#POUR CERTAINES OPÉRATIONS
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kingonews · 2 years ago
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APRÈS LA LEVÉE DE LA SUSPENSION POUR CERTAINES OPÉRATIONS DE LOTISSEMENT, LES CABINETS DE GÉOMÈTRE ET URBANISTE INVITÉS À DEPOSER TOUS LES DOCUMENTS TECHNIQUES AUPRÈS DES COMMUNES AU PLUS TARD LE 10 FÉVRIER 2023.
COMMUNIQUÉ RADIO TÉLÉVISÉ Le Ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable communique:Conformément au relevé des décisions administratives n°38/PR/SGG/REL/Ord du Conseil des Ministres en sa séance du 23 novembre 2022, le Gouvernement a décidé de la mise en œuvre des mesures pour l’assainissement, l’achèvement et la clôture des opérations de lotissement et de remembrement foncier urbain…
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utank · 24 days ago
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Mayotte
Un tiers de la population est sans papiers. Seule la moitié des habitants est française (ayant droit aux aides). Les statistiques concernent les habitations cadastrales (très minoritaires), et on sent le déni colonial partout dans les analyses journalistiques.
À Mayotte, on est dans les affres les plus extrêmes de la République. Une population blanche et assimilée, privilégiée de fait, utilise au quotidien l’avantage d’une population sous-payée qui vit sous les radars et au rabais, du fait de logements informels, de salaires au noir et d’une volonté de se faire oublier.
Ces populations échappent donc à toute règle, qu’elle soit sanitaire ou locative. Les propriétaires des parcelles indiquaient certainement qu’elles étaient squattées, mais les logeurs et les loyers existent partout ! Les propriétaires fonciers touchaient-ils une part des loyers (vu la densité de masures au mètre carré, la somme globale doit être conséquente) ? On ne le saura pas in fine, mais cet argent partait forcément quelque part… On peut imaginer, en revanche, la collusion tacite des autorités et les corruptions administratives et policières qui permettent à ces situations de perdurer. On les constate jusqu’en métropole, c’est dire...
Les revendications de ces travailleurs n’ont jamais abouti qu’à des sanctions pénales, des expulsions préfectorales, qui ne peuvent aboutir vu les relations avec les Comores. En revanche, les cercles mafieux, les marchands de rêve et les proxénètes, eux, échappent à toute mise au pas. Mais pas les soi-disant "meneurs politiques" des émeutes revendicatrices et donc démocratiques. Ces derniers se retrouvent déportés et neutralisés d’une manière ou d’une autre.
Et c’est là que la vase de la politique postcoloniale resurgit sous la fine pellicule de ciment tout frais. On retrouve du Bob Denard, des juntes mafieuses islamistes, des retournements d’ennemis et des sabordages d’anciens alliés. Cela ressemble à d’autres situations coloniales, mais celle-ci est tardive (1975) et tellement éloignée. Et elle concerne un président encore connu : Giscard.
Comme en Kanaky ou à Mururoa, le lointain révèle nos parts les plus sombres et les salauds les plus aventuriers de nos gouvernements. Il faut bien comprendre toutes les opérations secrètes des années 1975-1980, et celles qui vont suivre, pour estimer les soi-disant "indépendances" des pays et territoires sous l’emprise française.
Cela se traduit dans l’imaginaire et la création par la vague des romans d’espionnage des années 1980, notamment la série SAS. Gérard de Villiers avait ses entrées chez les salauds opérationnels. "Mais pas que" ! En reprenant une enseigne de transport aérien (au départ), puis sa concurrente Air France, en mélangeant les symboles du luxe petit bourgeois (Cognac Gaston Delagrange VSOP, Seiko Quartz pour SAS) et les attributs aristocratiques, il magnifiait un sexe de droite (souvent tarifé ou conditionnel, pornographique, éjaculateur précoce, violent, souvent abusif ou torturant).
Ces récits vantent les espions, barbouzes, agents secrets et leurs gadgets électroniques, mécaniques, connectiques, leurs poisons et leurs armes. Tout cela nous ramène à l’actualité explosive et à la tech meurtrière, qui a toujours la préférence de nos dirigeants. (Les années 1980, c’est le gadget partout et la poudre de perlimpinpin dans le nez ou dans les veines, pour mémoire.)
La France reproduit dangereusement ses dérives postcoloniales et ses dénis d’ingérence et de manipulation. Une transparence sur les actions passées, un enseignement des pratiques réelles et des faits permettraient de ne pas projeter toute une population métropolitaine dans des fantasmes républicains d’une France réifiée.
Non, De Gaulle n’était pas un "émancipateur" des peuples colonisés par leurs indépendances, et surtout pas par leur assimilation citoyenne. Il visait "l’intérêt supérieur de la nation", qui se confondait depuis l’avènement de la République avec celui des grandes compagnies marchandes coloniales.
Non, Giscard ne souhaitait pas l’accès des peuples colonisés à une revendication "majoritaire" en leur sein, quelle qu’elle fût. Les gouvernements successifs ont toujours privilégié l’accès aux ressources, la mainmise économique et les intérêts particuliers, ceci par des opérations secrètes, des manœuvres politiciennes et économiques. Ce sont des faits qui méritent l’éclairage pour une compréhension des situations catastrophiques qui s’enchaînent et de l’incurie des services de l’État aux confins de ses territoires.
On rappelle que ces services sont en mesure d’affréter à prix d’or un jet dans l’heure pour acheminer un tout nouveau Premier ministre vers ses obligations cumulatives d’élu, d’où il se permettra d’allouer une somme dérisoire, mais prélevée sur les fonds publics, à l’aide humanitaire pour Mayotte.
