#Maison Carrée
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Maison Carrée, a restored Ancient Roman temple from the early 1st century CE.
Nimes, France
Nov., 2016
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Church in Maison Carrée, modern-day El Harrach suburb of Algiers, Algeria
French vintage postcard
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James Ratelet, sur les chemins du Gard, Arènes de Nîmes, Maison Carrée, Tour Magne et Temple de Diane, jardins de la Fontaine, Porte d'AugusteCostières, terroir viticole et activités autour de l'AOC Costières-de-nîmes, Mas des Tourelles, Beaucaire,Abbaye de Saint-Roman, Voie Régordane, Abbaye de Saint-Gilles, Petite Camargue, Scamandre, Gallician, Saint-Laurent-d'Aigouze, Aigues-Mortes, Salins du Midi, à Aigues-Mortes, Pointe de l'Espiguette, le pont du Gard, Uzès, Avignon, Occitanie , France, Europe
#James Ratelet#sur les chemins du Gard#Arènes de Nîmes#Maison Carrée#Tour Magne et Temple de Diane#jardins de la Fontaine#Porte d'AugusteCostières#terroir viticole et activités autour de l'AOC Costières-de-nîmes#Mas des Tourelles#Beaucaire#Abbaye de Saint-Roman#Voie Régordane#Abbaye de Saint-Gilles#Petite Camargue#Scamandre#Gallician#Saint-Laurent-d'Aigouze#Aigues-Mortes#Salins du Midi#à Aigues-Mortes#Pointe de l'Espiguette#le pont du Gard#Uzès#Avignon#Occitanie#France#Europe
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La Mode nationale, no. 33, 11 décembre 1886, Paris. No. 8. — 1. Robe de lainage fantaisie. 2. Costume de cachemire loutre. 3. Toilette de cheviotte. Modèles de la Maison Vidal, 104, rue de Richelieu. Bibliothèque nationale de France
(1) Robe de lainage fantaisie uni. Jupe, plissée à larges panneaux, formés par une bande en velours. Draperie courte sur le devant, retombant en long pouf droit derrière. Pattes de velours sur le côté. Corsage très ajusté, à plastron semblable, boutonné, coupé en carré pour laisser voir une chemisette plissée. Col, revers et parements en velours.
(1) Plain fancy wool dress. Skirt, pleated with wide panels, formed by a velvet band. Short drapery on the front, falling in a long straight pouf at the back. Velvet tabs on the side. Very fitted bodice, with a similar plastron, buttoned, cut in a square to reveal a pleated blouse. Collar, lapels and facings in velvet.
Métrage: 8 mètres lainage grande largeur. 2 mèt. velours.
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(2) Costume de cachemire loutre. Première jupe plissée à plis plats tout autour. Seconde jupe drapée en tablier devant, formant pouf derrière. Corsage long formant gilet boutonné, recouvert par une veste Figaro. Manches très collantes. Tout le corsage, manches et col sont garnis d'une fourrure d'astrakan.
(2) Otter cashmere suit. First pleated skirt with flat pleats all around. Second skirt draped in an apron in front, forming a pouf behind. Long bodice forming a buttoned waistcoat, covered by a Figaro jacket. Very tight sleeves. The entire bodice, sleeves and collar are trimmed with astrakhan fur.
Métrage: 10 mètres cachemire en 1m,05.
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(3) Toilette de cheviotte gris de fer. Première jupe à larges panneaux, alternés avec des petits plis. Seconde jupe drapée, très enlevée sur le côté, formant tablier devant, et pouf court très plissé derrière. Corsage boutonné retenu à la taille par une ceinture de surah, froncée négligement sur le côté. Deux montants, en surah, ornent les côtés du corsage, et rejoignent un empiècement en velours, faisant le haut du corsage. Manches larges en haut, avant-bouts de manches plats, en velours jusqu'au coude.
