#les hommes protégés
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die süßesten früchte, franz antel 1954
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saga: Soumission & Domination 362
Espagne 2015-4 : Javier et Arturo
Quand nous arrivons, Javier est là, accompagné d'un jeune mec. Ils sont encore habillés quand la triplette passe sa frustration en déboulant comme des fous, à poil et qu'ils sautent dans l'eau attrapant au passage le jeune homme.
Javier sort vite de ses vêtements juste au cas où ils reviendraient le chercher !
J'explique à Marc et Hervé le pourquoi de leur excitation. Arturo (le nouveau) nage maintenant, nu, avec la triplette. Je repêche avec PH les vêtements qui flottent et pousse jusqu'à la lingerie les mettre au sèche-linge.
Paco ramène l'apéro et je le vois apprécier que Jesus soit revenu. Entre deux verres, les plagistes se dessalent dans la piscine. Et nous finissons tous dans l'eau, un verre à la main. Insidieusement, par les passages répétés sous l'eau, entre nos jambes (soit disant pour jouer) de nos plus jeunes avec Arturo qu'ils ont dévoyé, la température de nos corps monte. Nos sangs aussi semblent avoir des velléités d'expansion et je m'aperçois que je ne suis pas le seul à bander ferme. On les laisse faire et bientôt on se retrouve tous à poil, les maillots flottant entre deux eaux. On sort de l'eau et entre le léger vent chaud et les frottements, on sèche vite.
Pendant l'apéritif, nous avons appris qui était Arturo. Il fait fonction d'assistant auprès de Javier qui l'a récupéré auprès du pole-emploi local. Au départ il l'avait embauché comme homme toute main pour faire des petits travaux à son agence (peinture et bricolage). Puis ils sont passés aux travaux à la maison ! J'imagine bien Arturo le bleu de travail ouvert sur sa poitrine imberbe !! Depuis ils ne se quittent plus. Et comme il avait commencé une formation vente, Javier envisage même de le réinscrire en formation par alternance.
En attendant, il n'est pas farouche le gamin (18ans quand même). Au milieu de notre triplette, il se donne à fond dans la pipe. Petit format, dans les 1,75m musclé mais léger 55Kg, il est plutôt passif (info Javier). Extérieurement il est brun de poil mais imberbe avec une peau bronzé du plus bel effet. Elle est légèrement plus claire sur les fesses ce qui me fait dire qu'en hivers il reste hâlé.
Je devine qu'il y a plus que cela entre eux. J'isole Javier pour savoir le fin mot de l'histoire, je suis curieux, on ne me refera pas ! En fait, c'est le fils d'une connaissance mais néanmoins " gros con " qui l'a foutu à la porte quand il avait appris que son rejeton était homo. Sans ressource, ce dernier acceptait tous les tafs même manuels qu'il pouvait trouver. Et non, il n'avait pas encore fait la pute quand Javier l'avait récupéré !
Comme il connait la filiale espagnole de notre société pour avoir été approvisionneur en clients, je lui propose d'y faire taffer son protégé. Il refuse gentiment et me dit qu'ils n'ont pas besoin. Il gagne très bien sa vie, le salaire qu'il verse à Arturo est quasiment de l'argent de poche puisqu'ils vivent ensemble. Et côté sexe, il ne l'empêche pas de faire ce qu'il veut comme je peux le voir.
Je me retourne et vois l'animal planté sur les 22cm de mon Marc. On en rit et partons à la recherche d'un plan nous aussi.
Je rejoins João qui entreprend Max et Enguerrand en même temps. Il a besoin d'aide ! J'attrape mon beau-frère, il va pour se débattre et voit que c'est moi qui le ceinture à la taille. Rotation, il pose ses lèvre sur les miennes, me souffle un " ça te dirait qu'on se fasse un truc tous les deux ". Avant de m'entrainer dans la villa et leur chambre.
Nous faisons l'amour lentement. Chacun prend soin de maîtriser la montée du plaisir de son partenaire. A ce petit jeu, il est très doué. Quand on est trop proche de jouir, on s'arrête. Dans une de nos " pause ", il me dit qu'il est trop content que je les ai emmenés ici. Il n'en pouvait plus des camps scouts et de la ferme, même si quand ses frères y sont il est content et surtout quand toute sa nouvelle " famille " s'y réuni.
Lors d'une autre, il se presse contre moi et je sens des larmes tomber sur ma peau. Je le serre plus fort, embrasse le front qui est à ma portée avant de relever son menton, de le fixer dans les yeux et de poser doucement mes lèvres sur les siennes. Juste un baiser, pas de pelle, je sens que ce n'est pas le moment. Je devine qu'il se fait un mauvais flash-back. Il vient doucement à se confier. Avec ma façon très personnelle d'aborder les choses, je m'étais imaginé qu'il avait tourné la page et que XX de XXX n'était plus qu'une expérience qui aurait pu être meilleure. Mais ce n'est pas complètement son cas. Je le laisse venir. Alors que ses larmes coulent encore, il m'assure être très heureux avec Max et Nathan. Qu'il ne pouvait avoir de meilleurs amis et amants. C'est juste que de temps en temps, ça remontait sans crier gare et il ne voulait pas les souler avec ça. Surtout pendant les vacances. Il ne savait pas pourquoi, si c'était un mot, une attitude mais il revoyait des scènes avec XX et il avait mal.
Je reste à l'écoute. Il est couché contre moi, sa tête au creux de mon épaule et nous regardons le plafond. Il me parle du suicide. Du nombre de fois où il a failli se foutre en l'air, des méthodes qu'il avait même envisagé : fusil de chasse, accident de la route volontaire, même le train.
C'est noir mais il faut que ça sorte ! Il m'explique que c'était surtout après qu'il se soit fait enculer par toute la bande qu'il pensait à ça. Au tout départ, il avait cru que XX avait quelques sentiments pour lui et que c'était par jalousie envers sa soeur que ce dernier l'avait " pris ". Mais rapidement il avait ouvert les yeux et dès ce moment il s'était tellement senti une sous-merde, que ça marronnait dans sa tête. Il ajoute qu'il n'aurait probablement pas eu le courage de passer l'été. Bon l'autoflagellation et l'auto-complaisance dans la noirceur à ses limites. Je le secoue le fait basculer sur moi et lui roule un patin. Sa queue réagit au quart de tour et colle la mienne qui n'avait pas ramollie. Il a besoin de confiance en lui, bon je vais le laisser m'enculer, sans lui dire.
Petit 69, je lui mange la bite et la rondelle en alternance et lui demande de me faire pareil. Il me travaille bien l'anneau et entre régulièrement 1 bon cm de langue dedans. Je le pompe en faisant attention à ne pas aller trop loin.
Je le plaque dos sur le lit, mes mains maintiennent ses poignets alors que j'enjambe son bassin et que je recule pour dresser sa bite contre mon sillon. Je me penche, lui roule un patin et en jouant du bassin me plante ses 19cm dans l'oignon. Ma bouche étouffe son cri. Je me l'enfonce bien profond et ressent le petit coup de bassin qu'il ne peut retenir et qui propulse ses derniers mm dans mon cul.
Je décolle ma bouche de la sienne et lui demande si ça va. Les yeux brillants, il me dit que je suis trop bon (et il y met plus que le cul dans cette assertion). Je lui dis de se laisser faire et déploie toute mon expérience à lui faire l'amour. J'utilise toutes les variations possibles lors de ma chevauchée. Le travail compressif de ma rondelle que je module différemment selon que je rythme " au pas " ou " au galop " le met sur orbite.
Je serre les genoux contre son torse et roule sur le côté. Comme ça, sans qu'il ait déculé, il se retrouve au-dessus mes jambes autour de ses reins. Je les attrape aux plis des genoux et écarte bien pour lui laisser toute latitude à m'enculer. Il se redresse sur ses genoux, soulevant mon bassin sous lequel il glisse un oreiller. Et là mon " petit frère " se déchaine. Il me défonce le cul comme un fou, tapant son bassin contre mes fesses à chaque pénétration. Il ralentit, je sens qu'il veut un truc mais n'ose pas me le demander. Je suis sûr que c'est une levrette. Je le repousse et me tourne à 4 pattes. J'entends derrière moi un merci en même temps qu'il se réintroduit en moi. Là, accroché à mes hanches, il me lime royalement. Quelques contractions de ma rondelle et il largue la purée. Je le bloque en moi le temps qu'il se vide et continue à serrer alors qu'il sort. Moi j'ai rempli ma paume et alors que je vais pour lécher mon sperme, il me tire le bras pour en avaler un max. je récupère le reste et un peu plus en allant le chercher entre ses dents.
Le répit est bref. Max et Nathan nous ont retrouvés et sautés dessus. Ils veulent savoir pourquoi on s'était isolé alors qu'ils partagent tout tous les 3.
Malgré les gestes de dénégation d'Enguerrand, j'explique à ses deux amours que notre ami commun avait eu un passage à vide. Max voit tout de suite de quoi il retourne alors que Nathan ne réalise qu'après. Enguerrand se fait copieusement engueuler, comme quoi ils sont là pour lui, même quand il est mal. Il ajoute qu'il est temps qu'ils me laissent tranquille, que j'en ai déjà fait assez pour eux.
Là je les interromps. Je leur dis que je leur serais toujours dispo et que je préfère qu'ils viennent me voir plutôt qu'ils fassent une connerie. Je les engueulerais certainement mais je les aiderais dans tous les cas.
