#la pensée sauvage
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Le printemps devrait nous faire comprendre une bonne fois pour toutes que rien n’est jamais perdu. Sylvain Tesson- (Aphorismes sous la lune et autres pensées sauvages)
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Alors que le soleil commence à descendre, projetant une lueur chaude et dorée sur le ranch, je ressens le besoin de sortir et de faire une promenade. L’air est vif et pur, porteur d’un léger parfum de fleurs sauvages et de terre. Le ciel est une toile de teintes pastel, avec des nuances de rose, d’orange et de violet qui se mélangent harmonieusement.
Je commence ma marche le long du sentier familier qui serpente à travers les champs et les pâturages, l’herbe haute se balançant doucement dans la brise. Le doux craquement du gravier sous mes bottes est un son réconfortant, qui me ramène dans le moment présent. En marchant, je sens la tension dans mes épaules commencer à fondre, remplacée par un sentiment de calme et de paix.
La beauté du coucher de soleil est envoûtante, les couleurs deviennent plus vives à chaque minute qui passe. Je m’arrête pour tout absorber, pour apprécier la beauté qui m’entoure. Le ciel semble s’étendre à l’infini, une vaste étendue de couleurs qui me remplit d’admiration et d’émerveillement.
En continuant ma marche, je laisse mon esprit vagabonder, permettant à mes pensées de circuler librement. La quiétude du ranch au coucher du soleil est le cadre idéal pour la réflexion et l’introspection. Je pense aux événements de la journée, à mes espoirs et mes rêves, et à l’avenir. Chaque pas m’apporte de la clarté, m’aide à organiser mes pensées et à prendre du recul.
Au moment où je rentre chez moi, le ciel est illuminé de couleurs, une dernière explosion de beauté avant que le soleil ne disparaisse à l’horizon. Je me sens rajeunie, mon esprit clair et mon cœur léger. Traverser le ranch au coucher du soleil est devenu un rituel, un moment pour moi de me connecter à la nature, de me vider l’esprit et de trouver la paix dans la beauté du monde qui m’entoure.
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Sinon on en parle de ce moment?
Genre je suis quasiment sûre que c'est une ref au poème de Victor Hugo. Même si c'était pas voulu (et je pense que c'est voulu) ça m'a toujours immédiatement fait penser à ça:
Demain, dès l’aube, à l’heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m’attends. J’irai par la forêt, j’irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.
- Victor Hugo, « Demain, dès l’aube… », Les Contemplations
Et pour le coup c'est du foreshadowing de malade en soit. Pcq la seule enfant potentielle qu'Arthur trouve est déjà morte depuis longtemps. Son rêve est mort. Tout le reste du poème ressemble à son voyage en plus (la marche déterminée vers un but qui l'obnubile, Guenièvre qui ramasse des fleurs sauvages, le coucher de soleil sur la mer...). Rien que "triste, et le jour sera pour moi comme la nuit" ça ressemble beaucoup à Méléagant qui dit "rien ne sera plus triste que vous."
Et l'écran qui devient noir d'un coup, comme la nuit qui tombe, alors qu'il a pas fini de parler - ça donne pas du tout espoir, ça donne une finalité, une sentence qui s'abat. Bref c'est bien fait.
#kaamelott#arthur#victor hugo#demain dès l'aube#poésie#poésie française#arthur pendragon#kaamelott livre v#kl5
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Je laisse s’écouler ma pensée ingénue Telle qu’elle me vient, je l’écris toute nue. Elle est naïve et simple ainsi qu’un front sans fard Et les cheveux au vent elle vole au hasard Après un moucheron, un sourire, un nuage Un baiser suffirait pour la rendre sauvage.
Guy de Maupassant, in Maupassant, Frédéric Martinez
#Guy de Maupassant#Maupassant#Frédéric Martinez#littérature française#littérature#citation#citation française#biographie
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Draco Malfoy avait toujours eu ce qu’il voulait et il en avait conscience. Il était privilégié par sa position d’héritier, de fils unique, d’enfant voulu et chéri par ses parents. Privilégié par la nature même, par sa beauté, par son intelligence. Il savait qu’il faisait énormément d’envieux. Qu’y pouvait-il ? Il était né comme ça. Une cuillère d’argent dans la bouche. Littéralement, qui plus est, car il ne se souvenait pas d’un repas familial sans que l’argenterie ne soit sortie.
Que penserait Harry de l’argenterie ? Draco n’était pas aveugle, loin de là. Il avait remarqué les tenues usées du fleuriste. Sa maigreur qui peinait à être corrigée. Son âge. Draco avait demandé à Luna Lovegood depuis combien de temps Harry travaillait pour sa mère, atterré d’avoir tant de fois manqué le bel homme durant ses achats express. Mais fort heureusement, cela ne faisait que quelques mois lorsqu’il s’est rendu compte de sa présence. Cela faisait donc trois ans, à présent. Et s’il avait été embauché à 22 ans, il n’avait sûrement pas fait d’études. Son travail n’était définitivement pas un temps partiel et lorsque Draco parlait de ses examens, Harry ne renchérissait jamais sur les siens. Tous ces éléments ne menaient qu’à une seule conclusion : il était pauvre. Draco irait jusqu’à dire qu’il était plus pauvre que la moyenne, même si ça ne changeait rien à ses yeux.
Il y avait longuement pensé. Très longuement.
Mais presque trois ans plus tard, le fait demeurait : il était diablement attiré par Harry Potter. Tout lui plaisait. De sa beauté sauvage à sa folle impertinence, de son habilité à son talent de composition. Draco en voulait plus. Qui sait, peut-être qu’une fois en rendez-vous, il découvrirait des aspects de Harry qu’il n’aimait pas et il cesserait d’être obsédé par le fleuriste. La sensation de sa peau rugueuse lui revint en mémoire malgré les mois qui le séparaient du 31 juillet. C’était la première fois qu’il avait baisé une main aussi sèche. Rude.
—Tu es bien pensif, nota sa mère.
Elle se déplaça gracieusement à ses côtés, admirant à son tour le sublime jardin à la française à travers les baies vitrées. Il hésitait à lui en parler. Elle n’avait pas été désappointé en apprenant qu’elle n’aurait jamais de belle-fille et son père s’en était également vite accommodé. En revanche, ils s’attendaient clairement à un riche parti. Un Blaise Zabini, un Théodore Nott. À la limite, un Neville Longbottom. Ce serait un déplaisir, mais cela resterait un parti convenable pour un Malfoy.
Un Harry Potter, fleuriste, sans le sou ? L’affaire s’annonçait mal. Ce n’était pas pour rien que Draco, sûr de lui et tellement habitué à obtenir ce qu’il voulait qu’il n’avait guère de patience, avait pourtant patienté plus de deux ans dans l’espoir que son attirance se fane d’elle-même. Mais il devait se rendre à l’évidence : loin de s’étioler, il devenait de plus en plus attiré Harry. Ce n’était plus seulement pour ses yeux d’un vert presque surnaturel, pour son sourire tordu ou pour sa silhouette qui ne demandait qu’à être découverte. Plus encore, c’était pour sa facilité à le faire rire, à le surprendre, à renchérir intelligemment à chacune de ses boutades que Draco était irrémédiablement sous le charme.
C’était décidé, il inviterait Harry Potter à un rendez-vous. Avec un peu de chance, il serait déçu, son attirance s’effondrerait d’elle-même et il trouverait un bel homme riche que ses parents approuveraient.
Il le fallait.
—Sûrement. Mais l’objet de mon trouble n’est pas digne de votre intérêt, mère. Il n’y a guère d’inquiétude à avoir.
Narcissa Malfoy lui jeta un regard acéré. Un regard tellement Black que Draco se sentit immédiatement recomposer son masque d’aristocrate.
—Pourtant, je ne me sens pas sereine. Peut-être voudrais-tu me confier l’objet de tes pensées, afin d’apaiser la mère inquiète que je suis ?
—Je vous assure, tout va bien. Je ne désire guère m’appesantir sur le sujet. Toutefois, soyez certaine que je viendrais à vous si le problème persiste.
Elle le détailla longuement avant de reporter son regard sur le jardin.
—Fais attention à toi, Draco. Nous serons toujours là pour toi.
J’ai comme l��impression que je vais vite tester cette assertion.
—Je sais. Je vous aime.
—Nous aussi, Draco. Nous aussi.
Et elle sourit, de ce sourire tendre et maternel qu’il était le seul à connaître.
Faites que Harry Potter soit décevant, par pitié.
*
Il n’était pas décevant, il était désespérant.
Frustrant, irritant, irrémédiablement chiant et incroyablement attachant. Merde.
Premier signe que cela s’était mal annoncé pour Draco Malfoy : avant d’entrer dans la boutique, il avait été légèrement angoissé. S’il fallait être parfaitement honnête avec soi-même, Draco avait été à deux doigts de faire demi-tour tant il avait eu peur, mais il était hors de question de se l’avouer, même à soi-même. Il était donc entré, les mains légèrement moites et le cœur battant la chamade.