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ombre-originelle · 2 months ago
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Il est assurément plus commode d'être bête que d'être intelligent, comme nous en avons tous fait l'expérience, et certains plus que d'autres. Le vivant choisit toujours le plus facile et répugne naturellement aux complications. Prendre une autre direction que la plus proche, la plus rapide, la plus sûre ou la plus directe suppose des opérations mentales parfois délicates, une réflexion préalable, des comparaisons, une remise en cause, un effort, une anticipation, une projection, une complexité, un délai propres à dissuader plus qu'à stimuler, surtout quand le temps presse ou que la paresse résiste. La bêtise s'ébat dans le spontané, dans l'impulsif, se fie aveuglément au hasard, à la chance, ne calcule pas ses risques. L'évidence lui suffit, le retard lui nuit, le doute peut lui être fatal. L'habitude lui va comme un gant. L'imbécile est dans l'obstination comme un poisson dans l'eau. (...) La civilisation a cru qu'en échappant à la condition des animaux et aux lois naturelles elle s'acheminait vers sa perfection. Il semble qu'on puisse aujourd'hui penser le contraire : on échappe pas à la nature sans verser dans l'erreur, et plus souvent dans la bêtise. Les hommes sont prompts à se targuer de leur propre intelligence et de leurs prodigieuses réalisations, mais, en tenant compte du nombre incalculable d'actions, d'opérations, d'inventions, d'activités dont ils n'ont su ni prévoir, ni mesurer, ni réparer les conséquences véritablement catastrophiques à l'échelle planétaire, ne serait-on pas tout aussi fondé à les tenir pour de prétentieux crétins ?
Armand Farrachi. Le triomphe de la bêtise
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ekman · 11 months ago
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Voici le visage du commissaire du peuple délégué à la censure pour la France, visa d’exploitation UE n°8563447. Cette sympathique tête d’abruti porte de nombreuses casquettes, toutes déformées par sa macrocéphalie gênante et sa réthorique de jésuite marxiste. 
Il s’appelle Christophe Deloire et il est à la tête (haha) de Reporters Sans Frontières, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculés, à la défense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacés, engeôlés, torturés... parfois butés. On se souvient d’ailleurs que son co-fondateur, l’affreuse girouette Ménard, y agit pendant de longues et néanmoins utiles années. ONG de terrain à sa création, “RSF” est progressivement devenue une sorte de chapelle morale à la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rédactions, déjà un divorce, une bicoque à Ré et les gosses HP en garde partagée. Aujourd’hui, “RSF” est une petite usine à gaz armée d’un budget annuel de huit millions d’euros (subventions publiques, mécénat et “fondations” sorosiennes à hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de “ressources humaines”. C’est vous dire si on est contents pour eux, leurs émoluments et leurs notes de frais. 
Cependant, notre carriériste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-président du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartés du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chère à nos élites. Last but not least – comme écrivent encore les rescapés de la presse des années 2000, il a récemment été désigné pour occuper la tête des États Généraux de l’Information, énième pustule macroniste sensée réfléchir à la meilleure façon de bâillonner tout ce qui ne récite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe à merde pour paraphraser Magritte dans son adresse à un critique acerbe, a conduit de main assurée une opération contre l’Arcom, via le Conseil d’État, au motif que la chaîne CNnews dérogerait de manière éhontée à la nécessaire représentation, sur son antenne, de sensibilités politiques diversifiées. Oui, CNews ne proposerait qu’une longue succession d’éditos et de pseudo-débats ultra fachos, indignes de la rayonnante démocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur fréquence à ces fumiers réacs, pense en substance ce petit Béria de bac à sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas t’être trompé de cible ? Ne pensais-tu pas plutôt à la totalité des médias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu t’abaisses à ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dégueulasse qui soit, celui de la censure d’épuration, celle qui traduit un désir de vengeance amère. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, c’est qu’un média que tu ne pourras jamais contrôlé – et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la réalité de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-là – qui représentent quand même plus de la moitié des suffrages exprimés – te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus à un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes. 
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de l’échafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras qu’enculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crâne rempli de sérum égalitaire. Tu te crois pur et vertueux alors qu’il suffit d’observer ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition démesurée. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle à la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews où tu pensais pouvoir faire le bravache, tu t’es retrouvé le slip sur les chevilles, bizuté par d’ignobles nazis en colère. J’ai bien ri à observer ton désarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passé chez ton vieux pote Bolloré.
J.-M. M.
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claudehenrion · 1 month ago
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Et vous ? Ça va comme vous voulez ?
Que nos faux leaders en panne sèche de leadership n'ont-ils pas inventé, depuis 7 ou 8 ans, pour nous faire avaler des potions imbuvables ! Et il faut reconnaître qu'ils ont souvent réussi à nous surprendre, et parfois même à nous leurrer ! Parmi leurs plus belles réussites (c'est à dire celles qui ont le plus retardé leur chute, donc les pires, pour la France et les français), il faut s'extasier sur les titres dont ils se paraient pour mieux nous rouler dans la farine.
Tout a commencé il y a environ 7 ou 8 ans, au moment où les mauvais génies de ''Bildenberg'' ont décidé que Macron était l'homme qui esquinterait le plus vite tout le bel assemblage historique et culturel français, qui était un petit caillou dans leur chaussure et dans leur programme de destruction de tout ce qui s'opposait à leur dystopie majuscule. Ça semblait plutôt facile : il suffisait de balayer Fillon qui, en bon homme de Droite, n'opposerait aucune résistance. Ce qui fut fait.... et ça leur a donné l'idée de refaire le coup à chaque ''Présidentielle'', n'est-ce pas, Marine ?
Et c'est alors qu'on nous a imposé le premier mensonge --énorme, monstrueux, honteux-- de cette longue série-là : ils nous ont sorti de derrière les fagots ''le mozart de la finance'' : on allait voir ce qu'on allait voir ! Et on a vu ! (on a même souffert, sué, râlé, payé cher, beaucoup perdu...). ''C'est un banquier, et de chez Rothschild, s'il vous plaît'', nous rabâchait-on comme si c'était vrai... (NB : dans leur univers de référence, ils n'avaient pas trouvé plus beau compliment : les bobos devaient en être babas, gagas, paralysés par l'admiration, pétrifiés par l'honneur accordé... Certains l'ont été, un temps, mais ça a suffi : le mal était fait, le renard dans le poulailler, et leur faux mozart dans le vrai Elysée).
