Gala Québec Cinéma 2023: les nominations
Animé par Jay Du Temple, le 25e Gala Québec Cinéma sera diffusé le dimanche 10 décembre prochain à 20h sur les ondes de Noovo et Noovo.ca, en direct des studios Grandé de Montréal. Le Gala Artisans, animé par Fabiola Nyrva Aladin, aura lieu le 7 décembre à 19h30 au Studio TD.
Voici la liste complète des nominations:
IRIS HOMMAGE
Rémy Girard
MEILLEUR FILM
Arsenault et Fils | La maison de prod — Stéphanie Morissette, Charles Stéphane Roy
Babysitter | Amérique Film — Martin Paul-Hus, Catherine Léger ; Phase 4 Productions — Pierre-Marcel Blanchot, Fabrice Lambot
Falcon Lake | Metafilms — Nancy Grant, Sylvain Corbeil ; Onzecinq — Dany Boon, Jalil Lespert ; Cinéfrance Studios — Julien Deris, David Gauquié, Jean-Luc Ormières
Le plongeur | Sphère Média — Marie-Claude Poulin
Les chambres rouges | Némésis Films — Dominique Dussault
Noémie dit oui | Productions Leitmotiv — Patricia Bergeron
Viking | micro_scope — Luc Déry, Kim McCraw
MEILLEUR PREMIER FILM
Falcon Lake | Charlotte Le Bon
Farador | Édouard Albernhe Tremblay
Les hommes de ma mère | Anik Jean
Noémie dit oui | Geneviève Albert
Rodéo | Joëlle Desjardins Paquette
MEILLEURE RÉALISATION
Monia Chokri | Babysitter
Stéphane Lafleur | Viking
Francis Leclerc | Le plongeur
Rafaël Ouellet | Arsenault et Fils
Pascal Plante | Les chambres rouges
MEILLEUR SCÉNARIO
Eric K. Boulianne, Francis Leclerc | Le plongeur
Stéphane Lafleur, Eric K. Boulianne | Viking
Catherine Léger | Babysitter
Rafaël Ouellet | Arsenault et Fils
Pascal Plante | Les chambres rouges
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | PREMIER RÔLE
Larissa Corriveau (Steven) | Viking
Kelly Depeault (Noémie) | Noémie dit oui
Hélène Florent (Rose Lemay) | Une femme respectable
Léane Labrèche-Dor (Elsie) | Les hommes de ma mère
Sara Montpetit (Chloé) | Falcon Lake
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | PREMIER RÔLE
Guillaume Cyr (Adam) | Arsenault et Fils
Patrick Hivon (Cédric) | Babysitter
Steve Laplante (John) | Viking
Henri Picard (Stéphane) | Le plongeur
Luc Picard (Gérald Gallant) | Confessions
MEILLEURE INTERPRÉTATION FÉMININE | RÔLE DE SOUTIEN
Laurie Babin (Clémentine) | Les chambres rouges
Élise Guilbault (Soeur Monique) | Le temps d’un été
Ève Landry (Josée) | Bungalow
Julie Le Breton (Isabelle) | Tu te souviendras de moi
Nadia Tereszkiewicz (Amy) | Babysitter
MEILLEURE INTERPRÉTATION MASCULINE | RÔLE DE SOUTIEN
Maxime de Cotret (Greg) | Le plongeur
Charles-Aubey Houde (Bébert) | Le plongeur
Denis Houle (Liz)| Viking
Steve Laplante (Jean-Michel) | Babysitter
Guy Nadon (Maître Jean-Pierre Genin) | Le temps d’un été
RÉVÉLATION DE L’ANNÉE
Fabiola N. Aladin (Janet) | Viking
Emi Chicoine (Léa) | Noémie dit oui
Virginie Fortin (Elsa) | 23 décembre
Juliette Gariépy (Kelly-Anne) | Les chambres rouges
Joan Hart (Bonnie) | Le plongeur
François Pérusse (Alain) | Niagara
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES
Nathalie Boutrie — Nathalie Boutrie Casting | Arsenault et Fils
Marilou Richer — Marilou Richer Casting | Les chambres rouges
Lucie Robitaille, Dandy Thibaudeau — Casting Lucie Robitaille | Viking
Annie St-Pierre, Antoinette Boulat | Babysitter
Brigitte Viau — Casting Brigitte Viau | Le plongeur
MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE
André-Line Beauparlant | Viking
Sylvie Desmarais| Bungalow
Mathieu Lemay | Le plongeur
Laura Nhem | Les chambres rouges
Colombe Raby | Babysitter
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE
Steve Asselin | Le plongeur
Vincent Biron| Les chambres rouges
Kristof Brandl | Falcon Lake
Josée Deshaies | Babysitter
Sara Mishara | Viking
MEILLEURS EFFETS VISUELS
Marc Hall — A.A. Studios | Babysitter
Marc Hall — A.A. Studios, Alex GD — RGB124 | Farador
Marc Hall — A.A. Studios | La cordonnière
Marie-Claude Lafontaine, Simon Beaupré — Alchimie 24 | Viking
Mathilde Vézina-Bouchard | Mistral spatial
MEILLEUR SON
Sylvain Bellemare, Bernard Gariépy Strobl, Pierre Bertrand | Viking
Olivier Calvert, Stéphane Bergeron, Martyne Morin | Les chambres rouges
Olivier Calvert, Luc Boudrias, Yann Cleary | Le plongeur
Stephen De Oliveira, Séverin Favriau, Stéphane Thiébaut | Falcon Lake
Daniel Fontaine-Bégin, Luc Boudrias, Henry Jr Godding | Arsenault et Fils
MEILLEUR MONTAGE
Pauline Gaillard | Babysitter
Sophie Leblond| Viking
Myriam Magassouba | Arsenault et Fils
Jonah Malak | Les chambres rouges
Isabelle Malenfant | Le plongeur
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
Viviane Audet, Robin-Joël Cool, Alexis Martin | Arsenault et Fils
Daniel Bélanger | Confessions
Christophe Lamarche-Ledoux, Mathieu Charbonneau | Viking
Martin Léon | Tu te souviendras de moi
Dominique Plante | Les chambres rouges
MEILLEURS COSTUMES
Mariane Carter | La cordonnière
Guillaume Laflamme | Babysitter
Sophie Lefebvre | Une femme respectable
Sophie Lefebvre | Viking
Annabelle Roy, Delphine Gagné | Farador
MEILLEUR MAQUILLAGE
Kathryn Casault, Bruno Gatien | Confessions
Marie-Josée Galibert | Viking
Marie Salvado | Les chambres rouges
Lyne Tremblay, Faustina De Sousa, François Gauthier, Michael Loncin | Farador
Adriana Verbert | Babysitter
MEILLEURE COIFFURE
Vincent Dufault | Viking
André Duval | Une femme respectable
Nermin Grbic | Les chambres rouges
Richard Hansen, Réjean Forget, Johanne Hansen | La cordonnière
Ann-Louise Landry | Babysitter
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
Dear Audrey | Réalisation : Jeremiah Hayes | Scénario : Jeremiah Hayes | Office national du film du
Canada — Jeremiah Hayes, André Barro, Annette Clarke
Gabor | Réalisation : Joannie Lafrenière | Scénario : Joannie Lafrenière | Tak films — Line Sander Egede
Geographies of Solitude | Réalisation : Jacquelyn Mills | Scénario : Jacquelyn Mills | Rosalie Chicoine
Perreault, Jacquelyn Mills
Je vous salue salope : la misogynie au temps du numérique | Réalisation : Léa Clermont-Dion, Guylaine
Maroist | Scénario : Léa Clermont-Dion, Guylaine Maroist | La Ruelle Films — Eric Ruel, Guylaine Maroist
Rojek | Réalisation : Zaynê Akyol | Scénario : Zaynê Akyol | Metafilms — Sylvain Corbeil, Audrey-Ann
Dupuis-Pierre ; Zaynê Akyol
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE
Geoffroy Beauchemin | Humus
Nicolas Canniccioni, Arshia Shakiba | Rojek
Joannie Lafrenière | Gabor
Jacquelyn Mills | Geographies of Solitude
Maude Plante-Husaruk | Au-delà des hautes vallées
MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE
Mélanie Gauthier, Jeremiah Hayes, Isabelle Lussier | Dear Audrey
Maxime Lacoste-Lebuis, Eric Shaw, Jean Paul Vialard | Au-delà des hautes vallées
Andreas Mendritzki, Jacquelyn Mills | Geographies of Solitude
Jean-François Sauvé, Martin M. Messier, Bruno Pucella | 305 Bellechasse
Catherine Van Der Donckt, Jean Paul Vialard | Au-delà du papier
MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE
Mathieu Bouchard-Malo| Rojek
Jeremiah Hayes | Dear Audrey
Emmanuelle Lane | Gabor
Jacquelyn Mills | Geographies of Solitude
Oana Suteu Khintirian | Au-delà du papier
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE | FILM DOCUMENTAIRE
Olivier Alary, Johannes Malfatti | Twice Colonized
Gervaise | Gabor
Walter Grimshaw | Dear Audrey
Maxime Lacoste-Lebuis | Au-delà des hautes vallées
Delphine Measroch | Humus
MEILLEUR COURT OU MOYEN MÉTRAGE | ANIMATION
A night for the dogs | Max Woodward | Confettis Production — Guillaume Dubois, Camille Lequenne
Harvey | Janice Nadeau | Folimage – Reginald de Guillebon, Pierre Méloni ; Office national du film du
Canada — Marc Bertrand, Christine Noël, Julie Roy
Madeleine | Raquel Sancinetti | Production : Raquel Sancinetti
Marie · Eduardo · Sophie | Thomas Corriveau | Production : Thomas Corriveau
Triangle noir | Marie-Noëlle Moreau Robidas | Embuscade Films — Nicolas Dufour-Laperrière
MEILLEUR COURT OU MOYEN MÉTRAGE | DOCUMENTAIRE
Belle River | Guillaume Fournier, Samuel Matteau, Yannick Nolin | Kinomada — Jean-Pierre Vézina
Fire-Jo-Ball | Audrey Nantel-Gagnon | Office national du film du Canada — Nathalie Cloutier
Notes sur la mémoire et l’oubli | Amélie Hardy | Club Vidéo de Montréal — Isabelle Grignon-Francke
Oasis | Justine Martin | Déjà Vu — Louis-Emmanuel Gagné-Brochu
Zug Island | Nicolas Lachapelle | Production : Guillaume Collin, Nicolas Lachapelle
MEILLEUR COURT OU MOYEN MÉTRAGE | FICTION
Invincible | Vincent René-Lortie | Telescope Films — Élise Lardinois, Samuel Caron
Nanitic | Carol Nguyen | Coop Vidéo de Montréal — Marie Lytwynuk ; Carol Nguyen
Nuit blonde | Gabrielle Demers | Cinquième maison — Nellie Carrier
Pas de fantôme à la morgue | Marilyn Cooke | La 115e — Kélyna N. Lauzier, Macha Houssart
Simo | Aziz Zoromba | Scarab Films — Rosalie Chicoine Perreault
PRIX DU PUBLIC
23 décembre | Immina Films — Patrick Roy | A Média Productions — Guillaume Lespérance |
Réalisation : Miryam Bouchard | Scénario : India Desjardins
Confessions | Les Films Opale — Christian Larouche, Sébastien Létourneau | Christal Film Productions —
Christian Larouche | Réalisation : Luc Picard | Scénario : Sylvain Guy
Katak le brave béluga | Attraction Distribution — Xiaojuan Zhou, Maison 4:3 — Chantale Pagé | 10e Ave
Productions — Nancy Florence Savard | Réalisation : Christine Dallaire-Dupont, Nicola Lemay | Scénario :
Andrée Lambert
Le temps d’un été | Immina Films — Patrick Roy | Attraction — Antonello Cozzolino, Brigitte Léveillé |
Réalisation : Louise Archambault | Scénario : Marie Vien
Les hommes de ma mère | Immina Films — Patrick Roy | Jessie Films — Patrick Huard, Anik Jean |
Réalisation : Anik Jean | Scénario : Maryse Latendresse
FILM S’ÉTANT LE PLUS ILLUSTRÉ À L’EXTÉRIEUR DU QUÉBEC
Cette maison | Embuscade Films — Félix Dufour-Laperrière | Réalisation : Miryam Charles | Scénario :
Miryam Charles | La Distributrice de films — Serge Abiaad
Dounia et la princesse d’Alep | Tobo — Judith Beauregard | Réalisation : Marya Zarif, André Kadi |
Scénario : Marya Zarif | Maison 4:3 — Chantale Pagé
Falcon Lake| Metafilms — Nancy Grant, Sylvain Corbeil ; Onzecinq — Dany Boon, Jalil Lespert ;
Cinéfrance Studios — Julien Deris, David Gauquié, Jean-Luc Ormières | Réalisation : Charlotte Le Bon |
Scénario : Charlotte Le Bon | Sphère Films — Ariane Giroux-Dallaire
Katak le brave béluga | 10e Ave Productions — Nancy Florence Savard | Réalisation : Christine Dallaire-
Dupont, Nicola Lemay | Scénario : Andrée Lambert | Attraction Distribution — Xiaojuan Zhou,
Maison 4:3 — Chantale Pagé
Viking | micro_scope — Luc Déry, Kim McCraw | Réalisation : Stéphane Lafleur | Scénario : Stéphane
Lafleur, Eric K. Boulianne | Les Films Opale — Christian Larouche, Sébastien Létourneau
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Psaumes 51 v 7 Voici, je suis né dans l'iniquité, Et ma mère m'a conçu dans le péché.
