#maîtriser émotions
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fitnessmith · 6 days ago
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Sortir de l'alimentation émotionnelle 
NOUVEAU 👉 Sortir de l'alimentation émotionnelle. Comment arrêter de subir l’alimentation émotionnelle et retrouver le contrôle des choix alimentaires. Pour voir ça rendez-vous en bio @fitnessmith, cliquez sur le lien, fitnessmith.fr/news puis dans « les nouveautés » ou rendez-vous dans votre boite mail. #alimentationemotionnelle #bienetre #nutrition #fitnessmith #emotions #alimentationconsciente #controledevie #gestiondustress #mangersain #developpementpersonnel #mangersainement #mentalhealth #bienmanger #fitnessmotivation #regimeequilibre #conseilsnutrition #habitudesalimentaires #foodfreedom #coachingalimentaire #mieuxmanger #stopgrignotage #solutionpertepoids #suralimentation #controledepoids #alimentationequilibree #stopfaimnerveuse #controlealimentaire #santeetnutrition #faimemotionnelle #gestiondesemotions #fitandhealthy
Reprends le pouvoir sur ton alimentation émotionnelle ! Tu galères à dire “non” à ce paquet de gâteaux quand tu stresses ? Tu te sens pris(e) au piège entre frustration et culpabilité après chaque craquage ? Stop. Tu n’es pas faible. Tu es humain(e). Pourquoi tu ressens ces envies incontrôlables ? Parce que ton cerveau te joue des tours. Stress, anxiété, fatigue… Ces émotions te poussent à…
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psychologie24 · 6 months ago
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Comment maîtriser ses sentiments d'amour ?
Comment maîtriser ses sentiments d'amour pour être indépendant ? Cet article explorera diverses stratégies pour maîtriser ses sentiments d'amour, en s'appuyant sur des exemples concrets pour illustrer chaque point.
Introduction Comment maîtriser ses sentiments d’amour ? La maîtrise de soi est une compétence cruciale dans de nombreux aspects de la vie, notamment dans les relations amoureuses. La capacité à gérer ses sentiments d’amour est essentielle pour éviter de se faire manipuler et pour devenir indépendant émotionnellement. Cet article explorera diverses stratégies pour maîtriser ses sentiments…
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mrsines · 2 months ago
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21« Pourquoi tremblez-vous ? »
Lilia X Reader
à la demande de @confuseuniverse j’espère que sa te plaira 💛
Dans l'arrière-boutique du magasin de Lilia, une douce lumière filtrée par une fenêtre poussiéreuse éclairait les étagères chargées de livres anciens et d'objets mystérieux. Reader, vêtue d'une robe sombre, se tenait au milieu de ce sanctuaire de savoir, entourée de volumes reliés en cuir dont les titres dorés brillaient faiblement. L'odeur des pages jaunies et du vieux papier emplissait l'air, créant une atmosphère à la fois nostalgique et envoûtante.
Elle s'affairait à ranger les livres, ses doigts glissant sur les couvertures rugueuses, découvrant des titres fascinants sur les arcanes de la magie et les secrets de la divination. Chaque ouvrage semblait murmurer des histoires anciennes, des connaissances oubliées, et Reader ne pouvait s'empêcher de s'arrêter pour feuilleter quelques pages, absorbant l'information avec avidité.
Les objets qui l'entouraient ajoutaient à l'ambiance mystique de la pièce. Des cristaux scintillants, des bougies aux formes étranges, et des instruments de divination tels que des tarots et des runes étaient disposés sur des tables en bois usé. Reader prenait soin de ne pas déranger ces trésors, les manipulant avec précaution, comme si chaque objet détenait une magie propre.
La lumière du jour, bien que tamisée, mettait en valeur les particules de poussière dans l'air, donnant à l'espace un aspect presque féerique. Reader se sentait à la fois excitée et honorée d'être là, dans ce lieu chargé d'histoires et de savoirs. Elle savait que chaque minute passée dans cette arrière-boutique était une étape vers la maîtrise de la divination, une passion qui brûlait en elle.
Cela faisait des mois que Reader avait pris ses fonctions d'assistante auprès de Lilia, et l'atmosphère dans l'arrière-boutique avait évolué, chargée d'une tension subtile. Les murs, autrefois témoins d'un apprentissage studieux, semblaient maintenant vibrer d'une nouvelle énergie, une complicité teintée d'une affection grandissante. Reader, souvent plongée dans ses tâches, ne pouvait s'empêcher de ressentir une chaleur diffuse chaque fois que Lilia s'approchait, ses yeux perçants et son sourire énigmatique éveillant en elle des émotions qu'elle n'avait pas anticipées.
Leurs échanges, d'abord simples et professionnels, avaient pris une tournure plus personnelle. Reader se surprenait à apprécier chaque moment passé en sa présence, que ce soit lors des leçons de divination ou dans les instants plus informels où elles partageaient des anecdotes sur leurs vies. Lilia, avec sa sagesse et sa bienveillance, était devenue une figure centrale dans l'univers de Reader, mais cette proximité la plongeait dans un tourbillon d'émotions contradictoires.
Dans l'arrière-boutique, les livres et les objets magiques semblaient témoigner de cette tension. Chaque interaction était un mélange d'excitation et d'anxiété, un ballet délicat entre l'envie de se rapprocher et la peur de franchir une limite. Elle se concentrait sur les tâches, mais son esprit vagabondait souvent.
Les jours passaient, et Reader se retrouvait de plus en plus souvent à dérober des regards furtifs à Lilia, observant la façon dont elle se déplaçait dans la pièce, sa grâce naturelle et son aura magnétique captivant son attention. Les éclats de rire de Lilia, les moments de complicité, tout cela ne faisait qu'accentuer sa nervosité, rendant chaque instant partagé à la fois précieux et angoissant.
Lilia poussa doucement la porte de l'arrière-boutique, un léger tintement de cloche résonnant dans l'air. Elle entra avec une grâce naturelle, ses yeux pétillants d'excitation.
"Reader, est-ce que tu veux apprendre à lire les lignes de la main ?" demanda-t-elle, sa voix douce et engageante.
Reader, plongée dans ses pensées, leva les yeux et sentit son cœur s'accélérer. "Oui, bien sûr, j'aimerais beaucoup ça," répondit-elle, un léger sourire sur les lèvres.
Alors qu'elles s'installaient, Lilia s'approcha un peu plus, leurs corps presque en contact. Reader pouvait sentir la chaleur émanant de Lilia, et une vague de nervosité l'envahit. Lilia prit délicatement la main de Reader, ses doigts effleurant la peau, et commença à tracer les lignes avec son propre doigt.
"Regarde ici," dit Lilia, son regard concentré sur la paume de Reader. "Cette ligne ici représente ta vie, et celle-là, tes émotions."
Reader, à ce moment précis, commença à trembler légèrement, ses mains trahissant son agitation intérieure. Lilia, remarquant le changement, leva les yeux, un mélange de curiosité et d'inquiétude sur son visage.
"Pourquoi trembles-tu ?" demanda-t-elle, sa voix empreinte de douceur.
Reader, prise au dépourvu, chercha une réponse. "Je… je ne sais pas," mentit-elle finalement, détournant le regard, la chaleur de la proximité de Lilia rendant la situation encore plus intense.
Lilia, toujours attentive, continua d'explorer les lignes de la main, mais une ombre de doute passa sur son visage. Reader se sentait piégée entre l'envie de se rapprocher et la peur de dévoiler ses véritables sentiments.
Lilia plongea son regard dans celui de Reader, ses yeux pétillants d'une compréhension silencieuse. Un sourire délicat se dessina sur ses lèvres, comme si elle pouvait percevoir la tension qui flottait dans l'air.
"Tu sembles nerveuse," dit-elle d'une voix douce, tout en frottant tendrement la main de Reader.
Reader, surprise par ce geste réconfortant, se sentit un peu plus à l'aise, mais l'angoisse persistait. "C'est juste… un peu nouveau pour moi," avoua-t-elle, sa voix à peine audible.
