#mais faut pas abuser
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Depuis quelques jours je vois sur TikTok fleurir des vidéos de personnes qui décident de faire un régime sans sucres et qui expliquent le plus sérieusement du monde que même les fruits sont à proscrire de notre alimentation car il y a du sucre dedans et j'étais là en mode mais quel est donc ce ramassis de conneries qui vise à culpabiliser les gens et leur implanter des idées à la con dans la tête puis j'ai eu une révélation : on est le week-end de Pâques, donc des chocolats, et quelle merveilleuse idée que de faire culpabiliser les gens
#ptn mais les gens me fatiguent#effectivement le sucre transformé c'est caca boudin#mais le sucre autrement c'est plutôt ok#c'est même nécessaire#laissons les gens tranquilles svp#faire de la sensibilisation c'est une très bonne chose#mais faut pas abuser
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Je viens de recevoir un mail au sujet de mon assurance habitation et le mail commence comme ça s'il vous plaît :
Avec mon prénom !!!! Le respect est mort ???
Non, non, vous vous êtes trompés de touche sur votre clavier, je pense que vous vouliez écrire "votre contrat d'assurance" !! Je l'ai déja dit et je me repète mais je ne SUPPORTE pas qu'on me tutoie dans des mails comme ça, je suis pas votre pote, donc il n'y a pas de "Salut" et d'émojis........ ***ANGRY FRENCH NOISES****
Notes : je viens de + verbe : I just verb+ed recevoir un mail : to receive an email au sujet de : regarding assurance habitation : home insurance contrat d'assurance : insurance contract supporter quelque chose : to bear/tolerate sth tutoyer : to use "tu" (vs vouvoyer : to use "vous") un/une pote : a buddy
#frenchblr#c'est surement ce qui arrive quand tu prends l'assurance la moins chère sur le marché mais bon faut pas abuser non plus
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Comment écrire un lieu pour votre JDR ?
Une phase importante, et pour certains fastidieuse, de l’écriture de JDR est de remplir l’univers. Certains font ça tout en improvisation, et je les admire (de loin, ils me font peur), mais d’autres comme moi ont besoin de préparer les choses. Je vous ai suggéré dans un article précédent quelques méthodes pour créer des PNJ, je vous propose de partager ici quelques unes de mes techniques pour écrire des lieux, au cas où cela vous serait utile.
Avant même de commencer à vous pencher sur vos lieux individuellement, une astuce que j’apprécie particulièrement et qui est très utile pour aider l’immersion des joueuses et joueurs, ainsi que pour donner une cohérence à votre univers, est celle de la régionalisation. Cela consiste à découper votre univers en zones (cela peut être un comté, un quartier de ville, ou en quittant la géographie une période historique ou un groupe sociologique) et à lui définir quelques caractéristiques mineures. Par exemple, les maisons de telle zone sont construites dans une pierre locale aux tons ocres, des petites fleurs bleu pâle poussent dans telle région, les architectes de telle époque plaçaient toujours la cuisine à gauche en entrant ou tel peuple utilise des meubles dans un style reconnaissable.
Ce ne sont que des éléments purement cosmétiques mais qui d’une part réuniront vos lieux au sein d’un même monde ; et d’autre part vous permettront de remplir à peu de frais vos descriptions d’une façon crédible.
Une fois la question de la régionalisation vue, passons à nos lieux de façon individuelle. La première chose à faire est de déterminer à quoi sert votre lieu, afin de le ranger dans l’une de ces trois grandes catégories : le lieu de passage, le lieu de quête et le lieu récurrent.
Le lieu de passage est un simple décor pour une scène ponctuelle, par exemple une boutique ou un campement. Pour ce type de lieu vous devez vous concentrer sur son atmosphère. Il est important de pouvoir les décrire à vos joueuses et joueurs afin qu’ils puissent s’y immerger, mais il ne faut pas s’attarder dessus, sans quoi cela pourrait les distraire de la scène en cours. Je vais donc vous donner un conseil qui ferait criser de nombreux profs de littérature : utilisez des clichés. Vous voulez évoquer une ambiance en quelques mots ? Sortez des expressions toutes faites de votre sac. Pourquoi décrire tout un front de mer quand “plage paradisiaque avec des cocotiers” existe ? Ou “Crypte poussiéreuse” ? Ou “Ruelle coupe-gorge” ? Et il ne vous reste plus qu’à saupoudrer un petit peu de votre localisation, et cela en fera malgré tout un lieu unique !
Je vous dirais bien de ne pas trop abuser des clichés non plus, mais… plus largement, n’abusez pas des lieux de passage. Sans quoi votre univers deviendrait très générique et sans personnalité.
À présent, voyons le lieu de quête. Il s’agit d’un endroit où aura lieu une épreuve (énigme, confrontation avec un PNJ, combat, voire même un donjon complet). Contrairement au lieu de passage, votre objectif ici n’est pas l’atmosphère, mais le gameplay. Vous devez d’abord vous concentrer sur ce qui va servir l’épreuve, et seulement ensuite vous pourrez meubler autour. Est-ce que vos PJ évolueront sur des passerelles au-dessus d’un gouffre ? Est-ce qu’il y a des lacs d’acide autour d’eux ? Est-ce que des rochers volent dans les airs ? Ce sont là les aspects les plus importants de votre décor.
Une fois que vous avez vos éléments de gameplay, l’astuce afin de ne pas sortir les joueuses et joueurs de leur immersion est de les rendre cohérents. Pourquoi est-ce que ce lieu a été construit ainsi ? Est-ce qu’il est réaliste pour la fonction qu’il occupe ? Comment est-ce que ça fonctionne ? Vous n’avez en pratique besoin que de répondre à un niveau de précision, ce sera suffisant pour l’immersion. Les passerelles au-dessus du gouffre peuvent s’user rapidement et être difficiles à réparer et leur grand nombre permet de pourvoir à une casse, dans ce cas elles sont à différents niveaux d’usure. Les lacs d’acide peuvent être des sources naturelles, et du matériel de prélèvement peut être trouvé, cet acide se vendant bien sur le marché. Les rochers volants peuvent tous avoir des champignons phosphorescents poussant sur le dessous, qui leur donnent cet effet d’antigravité… non seulement cela donnera de la profondeur à votre univers, mais qui plus est cela peut donner des idées à vos PJ pour exploiter l’environnement et, au final, jouer avec votre monde au lieu de simplement le traverser. Une petite pincée de régionalisation par dessus, et vous êtes bons !
Un dernier petit conseil relatif aux donjons : si vous n’utilisez pas un système avec une battlemap couvrant l’ensemble du donjon… alors vous n’avez pas besoin d’en faire le plan ! Cela risque uniquement de rallonger votre phase d’exploration sans rien apporter à l’expérience de jeu. Il peut être plus pratique de faire un simple logigramme, avec un bloc pour chacune de vos pièces et des traits pour indiquer lesquelles communiquent. Cela vous permettra également de rendre votre donjon modulaire et de l’adapter aux choix de vos PJ (et éviter qu’ils aient à revenir en arrière s’ils ont oublié une porte), l’objectif restant qu’ils s’amusent, et pas de les perdre ou de leur faire perdre du temps.
Enfin, la dernière catégorie, le lieu récurrent. Il s’agit d’endroits où les PJ peuvent être amenés à revenir, pour revoir certains PNJ par exemple, ou parce que de nombreux points clefs du scénario s’y déroulent. Le plus important dans ce type de lieu est d’être reconnaissable, et que son souvenir soit vivace.
Ce sont ces lieux là que vous devrez le plus ciseler, parce qu’ils doivent être remarquables et que ce sont eux qui donneront son identité à votre monde. La première fois que vos PJ y pénètrent, la description doit être suffisamment longue et étoffée pour qu’ils comprennent que l’endroit est important. Outre la (désormais traditionnelle) régionalisation, il est important que chacun de ces lieux ait au moins un élément qui sorte de l’ordinaire. Une taverne peut être décorée d’une tête de cerf mal empaillée. Un château peut être taillé d’un bloc dans un immense cristal. Une gare peut avoir sur sa façade une horloge monumentale. Quoi qu’il en soit, cet élément doit être abondamment décrit : de cette façon, à chaque fois que les PJ reviennent dans ce lieu, l’évocation de cet élément caractéristique fait ressurgir l’ensemble de l’endroit.
De plus, si vous faites une campagne, certains de ces lieux récurrents doivent pouvoir évoluer. Prévoyez des éléments, cosmétiques ou même fonctionnels, qui peuvent changer selon les actions et les choix des PJ. Une fenêtre peut être intacte au début, cassée lors d’une scène, et être comblée avec du papier journal par la suite. Un bâtiment peut être partiellement détruit et la scène suivante se fera dans ses ruines (est-ce que l’élément caractéristique est toujours intact, ou est-ce que lui aussi a été impacté ? A vous de voir !). La charge émotionnelle du lieu en sera renforcée.
Enfin, un dernier conseil valable pour tous ces lieux : ajoutez-vous en en-tête de votre fiche un à trois adjectifs qui décrivent l’ambiance de ce lieu. Vous pourrez vous y référer pour toute improvisation, mais aussi pour le ton de voix à prendre pour lire vos descriptions.
Voilà, j’espère que ces astuces vous seront utiles, ou au moins plaisantes à lire ! N'hésitez pas à partager vos propres astuces en commentaire. Je reviendrai plus tard pour d’autres articles, alors restez connectés !
Index
#jdr#jeu de rôles#role playing game#role playing games#rpg#écriture#conseils#littérature#scénario#lieux#mj#maître de jeu#lieu#contes du gris#chacaille#scalecat#tales of the grey
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Coucou mes petites fleurs 🌸
On vient de me recommander un jeu qui m’a l’air de prime abord super intéressant!
Il s’agit de Words of Wonders.
J’aime bien les petits jeux qui font travailler notre cerveau, nos capacités cognitives mais de manière générale, je déteste les jeux sur mobile trop addictifs et qui poussent trop à l’achat et encore plus les publicités abusives.
Là, en un achat unique, on peut supprimer définitivement les publicités.
Bon point.
Attention!!! Boutique! Et là, je ne sais pas encore vu le peu de recul que j’ai si vraiment ça pousse à l’achat.
En dehors de cela, le jeu est beau!
Il y a de la musique apaisante (j’adore)!
Les jeux de mots sont sans faute (du peu que j’ai vu) et accessibles.
Et la découverte du monde avec ses merveilles est très intéressante.
Surtout qu’on va traverser de nombreux pays et donc apprendre beaucoup de choses!
J’adore!
Je pense que de nombreuses surprises nous y attendent.
Donc…
Bien envie de pousser l’expérience un peu plus loin.
Et vous?
Belle journée à vous ✨🧚



#words#my words#words of wonders#mots#video games#Game#jeux#jeu de mot#partage#carpe diem#merveilles#wonders#découverte#monde#world#voyage#avis#cerveau#cognitif#bonheur
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Déclaré « dictateur » et « humoriste au succès modeste » par Trump, Zelensky doit « rendre l’argent » et se rendre.
Kissinger avait raison, être l'allié des États-Unis est fatal.
Pour mener sa guerre à la Chine, Trump veut se débarrasser de l’Ukraine au plus vite et il ne prend plus de gants.
Je dois dire qu’il va presque réussir à rendre digne le juif Zelensky par comparaison.
Pensez-y, un humoriste au succès modeste, Volodymyr Zelenskyy, a convaincu les États-Unis d’Amérique de dépenser 350 milliards de dollars, pour entrer dans une guerre qui ne pouvait pas être gagnée, qui n’a jamais dû commencer, mais une guerre que lui, sans les États-Unis et « TRUMP », ne sera jamais en mesure de régler. Les États-Unis ont dépensé 200 milliards de dollars de plus que l’Europe, et l’argent de l’Europe est garanti, alors que les États-Unis ne récupéreront rien. Pourquoi Joe Biden n’a-t-il pas demandé une péréquation, dans la mesure où cette guerre est bien plus importante pour l’Europe qu’elle ne l’est pour nous – Nous avons un grand et bel océan en guise de séparation. En outre, Zelenskyy admet que la moitié de l’argent que nous lui avons envoyé est « MANQUANTE ». Il refuse d’organiser des élections, est très bas dans les sondages ukrainiens, et la seule chose pour laquelle il était bon était de jouer avec Biden « comme avec un violon ». Dictateur sans élections, Zelenskyy a intérêt à agir vite, sinon il ne lui restera plus de pays. En attendant, nous négocions avec succès la fin de la guerre avec la Russie, ce que tout le monde admet que seul « TRUMP » et l’administration Trump peuvent faire. Biden n’a jamais essayé, l’Europe n’a pas réussi à apporter la paix, et Zelenskyy veut probablement continuer à faire tourner la planche à billets. J’aime l’Ukraine, mais Zelenskyy a fait un travail terrible, son pays est brisé, et des MILLIONS de personnes sont mortes inutilement – et cela continue……
Trump prétend que Zelensky a baratiné Biden et que l’Amérique est aussi blanche que l’agneau qui vient de naître dans cette affaire.
