#13 émotions à maîtriser
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psychologie24 · 6 months ago
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gestion des émotions: les 13 émotions à maîtriser
gestion des émotions: les 13 émotions à maîtriser Dans cet article, nous allons explorer les 13 émotions humaines les plus importantes, et fournir des stratégies pour une efficace gestion des émotions
Introduction Les émotions sont des expériences complexes qui englobent une vaste gamme de sentiments humains, influençant nos pensées et nos comportements. Comprendre et gérer nos émotions est essentiel pour une vie équilibrée et satisfaisante. Dans cet article, nous allons explorer les 13 émotions humaines les plus importantes, définir ce qui les déclenche et fournir des stratégies pour une…
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mrsines · 27 days ago
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Always And Forever
Chapitre 13 -> La bataille final partit 2
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Agatha était toujours agenouillée au sol, ses mains tremblantes caressant l'endroit où Rosalia avait disparu. Ses larmes coulaient sans retenue, son visage marqué par une douleur brute.
« Je vais la ramener... » déclara soudain Wanda, se tenant un peu en retrait, son regard empli de culpabilité.
Agatha leva la tête, ses yeux rougis fixant Wanda. « Comment tu comptes faire ça ? Tu as déjà détruit assez de vies, Wanda. »
Wanda baissa les yeux, mais elle prit une profonde inspiration et avança d'un pas. « Laisse-moi essayer. Je peux canaliser son essence. Je peux... je peux réparer ça. »
Billy, encore secoué, posa une main hésitante sur l'épaule de sa mère. « Tu es sûre que tu peux le faire ? »
Wanda détourna les yeux, incertaine. « Je dois essayer. Je le dois. »
Elle leva ses mains, qui commencèrent à s'illuminer d'une énergie rouge. Des filaments magiques crépitèrent dans l'air, s'enroulant autour de l'endroit où Rosalia avait été engloutie. Wanda ferma les yeux, concentrant toute sa puissance, son souffle devenant laborieux.
« Ramène-la, ramène-la, ramène-la... » répétait-elle comme une prière désespérée.
Mais alors que l'énergie grandissait, elle se heurta à une barrière invisible. Une onde de choc traversa la crypte, projetant Wanda quelques pas en arrière. L'énergie rouge s'éteignit brutalement, laissant derrière elle un vide oppressant.
« Non... » murmura Wanda, à bout de souffle. « Pourquoi ça ne marche pas ? »
Agatha se releva lentement, sa colère prenant le dessus sur sa douleur. « Pourquoi ? Parce que c'est toujours pareil avec toi, Wanda ! Tu bricoles avec des forces que tu ne maîtrises pas, et à la fin, c'est toujours quelqu'un d'autre qui paye le prix ! »
Wanda recula, ses yeux s'emplissant de larmes. « Je ne voulais pas ça... Je voulais juste protéger Billy... Je voulais... »
Agatha avança vers elle, sa voix tremblante de rage. « Et maintenant, Rosalia est morte ! Parce que toi, avec ta magie, tu joues à être Dieu ! »
« Je m'en veux ! Tu crois que je ne m'en veux pas ? » hurla Wanda, des larmes roulant sur ses joues. « J'ai tout essayé pour la sauver ! J'ai essayé de réparer mes erreurs, Agatha ! »
Billy se plaça entre elles, les mains levées pour tenter de les calmer. « Arrêtez ! Ça ne ramènera pas Rosalia ! »
Wanda essuya ses larmes, regardant Agatha avec une expression désespérée. « Je... Je vais trouver un autre moyen. Je te le promets. Je trouverai un moyen. »
Agatha détourna les yeux, incapable de répondre, son cœur brisé par l'absence de Rosalia. Elle s'éloigna lentement, les épaules secouées par des sanglots silencieux.
Billy posa une main réconfortante sur l'épaule de sa mère, mais elle semblait perdue dans ses pensées, hantée par l'échec.
Dans la crypte silencieuse, la douleur de la perte résonnait plus fort que les mots. Et même si tous partageaient la même peine, leur unité semblait désormais fracturée par des émotions contradictoires : la colère, la culpabilité, et l'impuissance.
Alors que la tension s'épaississait dans la crypte, Malia s'adossa à un mur, ses mains tremblantes cachant son visage. Elle respirait difficilement, comme si l'air devenait insupportable à chaque seconde qui passait.
« Tout est de ma faute... » murmura-t-elle d'une voix brisée, attirant l'attention de Lilia, qui se tenait près d'elle.
Lilia posa une main réconfortante sur son épaule. « Malia, non... Ce n'est pas— »
« Si, Lilia ! » explosa Malia, se dégageant brusquement. « J'aurais dû lui donner mon sang. Je pouvais la sauver, je le savais au fond de moi. Elle serait devenue comme moi, mais elle serait vivante ! »
Sa voix tremblait de regret, des larmes roulant sur ses joues. « Mais j'ai hésité... J'ai eu peur. Et maintenant... maintenant elle est partie... »
Billy, toujours figé par l'émotion, leva un regard fatigué vers Malia. « Tu crois que c'était une solution ? Faire d'elle un vampire ? Ce n'est pas ce qu'elle aurait voulu. »
« Mais au moins, elle serait encore là ! » hurla Malia, frappant le mur avec sa main. « Je l'ai laissée mourir alors que j'avais le pouvoir de changer les choses. Je l'ai regardée se sacrifier, et je n'ai rien fait. Rien ! »
Lilia, bouleversée, s'approcha et tenta de prendre ses mains. « Malia, écoute-moi. Ce n'est pas ta faute. Elle a pris une décision, et personne n'aurait pu la faire changer d'avis. Pas toi, pas moi, personne. »
Malia secoua la tête, le regard perdu. « Tu ne comprends pas... Elle comptait pour moi. Plus que je ne l'ai jamais avoué. Et je n'ai rien fait. »
Agatha, qui était restée silencieuse jusque-là, releva lentement les yeux, ses propres larmes brillant dans la faible lumière de la crypte. « Rosalia n'aurait jamais accepté que tu fasses ça, Malia. Elle savait ce qu'elle voulait, même si ça nous brise. »
La vampire serra les poings, ses crocs se dévoilant instinctivement sous l'intensité de sa douleur. « Elle méritait de vivre, Agatha. Pas moi. »
Wanda, au bord des larmes, s'approcha maladroitement, sa culpabilité pesant comme une enclume. « Nous avons tous échoué... Mais blâmer chacun ne nous ramènera pas Rosalia. »
Malia tourna un regard glacé vers Wanda, ses yeux flamboyant d'un rouge menaçant. « Ne me parle pas de culpabilité, Wanda. C'est toi qui as attiré cette créature ici avec tes sorts tordus. »
Lilia intervint immédiatement, se plaçant entre elles. « Stop, Malia. Ça suffit. »
Mais l'émotion débordante de Malia était incontrôlable. Elle s'effondra dans les bras de Lilia, sanglotant violemment. Lilia la serra fermement contre elle, ses doigts caressant doucement ses cheveux pour apaiser sa douleur.
La crypte était plongée dans un silence pesant, chacun consumé par sa propre culpabilité et son chagrin.
Billy murmura finalement, brisant la tension : « Elle ne voudrait pas qu'on se déchire comme ça. Elle voudrait qu'on continue... qu'on trouve un moyen de réparer tout ça. Pour elle. »
Agatha hocha lentement la tête, mais son regard vide témoignait de la douleur qu'elle portait. « On va la retrouver, » dit-elle finalement, sa voix un murmure, mais emplie d'une détermination féroce. « Peu importe ce que ça coûte. »
Wanda ferma les yeux, inspirant profondément. « Si elle est toujours quelque part, je trouverai une solution. Je le jure. »
Malia, toujours blottie contre Lilia, serra les dents, un éclat sombre brillant dans ses yeux. « Elle doit revenir. Elle reviendra. »
Et dans la lourdeur de la nuit qui s'approchait, une promesse silencieuse s'éleva parmi eux : ils ne s'arrêteraient pas tant que Rosalia ne serait pas sauvée.
༺♡༻
Dans l'obscurité glaciale de la grotte, Rosalia était allongée, immobile, sur le sol humide et froid. Autour d'elle, l'eau semblait vivante, bougeant doucement comme en réponse à une énergie ancienne. Une lumière bleutée illumina soudain l'espace, et une silhouette majestueuse émergea des ombres : le demi-dieu de l'océan. Son corps scintillait de reflets aquatiques, et son regard brillait d'une sagesse insondable.
Il s'approcha lentement, sa voix résonnant comme un murmure d'écume sur la plage.
« Rosalia... » dit-il avec douceur. « Ton sacrifice, né de l'amour et du courage, a éveillé les forces les plus anciennes des océans. Mais ta destinée ne s'arrête pas ici. »
Il leva une main, et l'eau autour de Rosalia se mit à tourbillonner, l'entourant d'une aura éclatante. Lentement, son corps s'éleva dans les airs, bercé par les flots comme une feuille portée par la marée. Ses yeux s'ouvrirent, remplis d'un éclat azur surnaturel.
« Où... où suis-je ? » murmura-t-elle, désorientée mais étrangement apaisée.
Le demi-dieu répondit avec un sourire doux. « Là où les âmes les plus courageuses viennent pour renaître. »
Il entama alors un chant ancien, une mélodie envoûtante qui fit vibrer l'air et les eaux. Autour d'eux, des images prirent forme dans les flots : le sacrifice de Rosalia pour Billy, son amour pour Agatha, et ses souvenirs de Nicki. Chaque moment brillait d'une intensité poignante, comme des fragments d'étoiles emprisonnés dans l'eau.
« Ton amour inébranlable a touché même les dieux, » déclara-t-il. « Mais le monde a encore besoin de toi. Tu ne peux revenir telle que tu étais. Alors, je t'offre un don. Une nouvelle vie, une nouvelle force. »
L'eau se mit à graviter autour d'elle, formant des motifs marins lumineux sur sa peau, semblables à des tatouages divins. Ses cheveux prirent une teinte irisée, rappelant les vagues sous le clair de lune, et ses yeux brillèrent d'une intensité océanique.
« Je te nomme demi-déesse des marées, Rosalia. Une gardienne des océans et des cœurs. Avec ce pouvoir, tu as la force de protéger et de guider. »
Rosalia, émue mais troublée, posa une main sur sa poitrine. « Pourquoi moi ? » demanda-t-elle, sa voix empreinte de doute.
Le demi-dieu se pencha légèrement. « Parce que, même dans la douleur, tu as choisi l'amour. Mais cette fois, tu n'es pas seule. Et parce que l'amour que tu portes transcende les mondes, je t'offre une récompense. »
Il recula légèrement, les flots s'intensifiant autour de lui. La lumière dans la grotte se fit plus éclatante.
« Tu peux ramener une personne avec toi. Une âme que tu aimes profondément. »
Rosalia, stupéfaite, sentit son cœur se serrer. Une larme roula sur sa joue. Elle savait immédiatement qui choisir.
« Nicki... » murmura-t-elle, sa voix tremblante mais résolue.
Le demi-dieu hocha la tête avec gravité. « Une vie pour une vie. Une décision guidée par l'amour. »
Une vague massive monta soudain, éclatant en une lumière aveuglante. Dans cette lumière, une silhouette familière apparut. Un garçon, avec les traits doux et les yeux vifs de Nicki, se tenait devant elle, confus mais vivant.
« Maman ? » dit-il doucement, tendant une main vers Rosalia.
Rosalia, submergée d'émotion, se précipita pour l'enlacer, des larmes inondant son visage. « Nicki... mon bébé... »
Le demi-dieu les observa, un sourire bienveillant sur les lèvres.
« N'oublie jamais : avec ce pouvoir vient une grande responsabilité. Ton voyage ne fait que commencer. »
Il leva une main, et l'eau forma une spirale qui les enveloppa. Quand la lumière disparut, Rosalia et Nicki se tenaient dans un silence apaisant, encore dans la grotte, mais conscients qu'ils allaient bientôt revenir auprès des leurs.
Rosalia murmura, la voix emplie de gratitude : « Merci... »
Le demi-dieu inclina légèrement la tête avant de disparaître dans une dernière onde de lumière, laissant Rosalia et Nicki prêts à affronter un nouveau chapitre de leur vie.
Dans la grotte, Nicki ne lâchait pas Rosalia, ses bras enroulés autour de sa taille comme s'il avait peur qu'elle disparaisse de nouveau. Il releva la tête pour la regarder, son visage partagé entre émerveillement et confusion.
« Maman, est-ce que toi aussi, tu es... morte ? » demanda-t-il doucement, l'ombre d'une peur enfantine dans sa voix.
Rosalia prit une grande inspiration et posa une main sur sa joue. « C'est... compliqué, mon ange. Disons que je suis différente, maintenant. Je ne suis pas vraiment morte, mais je ne suis plus tout à fait humaine non plus. »
Nicki plissa les yeux, essayant de comprendre. « Alors... tu es quoi ? »
Un léger sourire traversa les lèvres de Rosalia. Elle se redressa légèrement, sa posture irradiant une grâce nouvelle, presque divine. « Je suis une demi-déesse, Nicki. Une gardienne des marées et des océans. »
Nicki cligna des yeux, abasourdi, avant qu'un sourire immense illumine son visage. « Une demi-déesse ?! C'est trop cool, maman ! » Il sauta presque de joie, ses mains serrées sur les siennes. « Ça veut dire que tu as des pouvoirs, non ? Genre, tu peux contrôler l'eau ou appeler des dauphins ?! »
Rosalia rit doucement, touchée par son enthousiasme. Elle serra son fils dans ses bras, laissant son cœur se remplir d'une chaleur qu'elle croyait avoir perdue à jamais. « Oui, quelque chose comme ça... mais ce n'est pas ce qui compte le plus. Ce qui compte, c'est que je t'ai retrouvé. »
Nicki la regarda, rayonnant de bonheur, puis demanda, avec une étincelle d'espoir dans les yeux : « On peut rentrer maintenant ? Je veux voir tout le monde, surtout Agatha ! »
Rosalia sentit son cœur se serrer légèrement. Elle caressa les cheveux de Nicki, un soupir échappant de ses lèvres. « Oui, on rentrera, mon chéri. Mais... je ne sais pas encore comment faire. »
Nicki fronça les sourcils, réfléchissant. « Mais tu es une demi-déesse, non ? Il doit bien y avoir un moyen. Peut-être que... »
Il fut interrompu par une vibration étrange dans l'air, comme un écho lointain d'une voix ancienne. Rosalia tourna la tête, son instinct divin éveillé. Les murs de la grotte semblèrent pulser avec une énergie familière.
« Peut-être que je n'ai pas à le faire seule, » murmura-t-elle, plus pour elle-même.
Nicki tira doucement sur sa main. « Tu crois que c'est le demi-dieu qui revient pour nous aider ? »
Rosalia secoua la tête. « Je ne pense pas. C'est autre chose... une connexion, une force qui m'appelle. »
Elle ferma les yeux, concentrant son énergie nouvellement acquise. Ses doigts effleurèrent l'eau qui ondulait autour d'eux, et un cercle lumineux se forma au sol, semblant réagir à sa volonté.
Nicki l'observa avec émerveillement. « Tu peux le faire, maman. Je crois en toi. »
Encouragée par ses mots, Rosalia se concentra davantage. Une vision fugace d'Agatha, de Malia, de Lilia, et même d'Emma traversa son esprit. Ils l'attendaient, pleins d'espoir et de désespoir mêlés. Une larme roula sur sa joue, mais elle garda sa détermination.
« Accroche-toi bien, Nicki, » dit-elle en serrant son fils contre elle.
L'énergie du cercle s'intensifia, une lumière éblouissante remplissant la grotte. Le chant de l'eau résonna autour d'eux, et en un instant, ils furent enveloppés dans une vague chaude et lumineuse, disparaissant de la grotte magique pour entamer leur retour vers le monde des vivants.
Dans un éclat de lumière aveuglante, Rosalia et Nicki disparurent de la grotte magique. Lorsqu'ils réapparurent, ils se retrouvèrent dans un lieu qu'ils connaissaient bien : le bord de la mer, près de la maison de Malia. Le vent marin caressait doucement leurs visages, et l'écho lointain des vagues semblait saluer leur retour.
