#magasin de jouets
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nfavocats · 2 months ago
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Comment racheter un fonds de commerce de magasin de jouets en bois
Comment racheter un fonds de commerce de magasin de jouets en bois
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peluchetortue · 4 months ago
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shopibest · 2 years ago
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random-brushstrokes · 3 months ago
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Timoléon Marie Lobrichon (French, 1831–1914) - La vitrine du magasin de Jouets
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pompadourpink · 2 months ago
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Children's story - Corduroy
Corduroy is a bear who once lived in the toy department of a big store. Day after day he waited with all the other animals and dolls for someone to come along and take him home. The store was always filled with shoppers buying all sorts of things, but no one ever seemed to want a small bear in green overalls. Then one morning a little girl stopped and looked straight into Corduroy's bright eyes. “Oh, Mommy!” she said. “Look! There's the very bear I've always wanted.” “Not today, dear.” Her mother sighed. “I've spent too much already. Besides, he doesn't look new. He's lost the button to one of his shoulder straps.” Corduroy watched them sadly as they walked away. “I didn't know I'd lost a button,” he said to himself. “Tonight I'll go and see if I can find it.”
Corduroy est un ours qui vivait autrefois dans le rayon jouets d'un grand magasin. Jour après jour, il attendait, avec tous les autres animaux et poupées, que quelqu'un vienne le chercher pour le ramener chez lui. Le magasin était toujours rempli de clients qui achetaient toutes sortes de choses, mais personne ne semblait vouloir d'un petit ours en salopette verte. Un matin, une petite fille s'arrêta et regarda droit dans les yeux brillants de Corduroy. « Oh, maman ! dit-elle. « Oh, maman, dit-elle, regarde ! Voilà l'ours que j'ai toujours voulu ! « Pas aujourd'hui, ma chérie ». Sa mère soupire. « J'ai déjà dépensé trop d'argent. En plus, il n'a pas l'air neuf. Il a perdu le bouton d'une de ses bretelles ». Corduroy les regarda tristement s'éloigner. « Je ne savais pas que j'avais perdu un bouton », se dit-il. « Ce soir, j'irai voir si je peux le retrouver. »
Late that evening, when all the shoppers had gone and the doors were shut and locked, Corduroy climbed carefully down from his shelf and began searching everywhere on the floor for his lost button. Suddenly he felt the floor moving under him! Quite by accident he had stepped onto an escalator – and up he went! “Could this be a mountain?” he wondered. “I think I've always wanted to climb a mountain.” He stepped off the escalator as it reached the next floor, and there, before his eyes, was a most amazing sight – tables and chairs and lamps and sofas, and rows and rows of beds. “This must be a palace!” Corduroy gasped. “I guess I've always wanted to live in a palace.” He wandered around admiring the furniture. “This must be a bed,” he said. “I've always wanted to sleep in a bed.”
Tard dans la soirée, lorsque tous les clients furent partis et que les portes furent fermées et verrouillées, Corduroy descendit prudemment de son étagère et commença à inspecter le sol pour trouver son bouton perdu. Soudain, il sentit le sol bouger sous lui ! Tout à fait par hasard, il était monté sur un escalator - et il montait ! « Est-ce que c'est une montagne ? se demande-t-il. « Je crois que j'ai toujours voulu escalader une montagne ». Il descendit de l'escalator au moment où celui-ci atteignait l'étage suivant, des tables, des chaises, des lampes, des canapés et des rangées de lits. « C'est sûrement un palais ! s'exclame Corduroy. « Je crois que j'ai toujours voulu vivre dans un palais. » Il se promène en admirant les meubles. « C'est sûrement un lit », dit-il. « J'ai toujours voulu dormir dans un lit. »
And up he crawled onto a large, thick mattress. All at once he saw something small and round. “Why, here's my button!” he cried. And he tried to pick it up. But, like all the other buttons on the mattress, it was tied down tight. He yanked and pulled with both paws until POP! Off came the button – and off the mattress Corduroy toppled, bang into a tall floor lamp. Over it fell with a crash! Corduroy didn't know it, but there was someone else awake in the store. The night watchman was going his rounds on the floor above. When he heard the crash he came dashing down the escalator. “Now who in the world did that!” he exclaimed. “Somebody must be hiding around here!” He flashed his light under and over sofas and beds until he came to the biggest bed of all. And there he saw two fuzzy brown ears sticking up from under the cover. “Hello!” he said. “How did you get upstairs?”