Max s'excuse qu'il n'avait pas voulu m'écarter en disant cela, juste qu'il voulait qu'Enguerrand sache que s'ils avaient tous les trois le même âge, il pouvait quand même s'appuyer sur eux deux.
On se câline un moment tous les 4 jusqu'à l'arrivé des miens, PH, Ludovic et Ernesto. Du coup ça repart en sexe !! Cette fois je profite des culs et ma bite s'enfonce à tour de rôle dans chacun de ceux de notre triplette. Mes amours aussi profitent des petits jeunes qui ne demandent que ça. Enguerrand se réserve quand même pour accueillir mon sperme au fond de lui. Je me termine en labourant son petit trou en levrette, tirant vers moi sa tête en arrière pour qu'on se roule une pelle. Nathan, couché sous mon petit beau-frère avale sa production alors qu'il se fait défoncer par Ernesto. Nous sommes découverts par Marc qui nous cherchait. Le diner nous attendait ! Retour sur la terrasse en maillots. Arturo est content de nous revoir, ça faisait un moment qu'il n'était entouré que de " vieux " !
Max lui demande combien de fois il s'était fait enculer. De but en blanc, ça surprend notre invité qui bafouille un 2 ou 3. Rires de Javier qui nous dit que comme ils lui sont tous passés dessus sauf Jesus, c'est plutôt 5 qu'il faut compter. Là, Marc annonce 6 car il l'a pris deux fois.
Arturo rougi sous son bronzage. Il se défend d'être une pute. Nathan l'entoure de ses bras et dit qu'il est juste un mec qui aime baiser c'est tout, comme nous tous ici.
Il a bien résumé la situation.
La paëlla Valencienne est très réussie et il ne reste pas un grain de riz quand nous en avons terminée avec elle. Paco est ravi de ça !
C'est vers 3h du matin que nous nous endormons un peu partout.
Le grand soleil me réveille. Je suis sur un des matelas de la piscine, dans mes bras se trouvent les deux frères, Ludovic et Enguerrand. Je me glisse pour aller prendre un café et voir où sont les autres. Debout je me retourne. Enguerrand a rejoint Ludovic et se love en cuillère contre son ventre.
La maison est encore muette. A la cuisine Paco me sert un café à réveiller un mort ! Mais ça fait du bien. Tout bas il me demande si tout va bien. Il me dit qu'heureusement que Marc et Hervé sont là, sinon Jesus l'aurait mis sur les rotules. Il ajoute que ça fait un moment qu'il n'était pas tombé sur un assoiffé de sexe comme lui.
Mug en main, je fais le tour de la villa. Personne dans le séjour, coups d'oeil dans les chambres, ils sont tous là en ordres dispersés. Romain n'est pas avec João, PH et Ernesto sont dispersés, l'un avec Hervé l'autre avec Jaime. Je vois ce qu'avais voulu dire Paco quand je surprends Jesus en train de pomper les 22cm de Marc !! Il me fait un clin d'oeil et lève le pouce. Je lui fais signe de continuer, je connais mon homme et sais qu'il adore ce genre de retour à la réalité.
Sur la terrasse, Enguerrand est réveillé et je le vois en train de s'enfiler la bite en érection matinale de son frère. Il me fait bander ce con !
Je me couche derrière Ludovic et lui enfile ma bite. Là, notre " tanche de jambon " (prise en sandwich, faut suivre un peu !) se réveille. Il voit avec qui il baise et nous traite d'obsédés. Il n'empêche qu'il ne se dérobe pas et que tous les trois nous jouissons pour la première fois de la journée.
On se déboite juste alors qu'arrive le reste de la triplette et mes escorts. Ils apportent café, jus d'oranges fraichement pressées plus du pain frais. On petit déjeune avant d'aller se laver.
Les jours qui suivent durant cette première semaine seront du même style. Jaime a pris pension à la villa tout comme Jesus. Les autres : les hollandais et Rubén passent de temps à autre. Arvid nous a demandé si on pouvait l'héberger nos deux dernières semaines. Il trouve l'ambiance de la villa démentielle et kiff les baises inopinées.
La " plage " commence à repérer le petit groupe que nous formons. Lorsque les rabatteurs de boites descendent distribuer leurs flyers, canons dans leurs maillots de bains sexys, ils nous convient tous. On doit être le seul groupe homogène en âge, musculature et maillots remplis de la plage.
Nous acceptons une soirée qui promet d'être chaude dans la boite dont les rabatteurs qui nous ont démarchés étaient plus beaux.
Jardinier
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Petit rappel de la population vampirique actuelle d'Hylewood. Officiellement, ils sont tous connus sous le nom de la famille Rumédier (une de ses innombrables branches) :
Adèle et Frédéric
Véritables noms : Adèle Le Bris (née Schneider) et Frédéric Rumédier.
Âges : 127 et 100 ans [1803 et 100].
Adèle a été transformée par Frédéric à sa mort en couches, à l'âge de 40 ans. Elle a été contrainte de quitter l'île quelques années, coincée dans l'état de semi-conscience propre aux nouveaux nés vampiriques. Pendant cette période, poussée par la faim, elle a commis de nombreux meurtres, jusqu'à sa stabilisation progressive. Frédéric, homme gay de plus en plus acculé par les rumeurs, lui a proposé un mariage blanc pour solidifier sa réputation aux yeux du monde. Pour Adèle, c'était une occasion inespérée de pouvoir se rapprocher de sa famille, qu'elle n'avait pas vu depuis des années et qu'elle n'osait pas approcher.
Frédéric est un vampire-né. Après une croissance particulièrement lente, il a cessé de vieillir une fois l'âge adulte atteint. Il a transformé Adèle alors qu'il n'était qu'un enfant. Il n'a pas vraiment fait exprès : il était poussé par une faim naturelle et il s'était toujours refusé à boire le sang d'un humain vivant - principe auquel il se tient encore aujourd'hui. Un corps frais ne lui posait pas de problème éthique... Cependant, son sentiment de solitude était tellement grand qu'en la mordant, il ne s'est pas contenté de boire son sang. L'impossible s'est produit et Adèle est revenue à la vie, transformée en vampire. Il n'avait pas prévu que sa transformation la rende si instable...
Depuis, Frédéric et Adèle ont ouvert un sanatorium. En apparence une résidence pour tuberculeux - le parfait alibi pour repousser les curieux, il s'agit en fait d'un établissement destiné à recueillir les créatures surnaturelles isolées.
Clémence et Lucrèce
Véritables noms : Clémence Le Bris (née Brion) et Lucrèce Le Bris.
Âges : 79 et 76 ans [1851 et 1854].
Veuve désargentée, Clémence s'est faite piéger dans un mariage sans amour avec l'homme qui avait assassinée son défunt époux dans le but de récupérer la fortune de son frère... et sa femme. Face à un mari psychopathique et obsessif, ses seuls réconforts étaient ses enfants... ainsi la sœur jumelle de son mari, Lucrèce, dont elle tombe éperdument amoureuse. Malheureusement, Clémence tombe malade et s'affaiblit de plus en plus. Craignant de la voir mourir, Lucrèce prend la décision de la transformer. Au moment de sa transformation, Clémence a 39 ans.
Lucrèce est une vampire née. Elle passe toute sa jeunesse persuadée d'avoir une santé fragile et protégée par toute sa famille, comme si elle était faite de procelaine. Comme Frédéric, elle a cessé de vieillir en arrivant à l'âge adulte. C'est à vingt-et-un ans qu'elle découvre que sa faiblesse apparente n'est pas due à quelques langueurs, mais au fait qu'elle ne recevait pas la nutrition nécessaire à un vampire... Grâce au sang que Clémence lui offre, elle découvre que lorsqu'elle est proprement nourrie, elle est en fait bien plus forte que n'importe qui et dotée de nombreux pouvoirs. Lorsque Clémence tombe malade, Lucrèce refuse de la voir mourir et la transforme en vampire.
Comme Adèle, en tant que vampire nouveau-né, Clémence est particulièrement instable suite à sa transformation, au point où elle manque de tuer ses propres enfants. Pour leur sécurité, Lucrèce prend la décision de l'enfermer à la cave, en prétextant l'avoir envoyée dans un sanatorium pour soigner les conséquences de sa longue maladie... Mais les années passant, Maximilien - son frère jumeau et l'époux de Clémence - commence à se douter de quelque chose, et il finit non seulement par découvrir que sa femme est tenue recluse dans leur cave, mais en plus qu'elle a une liaison avec sa sœur. Accusant sa femme d'avoir corrompu sa fragile sœur jumelle, il s'apprête à la tuer de sang froid. Elles réagissent en massacrant Maximilien et en buvant son sang... Après ce meurtre, elles ne peuvent pas rester. Elles s'enfuient au Canada avec l'aide d'Auguste, le grand-père de Lucien, et elles sont reccueillies par Adèle et Frédéric au sanatorium d'Hylewood. Officiellement, Clémence est la belle-fille d'Adèle et Frédéric et Lucrèce est une cousine éloignée. Depuis, elles ont refait leur vie et elles sont engagées dans le sauvetage des enfants surnaturels abandonnés à la naissance ou chassés de chez eux. Elles ont adopté trois enfants : Alfred, leur aîné triton ; Georges, leur cadet vampire ; Stépanie, leur benjamine loup-garou.