(3) Iron grey cheviotte dress. First skirt with wide panels, alternating with small pleats. Second draped skirt, very raised on the side, forming an apron in front, and a short, very pleated pouf behind. Buttoned bodice held at the waist by a surah belt, gathered casually on the side. Two surah uprights adorn the sides of the bodice, and join a velvet yoke, making the top of the bodice. Wide sleeves at the top, flat sleeve ends, in velvet up to the elbow.
Métrage: 9 m. cheviotte grande largeur, 1m,25 velours.
#La Mode nationale#19th century#1880s#1886#on this day#December 11#periodical#fashion#fashion plate#description#bibliothèque nationale de france#dress#bustle#suit#Modèles de chez#Maison Vidal
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Maison Louis Carré
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In 1806, Napoleon Bonaparte would sign the decree for the construction of a temple in honor of the glory of the French army: “...it will be the most august and the most imposing of all...Reward with which the victor of kings and peoples "The founder of empires rewards his army."
A competition was called and the project of the architect Pierre-Alexandre Vignon was chosen for the construction of the Church of the Madeleine, Paris. Today considered one of the best examples of neoclassical architecture, its model was the Maison Carré (Roman era).
Neoclassicism disappears when you enter its interior, where the baroque surrounds the walls, only the coffered vaults remind us of the majestic Pantheon of Agrippa.
Its construction lasted eighty-five years due to political instability in France at the end of the 19th century 18th and early 19th. The political changes of the time caused its use to be modified several times. It was about to be a railway station. Between 1835 and 1837, Jules-Claude Ziegler painted “L'Histoire du christianisme” in the apse and between 1835 and 1857, the Paris-based Italian sculptor Marochetti carved the figure of Mary Magdalene for the altar.
One of the most important pieces of the church is the organ from 1846, the work of Aristide Gavillé-Coll.On the outside, the 52 Corinthian columns give it an imposing appearance and support the pediment, the work of the sculptor P. Lemaire, which represents The Last Judgment, which was made in 1833.
Fhoto ©️Buiron Christophe
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Albert Lebourg - Alger, la Maison carrée
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saga: Soumission & Domination 331
Noël 2014 : " belle famille ", Emma
Pour cette fête de fin d'année, Emma nous invite tous pour le déjeuner. Ce qui fait que je ne peux refuser de passer le réveillon dans la famille de Ludovic !
Ça été le deal pour pouvoir emmener Ludovic le lendemain. La soirée prévue c'est : diner de fête, messe de minuit à 22h et cadeaux au retour autour d'un dessert au champagne ! Cela va me rappeler ma jeunesse, enfin quand j'étais petit. Car j'ai dû cesser d'aller à la messe de minuit vers mes 14ans. On n'était pas très porté sur la religion à la maison. Je propose d'apporter le champagne. J'aime bien le Roederer !
Le diner est parfait. L'ambiance est détendue surtout après quelques verres de vin. Pour eux c'est aussi une première puisque jusqu'à présent il n'y avait pas encore eu d'invité à cette fête familiale. La dinde étant pour le 25, nous dînons de bouchées à la reine, d'un succulent brochet au beurre blanc avant de s'arrêter sur les fromages. Messe de minuit que je passe à serrer contre moi mon Ludovic, profitant de la forte affluence qui remplit l'église (nous étions debout tellement il y avait de monde !). Je n'ai pas écouté grand-chose de la messe. Je crois que quand je bande, ça me bouche les oreilles !! Plusieurs fois Côme m'a fait les gros yeux alors que mes mains s'égaraient sur la braguette de Ludovic.
Retour à la propriété vers les 23h30, un peu longue la messe !
Alors que madame va chercher le dessert et que j'aide monsieur à ouvrir le champagne, les fils apportent les cadeaux. Je vais vite à la voiture chercher les miens. Ils sont effarés quand je reviens avec un paquet pour chacun. Madame s'exclame qu'il ne fallait pas, monsieur dit que ce n'était pas nécessaire et je fais taire tout le monde en leur disant que ça me fait plaisir. Nous attendons d'avoir fini nos parts de gâteau pour distribuer et ouvrir nos paquets.