Nicki, toujours accroché à Rosalia, regarda autour de lui avec des yeux écarquillés. « On est... de retour ? Vraiment ? »
Rosalia hocha la tête, les émotions se bousculant dans sa poitrine. « Oui, mon ange. On est rentrés. »
Mais avant qu'ils puissent profiter de ce moment, une voix tremblante et incrédule retentit derrière eux.
« Rosalia ? »
Elle se retourna et vit Agatha. Debout à quelques mètres de là, Agatha semblait figée, ses yeux passant de Rosalia à Nicki, sa main tremblant légèrement.
Rosalia sentit son cœur se serrer, mais Nicki, lui, ne perdit pas une seconde. Il se détacha de sa mère et courut vers Agatha.
« Agatha ! » cria-t-il avec enthousiasme, se jetant dans ses bras.
Agatha l'attrapa instinctivement, le serrant contre elle comme si elle craignait qu'il ne disparaisse à nouveau. Elle ferma les yeux, laissant échapper un sanglot qu'elle retenait depuis trop longtemps.
« Nicki... » murmura-t-elle, sa voix brisée par l'émotion.
Rosalia, quant à elle, restait en retrait, les bras croisés, observant la scène. Une vague de soulagement la traversa, mais elle savait que ce n'était que le début.
Nicki se tourna alors vers Rosalia, son visage illuminé par un sourire. « Maman, viens ! »
Rosalia hésita un instant avant d'avancer doucement. Agatha leva les yeux vers elle, ses larmes toujours visibles, mais son regard portait une confusion palpable.
« Comment... ? » murmura Agatha.
« C'est compliqué, » répondit Rosalia doucement. Elle posa une main sur l'épaule de Nicki, puis plongea son regard dans celui d'Agatha. « Mais il est là. On est là. »
Agatha lâcha un rire nerveux, ses doigts caressant machinalement les cheveux de Nicki. « C'est... irréel. »
Nicki, avec son enthousiasme habituel, brisa la tension. « Agatha, maman est une demi-déesse maintenant ! Elle est trop forte ! »
Agatha fronça légèrement les sourcils et regarda Rosalia avec un mélange de surprise et d'inquiétude.
« Une demi-déesse ? » demanda-t-elle, son ton incrédule.
Rosalia haussa les épaules. « C'est une longue histoire, mais oui. Et... ça vient avec des responsabilités. »
Avant qu'Agatha ne puisse répondre, une autre voix se fit entendre depuis la maison.
« C'était quoi cette lumière ? » cria Malia, suivie de Lilia, Emma, et même Wanda.
En un instant, tout le monde fut autour d'eux, les regards oscillant entre Rosalia, Nicki, et l'expression abasourdie d'Agatha.
Malia s'approcha, sa voix tremblante. « Rosalia... c'est toi ? »
Rosalia hocha doucement la tête. « Oui, c'est moi. »
Wanda, quant à elle, resta en retrait, son visage pâle et ses mains tremblantes. Elle n'osait pas s'avancer, son regard rivé sur Rosalia avec une culpabilité dévorante.
Rosalia le remarqua et, après un court silence, s'avança vers elle. « Wanda... »
Wanda secoua la tête, les larmes coulant sur ses joues. « Je suis désolée... Tellement désolée... »
Rosalia posa une main sur son épaule, son regard empreint de compassion. « Ce n'est pas de ta faute. Ce qui est arrivé... c'était bien plus grand que nous. »
Malgré tout, Wanda éclata en sanglots, et Malia la prit dans ses bras pour la réconforter.
Agatha, qui avait observé toute la scène en silence, se racla finalement la gorge. « Alors, qu'est-ce qu'on fait maintenant ? »
Rosalia se tourna vers elle, un léger sourire sur les lèvres. « Maintenant, on s'assure que cette île ne cache plus de surprises. Et on se bat. Ensemble. »
Tous hochèrent la tête, et pour la première fois depuis longtemps, une lueur d'espoir semblait illuminer le groupe.
Billy bondit de joie, incapable de contenir son excitation. Il attrapa Nicki et le souleva dans les airs. « Petit gars, t'es vraiment revenu, c'est dingue ! » Il le reposa avant de regarder Rosalia. « T'as réussi un vrai miracle, Rosalia. Merci... vraiment. »
Rosalia lui adressa un sourire tendre, mais avant qu'elle ne puisse répondre, Emma, qui avait les bras croisés et un sourire moqueur, lança une réflexion acerbe.
« Bon, on dirait que mes chances avec Rosalia viennent de se réduire à néant... à moins que quelqu'un change d'avis ? » Elle jeta un regard provocateur à Rosalia, son sourire s'élargissant en voyant l'expression indignée d'Agatha.
Nicki, qui observait la scène, fronça les sourcils. Il lâcha la main de Rosalia, s'avança et posa ses petites mains sur ses hanches, fixant Emma avec une intensité impressionnante pour son âge.
« Je sais pas qui tu es, toi, mais je vais te dire un truc. Mes deux mamans restent ensemble, compris ? Sinon... attention à toi ! »
Un silence stupéfait s'installa pendant une seconde, avant que tout le monde, hormis Emma, n'éclate de rire. Malia dut même se tenir à Lilia pour ne pas perdre l'équilibre.
« T'es un vrai héros, toi, » lança Billy en tapotant affectueusement la tête de Nicki.
Agatha, elle, se pencha pour attraper Nicki et le souleva, un sourire attendri éclairant son visage. « Écoute, petit, tu viens officiellement de devenir mon garde du corps. »
Nicki acquiesça avec sérieux, même si un sourire fier illuminait ses traits. « C'est mon job. »
Rosalia, les bras croisés, secoua la tête, amusée. « Nicki, tu ne devrais pas menacer les gens... même si c'est mérité. »
Emma, qui avait retrouvé un semblant de contenance, haussa un sourcil en fixant Rosalia. « Oh, je vois. Vous êtes une famille soudée. Très bien. Mais vous savez où me trouver si jamais... vous changez d'avis. »
Agatha lança un regard noir à Emma, mais cette fois, elle ne répondit rien. Elle serra Nicki contre elle et posa son front contre celui du garçon. « Merci pour ton soutien, mon champion. »
Nicki sourit fièrement avant de descendre des bras d'Agatha et de revenir auprès de sa mère. Il attrapa la main de Rosalia et leva les yeux vers elle. « Allez, maman. Faut qu'on protège Agatha et qu'on reste une vraie équipe. »
Rosalia échangea un regard complice avec Agatha avant de murmurer à Nicki : « T'as tout compris, mon ange. Toujours une équipe. »
Emma, de son côté, haussa les épaules, l'air faussement indifférent, mais on pouvait voir un soupçon d'agacement dans ses yeux.
Malia, qui n'avait rien raté de l'échange, glissa à Lilia avec un sourire en coin : « On dirait qu'Emma vient de rencontrer son plus grand rival. »
Lilia acquiesça en riant doucement. « Et c'est clairement pas gagné pour elle. »
༺♡༻
L'ambiance dans la maison était plus légère qu'elle ne l'avait été depuis des jours, chacun savourant un rare moment de paix. Mais au fond de leur esprit, ils savaient tous que la bataille n'était pas terminée. Rosalia, désormais demi-déesse, savait qu'elle devait rester forte pour sa famille... et pour tout ce qui allait encore venir.
Une fois rentrés à la maison, l'ambiance était tendue, mais apaisée par moments. Les rires de Nicki résonnaient dans les pièces, un rappel constant du miracle qui venait de se produire. Pourtant, dans un coin plus isolé, Agatha et Wanda se tenaient face à face, leurs regards lourds de tout ce qui n'avait pas été dit depuis longtemps.
Agatha croisa les bras, sa posture rigide et défensive. « Alors ? Tu veux qu'on parle ? » demanda-t-elle d'un ton presque cassant.
Wanda hésita un instant avant de hocher la tête. « Oui. Je pense qu'on doit le faire. »
Elles s'assirent à la table du salon, chacune de son côté, une distance presque palpable entre elles. Wanda ouvrit la bouche pour parler, mais Agatha leva une main pour l'interrompre.
« Avant que tu dises quoi que ce soit, je veux que tu saches une chose : je ne te pardonne pas, Wanda. »
Le visage de Wanda se crispa, mais elle resta silencieuse.
« Tu as fait des choix... Des choix qui nous ont tous coûté cher. Rosalia a failli mourir par ta faute. Mon fils... » La voix d'Agatha se brisa légèrement, mais elle reprit rapidement. « Mon fils a souffert, et moi aussi. Et tout ça, c'était à cause de toi. »
Wanda baissa les yeux, son visage marqué par la culpabilité. « Je sais, Agatha. Je sais que j'ai fait des erreurs, et je ne m'attends pas à ce que tu me pardonnes. Mais je suis prête à tout pour essayer de réparer ce que j'ai brisé. »
Agatha laissa échapper un rire amer. « Réparer ? Tu crois que c'est possible, ça ? Ramener Nicki et Rosalia n'efface pas ce qui s'est passé. »
Wanda releva la tête, son regard brillant de larmes qu'elle refusait de laisser couler. « Non, ça n'efface rien. Mais je peux essayer d'être meilleure. Pas pour toi, pas pour moi, mais pour Billy. Pour Nicki. Pour eux. »
Agatha l'observa longuement, scrutant chaque expression sur le visage de Wanda. Finalement, elle soupira, passant une main fatiguée dans ses cheveux.
« Écoute, je ne te pardonne pas, et peut-être que je ne le ferai jamais. Mais... je veux bien passer à autre chose. Pour eux. Pour Rosalia, pour Nicki. On a assez de problèmes comme ça sans ajouter nos querelles. »
Wanda hocha la tête, reconnaissante. « Merci. C'est déjà beaucoup. »
Agatha se leva, signalant que la conversation était terminée. Avant de partir, elle s'arrêta et se retourna une dernière fois.
« Si tu fais encore du mal à quelqu'un que j'aime, Wanda... il n'y aura pas de prochaine fois. »
Wanda acquiesça sans un mot, consciente que cette conversation était un fragile premier pas vers une paix incertaine.
La nuit tombait doucement sur la maison, et tout le monde semblait s'être dispersé après les événements intenses de la journée. Malia était assise sur le canapé du salon, le regard perdu dans les flammes dansantes de la cheminée. Lilia entra discrètement dans la pièce, portant une tasse de thé.
« Tu es encore là ? » demanda Lilia, un sourire léger sur le visage.
Malia tourna la tête et haussa les épaules. « Je réfléchissais. Trop de choses se sont passées... J'ai besoin de calme. »
Lilia s'approcha et tendit la tasse. « Tiens, ça t'aidera à te détendre. »
Malia accepta la tasse avec un sourire timide. « Merci, Bambina. Tu es toujours là quand j'en ai besoin. »
Lilia rougit légèrement, mais s'installa à côté de Malia sur le canapé. Les deux femmes restèrent silencieuses un moment, savourant la chaleur du feu. Puis, Lilia brisa le silence.
« Tu sais, tu n'as pas à tout porter seule. Je vois bien que tout ça te pèse... mais tu peux te reposer sur moi. »
Malia tourna les yeux vers elle, touchée par ses mots. « Tu dis ça si facilement, mais c'est pas si simple... »
« Pourquoi ? » insista Lilia doucement.
Malia hésita, cherchant ses mots. « Parce que... tu comptes pour moi. Et je ne veux pas t'entraîner dans ce chaos. »
Lilia sourit et posa une main sur celle de Malia. « Trop tard, Bambina. Je suis déjà là. »
Malia sentit son cœur s'accélérer. Elle baissa les yeux sur leurs mains entrelacées et murmura : « Tu es vraiment spéciale, tu sais ça ? »
Lilia haussa un sourcil, taquine. « Je sais. Mais continue, ça fait toujours plaisir de l'entendre. »
Malia rit doucement, et pour la première fois depuis longtemps, son sourire semblait sincère.
« Sérieusement, Lilia. Je ne sais pas ce que je ferais sans toi... »
Lilia se pencha légèrement, rapprochant leurs visages. « Tu n'as pas à le savoir. Je suis là. Toujours. »
Leurs regards se croisèrent, et un silence chargé d'émotion s'installa. Lentement, Malia se pencha en avant, ses yeux cherchant une approbation silencieuse. Lilia répondit à son geste, réduisant la distance entre elles jusqu'à ce que leurs lèvres se rencontrent dans un baiser tendre et sincère.
Le monde sembla disparaître autour d'elles, le feu crépitant en arrière-plan. Lorsque leurs lèvres se séparèrent, Malia murmura, un léger sourire sur le visage :
« Je crois que j'avais besoin de ça plus que je ne le pensais. »
Lilia lui caressa doucement la joue. « Moi aussi, Bambina. Moi aussi. »
Elles restèrent enlacées, savourant ce moment de répit et de douceur au milieu du chaos qui les entourait.
La nuit était tombée sur la maison, et tout le monde avait fini par se calmer après une journée mouvementée. Dans la chambre d'Agatha, une scène de tendresse inattendue prenait place. Nicki, épuisé mais rayonnant de bonheur, s'était installé au centre du lit, tenant fermement la main de sa mère, Rosalia, et d'Agatha, qui s'était laissé convaincre de partager ce moment.
Nicki bailla longuement, ses yeux se fermant par à-coups. « Je suis tellement content qu'on soit tous ensemble... Vous savez, je crois que c'est la meilleure nuit de ma vie. »
Rosalia, couchée sur le côté, le regard attendri, passa doucement sa main dans les cheveux de son fils. « Je suis heureuse aussi, mon cœur. Dormir près de toi me rappelle à quel point je t'aime. »
Nicki tourna la tête vers Agatha, qui le regardait avec un mélange d'amusement et de gêne. « Et toi, maman Agatha ? »
Agatha haussa un sourcil en l'entendant l'appeler ainsi, mais elle ne put retenir un sourire sincère. Elle prit une profonde inspiration avant de poser une main sur la couverture. « C'est... agréable, Nicki. Et je crois que tu m'as fait craquer avec ton sourire. »
Nicki éclata de rire, visiblement ravi. « Alors, c'est décidé ! On va dormir comme ça tout le temps ! »
Agatha roula des yeux, mais son sourire restait bien présent. « Ne pousse pas ta chance, jeune homme. Ce n'est qu'une exception. »
Rosalia lui lança un regard espiègle. « Oh, Agatha, tu dis ça maintenant, mais je parie que tu seras la première à demander une autre nuit comme ça. »
Agatha fronça les sourcils, mais ses joues rosirent légèrement, ce qui fit sourire Rosalia.
Nicki, ignorant leur échange, s'étira avant de se blottir contre Rosalia, posant sa tête sur son épaule. « Je vous aime toutes les deux. Vraiment. Je veux que ça reste comme ça pour toujours. »
Rosalia embrassa doucement le sommet de la tête de son fils, les larmes lui montant presque aux yeux. « Nous t'aimons aussi, Nicki. Plus que tout au monde. »
Agatha, un peu mal à l'aise avec tant de démonstrations d'affection, glissa néanmoins une main rassurante sur l'épaule du garçon. « Tu es un sacré gamin, mais... je suis heureuse que tu sois là. »
Nicki bailla à nouveau, ses yeux se fermant doucement. La pièce s'emplit d'un calme réconfortant, ponctué par les respirations lentes de l'enfant endormi.
Rosalia leva les yeux vers Agatha, qui était restée droite, immobile. Elle murmura doucement pour ne pas réveiller Nicki. « Tu peux te détendre, tu sais. Personne ne te jugera. »
Agatha soupira légèrement avant de se glisser un peu plus sous les couvertures. Ses yeux rencontrèrent ceux de Rosalia, et un moment de compréhension silencieuse passa entre elles.
« Merci, » murmura Agatha.
« Pour quoi ? » demanda Rosalia, surprise.
« Pour me laisser une place ici. Avec toi, avec lui. Je ne savais pas à quel point j'avais besoin de ça. »
Rosalia sourit tendrement. « Tu fais partie de cette famille, Agatha. Et ça ne changera jamais. »
Agatha hocha la tête, émue malgré elle, et se laissa aller à poser son front contre celui de Rosalia, un geste doux et intime.
Alors que la nuit avançait, les trois restèrent enlacés dans cette sérénité nouvelle, une famille reconstruite dans l'amour et la complicité.
~~<><><><>~~ FIN~~<><><><>~~
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christophe76460 · 7 days ago
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Je continue dans le chapitre 4 aux Éphésiens.