Les autres signes s’étaient succédés : Harry avait été accaparé par un client, c’était madame Lovegood qui était venu le voir. Il avait dû refuser son aide, gêné, car il voulait parler à Harry. Le sourire moqueur sur le visage de cette femme était quelque chose qu’il voulait oublier de façon définitive. Il ne l’inviterait définitivement pas à leur mariage.
Wait, what ?
Concentre-toi !
Harry enfin devant lui, le cerveau de Draco s’était mis sur pause. Il avait été extrêmement tenté de faire mine de rien et d’acheter un quelconque bouquet avant de prendre les jambes à son cou. Finalement, il avait enfin eu le courage de se jeter à l’eau et demander un rendez-vous à Harry — sans bégayer, s’il vous plaît — quand Harry avait eu l’audace de refuser.
Oh, le pauvre bougre. Draco avait oublié un léger détail : Harry était incapable d’accepter quoi que ce soit. Foutu connard. Draco s’était tardivement rappelé la peine qu’il avait eu à acheter un bouquet à Harry pour son anniversaire.
Alors maintenant, entre une allée de tulipes et une autre de bégonias, il avait en face de lui un fleuriste rougissant plus têtu qu’une mule.
—Tu mens, déclara posément Draco.
Il était intérieurement très loin d’être aussi calme qui le prétendait.
—Non, répondit brièvement Harry entre ses dents en détournant le regard.
C’était le plus mauvais menteur de la planète. Même un enfant de trois ans mentait mieux que ça.
—Si. Je sais que tu es attiré par moi, tout comme je le suis par toi. Et tu es officiellement bisexuel, donc je te le redemande : pourquoi refuses-tu mon rendez-vous ?
Draco commençait à avoir une petite idée du problème.
—Je n’ai pas de temps à te consacrer.
—Trouves-en.
Effaré par ce culot, Harry lui jeta un regard noir qui était immédiatement démenti par ses prunelles brillantes d’amusement et son petit sourire.
—Tu es l’audace incarné, Malfoy. Pourquoi voudrais-je faire cet effort ? Tu ne m’intéresses pas. Accepte mon refus et va voir ailleurs si j’y suis.
—C’est un compliment que l’on me fait souvent. Qu’as-tu à faire de plus important que passer du temps avec moi ? se moqua-t-il en retour.
—Une sieste. La vaisselle. Une lessive.
—Faisons cela ensemble, alors.
Interloqué, Harry resta un moment sans voix avant de rire, légèrement hystérique.
—Alors toi…Non, certainement pas. Je n’en reviens pas. Qu’est-ce qui t’intéresses donc tant chez moi ?
Tout, bordel.
—Tes vêtements propres, apparemment.
Harry roula des yeux.
—Dit-il en allant probablement au pressing toutes les semaines…
—Mieux, j’ai un employé. J’aimerais que tu le prennes en stage. Tu aurais sûrement beaucoup à lui apprendre.
—Oh, c’est donc un rendez-vous professionnel que tu me proposes ?
Les yeux verts brillaient de malice. Il rayonnait d’humour et de tendresse. Draco ne s’en lasserait jamais.
—Oui. Tu dois bien connaître tes futurs employés, quand nous vivrons ensemble dans une immense maison de compagne avec trois chiens, deux chevaux et six chats.
Harry entrouvrit les lèvres avant de les refermer, les joues à nouveau rouges. Niveau carnation, Draco espérait s’en sortir mieux.
—Woah. Je te savais ambitieux, mais je te découvre visionnaire.
—Je suis un homme aux multiples talents. D’ailleurs, j’ai une autre vision : toi, acceptant ma demande de rendez-vous.
—J’ai toujours détesté les voyants. Je vais donc refuser.
—S’il te plaît…?
C’est la technique qui avait le mieux fonctionné le 31 juillet. Comme s’il avait conscience de sa faiblesse, Harry le fusilla du regard mais peinait à réitérer son refus. Draco sentait que ses réserves n’avaient rien à voir avec lui et tout à voir avec l’aspect monétaire, donc il poursuivit. Ça faisait plus de deux ans qu’ils se tournaient autour, après tout. Il n’allait pas abandonner maintenant.
—Un simple dîner. Je paye, je n’attends rien de toi, d’aucune façon.
—Je sais, mais non.
—Un café, alors ? Le Serdaigle. C’est un café-librairie très sympa.
—Non !
Devant le froncement de sourcils de Draco, Harry poursuivit :
—C’est celui de Cho. Mon ex. On est en bons termes mais je ne veux pas du tout avoir un rendez-vous galant là-bas, ce serait vraiment gênant.
Note à moi-même : ne plus jamais foutre les pieds au Serdaigle.
Deuxième note : demandez des informations à Chang.
—Un autre café ?
Harry baissa les yeux sur ses mains et passa un ongle sous un autre pour enlever un peu de terre. Ses mains étaient à des milliers de kilomètres des mains d’un Zabini ou d’un Nott. Pas soignées, griffées, tachées, abîmées, tannées par le soleil. À l’opposé des mains délicates de Draco. Il avait une folle envie de lier ses mains aux siennes.
—Et pourquoi pas une promenade ? Jusqu’à la colline d’Helga. Le coucher de soleil est magnifique là-bas.
Il a proposé quelque chose !!! OUI OUI OUI
—Marché conclu. Où se rejoint-on ?
Harry mâchouilla l’intérieur de sa joue.
—Ici, à 19h30. Ça te va ?
—Honnêtement, Potter. J’aurais accepté même si tu m’avais dis 2h du matin à la gare.
Le sourire de Harry transperça son visage.
–Mince, c’est ça que j’aurais dû faire. Je suis sûr que ce joli visage se vendrait très cher sur le marché noir.
Niveau carnation, Draco ne répondait plus de rien. Ses joues étaient probablement plus rouges qu’aucune des fleurs de la boutique.
*
Quand Draco avait aperçu Harry au loin, il avait immédiatement été intrigué. Il avait un sac à dos qui avait l’air bien chargé et des baguettes de pain sous le bras. Mais surtout, il faisait du skateboard. Harry lui avait souri timidement avant de sauter de sa planche et, d’un fort appui sur une extrémité, elle avait atterri dans sa main avec une aisance pratiquée.
—Salut.
—Salut.
Harry, comme à son habitude, comprit immédiatement la tonne de questions qu’avait Draco et en réponse, un sourire narquois chassa son air auparavant timide. Draco avait toujours été fasciné par la facilité avec laquelle Harry le comprenait.
—J’ai apporté le pique-nique. Pas grand-chose, mais…Je me suis dis que ça pouvait être chouette.
Oh, le fourbe. Il refusait les cadeaux de Draco mais lui offrait un pique-nique. Draco sourit malgré lui. Il se vengerait.
—C’est une excellente idée.
Ils se mettaient en route quand Draco ajouta d’un ton moqueur :
—Pour quelqu’un qui n’était pas intéressé, tu es très investi.
—Il faut soigner sa clientèle.
—T’es payé en heures supplémentaires pour pique-niquer avec moi ?
—Oui. Merci d’arrondir mes fins de mois.
Draco abandonna cette joute verbale pour détailler Harry et celui-ci, captant son regard, se laissa faire avec des yeux brûlants. Comme s’il se préparait au rejet et qu’il le défiait de le faire.
Mais il n’y avait aucun monde où Draco Malfoy rejetterait Harry Potter.
—Nous formons une drôle de paire, toi et moi, lâcha finalement Harry.
Draco essaya de se figurer à quoi ils ressemblaient, de loin. Un homme aux cheveux d’ébènes emmêlés, aux lunettes légèrement de travers, chemise trop large sur un vieux t-shirt à l’effigie d’un groupe de rock, sac à dos usé sur le dos, skateboard sous le bras et un pantalon de cargo taché de peinture. À ses côtés, un homme grand aux traits fins, vêtu d’un costard bleu foncé qui soulignait sa taille élégante et son teint clair.
—Tu n’as pas l’habitude d’attirer les regards ? taquina Draco en retour.
—Pas vraiment, non. J’ai plutôt tendance à les éviter.
Encore ce sourire tordu que Draco aimait tant. Mais la lueur des émeraudes indiquait une confidence. Il en prit note.
*
Bon, Draco était foutu. Il en avait pris conscience au moment même où le coucher de soleil avait fait rougeoyer les cheveux de jais de Harry et que celui-ci s’était tourné vers lui, la peau revêtu d’or solaire, pour lui adresser le plus heureux des sourires.
À présent, Draco réfléchissait à une autre façon d’inviter Harry à sortir. Comme un idiot, il n’avait pas pensé à prendre son numéro et il ne l’avait pas trouvé sur les réseaux sociaux. Néanmoins, avant de se quitter, Harry l’avait remercié pour cette soirée. C’était bon signe, n’est-ce pas ? Draco ne voulait pas se précipiter, mais chaque seconde passée auprès de Harry était incroyable. Il ne devait pas faire n’importe quoi.