Madame commence par le mien pour m'honorer. Je ne me suis pas embêté, j'ai lui ai pris un carré de soie de chez Hermès. Dans ce milieu-là, j'étais s��r de ne pas me tromper. Et je crois qu'effectivement elle a été touchée car pour la première fois elle m'a spontanément embrassé sur la joue. A Côme et Enguerrand, j'ai pris un bracelet Kyoto en cuir et or de chez Hermès aussi. Ils sont beaux et discrets quand même. Enguerrand me saute au cou et me dit qu'il ne quittera plus son poignet. Il reste juste un peu trop longtemps accroché à moi pour que son père le regarde bizarrement. Pour le père, j'ai osé un carré de soie pour homme, toujours de chez Hermès. J'avais noté qu'il portait une vieille écharpe un peu pourrie lorsque je l'avais accompagné à la chasse. Dans un premier temps il est surpris et dubitatif devant le paquet. Puis quand Ludovic le déplie et lui passe autour du cou, il est conquis. Le motif " imprimeur Fou Quadricube " en rouge est très masculin. Pour mon amour à moi, c'est un jonc en or de la place Vendôme. Ses parents allaient pour faire une remarque quand ils ont lu le nom sur l'écrin. Sur la face interne j'ai fait enchâsser des pierres précieuses et semi précieuses aux couleurs de l'arc en ciel. Il est le seul à le remarquer. Pour la première fois j'ai droit à une pelle devant tout le monde. Sifflets d'Enguerrand qui se fait engueuler par son père qui lui dit de ne pas en rajouter.
Les frères se sont groupés pour m'offrir une veste de chasse en cuir, plus solide que celle que j'avais trouvée. En me serrant contre lui, Ludovic me dit que j'aurais demain mon vrai cadeau. Celui-là c'était l'officiel parce qu'il y avait ses parents. De leur part j'ai droit à une écharpe Burberrys. Remerciement croisés et au lit, évidemment en chambre séparée !! Du moins pour commencer. 10minutes après que je me sois coulé entre les draps, mon Ludovic est venu me rejoindre. Très excitant que de faire l'amour alors que c'est " interdit " ! Il se réveille tôt pour regagner sa chambre. Au petit déjeuner, il se met à côté de moi et me dit qu'il s'est fait choper par sa mère en sortant de ma chambre et comme il était en caleçon... Je lui demande s'il s'est fait engueuler. Il me dit que non, cela l'avait même surpris mais elle lui avait fait un clin d'oeil et était partie de son côté. Ouf !!
J'accélère un peu, je voudrais passer au blockhaus avant d'aller chez Emma. On se remercie tous encore une fois et ils nous lâchent enfin. On retrouve tous les autres. PH et Ernesto se fichent de nous, faisant une imitation de madame mère recevant son cadeau de ma part et de monsieur découvrant son propre carré Hermès. Ludovic s'écroule de rire. Je demande à PH s'ils se sont bien envoyés en l'air hier soir. Pour m'énerver, il me décrit par le détail le diner que Samir et Ammed avaient préparé avant de passer à leur nuit. Même si j'ai passé une nuit très excitante, je suis un peu jaloux de ce qui s'est passé entre eux. Je crois bien que c'est la première fois qu'ils ont fait l'amour sans moi. Ça me fait un peu mal jusqu'à ce que je me dise qu'ils n'ont pas été des moines pendant mon indisponibilité après l'accident !