Soyez toujours humbles, doux et patients, supportez-vous les uns les autres avec amour (Ephésiens 4:2).
Paul dresse la liste de trois vertus qui doivent stimuler la marche du croyant. La première est l’humilité.
Un groupe de touristes visitait la maison de Beethoven à Vienne. Une fois le tour terminé, le guide a demandé si quelqu’un voulait jouer quelques notes sur le piano du grand maître. Tout le monde se précipita sauf un vieux monsieur aux cheveux longs et blancs. Le guide s’adressa à lui :
Et vous, ça ne vous intéresse pas de taper quelques touches ?
Le vieil homme répondit :
Non, je ne m’en sens pas digne.
Pourtant, son nom était Paderewski Ignacy, un politicien polonais qui était aussi un pianiste virtuose. Il était le seul du groupe qui aurait pu se permettre de jouer du piano du maître, mais il ne l’a pas fait par humilité.
Dans la culture grecque, cette vertu était en fait considérée comme un vice qui ne devait être pratiqué que par les esclaves. Mais Paul déclare que les croyants doivent se comporter en toute humilité à chaque instant de leur vie surtout qu’elle favorise l’unité alors que l’orgueil au contraire, engendre des divisions. Je lis un passage :
Ne faites donc rien par esprit de rivalité, ou par un vain désir de vous mettre en avant ; au contraire, par humilité, considérez les autres comme plus importants que vous-mêmes (Philippiens 2:3).
Parallèlement, la fausse humilité est tout aussi mesquine, car c’est une façon subtile de paraître.
Jésus est l’exemple suprême de l’humilité. Je lis un texte :
Lui qui, dès l’origine, était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition du serviteur. Il se rendit semblable aux hommes en tous points, et tout en lui montrait qu’il était bien un homme. Il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix (Philippiens 2:6-8).
En second lieu, le croyant doit agir avec douceur, une vertu qui s’oppose à l’autoritarisme, l’insolence et la dureté. En outre, elle suppose que le croyant maîtrise ses émotions. Toutefois, celui qui est doux n’est pas faible pour autant et peut fort bien se mettre en colère.
Méfiez-vous des eaux qui dorment et attention à la main de fer dans des gants de velours.
Moïse avait la réputation d’être l’homme le plus doux, le plus humble et le plus patient qui n’ait jamais existé (Nombres 12:3), et pourtant il s’est fâché tout rouge lorsqu’Israël a fabriqué le veau d’or. Je lis le passage :
En approchant du camp il aperçut le veau et des chśurs de danse. Moïse s’enflamma de colère ; il jeta de sa main les tables et les brisa au pied de la montagne. Il prit le veau qu’ils avaient fabriqué, le brûla au feu, le moulut en poudre fine, et en saupoudra la surface de l’eau qu’il fit boire aux Israélites (Exode 32:19-20).
L’Évangile dit de Jésus qu’il était doux et humble de cśur (Matthieu 11:29) et pourtant il se mit dans une forte colère contre les marchands qui faisaient un fric monstre en rackettant ceux qui venaient au Temple offrir un sacrifice (Matthieu 21:12-13). Moïse et Jésus étaient doux et humbles, mais prêts à défendre l’honneur de Dieu à n’importe quel prix.
En troisième lieu, le croyant est appelé à faire preuve de patience, il n’abandonne jamais et il supporte tout. L’homme patient ne s’emballe pas ; il ne part pas au quart de tour, mais se contrôle.
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Je continue le texte.
Efforcez-vous de conserver l’unité que donne l’Esprit, dans la paix qui vous lie les uns aux autres (Ephésiens 4:3).
Deux dangers menacent l’Église : la discorde et les fausses doctrines. Plus loin, Paul écrit que le rôle des apôtres était d’enseigner les croyants afin qu’ils ne soient plus comme des petits enfants ballottés comme des barques par les vagues et emportés çà et là par le vent de toutes sortes de doctrines (Ephésiens 4:14).
Quant à l’unité, elle est donnée par le Saint-Esprit et se fonde sur la paix instaurée par le Christ entre tous les hommes qui composent l’Église. Paul exhorte les Éphésiens, leur disant de faire des efforts assidus pour conserver l’unité de l’Esprit par le lien de la paix. En fait, les croyants n’ont pas à construire l’unité entre eux, car c’est Dieu qui l’a créée en réponse à la prière de Jésus. Je lis le passage :
Je te demande qu’ils soient tous un. Comme toi, Père, tu es en moi et comme moi je suis en toi, qu’ils soient un en nous pour que le monde croie que c’est toi qui m’as envoyé (Jean 17:21).
La tâche des croyants est de conserver leur unité qui est à la fois normale et surnaturelle, en se tolérant les uns les autres dans l’amour, en particulier lorsqu’ils ne sont pas du même avis sur un sujet. Je cite un passage :
Supportez-vous les uns les autres, et si l’un de vous a quelque chose à reprocher à un autre, pardonnez-vous mutuellement ; le Seigneur vous a pardonné : vous aussi, pardonnez-vous de la même manière (Colossiens 3:13).
Fut un temps où je priais quelquefois avec quelqu’un qui avait de fortes convictions politiques, mais aux antipodes des miennes. À l’écouter, je souriais en me mordant la langue, car essayer de défendre un point de vue sur la façon dont on nous gouverne est vain et ne vaut vraiment pas la peine de se chamailler. Mieux vaut promouvoir l’unité en étant humble, doux et patient, car de telles attitudes font office d’huile dans les rouages des relations humaines.
Tout le monde a entendu la locution proverbiale diviser pour régner. La même pensée est exprimée sous son aspect positif dans la maxime, L’union fait la force. Mais c’est certainement Alexandre Dumas qui a immortalisé cette idée dans son roman Les trois mousquetaires avec la fameuse formule :
Tous pour un et un pour tous.
L’importance de l’unité dans les relations humaines ne saurait être exagérée. Chaque fois que des gens se rassemblent pour accomplir une tâche quelconque, il est nécessaire qu’ils soient unis, qu’ils partagent la même vision, sinon leur projet capotera. Le même principe s’applique aussi à l’Église et c’est pourquoi l’apôtre Paul explique avec force détails les fondements sur lesquels repose l’unité des croyants.
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valloninfo · 2 months ago
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Kari Voutilainen Le Grand Prix d’Horlogerie de Genève (GPHG) a révélé ses lauréats pour l’année 2024, célébrant l’excellence de l’art horloger avec une cérémonie riche en émotions le 13 novembre dernier. La scène internationale, rassemblée autour de l’actrice Carole Bouquet et du président du jury Nick Foulkes, a notamment salué plusieurs marques emblématiques installées au cœur de Val-de-Travers. Une reconnaissance qui renforce la position de la région comme pôle d'exception dans le domaine horloger. Des marques locales primées pour leur audace et leur savoir-faire Parmi les lauréats de cette édition, Chopard, Piaget, Bovet 1822 et Voutilainen ont su briller dans leurs catégories respectives, témoignant de l'innovation et de l'expertise qui caractérisent Val-de-Travers. Chopard s'est distinguée dans deux catégories : le Prix de l’Éco-innovation avec la montre L.U.C Qualité Fleurier, une création exemplaire pour son engagement écologique, et le Prix de la Montre Joaillerie pour sa somptueuse Montre à secret de Haute Joaillerie Laguna. Avec ces récompenses, la marque continue de prouver que l'horlogerie peut allier esthétique et durabilité, une vision qui séduit aussi bien les passionnés que les experts. Piaget a remporté le Prix de la Montre Iconique pour sa Piaget Polo 79, réaffirmant ainsi son statut de référence intemporelle. Cette distinction témoigne de la maîtrise technique et du design inimitable qui ont fait de Piaget un symbole de l'élégance horlogère. Bovet 1822 a été récompensée du Prix de l’Exception Mécanique avec son modèle Récital 28 Prowess 1, une véritable prouesse technique et artistique qui réinvente les codes de l’horlogerie traditionnelle. La manufacture de Bovet, ancrée à Val-de-Travers, se distingue ainsi une fois de plus par sa capacité à repousser les limites de la mécanique. Voutilainen, enfin, a été honorée avec le Prix de la Montre Homme pour sa KV20i Inversé, une montre à la fois technique et unique qui incarne l'essence de l'artisanat horloger. Chaque modèle de Voutilainen témoigne de l'engagement de la marque pour l'excellence artisanale et le raffinement. Men’s Watch Prize: Voutilainen, KV20i Reversed Iconic Watch Prize: Piaget, Piaget Polo 79 Stacked from 73 images. Method=B (R=8,S=4) Eco-innovation Prize: Chopard, L.U.C Qualité Fleurier Mechanical Exception Watch Prize: Bovet 1822, Récital 28 Prowess 1 Un palmarès prestigieux qui met en lumière Val-de-Travers Cette édition du GPHG, en récompensant des marques établies à Val-de-Travers, confirme l'importance de la région dans le panorama horloger mondial. Depuis des décennies, Val-de-Travers attire des maisons qui innovent en matière de précision, de design et de durabilité. Ces récompenses représentent non seulement une fierté pour la région, mais aussi une reconnaissance internationale de l'expertise horlogère locale. Le GPHG 2024 a ainsi permis de rendre hommage aux artisans, ingénieurs et créateurs passionnés qui donnent vie à des montres d’exception. Pour ceux qui souhaitent découvrir de près les garde-temps primés, une exposition est ouverte au Musée Rath à Genève jusqu'au 17 novembre, suivie d'une présentation en Roumanie, à la bibliothèque universitaire de Bucarest, du 21 au 23 novembre. Val-de-Travers peut ainsi être fier de voir ses marques continuer à briller au firmament de l'horlogerie mondiale, confirmant son rôle essentiel dans la perpétuation de ce savoir-faire unique.
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Giuliana et Loan en finale à The Voice Kids
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Samedi 21, la scène de The Voice Kids a une nouvelle fois brillé de mille feux, cette soirée magique a mis en lumière les talents exceptionnels de jeunes chanteurs. On a vu deux candidats se hisser jusqu’au dernier acte. Ces deux artistes en herbe on chacun leur style unique et ont marqué le public et les coachs en offrant un véritable festival d’émotions.
Giuliana Lo Sardo avec sa voix qui touche au cœur
Giuliana Lo Sardo est petite prodige venue d'Œting en Moselle, elle a fait sensation dès ses premières notes avec son sourire radieux et sa voix pleine d'émotion, elle a conquis les cœurs. Ses interprétations, toujours intenses, témoignent d’une sensibilité et d’une maturité impressionnantes pour son jeune âge. Du haut de ses 14 ans, Giuliana a déjà montré qu’elle n’avait rien à envier aux plus grands. Sa maîtrise vocale et sa capacité à transmettre des émotions sont époustouflantes. Sur scène, Giuliana semble être chez elle et chaque chanson devient une nouvelle histoire qu’elle raconte avec passion. Que ce soit dans les ballades ou les morceaux plus rythmés, elle capte l’attention et transporte son audience dans son univers que même les coachs, tous sous le charme, n’ont cessé de saluer son talent et sa puissance vocale.
Loan et son charme avec de la douceur et de la sincérité
Face à Giuliana, Loan 13 ans, a lui aussi impressionné avec son style tout en délicatesse et en émotions. Originaire de Sarreguemines, ce jeune chanteur à la voix douce et apaisante a su toucher le public avec des performances pleines de sensibilité. Son naturel, sa simplicité et sa façon de s’approprier chaque chanson ont conquis les coachs dès le début de l’aventure. Loan a cette capacité rare de créer une connexion instantanée avec ceux qui l’écoutent. Chaque mot qu’il chante semble venir directement du cœur, et c’est cette authenticité qui a fait de lui un finaliste si apprécié. Les coachs, touchés par son interprétation, ont salué son immense potentiel et son avenir prometteur. Hugo, Marylou et Loan chantent "Savoir aimer" de Florent Pagny.
Une finale émouvante et festive
La finale de The Voice Kids de cette saison va rester gravée dans les mémoires. Giuliana et Loan ont chacun livré des performances incroyables, enchaînant les moments de grâce. Leurs coachs, émus et fiers, n’ont pas manqué de les encourager à poursuivre leur rêve, rappelant que peu importe l'issue cette finale est déjà une victoire en soi. Loin des compétitions acharnées, cette finale ressemblait à une belle fête de la musique où chaque note jouée, chaque sourire échangé témoignait d'une véritable passion commune pour le chant. Les deux finalistes, bien que stressés par l'enjeu, ont profité à fond de cette soirée exceptionnelle, partageant des instants de complicité et de joie. Il était touchant de les voir se soutenir mutuellement, rappelant que The Voice Kids est avant tout une aventure humaine.
Et maintenant ?
Bien que la compétition n'ait pas encore désigné un gagnant, il est clair que Giuliana et Loan repartent tous deux avec une expérience extraordinaire et des souvenirs plein la tête. Ils ont montré qu’ils avaient chacun un potentiel immense, et il ne fait aucun doute que nous entendrons à nouveau parler d’eux dans les années à venir. À l’issue de cette finale nous aurons une seule certitude, The Voice Kids a une nouvelle fois révélé de véritables pépites. Giuliana, avec sa voix puissante et son charisme, et Loan, avec sa douceur et son authenticité, sont deux artistes en devenir. Leurs performances ont rappelé que la musique n'a pas d'âge, et qu'avec du talent et de la passion, tout est possible. Que l'aventure continue pour eux ! Ils sont déjà entrés dans le cœur du public, et on ne peut que leur souhaiter le meilleur pour la suite. Bravo à eux, on sait déjà que cette finale sera magnifique, pleine d’émotion, de sourires et de promesses ! David SCHMIDT Read the full article
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manue-ringo · 2 years ago
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Chapitre 13 : La sanction
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Skinner se leva brusquement de son bureau, les pensées embrouillées par l'incompréhension et l'agacement. Il ne savait plus comment gérer ces deux agents qui semblaient déterminés à se détruire mutuellement. Il ouvrit la porte de son bureau et sortit dans le couloir, apercevant Parker et Mulder qui s’éloignaient, évitant soigneusement de croiser le regard de l’autre, comme si un seul échange pouvait les faire exploser.
- Parker ! Mulder ! Revenez ici ! Leur ordonna Skinner, sa voix résonnant avec une autorité indiscutable.
Les deux agents s’arrêtèrent, contrariés, presque comme s’ils s’étaient attendus à ce que leur supérieur les rattrape. Leurs regards se croisèrent brièvement, une lueur de défi dans leurs yeux respectifs, avant qu’ils ne se retournent pour faire face à Skinner, marchant vers lui avec un mélange de résignation et de colère contenue.
-  Quoi ? S’écrièrent-ils à l’unisson, leur synchronisation involontaire trahissant une connexion sous-jacente qu’ils refusaient d’admettre.
Skinner les fixa, l’expression dure.
- Quoi ? Quoi ? Vous vous foutez de moi ? Rugit-il, incapable de croire que deux de ses meilleurs agents puissent se comporter de manière aussi irrationnelle.
Parker, serrant les poings, laissa échapper un soupir exaspéré.
- L'aventure s'arrête là. C'est assez clair, non ? Répliqua-t-elle, sa voix tremblante d’une colère qu’elle peinait à contenir.
- Vous croyez que c'est aussi simple que ça ? Vous croyez que vous pouvez tout arrêter comme ça, sur un coup de tête ? Vous croyez que je vais accepter votre caprice ? Rétorqua Skinner, sa voix grondante d’indignation.
Mulder, tentant de calmer le feu qui brûlait en lui, prit une grande inspiration.
- Ce n'est pas un caprice, monsieur. C'est une nécessité. On ne peut plus travailler ensemble. Nous ne sommes pas compatibles, et notre enquête n'a fait qu'exacerber le problème. On se met en danger. Déclara-t-il d'un ton ferme, tout en jetant un coup d'œil furtif à Parker, incapable de nier l'attirance étrange et dérangeante qu'il ressentait malgré leur animosité.
Skinner secoua la tête, agacé.
- Vous vous mettez en danger ? Parce que vous vous disputez ? Parce que vous ne vous entendez pas ? Mais c'est normal de se disputer parfois ! C'est normal de ne pas s'entendre ! D'avoir des désaccords ! Cela fait partie du travail d'équipe ! C'est votre travail ! S’exclama Skinner, cherchant à leur faire comprendre l'absurdité de leur décision.