Quel était le temps adéquat pour proposer un nouveau rendez-vous ? Devait-il penser à une activité gratuite, comme ce qu’avait proposé Harry ? Comment faire pour que Harry se fiche de l’argent de Draco ? S’ils étaient amenés à vivre ensemble, Draco se fichait pas mal de tout payer. Il était ridiculement riche, ce n’était pas du tout un problème.
Il se retourna et enfuit la tête dans son oreiller. Jamais, au grand jamais, il s’était autant pris la tête pour des amourettes. Au fond de lui, il savait que c’était différent. Tout, chez Harry, était différent.
Mais surtout, Harry Potter était un défi à part entière. Et Draco Malfoy adorait les défis. Il voulait résoudre le casse-tête qu’était Harry Potter pour le restant de ses jours.
Il était vraiment foutu.
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La douceur dans la lueur
Le pied dans la porte
Cessons d'exister dans la nasse
Poisson haut perché dans les fonds marins
de l'ombre
Dans la lumière aussi il y a des ruines
L'homme au mégot penché sur un corps
Comme vouloir revivre dans la beauté
le sauvage le vibratile
Un peu de sueur à son front qui scintillait
Douce esquisse de ton visage motif de papier peint sur les murs comme un jardin faussement en friche
Des oiseaux de craie s'effaçaient
Des becs de crocs en dedans
L'ivresse de la mer à nos pieds usés
Le nu comme l'eau pour se désaltérer
Œil univers je me suis perdu
Dans les tiens le plus doux velours du voir
Et dans la nuit des bateaux avaient sombrés
coquilles d'œufs éparpillées sous l'or du sable
Comme tes pensées comme mes mains
Vivre ce dedans de toi pour dérober quel secret
Une clef vers les portes derrière lesquelles
L'âme écoute oreille collée à ton plaisir
De pluie fine de petit matin de sourire Embrasser enfin ton ventre-lèvres
tiède comme un passage
au bout d'un poème qui ne veut pas finir
jacques dor
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On avait les cheveux longs
Des dents de lait et pourtant
On savait on savait
Que ça n'allait pas durer
On chassait les papillons
On posait plein de questions
On savait on savait
Que ça n'allait pas durer
On collectionnait les billes
On sentait bon la vanille
On savait on savait
Que ça n'allait pas durer
On était toujours jaloux
Et on attrapait des poux
On savait on savait
Que ça n'allait pas durer
Qui aurait pu nous le dire
Qui aurait su nous l'écrire
Qui avait la solution
Pour ne jamais devenir grand
On partait dans les nuages
Cueillir des pensées sauvages
On savait on savait
Que ça n'allait pas durer
On courait jusqu'à plus soif
On se faisait des grimaces
On savait on savait
Que ça n'allait pas durer
Qui aurait pu nous le dire
Qui aurait su nous l'écrire
Qui avait la solution
Pour ne jamais devenir grand
On voulait toujours faire vite
Avant de prendre la fuite
On savait on savait
Que ça n'allait pas durer
On avait la varicelle
On était bien trop cruels
On savait on savait
Que ça n'allait pas durer
Qui aurait pu nous le dire
Qui aurait su nous l'écrire
Qui avait la solution
Pour ne jamais devenir grand
La Grande Sophie
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 7 : La vision de Lilia
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Le matin était arrivé, et une douce lumière filtrait à travers les branches des arbres, projetant des ombres délicates sur le sol. Les sorcières dormaient profondément, enveloppées dans leurs veste, leurs visages sereins et paisibles.
Agatha, la tête légèrement tournée, avait toujours son nez enfoui dans le cou d'Ivana. Elle respirait lentement, savourant l'odeur apaisante de la peau d'Ivana, un mélange subtil de fleurs sauvages et de l'odeur terreuse de la forêt. Les cheveux d'Ivana, légèrement ébouriffés, dégageaient une fragrance douce, presque sucrée, qui se mêlait à l'air frais du matin.
Agatha, perdue dans ses pensées, se laissait aller à la chaleur du corps d'Ivana contre elle. Elle ressentait une profonde connexion, un sentiment de sécurité qui réchauffait son cœur. Les rayons du soleil commençaient à caresser leur peau, annonçant un nouveau jour rempli de promesses et d'aventures à venir.
Lucillia avait toujours la tête posée sur la poitrine de Lilia, cherchant réconfort et chaleur dans ce geste intime. La douce mélodie du battement de cœur de Lilia résonnait dans ses oreilles, un rythme apaisant qui l'aidait à se détendre et à se laisser aller. Chaque pulsation était comme une promesse de sécurité, un ancrage dans le moment présent.
Les cheveux de Lucillia, légèrement ébouriffés, flottaient autour de son visage, capturant les rayons du soleil et ajoutant une touche de magie à la scène. Lilia, avec tendresse, passait sa main dans les cheveux de Lucillia, ses doigts glissant doucement sur les mèches soyeuses. C'était un geste plein de douceur, une caresse qui parlait d'affection et de compréhension.
Leurs respirations étaient synchronisées, un ballet délicat qui témoignait de leur lien profond. Lucillia se sentait enveloppée par la chaleur du corps de Lilia, chaque battement de cœur résonnant comme un écho de leur amitié. L'odeur familière de Lilia, un mélange de lavande et de quelque chose de sucré, enveloppait Lucillia, l'apaisant encore davantage.
Dans ce moment suspendu, le monde extérieur semblait s'effacer. Les bruits de la forêt, le chant des oiseaux et le doux murmure du vent se mêlaient à la tranquillité de leur connexion. Lucillia savait qu'elle pouvait se laisser aller, que dans les bras de Lilia, elle était chez elle, protégée et aimée.
Alice et Jen s'étaient réveillées, elles observaient les deux duos,
Jen, d'un coup d'œil malicieux vers Alice, décida de briser le silence. Elle se redressa légèrement, un sourire espiègle sur les lèvres.
"Eh bien, regardez-les, on dirait deux petites souris enroulées dans une couverture!" s'exclama-t-elle, sa voix résonnant un peu trop fort dans l'air tranquille.
Lilia, surprise par le ton de Jen, ouvrit lentement les yeux, ses cils s'ouvrant comme des volets sur un nouveau jour. Elle cligna des yeux plusieurs fois, essayant de se réadapter à la lumière.
"Tu pourrais essayer de ne pas réveiller tout le camp, Jen," murmura-t-elle, un sourire amusé se dessinant sur son visage. "On n'est pas encore prêtes pour le concert de l'aube."
Lucillia, toujours blottie contre Lilia, se mit à rire doucement, sa voix encore ensommeillée.
"C'est vrai, Jen, tu as un talent pour le réveil brutal," ajouta-t-elle en se redressant légèrement, ses cheveux en désordre tombant sur son visage.
Jen, feignant l'indignation, leva les mains en l'air. "Je ne fais que vous aider à sortir de votre torpeur! Le monde extérieur vous attend!" dit-elle avec un clin d'œil.
Agatha serra Ivana un peu plus contre elle, ses bras enveloppant la silhouette de la jeune femme comme une couverture chaude. Elle ferma les yeux un instant, profitant de la douce odeur de shampooing floral qui émanait des cheveux d'Ivana.
Agatha ouvrit les yeux, un froncement de sourcils sur le visage. "Jen, sérieusement ? Tu pourrais être un peu plus douce, tu sais !" dit-elle en feignant une indignation exagérée. "Je suis en train de profiter d'un moment de tranquillité ici !"
Jen, amusée par la réaction d'Agatha, ne se laissa pas démonter. "Mais je ne peux pas laisser ces deux-là dormir toute la journée ! Allez, réveillez-vous, il y a des aventures qui vous attendent !" répondit-elle, tout en gesticulant comme si elle annonçait un grand événement.
Agatha se pencha doucement vers Ivana, sa voix à peine un murmure, mais chargée d'un mélange d'amusement et de malice. Elle approcha ses lèvres de l'oreille d'Ivana, un sourire espiègle sur le visage.
"Si je ne l'a tue pas aujourd'hui, c'est un miracle," chuchota-t-elle, l'intonation pleine de complicité.
☆○o。 。o○☆
Jen, Alice, Agatha, Ivana, Lilia et Lucillia se tenaient devant l'immense tour, leurs yeux écarquillés d'émerveillement. La structure majestueuse s'élevait vers le ciel, ses murs de pierre ornés de motifs délicats qui brillaient sous les rayons du soleil. L'atmosphère était chargée d'une magie palpable, comme si chaque pierre avait une histoire à raconter.
En poussant la grande porte en bois, qui s'ouvrit avec un grincement mystérieux, le groupe découvrit un hall spacieux inondé de lumière. Les murs étaient couverts de fresques colorées, représentant des scènes de batailles héroïques et de festins royaux, tandis que de grandes fenêtres laissaient entrer des rayons de lumière qui dansaient sur le sol en marbre.