Psaumes 58 v 3 Les méchants sont pervertis dès le sein maternel, Les menteurs s'égarent au sortir du ventre de leur mère.
Ephésiens 2 v 1-3 Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air, de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre, et nous vivions autrefois selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres.
Colossiens 3 v 13 Vous qui étiez morts par vos offenses et par l'incirconcision de votre chair, il vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses
Ecclesiastes 7 v 20 Non, il n'y a sur la terre point d'homme juste qui fasse le bien et qui ne pèche jamais.
Luc 11 v 13 Si donc vous qui êtes méchants, savez bien donner à vos enfants de bonnes choses, combien plus votre Père céleste donnera-t-il le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent?
Romains 3 v 9-18 Quoi donc ! sommes-nous plus excellents ? Nullement. Car nous avons déjà prouvé que tous, Juifs et Grecs, sont sous l'empire du péché, selon qu'il est écrit : Il n'y a point de juste, Pas même un seul ; Nul n'est intelligent, Nul ne cherche Dieu ; Tous sont égarés, tous sont pervertis ; Il n'en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul ; Leur gosier est un sépulcre ouvert ; Ils se servent de leurs langues pour tromper ; Ils ont sous leurs lèvres un venin d'aspic ; Leur bouche est pleine de malédiction et d'amertume ; Ils ont les pieds légers pour répandre le sang ; La destruction et le malheur sont sur leur route ; Ils ne connaissent pas le chemin de la paix ; La crainte de Dieu n'est pas devant leurs yeux.
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◀ 7 JUIN ▶ 365 jours pour ranimer la flamme
Là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur. Luc 12.34
Où est votre trésor ?
Lorsqu’on parle de trésor, il n’est pas forcément question d’argent ou de pierres précieuses. Par définition, un trésor est un ensemble de choses amassées et parfois cachées qui peut avoir une grande valeur pécuniaire ou une simple valeur affective. Et lorsque Jésus parle de trésor comme dans le verset précité, Il parle de tout ce qui nous éloigne de Lui, de tout ce à quoi nous sommes très attachés, qui nous accapare et a de l’influence sur nous au point de prendre la place qui Lui revient de droit dans notre vie. Cela peut concerner notre image qui nous préoccupe plus que tout, notre ego qui dirige nos choix et nos pensées, ou encore des ambitions personnelles qui monopolisent notre temps et nos pensées et notre argent. Il est temps d’enfin nous accorder avec ce que nous déclarons au Seigneur, culte après culte. Oui, car chanter avec ferveur une louange telle que « Je te donne tout, tout est à toi Jésus », n’est en rien anodin. C’est une promesse que l’on fait à Dieu, créateur de l’univers. Par conséquent, arrêtons d’être aussi légers et irrespectueux envers Lui ! Remettons-Lui tous ces mauvais trésors qui font de nous des adultères, des hypocrites, des idolâtres, et demandons-Lui de nous en libérer. Le mot « cœur » dans le verset du jour est traduit du grec kardia qui signifie notamment « âme ». Nous pourrions ainsi éclairer le verset du jour en écrivant : « Là où est votre trésor (pendant que vous êtes sur la Terre), là aussi sera votre âme (après le retour du Seigneur) ». Par ces précisions, il nous faut comprendre que nos conforts, nos fausses richesses, nos convoitises, nos plaisirs, nos centres d’intérêt et autres, tous ces trésors amassés sur Terre seront détruits par la rouille et la teigne, et que ce vers quoi tend notre cœur aujourd’hui détermine notre éternité (cf. Matthieu 6.20 ; Luc 12.21, 12.33). De la sorte, si notre trésor suprême n’est pas Dieu et Son Royaume, alors nous ne sommes pas appelés à régner avec Lui... C’est pourquoi, nous devons le mettre ou Le remettre à la première place de notre vie et faire de l’avancement de Sa maison, notre priorité numéro un. Changeons nos perspectives et connectons-nous au divin Roi en nous déchargeant de nos passions ennemies. Déposons celles-ci au pied de la croix de Jésus et prenons son joug léger, puis marchons à Sa suite dans la sainteté par amour et obéissance (cf. Matthieu 11.30). Prions avec régularité et communions avec Lui, méditons chaque jour Sa Parole et permettons à Son Esprit de se déployer en nous ! De plus, comme de fidèles serviteurs et de bons ouvriers, impliquons-nous dans l’Église et mettons nos talents à son service, donnons de nos prémices voire davantage si l’Esprit nous y engage (temps, argent, capacités...), diffusons l’Évangile autour de nous, semons et arrosons ! (cf. 1 Corinthiens 3.9). Oui, soyons actifs pour le Royaume de Dieu qui se déploie de multiples manières aux quatre coins du monde ! Allons là où le Seigneur nous le demande, débarrassés de nos trésors encombrants. C’est alors que nous nous amasserons un trésor inépuisable et incorruptible dans le Ciel ! - Lire plus ici :
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Tout schuss
À travers mes culs-de-bouteille, je soutiens du regard le tire-fesses se diriger vers la file d'attente sans ciller. Son sinistre crissement ravivent à mon esprit des scènes de cul terribles : la combinaison déchirée à l'entrejambe de Josiane Balasko dans Les Bronzés font du ski, des bêtisiers de Vidéo Gag savamment compilés par d'impitoyables curateurs du rire, un Coluche grimé en moniteur libidineux empoignant des derrières récalcitrants dans La Vengeance du serpent à plumes...
Mais le voilà déjà qui se pointe à ma hauteur avec un air de défi. Je m'agrippe d'une main à sa barre et assène dans un souffle à sa selle I don't think you're ready for this jelly avant d'enfourcher ma monture de ferrailles.
Ne pas s'asseoir. Ne pas s'asseoir. Ne pas s'asseoir. C'est la règle numéro une pour remporter ce rodéo. La seconde : éviter de recourir à la technique dite du « coucher du taureau ». Pas une seule fois mes fesses ne se dégonflent durant la lente ascension. C'est qu'elles n'ont pas conscience de ce qui les attend là-haut.
Arrivée au sommet de ma toute première piste, le constat est sans appel : le vertige qui m'avait fait m'arrêter en pleine ascension du premier étage de la tour Eiffel une quinzaine d'années plus tôt ne m'avait jamais quitté. Un léger frisson s'empare de mon postérieur qui se mue progressivement en un véritable tremblement jusqu'à retentir tel un tonnerre d'applaudissements aux oreilles – pourtant coiffées de laine doublée de polaire – des skieurs tour à tour flattés et craintifs. Mes compagnons, craignant l'avalanche, s'empressent de me rassurer : « C'est comme le roller, tu verras ! »
Séant tenant, je m'élance. Ma paire de ski glisse sur la neige à bride abattue. Mon corps tout entier, mollifié par la frousse, flotte au vent tel un étendard proscrivant quiconque de m'approcher de trop près sous peine de finir empalé sur l'un de mes bâtons au terme d'une joute sans merci.
Autour de moi, le vide. Rien que le vide. Qui semble surgir de ses tréfonds pour me saisir et m'emporter. Ma peur gagne bientôt mes skis qui, à l'issue d'un brusque entretien, aboutissent à cette conclusion digne d'un film d'épouvante : se séparer. À peine ai-je le temps de m'y opposer que déjà je m'envole cul par-dessus tête. Je me surprends à invoquer saint Luc en pleine culbute : « Par pitié, Luc, pas sur les fesses ! » Mais la loi de Murphy est cruelle. Et la tartine atterrit toujours du côté de la confiture, même lorsqu'il s'agit d'une gelée de pommes made in Normandie.
