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David SCHMIDT
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Journaliste - Reporter
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Les assistantes maternelles s’enfoncent dans la précarité.
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Ok, accrochez-vous ça va piquer. Forbach, là où même les bébés apprennent tôt les rudiments du capitalisme sauvage ! Vous pensiez naïvement que l'accueil des enfants serait protégé des griffes d’un propriétaire aux doigts d’or ? Raté. Vous avez un groupe de nounous qui vous gardent les mômes pendant que vous squattez vos bureaux climatisés et qui se font littéralement étrangler par un loyer qui décolle plus vite qu’une fusée SpaceX. Un propriétaire qui n'a « pas trop le choix » selon lui Depuis janvier 2019, le loyer de la MAM « O comme 3 Pommes » est passé de 1 200 € à 1 574 € par mois, + 31,17 % et ne parlons même pas des charges à 2 012 € mensuels pour 238 m². Sérieux, qui gère un local plus grand qu’un studio d’étudiant et te fait payer le mètre carré au prix d’un appartement haussmannien ?! Le proprio Pierrard, qui entre deux "Lettre d’Intention", a sûrement oublié qu'une nounou n’est pas un luxe mais une nécessité pour permettre aux parents de bosser, il vous pond une justification à faire passer un keum en costard pour un Robin des Bois : « c’est juste l’indexation normale sur le coût de la vie » ... oui vous savez cette fameuse « indexation normale sur le coût de la vie », celle qui étrangement profite toujours aux mêmes. Mouais, sauf que le coût de la vie n’a pas financé la rénovation de l'ancien magasin Norma pour en faire un palace. Résultat des courses ? Nos nounous qui ont greffé leur cœur et leurs économies dans ce projet pour accueillir en six ans 120 gosses (et garder 30 familles fidèles), sont désormais dans la fameuse « zone rouge ». Elles ne peuvent pas augmenter leurs tarifs, c’est réglementé ; alors pour compenser elles rognent sur leurs salaires. Bravo l’indexation, tu fais bosser à blanc celles qui prennent soin des futurs citoyens. les nounous rognent sur leurs propres salaires pour continuer d’accueillir nos gosses dans des conditions décentes. Et maintenant on leur demande de se barouder dans la ville pour dégoter un nouveau local de 200 m², en centre-ville ou en ville haute ... traduction : trouver l’aubaine du siècle dans un marché immobilier déjà sinistré pour les petits budgets. Pendant ce temps, qu'elle solution d'avenir ? On pourrait presque croire à une blague si ce n’était pas si tragique : dans un monde où les prix flambent partout, ces dames n’ont même pas la possibilité d'augmenter leurs tarifs, réglementés jusqu’à l’asphyxie. Alors coup de gueule ! Stop à la spéculation immobilière qui étrangle des structures sociales essentielles ! Un local ce n’est pas un bien de luxe à rentabilité max, c’est une base indispensable pour garder les enfants en sécurité pendant que leurs parents bossent. M. Pierrard, on adore vos frais de rénovation, mais ce n'est pas vous qui faite garder vos enfants là-bas ! Un message clair : trouvez vite une solution, prêt à taux zéro, bail associatif … N’importe quoi ! Parce que dans deux ans si rien n’est fait, la MAM fermera, et ce sont des places de garde en moins pour Forbach. Et là on verra qui garde vos gosses pendant que vous râlez de ne pas trouver de nounou. Sans déc, c’est pas le moment de laisser crever une structure qui est essentielle aux familles. Alors mobilisons-nous, avant que les nounous ne nous fassent un ultime burnout collectif … Et pendant que M. Pierrard compte ses euros de rénovation comme on compte les zéros d’un jackpot, il ne réalise pas qu’il asphyxie celles qui élèvent nos enfants. Son bel espace Pierrard, c’est une prison dorée où les nounous agonisent à petits feux, abandonnées dans l’indifférence la plus cruelle. Sa soif de rendement fait office de guillotine : d’ici deux ans, il aura réussi à faire taire les rires des tout-petits dans ses murs, laissant derrière lui un vide sordide et l’angoisse des familles trahies. La situation urge : il faut un nouveau local, environ 200 mètres carrés. Et vite. Un endroit où les enfants pourront grandir sans entendre parler d’inflation et d’indexation, sans que les nounous aient à choisir entre payer leur loyer ou nourrir leur famille. Quant au proprio, qu’il dorme tranquille bien au chaud sous ses billets fraîchement indexés, loin des rires innocents qu’il s’apprête à étouffer pour quelques euros de plus. David SCHMIDT Read the full article
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Il faut continuer de se battre pour ses rêves
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Par David Schmidt – journaliste satirique mais pas cynique (pour une fois) Il paraît qu'à Forbach, l'optimisme serait réservé à quelques inconscients, eh bien j’en fais visiblement partie. Il y a cinq ans, le premier jour d'un confinement déprimant alors que le monde se ruait sur le papier toilette et les pattes comme une bande de survivalistes stressés, moi je branchais un micro au câble douteux à un ordinateur épuisé en lançant FOR’FM Radio. On me disait alors, avec la tendresse habituelle des pessimistes : « Laisse tomber, ici ça marchera jamais ! ». Oui, il paraît qu’à Forbach, rien ne marche. Il paraît qu’ici, ce n'est pas la peine d'essayer. Il paraît qu’on attend que ça vienne de ... nulle part. Il paraît aussi que les rêves, c’est bon pour les enfants et les poètes ruinés. Moi, je vais vous dire ce qui ne marche pas : écouter les "il paraît". Parce qu’il y a cinq ans, alors que la France fermait ses portes et que le silence s’installait comme un locataire indésirable, j’ai branché un micro sur un vieil ordi éclaté et j’ai cliqué sur "enregistrer". Pas pour faire le buzz. Pas pour flatter l’égo. Juste pour qu’une voix existe, dans ce foutu désert sonore. C’est ce jour-là qu’est née FOR’FM Radio. Le 1er jour du confinement. Quand tout le monde se cachait, moi j’ai allumé un micro. Cinq ans plus tard, c’est avec une jubilation presque sadique que je contemple mon studio flambant neuf, preuve vivante que même à Forbach, où l’on croit que les rêves ne poussent pas, on peut bâtir quelque chose à partir de rien et par soi-même. Et aujourd’hui ? Aujourd’hui FOR’FM, ce n’est plus un simple câble USB et une bonne dose de folie. C’est un vrai studio. C’est près de 300 vidéos, des interviews, des rencontres, un chat, des projets qui ont nourri un rêve… et un peu moins mon frigo, certes. Mais un rêve, quand il se nourrit d’efforts, finit toujours par nourrir quelqu’un d’autre. Et ce "quelqu’un d’autre", ce sont les auditeurs. Ce sont ces jeunes, ces anciens, ces commerçants, ces artistes, ces "personnes ordinaires" qui m’ont dit un jour : "merci pour ce que tu fais". Eux qui m'ont forcé à devenir un vrai journaliste (ou presque) et une population qui contre toute attente, ne fuit pas devant moi mais me félicite. Et moi, j’étais là à galérer pour payer un serveur et à tenter de faire tenir une antenne avec trois bouts de ficelle et un tuto YouTube. Mais des gens ont tendu la main. Une commune, des donateurs anonymes (des anges sans ailes mais avec un RIB), qui ont dit : "On y croit." À moi. À la radio. À ce foutu rêve né dans une pièce de même pas 10 m². Il y a eu ces matins où les factures semblaient plus menaçantes que le dernier astéroïde qui a tué tous les dinos, ces nuits où même l’insomnie avait honte de me tenir compagnie. Et puis il y a les autres. Ceux qui dès le départ avaient tout compris (soi-disant) : "À Forbach ? Une radio locale ? Tu perds ton temps." Ceux-là, ils ne m’ont pas freiné. Ils m’ont donné une putain de raison de continuer. De me former à distance, avec les moyens du bord. De devenir animateur radio, par persévérance. D'apprendre à poser les bonnes questions, à tendre le micro au bon moment et à faire parler ceux qu'on n'entend jamais. Il y a eu des nuits blanches. Des moments où je me suis demandé si c'était pas un délire de trop. Et puis il y a eu ces sourires, ces interviews imprévues, ces invités qui repartent avec des