Parker fit un pas en avant, son visage s'endurcissant.
- Ça dépasse le cadre du travail d'équipe… Ça dépasse le cadre du travail du FBI ! Lança-t-elle avec une intensité qui fit sourciller Skinner.
Il les regarda, déconcerté par l’intensité de leur réaction. Qu’est-ce qui pouvait bien se passer entre eux pour qu’ils soient aussi déterminés à se séparer ?
- Qu'est-ce que vous voulez dire par là ? Demanda Skinner, sa voix se faisant plus grave, sentant qu’il touchait un point sensible.
Le silence qui suivit était lourd de non-dits. Parker et Mulder se tenaient là, figés, leurs regards se croisant brièvement avant de s’échapper. Leurs cœurs battaient la chamade, chacun luttant contre une tempête intérieure qu’ils n’arrivaient pas à maîtriser. La tension entre eux était devenue insupportable, et pourtant, ils ne pouvaient s’empêcher d’être attirés l’un vers l’autre, un paradoxe cruel qui les consumait.
Skinner, ne supportant plus cette situation ambiguë, prit une décision radicale.
- Vous avez commis une faute grave. Lança-t-il, ses mots frappant comme un coup de poing.
Parker, les yeux plissés, sentit une vague de colère monter en elle.
- Je ne vois pas de quoi vous parlez, monsieur ? Demanda-t-elle, sa voix trahissant un défi qu’elle n’essayait même plus de dissimuler.
Skinner la fixa, impassible.
- Vous le savez très bien. Je commence à comprendre maintenant. J'avais des doutes au début. Vous entretenez une relation plus que discutable alors que vous êtes partenaires. Vous avez laissé vos émotions interférer avec votre travail. Vous avez mis en péril votre sécurité et celle des autres. Accusa Skinner, son regard perçant cherchant à percer leur armure.
Les deux agents, abasourdis, échangèrent un regard empli de colère et de confusion. L'accusation était lourde, injuste, mais elle frappait à un endroit qu’ils préféraient ne pas explorer.
- Vous avez violé le code de conduite du FBI. Vous avez manqué de professionnalisme et de déontologie. Vous avez trahi la confiance que je vous avais accordée. Continua Skinner, sa voix résonnant avec une autorité indéniable.
Parker, perdant son sang-froid, fit un pas rapide vers Skinner, ses yeux flamboyant de rage.
- Vous pouvez répéter ? Que voulez-vous dire par "relation plus que discutable" ? Cracha-t-elle, sa voix grondante de colère et de défi, alors qu’elle s’approchait dangereusement de son supérieur.
Skinner ne recula pas, son regard restant froid et implacable.
- Que comptez-vous faire, Parker ? Attention à ce que vous faites et dites. Je suis votre supérieur et vous me devez le respect. Ajouta-t-il d'un ton autoritaire, brisant net son élan.
Mulder, sentant la situation dégénérer, tenta de calmer les choses.
- Excusez-la, monsieur. Je crois qu'il s'agit d'une malencontreuse méprise. Nous n'entretenons aucune relation de ce genre, et vous le savez. Déclara-t-il d’un ton contrôlé, essayant de reprendre le contrôle de la situation.
Mais Skinner n'était pas convaincu.
- Vos excuses ne suffisent pas. Vous devez assumer les conséquences de vos actes. Je suis désolé, mais vous devez passer devant un conseil disciplinaire. Dit-il, sa voix glaciale.
Parker et Mulder échangèrent un regard incrédule, l’horreur de la situation les frappant de plein fouet.
- Un conseil disciplinaire ? Vous êtes sérieux ? Demanda Parker, sa voix tremblante d’indignation.
- Oui, un conseil disciplinaire. C'est la procédure prévue pour les cas comme le vôtre. Vous serez jugés par vos pairs, qui décideront de votre sort. Vous risquez une sanction sévère, allant du blâme à la révocation. Dit Skinner, ses mots pesant lourdement sur leurs épaules.
- La révocation ? S’écria Mulder, incapable de cacher sa surprise.
- Oui, la révocation. C'est le pire scénario possible, mais c'est une possibilité. Vous devez vous y préparer. Vous me décevez beaucoup, acheva Skinner. Leur tournant le dos avant de quitter le couloir, laissant la porte de son bureau se refermer avec un bruit sourd.
Parker et Mulder restèrent là, figés, une tempête d’émotions déchaînée en eux. La colère, la peur, le regret… et cette attraction insidieuse qu’ils ne parvenaient pas à étouffer. Ils se demandaient ce qu'ils allaient faire, ce qu'ils allaient dire, ce qu'ils allaient devenir, alors que leur monde s'effondrait autour d'eux.
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du-bout-de-leurs-ailes · 2 years ago
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              mardi 13 juin 2023 :
¤
Abba, Père !
Je n’écris plus dans mon Journal intime.
   Pendant un an, je me suis remise à l’écriture, à fond. Tellement à fond ! J’écrivais j’écrivais j’écrivais… ça ne s’arrêtait plus. En relisant mes textes, je vois qu’ils sont de plus en plus attachés à ma foi, cette foi qui grandit, qui se précise, qui change, qui n’est jamais la même que le mois précédent. J’écrivais avec joie tous ces changements de cœur, de sagesse, d’intelligence.
   Je suis tombée dans de sacrés déserts cette année (en écrivant l’expression je me rends compte de la beauté de cet oxymore). J’ai coulé pendant six mois, je me suis accrochée à Jésus de toutes mes forces (de toutes mes forces ?), parfois je n’ai pas réussi à me laisser glisser sur le chemin qu’il me présentait, dans le désert. J’ai été en proie aux émotions, fortes, envahissantes, jusqu’à ce que je comprenne d’abord que les émotions ne sont pas mauvaises, en écoutant des prédications ou des témoignages, ou des messages. Dieu a créé les émotions. Dieu a des émotions. Jésus a eu des émotions. La colère. La joie est une émotion ! Il ne faut pas laisser nos émotions nous dominer au point de perdre ce que Galates 5.22 nomme « la maîtrise de soi ». Si l’émotion prend toute la place, et te fait perdre ton discernement, tu perds le Saint-Esprit.
   Je n’écris plus dans mon Journal intime. Pourtant, écrire me soulage. Aujourd’hui, quelque chose parvient à me soulager de manière bien plus intense : le Saint-Esprit. Il m’écoute d’abord, attentivement, il me parle, il me demande d’être patiente. Plus je lui obéis, plus j’apprends à être patiente, plus je sens sa force, sa joie. Le Saint-Esprit se révèle à moi. Il n’y a pas longtemps j’énonçais à nouveau dans ma prière « Comment ne pas croire. » J’avais presque oublié que c’était une de mes phrases favorites lorsque j’étais touchée. Je n’écris plus dans mon Journal intime. Je n’en ai plus besoin. Un jour j’ai écrit que j’avais un peu compris qu’en fait tout ce que j’écrivais à ce « Journal » était parfois comme une manière de remettre au Seigneur mes préoccupations. Non. Je sais aujourd’hui ce qu’est remettre ses préoccupations, observer comment le Seigneur les prend, et surtout comment il les transforme. Ce que ne fait pas le Journal intime.
   J’appelais mon Journal « Journal ». « Tu sais Journal, tu te souviens quand… Toi Journal tu sais que je ne suis pas folle… ». Je n’écris plus dans mon Journal, aujourd’hui je m’adresse au Seigneur.
    Mais j’écris encore. J’écris encore même beaucoup. Mon carnet de prières, de foi, se remplit à vue d’œil, et surtout, avoir créé ce blog a changé beaucoup de choses. Tellement de choses ! Je relis parfois le premier article, j’ai l’impression que c’est moi il y a tellement longtemps, alors que ça ne fait que quelques mois, quelques semaines ! Me dire « Je vais écrire sur le blog » implique forcément que c’est au nom du Seigneur que je vais témoigner. Cela implique que ce que je vais écrire sera un témoignage ou une exhortation.
        Voici.
 Comment savoir si ça vient de Dieu ?
   Elodie Rsl m’a tant enseigné à ce sujet. Il y a plusieurs manières de savoir si ça vient de Dieu : est-ce que cela s’accompagne de paix et de joie ? Est-ce que tu en as la conviction immédiate ? Prie sur cela, et observe la confirmation que t’envoie le Seigneur. Lis la parole, écoute les personnes autour de toi, écoute, fais silence et écoute. Dieu veut te parler, il veut constamment te parler, il a des plans pour toi, des plans de paix et d’amour. Il t’aime, il t’aime tellement. He is my spiritual love.
   Et à côté, lui aussi sous la grâce... My human love. Nous avons vécu une année ensemble. Aujourd’hui, tu m’as parlé. Mon âme, ma chair, durant ton discours, a tout tenté pour me corrompre. Tu devais partir, je suis restée seule à la maison. Mes émotions ont voulu monter, monter, je ne voulais pas les affronter seule, je suis tombée à genoux, c’était flou, mais je sentais que Christ était là, la main tendue vers moi, car mes passions refusaient de sortir, bien occupées à s’embraser à l’intérieur, à tout détruire sur leur passage. Je voyais sa main, mais je ne parvenais pas à la saisir. Alors comme je ne pouvais parler, j’ai prié sur le papier.
 Mon Père,
Entends ma prière,
Mon Père, j’ai mal, s’il-te-plaît, prends-en un peu
Mon Père, je souffre, je me sens enfant, à terre
Je sais que tu peux, que tu veux me consoler, me rassurer,
Je t’implore Papa, Abba, aide-moi.
Prends la culpabilité, l’orgueil, la fierté, le regret,
Prends la honte, la frustration, les larmes, la susceptibilité.
Mon Père… j’ai péché, en paroles, en actes, en rêves, en pensées.
Mon Père, aide-moi à m’améliorer, préserve mon cœur, renouvelle mon intelligence, donne-moi ta sagesse.
Toi qui jamais ne m’abandonnes, viens à mon secours, éloigne-moi de la détresse.
Montre-moi la voie, ce soir je suis perdue.
Au nom de Jésus,
Entends ma voix, reçois ma prière.
 C’est alors que j’ai prononcé une prière, cette fois ma bouche a traduit pour la première fois avec une foi et des désirs sincères, cette prière que par cent fois j’ai récitée par cœur sans celui-ci :
 Notre Père,
Qui es aux cieux
Que ton nom soit sanctifié
Que ton règne vienne
Que ta volonté soit faite sur la Terre, comme au Ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour
Pardonne-nous nos offenses
Comme nous pardonnons aussi
A ceux qui nous ont offensés,
Et ne nous soumets pas à la tentation
Mais délivre-nous du Mal,
Car c’est à toi qu’appartiennent
Le règne, la puissance et la gloire,
Pour les siècles et les siècles,
Amen.
    Au nom de Christ, voici mes prières ce soir. Je prie d’être fortifiée, je prie que ma foi augmente encore, je prie que le Seigneur continue à me placer sur son chemin, je prie de rencontrer d’autres frères et sœurs en Christ, je prie de ne plus causer de tort ou de douleurs à celui que j’aime, de le respecter, de respecter qui il est, d’où il vient, de respecter sa relation avec Jésus. Je prie Seigneur que tu me permettes de mieux le comprendre, de mieux observer la manière dont il prend soin de moi, la façon qu’il a de me placer au centre de sa vie humaine, parce que Seigneur, oh je me repens de ne pas toujours discerner cela, de ne pas constater sa souffrance lorsque je me mets dans certains états, de croire, parce que je ne le vois pas, que ça ne l’affecte pas. Je prie Seigneur que tu m’accordes dans ces moments ton Saint-Esprit, qu’il me donne le discernement, qu’il place ce filtre de l’amour devant mes yeux, qu’il préserve mon cœur de la colère, de l’amertume, de la frustration, et surtout de l’accusation. Je veux vivre une vie à ton image Seigneur, montre-moi la porte quand les couloirs des émotions se font si grands et si nombreux, montre-moi le chemin de l’amour. J’ai tant de fois constaté à quel point tu es un Dieu de patience ! Si nous tenons ferme lorsque tu permets que nous soyons éprouvés, tu sais laisser couler ta grâce sur nous, comme sur Job ! Seigneur je rends grâces encore, encore, encore, de cet homme que tu as mis dans ma vie. Je sais que c’est toi qui me transformes Jésus, mais ô combien de fois tu es passé par lui, et combien de fois il a souffert, lui aussi avec patience. Moi qui voudrais que nous ayons davantage une vie à deux avec toi, voilà que j’apprends que j’ai souvent été la cause d’éloignements… Je te demande pardon Seigneur, toi qui pardonnes, sans concession, je te demande pardon sincèrement. Accorde-moi ta miséricorde. Ensuite je te rends grâces, humblement, je te bénis, d’avoir ouvert ce cœur à me parler aujourd’hui, dans la paix, le calme, la compréhension, la patience, l’acceptation, le pardon, bien que mes émotions aient tenté une percée. Tu as permis que nous avancions. Je n’ai pas tout compris. Mais je sais que nous avançons.
 A toi mon homme, j’aimerais te dire,
Que je ne suis pas parfaite, je sais qui l’est seulement,
Cependant, je sais aussi que tu acceptes mon imperfection,
Avec tellement de douceur, tellement de patience.
Je t’aime tellement pour cela. Tu tiens ferme avec moi,
Tu as cette conviction que le Seigneur me transforme, me transformera,
Pas seulement mais, à travers toi j’y crois,
J’y crois plus, j’ai confiance.
Ma marche est loin d’être terminée,
J’avance pas à pas, mais chaque petite victoire est pour moi la réalisation d’un grand combat !
Chaque petite victoire, pour moi c’est un peu David contre Goliath,
Avec sa fronde, face au géant des tentations, et des émotions.
Je savoure chaque pas dans ma foi, en rendant gloire et grâce à Dieu.
Parler de Jésus à mes proches, exhorter à la maison de l’Espérance,
Et même !
Quand on sait d’où je viens.
Lire la Bible à côté de toi, même ça avant je n’osais pas.
Gloire à Dieu seulement !
Gloire à Jésus.
Prier, même si j’aime trop mon intimité avec le Seigneur, à côté de toi, ou en sachant que tu peux arriver, ne me fait plus rien. J’ai vaincu cet esprit de timidité, Jésus l’a vaincu pour moi, il m’a fortifiée. Parfois, il est encore là, mais lorsque je casse cette barrière pour, par exemple, prier avec Wilson pour la première fois, c’est un feu immense en moi ! Quand pour d’autres cela pourrait être tout à fait simple. Moi j’ai une joie, il faut vivre ça.
   Dire « j’ai la grâce d’avoir une classe qui ne pose pas trop de problème » devant un parent d’élève qui acquiesce en souriant, faire le plein d’essence en écoutant des louanges sachant que le pompiste va entendre, expliquer à un ami que le meilleur moyen d’aller mieux moralement pour moi c’est la prière, rassurer ma mère en lui disant que c’est bon, j’ai prié un petit peu, et je vais beaucoup mieux maintenant. Mettre des statuts sur WhatsApp, en anglais certes, mais glorifier le Seigneur de manière visible quand même. Mettre dans mes descriptions sur les réseaux un émoticône avec une croix et parfois un verset même. Prier pour Camille et la toucher en le lui disant. Avoir en fond d’écran « Jesus is king », oublier parfois, allumer mon téléphone avec des profs autour et sentir que je n’éprouve aucune gêne. Montrer mon calendrier à Maman Isabelle à l’orphelinat sur mon téléphone, constater en lui montrant qu’il y a la note « Dieu t’aime » quotidienne qui est là, et me rappeler avec joie qu’elle, elle ne va pas trouver ça bizarre, au contraire même. Pride is flesh, m’a dit Joseph Prince. La fierté c’est la chair. A Dieu soit la gloire seulement. A nous soit la joie. Je pars de si loin. Et je me réjouis de savoir, que dans quelques mois, je dirai à nouveau que ce passage me semble si loin ! Il y a encore des choses que j’ai du mal à dire. Certaines parfois, étrangement, que j’ai du mal à te dire à toi. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être parce que parfois tu les remets en cause alors que pour moi c’est si clair. Mais ce n’est pas grave, quand ça arrive, bon, je prie seulement. Je ne veux plus être là pour avoir raison, ni pour comprendre, ni pour analyser… Il y a des convictions qui ne se brisent pas, et ce sont seulement celles de Dieu. Alors je prie, je lis la Parole. Je ne lis plus que cela d’ailleurs (sans m’empêcher de lire autre chose pour autant). Parfois, je songe que je vais pouvoir rentrer à la maison bientôt et ouvrir ma Bible, méditer, prier, et ça me remplit de joie. Qui l’aurait cru ? Le Saint-Esprit. Je ne pensais pas écrire tout cela dans ce message. Je suis heureuse d’en apprendre davantage sur toi. Je suis heureuse que tu me fasses confiance aujourd’hui pour me partager ça. Parle-moi encore. Parle-moi de toi, de ton cœur, et de Jésus. Confie-moi tes pensées, tes envies, je ne dis pas que tu doives ne les confier qu’à moi, mais j’aimerais t’écouter davantage, te faire plaisir, combler tes besoins, comprendre qui tu es, faire de toi le centre de mes préoccupations humaines, faire de toi mon partenaire charnel et spirituel, mon âme sœur, cette unique et même chair. Je terminerai par ce que j’ai reçu ce soir, et la manière est vraiment peu commune.