Cette piste, je l'ai descendue de la manière la plus noble qui soit : sur le cul.
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Conservatoire du Pays de Montbéliard : programme d'avril 2024
En avril 2024, le Conservatoire du Pays de Montbéliard vous propose :
Vendredi 5 avril 2024 20h00 SOCHAUX La MALS : OPÉRA DE POCHE "Un rêve d’opéra", G. Tailleferre / J.P Rameau
Coordination : Annie Corrado et Isabelle Jost
Mise en scène : François Costagliola
Chorégraphies : Cédric Godefroid
Chef de chant : Annie Corrado
Chef d’orchestre : Vincent Nommay
Clavecin : Nicolas Aubin
Chanteurs, danseurs, acteurs et instrumentistes élèves du Conservatoire vont créer sur scène « La Fille d’Opéra » de Germaine Tailleferre, opéra de poche radiophonique.
Écrit dans le style de Jean-Philippe Rameau, il sera enrichi d’œuvres pour clavecin de l’illustre musicien, composant ainsi un véritable opéra-ballet.
Dans le cadre des Couleurs de l’agglo et du Festival Fernand Léger en musique, en collaboration avec la section mode du lycée Les Huisselets de Montbéliard, l’entreprise FRIP’VIE de Grand-Charmont, l’association Engrenages artistiques, le concours du service Animation du Patrimoine de PMA.
Avec le soutien de la commune de Sochaux. Soutenu par Capitale Française de la Culture.
Entrée libre, sans inscription, dans la limite des places disponibles
Dimanche 7 avril 2024 à partir de 10h00 MONTBÉLIARD Musée Beurnier-Rossel : VISITE / CONCERT "L’Instant baroque, un bijou d’architecture"
10h00 – Visite
Un bijou d’architecture à la française dans une cité princière allemande ? C’est en construisant leur hôtel particulier que les époux Rossel, issus de la grande société bourgeoise du 18e siècle, assoient leur statut social. Découvrez l’histoire de cet édifice aux somptueux décors et la contribution de quelques protagonistes.
11h00 – Concert
Tout comme l'architecture, l'art de la musique baroque est tissé de multiples influences esthétiques et culturelles. Dans ce programme dédié au clavecin au violon et au chant, les œuvres de J.C.F. Fischer, J.S. Bach, et L.N. Clérambault seront présentées sous cet angle.
En collaboration avec les Musées de Montbéliard.
Entrée libre, dans la limite des places disponibles. Réservation indispensable au 03 81 99 22 57 ou
[email protected]
Lundi 8 avril 2024 18h00 MONTBÉLIARD, Auditorium du Conservatoire : "Conférence avec l’Université Ouverte" par Denis Morrier, professeur de culture musicale
Le Conservatoire du Pays de Montbéliard et l’Université Ouverte poursuivent ce cycle de conférences et d’ateliers de Culture musicale. Au programme cette année : un an à Venise…. Cette conférence est dédiée à l’âge d’Or de la musique vénitienne (XVIIème - XVIIIème siècle).
Entrée libre, sans inscription, dans la limite des places disponibles.
Mardi 9 avril 2024 20h00 BART, Salle des fêtes : MUSIQUE DE CHAMBRE "Le chant de l’âme"
Le quintette pour clarinette et cordes de Johannes Brahms peut, sans conteste, être qualifié d’œuvre maîtresse. Porté par le timbre d’un instrument qu’il aima entre tous, Brahms y délivre un chant, tout intérieur, libéré des tentations d’une vaine virtuosité, un « chant de l’âme » en somme… En prélude à cette pièce magistrale, et dans le plus complet contraste, le quintette pour clarinette et cordes de Laurent Riou, donné ici en création, tâchera lui aussi de ne dire que le plus « authentique ».
Avec : Jean-Luc Bouveret et Andrea Pujado, violon ; Françoise Temperman, alto ; Rachel Cottin-Gleize, violoncelle ; Christian Georgy, clarinette.
Programme : Quintette pour clarinette et cordes de J. Brahms ; Quintette pour clarinette et cordes de L. Riou (création).
Avec le soutien de la commune de Bart.
Entrée libre, sans inscription, dans la limite des places disponibles.
Vendredi 12 avril 2024 20h00 MONTBÉLIARD, Auditorium du Conservatoire : CONTE MUSICAL (JEUNE PUBLIC) "Hänsel et Gretel"
Pour quatuor de cors et récitant. Entrez dans l’univers des contes de Grimm pour faire vivre aux petits comme aux grands enfants un moment enchanté et enchanteur… Il était une fois, Hänsel et Gretel, deux enfants, partis dans la forêt sur ordre de leurs parents, cueillir des fruits pour le dîner… Mais voilà, dans cette forêt vit une sorcière, et les deux enfants vont bientôt faire sa rencontre.
L’opéra d’Humperdinck (1854-1921), ici arrangé pour quatre cors et un récitant nous propulse dans une ambiance mystérieuse, feutrée et chaleureuse.
Avec Quatucor : Sylvain Guillon, Martin Angster, Emma Cottet, Grégoire Nenert, cor et Baptiste Masson, récitant…
Dans le cadre du projet « Des cors de printemps » en partenariat avec le Conservatoire du Grand Belfort, l’École de musique du Pays d’Héricourt et l’Harmonie d’Héricourt.
Soutenu par Capitale Française de la Culture.
Entrée libre, sans inscription, dans la limite des places disponibles.
Et aussi :
- interventions d’Emma Cottet sur l’histoire du cor : jeudi 4 avril 2024 à 17h00, vendredi 5 avril 2024 à 12h00 et mardi 9 avril 2024 à 18h30, Bibliothèque du Conservatoire, Montbéliard
- Master-class d’Hervé Joulain : samedi 13 avril 2024 de 9h30 à 12h30 (travail individuel) et de 14h00 à 17h00 (ensembles de cors), Auditorium du Conservatoire, Montbéliard.
infos > 03 81 94 77 80 ou www.agglo-montbeliard.fr
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ETAPE SANFLORAINE
A Saint-Flour, le dimanche 13 aout 2023
Direction le Cantal et la jolie cité de Saint-Flour pour ce week-end avec pour ce qui sera ma 1ere participation à cette cyclo : l’étape Sanfloraine et ses 159km pour 3200m D+ (plutôt 3000 réellement). La course fait partie du challenge CycloTour Rotor dont je suis le leader et propose un parcours très vallonné avec de multiples petites côtes avant l’enchainement principal col de la Griffoul / col de Prat de Bouc (1385m) avant un finish très punchy avec la côte d’Alleuze et l’arrivée en ville haute de Saint-Flour. On en profite pour visiter les plus beaux lieux du coin : Viaduc de Garabit, Pont de Tréboul, Chaudes Aigues, le plomb du Cantal ou le château d’Alleuze, le tout sous une météo estivale.
En me rendant au départ en ville basse, je rencontre Camille Danies (partenaire dans la même équipe e-cycling) et Clément Cambier mon partenaire/camarade d’entrainement. Et sur la ligne je retrouve Mathieu Blanchin, Jean Luc Chavanon, Guillaume Cloître ou Alexandre Banegas. La concurrence sera rude et relevée avec aussi la présence du vainqueur sortant Lucas Serrières mais aussi Tao Quéméré, Aurélien Philibert, Vincent Arnaud et bien d’autres !
8h00 le départ est donné : en 1ere ligne je suis parfaitement placé pour éviter tout effort superflu. Les 1eres bosses arrivent vite et celle du Pirou se fait déjà à rythme très soutenu mais ça passe. La 2eme, celle de Faverolles est beaucoup plus compliquée tout comme la suivante celle du belvédère de Mallet mais en devant parfois céder quelques longueurs je conserve bien ma place dans le groupe de tête. Après une quarantaine de km, nous voici à Chaudes Aigues célèbre pour sa source du Par qui coule à 82°C ! Nouvelle côte que j’attaque en tête avant un bon relais d’Artem Shcherbyna (vu à la granfondo Col de la Loze) : ça grimpe gros tempo mais sans attaque.
Après une cinquantaine de km, 1er moment important de course avec une descente extrêmement technique jusqu’au pont de Tréboul. Ne connaissant pas le parcours et n’étant pas dans les 1ers, je subis toutes cette descente derrière Guillaume mais on finit par perdre le contact même si Lucas Geyssant va bien rouler par la suite : on revient sur la tête (sauf Lucas S. et Anthony Mendes partis dans la descente) pile au moment d’aborder la côte de Tréboul : à 5,4 w/kg sur cette montée de 3,2kms à 6% la sélection s’opère fortement. Je parviens à tenir les roues de justesse avant un léger répit jusqu’à Pierrefort lieu du 2eme moment fatidique !
Alors que je demande à Clément qui est le N°175, il me dit qu’il s’agit d’Antoine Ley et qu’il est très fort et justement il vient d’attaquer ! Aussitôt Clément saute sur l’occasion et j’aurai peut-être dû tenter de suivre. En effet, ils se détachent à trois tandis que je mène le groupe alors que l’on continu de grimper en direction de Trenac. Tao accélère à son tour et je saute tout de suite dans sa roue mais le rythme est vraiment fort : je m’écarte et 3 gars parviennent à suivre. Avec Paul-Emile Lorthioir on se retrouve à mener ce qui reste du groupe et le tempo diminue alors fortement : on joue battu et ne reviendrons jamais avec déjà plus d’une minute de retard en bas de la descente annonçant le début du col de la Griffoul (12,6km à 4,3%).
Me voilà sur un terrain plus à ma convenance mais la 1ere moitié de ce col est très roulante entre petites montées et replats : je laisse un peu faire attendant les 6 dernier kms à 6,5% où j’impose mon rythme autour des 5w/kg bientôt relayé par Timothée Delavaud. Seul Jean Duchampt nous suit et nous voilà en route pour un top 10 si on poursuit de la sorte. Après une rapide descente il reste les 3kms à 5,9% du col de Prat de Bouc : j’emmène notre trio mais vent de face je garde une petite marge me contentant d’un bon tempo gardant nos adversaires à distance. Au sommet on s’arrête pour remplir les bidons et repartons vite mais avec 5’ de retard sur la tête ! La descente avec quelques gravillons mais pas technique reste rapide et au bas de celle-ci Camille et Guillaume nous rejoignent : l’entente est très bonne et on progresse vite montant tempo la bosse en direction de Laveissenet. Mais plus loin voilà que des coureurs reviennent encore de l’arrière : Mathieu, Alex sont là et nous voilà désormais 9 pour la 8eme place ! Petit coup au moral surtout que la fin de parcours ne m’avantage pas forcément : sur les 15-20km quasiment plats qui suivent je souffre pas mal et commence à avoir chaud et décide de ne plus trop rouler (de toutes façons j’avais déjà du mal à prendre mes relais qui n’étaient pas vraiment efficaces). J’en profite pour me ravitailler au mieux, et bien boire tout en gérant la boisson pour aller au bout.
