#la maison bleue
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Theodore Earl Butler (American, 1861-1936), La Maison Bleue de Claude Monet à Giverny, 1924. Oil on canvas, 22 x 18 in.
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L’Art de la Céramique au Service de la Gastronomie : Une Collaboration entre Jars et Yoann Conte
Dans le monde de la haute gastronomie, chaque détail compte. L’harmonie des saveurs se marie avec l’esthétique de la présentation, créant une expérience sensorielle complète. Depuis plusieurs années, la maison Jars, référence en matière de céramique artis
Dans le monde de la haute gastronomie, chaque détail compte. L’harmonie des saveurs se marie avec l’esthétique de la présentation, créant une expérience sensorielle complète. Depuis plusieurs années, la maison Jars, référence en matière de céramique artisanale, collabore avec Yoann Conte, chef doublement étoilé, pour sublimer l’univers de sa table gastronomique à l’hôtel La Maison Bleue, sur les…
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Le Petit écho de la mode, no. 12, vol. 18, 22 mars 1896, Paris. 8. Corsage en chalys rose â lâ vierge. (13.) Peignoir en crépon crème. Ville de Paris / Bibliothèque Forney
(8.) Corsage en chalys rose â lâ vierge, froncé sur les épaules. L’encolure décolletée est entourée d’un velours en biais, même garniture â la taille avec une grosse crête. Manche demi longue, serrée par un bracelet de velours et crêtes de chalys.
(8.) Bodice in virgin pink chalys, gathered on the shoulders. The low neckline is surrounded by biased velvet, the same trim at the waist with a large crest. Half-long sleeve, tightened by a velvet bracelet and chalys crests.
Matériaux: 6 mètres Chalys, 1 mètre velours en biais (Modèle de la Maison Capdeville, 58, boulevard Haussmajin.)
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(13.) Peignoir en crépon crème doublé de faille bleue garnie d’entre-deux de dentelle d’Irlande. Ce peignoir est de forme Empire; les fronces partent devant et dans le dos d’un empiècement de dentelle Sur le devant, les entre-deux se continuent avec pattes sur les épaules, manche basse relevée sur un poignet orné de ruban et entre-deux.
(13.) Cream seersucker robe lined with blue toile trimmed with Irish lace inserts. This bathrobe is Empire shape; the gathers start in front and in the back with a lace yoke. On the front, the insertions continue with tabs on the shoulders, low sleeve raised on a wrist decorated with ribbon and insertions.
Matériaux: 10 mètres faille doublure, 7m,50 crépon crème, 8 mètres entre-deux Irlande, 1 col, 5 mètres ruban no. 22. (Modèle de la maison Capdeville. 58, boulevard Haussmann.)
#Le Petit écho de la mode#19th century#1890s#1896#on this day#March 22#periodical#fashion#fashion plate#description#Forney#dress#corsage#gigot#Modèles de chez#Maison Capdeville
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Encore des histoires de mont-blancs
Après ma diatribe contre le mont-blanc de l'Aki, @redfoxline m'a recommandé celui de la pâtisserie Kenta et Akira, si un jour j'avais l'occasion de passer par Rouen. Or ! Il se trouve que par un hasard assez extraordinaire, je venais justement à Rouen ce samedi.
J'avais un timing serré : mon train arrivait à 11h07 et j'étais attendue chez ma sœur pour l'anniversaire de ma nièce à midi. Le train a bien sûr eu dix minutes de retard - pour la ligne Paris-Le Havre, c'est le tarif de base.
J'arrive à la pâtisserie au pas de course pour découvrir qu'elle n'ouvre pas à 11h comme indiqué en ligne, mais à 12h désormais... Je repars la tête basse et la glacière vide (oui, j'avais pris une mini-glacière, je suis une professionnelle).
La chance était malgré tout de mon côté, car alors que je n'y croyais pas, je suis libérée suffisamment tôt pour repartir à nouveau au pas de course à la pâtisserie... Où il restait du mont-blanc ! Le monsieur est allé me le monter exprès en cuisine, la classe.
La dame à qui j'ai parlé était un peu déroutée quand je lui ai dit que je repartais à Paris avec, mais ma glacière l'a rassurée !
Au moment de déguster après un sobacha pour me préparer le palais, j'avais bien décidé de prendre en compte le fait qu'il avait voyagé dans le train ET le métro parisien.