Georges
Véritable nom : Georges Leloup
Âge : 21 ans [1909].
Georges est un vampire-né. Son père a épousé sa nièce de 40 ans sa cadette qu'il a commencé à battre comme plâtre dès sa grossesse. Georges étant gris et de constitution fragile à la naissance, sa mère était terrifiée de la réaction qu'aurait son mari en le voyant et craignait qu'il le tue de ses mains par frustration qu'elle ait accouché d'un fils d'apparence souffreteuse. Elle a donc pris la lourde décision d'abandonner son bébé et de prétendre qu'il était mort né. C'est ainsi que Georges a été récupéré par Clémence et Lucrèce, qui l'ont élevé comme leur fils.
@selidren m'a envoyé une précision :
"Lucrèce ne décide pas de transformer Clémence, elle le fait sans faire exprès, on manque le drame de peu quand elle ne réalise pas à quel point un jeune vampire est dangereux pour ses proches"
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LES ZARBI·ES
1994, ça a commencé par dix membres du Refuge de Bescel dans les bas fonds des catacombes. Aujourd'hui, les Zarbi·es siègent dans un beau bâtiment dans le 11e. On les définit parfois avec des métaphores bien guerrières, bien nobles : « le fer de lance de la cause altérée », « les premiers défenseurs de notre communauté ». Vrai ou pas, à chacun d'en juger : les Zarbi·es avant le deuxième mandat de Chirac, c'était comme un syndicat qu'organisait des manifs. Aujourd'hui, c'est un espèce de médiateur pour porter nos messages à Matignon.
Comme beaucoup d'asso' 1901, il y a un bureau, un conseil d'administration et une assemblée générale. L'AG a beaucoup de poids, les votes des membres participent énormément à la vie du groupe. Le conseil, lui, gère tout ce qu'est budget, sans vraiment de pouvoir exécutif, ce sont des petites mains et des petites têtes qui s'assurent que tout flotte bien, que le navire n'a pas de trou dans la coque. Et le bureau, ce sont les têtes d'affiches, élues par l'AG, ils représentent souvent le courant de pensée politique majoritaire au sein des altéré·es. Bref, c'est beaucoup de politiques, beaucoup de bla bla... mais sans eux, la plupart de nos droits resteraient au fond de l'eau avec nos autres bateaux.
LA PRÉSIDENTE — f / nb (libre) • +45 ans TW - mort.
Petite, c'était un monde cruel. Elle a connu toutes les conjugaisons du mot galère sauf au conditionnel. À l'époque, les psys, c'était pas trop ça. Alors, elle s'asseyait contre le tronc d'un arbre et elle parlait aux morts. Son but, c'est plus qu'aucune petite fille soit paumée, qu'aucun petit garçon n'ait à pleurer. Elle s'immobilise d'une rage froide, inflexible, à ne jamais plier sous les frappes de la majorité. Faut dire que l'opposition, c'est elle. Politicarde de renom, elle est apparue, il y a un peu plus de 5 ans, comme une solution à une politique trop laxiste. On a jamais bien avancé au 21e siècle depuis qu'on suit sa ligne directive. Les altéré·es ont réussi à atteindre l'Assemblée, à avoir leur voix à Matignon. Elle n'a pas peur d'employer les Misérables, elle n'hésite pas à rediriger les flux budgétaires vers le Refuge de Bescel. Son ton est convaincant, rafraichissant : c'est l'une des meilleures oratrices altéré·es depuis longtemps. Pour elle, cantonner la population altérée aux Catacombes, c'est un manque d'ambition.
Ouais, parfois elle fait un peu flipper. Mais faut bien que la peur change de camp.
FT. Indira Varma, ...
LE SECRÉTAIRE — m / nb (réservé) • +45 ans
Avocat qui raconte pas de salade (tu l'as ?). C'est le genre d'humour qu'il traine, un rire qu'égaie sa mâchoire tranchante. Il a des airs de daron, surtout avec ses tempes grisonnantes. Ce qu'il fait de mieux dans son métier : formé les autres, protégé les siens. Patient, agréable, pédagogue : beaucoup de gens se demandent pourquoi il enseigne pas à la FAC. C'est une belle âme, noble, d'un de ses hommes dont on se souviendra de la carrière. Il aurait pu être pote avec un Camus, une Louise Michel. Aujourd'hui, les tribunaux le voient moins, occupé par ses responsabilités dans l'asso. À l'époque des grands frères, c'était le cauchemar des réac'. C'était la terreur des parquets, le prédateur des privilégié·es. Reconnu pour avoir bouclé des dossiers super connus, son cabinet forme et embauche les prochaines figures du droit altéré. Entre autre, Glauque, défenseuse des Misérables, provient de sa formation. Un style élégant, une timbre calme et jamais déstabilisé : une douceur d'un type qu'aurait pu cultiver des plantes, les fleurs du mal.
FT. Cilian Murphy, ...
LA TRÉSORIÈRE — f / nb (libre) • ≈ 25 ans
Mioche, elle avait traité la future présidente des Zarbi·es de poule mouillée. Celle-ci n'avait pas le temps de jouer aux dames, la future trésorière s'en était vexée. Ça a commencé comme ça : des parties de dames. Puis, le futur secrétaire lui aussi a eu le droit aux mots doux de la gamine. Ce sont les deux figures principales dans sa vie, parce que la petite n'a connu que le Refuge de Bescel. Ils lui ont payé ses études de journalisme, sa première voiture et ses téléphones. C'est devenue l'une des meilleures têtes de son école, devenue l'une des meilleures reporters de sa génération. Elle travaille sur les altéré·es, a déjà coopéré avec des organismes internationaux. Son CV rote de mentions, de stages, de diplômes, de formations. Beaucoup de gens la critiquent pour sa position dûe à ses deux seules relations. C'est vrai que ça a accéléré les choses, mais penser qu'elle n'y serait jamais arrivé avec ses capacités : c'est vraiment s'étouffer avec sa putain de mauvaise foie. C'est une bosseuse, extravertie, l'envie de changer l'ordre établi : d'utiliser la vérité et sa plume pour y parvenir.
FT. Simone Ashley, ...
LE CONSEIL D'ADMINISTRATION — f / nb / m (10/10 libres)
Iels sont comptables, avocats, notaires. Iels sont les fourmis de l'administration, chez eux il y a les imprimantes qui halètent, les agrafeuses qui claquent. Les chiffres, les emails, tout vient d'eux. Ce sont les merveilleux rouages, les merveilleuses pagaies de la barque.
LES MEMBRES — f / nb / m (∞/∞ libre)
Les membres de l'association, quoi de plus clair ? On va du simple militant au chargé de presse. Chacun à son rôle, chacun à son vote. Les Zarbi·es, c'est une voix démocratique directe. La présidente, le bureaux : iels ne servent que de gouvernail au décision du peuple.
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Si vous souhaitez réserver l'un de ses PLs, n'hésitez pas à passer dans nos asks ou de nous rejoindre sur le discord ! En espérant qu'ils vous inspirent !!
#projet forum#projet rpg#forumactif#rpg city#rpg fantastique#rpg forum#rpg francophone#rpg faceclaim#préliens
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Honneur
Je crois que ce qui est le plus à déplorer dans notre société contemporaine, c’est la disparition de l’honneur. Elle était pareille à une mère ; une femme gracieuse et élancée, belle autant que forte, mais également stricte, qui s'assure que sa progéniture puisse survivre et surtout vivre comme il se doit. Lorsque les hommes ont cessé de vouloir mourir pour elle, ils l’ont lentement traquée et mise à mort dans le secret afin ne plus en porter la responsabilité. Ils ont voulu faire taire ses précieux conseils ainsi que ses reproches bien méritées, promettant ainsi les générations futures à la lâcheté : cette nourrice qui n’enseigne rien, mais gave plutôt ses protégés jusqu’à les faire vomir pour les nourrir encore. Elle les maintiens dans un cocon de plaisirs et d’émotions qui doivent sans cesse être écoutées et validées au lieu d’être appréhendées et comprises.
Or, il n’est jamais été question de mourir pour être honorable, cela n’était qu’un mensonge grossier perpétré par des extrémistes. L’honneur, c’était avant tout de respecter ses engagements même lorsque cela devenait difficile ou que l’on en avait plus envie, traiter autrui avec dignité, travailler dur et demeurer humble. Il s’agissait de principes simples auxquels tous avaient avantage à se plier, pourtant, on a voulu s’en départir comme un enfant capricieux pousse ses légumes hors de son assiette.
Aujourd’hui, c’est comme si l’on avait voulu effacer jusqu’à la mémoire même de l’honneur. On ne prononce guère plus son nom, mise à part dans les contes et les romans. On ne l’enseigne plus aux petits et à sa place, on donne des instructions vagues et moins fortes, comme « sois gentil », ou « sois patient ». Il en résulte des individus maladroits et hypocrites qui ne se soucient point de l’impact qu’ils ont chez les autres et croient à tort que tous les écarts de conduite pourront être pardonnés ou oubliés. Rétablir son honneur n’est plus un enjeux, la noblesse de caractère s’est perdue, les rois et les reines sont déchues.
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Samedi 19 octobre 2024.
Manifestation de soutien aux victimes de violences sexuelles devant la palais de justice de la porte Clichy.
S’il y avait des manifestations dans plusieurs villes de France, il n’y avait pas beaucoup de monde devant le palais de justice de Paris. Décevant.