Vous pouvez vérifier mes dires en jouant avec l'échelle à droite de votre écran. C'est le 4 mai 2017. Il venait d'être élu, et je vous mettais en garde contre le chant des sirènes (Edito n°616) : ''Voilà un homme qui n'a pas la moindre notion de la valeur de l'argent, de ce qu'est un patrimoine, une transmission, une “gestion de bon père de famille”, des économies, et même… la Finance, dont, pourtant, il fut un des ministricules sans responsabilités ni utilité démontrables… ce qui est un juste prix pour le soi-disant ancien-banquier qu'il n'est pas. C'est un “banquier d'affaires” (ce n'est pas du tout la même chose) qui a été parachuté sans jamais avoir à apprendre le “b, a = ba ” de ce métier exigeant : chez Rothschild & Cie, on doit être stagiaire ès PowerPoint, tableaux Excel et nuits qui n’en finissent pas : ''Analyst'', d'abord, puis “Manager”, “Assistant director”, puis “Director”, et enfin “Partner”, lorsque (et si) on a fait ses preuves. Des années de travail pour accéder au ‘’jack-pot’’ qu’il a touché sans coup férir, merci, Bildenberg. Le jeune énarque saute les étapes et, en deux ans, il est catapulté associé-gérant, ce qui va permettre à cet iso-Rastignac de soi-disant conseiller de grandes entreprises dans leurs opérations de fusions-acquisitions (dites “Fusac”!), sans la moindre expérience et sans les connaissances juridiques, comptables, financières et fiscales… ce qui est un comble… ou une anticipation de ce qui nous attend !''.
Et d'ailleurs, tant qu'on y est... le 21 avril 2017, c'est-à-dire entre les deux tours, je vous avais déjà prévenus, chers amis : ''Tout se passe comme si la seule liberté qui nous était concédée se résumait à voter Macron ou Macron, avec plus ou moins d'empressement, de conviction ou de passion extatique… alors que personne ne sait rien sur ce jeunot qui est à la fois fugitif à en devenir transparent et terriblement agressif. Dans son absence de densité réelle, le peu qui transparaît (à travers des discours incompréhensibles, pleins de n'importe quoi et de son contraire) se trouve dans un bouquin, “Révolution”, qu'a commis ce chantre du “ratissage large” fin 2016.
Cet opuscule creux est typique d'une pensée de type “énarque’‘ : 260 pages au terme desquelles on se demande toujours de quoi il s'agit, et surtout comment le programme annoncé (mais pas trouvé !) pourrait être réalisé et (accessoirement !) financé… dont l'auteur parle comme s'il existait… après avoir répété sur tous les tons que la notion-même de ’'programme” correspond à une démarche dépassée. Seule certitude : il tient à être perçu comme “progressiste”, en donnant à ce mot des sens variables pour faire croire que ce défaut majeur de la pensée serait une qualité… ''Mozart de la finance'' ? Et puis quoi, encore ? Pour le grand malheur de notre cher pays, humilié, déclassé et risée du monde, trop de français ont cru aux énormités de la caste au pouvoir et prête à tout pour le garder ! Et nous ne sommes pas au bout des dégâts dont il est capable: il nous rappelait ce soir Jeudi 5 décembre qu'il lui reste 30 mois pour détruire ce qu'il n'a pas eu le temps de bouziller.
L'autre mensonge était moins gros (moins gros gibier) : Barnier, dit on, aurait été un merveilleux négociateur, dans ses différents mandats, notamment à propos du Brexit. Je vais encore me permettre de vous remettre en mémoire que ce blog vous prévenait que ''une fois privé des louanges imméritées du ''Système'', sa ''négo'' relative au Brexit avait été mauvaise du tout au tout et que son seul apport personnel avait été de rendre la sortie de l'Europe bruxelloise si coûteuse et si compliquée qu'elle en devenait impossible''. Et je vous invitais à demander à nos pauvres marins-pêcheurs martyrisés quelle note sur 20 ils attribuaient à Barnier-négociateur..
Je vous suggérais même (édito 1764 du 13 octobre dernier) que... ''Prétendre avancer dans le marigot qu'est Matignon en suivant les étapes d'une ''méthode'', c'est se foutre de la gueule des électeurs : devant 577 clampins (dont les grossiers personnages qui ne savent que beugler des insanités qui sont à son extrême gauche), qui, tous, ne veulent que plus de fric... que peut-il faire ? Ecouter, certes, un peu, puis dire non, refuser, rejeter... avec ou sans débat sur rien, et avec un dialogue ramené au seul mot ''Niet''. Ou céder, s'il est intelligent.
Elargissant la réflexion, j'écrivais avant-même qu'il soit élu : ''Un énarque est un ex-citoyen qui a une religion, l'Etat... un seul dieu, l'Etat... une seule foi, l'Etat... et qui, devant tout à l'Etat, lui promet obéissance et fidélité. C'est, en somme, un homme libre... totalement asservi. Et c'est à des clones comme ça qu'on demande de réguler le fonctionnement et d'optimiser les processus de l'Etat... de faire plus (Bon... à la rigueur !) avec moins (ce dont ils ne comprennent même pas le sens, puisqu'on a tout fait pour qu'il en soit ainsi), et comble du comble, de diminuer le nombre des ponctionnaires, leurs frères...''.
Michel Barnier est un modèle du genre, et le résultat ne s'est pas fait attendre : sommé de faire des économies, il a inventé pour la 200 ième fois la recette-miracle qu'il pense inédite : augmenter les impôts des français, de tous les français mais en ne parlant que des 65 000 les mieux payés, entre temps ramenés à 25 000 (ceux que toutes les entreprises hors de ''l'hexagone'' sont prêtes à surpayer pour les avoir --je le sais : j'en ai fait partie, dans une autre vie, il y a bien longtemps !) et qui vont, une fois de plus, ''se tirer'' à l'étranger, ne nous laissant que les mauvais ! En jargon républicain, le nom de ce jeu de massacre masochiste est : ''la justice sociale'' (NDLR : Zazie avait un joli mot en trois lettres pour qualifier ce gigantesque vol légal !).
Censure actée, il semble que tout était écrit d'avance. Le soi-disant ''fin négociateur'' s'est planté comme un bleu (''Je ne croyais pas que Marine le Pen irait jusqu'au bout.'' a-il osé dire !). Mais quel nul ! Nos dirigeants sont vraiment des bras cassés qui ne savent nous mener que du pire vers le ''encore plus pire''... Mais qu'avons-nous fait au Bon Dieu ? Il est vrai que nous nous sommes gargarisés de l'avoir tué et de n'avoir pensé qu'à le mettre hors jeu. Finalement, on peut Le comprendre... mais ça ne fait pas du tout nos affaires : à l'arrivée des résultats de l'étalage de leur nullité, il ne nous reste que les yeux pour pleurer. Et notre douce France à regretter...