On se change. Chez Emma le déjeuner de Noël se passe en smoking. On s'entasse tous dans la 300C, Hervé nous ayant quitté pour aller déjeuner chez ses parents. Pablo nous ouvre, lui aussi est en smoking. Le jour de noël, il est le seul des employés d'Emma à rester et déjeune avec nous tous. A force de persuasion, elle a enfin décidé ses deux vieux employés à rentrer dans leur propre famille. Du coup, nous les jeunes ont fait le service sous la tutelle de Pablo. Cette année il a fait lui-même le foie gras. Pour un coup d'essai c'est un coup de maître. Il est délicieux, bien mi-cuit et onctueux, on se régale tous. Il a laissé tomber la dinde pour un chapon aux champignons et fruits secs comme on fait en catalogne. La cuisson est là aussi parfaite et la viande est fondante sur la langue. Ludovic nous dit être très heureux d'avoir évité la sempiternelle dinde trop sèche de chez lui. Emma le gronde que ce n'est pas gentil de nous dire cela. Il se défend que sa mère n'est pas une mauvaise cuisinière mais avec la dinde ça ne fonctionne pas. Le dessert est du même niveau et c'est au café que se fait l'échange de cadeaux.
Emma a décidé que nous aurions tous le même présent (Pablo compris) avec la date gravée dessus. Avec la complicité de Marc, elle nous a fait réaliser pour chacun la même chevalière en or dont le plateau est un grenat Demantoïde d'un vert très profond gravé en intaille d'une vision moderne d'Hercule terrassant le lion de Némée d'après une gravure originale de Nicolas Salagnac. Elles sont superbes on les passes toutes à nos doigts. J'adore l'idée " clan " qu'elles sous entendent. Le motif gravé montre donc un Hercule très musclé et bien monté (même s'il ne bande pas) étranglant un lion majestueux. Elle confie un écrin à Ernesto pour Hervé. Il la remercie chaleureusement qu'elle ait pensé à lui.
C'est l'année des bijoux puisque j'ai étendu mon idée du bracelet que j'ai offert à Ludovic aux autres participants du déjeuner. Ils sont tous rigoureusement identiques. La simplicité de leurs surfaces externes lisses ne trouble pollue pas l'effet de l'intaille. Ernesto remarque la succession des couleurs de la face interne et tout le monde trouve ça amusant. Marc me remercie que cela soit discret et personnel.
Marc et Hervé, eux, ont rapporté d'orient des olisbos en jade. A la vue de leurs tailles, Emma nous dit qu'ils doivent durement être décoratifs. Même si nous n'avons pas beaucoup de secret pour elle, personne ne lui dit que cela nous arrive d'utiliser des godes de ces tailles. PH s'est mis avec Ernesto et Ludovic pour m'offrir une perle en or ciselée pour mon oreille. Je les engueule de dépenser l'argent pour ça mais je tombe quand même dans leurs bras pour les remercier.
Nous offrons à notre hôtesse un tatouage de son choix chez mon tatoueur. Elle a eu beau me trouver fou d'avoir fait graver dans ma peau cet énorme dragon qui me mange le téton, à chaque fois que nous faisons l'amour, je la surprends à caresser la bête !
Evidemment ce sont des cris de surprise et de refus qui arrivent en premier. Je la pousse une peu dans ses retranchement pour qu'elle admette que cela la tente mais qu'elle ne comptait pas le faire. Tout le monde y va de son commentaire. PH lui dit que c'est effectivement une idée trop étrange pour elle. Il ajoute qu'en tant que femme qui porte de beaux et profonds décolletés, il trouve difficile de trouver une place adéquate. Marc lui dit de ne pas tenir compte de moi, j'étais fou et voulait que tous autour de moi le soient. J'argumente que cela lui apporterais une certaine originalité parmi ses " amies " bien pensantes. De plus elle n'est pas obligée d'en faire faire un aussi gros que le mien ! Elle finit par avouer que le mien lui plaisait beaucoup.