Je vais reproduire un extrait du communiqué commun dont la ligue des droits de l’homme est signataire:
« Procès des violeurs de Mazan, révélations sur l’Abbé Pierre, viol suivi du meurtre de Philippine, chaque jour qui passe nous montre à quel point la culture du viol imprègne notre société et à quel point l’impunité des agresseurs est forte.
Infirmier, chanteur, abbé, médecin, employé, acteur… il n’y a pas de profil type du violeur, celui ci est un monsieur tout le monde. Ces violences sont perpétrées à 96% par des hommes qui mettent en place des stratégies spécifiques pour arriver à leurs fins, dont la soumission chimique au cœur du procès de Mazan.
Contre l’impunité qui progresse au lieu de régresser.
Pour que la Justice soit enfin rendue aux 94000 victimes de viol et aux victimes d’agressions sexuelles chaque année en France.
Pour que les victimes soient renforcées dans leurs droits, protégées et non maltraitées, que leur parole ne soit pas systématiquement déniée.
Pour qu’enfin les institutions soient à la hauteur du courage des victimes.
Pour que les corps des femmes et des enfants cessent d’être considérés comme mis à disposition des agresseurs qui agissent en toute impunité .
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Enfin une bonne nouvelle ?
Vous n'allez pas me croire... Pourtant, parfois, à l'opposé complet de tout ce que racontent tous les perroquets officiels (et Dieu sait s'ils sont nombreux et ne reculent devant rien !), il arrive un moment où finit par surgir de la brouillasse ambiante une vraie bonne nouvelle. Celle dont je veux vous parler aujourd'hui ressemble un peu à une divine surprise : ''LA VRAIE BETISE EST AUTO-DESTRUCTRICE''... et cette révélation frappe nos pitoyables dirigeants comme une pandémie (mais une vraie, cette fois !).
Les exemples abondent, hélas, de la malveillance, intentionnelle à en être vicelarde et qui paraît parfois être ''par système''... avec laquelle nos incapables ''leaders'', irresponsables mais très coupables, mènent le pays à sa perte. Immigration, écologie, Europe, démographie, dette, fiscalité, paix civile et sécutité, école, etc... la bêtise de chacune de leurs décisions crève les yeux de qui veut bien ne pas garder les siens ''grands fermés''. La démonstration –si besoin était-- de leur inaptitude chronique à trouver de bonnes solutions aux problèmes qu'ils devraient résoudre vs. les mauvaises solutions qui semblent être les seules qu'ils soient capables d'imaginer, tient en un seul souvenir, lourd de honte et de bobards : le covid.
Quand un groupe d'êtres plus inhumains que humains, mais nuls, devient détenteur d'une autorité qu'aucun d'eux ne mérite... et a le culot –devant la face du monde, le jugement à venir de l'Histoire, et la totalité de ses contemporains (ravalés au rang de sujets traités en objets)-- d'oser formuler le tiers du quart des phrases qui nous ont été imposées ''H 24'' et ''7 s/7'' pendant des mois, sans aucune raison valable ni, d'ailleurs'' le moindre début d'excuse, de pardon ou de mea culpa... c'est qu'ils (ces nuls) s'imaginent tout permis et se croient protégés par une immunité ''de système'', elle aussi. Décidément, plus on creuse et plus la ''bonne nouvelle'' annoncée en titre de cet éditorial se révèle être une catastrophe, pour d'autres : ''LA VRAIE BETISE RAVAGE TOUT'' !
La volonté de destruction de ces nuisibles touche tous les secteur de l'activité et de la pensée : le but officieusement poursuivi officiellement (vous suivez ?) est que plus personne ne s'y retrouve : toutes les références doivent sauter pour soi-disant permettre à leur rêve cauchemardesque d'un hypothétique ''homme nouveau'', indéfini en tout, de pouvoir exister dans son inexistence. Les instigateurs-propagateurs de ces idées mortelles et sans le moindre sens vont donc ''détricoter'' l'un après l'autre tous et chacun des ''chapitres'' de l'activité humaine et de toute civilisation.
Nous avions mentionné plus haut le covid, mais les mêmes stratégies de recherche d'absurde à tout prix se retrouvent partout, de l'atome à l'immigration, de la dette nationale aux jeux olympiques (que Alain Bauer, pourtant pas un excité, qualifie de ''crime-tels-qu'ils-sont-envisagés''), du conflit russo-ukrainien aux fantasmes russophobes de l'Elysée, de l'Europe à... l'Europe (car là, avec la mère von den truc, on est dans la folie au carré !), de l'industrie à l'agriculture ou du soi-disant ''sociétal'' à la religion –ou, plus exactement, au seul christianisme, l'islam ayant toutes les faveurs de nos ravageurs : il est nettement plus proche de la volonté de destruction que, par exemple, le catholicisme qui bâtit sans cesse, transmet, s'améliore et veut le ''vrai bien'' des hommes !
Et puisqu'on vient de mentionner cet ''ennemi public n°1'' des vrais ennemis des peuples que sont nos actuels ''maîtres-à-penser-de-traviole'', laissez-moi partager avec vous un de mes grands sujets de tristesse du moment : vous rendez-vous compte que le promeneur moyen, de nationalité française (NDLR - Même s'il n'est pas un de ces ''français de papiers'', ces fruits blets de lois injustifiables et d'une administration pyromane, qui n'ont de français que leurs ponctions moralement indues sur notre richesse nationale), qui se balade le nez au vent dans les rues de Paris (si ce modèle ancien existe encore !) est incapable de savoir à quoi ou à qui correspond le nom de 90% des rues, des places, des avenues qu'il emprunte ou croise, et que, lorsque le même promeneur va tomber (et dans les villes françaises, c'est à peu près tous les kilomètres) sur une superbe église ou sur une de nos sublimes Cathédrales, il ne saura pas trop à quoi peut bien servir ce grand bâtiment ou à quoi correspond le drôle de nom dont on l'a affublé...
Mais puisque je parlais ''d'une bonne nouvelle'' dans le titre de cet éditorial, permettez-moi, s'il vous plaît, le grand bonheur de vous confirmer l'effondrement dramatiquement spontané donc raisonné des ventes de véhicules électriques, hybrides ou pas, dans tous les pays. Je crois avoir été l'un des très rares –et un des tout premiers-- à prendre dès le début une position très risquée sur ce sujet écolo-politique, et à vous parler, souvent, de cette ''arnaque du siècle''. Tant que des gouvernements, myopes au point d'en être aveugles, ont subventionné dans des proportions insensées les achats de voitures électriques, on a pu croire à un succès de la folie sur l'intelligence. Ça ne pouvait pas durer longtemps ! La raison, normalement, reprend ses droits et l'intelligence, ses prérogatives !
Dès que l'actualité a rendu obligatoire l'arrêt de toute urgence des conneries absolues, la vérité a surgi du puits, belle, calme, incontournable, majestueuse : on ne fait pas boire un âne qui n'a pas soif. Je suis si content de cette manifestation (très attendue, en ce qui me concerne) de la Justice immanente (dont les lecteurs réguliers de ce Blog connaissent l'importance pour moi...) que je vous en reparlerai très bientôt, ne serait-ce que pour vous confirmer –si besoin était-- que ''La Vraie bêtise est auto-destructrice'', CQFD !
H-Cl.
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Antoine de Saint-Exupéry
Ce n'est pas la distance qui mesure l'éloignement. Le mur d'un jardin de chez nous peut enfermer plus de secrets que la mur de Chine, et l'âme d'une petite fille est mieux protégée par le silence que ne le sont, par l'épaisseur des sables, les oasis sahariennes.
Antoine de Saint-Exupéry Terre de hommes
#Antoine de Saint-Exupéry#Lyon#Marseille#écrivain#poète#aviateur#reporter#Terre de hommes#Extrait#Citation#Quote
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Traduction française de Fear & Hunger 2 - Termina - #2
Comme prévu, nouvel update sur la traduction française de F&H2. Ça avance lentement mais sûrement, en espérant que je puisse la sortir avant la prochaine MAJ du jeu. Haha.
Traduction faite durant le mois :
Les objets : les noms et descriptions des objets, de la nourriture, des objets de soin, des livres et les morceaux de gens ou d'animaux ou d'autres bestioles pas protégées par la SPA.
Les noms des ennemis et de leurs membres.
L'extérieur du train. Comprends la discussion du début de jeu, ainsi que les discussions de hub.
Première rencontre avec Per'kele.
Maison de l'homme des bois. Avec le sous-sol.
Une partie de la vieille ville, qui correspond à la zone du soldat 1, de l'extérieur du manoir du maire et Karin à l'entrée de la maison.
Petit sneak peak juste en dessous !
Il y a quelques points que je veux particulièrement remonter. Par justification de traduction, d'appel à l'aide, ou parce que c'est particulièrement intéressant.
Les ennemis
La majorité vont être traduit : Villageois/Villageoise, Fusilier, Homme-Pillier, Vieille aux rats, Dance Mécanique, Clébard Fétide, Cocon Imparfait, Lunette Chialeuse...
J'en profite du coup pour proposer la traduction de Moonscorch, qui serait du coup Flambelune. Cela donnera le cancer de la Flambelune, et un Flambeluné.
J'hésite grandement à traduire les nom Needles et Stitches, qui pourrait être traduit par Seringues et Soutures, mais ça ne sonne pas top. Mais ça fait flic de laisser des nom en anglais dans une trad française.