Il s'est mis à ramper sur un grand et épais matelas. Tout à coup, il vit quelque chose de petit et de rond. Il s'écria : « Voilà mon bouton ! » Et il essaya de le ramasser. Mais comme tous les autres boutons du matelas, il était bien attaché. Il tira avec ses deux pattes jusqu'à ce que POP ! le bouton se détache et Corduroy tomba du matelas, heurtant de plein fouet un grand lampadaire. Celui-ci tomba avec fracas ! Corduroy ne le savait pas, mais il y avait quelqu'un d'autre d'éveillé dans le magasin. magasin. Le veilleur de nuit faisait sa ronde à l'étage du dessus. Lorsqu'il entendit le fracas, il descendit précipitamment l'escalator. « Qui diable a fait ça ? s'exclama-t-il. « Il doit y avoir quelqu'un de caché dans les environs ! » Il passa sa lampe en dessous et au-dessus des canapés et des lits jusqu'à ce qu'il arrive au plus grand des lits. Et là, il vit deux oreilles brunes et duveteuses qui sortaient de la couverture. « Bonjour ! » lui dit-il. « Comment est-ce que tu es arrivé à l'étage ? »
The watchman tucked Corduroy under his arm and carried him down the escalator and set him on the shelf in the toy department with the other animals and dolls. Corduroy was just waking up when the first customers came into the store in the morning. And there, looking at him with a wide, warm smile, was the same little girl he'd seen only the day before. “I'm Lisa,” she said, “and you're going to be my very own bear. Last night I counted what I've saved in my piggy bank and my mother said I could bring you home.” “Shall I put him in a box for you?” the saleslady asked. “Oh, no thank you,” Lisa answered.
Le gardien a mis Corduroy sous son bras et a pris l'escalator pour le ramener à l'étage en dessous et l'installa sur l'étagère du rayon jouets avec les autres animaux et poupées. Corduroy se réveillait à peine lorsque les premiers clients entrèrent dans le magasin le matin. magasin le matin. Et là, le regardant avec un large et chaleureux sourire, se trouvait la même petite fille qu'il avait vue la veille. « Je m'appelle Lisa, dit-elle, et tu vas devenir mon ours rien qu'à moi. Hier soir, j'ai compté ce que j'avais économisé. Hier soir, j'ai compté ce que j'avais économisé dans ma tirelire et ma mère m'a dit que je pouvais te ramener à la maison. « Est-ce que je vous l'emballe ? » demande la vendeuse. « Oh, non merci », répond Lisa. And she carried Corduroy home in her arms. She ran all the way up four flights of stairs, into her family's apartment, and straight to her own room. Corduroy blinked. There was a chair and a chest of drawers, and alongside a girl-size bed stood a little bed just the right size for him. The room was small, nothing like that enormous palace in the department store. “This must be home,” he said. “I know I've always wanted a home!” Lisa sat down with Corduroy on her lap and began to sew a button on his overalls. “I like you the way you are,” she said, “but you'll be more comfortable with your shoulder strap fastened.” “You must be a friend,” said Corduroy. “I've always wanted a friend.” “Me too!” said Lisa, and gave him a big hug.
Et elle a ramené Corduroy chez elle en le tenant dans ses bras. Elle monta en courant les quatre étages, entra dans l'appartement de sa famille et se rendit directement dans sa propre chambre. Corduroy cligna des yeux. Il y avait une chaise et une commode, et à côté d'un lit de petite fille se trouvait un petit lit de la bonne taille pour lui. La chambre était petite, rien à voir avec l'énorme palais du grand magasin. « C'est sûrement une maison », dit-il. « Je sais que j'ai toujours voulu avoir une maison ! Lisa s'assit et mit Corduroy sur ses genoux et commença à coudre un bouton sur sa salopette. « Je t'aime comme tu es, dit-elle, mais tu seras plus à l'aise avec ta bretelle attachée. « Tu es sûrement mon amie », dit Corduroy. « J'ai toujours voulu avoir un ami. » « Moi aussi », dit Lisa, et elle le serra dans ses bras.