Là, c'est moi qui la mets en garde. La façon dont il passe de mon dos à mon pec par-dessus l'épaule droite l'empêcherait de porter ses robes légères l'été sauf en privé. C'est elle qui me dit qu'en faisant passer le dragon sous son bras plutôt qu'au-dessus, un simple maillot 1 pièce ferait l'affaire. Je crois bien qu'elle va le faire. Moi, j'avais plutôt pensé qu'elle ferait comme Marc une version réduite de ma bête et plutôt sur une fesse de façon à ce que ce soit vraiment " privé ". Je lui en fais part. Elle éclate de rire et me dit qu'alors il ne servirait à rien à cet endroit-là. Ernesto et PH se joignent à moi pour la raisonner. C'est peine perdue !
Ça m'apprendra à offrir des trucs aussi bizarres. Mais que peut-on offrir à une femme qui a déjà tout !
Comme j'ai prévu de ne pas la laisser seule ce soir de noël et que PH, Ernesto et Ludovic vont rester avec moi, j'ai demandé à mes deux vietnamiens, qui ne fêtent pas ce jour chrétien, de se mettre à disposition de Marc et Hervé. Ils refusent que je leur paye cette prestation. Ils me disent que c'est pour la colocation qu'ils ont intégré à leur tour.
Nous passons la soirée à faire l'amour à Emma. Ernesto, PH, Ludovic et moi, réussissons à la maintenir en état de jouissance où très proche plus d'une heure et demi durant. Nous la laissons dévastée. Elle a juste la force de soulever ses paupières pour nous voir jouir tous les quatre de nos corps de mâles. On sait exactement ce qui fait réagir l'autre et nous en profitons. Ludovic en est encore au stade de la découverte et c'est nous qui en profitons pour l'emmener au 7ème ciel en premier. Je profite de la belle queue d'Ernesto. Elle me laboure l'anus en profondeur et c'est trop bon, surtout avec PH en 69 qui me suce la bite. Nous nous " nourrissons " de concert alors qu'Ernesto se vide en moi. Pendant que c'est notre tour de récupérer, elle part enfiler un maillot de bain une pièce assez échancré pour me prouver ses dires concernant mon cadeau. Elle ajoute qu'elle ne portera de 2 pièces qu'avec ses amies auprès desquelles elle le voudra. Ernesto la fait tourner et effectivement, si le corps du dragon contourne par sa taille, elle pourra le dissimuler.
Nous passons la nuit avec et sur elle. Elle doit nous réveiller deux fois car nous l'étouffons en nous couchant sur elle. 4 corps entre 80 et 90 Kg c'est sûr que c'est un peu lourd quand ils ne bougent pas pour lui donner du plaisir !
Quand nous débarquons au blockhaus, nous croisons Lâm et Khang qui en partent. Ils nous disent comprendre pourquoi nous sommes avec Marc et Hervé. Ils n'ont quasiment pas dormis de la nuit avec nos deux hommes.
Nous les trouvons encore en boxer, avec des petits yeux. PH leur demande comment ils font quand ils sont là-bas. S'ils ont ces têtes avec leurs clients, ils doivent recevoir des réflexions.
Nous passons la fin de matinée dans l'eau au second. La chaleur y est plus forte et nous en avons bien besoin pour détendre nos muscles un peu trop sollicités dernièrement.
Samir et Ammed nous appellent pour le déjeuner si on ne veut pas manger brulé. Ce serait dommage vu les plats qu'ils nous ont concoctés. Le reste du 26 est calme. Nos cadeaux nous plaisent et chacun les porte. Il faut dire que je m'étais offert le même bracelet que ceux que j'avais offerts. Les parents de PH sont partis en voyage au soleil et nous ne les verrons qu'après le nouvel an.
J'ai reçu les dernières réponses pour la touze du 31 décembre depuis déjà plus d'un mois. Heureusement que le blockhaus est grand car il va être plein. C'est le fait que l'année dernière j'avais dû l'annuler à cause de mon accident. De plus contrairement aux autres années, tous mes escorts ont refusé de prendre un engagement pour cette soirée afin d'y participer aussi. Même les derniers, poussés par les autres ont décliné des propositions de prestations pourtant payées en honoraire de jour férié !