étoiles dans les yeux après avoir parlé dans un micro pour la première fois. Alors non, je ne suis pas arrivé au bout. Mais aujourd’hui je me relève. Pas en costard-cravate. Mais debout, droit, micro en main. Être à genoux, c'est une chose. Y rester, c'est une autre histoire. À tous ceux qui hésitent encore à se relever, sachez ceci : même dans la pire des villes ou le pire des scénarios, les rêves méritent toujours qu'on se batte pour eux. Le succès n’est rien d’autre qu’une vengeance froide servie aux incrédules. Parce que FOR’FM, c’est la preuve vivante que si tu tombes à genoux, c’est juste pour mieux reprendre appui. Et que dans cette ville qu’on dit morte, il y a encore des cœurs qui battent. Fort. Et moi ? Je veux battre avec eux. Parce qu’il faut continuer de croire en ses rêves, même si ça fait mal qu'ils n'aboutissent pas encore. Surtout quand ils font mal. Je continuerai à croire en l'avenir parce que malgré tout, je sens enfin que l’espoir et l’épanouissement ne sont plus des mots vides mais une réalité palpable. Alors à ceux qui rêvent encore et doutent beaucoup trop : relevez-vous, battez-vous et surtout, souriez à ceux qui attendent encore votre chute. Et maintenant ? On reprend l’antenne. Parce que la voix de Forbach ne s’éteindra pas tant qu’il y aura quelqu’un pour y croire. Et moi, j’y crois. Encore. Toujours. Même si ça tremble et qu'il y aura encore des fin de mois qui tiennent sur une jambe. Parce que FOR’FM, c’est pas juste une radio. C’est un combat. Un cri. Une promesse que je me suis faite. Et je suis pas prêt de me taire. David SCHMIDT Read the full article
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Abdah Griffete
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Abdah Griffete, jeune cadre bancaire de Forbach, a officiellement lancé sa candidature aux élections municipales de 2026, devenant ainsi le premier à se déclarer dans la course. Sa campagne, dévoilée le 16 mai 2025, marque l'entrée d'un visage neuf et dynamique dans le paysage politique local. Âgé d'une trentaine d'années, Abdah Griffete est directeur d'agence SG de Forbach. Bien qu'il soit novice en politique, il n'est pas étranger à l'engagement local. Depuis quatre ans, il prépare minutieusement sa candidature, démontrant une détermination et une rigueur remarquables. En tant que président du CEM Forbach, un réseau d'entrepreneurs, Abdah a su fédérer les forces vives de la région. Sous sa direction, le réseau a généré un chiffre d'affaires d'un million d'euros en une année, illustrant sa capacité à dynamiser l'économie locale. La campagne s'annonce donc compétitive, avec la possibilité de voir s'affronter des candidats de divers horizons politiques. Bien que les détails de son programme restent à venir, Abdah Griffete promet une campagne transparente et participative. Il souhaite impliquer les Forbachois dans l'élaboration de solutions concrètes pour améliorer la vie quotidienne dans la commune. Pour suivre l'évolution de sa campagne et en savoir plus sur ses engagements, vous pouvez consulter les publications sur : https://forfm.fr/elections-municipales-2026/ David SCHMIDT Read the full article
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Votre monde de demain, c'est vous qui en avez le contrôle !
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Observons froidement la vérité. Votre monde de demain dépend davantage de vos choix quotidiens. On aime se plaindre, c’est humain, c’est presque devenu une seconde nature. Le travail est épuisant, la cohésion sociale inexistante, l’avenir incertain. Mais une chose reste étonnamment stable, notre tendance chronique à éviter de regarder nos propres responsabilités en face. Prenons un instant pour sonder la noirceur ambiante. Combien d'entre nous vivent par procuration, noyés dans les envies et réussites des autres sur les réseaux sociaux, sans jamais se poser la seule question réellement pertinente : « Est-ce cela que je veux vraiment pour moi ? ». On court après des objectifs dictés par l'extérieur, rarement alignés avec ce que l’on souhaite profondément, car il est plus facile d’envier le voisin que de définir clairement nos propres ambitions. La réalité est brutale. Vos amis, vos choix, votre entourage façonnent ce que vous devenez. Si vos amis ne vous inspirent pas, c’est peut-être parce que vous les avez choisis pour cette médiocrité rassurante qui vous dispense d’évoluer. On finit par ressembler à ceux avec qui on partage notre temps, notre énergie, nos rêves. Alors, posez-vous franchement la question : voulez-vous ressembler à ces personnes qui hantent votre quotidien ? Si la réponse est négative, il est peut-être temps de faire un ménage nécessaire, aussi douloureux soit-il. Chaque décision, même la plus banale, porte en elle le germe du futur que vous construisez. Alors pourquoi agir dans la précipitation, sans réflexion ? Pourquoi préférer juger hâtivement les autres plutôt que de s’attarder sur ses propres défaillances ? Critiquer est tellement plus simple que d'agir. Se plaindre est infiniment plus confortable que de changer. Le changement commence par une prise de conscience inconfortable. Personne ne viendra vous sauver de votre propre inertie. Vous êtes maître de votre destin, architecte exclusif de votre bonheur ou de votre échec. Cherchez en vous-même les solutions, creusez là où ça fait mal. C’est précisément là que se trouve la voie vers l’épanouissement. Plutôt que de sombrer dans un doute perpétuel, pourquoi ne pas explorer concrètement ce qui pourrait transformer votre quotidien ? Investissez du temps pour vous connaître, pour identifier clairement vos désirs profonds et réalistes, au lieu de fantasmer sur une vie empruntée à d’autres. La société actuelle vous offre paradoxalement toutes les cartes. Un accès illimité à l’information, liberté de choix, possibilités d'évolution personnelle sans précédent. Alors saisissez-les. Arrêtez d’être spectateur de votre existence, ne vous contentez plus d’un rôle passif devant l’écran de votre vie. Le monde de demain ne sera lumineux que si vous acceptez de plonger aujourd’hui dans vos propres ombres. Sans cela, ne vous étonnez pas si demain vous ressemble tristement à hier. David SCHMIDT Read the full article
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Ahmed Al-Charaa à l'Élysée : Macron trinque avec le sang des innocents
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Ce mercredi 7 mai restera gravé dans nos mémoires comme le jour où notre cher Président Emmanuel Macron a déroulé le tapis rouge de l'Élysée à Ahmed Al-Charaa, ancien chef djihadiste devenu dirigeant syrien. Quelle splendide manière de célébrer notre héritage humaniste ! Ce sinistre et abject personnage, qui après avoir troqué sa kalachnikov contre un costume Armani, continue de patauger avec délice dans le sang des Alaouites, Druzes et Kurdes. Ce même Ahmed Al-Charaa qui se réjouissait des morts de l’attaque du Bataclan. Cette pourriture a exprimé une complaisance immonde pour des actes terroristes qui ont bouleversé à jamais notre pays. Dois-je vous rappeler ce qui a fait bander ce cafard nommé Ahmed Al-Charaa ? Depuis 2012, la France a subi une cinquantaine d’attentats islamistes, parmi lesquels celui contre Charlie Hebdo et celui du 13 novembre 2015, visant le Stade de France, le Bataclan, et les cafés des 10e et 11e arrondissements de Paris... Cet homme s’en est réjoui, et il est aujourd’hui invité à l’Élysée par notre déchet national : Emmanuel Macron ? La France, pays des Droits de l’Homme… Honte et hypocrisie. On invite à l’Élysée ceux qui ont les mains dégoulinantes de sang ! Pendant ce temps-là, les Alaouites, cette communauté paisible, exemplaire, et parfaitement intégrée en France, se font massacrer par milliers dans leur pays d’origine. Des milliers de vies arrachées par un régime fanatique. Plus de 7 000 morts, selon mes contacts. Car oui, j’ai des amis syriens, et je les défendrai jusqu’au bout !La version des médias mainstream est édulcorée : ils vous balancent des chiffres sortis tout droit de… Daesh ? Les rares journalistes encore présents en