Je n'ai pas eu besoin.
Parce que ça, ça, ce sont des gens qui ont compris que l'intérêt du mont-blanc, c'est la châtaigne !!!!! Que c'est bien joli de vanter que ta crème de marron, elle est faite maison et avec des châtaignes d'Ardèche AOP récoltées à la main une nuit de lune bleue par des prêtresses en robe diaphane, ça ne sert à RIEN si c'est pour y en mettre une très fine couche de vermicelles sur un cumulus de chantilly !
Non, là, il y a une couche de crème de marron raisonnable, et dedans il y a des a des vraies châtaignes. La crème fouettée est légère et pas trop sucrée, la meringue a juste la bonne épaisseur pour apporter du craquant.
J'en conclu que si le mont-blanc de l'Aki était si mauvais, c'était pour que je découvre celui-ci. Merci @redfoxline <3 <3 <3
#je ne vais pas devenir un blog de critique de mont-blancs je vous rassure#encore que#mont-blanc#french side of tumblr#blabla
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Le weekend dernier était doux et dans la tempête qu'est janvier, deux jours sans charge mentale ont fait du bien. Alors oui, il y a la maison à garder en ordre, les courses, les repas, les leçons (et c'était math) mais à l'échelle de janvier, on appellera tout ça des distractions.
Mais ce weekend a été une bulle d'air rempli de petites choses sympas comme lire, faire de la céramique et surtout, observer les oiseaux avec les chats. J'ai mis des graines dans les buissons sur lesquels donne la grande fenêtre de coin. Oreo veut chasser, Nougat est blasé car il les a vus de plus près, Muffin contemple c'est mon animal totem. On a vu des moineaux, des mésanges charbonnières, des mésanges bleues, des rouges gorges, des pinsons, quelques merles, deux chardonnerets élégants, un étourneau sansonnet et ohlala comme c'est joli un étourneau seul! On a l'habitude de les voir en groupes, piquer le sol puis s'envoler et je ne sais pas pourquoi je ne m'étais jamais intéressée à l'oiseau seul, et je ne sais pas pourquoi celui-là est seul. J'ai aussi posé des graines au fond du jardin et c'est le repère des gros oiseaux, il y a des ramiers, des tourterelles, des pies et quelques corbeaux. J'ai vu une buse un peu plus loin que le jardin mais ça n'a rien à voir avec les graines.
Ce weekend était doux aussi pour les oranges sanguines que j'ai achetées. Pour moi c'est le fruit du carnaval (j'avais un grand père de Binche, et les oranges offertes par les gilles sont des oranges sanguines), c'est l'annonce du printemps-qui-n'est-plus-si-loin-allez-courage et j'aime tellement les couleurs de ces oranges.
On est déjà mercredi quand je parle du weekend, ça donne une idée du tumulte. Heureusement, le mardi on jongle. Enfin on jongle tous les jours, passionnément à la folie mais le mardi après le boulot, j'ai un cours de jonglerie jusqu'à 21h. Ça vide la tête, ça remplace les trucs lourds et chiants et inutiles par des algorithmes de lancers, ça met de l'ordre dans les mouvements et dans les pensées et mon prof est un anglais qui est un show à lui seul. Quand on réussit un truc difficile, il dit "nice !" Mais avec son accent, son intonation et son enthousiasme , ça ressemble plutôt à "NOOOOOOOYYYYSSS" et j'adore c'est tellement satisfaisant comme façon d'être félicité ! Et ce type est incroyable. Il jongle avec 5 ballons de foot. Hier il nous a fait jongler avec des boules de pétanque et en même temps des balles rebondissantes. Il vient habillé avec un legging à étoiles, un bermuda multicolore, un maillot de foot de Manchester et un bandeau fluo. C'est un technicien de la jonglerie et ça rencontre totalement mon besoin de logique et de symétrie, et on prend des notes, c'est trop bien, j'apprends énormément cette année.










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Bonjour/Bonsoir,
Laissez-moi vous présenter Wicked Lies, un tout nouveau forum qui vient d’ouvrir ses portes ! Il s’agit d’un city semi-sombre et cozy, un lieu où tous les types de personnages sont les bienvenus. Entre ambiance chill et intrigues sombres, l’histoire prend vie à Camden, dans le Maine, une ville aux mille facettes, riche en opportunités et en secrets.