Après 140km voilà la descente menant au château d’Alleuze : vigilant je revient vite en tête de groupe, juste derrière Guillaume et aborde la montée parfaitement placé. A ma surprise je suis parfaitement le tempo de Guillaume avant de prendre la tête. Timothée attaque et j’accélère encore : à plus de 5w/kg ça passe encore et je me défais de tout le monde tout en revenant sur Timothée qui a bien compris qu’il valait mieux-être 2 pour rallier l’arrivée. La petite montée de Villedieu ne change rien à l’affaire : nous voyons personne et toujours à plus 5w/kg avec des passages à plus de 400W pas de raison que ça revienne ! Dernière descente et enfin la montée finale : 1,2km à 5,3% sur un bon tempo pour aller chercher une très belle 9eme place (1er des 40-49 ans) juste derrière Timothée. Quelques minutes plus tôt, Lucas Serrières doublait la mise avec une nouvelle victoire devant Sébastien Pillon et Tao Quéméré.
Un bilan plutôt favorable me concernant ; d’une part au vu de la start liste signer un top 10 était très loin d’être une formalité et d’autre part ma fin de course me satisfait pleinement après un passage bien difficile en cours de route. Les chiffres de puissances ne sont d’ailleurs pas si mal pour une telle épreuve : des puissances record approchées autour de 3h10 et 4h40 d’efforts ! Quant au challenge CycloTour Rotor, on peut dire que l’affaire est à présent très bien engagée !
Classement
Site de l'épreuve : https://www.etape-sanfloraine.fr/ ou
Strava
https://www.strava.com/activities/9638683859
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« PREMIÈRE CONSULTATION » DE DOC GYNÉCO : TOUTES LES ANNÉES 90 DANS UN DISQUE
Il est des œuvres qui incarne leur époque. Première Consultation de Doc Gynéco est de celles-là.
Lascar un peu bohème, du haut de ses 22 ans, Bruno Beausir a réuss à proposer, sous un angle bien à lui, un concentré de culture pop. Le football, ses idoles, la politique... tout y passe, sans pour autant donner l'impression de l'entendre réciter un catalogue de références.
À l'image de son écriture et de son flow, Première Consultation glisse en effet tout seul. Plus millésimée que datée, la plume du Doc' s'apprécie ainsi sans nécessairement avoir vécu au temps des magnétoscopes et des baladeurs CD.
Bon après, rien n'empêche de se laisser envahir par un léger vent de nostalgie à la lecture de l'explication de texte qui suit.
Beverly Hills 90210
La ref’ ? « Comme beaucoup de filles tu rêves d’être Brenda/D’avoir ton Dylan et d’insulter ton papa » sur Viens voir le docteur
LA série phare des années 90. L’histoire de gosses de riches qui rencontrent tous les problèmes de la Terre dans la banlieue la plus huppée du monde occidental – de cette petite peste de Brenda qui prenait un malin plaisir à défier le patriarcat pour tromper l’ennui, à ce doux rebelle de Dylan qui ne savait que faire de l’argent de son héritage.
Autant par ironie que par fascination, le Ministère AMER intitulera en 1994 son second album 95200, tandis que Kenzy, le manager et porte-parole de la secte Abdulaï, invitera malicieusement la presse à venir passer ses vacances d’été à Sarcelles en leur envoyant une carte postale des lieux.
R.E.P. Luke Perry.
Les séries AB Productions
La ref’ ? « Tu seras Hélène et je serai tous les garçons/Je serai l’abeille qui va lécher ton miel/Je te ferai ton premier baiser/Mais ne sois pas fâchée contre les filles d’à côté/Qui dans leur classe de mannequin veulent m’attirer » sur Viens voir le docteur
En France, on n’avait peut-être pas Beverly Hills, mais on avait Hélène et les garçons, Le miel et les abeilles, Premiers Baisers, Les Filles d'à côté ou encore Classe Mannequin, des sitcoms encore plus mal jouées et plus neuneus.
Produites au kilomètre par le pape du Club Dorothée Jean-Luc Azoulay, elles mettaient en scène des bandes de jeunes qui passaient leurs vies dans des cafétérias ou en salle de répèt’ à s’inventer des quiproquos plus cringe les uns que les autres, dans une ambiance mi-prude mi-libidineuse toute aussi cringe.
Connectées avant l’heure, les séries AB formaient un multiverse qui n’avait rien à envier au MCU : Justine Girard de Premiers Baisers était la nièce Framboisier de Salut les Musclés, mais aussi la sœur de Hélène de Hélène et les Garçons, qui est elle-même était la cousine de Lola du Miel et les abeilles...
La presse papier adolescente
La ref’ ? « Pour te conseiller je suis OK/Monte sur mon podium/N’aie pas peur de l’homme ni de son spéculum/Tu n’aimes pas les mineurs et préfères les majeurs/Bravo, girl » sur Viens voir le docteur
Bien avant les réseaux sociaux, l’internet et la téléréalité, toute une flopée de magazine aux titres, thèmes et couvertures interchangeables se vendaient chaque mois à des centaines de milliers d’exemplaires (Salut !, Hit Machine Girl, OK Podium, Star Club, Fan 2...).
Pilotés par les maisons de disques et boîtes de productions, ils abreuvaient les teens les plus fragiles de la décennie* de publireportages sur leurs boys bands et stars de séries télé préférés (les 2Be3, les World Apart, la trilogie du samedi soir de M6...).
Il y avait des posters pour tapisser sa chambre, des cartes détachables avec les paroles des chansons, des titres avec des points d’exclamation partout, et des interviews à haute valeur ajoutée qui tournaient sempiternellement autour de la question de savoir si tel ou tel éphèbe était célibataire.
Au début des années 2000, cette presse people pour prépubères ne résista cependant pas à la disparition de ses idoles et à la concurrence de médias et programmes beaucoup plus trash.
* Les vrais lisaient XL, Le Magazine
Le PSG de David Ginola
La ref’ ? « Tu veux sortir et aller en soirée mais il est trop occupé à regarder Weah, Ginola et ses potes du PSG » sur Viens voir le docteur
Chacun pense ce qu’il veut du reboot qatari, mais le Paris Saint Germain des années 90 c’était quelque chose.
Sous l’égide de Canal + entré au capital en 1991, le club s’adjuge sept titres nationaux de 1993 et 1998, participe à trois demi-finales consécutives de coupe d’Europe (éliminant par deux fois le Real Madrid en 1993 et 1994, puis le FC Barcelone en 1995) et remporte feu la Coupe des Coupes en 1996, non sans manquer de peu de réaliser le doublé la saison suivante en s’inclinant en finale.
Entouré des légendes sur le terrain Raï, Bernard Lama et George Weah, le bégé David Ginola contribue pleinement à cette épopée, lui qui en trois saisons et demie, de 1992 à 1995, plante 44 buts et délivre 23 passes décisives.
Largement donc de quoi excuser monsieur de délaisser madame pour passer ses soirées à beugler sur le canapé.
Les numéros de téléphone à 8 chiffres
La ref’ ? « Je t’épelle mon numéro de phone-tél : le trois-six, soixante-trois, soixante-trois, quarante » sur Viens voir le docteur
Le 25 octobre 1985, la France vit une petite révolution : les numéros de téléphone passent de 7 à 8 chiffres.
Sur le coup, certaines voix s’inquiètent du fait que « l’usager va finir par avoir du mal à s’y retrouver », d’autant plus que pour appeler Paris lorsque l’on vit en province, il faut en plus taper le 16 – et le 16 plus le 1 pour appeler la province depuis Paris.
Les numéros payants, ceux commençant par 36, ne sont toutefois pas concernés par cette particularité géographique. Ainsi, où que vous soyez dans l’Hexagone, moyennant 2,23 francs la minute, il vous suffisait de composer le numéro tel quel pour écouter l’oreille sur le combiné des morceaux inédits du Doc’.
Cette redoutable opération marketing tombe toutefois en désuétude le 18 octobre 1996 à 23 heures, quand, sous l’effet « de la généralisation du téléphone portable, de la banalisation du fax, de la croissante des raccordements à internet », les numéros de téléphone passent cette fois de 8 à 10 chiffres.
Les pubs Benetton
La ref’ ? « Dans ma rue, c'est une pub pour Benetton/Et tout le monde écoute les mêmes sons à fond » sur Dans ma rue
Fondé en 1965 par la fratrie Luciano, Giuliana, Carlo et Gilberto Benetton, la marque se fait un nom avec ses pièces bariolées avant d’accéder à la renommée mondiale dans les années 80 grâce à son slogan piqué aux mouvements antiracistes, United colors of Benetton, mais aussi et surtout, grâce à ses campagnes d’affichage mettant en avant des mannequins de toutes origines.
[Et tant pis si désormais le 18ème arrondissement du Doc’ fait malheureusement plus l’actualité pour sa sordide colline du crack que pour la douceur de son vivre ensemble...]
Œuvres du photographe Oliviero Toscani, elles font ensuite disparaître les vêtements au profit d’images choc : une femme noire allaitant un bébé blanc, un curé embrassant une nonne, un homme blanc et un homme noir menottés ensemble, les vêtements ensanglantés d’un soldat bosniaque assassiné par un sniper à Sarajevo, un malade du sida agonisant devant ses parents...
Le scandale n’est jamais très loin et Benetton est régulièrement pris à partie par des associations, quand la marque n’est pas poursuivie en justice.
Dans son livre publié en 1999 La pub est une charogne qui nous sourit, Toscani rejette néanmoins toute accusation de récupération, revendiquant au contraire le droit pour la publicité de se faire éthique et morale.
« Je ne suis pas cynique, je cherche de nouveaux moyens d'expression. Je gratte l'opinion là où ça la démange. Je participe au débat public comme un écrivain, un pamphlétaire, un journaliste. »
Pierre Bérégovoy
La ref’ ? « Comme Bérégovoy, aussi vite que Senna/Je veux atteindre le nirvana » sur Nirvana
Cité non sans un brin de provocation parmi d’autres suicidés célèbres (Patrick Dewaere, Kurt Cobain, Marilyn Monroe, Achille Zavatta…), l’ancien Premier ministre avait mis fin à ses jours le 1er mai 1993, quelques semaines à peine après avoir quitté ses fonctions à Matignon.