Les filles s'avancèrent avec précaution, leurs pas résonnant dans le silence. L'excitation et l'anticipation se mêlaient dans l'air, chaque coin de la tour promettant une nouvelle découverte. Les détails sculptés sur les murs et le plafond semblaient les inviter à explorer plus en profondeur, à percer les mystères de cet endroit enchanteur.
Au milieu de la pièce, un pentacle dessiné avec soin s'étendait sur le sol, ses lignes précises et ses symboles mystérieux attirant l'attention de tous. Les membres du groupe se tenaient en cercle, leurs visages marqués par la confusion et l'inquiétude. Les murmures de leurs pensées résonnaient dans l'air lourd de tension.
Alice, les sourcils froncés, brisa le silence.
"Je pense que ça doit être l'épreuve d'Agatha ou de Lilia, puisque toutes les autres ont déjà eu la leur." Sa voix était ferme, mais une lueur d'incertitude brillait dans ses yeux.
Agatha, les bras croisés et le regard déterminé, secoua la tête avec véhémence. "Hors de question que je mette un pied dans ce pentacle ! Je ne suis pas prête pour ça." Son ton était catégorique, et une légère tremblement dans sa voix trahissait son anxiété.
Ivana, d'un air résolu, ajouta : "Je vais y aller alors."
Elle s'avança, prête à franchir le seuil du pentacle. Mais au moment où elle s'apprêtait à poser un pied sur le symbole, Agatha, dans un élan de panique, la poussa violemment.
"Non, attends !" s'exclama Ivana, surprise.
Mais il était trop tard. Agatha avait déjà fait un pas en avant, se retrouvant au centre du pentacle.
Ivana, le cœur battant, observait Agatha au centre du pentacle, une peur sourde l'envahissant. Elle s'approcha, ses yeux fixés sur son amie, prête à intervenir si quelque chose tournait mal. Cependant, au fil des secondes, elle commença à se détendre.
"Rien ne se passe... Agatha, ça va ?" murmura-t-elle, la voix tremblante mais pleine d'espoir.
Agatha, fronçant les sourcils, semblait perplexe. "Qu'est-ce qui se passe ?"
Elle scrutait le pentacle, cherchant des signes, des réponses. La tension dans l'air était palpable, mais rien ne se produisait.
Lilia, d'un ton encourageant, s'approcha d'Agatha. "Sors de là ! Si rien ne se passe, ça doit être mon épreuve ," dit-elle, ses mots pleins de conviction.
Elle avait toujours eu un sens aigu des choses, et sa voix était un mélange de détermination et d'inquiétude.Agatha, hésitante, acquiesça finalement et fit un pas en arrière, sortant du pentacle laissant sa place à Lilia. À l' instant où Lilia rentre , la lumière jaune du pentacle s'intensifia, inondant la pièce d'un éclat chaleureux et mystérieux. Les murs semblaient vibrer sous cette illumination, et une ambiance presque magique enveloppa le groupe.
Lilia était assise au milieu du pentacle, une position à la fois vulnérable et puissante. Les lignes tracées au sol brillaient d'une lumière dorée, créant un contraste saisissant avec l'obscurité ambiante de la pièce. Elle ferma les yeux, son cœur battant la chamade, le souffle court. Une vague d'angoisse l'envahit, mais elle savait qu'elle devait faire face à cette épreuve qui l'attendait.
Les pensées tourbillonnaient dans son esprit, mêlant doutes et espoirs. Elle ressentait la chaleur du pentacle qui l'entourait, une chaleur qui, paradoxalement, était réconfortante et intimidante. L'air autour d'elle semblait vibrer d'une énergie palpable, comme si le temps lui-même se figeait, attendant avec impatience le moment où quelque chose se déclencherait.
Lilia inspira profondément, essayant de calmer les battements frénétiques de son cœur. Elle se concentrait sur sa respiration, cherchant à puiser dans sa force intérieure. La lumière dorée du pentacle pulsait doucement, comme un cœur battant, et elle se laissa envelopper par cette aura lumineuse, déterminée à surmonter ses peurs et à embrasser l'inconnu qui l'attendait.
Lilia était assise sur le sol, son corps immobile tandis que son esprit s'évadait dans une vision sombre et troublante. Les murs de la pièce semblaient se resserrer autour d'elle, et les visages familiers d'Alice, Jen, Ivana, Agatha et Lucillia apparaissaient dans son esprit, figés dans une expression de terreur.
La scène était terrifiante et chargée de tension. Alice, Jen, Agatha, Ivana et Lucillia se tenaient toutes attachées à des poteaux en bois brut, leurs corps immobiles, mais leurs visages trahissaient une peur palpable. Les cordes qui les maintenaient étaient serrées, creusant dans leur chair et laissant des marques rouges sur leur peau.
Leurs vêtements étaient déchirés, égratignés par des branches ou des griffes invisibles, et des gouttes de sang perlaient ici et là, formant de petites flaques qui se mêlaient à la terre humide sous leurs pieds. L'atmosphère était sombre, presque suffocante, et une brume légère flottait autour d'elles, ajoutant une aura de mystère et de danger.
Les cinq amies échangeaient des regards désespérés, cherchant du soutien dans cette épreuve. Les larmes coulaient sur les joues d'Agatha, tandis qu'Ivana, d'un regard déterminé, tentait de calmer ses camarades. Lucillia, malgré la douleur, essayait de réfléchir à une solution, tandis qu'Alice et Jen, serrant les dents, exprimaient leur volonté de ne pas se laisser abattre.
Leurs cœurs battaient à tout rompre, et l'angoisse montait alors qu'elles réalisaient que le temps était compté. Dans cette obscurité oppressante, l'espoir semblait s'amenuiser, mais une lueur de détermination brillait encore dans leurs yeux.
Les créatures des t��nèbres avançaient lentement, leurs silhouettes sinistres se dessinant dans l'ombre, comme des fantômes sortis des pires cauchemars. Leurs corps étaient difformes, couverts d'une peau sombre et luisante, et leurs yeux brillaient d'un éclat malveillant, reflétant une soif de souffrance. Chaque pas qu'elles faisaient semblait faire trembler le sol, une vibration sourde qui résonnait dans l'air lourd de peur.
Lilia, dans un état de désespoir, criait pour qu'elles s'arrêtent, sa voix résonnant comme un écho désespéré dans le vide. Pourtant, personne ne l'entendait, car elle n'était pas vraiment présente, comme une ombre perdue dans un monde parallèle. Son cri, bien que plein d'émotion, se perdait dans le néant, laissant les autres sorcières seules face à leur destin.
Les cris de douleur des sorcières fusaient dans l'air, créant une symphonie de souffrance. Chaque cri était une note aiguë, un témoignage de la torture infligée par ces créatures impitoyables. Les sorcières, déjà affaiblies par leurs blessures, se débattaient contre leurs liens, mais chaque mouvement ne faisait qu'aggraver leur douleur.
Les créatures s'approchaient, leurs griffes acérées prêtes à infliger des blessures encore plus profondes. Les sorcières, les yeux écarquillés par la terreur, se regardaient, cherchant du réconfort dans cette épreuve. Les larmes coulaient sur leurs visages marqués par la peur et la détresse, tandis qu'elles sentaient la chaleur de leur propre sang sur leur peau. L'atmosphère était chargée d'une tension insupportable, chaque seconde semblant une éternité, alors que le mal s'apprêtait à frapper.
Subitement, une femme à la longue chevelure noire surgit de l'ombre, sa présence imposante et majestueuse captivant instantanément l'attention. Hela, déesse de la mort, avançait avec une grâce sombre, ses yeux perçants brillant d'une intensité glaciale. Son manteau flottait derrière elle, comme une ombre vivante, enveloppant la scène d'une aura mystique et menaçante.
Dès son arrivée, les créatures des ténèbres, qui semblaient si puissantes auparavant, disparurent dans un souffle de désespoir, comme si leur essence même était aspirée par la force de Hela. Les sorcières, encore tremblantes de peur, observaient cette apparition avec une mélange d'émerveillement et de terreur.
Hela, sans un mot, se mit à avancer vers les sorcières, et, d'un geste de sa main, elle commença à les faucher une par une. Chaque mouvement était précis, presque élégant, alors que les cris de douleur s'élevaient à nouveau, mais cette fois-ci, ils étaient mêlés à une résignation. Les sorcières tombaient, emportées par la faucheuse, leurs vies s'éteignant dans un dernier souffle.
Lucillia, cependant, restait debout, son regard défiant celui de la déesse. Hela, en arrivant face à elle, leva sa main, prête à porter le coup fatal. Mais au moment où elle s'apprêtait à frapper, tout se figea comme par magie. Le temps lui-même semblait suspendu, créant une bulle de silence autour de Lucillia, comme si l'univers entier retenait son souffle.
Lilia était plongée dans un état de semi-conscience, flottant entre les rêves et la réalité. Elle entendait la voix douce et familière de Lucillia, qui résonnait comme un écho lointain, l'appelant à revenir à elle. "Réveille-toi, Lilia," disait Lucillia, sa voix empreinte d'une urgence subtile, mais aussi d'une tendresse réconfortante.