L’opération ukrainienne n’a pas commencé avec Zelensky, ni Biden, et certainement pas à Kiev. Elle remonte à plus de 20 ans et c’est un projet stratégique de la grande juiverie américaine depuis l’origine.
C’est bel et bien Bush qui a encouragé l’Ukraine à rejoindre l’OTAN en 2008.
Il n’était même pas démocrate, mais républicain.
youtube
Le gangster orange embrouille son monde pour essayer de faire paraître l’État qu’il dirige pour une organisation de charité internationale qui se serait fait abuser par un pays du tiers-monde post-soviétique.
Tout le monde comprend que Zelensky essaie de semer le désordre et refuse de céder, encouragé en coulisse par de nombreux acteurs américains – très certainement le gouvernement américain lui-même -, mais en réécrivant l’histoire aussi éhontément pour blanchir la CIA et le département d’état américain, Trump démontre qu’il est dénué de toute notion de scrupules.
S’il faut chercher des incendiaires, le quart de juif Boris Johnson fait un excellent candidat. C’est lui qui a saboté les négociations de paix entre l’Ukraine et la Russie en Turquie.
Trump l’apprécie beaucoup.
C’est tout de même très drôle.
Zelensky affiche de plus en plus la tête du juif persécuté. Il commence à donner quelques chiffres.
Zelensky répond à Trump avec des faits, pas de la rhétorique.
Zelensky : Les États-Unis ont fourni à l’Ukraine 67 milliards de dollars d’aide militaire et 31 milliards de dollars de soutien budgétaire.
L’affirmation de M. Trump selon laquelle les combustibles fossiles représenteraient 500 milliards de dollars n’est pas une conversation sérieuse.
Bien sûr, il a détourné une part de l’aide, mais c’est une petite fraction des sommes détournées. L’essentiel a été volé par Biden et le Parti démocrate, le Parti républicain, mais aussi par la CIA et allez savoir qui en Amérique.
Il y a toutefois une vertu aux déclarations de Trump : c’est la preuve la plus spectaculaire qu’il ne faut jamais s’allier avec les États-Unis.
Non seulement ce pays vend son ancien allié à son ennemi alors qu’il est en guerre, mais en plus il le traite en état vaincu et revendique de vouloir le piller intégralement avant de le jeter par dessus bord.
Quoi qu’on pense de cette guerre, l’Amérique passe en direct pour une véritable organisation criminelle.
Qui voudrait sérieusement s’allier à des gens pareils ?
Les Russes et les Chinois sont de véritables gentlemen quand on les compare à ces bandits.
Depuis 48 heures, Poutine est hilare à chaque interview. Il sait à quel point l’immoralité de ce régime pourri transparaît au niveau planétaire. Le boss est en train de détruire les USA en temps réel dans les yeux du monde entier, sans même transpirer.
Songez que les Ukrainiens étaient si pro-américains qu’ils ont accepté d’entrer en guerre contre la Russie « pour la démocratie » (et les juifs) sur ordre des USA et qu’ils finissent traités de dictature (c’en est une) et trahis comme jamais un pays n’a été trahi dans l’histoire contemporaine.
C’est tout de même incroyable.
Entre Zelensky et Trump, c’était bien le deuxième le plus juif des deux.
Démocratie Participative
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Et si on parlait des retraités ?
Si on écoute --ce qu'il ne faut jamais faire !-- tout ce que nos partis de Gauche, déconnectés de tout et surtout d'eux-mêmes (ce qui serait une bonne nouvelle, si les victimes, libérées, peuvent enfin voir la lumière et la vérité l), il semblerait que le bobard qui hante les français plus que tout, c'est ce récit mille fois ressassé depuis des décennies : les retraités seraient plus riches que leurs enfants... ce qui semble couler de source et confirme que, jusqu'à plus ample informé, tout ce qui vient de la partie gauche de notre cerveau si ''décervelé'' doit être réputé mal intetionné...
Mais notre nouveau premier ministre, qui persiste à raconter qu'il serait ''de Droite'' --ce qui suffirait à prouver à quel point la soi-disant ''Droite-de-Gauche'' qui a confisqué l'usage de ce mot en France ne sait même plus ce qu'il veut dire --pas plus que la Gauche ''prétendue de gouvernement'' ne se souvient de ce pourquoi elle s'est un jour séparée de la masse --qui n'avait pas de nom spécifique jusque là... L'humanité, peut-être ? Ou l'ordre naturel ? Nous en sommes arrivés à un point où la confusion entre les mots est devenue --je le crains-- irrattrapable.
Couac il en soit (NDLR - Celle-là, je ne m'en lasse pas !), il semble que, dans la confusion de toutes les folies qui caractérisent notre temps, il soit mal vu que quelqu'un qui entre à peine dans la vie ait moins accumulé que ses aïeux qui ont trimé pendant 2, 5 ou 18 générations pour se constituer ''un patrimoine'' --notion honnie s'il en est ! Dans l'imbitable jargon à la mode chez les cons, il est interdit à tout un chacun de posséder... couac ce soit (c'est ici que le ''couac !'' prend toute sa valeur de fausse note !). Comme à chaque fois que la Gauche prend l'initiative d'un jugement de valeur, il convient de rétablir au plus vite la vérité... qui est (on s'en doutait !) à l'opposé complet du mensonge sans aucun lien avec le réel... mais présenté comme étant le seul bobard-vrai...
Précisons donc tout de suite que le COR (Comité d'organisation des retraites, rattaché au Premier ministre), d'où viennent les chiffres cités dans cet éditorial, est un des rares ''machins'' étatiques à ne jamais avoir été critiqué ou controversé. Or que nous dit-il, dans son ''Rapport annuel 2024'' ? que toute cette fausse démonstration mensongère ne tient que par la surévaluation de la valeur de la partie immobilière du patrimoine, artificiellement ''gonflée'' par toutes les astuces fiscales, taxes imméritées et ponctions abusives qui tendent --comme toutes leurs semblables-- à tout fausser.
Or (je cite, sans changer un mot) ''même en tenant compte de la surévaluation du patrimoine immobilier, le niveau de vie des retraités est légèrement moins élevé que celui du reste de la population française''. L'affaire est entendue : non seulement il coulerait de source que les retraités soient plus riches que leur descendance --qui héritera elle-même de cette richesse transmise-- mais.... ils ne le sont même pas ! Tout est faux !
Et comme pour souligner la déconfiture idéologique des thuriféraires de ce bobard chronique l'INSEE précise que le revenu médian (la moitié est au dessus, la moitié au dessous) de toute la population française est calculé à 24 330 € (et 17360 pour les actifs salariés), contre 23 930 € pour les retraités... alors que le patrimoine des ''aînés'' est, logiquement et normalement, plus élevé que dcelui des actifs ( 267 300 contre 198 100 en moyenne , emprunts déduits). La question qui surgit aussitôt est, évidemment : où nos menteurs patentés de Gauche vont-ils chercher tous ces chiffres pipeautés pour soutenir leurs affirmations ... qui le sont tout autant ? La réponse est que, là comme ailleurs, la vérité ne les intéresse pas : seule compte la propagande. Et qu'elle n'ait aucun sens ne les effraye pas une seule seconde !
En 1985, le Prix Nobel d'économie, Franco Modigliani avait proposé un modèle --à peu près universellement reconnu, à de très rares exceptions près-- qu'il avait baptisé ''le modèle du cycle de vie'', selon lequel, une fois parvenu au troisième âge, les individus consomment l'épargne accumulée pendant leur maturité --après s'être endettés dans leur jeunesse.
Les jeunes économistes, incultes et ignorants là comme ailleurs, ne savant pas ça (ni le reste) et font leurs gorges chaudes de trouver anormale la relative aisance financière de beaucoup de leurs aînés. Ils osent retenir comme un argument à charge le fait que ''les générations 1950 et 1960 recevront en moyenne 1 € 40 par euro cotisé contre 1 € 10 pour les générations nées après 1980'' et ajoutent que ''égaliser le taux de récupération entre générations (anti-concept sorti d'on ne sait où) implique une baisse de 20 % des pensions actuelles'' (dixit dans le Figaro du 28 mars 2024 un certain Sylvain Catherine, professeur de finance à l'Université Wharton --sans doute encore un des ''Mozart de la finance'' qu'on sort de temps en temps de derrière les fagots, pour notre plus grand malheur !
Hélas ! les débats inutiles ne sont pas près de s'éteindre, et celui-là, archi-classique, entre le partisans de la retraite par répartition et par cotisation va empoisonner longtemps encore notre capacité à raisonner sainement et à se concentrer sur de vrais problèmes... alors que les Etats accordent des aides massives à certains fonds de pension (Alsthom, Doliprane, et tant d'autres cadeaux déguisés)... et où les actifs financent à peine les 2/3 des pensions versées. Combien de temps cet empilement de mensonges mettra-t-il à être sorti du titoir-à-fantasmes ?
H-Cl.
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Quel dommage que je n’aie pas à faire l’éloge de l’instruction ! Tous les lieux communs seraient à mon commandement, je n’aurais qu’à lever le doigt pour entendre aussitôt leur musique et le retentissement de leurs gros trombones. Mais c’est précisément cette facilité qui me met en garde. Quand un développement se déroule de soi-même, cela veut dire que nous parlons en l’air.
Celui dont les paroles ne sont pas vaines rencontre un obstacle : cette résistance le stimule, elle l’avertit qu’il touche au réel. Saisissons donc notre objet. Retenons ce mot d’instruction, qu’on oppose à celui d’ignorance. Demandons-lui ce qu’il veut dire. Sa fortune est assez récente. Jadis, quand on s’inquiétait de l’instruction de la jeunesse, il s’agissait autant de discipline que d’enseignement. Pour les hommes faits, on parlait de leurs connaissances. S’ils s’étaient formés surtout dans la pratique, on les disait experts, ou habiles. S’ils s’étaient instruits dans les livres, on les disait doctes. Quand enfin un homme se distinguait par la profondeur et l’étendue de ses connaissances, on l’appelait savant. Mais on ne prodiguait pas ce mot, car il était admis que pour faire un savant, il fallait une nature, une vocation, une vie spéciales. Encore ce nom n’était-il appliqué que du dehors à ceux qui le méritaient, et ç’aurait été s’en montrer indigne que de se le décerner à soi-même.
L’ironie de Socrate, les railleries de tous les Sages voltigeaient, comme autant d’abeilles, autour de ceux qui étudiaient, pour les empêcher de se croire savants. Enfin le personnage le plus constamment moqué du théâtre, celui dont les premiers mots suffisaient à déchaîner une tempête de rires, c’était le pédant. Or le pédant est proprement l’ignorant paré de science, l’homme qui porte toute sa science sur lui, parce qu’il ne la pas en lui-même. La comédie le représentait comme un véritable ilote du savoir, aussi inférieur aux ignorants dont il n’avait plus le bon sens, qu’aux savants dont il n’avait pas les lumières, Je doute qu’aujourd’hui le public sache se défendre aussi bien contre les charlatans de la parole.
Un autre trait distingue ce qu’on appelait autrefois la science de ce qu’on appelle aujourd’hui l’instruction. La science s’obtenait, l’instruction se reçoit : la différence est capitale. Seuls arrivaient à savoir ceux qui ajoutaient aux aptitudes que la nature leur avait données l’effort de toute leur vie. Mais l’idée latente de nos contemporains étant qu’il y a des fontaines publiques d’instruction, où l’on apporte les esprits comme des bouteilles, quelle bouteille ne voudrait pas être emplie ? On reconnaît ici, à leur mollesse et à leur facilité ordinaires, les conceptions de l’homme moderne. Mais, dira-t-on, il est une certaine instruction élémentaire qui est, en effet, bonne pour tous les esprits. Cela se peut. Encore faut-il prendre garde et bien préciser dans quelles conditions elle sera donnée. On devrait traiter avec d’autant plus de scrupules et de respect ceux qui la reçoivent, qu’en raison de la vie qu’ils vont mener et des occupations auxquelles ils sont destinés, ils n’auront pas le moyen de contrôler ce qu’on leur aura appris. Au moment même où l’on se flatte de leur ouvrir des perspectives nouvelles, il faut avoir le courage de considérer qu’on va leur bâtir, sinon un cachot, du moins une chambre d’où ils ne sortiront guère. Dans les sciences, par exemple, il est très difficile de donner à des élèves des notions sommaires, sans faire les choses plus simples et plus épaisses qu’elles ne sont, et sans abuser en quelque sorte ceux qu’on prétend instruire. Mais il est des connaissances où ces difficultés sont plus délicates encore.