H-Cl.
PS : je pensais terminer sur un compte rendu du discours élyséen (etymologie : ''qui vient du royaume des morts'' !) de ce lendemain de censure. J'en ai retenu que : ''C'est pas moi, c'est elle !''... ''moi, je ne suis ni responsable ni coupable'' ... et '' il nous reste 30 mois pour nous aimer, être d'accord sur tout, faire tout ce qu'on n'a pas fait en 8 ans... Si vous échouez, ce sera vous, les coupables devant l'histoire, de ne pas avoir attrapée la main que je vous tends si généreusement''... Tout ça serait pitoyable, si ce n'était pas dramatique !
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ernestinee · 3 months ago
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J'ai reçu le roman graphique "Tout le bleu du ciel", d'après le roman de Melissa da Costa, pour mon anniversaire. Grosse bd format A4, de 200 pages, avec des belles illustrations.
Je viens de la terminer. C'est une histoire pleine de bons sentiments, deux personnes cabossées par la vie, qui se rencontrent et font un bout de chemin ensemble. Emile a 25 ans, Alzheimer précoce, n'en n'a plus que pour deux ans à vivre et ne veut pas que sa famille le voit dépérir, ni ne lui impose de rester hospitalisé pour des tests sur les effets d'hypothétiques traitements médicamenteux, il passe une annonce pour partir en camping-car avec un ou une partenaire de voyage, et rendre son dernier souffle dans les montagnes. Il rencontre Joanne, qui reste mystérieuse, on apprend son histoire petit à petit, en même temps que lui. C'est l'alchimie entre eux, ils respectent chacun la bulle de l'autre et évidemment le voyage ne sera pas de tout repos.
C'est du feel good à plein poumons, mais avec des petites touches de réflexion sur la maladie, le deuil, le respect des dernières volontés, la perte d'un enfant, le retour en enfance lorsque le cerveau se vide.
Je suis un peu émue dès que je pense à la maladie d'Alzheimer, quand j'avais 19 ans j'ai vu ma grand-mère s'éteindre à petit feu, touchée par cette horrible maladie. Vendredi, j'étais au téléphone avec ma maman, elle a 70 ans cette année, et j'ai remarqué qu'elle cherchait un peu + certains mots, pourtant assez usuels. Sûrement juste de la fatigue, parce que 5 ans après une triple opération cardiaque pendant laquelle elle a bien failli y rester, elle est hyper active toute la semaine mais surtout le vendredi, elle a commencé cette année des cours de dentelle, ça lui demande 4h de concentration assez soutenue, dans une position pas top mais "ça va, je vais aux toilettes handicapés pour faire des étirements, le fais le chat-vache comme la kiné a dit et ça passe". Mais je vais rester attentive à certains signes qu'on peut retrouver dans le langage. C'est un truc qui m'angoisse très fort, la gestion de la fin de vie.
Mon père est décédé à 41 ans, il était en vie et puis il ne l'était plus. Entre les deux, il y a eu une journée de douleurs à la poitrine que cette abrutie de médecin de garde a pris pour une oesophagite. Je crois que je savais que c'était son cœur et je m'en veux encore de n'avoir eu que 16 ans à l'époque et pas suffisamment d'assurance pour aller à l'encontre d'un avis médical.
Mais ça se passe comment quand ça tire en longueur, quand les personnes qu'on aime ne sont plus elles-mêmes, comprennent leur état et en souffrent ?
Finalement le seul truc qui me rassure un peu c'est redevenir l'enfant qui subsiste en chacun de nous jusqu'à la fin, et offrir à nos aînés l'amour et la bienveillance dans les soins. Peut-être l'occasion de leur offrir aussi du temps et de rencontrer l'enfant qu'ils étaient autrefois.
⭐⭐⭐⭐ mais les illustrations font une grosse partie du boulot, pcq l'histoire ne m'a pas transportée, c'est un peu trop feel good à mon goût, je suis une vieille aigrie. J'ai néanmoins apprécié ce moment chill et apparemment ce roman est un must read pour les amatrices et amateurs du genre. Puis ça a permis de parler de la fin de vie, tiens d'ailleurs j'avais réfléchi récemment aux limites du deuil, je ferais bien un billet là dessus à l'occasion, pour l'ambiance.
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aurevoirmonty · 29 days ago
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Révélations extrêmement inquiétantes concernant les futures préconisations de la HAS sur les parcours médicaux trans.
On apprend que la HAS va préconiser :
l'autorisation d'opérations génitales à partir de 16 ans (actuellement, la loi française permet l'ablation des seins à partir de 16 ans, l'administration de traitements hormonaux dès l'enfance, et les opérations dites de "réassignation sexuelle" sont autorisées à partir de 18 ans) ;
la déchéance de l'autorité parentale dans des cas où les parents s'opposeraient à ce qu'on fasse transitionner leurs enfants ;
la mise en place d'un véritable service public de la transition de genre, avec une augmentation des moyens (rappelons que dans certains départements, il faut faire une heure de route pour aller à la maternité, et attendre six mois pour un rdv chez l'endocrino ou l'ophtalmo) ;
la fin totale des évaluations psychiatriques (en même temps, la dysphorie de genre a déjà été dépsychiatrisée, donc c'est une suite logique.