    Je me suis effondrée à genoux après ta sortie, les larmes ont coulé, la prière orale s’est bloquée, alors j’ai pensé à l’écrire, c’est ce que je mettais un peu plus haut dans ce texte. Mais au moment où j’ai voulu écrire, un bout de feuille griffonnée parmi les feuilles blanches qui traînaient sur la table, dépassait. Je l’ai tirée. Tu m’as dit juste avant que tu avais écrit aujourd’hui. J’ai tiré cette feuille. C’était un texte sur des prénoms. Julienne, Agathe, Agnès, Sophia… j’ai compris au vocabulaire qu’il s’agissait d’une métaphore spirituelle (bon après je ne sais pas…), j’ai parcouru le texte jusqu’au dernier vers. En fait ce n’était pas le dernier vers, c’était le dernier vers écrit, avec une flèche qui disait où se plaçait celui-ci, mais je n’ai pas vu la flèche et j’ai lu ce vers en dernier. « Elle est ici, elle est IZIS ». Sauf que moi je n’ai pas lu « IZIS ». J’ai lu « 1215 ». Et comme j’avais saisi qu’il s’agissait d’un texte spirituel, ça ne m’a pas du tout interpelée. D’ailleurs, je me suis même dit « Ah oui Romains 12.15 », peut-être parce que j’aime tellement me fortifier avec Romains 12.12, que bon, forcément c’est Romains qui m’apparait. J’ai relu le vers. J’ai bien lu cette fois. Bon, on ne sait jamais, alors je suis allée voir Romains 12.15, ce que ça raconte. « Réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent ; pleurez avec ceux qui pleurent. » 
   Un jour, on débattait ou je ne sais pas trop, toi et moi, sur le fait que raconter ses problèmes c’était une manière de leur faire prendre trop de place et de se miner selon toi, et une manière de partager à l’autre ses préoccupations, témoigner de la compassion et aider l’autre à aller mieux selon moi, et surtout dans un couple. Cette conversation prenait comme base le fait que toi tu voulais éviter de me parler de tes problèmes pour ne pas me charger avec ça, que moi je voulais que tu le fasses car dans un couple on partage, et aussi que c’était pour cela que moi je te faisais part des miens. Tu me répondais que le rôle de consoler, ça, c’est pour Jésus, que c’est donc auprès de lui seulement que nous devions soulager nos problèmes, nos peines… Mais j’étais bornée, si têtue que j’ai lancé ça : « Mais la Bible ne dit-elle pas ‘pleurez avec ceux qui pleurent’ ? » Paf. Je pense que c’était même une des premières fois où j’ai cité la Bible avec toi. Sauf que, contrairement aux victoires (de Dieu, par moi) citées plus haut, là, pas de paix qui s’accompagne. L’orgueil. J’ai utilisé la Bible par orgueil. Ce n’est pas parce qu’on cite la Bible qu’on a raison. Et je n’avais pas compris ça. Pire ! Je ne pense même pas m’en être rendu compte. Je crois que ce n’est qu’aujourd’hui que je m’en rends compte. Ce soir, tu m’as de nouveau évoqué cela : ne pas charger l’autre de ses émotions, de ses peines, que tu ne veux pas le faire, dire que tu ne vas pas bien à certains moments. Et tu as dit que le fait que moi j’ai été dans ces déserts (enfin tu ne l’as pas dit comme ça mais c’était ça) ces derniers temps, au niveau de la santé, physique, morale, et que je manifeste cela, t’avait affecté, avait beaucoup empiété sur tes pensées, ta vie spirituelle, parce que tu veux prendre soin de moi, mais cela s’est fait au détriment d’une autre place qui auparavant été plus accordée à Dieu… L’irritation a tenté une envolée dans mon être au moment où tu en parlais, la honte aussi, et la culpabilité, maîtresses de mes émotions, guidées par l’orgueil, ennemies du Saint-Esprit. Cependant, il est bien plus fort, et comme en ce moment l’Esprit me remplit, rien d’autre que la compassion, l’amour, et l’envie de t’écouter jusqu’à la fin m’ont vraiment saisie. Alors, quand j’ai reçu ce verset, j’ai compris. Déjà j’ai à nouveau, avec joie, compris cette idée de patience chrétienne, celle qui prend le temps de te révéler ce dont tu as besoin. Relisons ce verset. « Pleurez avec ceux qui pleurent, réjouissez-vous avec ceux qui se réjouissent. » Nous sommes des enfants de Dieu, baignés dans sa grâce, remplis de son Esprit. Nous demandons chaque jour plus de Saint-Esprit, plus de Saint-Esprit, plus de Saint-Esprit. Si tu vas mal et que moi je suis dans la réjouissance, je vais te montrer ma joie. Et si je te montre ma joie, c’est pour que tu te réjouisses avec moi, c’est pour t’apporter ma joie, notamment car j’ai la joie en Christ ! Cela ne veut pas dire que je nie ta détresse, tes émotions, ta peine, cela ne veut pas dire que je l’occulte, que je la refuse par orgueil, sans compassion. Cela veut dire que je viens y mettre un pansement céleste seulement : je t’apporte ma joie, je te la partage, je veux que tu sois dans la joie toi aussi. Et quelle est la plus grande de toutes les joies ? Celle d’être enfant de Dieu, c’est l’espérance, c’est l’amour du Seigneur, c’est la foi que nous avons d’être avec lui, c’est de marcher avec le Saint-Esprit et d’observer ses bienfaits, c’est de connaître la vérité ! Et si tu le fais pour moi, je dois le faire pour toi aussi. Je dois accepter que tu ne veuilles pas forcément me raconter ce qui ne va pas, je dois apprendre à voir les moments où tu as besoin que je te fortifie et te dise, oui je dois te dire : « Mais attends, nous avons le Seigneur ! Aie confiance, crois seulement ! ». Nous n’avons pas besoin de nous endormir de tristesse comme les disciples sur le mont des Oliviers, nous sommes justifiés ! Amen Amen Amen ! Je t’aime mon love & I love Jesus, more.
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leblogdemarinaetjm · 2 years ago
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MARDI 13 JUIN 2023 (Billet 1 / 3)
Nous avions prévu dans ce Billet de vous raconter « La Soirée des Passionnés » organisée par Pathé vendredi dernier à laquelle nous étions invités au cinéma Beaugrenelle.
Si l’accueil a été comme d’habitude des plus sympathiques, le petit cadeau toujours bienvenu à l’heure du dîner : un sac noir en tissu avec le Logo de Pathé et à l’intérieur des sandwiches (tout-à-fait honnêtes), un paquet de Treets et une bouteille d’eau minérale… le film « Second tour » qui nous a été présenté en avant-première, de et avec Albert Dupontel et Cécile de France (entre autres), lui, ne nous a pas plu du tout. Il sortira le 25 octobre. Vous aurez le temps d’ici là de lire (ou pas) les critiques et vous vous ferez votre opinion. Nous n’avions pas du tout aimé le précédent avec Virginie Efira (« Adieu les cons ») et, par contre, beaucoup apprécié les 2 précédents : « 9 mois ferme » avec Sandrine Kiberlain et « Au revoir là-haut », tiré du livre éponyme de Pierre Lemaitre (ne vérifiez pas, il n’y a pas d’accent circonflexe sur son nom).
Marina lui a donné ❤️❤️,5 cœurs et JM, ❤️ sur 5.
Plutôt que de nous étendre sur pourquoi nous n’avons pas aimé le dernier Dupontel, nous avons trouvé plus intéressant de vous montrer quelques tableaux que nous avons vus hier soir dans la Brasserie du « Select » (99, boulevard du Montparnasse dans le XIVe), un vernissage en présence de l’artiste auquel nous étions conviés par une grande amie, Katy S., lectrice-abonnée du Blog.
Nous avons beaucoup apprécié les œuvres d’Alberto Mantilla, de pouvoir discuter avec lui, de revoir Katy (qui ne change pas)… et de terminer la soirée en dégustant les plats préférés que nous aimons manger ici, à savoir : des os à moelle pour Marina, une assiette de saumon fumé pour Katy et une andouillette AAAAA pour JM.
Evidemment, si vous ne connaissiez pas cette adresse, nous vous conseillons de venir déjeuner ou dîner au « Select », une authentique (et nostalgique) brasserie parisienne, décoration années 20, plats français traditionnels, service impeccable… et d’en profiter pour découvrir du 12 au 26 juin les tableaux de ce peintre, que vous pourrez même acheter si vous avez un coup de foudre pour l’un d’entre eux. Nous, nous aurions bien voulu mais il nous faudrait auparavant investir dans des murs car dans notre petit appartement, c’est la place qui nous manque !
Quelques mots sur le peintre puis un compte-rendu photographique et chronologique de notre soirée.
Alberto Mantilla est un jeune peintre de 27 ans, originaire du Honduras, arrivé en France il y a sept ans. Influencé par l'époque impressionniste, il parvient néanmoins à apporter une touche personnelle à travers sa peinture. Alberto Mantilla a une façon très particulière d'utiliser la palette de couleurs des peintres qu'il admire, tout en révélant sa propre personnalité derrière ces hommages.
Dans ses tableaux, il crée des miroirs qui reflètent son imaginaire foisonnant. Plutôt que de simplement copier les œuvres des maîtres impressionnistes, il s'en inspire pour exprimer sa vision unique du monde. Son talent artistique est indéniable. En peu de temps, il a su développer un style qui lui est propre.
En janvier prochain, Alberto Mantilla aura l'opportunité d'exposer dix de ses tableaux de plus grande dimension au Village Suisse, ces œuvres ne pouvant pas être accrochées aux cimaises du Select. Cette exposition sera une occasion pour les amateurs d'art de découvrir l'évolution de son travail et d'apprécier ses tableaux dans un cadre plus spacieux.
Alberto Mantilla est sans aucun doute un jeune artiste à suivre de près. Son mélange d'influences impressionnistes et de créativité personnelle promet des créations captivantes et innovantes. Sa capacité à utiliser les couleurs pour exprimer des émotions et sa maîtrise du pinceau montrent qu'il a un avenir prometteur dans le monde de l'art.
PS Vous pourrez également regarder dans le Billet suivant une petite interview de l’artiste
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yes-bernie-stuff · 2 years ago
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L’époux Est Un Héros Qui Sauve 13/05/2023
L’Éternel, ton Dieu, est au milieu de toi, comme un héros qui sauve ; il fera de toi sa plus grande joie ; il gardera le silence dans son amour ; il aura pour toi des transports d’allégresse. Sophonie 3.17
Alors qu’il était en pleine séance photo le jour de son mariage, Clayton Cook a vécu un moment riche en émotion et très… arrosé ! Il n’a pas hésité à se jeter à l’eau pour sauver un petit garçon qui était sur le point de se noyer.
Quel beau parallèle pouvons-nous faire avec le Christ, l’Agneau de Dieu, celui qui est appelé l’Époux ! La Bible parle de son mariage avec sa bien-aimée : l’Église qui représente tous ceux qui croient en Christ. Car les noces de l’agneau sont venues, et son épouse s’est préparée 1.
Les évangiles relatent de nombreux miracles de Jésus-Christ : guérisons, résurrections, maîtrise des éléments… Ce n’est pas pour « épater la galerie » mais pour manifester l’amour et la puissance de Dieu, son Père. Seulement, quand Jésus meurt crucifié, beaucoup sont perplexes.
Pourtant, cette mort volontaire est le plus grand acte héroïque jamais réalisé ! Christ, lui, le juste offrant sa vie pour des coupables, sauve toute l’humanité de sa perdition, du moins pour ceux qui l’acceptent et placent leur confiance en lui. Ressuscité au troisième jour, incontestablement, il est Dieu, le héros qui sauve !
Ne voulez-vous pas, vous aussi, être uni avec Lui ?
Isabelle Kozycki
1 Apocalypse 19.7
__________________ Lecture proposée : Lettre aux Colossiens, chapitre 2, versets 9 à 15.
9 Car en lui habite corporellement toute la plénitude de la divinité.
10 Vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute domination et de toute autorité.
11 Et c'est en lui que vous avez été circoncis d'une circoncision que la main n'a pas faite, mais de la circoncision de Christ, qui consiste dans le dépouillement du corps de la chair:
12 ayant été ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu, qui l'a ressuscité des morts.
13 Vous qui étiez morts par vos offenses et par l'incirconcision de votre chair, il vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses;
14 il a effacé l'acte dont les ordonnances nous condamnaient et qui subsistait contre nous, et il l'a détruit en le clouant à la croix;
15 il a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix.
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aux-aventures · 4 years ago
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Septembre
Mercredi 9 septembre
Ça me fait bizarre de me dire qu’il me reste plus que 3 mois, que je suis aux ¾ de mon service civique. Je fais d’ailleurs des lapsus, tendant à réduire la durée. D’habitude, je n’ai pas autant de rapport avec le temps. D’habitude, les évènements rythment ma vie : les saisons souvent, petite déprime de l’hiver, me rentre dans ma coquille, éveil au printemps et explosion durant l’été. Et jusqu’ici, l’année scolaire définissait bien chaque période : douces vacances, examens stressants, cours répétés…
Cette année s’est définie dès le début dans un rapport particulier avec le temps : ce sera le temps d’une année. Et chaque étape vient rappeler ce processus temporel. Au début, il y a l’incommode, l’étrangeté. Des premiers instants assez bancals, car il n’y a pas de repères connus. Puis, vient l’étape de la familiarisation. Jusque-là, il y a une certaine euphorie. On commence à sympathiser avec quelques personnes, à trouver notre aise dans les endroits phares. Toute cette nouveauté vient rajouter un plein d’images, de pensées inédites. Dans le cerveau même, ça déménage. Les nouveaux lieux physiques rajoutent de nouveaux contenus à la psyché. Comme si on refaisait la déco de la maison, entièrement. On la construit toujours avec les mêmes règles : la manière de pensée initiale reste majoritairement la même, surtout au début, mais on enlève les locataires installés depuis des années pour de nouveaux, on change les tapisseries et les revêtures, les meubles. La façade reste la même, en quelque sorte. Le temps passe et laisse place, si on est suffisamment curieux de la manière dont sont faites les fondations et de comment les autres à l’extérieur font leurs fondations, de changer un peu la nôtre.
La fin se fait sentir… La maison rappelle ses anciens locataires. Je pense que les nouvelles tapisseries fraiches sont trop fragiles pour pleinement s’inscrire durablement. On commence à revoir réapparaître progressivement la couche derrière. Et le connu nous manque.
Je sens que c’est la fin parce qu’aujourd’hui je suis bien campée sur mes deux pieds dans cette nouvelle vie. Ca y est, je m’y suis installée. J’ai tout à fait perdu mes inquiétudes du commencement, parce qu’instable, parce que ne sachant jamais sur quel pied je vais danser. Mes relations sont de plus en plus inscrites, le lien de plus en plus tangible. Et de l’autre côté, ne cesse de me venir en imaginaire les moments de mon retour. Mes proches me manquent plus que jamais. L’absence est si tangible. 