Tout ce qui touche à la philosophie de l’histoire, au développement général de l’humanité, n’est pas susceptible d’être réduit à un enseignement élémentaire. On ne peut arriver à ces grandes vues qu’en s’étant rendu maître de toutes les connaissances qui y amènent. Traiter ces sujets devant des gens sans culture, c’est abuser de leur ignorance pour leur imposer des idées qu’ils transformeront en croyances, dans l’incapacité où ils sont de les critiquer et de les vérifier. Est-ce cela qu’on appelle émanciper les esprits ? Ce serait plutôt les asservir.
Ceux qui, autrefois, enseignaient la jeunesse, n’étaient pas tous de profonds docteurs. Mais, ayant plus ou moins pénétré dans les sciences, ils en communiquaient, sans arrière-pensée, les premiers principes. Il n’y avait pas alors cette milice de maîtres que la multitude des écoles a rendus nécessaires et dont l’instruction est comme interrompue et arrêtée net. N’étant pas assez versé dans les sciences pour disposer librement des notions qu’il enseigne, c’est par le caractère absolu des vérités qu’il édicte que plus d’un d’entre eux essaye de reprendre de l’autorité, et l’on voit apparaître le pontife orgueilleux d’une religion bâtarde, là où l’on attendait seulement le modeste propagateur d’une science élémentaire. Ainsi se constitue une véritable barbarie du savoir. On voudrait que ces maîtres fussent eux-mêmes instruits davantage : cela les tempérerait, les rendrait plus libres. Une instruction élémentaire n’est vraiment honnête que si l’on rappelle sans cesse à ceux qu’on en gratifie le caractère à la fois précieux et modique du don qu’ils reçoivent. Mais le moyen de faire un pareil rappel, qui offenserait à la fois l’orgueil du maître et celui de l’élève ? On ne peut rien entendre au monde où nous sommes, si l’on oublie qu’il s’explique avant tout par l’excitation et l’irritation des amours-propres : c’est le monde de la vanité.
Il s’agit de prouver aux inférieurs que l’infériorité n’existe pas, qu’il n’y a de différence entre les hommes que selon les circonstances où ils ont été placés, et que leurs aptitudes sont égales. On ouvrira donc à tous les palais de la connaissance, non point que ceux qu’on y pousse aient grande envie d’y entrer, mais parce qu’il ne faut pas qu’il soit dit qu’il y a quelque part des fêtes réservées. De là ce mélange de synthèse et de rudiment, de b-a ba et de dernier mot, qui donne un caractère de parodie si burlesque à l’enseignement d’aujourd’hui.
On insuffle la philosophie de l’histoire à des marmots qui ne savent pas la suite des rois de France. On fait à des ouvriers ou à des paysans une conférence sinon approfondie, du moins détaillée, sur une question de lettres, de philosophie ou de science, qu’ils ne sont nullement préparés à aborder, et qu’entoure pour eux une nuit profonde. En user ainsi, c’est peut-être flatter leur vanité ; en vérité, c’est leur manquer de respect de la façon la plus grave, puisqu’on parait croire qu’il n’est possible de leur faire valoir quelque chose qu’en les arrachant d’abord à tout ce qu’ils sont. On nomme progrès cet arrachement, et on secoue en l’air la pauvre plante qui, si on l’avait laissée dans sa terre, allait peut-être fleurir.
Le pis est que ce désordre encyclopédique se fait au nom de la Science. Non pas que l’esprit scientifique soit véritablement en honneur : il ne permettrait pas de pareilles plaisanteries. Mais le mot de Science est une des idoles du temps. Ce mot reste dans la tête de ceux à qui l’on n’a précisément rien appris. Il faut distinguer, dans un enseignement, entre les notions mêmes qu’on y donne et l’esprit qui les pénètre. Ces notions, ceux qu’on a instruits aujourd’hui ont d’autant moins de peine à les oublier qu’on les leur a plus confusément présentées. Mais ils retiennent quelque chose de la piètre philosophie qui les imprégnait. Ils croient à la Science, sans rien savoir. C’est-à-dire qu’ils sont portés à penser que le jeu des forces les plus grossières suffit à expliquer toutes choses, et qu’il n’y a rien, en somme, de si plat que cet Univers qui les éblouit en vain, chaque soir, de ses myriades d’étoiles. Voilà le bienfait de l’instruction.
L’idée qui préside à ces tentatives, c’est que l’ignorance est un état inavouable et honteux, et qu’il faut tout faire pour en perdre au moins l’apparence. Rien n’est moins juste que cette idée-là. Nous en avons tous connu, de ces ignorants qu’on veut nous forcer à mépriser, hommes attachés à une terre ou à un outil, vieilles femmes consacrées aux soins du foyer, comme des prêtresses obscures. Souvent ils ne savaient ni lire ni écrire. Étaient-ils pour cela hésitants, perdus dans le vaste monde ? Au contraire, fermement établis à leur place, patriarches et magistrats dans leur famille, maîtres dans leur art, ils nous apparaissent parmi les personnages les plus imposants que nous ayons rencontrés. C’est qu’en vérité il est plus d’une manière de se rattacher à l’âme universelle. Ces ignorants de la science étaient des savants de la vie. Entre toutes les choses qui forment et qui enseignent l’ignorant, il faut compter d’abord la pratique d’un métier. Rien ne vaut davantage, pour l’accomplissement d’un homme.
Tout métier procure à celui qui l’exerce, pourvu qu’il s’y donne sans réserve, une prise très forte sur le réel. On ne peut cultiver la terre sans acquérir de la sagesse. Ce n’est qu’apparemment que les marins sont rudes ; occupés à guetter les moindres signes de la mer, cette observation aiguise sans cesse leur attention, et ils deviennent aussi subtils que les courtisans qui apprennent à deviner dans les yeux de leur reine ses plus secrets sentiments. On approche davantage du centre commun des choses en en connaissant à fond une seule qu’en les effleurant toutes. Un fermier qui élève des bêtes, un vigneron instruit des secrets du vin sont, à leur insu, de vrais philosophes. L’artiste est exposé à déraisonner plus que l’artisan, justement parce qu’il est plus détaché de sa matière, plus sujet au pouvoir des mots. Mais comment délirerait-il, celui dont les mains instruisent la tête, depuis le menuisier qui sait la nature des différents bois, jusqu’au potier presque sorcier qui lutte de ruses avec le feu, et qui force les folles flammes à mûrir exactement ses vases ? Ce qui rend si précieuse l’instruction qu’on retire de ces travaux, c’est précisément qu’elle est acquise dans des conditions qui excluent presque l’erreur, ou du moins l’extravagance. Tout homme qui pratique un métier combat avec la vie elle-même. Comme Jacob luttant avec l’ange, il étreint un merveilleux adversaire, et alors même qu’il l’a lâché, il serre encore dans sa rude main une plume couleur d’arc-en-ciel ; cette plume irisée de mille nuances, c’est l’enseignement général qu’on garde d’une besogne particulière.
Les ignorants, bien loin d’être sans idées, recueillent un immense héritage, et il y a de tout dans ce trésor disparate. D’abord, sans qu’ils l’aient cherché, il leur arrive quelque chose de ce qu’ont amassé des savants lointains, et ils sont comme ces peuples des contes qui, vivant au fond de la mer, voient parfois une coupe ou un plat d’or descendre jusqu’à eux, d’un monde inconnu. Il arrive que la fable se mêle à ces connaissances.
Je me rappelle un vieux paysan, espion admirable des animaux, et qui ne s’intéressait pas moins à ceux qui peuplent les pays étrangers qu’à ceux à la vie desquels il avait, pour ainsi dire, collé sa vie. Il croyait encore de l’éléphant ce qu’Aristote en raconte, que cette bête n’a pas de genoux, et s’appuie à un arbre pour dormir, de sorte que les chasseurs, lorsqu’ils ont reconnu l’arbre choisi, le scient d’avance afin que sa chute entraîne celle du colosse. Si les jeunes gens du village avaient entendu cela, quelle occasion pour eux de se gausser du vieillard ! Mais qui, en somme, se faisait du monde une idée plus riche, plus digne de lui, ce vieux chasseur qui supposait partout des merveilles, ou ces hommes du temps nouveau, pour qui tout est médiocre dans l’Univers ?
Après avoir traversé en auto le désert de Syrie, comme nous approchions de l’Euphrate, je voulus tirer quelque chose du chauffeur qui nous conduisait. C’était un garçon débraillé, mou et cynique, né dans un faubourg de Paris, et le produit achevé de l’éducation urbaine. Je lui parlai de ce fleuve que j’allais voir et que lui-même avait déjà passé plusieurs fois : « Peuh! me dit-il, l’Euphrate, c’est la Seine avec des palmiers ! » Rien ne pouvait plus l’étonner, et, quoi qu’on lui montrât, il prêterait désormais au monde sa propre pauvreté. L’ignorance, au contraire, fait de grands rêves ; elle croit à la variété des êtres et à la richesse des choses. Les erreurs mêmes qui se glissent dans ses connaissances hétéroclites gardent quelque chose d’enchanté. La chose admirable est que le merveilleux n’y gâte jamais le pratique. Le charme des contes populaires vient précisément de là. Leur fantaisie débridée soulage les âmes. Mais, si haut qu’ils montent dans l’impossible, ils retombent toujours dans le vrai, et quand nous ressortons de ces histoires où les bêtes parlent, où des géants enjambent tout un pays en deux pas, où les trésors coulent comme des ruisseaux, bien loin de tâtonner et de rester ivres, il se trouve que ces féeries nous laissent mieux préparés à la vie de tous les jours, dont elles nous avaient d’abord délivrés.
Le Bon Sens et l’Imagination, voilà le couple qui règne sur l’âme populaire, et tandis qu’ils traversent leur peuple en liesse, elle, la Reine aux bijoux étranges, fait jeter à poignées des pièces d’or, qui ne seront peut-être demain que des feuilles sèches ; mais lui, le Roi solide sur ses jambes courtes, il distribue à ses sujets les loyaux écus d’argent des proverbes.
L’exercice d’un métier, les leçons des grand-mères, les secrets du coin du feu, tout contribue à faire de l’ignorant une sorte d’initié obscur. L’ignorance des vieilles femmes est si profonde qu’elle touche aux secrets de la vie ; celle des bergers est si haute qu’elle a la tête dans les étoiles.
Il est remarquable qu’en un temps où l’on parle de science du matin au soir, on ne parle jamais de sagesse. Science et Sagesse, c’était cependant, autrefois, comme la double face de la même étoffe. Nos pères en jugeaient ainsi, et toute l’Asie pensait de même, avant que nous eussions commencé de la gâter. C’est encore l’opinion des ignorants. Leur curiosité est vive, quoiqu’elle attende plus qu’elle ne cherche. Ils amassent les renseignements les plus disparates, mais la Sagesse administre tous ces matériaux, et tandis qu’elle tient le rôle de l’architecte, qu’elle règle la portée des voûtes et permet l’élan des flèches, la Religion, la Tradition, l’Expérience, la Féerie et la Science elle-même fondent, bâtissent, fortifient, ornent, illuminent, fleurissent, parfument la sainte cathédrale de l’ignorance.
Qu’il approche maintenant, qu’on le voie de près, l’homme nouveau qui est l’antagoniste de celui-là. D’abord, il ne sait plus vivre. C’est l’ignorant qui a des manières, des mœurs et des rites. Pour lui, incapable de régler la moindre cérémonie, d’organiser aucune rencontre un peu noble avec ses pareils, il ne sait même plus entrer sans y faire tache dans les fêtes de l’Univers. Par les dimanches de mai, quand les hordes urbaines se répandent dans la campagne, il est affreux de voir comme elles y saccagent le printemps. Les paysans, dans leur dialecte, avaient pour la moindre plante un nom qui la distinguait, qui la remerciait de fleurir autrement que les autres. L’homme moderne ne voit plus tout cela qu’en gros, de haut et de loin, et l’ineffable parure des champs, ce ne sont plus pour lui que de mauvaises herbes. Il est laid, dans le sens où Ia laideur est le signe d’une exclusion. C’est l’ignorant qui était beau, avec les costumes graves et superbes qui, en même temps qu’ils désignaient en lui le fils et l’héritier d’une race, l’associaient à la fête universelle, au plumage des oiseaux, à la féerie des prairies en fleurs.
L’homme d’aujourd’hui n’a plus, pour se distinguer, que les ressources d’une coquetterie particulière, d’autant plus intempestive que, presque toujours, ce qui le pousse, c’est moins le goût franc et ingénu d’une couleur vive, que l’incurable inquiétude de sa vanité, qui fait qu’il veut se donner les airs de ce qu’il n’est pas. Ainsi indiscret, inquiet, séparé de tout, que fait-il ? Il parle, non plus ce magnifique langage des métiers, si juste et si coloré que les grands poètes en enviaient les trouvailles, non plus un patois si intime avec les choses qu’il avait un nom pour rejoindre la plus chétive des plantes ou le plus menu des oiseaux. Il parle l’argot qui est la langue ignoble de l’irrespect ; il y mêle des mots savants qu’il est d’autant plus flatté d’employer qu’il en connaît moins le sens ; il parle de tout, sans avoir vraiment d’intérêt pour rien ; il crie et n’a rien à dire.