"Ne t'inquiète pas," répondit Lilia avec un sourire chaleureux. "Je vais te faire un thé, ça devrait t'aider à te détendre."
Elle se leva avec une légèreté gracieuse, un sourire satisfait aux lèvres, heureuse de ce qu'elle avait lu dans les lignes de la main de Reader.Lilia se dirigea vers la petite cuisine, ses mouvements fluides et naturels.
"Quel type de thé préfères-tu ?" demanda-t-elle en fouillant dans les placards, un éclat de malice dans les yeux. "Nous avons du thé vert, du thé noir, et même une infusion de camomille."
Reader, se sentant un peu plus détendue, répondit : "La camomille serait parfaite, merci."
"À tes ordres," dit Lilia en riant, ajoutant quelques feuilles de camomille dans une théière. Elle se retourna alors vers Reader, un sourire complice sur le visage.
Reader, touchée par l'attention de Lilia, ne pouvait s'empêcher de sourire à son tour, la chaleur de l'instant chassant peu à peu son anxiété.
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vicnormansstuff · 6 months ago
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Merci à Christophe Clavé pour cette éclairage sur l’appauvrissement de la langue et la ruine de la pensée 🙌
"La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps.
La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression.
Supprimer le mot «mademoiselle» est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien.
Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilité d’élaborer une pensée.
Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions.
Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée, rendue impossible.
Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe.
L’histoire est riche d’exemples et les écrits sont nombreux de Georges Orwell dans « 1984 » à Ray Bradbury dans « Fahrenheit 451 » qui ont relaté comment les dictatures de toutes obédiences entravaient la pensée en réduisant et tordant le nombre et le sens des mots.
Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots.
Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants : faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants.
Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté. Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses «défauts», abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. Il n’est pas de liberté sans exigences. Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté."
Christophe Clavé
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iranondeaira · 2 months ago
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La littérature reste le seul moyen opérant pour maîtriser le langage. Et le langage, c’est ce qui est fondamental.
Pas seulement pour vous permettre de vous exprimer d’une manière intelligente, nuancée, avec toutes les précisions que vous jugez nécessaires.
Le langage, c’est ce qui permet à votre pensée de s’organiser.
Le langage, c’est ce qui déploie et structure votre imagination, régit votre sensibilité, vos émotions, vos passions.
Et cette richesse, vous ne pouvez pas l’acquérir en regardant la télévision ou en voyant des films : c’est le roman, la poésie, les grands essais qui vous la donnent.
Lire, c’est protester contre les insuffisances de la vie.
Lire, c’est se mettre en état d’alerte permanent contre toute forme d’oppression, de tyrannie, c’est se blinder contre la manipulation de ceux qui veulent nous faire croire que vivre entre des barreaux, c’est vivre en sécurité.
La littérature vous fait désirer une autre vie, que la vie réelle ne peut pas vous donner, et forge donc des esprits critiques, épris d’idéal, tandis que l’extraordinaire machinerie audiovisuelle est là pour nous amuser et créer des sujets passifs et conformistes...
Un monde sans littérature serait un monde sans insolence.
Un monde d’automates.
Mario Vargas Llosa,
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tourneefeeltennis2024 · 6 months ago
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Les deux facettes de Victor en match ! Attention à maîtriser ses émotions, objectif prioritaire de la tournée !
Un niveau de jeu très très satisfaisant ce matin à 30 avec ce qu’on appelle une « bonne défaite ». Une défaite plus compliquée à 15/5 contre un joueur trop puissant selon Victor.
Puis un très beau match face à son copain de tournée Basile D, avec une victoire en deux sets. Bravo aux deux joueurs pour leur comportement exemplaire malgré le fait de jouer un pote !
TAAAAACOOOOO
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langedesenfers · 1 month ago
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J’aimerais tellement être omniscient. Je le sent, j’aimerais tellement tout savoir. Tout pouvoir contrôler à tout moment.
Ça m’obsède. C’est plus fort que moi. C’est trop trop trop.
Le lâcher prise fonctionne. En réalité ça me fait du bien, beaucoup de bien. Je vie mieux, sous un nouveau jour.
Mais si j’écris vous vous doutez bien que c’est que ce n’est pas fini. Et ça aurait été utopiste que ce le soit à vrai dire.
Et ça reste toujours aussi compliqué. Aussi prenant. Aussi fort, malgré le chemin parcouru. Je l’avais plus ou moins pressenti, je ne voulais pas sortir. Me refermer sur moi même, laver ma voiture, le couper les cheveux, aller courir.
Je me suis laissé embrigader. Ce n’étais pas difficile de toute manière, et j’ai tout de même passé un bon moment. Tout calme dans mon coin, au milieu des autres. Une petite mine m’a-t’on dit, et je n’ai pas répondu.
Le coucher de soleil sur la mer, cette mer plate et calme, ce ciel dégagé à l’horizon. Apaisant, dans la cohue de mon esprit.
La source ? Reste quelque chose dont je ne veux pas me préoccuper. Je me sens fatigué, non pris par le boulot cette fois, mais les fêtes semble-t-il qui me chamboulent.
Consciemment c’est heureux, comme une période où tout est permis. Les "débordements" sous couvert d’une période de festivités. C’est agréable, une "excuse" valable et que je fais valoir. Qui dédramatise les verres le soir, le rythme moins soutenu au boulot.
Inconsciemment, ça semble plus complexe. Moins heureux, moins chaleureux. Plus fatiguant. Moins attrayant.
Parler des fêtes ne m’enjaille pas. Les préparer ne m’excite pas. Le sapin … c’est jolie et j’ai accompagné sa mise en place, sans plus. Le premier de l’an … pas déplu qu’on ai rien trouvé. On le fêtera chez nous, entre amis.
Les vacances la semaine prochaine, la crémaillère ce samedi, le tikka masala demain …
Je suis fatigué. Et je pense que ça résume le pourquoi du comment je me sens comme ça.
Pourtant, et étrangement, je dors bien. Les yeux sont collés le matin. Je me couche tôt. Je me réveille avant mon réveil, si bien que je pars bien trop tôt au travail ne sachant que faire d’autre.
Il faut que je me repose, que je m’occupe de moi. Je me fasse mes activités, mes petits trucs pour me dégager du bien être.
En attendant pour ce soir, je vais tenter de maîtriser mes émotions. De rester calme, et l’esprit plutôt clair. Ne pas laisser envahir de pensées qui je ne sais d’où elle viennent. De ses questions qui ne sont que des questions, de cette curiosité mal placée, de ce contrôle omniprésent que je semble tant vouloir.
Demain, je me réveillerais pour reprendre les choses en main, et contrôler ce sur quoi j’ai du pouvoir : moi.
Les difficultés d’un mercredi qui sonne comme une fin de semaine.
Le 11 décembre 2024 - Fabien
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espritsdevie · 1 year ago
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Tu ne peux contrôler ce qui ne dépend pas de toi. Aussi puissant puisses tu être, la vie n’est pas à tes ordres. Il faut que tu apprennes à te faire confiance et à te calmer afin d’obtenir la maîtrise que tu recherches. T’abandonner à la colère ou à la peur libérerait une puissance qui pourrait te détruire. Car ces émotions n’ont aucune vertu, elles ne mènent qu’à la ruine et à la mort.
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Fais toi confiance, crois en toi.
Ta véritable puissance réside dans ta capacité à te maîtriser.
Écoute tes émotions, comprends-les mais ne les laisse pas te diriger.
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fantasticfuckinfreak · 8 days ago
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kengba kengba KENGBA
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1. Présentation de l’Artiste
Kengba est un rappeur audacieux au style hybride, mêlant old school, trap mélodique, sombre, sonorités ensoleillées et décontractées.
Son univers musical est marqué par l’utilisation d’alter ego aux voix différentes, de mélodies catchy sur des morceaux aux structures peu scolaires, d’une exploration introspective sur la réussite personnelle, des relations et des expériences personnelles.
2. Style Musical
Ne se limitant pas à un seul registre musical. Il prend des risques en expérimentant avec des sonorités variées, oscillant entre des ambiances solaires, sensuelles et sombres.