Samedi 12 septembre
Avant que je parte, et pendant mes premiers temps ici, une question me fut, à plusieurs reprises, adressée : mais comment tu vas faire pour être psychologue sans maîtriser la langue ? Cette idée venait sous-entendre : peux-tu vraiment aider des gens alors que tu ne saisis pas tout de ce qu’ils disent et que tu ne peux pas toujours exprimer les mots justes que tu aimerais ? Celle qui était psychologue avant moi, native d’Espagne, espagnol incroyable, donc, avait plusieurs fois lancer cette réflexion au groupe : « non mais pour les autres postes, c’est pas grave si tu parles pas bien la langue. Mais pour la fonction de psychologue je trouve ça compliqué si tu parles pas très bien ». A chaque fois, ça m’irritait. Ca m’irritait parce que je ne parlais pas bien l’espagnol à ce moment-là, j’ai encore pas mal de difficultés aujourd’hui, mais le propos est que mon irritation venait du fait que j’y entendais un « à cette heure-ci, tu n’es pas entièrement faite pour ce poste ».
Avec le recul que j’ai aujourd’hui sur mon poste et mon expérience, je vois les choses avec beaucoup de différence. La réponse simple et trop évidente serait de dire « oui, c’est vrai, il faut bien maîtriser la langue ». Dans les faits, pourtant, je ne suis pas tellement d’accord avec cela.
Je pense que cela vient nous amener sur une autre question : quel est le but de mon travail ? quel est le but d’un espace comme celui de la thérapie ? Est-il celui de comprendre le patient ? Eh bien, cela peut paraître étonnant, mais je crois que non. Et puis, ce serait vraiment une illusion de croire que l’on se comprend vraiment entre humains. On se comprend, certes, dans certaines idées, on résonne dans des émotions, mais c’est un piège de penser qu’on se comprend entièrement. Je crois que, le plus important, le plus précieux, de cet espace thérapeutique : c’est la rencontre, premièrement. Et la rencontre c’est quoi ? C’est bien plus la tentative de la création d’un lien et de la découverte que l’autre, l’effort incertain de découvrir cette nouvelle personne qui se présente à nous. La rencontre c’est donc tenter d’accueillir l’autre, dans tout ce qu’il est, avec tout ce que nous sommes, déjà, a priori, et de laisser la place à la création d’un entre-deux où chacun pourrait être soi et, dans l’idéal, se transformer, dans cet espace.
De ce que j’ai vu, mon ancienne collègue n’allait pas tant chercher l’espace de la rencontre, ne questionnait pas le symptôme comme l’expression d’un conflit psychique plus profond ni le compromis ou une facette plus identitaire de la personne. Il fallait rééduquer le symptôme, il fallait le faire taire, il fallait qu’il meure. 
Alors, c’est vrai que je passe à côté de détails probablement très précieux de l’histoire de ces jeunes. Probablement, je rate des lapsus ou ne peut interroger l’utilisation et le sens de certains mots. Mais là où je vois que c’est thérapeutique pour eux c’est que je tente de les comprendre. Il me semble que c’est bien plus la tentative continue de les écouter, de les aider, de les soutenir que la compréhension claire et nette du discours qui crée quelque chose. Et qu’est-ce que cela crée ? Le sentiment que notre discours, que notre histoire compte. Le sentiment que notre être vaut quelque chose. Si l’autre reconnaît mon existence, si l’autre pense que j’ai de la valeur, que je mérite de l’attention, alors peut-être puis-je me regarder, moi-même, avec plus d’attention. Alors peut-être, je peux commencer à penser que j’ai de la valeur.
J’ai d’ailleurs même perçu, il me semble, une pointe d’agacement quand je leur demandais de dire une idée d’une autre forme car je ne la comprenais pas. Ça peut paraître paradoxal avec tout ce que je viens de nommer. Néanmoins, je vois qu’ils préfèrent que je les écoute et que j’essaie de les comprendre, plus que je les comprenne vraiment.
Là où je vois que ça fonctionne avec les jeunes, où un espace précieux se crée, c’est lorsque je prends une posture agissante avec eux. Lorsque je pose des questions pour approfondir un thème, lorsque je propose une interprétation ou que je partage les idées qui me viennent à la suite de leurs discours. Lorsque je leur propose une autre manière de voir ou que je propose une clé qui pourrait les aider à débloquer la situation. Parce qu’ils se sentent vus. Après cela, le discours et la posture semblent prendre plus d’assurance. Le discours s’assume. Il s’explore.
Mardi 15 septembre
Plus que deux mois. Deux. C’est très étrange. Ca paraît tout petit, je commence à sentir l’empressement : vite, il faut venir à bout de tous mes projets. Alors, mon temps est beaucoup plus occupé que d’habitude, et ma date limite me donne de l’énergie. Dingue, dingue. J’ai tant fantasmé ce moment, celui où je retrouverai mes proches. Mais toujours comme un projet lointain. Tout d’un coup, le rapproché se sent. C’est comme si je pouvais les voir au loin. Et, en même temps, ça me paraît encore loin.
Ca y ait, je crois que j’ai passé le plus dur. Je sens qu’il y a déjà une grande part qui est derrière moi. Ca me fait du bien. Mais ça me rend triste, quand même. Me dire que je ne reverrai peut-être jamais ces visages… J’ai l’impression d’avoir vécu quelque chose de fort avec eux. Ils étaient les premiers patients  que j’ai eus. Et les liens privilégiés, bien que professionnels, lors de cette aventure tellement hors du commun. 
Mon dieu, quelle année j’ai vécue là. Quelle année. En y pensant, j’ai les tripes qui parlent. Oh mon dieu, elles ont emmagasiné tellement : en montées en puissance, en amour, en descente aux enfers, et désespoir. Je crois que, sans exagération, il y aura, à cette expérience, un avant et un après. 
J’ai le sentiment que ma vie en sera changée pour toujours. Je sens, à l’intérieur de moi, que c’est si différent. J’ai l’impression de porter un autre regard sur les autres choses. Je me sens autrement. Je juge différemment. Je me projette différemment.
Je découvre, ce que c’est, professionnellement, de penser à l’autre avant de penser à soi. Je découvre le plaisir d’être psychologue. De vouloir aider, de vouloir donner de soi.
Dimanche 20 septembre
Comme je le disais à mon père, du fait que mon départ soit proche, je sens que mes pensées changent. Avant, j’étais complètement prise par l’aventure, j’étais dedans, plongée. Depuis quelques jours, depuis que je sais que je partirai le 13 novembre, je commence à tirer des conclusions. Je sais que j’ai fait le plus gros, le plus dur, le plus éprouvant de mon voyage. Le plus magnifique, je ne sais pas, je ne peux pas prévoir. Concernant la difficulté de l’épreuve, je pense, toutefois pouvoir le dire.
Je commence à regarder derrière moi. La perspective change. Je me sens autre. Avant, je percevais progressivement les changements, les évolutions, les gains, les pertes, les abandons. A présent, il y a quelque chose qui s’est durablement installé, qui est acquis. J’ai moins l’impression que je suis dans ce déséquilibre ballant. Je tiens mieux sur mes deux pieds. Je me suis stabilisée.
Bien que je tente toujours de chopper des bouts de mots, d’idées, de pensées pour venir conter cette nouvelle moi, je pense que je suis bien loin de l’attraper. Il y a un bout de moi qui a pris beaucoup d’autonomie sur mon mental, ces derniers temps. Je pense donc, qu’infailliblement, mon mental ne peut imaginer et tout enfermer avec ses outils à lui.
Mercredi 30 septembre
Fin du mois de septembre, déjà. Ca me fait sourire. Les jours passent vite. Plus qu’un mois et demi, avant mon retour. Et je me sens plus que comblée, plus que récompensée. Mon aventure ne cesse de se renouveler, de m’apporter des surprises. Mais, je peux le dire, j’y suis bien pour quelque chose. Oui, car, quelque chose que j’ai aimé le plus, ce sont les thérapies, donc les rencontres, avec les jeunes. Ce qui s’est déroulé dans ces bureaux, je sais que c’était précieux. Leurs confidences, leurs sourires. Les voir prendre confiance, les voir accorder de la valeur à leur histoire. Déployer des liens superbes. J’ai voulu ces thérapies.
C’est vraiment beau. Unique. Comme expérience.
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christophe76460 · 9 months ago
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ABRAHAM AVAIT OBÉIT à la demande de Dieu de quitter sa terre et sa famille, mais sa foi avait de sérieuses lacuneS parcequ'il ne croyait pas que Dieu pouvait le protéger EN ATTENDANT l'accomplissement de Sa promesse. Aussi il usa de ruse et de demi mensonge pour se protéger mais DIEU LUI DÉMONTRA qu'il n'avait pas besoin de sa sagesse charnelle pour se protéger.
«Au moment de pénétrer dans ce pays, il dit à sa femme Saraï: « Écoute, je sais que tu es belle. Quand les Égyptiens te verront, ils se diront que tu es ma femme; ils me tueront et te garderont en vie. DIS-LEUR donc que tu es ma sœur, afin qu’on me traite bien à cause de toi; ainsi j’aurai la vie sauve grâce à toi. »
MAIS LE SEIGNEUR FRAPPA LE PHARAON ET SA FAMILLE de grands malheurs à cause de Saraï, la femme d’Abram. Le Pharaon convoqua Abram et lui demanda: « Pourquoi m’as-tu fait cela? Pourquoi ne m’as-tu pas averti que c’était ta femme? Pourquoi as-tu dit que c’était ta sœur, si bien que je l’ai prise pour femme? Maintenant, voilà ta femme; prends-la et va-t’en! » Le Pharaon donna alors à ses serviteurs l’ordre de reconduire Abram à la frontière avec sa femme et tout ce qui lui appartenait.» Genèse‬ ‭12:11-13, 17-20‬ ‭FRC97‬‬
TU ES CHRÉTIEN MAIS TU N'AS PAS CONFIANCE dans le Seigneur pour te garder et te protéger jusqu'à l'accomplissement de sa promesses? Il est temps que cela change mon frère/ ma sœur.
Dieu t'appelle à la paix, au calme et à la maîtrise de tes émotions/sentiments afin que tu discernes Sa Volonté et Ses directives dans l'accomplissement de sa promesse.
Bonne journée dans la confiance
Guy Rémi Pambou
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marketingmind-me-blog · 6 years ago
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Caractéristiques et impacts durables de la révolution digitale.
“La transformation digitale n’est pas un concept nouveau puisqu’il existe depuis l’essor d’internet.”
Sur ce post nous allons aborder les relations humaines face à la révolution digitale. Dans un premier temps, nous verrons comment les technologies ont améliorés notre quotidien, et dans un second temps, les limites de cette révolution. 
En effet, depuis la nuit des temps l’Homme façonne le monde à son image, c’est ce que l’on appelle communément  l’évolution. Rien n’est jamais acquis en terme de technologie et l’humain sait que tout peux s’améliorer et ne cesse de croire au monde de Jules Verne où nous utiliserons des voitures volantes comme moyen de déplacement. 
« Nous sommes près de 8 milliards sur la terre -nous étions 2 milliards lorsque je suis né, et il y a près de 8 milliards de Smartphones. L’Homme est connecté et cette connexion fait de l’homo numericus un homme différent de l‘homo sapiens »
Cette fulgurante évolution que nous vivons en ce moment n’est pas simple pour tout le monde. Prenons l’exemple des séniors, le simple envoi d’un sms peut généralement prendre de longues minutes, et maintenant il faut leurs apprendre comment utiliser internet avec un ordinateur ou une tablette. 
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Le taux d’équipement en ordinateur à domicile dans les grands âges représentent 76 % des 60-69 ans et 43 % des 70+. La fracture numérique générationnelle commence à être loin derrière nous. Aujourd’hui, près de 2 Seniors sur 3 utilisent Internet. Parmi ces 76 % de Digital Seniors, 1 sur 3 déclare même l’utiliser très souvent.
Alors comment les seniors ont su s’adapter à quelque chose qu’ils disaient comme “pas faite pour eux”? 
 Bien évidement tout cela ne serait pas possible sans l’aide des enfants ou des petits enfants qui eux ont grandi dans l’immersion de ces technologies. Des stars-up se sont également lancées dans l’aide aux personnes en difficulté : sur internet. L’arrivée d’Internet dans nos foyers, à  permis à l’humain de se rapprocher, de communiquer plus facilement et de briser certaines fractures inter-générationnelles. 
Et une fois le système compris, l’utilisation devient un jeu d’enfant, et oui meme pour papy. 
Nous pouvons trouver la 8 ème merveille du monde si nous le désirons comme le dernier monte-escalier à la mode. 
L’air digital, à permis à l’humain d’être plus collaboratif, et ouvert d’esprit.
Il y a 50 ans, vous auriez vu vos grands parents partir sur l’autre moitié du globe en échangeant leur maison avec des inconnus ?
En effet, Airbnb, à su faire part d’une bonne analyse de ces avancées technologiques et a su proposer plus de logements en 10 ans, que la chaine Hilton en une 100 aine d’année. Le digital séduit le consommateur par sa facilité d’utilisation souvent très intuitive et les nombreuses possibilités qui s’offrent à lui. Ces possibilités peuvent aller de la découverte d’un article des video ludique en passant par l’acte d’achat. Tout est simplifié, les prix sont abordables pour tous et il y en a pour tous les goûts. Les heureux propriétaires d’une seconde maison sur la côte, peuvent mettre en location cette dernière, et ravir une famille qui vient en vacances. Ce genre de plateforme ne sont pas exclusivement tournées sur le plan financier mais mettent en exergue l’entraide humaine. Le propriétaire doit faire confiance au futur locataire.
À ce jour Airbnb propose plus de 3 millions de logements, en seulement 10 ans de création.
En dehors de cette application, nous pouvons en trouver des centaines sur le marché, proposant des services pour aider son prochain, son voisin, un inconnu. Il existe de nombreuses applications, permettant aux Hommes, d’interagir entre eux, mais certaines de ces applications sont un peu déviantes dans leur fonctionnement ou leur réelle utilité.
 Ces dernieres ne refletent-elles pas “le côté noir” de cette digitalisation ? 
“Comme très souvent, lorsque quelque chose de formidable arrive, on se jette dessus et on oublie un peu le bon sens.”
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Les réseaux sociaux, le fléaux de la nouvelle jeunesse : 64 % des jeunes en France ont un profil sur un réseau social : 25 % des 9-10 ans, 49 % des 11-12 ans et cela va jusqu’à 83 % des 13-14 ans, et ce malgré le fait que certains réseaux, comme Facebook, soient interdit au moins de 13 ans nous retrouvons beaucoup de très jeune.
Ethiquement parlant nous pourrions nous demander s’il est normal de voir un enfant de 9 ans sur les réseaux.
Les adolescents prennent plus de plaisirs à discuter online qu’en face à face, pourtant l’avenir ne nous montre pas un monde sans discussion réelle.
Comme nous le démontre une étude établie par Common sens, la communication en face à face prend du plomb dans l’aile et seulement 32 % des adolescents la plébiscitent alors qu’ils étaient 49 % en 2012. 
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Une donnée contradictoire vient d’ailleurs étayer le sujet, quand les étudiants ont une discussion en face à face, 44 % se disent frustrés de voir leur interlocuteurs utiliser son téléphone.
Paradoxalement, 55 % disent avoir du mal à laisser leur téléphone de côté lorsqu’ils sont avec leurs amis.
Enfin, 54 % des adolescents admettent que l’utilisation de leur smartphone et des réseaux sociaux les déconcentrent quand ils sont avec des amis. 
D’un point de vue émotionnel, les réseaux sociaux peuvent contrôler ses utilisateurs. En effet, le phénomène du “like” est très révélateur.
La popularité d’une publication sur les réseaux sociaux, se traduit par des “like” et par les commentaires que laissent les utilisateurs. 
Si l’internaute considère que sa publication n’a pas eu assez de like, il se peut que celui-ci l’enlève alors que le contenu lui plaisait. 
D’un point de vue positif les adolescents tendent à dire que les réseaux sociaux ont un bon effet sur leur moral : 25 % se sentent moins seuls, 16 % se sentent moins déprimés, 20 % ont l’impression d’avoir une meilleure confiance en soi. Une autre partie des adolescents dont le bien-être socio-émotionnel est bas (solitude, dépression, manque de confiance) ressentent davantage les effets négatifs des médias sociaux. 70 % de cette partie se sentent exclus des interactions sociales, 43 % sont malheureux quand personne ne like ou ne commente leur post, les menant à les supprimer.