Des connaissances précises compensent-elles en quelque chose les traditions qu’il a perdues ? Nullement. On a interrogé les élèves qui sortent du collège, les soldats qui arrivent au régiment. Leurs réponses sont extravagantes. « Eh bien, dira-t-on, de quoi vous plaignez-vous ? Ce sont des ignorants. » Assurément, mais de la mauvaise manière. Car il est une ignorance saine et il en est une autre malsaine. L’ancienne mirait en elle l’univers, la nouvelle est trouble et ne reflète plus rien. L’ancienne avait des silences pleins, la nouvelle n’a que des paroles vaines. L’ancienne était tutélaire, elle arrêtait les hommes au bord de ce qu’ils savaient. La nouvelle est toute mêlée à ce qu’ils croient savoir. L’ancienne protégeait les gens, la nouvelle les livre.
Si l’on veut juger de la différence, qu’on se souvienne de la façon dont les paysans, dans une foire, se défendaient d’un charlatan. Il avait beau arriver dans un carrosse surdoré, comme une espèce de prince équivoque, il avait beau multiplier les prestiges, son auditoire rustique lui opposait une défiance sans fissure, jusqu’à le laisser dépité et exténué, entre ses lanternes. Qu’on regarde maintenant des électeurs écoutant un candidat qui brigue leurs voix. Il leur parle d’histoire, de philosophie, d’économie politique. Il faut qu’ils prêtent l’oreille à ces phrases, puisqu’il est entendu qu’ils ne sont plus des ignares. Ils ne pourraient se préserver des pièges qu’on leur tend qu’en avouant qu’ils n’entendent rien à tout cela. C’est trop demander à leur amour-propre. Tout les force à se laisser dindonner. Ce qu’ils prennent pour leur instruction n’est que le point faible de leur ignorance. C’est la brèche ouverte dans le rempart qui les abritait, c’est l’anse par où un charlatan les soulève. On les a retirés aux choses pour les livrer aux mots, et selon que la nature les a faits effrontés ou timides, on les a rendus capables de tout dire ou de tout croire.
Voilà où nous venons aboutir : l’instruction, avec ce que cette parole comporte à la fois de vague et d’emphatique, c’est d’oser parler de tout. Le monde moderne est celui des mots, et pour se faire une idée de ce verbiage effréné, il suffit d’écouter des conversations qui touchent en même temps à tous les sujets, sans qu’on entende jamais personne se récuser, avouer une ignorance. Mais si l’on n’a pas formé la raison de ces bavards, on a tué en eux les facultés délicates de l’imagination et du rêve. Alors même qu’ils veulent se délasser, ils n’ont pour récréation que les mornes carnages des crimes, l’horreur terne des assassinats. C’est l’ignorant qui, en laissant sa charrue ou son outil, entrait d’un seul pas dans les mondes enchantés ; c’est lui qui vivait avec Charlemagne et les douze Pairs, qui frayait avec Viviane, avec Mélusine. Quelle pauvreté, quelle tristesse, quelle déchéance, d’avoir cessé d’être le filleul des fées pour devenir la dupe du journal !
Extrait de Abel Bonnard, Éloge de l’ignorance, 1926
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Lady Jane Grey (1537-1554)

Si vous suivez l’actualité des séries, vous aurez vu passer les news sur la série My Lady Jane, adaptation du roman éponyme de Jodi Meadows, Brodi Ashton et Cynthia Hand. Mais la vraie Jane Grey a eu un destin plus tragique : on ne l’appelle pas pour rien « La reine des neuf jours »
Ou celle qui n’a régné que neuf jours sur l’Angleterre.
Si je vous demande de me donner des noms de monarques sous la dynastie des Tudors, vous allez me dire Henry VIII et Elizabeth I. Les plus historiophiles me diront : Henry VII, Henry VIII, Edward VII, Mary I et Elizabeth I.
Vous en avez oublié un.
Vous avez oublié Lady Jane Grey.
Figure relativement connue en Angleterre, inconnue au bataillon en France, l’histoire de Jane est une véritable tragédie shakespearienne.

Jane est le premier enfant et la première fille de Henry Grey, Duc de Suffolk (1517-1554) et de Lady Frances Brandon (1517-1559).
Elle descend de la vieille noblesse anglaise par son père.
Sa mère, quant à elle, est la fille de Charles Brandon (C. 1484-1545) qui a été un ami proche d’Henry VIII (1491-1547) et de Marie Tudor (1496-1533), la sœur d’Henry, laquelle mériterait elle aussi son petit article.
Notre Jane est donc une petite-nièce du roi d’Angleterre et une cousine des futurs Edward VI, Mary I et Elizabeth I.
Elle naît vers 1537 à Bradgate, non loin de Leicester.
Jane s’avère être une enfant précoce, scolaire, qui aime les études. Elle est élevée dans la foi protestante. Vers ses 10 ans, elle est confiée à la reine Catherine Parr (1512-1548), la veuve d’Henry VIII, laquelle s’occupe déjà de l’éducation de sa belle fille, la future Elizabeth I (1533-1603), pour laquelle elle a une profonde affection.
L’enfance de Jane n’est guère heureuse : sa mère est une mère abusive et maltraitante. Elle l’insulte, la rabaisse, la frappe, pensant ainsi l’endurcir car sa fille, de nature timide et soumise, l’irrite. Ainsi, malgré ses capacités, la jeune fille se croit idiote et surtout indigne de ses parents, comme elle le confiera à Roger Ascham (1515-1568), le précepteur qu’elle partage avec Elizabeth :
« Quand je me trouve en présence de mon père ou de ma mère, si je parle, me tais, m’assois, suis debout, pars, mange, bois, me réjouis ou m’attriste, couds, joue, danse, fais n’importe quelle chose, il faut que je l’entreprenne comme si la tâche était d’une importance infinie et que je l’achève à la perfection avec laquelle Dieu a créé le monde ; sinon, ils me raillent sans merci, ils me menacent cruellement, parfois par la force… pour que je me croie être en enfer. »
Sous l’égide de Catherine Parr, Jane est plus heureuse et reçoit enfin l’affection dont elle a tant besoin.

Hélas, ces jours heureux ne durent pas et un an après son entrée dans la maison de Catherine, Jane doit lui dire adieu : en effet, la reine douairière, qui s’était remariée à Thomas Seymour, l’oncle d’Edward VII, meurt en mettant au monde son première enfant, une petite Mary, dont on perd la trace après sa deuxième année de vie. Agée de 11 ans, Jane sera le « chief mourner » lors des funérailles : c’est elle qui veillera le corps. Thomas, lui, sera arrêté et exécuté pour trahison.
Jane rentre donc à Bradgate pour y poursuivre sa vie.
On commence à envisager son mariage : Thomas Seymour, du temps où il vivait encore, avait suggéré qu’elle épouse son neveu ! Il semble l’avoir tenue en haute estime : lui proposer la main du roi, dire qu’elle pouvait rester chez lui après le décès de Catherine, ce qui a été annulé suite à son arrestation…
Jane, elle, aimerait bien épouser Edward Seymour (1539-1621), le neveu de Thomas, ce qui ne se fera pas et l’homme épousera, plus tard… Catherine, la plus jeune sœur de Jane !
Frances, la mère de Jane, décide de lui faire épouser Guilford Dudley (1535-1554), pour le plus grand effroi de sa fille qui déteste cette famille. Une bonne petite rouste et le mariage est célébré le 25 mai 1553.

Sinon, au gouvernement, on se pisse dessus : Edward, le jeune roi, est à l’agonie, rongé par la tuberculose. Il n’est pas marié, il n’a pas d’enfants et selon l’acte de succession instauré par son père, s’il meut sans héritier, la couronne revient à l’aîné de ses sœurs : Mary (1516-1558).
Le souci, c’est que Mary est… catholique !
Pour vous la faire courte parce que l’histoire religieuse sous Henry VIII est un bordel !
Quand Henry VIII accède au trône à 18 ans, l’Angleterre est catholique. Henry est pieux, il défend la foi chrétienne, il rédige des écrits contre l’hérésie, tant est si bien que le pape le considère comme défenseur de la Foi, ce qui est un titre qui pète sa mère quand vous êtes croyant.
Henry est marié à Catherine d’Aragon (1485-1536), la veuve de son frère Arthur, et contrairement à ce que l’on pourrait penser, Henry ne l’épouse pas tant pour conserver l’alliance entre son pays et les royaumes de Castille et d’Aragon mais parce qu’il est sincèrement amoureux ! Le problème, c’est que des six grossesses qu’ils ont, seuls deux enfants sont nés : le petit Henry, mort à 52 jours de vie et Mary.
Ce qui fait qu’Henry n’a pas d’héritier mâle alors qu’il est la deuxième génération des Tudor, son père ayant gagné la couronne lors de la guerre des Deux Roses qui a mis fin au conflit entre les Lancastre et les York. (Je vous la fais courte, ça aussi, c’est un bordel!). Ca la fout mal.
Selon la Bible, on n’a pas le droit d’épouser la veuve de son frère, sinon on est condamné à ne pas avoir d’enfants. Sauf si le mariage n’a pas été consommé : là, le frère doit prendre sa belle-sœur pour femme. Catherine soutient et soutiendra jusqu’à sa mort qu’elle est arrivée vierge dans les bras d’Henry.
Sauf que pour Henry, l’absence d’enfant, il la traduit par l’absence de fils vivant, surtout que la belle Anne Boleyn (c.1501-1536) commence à lui faire de l’oeil et contrairement à sa sœur Mary Boleyn (C.1499-1543) qui a été la maîtresse du roi, elle refuse de coucher avec lui et de n’être qu’une maîtresse. La bague au doigt sinon rien !
Henry cherche donc à faire annuler son mariage, le Pape refuse (il kiffe Catherine et il n’a pas envie de se mettre son neveu, Charles Quint (excusez du peu), à dos). Du coup, Henry dit au Pape d’aller se faire voir chez les grecs, il fonde sa propre église : l’Anglicanisme, qui est un mélange entre le catholiscime et le protestantisme, dit qu’il est le chef de l’Église dans son pays, il fait annuler son mariage, il épouse Anne qui lui donne Elisabeth, avant de la faire exécuter le 19 mai 1536 pour épouser, dix jours plus tard, Jane Seymour (c.1508-1537) qui lui donnera enfin le garçon tant espéré : Edward.
Sauf que pour annuler les mariages, il a fallu reconnaître qu’ils n’étaient pas légaux, donc dire que ses deux filles étaient des bâtardes.
Vers la fin de sa vie, en signe de réconciliation, Henry crée l’acte de succession, mettant ses filles dans la lignée, si et seulement si leur frère n’a pas d’héritier légitime.
Ca va, vous suivez toujours ?
Du coup, on est en juin 1553, Edward est en train de mourir, il n’a pas d’enfants et si Mary prend le trône, elle qui est une catholique convaincue, elle va tout faire pour remettre l’Angleterre dans le giron de Rome et forcément, le gouvernement ne veut pas ça.
Edward, élevé en protestant, malgré l’amour qu’il a pour sa sœur (et marraine!) ne le veut pas non plus.
Pensant donc protéger son pays, il décrète que c’est sa cousine Jane Grey qui est son héritière puisque ses deux sœurs, Mary et Elizabeth, sont des bâtardes.
Oui, encore une fois.
Le 06 juillet 1553, Edward meurt et le beau-père de Jane, John Dudley : le duc de Nothumberland, la proclame reine. Si Jane l’accepte, elle semble le faire avec énormément de réticence. Elle élit domicile à la Tour de Londres et refuse que l’on appelle son mari « le roi ». Il sera duc de Clarence, c’est déjà pas mal.
Evidemment, Mary n’accepte pas la situation, rallie rapidement ses partisans et aux côtés d’Elizabeth, elle marche sur Londres pour récupérer son trône.
Oui, on dirait un épisode d’House of the Dragon ou de Game of Thrones, c’est normal, George R.R Martin s’est énormément inspiré de cette période de l’Histoire pour écrire son banger qu’est « A Song of Ice and Fire », les livres qui ont crée cet univers.
Malgré ses tentatives, le duc de Nothumberland ne parvient pas à consolider le pouvoir de Jane et neuf jours après son accession au trône, la voilà déchue : les partisans de Mary ont réussi à la priver de ses droits le 19 juillet 1553, soit 9 jours après son arrivée sur le trône d’Angleterre puisqu’on ne lui a annoncé tout cela que le 10 juillet.
Mary est à Londres le 03 août et elle reprend sans efforts ce qu’elle considère être son droit.