Syrie, qui se cachent par peur d’être exécutés,  avancent des chiffres bien plus alarmants, rien que pour le mois de mars dernier. Mais après tout, pourquoi s’embarrasser de ces « détails » insignifiants, quand on peut trinquer à la démocratie avec celui qui a « gentiment » renversé Bachar Al-Assad pour mieux instaurer l’âge d’or du voile obligatoire ? Parce qu’apparemment, l’émancipation selon le nouveau régime syrien, c’est forcer les femmes à se cacher entièrement, sous peine d’exécution pour un cheveu trop rebelle. Un cheveu qui dépasse ? Une balle dans la tête ! Voilà le genre de "libération" que célèbre aujourd’hui notre Élysée, avec champagne et petits fours. Notre Jupiter national a tout de même fait preuve d'une fermeté admirable... en priant poliment M. Al-Charaa de bien vouloir "assurer la protection de tous les Syriens, sans exception" et de "poursuivre les auteurs des récentes violences". Quelle ironie cruelle ! Demander au pyromane de jouer les pompiers, au bourreau de rendre justice. Oui oui, le même homme qui vient tout juste de massacrer sa population devrait soudainement devenir le garant exemplaire de la justice universelle ? On imagine déjà l'efficacité redoutable de cette politique. Macron a même proposé à l’Union européenne de "sanctionner systématiquement les auteurs de ces crimes". Voilà qui est rassurant : après avoir dégusté des petits fours à l’Élysée, le bourreau syrien recevra peut-être, au pire, une tape sur les doigts ou une lettre sévère… accompagnée d’un émoji "colère". 😠 Un tweet menaçant ou une carte postale "pas content" suffiront-ils à effrayer ceux qui décapitent et torturent à tour de bras ? Certainement pas. Chers compatriotes, soyons fiers : grâce à Emmanuel Macron, la France prouve une fois de plus qu’elle reste fidèle à sa grande tradition d’hypocrisie diplomatique. Pendant que les Alaouites, les Druzes et les Kurdes enterrent leurs morts, nous, nous sabrons le champagne avec leurs assassins. Peuple syrien, vous n’êtes pas seuls dans votre souffrance.Aux femmes syriennes contraintes de vivre dans l’obscurité du voile obligatoire, nous, citoyens de France, nous vous adressons notre soutien le plus sincère. Vous méritez bien mieux que ces tyrans sanguinaires qui tentent de vous briser. La France vous tourne peut-être le dos, mais sachez que nous, citoyens français, refusons d’être complices de cette mascarade sanglante. Quant à vous, Ahmed Al-Charaa, puisse l’Histoire se souvenir de vous pour ce que vous êtes vraiment : un assassin déguisé en diplomate, un terroriste maquillé en chef d’État.Puissent les cris de vos victimes hanter chacune de vos nuits jusqu’à la fin de votre misérable existence. Liberté, égalité, complicité ?Bienvenue en République de France. David SCHMIDT Read the full article
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ALERTE : On n'y croyait pas non plus, mais on est officiellement célèbres !
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Eh oui, notre cher Musée des Mines de Charbon, que certains confondent encore avec un décor de "Germinal", vient d'être sélectionné pour participer au concours du « Monument préféré des Français 2025 » sur France 3. Non, ce n'est pas une blague, promis ! On vous jure, on a vérifié : ce n’est pas un canular orchestré par les mineurs ! Après des années à expliquer aux visiteurs que non, il n'y a plus de charbon gratuit à l'entrée en vrac pour les barbecues et que oui, le casque jaune est bien obligatoire pour une visite nocturne, notre patrimoine minier est enfin sous les projecteurs (et ce coup-ci pas ceux des casques, promis). Même Stéphane Bern, notre grand spécialiste national des vieilles pierres, en est tombé de sa chaise Louis XV en apprenant la nouvelle ! Mais attention, la bataille sera rude ! Chaque région choisit un seul monument, c’est donc à VOUS de jouer ! On a besoin de votre clic pour passer cette première étape, sinon on va devoir retourner à notre gloire locale ! (comprendre : raconter nos histoires de mineurs aux mêmes visiteurs chaque année). Les votes sont ouverts jusqu'au vendredi 23 mai 2025 à 23h59 précises ! Oui, c’est précis comme une fin de journée au fond, pile à l'heure où Mamie demande pourquoi on ne remonte toujours pas de la mine ! On compte sur vous pour voter massivement, parce que sans votre soutien, on devra retourner à notre activité principale : discuter poussière de charbon avec un guide que Mamie veux ramener chez elle. Votez dès maintenant ici : https://participez.france.tv/quiz/1599369_56/monument-prefere-2025.html Et n'hésitez pas à partager comme jamais, quitte à spammer votre famille, vos amis et même votre dentiste (il ne peut que vous en vouloir). Partagez direct sur Facebook : https://www.facebook.com/share/p/1BwTihqC9X/ Merci à tous ! Avec votre aide, on va enfin pouvoir dire que notre musée, c’est pas juste "du charbon sous vitrine", c'est LE monument préféré des Français ! THE PLACE TO BE en 2025 ! David SCHMIDT   Read the full article
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Forbach, Municipales 2026
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Municipales 2026 : Plus d'écoute et moins de clashs, s'il vous plaît ! « Oui, messieurs/mesdames les candidats pour 2026, sachez que les polémiques stériles et les combats de coqs, on en a vraiment ras-le-bol. Ce que veulent les habitants, c'est de l'exemplarité, de la présence, du soutient et surtout qu'on nous écoutent. » Ce pays est devenu un champ de ruines sociales. Alors pour une fois, pourrait-on zapper les clashs de bac à sable et s'intéresser sérieusement à ce que veulent les habitants ? Pas d'un pays en ruine où le peuple ramasse les miettes de leurs rêves brisés. Cette déconnexion entre les politiques et ceux qui subissent est devenue obscène. La démocratie locale ne se résume pas à un logo, une campagne ou une poignée de main avec les habitants. Elle se construit avec du respect, de la présence et surtout une écoute sincère des doléances, pas des likes sur les réseaux. Les citoyens galèrent pour payer le loyer, remplir le frigo et garder la tête hors de l’eau ... Gardez cela dans vos têtes ! Si vous continuez à jouer aux aveugles et aux sourds, vous risquez une explosion citoyenne comme vous n'en avez jamais vue. La colère gronde, elle monte chaque jour dans les foyers noyés par l'indifférence. Les gens n’attendent plus rien et c’est ça le plus dangereux. Un peuple qui espère peut être entendu. Mais un peuple qui n’espère plus, c’est un peuple prêt à tout brûler pour qu’on entende enfin son silence. Il serait grand temps de lâcher Instagram et Facebook pour aller serrer des vraies mains, celles des gens qui attendent désespérément qu'on écoute leurs galères du quotidien. Vous savez, ces citoyens qui voient leur facture exploser plus vite que leur salaire, ceux pour qui remplir le frigo est devenu un sport extrême et ceux qui évitent d’aller gratter les aides comme une honte nationale. Oui la vraie France, celle qui ne fait pas de buzz mais celle qui n'a plus confiance ! Ce n’est d'ailleurs plus une crise de confiance, c’est une rupture nationale. Les citoyens ne croient plus aux discours bien lissés des professionnels de la promesse. Ils veulent des actes, pas des slogans. Et tant qu’on continuera à les ignorer, ils continueront à s’éloigner des urnes ou pire, à vouloir faire exploser le système de l’intérieur. Pendant ce temps, la France d'en bas, celle que tout le monde adore invoquer pour les voix aux urnes, mais que personne n'écoute vraiment, continue d’encaisser sans broncher. Enfin presque, parce que maintenant la cocotte-minute pourrait bien exploser. Le peuple ne demande pas la lune, il demande juste à vivre. Et pourtant, il doit se battre pour exister, pour survivre. Quand la politique devient un spectacle, il ne reste plus que la colère pour se faire entendre. Les candidats/candidates ont désormais un seul défi : rassembler, mais sans oublier que la plupart d'entre nous sommes déjà lassés. Et ce n’est pas en calquant le discours déjà bien chargé en déprime et en polémiques stériles qu'ils regagneront notre confiance.