En parlant de flic, je comptais traduire Bobby par Flic/Flicaillon/Poulet, mais ça enlèverai le contexte du nom. En Angleterre, bobby est un mot familier pour désigner les policiers londoniens, avec leur casque bombé. Vu le design de l'ennemi dans le jeu, le nom restera.
Par contre, Bellend sera traduit par Gland. C'est très important.
Avis à la population, mais surtout aux experts : pour l’ennemi Sew Job, le mot existe bien en anglais, mais je ne trouve pas d'équivalent en français. Enfin si, ce serait Travaux de couture, mais ça sonne faux. Pour le moment, le nom placeholder pour cet ennemi serait Peau Rapiécée. Question pour les gentils messieurs et madames de mon PC qui font de la couture : est-ce que vous avez un mot pour Sew Jobs, dans votre domaine ?
2) Première rencontre avec Per'kele
Point général, car il concerne tout le texte, mais j'ai dû bidouiller un peu pour garder le texte le plus neutralement genré possible.
3. Extérieur du train
La manière dont est fait le jeu, chaque zone comprend tous les dialogues et textes possible dedans, que ce soit les Party Talk, les diagnostiques médicaux, les discussions avec les NPC, lorsqu'on fouille dans des objets... En même temps, des textes se répètent entre chaque zone, alors qu'ils devrait être dans l'onglet Common Events... Après, ce sont des textes que je ne traduit qu'une fois, puis je les recopie dans les autres zones. Je n'aurai pas à les retraduire et ça m'avancera le travail.
Cette partie là a été longue à traduire, car elle comprend à la fois la discussion du début de jeu (et les alternatives selon le personnage qu'incarne le joueur), mais aussi toutes les discussion de hub (Marcoh et Tanaka qui boxe, Olivia qui creuse la terre, Henryk qui fait sa popotte dehors, Daan qui clope). Il y a d'autres zones comme ça, qui sont pas mal chargée de texte, comme l'intérieur du train, le bar jazz, et l'intro des personnage.
Pas mal de dialogue sont des ref à d'autres média, comme par exemple la référence à Jimmy Buffet quand on demande un coup à boire à Daan au bar (je reviendrai sur celui-là plus tard). Là, lorsqu'on essaye de l'embrigader dans notre groupe alors qu'il est au complet, il refuse en disant qu'il sera juste un "party poison". Je n'ai pas réussi à trouver si c'était une expression idiomatique ou bien une référence. La seule référence que j'ai trouvé, c'est un titre de MCR (qui est nul à chier imo). Du coup, dans le contexte, je pense qu'il voulais dire "plombeur d'ambiance".
Les "Bremen pigs" de Karin. On n'a pas l'air, en français, d'avoir un équivalent de l'insulte "pigs", sauf dans le cas de la police, où c'est poulet. Du coup, Karin dira dans la traduction "chiens de Bremen" ou "chiens brêmois", qui gardent le côté insultant et la comparaison aux animaux.
Je crois avoir bien passé en revu sur quoi j'ai taffé ce mois-ci. Avec les vacances de Noël, je devrais pouvoir mieux travailler dessus et bien avancer.
Prochaine update le mois prochain !
Joyeux Noël et bonnes vacances à tous !
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annexe 1 : vie et mort d'une sorcière.
Définition propre au forum : Une sorcière désigne tout humain, femme, homme et non-binaire ayant une manifestation magique, appelée don. Si majoritairement, il s’agit de femmes, les siècles ont vu des hommes et des non-binaires ayant aussi ces manifestations magiques.
La naissance : Une personne ne naît pas sorcière, elle le devient parce que les dieux l’ont décidé. Elles sont vues comme des “élues” dans leur communauté, choisies par les dieux. Le phénomène se produit généralement à la suite d’un événement important ou surprenant, qui a capté l'œil des divins. La plupart du temps, une personne devient sorcière lors de son enfance ou adolescence mais force de constater que des personnes d’âge mûr se sont vues aussi devenir des sorcières à la suite d’étranges évènements tel un décès, une naissance ou tout autre malheur/bonheur si intense qu’il en a provoqué cette transformation. Même si des sorcières se reproduisent, le nouveau-né ne sera pas sorcière : encore une fois, ce sont les dieux qui le décident. Il est à noter néanmoins que certaines familles, en sautant parfois des générations ont compté des sorcières dans leur rang : cela est vu comme une bénédiction ou une malédiction selon la personne qui le perçoit.
Les croyances : Une sorcière se voit, par la force des choses, “baigner” dans le syncrétisme : elle peut avoir accès à la croyance de toutes les religions, de toutes les divinités qui puissent exister. Si une sorcière n’est pas en contact direct avec une divinité, elle peut recevoir néanmoins des signes, symboles et autres phénomènes qui lui dictent quoi faire en cas de besoin.
Les dons:
Malgré leurs représentations dans la pop-culture, les sorcières ne peuvent pas toutes jeter des sorts. Sur le forum, il existe cinq types de sorcières :
Les divinatrices : ces sorcières ne sont pas ancrées dans le temps. Pour elles, le flux temporel continu est une illusion. Si elles vivent, elles ont néanmoins la capacité de projeter leur âme dans leur ligne temporelle : dans leur jeunesse jusqu’à tous les futurs possibles, ce qui fait qu’elle peuvent prédire ce qui va se passer sans pour autant influencer les choses.
Les potionnistes : N’importe où et avec n’importe quel récipient, elles sont capables de créer des potions en mélangeant plusieurs ingrédients, naturels ou non.
Les protectrices : Elles sont capables de faire des champ de forces ou encore d’invoquer des runes dans le but de protéger des personnes. Les dieux peuvent aussi les guider à protéger des êtres spécifiques sans en dévoiler leurs raisons, ce qui en font des “anges gardiens”.
Les naturelles : Les sorcières de la nature (air, terre, feu, eau) sont des sorcières capable de manier à la perfection l’un des éléments naturels en sa faveur.
Les magiciennes : Les sorcières les plus connues. A l’aide de baguettes magiques ou non, elles sont capables de lancer des incantations et sorts pouvant modifier les choses.
La morale et l’éthique :
Il est difficile pour une sorcière de percevoir les notions de bien et de mal qui sont propres aux humains, mais elles ont néanmoins une conscience qui leur dicte de survivre, face aux atrocités qu’elles ont vécues dans l’Histoire, notamment avec les procès. Une sorcière aura toujours tendance à servir ses intérêts et celui des divins.
La formation :
Les jeunes personnes devenues sorcières reçoivent l’été de leur dix-huit ans une lettre informant leur admission à l’Université de Shiz, l’un des seuls endroits magiques des Etats-Unis dans lequel ils suivront pendant trois années des cours liés à la sorcellerie.
La lettre indique que la rentrée a lieu lors de l’équinoxe de septembre : les élues doivent aller dans les plaines de l’Etat du Kansas où en récitant une formule magique, elles convoquent une tornade. Elles seront amenées sur un port où des voiliers les conduisent jusqu’à l’Université, lieu invisible pour les mortels protégé par des sortilèges ainsi que des sorcières veillant à la surveillance.
Pour les personnes devenues sorcières après leur majorité de mort, elles sont généralement par des sorcières plus expérimentées, désignées comme mentors par les dieux.
A noter : L’Université de Shiz ne sera pas un lieu jouable. Ainsi, si vous souhaitez jouer une sorcière, elle doit avoir vingt-et-un ans révolus.
Les covens : Appelé aussi sabbah, groupe ou encore communauté, les covens sont un rassemblement de sorcières selon des dispositions qui leur sont propres. Néanmoins pour qu’un coven soit considéré comme parfait, il doit comptabiliser dans son rang au moins cinq sorcières, chacune ayant l’un des dons.
Vieillissement et mort : Au moment où un humain devient une sorcière et la puberté passée, il voit son métabolisme considérablement ralentir et vieillir très lentement. Ainsi, la plus vieille des sorcières aurait vécu jusqu’à dix siècles environ (soit l’équivalent de 1000 ans).
Une sorcière peut être tout aussi blessée qu’un humain et tué par les mêmes moyens que lui : elle se montrera plus endurante par les blessures endurées mais elle n’est pas immortelle.
La déchéance : Si une sorcière ne répond pas aux ordres des dieux ou si elle a fait une faute jugée “impardonnable”, elle peut alors perdre son don et toute facultée magique. Elle redevient alors une simple humaine. Dans le cas où elle a une vieillesse prononcée, cela conduit aussi à sa mort pure.
Le phénomène de l’Appel et L’épisode de l’Eveil :
Chaque année, une sorcière est appelée pour créer un “demi-dieu” : un humain qui aura un don, une aptitude directement venue des dieux. Lorsque la sorcière a conscience qu’elle doit agir, elle veille sur la population avoisinante, à l’affut du potentiel humain qui devra recevoir en lui un “éclat divin”, phénomène qui explique l’apparition d’un pouvoir chez l’individu. Chaque “éclat divin” a un tendance à faire germer le bien comme le mal. Cet éveil est une métamorphose pour l’humain qui peut se voir complètement bouleversé par cet épisode : par exemple, l’élu qui était quelqu’un de pieux pourrait alors commencer à commettre des atrocités.