Le 12 novembre 1553, un procès a lieu et Jane est reconnue coupable de haute trahison et condamnée à mourir « brûlée vive ou décapitée, selon le bon plaisir de la reine ». L’ambassadeur d’Espagne rapporte à Charles Quint, cousin de Mary, que sa vie devrait être épargnée. Jane écrit à Mary, s’excuse pour le mal qui lui a été causé, lui relate la vérité des événements. Dans cette lettre, elle se décrit comme une femme aimant son époux. D’ailleurs, Guilford, dans sa cellule, a gravé le prénom de Jane. Est-ce pour elle ou en hommage à sa mère, seul lui le savait.
A la surprise générale, Mary se montre étonnamment bienveillante : elle refuse de punir Jane ! Elle a bien compris que cette pauvre adolescente de 16 ans n’a été qu’un pion sur l’échiquier politique des plus grands. Si elle la garde enfermée, elle refuse de faire exécuter la jeune fille.
Hélas pour Jane, les conseillers de Mary la pressent : son choix est beau, il est noble mais Jane demeure, malgré elle, un point de ralliement pour les protestants. De plus, la rébellion de Sir Thomas Wyatt en 1554 précipite la fin de Jane : Thomas Wyatt voulait renverser Mary, catholique, pour mettre sa sœur Elizabeth sur le trône car protestante. Lors de son exécution, Wyatt démentira la participation de la princesse dans ce complot.
La mort dans l’âme, Mary doit se résoudre à signer les arrêts de mort de Jane et de Guilford.
Le 12 février 1554, Guilford est décapité à la hache. On dit qu’il a fait face à son destin avec courage. De sa fenêtre, Jane aurait murmuré : « Oh, Guilford, Guilford ! ».
Le même jour, Jane monte sur l’échafaud.

Mary demande à ce que l’exécution ait lieu à Tower Green, une pelouse de la Tour de Londres, loin des yeux curieux, afin qu’elle soit exécutée en petit comité, un honneur généralement réservé aux personnes de sang royal.
Jane prononce ces quelques mots :
« Gens de bien, je viens ici pour mourir, condamnée par la loi au même lot. L’acte contre la majesté était illégitime, comme ma participation : mais ce jour, pour autant que je l’aie désiré et en aie ambitionné l’achèvement, j’en lave les mains, devant Dieu et devant vous, bons chrétiens. »
Elle récite ensuite Miserere mei Deus (psaume 50) en anglais. John Feckenham, un chapelain catholique, lequel n’a pas pu la convertir à la foi de la reine, reste à ses côtés.

C’est elle qui s’agenouille, qui se bande les yeux mais alors qu’elle cherche, en vain, le billot du bout des doigts, elle panique : elle craint de mourir sans dignité et s’exclame « Que dois-je faire ? Où est-il ? ». Une âme charitable mène son bras et le bourreau l’exécute sans heurt.
Jane et Guilford reposent en paix, côte à côte, dans la chapelle de Saint Peter ad Vincula.

Le père de Jane, Henry, est exécuté onze jours plus tard, le 23 février 1554.
Frances, sa mère, vivra dans la pauvreté sous le règne de Mary. La reine se montre magnanime, même si elle reste méfiante, la laisse vivre à Richmond et engage à son service ses deux filles survivantes, Mary et Catherine, comme dames d’honneur.
Le père et les frères de Guilford demeureront emprisonnés mais Mary leur pardonnera. Robert, l’un des frères de Guilford, sera libéré et sera le grand ami (voire le grand amour) d’Elizabeth I.
Jane, quant à elle, survit dans les mémoires surtout grâce à la série My Lady Jane qui vient de sortir et avec le film Lady Jane de 1986 où son rôle est tenu par nulle autre qu’Helaena Boham Carter.
– Marina Ka-Fai
Si toi aussi tu veux en lire plus sur Jane, tu peux aller regarder ces sources :
Jane Grey : épisode de l’histoire d’Angleterre. Tome 1 d’Alphonse Brot
Nine Days Queen of England de Faith Cook
Lady Jane Grey : A Tudor Mystery d’ Eric Ives
Lady Jane Grey: Nine Days Queen, d’Alison Plowden,
Sovereign Ladies : Sex, Sacrifice, and Power. The Six Reigning Queens of England de Maureen Waller, ;
Children of England: The Heirs of King Henry VIII d’Alison Weir
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Il faut profiter des gens qu'on aime, en abuser. Abuser de leur présence, de leur temps, de leur rire, de cette douceur intérieur. Remplir son cœur de souvenirs et son cerveau de sérotonine au maximum.
Le bonheur ce n'est pas TOUT cocher, c'est cocher l'essentiel. ✅
A chacun de trouver son essentiel. Son essence. Pour avancer, pour supporter.
Il faut savoir mettre son énergie au bon endroit, choisir les bonnes personnes.
Moi j'avais tout, depuis un bon moment. Et j'en avais toujours eu conscience.
Mais c'est à l'aube de mes trente ans que j'ai réalisé cette indéniable vérité.
Aimer me rend heureuse, l'être un peu moins.
Quand j'aime, j'explose d'amour. Je déborde d'émotion, j'aimerais ne jamais être désagréable, j'aimerais toujours répondre aux attentes de mes proches, répondre ce qu'ils ont envie d'entendre, aller où ils le veulent quand ils le veulent. Etre là, dans les bons et les mauvais moments.
Les rendre heureux.
LB
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Bonjour les ami(e)s, voici l'horoscope de la semaine du 15 au 21 juillet, par Reynald, bonne lecture et excellente semaine!
Horoscope de la semaine Bélier
Amour : Acceptez de voir la vie à deux sous un angle nouveau et préparez-vous à faire des compromis. Vous serez beaucoup plus serein et patient que ces derniers temps, ce qui aura des conséquences positives sur votre vie de couple. Vous rétablirez des rapports de confiance et de complicité. Célibataire, vous semblez cette fois irrésistiblement attiré par les amours impossibles ! Gardez les pieds sur terre et contentez-vous de ce qui est à votre portée.
Travail : Le climat vous communiquera un dynamisme et un enthousiasme remarquables. Vous aurez envie de sortir de la routine, d'aller à l'aventure, d'entreprendre des choses grandioses et démesurées. Tout cela pourra être excellent. Cependant, vous subirez de fortes pressions de la part de vos supérieurs. Vos nerfs seront à fleur de peau. Ne vous laissez pas déstabiliser et accordez-vous des moments à l'écart si vous en ressentez le besoin.
Santé : Vous serez plutôt en forme mais faites tout de même attention à ne pas dépenser votre énergie à tort et à travers. Vous pourriez être sujet à des crampes ou des maux d'estomac probablement dus à votre état de stress. Vous pourriez évacuer votre nervosité en pratiquant une activité physique régulière plutôt qu'en augmentant votre consommation de cigarettes.
Humeur : Vivement la semaine prochaine !
Horoscope de la semaine Taureau
Amour : Vous êtes très passionné, vos désirs de bonheur sont sans limites et votre partenaire pourrait avoir du mal à vous suivre. Il est essentiel de communiquer, car cette différence d'investissement pourrait venir d'une inégalité de sentiments ou simplement du fait que vous n'avancez pas à la même vitesse. Parlez-vous si vous ne voulez pas foncer droit dans le mur, c'est encore la meilleure solution.
Travail : Même si c'est votre façon de vous exprimer et que vous ne pensez pas à mal, il se peut que certains de vos collègues soient dérangés par votre comportement. Veillez à ne pas abuser de vos libertés si elles empiètent sur la bonne humeur de vos collaborateurs. Côté finances, rien à signaler, vous êtes stable et rien ne devrait venir perturber cette situation. C'est peut-être le moment de faire des économies en vue d'un projet !
Santé : Baisse de tonus et de vitalité ? C'est peut-être le moment de démarrer une cure de vitamines et de magnésium, pour vous redonner un coup de fouet. Demandez conseil à un professionnel, il vous aiguillera pour que vous retrouviez rapidement votre forme. La chance sera avec vous en fin de semaine pour vous aider à reprendre le dessus. En effet, un événement inattendu pourrait bien vous redonner confiance et cela vous boostera.
Humeur : Vous pourrez passer du rire aux larmes.
Horoscope de la semaine Gémeaux
Amour : Célibataire, comment se fait-il que vous n'ayez jamais remarqué ces yeux si bleus ou ce corps de rêve ? Vous pourriez trouver l'âme sœur dans votre entourage proche et vous en serez le premier surpris. Si vous vivez en couple, vous noterez un regain de sensualité chez votre partenaire. Cette semaine s'annonce agréable et pleine de surprises alors profitez-en, cela ne pourra faire que du bien au moral !
Travail : Vous réaliserez les projets qui vous tenaient à cœur grâce à votre ténacité et votre courage. Cette semaine sera particulièrement chargée dans le domaine professionnel, mais cela ne vous fait pas peur. Un coup de chance est possible sur le plan financier. Une belle rentrée d'argent est probable, mais comme il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué, faites attention à ne pas dépenser ce que vous n'avez pas encore…
Santé : Cette semaine, grâce à vos bonnes défenses immunitaires, vous résisterez à tous les assauts des microbes et autres virus. Pour rester en forme vous devrez faire un effort pour améliorer votre hygiène de vie. En effet, depuis quelque temps, vous vous autorisez certaines libertés alimentaires que vous allez payer tôt ou tard ! Une petite cure détox ne vous fera pas de mal et assainira votre organisme.
Humeur : Belle semaine en perspective.
Horoscope de la semaine Cancer
Amour : Le climat astral vous incitera à examiner et à améliorer la qualité de vos relations sentimentale et familiale. Vous serez plus prévenant et attentionné. Certaines planètes vont protéger votre vie sentimentale mais d'autres pourraient s'avérer plus gênantes. Tout ira bien si votre couple est solide mais si vous rencontrez quelques problèmes, ce n'est pas cette semaine que vous parviendrez à les régler. Vous ressentirez le besoin de sortir, de voir du monde. C'est le moment d'inviter la famille ou les amis ou d'organiser des sorties.
Travail : Vous évoluerez avec aisance, dans un climat agréable et porteur, et vous pourrez mettre en place les jalons pour un succès total. Soyez patient et ambitieux. Toutefois, vous ne pourrez travailler efficacement que dans le calme. Vous aurez besoin d'une grande concentration. Si vous adoptez une attitude provocante ou revendicatrice vous irez au-devant des ennuis. Côté finances, si vous savez rester raisonnable, les astres ne viendront pas vous mettre de bâtons dans les roues.
Santé : Vous serez peut-être en proie à des insomnies. Vous avez besoin de décompresser, mais vous y parviendrez seulement si vous sortez de la routine quotidienne. N'attendez pas d'être fatigué pour prendre soin de vous. Un massage vous ferait le plus grand bien.
Humeur : Semaine plutôt banale.
Horoscope de la semaine Lion
Amour : Pas de grands bouleversements dans la vie affective des célibataires, mais ils vivront de bons moments de complicité avec leurs amis et seront pleinement confiants en leur avenir sentimental. Les couples, eux, sont en recherche d'équilibre et d'harmonie. Ils auront droit à des moments inoubliables et les projets à deux iront bon train. Cette semaine marque un vent de liberté dans votre vie quotidienne et relationnelle.
Travail : Dynamique, rigoureux et efficace, vous faites largement vos preuves sur votre lieu de travail. Mais vous regardez vos performances avec un peu de distance car ce n'est pas ce qui vous préoccupe le plus. Vous chercherez à établir de bonnes relations avec votre entourage professionnel et à dépasser l'entente cordiale pour créer de vrais liens en profondeur. Si vous exercez un métier créatif, l'inspiration ne vous fera pas défaut. Les idées fleuriront sans que vous ayez à vous creuser la tête.
Santé : Vous démontrez une belle vitalité au quotidien. Profitez-en, car vous pourriez subir des influences plus ou moins néfastes et une chute d'énergie s'annonce dès la semaine prochaine. Alors ne la gaspillez pas, elle va vous êtes bien utile. Mettez le week-end à profit pour recharger vos batteries et faire le vide dans votre esprit. Vous ferez la fête une autre fois, pour l'instant vous avez besoin de bonnes nuits de sommeil.
Humeur : Vous êtes d'humeur joviale.
Horoscope de la semaine Vierge
Amour : Vous entrez dans une période positive. Tout s'arrange ! En couple, vous serez pris dans un tourbillon d'activités avec votre partenaire amoureux, vous allez profiter de son énergie. Vous ferez tout à deux et renouerez une complicité à toute épreuve. Célibataire, vous pourriez faire une belle rencontre. Soyez à l'affût des moindres remarques et des petites attentions. Montrez-vous sous votre meilleur jour et laissez faire l'ambiance positive de cette semaine.
Travail : La période qui arrive sera propice aux échanges et aux démarches en tout genre. Si votre métier implique des déplacements, vous aurez toute l'énergie pour les organiser et les mener à bien. Vous aurez de nombreux projets en tête, un associé ou un collaborateur pourrait enfin vous aider à en concrétiser au moins un ! Cette semaine, vous serez plus efficace si vous travaillez en équipe. Dans le secteur matériel, vous devrez rester vigilant ; ne prenez pas de risque inconsidéré.
