient leurs sentiments et douleurs minimisés à coups d'arguments toujours bidons, non désolée ça passe pas pour moi. Parce qu'en plus, parmi les commentaires, j'en ai vus qui disaient, "moi ça me dérangerait pas de me faire embrasser de force par un beau garçon !", dits par des jeunes filles, et je trouve ça terrifiant. Parce que si ça devait leur arriver un jour en vrai (et je ne leur souhaite évidemment pas), alors ça veut dire qu'elles n'auraient pas les clés pour comprendre pourquoi en fait si, ça les dérange d'avoir subi ça, et elles culpabiliseraient, pendant que d'autres personnes leur diraient, "de quoi tu te plains, c'est un beau garçon/c'est ton copain/tu l'avais cherché" etc.
Et bien sûr le même genre de débat a ressurgi avec Leiftan après son spin-off, puis avec Lance après l'épisode 26, où le scénario a tenté le fanservice pour les gens qui voulaient le romancer depuis le début, sauf qu'entre temps il est devenu un méchant très méchant qui exerce de la violence physique et psychologique sur Erika, et à aucun moment, mais genre aucun moment, on n'en reparlera après...
Je compte plus les messages désobligeants que j'avais pu lire après le retour de Lance en saison 2 en réponses aux personnes mal à l'aise avec la possibilité de l'avoir en CDC, allant du classique "roh là là c'est qu'un jeu si vous êtes pas contentes cassez-vous" à la provocation "moi j'aime bien Lance mais j'aime surtout le dire pour emmerder celles qui l'aiment pas hihi"
Je l'ai dit et je le redis et le redirai encore, je m'en fous que des personnes adorent Lance et le romancent, je m'en fous que des personnes adorent lire Colleen Hoover, Twilight ou 50 Shades, ce que j'aimerais c'est que ce soit en connaissance de cause, en ayant conscience que ce ne sont pas des relations qui doivent être présentées comme saines, qui doivent être critiquées comme toute oeuvre peut et doit être critiquée même si on l'adore, et j'aimerais aussi qu'à défaut y'en ait qui s'achètent un minimum de décence et d'empathie pour les gens qui n'ont pas la même expérience de vie qu'eux.
Bref c'était censé être quelques réflexions comme ça au débotté après avoir vu une vidéo qui m'y a fait penser, au lieu de ça ça traîne dans mes brouillons depuis 3 semaines et ça fait encore 10 km de long dsl mdr
#eldarya#eldarya the origins#leiftan#eldarya lance#mes avis#a new era à part pour le retour de lance c'était déjà moins cringe#peut-être parce que qu'écrit par un homme qui aurait dit qu'il était pas intéressé par l'écriture de la romance#mais ptn le coup de la potion quelle époque
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Redbubble abuse ... 😡
Il y a quelques mois, je vous ai dit que j'avais une boutique Redbubble que je souhaitais dépoussiérer. Je n'ai pas pu proposer de nouveaux contenus faute de temps et il semblerait que l'aventure Redbubble soit définitivement terminée ! J'ai reçu un email m'indiquant la suspension de mon compte.
Je n'ai aucune idée de pourquoi mon compte a été suspendu car ils se gardent bien de te dire quoi que ce soit. Même lors de la procédure de récupération de compte, ils précisent que ma requête peut ne pas être examinée du tout.
Mon mood à ce moment là :
En gros, leur algorithme bloque des comptes de façon aléatoire (j'ai vu sur Twitter que je n'étais pas la seule !), Redbubble ne prend pas la peine de répondre aux artistes et je peux m'asseoir sur l'argent qu'ils doivent me verser sur mes précédentes ventes (moins de 20€ me concernant ... mais imaginez pour d'autres artistes plus actifs qui misent gros sur Redbubble...)
Bref, j'ai vraiment peu d'espoir de récupérer mon compte ... J'envisage de reconvertir certains dessins en coloriages sur Etsy ou de faire des décorations print ... mais pas dans l'immédiat car j'ai trop de projets en cours ... genre vraiment trop !
#cyrielleshop redbubble#redbubble account#redbubble artist#redbubble#suspended account#no reason#wtf
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