Néanmoins, certaines sorcières se sont adonnées à une pratique surnommée “le sommeil” qui consiste à retirer “l’éclat divin” d’un être au lieu d’en donner un. Si cela peut être mal perçu, force de constater que cet acte contribue néanmoins à l’équilibre du monde.
Le lien entre la sorcière et son demi-dieu :
Après l’éveil, la sorcière a accompli sa mission. Rares sont celles qui gardent un oeil sur leur création et pour cause, il est mal vu d’avoir un contact avec la personne à qui on a conféré des pouvoirs. Dans la communauté des sorcières, il est tout aussi prohibé d’avoir une quelconque relation intime avec celle ou celui qu’on a crée.
Naturellement, le demi-dieu se voit asservi à sa sorcière : c’est à dire qu’il aura toujours tendance à s’incliner face à ses ordres et ses prérogatives.
Si une sorcière est tuée, alors le demi-dieu qui a créé par elle, meurt aussi. Néanmoins, l’inverse n’en est rien. Un demi-dieu tué ne provoque qu’un frissonnement et un malaise chez la sorcière.
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~Deux cœurs, Deux mondes~
Orion et Max - 1/5
Chapitre 1 : Le sacrifice
Orion marche dans les rues du dôme, une ville endormie sous ses murs métalliques et transparents. Autrefois animée, la ville semble maintenant figée. Les gens vaquent à leurs occupations, fatigués, et les enfants jouent dans des zones sécurisées. L'air est lourd de l'odeur du détergent, mélange de propreté et d'humidité. Orion, un jeune homme de vingt-quatre ans, est accablé. Ses yeux parcourent les visages familiers en quête de réconfort dans un monde devenu hostile. Orphelin depuis toujours, il a toujours vécu seul dans la solitude. Ses seules véritables relations sont ses amis d'enfance, qui lui ont montré une certaine camaraderie.
Le protecteur du dôme, un homme froid et distant, a convoqué Orion pour une réunion. Les murs de son bureau sont couverts de graphiques et de plans, une image de l'ordre et de la discipline qui règnent dans ce sanctuaire technologique. Le protecteur fixe Orion sans aucune chaleur dans ses yeux.
- Bonjour Monsieur le protecteur, vous m'avez convoqué ? Demande Orion
- Asseyez-vous Orion. Dit sèchement sans dire bonjour.
Orion s'assoit calmement, le protecteur écrit et signe des papiers silencieusement, un long silence submerge dans ce bureau, seul l'horloge fonctionne et fait tic-tac tic-tac. Soudain le protecteur tousse et commence à parler.
- Orion, commence le protecteur d'une voix sèche, si je vous ai convoqué dans mon bureau c'est pour vous annoncer une nouvelle. Je vous ai choisi pour être transféré à un autre dôme. Le cœur d'Orion bat, il ne s'attend pas à cette annonce.
- Je vous demande pardon ? Orion suggère qui n'avait pas bien entendu. Le protecteur se met debout et regarde à la fenêtre de la tour et regarde la ville.
- Comme vous le savez au sujet du dôme, un bébé est né et nous sommes limité pour une population de 3000 personnes et non 3001. Je vous ai convoqué ici car je vous ai choisi pour vous mutez au dôme 25.
- Monsieur le protecteur ! Demande Orion très perturbé.
- Vous êtes le seul orphelin du dôme monsieur Hale, et avec la population limitée ici, nous ne pouvons pas nous permettre d'avoir un surplus.
- Et que comptez-vous pour la protection du dôme 13 ? Vous manquerez un protégé dans le groupe. Mon travail ? Et ma maison ?
- Vous serez déjà embauché pour protéger le dôme 25 et vous serez déjà hébergé dans un appartement.
Orion hoche la tête, comprenant que sa situation est désespérée. Il est un sacrifice nécessaire pour maintenir l'équilibre de la société enfermée. Aucun mot de réconfort n'est échangé. Le protecteur se contente de le regarder, indifférent.
- Je comprends, murmure Orion, sa voix tremblante légèrement. Quand dois-je partir ?
- Dès que possible. Vous serez escorté au centre de transit avec une voiture automatique dans une heure. Préparez-vous pour le voyage.
Sans attendre de réponse, le protecteur retourne à ses documents. Orion se tourne lentement et quitte le bureau. Ses pas résonnent dans les couloirs vides, chaque écho lui rappelant les moments passés dans ce dôme.
- Alors c'est comme ça que cela termine ? Est-ce je vais avoir une meilleure vie ? Se demanda en marmonnant.
Il retourne à son appartement modeste, avec des meubles simples et des murs blanchis. Il prend un moment pour regarder autour de lui, comme s'il essayait de capturer les souvenirs de sa vie ici. Son regard se pose sur un vieux livre, un vestige d'un temps où il espérait quelque chose de mieux. L'heure du départ approche. Orion se prépare, vérifiant son équipement et ses affaires.
- Adieu maison, j'espère que cette nouvelle vie sera meilleure. Puis Orion ferme la porte pour la dernière fois.
Chaque geste est empreint de mélancolie. Il essaie de ne pas penser aux amis qu'il laisse derrière lui et à la vie qu'il abandonne. Lorsque l'heure arrive, il se dirige vers le centre de transit. Le dôme, avec ses murs imposants et ses protections, se dresse autour de lui comme une forteresse. Le véhicule automatique l'attend, prêt à l'emmener vers un avenir incertain.
Orion ne voit personne. Seul la voiture est là.
Personne n'est venu pour lui dire adieu, Orion se sent trahit, les amis ont une vie et n'ont pas à prit le temps de dire un adieu. Il se tourne une dernière fois vers le dôme en mettant son masque respiratoire, les yeux remplis de tristesse qu'il essaie de cacher. Il monte dans le véhicule, sa silhouette se détachant à peine dans l'ombre de la ville qu'il quitte.
Alors qu'il s'installe dans le siège, il ressent un vide immense dans son cœur. Le véhicule démarre lentement, s'éloignant vers l'inconnu. Orion regarde par la fenêtre, les contours du dôme s'effaçant peu à peu. La réalité de son départ le frappe pleinement. Il n'a plus qu'un espoir fragile : celui de trouver une place dans ce monde qui lui semble étranger et impitoyable.
- Allez-vous faire foutre. Dit Orion, en ne regardant plus le dôme mais à sa destinée.
____________________________________________________________
Voilà mon premier chapitre est arrivée !
J'espère que vous avez aimé et n'hésitez pas à me donner votre avis au sujet de mon écriture, à l'histoire ou même des questions.
La partie 2 arrive bientôt.
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Résumé des jeux Diabolik Lovers
Alors, non, ce ne sera pas un résumé foireux. Cet article sera là pour résumer le synopsis de chacun des jeux. Attention, je ne fais que dire le synopsis du début car le reste de l'histoire, c'est aux joueurs de décider en choisissant de faire la route d'un quelconque personnage et en faisant des choix avec l'héroïne. Il y a sept jeux en tout si on inclut pas les CD's drama.
Haunted Dark Bridal: Yui Komori, 17 ans et fille d'un prêtre, se rend dans la ville de Kaminashi car son père est en déplacement à cause de son travail. Elle sera envoyée dans un étrange manoir car son père lui a dit qu'un parent éloigné allait l'accueillir. Mais Yui va tomber sur une fratrie de six jeunes hommes, les Sakamaki, et découvrira bien vite qu'ils sont des vampires. Commencera alors sa nouvelle vie dans le monde des ténèbres. Yui décidera alors de choisir qui aura le droit de boire son sang.
More Blood: La vie continue pour Yui alors qu'elle vit encore avec les Sakamaki, tentant tant bien que mal de se faire à cette vie. Alors qu'ils se mettent en route pour l'école, quelque chose provoque l'accident de leur limousine et Yui fait ensuite un étrange rêve. Quatre individus vont ensuite entrer en scène: les Mukami. Leur but étant d'obtenir Yui afin de devenir Adam.
Vandead Carnival: Les Sakamaki, les Mukami et Yui sont invités par Karlheinz à un carnaval qui aura lieu dans le monde démon. De plus, dans cette invitation, il est dit que Yui sera la reine du carnaval. Les deux familles vont alors se rendre sur place afin de profiter des festivités avec Yui et comme d'habitude, cette dernière doit choisir qui elle va accompagner afin d'être protégée, étant tout de même une humaine qui s'aventure dans le monde démon.
Dark Fate: Une éclipse lunaire survint. Alors que Yui est mêlée aux conflits des Sakamaki et des Mukami qui veulent sucer son sang, deux individus débarquent dans l'académie: les frères Tsukinami. Ces derniers auraient été auparavant transférés dans une école du Royaume-Uni et sont de retour au Japon. Mais les motivations des deux jeunes hommes sont bien obscures et les origines concernant le cœur de Yui referont bien évidemment surface.
Lunatic Parade: Yui fait un étrange rêve où un homme lui dit que sa possession la plus précieuse lui a été confisquée. À son réveil, on constate très vite qu'elle n'a plus d'odeur... ni de cœur. Son cœur a été volé par le comte Walter et a été remplacé par une pierre appelée "Kleinod". Mais l'effet de cette pierre s'estompe petit à petit, ce qui risque de tuer Yui. Par la même occasion, ils ont reçu une invitation et les frères vont donc devoir se rendre dans le monde démon afin de récupérer son cœur. Mais il y a un défilé en même temps et Yui devra choisir qui va l'aider pour ses recherches.
