#la maison sur le port
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amália rodrigues 23/7/1920 - 6/10/1999
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amália rodrigues - la maison sur le port
1969
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James Ratelet, sur les chemins du Gard, Arènes de Nîmes, Maison Carrée, Tour Magne et Temple de Diane, jardins de la Fontaine, Porte d'AugusteCostières, terroir viticole et activités autour de l'AOC Costières-de-nîmes, Mas des Tourelles, Beaucaire,Abbaye de Saint-Roman, Voie Régordane, Abbaye de Saint-Gilles, Petite Camargue, Scamandre, Gallician, Saint-Laurent-d'Aigouze, Aigues-Mortes, Salins du Midi, à Aigues-Mortes, Pointe de l'Espiguette, le pont du Gard, Uzès, Avignon, Occitanie , France, Europe
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En ce Jour du Souvenir, portons le coquelicot et accordons une minute de silence pour tous les soldats qui se sont sacrifiés pour notre liberté! N'oublions pas non plus d'honorer nos vétérans et ceux qui servent le pays car ils le méritent. En espérant que l'avenir nous apportera des temps de paix, voici un poème de Paul Eluard:
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté.
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Lorsque j’étais enfant, puis adolescent, je faisais du patin à roulettes sans genouillères, du vélo sans casque. Vélo si nous n’étions pas l’aîné que nous récupérions d’eux. A la télévision Il y avait 2 puis 3 chaînes et c’était nous la télécommande.
Nos instituteurs, lorsque nous faisions une grosse bêtise, nous tiraient les petits cheveux sur le côté et, si nos parents l’apprenaient, c’était notre fête à la maison. L’instituteur avait toujours raison, les enfants et parents le respectaient.
Nous avions 2 francs d’argent de poche et nous ne dépensions pas tout. Nous donnions des coups de main aux voisins et parfois nous recevions une pièce. A 14 ans nous travaillions comme aide un mois en été et nous nous payions ainsi une mobylette d’occasion. Les bandes des cassettes s’enroulaient autour de la tête de lecture et nous réparions cela avec un stylo. Nous récupérions à l’instar des vélos, les vêtements de nos aînés. Nous allions sonner à la porte de nos amis pour demander aux parents s’il pouvaient venir jouer avec nous.
Nous nous recoiffions de la main et rentrions notre chemise dans le pantalon le jeudi soir pour aller demander aux parents de notre petite amie si elle pouvait nous accompagner samedi soir, nous promettions d’être de retour à 10h et nous l’étions
Bien entendu nous faisions également des bêtises, mais si nous cassions quelque chose, nos parents le payaient, toujours, et nous étions punis, toujours. Parfois les bêtises étaient graves, et pour certains c’était la maison de correction. La violence existait également, mais c’était à coups de poing et toujours un à un. Nous avions le sens de l’honneur et nous nous respections.
Bien que "turbulent", je n’ai jamais vu un couteau. Alors bien sûr il y avait également des racailles, des jeunes dangereux, mais ils étaient l’exception et ne se fréquentaient qu’entre eux. Nous ne vivions pas tous dans le luxe, les gadgets, nous nous contentions de peu, et nos parents ne connaissaient pas le surendettement qui pourri tellement de familles et de vies.
Source X-Alain Weber
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C’est à moi.
À la demande de @sayresse17 j’espère que ça va le faire 👀
23« Est-ce ma chemise ? »
Lilia X reader
Reader était une jeune orpheline de 25 ans, marquée par des années de vie en famille d'accueil. Elle avait toujours rêvé d'une vie stable, mais chaque nouvelle maison ne faisait qu'accentuer son sentiment d'instabilité. Aujourd'hui, elle avait décidé de fuir ses parents adoptifs, ne supportant plus leur indifférence.
Elle avait trouvé un petit travail dans la boutique de Lilia, Lilia avait tout de suite remarqué la douceur et la détermination de Reader. Avec le temps, un lien s'était tissé entre elles, si bien que Lilia avait proposé à Reader de s'installer dans sa chambre d’amie.
Cela faisait maintenant quelques mois que les deux femmes cohabitaient. Leur quotidien était rythmé par des rires, des discussions autour d'un café, et des soirées passées à lire ensemble. Reader se sentait enfin chez elle, entourée de chaleur et de compréhension. Pourtant, au fil des jours, un sentiment troublant commençait à s'installer en elle. Plus elle passait de temps avec Lilia, plus elle réalisait qu'elle l'aimait d'une manière qu'elle ne pouvait pas contrôler.
Reader se surprenait à la regarder plus longtemps, à apprécier chaque geste, chaque sourire de Lilia. Elle se sentait coupable de ces pensées, consciente que ce lien affectif pouvait être dangereux. "Je ne devrais pas ressentir ça," se répétait-elle en silence, mais son cœur avait déjà pris le dessus sur sa raison. Les moments passés ensemble, les éclats de rire partagés, tout cela la rapprochait d'une affection qu'elle n'avait jamais connue auparavant.
Reader avait enfin terminé de faire le ménage dans la maison, un sentiment de satisfaction l'envahissant. Elle se dirigea vers la salle de bain, impatiente de se plonger dans une bonne douche bien chaude. L'eau chaude coula sur sa peau, apaisant toutes les tensions accumulées de la journée. Elle ferma les yeux, profitant de chaque goutte, laissant la vapeur envelopper la pièce.
Après un moment de pur bonheur, Reader sortit de la baignoire, se sentant rafraîchie et revigorée. Elle s'enroula dans une serviette douce, absorbant l'humidité de sa peau. Une fois sèche, elle se mit à chercher ses vêtements, le cœur léger. Elle commença à enfiler son pantalon, soudain, un frisson de surprise la parcourut
. "Oh non, j'ai oublié de prendre un haut !" s'exclama-t-elle, réalisant qu'elle était restée là , à moitié vêtue, sans rien pour couvrir son buste.
Reader se sentit soudainement prise au dépourvu. Elle ne pouvait pas sortir ainsi, et la panique s'installa un instant. Ses yeux parcoururent la salle de bain, cherchant désespérément une solution. C'est alors qu'elle aperçut une chemise de Lilia accrochée au porte-manteau. "C'est mieux que rien", se dit-elle en l'enfilant rapidement, se sentant un peu plus à l'aise.
Elle attacha rapidement ses cheveux en un chignon désordonné, essayant de donner une impression de calme avant de sortir de la salle de bain. En marchant dans le couloir, elle espérait que personne ne la croiserait. Malheureusement, au moment où elle tournait le coin, Lilia apparut, surprise de la voir ainsi vêtue.
Reader se figea, le cœur battant. La gêne l'envahit, et elle ne savait pas quoi dire. Ses joues prirent une teinte rosée alors qu'elle cherchait des mots, mais rien ne venait. Elle se contenta de sourire timidement, espérant que Lilia ne poserait pas trop de questions sur sa tenue improvisée.
Lilia se tenait dans l'embrasure de la porte, un sourire malicieux sur le visage.
"Est-ce ma chemise ?" demanda-t-elle, un coin de sa bouche se relevant en un sourire espiègle, ses yeux pétillants de curiosité.
Reader, encore un peu gênée par la situation, baissa les yeux sur la chemise ample qui flottait autour d'elle.
"Eh bien, je… je l'ai empruntée sans vraiment demander," commença Reader, sa voix hésitante trahissant son embarras. Elle se gratta la nuque, cherchant les mots justes. "Je n'avais rien d'autre à mettre, et je me suis dit que ça pourrait faire l'affaire le temps que j’aille chercher quelque chose dans mon placard.."
Lilia, cependant, ne semblait pas se soucier de l'explication. Ses yeux parcouraient le corps de Reader avec une admiration inattendue. Elle se rapprocha lentement, ses pas légers sur le sol.
"Tu sais," dit-elle, son regard ancré dans celui de Reader, "je trouve que ça te va vraiment bien."
Reader sentit son cœur s'emballer sous le compliment, ses joues s'empourprant légèrement. "Tu penses vraiment ?" demanda-t-elle, surprise mais flattée.