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fidjiefidjie · 3 months ago
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Bonjour, bonne journée ☕️ 🧸
Devant la vitrine d'un magasin de jouets à Dagenham 🇬🇧 Angleterre 1950
Photo Ronald Startup/ Getty Images
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lounesdarbois · 2 months ago
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Gustave Doré dessine les ouvriers de Londres
Les commentaires les plus profonds sur l'Angleterre sont l'œuvre de Français. Jules Vallès, Céline, Morand, Hippolyte Taine et bien d'autres ont compris ce pays et ses mœurs comme si c'étaient les leurs. Nul n'est prophète en son pays. Le grand peintre figuratif de l'ère victorienne est le français James Tissot, mais c'est Gustave Doré qui demeure avec son album de 1872 London a pilgrimage, le principal sociologue par le dessin de l'envers du décor d'une société au sommet de son empire sur le monde.
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Tout français qui assume sa sensibilité d'artiste, une fois introduit dans les centres décisifs de Londres est un enfant dans un magasin de jouets. Pour visualiser ce qu'était cette ville en 1872 il faut d'abord imaginer son fleuve large comme quatre fois la Seine. Une eau verte et grise battue par les vents, vaste comme la mer. Sur cette étendue avancent à pleines voiles des bateaux de toutes tailles, dans toutes les directions, penchés sur l'eau par la force du vent, des myriades de bateaux qui vont chacun leur chemin, et d'autres amarrés par grappes ensemble ça et là au hasard, immobiles avec leurs gréements nus, chaque rive garnie de colonnes de navires au mouillage alignés par dizaines comme des voitures au péage. Si bien qu'en levant le regard sur ce paysage dantesque ce sont des centaines de bateaux qui apparaissent, et qui deviennent des milliers de bateaux jusqu'à l'horizon.
Et sur chaque rive de ce fleuve s'étend une ville, et dans cette ville voici une population de travailleurs qui circule, qui entre et sort des bâtiments, une colonie humaine innombrable qui fourmille sous tous costumes, uniformes, fardeaux, qui est là dans les rues bondées, dans les étages, par les fenêtres, sur les quais, sur les bateaux. Partout la vie, le travail, l'avenir.
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De 1560 à 1960, quatre siècles ont nourri Londres la chétive, à la petite cuillère. Cette cuillère fut l'arrivage continuel des navires coloniaux chargés de marchandises, régime qui fortifia un corps entier, développant les muscles l'un après l'autre. Les quais. Les hangars. Une Venise rationalisée. La ville était creusée de rues aquatiques garnies d'installations inventées pour fluidifier le trafic des bateaux : débarcadères douaniers, entrepôts étanches, péniches grutières, corderies, leviers sur pivot hydraulique, tourelles de mâtage, guichets d'examen d'échantillons, stations de pesage, zones de tri, wagonnets de transbordement. Des quais longs comme des routes, les hangars les plus hauts jamais vus, des murailles de 10 mètres pour empêcher les voleurs d'attenter au trésor de l'Angleterre. Et pour servir ces équipements était la foule immense des travailleurs prolétaires de tous âges, avec leur famille.
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Peu d'hommes ont ce don du témoignage exact. Pascal l'avait pour la condition humaine, Doré pour les sociétés vivantes. Ses illustrations de Dante et des Fables sont connues. Son art culmine dans son Pèlerinage à Londres au moment où cette ville était le premier port du monde, le convecteur de millions de tonnes de marchandises par jour. C'est cette accumulation du capital par l'accumulation de marchandise qui engendra en ce même endroit à la fois Rotschild et Marx, le keynésianisme et Mosley, Charles Darwin et John Wesley, les Lords du commerce et les cockneys manutentionnaires. Tous les contraires, toutes les dualités radicales se sont forgées ici sans pourtant se heurter jamais. Extériorisant sur le continent ses contradictions comme un corps fiévreux sue pour guérir, l'Angleterre n'était plus la proie d'aucun trouble interne majeur depuis Cromwell, deux siècles auparavant.
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Le cœur du monde bat calmement. Cette scène de déjeuner à Epsom, improvisé sur les calèches arrêtées au milieu des foules allant et venant, le rappelle. Chaque visage y est comme la nuance amusante et spéciale d'un type physique général. Amusantes jeunes femmes tête couverte dans leur chale de laine, gracieux attelages, chevaux comme des cygnes à l'encolure courbée. Mais pour qu'une seule de ces dames en leur maison georgienne capitonnée de tapisseries afghanes, puisse prendre son thé indien dans une tasse Wedgwood, il a fallu que se lèvent aux aurores des milliers d'ouvriers, de porteurs, de sherpas, de soldats, de matelots. Des hommes payés pour trouver, acheminer, façonner, sécuriser, entreposer. Doré rend justice à ces hommes.