Fils d’un capitaine de l’armée ukrainienne reconverti en ouvrier métallurgiste, puis en cafetier à son arrivée en France, Pierre Bérégovoy était l’un des rares caciques de la gauche gouvernementale à être issu d’un milieu modeste.
Diplômé d’un C.A.P. d’ajusteur et d’un C.A.P. de dessinateur industriel, il commence sa carrière professionnelle comme fraiseur avant de s’engager en politique au sortir de la Seconde guerre mondiale.
Nommé Premier ministre par François Mitterrand le 2 avril 1992 à 66 ans, la lourde défaite de son camp aux élections législatives de mars 1993 le pousse à remettre sa démission.
Très affecté par un soupçon de délits d’initiés mettant en cause certains membres de son entourage, ainsi que par la révélation de l’existence d’un prêt sans intérêt qui lui a été accordé pour l'achat d'un appartement quelques années plus tôt, il entre dans une phase dépressive.
Le samedi 1er mai 1993, peu avant 18h30, il subtilise l’arme de son garde du corps dans la boîte à gants de sa voiture et se tire une balle dans le crâne au bord d’un canal de Nevers, la ville dont il est maire.
À ce jour, des rumeurs circulent toujours quant à un éventuel assassinat, même s’il n’existe aucun début de preuve.
Mark Landers
La ref’ ? « Ma tchatche est brossée, tous mes mots sont cadrés/Même Mark Landers en tombe à la renverse » sur Passement de jambes
Dans Olive et Tom, il y avait Olivier Atton, le Tintin du football de jeu d’arcade, il y avait Thomas Price, le gardien dont personne n’a jamais compris pourquoi il avait son nom dans le titre, et il y avait aussi et surtout, Mark Landers, le mauvais garçon dont tout le monde savait qu’il avait en réalité bon fond.
Attaquant vedette de la Mupett et de la Toho, manches roulées autour des épaules façon Ikki dans Les Chevaliers du Zodiaque, il passait son temps à martyriser le ballon grâce à son fameux tir du tigre qui transperçait défenses et filets.
Mis au point en frappant jusqu’à l’épuisement un ballon lesté contre les vagues de l’océan Pacifique (!), ce shoot de la puissance d’un Boeing était alors imité dans toutes les cours de récréation.
Évidemment, avec le recul, difficile de ne pas se montrer dubitatif face à de telles performances physiques, Landers, 9 ans au début de la série (!!), cochant quand même toutes les cases du dopé aux stéroïdes anabolisants – agressivité incontrôlée, biceps de Deontay Wilder et voix de tabagique.
Francky Vincent
La ref’ ? « Y a du zouk à fond, des fruits de la passion, Francky Vincent est le saint patron » sur Né ici
Notre Too Short à nous, version zouk.
Originaire de Pointe-à-Pitre, il se fait d’abord connaitre aux Antilles dans les années 80 avec des chansons grivoises comme La Braguette d'or, avant de rencontrer un succès aussi colossal qu’inattendu en métropole quand ressort en 1994 Fruit de la passion (Vas-y Francky c'est bon).
Vendu à plus d’un demi-million d’exemplaires, au-delà des chiffres, le titre se voit certifié classique dans tous les campings, bals et fêtes de villages de France et Navarre.
Exclusivement positionné sur le créneau de l’obsédé sexuel sympathique et rigolard, Francky Vincent revient sous les feux de la rampe en 2004 avec le très distingué Tu veux mon zizi.
Toujours actif à 66 ans, il a enregistré cette année le duo Éteins la lumière avec Alkpote.
Gageons qu’entre « Francky-cky-cky, gros kiki » et l’Empereur du Sale le courant a plutôt dû bien passer, les deux hommes partageant certains points communs... comme celui d’avoir couché avec une mère et sa fille – le chanteur relate l’anecdote dans son autobiographie Ma Fesse cachée (!?) publiée en 2015, le rappeur s’était lui confié au micro de feu Radio Sexe en 2019.
Le ti’ punch
La ref’ ?: « On coupe la canne pour en prendre le sucre/Mélanger citron vert et rhum Trois Rivières/Bologne ou La Mauny et oui c'est clair » sur Né ici
Le Doc’ en donne carrément la recette.
Le cocktail serait né sur l'île de Marie-Galante, au sud de l'archipel de Guadeloupe, pour fêter le décret d'abolition de l'esclavage du 27 avril 1848. Les habitants, libres et affranchis, auraient célébré cette journée en mélangeant toutes les réserves de sucre et de rhum en stock dans de grands tonneaux en bois.
Autre version : avant d’entamer leurs journées de travail, les ouvriers employés dans les champs de canne à sucre s’envoyaient à l’aube une mixture à base de rhum blanc afin de se donner du cœur à l’ouvrage.
Alliance Etnik
La ref’ ?: « Ma vie n'est pas simple elle n'est pas funky » sur Né ici
Bien qu’au sein du Secteur Ä toutes les occasions étaient bonnes pour taper sur le hip hop de hiphopiens (la fausse unité du mouvement, les dégaines de cainris, la carte d'Afrique autour du cou...), nos amis Sarcellois fustigeaient avec le même entrain « le rap à l’eau » (une expression dérivée de Rap-A-Lot, le label culte de Houston), alias ce rap de « pantins pour promo » dixit le couplet de Gynéco dans Tout saigne.
Outre les Reciprok, Mellowman et autres Menelik qui tournaient alors en boucle sur la bande FM, son plus digne représentant était sans aucun doute le groupe Alliance Etnik.
Apôtres d’une musique zéro prise de tête n’en ayant cure des canons de la crédibilité de rue, K-Mel et ses potes avaient quand même poussé le bouchon un peu loin avec leur single Simple et Funky (extrait de leur premier album du même nom) dont la bonne humeur niaise confinait à la parodie – clip à la Dawson compris.
Le Gynécologue en rajoutera une couche deux ans plus tard avec sa compilation Liaisons Dangereuses en intitulant l’un des meilleurs morceaux du projet Simplet funky.
Jacques Prévert
La ref’ ? « Les seringues mortes se ramassent à la pelle » sur Né Ici qui paraphrase « Les feuilles mortes se ramassent à la pelle », l’entame du second couplet de son poème Les Feuilles mortes
Plus branché La grande vadrouille que Scarface, Bruno Beausir connaît ses classiques du répertoire de la chanson française.
Lorsqu’en 1946 le réalisateur Marcel Carmé entreprend d’adapter pour le cinéma le ballet de Roland Petit Le Rendez-vous avec Les Portes de la nuit, Prévert reprend un air composé par Joseph Kosma pour ledit ballet et y appose des paroles qu'il trouve « simples comme bonjour ».
Las, le film est un échec et la chanson passe inaperçue, d’autant plus qu’à l’écran, Yves Montand, qui tient le rôle principal, se contente d'en fredonner la mélodie.
Tout change trois ans plus tard, quand ce même Yves Montand la réenregistre, puis qu’elle est traduite en anglais par Johnny Mercer.
Les Feuilles mortes s’impose alors dans les années 50 comme un standard du jazz (Duke Ellington, Miles Davis, Chet Baker…), avant d’être repris et interprété par quantité de vedettes (Serge Gainsbourg, Frank Sinatra, Édith Piaf, Jermaine Jackson, Bob Dylan, Iggy Pop...).
Vanessa Paradis
La ref’ ? Vanessa bien sûr !
Quand en 1988, Vanessa Paradis, 16 ans, débute sa carrière en se déhanchant dans son sweatshirt saumon deux fois trop grand au son du saxophone jaune de Joe le taxi, c’est toute une génération de collégiens qui tombent amoureux de son charme de grande sœur.
Et parmi eux, Doc Gynéco, 14 ans.
Huit ans plus tard (entretemps il y a eu la pub mythique pour COCO Chanel, l’album que Lenny Kravitz lui a composé, et le film Elisa où elle se montrait nue), il lui écrit cette ode qui est tient en réalité plus de la chronique sur la masturbation que de la sérénade.
Qu’importe que Bruno lui ait ensuite déclaré en live ses sentiments chez les Enfoirés, Vaness’ n’a pas franchement goûté « l’hommage ».
Les romans d’espionnage S.A.S.
La ref’ ?: « Je lis S.A.S. pour me remémorer » sur Vanessa
Plus de 200 titres publiés, plus 200 millions de livres vendus dans le monde.
De 1965 à 2013, l’écrivain Gérard De Villiers a alimenté l’imaginaire hétérosexuel bêta en contant les aventures du prince Malko Linge, un aristocrate autrichien surnommé Son Altesse Sérénissime.
Embarqué dans de sempiternels complots aux quatre coins du globe, quand communistes, djihadistes et barbouzes n’essayaient pas de lui faire la peau, il enchaînait les conquêtes aux prénoms les plus exotiques (Yona, Aïko, Kali...).
Célèbres pour leurs couvertures et leurs scènes de sexe toutes sauf subtiles (des « poitrines qui défient la gravité » aux « fourreaux onctueux »), les S.A.S. se lisaient en cachette façon Lui ou Playboy.
Les talons carrés
La ref’ ?: « Non, je n'ai pas oublié tous ces talons carrés/Ces filles aux beaux fessiers qui firent fureur cet été » sur Vanessa et « Les sacs remplis de tracts de soirées/La chaussure, rien que pour les talons carrés » sur Les Filles du moove
Parmi les incontournables du vestiaire féminin des années 90 (les Doc Martens, les sandales à plateforme, les Buffalo...), la paire pref’ des filles pour sortir et aller en soirée se devait d’être à talons carrés.
D’une part, parce que leur surface plus large que les talons aiguilles leur permettait de danser toute la night, et de l’autre, parce que cela leur remontait allègrement le popotin, ce qui n’était pas pour leur déplaire.
Vus à l’époque aux pieds de toutes midinettes un brin en vogue (des présentatrices télé de chaînes musicales aux chanteuses de Dance Machine), revival nineties oblige, les talons carrés (une désignation qui regroupe en réalité les talons cubains et les talons de bottier) ont depuis quelques saisons acté leur retour.
Végéta
La ref’ ? « En place, comme Végéta le Super Guerrier de l’Espace j’ai mauvaise réputation et un cœur de glace » sur Est-ce que ça le fait ?
Personnage de Dragon Ball le plus cité par les rappeurs français (et de loin), le Prince des Saiyans fait ici sa toute première apparition dans un texte.