"Absolument," affirma Lilia, un sourire sincère illuminant son visage. "Garde-la, elle te va bien. Tu devrais porter des chemises comme ça plus souvent."
Reader, touchée par la gentillesse de son amie, ne put s'empêcher de sourire. "Merci, Lilia. Je vais réfléchir à ta suggestion," répondit-elle, se sentant à la fois gênée et heureuse.
Lilia lui fit un clin d'œil complice avant de s'éloigner, laissant Reader avec une nouvelle confiance, réalisant que même les moments les plus embarrassants peuvent se transformer en compliments inattendus.
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Ça ne sert à rien de lire ce qui suit, je le note surtout pour me souvenir de mon état qd je relirai tout ça en janvier prochain.
Tout a commencé par une vieille voiture jaune, apparemment rare, que l'homme veut retaper.
La voiture est en ce moment garée dans l'abri de jardin. Pour qu'elle soit garée là , on a enlevé tous les outils, vélos etc. et on les a mis sous l'abri à bois que j'avais construit seule l'année dernière souvenez-vous j'avais fait un billet tellement j'étais fière d'avoir fait ça pour y ranger le bois. Bah c'est rempli d'outils, de vélos, de motos, d'un quad, et de zéro bois.
Donc on a fait une grande dalle de béton devant l'abri de jardin. Ça n'a l'air de rien mais ça demande de:
- Faire un trou: retirer la terre sur 30 cm. Stocker cette terre, le tas est immense.
- commander des tonnes de graviers et de sable, qui seront livrés à l'avant de la maison alors que l'abri de jardin est à l'autre bout du terrain.
- déplacer ces tonnes de graviers et de sable vers l'arrière du jardin. Des brouettes et des brouettes.
- stocker 50 sacs de ciment de 25kg chacun au sec. Donc dans l'entrée de la maison parce qu'il y a rien de sec à l'extérieur et l'abri de jardin est envahi par la voiture. Donc enlever de cette entrée le meuble, le porte-manteaux, les manteaux, les chaussures, les trucs qu'on trouve dans une entrée de maison. Donc avoir tout ça en vrac dans la maison.
- Remplir la moitié du trou d'une sorte de gravier fin qui s'agglutine qd on l'écrase. Écraser tout pour que ce soit bien plat. Mettre un plastique au dessus.
- Aller chercher une bétonnière (elle a 50 ans) avec la remorque. 1h de route. Pire trajet de ma vie, je vais faire de la tachycardie si j'y repense. Et je ne parle même pas de comment on l'a mise dans la remorque. Il va falloir faire le chemin inverse qd on va la rendre, ça me rend déjà malade.
- faire du béton. 10 pelles de graviers+ 8 pelles de sable + un seau de ciment+ 1/2 seau d'eau. Puis transporter cet amas dans le trou. 15 cm d'épaisseur de béton à mettre de niveau et à lisser. Des brouettes et des brouettes.
- laisser sécher.
Dans deux semaines, la dalle durcie pourra accueillir sa voiture. Du coup l'abri de jardin pourra retrouver les vélos, le quad, les motos, les outils,etc.
Du coup mon abri pour le bois pourra accueillir du bois. Qui poireaute sans abri depuis mars dernier.
Alors. Le tas de terre. L'immense tas de terre. Il y a un projet qui est de décaisser un sentier pour l'instant en graviers, se débarrasser de tout ça et y mettre la terre toute propre du fameux tas. L'autre projet est de laisser les graviers et se débarrasser de la terre mais je sais qu'un jour on fera ce sentier en herbe et on devra acheter de la bonne terre. Alors que là , elle est là . Donc ça va me casser les couilles mais ce sentier est le prochain projet d'envergure. Un sentier de 60m de long, pour que la voiture jaune puisse aller et venir de son abri jusqu'à la route - quand elle roulera. A l'emplacement des roues, on va mettre des dalles creuses pour que l'herbe continue de pousser mais que le sol ne s'écrase pas, et éviter les grosses flaques. En gros, il va falloir creuser sur 20 cm de profondeur, mettre 10 cm de stabilisé, puis 5 cm de terre puis les dalles creuses, et remplir ces dalles de 5 autres cm de terre, puis semer de l'herbe. Je veux aussi que ce soit un couloir pour que les animaux du champ en face de la maison puissent rejoindre la prairie de l'autre côté de la maison quand les tracteurs sont dans les champs. Tous les voisins ont des chiens, il n'y a que chez moi que la faune est tranquille (à en croire par la quantité de lapin et de hérissons qui se réfugient).
Autre projet plus sympa et rapide pour cet automne, refaire un gazon, pcq là ça a été le chantier trop longtemps. Et aussi, planter des bulbes de crocus dans l'herbe.
Faire des abris pour les hérissons déjà maintenant avec les feuilles mortes, pour augmenter la quantité de bestioles à ces endroits là .
Élaguer le chêne en janvier.
Délimiter un nouveau sentier de brouette pour la gestion du bois l'année prochaine. Pcq on va recevoir 8 stères à fendre courant février.
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Comment a-t-on pu en arriver lĂ Â ? Ă€ mesure que l’on feuillette la bande dessinĂ©e, la question se rĂ©pète, s’amplifie, jusqu’à former une tornade d’incomprĂ©hension. Dans Spirou et la Gorgone bleue, paru en septembre 2023 aux Ă©ditions Dupuis, certains personnages noirs ressemblent Ă des singes. D’autres cochent toutes les cases des caricatures racistes : une peau noir foncĂ©, des lèvres surdimensionnĂ©es d’une couleur rosĂ©e et, parfois, des grandes mains et une mâchoire prognathe.Â
Les reprĂ©sentations s’étalent sur des dizaines de pages et pourtant, l’œuvre a Ă©tĂ© relue, Ă©ditĂ©e et diffusĂ©e massivement en France et en Belgique depuis un an. Le synopsis de l’album tient en quelques mots : Spirou et Fantasio traquent une bande d’écoterroristes en lutte contre la malbouffe. Leur enquĂŞte les mène sur un porte-avions de l’armĂ©e amĂ©ricaine, subtilement baptisĂ© USS Obama, dont les militaires poursuivent aussi les militantes Ă©colos. Ă€ bord de l’USS Obama, tout le personnel est noir. Ou plutĂ´t, « furtif », comme l’affirme en riant l’amirale Denzelle Jackson Ă bord, une grosse femme noire aux immenses lèvres roses et au cou poilu.Â
Au tĂ©lĂ©phone, le dessinateur de l’album, Dany, tente de nous expliquer la « blague �� : « On a repeint le porte-avions avec une couleur noire, qui lui permet de ne pas ĂŞtre dĂ©celĂ© par les radars. C’est un navire “furtif”. La dimension furtive est amusante. D’ailleurs, la pacha [commandante du navire – ndlr] dit en rigolant que tout le personnel est furtif. Ils sont tous blacks ! [sic] C’est ça qui amusait beaucoup le scĂ©nariste et qui m’a fait rire aussi. C’était une bonne trouvaille, un Ă©quipage complètement noir... »Â
Mais depuis quelques jours, une foule de nouveaux lecteurs et lectrices est loin de partager ce point de vue. « Quand j’ai dĂ©couvert les dessins, j’ai eu l’impression que c’étaient des animaux qui Ă©taient dessinĂ©s, et non des humains », s’étonne le blogueur Seumboy.Â
« Retrait de l’ouvrage »
Le militant antiraciste a, comme beaucoup d’internautes, découvert l’existence de Spirou et la Gorgone bleue après qu’une Française a diffusé une courte vidéo sur TikTok, le 29 octobre. « Je tiens entre mes mains une des BD les plus racistes de 2024 », présente-t-elle en feuilletant les pages de l’album, paru en réalité un an plus tôt. Sa vidéo est reprise sur d’autres réseaux sociaux, cumule rapidement des centaines de milliers de vues et génère des trombes de commentaires indignés.
Contactées par Mediapart, les éditions Dupuis ont répondu ce jeudi par voie de communiqué, actant que « les prises de parole se multiplient pour exprimer la colère ressentie devant la représentation des personnes noires et des femmes » dans l’œuvre mise en cause.