www.lefigaro.fr/actualite-france/la-haute-autorite-de-sante-veut-un-acces-gratuit-a-la-transition-de-genre-pour-tous-a-partir-de-16-ans-20241212
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equipe · 8 months ago
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codumofr · 4 days ago
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Photo de la première opération avec une représentation officielle sous anesthésie générale en Octobre 1846. Fait dans le General Hospital de Boston sous la supervision du Dr. John Collins Warren, elle sera réalisée grâce à de l'éther et cela sera le chirurgien Henry Jacob Bigelow qui s'occupera de l'opération. Le Chirurgien, outre sa contribution à l’anesthésie, sera aussi contribuable de l’avancée de l’orthopédie et de la médecine en règle générale, donnant ainsi des descriptions de fractures et de luxations qu’il reporte dans de nouveaux et cas et résume les techniques et instruments utilisait lors de ses opérations dans le but de soigner ses blessures. Connu pour sa description détaillée du ligament ilio-fémoral qui aujourd’hui, porte son nom, mais aussi pour sa manœuvre de réduction des luxations de hanche, il est par ailleurs reconnu dans le domaine de la lithotritie. Il fut aussi le premier à promouvoir l’anesthésie générale en chirurgie dans un article du nom de Insensibility During Surgical Operations Produced By Inhalation qui sera publié par le journal du Boston Medical and Surgical Journal (qui deviendra plus tard le NEJM). Cet article sera un des tournants majeurs dans l’histoire de la chirurgie et de l’anesthésie. Pour ses publications, 34 de ses dernières seront mentionnées dans son mémoire. 13 Parlerons des techniques d’anesthésie, disant même que “Les deux plus grands fléaux de la vie sont l’ignorance et la douleur”. Il est aujourd’hui difficile de saisir l’importance et l’incroyable avancée que cela à permis. Avant l’anesthésie à l’éther, les opérations été quelque chose de craint et redouté à cause de la douleur occasionnée et peu d’opération resté possible. C’est l’introduction de l’anesthésie qui à tout changée et permettant ainsi au chirurgien de ralentir alors qu’avant, la vitesse été le maître mot. Cette invention à ainsi permis de développer les opérations des zones dites “interdites” qui n'étaient pas opérables auparavant. L’intérieur de l’estomac, le crâne ou même encore la poitrine été ainsi opérable grâce à cela et permis donc probablement de sauver de nombreuses vies. John Collins Warren fut un des membres fondateurs du General Hospital de Boston ou aussi nommé Massachusetts General Hospital. Il est un des premiers docteurs à s'intéresser à l'anesthésie générale. Toutefois, ses hommes et cette opération n’est pas le début de l’histoire de l’anesthésie générale.
Effectivement, de nombreux manuscrits médiévaux font état de l’utilisation de boissons à base de plantes permettant de faire entrer un patient dans un état qui permettait une chirurgie sans douleur. Dans une grande partie de l’Europe, ce travail a été généralement effectué par des moines possédant de vastes jardins d’herbes dans leurs monastères. Ceci permettait ainsi de disposer d’ingrédients pouvant être cultivés puis plus tard utilisés dans ce domaine. Le rapport thérapeutique/toxicité devait être très faible à l’époque tandis que la certitude de l’efficacité des recettes entre elles reste à débattre et certaines pouvant l’être moins qu’une autre. Ainsi, de vastes corpus de manuscrits ayant été rédigés dans les cultures non occidentales existent aussi. Les textes chinois, les Védas indiens et les manuscrits chinois n’ont été que très peu explorés et uniquement par des personnes issus de ses cultures, sans pour autant aider à la diffusion de ses idées.
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lepartidelamort · 7 months ago
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L’armée française finalise son déploiement en Ukraine
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Nous l’avons hurlé sur tous les toits pendant deux ans, à présent nous y sommes.
Hélas, maintenant que c’est officiel, il ne se produit rien. La plèbe française marche à l’abîme comme un somnambule.
RFI :
Les lignes bougent vite en Ukraine et les dernières réticences occidentales tombent les unes après les autres. Après l’autorisation de frapper le territoire russe avec des armes occidentales, la seconde ligne rouge qui pourrait prochainement voler en éclat concerne l’envoi de soldats occidentaux sur le sol Ukrainien. Emmanuel Macron pourrait en faire l’annonce le 6 juin, à l’occasion des cérémonies du débarquement et en présence du président ukrainien Volodymyr Zelensky. L’idée fait son chemin et semble même très avancée. Le 20 mai, le général Thierry Burkhard, chef d’état-major des armées françaises, était à Kiev. Une semaine plus tard, le commandant en chef des forces armées ukrainiennes Alexandre Syrski a possiblement vendu la mèche en annonçant avoir déjà signé les documents qui permettront aux militaires français de visiter les centres de formations ukrainiens. « La formation sur le sol ukrainien fait partie des chantiers discutés », se contente de dire le ministère des Armées à Paris. Mais l’hypothèse d’instructeurs français en Ukraine prend corps, analyse Elie Tenenbaum, directeur de recherche à l’Institut français des relations internationales : « Il ne s’agit pas pour l’instant, dans ce qui circule, de troupes de combat. Il ne s’agit pas d’opérations de combat à mener en Ukraine. Il s’agit de personnels militaires qui prolongeraient la formation qui est donnée aux soldats ukrainiens. Et il s’agirait ici, de prolonger, du côté ukrainien de la frontière, cette formation. Sachant que ça permettrait aux Ukrainiens de gagner du temps, le temps de déplacement, de s’approprier les enjeux immédiats du terrain, et cetera. »
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Elie Tenenbaum aime la guerre, il est également juif, comme Zelensky
Reste à définir le cadre permettant ce déploiement, car là encore tout le monde n’est pas sur la même longueur d’onde, rappelle Elie Tenenbaum : « On imagine plus difficilement un déploiement sous un format Eumam [La mission d’assistance militaire de l’Union européenne en soutien à l’Ukraine, est une opération de l’Union européenne décidée dans le cadre de la politique étrangère et de sécurité commune, NDLR] de l’Union européenne par exemple, parce qu’on sait qu’il y a certains pays pour lesquels cette option n’est pas acceptable, dont l’Allemagne. Donc un format ad hoc avec une coalition de pays volontaires dont la France. Mais on sait qu’il en existe d’autres, la République tchèque, la Pologne, sans doute plusieurs pays baltes, au moins l’Estonie. On pourrait imaginer un cadre strictement ad hoc avec une nation cadre coordinatrice de l’effort mis en place. » La France pourrait prendre la tête de cette coalition d’Instructeurs pour l’Ukraine et pourrait l’annoncer dès la semaine prochaine lors du D-day, pensent certains. Il y aurait d’abord une mission d’évaluation, disent des diplomates français cités par le journal Le Monde, avant d’envoyer plusieurs centaines d’instructeurs, essentiellement pour des missions de maintenance des matériels fournis à l’Ukraine, pointe le spécialiste de l’armement Léo Péria-Peigné, chercheur à l’Ifri : « L’intérêt d’envoyer des formateurs en Ukraine, il est limité. Déjà, on les mettra sur un pan restreint du territoire parce qu’on ne peut pas les approcher trop près du front. On ne pourra pas leur faire organiser de grandes opérations d’entraînement à ciel ouvert parce qu’il faut quand même éviter de prendre une munition russe. Donc, c’est assez contraint. Il y aura probablement du déminage, des opérations de maintenance, de l’apprentissage du commandement, autant d’éléments qui peuvent se faire en intérieur. Maintenant, ce qui va être intéressant, c’est voir ça comme un premier pas, est-ce que ça peut dériver sur autre chose, une fois qu’on aura le pied là-bas. » Et une question reste en suspens, rappelle Elie Tenenbaum, quelle serait la réaction de Moscou à l’arrivée en Ukraine d’instructeurs occidentaux ? « Tout est possible. La Russie pourrait décider de laisser passer, comme elle a laissé passer, le soutien en matériel jusqu’à présent, en sachant que c’est une démonstration de la solidarité vis-à-vis de l’Ukraine. Et ça n’aurait pas forcément un impact immédiat sur le terrain et sur le rapport de force entre la Russie et l’Ukraine. La Russie pourrait finalement décider de l’accepter. Elle pourrait aussi décider de marquer le coup avec des actions hostiles et des frappes, avec des tentatives de déstabilisation. Et là, bien évidemment, il faudrait voir quelles sont les réponses qui peuvent être envisagées. Je pense qu’on y travaille d’ores et déjà avec nos alliés et avec nos partenaires ukrainiens. » La présence de soldats occidentaux sur le sol ukrainien pourrait-elle être interprétée comme une cobelligérance ? L’Estonie, favorable à l’initiative, assure qu’il n’y a dans cette démarche, rien d’escalatoire.