Lost Eden: Karlheinz n'est plus, ayant confié son pouvoir à l'un de ses fils. Dans le monde des humains, des vampires sont tués les uns après les autres. Quelque chose est en train de se préparer et l'équilibre dans le monde démoniaque s'effondre petit à petit. Un individu au nom de Kino entrera en scène, prêt à tout afin de s'approprier Yui, et ne reculera absolument devant rien pour y parvenir.
Chaos Lineage: Les trois maisons, Scarlet, Violet et Orange, se livrent bataille. Yui se réveille dans une église et complètement amnésique. Des vampires arrivent alors et se disputent pour avoir cette fille qu'ils appellent "Eve", dans l'espoir de devenir le souverain suprême. Il s'agit en fait des Sakamaki, des Mukami, des Tsukinami ainsi que de Kino qui semblent tous avoir perdu la mémoire. Yui essayera alors de retrouver ses souvenirs.
#diabolik lovers#diabolik lovers games#haunted dark bridal#more blood#vandead carnival#dark fate#lunatic parade#lost eden#chaos lineage#otome game#yui komori#sakamaki brothers#mukami brothers#tsukinami brothers#kino
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Mick/Charles please? I miss them 🥲
(You can write it in French if you want haha 😂 but anyway I’ll never judge you for mistakes in English since I’m the first one to do them)
Thank you my dear what a nice request ! So here we go, I hope you will like it because it's a bit special (🤦🏻♀️)
Au château du Baron Rouge, vivaient deux gentils princes, l’un blond comme les blés, l’autre brun comme le soir, l’un aux yeux bleus, l’autre aux yeux verts, l’un est l’héritier et l’autre le prédestiné, l’un est le fils du baron et l’autre son protégé. Ils grandirent tous les deux ensembles la tête emplie des mêmes rêves, des rêves de petits de garçons, des rêves de victoires, des rêves de gloire. Puis le temps vint pour eux de quitter le vieux château et d’aller faire leurs armes auprès d’un ami du baron.
Pendant deux ans messire Sebastian va leur apprit tout ce qu’il leur fallait savoir.
Charles s’avéra à même de savoir tout faire d’instinct, que soit pour le maniement des armes, des chevaux, la musique ou la danse ; il excellait en tout et pour tout. Mick, plus jeune, le regardait faire émerveiller, lui auquel il fallait, en comparaison, tant de temps pour assimiler les nouvelles choses qu’on lui enseignait. Tout autre que lui aurait été jaloux de cet étranger dont le talent semblait éclipser le sien mais Mick avait le cœur trop généreux pour cela et cette âme d’or ne pouvait renfermer aucune amertume, ni aucune jalousie. Après son père et Sebastian, Charles était la personne au monde pour laquelle il avait le plus d’admiration.
Charles fut le premier à être fait chevalier et debout dans l’église où avait lieu la cérémonie Mick suivait des yeux son ami descendant l’allé centrale éclairée par le soleil couchant qui faisait rutiler son armure en pensant que les anges devaient briller d’une pareille lumière. Le jeune chevalier monta sur son cheval, un magnifique étalon noir que lui avait offert Sebastian, qu’il fit se cabrer, imitant l’image qui se trouvait sur son écu : un cheval noir cabré sur fond de grenat.
On se réjouit des heureux évènements de cet journée durant un banquet qui se prolongea fort avant dans la nuit. Puis au petit jours Charles se leva, revêtit son armure et fit amener son cheval. Mick n’avait pas osé s’endormir de peur que son compagnon ne parte sans qu’il ait pu lui dire au revoir, et blottit dans sa chambre il guettait le moindre bruit, prêt à s’élancer au moindre signal. Lorsqu’il entendit les pas lourds d’un homme en arme résonner dans l’escalier de la tour où ils logeaient, il se précipita hors de sa chambre juste à temps pour saisir son ami dans ses bras au moment où il arrivait devant sa porte. Charles lâcha un petit amusé en voyant ainsi son jeune camarade se jeter sur lui. Il laissât Mick l’éteindre pendant plusieurs secondes puis doucement il éloigna le corps encore frêle de son ami. Leurs regards se croisèrent et c’est alors qu’il vit que les yeux couleurs d’azur de Mick pleins de larmes. Charles sourit tristement puis il vient passer une main affectueuse dans les cheveux d’or de son compagnon de toujours. Il dit la première bêtise qui lui passa par la tête afin de réconforter le jeune garçon et ayant enfin obtenu de lui un sourire, il se détacha délicatement de Mick et poursuivit sa route.
Le fils du baron le suivit en silence, il regarda Charles mettre ses gants, monter à cheval, saisir sa lance et son bouclier puis il s’approcha du bel étalon et se collant contre son encolure il lui recommanda de prendre bien soin de son cavalier. Après quoi il se tourna vers Charles et accrochant à sa selle un mouchoir de brocard rouge qu’il avait hérité de sa mère il dit : « Beau doux sire, que la sainte image brodée sur ce mouchoir vous protège et vous garde, et puisse-t-elle vous rappeler celui qui attendra votre retour avec plus d’ardeur encore que les fleurs attendent le retour du printemps. »
Quelques instants plus tard Charles était parti, parti à la quête d’aventure, parti à la quête de gloire afin d’honorer le nom de la grande maison des Ferrari dont il était devenu la grande espérance, il partit en attendant que quelques années plus tard Mick en face de même, pousser lui par le désir de conserver la gloire qui entourait le nom de son père.
#thank you so much for the ask#i enjoyed it a lot#my writing#fanfic#charles leclerc#mick schumacher#ask
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Automne 1914, Saint-Jean-sur-Richelieu, Canada (5/22)
Il faut savoir qu’au Canada, le recrutement est basé sur le volontariat pour les hommes de dix-huit à quarante-cinq ans. A Hylewood, il ne s’est trouvé que quatre hommes suffisamment braves pour s’engager. Laissez-moi vous les présenter, car nous avons été affectés à la même section. Nous passons donc tout notre temps ensemble, et je vais donc beaucoup vous en parler.
Celui qui est fort et moustachu, est mon petit-cousin Bert Simmon, qui est secrétaire de police à Gan. C’est le quatrième homme que vous voyez en partant de la gauche sur la photographie que j’ai jointe à se courrier. Il a vingt-cinq ans. Il est un peu artiste, on le voit le dimanche sur la falaise peindre le Saint-Laurent à l’aquarelle lorsqu’on va se promener. Il est célibataire, si bien qu’il ne perd rien en s’engageant, mais il est si courageux que je crois bien qu’il se serait fait soldat même s’il avait eu une fiancée.
Arthur Rumédier est l’oncle de ma femme et il est marié à la fille aînée de ma sœur Françoise, mais ils n’ont pas encore d’enfants. Il est précepteur à Gan lui aussi, il a vingt-six ans, et il s’agit de l’homme qui se tient droit et fier à côté de Simmon. C’est un homme brillant et charismatique, qui a rapidement monté les échelons.
Le dernier est son neveu Zéphir Rumédier, le benjamin de notre groupe, puisqu’il a vingt-et-un ans. C’est le deuxième homme en partant de la gauche, celui qui est fluet. Il est artiste lui aussi, si bien qu’il est toujours fourré avec Simmon. Il est un peu timide au premier abord, mais une fois qu’on le décoince, il a toujours le mot pour rire. Il n’est pas particulièrement courageux, mais il voue un grand attachement à son oncle, et c’est cette disposition qui l’a poussé à le suivre.
Enfin, l’homme que vous voyez tout à gauche de la photographie est le Capitaine Delacroix, qui dirige le peloton dont notre section, composée de dix hommes, fait partie. L’infirmière à droite est sa femme, Heather.
[Transcription] Odin Delacroix : Qui d’entre vous a déjà servi ? Tout le monde : … Odin Delacroix : Personne ? Lequel d’entre vous sait manier une arme ? Bert Simmon : Une fois, j’ai nettoyé l’arme d’un agent de police. Tu penses que ça compte ? Jules LeBris : J’en doute. Bert Simmon : Et toi, LeBris ? Avec tous tes voyages, tu as forcément déjà manié une arme. Jules LeBris : Etonnamment, non. Nous étions toujours très protégés en Égypte, et au Nunavut, un pistolet ne ferait rien contre un ours… Zéphir Rumédier : Une fois, j’ai chassé le cerf au fusil avec mon oncle. Jules LeBris : Il faut le dire au Capitaine. Zéphir Rumédier : Je ne l’ai fait qu’une fois, et j’ai trop peur qu’il me demande de faire une démonstration… Odin Delacroix : Vous êtes novices, et nous allons vous former. Les combats démontrent clairement que l'entraînement physique est essentiel pour toutes les troupes. Heather Delacroix : Mais avant toute chose, il va falloir vous mettre en forme. Des succès n'ont pu être exploités faute de résistance physique ou simplement de souffle de la part des combattants, faute de vitesse dans les bonds ou déplacements, de force musculaire pour le maniement ou transport des armes et des munitions, ou bien par manque d'aptitude aux genres d'exercices physiques les plus usuels au combat. Heather Delacroix : Plus vous serez forts, résistants, rapides et adroits, moins vous aurez de chances de vous retrouver chez moi. Odin Delacroix : Et c’est pourquoi vous allez immédiatement vous rendre au camp, et me faire cent tractions.
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Marécage
Des marais à perte de vue !