« Nous sommes profondément désolés si cet album a pu choquer et blesser. Cet album s’inscrit dans un style de représentation caricatural hérité d’une autre époque. Plus que jamais conscients de notre devoir moral et de l’importance que représente la bande dessinée en tant qu’éditeur et plus largement le livre dans l’évolution des sociétés, nous prenons en ce jour la pleine responsabilité de cette erreur d’appréciation. C’est pourquoi nous tenons à présenter nos plus sincères excuses. »
La maison explique avoir « mis en Ĺ“uvre le retrait de l’ouvrage de l’ensemble des points de vente ». L’album se serait toutefois très bien vendu ces 13 derniers mois, selon le dessinateur Dany, qui nous informe qu’elle aurait mĂŞme Ă©tĂ© rĂ©imprimĂ©e. Elle avait Ă©tĂ© tirĂ©e en septembre 2023 Ă 22 000 exemplaires, apprend-on sur le site BDZoom.Â
L’univers de Spirou, popularisé par Franquin, est dense. D’un côté s’égraine, depuis les années 1950, la saga officielle des Aventures de Spirou et Fantasio,dont le 57e numéro est paru cet automne. De l’autre, une série dérivée« Le Spirou de... »permet à la maison d’édition de décliner la franchise en demandant à des dessinateurs de réinterpréter le célèbre héros à leur sauce.
C’est lĂ que Yann et Dany entrent en scène. Le premier est scĂ©nariste de BD, l’autre auteur et dessinateur. Ă€ 81 ans, Dany est un incontournable du neuvième art belge, qui fait vivre depuis cinquante ans les aventuresd’Olivier Rameau, un hĂ©ros rĂŞveur et son acolyte fĂ©minine hypersexualisĂ©e en robe courte, Colombe Tiredaile. Il y a huit ans, les Ă©ditions Dupuis sont venues le chercher pour dĂ©velopper ce nouveau Spirou, raconte-t-il dans une interview accordĂ©e aux Amis de la BD en 2023.Â
Le processus de crĂ©ation a visiblement pris du temps. L’éditeur qui avait dĂ©marchĂ© Dany est remplacĂ© en 2020 par un autre, plus jeune, qui se serait alarmĂ© en voyant la tĂŞte de certains personnages. « Le nouvel Ă©diteur m’a dit : “Tu sais, on ne peut plus dessiner les Noirs comme ça.” Alors j’ai changĂ©, on a refait pas mal de visages… Mais apparemment pas suffisamment », explique Dany Ă Mediapart.Â
La bande dessinée que l’on connaît aujourd’hui aurait donc déjà fait l’objet de modifications. C’est ce qu’a confirmé Julie Durot, la directrice générale de Dupuis depuis 2021, au Parisien ce jeudi : « Le contrat a été signé il y a plus de dix ans, par des gens qui ne sont plus aux commandes. Depuis mon arrivée, nous avons à plusieurs reprises demandé des modifications à son dessinateur, Dany. C’est un homme de plus de 80 ans : il ne voyait pas en quoi ces dessins, qui sont des caricatures, étaient choquants. Nous avons sans doute commis une erreur en acceptant de la publier. »
« On peut se demander pourquoi l’éditeur a quand même publié l’album alors qu’il ne semblait pas satisfait. Refuser d’éditer ce Spirou aurait été à perte, mais cela aurait évité une grosse polémique »,souligne Lloyd Chéry, rédacteur en chef adjoint de Métal hurlant, un magazine de référence sur l’univers de la BD.
Peu de remise en question
Auprès de Mediapart, le dessinateur alterne aujourd’hui entre excuses et justifications. « S’il faut retenir quelque chose, c’est que je suis dĂ©solĂ© si j’ai pu blesser certaines personnes, africaines ou pas [sic]», insiste celui qui se dit « interloqué » par les rĂ©actions. « J’ai peut-ĂŞtre un peu forcĂ© la main, peut-ĂŞtre que j’ai fait une erreur… Cela dit, l’album est sorti en septembre 2023, jusqu’ici, je n’ai eu aucune critique. »Â
Dany défend la « caricature » qui, « par définition, consiste à forcer le trait ». Et d’expliquer un raisonnement à faire s’évanouir des militants antiracistes : « Il est évident que la plupart des Africains, enfin presque tous d’ailleurs, ont des lèvres plus épaisses, plus grosses que les Blancs, c’est un fait. Ça fait partie de la caricature. »
Il mentionne ensuite les protagonistes blancs, qu’il considère également avoir « caricaturé » : « Il y en a un qui ressemble à Trump, ce n’est pas particulièrement gentil non plus… Et puis à ce moment-là , j’aurais aussi dû refaire le nez de Fantasio aussi ? », ajoute-t-il à propos de l’acolyte de Spirou.
Il admet toutefois : « J’aurais dû faire gaffe à ne pas dessiner les Noirs comme dans les années 1960 ou 1980, c’est sans doute vrai [...], mais je voulais me rapprocher de l’univers de Spirou. Mon modèle absolu, c’est Franquin, c’est le genre de dessins qu’il faisait. J’en suis vraiment désolé et je voudrais présenter toutes mes excuses à ceux que j’aurais pu blesser, car c’est totalement involontaire. J’ai peut-être beaucoup de défauts, mais je ne suis pas raciste, ça, c’est certain. »
Un blog qui en dit long
Sur le blog professionnel de Dany, on retrouve pourtant une autre publication, preuve d’une inclination à déshumaniser les personnes noires, qui n’est pas propre à la BD de Spirou. Le dessin montre, d’un côté, les deux personnages blancs créés par Dany, le fameux Olivier Rameau et son amie, s’opposer à un groupe de cinq personnes racisées. « Ça ne va pas être facile de les intégrer, ces deux-là  », soupire un protagoniste noir aux airs de singe, avec de grandes oreilles, une grande bouche, un « museau » brun, entouré d’autres personnages racisés. Comme si les personnes blanches, devenues minoritaires, étaient victimes de discriminations, dans une sorte de mise en abyme de la théorie raciste du « grand remplacement ».
Le blog regorge Ă©galement de dessins de femmes nues ou hypersexualisĂ©es, comme c’est le cas dans Spirou et la Gorgone bleue. Une autre planche, signĂ©e Dany et Tibet, montre un homme qui tabasse une travailleuse du sexe.Â
« Quand on fait un tour sur le blog de Dany, on se rend bien compte qu’il ne s’agit pas d’une erreur de jeunesse, mais d’une prise de position politique dont il est coutumier, remarque Seumboy, créateur et animateur du site de vulgarisation de l’histoire coloniale Histoires Crépues. Le message qu’il essaye de délivrer, c’est que les personnes noires prennent trop de pouvoir aux États-Unis et que si l’on n’y prend pas garde, la société multiculturaliste américaine va arriver chez nous en Europe. »
Aux origines de l’esthétique coloniale de la BD franco-belge
Celui que Dany présente comme son modèle, l’iconique dessinateur franco-belge André Franquin, créateur du Marsupilami et illustrateur régulier des aventures de Spirou et Fantasio, avait lui-même une façon bien particulière de crayonner les personnages noirs.
Dans Spirou chez les PygmĂ©es, paru pour la première fois en 1949, l’auteur de BD met en scène des personnages noirs… dont on dĂ©couvre qu’ils sont en rĂ©alitĂ© « des bruns qui ne se sont jamais lavĂ©s », dixit Spirou, en nettoyant au savon un enfant noir. Une illustration qui prĂ©figurait les spots tĂ©lĂ©s pour dĂ©tergents qui « lavaient plus blanc que blanc » et qu’on illustrait d’un Africain dont les membres ressortaient du bain dĂ©pigmentĂ©s. Dans un livre d’entretien, exhumĂ© par le journaliste spĂ©cialiste JĂ©rĂ´me Lachasse, Franquin se dĂ©fendait de tout racisme et expliquait caricaturer les Blancs comme les Noirs.Â
Pourtant, dans les dessins de Dany, comme dans ceux de son illustre inspirateur Franquin, les personnages blancs ne sont pas ou peu caricaturés, et souvent dépeints sous les traits d’aventuriers en quête de frissons et d’exotisme, ont des physiques avantageux et diversifiés, quand les personnages noirs sont souvent primitifs et présentent des physiques très homogènes.