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Observez ces portefaix qui ploient sous leur fardeau. Il s'agit de ballots de thé du Sri-Lanka, de sacs de sucre de Jamaïque, de rouleaux de tapis d'Iran, de caissons de marmelades d'Égypte, de piles de peaux de bêtes du Canada, de tonneaux de vin cuit du Portugal, de mille articles nouveaux dont la nouvelle bourgeoisie raffole. D'autres navires arrivent chaque jour d'Australie, de Fidji, de Singapour. Ces hommes en vident les cales puis les chargent à nouveau de laine, de gin, de houblon avant que ces cargos reprennent la mer vers l'Inde, la Chine, la Tanzanie.
Londres est une grande roue et ce rude prolétariat est attelé à ses rayons. La rotation continue qu'ils impriment projette le surplus au dehors et attire les nutriments à l'intérieur, force giratoire véloce en son pourtour et tranquille en son centre. Le cœur du monde bat son rythme.
Londres serait restée une banale cité-pirate comme l'ont été Tyr, Nhatrang, Alger ou Istanbul à certaines époques, si elle n'avait pris le parti de retravailler les matières premières obtenues à l'étranger en des produits manufacturés à vendre. En cela Amsterdam avait précédé Londres dans le grand idéal colonial d'une ville européenne à la fois enracinée dans son monde propre et irriguée de ce que le monde alentour offre de meilleur (l'exact contraire d'aujourd'hui). Idéal assez fort pour partir fonder outre-mer d'autres Londres: Singapour, Hongkong, Sydney.
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Ces hommes se laissent pousser la barbe et rasent la moustache, précepte religieux observé encore de nos jours par les Amish et les Salafi.
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Et ce manutentionnaire de troisième étage de hangar de Millwall, arc-bouté sur son palan à 12 mètres au-dessus du sol, pour l'attirer dans la chambre de stockage, n'est-il pas là, présent devant nous? Gustave Doré a su voir l'extraordinaire dans l'ordinaire de son époque.
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Doré dessine non pas la foule dépareillée, bordéleuse et rapace que nous coudoyons de nos jours mais un peuple au travail. Un peuple physique, religieux, pauvre, heureux, un peuple chantant, varié, et blanc (albe, albinos, "Albion"). L'Angleterre est la synthèse de l'Europe, l'estuaire de la Tamise a tamisé les hommes du continent venus remonter son courant, et ce fleuve est le déduit filtrant du continent dont il n'a gardé que le suc, d'où cette grammaire simplifiée qui est la partie visible, audible, de soubassements plus profonds.
Londres est le pèlerinage continuel des européens initié par le peuple français dès 1066, et quelque ennemi que l'on puisse être de ses Whigs, des cruelles manœuvres de son Foreign Office, de l'Intelligence Service activateur de guerres, de ses Churchill bouffis et autres donneurs d'ordre par téléphone, un Français peut regarder Londres comme une partie de lui-même enfuie ailleurs il y a longtemps. L'expatriation ressemble parfois au remembrement, ou au souvenir (to remember).
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Les professeurs gauchistes nous ont rebattu les oreilles avec la notion d'exploitation du travailleur. Le style crayonné et grisaillant de Doré semble parfois forcer le trait en ce sens. Pourtant sommes-nous mieux ou moins biens lotis que ces bougres dessinés par Gustave Doré? Il a dépeint tout ce dont nous manquons aujourd'hui. Un peuple autour de soi, nombreux, cohérent. Du travail assuré. Dix enfants par foyer. Le mouvement, l'entraide, l'action concrète sur les choses. Gustave Doré montre la vie vivante comme nous ne l'avons jamais vue. Elle a existé. Autant d'éléments impensables en nos temps d'abstraction et de dépeuplement qui n'en finissent plus. Rappelons que depuis 30 ans un Français peut à peine trouver du travail dans son propre pays, ou se marier avec une femme de chez lui, ou enfanter, ou acheter un foyer décent. Les rues sont vides, les villages morts, les gens éteints, et pour chaque Français qui se tient bien dix hyènes venues de l'enfer convoitent son pain, son travail, sa maison, sa femme, sa voiture, son argent.
