#lotissements
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Pérenchies, le lotissement du Temple.
#perenchies#Lille/Roubaix/Tourcoing#flandres#architecture#lotissements#trente glorieuses#urbanisme#banlieue#lotissement du temple
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Aujourd’hui, retour dans le brutalisme, mais cette fois-ci du vrai, du pur, avec le hameau du Ménel à Meximieux (01). Commandé par EDF, dessiné en 1966-67 par René Gagès (1921-2008) et son pote Gabriel Roche, ce petit coin de béton est sorti de terre en 1970 pour loger les cadres et les agents de maîtrise de la centrale nucléaire du Bugey. Les logements, qui vont du T4 au T6, sont répartis sur un, deux ou trois niveaux et ont tous leur accès particulier. Bien qu'étant un quartier « neuf », il a été réalisé dans le style village traditionnel, avec la possibilité de s'isoler. Aujourd’hui, le hameau a été rebaptisé « Lotissement du Ménel ». Ça fait pas rêver, mais bon, c’est bien comme ça que les gens s’imaginent le « paradis » de nos jours.
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lókë & lotissë
#the silmarillion#finrod felagund#curufin#female curufin#curufinrod#i just really like the idea of them being married and having a son#(or two or three if gildor/gil galad are included)#and then it all gets torn apart#they both swear oaths#and it leads to their deaths#so much bittersweet angst#my art#aesthetic#finrod/curufin#tolkien art#loke is serpent in quenya and lotisse is just the phonetic spelling of lotus also in quenya
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Non la poissonnière Panot 😂
https://twitter.com/nous_vivrons/status/1751675447060951391
J’arrive plus à faire la différence à force 😂
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APRÈS LA LEVÉE DE LA SUSPENSION POUR CERTAINES OPÉRATIONS DE LOTISSEMENT, LES CABINETS DE GÉOMÈTRE ET URBANISTE INVITÉS À DEPOSER TOUS LES DOCUMENTS TECHNIQUES AUPRÈS DES COMMUNES AU PLUS TARD LE 10 FÉVRIER 2023.
COMMUNIQUÉ RADIO TÉLÉVISÉ Le Ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable communique:Conformément au relevé des décisions administratives n°38/PR/SGG/REL/Ord du Conseil des Ministres en sa séance du 23 novembre 2022, le Gouvernement a décidé de la mise en œuvre des mesures pour l’assainissement, l’achèvement et la clôture des opérations de lotissement et de remembrement foncier urbain…
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#APRÈS LA LEVÉE DE LA SUSPENSION#AU PLUS TARD LE 10 FÉVRIER 2023#AUPRÈS DES COMMUNES#de lotissement#INVITÉS À DEPOSER TOUS LES DOCUMENTS TECHNIQUES#LES CABINETS DE GÉOMÈTRE ET URBANISTE#POUR CERTAINES OPÉRATIONS
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Les lieux privés
Ces lieux sont dissimulés au regard de tous et toutes. Pour pouvoir y entrer, il faudra payer le prix ou réunir les conditions ; il est aussi possible que l’accès à l’un de ces lieux soit offert en récompense lors d’évènements. Le country club et le bar underground servent à créer des communautés dans la communauté, ou contre la communauté. Ils rassemblent des personnages proches, qui se distinguent du reste des habitants, et qui peuvent alors sociabiliser entre eux. Les mines sont surtout là pour celles et ceux qui ont envie de se créer des frayeurs. Chaque lieu secret aura un sous-forum de flood dans lequel les membres pourront sociabiliser, discuter de sujets éventuels, de liens, etc. Les membres ayant accès à ces lieux pourront aussi choisir d’y tenir des mini-évènements pour se rassembler. Ces lieux ne sont pas inamovibles. Si l’un d’eux n’intéresse personne, il sera tout simplement débloqué et converti en forum standard. Un lieu pourra aussi être fermé définitivement ou temporairement à la suite d’un évènement qui se produit in-game (un incendie par exemple). Et bien sûr, d’autres pourront être ajoutés en fonction de la demande des membres. (note : je réfléchis à ajouter 1 ou 2 autres lieux parce que je me demande si ces trois-là sont suffisants. Je n’ai pas encore fait de choix ; s’il vous vient une idée ou une envie, n’hésitez pas à m’en faire part, et pensez à me communiquer un nom ou pseudo que je puisse ajouter aux crédits.)