Notre souhait ? Créer un espace où chacun puisse se sentir à sa place, un forum accueillant où il fait bon jouer et tisser des liens. Nous aspirons à bâtir une communauté chaleureuse et bienveillante, mais aussi un terrain de jeu riche et polyvalent, où tous les personnages – qu’ils soient innocents ou baignés dans l’ombre – peuvent évoluer librement.
À Camden, la tranquillité de la petite ville n’est qu’une façade. Dans l’ombre, deux gangs se livrent une lutte silencieuse, imprégnant l’air de leur influence toxique. Mais la ville ne se résume pas à cette obscurité. Elle est aussi le théâtre de moments simples et sincères : rires échangés autour d’un café, drames du quotidien, instants de douceur et d’espoir. Ici, tout est possible. Votre personnage choisira-t-il d’ignorer les ténèbres ou s’y abandonnera-t-il entièrement ?
Pour vous permettre d’évoluer en toute clarté, voici quelques thèmes sombres susceptibles d’être abordés sur le forum : criminalité, mensonges, corruption, violence, insultes.
Nous avons hâte de vous accueillir sur Wicked Lies et de découvrir les histoires que vous choisirez d’y raconter !
Entre vagues et vengeance Camden, Maine, est un écrin où le murmure des vagues caresse les quais usés par le temps, et où le vent d’automne s’égare parmi les chênes noueux. Une mer d’azur enlace des montagnes émeraude, et entre ces bras naturels repose un village figé dans un instant suspendu. Les ruelles pavées semblent porter le poids des récits d’autrefois, et les maisons de bois, peintes de teintes vives ou fanées, murmurent encore les confidences des marins disparus. Dans le port, les voiles blanches dérivent comme des spectres, cherchant un refuge dans l’immensité bleue. Le sel imprègne l’air et les âmes, tandis que les pêcheurs ramènent le fruit de leurs luttes contre les flots. Ici, les cafés en bord de mer distillent une chaleur fugace, un abri éphémère pour ceux qui errent. L’odeur entêtante des pins et de la mer s’entrelace dans une symphonie olfactive, laissant une empreinte indélébile. Au crépuscule, Camden s’embrase d’une lumière dorée, douce et teintée de mélancolie. Le silence s’étire dans les rues désertées, seulement troublé par l’écho d’un pas solitaire ou le soupir du vent. Mais sous cette sérénité trompeuse, des ombres glissent, et la ville révèle un autre visage : un cœur battant dans l’obscurité, animé par des secrets enfouis et des pactes interdits. Deux clans se disputent l’âme de Camden. The Black Tides, enfants sombres, enfants des marées et anciens marins, ont troqué les filets pour des cargaisons plus sombres – armes, drogues, et promesses funestes. Marqués par l’encre marine et les cicatrices de la loyauté, ils règnent sur le port, où chaque trahison se paye en sang. Mais leur empire ne s’arrête pas aux quais ; leurs tentacules s’enroulent autour des commerces et des consciences, infiltrant la ville comme un poison lent. Face à eux, The Gray Wolves, venus des métropoles voisines, avancent dans un silence calculé. Leur emprise est insidieuse, s’immisçant dans les corridors de la politique et les arcanes de l’administration. Promettant progrès et prospérité, ils tissent leurs toiles sous des masques souriants, mais leur ambition dévorante se cache derrière chaque mot. Leur chef, figure énigmatique et charismatique, manipule le destin de Camden comme un marionnettiste dans l’ombre. Dans les ruelles oubliées et les entrepôts abandonnés, le métal des lames scintille sous la lumière des réverbères, et les murmures d’assassinats se mêlent aux chants des sirènes. La corruption serpente comme un courant invisible, touchant tout – des politiciens aux pêcheurs, des marchands aux rêveurs. Camden, ce havre tranquille, est un théâtre où le calme apparent masque la violence rampante. Les habitants, prisonniers d’une illusion fragile, vivent dans un équilibre vacillant. Ils s’accrochent à la poésie des vagues et des étoiles, tout en sentant au plus profond d’eux-mêmes que le silence qui les entoure n’a rien d’innocent. Camden est une ville de contrastes, où la beauté et le danger s’embrassent dans une danse mortelle, et où chaque instant semble prêt à éclater en éclats de lumière ou en ombres éternelles.