Son écriture est souvent métaphorique, mais peut aussi être crue, reflétant son état d’esprit du moment. Ses alter ego représentent ces différentes facettes de sa personnalité, lui permettant d’explorer des émotions et des atmosphères variées à travers sa musique.
Les influences majeures de Kengba incluent Kendrick Lamar, A$AP Rocky, Kanye West, Ateyaba, XXXtentacion, Future ou encore Hamza.
Kendrick Lamar incarne pour lui la rigueur et la persévérance, tandis que Kanye West ou X lui inspire audace et créativité. En matière d’élégance et de style visuel, Kengba se tourne vers A$AP Rocky et Ateyaba, qui incarnent une attitude nonchalante et assurée.
L’approche de Future et Hamza envers l’autotune et leur maîtrise vocale renforcent l’exploration sonore de Kengba et l’expression de ses moods divers.
3. Message de l’Artiste
Kengba dégage un message inspirant :
« Si je le fais, toi aussi tu peux. »
Dans une époque où l’anxiété et le doute dominent, il invite son public à reconnaître son propre potentiel et à cultiver son jardin personnel :
« On vit dans une époque où tout le monde gamberge un peu trop, ça peut vite nous tirer vers le négatif, on est constamment en train de penser que l’herbe est plus verte ailleurs… mais Dieu sait que c’est faux. Ton jardin, c’est le Camp Nou de quelqu’un d’autre ; faut juste en prendre conscience pour faire exploser le potentiel qui sommeil en chacun de nous. »
4. Projets Représentatifs
Kengba présente ses mixtapes @fantasticjohnjewels & @fantasticfuckinfreak montrant une palette variée de son travail.
Parmi les titres notables, on trouve DEVIL BAT GHOST, DIAMOND & ROCK, ou encore BABY MAMA qui illustrent des facettes opposées de son art.
"DEVIL BAT GHOST" Un morceau sombre aux allures de rebellion, inspiré de la GLO de Chicago, sa voix grave et profonde se couple avec perfection à cette production ténébreuse.
"DIAMOND & ROCK" Un morceau à la vibe entrainante, presque envoutante où Kengba se couple avec aisance, arrogance et insolence sur une production venue d’ailleurs ÉLÉGANTE & CHIC.
"BABY MAMA" Un morceau festif, porté par une production ensoleillé et mystérieuse.
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5. Identité Visuelle
L’identité visuelle de Kengba est marquée par des éléments de haute couture et un esthétisme mélangeant l’énergie rebelle grunge et le glamour.
Son style joue sur le contraste, le mystère, et une sorte de "cool & détaché", créant une atmosphère mystique et introspective.
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6. Public Cible
Kengba s’adresse à un public urbain, curieux, souvent à la croisée des mondes de la musique, de la mode et de l’art.
Son audience recherche des expériences créatives et se sent attirée par des influences avant-gardistes, avec une sensibilité pour le mélange des cultures et des styles.
Mode de Création
La plupart du temps, Kengba crée dans sa chambre, sans distinction entre le jour ou la nuit, c’est selon son état d’esprit, l’énergie, s’adaptant à son inspiration du moment.
Accès :
INSTAGRAM : @veryrarekengba
PLATEFORME / SOUNDCLOUD : KENGBA
YOUTUBE : @veryrarekengba
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papillondusublime · 2 months ago
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Charme puissant qui nous maîtrises ; Esprit léger, Pareil au duvet, que les brises Font voltiger ; Pauvre de tes douceurs absentes, Que j’ai passé de nuits pesantes, Que de longs jours ! De ces jours, dont la lente suite, Sans rien laisser d’eux que leur fuite, Passe toujours ! Oh ! par quelle ruse nouvelle Te ressaisir, Démon capricieux, fidèle Au seul plaisir ! Importuné d’un pli de rose, Tu fuis la tristesse que cause Ton abandon ; Ami, que la plainte effarouche, Et qui craindrais de notre bouche Même un pardon. Si l’humble lézard, du bois sombre Hôte furtif, D’une feuille voit trembler l’ombre, Il fuit craintif : De même, à la pénible haleine D’un sein par l’attente ou la peine Trop agité, Ton aile soudain se déploie, Ingrat, qui ne cherches que joie Et liberté ! D’où vient, dis-moi, que tu t’empresses D’un plus doux soin, Vers ceux-là, qui de tes caresses N’ont pas besoin ? Reviens à moi ; ma plainte amère, Sous une mesure légère Se courbera : Ici, moins serviteur que maître, Reviens, et la pitié peut-être Te retiendra. Tout ce que ton amour préfère, Je l’aime, Esprit ! La verte saison, où la terre S’habille et rit ; Le crépuscule et ses longs voiles ; La nuit et son manteau d’étoiles ; Le gai matin, Qui, les pieds mouillés de rosée, Pare de sa robe rosée Le mont lointain. J’aime les neiges radieuses De nos climats, Et les formes mystérieuses Des blancs frimas ; J’aime les mobiles nuages, Les vagues, les vents, les orages, Le bleu des mers ; Toute chose enfin qu’on me nomme Libre des misères de l’homme, Dans l’univers. J’aime une calme solitude Pour m’apaiser ; Puis encor j’aime, après l’étude, Un doux causer ; J’aime, fût-elle mensongère, Une émotion passagère, Mais non sans toi : Sans toi mon cœur les goûte à peine, Et seul, ton pouvoir les ramène Autour de moi. -Poésie: "Chant", Amable Tastu -Image: "Melancholy Dreams", TL-Designz
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ernestinee · 10 months ago
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Je termine à l'instant "L'été de la sorcière" de Nashiki Kaho.
L'histoire commence par la mort de la grand-mère de Mai. Le livre raconte les souvenirs de Mai, alors qu'elle vivait dans une maison de la campagne japonaise, avec cette mamy, surnommée La sorcière de l'ouest, qui lui montre comment comprendre la nature et écouter les petites voix qui la guident. Mélange de plongée en enfance, développement personnel et acceptation de ce qu'on ne peut comprendre ni maîtriser.
La lecture est fluide, comme souvent lorsque le texte est traduit du japonais. Je suis d'ailleurs tentée de trouver la version originale, pour voir quels mots ont été employés dans les superbes descriptions de paysages et de sensations.
Évidemment avec l'enfance que j'aie eue, je me suis identifiée à Mai à 200%. J'ai gardé certains passages qui m'ont profondément touchée tant j'ai ce sentiment de les avoir vécus moi-même il y a bien longtemps.
La plupart de ces extraits sont des sensations dans des lieux, en particulier ceci :
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Percevoir la volonté d'un lieu, depuis toujours j'ai l'impression de personnifier la nature, parfois me sentir accueillie, parfois me sentir jugée, ou cette sensation d'oppression lorsqu'il neige et que le sol me semble étouffer sous l'épais manteau, j'ai des dizaines d'exemples dans lesquels les lieux me semblent vivants, avec leur propre volonté et leur langage, comme dans cet extrait :
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Et puis l'observation, la fascination pour le brouillard, découvrir son origine, son mouvement, sa sérénité et le confondre lui aussi avec des émotions :
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Et enfin cet extrait qui décrit parfaitement la douleur de l'absence, le creux brûlant de vide et coulant gluant dans tout le corps, en particulier quand des remords viennent s'ajouter à la peine.
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Je sens cette entaille tellement fort, tellement précisément.
Ce livre était trop rapide à lire, j'avais envie de passer davantage de temps avec Mai, la voir grandir et, j'espère, rester proche de la nature et utiliser les savoirs acquis lors des journées passées avec sa grand-mère. J'ai un petit goût de pas assez, de fin trop rapide. Est-ce parce que j'ai apprécié le livre ou est-ce plus objectif que ça ? On va dire que c'est la première option.