Tout est soigneusement mis en place et ce n’est même pas un secret. Ces quelques centaines « d’instructeurs » sont un appât, aussi bien pour la Russie que pour l’opinion publique française. Le but est d’en faire tuer un certain nombre par les Russes pour justifier l’intervention ultérieure des troupes de l’OTAN.
Au premier soldat français tué, le système saturera l’espace médiatique d’appels patriotards et menacera d’arrêter quiconque fait mine de ne pas soutenir l’entrée en guerre.
L’infrastructure de contrôle mise en place lors du Covid va être utilisée pour surveiller tout le territoire, faire appliquer un couvre-feu, restreindre les activités de la population, surtout politiques, et procéder à des arrestations administratives d’opposants.
L’autre avantage, c’est que Macron pourra se maintenir au pouvoir indéfiniment. Il suffit de regarder l’état de la dette française pour comprendre que la guerre est le moyen pour Macron et la caste dirigeante qu’il représente de se maintenir au pouvoir.
Les juifs de BlackRock n’ont pas investi pour rien en Ukraine. Il n’y a pas de retour en arrière possible.
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Démocratie Participative
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selidren · 11 months ago
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Eté 1916 - Champs-les-Sims
3/15
Ce qui est certain, c'est qu'il l'a aidé à traverser son deuil, et elle parle toujours de lui en bien, quelle que soit la tension qui ait pu exister précédemment. Ils traversent au quotidien les mêmes difficultés, les opérations chirurgicales périlleuses, la détresse des malades et leurs propres angoisses. C'est selon elle un quotidien étrange, où l'on côtoie à la fois la misère des vies brisées par les batailles et la nécessité de rappeler aux patients que les statues du collection du hall d'entrée ne sont pas un support à graffiti.
Transcription :
Rose « Par quoi commencer… Je le connais depuis toujours, nous avons presque grandit ensemble. C’est un grand timide et pourtant, nous nous ressemblons beaucoup. Nous voulions tous les deux quelque chose qui semblait hors de notre portée, alors nous nous sommes naturellement rapprochés. L’amour est… oui je dirai qu’il est venu naturellement, comme une sorte d’évidence. Il a un optimisme indécrottable, il m’a rassurée et soutenue tant de fois que je serai bien en peine de les compter, avant même que je me rende compte de ce qu’il est réellement pour moi, avant que je ne réalise qu’il a toujours eu tendance à s’oublier pour moi. Quand on m’a remis dans les mains mon diplôme, j’ai vu tant d’amour et de fierté dans ses yeux que je me suis jurée que ce serait son rêve que nous réaliserions après cela. Pourtant, au final, ce n’est jamais arrivé. »
Armand « La guerre... »
Rose « Cette saleté de guerre oui ! Dans sa famille, on est militaire de carrière, il n’a pas pu y échapper. Crois moi pourtant quand je te dis que j’ai essayé. Mais il n’y avait pas que cela. Il a renoncé, lui le grand optimisme qui m’a toujours vue devenir médecin, il s’est enterré dans cette carrière héréditaire qu’il a toujours considérée comme médiocre. Sans doute étais-je aveuglée par ma propre réussite, ou alors je me disais qu’une fois la guerre finie, il pourrait démissionner et faire fis des convenances. Tout cela a été balayé quand cette tranchée s’est effondrée sur lui. »
Armand « Il est arrivé la même chose à un de mes cousins. Il venait d’avoir vingt ans et il voulait passer un brevet de pilote quand tout serait fini. »
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recits-erotiques-by-lexiie · 9 months ago
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Opération speciale
Chap: 1
Ce soir, il m'a prévenu que l'on allait sortir. Comme souvent.
Je suis assise à côté de lui, côté passager. Mes chevilles liées par des menottes dont il garde la clef dans sa poche de pantalon. Une vieille habitude depuis que je vis chez lui. Ou plutôt, depuis qu'il m'a interdit de partir de chez lui!
Il a toujours peur que je me sauve. Il m'attache ou m'enferme en permanence. Pour moi ce n'est pas vraiment une nécessité, je n'ai pas d'endroit où aller, pas d'argent. Je ne sais même pas si je partirais dans l'éventualité où il me laisserait libre.
Il est dur mais plutôt juste. Je subis au quotidien. Je m'attache à lui comme un otage qui se lie à son gardien. Je m'habitue à cette vie finalement. Mon cerveau se vide.
Plus d'envies. Plus de rêves.
Je deviens un automate. Je subis sans me plaindre. Les quelques punitions que j'ai reçues les premiers temps m'en ont dissuadées. Les cachets qu'il me donne plusieurs fois par jour aussi j'imagine. Je me sens las. Sans énergie. Je n'étais pas comme cela avant.
Il est pharmacien. C'est facile pour lui de me rendre à sa merci. De me droguer. De faire de moi un zombie.