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On this day: 9th December, 1861
On this day: December 9, 1861

Fashion plate from La Mode Illustrée, signed Adam, Verdier and ME.
Caption within the plate reads:
Toilettes et Etoffes de la Maison Gay Fils., 2 rue de la Vrillière. Ceintures régentes de Madames de Vertus Soeurs, 36, Chaussée d'Antin. Jupons et Ganterie de la Vénitienne, 62 Chaussée d'Antin.
DESCRIPTION DE TOILETTES.
Robe en velours violet. Grand mantelet-châle en velours noir, entièrement garni avec une frange en chenille noire, très-haute et très-riche. Chapeau blanc, à passe rose, orné d'un oiseau de paradis.
Toilette de bal. Robe en taffetas blanc; la jupe est garnie avec cinq volants bordés avec deux rangées de chenille bleue d'inégale grosseur; corsage décolleté. Berthe de taffetas blanc garnie comme les volants de la robe. Coiffure composée d'une guirlande de fleurs et de feuilles en velours bleu. Sortie de bal en cachemire bleu formant un bournous double entièrement garni d'une frange en chenille bleue mélangée d'argent; le capuchon du bournous est formé dans sa deuxième partie, c'est-à-dire dans l'es- pèce de pélerine qui est taillée comme le bournous même, mais plus courte.
Ces deux confections ont été dessinées dans la maison Gay, rue de la Vrillière, 2; on y trouve un grand choix de modèles très-nouveaux et d'un caractère à la fois simple et élégant.
1861-12 LMI50
#La Mode Illustree#Fashion Plate#French Fashion Plate#1861#1860s#fashion history#1860s fashion#historical fashion#December
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C'est une maison bleue adossée à la colline… C'est une maison bleue qui s'illumine dans la vitrine de mon coeur c'est une maison bleue qui me rappelle mon bonheur…Sous les Volets Bleus,.. à l'abri des regards et rêver....
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Flufftober 2024 : "Ça file les chocottes", "Vraiment ?"
12 octobre
« Ça file les chocottes », « Vraiment ? » ("This is spooky", "Really ?")
Ophélie & Octavio (La passe-miroir)
Octavio n'arrêtait pas de glisser ses doigts dans sa frange humide pour la repousser sur le côté. Ophélie n'était pas sûre de l'avoir déjà vu aussi désemparé: même quand ils s'étaient fait attaquer par le Sans-Peur, dans la ville basse noyée par la tempête de poussière et son tigre à dents de sabre, il était en territoire connu et donc, maîtrisait son environnement. Les rues pavées et vallonnées, les grosses flaques d'eau d'Anima, dues à la pluie froide qui tombait sans discontinuer depuis trois jours, devaient sacrément le dérouter. Il n'avait jamais appréhendé ces climats autrement que par les livres.
« Je comprends mieux pourquoi tes cheveux sont comme ça, commenta le Visionnaire à sa façon unique de plaisanter, l'expression neutre mais un léger rictus au coin des lèvres. Est-ce qu'il pleut constamment sur ton arche… hum, dans ton pays ? My, j'ai l'impression que l'eau s'est infiltrée jusque dans mes bottes. »
C'était vrai que l'écharpe ne s'illustrait pas particulièrement par ses capacités à tenir un parapluie parfaitement à la verticale. Il valait pourtant mieux que ce soit elle qui s'en charge plutôt qu'Octavio. Il était tellement habitué à manier les ombrelles, sous le soleil brûlant et les vols de perroquets de Babel, que son amie et lui se prenaient toutes les rafales de pluie dans le visage.
Le soleil commençait à baisser au-dessus des toits des maisons mais, comme on était encore que le 12 octobre, il ne disparaîtrait pas complètement avant deux bonnes heures. Ophélie avait le temps de montrer à Octavio la façon dont les Animistes célébraient l'une des fêtes les plus anciennes et les plus étonnantes de leur arche: les Tous Saints. À cette occasion, les objets les plus chouchoutés, appréciés et valorisés de chaque famille d'Anima étaient revêtus d'étoles blanches et décorés d'une petite bougie à la flammerole bleue tremblotante. Ça les changeait un peu et illustrait leur appartenance à une même grande, longue et fantastique histoire, issue de siècles d'objets animés par leurs talentueux propriétaires.