Santé : Bon dynamisme et belle énergie. Vous pourriez entamer un petit régime dès le début de la semaine, ce sera une de vos bonnes résolutions mais ce sera surtout pour vous donner bonne conscience après les excès de ces derniers jours. Vous n'avez pas l'intention de changer votre mode vie et vous fuirez les donneurs de leçons !
Humeur : Semaine plutôt positive.
Horoscope de la semaine Balance
Amour : Vous devez prendre un peu de recul face à une situation familiale ou sentimentale complexe. Vous aurez besoin de vous mettre en retrait pour faire le point. Ne vous mettez pas martel en tête, le plus simple sera de dire ce que vous ressentez, avec un minimum de tact, bien sûr. Les personnes qui vous aiment vraiment feront preuve de bienveillance et seront attentives à votre bien-être. Célibataire, vous pourriez avoir un coup de cœur qui ne sera pas forcément réciproque.
Travail : Au travail, vous surmonterez facilement les quelques obstacles que vous trouverez sur votre route et des opportunités se présenteront. Cette semaine vous serez dynamique et efficace. Certains de vos collègues tenteront de vous détourner de votre but mais pour une fois vous serez clairvoyant, on ne vous fera pas prendre des vessies pour des lanternes. Vous ne serez pas très préoccupé par l'état de vos comptes en banque et vous ne devriez pas avoir de mauvaises surprises de ce côté-là.
Santé : Vous serez en excellente forme. Et si vous faisiez un peu de sport ? Vous avez un peu trop tendance à vous trouver de bonnes excuses pour ne pas reprendre la pratique d'une activité physique régulière. Même si vous n'êtes pas un grand sportif, il y a pourtant bien des activités qui pourraient vous convenir et vous permettraient d'entretenir votre forme.
Humeur : Les choses vont se débloquer.
Horoscope de la semaine Scorpion
Amour : Soumis à des influences explosives, vous ne serez pas à prendre avec des pincettes cette semaine. En couple, votre partenaire sera le premier à faire les frais de votre mauvaise humeur. Célibataire, vous vous montrerez particulièrement difficile dans le choix de votre partenaire potentiel, chez lequel vous ne souhaitez voir aucun défaut. S'il est bien d'être exigeant, prenez garde car en agissant de la sorte vous risquez de paraître réfractaire à toute rencontre.
Travail : Des contretemps risquent de vous retarder. Vous rejetterez la faute sur vos collaborateurs mais êtes-vous bien sûr qu'ils en portent l'entière responsabilité ? Puisque vous n'êtes qu'un des maillons de la chaîne, vous semblez avoir du mal à percevoir le projet sur lequel vous travaillez dans sa globalité. Cela vous rendra la tâche plus compliquée que prévu et vous n'avancerez alors pas aussi vite que vous le souhaitez.
Santé : Il va vous falloir adopter une meilleure hygiène de vie, votre manque de patience est en partie dû à un manque de sommeil et à une alimentation anarchique. Il est temps de faire mieux que de prendre des bonnes résolutions trop vite oubliées. Si vous voulez tenir la cadence, il faut arrêter de tourner autour du pot, imposez-vous des règles élémentaires : coucher à heure fixe, dîner léger, arrêt de l'alcool.
Humeur : Semaine plutôt stressante.
Horoscope de la semaine Sagittaire
Amour : Si votre charme est à son apogée, vous ne vous priverez pas d'en user et d'en abuser ! En couple, ne prenez pas de risques inutiles car vous allez bénéficier d'un joli climat amoureux. Un lien solide est en train de se construire, lentement mais sûrement. Alors, contrairement à vos habitudes, essayez de progresser de façon plus prudente dans votre relation. Pas de panique : votre intuition vous guidera.
Travail : Vous croulez sous les dossiers et les décisions à prendre, mais rien n'entravera votre envie de réussir. Profitez-en, vous bénéficiez d'une période où tout vous sourit. Même si les choses s'annoncent difficiles, elles n'en sont que plus motivantes. Vous sortirez de votre routine mais aborderez ce nouveau chemin avec confiance. C'est une nouvelle fois l'occasion de progresser.
Santé : La gourmandise ? Oui mais il faut savoir s'arrêter au bon moment. Cette semaine vous frisez la correctionnelle ! Entre les repas avec les amis, les petites pépites de boulangerie et les tentations incessantes nichées au fond de vos placards, il va falloir vous ressaisir ! Et pas seulement pour éviter de prendre du poids, mais aussi pour vous sentir moins fatigué et plus dynamique. Enfilez vite vos baskets et que ça saute !
Humeur : La notion de progression est essentielle cette semaine.
Horoscope de la semaine Capricorne
Amour : Ne vous attendez pas à des bouleversements époustouflants dans votre vie de couple, mais vous allez noter les signes annonciateurs du changement tant espéré durant cette semaine. Des événements positifs vont vous donner de l'espoir. Votre vie amoureuse va prendre un nouvel essor. Célibataire, ouvrez l'œil et le bon ! Dans les jours qui viennent votre horizon amoureux va s'élargir.
Travail : Vous obtiendrez enfin le feu vert de vos supérieurs pour entreprendre un projet auquel vous tenez beaucoup. Vous allez pouvoir prendre les choses en main et montrer de quoi vous êtes capable. Toutefois, vous allez devoir faire face à des imprévus ou des contretemps et votre patience sera mise à rude épreuve, mais c'est là que vous pourrez faire la différence. Le secteur des finances est plutôt calme et ne devrait pas vous causer de problème cette semaine.
Santé : Dans l'ensemble, vous bénéficierez d'une bonne énergie tout au long de la semaine. Vous ne manquerez pas de tonus et vous vous sentirez plus en forme car votre moral sera nettement meilleur. En effet, les petits troubles psychosomatiques vont disparaître avec le retour de votre joie de vivre.
Humeur : Cette semaine s'annonce laborieuse.
Horoscope de la semaine Verseau
Amour : Sauf erreur de votre part, vous avez toujours raison. Si vous continuez dans cette voie, le dialogue avec votre partenaire se transformera vite en monologue et surtout n'oubliez pas que sa patience a des limites. Vous savez que vous exagérez parfois, alors ne jouez pas avec le feu sinon une belle dispute vous pend au nez. Célibataire, ce n'est malheureusement pas le moment d'attendre un geste du hasard… Prenez votre mal en patience.
Travail : Vous vous laissez porter par la routine professionnelle, tranquillement, sans vous poser de questions. Méfiez-vous, car si vous souhaitez continuer dans cette voie-là, d'autres voudraient bien être à votre place quitte à ne pas toujours employer des moyens très fair-play. Côté finances, une pause dans les dépenses inutiles serait bienvenue car un pépin d'électroménager pourrait vous tomber dessus sans prévenir.
Santé : Attention cette semaine il faut surveiller votre alimentation. D'abord parce que vous avez fait de nombreux excès en tout genre et que votre organisme en paye le prix fort, ensuite parce qu'une nourriture saine et équilibrée, riche en vitamines notamment, boostera vos défenses immunitaires et vous aidera à éviter tous les petits virus qui traînent. N'hésitez pas à consulter un spécialiste pour des conseils sur les compléments alimentaires.
Humeur : La vigilance est de mise.
Horoscope de la semaine Poissons
Amour : Vous vous montrez très exigeant à l'égard de votre entourage et il en résulte de fréquentes disputes dont vous vous passeriez volontiers. Retournez vos prétentions contre vous-même et vous verrez que vos désidératas ne sont pas si simples à mettre en pratique. Si l'heure est au bilan, vous faites erreur en rendant vos proches responsables de votre manque d'optimisme. C'est à vous de remanier votre mode de vie pour qu'il soit mieux en adéquation avec vos aspirations.
Travail : Dans le secteur professionnel, cette période de bilan sera bien plus facile à gérer que dans le domaine affectif. Au boulot, vous ferez preuve d'un calme et d'un discernement à toute épreuve. Vous saurez fédérer une équipe et mettre tout le monde d'accord. Vous ferez office de médiateur et faciliterez la communication entre les différents services avec lesquels vous êtes amené à collaborer.
Santé : L'ambiance morose dans votre foyer vous donne l'impression de brasser du vent et vous ressentez le besoin de redistribuer votre énergie au travers d'actions concrètes et efficaces au travail. Ne fuyez pas trop longtemps les remises en question auxquelles vous devez faire face sur les plans intime et affectif ou vous allez finir par déprimer. Vous avez besoin de trouver un dérivatif : sport, art, lecture, musique… à vous de choisir.
Humeur : Ambiance changeante cette semaine.
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C'est les vacances !
L'année scolaire commençait à être vraiment trop longue. Avec le bac de français, j'ai été débordé ces derniers mois, alors que le tssa de touche-à-tout que je suis avait plein d'autres projets en tête. Je ne sais même pas si j'aurais le temps de tout faire, c'est peu probable car en route j'aurais surement trouvé de nouveaux projets qui s'accumuleront, mais c'est déjà bien d'avoir du temps.
Que penser de cette année scolaire ? Vsy pourquoi je me pose ce genre de questions...
Rien à dire de spécial. C'est passé vite, comme d'habitude j'ai tout trouvé facile, sauf quand un prof abuse COMME CE FOUTU PROF DE PHYSIQUE-CHIMIE
Ah bah si, y a des choses à dire.
Ahem. Mais c'est vrai, je n'ai rien compris à ses cours, car il enseigne mal. Tout le monde est d'accord sur ce point dans la classe, et moi j'ai bien vu ma moyenne chuter alors que le programme en enseignement scientifique est clairement plus léger et simple (car je suis en littéraire, même si je suis vraiment bon dans toutes les matières, c'est mon choix de me tirer une balle dans le pied). Je regarde une vidéo de 2 min sur un chapitre entier et je comprend mieux qu'en écoutant ses cours d'une heure... Et pour couronner le tout il nous sort des évals qui n'ont rien à voir avec le peu qu'on a appris !
Bref une arnaque, un prof n'a rien à faire dans un lycée quand Youtube est plus instructif.
Et le prof de français qui est pas mieux. Le gars il est sensé nous préparer au bac de français, eh bah je me suis dit qu'on était bien dans la merde. Le gars il n'explique rien explicitement, genre peut-être commencer par expliquer la méthode de l'analyse linéaire avant d'avoir fait la moitié des textes jsp ? Qu'on puisse savoir ce qu'il faut noter... Parce qu'il donne aucun cours, imprimé, normal vous me direz QUAND ON LE FAIT COPIER LE COURS. Oui il y a la prise de note, mais quand on sait même pas ce qu'on est en train de faire -il parle d'un texte du bac mais on sait pas exactement ce qu'on va y faire- bah tu notes pas ce qu'il faut. Résultat, pour tous les textes d'avant son "tient je devrais leur explique ce qu'est une analyse linéaire" bah mes notes sont nulles.
Puis le prof nous donne enfin les analyses linéaires imprimée des derniers textes. Au premier abord, c'est bien. Mais quand tu reconnais la fiche d'un élève random postée sur internet, tu te dis qu'il se fout de notre gueule quand même. Le gars est prof de français, il nous imprime des trucs qu'il a trouvé sur internet. Eh bah bravo, lui effectivement je sais pas ce qu'il fait pendant les vacances mais ça doit pas être du travail. Bref. Des fiches qui étaient pour la plupart vraiment pas ouf en plus.
Donc heureusement que je suis littéraire de choix et que j'ai fait mes propres analyses, parce que les autres je sais vraiment pas comment ils ont fait.
Alors à part ces deux phénomènes, tous les profs sont convenables. Mention spéciale à la prof de philo avec des discussions intéressantes. Je la cite, s'exclamant : "LES MANCHOTS VONT AUX PUTES !". Merci à une élève qui a trouvé intéressant de sortir cette information (il y a vraiment des études là-dessus, par contre regarde sur internet, c'est hors sujet) à l'occasion d'un débat "l'homme est-il un animal ?" BAH OUI ÉVIDEMMENT, c'est même le plus con de tous.
Mentions spéciale aussi à madame espagnol, très sympathique -trop gentille peut-être- qui m'a permis de collectionner les 20/20 dans cette matière. Vraiment, évaluations trop faciles, reportables... Bref pas compliqué d'avoir la note maximum.
Á propos des autres élèves de ma classe, ça n'a rien de méchant, rien de spécial.
Je suis quelqu'un de naturellement solitaire, j'évite volontairement les autres donc je ne connais pas très bien la classe. Cependant des téméraires ont décidé de me considérer comme leur ami malgré mon caractère fuyant et mon désintéressement total aux interactions sociales. C'est tout à leur honneur, et comme je ne suis pas méchant (aussi un peu parce que je cède aux menaces de ma sœur qui me voudrait plus sociable) je ne les repousse pas quand ils viennent me parler, je les écoute et leur répond toujours. Ça fait partit de mes valeurs.