⭐⭐⭐⭐⭐
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psychologie24 · 6 months ago
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gestion des émotions: les 13 émotions à maîtriser
gestion des émotions: les 13 émotions à maîtriser Dans cet article, nous allons explorer les 13 émotions humaines les plus importantes, et fournir des stratégies pour une efficace gestion des émotions
Introduction Les émotions sont des expériences complexes qui englobent une vaste gamme de sentiments humains, influençant nos pensées et nos comportements. Comprendre et gérer nos émotions est essentiel pour une vie équilibrée et satisfaisante. Dans cet article, nous allons explorer les 13 émotions humaines les plus importantes, définir ce qui les déclenche et fournir des stratégies pour une…
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bohemianbookworm04 · 3 months ago
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En ce qui concern le chargin, il me semble que c'est personel, quelque chose vrainment individuel. Cependant, le chargin se présent universallement avec l'angoisse. Pour élaborer, nous sommes toujours peur de la façon donc nous avons vivre sans quelqu'un décédé.
Cette oeuvre d'art peux représenter au moins deux interprétations; la peur d'oublier un être/membre cher, ou lâcher la douleur. À mon avis, c'est tout à fait la première, puisque la peur a tendance de maîtriser nos émotions.
Dans la bande déssinée Paul à Québec, plusieures des personnages se manque à Roland, mais quelques personnages spécifiques se trouvent peur d'un vie sans lui. Loucie, comme fille de Roland, fait son deuil pendant le déclin de son père, et elle a un cauchmar métaphorique de sa vie sans son parent fort. C'est ce moment qui connecte le chargin au personnages et à nous. Car, le point de repère d'une personne que nous oublions en premier, nous craignons donc de savoir comment nous allons naviguer dans le monde sans sa perspicacité et ses instructions. L'image peux exclusivement représenter comment une personne en deuil essaye de garder et conserver l'existence d'un être cher bien qu'il son un point de confort. Avec Loucie comme la fille en joupe et Roland comme le ballon gonflable en coeur.
Enfin, on veux serrer le douleur et le chargin pour préserver qu'est ce qui reste de quelqu'un, presque tendrer le bras pour encore un autre moment de norme, mais c'est un processus personel curative.
Saviez-vous que la première chose que l'on oublie chez quelqu'un c'est sa voix ? Que pensez vous du chargin et lâcher le ballon de souvenirs?
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mrsines · 27 days ago
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Always And Forever
Chapitre 13 -> La bataille final partit 2
♥*♡∞:。.。  。.。:∞♡*♥ ♥*♡∞:。.。  。.。:∞♡*♥
Agatha était toujours agenouillée au sol, ses mains tremblantes caressant l'endroit où Rosalia avait disparu. Ses larmes coulaient sans retenue, son visage marqué par une douleur brute.
« Je vais la ramener... » déclara soudain Wanda, se tenant un peu en retrait, son regard empli de culpabilité.
Agatha leva la tête, ses yeux rougis fixant Wanda. « Comment tu comptes faire ça ? Tu as déjà détruit assez de vies, Wanda. »
Wanda baissa les yeux, mais elle prit une profonde inspiration et avança d'un pas. « Laisse-moi essayer. Je peux canaliser son essence. Je peux... je peux réparer ça. »
Billy, encore secoué, posa une main hésitante sur l'épaule de sa mère. « Tu es sûre que tu peux le faire ? »
Wanda détourna les yeux, incertaine. « Je dois essayer. Je le dois. »
Elle leva ses mains, qui commencèrent à s'illuminer d'une énergie rouge. Des filaments magiques crépitèrent dans l'air, s'enroulant autour de l'endroit où Rosalia avait été engloutie. Wanda ferma les yeux, concentrant toute sa puissance, son souffle devenant laborieux.
« Ramène-la, ramène-la, ramène-la... » répétait-elle comme une prière désespérée.
Mais alors que l'énergie grandissait, elle se heurta à une barrière invisible. Une onde de choc traversa la crypte, projetant Wanda quelques pas en arrière. L'énergie rouge s'éteignit brutalement, laissant derrière elle un vide oppressant.
« Non... » murmura Wanda, à bout de souffle. « Pourquoi ça ne marche pas ? »
Agatha se releva lentement, sa colère prenant le dessus sur sa douleur. « Pourquoi ? Parce que c'est toujours pareil avec toi, Wanda ! Tu bricoles avec des forces que tu ne maîtrises pas, et à la fin, c'est toujours quelqu'un d'autre qui paye le prix ! »
Wanda recula, ses yeux s'emplissant de larmes. « Je ne voulais pas ça... Je voulais juste protéger Billy... Je voulais... »
Agatha avança vers elle, sa voix tremblante de rage. « Et maintenant, Rosalia est morte ! Parce que toi, avec ta magie, tu joues à être Dieu ! »
« Je m'en veux ! Tu crois que je ne m'en veux pas ? » hurla Wanda, des larmes roulant sur ses joues. « J'ai tout essayé pour la sauver ! J'ai essayé de réparer mes erreurs, Agatha ! »
Billy se plaça entre elles, les mains levées pour tenter de les calmer. « Arrêtez ! Ça ne ramènera pas Rosalia ! »
Wanda essuya ses larmes, regardant Agatha avec une expression désespérée. « Je... Je vais trouver un autre moyen. Je te le promets. Je trouverai un moyen. »
Agatha détourna les yeux, incapable de répondre, son cœur brisé par l'absence de Rosalia. Elle s'éloigna lentement, les épaules secouées par des sanglots silencieux.
Billy posa une main réconfortante sur l'épaule de sa mère, mais elle semblait perdue dans ses pensées, hantée par l'échec.
Dans la crypte silencieuse, la douleur de la perte résonnait plus fort que les mots. Et même si tous partageaient la même peine, leur unité semblait désormais fracturée par des émotions contradictoires : la colère, la culpabilité, et l'impuissance.
Alors que la tension s'épaississait dans la crypte, Malia s'adossa à un mur, ses mains tremblantes cachant son visage. Elle respirait difficilement, comme si l'air devenait insupportable à chaque seconde qui passait.
« Tout est de ma faute... » murmura-t-elle d'une voix brisée, attirant l'attention de Lilia, qui se tenait près d'elle.
Lilia posa une main réconfortante sur son épaule. « Malia, non... Ce n'est pas— »
« Si, Lilia ! » explosa Malia, se dégageant brusquement. « J'aurais dû lui donner mon sang. Je pouvais la sauver, je le savais au fond de moi. Elle serait devenue comme moi, mais elle serait vivante ! »
Sa voix tremblait de regret, des larmes roulant sur ses joues. « Mais j'ai hésité... J'ai eu peur. Et maintenant... maintenant elle est partie... »
Billy, toujours figé par l'émotion, leva un regard fatigué vers Malia. « Tu crois que c'était une solution ? Faire d'elle un vampire ? Ce n'est pas ce qu'elle aurait voulu. »
« Mais au moins, elle serait encore là ! » hurla Malia, frappant le mur avec sa main. « Je l'ai laissée mourir alors que j'avais le pouvoir de changer les choses. Je l'ai regardée se sacrifier, et je n'ai rien fait. Rien ! »
Lilia, bouleversée, s'approcha et tenta de prendre ses mains. « Malia, écoute-moi. Ce n'est pas ta faute. Elle a pris une décision, et personne n'aurait pu la faire changer d'avis. Pas toi, pas moi, personne. »
Malia secoua la tête, le regard perdu. « Tu ne comprends pas... Elle comptait pour moi. Plus que je ne l'ai jamais avoué. Et je n'ai rien fait. »
Agatha, qui était restée silencieuse jusque-là, releva lentement les yeux, ses propres larmes brillant dans la faible lumière de la crypte. « Rosalia n'aurait jamais accepté que tu fasses ça, Malia. Elle savait ce qu'elle voulait, même si ça nous brise. »
La vampire serra les poings, ses crocs se dévoilant instinctivement sous l'intensité de sa douleur. « Elle méritait de vivre, Agatha. Pas moi. »
Wanda, au bord des larmes, s'approcha maladroitement, sa culpabilité pesant comme une enclume. « Nous avons tous échoué... Mais blâmer chacun ne nous ramènera pas Rosalia. »
Malia tourna un regard glacé vers Wanda, ses yeux flamboyant d'un rouge menaçant. « Ne me parle pas de culpabilité, Wanda. C'est toi qui as attiré cette créature ici avec tes sorts tordus. »
Lilia intervint immédiatement, se plaçant entre elles. « Stop, Malia. Ça suffit. »
Mais l'émotion débordante de Malia était incontrôlable. Elle s'effondra dans les bras de Lilia, sanglotant violemment. Lilia la serra fermement contre elle, ses doigts caressant doucement ses cheveux pour apaiser sa douleur.