Pour autant, comme ils avaient tous l'habitude des tables de billard, machines à chocolat et autres rubans à chapeau doués d'un tempérament et de comportements détonants, la jeune fille ne s'attendait pas au commentaire tranquille qui émana de son compagnon de promenade :
« Ça file les chocottes.
-Vraiment ? s'étonna-t-elle. »
Un parapluie couleur citrouille était en train de tournoyer dans une flaque, devant eux, l'étole reliant chaque de ses douze extrémités lui donnant l'air d'émaner un halo d'éther blanc. La bougie dans sa poignée refusait obstinément de s'éteindre, malgré les gouttes d'eau qui trempèrent une nouvelle fois les bottes ailées d'Octavio. Le jeune homme s'écarta et, comme l'écharpe voulut continuer de l'abriter avec leur propre parapluie, son amie reçut une giclée de pluie sur les lunettes. L'autre extrémité de l'écharpe se mit aussitôt en tâche de les retirer de son nez pour les essuyer.
« Mais ce n'est pas désapprobateur, précisa le Visionnaire en tendant un mouchoir à Ophélie pour qu'elle s'essuie le front. In fact, c'est plutôt fascinant. Spooky. Un mélange d'effrayant et de mignon, je suppose.
-Depuis quand apprécies-tu ce qui est effrayant ? s'étonna son amie en récupérant ses lunettes sur son nez.
-Depuis que mon esprit s'est élevé à de nouvelles compréhensions. Il y a plus de mondes que ce que nous pouvons percevoir. C'est effrayant. Mais ça ne veut pas dire qu'il n'y a aucune trace de bonté, de valeur ou de cuteness à l'intérieur, au contraire. C'est probablement pour ça que vos ancêtres célébraient cette fête de cette manière. »
Ophélie sourit et Octavio tourna brièvement la tête vers elle pour lui rendre son expression chaleureuse. Elle aimait la façon dont elle comprenait mieux le monde lorsqu'ils se promenaient ensemble.
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Esteban Ocon at the Hotel La Maison Bleue in France
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J'avais dix ans. La Sorgue m'enchâssait. Le soleil chantait les heures sur le sage cadran des eaux. L'insouciance et la douleur avaient scellé le coq de fer sur le toit des maisons et se supportaient ensemble. Mais quelle roue dans le coeur de l'enfant aux aguets tournait plus fort, tournait plus vite que celle du moulin dans son incendie blanc ?
René CHAR
AU-DESSUS DU VENT (1959),
LA PAROLE EN ARCHIPEL.
Petites chaises bleues pour deux ...
© As
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Au sud de la Grèce, l'archipel des Cyclades est constitué de 24 îles habitées dispersées dans la mer Egée. Avec leurs maisons blanches et bleues, leurs ruelles étroites et fleuries

💙

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05–04–25 Il y en a partout. Sur la lunette mais aussi dans la cuve et sur le réservoir de la chasse d’eau. J’ai passé le temps de mon court séjour sur mon île à nettoyer la merde des autres. Tiens, je n’avais pas remarqué que depuis que les voisins avaient changé leur baie vitrée, on voyait la mer à travers. La marée monte et bientôt on a les pieds dans l’eau. Cela m’enthousiasme : quelle chance de pouvoir se baigner devant la maison. Je me laisse emporter par le courant avec les enfants également ravis de cette aubaine. Euphoriques, nous rions ensemble jusqu’à la sortie du village. Le long du parcours jusqu’à la mer, de nouveaux immeubles en brique rouge sont en construction tandis qu’un autre est démoli sous nos yeux. Je mets en garde les enfants contre ses briques flottant entre deux eaux qui risquent de les heurter. Parvenus à l’embouchure nous remontons à pied vers la maison de mes parents aujourd’hui disparus. Mon père est en train d’y dégager les branches basses du figuier qui gagnent du terrain sur la terrasse pendant que ma mère trempe dans la baignoire-sabot de la salle de bain bleue. J’échange avec elle. Sa nudité ne nous dérange pas. Les choses de la vie passée semblent avoir repris un cours normal et apaisé.
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Compagnon I... Six ans plutôt...