Ils sont déjà 25 ! Plus tous les amis qui se sont débrouillés pour être libre (je pense à mes deux motards de la gendarmerie), nous serons au bas mot 80 !! Pour la bouffe ce n'est pas un problème, entre Samir et Ammed et Julien notre charcutier traiteur et néanmoins amant de Second, la chambre froide sera pleine de ce qu'il faudra. Pour la baise, là non plus pas de soucis, on n'est pas du genre à ne le faire que dans un lit. Ça va plutôt être pour dormir que ça va être chaud. Heureusement que la surface de tatami a été augmentée dernièrement. Et puis comme il règne une chaleur qui nous permet de vivre quasiment à poil, la terrasse pourra aussi accueillir des dormeurs. Par contre le donjon, s'il va surement servir ce soir là aussi, n'es pas équipé pour le sommeil !
Marc et Hervé me traient de fou. Je pense que c'est effectivement la plus grosse partouze que j'aurai jamais encore organisée. Au moins le double des fois dernières. San compter que bon nombre d'invité vont faire le pont et rester jusqu'à dimanche soir. Soit 4 jours complets de débauches en tout genre, enfin homo !
Du site du " roi de la capote ", je reçois plusieurs centaines de préservatifs indispensables. De toute sortes avec et sans latex pour les allergiques, phosphorescents, avec des goûts fruités. Bien sûr il y a une bonne quantité de XL et XXL j'en ai trouvé de 220m x 60/69, ce qu'il faut pour l'équipe du club hippique, Éric et même João et Sosthène ! Le tout est accompagné de quelques litres de gel lubrifiant et quelques pots de crème à fist pour les plus aguerris. En effet, je ne dois pas compter une par éjaculation car je pense que les bites seront passées par plusieurs culs avant que leurs couilles se vident !
Pour éviter tous mélanges qui se révèleraient néfaste pour certains estomacs, il n'y aura que du champagne, en apéritif, aux buffets et même après. Le caviste m'en livre 400 bouteilles ce qui restera ne sera pas perdu. Comme il veut me faire un cadeau, je refuse ses bouchons temporaires, les bouteilles n'auront aucune chance de rester à moitié vide, par contre j'accepte qu'il m'offre une 10aine de sceaux à glace. C'est plus pour les maintenir autour des 8-10° optimums que pour les frapper. On ne " gèle " que les champagnes de petite qualité. Je passe par la mère de Julien pour savoir combien je vais lui coûter. Le connaissant, il va me donner un chiffre fantaisiste bien en deçà de la réalité et je ne tiens pas à ce qu'il soit de sa poche pour ce qu'il me fournit.
Il y a plusieurs semaines déjà, avec mes acolytes, nous avons réfléchis au petit souvenir que nous pourrions offrir à tous les participants. Même si ça va être une débauche de sexe phénoménale, pas question de tomber dans le graveleux. Pas de savon bite ou de mug cul, il nous faut viser plus haut. Ludovic propose un truc qui fait que l'on saurait tout de suite qui faisait partie de cette fête, donc quelque chose de visible comme les bagues universitaires américaines. L'idée est là mais une bague de plus... On se fixe sur un simple anneau en or gravé de " Blockhaus 15 " pour 2015. Pour mes Escorts j'ai l'information dont nous avons besoin pour leurs réalisations. Tous les autres ont été priés de me donner la taille de leur auriculaire. Pour la matière nous optons pour de l'or rose, on est Pd ou pas ?!
Evidemment, ils vont se douter qu'ils vont recevoir un anneau mais pas celui-là !