Alors n’oubliez pas le plus important : le peuple.
Quand on regarde la politique nationale, on se dit déjà: - Aujourd’hui, la fracture sociale n’est plus un fossé : c’est un canyon. D’un côté, une élite politique perchée sur ses certitudes, ses petits calculs et ses selfies de terrain ; de l’autre, une population exaspérée, oubliée, qu’on traite comme un chiffre dans un sondage ou un pion sur une carte électorale. On est déjà assez divisés par la météo, les débats foot et la guerre des pizzas jambon/fromage contre les  margaritas. Alors s’il vous plaît, ne rajoutez pas une couche avec vos guéguerres municipales. Messieurs/Mesdames les candidats, prenez garde, car à force de mépris et de paroles creuses, vous transformez doucement notre démocratie locale en poudrière. La colère populaire n’est pas une menace, c’est une alerte. Un signal rouge qui clignote dans le brouillard de l’indifférence. Si personne ne la prend au sérieux, elle finira par tout renverser et ce ne sera ni beau, ni contrôlable. Cette élection devrait nous unir autour de projets concrets, d’initiatives locales et surtout d’une convivialité retrouvée. Parce que la vraie politique, celle qu'on mérite, c'est d'abord une affaire de cœur, de solidarité et pourquoi pas, d’un peu d’amitié. Bref, moins de buzz, plus d’action et si possible, un zeste d’amour pour Forbach et son peuple, pour ne pas oublier qu’au final, on est tous ensemble dans cette galère qu'on appelle joliment « démocratie locale ». David SCHMIDT Read the full article
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À Forbach, comment retrouver de l'estime de soi ?
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Soyons francs deux secondes : - Si l'estime de soi était vendue en magasin, certains auraient déjà dévalisé les rayons pour la revendre à prix d’or sur Leboncoin.fr ! Mais la confiance en soi, ça ne s'achète pas et c'est bien dommage parce que visiblement, on serait nombreux à en avoir cruellement besoin ! Tu sais, après avoir participé à un atelier, j'adresse d’ailleurs un grand merci Christelle Robin pour ce Webinaire « Estime de Soi »  (un truc très tendance en ce moment, presque autant que de poster des selfies à la salle de sport sans avoir transpirer), j’ai compris un truc fondamental : - Nous passons notre temps à nous juger sévèrement, alors que franchement, les autres le font déjà très bien à notre place ! Pourquoi en rajouter ? Sérieusement, t’as vu qui nous juge ? - Souvent des gens dont la vie est tellement en chantier qu’ils devraient porter un casque de sécurité quand il parle vraiment de leur vie. - Alors pourquoi écouter ces génies du mal-être, ces champions olympiques du « je te rabaisse pour me sentir mieux » ? - Soyons réalistes, ces gens-là n'ont du pouvoir sur toi que si tu le leur donnes. S'ils passent leur temps à juger, c’est sans doute parce que leur vie ressemble à une série Netflix que personne ne regarderait. Pendant ce temps, toi tu es là à laisser ton scénario personnel être réécrit par leurs commentaires. STOP Putain ! Personne ne va écrire mieux ton histoire que toi-même, même si parfois, ça ressemble à un brouillon bourré de ratures. Soyons clairs, personne ne fera mieux les choix à ta place. Pas même tes proches amis ou famille qui pense encore que ton projet de monter une entreprise équivaut à vouloir devenir astronaute sans fusée. Tu rêves d'entreprendre, de changer de métier ou d'oser quelque chose de nouveau ? Fais-le ! Et si ça foire, t’auras au moins une super histoire à raconter en soirée et de belles cicatrices à montrer à tes potes pessimistes (tu sais ceux qui te disaient « c’est impossible » depuis leur canapé). L'optimisme à tout prix, c’est la nouvelle religion. On te répète partout que tu dois croire en toi, t'aimer toi-même, te motiver devant ton miroir chaque matin, même si ta tête a clairement décidé d’ignorer tes bonnes résolutions. L’auto-estime, c'est un peu cette personne trop enthousiaste qui danse seule au milieu d’une piste vide, ridicule mais étrangement c'est admirable et c'est courageux. La vérité c’est que l’échec n’existe pas vraiment, sauf pour ceux qui ne tentent jamais rien. La vie pro en France, oui c'est compliqué. Mais franchement, baisser les bras serait encore pire que d’écouter ton voisin qui te conseille sur ta vie amoureuse alors qu'il est célibataire depuis la nuit des temps. La vraie beauté de l’estime de soi, c’est d’être conscient que tu es le seul responsable de ton bonheur. Fini le bon vieux temps où tu pouvais tranquillement accuser tes amis ou même ton chat d’avoir saboté ta vie. Aujourd'hui tu es ton propre coupable idéal et franchement, on adore l’idée de pouvoir enfin se disputer seul devant un miroir sans jamais perdre un débat. Cette positivité t'oblige parfois à sourire même quand tu viens de te prends un mur en pleine face. Quitte à échouer, autant le faire avec une confiance totalement déraisonnable de soi-même, c’est beaucoup plus drôle pour la suite. L'Estime de soi, même quand t'y crois pas, fais semblant ça fera toujours rire quelqu'un. C’est un peu comme applaudir à la fin d’un mauvais spectacle scolaire. Tout le monde sait que c'était médiocre, mais bon, on applaudit quand même parce que c'est la règle du jeu. Avec l’estime de soi, c'est pareil, personne n'y croit vraiment mais on continue à faire semblant pour garder les apparences. Parce qu'après tout, l'estime de soi, c'est pratique, même si tu rates tout ce que tu entreprends, tu peux dire avec assurance que tu as réussi à avoir confiance en toi pendant l’échec. Ça sonne tellement mieux devant ton psy ou tes amis que d’avouer franchement que t’avais autant confiance en toi qu’un vegan à une fête du barbecue. Bref, même si tu n’y crois pas, l’estime de soi reste ta meilleure mauvaise idée ! Souris, agis avec confiance, rate avec panache, et souviens-toi que si la vie ne te sourit pas, au moins tu pourras toujours rire de ta connerie. Alors, relève-toi, secoue la poussière de tes genoux éraflés par la vie et dis-toi une bonne fois pour toutes : « Je suis maître de mon destin, capitaine de mon navire et personne n'aura mieux les commandes que moi ! » Surtout pas ceux qui rament déjà à bord de leur propre Titanic personnel ... Cordialement, David SCHMIDT, un être qui a décidé de rester heureux même si le monde s'écroule ! Read the full article
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Parole aux Citoyens: Ép.3- Interview avec Medhi, représentant syndical
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📍 Carrefour Forbach : la grève de samedi 19 avril 2025. 🎙️ Interview exclusive avec Medhi Depuis plusieurs semaines, le climat social se tend au Carrefour de Forbach. En cause : les conséquences ressenties sur le terrain depuis la fusion entre Carrefour et Cora. Réorganisations internes, surcharge de travail, perte de repères et manque de dialogue avec la direction… Les salariés tirent la sonnette d’alarme. FOR’FM a rencontré Medhi, représentant syndical au sein du magasin, pour une interview sans filtre. « Les équipes sont fatiguées, on nous demande toujours plus avec moins de moyens. La fusion a accentué cette pression. » Selon lui, de nombreux changements ont été opérés depuis l’intégration de Cora, sans réelle concertation. Les employés font face à de nouvelles méthodes de gestion, des suppressions de postes non remplaçées, et une charge mentale croissante. La crainte d’une casse sociale est bien présente. « On ne se bat pas seulement pour des salaires, on se bat pour la dignité au travail, pour la reconnaissance. » Une grève est actuellement à l’étude. Aucune date officielle n’a encore été annoncée, mais une mobilisation pourrait survenir si le dialogue avec la direction ne reprend pas rapidement. 🎧 Écoutez l’interview complète de Medhi dès maintenant sur notre podcast FOR’FM : 🔗 💬 Vous travaillez dans la grande distribution à Forbach ou alentours ? Vous êtes client et vous souhaitez réagir ? ➡️ Laissez votre témoignage ou vos commentaires directement sous cet article. 📻 Écoutez dès maintenant « Parole aux Citoyens » sur notre site et nos plateformes de streaming !🎧 #CarrefourForbach #Grève #FusionCora #Syndicat #Podcast #Forbach #FORFM #Travail #Témoignage Read the full article