Dans cet entre-deux mondes, Lilia ressentait une chaleur enveloppante, comme si elle était bercée par des vagues de lumière douce. Les contours de son environnement étaient flous, se mêlant à des souvenirs et des visions oniriques. Elle voyait des images colorées danser devant ses yeux, des souvenirs de rires, de joie et de camaraderie, mais tout cela semblait si lointain.
La voix de Lucillia continuait de l'appeler, chaque mot vibrant avec une intensité qui perçait le brouillard qui l'entourait. "Lilia, reviens… nous avons besoin de toi." Cette déclaration résonnait en elle, éveillant une force intérieure qu'elle ne savait pas qu'elle possédait. Elle se débattait contre l'attraction des rêves, cherchant à se libérer de cette torpeur qui la retenait.
Les yeux de Lilia devinrent alors d'un jaune brillant, illuminant son visage d'une lueur mystique. Elle était en train d'utiliser sa magie, une énergie vibrante qui pulsait autour d'elle, pour changer le futur. L'air était chargé d'une tension palpable, alors qu'elle se concentrait intensément sur la vision de ses amis en danger. Chaque incantation qu'elle murmurait semblait résonner dans l'espace, tissant un nouveau destin pour ceux qu'elle chérissait.
Dans un tourbillon d'énergie, des images de ses amis en détresse se mêlaient à des visions de leur sauvetage imminent. Lilia se voyait les protéger, les rassembler, les sortir des griffes du danger. Sa magie, alimentée par l'amour et l'amitié, créait une onde de choc qui modifiait la trame même de leur réalité.
Puis, dans un éclat de lumière, le futur se transforma. Les dangers disparurent, et la paix s'installa autour d'eux. Une fois le futur changé, Lilia sentit une douce fatigue l'envahir. Ses yeux redevinrent leur couleur habituelle, et elle retrouva son état normal. Son esprit, qui avait navigué entre les dimensions, revenait doucement dans son corps, lui laissant une sensation d'accomplissement et de sérénité. Elle avait réussi à sauver ses amis, et cette victoire résonnait dans son cœur.
Les lumières qui sortaient du pentacle s'évanouirent lentement, laissant derrière elles une douce lueur résiduelle. Lilia, encore un peu étourdie, se releva avec précaution, ses pensées tourbillonnant autour de tout ce qui venait de se passer. En regardant son groupe d’amies, elle comprit que tout ce qu'elle avait vécu n'était qu'une vision, une projection de son esprit, et non pas un événement survenu dans le monde réel.
Lucillia, qui avait observé la scène avec une inquiétude grandissante, ne put contenir son soulagement. Elle courut vers Lilia, ses bras grands ouverts, et l'enveloppa dans une étreinte chaleureuse. La pression de l'angoisse se relâcha alors que Lucillia la serrait contre elle, murmurant des mots apaisants. Lilia pouvait sentir la chaleur de l'amitié qui les liait, et cela lui apporta un réconfort immense.
Dans ce moment précieux, Lilia réalisa à quel point elle était chanceuse d'avoir Lucillia. Les échos de son expérience magique s'estompaient lentement, mais la connexion qu'elle partageait avec Lucillia brillait plus que jamais, illuminant leur monde de joie et d'amour.
☆○o。 。o○☆
Le groupe d’amies émergea de la tour, l’esprit encore tourbillonnant des révélations que Lilia avait partagées. Les visages étaient marqués par l'inquiétude et l'incompréhension, chacun essayant de digérer l'ampleur des informations. Agatha, d'un pas décidé, se tenait près d'Ivana, sa détermination palpable.
Elle ne comptait pas la lâcher, c'était hors de question. C'était sa Ivana. Agatha jeta un regard furtif autour d'elles, s'assurant que leur groupe restait soudé, comme un rempart face aux incertitudes du monde extérieur.
Ivana avançait, les bras croisés, son regard perdu dans les pensées sombres qui l'habitaient. Le vent frais soufflait autour d'elles, mais elle semblait imperméable à la température. Agatha, toujours attentive à son amie, ne put s'empêcher de s'approcher. Elle passa son bras autour des épaules d'Ivana, lui frottant doucement les bras.
« Tu as froid ? » demanda Agatha, sa voix pleine de douceur.
Ivana secoua la tête, un léger sourire apparaissant sur ses lèvres. « Non, ça va. Je ne suis pas si frileuse, tu sais. »
Agatha, toutefois, ne voulait pas relâcher son étreinte. Elle glissa sa main sur le dos d'Ivana, maintenant un contact chaleureux entre elles.
« Peut-être pas, mais je préfère te garder au chaud. On ne sait jamais avec ce temps. »
Ivana tourna la tête vers Agatha, ses yeux brillants de gratitude. « Merci, Agatha. »
Agatha sourit en entendant les mots d'Ivana. Pour elle, un simple « merci » représentait un très grand pas. Un silence apaisant s'installa entre elles, comme si le monde extérieur avait disparu, laissant place à leur connexion.
Ivana, après un moment de réflexion, tourna son regard vers Agatha. Ses yeux, souvent si pleins de vie, étaient maintenant chargés d'une intensité particulière.
« N'essaye pas de me préparer, je ne suis pas brisée, » dit-elle, sa voix ferme mais douce.
Agatha, surprise par la force de ces mots, écarquilla les yeux. « De quoi tu parles ? » demanda-t-elle, l'inquiétude se lisant sur son visage.
Ivana prit une profonde inspiration, consciente de l'importance de clarifier ses pensées. « Je vois bien tous les efforts que tu fais, Agatha. C'est très mignon de ta part, mais je veux que tu saches que tout va bien vraiment.. »
Agatha se sentit soulagée par les paroles d'Ivana, comme si un poids immense venait de se lever de ses épaules. Dans un élan de tendresse, elle l'attira contre elle, lui offrant un réconfort sincère. Ivana, touchée par ce geste, posa sa tête sur l'épaule d'Agatha, leurs corps se synchronisant naturellement alors qu'elles avançaient ensemble.
Agatha ne pouvait s'empêcher de sourire discrètement. Ce moment de proximité la remplissait d'une douce chaleur, une sensation qu'elle n'avait pas connue depuis longtemps. Elle était heureuse de ce rapprochement, de cette connexion qui semblait transcender les tensions passées.
Cependant, un nuage d'inquiétude assombrissait son bonheur. Elle réalisait, avec une clarté douloureuse, qu'elle était tombée amoureuse de la fille de son ennemie. Ce sentiment, à la fois magnifique et compliqué, pesait sur son cœur. Les implications de cette affection la tourmentaient, mais dans ce moment précieux partagé avec Ivana, elle choisit de savourer l'instant, laissant de côté ses préoccupations pour profiter de la chaleur de leur amitié en pleine évolution.
☆○o。 。o○☆
Lucillia se tenait là, son regard fuyant, trahissant son agitation intérieure. Ses mains, habituellement si sereines, étaient maintenant crispées, et elle jouait nerveusement avec les bords de sa chemise.
Elle pouvait sentir son cœur battre plus vite à chaque fois qu'elle posait les yeux sur Lilia, qui était marcher tranquillement, plongée dans ses pensées. Lilia, avec son air détaché et son sourire apaisant, contrastait tellement avec l'état de Lucillia. Les pensées tourbillonnaient dans l'esprit de Lucillia, des scénarios catastrophiques se dessinant à chaque instant.
Lilia, avec son regard attentif et perceptif, avait remarqué le changement chez Lucillia. Elle pouvait sentir l'atmosphère lourde et tendue qui entourait son amie. Sans hésiter, elle décida de s'approcher, ses pas légers résonnant doucement sur le sol.
À mesure qu'elle s'avançait, Lilia observait chaque détail de l'expression de Lucillia : ses sourcils froncés, sa posture rigide, et cette lueur d'inquiétude dans ses yeux. Elle savait que quelque chose n'allait pas, et cette intuition la poussait à agir. Lilia marcha à côté de Lucillia, assez proche pour lui montrer qu'elle était là, prête à l'écouter.
Leurs ombres se mêlaient sur le sol, créant une connexion silencieuse entre elles. Lilia, avec sa voix douce et réconfortante, brisa le silence :
« Tu sais que tu peux me parler, n'est-ce pas ? »
Elle la regarda avec une expression pleine de compréhension, espérant que cela aiderait Lucillia à se sentir plus à l'aise. Les bruits ambiants semblaient s'estomper autour d'elles, laissant place à une bulle de tranquillité. Lilia se tenait là, patiente, attendant que Lucillia trouve le courage d'exprimer ce qui la tourmentait. Elle savait que parfois, il suffisait simplement d'être présent pour apaiser les craintes de l'autre.
Lucillia, les yeux brillants d'une inquiétude palpable, tourna lentement la tête vers Lilia. Elle plongea son regard dans celui de son amie, cherchant une lueur d'espoir dans ce moment de vulnérabilité. La tension dans l'air était presque tangible, et Lilia pouvait sentir le cœur de Lucillia battre rapidement, comme si chaque battement résonnait avec ses propres craintes.