Loué depuis un quart de siècle pour son incommensurable fierté et son impulsivité sans égale (d’aucun murmure qu’il serait algérien), qu’importe des scénarios pas de plus tendres avec lui (en vrai, il se prend quand même branlées sur branlées), sa cote de popularité ne se dément pas.
Végéta ou le Mark Landers de DBZ.
PS : le débat continue de faire rage entre fanatiques de l’œuvre d’Akira Toriyama et ceux des Chevaliers du Zodiaque pour déterminer quid des larmes de Végéta vaincu par Freezer ou de celles de Hyoga face à son maître Camus sont les plus émouvantes.
LE THREAD TWITTER
Article publié initialement sur Booska-p.com le 30 novembre 2022.
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Je ne sens plus rien (I Don’t Feel Anything Anymore) - Réalisation: @noemiemarsily et @carlroosens
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Feeling a little less ill today so back to catching up with articles, but first...
Feeling a little less ill today so back to catching up with articles, but first…
We’re feeling a little less ill with an extreme cold today so we’re back to catching up with the backlog of articles, but first we want to recognize two great and influential moviemakers who recently died, William Klein and Jean-Luc Godard.
William Klein was also, of course, one of the greatest photographers of the twentieth century as well as a universal artist in the way of his teacher, Fernand…
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Luc 6 : 12 et 13.
L'importance de prier et d' être proche de Dieu. Parlez à Dieu comme un Père, un ami. Confiez-lui vos soucis, son fardeau est léger et vous serez libres du poids des pb et du passé 🙏.
Soyez aussi dans la gratitude d' être aimés et pardonnés. Jésus passa la nuit à prier. Et toi quelle durée consens-tu à prier dans la joie et la sincérité ? Dieu aime que vous soyez proche de lui. Comme 1 père aime que son fils se confie et sois proche de lui.
😌 😌
"12 En ce temps-là, Jésus se rendit sur la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu.
13 Quand le jour parut, il appela ses disciples, et il en choisit douze, auxquels il donna le nom d'apôtres"
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MERCREDI 6 SEPTEMBRE
ÉCOUTER LA DOUCE PETITE VOIX
« IL Y EUT LE BRUIT D'UN LÉGER SOUFFLE » 1 ROIS 19.12, BFC
Menacé par Jézabel, Élie s'enfuit dans une grotte. C’est là que Dieu lui dit : « Sors, […] tu te tiendras sur la montagne, devant moi ; je vais passer. Aussitôt un grand vent souffla, avec une violence telle qu'il fendait les montagnes et brisait les rochers devant le Seigneur ; mais le Seigneur n'était pas présent dans ce vent. Après le vent, il y eut un tremblement de terre ; mais le Seigneur n'était pas présent dans le tremblement de terre. Après le tremblement de terre, il y eut un feu ; mais le Seigneur n'était pas présent dans le feu. Après le feu, il y eut le bruit d'un léger souffle. Dès qu'Élie l'entendit, il se couvrit le visage » (v.11-13). Dieu peut me parler n'importe où et n'importe quand. Mais il partage souvent ses plus grandes idées lorsque je suis seul avec lui. Pour entendre la douce petite voix de Dieu, il y a deux conditions. 1) Être seul et silencieux. Je dois me fermer à tout et me concentrer sur Dieu. Tout le monde ne comprendra pas ou n'appréciera pas ce que je fais, mais c’est indispensable pour l’entendre me parler. 2) Se rapprocher de Dieu. On échange en moyenne entre cinquante et cent messages par jour. Si je suis prêt(e) à prendre le temps d'écouter les autres mais pas Dieu, mes problèmes ne seront pas résolus et ma situation ne changera pas. L'auteur-compositeur Everett W. Sugg l'a dit en ces termes : « Seul avec Dieu dans un endroit secret, là dans l'Esprit voyant son visage, gagner plus de puissance pour faire avec lui le voyage, oh j'aspire à être seul avec Dieu. »
B365 — Plan de lecture
Luc 16-17
Prière du jour
Mon Dieu, apprends-moi à écouter ta voix.
The Word for Today écrit par Bob et Debby Gass © UCB UK 2023
Publication Parole du jour © PHARE MEDIA 2023
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LE CINQUIÈME ÉLÉMENT - Un film profond ? - Episode VII
BON. French Side of Tumblr. Faut qu’on parle sérieusement, là.
Ça, c’est le Nexus VI. Et le Nexus VI, c’est LA meilleure chaîne YouTube de science-fiction.
Chaîne YouTube, j’ai dis ? Je m’excuse, je voulais dire MATEZ-MOI LA QUALITE PUTAIN TOUT Y EST LE SCENARIO LE PROPOS LES EFFETS SPECIAUX L’ESTHETIQUE LE JEU D’ACTEUR LA MUSIQUE LA LUMIERE MERDE C’EST BEAU, J’EN CHIALE PUTAIN.
Bref, sinon c’est quoi, Nexus VI ? Nexus VI, c’est de la chronique de science-fiction qui raconte sa propre histoire. Sans trop vous divulgacher (ou vous spoiler, si vous préférez), ça raconte l’histoire du Capitaine, un humain du XXIème siècle catapulté 300 ans plus tard dans l’espace, et qui est aux commandes du vaisseau spatial le plus chiadé de la création fictive. Et l’espace dans 300 ans, disons que c’est pas de tout repos... Le Capitaine (oh Captain, my Captain - oui, j’ai un léger crush sur lui, vous allez faire quoi ?) nous parle de films, de livres, de séries télés, de jeux vidéos, de BDs, tous sur, vous l’avez deviné, la science-fiction, de manière intelligente, profonde, engagé et engageante.
“Le Cinquième élément - un film profond ?”, c’est le septième épisode des aventures du Nexus VI - Chroniques Sci-Fi, et le premier épisode de la trilogie sur laquelle ils viennent de passer les trois dernières années à bosser. Les autres épisodes sont tout aussi fantastiques. Je vous conseille notamment celui sur Cowboy Beebop fait en featuring avec Monsieur François Theurel alias Le Fossoyeur de Films (mon autre grand amour YouTubien, oui j’ai un genre), un double épisode à faire pâlir d’envie Luc Besson ou George Lucas. Et je pèse mes mots.
Bref. Pourquoi je vous parle de ça ? Parce que le Nexus VI est son équipage sont injustement méconnus et mériteraient de gagner de l’audience et des fans.
Donc, ami francophone amateur de SF (et je sais que tu existes), cette chaîne est faite pour toi. Regarde, lâche un pouce bleu, abonne-toi, la totale, tu connais (non, je ne suis hélas pas sponsorisée. Juste très, très fan).
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15 nominations pour LA DÉESSE DES MOUCHES À FEU au Gala Québec Cinéma 2021
Une autre année pas comme les autres pour le Gala Québec Cinéma, alors que les salles ont longtemps été fermées, ce qui n’a pas empêché une vingtaine de longs métrages de fiction de prendre l’affiche.
Dans la catégorie Meilleur film, on retrouve quatre des films qui ont été le plus vus et appréciés, soit Le club Vinland, La déesse des mouches à feu, My Salinger Year et Nadia Butterly, ainsi que Souterrain, dont la sortie a été maintes fois reportée, mais qui sera le film d’ouverture des Rendez-vous Québec Cinéma cette semaine.
Alignement semblable dans la catégorie Meilleure réalisation, avec Anaïs Barbeau-Lavalette (La déesse des mouches à feu), Sophie Dupuis (Souterrain), Philippe Falardeau (My Salinger Year) et Benoit Pilon (Le club Vinland), mais l’industrie a préféré Daniel Roby (Target Number One) à Pascal Plante (Nadia Butterly).
Dans la catégorie Meilleur scénario, encore là, les gros joueurs sont tous là: Normand Bergeron, Benoit Pilon, Marc Robitaille – Le club Vinland, Sophie Dupuis – Souterrain, Philippe Falardeau – My Salinger Year, Catherine Léger – La déesse des mouches à feu, Daniel Roby – Target Number One.
Du côté des actrices, on retrouve Émilie Bierre pour Les nôtres, Marie-Evelyne Lessard pour Jusqu’au déclin, l’actrice américaine Margaret Qualley pour My Salinger Year, Karelle Tremblay pour la coproduction Death of a Ladies’ Man, ainsi que Sarah Sutherland pour Like a House on Fire.
Les acteurs en lice pour l’Iris sont Réal Bossé pour Jusqu’au déclin, Paul Doucet pour Les nôtres, Patrick Hivon pour Mont Foster, Antoine Olivier Pilon pour Target Number One, et Sébastien Ricard pour Le club Vinland.
Dans les catégories « rôle de soutien », on retrouve Sophie Desmarais pour Vacarme, Marianne Farley pour Les nôtres, Éléonore Loiselle et Caroline Néron pour La déesse des mouches à feu, et la mythique Sigourney Weaver pour My Salinger Year chez les dames.
Chez ces messieurs, les finalistes sont Normand D’Amour et Robin L’Houmeau pour La déesse des mouches à feu, Rémy Girard pour Le club Vinland, ainsi que James Hyndman et Théodore Pellerin pour Souterrain.
La catégorie Révélation de l’année est l’une des plus intéressantes selon moi, car c’est un aperçu des visages marquants du cinéma des prochaines années. D’ailleurs, Émilie Bierre et Théodore Pellerin, en nomination cette année respectivement pour un premier rôle féminin et un rôle de soutien masculin, font partie des lauréats passés du prix Révélation. Donc, en 2021, les finalistes sont : Kelly Depeault – La déesse des mouches à feu, Jasmine Lemée – Mon cirque à moi, Rosalie Pépin – Vacarme, Joakim Robillard – Souterrain et Arnaud Vachon – Le club Vinland.