Le country club L’entre-soi est nécessaire, parce que l’enfer c’est les autres. Nécessaire à la survie de la caste des notables. Elle se terre dans des lotissements clos et se réunit loin des regards. Leur terrain de jeu favori : le Catasauqua Country Club, rebaptisé mesquinement le Catastrophe Cuntry Club par ses indésirables. Là, on se retrouve entre gens bien. On se régale de mets délicats dans une ambiance feutrée avant une partie de golf. L’été on profite de la piscine. Les frais d’adhésion sont exorbitants, c’est le prix de la tranquillité, de l’exclusivité. N’entre pas ici qui veut parce qu’il faut préserver le statut, et les secrets qui viennent avec. Ce qui s’y passe, ce qui s’y dit, ne quitte jamais les murs de l’établissement. Les employés du lieu sont à la fois complices et victimes de leurs bourreaux, terrifiés par la perspective de perdre leur gagne-pain. La direction joue le jeu, trop contente de glaner chèques et secrets pour se priver d’une telle manne.
Note de jeu : l’accès au CCC est débloqué en dépensant des points seulement s‘il est cohérent que votre personnage y soit accepté. Le staff du CCC et la direction n’auront pas besoin de débourser des points pour accéder au lieu. Il est possible qu’un évènement public ait lieu au CCC, auquel cas tous les membres pourront y accéder de manière temporaire.
Les mines Les longs tunnels désertés des anciennes mines de fer plongent dans le flanc de la montagne. De tous les lieux du coin, c’est l’un des plus maudits. Le traumatisme de la fermeture brutale de l’industrie sidérurgique dans les années 80 survit encore comme un cancer en ville. Les symptômes de cette maladie sont nombreux. Des légendes. Des mineurs disparus s’y trouveraient encore, guettant l’arrivée d’intrus qu’ils attaqueraient violemment. On y trouverait des fantômes et des démons. Certains disent même qu’en s’enfonçant trop loin dans les mines, on finirait sa route en enfer.
Note de jeu : l’accès aux mines est débloqué en dépensant des points. Y poster un sujet comporte des risques car chaque sujet sera visité une fois par le maitre du jeu qui y postera un effet aléatoire. En raison des risques, poster un sujet dans les mines rapportera 2x plus de points qu’ailleurs.
Le bar underground Ici, on vient parce qu’on n’a nulle part où aller. On rejoint les rangs grandissants des alternatifs en tout genre, celles et ceux qui n’ont pas voulu ou réussi à se tailler une existence selon le code de conduite calibré de la vie en banlieue. Le volume de la musique est trop élevé, la bière y est bon marché mais fade, les standards d’hygiène n’y sont qu’occasionnellement respectés. Pour son public, le Fat Felix est un lieu de villégiature nocturne où on peut laisser tomber le fardeau du regard des autres le temps d’une nuit. Mais certain.es le sentent : la pollution a gagné l’écosystème. Les prédateurs ont flairé l’opportunité, car dans ce lieu de liberté relative, on peut se fondre dans la masse avec aisance.
Note de jeu : on peut débloquer l’accès au Fat Felix en dépensant des points de rp ou sur invitation d’un.e autre membre y ayant déjà accès (qui devra alors dépenser ses propres points). Le maitre du jeu pourra aussi offrir l’accès au lieu à des personnages qui pourraient y trouver leur bonheur.
Un dernier mot pour la suite Bravo à vous, vous n’avez fait que des bons choix. J’espère que vous serez un peu moins perspicaces avec les intrigues… Le reste du contenu reste caché pour le moment 😉 Je posterai un autre messages pour la fin de semaine avec quelques questions pour vous, notamment concernant une éventuelle date d’ouverture.
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Bernard Calet - «Lotissement», Plexiglas diffusant, tubes fluorescents circulaires, gélatine rouge, bois, photographie : ©Bernard Calet https://www.reseaux-artistes.fr/travaux/lotissement/
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Ça s'est passé le jour de la démolition d'un de ces immeubles imposants construits dans les banlieues françaises à l'après-guerre.