« J'ai peur que ta vision se réalise, » murmura Lucillia, sa voix tremblante trahissant la profondeur de son angoisse.
Ses mots flottaient dans l'air, lourds de sens. Elle baissa les yeux, incapable de soutenir le regard de Lilia plus longtemps, comme si elle craignait que sa peur ne devienne réalité si elle l'énonçait à voix haute.Lilia, voyant la détresse de son amie, s'approcha un peu plus, sa présence réconfortante enveloppant Lucillia comme une couverture chaude.
« Écoute, » dit-elle d'une voix douce, « les visions peuvent être troublantes, mais elles ne définissent pas notre avenir »
Elle prit la main de Lucillia dans la sienne, serrant doucement, comme pour lui transmettre sa force. « Parfois, ce que nous craignons le plus n'est qu'une ombre de notre imagination. Regarde autour de nous, tout ce que nous avons construit ensemble. Nous avons surmonté tant d'épreuves. »
« Lilia, » commença Lucillia, sa voix douce comme une brise légère, « s'il te plaît, dis-moi que tout ira bien. » Ses yeux brillaient d'un mélange d'espoir et de besoin, cherchant dans le regard de son amie une promesse de sécurité.
Lilia, toujours attentive, s'approcha un peu plus, ses traits empreints de compassion. « Je te le promets, » répondit-elle avec assurance, sa voix ferme mais douce. « Quel que soit le chemin que nous devons emprunter, nous le ferons ensemble. »
Lucillia, se sentant enveloppée par les mots de Lilia, sentit une vague de chaleur l'envahir. « Merci, Lilia, » murmura-t-elle, un léger tremblement d'émotion dans la voix.
Lilia, avec une tendresse infinie, enveloppa Lucillia dans ses bras, ses gestes délicats et protecteurs. Leurs corps se rapprochèrent, créant un cocon de chaleur et de réconfort. Lilia pouvait sentir le doux parfum de Lucillia, un mélange floral qui évoquait les jardins en fleurs, et cela lui apportait une sensation de paix inégalée.
Lucillia, blottie contre elle, ressentait une vague de sécurité qui l'envahissait. Elle ferma les yeux un instant, savourant la douceur de ce moment. Elle se laissa aller dans l'étreinte, comme si elle pouvait oublier toutes ses inquiétudes, juste pour un instant.
Le coven avançait sur la route, les feuilles craquant sous leurs pieds. Soudain, un portail bleu magique apparut, illuminant le paysage d'une lueur éclatante. La lumière scintillante se reflétait sur les visages des sorcières, révélant la surprise et la curiosité dans leurs yeux écarquillés.
Alors qu'elles prenaient conscience de ce phénomène inexplicable, une atmosphère de mystère s'installait. Les sorcières, d'abord fascinées, commencèrent à faire demi-tour, cependant, une force irrésistible émanait du portail, les attirant inexorablement vers lui.
Un souffle puissant les enveloppa, et elles se sentirent comme soulevées du sol. Le portail les aspirait, les emportant dans un tourbillon de lumière et de magie. Leurs corps flottaient, entraînés vers l'inconnu, tandis que le portail se refermait lentement, laissant la route vide et silencieuse derrière elles.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre.J'espère qu'il vous à plut
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Theoriemosaik
1.
Aus den Mitteln des Leibnizpreises hat Marietta ein Projekt geformt, das den Titel Theoriemosaik trägt. Dieses Projekt verbindet sie unter anderem mit einem Interesse an einer Wissensproduktion, die seit Lévi-Strauss' Buch über das wilde Denken (1962) mit einem wilden Denken, mit einer Wissenschaft vom Konkreten, sogar mit magischem Denken assoziiert wird - und die unter dem Begriff der bricolage kursiert. An diesem Begriff hängen komplexe Bezüge, auch solche, die zum Beispiel zu Warburgs Arbeiten über Bilder, seine Tafeln, die ' Gestellschieberei' sowie das magische und wilde Denken zurückreichen. Über die Vorstellungen des Wilden, des Konkreten, des Magischen und der bricolage ist viel zu sagen, sehr viel - viel ist zu übersetzen, auch viel von dem Kapitel, das Lévi-Strauss zuerst 1962 veröffentlichte. Viel ist zu vergleichen, viel ist in Beziehung zu setzen. Die deutsche Übersetzung hat für das Wort bricolage das Wort Bastelei gewählt. Man will vielleicht erst schlucken, moment, das kann gar vielleicht gar nicht so schlecht gewählt sein. Lévi-Strauss verbindet die bricolage sowohl mit der Spekulation als auch mit der Wissenschaft, nennt diese Wissenschaft sogar 'erste Wissenschaft', ganz nach dem Vobild der aristotelischen Metaphysik - und verweigert ihr den Titel einer primitven Wissenschaft. Inzwischen kursieren Begriffe des praktischen Wissens und der Wissensproduktion, die sich vom Begriff der Wissenschaft absetzen sollen - das findet man in dem Kapitel von 1962 nicht.
Bricolage mag eine Nähe zu dem haben, was man auch Montage nennen kann, und von dem ich glaube dass das ein Teil juridischer Kulturtechniken ist (Vom Scheiden, 2015). In einem längeren Versuch, der Antrittsvorlesung, spielt der Begriff der Montage vor allem in einem Kapitel über einen Anwalt und das Kino eine Rolle. Vor allem aber die Gliederung der Vorlesung ist wichtig, um zu schärfen, was es mit einer möglichen Nähe zwischen der Vorstellung von bricolage und (m)einer Vorstellung von Kulturtechnikforschung auf sich hat. Diese Vorlesung reihte nämlich drei Beispiele, drei Exempel wie reizende Spielkarten aneinander, das Kapitel über den Anwalt und das Kino (Reden schneiden) war das zweite Beispiel. Es ist wichtig, sich über den systematischen Zusammenhang oder die Chronologie dieser drei Beispiel wenig und kurz Gedanken zu machen; ist einmal ein Beispiel wie ein Zug eröffnet, dann ist es aber wichtig, sich über die Details möglichst viel Gedanken zu machen. Der Zauber, der für mich von dem Begriff der Kulturtechnikforschung ausgeht, ist der Zauber von Details, die ohne Rücksicht auf die Wahrung systematischer und abstrakter Prospekte entfaltet werden können.
2.
Das ist m.E. der Zauber, den der Lévi-Strauss Schüler Eduardo Viveiros de Castroauch mit dem Begriff der kannibalischen Metaphysik verbindet und den er als Magie kleiner Trennung, Krümmungen und Irrsierungen beschreibt. Man muss ergänzen: nicht nur die kleinen Trennungen (die kleinen Unterscheidungen) sind magisch und bezaubernd (das beschreibt auch Lévi-Strauss in dem Buch von 1962 faszinierend). Auch die kleinen Assoziationen und die kleinen Austauschmanöver sind faszinierend. Die systemsprengenden Details sind faszinierend, die ungehörigen Exempel, die listig sich windenden und entziehenden Einzelheiten, die Schweife sind magisch und bezaubernd. Von Cornelia Vismann wird meist in Bezug auf ihre Arbeiten zu Recht und Kulturtechnik ein kurzer Text unter dem Titel Kulturtechnik und Souveränität zitiert. Das liegt vielleicht an einem Rat, den auch ich einmal bekommen habe. Einer der Ausbilder an der Uni sagte, es käme nur auf die Titel von Texten an, den Rest würden die Leute eh nicht lesen, also solle ich mal in einem Titel einfach mal Formulierungen wie Verwaltungsakt oder aktuelle Probleme der Rechtsprechung fallen lassen, dann über meine eigentliche Forschung schreiben, lesen würden die Leute das eh nicht - und so seien alle aber in Berufungsverfahren zufrieden.
Der Text von Cornelia Vismann handelt von den Perspektiven, die eine Forschung zu den Kulturtechniken und dem Recht bietet. Der Text leistest so ein Forschen selbst aber nicht, das ist ein Manifest, das ist wie ein Bewerbungsvortrag, mit dem ein Programm nur entworfen wird. Sie erwähnt dort zum Beispiel, wie oft, das pomerium, aber lässt doch nur Anmerkungen fallen, statt wie in den Passagen aus dem Aktenbuch Details seiner Linien nachzugehen. Will man was von dem Zauber einer Wissenschaft vom Wilden, Konkreten und Magischen, dann soll man auf das Buch zu den Akten, dem zu den Medien der Rechtsprechung, die verstreuten Aufsätzen oder auf die Zetteln zurückgreifen. Immer dann, wenn Vismann den Details nachschnüffelt (etwas einer Linie auf der Seite, auf der Kafkas Geschichte des Mannes vom Lande erstmals veröffentlicht wurde oder aber Mikrofonkabeln), dann gleicht die Bewegung ihrer Forschung der Bewegung der Schnauze meines Dackels Moses, wenn er Spur aufgenommen hat. Das ist keine direkte Bewegung, Moses schnüffelt nicht gradlinig, der nimmt in solchen Kurven und Krümmungen Witterungen auf, die sich weder vor dem wilden Denken verstecken müssen, das man nun bricolage nennt, noch vor dem barocken Wissen verstecken müssen, das man mit Leibniz, der Differentialrechnung oder dem Begriff der Falte verbindet. Das ist ein magische Bewegung: Nichts steht von vornherein fest, dennoch ist die Bewegung durchweg gerichtet (Moses ist einer der besten Kartographen Frankfurts) und so sieht die Bewegung machmal auch dann (gerade dann) aus wie ein Film, den man zurückspult, wenn Moses sein Voranpreschen intensiviert. Die Regung ist geballt und bolisch. Aber wem sag ich das? Lévi-Strauss hat das 1962 schon scharf erwähnt. Der Hund, die Bälle, die Bande: alles das kommt schon vor und wir haben das ja alle gelesen.