La crypte était plongée dans un silence pesant, chacun consumé par sa propre culpabilité et son chagrin.
Billy murmura finalement, brisant la tension : « Elle ne voudrait pas qu'on se déchire comme ça. Elle voudrait qu'on continue... qu'on trouve un moyen de réparer tout ça. Pour elle. »
Agatha hocha lentement la tête, mais son regard vide témoignait de la douleur qu'elle portait. « On va la retrouver, » dit-elle finalement, sa voix un murmure, mais emplie d'une détermination féroce. « Peu importe ce que ça coûte. »
Wanda ferma les yeux, inspirant profondément. « Si elle est toujours quelque part, je trouverai une solution. Je le jure. »
Malia, toujours blottie contre Lilia, serra les dents, un éclat sombre brillant dans ses yeux. « Elle doit revenir. Elle reviendra. »
Et dans la lourdeur de la nuit qui s'approchait, une promesse silencieuse s'éleva parmi eux : ils ne s'arrêteraient pas tant que Rosalia ne serait pas sauvée.
༺♡༻
Dans l'obscurité glaciale de la grotte, Rosalia était allongée, immobile, sur le sol humide et froid. Autour d'elle, l'eau semblait vivante, bougeant doucement comme en réponse à une énergie ancienne. Une lumière bleutée illumina soudain l'espace, et une silhouette majestueuse émergea des ombres : le demi-dieu de l'océan. Son corps scintillait de reflets aquatiques, et son regard brillait d'une sagesse insondable.
Il s'approcha lentement, sa voix résonnant comme un murmure d'écume sur la plage.
« Rosalia... » dit-il avec douceur. « Ton sacrifice, né de l'amour et du courage, a éveillé les forces les plus anciennes des océans. Mais ta destinée ne s'arrête pas ici. »
Il leva une main, et l'eau autour de Rosalia se mit à tourbillonner, l'entourant d'une aura éclatante. Lentement, son corps s'éleva dans les airs, bercé par les flots comme une feuille portée par la marée. Ses yeux s'ouvrirent, remplis d'un éclat azur surnaturel.
« Où... où suis-je ? » murmura-t-elle, désorientée mais étrangement apaisée.
Le demi-dieu répondit avec un sourire doux. « Là où les âmes les plus courageuses viennent pour renaître. »
Il entama alors un chant ancien, une mélodie envoûtante qui fit vibrer l'air et les eaux. Autour d'eux, des images prirent forme dans les flots : le sacrifice de Rosalia pour Billy, son amour pour Agatha, et ses souvenirs de Nicki. Chaque moment brillait d'une intensité poignante, comme des fragments d'étoiles emprisonnés dans l'eau.
« Ton amour inébranlable a touché même les dieux, » déclara-t-il. « Mais le monde a encore besoin de toi. Tu ne peux revenir telle que tu étais. Alors, je t'offre un don. Une nouvelle vie, une nouvelle force. »
L'eau se mit à graviter autour d'elle, formant des motifs marins lumineux sur sa peau, semblables à des tatouages divins. Ses cheveux prirent une teinte irisée, rappelant les vagues sous le clair de lune, et ses yeux brillèrent d'une intensité océanique.
« Je te nomme demi-déesse des marées, Rosalia. Une gardienne des océans et des cœurs. Avec ce pouvoir, tu as la force de protéger et de guider. »
Rosalia, émue mais troublée, posa une main sur sa poitrine. « Pourquoi moi ? » demanda-t-elle, sa voix empreinte de doute.
Le demi-dieu se pencha légèrement. « Parce que, même dans la douleur, tu as choisi l'amour. Mais cette fois, tu n'es pas seule. Et parce que l'amour que tu portes transcende les mondes, je t'offre une récompense. »
Il recula légèrement, les flots s'intensifiant autour de lui. La lumière dans la grotte se fit plus éclatante.
« Tu peux ramener une personne avec toi. Une âme que tu aimes profondément. »
Rosalia, stupéfaite, sentit son cœur se serrer. Une larme roula sur sa joue. Elle savait immédiatement qui choisir.
« Nicki... » murmura-t-elle, sa voix tremblante mais résolue.
Le demi-dieu hocha la tête avec gravité. « Une vie pour une vie. Une décision guidée par l'amour. »
Une vague massive monta soudain, éclatant en une lumière aveuglante. Dans cette lumière, une silhouette familière apparut. Un garçon, avec les traits doux et les yeux vifs de Nicki, se tenait devant elle, confus mais vivant.
« Maman ? » dit-il doucement, tendant une main vers Rosalia.
Rosalia, submergée d'émotion, se précipita pour l'enlacer, des larmes inondant son visage. « Nicki... mon bébé... »
Le demi-dieu les observa, un sourire bienveillant sur les lèvres.
« N'oublie jamais : avec ce pouvoir vient une grande responsabilité. Ton voyage ne fait que commencer. »
Il leva une main, et l'eau forma une spirale qui les enveloppa. Quand la lumière disparut, Rosalia et Nicki se tenaient dans un silence apaisant, encore dans la grotte, mais conscients qu'ils allaient bientôt revenir auprès des leurs.
Rosalia murmura, la voix emplie de gratitude : « Merci... »
Le demi-dieu inclina légèrement la tête avant de disparaître dans une dernière onde de lumière, laissant Rosalia et Nicki prêts à affronter un nouveau chapitre de leur vie.
Dans la grotte, Nicki ne lâchait pas Rosalia, ses bras enroulés autour de sa taille comme s'il avait peur qu'elle disparaisse de nouveau. Il releva la tête pour la regarder, son visage partagé entre émerveillement et confusion.
« Maman, est-ce que toi aussi, tu es... morte ? » demanda-t-il doucement, l'ombre d'une peur enfantine dans sa voix.
Rosalia prit une grande inspiration et posa une main sur sa joue. « C'est... compliqué, mon ange. Disons que je suis différente, maintenant. Je ne suis pas vraiment morte, mais je ne suis plus tout à fait humaine non plus. »
Nicki plissa les yeux, essayant de comprendre. « Alors... tu es quoi ? »
Un léger sourire traversa les lèvres de Rosalia. Elle se redressa légèrement, sa posture irradiant une grâce nouvelle, presque divine. « Je suis une demi-déesse, Nicki. Une gardienne des marées et des océans. »
Nicki cligna des yeux, abasourdi, avant qu'un sourire immense illumine son visage. « Une demi-déesse ?! C'est trop cool, maman ! » Il sauta presque de joie, ses mains serrées sur les siennes. « Ça veut dire que tu as des pouvoirs, non ? Genre, tu peux contrôler l'eau ou appeler des dauphins ?! »
Rosalia rit doucement, touchée par son enthousiasme. Elle serra son fils dans ses bras, laissant son cœur se remplir d'une chaleur qu'elle croyait avoir perdue à jamais. « Oui, quelque chose comme ça... mais ce n'est pas ce qui compte le plus. Ce qui compte, c'est que je t'ai retrouvé. »
Nicki la regarda, rayonnant de bonheur, puis demanda, avec une étincelle d'espoir dans les yeux : « On peut rentrer maintenant ? Je veux voir tout le monde, surtout Agatha ! »
Rosalia sentit son cœur se serrer légèrement. Elle caressa les cheveux de Nicki, un soupir échappant de ses lèvres. « Oui, on rentrera, mon chéri. Mais... je ne sais pas encore comment faire. »
Nicki fronça les sourcils, réfléchissant. « Mais tu es une demi-déesse, non ? Il doit bien y avoir un moyen. Peut-être que... »
Il fut interrompu par une vibration étrange dans l'air, comme un écho lointain d'une voix ancienne. Rosalia tourna la tête, son instinct divin éveillé. Les murs de la grotte semblèrent pulser avec une énergie familière.