Enfin, 35 % de ces adolescents mal dans leur peau ont été cyber-harcelés, contre 5 % des jeunes au bien-être socio-émotionnel élevé. Au total, 13 % des adolescents interrogés ont été cyber-harcelés.
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Pour conclure sur le sujet, la révolution digitale a réellement un impact durable sur le plan humain. Même si des applications sont créées pour rapprocher les gens, paradoxalement, la nouvelle génération reste frustrée sur les avancées humaines, et se laisse dicter au mot par un monde technologique qui maîtrise ses pensées, ses émotions, son bien-être.
Comment expliquer à des jeunes adolescents, qu’un moment familiale, peut être plus intéressant et constructif qu’un live sur Instagram avec ses amis ?
Les technologies digitales sont à prendre avec des pincettes mais également avec beaucoup de recul, pour ne pas tomber dans le gouffre de la dépendance. 
“Le kidnapping de nos cinq sens par les nouvelles technologies de l'information et de la télécommunication est aussi grave que les greffes d'organes qui séparent irrémédiablement l'individu de son corps.”
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daughteroftheair7 · 3 years ago
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Tirage des énergies de la semaine du 7 au 13 mars 2022
Énergie de la semaine, ce que nous allons ressentir dans le collectif : Impératrice renversée + Force renversée
Il y aurait tant à dire sur ces deux cartes, sur ces deux énergies féminines ici renversées. L’une submergée par son monde, l’autre travaillant à assumer sa force. Mais les deux, connectées à l’Amour. L’Impératrice est associée à Vénus, planète de l’Amour et la Force a la capacité de maitriser le Lion non grâce à sa force physique, mais grâce à la force de son amour.
(Aujourd’hui, le 6 mars, nos amants cosmiques, Mars et Vénus sont entrés dans le signe du Verseau, IT’S ALL ABOUT LOVE ! Même si c’est un peu plus complexe que cela !) Mais surtout, ces cartes nous parlent du féminin. Sur l’Arbre de vie ces deux cartes servent de structures horizontales. L’Impératrice fait le lien entre la sphère de la compréhension et celle de la sagesse ( entre Binah et Chokmah) et la Force fait le lien entre la sévérité et la miséricorde (Geburah et Chesed) et reliant à la fois l’Impératrice et la Force nous avons la Grande-Prêtresse, la réceptivité, celle qui observe le monde, qui attend avec confiance, à l’écoute de soi et de l’Univers, connectée aux forces lunaires et féminines, une fois de plus. Nous avons donc une trinité féminine qui se trouve activée cette semaine. Quelque chose de submergeant certes, à un niveau matériel, mais intérieurement il se passe quelque chose qui est de l’ordre de la poussée, de la montée d’une énergie puissante, des ressources qui s’organisent, dans lesquelles nous irons puiser. Je le disais L’Impératrice/Vénus/L’Amour et La Force/ L’Amour aussi car il est le seul chemin possible pour maîtriser le lion. Ces deux cartes viennent aussi activer notre chakra sacré, nos énergies créatrices, c’est l’Eau en nous, le chakra qui contribue à l’harmonie de nos relations avec les autres, qui enrichit ces relations. Puis la Grande-Prêtresse, en « transparence » qui nous connecte à la Lune, planète/satellite du féminin par excellence, de la réceptivité, de nos émotions. C’est comme si ces deux cartes Impératrice/Force venaient nous stabiliser. Nous rappeler de réactiver ces énergies en nous, non pour reprendre le contrôle sur l’extérieur, pas uniquement mais plutôt honorer nos forces, nous positionner avec grâce dans ces énergies créatrices. Et je ne peux pas ne pas parler de cela sans citer mon amie Manon qui (hasard ou synchronicité ) m’as mis entre les mains il y a moins d’une semaine de cela le livre « Asteroid Goddesses » de Demetra George dont le sujet est l’activation du féminin par le prisme des astéroïdes. Activation que nous vivons depuis quelques années, voire décennies mais qui s’intensifie en ce moment et qui est nécessaire et indispensable à la réunion du féminin et du masculin sacré.
Challenge de cette semaine : Le Magicien
Cette semaine nous demande d’aller chercher dans nos ressources, d’émerger à nous même, à notre part féminine. Le Magicien nous invite à prendre ces énergies féminines et à leur donner une nouvelle impulsion, nous rappelle que nous avons toutes les cartes en main pour agir. Le Magicien est associé à Mercure qui est exalté en dans le signe de la Vierge et qui est la planète maîtresse de ce signe, ces énergies nous préparent à la pleine lune du 18 mars en Vierge. Il y a quelque chose de l’ordre de l’émergence qui me fait penser aussi au signe du Bélier, premier signe astrologique de l’année zodiacale, un nouveau départ, une nouvelle énergie à notre disposition, de la volonté et signe dans lequel nous entrerons le 20 mars. S’autoriser un nouveau souffle.
Cadeau de cette semaine : 2 de coupes renversé + 6 de coupes
Il y a dans ces deux cartes quelque chose de l’ordre de « se détacher d’une relation qui ne nous nourrit plus pour se reconnecter à l’essentiel ». Que ce soit avec nous-même ou avec l’autre.
Le deux de coupes renvoie au déséquilibre relationnel, un partenaire qui donne plus que l’autre, une relation en dent-de-scie ou bien plus personnel, notre relation à nous-même est affectée. Trop d’énergie Yang nous pousse sans cesse à l’action en étouffant notre réceptivité lorsque cette saison des Poissons nous invite à accueillir nos émotions, notre intuition, à nous laisser traverser plutôt que d’être dans l’action pour l’action. A l’inverse, trop d’énergie Yin peut-être submergeant, l’être a du mal à se positionner pour soi.
Cette semaine, cette prise de conscience est un cadeau car elle nous permet d’accueillir consciemment ces parts de nous pour les comprendre et aller vers plus d’harmonie.
Quant au 6 de coupes il nous parle du passé qui travaille à travers le présent et qui créera le futur. De bonheur construit sur des efforts passés. De nouveaux éléments qui entrent dans nos vies et qui sont étrangement liés au passé mais qui amène un renouveau dans le présent. De nouvelles perspectives pour un nouvel équilibre émotionnel et relationnel. Une semaine ou le féminin sera à l’oeuvre de multiples manières et ou il demande à être assumé totalement, incarné totalement et spécialement dans cette année des Amoureux ou l’équilibre entre les polarités féminines et masculines vient nous travailler en profondeur.
Belle semaine à vous !
Pour une consultation privée vous pouvez me contacter à [email protected]
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silkepan · 3 years ago
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3 septembre 2021, date clé dans ma vie: mon retour officiel à la scène après le terrible accident de voltige en 2007 qui avait mis fin à ma carrière d'artiste de cirque 🌟 Le 25 avril 2020 je retrouve mes sensations d'équilibre au hasard d'un entraînement de musculation. 21 mai 2020 je maîtrise à nouveau l'équilibre sur 1 bras... après 13 ans de fauteuil roulant, complètement sortie du milieu artistique acrobatique. 2020- 2021 je me consacre encore à fond à ma carrière d'athlète para-cycliste 🚴‍♀️ Début septembre j'annonce officiellement mon retrait du monde de la compétition sportive. Et me revoilà, un peu comme par le passé, mais différemment, avec à ce jour déjà cinq beaux spectacles dans les bras 🤸‍♀️ Un court extrait de ce moment riche en émotions au Beau Rivage Palace 💥 🎬 Merci à @Alexandra-karamisaris pour les images et à @melfichristina /@4every1asso pour la vidéo ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ ☆ September 3, 2021, key date in my life: my official comeback to the stage 🌟 April 25, 2020 I regain my balance sensations while doing a weight training session. May 21, 2020 I mastered balancing on 1 arm again... after 13 years in a wheelchair, completely out of the acrobatic art scene. 2020- 2021 I am still fully dedicated to my career as a para-cyclist athlete 🚴 At the beginning of September I officially announce my retirement from the world of sports competition. And here I am again, a bit like in the past, but differently 🤸 A short excerpt from this great evening at Beau Rivage Palace 💥 #performingartist #spectacle #show #cabaret #live #artiste #stage #gala #event #spectaclevivant #culture #danse #art #celebration #festivity #acrobatics (à Beau-Rivage Palace Lausanne) https://www.instagram.com/p/CUVQtYioruY/?utm_medium=tumblr
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gerphau · 4 years ago
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Perrine Belin
Architecte / Enseignante-chercheuse
Perrine Belin est architecte DPLG, diplômée de l’Ecole Nationale d‘Architecture de Versailles en 2000, Maître de conférences dans le champ TPCAU à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Paris La Villette, associée de l’agence d’architecture FACES dont le travail se consacre principalement aux édifices d’habitation collective.
Le cheminement de sa pensée et de sa pratique de la maîtrise d’œuvre tout autant que celui d’une construction pédagogique de longue date cherchent à embrasser les questions que posent, dans le contexte du bouleversement climatique et de la raréfaction des ressources, la pratique et l’enseignement de l’architecture comme ce qui permet aux humains de s’établir et de s’épanouir, comme ce qui relève de la concrétisation d’un site, et comme ce qui conjugue savoir-faire en tant que ce qui honore la matière, et dessin en tant que ce qui donne à la matière une expression dynamique. Elle prolonge et accompagne ce cheminement en interrogeant les conditions d’émergence et les formes d’architectures de l’habitation collective sobres en consommations énergétiques et matérielles, en résonance avec l’environnement et les émotions humaines. Considérant, en Europe, les contextes et les pratiques permettant leur émergence, ainsi que la contribution des écoles d’architecture comme lieu de questionnement et de recherche collective sur la manière dont ces évolutions typologiques et constructives se pensent, se mettent en œuvre et se confrontent aux énoncés théoriques, la recherche propose d’explorer le glissement de ce que l’on désigne par architecture savante.
Projet de recherche
Les villes et les territoires sont bousculés par la libéralisation des modes de transformation et de développement urbains, l’épuisement des ressources, les menaces climatiques et sanitaires. Dans ce contexte, l’indispensable réduction des consommations matérielles et énergétiques induit l’obsolescence des modèles économiques, programmatiques et constructifs usuels et la transformation des aspirations. En résulte la nécessité d’interroger les formes bâties, les pratiques et les processus de projet, le dessin d’architectures susceptibles de constituer l’expression en termes construits d’une société post-carbone. Plusieurs regards conduisent une recherche sur les dimensions typologiques, matérielles et phénoménologiques d’édifices dont il s’agit d’interroger la distribution en tant que caractère typologique majeur des édifices de l’habitation collective, la distribution (Oeconomia) au sens employé par Vitruve, « le meilleur emploi du terrain et des matériaux », et les qualités expressives et atmosphériques comme vecteur de résonance avec l’environnement et les émotions humaines.
Bibliographie
2007, La ville mode d’emploi, avec Carole SATURNO, collection terres urbaines, Gallimard jeunesse, 2007 Mention spéciale des Cubes d’or de l’UIA, jury international Sélection pour le prix La ville à lire (France Culture et Urbanisme).
Collaborations
2011, Relevés et dessins in Les Faubourgs de Damas, Atlas contemporain des faubourgs anciens, formes, espaces, perspectives, Yves ROUJON, Luc VILAN, Presses de l’Ifpo et ENSAV.
2008, Dense, dense, dense. Étude collective sur l’habitat intermédiaire Étude préalable pour le CAUE 13, janvier 2012 Recherche, dessins analytiques.
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ambassademag · 5 years ago
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Que reste t-il de Chief Keef? (Chronique Musique)
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En explosant à une vitesse folle et à une échelle mondiale en 2012, il s’est déjà imposé comme un artiste solide du rap des années 2010. Mais loin de se cantonner à un impact local sur Chicago il va transformer les continents du rap moderne.
Si vous avez suivi les rétrospectives sur le rap de la décennie 2010 qui ont fleuri tout au long de l’année 2019 c’est quelque chose que vous avez déjà entendu : Chief Keef a influencé énormément d’autres artistes.
Pourtant, cette affirmation ne semble pas évidente pour toustes.
Dans une interview (que je n’ai pas retrouvé, si vous voyez de laquelle je parle signalez la moi), Koba la D parle de l’influence que Chief Keef a eu sur lui. La journaliste de lui répondre que Chief Keef ne fait plus rien aujourd’hui. Koba s’étonne et lui répond « non c’est parce que t’écoutes pas mais il es là ! ».
Toutefois, la journaliste n’est pas à blamer bien sûr. C’est un avis répandu que depuis « I dont like » Chief Keef ne fait plus rien. En effet, révélé grâce à ce hit violent, froid et débordant d’énergie, issu de sa mixtape Back from the Dead, Chief Keef voit tout les projecteurs braqués sur lui. Il signe alors un contrat estimé à 6 millions de dollars chez Interscope, chez qui il produira Finally Rich. Album fort, contenant d’autres morceaux à l’aura planètaire comme Love Sosa, Kobe ou Hate being sober. Toutefois, pour diverses raisons (changement de PDG chez Interscope, déboires judiciaire de Sosa et management hasardeux) Keef voit son contrat lui être rendu plus tôt que prévu par Interscope.
Sosa officiera donc à nouveau dans une forme d’underground , possible raison qui explique son « absence » depuis des années pour beaucoup.
Une question se pose alors, Chief Keef est il réellement influent ? Pourquoi ? Seulement avec I dont like amenant la drill de Chicago à toustes ? Ou alors, celleux qui ont continué à suivre l’artiste en ont extrait quelque chose de plus ?
Voici donc une rétrospective, non exhaustive, de l’impact de Chief Keef sur le rap d’après 2012.
Kaaris – Or Noir / Chief Keef – BFTD , Finally Rich :
Si pour beaucoup, Or Noir sonne l’arrivée de la trap en France, il s’agit d’une erreur. En effet, ce qu’on entend par « trap » est déjà arrivé en France quelques années plus tôt. La trap, au sens premier du terme, naît réellement dans le milieu des années 2000 à Atlanta et ce caractérise par ces productions au tempo lent, couplées à des mélodies portées par des synthétiseurs assez crados (notamment chez Zaytoven, producteur fétiche du Gucci Mane de ces années là) et les basses faites à base de TR-808. La trap musik à Atlanta c’est une musique par des dealers de crack pour d’autres dealers.  De ce fait, l’album Le Général de Mac Tyer marque déjà l’arrivée de ce genre en France. Mac en reprend le son et les thèmes mais les ramènent dans un cadre Français avec brio. La trap est aussi énormément calibrée pour être diffusé dans les strip club d’Atlanta, de ce fait Boulbi de Booba est totalement dans cette optique. Sonnant tel un morceau de Jeezy, le tube est pensée pour les clubs.
Or, quand on écoute Zoo, premier extrait de ON, c’est pas tellement les stroboscopes et les bouteilles de champagne qui nous viennent en tête. Les productions aux mélodies sous harpegiateurs sonnent froides et sont enrobées de lyrics d’une violence inouïe. C’est bien ce qui caractérise la drill de cette époque, une musique froide et violente.
Loin du soleil sudiste d’Atlanta, Chicago se trouve au Nord des Etats-Unis et est surnommée « the Windy City ». Depuis 2001, plus de 7000 personnes sont mortes assassinées à Chicago, soit plus que dans les guerres d’Iran et d’Irak (côté soldat américain). Concentrées en grande partie dans le quartier de South Side, il n’est pas étonnant que cet environnement ultra violent se voit retranscrit dans les paroles de Chief Keef, alors qu’il n’a que 16 ans. En plus donc des productions froides et ultra énergiques, la violence des paroles de Zoo et de tout Or Noir (partie 1 comme partie 2) s’inspire directement de Chicago. Kaaris apparaît lui aussi torse nu entouré de types armés dans le clip de Zoo comme Keef dans I dont like. D’une manière assez prémonitoire, le visage de Kaaris est parfois remplacé par des images subliminale de gorille, effet qu’on retrouvera quelques années plus tard chez Keef dans le clip de Faneto. 
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 Extirpée du soleil lourd de Géorgie, la trap voyage jusqu’à Chicago, où le sang et le froid la modifieront à jamais. Arrivée en France par Therapy airlines, c’est bien par l’intermédiaire de Kaaris que notre pays se verra secouée par la vague drill.