« Convoquer cet imaginaire colonial, c’est aussi faire preuve de paresse artistique, déplore Laura Nsafou, écrivaine et bédéiste afroféministe. Là où on va se poser la question de varier les physiques pour les personnages blancs, on va uniformiser le corps noir, sans jamais essayer de rendre compte des différentes carnations ou textures de cheveux. Plutôt que de faire ça, on va reprendre des attributs racistes, rappelant les singes. »
L’histoire de la bande dessinĂ©e franco-belge recèle en rĂ©alitĂ© beaucoup de ces reprĂ©sentations stĂ©rĂ©otypĂ©es, reprenant l’esthĂ©tique coloniale des pubs Banania, donnant aux personnages noirs des traits indiscernables de ceux des primates et les campant dans des rĂ´les secondaires de faire-valoir humoristiques, imbĂ©ciles et dociles. Les protagonistes noirs Ă©voluent frĂ©quemment dans des contextes de guerre, d’esclavage ou de sĂ©grĂ©gation raciale, et n’occupent que très rarement les rĂ´les principaux.Â
L’exemple le plus mĂ©morable reste le numĂ©ro de Tintin au Congo, oĂą l’on suit le reporter Ă houppette dĂ©jouant les pièges d’une bande de gangsters qui cherchent Ă mettre la main sur la production de diamants au Congo. Cette bande dessinĂ©e Ă©tait le reflet de l’esprit paternaliste de la Belgique colonialiste du dĂ©but des annĂ©es 1930. Et presque cent ans plus tard, les planches de HergĂ© continuent de nourrir l’inspiration et les prĂ©jugĂ©s racistes de bĂ©dĂ©istes contemporains.Â
Plusieurs spĂ©cialistes et acteurs de la bande dessinĂ©e relèvent la responsabilitĂ© de l’éditeur d’avoir validĂ©, après rĂ©union du comitĂ© Ă©ditorial, une telle publication. Mais ils saluent la dĂ©cision rare de retirer des ventes le numĂ©ro et invitent Ă saisir cette occasion pour amorcer une rĂ©flexion plus large. « Il est nĂ©cessaire que les maisons d’édition de bande dessinĂ©e soutiennent d’autres narrations et proposent des rĂ©cits actuels et respectueux des personnes noires, avec des protagonistes de diffĂ©rentes carnations, qui vivent Ă Paris, et qui ressemblent aux gens qu’on voit dans la rue et dans le mĂ©tro », milite Laura Nsafou, elle-mĂŞme autrice de plusieurs BD qui mettent en scène des personnages racisĂ©s.Â
Marie Turcan et Yunnes Abzouz
#article copié en entier car réservé aux abonné-es#très intéressant. ce vieux raciste de merde devrait prendre sa retraite il n'a plus sa place dans ce monde#french#upthebaguette#BD#bande dessinée#BD franco-belge#spirou#spirou et fantasio#bee tries to talk#racism#antiblack racism#misogyny
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je suis extrêmement dépensière pour les 'petits plaisirs' de la vie, genre prendre un café à emporter le matin ou acheter à manger dehors le midi, boire des bières, acheter le truc un peu plus cher mais un peu plus cool au supermarché mdr donc cette semaine chez moi au lit sans pouvoir dépenser d'argent dehors est positive pour mon porte-feuille... par contre (dsl je m'ennuie un peu donc je continue sur cette réflexion peu intéressante) j'achète jamais rien d'autre: jamais de vêtements, de chaussures ou je sais même pas ce qu'achètent les gens mais moi rien à part les boissons et la nourriture finalement?? et je vais sur excel tous les 3 jours pour faire mes comptes car j'adore remplir des cases sur excel lol. heureusement que mon loyer est 'peu cher' (par rapport aux autres dans la ville, une fille que je connais paie littéralement le double de moi pour avoir un studio seule........ de la folie) ça me permet de pas économiser d'argent pour boire des matcha. mais la vie !!! c'est se faire plaisir non (personne ne possède de maison dans ma famille à cause de cette mentalité mdr)
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Suis descendue dans mon jardin Pour y cueillir du romarin.
Dans l'Antiquité, le romarin était dédié aux dieux, et plus particulièrement à Aphrodite – c'est pourquoi il est également considéré comme un symbole de l'amour. L'arbuste à feuillage persistant, au port plutôt bas, aime les emplacements secs et chauds.
Que faire avec le romarin de mon jardin ? Découvrez ma recette facile de gelée de romarin maison. Délicieuse et pleine de vertus pour la santé, vous allez l'adorer !
Ingrédients  pour 40 g de romarin :
- 1,5 litre d’eau
- 700 g de confisuc
- 1/2 jus de citron
- 6 g d’agar agar
* Porter à ébullition  une casserole d’1,5 litre d’eau avec les feuilles de romarin, pendant 3´. Stopper le feu et couvrir la casserole jusqu’à complet refroidissement.
* Filtrer en pressant. Et compléter en eau pour avoir 1,5 litre de préparation.
* Dans un faitout, ajouter à la décoction le jus de citron et le confisuc. Bien mélanger le tout. Porter à ébullition pendant 5´.
* Ajouter l’agar agar en fouettant pour bien le dissoudre, pendant 2 ou 3´, et stopper le feu.
* Verser dans les pots. Visser les couvercles.
Et attention ⚠️ : ne pas retourner les pots pour éviter de casser la gelée qui prendra durant les prochaines 24 heures.
Une gelée à présenter sur le plateau de fromages par exemple.
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If Erik Lehnsherr/Magneto was your partner english version here
note : GN!reader et quelque peu de sub!erik
! warnings : caractères sexuels (soumission, kink), insécurités, décès
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Global
il a besoin de contact physique et dans n'importe quelle situation. Lorsque vous sortez, il vient souvent t'enlacer sans raison apparente, juste pour te sentir contre lui. En public il doit toujours avoir sa main sur toi, que ce soit ta cuisse, ton épaule, ta main, ton genoux ou même juste ton bras, il faut qu'il ait un contact avec toi. Tu as mis du temps à t'habituer complètement à ses câlins surprises, mais maintenant c'est même toi qui va le rassurer en prenant sa main.
vous ressemblez un peu à un vieux couple : vous sortez vous promener dans la forêt, vous restez quelquefois une semaine entière juste tous les deux chez vous, vous ramassez des pommes de pins. Mais vous êtes comme ça, et vous adorez l'être.
vous habitez loin de la ville, dans une forêt, et grâce à ça vous passez beaucoup de temps dehors à juste regarder la nature vivre autour de vous.
c'était inattendu mais tu as remarqué qu'il avait un corps assez frais. Il n'est pas le genre à te servir de chauffage en hiver par exemple, c'est plutôt toi qui peut prendre cette fonction. Par contre en été c'est assez pratique, ses mains sont toujours froides.
Petites choses du quotidien
lorsqu'il te prend dans les bras il te berce toujours contre lui, que vous soyez debout ou allongés.
de la même manière il passe constamment la main dans tes cheveux, sans forcément les caresser, juste pour sentir la douceur de ces derniers entre ses doigts. Il s'endort d'ailleurs très souvent comme ça, la main dans tes cheveux.
tu aimes beaucoup faire des bouquets de fleurs sauvages, parfois tu les offre à Érik, parfois tu les mets juste dans un joli vase chez vous.
à son tour, il aime beaucoup ramasser des feuilles ou pommes de pin dans la forêt pour après te les montrer et les mettre dans des bocaux, pour faire de la décoration.
tu gardes toujours une bague, un bracelet ou un collier sur toi pour qu'il puisse t'attirer contre lui s'il en a le besoin, et il le fait plus que souvent.
parfois lorsqu'il a du mal à te dire quelque chose alors il va te le dire en allemand, et à cause de ça tu as dû apprendre quelques bases de cette langue. Lors de vos premières années ensemble, il te disait qu'il t'aimait seulement en allemand, car c'était encore trop dur pour lui de le dire autrement.