Voici le reste des catégories :
MEILLEURE DISTRIBUTION DES RÔLES
Iris de la Meilleure distribution des rôles
Deirdre Bowen (Deirdre Bowen Casting) | Heidi Levitt (Heidi Levitt Casting) | Bruno Rosato (Rosato Casting) | Supattra « Pum » Punyadee – Target Number One
Marjolaine Lachance (Balustrade casting) – Les Nôtres
Marjolaine Lachance (Balustrade casting) – Souterrain
Murielle La Ferrière, Marie-Claude Robitaille (Casting Murielle La Ferrière et Marie-Claude Robitaille) – La déesse des mouches à feu
Pierre Pageau, Daniel Poisson (Gros Plan) – Le Club Vinland
MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE
Iris de la Meilleure direction artistique
Patrice Bengle, Louise Tremblay – Le Club Vinland
Elise de Blois, Claude Tremblay – My Salinger Year
Sylvain Lemaitre, Louisa Schabas – Blood Quantum
David Pelletier – Mon cirque à moi
David Pelletier – Target Number One
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE
Iris de la Meilleure direction de la photographie
Jonathan Decoste – La déesse des mouches à feu
François Gamache – Le Club Vinland
Mathieu Laverdière – Souterrain
Tobie Marier Robitaille – La nuit des rois
Sara Mishara – My Salinger Year
MEILLEUR SON
Iris du Meilleur son
Pierre-Jules Audet, Emmanuel Croset, Michel Tsagli – La nuit des rois
Sylvain Bellemare, Paul Col, Bernard Gariépy Strobl, Martyne Morin – La déesse des mouches à feu
Sylvain Bellemare, Bernard Gariépy Strobl, François Grenon – Jusqu’au déclin
Stéphane Bergeron, Olivier Calvert, Martyne Morin – Nadia, Butterfly
Luc Boudrias, Frédéric Cloutier, Patrice LeBlanc – Souterrain
MEILLEUR MONTAGE
Iris du Meilleur montage
Aube Foglia – La nuit des rois
Michel Grou – Souterrain
Stéphane Lafleur – La déesse des mouches à feu
Arthur Tarnowski – Jusqu’au déclin
Yvann Thibaudeau – Target Number One
MEILLEURS EFFETS VISUELS
Iris des Meilleurs effets visuels
Alchimie 24 – Sébastien Chartier, Jean-François « Jafaz » Ferland, Marie-Claude Lafontaine – Jusqu’au déclin
Real by Fake – Michael Beaulac, Marie-Hélène Panisset – Target Number One
The Workshop – Barbara Rosenstein, Josh Sherrett – Blood Quantum
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
Iris de la Meilleure musique originale
Olivier Alary – La nuit des rois
Patrice Dubuc, Gaëtan Gravel – Souterrain
Guido Del Fabbro, Pierre Lapointe – Le Club Vinland
Jean-Phi Goncalves, Éloi Painchaud, Jorane Pelletier – Target Number One
Martin Léon – My Salinger Year
MEILLEURS COSTUMES
Iris des Meilleurs costumes
Caroline Bodson – Souterrain
Francesca Chamberland – Le Club Vinland
Patricia McNeil, Ann Roth – My Salinger Year
Noémi Poulin – Blood Quantum
Sharon Scott – Mon cirque à moi
MEILLEUR MAQUILLAGE
Iris du Meilleur maquillage
Kathryn Casault – La déesse des mouches à feu
Dominique T. Hasbani – Jusqu’au déclin
Audray Adam, Sandra Ruel – Souterrain
Joan-Patricia Parris, Nancy Ferlatte, Erik Gosselin – Blood Quantum
Larysa Chernienko, Natalie Trépanier – Target Number One
MEILLEURE COIFFURE
Iris de la Meilleure coiffure
Michelle Côté – My Salinger Year
Stéphanie DeFlandre – Mon cirque à moi
André Duval – Le Club Vinland
Marcelo Padovani – Blood Quantum
Johanne Paiement – La déesse des mouches à feu
MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur film documentaire
Errance sans retour – Mélanie Carrier, Olivier Higgins | Mö Films – Mélanie Carrier, Olivier Higgins
The Forbidden Reel – Ariel Nasr | Office national du film du Canada – Kat Baulu | Loaded Pictures – Sergeo Kirby | Ariel Nasr
Je m’appelle humain – Kim O’Bomsawin | Terre Innue – Andrée-Anne Frenette
Tant que j’ai du respir dans le corps – Steve Patry | Les Films de l’Autre – Steve Patry
Wintopia – Mira Burt-Wintonick | Office national du film du Canada – Annette Clarke | EyeSteelFilm – Bob Moore
MEILLEURE DIRECTION DE LA PHOTOGRAPHIE | FILM DOCUMENTAIRE
Iris de la Meilleure direction de la photographie | Film documentaire
Sarah Baril Gaudet – Passage
Hugo Gendron, Michel Valiquette – Je m’appelle humain
Olivier Higgins, Renaud Philippe – Errance sans retour
Mathieu Perrault Lapierre – The 108 Journey
Marianne Ploska – Prière pour une mitaine perdue
MEILLEUR SON | FILM DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur son | Film documentaire
Pierre-Jules Audet, Luc Boudrias, Olivier Higgins, Kala Miya – Errance sans retour
Stéphane Barsalou, Claude Beaugrand, Julie Innes – Le château
Marie-Andrée Cormier, Olivier Germain, Marie-Pierre Grenier – Prière pour une mitaine perdue
Benoît Dame, Catherine Van Der Donckt – Jongué, carnet nomade
Olivier Germain, Marie-Pierre Grenier – Wintopia
MEILLEUR MONTAGE | FILM DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur montage | Film documentaire
Anouk Deschênes – Wintopia
Olivier Higgins, Amélie Labrèche – Errance sans retour
Annie Jean – Le château
Annie Jean – The Forbidden Reel
Alexandre Lachance – Je m’appelle humain
MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE | FILM DOCUMENTAIRE
Iris de la Meilleure musique originale | Film documentaire
Tom Brunt – Prière pour une mitaine perdue
Martin Dumais – Errance sans retour
Justin Guzzwell, Tyr Jami, Eric Shaw – Sisters: Dream & Variations
Mathieu Perrault Lapierre – The 108 Journey
Claude Rivest – Jongué, carnet nomade
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | FICTION
Iris du Meilleur court métrage | Fiction
Aniksha – Vincent Toi | Vincent Toi, Guillaume Collin
Comme une comète – Ariane Louis-Seize | Colonelle films – Fanny Drew, Sarah Mannering
Écume – Omar Elhamy | Les Films Rôdeurs – Jonathan Beaulieu-Cyr, Paul Chotel
Goodbye Golovin – Mathieu Grimard | Golovin Films – Simon Corriveau-Gagné, Mathieu Grimard
Lune – Zoé Pelchat | MéMO Films – Mélanie S. Dubois
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | ANIMATION
Iris du Meilleur court métrage | Animation
Barcelona de Foc – Theodore Ushev | Theodore Ushev
The Fourfold – Alisi Telengut | Alisi Telengut
In the Shadow of the Pines – Anne Koizumi | Nava Projects – Sahar Yousefi
Moi, Barnabé – Jean-François Lévesque | Office national du film du Canada – Julie Roy
La saison des hibiscus – Éléonore Goldberg | Embuscade films – Nicolas Dufour-Laperrière
MEILLEUR COURT MÉTRAGE | DOCUMENTAIRE
Iris du Meilleur court métrage | Documentaire
Clebs – Halima Ouardiri | Halima Ouardiri
Le frère – Jérémie Battaglia | Les Films Extérieur Jour – Amélie Lambert Bouchard
Life of a Dog – Danae Elon, Rosana Matecki | Entre deux mondes Productions – Paul Cadieux, Danae Elon
Nitrate – Yousra Benziane | Yousra Benziane
Port d’attache – Laurence Lévesque | Elise Bois
PRIX DU PUBLIC
Le Club Vinland – Benoit Pilon | Normand Bergeron, Benoit Pilon, Marc Robitaille | Les Films Opale | Productions Avenida – Chantal Lafleur
La déesse des mouches à feu – Anaïs Barbeau-Lavalette | Catherine Léger | Entract Films | Coop Vidéo de Montréal – Luc Vandal
Félix et le trésor de Morgäa – Nicola Lemay | Marc Robitaille | Maison 4:3 | 10e Ave Productions – Nancy Florence Savard
Flashwood – Jean-Carl Boucher | Jean-Carl Boucher | Entract Films | Go Films – Jean-Carl Boucher, Nicole Robert
Jusqu’au déclin – Patrice Laliberté | Charles Dionne, Nicolas Krief, Patrice Laliberté | Netflix | Couronne Nord – Julie Groleau
Like a House on Fire – Jesse Noah Klein | Jesse Noah Klein | Entract Films | Colonelle films – Fanny Drew, Sarah Mannering | Woods Entertainment – William Woods
Mon cirque à moi – Miryam Bouchard | Miryam Bouchard, Martin Forget | Les Films Séville | Attraction Images – Antonello Cozzolino
Mont Foster – Louis Godbout | Louis Godbout | K-Films Amérique | Les Films Primatice – Sébastien Poussard
My Salinger Year – Philippe Falardeau | Philippe Falardeau | Métropole Films | micro_scope – Luc Déry, Kim McCraw | Parallel Films – Ruth Coady, Susan Mullen
Nadia, Butterfly – Pascal Plante | Pascal Plante | Maison 4:3 | Némésis Films – Dominique Dussault
Les Nôtres – Jeanne Leblanc | Judith Baribeau, Jeanne Leblanc, | Maison 4:3 | Slykid & Skykid – Benoit Beaulieu, Marianne Farley
Rustic Oracle – Sonia Bonspille Boileau | Sonia Bonspille Boileau | 7th Screen | Nish Media – Jason Brennan
Le sang du pélican – Denis Boivin | Denis Boivin | Les Distributions Netima | Productions Dionysos – Denis Boivin
Slaxx – Elza Kephart | Patricia Gomez Zlatar, Elza Kephart | Filmoption International | EMAfilms – Anne-Marie Gélinas | Head on the Door Productions – Patricia Gomez Zlatar
Target Number One – Daniel Roby | Daniel Roby | Les Films Séville | Caramel Films – Valérie d’Auteuil, André Rouleau
We Had It Coming – Paul Barbeau | Paul Barbeau | MK2 Mile End | Reprise Films – Melissa A. Smith, Paul Barbeau
IRIS HOMMAGE
Association coopérative de productions audiovisuelles (ACPAV)
Représentée par Marc Daigle et Bernadette Payeur
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Barbara Loden was born in 1932, six years after Marilyn Monroe, two years before my mother, the same year as Elizabeth Taylor, Delphine Seyrig, and Sylvia Plath. She was thirty-eight when she directed and starred in Wanda. She was Elia Kazan’s second wife. She acted in Wild River and Splendor in the Grass. She should have been in The Swimmer with Burt Lancaster, but Janice Rule got the part instead. She should have been in The Arrangement with Kirk Douglas, but Faye Dunaway got the part instead. She died at forty-eight of cancer. Wanda was her first and her last film. What else? How to describe her, how to dare to describe a person one doesn’t know? You read accounts written by other people, you look at pictures, appropriating a stranger’s face, tugging it from oblivion for a moment. I search for Sebald’s description of Swinburne, leafing quickly through the pages to find it: “He was small of stature, and at every point in his development he had remained far behind a normal size; he was quite startlingly fine-limbed; yet even as a boy he had an extraordinarily large, indeed outsize, head on his shoulders, which sloped weakly away from his neck.” Emily Dickinson, as described by a young woman studying literature: “She had dark hair and gray eyes that, sometimes, even when she was not looking at anyone, shone brightly although her expression remained unchanged.” Pierre Michon’s description of Madame Hanska in which he relates her first encounter with Balzac: “She is aloof and sensual, her lips parted as though she were fighting for breath. She wears a dress of deep purple velvet.” I can hear Jean-Luc Godard’s voice in 2 or 3 Things I Know About Her: “She is Marina Vlady. She is an actress. She’s wearing a midnight-blue sweater with two yellow stripes. She is of Russian origin. She has dark chestnut or light brown hair. I’m not sure which. Now she turns her head to the right but that means nothing.” I try to name things one by one, factually: she is Barbara Loden, she’s blonde, her hair is long and she has bangs, her face is wide, with high cheekbones, a round nose, green eyes that some days seem black—and also: slim, lissom, small breasts, long legs, boots and a miniskirt, a daughter of the sixties. To defend herself she smiles a lot. Her expression is attentive, anxious, sometimes even a little flustered, and then suddenly she flashes that smile. She’s sincere, but without meaning to she often makes you think the opposite. She wears a little marigold-yellow top.