Nous avancons dans Strasbourg et nous nous rapprochons du centre. Le regarde par la fenêtre de la voiture. Le regard vide. Le paysage urbain défile. Des lumières. Des boutiques en train de fermer. Des passants.
J'imagine la soirée que je vais passer.
Je n'ai pas peur. Je n'ai plus peur. Je m'habitue a être malmenée. J'aurai mal sans doute. Je passerai un mauvais moment. Ça m'est égal. Je pense à après. Quand il irait travailler demain matin. Je serai enfin seule. Enfermée dans ma chambre. Mais seule. Je dormirai. J'ai toujours envie de dormir depuis que je suis chez lui. Les cachets sans doute...
Il se gare le long d'un trottoir. Il y a un peu de monde dans la rue. Je pourrais crier. Demander de l'aide.
Même pas la force. Même pas l'envie. Juste l'idée qui me traverse l'esprit...
Il défait les menottes et me regarde d'une manière menaçante:
- Je te fais confiance petite pute! Tu restes bien docilement à côté de moi, d'accord?
- oui Maître.
Je me garde bien de lui dire que je n'ai pas la force ni l'énergie de fuir ou de demander de l'aide. Il doit bien le savoir de toute manière.
D'ailleurs je ne peux pas lui parler. Il me l'a interdit. Je peux juste lui répondre. Et encore, avec calme, politesse et en baissant les yeux! Réponses courtes obligatoires. J'ai été punie plusieurs fois au début pour manque de respect. Je fais attention désormais. Ses punitions font trop mal.
Il fait le tour de la voiture et m'ouvre la portière.
- merci Maître.
Il me prend sous le bras, gentiment.
Nous commençons à marcher. Comme des amoureux. Nous donnons le change j'imagine, pour les autres passants.
Je fais l'objet de quelques regards de mecs que nous croisons. Je suis habillée un peu court pour ce début de soirée. C'est lui qui choisi mes tenues.
Il est fier que les hommes me regardent.
Il me chuchote à l'oreille:
- tu vois petite pute, tu plais aux hommes! Je suis fier de toi!
- merci Maître... je réponds en chuchotant également.
Dans ma tête, un sourire passe. La satisfaction. J'avoue ressentir une certaine fierté à plaire. Presque de l'excitation.
Nous arrivons en bas d'un immeuble. Il sonne.
Nous entrons lorsque la porte se déverrouille....
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abridurif · 1 year ago
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Je ne sais pas si vous avez été opérés mais ceux qui ont été opérés ont cette expérience qui me paraît faire comprendre des choses, ceux qui ont subi une opération importante. Faire de la figuration, ce serait représenter une opération. Aucun intérêt évidemment. Mais dans une opération, il y a quelque chose de très bizarre, c’est que, même lorsque l’opération ne mettait pas la vie en danger, il suffit de regarder après le type qui en sort, c’est absolument comme s’il avait vu la mort, mais vu sans tragique. Je veux dire : les yeux d’un opéré frais sont extraordinaires. Si vous n’en avez pas eu autour de vous, faites les cliniques. Il faut avoir vu ça, je crois, pas par curiosité. Je ne dis pas des choses de petite perversion lamentable, je dis des choses presque de tendresse. Si vous voulez sentir vraiment quelque chose pour l’humanité, voyez des gens qui se sont fait opérer. Les yeux sont comme lavés, comme s’ils avaient vu quelque chose qui n’était pas horrible, comme s’ils avaient vu quelque chose qui ne peut être que la mort, qui ne peut être qu’une espèce de limite de la vie. Ils en ressortent avec cette espèce de regard très pathétique. (…) Leur corps a compris quelque chose, qu’ils vont ensuite oublier tellement vite. Dommage. Une espèce de bonté, de générosité émane d’eux, car cette mort qu’ils ont vue, et qui devient visible dans leurs yeux, c’est très curieux, dans la mesure où elle devient visible, elle cesse d’être l’ennemie, elle est d’une certaine manière l’amie, c’est-à-dire : elle devient en même temps autre chose que de la mort. Or c’est ça que rend un grand peintre. Gilles Deleuze, Sur la peinture – Cours mars-juin 1981, Les Éditions de Minuit, 2023
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claudehenrion · 4 months ago
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Espoir ou naïveté ?
Après quelque 50 jours d'errances apparemment sans raison, sans but, sans fil conducteur et sans aucun espoir de s'en sortir autrement que par le bas, l'irruption de Michel Barnier parmi les ''papabili'' a surpris. Moins, toutefois, que sa nomination à l'Hôtel Matignon, 48 heures plus tard. Pourtant, quand on compare les autres candidats en lice (des esprits de seconde classe ayant à leur actif des succès que personne n'a jamais remarqués), Barnier (technocrate réputé brillant mais, en vérité tout-à-fait terne et pas très malin) est un espoir... inespéré, un Pierrot lunaire.
Je ne suis pas absolument sûr que tout le monde se soit bien rendu compte de la gravité de la situation dans laquelle se trouve la France. Essayons de la résumer : un''round'' d'élections européennes prévu de longue date a donné un résultat catastrophique au parti présidentiel –ce qui n'est pas étonnant : il a tant accumulé d'erreurs et d'horreurs qu'il s'est mis à peu près tout le monde à dos. De colère (NDLR : une vraie colère de gamin mal élevé et trop gâté qui n'a pas appris à se contrôler et casse son jouet, de rage), notre président a tout foutu en l'air... ce qui ne pouvait que créer des problèmes insurmontables, mais sûrement n'en résoudre aucun, quelques soient les mensonges qu'il a inventés par la suite pour faire croire que l'impensable était explicable. Peine perdue : personne ne l'a cru, et c'est très bien comme ça.
Là, retour aux urnes et poursuite de l'opération-vérité : la France est majoritairement à droite, très à droite, même... et le raz-de-marée RN annoncé se concrétise lors du premier tour -càd avant les magouilles. La stupeur de tout se qui penche à Gauche est immense et tourne au désespoir : ''Ces gens qui nous ont percés à jour et veulent la fin du ''Système'' que nous avons si péniblement construit à coups de mensonges et de viol des esprits ne vont tout de même pas nous piquer, en plus, nos prébendes, notre corruption et les places où nous sommes si bien...''. S'en est suivi une opération de viol des foules jamais vue dans l'histoire : en quelques jours, des milliers de marteaux-piqueurs et de marteaux-pilons ont réussi à faire croire à des foules temporairement décérébrées que les diables rouges (NB : Pas les footballeurs belges ! Les ravageurs !) et les soutiens des black-boks –qui n'ont que la destruction sans retour de tout ce qui marche-- étaient moins dangereux que les Droites, automatiquement qualifiées ''d'extrêmes'', sans la moindre raison... ou parce qu'un de leurs ancêtres aurait pactisé avec les boches, accusation qui devrait commencer à être périmée, 80 ans plus tard.