Vie sexuelle
il n'a pas une libido d'adolescent, en fait il est même assez rarement le premier à engager l'acte. Il t'admire énormément, il a littéralement des coeurs dans les yeux lorsqu'il voit ton corps mais c'est quelque chose de plus profond qu'une excitation sexuelle, il trouve vraiment ton corps magnifique, tellement qu'il veut juste l'admirer en premier et qu'après oui peut-être il aura une érection naissante.
il a tout de même des envies, elles sont juste moins fréquentes que toi.
quelquefois tu vas le regarder avec ces yeux et il comprend immédiatement le message, mais ça ne veut pas dire qu'il a toujours envie, c'est variable en fait.
tu respectes toujours ça. S'il n'a pas envie, il n'a pas envie et c'est tout.
mais il sait aussi que son excitation peut monter avec un peu de temps, et dans ces moments-lĂ tu es toujours lĂ pour l'aider Ă se sentir Ă l'aise et en confiance.
c'est aussi pour cela que vous passez beaucoup, beaucoup, de temps sur les préliminaires. Il a besoin de prendre son temps pour être pleinement présent et aussi excité que toi. Mais honnêtement, ça te va. Grâce à ça tu as repris goût aux préliminaires qui été un peu négligés dans tes relations précédentes.
il arrive que tu te fasses plaisir par toi-même, et il a toujours un grand sourire aux lèvres en entendant tes gémissements depuis l'autre bout de la maison. Parfois il toque même à la porte et glisse un petit "je peux te rejoindre ?".
à ton tour, tu lui as appris quelque chose : la masturbation. Ça peut paraître simplet à dire comme ça, mais il n'a jamais pris le temps de le faire, ou s'il le faisait c'était juste mécanique mais jamais pour lui. Alors tu lui as expliqué de nombreuses choses et petit à petit vous avez réintroduit ce plaisir dans sa vie.
peut-être que c'est dû à la mort prématurée de sa mère, ou à son besoin de toujours tout contrôler, mais il a un petit fantasme pour la soumission. Tu l'as remarqué pour la première fois lorsque tu lui as demandé/ordonné de te regarder dans les yeux pendant qu'il venait sur toi. Depuis, tu t'amuses à le menotter au lit (pauvre menottes en fer qui ont fini ratatinées), lui mettre la main sur la gorge ou attraper son visage entre deux doigts, et même toi tu aimes beaucoup ça.
il a assez peu de pénétrations dans vos moments intimes, du moins pénétration "traditionnelle", mais Érik peut te faire jouir de nombreuses fois juste avec ses doigts, il a un peu un don pour ça d'après toi. Tu aimes aussi beaucoup garder tes sous-vêtements et le sentir à travers, c'est encore plus excitant pour vous deux.
Entourage
il ne lui reste plus personne Ă part toi, et quand tu essaies de lui parler de Charles il se ferme tout de suite.
tu sais qu'il a une grande amitié avec Charles Xavier et tu as essayé pendant longtemps de les raffistoler mais même toi tu sens que la situation est trop compliquée. De ce que t'as dit Érik, lui et Charles n'ont fait que de se réconcilier pour mieux se disputer pendant plusieurs années.
tu as déjà rencontré Raven, ou Mystique, comme elle préfère être appelée. Honnêtement vous pourriez bien vous entendre, mais elle est un peu distante envers toi, et envers tout le monde en général. Malgré ça elle envoie souvent des lettres chez vous, et parfois Érik dit la voir dans la rue, même si toi tu ne vois personne, ou justement trop de monde.
vous n'avez pas vraiment d'amis, donc pas de soirée le samedi soir ou restaurants, du moins pas avec des gens, juste vous deux et ça vous va très bien.
Vulnérabilité
il a des phases où il devient très froid et distant. Dans ces moments-là , tu sais qu'il vaut mieux ne pas essayer de forcer les choses au risque de la braquer davantage.
il a constamment peur de te perdre, de ne pas te protéger suffisamment, et parfois cette peur est plus forte que certains jours alors dans ces cas-là il est persuadé qu'il vaut mieux qu'il te quitte et qu'il parte. Au début, tu as eu beaucoup de mal avec ça, tu avais des difficultés à lui refaire confiance après cette phase paranoïaque, mais le temps a apaisé les choses. Il lui arrive encore d'y penser, de penser à partir pour te protéger de tout potentiel danger qu'il pourrait attirer, mais maintenant il essaie de t'en parler au lieu de psychoter tout seul dans son coin.
tu as appris Ă utiliser les bons mots pour le rassurer, et surtout Ă bannir certains mots.
mais il n'est pas le seul à avoir des moments difficiles, il t'arrive aussi d'imaginer le pire ou d'être simplement à plat. À son tour, il est là pour toi comme tu l'es pour lui. Souvent il sait que tu n'as pas envie de parler alors il te forcera à rien, il restera juste avec toi, une main sur ton corps pour te montrer qu'il ne part pas.
Phrases typiquement Érik
Ă€ quoi tu penses ?
Fais attention/Ne te brûle pas/Doucement quand tu te lèves/Laisse-moi le faire ok ?
Ça m'a fait penser à toi
Ich liebe dich bärchen
Je veux juste te protéger, tu es si agréable, beaucoup trop pour ce monde
Je ne suis pas cruel mon coeur, simplement réaliste. Regarde autour de toi, des enfants sont tués pour leurs simples ADN, alors pourquoi je devrais être compréhensif envers leurs meurtriers ?
Je ne ferais rien que tu n'acceptes pas
SEXUALITÉ
Je devrais te mettre des fils de fer aux chevilles pour pouvoir contrĂ´ler ton joli corps mein schatz
Tu vas encore venir n'est-ce pas ? Oh sweetie ne me regarde pas avec ces yeux-lĂ , tu sais que tu as tout ce que tu veux
Tu savais que ta peau avait un goût sucré ? Non ? Maintenant tu le sais, mein süßes lieblingsdessert
Darling, tu sais que je pourrais briser ces menottes en un claquement de doigt ? Bien sûr que tu le sais, tu es magnifique, si minuscule dans mes bras et so sehr bezaubernd sur mon torse
trad allemand/français : ich liebe dich bärchen -> je t'aime petit ourson ; mein schatz -> m.a.on chéri.e/mon trésor ; mein süßes lieblingsdessert -> mon dessert sucré préféré ; so sehr bezaubernd -> tellement envoûtant.e
° x-men masterlist
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bannière : @/saradika-graphics
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Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom
Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom
Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom
Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom
Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom
Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom
Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom
Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom
Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom
Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom
Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom
Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom
Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom
Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom
Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom
Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom
Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom
Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom
Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom
Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom
Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer
Liberté.
Paul Eluard
Poésie et vérité 1942 (recueil clandestin) Au rendez-vous allemand (1945, Les Editions de Minuit)
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James Ratelet, sur les chemins du Gard, Arènes de Nîmes, Maison Carrée, Tour Magne et Temple de Diane, jardins de la Fontaine, Porte d'AugusteCostières, terroir viticole et activités autour de l'AOC Costières-de-nîmes, Mas des Tourelles, Beaucaire,Abbaye de Saint-Roman, Voie Régordane, Abbaye de Saint-Gilles, Petite Camargue, Scamandre, Gallician, Saint-Laurent-d'Aigouze, Aigues-Mortes, Salins du Midi, à Aigues-Mortes, Pointe de l'Espiguette, le pont du Gard, Uzès, Avignon, Occitanie , France, Europe
#James Ratelet#sur les chemins du Gard#Arènes de Nîmes#Maison Carrée#Tour Magne et Temple de Diane#jardins de la Fontaine#Porte d'AugusteCostières#terroir viticole et activités autour de l'AOC Costières-de-nîmes#Mas des Tourelles#Beaucaire#Abbaye de Saint-Roman#Voie Régordane#Abbaye de Saint-Gilles#Petite Camargue#Scamandre#Gallician#Saint-Laurent-d'Aigouze#Aigues-Mortes#Salins du Midi#à Aigues-Mortes#Pointe de l'Espiguette#le pont du Gard#Uzès#Avignon#Occitanie#France#Europe
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Eté 1929 - Champs-les-Sims
20/20
Les souvenirs des obsèques se font de plus en plus flous et atténués avec les mois qui passent. Nous réapprenons à vivre sans Grand-Mère. Cela dit, le trou est toujours là et la maison semble aussi grande que déserte sans le bruit de sa cane qui tape contre le sol. Nous n'avons pas eu le coeur de la jeter. Je l'ai emballée et entreposée au grenier, au milieu de nombre de ses affaires. Quand à sa chambre, nous n'avons pas encore pu nous résoudre à déplacer les meubles, nous ne savons même pas si nous voulons les garder ou pas. Je pense qu'il faut faire table rase, mais je ne sais pas si tout le monde à la maison est prêt.