Nathalie Léger, “Barbara, Wanda”
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El test de Course-Navette, conocido también como test de Léger o test de Pi, se hace para comprobar la potencia aeróbica láctica de un sujeto. Es una prueba creada por Luc Léger en la que el sujeto va desplazándose de un punto a otro situado a 20 metros de distancia, realizando cambios de sentido al ritmo indicado por una señal sonora que va acelerándose progresivamente. El momento en que el individuo interrumpe la prueba es el que indica su resistencia respiratoria; es un ejercicio fundamentalmente anaeróbico, pues la intensidad es aeróbica sólo en la primera parte de la prueba, se supera el umbral aeróbico y, posteriormente, el umbral anaeróbico hasta la claudicación.
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LOZERIENNE CYCLO
A Banassac, le 30 avril 2023
Retour avec plaisir en Lozère ce week-end pour la Lozérienne Cyclo, seconde manche des challenges LVO Gravel’TourCannondale et Cyclo’Tour Rotor. Arrivé sur place le samedi la météo est plutôt bonne et permet la traditionnelle balade à la Canourgue, la petite venise Lozérienne. Par contre cela se gâte en fin de journée avec de bonnes pluies laissant craindre le pire pour le lendemain. Cette année le village départ s’installe à Banassac, petit village voisin à 1km du fait d’importants travaux à la Canourgue. Les parcours restent inchangés et le « grand » de l’Aubrac de 150km et 2600m de D+ propose toujours la majestueuse traversée des gorges du Tarn : un des plus beaux cadres de la saison à n’en pas douter !
Dimanche matin c’est bien couvert, humide et un peu de brouillard mais il ne pleut pas : je prends le pari de partir léger sans vêtement de pluie et j’obtient quelques infos me confortant dans ma décision : il n’y aurait pas de brouillard et des routes propres du côté du col de Trébatut pour les 30-40 premiers kilomètres : plutôt une bonne nouvelle. En avance je roulotte tranquillement en rencontrant Jean-Luc Chavanon puis prend place sur la ligne aux cotés de Paul-Emile Lorthior, Thomas Bécarud, Stéphane Cognet. J’aperçois mon grand favori du jour ; Vince Mattens (2eme la semaine dernière en Bourgogne), Bérenger Brossel (vainqueur l’an dernier), ou Tristan Admiral entre autres.
9h00 le départ est donné, neutralisé jusqu’à la sortie du village et dès le coup de klaxon ça attaque : 3 hommes se détachent avant que Stéphane ne sente le danger et tout se regroupe pour aborder la 1ere difficulté : le col du Trébatut. Ça commence mal pour moi puisque je déraille dès les 1ers pourcentages : pas assez d’élan pour remettre la chaine en roulant et je dois m’arrêter ! Le temps de la remettre je repars quasi dernier avec bien 45’’ de perdues et devant, ce que j’espérais à la base se produit : à savoir une montée sur un gros rythme ! Le peloton a explosé en quelques mètres il y en a de partout : le point positif est que je ne suis pas gêné pour remonter ; le négatif étant que je ne vois déjà plus la tête de course ! A fond après de (trop) longs instants, je pense enfin revoir les premiers mais je m’aperçois tout de suite que Vince et Stéphane ne sont pas là, dans ce groupe d’une quinzaine d’éléments. On me dit que 3 sont devant et tout le monde prend mon sillage avant que je place une bonne attaque en pensant que 2-3 en profiterons pour tenter de revenir à l’avant mais quand je me retourne me voilà seul ! Rapidement j’aperçois le trio mais bien 30-35’’ devant, le gros doute s’installe mais voyant l’écart que je viens de creuser avec les autres je me dis qu’ils ne reviendront jamais donc j’insiste. A St-Pierre-de-Nogaret je vois que je me rapproche et revient même à tout juste 15’’ avant de plafonner jusqu’à Trélans sommet de la partie la plus dure du col où le signaleur m’encourage et me dit que je vais rentrer dans la descente qui suit. C’est presque le cas puisque je me rapproche encore et finit pas faire la jonction où Vince et Steph sont bien là accompagnés d’Adrien Vidal. Il reste 11/12km pour rejoindre le Trébatut avant la descente et je reste dans les roues pour tenter de récupérer un peu, avec l’accord de tous.
Soulagé d’être là car je suis à peu près sûr que ce coup-là ira au bout, je sais aussi que je viens de griller plusieurs cartouches et que je ne pourrai faire mieux que 4eme : je vais donc me battre pour ça en espérant accompagner le trio le plus loin possible et avec le plus d’avance possible aussi ! La descente sur La Canourgue est belle et rapide, guidée par Vince tout en se méfiant de la chaussée bien humide par endroit. Peu après on nous annonce 3’ d’avance (presque 4’ en réalité) au moment d’aborder la montée du Sabot. Autour des 5w/kg on participe tous et les relais passent bien ; on ne faiblit pas en haut où sur les faux plats Adrien et Vince passent de gros relais qui commencent à me faire mal. Fin de cette partie avec la descente dans les gorges et grosse frayeur pour Vince au dernier virage avant les Vignes pour un tout droit en ayant heureusement pu s’arrêter dans le bas-côté sans chute ni casse. On poursuit pour 24km pas compliqués jusqu’à Ste-Enimie avec toujours des relais impressionnants et parfois très long de notre ami belge, Adrien fort aussi tandis que Steph me parait bien gérer l’affaire. Quant à moi je fais le job mais laisse de l’énergie, trainant comme un boulet mon début de course ! On demande un écart à la moto nous accompagnant et la réponse très précise nous rassure : ils sont loin… mais loin comment ?
A Ste-Enimie, où nous avons près de 7’ d’avance mais sans le savoir, 3eme grosse difficulté avec la montée de Cabrunas et bien sûr Vince mène le rythme : à 400 W et plus d’entrée, je sais que je ne vais pas tenir longtemps et après un peu moins de 2km je lâche prise … mais pas l’affaire ! Au prix d’un bel effort je reviens avant les lacets avant de céder de nouveau sur une attaque où je réponds pourtant à près de 600W mais ça se calme et je reste encore en vie avant une 3eme accélération. Encouragés pas les autres participants du petit parcours je maintiens l’écart et fini par revenir d’autant que nous sommes à présent sur des % plus roulants. Je reprends alors la direction des opérations en faisant remarquer que ces escarmouches n’étaient pas très utiles puisque j’étais le seul à en souffrir et que je suis hors-jeux pour la victoire finale de toute manière ! De nouveau autour des 5w/kg on poursuit pour finir cette montée et passons de bons relais jusqu’à la baraque de Lutran.
A présent sur le Causse de Sauveterre, le plus dur est passé, mais il reste une multitude de bosses plus ou moins longues et je sais que je suis en sursis… sursis qui va tomber sur la première : pas vraiment défaillant avec encore 400 bons watts, ça ne suffit pas pour tenir le rythme endiablé de Vince : on me dit que je ne suis pas loin mais là c’est fini avec 30’’ de perdues en quelques mètres je ne reviendrais pas et c’est 40km en solo dans la pampa qui m’attendent sans rien savoir des écarts avec les poursuivants (9 bonnes minutes en fait… si j’avais su j’aurai été plus serein !). Je m’attache alors à conserver 5w/kg dans les % les plus importants des bosses tout en restant le plus rapide possible sur les parties roulantes. Au bout d’une dizaine de km, à la faveur d’une grande courbe, j’aperçois le trio à 1’ devant moi : je ne perds finalement pas tant que ça ce qui me conforte. Au Massegros, changement de cap pour revenir sur Banassac ; un peu de vent, des participants du petit parcours et toujours des bosses qui n’en finissent plus : bien moins efficace maintenant je passe fébrilement les dernières difficultés avant d’arriver sur la longue ligne droite du km143 : au bout de celle-ci, si je ne vois personne derrière, ce sera gagné… je me retourne et rien en vue ! Gros soulagement ! Il ne reste que la descente finale où je ne me relève pas pour autant, relançant très fort après chaque épingle et enfin la ligne d’arrivée après 4h12 d’efforts (très) intenses.
Seulement 2’27 plus tôt (comme quoi, seul j’ai quand même assuré sur ces 40 derniers kms !) c’est Vince qui l’emportait au sprint devant Adrien et Stéphane 3eme. Pour moi une 4eme place (2 de cat.) pas si amer que ça et en ayant conservé les 9’ sur Bérenger qui complète le top 5 : déjà au vu de la start-liste ce n’était pas évident et après mon petit incident j’aurai signé des 2 mains pour un tel résultat ! Après bien sûr qu’il y a un peu de frustration de ne pas avoir pu défendre mes chances mais même en arrivant à 4, il n’aurait pu y avoir match qu’avec Steph, les 2 autres étant intouchable pour moi au sprint ; et encore me serait-il resté quelques forces pour cela ? En tout cas la forme est bonne et le succulent aligot saucisse a été correctement englouti ; c’est aussi pour ça qu’on vient, non ?
Classement
Sur le site https://cycling-challenge.fr/lozerienne-cyclo/ ou ici https://lvorganisation.com/lozeriennecyclo2023/#3_24F651
Strava
https://www.strava.com/activities/8983846427
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