Mais pas du tout ! Un certain nombre de français a mordu au gros leurre brandi par les gauches (mélenchonienne ou macronienne) qui (se) racontaient sans se lasser qu'un parti ayant ramassé, en trichant sans vergogne, dans les 6 millions de suffrages, se classait premier, avant celui qui en avait conquis 11 millions, sans magouilles, lui. Mais ceux-là, le ''Système'' va les faire taire : ils ne sont pas fréquentables... par les infréquentables. On peut en avoir honte, mais bon nombre de ceux qui allaient voter ''RN'' ont retourné leur veste et offert leur suffrage à la pire engeance qui ait jamais pollué nos palais nationaux, la Gauche extrême, celle qui, sans limite, sans raison, sans intelligence... est décidée à créer l'irréparable en rendant les ruptures définitives et sans retour possible : on leur a fait croire le Mal à l'état pur était préférable à une menace i,vntée de toutes pièces. Et le plus honteux, c'est qu'ils ont voté pour la peste et le choléra... et s'étonnent d'être dans la m..... la plus complète !
Dès le réveil de cette ''cuite'', les français ont réalisé ce qu'ils avaient fait, et ont eu honte de cette monstrueuse erreur. Mais là, autre piège : à 98 %, la Presse française ne sait que relayer les mensonges de la Gauche. Et la valse-hésitation qui camouflait la procrastination pathologique du chef est devenu le ''pense-crétins'' soi-disant incontournable de la France : le choix est entre Cazeneuve et Bertrand , la vieille gauche mitterrandienne et la droite-à-gauche chiraquienne. ''Et si vous ne choisissez pas un de ces deux-là, on vous colle Lucie Castets'', un casse-tête qui mérite bien son nom. On comprend mieux le ''Ouf'' de soulagement qui a suivi le choix –contraint et forcé, par absence d'alternative-- de Michel Barnier. .
Dans cette optique, même pour moi qui l'ai fréquenté jeune, il faut applaudir des deux mains, sans attendre : il paraît être le ppcm du pgcd : il présente bien, dans le genre ex-premier prix de thème et ex-gendre idéal, et il a retourné assez souvent sa veste pour que chacun y trouve un peu de ce qu'il cherche. De fait, je constate comme une vague de soulagement autour de moi et chez mes correspondants, et d'ailleurs, les sondages ont très vite bougé dans le bon sens (pour lui). Il faut reconnaître que l'alternative serait tellement terrifiante que le souhait se répand ''Pourvu qu'il tienne, et que le RN (ex-honni, ex-satanique, ex-''extrême'', ex-nazi et ex-que sais-je encore : la Gauche n'a jamais honte d'inventer… ce qu'elle ose prétendre !) soit plutôt grand seigneur et sache ''pardonner les offenses passées''.
Question non posée : ''Hors du blabla convenu, qui est vraiment Michel Barnier ?''. Indépendamment de se dire ''gaulliste et européen'' (sic ! Il faut oser ! Avant la prise de contrôle du vocabulaire par les gauchos, on appelait ça ''un nègre-blanc''), il a ��té l'homme qui a rédigé le lamentable traité de Lisbonne qui a fait et continue à faire tant de mal et tant de dégâts... Il a été l'homme du Brexit, et il voulait tellement que son fantasme d'une Europe anthropophage prévale qu'il a tout durci pour rendre la fuite de l'Union impossible et pour punir la Grande Bretagne en rendant la suite quasi invivable pour les grands bretons... Il en a profité pour, comme le souhaitait la mère Von der Machin, sacrifier à jamais toute la pêche française, ce qui a fait avancer la triste Europe des technocrates d'un grand pas (vers notre mort). Joli palmarès... Et (petite remarque faite en passant) il n'a jamais réussi à susciter des regrets ou des souvenirs émus, en quittant tous les postes contradictoires qu'il a occupés.
Conclure n'est pas facile : entre le Barnier qu'on nous raconte, celui des mensonges officiels, et celui dont je n'ai pas oublié certains écarts graves de comportement et de jugement, il y a beaucoup à prendre, sans doute, mais beaucoup à laisser. Je vais sans doute surprendre beaucoup d'entre vous, amis-lecteurs, en vous disant que, compte tenu de la gravité désespérée de la situation et de l'horreur des autres solutions actuellement sur la table... il est fondamental ''qu'il ait sa chance''. Car la réponse à ''...et s'il échoue, que se passe-t-il ? '' est si dramatique qu'il devient important qu'il réussisse et qu'il se maintienne au pouvoir... un bout de temps. Comme toujours, derrière mon pessimisme circonstanciel, mon optimisme foncier ne demande qu'à fleurir, ou à refleurir. Vivons d'espoir, c'est tout ce qui nous reste.
H-Cl.
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carbone14 · 1 year ago
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Photo prise à J+2 sur la pointe du Hoc après l'arrivée des secours et de la relève du 2e Bataillon de Rangers – Opération Overlord – 8 juin 1944
Le drapeau américain a été déployé pour prévenir des tirs amis tandis que certains prisonniers allemands sont transférés.
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aurevoirmonty · 10 months ago
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Il y a sans discussion possible une alliance entre certaines factions djihadistes internationales et le gouvernement ukrainien. En octobre 2022, Rustam Azhiev, également connu sous le nom d’Abdul-Hakim Shishani, est venu en Ukraine pour « rejoindre » la lutte contre les troupes russes. Peu après son arrivée, il obtient la nationalité ukrainienne. Cet islamiste a combattu aux côtés d’Al-Qaïda en Syrie, dirige le détachement tchétchène de la Légion internationale. Il entretient des liens avec les islamistes en Syrie et les séparatistes tchétchènes basés en Occident. Budanov, l’assassin en chef de Zelensky, a inévitablement joué un rôle dans cette opération en offrant l’aide logistique nécessaire aux djihadistes.
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