On avait été relogé·es depuis déjà plus d'un an dans un de ces lotissements On regardait ça depuis un tallus comme un feu d'artifices. Quelques explosifs bien placés et bien coordonnés, le géant s'affaisse, bientôt un nuage de fumée et le spectacle est total.
Comme pour un feu d'artifices, il y avait une foule, un groupe de musique, des jeunes qui buvaient sans doute pour la première fois, des enfants qui courent et jouent en liberté. On a passé la soirée là en famille. On a bu sagement notre rosé, on a partagé notre salade de riz et on a fini par un gâteau aux pommes qu'avait fait Nina. C'était son premier gâteau toute seule et il était pas mal. En tout cas, on l'a encouragée. Et puis, on a rangé et on est rentré·es.
Sur le chemin, il y a eu un attroupement. On a entendu "c'est une petite, putain c'est horrible". On a vu une voiture arrêtée, portière ouverte côté conducteur. J'ai demandé si les secours avaient été prévenus. On m'a dit que oui les pompiers arrivaient. Alors, on a continué notre chemin.
Peut-être 200 mètres plus loin, on a croisé un homme de 35-40 ans qui courrait vers la scène, guidé par un ado, le visage déjà tordu, déjà en sueur. Je me souviendrai de son regard tendu vers la petite. Lui ne nous a pas remarqué·es. On était pour lui juste un décor, au même titre que les lampadaires, l'odeur de poussière et la moiteur de l'été. Un décor sordide qui le hantera sans doute tout le reste de sa vie.
On est rentré·es, on a défait les affaires, on a brossé les dents des enfants, les nôtres, et tout le monde a dormi. Le lendemain, on a regardé l'immeuble s'affaisser à télé-matin. On a parlé avec la voisine, on a dit pauvre petite, et voilà.
J'ai connu Jed.
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Quel dommage ! Ça partait très bien, un lotissement en Normandie, l’ennui, une pluie de grenouilles, des héroïnes féminines atypiques…
Et puis ça a dérapé. C’est bizarre. Après avoir bien posé son ambiance sombre et angoissante dans ce milieu rural aux idées bien arrêtées et peu progressistes, après avoir amené des éléments fantastiques bien choisis, bien lugubres, le dernier tiers nous délivre tout comme dans un manuel explicatif ! Tout se déroule, tout s’éclaire, et l’autrice peine à glisser à nouveau du mystère une fois qu’elle a allumé toutes les lumières. Du coup, la fin paraît fausse.
C’est vraiment dommage. Les ingrédients, les idées étaient là, mais la mayonnaise me semble ratée.
#littérature#livres#litterature#roman#livre#Adeline Fleury#le ciel en sa fureur#éditions de l’observatoire
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Mont-sous-Vaudrey, les nouveaux lotissements
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Vous est-il déjà arrivé de vous dire : « Inutile de repasser par là, je connais ce coin comme ma poche, il n’y a plus rien à découvrir ? » Puis vous prenez une route qui vous avait toujours semblé vide d’intérêt en raison de lotissements affreux qui la bordent et là, surprise, vous tombez sur une boutique oubliée dont vous étiez loin de soupçonner l’existence ! C’est un peu comme si le village avait conspiré pour vous faire regretter d'avoir douté de son potentiel ! Moralité : ne jamais juger un bled (tout comme un livre d’ailleurs), par sa couverture. Ouvrez l’œil et soyez curieux.ses ! Après tout, comme le disait le poète, « le monde est plein de merveilles pour qui sait les voir » !
#MeublesPerraud#CommerceDisparu#BoutiqueOubliee#BoutiqueCachee#CestDeLaFauteDuLotissement#SaintJeanLeVieux#Ain
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Vous rêvez d’habiter un lotissement pavillonnaire ? Vous adorez les destinations touristiques de masse ? Les grandes surfaces ? Avoir un métier vide de sens ? Non ? C’est normal. Après plusieurs décennies d’uniformisation des paysages et de standardisation de l’imaginaire, l’heure est aux expériences authentiques. Chacun d’entre nous aspire à rencontrer de « vraies personnes », à s’installer dans un quartier qui a une « âme », à voyager « hors des sentiers battus »… Mais alors qu’Airbnb, Instagram, les restaurants à la mode et le marketing de la ville cool s’imposent sur le marché du vrai et industrialisent notre aspiration à vivre des expériences « uniques », comment faire la part des choses entre la promesse d’un nouveau monde – où tout serait authentique – et le spectre d’un nouvel âge du fake ? Ce livre tente de répondre au malaise qui touche des générations entières, tiraillées entre l’appel de la modernité et cette course effrénée à l’authenticité. Il aborde la question sous un jour libérateur et décomplexé : et si une identité parodique, ironique et instagrammable était préférable à pas d’identité du tout ?