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Découvrez Web’Redact de Forbach
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Dans un univers où chaque clic compte, se démarquer en ligne n’est plus une option, c’est une nécessité. C’est pour répondre à ce défi que Web’Redact voit le jour : une agence web née de la passion du code et du pouvoir des mots, qui accompagne les entreprises et les indépendants vers la réussite digitale. De la genèse à l’ambition Fondée en 2025 par un expert venus d’horizons complémentaires, un développeur chevronné et un rédactreur SEO passionnée, Web’Redact a pour ambition de rompre avec le traditionnel. Trop souvent, la technique et le contenu évoluent séparément, diluant l’impact des messages et la performance des sites. Notre conviction ? C’est en faisant dialoguer étroitement le design, la structure technique et la stratégie éditoriale que se construit un écosystème web solide. Une offre tout‑en‑un adaptée à vos besoins 1. Création de sites web sur‑mesure Nous élaborons des plateformes esthétiques et intuitives, parfaitement calibrées pour votre cible et vos objectifs métiers. De la maquette au déploiement final, chaque étape est pensée pour offrir une expérience utilisateur fluide, responsive et évolutive. 2. Rédaction de contenus optimisés Pages de présentation, articles de blog ou fiches produits : nos rédacteurs travaillent à la fois la forme et le fond. Objectif ? Captiver votre audience, améliorer votre référencement naturel et transformer chaque visiteur en client potentiel. 3. Articles à la pige et expertise thématique Besoin d’un angle d’analyse pointu ou d’une plume experte pour votre média en ligne ? Notre réseau de journalistes freelances prend en charge la rédaction d’articles spécialisés, reportages ou interviews, avec rigueur et créativité. Le secret d’un succès durable Le succès en ligne ne naît pas du hasard. Il repose sur trois piliers indissociables : - Stratégie claire : définir vos objectifs et mesurer les résultats. - Contenu de qualité : apporter une réelle valeur ajoutée à vos lecteurs. - Expérience utilisateur impeccable : garantir un parcours fluide et engageant. Chez Web’Redact, nous orchestrons la synergie de ces éléments pour propulser votre visibilité et renforcer votre crédibilité. Pourquoi choisir Web’Redact ? - Gain de temps : un seul interlocuteur pour l’ensemble de vos besoins. - Qualité et réactivité : exigence, créativité et respect des délais. - Accompagnement pérenne : maintenance, suivi SEO et ajustements continus. Prêt à relever le défi ? Passez à l’étape supérieure et offrez-vous une présence en ligne qui fait la différence. Contactez-nous dès aujourd’hui : www.webredact.fr Web’Redact, la rencontre du design, de la technique et de la plume pour écrire votre succès digital. David SCHMIDT Read the full article
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La pauvreté aspire votre dignité, votre humanité et même la volonté de survivre
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Bienvenue dans la fosse aux oubliés
À Forbach, la pauvreté que j'ai vu chez des habitants, amis et dans mon existence actuelle, n’est pas seulement une réalité. Elle est devenue le quotidien des âmes qui s'effondrent dans le noir le plus total. Un carnaval morbide qui refuse obstinément de s'arrêter. Ici la pauvreté n’est pas une condition, elle est une sentence, définitive, impitoyable. Une ville où chaque rue est un chemin vers l’enfer et où chaque visage porte les cicatrices invisibles d'une existence brisée. La pauvreté s’insinue partout, elle ronge votre vie entière comme une maladie incurable qui vous laisse à genoux, impuissant et humilié devant ceux qui vous regardent sombrer dans l’indifférence. Quand les factures arrivent, c'est une gifle brutale, un rappel cruel que même survivre coûte trop cher et impose un choix cruel ; manger ou survivre. On se prive, on se tait, on fait semblant que tout va bien. Un mensonge pathétique qu’on répète tous les jours jusqu’à ce qu'on finisse par y croire. Et puis viennent les émotions sales, celles qu'on ne contrôle plus; la honte brûlante, la colère sourde, la peur glaciale, l’infériorité cruelle qui fait baisser la tête face à ceux qui vous méprisent ouvertement ou silencieusement. On réduit souvent la pauvreté à une histoire d'argent, comme si quelques billets suffisaient à réparer les ravages qu’elle inflige quotidiennement. La pauvreté infecte tout ce qu’elle touche. Elle pourrit chaque instant de vie, anéantit chaque espoir, chaque rêve, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. Alors on se prive de nourriture, on se prive de dignité, on se prive même de l’idée d’un lendemain meilleur. On accepte la faim comme une vieille amie indésirable. La honte devient votre seule compagne, une honte si profonde qu'elle finit par définir qui vous êtes, une honte que vous portez constamment comme un vêtement souillé que vous ne pouvez jamais enlever. Vous avez besoin d’aide ? Vous osez encore espérer ? Vous vous abaissez à mendier devant ceux qui détiennent les miettes de votre survie ?  Opposez-vous à eux et vous serez abandonné, rejeté dans l'obscurité encore plus noire que celle que vous connaissez déjà. Ou alors préparez-vous à devenir leur esclave docile, silencieux, soumis. Un mot de travers et vous perdez tout. Vous êtes leur jouet, leur ombre sans consistance, transparent comme les fantômes errant. Personne ne vous voit, personne ne vous entend parce que personne ne veut vraiment vous voir ou vous entendre. L’État, les institutions, la société toute entière ... Tous complices silencieux d'une maltraitance sociale organisée, bien cachée derrière de faux sourires administratifs. On vous juge, on vous classe, on vous broie dans la machine bureaucratique froide, impersonnelle et implacable. Vous n’êtes plus humain, juste un numéro à gérer, une statistique gênante qu’on espère effacer rapidement. Même vos proches finissent par disparaître. Amis, voisins, famille, ils s'éloignent tous quand la misère frappe à votre porte. Ils s’échappent comme s’ils avaient peur d’être contaminés et ils n’ont pas tort. La pauvreté est contagieuse, elle se propage dans un engrenage infernal, sans échappatoire possible. Ils fuient la pauvreté comme on fuit une maladie incurable. Ils vous abandonnent, vous laissent sombrer seul dans cette spirale infernale qui vous aspire chaque jour un peu plus profondément dans l’abîme. Peu à peu, vous perdez tout contact, vous devenez invisible, inexistant. Personne ne veut porter votre misère, personne ne veut entendre votre souffrance. À Forbach, la pauvreté est plus qu’un fléau. C’est un destin scellé, une condamnation perpétuelle à l'exclusion, à la solitude, à la souffrance sans fin. Si vous êtes pauvres ici, cessez d’espérer et mettez fin à vos jours. Regardez autour de vous : votre avenir est déjà mort, enterré sous les décombres d'une société qui n'en a strictement rien à faire de vous. Voyez votre ville comme un immense cimetière, rempli de vivants morts intérieurement, attendant simplement la fin. Bienvenue dans le néant. David SCHMIDT, plus que deux mois de chômage et tout sera fini. Plus de serveurs informatiques, plus de FOR'FM, plus de sites web... Plus de dignité. Deux années passées à chercher du travail et à espérer en vain, à être humilier pour rien. Aujourd'hui, j'abandonne. Je suis à bout. Il ne restera que cette chaîne YouTube et ces réseaux sociaux, simples vestiges d'une bataille perdue d'avance, preuves dérisoires qu'un jour quelqu'un a tenté de s'en sortir, avant d'être broyé, anéanti, rattrapé impitoyablement par la réalité brutale de la vie. Read the full article
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Forbach : Vivre dans le passé est le seul avenir rassurant !