J'aimerai proposer que Marc-Antoine rénove la chambre (elle n'a pas bougé depuis presque quatre-vingt ans et aurait besoin d'un coup de frais) et qu'il en fasse la sienne, je n'en peux plus de le voir loger dans le grenier. Après tout, il va revenir s'installer définitivement ici dès l'automne puisqu'il a fini l'école. Il a d'ailleurs été diplômé avec les honneurs, même si cet événement à été largement éclipsé. J'en profite aussi pour t'annoncer que la liste de mon frère a été élue au conseil municipal lors des élections de mai dernier. J'ai maintenant sous mon toit un conseiller municipal et notre village est passé sous la bannière communiste. Qui l'aurait cru ? Je suis extrêmement fière de lui, et je n'ai jamais douté de sa réussite.
Je t'enverrai une autre lettre sous peu, j'espère un peu plus joyeuse.
Affectueusement,
Noé
P.S. Tu trouveras si joint un bordereau bancaire confirmant le virement d'un certaine somme sur ton compte en banque. Ne me demande pas comment j'ai obtenu tes coordonnées, je ne compte pas vendre mes sources. Sache cependant qu'il s'agit d'un emprunt pour la construction de ton port, et que j'escompte que tu me rembourse chaque cent.
______________________________________________________________
De :Â [email protected]
A :Â [email protected]
Sujet :Â La cane !!!
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Cher D,
J'ai été farfouillé au grenier et je l'ai trouvée ! La cane est toujours là , intacte ! A force de chercher des objets ayant appartenu à nos ancêtres dans cet immense grenier, je vais bientôt vivre dans un musée. Et encore, je n'ai pas encore commencé à fouiller dans les combles de l'aile construite par Arsinoé.
A la prochaine !
A.
Transcription :
Rose « Mais bon, on enterre pas Eugénie Le Bris en toute intimité. »
Ange « Monsieur le maire a même hésité à convier le préfet d’après Antoine. »
Rose « Vraiment ? Et comment saurait-il cela lui ? »
Ange « Il a des amis au conseil municipal. La question a même été mise à l’ordre du jour au dernier conseil de mairie. Finalement, ils ont décidé de ne pas le faire. »
Rose « C’est dommage, elle aurait aimé avoir un invité prestigieux à ses obsèques. »
Ange « Bon, sur ce… Je me rend compte que je suis épuisé. Vous montez aussi ma tante ? »
Rose « Non, j’aimerai encore rester un peu si tu n’y vois pas d’inconvénient. Je te chasse pas, mais je veux être un peu seule vraiment. »
Ange « Ne vous inquiétez pas, je comprends. Bonne nuit. »
Rose « Oh Grand-Mère… Vous avez eu la plus belle cérémonie d’adieu que quelqu’un puisse espérer. Vous pouvez être fière de tous vos descendants. Cette jeunesse est prodigieuse. J’espère que vous vous en êtes rendue compte avant la fin... »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Rose Le Bris#Ange de Chastel#Marc-Antoine Le Bris
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Il est 18h, vous entendez l’appel au centre bourg du shérif, diffusé sur les hauts parleurs, la sonnerie qui a dû servir d’alerte incendie il y a peut-être des décennies vous appelle à tous rentrer chez-vous.
C’est le deuxième et dernier rappel que la nuit va tomber, les adjoints et le shérif sont passés auparavant dans les rues en interpellant les gens qu’il était l’heure de ranger et se préparer pour la nuit. Vous accélérez le pas, vous n’êtes pas sûr d’atteindre la maison à temps – à trop vous presser, vous sentez que de votre sac tombe votre gourde (vous notez que c’est devant le diner, mais ne vous retournez pas pour la ramasser, elle sera là – peut-être – demain).
Vous n’auriez pas dû vous arrêter pour boire un dernier café avec Paul et Emily, et vous sentez votre cœur battre plus fort, autant par le rythme imposé que par le bonheur de voir qu’on vous attend à la porte.
Elle se referme derrière-vous et tout le monde se prépare pour la nuit, la mécanique est rodée, qui va cacher les fenêtres, qui s’assure que toutes les ouvertures sont fermées, qui vérifie que les talismans sont bien à leurs places.
« Chérie, tu ne vas pas me laisser dehors, c’est moi. »
Tous les regards se sont détournés de la fenêtre.
Bienvenue à Derry, petite ville d’une centaine d’âmes – au dernier recensement. Il y fait bon vivre, selon certains, la nourriture y est bonne, fraiche, les gens s’entraident, tout le monde est accueillant - tant qu’on peut vous voir à la lumière du jour. De toute façon, on ne quitte pas Derry – il n’y a aucune barrière, ne vous inquiétez pas. Il n’y a juste pas de sortie.
Vous pouvez suivre l'avancement du projet juste ici ou nous suivre directement pour ne rien rater ! ❤
#forumactif#french rpg#rpg français#forum rpg#projet rpg#rpg francophone#midwestern gothic#southern gothic
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Aucune utilité à ce billet, si ce n'est me souvenir de ces détails qui concernent la maison et le jardin. L'année dernière on avait fait construire un poêle de masse dans la maison et on se préparait donc à passer l'hiver à se chauffer exclusivement au bois, et pour stocker tout ce bois, on avait construit un abri, et on s'est rendus compte qu'avec des bonnes mesures, des bons outils et une bonne technique, ce n'est pas si difficile de faire quelque chose qui est fonctionnel. Du coup j'ai ensuite construit moi-même un autre abri, plus long et plus large, pour ranger encore plus de bois. Alors c'est rien grand chose hein, des piquets à la verticale, ceux de l'avant plus haut que ceux de l'arrière, des tasseaux à l'horizontale pour renforcer l'ensemble et servir de support au toit en tôle ondulée. C'est pas très compliqué, le plus difficile est d'être de niveau et d'équerre.
Sur le même principe, l'homme a construit un car-port devant l'abri de jardin pour être au sec qd il travaille sur sa vieille voiture. Et il veut y couler une chape de béton avant l'hiver. Il faut creuser sur 30 cm, sur 18m², ça fait un tas de terre monumental et on va louer un conteneur pour évacuer toute cette terre. Puis après il faudra le bon mélange dans la bétonneuse, les brouettes, tout ça tout ça.
Moi j'ai eu envie d'un petit projet rapide donc j'ai récupéré les planches sur lesquelles il garait sa voiture et j'en ai fait une terrasse. Ce sont des planches de récup, qui servaient à faire refroidir les briques à la sortie des fours. J'ai passé une partie de la journée de samedi à me trimballer la remorque pour ramener le matériel, et puis j'ai trouvé que ce serait mieux avec trois plaques de plus. Deux heures de route plus tard je déplaçais ces plaques dans le jardin. 60 kg chacune. J'ai le dos en lambeaux.
Puis samedi soir j'ai démarré l'encadrement, j'ai continué dimanche matin, puis j'ai eu mes cinq heures de volontariat obligatoire (une ASBL que je devais représenter en faisant la vaisselle dans un festival gastronomique pour avoir des subsides) et dimanche soir j'ai continué de terminer l'encadrement. L'homme m'a juste donné un coup de main pour mettre les plaques sur les tasseaux parce que c'est lourd, mais quand c'est à plat et qu'il faut les placer précisément c'est encore plus lourd. Du coup voilà on a une terrasse. Je vais faire des bacs en palettes pour mes herbes aromatiques, trouver des petites lampes solaires et quelques gros pots colorés pour décorer, et je pense que je vais récupérer des structures de vieilles tables pliantes de bistrot, enlever la rouille et customiser. Il faut encore poncer un peu les planches et protéger de l'humidité, même si elles sont déjà traitées. J'espère qu'on aura un été indien pour prendre le petit dej sur la terrasse déjà cette année.