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Revoyons la richesse objective des travailleurs pauvres de 1872, cent fois plus substantielle que notre fausse monnaie actuelle. Richesse d'enfants nombreux, abondance d'avenir meilleur, profusion de chansons de marins et de territoire à soi, ressources de bon sens paysan et de religion stable. Le moindre immeuble accueillait dix familles blondes autour d'un feu sous une marmite suspendue. Un simple manutentionnaire avait un logement comprenant sous-sol, étage et grenier, il était père de sept enfants et la vie portait tout cela. À bien y regarder, la pauvreté d'hier est un luxe aujourd'hui. Ces prolétaires logeaient en plein centre-ville dans des maisons individuelles avec jardinet. On les voit manger des huîtres chaque jour, le plat du pauvre. Ils circulent en confiance dans des rues à eux. Ces joies devenues payantes sont aujourd'hui des privilèges de millionnaires.
Dieu a voulu des inégalités, pas des injustices. Gustave Doré montre en 1872 une société très inégalitaire et assez juste. La société actuelle est à la fois égalitaire et injuste. Que le tout-venant s'installe chez vous à égalité avec vous comporte une note d'obscènité en plus du degré d'extrême injustice. Le pouvoir le sait, le veut. Tout est là.
Pour accomplir un travail très physique la classe ouvrière se sélectionnait elle-même dans la partie la plus saine du peuple. Elle avait l'éthique du travail bien fini, la fierté de sa maîtrise physique, technique, d'outils de production d'importance vitale pour la survie commune. L'Angleterre a tôt choyé ce précieux capital humain: maisons individuelles, viande abondante, premiers systèmes d'entraide mutuelle pour les accidentés. Il y eut un Proudhon anglais un peu plus tardif que le nôtre, ce fut William Morris.
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Que reste-t-il de ce peuple ouvrier aujourd'hui ? Il reste la Culture. Tout d'abord leurs clubs de football, montés à partir de 1868. West Ham United pour les ouvriers des forges et l'emblème des deux marteaux croisés, Millwall Football Club pour les manutentionnaires des docks de Millwall, Arsenal FC pour les fondeurs de canons etc. Tout le mouvement skinhead, l'esthétique Fred Perry, Ben Sherman, butcher coat, gingham shirt, et avant eux les Black Shirts, les Teddy boys, les Mods, et tant de chansons, tout cela provient de l'héritage ouvrier d'une période légendaire. Londres est la seule ville connue où le prolétariat fut producteur d'une Culture. C'est un fruit involontaire et magnifique d'une Monarchie chrétienne donné aux pauvres: la stabilité. Au contraire la république soi-disant française, avec ses neuf révolutions et guerres par siècle a sadiquement forcé l'extinction d'un peuple notoirement plus beau que l'anglais.
Le Romantisme, grande passion française, est un mouvement étrange qui active chez l'artiste la nostalgie d'une époque qu'il n'a pas connu. En célébrant l'Angleterre Gustave Doré chante en réalité la France et elle seule, les notes de ce qu'elle aurait pu être, les accords encore muets de ses potentiels sous cloche. Quand nous passons la Manche pour voir dans les stades soixante mille gaillards chanter des airs anciens debouts les bras en croix nous n'avons d'émotion que pour notre pays à nous. C'est de moi que je parle. J'ai la nostalgie de Montorgueil Sport contre Louvre-FC, de Villette Abattoir contre AS-Vincennes, et du tournoi des quinze clubs franciliens remporté par les Flèches Noires de Paris devant cent mille Dupont-Dubois qui chantaient dans les graves "Rien de rien, non je ne regrette rien". Nostalgie de ce qui n'a pas été porte en soi le monde à venir qui veut être.
Si Gustave Doré a le mieux dessiné Londres c'est qu'il faut être extérieur à l'objet pour le bien voir. De la même façon, c'est un étranger, l'anglophone David Crosby qui a le mieux chanté notre Carillon de Vendôme, mélodie du Moyen-Age, complainte émue des villages restés fidèles au royaume de France envahi, réduit à portion congrue. Que reste-t-il à ce Dauphin si gentil? Orléans, Beaugency, Notre Dame de Cléry, Vendôme, Vendôme. Elle ferait une très belle chanson de stade, en canon, dans les graves.
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publicite-francaise · 9 months ago
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Grand Bazar de Lyon, Etrennes, Exposition de jouets, par Nicolas Tamagno, 1900.
À Lyon, les grands travaux d’assainissement et d’urbanisme sous le second Empire sont un terreau propice à l’ouverture de grands magasins. Inauguré le 8 novembre 1886, le Grand Bazar, deuxième magasin ouvert à Lyon par l’entrepreneur Henry Perrot est emblématique de ces nouveaux modes de consommation qui s’adressent à une clientèle élargie et apportent un soin particulier à la satisfaction des consommateurs. Relayés par la presse, grâce à des réclames et dans la rue par des affiches publicitaires aux couleurs chatoyantes, les grands magasins établissent les bases d’un nouveau modèle économique en proposant une très large gamme d’articles sans obligation d’achat, avec des prix bas et fixes, sans oublier des promotions régulières.