« Peut-être que je n'ai pas à le faire seule, » murmura-t-elle, plus pour elle-même.
Nicki tira doucement sur sa main. « Tu crois que c'est le demi-dieu qui revient pour nous aider ? »
Rosalia secoua la tête. « Je ne pense pas. C'est autre chose... une connexion, une force qui m'appelle. »
Elle ferma les yeux, concentrant son énergie nouvellement acquise. Ses doigts effleurèrent l'eau qui ondulait autour d'eux, et un cercle lumineux se forma au sol, semblant réagir à sa volonté.
Nicki l'observa avec émerveillement. « Tu peux le faire, maman. Je crois en toi. »
Encouragée par ses mots, Rosalia se concentra davantage. Une vision fugace d'Agatha, de Malia, de Lilia, et même d'Emma traversa son esprit. Ils l'attendaient, pleins d'espoir et de désespoir mêlés. Une larme roula sur sa joue, mais elle garda sa détermination.
« Accroche-toi bien, Nicki, » dit-elle en serrant son fils contre elle.
L'énergie du cercle s'intensifia, une lumière éblouissante remplissant la grotte. Le chant de l'eau résonna autour d'eux, et en un instant, ils furent enveloppés dans une vague chaude et lumineuse, disparaissant de la grotte magique pour entamer leur retour vers le monde des vivants.
Dans un éclat de lumière aveuglante, Rosalia et Nicki disparurent de la grotte magique. Lorsqu'ils réapparurent, ils se retrouvèrent dans un lieu qu'ils connaissaient bien : le bord de la mer, près de la maison de Malia. Le vent marin caressait doucement leurs visages, et l'écho lointain des vagues semblait saluer leur retour.
Nicki, toujours accroché à Rosalia, regarda autour de lui avec des yeux écarquillés. « On est... de retour ? Vraiment ? »
Rosalia hocha la tête, les émotions se bousculant dans sa poitrine. « Oui, mon ange. On est rentrés. »
Mais avant qu'ils puissent profiter de ce moment, une voix tremblante et incrédule retentit derrière eux.
« Rosalia ? »
Elle se retourna et vit Agatha. Debout à quelques mètres de là, Agatha semblait figée, ses yeux passant de Rosalia à Nicki, sa main tremblant légèrement.
Rosalia sentit son cœur se serrer, mais Nicki, lui, ne perdit pas une seconde. Il se détacha de sa mère et courut vers Agatha.
« Agatha ! » cria-t-il avec enthousiasme, se jetant dans ses bras.
Agatha l'attrapa instinctivement, le serrant contre elle comme si elle craignait qu'il ne disparaisse à nouveau. Elle ferma les yeux, laissant échapper un sanglot qu'elle retenait depuis trop longtemps.
« Nicki... » murmura-t-elle, sa voix brisée par l'émotion.
Rosalia, quant à elle, restait en retrait, les bras croisés, observant la scène. Une vague de soulagement la traversa, mais elle savait que ce n'était que le début.
Nicki se tourna alors vers Rosalia, son visage illuminé par un sourire. « Maman, viens ! »
Rosalia hésita un instant avant d'avancer doucement. Agatha leva les yeux vers elle, ses larmes toujours visibles, mais son regard portait une confusion palpable.
« Comment... ? » murmura Agatha.
« C'est compliqué, » répondit Rosalia doucement. Elle posa une main sur l'épaule de Nicki, puis plongea son regard dans celui d'Agatha. « Mais il est là. On est là. »
Agatha lâcha un rire nerveux, ses doigts caressant machinalement les cheveux de Nicki. « C'est... irréel. »
Nicki, avec son enthousiasme habituel, brisa la tension. « Agatha, maman est une demi-déesse maintenant ! Elle est trop forte ! »
Agatha fronça légèrement les sourcils et regarda Rosalia avec un mélange de surprise et d'inquiétude.
« Une demi-déesse ? » demanda-t-elle, son ton incrédule.
Rosalia haussa les épaules. « C'est une longue histoire, mais oui. Et... ça vient avec des responsabilités. »
Avant qu'Agatha ne puisse répondre, une autre voix se fit entendre depuis la maison.
« C'était quoi cette lumière ? » cria Malia, suivie de Lilia, Emma, et même Wanda.
En un instant, tout le monde fut autour d'eux, les regards oscillant entre Rosalia, Nicki, et l'expression abasourdie d'Agatha.
Malia s'approcha, sa voix tremblante. « Rosalia... c'est toi ? »
Rosalia hocha doucement la tête. « Oui, c'est moi. »
Wanda, quant à elle, resta en retrait, son visage pâle et ses mains tremblantes. Elle n'osait pas s'avancer, son regard rivé sur Rosalia avec une culpabilité dévorante.
Rosalia le remarqua et, après un court silence, s'avança vers elle. « Wanda... »
Wanda secoua la tête, les larmes coulant sur ses joues. « Je suis désolée... Tellement désolée... »
Rosalia posa une main sur son épaule, son regard empreint de compassion. « Ce n'est pas de ta faute. Ce qui est arrivé... c'était bien plus grand que nous. »
Malgré tout, Wanda éclata en sanglots, et Malia la prit dans ses bras pour la réconforter.
Agatha, qui avait observé toute la scène en silence, se racla finalement la gorge. « Alors, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? »
Rosalia se tourna vers elle, un léger sourire sur les lèvres. « Maintenant, on s'assure que cette île ne cache plus de surprises. Et on se bat. Ensemble. »
Tous hochèrent la tête, et pour la première fois depuis longtemps, une lueur d'espoir semblait illuminer le groupe.
Billy bondit de joie, incapable de contenir son excitation. Il attrapa Nicki et le souleva dans les airs. « Petit gars, t'es vraiment revenu, c'est dingue ! » Il le reposa avant de regarder Rosalia. « T'as réussi un vrai miracle, Rosalia. Merci... vraiment. »
Rosalia lui adressa un sourire tendre, mais avant qu'elle ne puisse répondre, Emma, qui avait les bras croisés et un sourire moqueur, lança une réflexion acerbe.
« Bon, on dirait que mes chances avec Rosalia viennent de se réduire à néant... à moins que quelqu'un change d'avis ? » Elle jeta un regard provocateur à Rosalia, son sourire s'élargissant en voyant l'expression indignée d'Agatha.
Nicki, qui observait la scène, fronça les sourcils. Il lâcha la main de Rosalia, s'avança et posa ses petites mains sur ses hanches, fixant Emma avec une intensité impressionnante pour son âge.
« Je sais pas qui tu es, toi, mais je vais te dire un truc. Mes deux mamans restent ensemble, compris ? Sinon... attention à toi ! »
Un silence stupéfait s'installa pendant une seconde, avant que tout le monde, hormis Emma, n'éclate de rire. Malia dut même se tenir à Lilia pour ne pas perdre l'équilibre.
« T'es un vrai héros, toi, » lança Billy en tapotant affectueusement la tête de Nicki.
Agatha, elle, se pencha pour attraper Nicki et le souleva, un sourire attendri éclairant son visage. « Écoute, petit, tu viens officiellement de devenir mon garde du corps. »
Nicki acquiesça avec sérieux, même si un sourire fier illuminait ses traits. « C'est mon job. »
Rosalia, les bras croisés, secoua la tête, amusée. « Nicki, tu ne devrais pas menacer les gens... même si c'est mérité. »
Emma, qui avait retrouvé un semblant de contenance, haussa un sourcil en fixant Rosalia. « Oh, je vois. Vous êtes une famille soudée. Très bien. Mais vous savez où me trouver si jamais... vous changez d'avis. »
Agatha lança un regard noir à Emma, mais cette fois, elle ne répondit rien. Elle serra Nicki contre elle et posa son front contre celui du garçon. « Merci pour ton soutien, mon champion. »
Nicki sourit fièrement avant de descendre des bras d'Agatha et de revenir auprès de sa mère. Il attrapa la main de Rosalia et leva les yeux vers elle. « Allez, maman. Faut qu'on protège Agatha et qu'on reste une vraie équipe. »
Rosalia échangea un regard complice avec Agatha avant de murmurer à Nicki : « T'as tout compris, mon ange. Toujours une équipe. »
Emma, de son côté, haussa les épaules, l'air faussement indifférent, mais on pouvait voir un soupçon d'agacement dans ses yeux.