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Le futur ! Cette merveilleuse chose pleine de robots serviables, de voitures volantes et d'apocalypse climatique. Le futur, il paraît que c’est là-bas que tout va se passer. Personnellement, j'ai opté pour le passé. Oui, ce bon vieux temps où l'on savait être heureux sans avoir à publier nos plats sur Instagram ni vérifier nos sms à minuit. Quel bonheur c'était hier ! Enfin, pas exactement hier, mais plutôt une vague de hier que personne ne sait vraiment dater précisément, mais qui était forcément mieux qu'aujourd'hui. Nous sommes nombreux à avoir choisi ce magnifique refuge qu'est le passé, car le futur semble terrifiant, le présent insupportable et l'époque actuelle complètement dépassée. Aujourd’hui, le futur nous terrorise tellement que nous préférons passer nos journées à regarder nostalgiquement en arrière, regrettant ces temps jadis où la plus grande angoisse était de rater son épisode préféré à la télévision parce qu'il fallait aller dîner en famille. Étrangement, c’était ça, le bonheur ! Autrefois les choses étaient plus simples, pas de notifications permanentes, pas de défis absurdes lancés sur TikTok par des ados de 13 ans plus riches et plus célèbres que nous, pas de selfies filtrés montrant des vies parfaitement fausses mais idéalement enviables. Nous avions des choses tellement plus intéressantes à faire, comme attendre qu'une page internet charge pendant cinq minutes, ou rebobiner nos cassettes avec un crayon. La nostalgie était alors une activité saine, ponctuée par des regrets légers du type « mince, j'aurais dû enregistrer ce film » plutôt que « j'ai probablement raté toute mon existence ». Aujourd'hui avouons-le, la seule compétence vraiment requise pour survivre semble être la capacité à gérer une anxiété constante face à l'avenir incertain. Oui cher lecteur, bienvenue dans cette époque où tout est rapide sauf nos réalisations personnelles, où la peur de rater sa vie commence étrangement vers l'âge de 14 ans et se termine probablement au moment où l'on oublie même de se demander si on a vraiment vécu. Nous sommes spécialiste incontesté du gaspillage temporel. Le passé est un bon endroit. Pas parce qu'il était objectivement merveilleux, mais parce qu'il est fini, verrouillé, immobile comme une photo jaunie qu’on peut observer sans risques. Nous nous lamentons avec passion sur ce que nous n'avons pas vécu, tout en étant incapables de supporter ce que nous vivons actuellement. Prenons un instant pour compatir avec ceux qui, comme moi, pensent avoir gaspillé leur adolescence enfermés dans leur chambre, fascinés par des mondes virtuels, espérant naïvement que la vraie vie attendrait gentiment dehors, le temps qu'on se décide à sortir. Résultat, nous voilà aujourd'hui des adultes perdus, à mi-chemin entre nostalgie maladive et angoisse du lendemain, obsédés par le fait que chaque minute écoulée sans accomplissement est un gaspillage irrattrapable. Mais voyons le bon côté des choses, si tout le monde autour de nous semble avoir réussi, c'est simplement que les réseaux sociaux ont parfaitement réussi leur boulot de maquillage existentiel. Derrière ces sourires Instagram, ces vacances paradisiaques se cachent probablement des crises existentielles aussi profondes que les nôtres, mais mieux photographiées. Alors, quel est l'intérêt de faire quoi que ce soit si nous allons tous mourir un jour ? Soyons clairs, aujourd'hui est abominable, demain sera pire ! La vérité, c’est que nous ne vivons plus vraiment. Nous nous contentons de passer d’une crise d’angoisse à une autre, obsédés par l'idée que chaque décision prise est une erreur irrémédiable qui nous éloigne toujours plus d'une quelconque forme de bonheur. Le monde actuel et sa technologie envahissante, ses exigences absurdes et son hypocrisie sociale permanente est une prison qui nous contraint à une solitude toujours plus sombre. Rire un peu de notre propre tragédie humaine, partager une ou deux bonnes blagues cyniques avec un ami tout aussi perdu, ou simplement pour savourer un café chaud pendant qu'il est encore temps. Après tout si le passé nous semble tellement plus séduisant, c'est sans doute parce qu'on sait exactement comment il se termine. Et ça, dans notre époque où même l'avenir est incertain, c'est déjà pas mal. "L'avenir nous tourmente, le passé nous retient, c'est pour cela que le présent nous échappe." Gustave Flaubert David SCHMIDT Read the full article
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Forbaction.fr : l’entraide au cœur de Forbach
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Forbaction.fr, c’est la plateforme en ligne dédiée à l’entraide et à la solidarité pour tous les habitants de Forbach et des environs. Notre objectif ? Faciliter les échanges, les services et le partage, afin de créer un véritable réseau d’entraide citoyenne. Qu’est-ce que vous y trouverez ? Des services et savoir-faire : Bricolage, jardinage, dépannage informatique, etc. Des dons et partages : Objets, vêtements, livres… pour donner une seconde vie à vos affaires. De la solidarité alimentaire : Propositions de paniers, échanges de repas, aide pour les produits de première nécessité. Des aides humaines et sociales : Soutien, accompagnement, garde d’enfant, visites de courtoisie, etc. Des initiatives locales : Projets de quartier, événements solidaires, ateliers créatifs… Pourquoi Forbaction.fr ? Se sentir moins seul : Trouver ou proposer de l’aide en quelques clics. Créer du lien : Renforcer la cohésion entre voisins et habitants. Gagner du temps et économiser : Échanger services et biens au lieu d’acheter. Faire vivre la solidarité locale : Aider les plus vulnérables, partager sans condition. Comment ça marche ? Inscrivez-vous en quelques minutes, Publiez un ticket (une annonce) pour demander ou proposer un service, Échangez directement avec les membres intéressés, Clôturez le ticket une fois la demande satisfaite ou l’objet donné. Envie d’agir et de faire la différence autour de vous ?Rendez-vous sur Forbaction.fr et rejoignez la communauté d’entraide qui fait de Forbach une ville plus solidaire et plus chaleureuse que jamais. Read the full article
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Je suis Blogueur, plus journaliste
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Avant, j'étais journaliste ... enfin, c'est ce que je croyais. J'écrivais mes articles en respectant les sacro-saintes règles du : "Qui ? Quoi ? Quand ? Où ? Pourquoi ?", comme un bon petit soldat de l'information. J'avais la posture, le ton neutre, l'envie de "relater les faits" sans y mettre mon grain de sel. Et puis un jour, j'ai compris que tout ça, c'était une vaste blague. D.S. : Le journalisme en France, c’est devenu quoi ? Un défilé de perroquets qui répètent les dépêches AFP en se disputant pour savoir qui sera le plus politiquement correct. On ne cherche plus à informer, on cherche à ne froisser personne. Le journaliste d'aujourd’hui, c’est un équilibriste sur un fil tendu entre la bien-pensance et l’auto-censure. Un être lisse et sans aspérités à qui on a retiré le droit de penser. Alors moi, j’ai dit STOP. À partir d’aujourd’hui, je ne suis plus journaliste. Je suis blogueur. Quelle différence ? Le journaliste te dit : "Les faits sont là, à toi de te faire une opinion."Le blogueur te dit : "Les faits sont là, et voici pourquoi ils me font vomir." Le journaliste essaie d’être objectif, sauf qu’il bosse pour un média qui appartient à un milliardaire ou dépend des subventions d’un gouvernement. Le blogueur a que sa plume et son honnêteté. Et il s’en fout si ça dérange. Bien sûr, il faut une carte de presse pour avoir le droit de bosser, on va la garder histoire que la bien-pensance te prenne un minimum au sérieux. Moi, je suis libre. Et ça vaut tous les cartes de presse du monde. Le journalisme, autrefois noble et respecté, est devenu une coquille vide, un simulacre de ce qu’il prétend être. Objectivité ? Mon cul. Transparence ? Une légende urbaine. Indépendance ? Un mythe plus gros que le Père Noël sous stéroïdes ! Aujourd’hui, les "journalistes" sont soit des employés de multinationales qui pondent des articles sous perfusion de communiqué de