Jardinier
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1770 Jean Valade - Portrait of Monsieur Carré de Candé with his sons
(Maisons-Laffitte Castle)
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Town Hall of Maison Carrée, modern-day El Harrach suburb of Algiers, Algeria
French vintage postcard
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James Ratelet, sur les chemins du Gard, Arènes de Nîmes, Maison Carrée, Tour Magne et Temple de Diane, jardins de la Fontaine, Porte d'AugusteCostières, terroir viticole et activités autour de l'AOC Costières-de-nîmes, Mas des Tourelles, Beaucaire,Abbaye de Saint-Roman, Voie Régordane, Abbaye de Saint-Gilles, Petite Camargue, Scamandre, Gallician, Saint-Laurent-d'Aigouze, Aigues-Mortes, Salins du Midi, à Aigues-Mortes, Pointe de l'Espiguette, le pont du Gard, Uzès, Avignon, Occitanie , France, Europe
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un regard sur une pièce
Il était une fois un regard sur une pièce. Des cartons, une valise et du vide ; des murs blancs, peinture fraîche, un écho. Le plafond monte haut, une ampoule grésille, il n’y pas d’abat-jour. Une ouverture, un brin d’air et quelques bruits de rue pour combler le silence. Elle pose son sac par terre, faute de chaise, le manteau par-dessus ; lève ses gants et son chapeau, déroule l’écharpe de son cou. Elle se dirige vers la fenêtre, l’ouvre en grand et se penche en avant, reçoit le froid glacial sur son visage, son nez et ses joues qui rougissent. Ses yeux observent la fumée du camion qui disparaît au loin et puis reviennent à l’intérieur de la maison. Elle fait trois pas jusqu’au premier carton, prend une paire de ciseau, tombe à genoux. Le scotch se déchire en deux dans un bruit grinçant et aigu. Elle arrache le dernier bout et le jette au sol, là où il n’y a pas encore de poubelle. C’est un tissu qu’elle découvre, une couverture aux carrés bleus et roses, des marguerites sur d’autres, brodées par les doigts de sa grand-mère. Sa main caresse les fils jaunes, lisse les verts, palpe la bourre de la matière. Autour de ses épaules, elle la déploie sur elle. Elle ouvre le clapet de son téléphone, tape sur le clavier ces mots qu’ils attendaient. “Bien arrivée. Tout va bien. Bisous à tous les deux.” Elle ferme les yeux, sa tête enfouie dans ce mélange de coton et de laine, les odeurs du passé remontent jusqu’à son nez. Elle n’est plus seule désormais.
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A central position in both life and work of Alison and Peter Smithson held the so-called Upper Lawn Pavilion located on Fonthill Estate in Wiltshire, England: beginning in 1958 the couple turned a derelict cottage into their young family’s country home and a testing ground for their architectural ideas which in turn would be applied in later large-scale projects.
In 1986 Alison Smithson sat down with fellow architect Enric Miralles to make a little book about the house called „Upper Lawn, Solar Pavilion“. It documented the building’s construction process and the consecutive family life in and around it. In photos, diary entries and references Smithson reflects on the pavilion’s qualities and the learnings she gained from living in it together with her husband, three children and a cat named Snuff.
One of these learnings is the submitting to the seasons as they pass by and to embrace the melancholy that comes with it, an aspect of life that is also documented in the many photos included. Another climate related learning was the necessity of being able to open the house „at a touch as Japanese screens indeed are“ as Alison Smithson remarked against the background of the particular wind situation at Fronthill Estate and a negative experience made during a visit to Alvar Aalto’s Maison Carré. A second architectural icon that in this instance serves as a positive reference is the example of Mies van der Rohe’s and Lilly Reich’s Barcelona Pavilion: as a manifestation of an architectural idea and a place of withdrawal it had a great influence on the Smithsons in designing their pavilion as they developed it in a stem lineage started by Mies and Reich.
The little book by AS and Miralles has recently been reissued in a significantly extended edition by Mack Books that adds materials from the Smithson archive as well as an introductory essays by Paul Clarke who shares his own impressions of the pavilion. Through the very personal perspective on this influential building one really grasps its importance and key position in the Smithsons’ oeuvre. In my opinion a must-have book to enter the architects’ cosmos!