Le reste du jardin n'est plus une scierie ni un garage ni une friche, il reste encore beaucoup de boulot mais ça avance.
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saga: Soumission & Domination 319
Amaury au taf
Avec Samir et Ammed, nous recherchons ce qui pourrait faire monter Amaury en gamme.
Samir propose qu'on pourrait commencer par le faire sodomiser par mon black le plus membré. Lui, un aristocrate, ça devrait bien le faire kiffer de se faire dominer par un ancien indigène des colonies! Il souhaite y aller progressivement et faire durer le plaisir qu'il prend avec Amaury.
Je suis OK avec ça. C'est son soumis, c'est lui qui décide.
Je fais affaire avec mon black TTTBM. Sa bite de 28x8,5 me pose souvent un problème même avec mes escorts entrainés. Il le sait bien mais je suis le seul qui peut lui fournir où mettre sa bite (si on peut appeler ça une bite !). Surtout qu'on pourrait penser qu'elle est un peu molle et bien non le colosse de 2m la fait raidir comme si elle ne faisait que 20x5 !
Je l'appelle et lui propose un plan sodomie directe. Il hallucine de m'entendre lui proposer cela. D'habitude j'insiste bien sur le fait qu'il prenne le temps de bien préparé mon escort, qu'il y aille lentement dans sa pénétration et qu'il ne casse pas son " jouet " car il ne payera jamais assez pour ça.
Je lui explique que j'ai rentré un nouvel escort aux capacités adéquates. Négo sur le tarif. Samir me dit que c'est pour moi, lui il aura le kiff de gérer Amaury. Je refuse et de toutes les manières il aura une prime sur son salaire normal. Je précise qu'il sera amené par son maître et que ce dernier aura toute autorité de ma part pour gérer la prestation. Le client accepte très excité par les possibilités qui s'offrent à lui.
RĂ©cit de Samir :
J'emmène Amaury à son premier contrat pour Sasha. Avant de monter en voiture, je l'ai préparé. Un lavement en profondeur, graissage et maxi plug (longueur 20cm, diamètre au blocage 5) avant que je lui pose sa cage de chasteté. Pour être sûr qu'il ne bande pas celle-ci comporte des picots vers l'intérieur sur toute la pointe qui emprisonne son gland. Dans la voiture, assis dessus, Amaury bascule le bassin pour faire bouger le plug. Il gémit déjà de l'effet sur sa prostate. Je lui dis de se calmer qu'il garde des forces pour se faire défoncer tout à l'heure.
Nous arrivons chez le client. Grosse maison isolée. Amaury va pouvoir gueuler, y'aura pas de voisins dérangés. Il n'a sur le dos qu'un short de course très échancré sur les côtés auquel j'ai retiré le slip intérieur puisqu'il n'y a rien à retenir. Pour le haut un simple marcel de muscu, lâche.
C'est le client qui ouvre. Impressionnant même pour moi qui suis pourtant carré. Le mec fait dans les 2m et bien 120Kg. Il est en tenue de sport lui aussi. Ses bras nus sont comme les cuisses d'Amaury (ok c'est pas non plus ce qu'il travaille le plus !). Ils sortent d'un t-shirt blanc gonflé à l'extrême. Son sexe est emprisonné dans un cycliste élastique qui le moule comme une 2ème peau. Il est tellement moulant qu'on devine qu'il est circoncis et porte un gros cockring.
Je pousse Amaury vers le sol qu'il se mettre à 4 pattes. Je serre la main du client et présente mon slave. Il nous demande de le suivre. Amaury reste à 4 pattes et nous suit jusqu'au donjon du mec. Pas aussi bien équipé que celui du Blockhaus, mais pas mal quand même. Le principal est là , une croix de saint André, une selle à gode motorisé et un cheval d'arçon avec menottes pour mains et pieds. Une étagère avec une collection de gode de taille croissante occupe un des murs. Je comprends leur utilité quand mes yeux reviennent sur le client qui maintenant bande franchement.
Amaury est hypnotisé par le boa qui s'est développé. Le gland a cherché une issue et s'est faufilé sur la jambe gauche jusqu'à sortir du tissus juste au-dessus du genou.
Je lui dis d'y aller. Il se jette dessus et tourne la tête pour prendre en bouche le gland violacé. A la tête du client, je devine qu'Amaury tourne sa langue dessus comme il sait si bien le faire. Je suis sûr qu'il doit même essayer d'enfiler sa langue dans le petit trou. Le client ne tient plus, il s'écarte et descends le cycliste. Sa lourde bite remonte plus haut que l'horizontale ce qui est pas mal vu le poids qu'elle doit faire. Elle ne reste pas longtemps sans couverture. Amaury se jette dessus et s'en enfiles les 3/4 pour sa première plongée. Je connais mon gourmand, il n'aura de cesse que de poser ses dents sur le pubis crépu. il plonge et replonge sur la queue loirs et il ne lui faut que 10mn pour y arriver. Le client est ravi. Il me dit que c'est une première pour lui, en général les autres escorts callent à 3 cm de l'arrivée.
Mon Amaury se donne à fond. Je crois qu'il kiff de réaliser son phantasme de pute. Il se plante le gros noeud dans sa gorge et insiste même quand il est bien au fond. Je le vois se cambrer de plus en plus. Son cul est un véritable appel au viol.
Le client s'en aperçoit lui aussi. Il se dégage de la bouche d'Amaury et l'attrape par les hanches. Il le tourne et remarque le plug. Il me jette un coup d'oeil et je lui dis qu'il peut y aller. Du coup il l'arrache d'un coup sec, faisant hurler Amaury par la même occasion. Quel comédien ! Vu la dose de gel que je lui avais mis, il a dû glisser quasiment tout seul.
Le trou n'a pas le temps de se refermer que le client pousse sa bite kpotée dedans. Je suis en face. Je vois els yeux d'Amaury sortir des orbites. C'est sûr que sans trop de préparation il mange grave le gamin ! Je vois ses yeux se remplir de larmes mais elles sont de plaisir vu le sourire qu'il m'envoi. En attendant c'est pas pire que nos deux bites ensembles à Ammed et moi question diamètre. Parce que côté longueur c'est sûr que c'est beaucoup plus long, sauf le bras d'Ammed ! Le client me prend plusieurs fois à partie et me félicite de la salope que j'ai entre les mains. En même temps qu'il bourre Amaury il discute avec moi. C'est assez troublant mais c'est lui le client ! Je pense que ça doit aussi l'empêcher de partir trop vite.
Il me dit qu'avec les meufs, il n'arrive rarement à en mettre que les deux tiers et encore quand elles ne se sauvent pas en courant. Je le félicite d'être aussi bien outillé et dis que je comprends, ce sont plutôt parmi les juments qu'il devrait trouver son bonheur. Eclats de rire, même d'Amaury qui recule sur le mat qui le perfore comme le client ralentissait le rythme.
Un changement impressionnant de position. Amaury est loin d'être une crevette ce qui ne l'empêche pas d'être soulevé comme une plume, et le colosse noir de le planter sur sa bite debout. Reflexe, Amaury serre ses jambes aux hanches du mec pour se soutenir. Dans cette position, les fesses d'Amaury sont écartées au maximum et il se prend jusqu'au dernier millimètre la bite noire. C'est impressionnant la différence de couleur. Le noir est très noir et Amaury à le cul très blanc !
Ils tiennent la position plus d'un quart d'heure avant que le black pose le dos d'Amaury sur la table et l'encule violement jusqu'à jouir. Je remarque qu'Amaury laisse échapper de son gland compressé un long filet blanchâtre de sperme. Je suis content qu'il ait pris son pied lui aussi.