presse, soit des scribouillards qui jouent aux équilibristes pour ne froisser personne. Résultat ? Un journalisme fade, aseptisé qui récite sagement son "Qui ? Quoi ? Quand ? Où ? Pourquoi ?" comme un enfant de CP apprenant sa première récitation. Mais moi, je dis "je" maintenant. Et c’est là toute la différence. Je ne suis pas là pour brosser dans le sens du poil, pour pondre des textes formatés destinés à ne choquer personne et à servir la soupe à ceux qui tiennent la laisse. Non, moi je blogue. Et qu’est-ce que ça change ? Tout. Un journaliste, dans sa belle tour d’ivoire, se veut neutre. Il ne donne pas son avis, il "raconte les faits" du moins, c’est ce qu’il prétend. Mais qui choisit ces faits ? Qui décide de l’angle, de la hiérarchie de l’information ? Spoiler : ceux qui ont les clés du coffre-fort. Et tant pis si pendant ce temps-là, le peuple galère, crève la dalle, se noie dans les fins de mois impossibles et les injustices quotidiennes. Moi, je vois la misère et je la dis. Je vois l’absurdité et je vais la hurler. Si un vieillard doit crever dans un hall d’hôpital faute de personnel, je ne vais pas pondre un article lisse sur "l’évolution du secteur médical en France". Non. Je vais écrire que ce pays part en couilles et que nos dirigeants sont déconnectés de la réalité et que le peuple se fait essorer comme une serpillière. Les "journalistes" ... enfin, ceux qui en portent encore le titre, font semblant de ne pas voir ... Ils tournent la tête, parlent "d’indicateurs économiques" pendant que la précarité explose, analysent "les dynamiques migratoires" pendant que des gamins dorment dans la rue et débattent de "la fracture sociale" entre deux bouchées de petits fours dans des soirées mondaines. Le journalisme est mort. Je danse sur sa tombe ! On nous l’a vendu comme un pilier de la démocratie. Un quatrième pouvoir, un contrepoids face aux abus. Aujourd’hui, c’est un cadavre en décomposition, rongé par la complaisance, les subventions et la peur. Le journalisme en France, c’est devenu une "secte maçonnique" qui font semblant d’enquêter, alors qu’ils sont juste là pour bercer le peuple avec des mots creux. Une armée de scribouillards aux ordres, qui tartinent du papier pour te faire croire que tu es informé, alors qu’en vrai ... tu es juste endormi. ( Je vais me faire traiter de complotiste ? ) Moi, je ne suis plus journaliste. Je suis blogueur. Parce que le journalisme est un mensonge. Moi, je suis un blogueur et je parle comme mon peuple. Pas de chichi, pas de vernis. La situation est dégueulasse et je l’écris avec les tripes pas avec un manuel de journalisme estampillé "déontologie à géométrie variable". Certains diront que ce n’est plus du journalisme et ils auront raison. Ce que j'écris depuis Août 2024, avec mon passage à l'écriture satirique, est pour moi une libération ! Un bien être rédactionnel. Parce que le journalisme, dans son état actuel, est mort ! Il ne reste que ceux qui le pleurent et ceux qui s’en foutent. Moi, j’écris pour les seconds. David SCHMIDT Journaliste/Blogueur ... Appel cela comme tu veux ! Je m'en branle royalement ! Read the full article
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Forbach : Le visage du fossoyeur du pouvoir d’achat
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Alexandre Bompard, PDG de Carrefour, n'est pas seulement un expert des chiffres et des tableaux Excel. C’est un architecte du malheur, un vampire du quotidien, un fossoyeur du pouvoir d’achat. Derrière son sourire policé de technocrate, il orchestre avec une froideur chirurgicale l’appauvrissement méthodique de millions de Français. Il ne vend pas des produits, il vend l’illusion que Carrefour est encore accessible à tous, alors qu’il enfonce les consommateurs dans un enfer économique sans issue. Cet as de la finance a surtout trouvé les bonnes pommes pour sa retraite dorée et le pire :
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Sur son Facebook, il se prend pour Charles de Gaulle ? Il oublie que lui c'est battu pour son peuple, il ne l'a pas fait crever la gueule ouverte ! Le dernier coup de génie du roi soleil ? Le rachat de Cora Forbach, un bénéfice juteux pour les actionnaires et une descente aux enfers pour nous, les consommateurs, une damnation pour le peuple. Carrefour n'est plus un supermarché, c'est une prison à ciel ouvert pour les porte-monnaie. Les promotions sont des leurres, et les "engagements pour le pouvoir d'achat" sont aussi crédibles que la promesse du Smic à  1600 € net. Une fois la concurrence enterrée, les prix flambent, les réductions se raréfient et le panier moyen se transforme en gouffre béant. Les familles comptent les centimes, renoncent aux produits frais, troquent la qualité pour la survie. Pendant que Carrefour continue de grignoter les restes du commerce français, les ventres grondent et la dignité s’effrite. Les prix, les promotions sont des leurres et les "engagements pour le pouvoir d'achat" ont autant de crédibilité qu’un discours politique la veille d'une élection. Pendant qu'Alexandre Bompard trinque au champagne sur une plage privée, des millions de Français doivent faire des choix drastiques entre une barquette de steak haché et un litre d'huile. Mais qu'importe, l'important pour notre grand stratège, c'est le bilan financier. Qu'un retraité doit calculer au centime près s'il peut se permettre un bout de camembert, c'est le cadet de ses soucis. Son avenir est déjà tracé : une retraite dorée payée par des années de vampirisation des classes populaires. Le plus ironique ? Carrefour continue de se présenter comme "l'enseigne préférée des Français". Ah bon ? Peut-être des Français qui ont un compte en Suisse. Pour les autres, c’est surtout devenu le symbole d’un système où le profit d’une élite écrase la vie quotidienne du plus grand nombre de pauvres. Alexandre Bompard, grand visionnaire du commerce, sait où il va : toujours plus haut, toujours plus riche. Et tant pis si en bas on crève la dalle pendant que ses finances crèvent le plafond. Mais Bompard ne voit rien, n’entend rien, ne comprend rien. Il est trop occupé à calculer le rendement de son empire, perché dans ses tours de verre à se frotter les mains devant des courbes ascendantes. Il n’a jamais mis les pieds dans un hyper, jamais ressenti l’angoisse d’une carte bleue refusée à la caisse, jamais connu la honte de reposer un paquet de viande parce que le budget ne suit pas. Il fait partie de ceux qui regardent la misère avec un mépris tranquille, persuadés que la souffrance des autres est un simple paramètre économique. Une haute fonction qui plane trop haut ! Un empereur sans peuple : Alexandre Bompard n’est pas un capitaine d’industrie, c’est un colonisateur du quotidien, un pillard du porte-monnaie. Il ne gère pas un empire commercial, il administre un racket organisé d'une machine à broyer les faibles pour engraisser les puissants. Il n’a aucun scrupule, aucun état d’âme. Pour lui, une mère de famille qui pleure parce qu’elle ne peut plus nourrir ses enfants, un étudiant qui saute des repas, un retraité qui doit choisir entre du beurre et ses médicaments, ce ne sont que des "dommages collatéraux". Et comment pourrait-il en être autrement ? Ce grand stratège de la désillusion n’a jamais eu à se soucier du prix d’un kilo de pâtes. Issu de la haute fonction publique, il navigue dans un monde où la "France d’en bas" n’est qu’une donnée statistique. Il ne connaît ni les fins de mois difficiles, ni la galère des familles qui comptent chaque centime, ni la honte de devoir renoncer à un repas complet. Ni la honte de demander des pâtes à sa voisine pour nourrir son gosse. Bompard et ses semblables ne marchent pas dans nos supermarchés, ils ne scrutent pas les étiquettes, ils ne subissent pas la réalité qu'ils nous imposent. Tant que les dividendes coulent à flots, le reste n'est qu'un bruit de fond. Un bruit de fond qui pourtant, pourrait un jour se transformer en une colère qui ne se contentera plus de gémir en silence, mais viendra le cueillir au pied de son lit ! Aux armes, citoyens ! À bas les oligarques ! Faite la guerre, plus de replis sur sois, plus de mort de faim ! David SCHMIDT: J'ai écris à ce type: Voyons bien si j'ai une réponse !