Malia, qui n'avait rien raté de l'échange, glissa à Lilia avec un sourire en coin : « On dirait qu'Emma vient de rencontrer son plus grand rival. »
Lilia acquiesça en riant doucement. « Et c'est clairement pas gagné pour elle. »
༺♡༻
L'ambiance dans la maison était plus légère qu'elle ne l'avait été depuis des jours, chacun savourant un rare moment de paix. Mais au fond de leur esprit, ils savaient tous que la bataille n'était pas terminée. Rosalia, désormais demi-déesse, savait qu'elle devait rester forte pour sa famille... et pour tout ce qui allait encore venir.
Une fois rentrés à la maison, l'ambiance était tendue, mais apaisée par moments. Les rires de Nicki résonnaient dans les pièces, un rappel constant du miracle qui venait de se produire. Pourtant, dans un coin plus isolé, Agatha et Wanda se tenaient face à face, leurs regards lourds de tout ce qui n'avait pas été dit depuis longtemps.
Agatha croisa les bras, sa posture rigide et défensive. « Alors ? Tu veux qu'on parle ? » demanda-t-elle d'un ton presque cassant.
Wanda hésita un instant avant de hocher la tête. « Oui. Je pense qu'on doit le faire. »
Elles s'assirent à la table du salon, chacune de son côté, une distance presque palpable entre elles. Wanda ouvrit la bouche pour parler, mais Agatha leva une main pour l'interrompre.
« Avant que tu dises quoi que ce soit, je veux que tu saches une chose : je ne te pardonne pas, Wanda. »
Le visage de Wanda se crispa, mais elle resta silencieuse.
« Tu as fait des choix... Des choix qui nous ont tous coûté cher. Rosalia a failli mourir par ta faute. Mon fils... » La voix d'Agatha se brisa légèrement, mais elle reprit rapidement. « Mon fils a souffert, et moi aussi. Et tout ça, c'était à cause de toi. »
Wanda baissa les yeux, son visage marqué par la culpabilité. « Je sais, Agatha. Je sais que j'ai fait des erreurs, et je ne m'attends pas à ce que tu me pardonnes. Mais je suis prête à tout pour essayer de réparer ce que j'ai brisé. »
Agatha laissa échapper un rire amer. « Réparer ? Tu crois que c'est possible, ça ? Ramener Nicki et Rosalia n'efface pas ce qui s'est passé. »
Wanda releva la tête, son regard brillant de larmes qu'elle refusait de laisser couler. « Non, ça n'efface rien. Mais je peux essayer d'être meilleure. Pas pour toi, pas pour moi, mais pour Billy. Pour Nicki. Pour eux. »
Agatha l'observa longuement, scrutant chaque expression sur le visage de Wanda. Finalement, elle soupira, passant une main fatiguée dans ses cheveux.
« Écoute, je ne te pardonne pas, et peut-être que je ne le ferai jamais. Mais... je veux bien passer à autre chose. Pour eux. Pour Rosalia, pour Nicki. On a assez de problèmes comme ça sans ajouter nos querelles. »
Wanda hocha la tête, reconnaissante. « Merci. C'est déjà beaucoup. »
Agatha se leva, signalant que la conversation était terminée. Avant de partir, elle s'arrêta et se retourna une dernière fois.
« Si tu fais encore du mal à quelqu'un que j'aime, Wanda... il n'y aura pas de prochaine fois. »
Wanda acquiesça sans un mot, consciente que cette conversation était un fragile premier pas vers une paix incertaine.
La nuit tombait doucement sur la maison, et tout le monde semblait s'être dispersé après les événements intenses de la journée. Malia était assise sur le canapé du salon, le regard perdu dans les flammes dansantes de la cheminée. Lilia entra discrètement dans la pièce, portant une tasse de thé.
« Tu es encore là ? » demanda Lilia, un sourire léger sur le visage.
Malia tourna la tête et haussa les épaules. « Je réfléchissais. Trop de choses se sont passées... J'ai besoin de calme. »
Lilia s'approcha et tendit la tasse. « Tiens, ça t'aidera à te détendre. »
Malia accepta la tasse avec un sourire timide. « Merci, Bambina. Tu es toujours là quand j'en ai besoin. »
Lilia rougit légèrement, mais s'installa à côté de Malia sur le canapé. Les deux femmes restèrent silencieuses un moment, savourant la chaleur du feu. Puis, Lilia brisa le silence.
« Tu sais, tu n'as pas à tout porter seule. Je vois bien que tout ça te pèse... mais tu peux te reposer sur moi. »
Malia tourna les yeux vers elle, touchée par ses mots. « Tu dis ça si facilement, mais c'est pas si simple... »
« Pourquoi ? » insista Lilia doucement.
Malia hésita, cherchant ses mots. « Parce que... tu comptes pour moi. Et je ne veux pas t'entraîner dans ce chaos. »
Lilia sourit et posa une main sur celle de Malia. « Trop tard, Bambina. Je suis déjà là. »
Malia sentit son cœur s'accélérer. Elle baissa les yeux sur leurs mains entrelacées et murmura : « Tu es vraiment spéciale, tu sais ça ? »
Lilia haussa un sourcil, taquine. « Je sais. Mais continue, ça fait toujours plaisir de l'entendre. »
Malia rit doucement, et pour la première fois depuis longtemps, son sourire semblait sincère.
« Sérieusement, Lilia. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi... »
Lilia se pencha légèrement, rapprochant leurs visages. « Tu n'as pas à le savoir. Je suis là. Toujours. »
Leurs regards se croisèrent, et un silence chargé d'émotion s'installa. Lentement, Malia se pencha en avant, ses yeux cherchant une approbation silencieuse. Lilia répondit à son geste, réduisant la distance entre elles jusqu'à ce que leurs lèvres se rencontrent dans un baiser tendre et sincère.
Le monde sembla disparaître autour d'elles, le feu crépitant en arrière-plan. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, Malia murmura, un léger sourire sur le visage :
« Je crois que j'avais besoin de ça plus que je ne le pensais. »
Lilia lui caressa doucement la joue. « Moi aussi, Bambina. Moi aussi. »
Elles restèrent enlacées, savourant ce moment de répit et de douceur au milieu du chaos qui les entourait.
La nuit était tombée sur la maison, et tout le monde avait fini par se calmer après une journée mouvementée. Dans la chambre d'Agatha, une scène de tendresse inattendue prenait place. Nicki, épuisé mais rayonnant de bonheur, s'était installé au centre du lit, tenant fermement la main de sa mère, Rosalia, et d'Agatha, qui s'était laissé convaincre de partager ce moment.
Nicki bailla longuement, ses yeux se fermant par à-coups. « Je suis tellement content qu'on soit tous ensemble... Vous savez, je crois que c'est la meilleure nuit de ma vie. »
Rosalia, couchée sur le côté, le regard attendri, passa doucement sa main dans les cheveux de son fils. « Je suis heureuse aussi, mon cœur. Dormir près de toi me rappelle à quel point je t'aime. »
Nicki tourna la tête vers Agatha, qui le regardait avec un mélange d'amusement et de gêne. « Et toi, maman Agatha ? »
Agatha haussa un sourcil en l'entendant l'appeler ainsi, mais elle ne put retenir un sourire sincère. Elle prit une profonde inspiration avant de poser une main sur la couverture. « C'est... agréable, Nicki. Et je crois que tu m'as fait craquer avec ton sourire. »
Nicki éclata de rire, visiblement ravi. « Alors, c'est décidé ! On va dormir comme ça tout le temps ! »
Agatha roula des yeux, mais son sourire restait bien présent. « Ne pousse pas ta chance, jeune homme. Ce n'est qu'une exception. »
Rosalia lui lança un regard espiègle. « Oh, Agatha, tu dis ça maintenant, mais je parie que tu seras la première à demander une autre nuit comme ça. »
Agatha fronça les sourcils, mais ses joues rosirent légèrement, ce qui fit sourire Rosalia.