Le client se barre en nous indiquant la salle d'eau attenante. Je m'occupe d'Amaury. Je libère sa bite. Elle est couverte de son jus. Dans un souffle rauque, il me dit avoir juté au moins deux fois. Je le soutiens jusqu'à la douche. Il est mort. J'ôte le haut pour le laver. Il se laisse faire comme un enfant. Je le savonne, le rince et le remet debout pour le sécher. Au passage je vérifie la fermeture de son anus. Comme d'habitude, il est quasiment à la taille " non utilisé autrement que naturellement ". Je retrouve les quelques vêtements qui le couvraient. Il est renfile et alors que nous nous apprêtons à partir, Le client nous rattrape et me file un enveloppe. Je sais par Sasha que c'est une pratique assez courante de ses clients quand ils sont contents.
Avant de démarrer, j'ouvre l'enveloppe et compte vite fait. Je sais que les clients sont aisés mais là se prendre 5k de plus que le contrat c'est fou !! J'en touche deux mots à Amaury qui me dit de tout garder, lui n'en a pas besoin. Il a pris grave son pied et me dit qu'il est prêt à recommencer quand je veux.
Je vois bien qu'il a kiffé grave le plan mais je dois faire attention pour lui. Il serait capable d'enchainer les plans pour le plaisir.
Je le ramène chez lui et rentre au blockhaus. Je discute avec Sasha du plan qu'Amaury vient de faire.
Samir revient de chez mon client. Il me tend une enveloppe pleine et me dit qu'Amaury n'en n'avait pas voulu. Je le lui rends et lui dis que du coup c'est tout pour lui. Il me débriefe le client. En conclusion il me dit qu'Amaury est prêt pour un gang bang la prochaine fois. Sa rondelle s'est refermée parfaitement. L'entrainement qu'il s'est auto-infligé depuis des années fait son effet.
Je lui dis que je le tiens au courant pour le gang bang. Ce genre de plan demande un peu d'organisation. Le lieu est tout trouvĂ©, le gite habituel est rarement utilisĂ© en fin d'automne. Le proprio sera content de se faire un peu de blĂ©.Â
Quand je revois Amaury, c'est en cours. Il a les yeux un peu tirés mais personne ne pourrait s'imaginer qu'il s'est fait monter par un étalon black pendant des heures la nuit passée.
Il me rejoint à la machine à café. Je lui tends celui que j'avais commandé et m'en prends un autre. On papote de tout et rien en attendant que les collègues s'éloignent. Je lui demande alors comment il a encaissé sa première prestation. Il me répond que c'était trop fort. Le plus qu'il ait jamais connu, encore plus que ses plans avec Samir et Ammed. Avant de rentrer dans l'amphi, il me dit qu'il peut aller plus loin encore et que si j'ai des clients partants, il est mon homme.
Je le retrouve après les cours et l'emmène boire une bière. Quand je lui dis que j'ai reçu un appel de son client, je le vois inquiet. Tout de suite je le rassure et lui dis qu'il le redemande dès que possible. Je lui explique qu'il est le seul de mes escorts à part Jimmy mon phénomène beur, à réussir à le prendre en entier. Et qu'il a trop aimé son corps plus formé. Il rougit c'est charmant ! Je lui demande si plusieurs black ça lui ferait peur. Il me fixe et me dis que de toutes manières, je sais qu'il est une grosse chaudasse en manque de queue. Que c'est pas nécessaire de lui demander, il sera partant pour tous mes plans possible les plus hards. Je n'aime pas trop son ton. J'entends sous ses propos une résignation à n'être bon qu'à se faire défoncer. Trop négatif comme état d'esprit !
Comme je sais que ce soir il n'y aura que PH Ă la maison, je l'embarque avec moi.
Mon homme est étonné de le voir surgir derrière moi du monte-charge. Il l'accueille avec chaleur car lui aussi a vu la tête qu'il fait. Pour qu'Amaury soit à l'aise, je ne me mets pas en shorty comme PH. Samir nous rejoint avec l'apéro et je lui dis de rester et appelle Ammed de venir avec deux verres de plus.
Quand on est tous assis, je déclare ouvert la réunion de guerre. Personne à part moi ne comprend, mais moi si ! C'est le principal. Ils attendent tous la suite.
Je préambule : on se connait, on connait Amaury est ses envies, et bien on est là pour lui faire prendre conscience que si personne autour de cette table ne le juge, il n'a pas non plus à le faire lui-même. On n'est pas des psys mais on doit pouvoir chasser ses idées noires de sa cervelle.
Amaury se récrie qu'il est bien. J'affirme que non et que les autres sont d'accord avec moi. Nous discutons une bonne heure. Je confronte les expériences sexuelles d'Amaury avec le plaisir qu'il en retire. Ammed lui confie que lui aussi adore se soumettre à Samir lorsqu'ils font l'amour ensemble. C'est pas pour ça qu'il n'avait plus sa fierté et que Samir ne le respectait pas. Je confirme que si le client a rappelé, ce n'était pas pour demander quand la salope serait dispo mais quand il pourrait bénéficier des prestations du dernier escort que je lui avais envoyé. Et c'était avec des propos admiratifs qu'il avait parlé de son travail.
Je lui dis encore que quelques soient les plans que je lui organiserais, même s'il y a soumission totale, même s'il y a des pratique sado-maso ou s'il sert de vide couilles à un régiment africain en rut, ça ne le placera pas comme une sous merde dans l'esprit d'aucun de mes clients.
Il me dit que c'est des craques, que lui se cachait la vérité mais qu'il est comme ça depuis l'enfance. Se faire saillir par son Pinocchio à la puberté, ça dénotait quand même son niveau de dépravation. C'était pas la peine de faire un dessin ! Mes trois acolytes se taisent, eux viennent d'apprendre ses pratiques ancillaires. Ça plus de se faire défoncer par le jardinier TTBM, jusqu'à 3 fois par jour, c'est pas un parcours normal !
Là , éclats de rires général. Il redresse la tête pour comprendre. Je lui montre Samir et Ammed en Shorty cuir, PH et moi, le film de mes amis qui singent le " déjeuner sur l'herbe " de Renoir en poussant plus loin l'après-midi et lui dis que normal ça ne veut rien dire !! On est tous le déviant de quelqu'un. Evidemment c'est maintenant que ça se joue pour lui car il n'est plus tout seul et qu'il partage son " originalité " avec d'autres mecs. Que s'il ne s'accepte pas tout de suite, ce sera un siècle de psychanalyse, une femme malheureuse et des enfants futurs tueurs en série. Ma dernière assertion les fait tous se tourner vers moi, interloqués. Ben quoi ! Faut bien des circonstances atténuantes à ces meurtriers !
Ce coup-ci quand les rires éclatent, ils viennent aussi de lui. L'abcès est percé. Enfin on va pouvoir diner tranquille.
Pour assurer sa rémission, il reste dormir exceptionnellement au Blockhaus avec Samir et Ammed.
Au petit déjeuner le lendemain matin c'est un autre garçon. Son assurance n'est plus exagérée, artificielle comme elle l'était avant. Pour preuve, il arrive alors que nous sommes tous déjà levés et après nous avoir embrassés sur la joue, il roule un patin à Samir et fait de même avec Ammed. Quand je lui propose de l'emmener avec moi à l'école, il me dit qu'il doit passer se changer chez lui. On n'a pas trop le temps. Il accepte que je lui prête des vêtements et nous partons ensemble. Notre arrivée est remarquée. C'est uniquement de le voir sortir de ma voiture qui interpelle nos collègues. Maxou m'interroge du regard ? Je lui fais signe qu'on en parlerait plus tard.
Amaury, lui, doit faire face Ă son groupe de fans. Ils lui demandent ce qu'il peut bien faire avec moi. En quelques mots il dompte ses troupes et avance.
Maxou vient aux nouvelles. Je ne révèle pas la teneur de la soirée de la veille. Je lui dis juste que notre Amaury s'est enfin trouvé. Maxou comprend à demi-mot. Et n'insiste pas. Lui aussi a bénéficié de mes " services " qui lui ont permis de s'affranchir des bâtons qu'il avait dans ses roues.
Jardinier
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