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amateurbourguignon · 3 months ago
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Budapest. L'ancien magasin de jouets "Arkad Bazar" (1909). Céramique de Solnay. Photo Nora Meszoly. (flickr)
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leloupdebout · 7 months ago
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Walter Limot (Allemand, 1902-1984), Vitrine de magasin de jouets avec l'inscription sur un panonceau "On remplace les mauvaises têtes", 1955
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detournementsmineurs · 9 months ago
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"Soutien-Gorge" du Bon Marché en dentelle mécanique et satin de soie (circa 1925) à l'exposition "La Naissance des Grands Magasins. Mode, Design, Jouets, Publicité (1852-1925)" au Musée des Arts Décoratifs (MAD), juin 2024.
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nfavocats · 3 months ago
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Comment racheter un fonds de commerce de magasin de jouets éducatifs
Comment racheter un fonds de commerce de magasin de jouets éducatifs
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peluchetortue · 4 months ago
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Vous cherchez le compagnon câlin idéal ? Découvrez le ravissant lapin en peluche de PELUCHE-TORTUE ! Nos adorables lapins en peluche sont conçus pour apporter réconfort et joie à vos tout-petits. Doux, câlins et irrésistibles, ils sont d'excellents compagnons pour le jeu ou le coucher. Visitez-nous sur peluche-tortue.com et offrez le cadeau de l'amour avec nos charmantes peluches !
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nathanparisi · 11 days ago
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My new full-body drawing of Olivia Flaversham, inspired by the toy store scene in The Great Mouse Detective in a gag where Basil and Dawson were startled by the sound of an automaton fanfare operated by Olivia before Basil silenced the automaton toy.
Mon nouveau dessin de Olivia Flaversham en corps complet, inspiré de la scène du magasin de jouets dans Basil, détective privé dans un rebondissement comique où Basil et Dawson furent surpris par le bruit d'une fanfare en automate actionnée par Olivia avant que Basil réduit le jouet automate au silence.
Made on Krita and Wacom Cintiq tablet / Réalisé sur Krita et tablette Wacom Cintiq
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holespoles · 1 year ago
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Timoléo Marie Lobrichon ( 1831 - 1914 ) La vitrine du magasin de jouets
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a-room-of-my-own · 1 year ago
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La rumeur sur Brigitte Macron ça ne peut venir que de gens qui ont toujours vécu en ville. J’ai grandi à la campagne à côté d’une petite ville, et je connaissais tout rien qu’en allant acheter une baguette des aventures extra conjugales du maire, des problèmes de comportement du fils du dentiste, des histoires d’héritage de la famille Trucmuche…
(mais si vous savez, les Trucmuche ceux qui tenaient le magasin de jouets, oui enfin maintenant c’est un opticien mais anciennement Trucmuche, ah ça du temps du père Trucmuche ils étaient aisés mais alors le fils Trucmuche… Non pas Gérard, il est très bien lui mais l’autre, le bon à rien? Oui celui-là et bien vous savez qu’il aurait vendu les meubles de la grand-mère sans le dire… La grand mère c’était une Machinchose, de l’usine Machinchose oui. Ça n’existe plus bien sûr mais je vous parle de ça, y’a 40 ans tout le monde avait quelqu’un dans sa famille qui travaillait chez Machinchose. Alors imaginez les meubles ! Et sa pauvre femme ! Et madame ce sera quoi ? Une tradition ? Je vous jure les gens n’ont plus aucune patience de nos jours. 1 euros vingt merci ce sera tout ? Merci au revoir! Oui et donc sa pauvre femme, elle serait même allée chez le bijoutier du centre vendre sa gourmette. Ils en sont là ! Non je l’ai su par - enfin ne le répétez pas - la petite apprentie de Mireille, du salon de coiffure à côté. Tous les jours elle vient chercher son croissant. D’ailleurs elle s’est fiancée avec vous savez qui?… »
Du coup j’imagine que si dans mon coin un fils de famille de notable était devenu une femme et enseignait dans une école catholique toute la ville serait au courant et il suffirait de faire un micro trottoir pour avoir absolument toute l’histoire avec les dates, les détails et une bonne dose de mythologie.
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