Nicki, ignorant leur échange, s'étira avant de se blottir contre Rosalia, posant sa tête sur son épaule. « Je vous aime toutes les deux. Vraiment. Je veux que ça reste comme ça pour toujours. »
Rosalia embrassa doucement le sommet de la tête de son fils, les larmes lui montant presque aux yeux. « Nous t'aimons aussi, Nicki. Plus que tout au monde. »
Agatha, un peu mal à l'aise avec tant de démonstrations d'affection, glissa néanmoins une main rassurante sur l'épaule du garçon. « Tu es un sacré gamin, mais... je suis heureuse que tu sois là. »
Nicki bailla à nouveau, ses yeux se fermant doucement. La pièce s'emplit d'un calme réconfortant, ponctué par les respirations lentes de l'enfant endormi.
Rosalia leva les yeux vers Agatha, qui était restée droite, immobile. Elle murmura doucement pour ne pas réveiller Nicki. « Tu peux te détendre, tu sais. Personne ne te jugera. »
Agatha soupira légèrement avant de se glisser un peu plus sous les couvertures. Ses yeux rencontrèrent ceux de Rosalia, et un moment de compréhension silencieuse passa entre elles.
« Merci, » murmura Agatha.
« Pour quoi ? » demanda Rosalia, surprise.
« Pour me laisser une place ici. Avec toi, avec lui. Je ne savais pas à quel point j'avais besoin de ça. »
Rosalia sourit tendrement. « Tu fais partie de cette famille, Agatha. Et ça ne changera jamais. »
Agatha hocha la tête, émue malgré elle, et se laissa aller à poser son front contre celui de Rosalia, un geste doux et intime.
Alors que la nuit avançait, les trois restèrent enlacés dans cette sérénité nouvelle, une famille reconstruite dans l'amour et la complicité.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
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hpodotoc · 4 months ago
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Thisbé de Waterhouse : L'attente tragique d'un amour interdit
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John William Waterhouse, Thisbé ou L'auditeur, huile sur toile, 97x59cm, 1909
Pyrame et Thisbé : Le moment suspendu avant la tragédie
Dans cette peinture de Waterhouse, Thisbé est saisie dans un moment d'attente intense, pressant son oreille contre le mur qui la sépare de son bien-aimé, Pyrame. Ce geste d’écoute, à la fois empreint de tendresse et de tension, illustre de manière poignante leur situation tragique : bien qu’ils soient physiquement proches, leur amour est irrémédiablement entravé par des forces extérieures. La fissure dans le mur, par laquelle ils tentent de communiquer, devient ainsi le symbole de cet amour empêché, une passion qui ne peut s’exprimer que dans le secret, loin des regards de leurs familles hostiles.
Ce choix de représentation par Waterhouse, focalisant uniquement sur Thisbé, fait ressortir non seulement la solitude du personnage, mais aussi la séparation inéluctable qui hante leur relation. Ce moment figé semble anticiper le drame imminent qui culminera dans leur mort tragique.
Les couleurs : Une palette de passion et de tension
Waterhouse, figure emblématique du mouvement préraphaélite, utilise des techniques picturales distinctives qui amplifient les émotions véhiculées par ses sujets. Sa maîtrise de la couleur est particulièrement notable dans cette œuvre. Les teintes riches et vibrantes qu'il emploie ne servent pas seulement à embellir la toile, mais aussi à intensifier l'atmosphère émotionnelle. Le rouge de la robe de Thisbé, par exemple, attire immédiatement le regard et évoque des sentiments de passion, mais aussi de danger imminent.
Ce choix de couleur audacieux est accentué par des contrastes subtils avec les tons plus doux du fond. Ce jeu de lumière et d'ombre crée une tension visuelle qui reflète l’angoisse intérieure des personnages et la précarité de leur situation. En utilisant ces techniques, Waterhouse amplifie le poids émotionnel du moment, en invitant le spectateur à ressentir l'intensité de l’attente de Thisbé.
Les émotions : La vulnérabilité face à la séparation
Outre les jeux de couleurs et de lumière, Waterhouse porte une attention minutieuse aux détails qui révèlent la profondeur émotionnelle de ses personnages. La texture des tissus, les plis de la robe, et surtout l'expression du visage de Thisbé, oscillant entre espoir et angoisse, racontent une histoire plus vaste. Son visage tendu, ses yeux écarquillés et son corps incliné vers le mur traduisent non seulement son désir ardent de se connecter à Pyrame, mais aussi sa peur d’un avenir incertain.
L'invisibilité de Pyrame dans la scène est cruciale. Même absent physiquement, il est omniprésent dans l’esprit de Thisbé, ce qui accentue le drame de la séparation. Cette absence suggère une souffrance encore plus grande, car Pyrame, bien que proche, est inaccessible. La fissure dans le mur, petit espace à travers lequel ils communiquent, symbolise à la fois leur lien ténu et la barrière infranchissable qui les sépare.
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megaverserpg · 7 months ago
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Particularités innées - métamorphomage
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HÉRÉDITÉ ‧₊˚ Ce don est héréditaire mais pas systématique et se manifeste dès la naissance.
CARACTÉRISTIQUES ‧₊˚ Les métamorphomages sont des sorcier·e·s ayant la capacité de changer d'apparence à volonté, sans s'aider de potions ou de sortilèges. La métamorphomagie touche l'ensemble du corps, de la pointe des cheveux jusqu'au bout des pieds, en passant par un changement d'âge et de genre. Il est également possible de s'affubler d'attributs animaux, comme un bec de canard, un museau de chat, des oreilles de chien. La transformation s'effectue par la visualisation de l'aspect recherché ; elle devient de plus en plus facile avec la pratique. Les vêtements et objets, quant à eux, ne se transforment pas il est donc nécessaire d'apprendre à les modifier en même temps que son apparence physique. Si la métamorphose est indolore, elle est néanmoins rendue plus ardue selon les modifications voulues. Il sera ainsi plus compliqué de changer drastiquement sa taille ou son âge que la couleur de ses yeux, puisque il nécessite de modifier son ossature ou de rajouter des rides artificielles. Plus la transformation est importante, plus il sera difficile de la conserver ; elle risquera également d'engendrer des douleurs articulaires. L'apprentissage de la métamorphomagie est longue et difficile ; elle passe notamment par la maîtrise des émotions. L'humeur change l'apparence, notamment la couleur des cheveux et des yeux (par exemple, rouge pour la colère). Il est donc primordial pour un·e métamorphomage d'apprendre à dompter ses sentiments. L'imitation est une étape incontournable, il n'est pas rare de les voir observer leurs pairs afin de s'en imprégner, reproduire ce qu'iels voient, en passant par l'intonation de la voix jusqu'au plus petits tics d'expression. Iels prennent très vite conscience de chaque partie de leur corps comme d'une entité à part entière, qui peut donc subir des changements distincts les uns des autres.
RELATIONS AVEC LA COMMUNAUTÉ MAGIQUE ‧₊˚ Très recherché·e·s par le gouvernement, les métamorphomages sont soumis·e·s à un recensement de la part du ministère de la magie, qui aime à les orienter vers des métiers où leur talent sera utilisé pour la bonne cause. Il n'est notamment pas rare de les voir devenir aurors. Les relations envers les autres sorcier·e·s sont généralement compliquées, si bien souvent iels font rire leurs pairs, iels provoquent également de la méfiance ; qui connaît dans son entourage un·e métamorphomage ne peut se fier à tout le monde, encore moins raconter ses secrets sans s'assurer de la véritable identité de son interlocuteur·ice.
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