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Forbach : Carrefour récupère Cora, la facture explose
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C'était l'époque bénie où les Forbachois poussaient leur caddie chez Cora sans avoir l'impression de devoir vendre un rein à la sortie ... Quoi que parfois ... Un changement prometteur ? Pas vraiment ! Depuis le rachat, un phénomène étrange s'est produit : les prix ont pris l'ascenseur... sans jamais redescendre. Puis Carrefour est arrivé et avec lui, une inflation soudaine à faire rougir les étiquettes. Ce qui devait être une fusion commerciale s'est transformé en un hold-up sur le porte-monnaie des plus modestes, une cure d'amaigrissement pour les pauvres. Dans les allées, les clients errent avec un paniers vides, caddies déserts, jetant des regards nostalgiques aux promos d’antan. Le petit ouvrier du coin hésite entre une boîte de haricots et sachet de pâtes premier prix. Carrefour n’a rien inventé, il suit la grande tradition du capitalisme : racheter, monopoliser, et rentabiliser au détriment du consommateur. Après tout, si les petites bourses souffrent, ce n'est qu’un dommage collatéral. Et tant pis si pour certains, l’inflation est devenue un jeu de roulette russe chaque passage en caisse. « Avant, je pouvais encore me permettre un steak une fois par semaine. Maintenant, j'hésite entre un paquet de pâtes et une boîte de sardines », nous confie Josiane, retraitée et cliente désespérée. Car oui, les prix se sont envolés plus vite que Mélenchon devant une question embarrassante. Pendant que les actionnaires se frottent les mains, les consommateurs comptent les centimes et les jours avant leur prochain plein de courses. Bien sûr, Carrefour n'est pas le seul à faire grimper les prix. L'inflation, la guerre en Ukraine, la déforestation de l'Amazonie, la position de Mercure dans le ciel... tout est bon pour justifier un ticket de caisse plus salé qu'un plat de nouilles instantanées. Mais ici à Forbach, on se demande surtout si la seule solution à la précarité ne serait pas un exode collectif vers une réserve naturelle où l'on pourrait manger des racines et chasser le pigeon à main nue. Après tout, si nous les pauvres nous disparaissons tous, il ne restera qu'un peuple de riches qui pourront enfin faire leurs courses sans être dérangés par la misère humaine, heureux d’être enfin débarrassés de ces gueux qui râlent à chaque étiquette, riant au champagne sur les ruines de notre existence. En attendant, certains consommateurs commencent à envisager une alternative radicale : - Troquer leur panier contre un potager - Faire la queue devant le frigo anti-gaspi dès 9h et à 19h55 ... « Si on doit payer 3€ le kilo de pommes de terre, autant les cultiver soi-même », résume Michel, un Forbachois qui songe à convertir son balcon en ferme bio. Un avenir fait de courgettes et de tomates, voilà peut-être la véritable solution à la flambée des prix. D'ici là, on peut toujours espérer une réaction de nos dirigeants nationaux ... ou attendre que les promotions du Black Friday surprise pour nous permettent enfin de nous alimenter à prix raisonnable. En attendant chers Forbachois, apprenez à savourer les joies d’un panier percé, d’une économie en déclin et d’un futur où même l’eau du robinet pourrait finir par devenir un luxe. David SCHMIDT: Bienvenue dans l’ère du pillage ! Une mise à mort, une exécution publique du peu de dignité qu’il restait au consommateur. Depuis l’arrivée du géant de la grande distribution, les prix s’envolent comme des vautours sur un cadavre encore chaud. Le pauvre, déjà à genoux sous l’inflation se retrouve désormais couché, écrasé par la raison qui n’est celle de devoir remplir encore plus, les coffres dorés de ceux qui dirigent d’en haut. Dans les rayons, l’ambiance est lourde. Des mères de famille comptent et recomptent les centimes, les yeux humides devant un litre de lait devenu un luxe. Des retraités errent comme des fantômes entre les promotions truquées et les illusions de bons plans. Et puis il y a ce père, devant les yaourts, hésitant entre nourrir ses gosses ou payer ses factures. une nouvelle réalité : celle où l’on doit choisir entre manger et survivre. Fini le superflu, fini même le nécessaire.  Bientôt, même l’air sera taxé, et le soleil privatisé. On dira que la pauvreté est un choix, que si certains crèvent de faim, c’est qu’ils ne savent pas gérer leur argent. On leur répondra que l’argent, nous en avons plus depuis bien longtemps. Carrefour n’a pas seulement racheté un magasin. Il a mis aux enchères le dernier souffle de ceux qui n’ont déjà plus rien.   Read the full article
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Démocrates D
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Je ne vais pas vous refaire la bio de Wikipédia, qui mentionne les débuts du groupe et les membres qui le composent. Je veux vous faire imaginer : si Démocrates D, avec des intrus adaptées à notre époque et une cadence vocale plus moderne pour 2025, quel serait l'impact ? Le rap français des années 90 a vu naître des groupes qui ont laissé une empreinte indélébile. Certains ont explosé commercialement, d'autres sont restés dans l'ombre d'une reconnaissance tardive. Parmi eux, Démocrates D, un groupe dont les textes et l'identité musicale étaient peut-être trop avant-gardistes pour leur époque, mais qui, en 2025, résonneraient avec une acuité troublante. Une plume acérée, une mélodie oubliée Là où beaucoup de rappeurs actuels usent et abusent d'ad-libs, de gimmicks et d'autotune, Démocrates D livrait des textes engagés, des rimes travaillées et une poésie urbaine qui ferait rougir bien des MCs d'aujourd'hui. Le groupe n'avait pas besoin de clips ultra-lissés ou de polémiques savamment orchestrées pour imposer sa voix. Leur vérité était brute, sans filtre, et surtout, sincère. Le rap d'antan vs. le rap d'aujourd'hui En 2025, le paysage du rap français a changé. Les artistes les plus écoutés parlent en majorité d'argent, de voitures, de rivalités superficielles et d'un mode de vie à mille lieues du quotidien du public. Démocrates D, eux, livraient un rap conscient, politique, à la fois ancré dans leur époque et visionnaire dans leur propos. Leur musique était un miroir de la société, une contestation pure et dure, loin des compromis dictés par les majors. Une reconnaissance posthume ? Si les nostalgiques du rap de fond continuent de les citer parmi les groupes cultes, le grand public ne semble pas leur avoir rendu justice. Pourtant, à l'aire du streaming où les anciens morceaux ressurgissent et trouvent un nouveau souffle, il ne serait pas étonnant de voir Démocrates D revenir en force. Avec les tensions sociales et politiques actuelles, leurs textes pourraient être repris en hymnes par une jeunesse en quête de vérité et d'authenticité. Alors, étaient-ils juste trop en avance sur leur temps ? Probablement. Une chose est sûre ! Si Démocrates D était un groupe en activité en 2025, leurs punchlines feraient trembler bien des rappeurs d'aujourd'hui. David SCHMIDT - J'avais envie de rendre hommage à se groupe, dont j’écoutai la cassette dans le bus pour aller au lycée !   Read the full article
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