La seule personne que j'ai spontanément envie d'aborder est mon amie de longue date, mais ça c'est parce qu'elle est aussi introvertie que moi, alors on parle pas énormément, j'essaie de la sociabiliser car contrairement à moi elle est timide, et on se comprend, on a aucune attente sociale.
Je parle ici des attentes de ces personnes qui veulent parler au moins une fois par jour à leur ami, et être assis à côté, sinon ce serait plus vraiment un ami. Je me rappelle ces filles de ma classe qui s'engueulent car une telle s'est pas assise à côté de l'autre, préfère machine à celle-ci... Moi à ces moments, je dis toujours "Voila pourquoi je ne fais pas d'alliances. C'est le début des disputes et de la jalousie."
Ces personnes qui me parlent, je vais les appeler "amis" car ils me considèrent probablement comme tel, moi je ne sais pas si je les voit comme des amis je m'en fiche un peu. Sauf mon amie de longue date, qui est mon amie je n'ai pas de doute là-dessus.
J'ai ainsi remarqué que ces personnes qui me parlent sont majoritairement des filles ! Pour être plus précis, je n'ai qu'un seul ami masculin. C'est beaucoup moins que quand j'étais en primaire et au collège, alors que j'étais une fille. Maintenant que je suis transmacsculin, je suis entouré de filles ! C'est hilarant. Écoute, moi ça me dérange pas du tout 😏
Donc ces amies, eh bien plutôt sympas et originales dans la majorité, tout ce que j'aime et c'est tant mieux. Il y en a que j'apprécie pas trop mais bon j'ai rien à leur reprocher de spécial, alors elles me parlent si elles ont envie hein.
Il y a une d'entre elles qui est lesbienne féministe radicale. Elle ne se définit pas comme tel, mais ce qu'elle dit correspond. C'est assez amusant, je trouve ça bizarrement sympa, quand elle me discrimine car je suis un garçon. C'est mieux ça que d'être considéré comme une fille ou discriminée en tant que fille. Quand ça arrive, bah je me sens vraiment garçon, et je me sens respecté (c'est contradictoire hein, je me fais discriminer, genre parce que je suis un garçon, cette chose négative). Je crois que c'est un peu en second degré qu'elle fait ça aussi, qu'elle le pense pas vraiment. C'est pour ça que je trouve que c'est sympathique et amusant. Et il n'y a rien de grave, donc ça renforce c'est impression. Je ne suis pas le genre de personne à me laisser faire, s'il y avait une raison je serais énervé.
Il y a une autre avec qui je m'entend super bien, on a plein de points communs. Cébi1.
Il y en a une qui me tape un peu sur les nerfs par son comportement, genre mettre 2 ans à te répondre, et aussi parce qu'elle est pas très fut fut je vais pas vous mentir. Mais bon elle a l'air de me considérer comme un ami, alors bon. Elle est pas méchante, elle le fait pas exprès. Mais moi je suis solitaire et j'ai pas de patiente, je préférerais clairement être seul.
Il y en a deux autres qui me parlent plus rarement. Au premier abord je n'ai pas vraiment d'affinité avec elles, et je n'ai pas apprécié l'un de leurs comportements dans les deux cas. Donc c'est pas des amies, des connaissances dans les deux sens je dirais.
Il y a une fille dans ma classe, j'ai l'impression qu'elle me déteste. Je l'ai remarqué par rapport à ses comportements vis à vis de moi, qui ont changé. Je la connaissais de la primaire, depuis c'est la première fois qu'on est dans la même classe. Je pensais qu'elle ferait parti de mes "amies", au début d'ailleurs ça allait dans ce sens mais son comportement a rapidement changé vers le négatif. Je ne comprend pas pourquoi, il ne s'est rien passé de spécial. Elle ne m'a rien dit à ce sujet, d'ailleurs elle me dit rien. J'ai tenté un interaction pour voir sa réaction, j'ai ramassé son écharpe qui était tombée, elle a juste dit merci et a continué sa route. Logik, mais c'était en mode ouais je suis sympa enfin montrer que j'ai pas de problème avec elle. Ça n'a rien changé. C'est un mystère, je comprend pas du tout. Je m'en fiche un peu. J'aime pas que les choses ne soient pas réglées mais bon, c'est elle qui a crée cette situation. J'ai laissé tomber. En plus elle s'est fait une couleur avec des reflets roux, c'est trop beau, elle est trop MIAM COMME ÇAEUH non j'ai rien dit c'était chelou.
Parfois je me dis que c'est fou que moi qui ne veut pas d'amis, ou pas trop, aie plein d'amis alors que des personnes timides qui en veulent sont seuls. C'est injuste, ça me fait un peu chier pour eux, mais je peux rien y faire.
Voila, une belle année à être emmerdé par deux profs et à emmerder mes "amies" à mon tour (oui car j'aime beaucoup embêter les filles héhé). C'est fou que ces filles continuent à me parler, enfin elles font ce qu'elles veulent.
#Je raconte ma vie#grandes vacances#vacances#vacances scolaires#année scolaire#scolaire#lycée#prof#profs#professeur#professeurs#amis#ami#amie#amies#bilan#bac#bac de français#ma vie
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Le diable est dans les détails
L’église catholique a longtemps eu droit de regard sur la vie des Québécois. Elle contrôlait le gouvernement, éduquait les enfants, soignait les malades et s’immisçait même dans les chambres à coucher d’un regard sévère et accusateur.
Ce n’est pas sans raison que le blasphème, les sacres, ce sont vite répandus afin de soulager un excès émotif.
Mais loin de se limiter au « caliss » et au « tabarnak », la langue québécoise regorge d’expressions au vocabulaire religieux. En plus du « rare comme de la marde de pape » que nous avons déjà abordé, voici quelques autres exemples:
Ambitionner su’l’pain béni
Abuser d’une situation avantageuse
Avoir du monde à la messe
Une foule, beaucoup de personnes
L’habit de fait pas le moine
Il ne faut pas se fier aux apparences
S’en aller chez le diable
Tomber en ruine, se détériorer, se diriger vers un échec.
(Ne pas confondre avec…)
Va donc chez le diable!
Va te faire foutre!
Se pogner le moine
Ne rien faire, perdre son temps
Accouche qu’on baptise
Dis tout de suite ce que tu as à dire
Pas le diable
(prononcé « pas l’yable »)
Pas beaucoup, presque rien.
Sentir le diable
Puer
Ça parle au diable!
C’est incroyable!
Le diable est aux vaches
(D’origine française, cette expression, désuète en France, est encore très utilisée au Québec.)
Plus rien ne va, c’est le bordel, le chaos
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Vous m’en direz des nouvelles !

À relire la Bible d’un œil mi-sérieux mi-sourire, on peut s’imaginer que le premier humain, ou plutôt la première humaine, qui utilisa cette expression, fut notre ancêtre à tous et à toutes, une nommée Ève. C’est elle en effet qui cueillit le fruit défendu et en parla à son compagnon Adam en lui tenant à peu près ce langage : « Goûtez-moi ça, mon ami, vous m’en direz des nouvelles! » (On voit par là qu’elle ne tutoyait pas Adam, car elle venait de faire sa connaissance et au début, on ne sait pas encore si ce sera du sérieux. D’autant qu’elle n’avait pas eu le choix, car à l’époque les hommes ne couraient pas les allées de l’Éden, Adam étant le seul de ce sexe.) Voyant que le fruit était appétissant, ce dernier croqua donc la pomme, mais déjà la première bouchée lui resta en travers de la gorge. (C’est à cause de l’organe qu’on appelle depuis lors la pomme d’Adam.) Les nouvelles n’étaient donc pas bonnes, mais elles allaient déjà vite, d’autant qu’un ange délateur avait noté l’infraction sur son calepin et en avait dressé procès-verbal en très haut lieu. Pour se défausser, Adam accusa Ève de l’avoir incité à la consommation prohibée. À l’entendre, il avait simplement voulu honorer le dicton « Ce que femme veut, Dieu le veut ! ». Or justement, et ce fut bien sa veine, ce jour-là, ce que femme voulut, Dieu ne le voulut point. Ève accusa à son tour le serpent de l’avoir séduite avec des sornettes – un serpent à sornettes, comme de bien entendu ! Dès lors Jahvé, car c’est ainsi que Dieu s’appelait en ces jours-là, décida de punir à la fois l’ophidien et nos premiers parents, celui-là en l’obligeant à se déplacer sur le ventre, ceux-ci à travailler à la sueur de leur front et à engendrer dans la douleur.
Vu ce début catastrophique, l’humanité aurait dû retenir la leçon en proscrivant tout bonnement l’expression. Mais le pli était pris, un faux pli bien sûr, dont aucun fer à repasser ne viendrait à bout. Ainsi, quand Ésaü rentra des champs tenaillé par une faim de loup, son frérot Jacob lui présenta, paraît-il, un bol de lentilles en lui disant : « Mange ça, mon vieux, tu m’en diras des nouvelles! » Or, sitôt avalé son plat préféré, Ésaü s’aperçut que les nouvelles étaient mauvaises. Car en avalant tout son content, il avait en même temps mangé son droit d’aînesse, c’est-à-dire celui de succéder à son père Israël et de devenir à son tour patriarche, avec tous les privilèges, héritages et honneurs dus à ce rang. À d’autres occasions encore, tout au long de l’Histoire sainte, des rois, des juges ou des prophètes offrent à boire ou à manger à des hôtes, si bien que le lecteur n’a aucune peine à imaginer qu’ils le font en usant et en abusant de cette formule. Même dans le Nouveau Testament on trouve des passages qui y font spontanément penser, sans qu’on veuille pousser au blasphème. Ainsi quand Jésus parle à la Samaritaine d’une eau qu’il suffit de boire pour ne plus jamais avoir soif, peut-on évoquer un tel breuvage et l’offrir à son interlocuteur sans ajouter : vous m’en direz des nouvelles?
Mais ces temps bénits ne sont plus. On est passé de l’eau de la vie éternelle à l’eau de vie tout court. À preuve, tel lointain cousin, que vous ne voyez qu’une fois par an – et encore, les années fastes ! – vous entraîne dans sa cave, où sont entassés des fagots. De derrière ces fagots, il sort une bouteille dont le contenu le fait sourire d’un œil malicieux et pour cause : ce liquide transparent est de sa propre distillation. C’est une eau de vie de mirabelles ou de quetsches titrant 45°, à laquelle vous n’échapperez pas. Vous avez beau l’adjurer que vous ne tenez pas l’alcool, que vous avez encore une longue route à faire et qu’entre boire et conduire, il faut choisir, il vous répliquera qu’on ne videra pas la bouteille, bien sûr, mais un petit verre, rien que pour le goût, ça n’a jamais fait de mal à personne ! « Viens t’asseoir au coin du feu et goûte-moi ce nectar, mon vieux, tu m’en diras des nouvelles! » Bien que votre for intérieur ne pense qu’au refus, vous poussez la politesse jusqu’à dire que « c’est pas de refus ». Vous levez le petit verre ad hoc, trinquez à la santé de la cantonade et laissez une petite gorgée vous brûler le palais, puis l’œsophage, enfin un coin d’estomac où une bataille se déclenche illico entre le jus de l’alambic et les acides gastriques.
Un autre jour c’est une vieille tante célibataire qui vous accueille dans sa cuisine tout emplie d’odeurs du même nom. En se penchant sur une marmite bouillonnante, elle vous jette un œil scrutateur et vous trouve une petite mine. Et de vous interroger : « Que fait ta femme ? Dans la direction d’une grande banque ? Oui, mais comme cuisine, comme nourriture, qu’est-ce qu’elle fait ? Du « light » pour le régime ? Mon Dieu, mais qu’est-ce qu’elles ont toutes de nos jours avec leur jus de carottes et leur brin de persil ? Ce qu’il te faut, c’est du solide, mon garçon, du costaud, du roboratif ! » Et ça tombe bien : elle a préparé du bœuf miroton. Elle est aux petits oignons à la fois avec vous et avec le plat qu’elle mitonne. De celui-ci elle coupera tout à l’heure une belle tranche bien trempée dans la sauce – également aux petits oignons – en pronostiquant : tu m’en diras des nouvelles !
Ce qu’il y a de navrant dans l’expression, c’est qu’elle présuppose une suite résolument favorable, à laquelle l’interlocuteur poli n’a aucun moyen de se soustraire. En effet, à moins d’insulter les convenances, jamais il ne pourra exprimer une réserve, encore moins une critique. Quant à dire qu’il a trouvé cela « carrément dégueulasse », même et surtout si c’est le fond de sa pensée, voilà qui est tout à fait inconcevable. Bref, les nouvelles qu’il en rapportera ne pourront être que bonnes, voire excellentes ! Au point que même un silence poli ou une abstention ne fera pas l’affaire. Quand on vous promet que vous en direz des nouvelles, on ne saurait se contenter d’un hochement de tête ou d’un accord tacite. On attend au contraire des propos élogieux accompagnés d’ovations nourries. Rien à voir avec les nouvelles que votre facteur vous apporte. Celles-ci sont tantôt bonnes, tantôt des feuilles d’impôts ou des faire-part de deuil. Or, les nouvelles dont il s’agit ici échappent à cette règle : dès que vous êtes incité à les exprimer, elles ne sauraient être que prometteuses, regorgeant de vertus insoupçonnées.