3.
Diese Magie und die Effektivität der Details ist in der Kulturtechnikforschung mit den nüchternen Begriffen der Operationskette und des Operationsfeldes verknüpft, aus vielen Gründen. Die Effektivität der Details (ihr Dienliches, Sekundäres, Folgendes, Speisendes) lässt sich mit dem Begriff der Tafel verknüpfen, Georges Didi-Huberman macht das in seinem Buch über Warburg , den Atlas und eine fröhliche, unruhige Wissenschaft, er verwendet Operationsfeld und Tafel synonym
Die Kette der Operationen: warum nicht vom Tafeln sprechen, um den Vorgang zu beschreiben, mit dem innerhalb des Operationsfeldes etwas vollzogen wird? Na gut, man muss nicht immer eigensinnig die Begriffe umwidmen. Bricolage/ Details/ Tafeln: die Rede ist von einem Auszug und einem Vollzug: Die Bastelei ist nicht unlimitiert, wie die Details sind nicht endlos, die Tafel, das Tafel: das alles ist so limitiert wie die Operationsketten oder das Operationsfeld. Das Merkmal, von dem der Zauber ausgeht, ist keine Anarchie, keine Heterarchie, keine Heterogenität, obschon das alles vorkommen kann, nur kann eben auch alles andere, auch Gegensätzliches, also auch Beherrschung, Hierarchie und Homogenität vorkommen. Also was dann, was ist das Merkmal, von dem der Anthropologe so fasziniert scheint wie ich von den Impulsen Vismanns oder wie sie von manchen Studien Latours? Mit Warburg würde ich sagen, dass es die 'melancholische, polare, meteorologische Gestellschieberei' ist, mit de Castro: die Unbeständigkeit.
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SAMEDI 12 OCTOBRE 2024 (Billet 1 / 3)
« WE ARE HERE »
Une exploration d’Art Urbain au Petit Palais
(Du 12 juin 2024 au 19 janvier 2025)
Entrée libre
Avenue Winston Churchill 75008 Paris
Ouverture : tous les jours de 10h à 18h (Fermeture le lundi)
Métro : Champs-Elysées
La direction bicéphale du « Blog de Marina & JM » a demandé à son photographe attitré d’aller faire un tour au Petit Palais pour voir si cette Exposition en valait la peine.
Le photographe est rentré avec quelques photos que vous pourrez voir ci-dessous, EMBALLÉ par la plupart des œuvres exposées, bien intégrées et mises en scène dans la collection permanente du Musée.
Très certainement, profitant d’une belle journée, il y retournera, mais plus tout seul cette fois. Vous devinez quelle est la personne qui l’accompagnera… Ils en profiteront pour voir la nouvelle Exposition temporaire, « La Suède sauvage », consacrée au peintre animalier, Bruno Liljefors (il a fait, entre autres, de superbes « portraits » de chats). Et pour finir, ils déjeuneront dans le petit restaurant du Musée qui a mis en place un nouveau système : après avoir payé, les clients partent avec leur plateau (boisson, couverts…), vont s’asseoir et sont « bippés » quand il faut aller chercher à la caisse le plat qu’ils ont commandé, ce qui évite l’attente interminable qui décourageait beaucoup de visiteurs.
Autre nouveauté : de charmantes chaises longues ont été disséminées dans le jardin intérieur. Elles sont très appréciées…
_______________________________
Pour la première fois, le Petit Palais ouvre ses portes aux artistes d’Art Urbain, les invitant à engager un dialogue subtil avec ses collections permanentes et son architecture. Une véritable exploration d’Art Urbain s’offre ainsi aux visiteurs à travers un parcours d’œuvres inédites, accessible gratuitement.
13 artistes majeurs du mouvement « Street Art » investissent le Petit Palais et tissent des liens avec les collections du musée. Cette déambulation conduit le visiteur jusqu’à une installation de plus de 200 œuvres, présentée dans une seule salle des collections.
Cet accrochage spectaculaire a été pensé comme un hommage aux différents Salons comme le « Salon des Refusés » ou le « Salon d’Automne » qui sont à l’origine de nombreuses révolutions artistiques au tournant des XIXe et XXe siècles. Dans cet esprit, les œuvres réunies dans cette salle ont été créées par des artistes majeurs qui ont écrit et continuent d’écrire l’histoire du mouvement « Street Art ». Une scénographie immersive invite le public à plonger dans toute la diversité et la richesse de ce mouvement artistique.
« Le Petit Palais est très heureux d’accueillir la première exposition d’Art Urbain de cette envergure au sein d’une institution publique, accessible à tous et totalement gratuite, dans un souci de partage de la culture avec le plus grand nombre, fidèle aux principes qui animent le mouvement Street art. » (Annick Lemoine, Directrice du Petit Palais, commissaire générale de l’Exposition)
(Source : « Extrait de la brochure éditée par le Petit Palais »)
Nous dédions ce Billet à Maïlys (J.D.) dont on connaît l’intérêt pour ce genre de peinture.
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« La solitude, compagne qui ne s’enfuira jamais. »
Sylvain Tesson, Aphorismes sous la lune et autres pensées sauvages
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Les « memes » québécois
Il y a de ces moments d’anthologie, lorsque quelqu’un passe à l’histoire, volontairement ou non, grâce à une vidéo virale.
Le Quebec ne fait pas exception à la règle. Plusieurs vidéos se sont taillées une place de choix dans nos répliques, discussions, expressions du quotidien.
Afin de ne pas rester pantois devant un « sauf une fois au chalet » lancé par un Québécois, voici quelques uns des « memes » les plus populaire au Quebec et leur origine. (Vous pouvez retirer votre cerveau à partir d’ici vous n’en n’aurez plus besoin)
La palourde royale!
Probablement la vidéo plus connue au Quebec parce que tout le monde en a entendu parlé. De 7 a 77 ans comme on dit.
Contexte: Il s’agit d’un extrait d’une émission de cuisine. Normalement, les 2 animateurs discutent d’affaire de gars comme l’épilation du torse tout en faisant un gaspacho. Sauf que cette fois-ci, l’émission porte sur la palourde royale. Si vous n’avez pas déjà un p’tit sourire en coin c’est parce que vous n’avez jamais vu une palourde royale. Ils ont invité un chef afin d’apprendre à apprêter, nettoyer, cuisiner le mollusque. Le problème c’est que… les 2 pauvres gars ont un fou rire incontrôlable et aucun des deux n’arrive à reprendre son sérieux alors que le p’tit chef reste beaucoup trop premier degré.
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Sauf une fois au chalet
C’est un bel exemple de vidéo qui s’est transformée en expression.
Contexte: Philippe Hamelin, 93 ans est jugé pour inceste. Le problème c’est qu’à la sortie du palais de justice après avoir clamé son innocence, notre bon vieux monsieur y va d’une déclaration aux journalistes dont son avocat se serait bien passé. « J’ai jamais touché à mes filles… sauf une fois au chalet » !!!!!!
Cette phrase est alors instantanément passée à la postérité et est maintenant portée à toutes les sauces pour avouer à demi mot quelque chose qu’on a fait ou dit.
Exemple: j’ai jamais pensé kidnapper Carole, sauf une fois au chalet.
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La grosse dinde noire
A première vue, une dinde sauvage n’a rien d’excitant. Mais mettez la même dinde sauvage dans le salon d’une pauvre madame et un journaliste prêt à tout pour tuer la une et on se retrouve avec une pièce d’anthologie.
« A ça r’venir la grosse dinde noire »
En 2016, une dame raconte au journaliste sa mésaventure avec une dinde sauvage qui a défoncé une fenêtre de son salon et, paniquée, s’est soulagée intestinalement parlant un peu partout avant de repartir.
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Update! En février dernier, une autre dinde sauvage a fait la une après avoir poursuivi un homme qui l’avait un peu cherché relançant la saga de la grosse dinde noire. Comme quoi… elle avait bien raison! Elle est revenue la grosse dinde noire ^^.