#alison smithson#peter smithson#architecture book#residential architecture#architectural history#architecture#england#monograph#book
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La Mode nationale, no. 25, 22 juin 1895, Paris. Notre patron découpé. Corsage-mantelet en mousseline de soie. Modèle de la Maison Lipman, 2, rue de la Paix. Bibliothèque nationale de France
Détails et explications du patron découpé:
Ce modèle peut être à la fois considéré comme un corsage et comme un vêtement. Il peut se poser sur un fond de soie, noire ou de couleur. Corsage-blouse froncé et rayé en long d'entre-deux en dentelle de jais.
La même dentelle simule un empiècement carré et forme le col droit. Deux volants lisérés chacun, en bordure des trois rayures satinées, très froncés et superposés, forment les manches courtes. Ceinture en dentelle de jais ou en ruban.
Ce modèle est ravissant; en blanc, avec très peu de modifications, il constituerait, pour jeune fille ou jeune femme, une ravissante toilette de soirée ou de bal.
Le corsage n'est, en résumé, qu'une guimpe formant blouse devant et derrière, sans pièce de dessous de bras, et les deux parties seulement retenues l'une à l'autre par un ruban de satin formant ceinture et manche-visite. Les volants qui complètent cette manche sont cousus en surget mi-partie avec la pièce de devant, mi-partie avec celle du dos, ils retombent sur le bras comme de longs et amples jockeys superposés. Ils sont froncés et doivent être très envolés et arriver jusqu'au coude pour être graceiux.
Le patron se compose de cinq morceaux.
No. 1. — Le devant droit fil, froncé au bas et à l'encolure; les fronces qui doivent être assez fines, sont indiquées par des crans.
No. 2. — Le dos froncé de même, des crans indiquent le raccord qui doit être fait avec les crans de devant.
No. 3. — Le col d'un seul morceau un cran indique le devant.
No. 4. — Le premier volant forme jockey, très sample; des crans indiquent les fronces, un cran indique son point d'attache sur le devant du vêtement.
No. 5. — Le 2e volant, de même forme que le premier et très froncé comme lui; un cran indique également son raccord au devant. Ces deux volants se montent au vêtement à partir du cran du devant jusqu'au cran indiqué au-dessous. Au bras, répartir bien également les froncés afin que l'envolée soit régulière et gracieuse.
Métrage: 2m.50 en 80 centimètres.
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This model can be considered both a bodice and a cape. It can be placed on a silk, black or colored background. Gathered and striped blouse-bodice with jet lace inserts.
The same lace simulates a square yoke and forms the straight collar. Two edged ruffles each, bordering the three satin stripes, very gathered and superimposed, form the short sleeves. Jet lace or ribbon belt.
This model is lovely; in white, with very few modifications, it would constitute, for a young girl or young woman, a delightful evening or ball gown.
The bodice is, in short, only a wimple forming a blouse in front and behind, without an underarm piece, and the two parts only held together by a satin ribbon forming a belt and sleeve. . The ruffles which complete this sleeve are sewn in surget half part with the front piece, half part with the back piece, they fall on the arm like long and ample superimposed jockeys. They are gathered and must be very loose and reach up to the elbow to be graceful.
The pattern consists of five pieces.
No. 1. — The straight front, gathered at the bottom and at the neckline; the gathers, which must be quite fine, are indicated by notches.
No. 2. — The back is gathered in the same way, notches indicate the connection that must be made with the front notches.
No. 3. — The collar in one piece one notch indicates the front.
No. 4. — The first jockey-shaped ruffle, very simple; notches indicate the gathers, a notch indicates its attachment point on the front of the garment.
No. 5. — The 2nd ruffle, of the same shape as the first and very gathered like it; a notch also indicates its connection at the front. These two ruffles are mounted on the garment from the notch on the front to the notch indicated below. On the arm, distribute the gathers evenly so that the flow is regular and graceful.
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