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Quelques règles élémentaires pour rp avec moi
- Ecrire dans un français correct (les fautes sont acceptées mais faut pas abuser non plus) - Les rps peuvent se faire en message privé ou en commentaires - Il est possible de faire plusieurs rps en même temps entre une personne et moi (pas plus de deux ou trois rps en même temps) - Les rps se font en version roman (un rp détaillé donne plus envie de répondre qu'un rp sommaire) - Je peux faire de l'hétéro ou du Yaoi (mes persos féminins sont uniquement hétéros, mes persos masculins peuvent être hétéros ou homo) - Si mes perso ne vous conviennent pas, il y a possibilité que je fasse un perso sur mesure pour rp avec le vôtre - Je fais uniquement des rps séparés (pas de perso réservé pour quelqu'un en particulier) - Pour demander à rp avec un de mes persos, un minimum de politesse est requis (un bonjour/bonsoir, un s'il te plait ne font pas de mal) - Discuter entre créas est un plus (on est des êtres humains avant tout) - Du lemon est envisageable mais ne sera pas le fil conducteur de mes rps (si vous voulez faire du cul, il y a des sites fait pour ça) - Je ne demande pas un nombre particulier de lignes pour les réponses mais écrivez au moins quelques lignes (si vous écrivez plus, tant mieux mais n'allez pas me faire des romans non plus) - N'hésitez pas à rendre le rp vivant (passer du rire aux larmes, de la colère à la peur, etc), ça sera que mieux - Le viol, la torture et autres "douceurs" du genre sur mes persos sont interdits, de même que la mort car cela signifie la fin pure et simple du rp - Si le rp ne vous intéresse plus, n'hésitez pas à me le dire - Dernière chose pour rp, AMUSEZ-VOUS! Sur ce, bonne visite sur mon blog! ^^
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Vendredi 14 Mars 2025
Zachée rencontre Jésus
"Zachée courut en avant, monta sur un sycomore pour voir Jésus, car il allait passer là [...] Jésus le vit et lui dit : Zachée, descends vite, car il faut que je demeure aujourd'hui dans ta maison. Vite, il descendit et le reçut avec joie." Luc 19. 4-6
On connaît la sympathie de Jésus pour les pauvres, les malheureux. Un riche s'approche de lui : comment sera-t-il reçu ?
Zachée est un publicain, c'est-à-dire qu'il est responsable de lever les impôts au profit de Rome, la puissance qui occupe Israël. Cette fonction rapportait beaucoup d'argent, surtout si on gardait pour soi une part abusive des contributions versées par le peuple. Mais du coup, cette occupation provoquait un rejet du peuple contre le « traître » qui pactisait avec le colonisateur pour s'enrichir.
Zachée est riche, mais cela ne le rend pas heureux. L'argent n'apporte aucune réponse à ses interrogations. Il cherche autre chose. Il veut rencontrer Jésus pour se faire une idée sur cet homme qui attire les foules et qui fait bon accueil aux exclus : "Il cherchait à voir Jésus, qui il était" (v. 3). Alors, à cause de sa petite taille, il n'hésite pas à monter dans un arbre.
Jésus répond à son désir au-delà de son espérance : il s'invite chez lui. Zachée lui déclare comme il pratique son métier : "Voici, Seigneur, je donne la moitié de mes biens aux pauvres ; et si j'ai fait tort à quelqu'un par une fausse accusation, je lui rends le quadruple" (v. 8). Á ces propos, Jésus reconnaît un "fils d'Abraham" (v. 9). Comme Abraham, Zachée ne craint pas de remettre en question beaucoup de choses dans sa vie. S'il ne quitte pas matériellement son pays, il renonce à bien des privilèges liés à son métier.
Aussi Jésus ne craint pas d'aller chez cet exclu, soulevant contre lui une réprobation unanime : "Voyant cela, tous murmuraient et disait qu'il était entré chez un pécheur" (v. 7). Mais il reconnaît en lui un homme de foi en recherche, conscient de sa pauvreté spirituelle. Il fait partir de ceux que "le Fils de l'homme est venu chercher et sauver" (v. 10).
Être conscient de notre misère et rechercher d'autres valeurs que celles que ce monde offre, voilà ce que Jésus attend de nous. Il pourra alors être encore plus proche de nous, nous combler de joie et de bénédictions.
Source (Plaire au Seigneur)
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Addiction et drogues dures..
Le drame de la drogue ne se définit normalement pas seulement par la prise d'un produit interdit (ou plus... si affinités !), mais par un phénomène annexe, plus dramatique que le premier, qui se nomme ''l'addiction''. Ce mot anglais est passé dans le franglais actuel, préféré au mot français ''dépendance'' qui désigne pourtant ''une envie irrépressible et répétée de faire ou de consommer quelque chose en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire''. Etrangement, cette définition fait l'amalgame entre, par exemple, le sport ou la lecture... et le cannabis ou la cocaïne...
Mais comme rien n'est jamais simple, les champs d'application de la dépendance sont multiples, et on peut en trouver des manifestations là où, normalement, on devrait les attendre le moins. J'ai d'ailleurs découvert, récemment, un nouveau ''variant'' de cette nouvelle pandémie qui vous, qui nous concerne, tous ! (''Pandémie'' ? Pourquoi se gêner ? Nos gouvernants, du haut de leur immense ''perspica-cécité'', attribuent ce qualificatif à n'importe quel virus qui fait son métier de virus et n'est en rien responsable des folies commises en son nom sans la moindre raison objective. Je ne vois pas pourquoi moi, je devrais me montrer plus sage qu'eux !),
Nouveau virus, donc, et nouvelle ''pandémie'' (sic !), entraînant une nouvelle ''dépendance''... le sujet méritait bien un ''édito'', non ? Je ne vais donc pas vous laisser sur le gril plus longtemps, chers Amis-lecteurs, et je vais vous révéler le nom de la nouvelle coqueluche –addictive, elle-- de notre microcosme politique dont les membres sont soit pour soit contre, ou s'en foutent, ''comme d'hab''. Cette pandémie terrifiante a, comme les autres ou comme les ouragans, ces temps derniers, reçu un nom : elle s'appelle ''le 49-3'' et, comme disait la Fontaine dans ''Les animaux malades de la peste'', ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés... en tout cas tous ceux qui font partie de la phalange macronienne qui n'ont pas encore compris qu'ils n'avaient pas compris qu'ils n'avaient rien compris ! Je vous avais promis de vous en reparler, de ce 49-3 ? Promesse tenue.
Car où que l'on pose les yeux sur notre ''représentation nationale'', qui est de moins en moins l'une et plus du tout l'autre, on est sûr de croiser un ''49-3'' qui se cherche une piste d'atterrissage. ''Tiens, disent les anciens habitués de ce qui fut une démocratie... encore un 49-3 qui passe''... si vite qu'on l'aperçoit à peine ! Après tout, dit Théodecte (NB : c'est ''le Bavard'', dans les Caractères de la Bruyère), ce n'est que le 17 ème depuis qu'Elisabeth borne les ébats et les débats, mais tous les espoirs nous sont permis. Elle ne juge même plus utile de se déplacer (elle a d'ailleurs raté le dernier épisode, le 13 novembre dernier : elle avait un truc plus important à faire !). Et au fond, le précédent ne datait que de la semaine d'avant, et il ne faut pas abuser des bonnes choses (cette maîtrise dans l'exercice de son addiction sera portée à son crédit, le jour du jugement dernier, c'est sûr !).
Addiction, accoutumance... cette ''vapoteuse'' (donc ex-dépendante du tabac) devrait savoir de quoi elle parle : elle est ''accro'' à ne pas pouvoir se passer de son vice, même dans ''l'Hémicycle'', au point de se faire ''tancer'' comme une sale gosse qui met ses doigts dans son nez ! Il faut dire que, en plein milieu du ''mois sans tabac'', ça fait désordre ! Mais bon... on ne va pas en faire tout un plat : elle ne fume pas, vous a-t-on dit, puisqu'elle elle vapote. Et même, elle me manque pas de souffle : une bouffée... un 49-3... une bouffée... un 49-3... une bouffée... En la voyant tellement à son aise dans ses addictions, il m'arrive de regretter parfois de n'avoir jamais eu ce problème, n'ayant jamais réussi à fumer une seule cigarette... que dis-je !... à ''tirer une seule bouiffe'', malgré l'envie qui me taraudait souvent.
C'est que ''in illo tempore'' (je le dis en latin, parce que ça remonte à ''y a très longtemps'' !) en ce temps-là, donc, cette addiction (au tabac, bien sûr ! Pas au 49-3 –qui est une prérogative macronienne, à ce degré), était synonyme de vraie virilité. Dès la cinquième, les ''redoublants'', qui avaient déjà embrassé une fille, nous écrasaient de leur mépris hautain en tirant sur leur Camel ou leur Philip Morris... en adoptant la gestuelle de James Dean ou de Marlon Brando (c'était un temps où on osait être ce qu'on était, et où on n'intervertissait pas encore les rôles respectifs de la chevelure et du menton).
Question (à ce jour non résolue) : une goulée de 49-3 procurerait-elle la même impression de toute-puissance et d'invincibilité qu'une bouiffe de Gauloise dans les années '50 ? C'est en pensant à ça que j'ai été amené à me demander si le phénomène ''vote bloqué'' ne procurait pas, comme les autres moyens susceptibles de générer une ou des addictions, une impression de sécurité, de cylindrée virile, de toute puissance occulte... créant ainsi, insidieusement et odieusement, un besoin irré-quelque-chose-able-ou-ible d'addiction à cette addiction, une sorte de ''syndrome d'Obélix''. Car si tel était le cas, il serait peut être sage d'envisager la création d'un ''mois sans 49-3'' ?
En somme, ''cigarette, cannabis, ou 49-3,... même combat'' ! En cas de crise, de doute, de crainte... une aspiration de 49-3, et Hop ! on se sent comme Astérix lorsqu'il s'est tapé une gourde (mais non, je ne parle pas de Mme Borne ! Mais qu'alliez vous penser ? Vous devez être complotiste !) de potion magique. Le seul ennui, c'est que l'excès appelant la surenchère, on sait où ça commence, mais on ne sait pas où on finit... Imaginez que l'évolution de cette dépendance soit similaire à celle des autres addictions connues : Madame notre Premier Ministre aurait alors un besoin irrépressible de sa dose de 49-3 quotidienne, et elle sauterait allègrement par dessus tout vote ''normal'' dans l'Hémicycle transformé en ''lieu de deal'', avec des députés LFI dans le rôle des ''choufs''. Déjà qu'on vient de découvrir que, au Sénat, on ''deale'' l'extasy quand on veut entraîner une députée... à la chambre... Tous les désespoirs sont donc permis : ''Buvez donc ce breuvage, chère amie : j'y ai versé en douce une rasade de 49-3 !''
Allons ! Comme en toute chose, la solution n'est évidemment pas dans l'excès. Le plus sage, pour Mme Borne, aurait été de ne jamais commencer, mais maintenant qu'elle les a dépassées (les bornes, bien entendu !), le mal est fait, il ne reste plus qu'à appointer grassement un bon addictologue à l'Assemblée nationale et un autre à Matignon : dans les flots de la gabegie du ''quoi qu'il en coûte'', ça ne se verra même pas ! Et puis, mieux vaut ça, paraît-il, que l'addiction à d'autres drogues encore plus dures… qui durent. A quelque chose, notre malheur serait bon !
Cependant, vous allez voir les cataractes de 49-3 qui vont nous tomber sur la cafetière, avec le vote de l'inutile loi, néfaste et –ou ''parce que''?-- dite Darmanin, prétendument contre l'immigration... qu'elle va, de fait, mieux ''con-trô-ler'' –ce qui n'a jamais voulu dire ni ''ralentir''... ni ''arrêter'', comme il le faudrait. Nos nuls (je veux dire : les députés des partis qui se coalisent pour garder le pouvoir ''quoi qu'il nous en coûte'') appellent action leur inaction et croient que le salut de la Nation dépend du seul ''contrôle'' : plus il sera tatillon, plus les problèmes se résoudront d'eux-mêmes ! Ah ! Les cons ! Leur seule ambition est de défaire tout l'excellent travail qu'ont fait, sur ce texte, nos Sénateurs... On va comprendre notre douleur un peu plus tard, lorsqu'on constatera que l'immensité de l'addiction-dépendance de nos ''élus du peuple'' (lequel ? J'ai beau chercher...) à ce ''49-3'' de malheur nous a définitivement mis ''dans la gueule du loup'', avec ce loupé !
H-Cl.
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