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Un peu ouais
Restons dans le caca! Un gars au resto qui visiblement n’a pu se retenir et son ami, au lieu de l’aider, film le désarroi. Parce qu’on aura beau dire, tu peux être Brad Pitt, le Président ou l’homme le plus fort au monde, si tu te chies dans les culottes… ben tu t’es chié dans les culottes.
L’expression « un peu ouais » est resté comme la trace brune dans ses culottes. Elle est utilisée pour évoquer un agacement.
Exemple: Est-ce que je vous saoule à parler de Carole tout le temps? Un peu ouais! (C’est un très mauvais exemple pcq Carole es fucking parfaite et on n’en parle jamais assez!)
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Le p’tit bum
Il s’en passe des choses dans les palais de justice québécois. Yollande! Awwhh la charmante Yollande! Cette dame sympathique se rend à son procès. Son crime? Des jeunes l’auraient coupée en voiture et elle a décidé de les éduquer et de foncer dans leur voiture avec la sienne. Au delà du fait qu’on ne se fait pas justice soi-même, notre chère Yollande se pointe au tribunal complément bourrée et explique les faits aux journalistes. Un moment magique!
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Pas l’temps d’niaiser!
Contexte: un événement est organisé dans un bar et une jeune reporter essaie de recueillir les impressions des jeunes venus fêter. Elle n’a pas été déçue! Elle tombe sur un mec complètement bourré qui déclare « tequila, Heineken, pas l’temps de niaiser » que l’on pourrait « traduire » par « Je prends ma tequila et une Heineken en même temps, j’ai pas de temps à perdre ».
La vidéo est devenue virale, il n’en fallait pas plus pour que l’expression s’inscrive dans la culture populaire québécoise en version longue ou courte.
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J’ai l’doua!
Alors déjà je commence par un avertissement: même nous, Québécois, faut s’accrocher pour comprendre le mec 🤣.
Contexte: un homme a décide de faire un remblai (illégal) chez lui. Plainte des voisins, un journaliste se pointe chez l’homme en question et on détecte quand même rapidement que ses souliers s’attachent avec du velcro. Il déclare alors au journaliste qu’il est dans son droit (j’ai l’doua). Encore une fois, cette expression prend le langage populaire lorsqu’on veut se défendre de quelque chose.
Exemple: Ascle! Arrête de tout le temps parler de Carole. (Ascle) J'ai l’doua!
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Bonne fête Kevin!
C’est bien connu, prenez un mec individuellement ça va, mais mettez plusieurs mecs ensemble et le quotient intellectuel su groupe se divise par le nombre de participant. Ajoutez un peu d’alcool…
Contexte: c’est l’anniversaire de Kevin. On essaie de lui faire un sympa vidéo pour lui offrir nos vœux, mais on dirait que personne ne connaît Kevin 🤣🤦♀️.
Il est maintenant de coutume lors de l’anniversaire de quelqu’un, idéalement si cette personne ne s’appelle pas Kevin, de gueuler « bonne fête Kevin ».
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Épisode 9
Le lendemain, Gabin se tenait devant la fenêtre du salon, sa cigarette lui brûlait les doigts, il restait immobile, l'air absent de toutes pensées.
Il s'assit sur le canapé, puis vérifia son sac de voyage remplit de ses dernières emplettes. Gabin vérifia encore une fois ses papiers d'identité. Tout était en ordre , il était prêt à partir, il n'avait plus qu'à poser les charges d'explosif, bien réparties il ne resterait plus grand chose de cet appartement. Il était content de son dernier repas , il l'avait dégusté avec ferveur, il savait que c'etait sa dernière tranche de foie avant de tout faire péter.
Gabin se souvint soudainement du soir où ils avaient fait l'amour sous une porte cochère, c'était à l'initiative d'Amelie, il avait cèdé volontiers à ses désirs. Ils avaient beaucoup rit en aperçevant les caméras au-dessus de leurs têtes.
En pensant à cette soirée, il plaçait tranquillement ses charges explosives , il en plaça deux sur le congélateur où se trouvait le corps d'Amelie.
Il se servit un verre de vodka.
- nous-y voilà ! une page de tournée ! grogna t-il
- à l'avenir ! dit-il en levant un verre à nouveau remplit
C'était en novembre denier, ils avaient loué une maison pour quelques jours, arrivés là-bas, trempés par la pluie, Gabin se souvient que le maquillage d'Amelie coulait sur ses joues ce qui lui donnait un air sauvage. Gabin se souvient très bien qu'il s'était demandé si elle allait lui arracher ses vêtements, le gifler, le fouetter, ses phantasmes tournaient en boucle à cet instant là.
Amelie l'avait plaqué contre un mur et dit:
- je t'aime
Sans qu'il comprenne comment il se retrouva Allongé avec son amie au-dessus de lui , elle avait jouit en criant, il s'en souvenait très bien.
Ils étaient restés l'un contre l'autre, haletant, il lui avait caressé les cheveux en lui murmurant des mots doux à l'oreille.
- Tu es heureuse ? avait-il demandé
- Hum ! ouï peut-être
- ne me dit pas non ! ...
Amelie sourit en écartant une mèche de son oeil
- idiot ! rétorqua t-elle
C'est pendant ce séjour qu'il avait pris la décision de l'empoisonner quand ils reviendraient. Il n'était pas sûr d'elle et il savait qu'il manquait de confiance en lui. Il ne voulait plus être quitté, alors il agirait.
Je vais te montrer une de mes vidéos que j'ai apporté lui avait dit Gabin avant de l'embrasser.
Elle s'était enveloppée dans une couverture et s'était installée devant le poste.
Gabin l'avait trouvé très belle, il avait préparé un plateau pour eux deux. Il expliqua rapidement que c'était l'histoire du dragon, de la femme du dragon avec une tête de vampire.
Sur l'écran, la ville apparue toute illuminée, la musique étrange annonçait le dragon arrivant de loin, il se dirigea vers la cathédrale, il dépassa un grand pilier puis traversa une esplanade pour entrer dans l'édifice. Le monument est tellement haut qu'il donne l'impression de toucher le ciel.
Un homme surgit de l'ombre , il grimpa sur le dragon puis il lui transperça le dos en lui assenant des coups d'épée.
Le dragon dans un sursaut le fit tomber.
A ce moment là, Gabin pensa à sa mère, étant sûr que le dragon c'était elle. Petit il sentait les muscles de sa mère quand elle le serrait très fort. Elle lui transmettait certainement ses désirs, son amour. Il se rappelle qu'il étouffait dans ses bras là . il aurait aimé être à la place de l'homme sortit de l'ombre mais à l'époque il était trop petit.
Un autre personnage assistait au loin à la scène mais on le distinguait très mal.
La vidéo avait connu un succès d'estime , elle était virale sur le net. Grâce à ce court métrage, Gabin eût une certaine reconnaissance.
Ils restèrent affalés devant la télé.
- le tatouage du dragon ça vient de là ? demanda Amelie
- Oui...
Et il avait rajouté :
- ça me rapporte du fric et j'y tiens c'est sentimental
- j'ai aimé ton film dit Amelie
Gabin se souvint qu'il était parti dans ses pensées.
Il ne voulait pas être quitté, il tenait à elle comme à la prunelle de ses yeux , tout mais pas cela alors quand ils reviendraient il l'endormirait pour toujours.
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Quel souvenir était venu usurper une pensée qu’il pliait sauvagement aux mille détails de la guerre, comme pour l’empêcher de vagabonder à travers des mondes interdits ?…
Pierre Benoît, Koenigsmark
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Beauté, dans ce vallon étends-toi blanche et nue Et que ta chevelure alentour répandue S’allonge sur la mousse en onduleux rameaux ; Que l’immatérielle et pure voix de l’eau, Mêlée au bruit léger de la brise qui pleure, Module doucement ta plainte intérieure. Une souple lumière à travers les bouleaux Veloute ta blancheur d’une ombre claire et molle ; Grêle, un rameau retombe et touche ton épaule Dans le fin mouvement des arbres où l’oiseau Voit la lune glisser sous la pâleur de l’eau, Ô silence et fraîcheur de la verte atmosphère Qui semble dans son calme envelopper la terre Et t’endormir au sein d’un limpide univers, Ô silence et fraîcheur où tes yeux sont ouverts Pour suivre longuement ta muette pensée Sur l’eau, dans le feuillage et dans l’ombre bercée. Immortelle beauté, Pensée harmonieuse embrassant la nature, Endors sereinement ton rêve et ton murmure Au-dessus des clameurs lointaines des cités. Le monde à ton regard s’efface et se balance Autour de ces bouleaux pleureurs Et l’hymne de ton âme infiniment s’élance Dans l’insaisissable rumeur. Vallon, pelouse, silence Où l’ombre vient s’allonger ; Une pâle lueur danse Et de son voile léger Effleure ta forme claire Sur qui rêvent les rameaux Et le mouvement de l’eau Paisible entre les fougères. -Poésie: "Beauté, dans ce vallon", Cécile Sauvage -Images: "The Beauties of Nature", Miho Hirano
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