Moins connu que Gauvain, Tugdual venait aussi du pays de Galles. Il avait traversé les mers pour trouver ce que les chevaliers de la table ronde cherchent depuis toujours, le Saint Graal. Dans le nord, il avait combattu des hommes des glaces. A l’ouest, il s’est opposé au terrible serpent de mer, A l’est, c’était la fameuse horde sauvage qu’il défia pour sauver un petit village sans richesse. Quant au sud, il affronta le géant des sables. Mais de tous ses défis, il ne pensait pas que celui-ci serait le plus compliqué.
Des marais à perte de vue !
Voilà comment les paysans de la région décrivirent l’endroit. La piste donnée par un marchant local obligeait de s’enfoncer dans les terres de Nimué. Mais, à l’approche, il comprit qu’il ne serait pas facile d’entrer dans ces terres. C’était une immense étendue d’eau et de bois où personne n’allait par peur des superstitions. On disait qu’il était hanté, qu’un monstre habitait la zone et dévorait tout être vivant pénétrant dans le marécage. D’ailleurs, Tugdual n’entendit aucun chant d’oiseau, preuve que même ceux qui sont censés être à l’abri, ne se sentent pas protégés.
Le chevalier suivit son instinct. « Si le Graal est au centre de cet enfer », j’irai le chercher, pensa-t-il. Personne ne voulut l’aider. Ainsi, il acheta une barque et s’enfonça sous le regard médusé et désolé des villageois. Au début, tout se passait bien. Mais après avoir traversé le lac, ou plutôt la grande étendue d’eau, sa barque pénétra le sanctuaire interdit.
Puis, il fut confronté à différents problèmes. La chaleur étouffante du jour laissait sa place à au froid glacial de la nuit. L’humidité fut si importante et l’air si vicié qu’il vit, de ses propres yeux, son épée commencer à rouiller. Son bateau n’avançait que rarement dans l’eau croupie, l’obligeant à ramer et à se jeter dans le marais pour couper les racines des arbres ou des plantes qui, l’empêchaient de continuer sa route. Et le brouillard toujours présent, devenait de plus en plus dense quand il s’enfonçait dans ce marais infect. Dès lors, il réalisait que sa quête devenait absurde.
Des marais à perte de vue !
Après quelques jours, Tugdual pensait avoir fait le plus dur. Mais quelque-chose ne lui convenait pas. En effet, plus il avançait, plus il avait la sensation de déjà-vu. « Cet arbre, je l’ai aperçu. Et cette broussaille qui ressemble à un cheval, je le reconnais.» se disait le chevalier. De même, les arbres ressemblaient énormément à des formes humaines. Il crut même qu’ils gesticulaient des bras en voyant le vent bouger les branches.
Des marais à perte de vue !
Il avait fini ses provisions. Dès lors, il se mit à pêcher et récupérer quelques poissons. Tous avaient une terrible odeur de vase. Il vomit, sentant la maladie l’envahir. Et les moustiques qui s’amusaient à sucer son sang. Sa tête était chaude, il regrettait cette quête.
Des marais à perte de vue !
Dans son rêve, Tugdual vit une jeune femme aux cheveux d’or et à la peau blanche. Elle sortait de l’eau et l’invitait à le rejoindre. Il tendit le bras pour attraper sa main et se laissa glisser hors du bateau. Lorsqu’il se réveilla en avalant une gorgée d’eau putride, il se rendit compte qu’il était au milieu de rien. Sa barque avançait lentement. Lui qui ne savait pas nager, dut faire un effort surhumain pour la rejoindre, Enfin sur les planches, il souffla et s’endormit de nouveau. Le brouillard se faisait de plus en plus épais.
Il regrettait l’absence de son écuyer ou d’un compagnon. Son homme de main tomba malade quelques jours avant d’arriver dans ce village maudit. Il aurait pu attendre qu’il se rétablisse mais son esprit contenait trop d’impatience. Alors, il laissa son fidèle serviteur pensant le revoir dans quelques jours au plus. Et les autres chevaliers suivaient une autre piste à l’autre bout du pays ou en Calédonie. Dieu qu’il se sentait seul dans ce monde perdu. Même les oiseaux ne chantaient pas pour lui.
Soudain un craquement puis un cri. C’était le hurlement d’un animal. Devant son embarcation, l’eau se mit à bouillir. Il serra son épée à moitié tachée de rouille et observa cette eau remuer dans tous les sens. Le bateau continua d’avancer avec une lenteur insupportable. Il se mit à prier n’importe quel dieu. Malgré son baptême, il demeurait encore païen et louait toujours quelques dieux celtes. La rivière se calma brusquement. Tugdual observa les semblants de rives touffues et inaccessibles. Il jeta un œil sur un morceau de bois flottant. C’était les restes d’un cor de cerf. La tête arrachée regardait Tugdual en tirant la langue. L’intrépide semblait lire dans ce regard vide un danger.
Des marais à perte de vue !
A peine remis de cette vision d’horreur, le chevalier sentit quelque-chose frapper son épaule. C’était un tentacule. L’homme se releva immédiatement l’épée à la main. Face à lui, un monstre se dressait, des yeux globuleux le dévisageaient. Un second tentacule sortit de l’eau puis un troisième. Dès lors, le poulpe s’amusa avec la barque en la bousculant. Tugdual tomba, mais réussit à se maintenir dedans. Le monstre jouait, le bateau, collé aux bras de la pieuvre, ne touchait plus l’eau. Un tentacule enroula la barque avant de l’écraser comme un vulgaire insecte. Le jeune héros plongea, malgré lui, dans une eau noire et dangereuse.
Il se débattait aussi bien pour ne pas se noyer que pour se défendre du poulpe. Son poignard frappait l’eau sans toucher le monstre. Il frappait et essayait en même temps de rejoindre la rive. Enfin il arriva à avoir pieds et put courir jusqu’au bord. Il regarda l’étendue d’eau. Tout était calme. La pieuvre avait disparu. Jamais il n’aurait pensé rencontrer un pareil animal en cet endroit.
Des marais à perte de vue !
Tugdual avait tout perdu. Il ne lui restait qu’un couteau accroché à sa ceinture. Il avançait à travers les ronces et les feuillages denses. Le brouillard n’aidait pas. Il essaya de chercher de la nourriture. Mais c’était le rôle de son écuyer que de chasser les petits animaux. Lui était habitué aux sangliers, aux cerfs et autres gibiers de grande envergure. Il marchait cherchant à longer la rivière.
Des marais à perte de vue !
La traversé devint encore plus longue et périlleuse. Il risqua de s’effondrer d’épuisement dans la boue et les flaques. Ses vêtements se déchirèrent au contact des ronces et autre plantes à aiguilles. Il sentait la verdure blesser sa chair. Il avait mal. Mais il ne voulait pas mourir en cet endroit. Savoir que son corps finirait ici, imaginer ses ossements pourrir dans ce marécage, le révulsait. Alors, il trouva la force de continuer.
Des marais à perte de vue !
A cause de la soif, de la faim et de la fatigue, son imagination joua des tours. Il entendit une étrange mélodie. C’était un chant doux, une voix féminine harmonieuse. Il s’arrêta, chercha à regarder le ciel à travers la brume. Celle-ci parut moins épaisse. Et si ce n’était pas un mirage ? S’il entendait bien une femme chanter ? Aussitôt il s’engouffra au milieu des buissons en direction de ce chant. Il trébucha sur les racines, s’arracha la peau des bras et des jambes. Il faillit se crever un œil avec une branche tendue. Enfin, le brouillard avait disparu ainsi que la forêt et les marécages.
Tugdual avait réussi. Un château de pierre se dressait devant lui. Il marcha difficilement, ses jambes tremblantes avaient de plus en plus de mal à avancer. Il s’agenouilla, se mit à ramper vers ce château fantastique. Puis il s’endormit. Pendant ce temps, une jeune femme chantait à côté d’une fenêtre. A ses côté, un homme sourire aux lèvres, tenait une coupe de vin. Ses habits étaient des plus éclatants. Il était envouté par la beauté de la chanteuse… A moins que ce soit par sa magie, parce qu’il ressemblait trait pour trait à Tugdual.
Alex@r60 – août 2023
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La plupart des hommes sont des enfants qui ne cherchent qu'une relation maternelle inconsciente avec leur partenaire. Plus je grandis, plus je remarque cet écart qui se creuse entre hommes et femmes. Comme si, pour chaque chose, chaque responsabilité, chaque pensée, il fallait les guider, les accompagner. Ils attendent ça pour démarrer des actions. Souvent, c'est mis sur le compte de la non prise d'initiative dans le cadre d'un manque de confiance en soi, je crois que c'est trop facile de se justifier de cette manière. Je n'ai jamais une aussi grosse charge mentale que lorsque je fréquente un homme. Pote ou pas. Incapable de gérer son temps, ses impératifs, ses deadlines, il faut les mettre en marche, leur mâcher le travail. C'est une perte de temps constante. Une impression de faire à la place de l'autre et qu'en plus l'autre se complet dans ça. Alors je veux bien que ce soit le fuit du patriarcat car on les a toujours protégés et couvés, cela dit, rien n'empêche de prendre du recul et rectifier le tire. J'ai souvent la sensation désagréable d'être en charge d'un enfant, pas de fréquenter un garçon. Cela me dérange de plus en plus je dois dire. Je commence à penser qu'ils se reposent sur cette mise en évidence de leur puérilité stérile.
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