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Ces colocations qui n’en finissent pas dans des appartements cubiques, ces chaises Ikea sans passé qui n’ont pas d’histoire à raconter. L'étudiant subit un temps ralenti. L'existence traîne, elle tarde inutilement. Le bac, cinq ans, sept ans d’études inutiles. Ecrire sur des feuilles, attendre des cours, attendre des métros, des fêtes, des passages en caisse. Les déménagements. Tout est lent. Le permis de conduire, quitter la maison des parents, habiter avec une compagne, puis avec une autre… Le premier enfant, l’achat de la maison, la promotion professionnelle, la maison secondaire. Tout cela toujours effroyablement lent, prévu, laborieux comme une coulée de boue. Mais dans le même temps la société fonctionne sur un temps accéléré. Immigration, destruction, changement toujours, urbanisme affreux, éoliennes, hangars, gender, migrants, gouvernance, éducation, lotissements, religion, turnover, rachats et fusacs. Tout s'éparpille de plus en plus, se transforme à n'en plus finir, de plus en plus peuplé, absurde, engorgé.
Lounès Darbois
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A Brno (Tchéquie), la villa Tugendhat tient la vedette auprès de tous ceux qui s'intéressent à l'architecture du XXe siècle, en particulier à l'architecture de l'entre deux guerres, moment d'émergence de l'architecture moderne, avec notamment l'école du Bauhaus. Ludwig van der Rohe, qui en fut l'un des directeurs, l'a conçue en 1930.
Son inscription au patrimoine mondial de l'UNESCO a permis une belle rénovation en 2001, mais pour la visiter (en petit groupe), il faut s'y prendre plusieurs mois à l'avance. A défaut, comme nous, vous pourrez l'admirez de l'extérieur puisque l'accès au jardin reliant la villa Löw-Beer en contre-bas est libre.
Quoi qu'il en soit, vous vous consolerez sans difficulté avec pas moins de 760 constructions référencées sur ce site :
Parmi elles, cette villa a titillé ma curiosité par son nom : "villa pour deux jeunes hommes". L'architecte Otto Eisler l'a faite construire pour lui et son frère Mořic, une maison pensée parfaite pour deux jeunes passionnés de sport, de musique et collectionneurs, recevant en nombre intellectuels et artistes.
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R.A. Dvorský et ses Melody boys
Je ne fus guère étonné de lire dans la fiche wikipédia d'Otto Eisler qu'il a été persécuté par les nazis pendant l'occupation allemande de la Tchécoslovaquie parce qu'il était à la fois juif et présumé homosexuel. "En avril 1939, il fut arrêté par la Gestapo et incarcéré à la prison de Špilberk, où il fut apparemment torturé. Lorsqu'il fut mis en congé, il s'enfuit en Norvège, où il arriva le 21 février 1940. Après l'invasion de la Norvège par l'Allemagne, il tenta de fuir vers la Suède mais fut blessé par balle à quelques mètres seulement de la frontière, puis déporté à Auschwitz à bord du SS. Donau. Là, il retrouve son frère Mořic (Moriz), avec qui il survit à la marche de la mort vers Buchenwald."
“Les frères” Rudolf Koppitz, 1928.
Ces deux frères qui vivaient ensemble m'ont rappelé une visite à l'hôtel Martel dans le XVIe arrondissement de Paris, construit peu avant, par un autre grand architecte du "Mouvement moderne", Robert Mallet-Stevens :
#brno#tchéquie#cz#villa tugendhat#mies van der rohe#bauhaus#architecture moderne#xxe siècle#otto eisler#maison pour deux jeunes hommes#fonctionnalisme#robert mallet-stevens#musique#jazz#R.A. Dvorský#melody boys
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