« J’rap comme à Chicago, t’as l’flow d’Patrick Juvet » Kaaris - Intro
Toutefois, loin du bête copier coller, Kaaris apportera une teinte plus française au produit issu de Chiraq. A l’opposé d’une certaine épuration lyricale caractéristique de la drill, K double A y ajoutera un sens de l’image, des métaphores et de rimes très français. C’est là la réelle force du disque bourré de phases toutes plus incroyables les unes que les autres, pour qui aime le rap hardcore.
Or noir apparaît en fait comme l’arrivée non pas de la trap mais bien de la drill en France. Dans les années suivantes, l’impact de Sosa et de Kaaris se mélangera dans les oreilles de beaucoup de rappeurs en France et donnera naissance à des petits Glo Gang Francophone tels que XV Barbar ou même 13 Block.
Néanmoins, l’influence de Chief Keef n’est pas tellement contestée durant cette période. En effet, quiconque tombant sur un morceau de Keef de 2012 et le Kaaris de Or noir ne pourra pas le nier.
Pour certains, c’est là que s’arrête l’héritage de Chief Keef. Avoir remusclé la trap musik. Mais, est-ce bien vrai ?
PNL – Que la famille / Chief Keef – Almighty so
Après sa rupture de contrat avec interscope, Chief Keef retourne donc à une musique hors du circuit des majors. A l’instar d’une de ses influences, Gucci Mane, il se met à produire énormement de mixtapes entre 2013 et 2015, dont beaucoup seront diffusées gratuitement sur Datpiff.
Libéré des contraintes d’une grosse major (volonté d’avoir des hits sur son album etc), Keef va laisser libre court à ses idées, que le ciel lui apporte sous forme de pluie de Sprite violet, de Henessy et, littéralement, d’éclairs de génies. De ce ciel toujours sombre, Keef va tirer des mixtapes dépassant toutes les limites d’alors. Tombant amoureux d’autotune comme Lil Wayne avant lui, Sosa va se livrer à des expérimentations qui n’auront pour seul limite son esprit qui semble habité de tout un tas de choses. Toute cette période folle, sûrement la meilleure de la carrière de l’artiste, est synthétisée dans une mixtape, Almighty so. 15 morceaux qui semble avoir été enregistrés d’une traite, les hosts de Dj Scream étant le seul temps de pause pour que Keef recharge ses batteries en opioïdes liquides, en alcool et loud. En sort un disque fou, un sprint de 38:35 où les envolées autotunées côtoient les lyrics les plus simples. Keef passe maître dans l’art de l’autocongratulation et semble parfois simplement décrire ce qu’il voit/fait sur le moment présent.
« I just spend a lot of money know I’m tired. Rmember when I used to fantasied » « This bitch is blew my high » Chief Keef – Blew My High
Ils ne donnent jamais d’interviews mais on peut sentir à travers leurs disques que Ademo et NOS ont écouté du Chief Keef. Leur street album / mixtape Que la Famille en déborde. Différents est un morceau dans la plus pure tradition de la drill de BFTD. Les onomatopées qui ponctuent le morceau ne sont pas sans rappeler les fameuses ad-libs de Chief Keef. Des références sont même directement faites à Keef. Ces références se trouvent dans le vocabulaire utilisé par les deux frères, leur QLF (Que la famille) étant la traduction du OTF(Only the family) cher à Chief Keef ou Lil Durk notamment.
« Theses bitches love Sosa » Chief Keef- Love Sosa
« My bitchies love Sosaaaa » PNL feat RMK – Athéna
Simulatanément, dans ce même morceau les poussées de chant autotunées à la maîtrise incertaine de NOS ne sont pas sans rappeler Almighty So.
Dans le refrain, et les couplets parfois, d’un morceau comme J’comprends pas, les deux frères semblent crier tel des loups à la lune une mélodie qu’ils cherchent. Alors que le morceau enregistre, ils sortent des sentiers battus et tentent une expérience, poussée par la modification vocale et leurs émotions. Une façon de rapper qu’on retrouve sur Go to jail de Chief Keef, où pendant la première minute trente du morceau, Keef chante sans maîtrise sous autotune, à la recherhce d’une top line. On assiste presque à la création en live de la chanson.
Bien que pas mal de leurs morceaux comme le merveilleux (le magnifique) Je vis, je visser ou J’comprends pas semble aussi porter en eux aussi l’ADN de Lil Durk (Dis ain’t what you want en tête), déjà le rappeur de Chicago le plus mélodique mais aussi le plus empreint de spleen à l’époque. On pourrait expliquer les ressemblances « sonores » de PNL et Keef par des moyens rationnels. Les deux disques sont des disques produits avec peu de moyens et avec des artistes maîtrisant peu les outils dont ils usent par exemple. Toutefois, cette capacité de créer sans se soucier d’un regard méprisant sur l’autotune mal gérée ou les types beats mal mixés mais avec le coeur, on peut la relier à Chief Keef. Sûrement que la drill de Chicago, son énergie créatrice génialement incontrôlée et l’aspect brut de décoffrage des paroles ne peuvent qu’avoir pu libérer une barrière chez les deux frères, dont les premières sorties musicales étaient à des années lumières de ce qui a fait leur succès.
L’influence de Chicago tendra à disparaître au fur et à mesure des disque du duo, dès Le Monde Chico elle se fera moins présente, mais elle restera là, comme une ombre planant sur les disques de PNL. Le refrain de Onizuka ou même le fameux couplet de NOS sur Menace en sont des directs héritiers. Lorsque NOS pousse son rap chanté sous autotune dans d’autres sphères sur Menace, on ne peut qu’y voir une réminiscence de morceaux comme Go to jail. NOS semblent trouver sa bonne mélodie au milieux de son couplet, pour en changer du tout au tout en deux mesures.
De la période de carrière de Chief Keef la plus décriée, les deux frères des Tarterets en on fait la musique la plus écoutée de France. Mélangée, encore une fois, à des références rap bien française (étant du 91 il est évident que du Néochrome a parcouru leur oreille) la drill se voit grandir, modifiée, sans pour autant perdre sa sève. Ce genre souvent présenté comme un rameau de la branche trap du grand arbre rap, la drill de Chief Keef donne maintenant des fruits insoupçonnés.
Playboi Carti – Playboi Carti, Die Lit, @ meh, leaks / Chief Keef- BFTD 2
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En 2014 sort le deuxième volet de Back from the dead. Le premier opus ayant propulsé Chief Keef dans la stratosphère, une attente certaine émane de ce disque d’autant que, comme évoqué plus tôt, Chief Keef a perdu une partie de son public depuis sa rupture avec Interscope. Le public s’attend donc à un retour en terrain connu. Certains morceaux sortis avant le disque avaient même réussi à reséduire d’anciens auditeurs comme War (la section commentaire est pleine de ces commentaires comme « enfin le retour de sosa ! »).
Tous les signaux sont au verts pour la sortie d’une tape déjà couronnée de succès.
Rien de cela. Encore une fois, Chief Keef prend tout le monde à contre courant. Back from the dead 2 est véritablement un projet sorti d’outre tombe. A l’image de la cover, Sosa apparaît en zombie effrayant, venu hanter un monde déjà plongé dans les ténèbres.  
La cover pourrait paraître de mauvais goût aux yeux de certains. Chief Keef y apparaît, dans un montage assez grossier, sortant de sa tombe la moitié du visage squellifiée. Dans un monde noir, la brume cache les détails. Un corbeau sur son épaule, une pelle à sa droite. Tel un fossoyeur, Chief Sosa se serrait déterré lui même. Une image amusante qui prend même tout son sens puisque Keef produit lui même une majeure partie du disque.
Le disque est à l’image de sa pochette. Un mélange savant entre amateurisme certain et génie créatif qui fait que tous les défauts du disque en deviennent une force. La pochette est héritière du travail de Pen & Pixel, elle en reprend le goût pour l’outrance et le mauvais goût mais franchi la barre du « moche » pour devenir magnifiquement laide. C’est aussi ce qui se dégage des productions.
Chief Keef produit à 90 % le disque sans qu’il n’ait pour autant de grandes connaissances en beatmaking. Il s’appuie sur quelques bases classiques de drill comme la légère desturcturation des rythmiques de snares mais s’amuse à déconstruire encore plus. Là ou d’ordinaire la snare est joué au premier temps et est placée selon le producteur ensuite sans suivre un rythme nécessairement en 4 temps, Keef ne place parfois la snare au premier temps et décale ainsi les hi-hats d’un temps. Cela donne une impression étrange de retrouver tout le éléments de la drill du début mais dans une version difforme. Ce son qui ne semble pas toujours en rythme, ce sont les pas du zombie Sosa. Mais c’est au niveau de ce qu’il dit que Sosa brille. Toujours adepte des mêmes thèmes, ses phases courtes sont ponctuées d’ad libs fantomatiques. Ayant toujours occupé une place fort chez Keef, les ad-libs sur BFTD 2 prennent une forme nouvelle. Elles englobent les morceaux, ce sont les grognements d’un boogie man déjà trop proche de toi quand tu l’entends parler. Le rap est presque post-verbale, les lyrics perdent de leur intérêt car tout est bouffé par des petits bruits d’armes à feu faits à la bouche, de machine à compter les billets ou d’onomatopées étranges. Elles ne ponctuent plus les temps forts des phases mais en font parti. Chaque mot est accompagné de son onomatopée qui est là tel l’echo dans une grotte.
« Shootin’ on your face (pow pow) and your nuts (bang bang) » Chief Keef - Cops
Directement héritier de cela, le phénomène Playboi Carti. 
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Dès sa première mixtape, tout y est. Les productions de Pi’erre Bourne sorties d’un album d’easy listening se voient porter vers de nouveaux cieux par Carti. Les ad-libs du broke boi suffiraient presque à rendre les morceaux intéressants à elles seules. Elles sont juste entourées de quelques lines mais elle en sont le coeur. Que les lyrics n’ait pas de sens ou ne soit pas compréhensible n’est pas grave, les phases ne deviennet qu’une couche mélodique de plus, un nouvel instrument dans des morceaux à l’énergie totale. Tout pour que ce soit dansant, les ad-libs devenant presque des baguettes de chefs d’orchestre ordonnant quand bouger.  Mais aujourd’hui, les temps ont changés. Plus le temps passe, plus le joyeux luron Carti mute. Il mute en un vampire. @ meh et le couplet sur Pain 1993 de Drake ne sont pas ceux d’un homme mais bien d’un Carti à la babyvoice poussée à l’extrême (façon autotune sur Almighty so) laisse maintenant planer un Carti fantomatique partout où il passe. La même energie se dégage mais semble avoir atteint un point inatteignable pour beaucoup d’auditeurices.
Toujours accompagné de productions plus carrées et légères que Chief Keef sur BFTD 2, il mute donc peu à peu en un vampire planant prêt à fondre sur sa prochaine cible au côté de son père, ce zombie lourd au visage couvert de dreadlocks.
Lil Pump – Lil Pump/ Chief Keef – Finally Rich, Thot Breaker
Dans la description de leur compilation officieuse de Chief Keef Marcelo Bielsosa, l’équipe du blog Fusil à pompe écrit cela: « Que se cache-t-il dans dans la glacière d’Almighty Bielsosa ? Un cerveau malade ? Le néant ? Des idées folles, que d’autres feront triompher demain ? »
Dès le début de sa carrière, Keef est attaqué pour ses lyrics simples parlant de manière abusive de drogues, de violence, d’argent et de groupies. Un rap certes énergique mais qualifié de stupide ou de débile.
Pourtant, ce rap il parle à un gamin de Miami. Tatoué jusqu’au front, les dreads couleurs arc-en-ciel, Lil Pump va devenir le symbole ultime de cet héritage. Celui qui se vante d’être le rappeur le plus « ignorant » est un fan inconditionnel de Sosa. Chief Keef va lui ouvrir les yeux. « Ils rappent tous comme si ils avaient quequ’chose à dire » eh bien non pas Lil Pump mais il en est fier. 
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L’héritage de Chief Keef c’est aussi d’avoir ouvert les portes d’un rap sans complexe où être stupide fait vendre. Car le rap est une musique qui aime se prendre au sérieux, où tout aurait un sens que ce soit les beats, les lyrics les ad-libs. Lil Pump n’a retenu qu’une leçon de Keef, nique tout ça. Je suis la pour les sous, la drogue et la fame. Je rappe sans qu’on comprenne rien ? Merci papa et ouais j’vais l’faire ! Un jemenfoutisme certains qui n’a pas empêcher sa carrière de sombrer. N’est pas Chief Keef qui veut.
Cette liste n’est pas exhaustive encore une fois. C’est à regret que je n’évoque pas Retro X, Lucki, Koba, Mano Qatsi ou même la période 1017 de Chief Keef et son impact sur Atlanta. L’article est déjà bien assez long, merci à vous d’en être arrivé.e jusqu’ici.
En 8 ans depuis son explosion, Chief Keef a mené une carrière versatile bien que semée d’embûches. Parce que sa musique est en fait plus dense qu’il n’y paraît, Keith Cozart se retrouve donc à influencer des rappeurs aussi divers que variées. Il est désormais partout et nulle part dans l’industrie (ses fans attendent désespérément Almighty So 2). Il est vrai que en terme d’audience, Chief Keef ne sera peut-être plus jamais aussi haut que Love Sosa. Néanmoins, il a déjà laissé une marque forte, le genre qui restera dans l’Histoire du rap au côté de Gucci Mane, Lil Wayne ou Lil B.
RIP Big Boss Fredo
RIP Capo
Ressources Chief Keef :
Un « mix » (je ne sais pas mixer) des différents morceaux évoqués dans cet article :
https://www.mixcloud.com/Jvlos_Thxmxs/chief-keef-children-mix/
La playlist youtube regroupant les morceaux du mix :
https://www.youtube.com/playlist?list=PLB5uYqxdy1P9V6Ve387JffzKkCTPTcTdZ
Une compilation/ best of de Chief Keef par Fusil à pompe, très juste selon moi :
https://fusilsapompe.tumblr.com/post/185925309429/chief-keef-marcelo-bielsosa
Une playlist regroupant mes leaks/unreleased préférés de Chief Keef :
https://www.youtube.com/playlist?list=PLB5uYqxdy1P_X14C9bSgQhzG9qmuq71JP
Noisey Chiraq. C’est noisey donc ça pue le mépris et le script mais ça reste un peu intéressant (l’épisode 8 est marrant surtout car Chief Keef tente de tailler un short au journaliste) :
https://www.youtube.com/watch?v=TybFtK6VTVo&list=PLdoAu1uCjE-il9fohlkEu2d4-H2SzkgJp
Therapist Chief Keef. Assez glaçant surtout que Sosa est assez franc et qu’on voit qu’il est pas à l’aise avec les médias :
https://www.youtube.com/watch?v=P8jP4buNLIQ
Le clip de Hate being sober. Keef n’était pas vu au tournage, le clip est sorti le mois dernier. Sans lui du coup. C’est très marrant:
https://www.youtube.com/watch?v=ISj_j2h9UjA
Tweet mumble rap :
https://twitter.com/ChiefKeef/status/986383918013149184
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D’autres parlent mieux de Keef que moi. Surtout Nicolas Pellion (aka Pure Baking Soda), expert francophone ultime de Sosa. Sélection de ses articles sur Keef et la drill :
https://purebakingsoda.fr/?p=2724
https://purebakingsoda.fr/?p=3946 (petit mot dans l’outro)
https://purebakingsoda.fr/?p=5592
un petit mot magnifique de PBS
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Chief Keef, roi sans couronne. Par Yérim Sar pour mouv’:
https://www.mouv.fr/rap-us/chief-keef-roi-sans-couronne-295236
Nofun show sur Playboi Carti. PBS revient plus en profondeur sur l’influence de Chief Keef sur Carti :
https://www.youtube.com/watch?v=SO-432M5euw&t=295s
Nofun show sur les années 10, à 50:50 ils parlent de Chief Keef :
https://www.youtube.com/watch?v=vf1ZmQR4r7M
Nofun sur Deux Frères. PBS revient sur l’impact de Sosa sur PNL :
https://www.youtube.com/watch?v=Sp95dB2RQRQ&t=569s
Très vite évoqué dans l’article, un article sur les héritiers de Pen & Pixel à lire chez les très bons Swamp Diggers :
http://swampdiggers.com/L-art-de-la-pochette-de-rap
Une itw du créateur de Pen & Pixels à l’ABCDR du son :
https://www.abcdrduson.com/interviews/pen-pixel-graphics/
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