Un homme frappa à la porte de l'appartement de Evaniel, ce qui le surprit car peu de gens savaient où il vivait. Il était hésitant. Evaniel aimait vraiment sa solitude, même si la compagnie était bonne. "C'est Erik le fils de Michak! Monsieur Vendôme, j'ai été mandé par mon père pour une invitation à manger chez nous, ce soir. Faites nous ce plaisir cher Ami!"
Evaniel marqua un sourire mais soupira également. Bon ça ne sera pas pour ce soir la soirée enfouie dans les livres et les herbiers tout en buvant quelque bon bourbon, et finir sur la plage à jurer tous les dieux en direction de la mer. Il appréciait les soirées chez Michak, il était toujours très bien reçu, sa femme était une excellente cuisinière et leur fils était un esprit bien aiguisé. Quand à Michak, Evaniel allait finir par croire qu'il ne puisse se passer de lui. Ils passaient neuf mois sur douze en mer avec lui, à dormir dans la même cabine et pourtant il le reclamait même sur terre.
Evaniel ouvrit la porte à Erik. "Entre sacrebleu, ce vent va te rendre fou." Un vent d'autan soufflait fort depuis quelques jours. "Je suppose que vu l'heure, nous ferons le chemin ensemble? Assieds toi, prends un verre et je te laisse explorer la bibliothèque, le temps que je prenne un bain et me prépare. Il y a quelques nouveaux livres,je les ai récupéré aupres de cette charlatan de Rowena. Principalement de l'herboristerie, mais également un livre sur l'anatomie des êtres spectraux."
Erik ne se fie pas prier, Evaniel savait comment occuper le jeune homme, passionné depuis tout petit par les livres, encore plus depuis son accident qu'il l''avait rendu invalide aux activités physiques. Il marchait avec une canne en bois d'acajou ciselée par son père pendant ses heures perdues en mer.
Evaniel prit rapidement son bain et revêti un ensemble blanc et gris. Il savait que Melieb avait le goût des belles choses et de l'élégance, le parfait opposé de son mari. Se présenter ainsi plutôt que dans l'habituel uniforme du Malestrom, lui ferait énormément plaisir et ferait bougonner Michak quelques secondes.
Evaniel déposa son diadème sur sa tête. Il le portait que très rarement en mer, mais sur terre c'était une tradition de sa famille. Tous portaient ce diadème, l'emblème de sa famille, n'était pas un bouclier, un blason ou encore une armure, juste ce diadème, que tous portaient dès la moindre sortie en public. C'est bien là, l'une des rares traditions familiales qu'il respectait encore.
Ps: photo non contractuelle (on ne regarde pas la lance) mais c'est bien Evaniel et l'idée est là. XD
Une petit demi heure s'écoula en tout, Evaniel sorti de sa chambre. Erik sursauta, tellement il était absorbé dans les livres. Il reposa le livre dans la bibliothèque à son exact endroit et regarda Evaniel. "Vous allez encore faire rougir Maman!"
Evaniel éclata de rire. "Ne dis pas ça à ton père, sinon je finis sur la planche en pâture au prochain megalodon qui passe en mer!" Je cligna de l'oeil et pris le veston d'Erik que je lui déposa sur les épaules. C'était un jeune homme très frêle et petit pour un Roegadyn et ses traits très fins le rendait particulièrement beau auprès des jeunes femmes. Et ce malgré son handicap.
Erik, se retourna. "Evaniel, j'ai oublié! As tu une couverture, un cape ou une vieille veste assez grande que tu gardes, mais dont tu ne te sers plus? Tu en auras besoin ce soir." Evaniel interrogea Erik du regard. Erik repondit: "C'est mon père qui insiste, ne me torture pas!!!!". Evaniel sourit et alla chercher une vieille couverture bleue et blanche en laine, de sa maison familiale, un rare présent encore existant de son passé.
"Détends toi Erik, je sais que parfois ton père à des idées cocasses,donc je ne te blâme pas. Que vas t il faire encore!?"
Erik et Evaniel sortirent de l'appartement se dirigeant paisiblement vers la maison de la famille des Prewalsk.
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Tout est compliqué dans les lieux qu’on habite. Les sens s’y sont condensés avec l’expérience des moments. Le souvenir des lieux qu’on a aimé occuper nous mentent autant que le fantasme de ceux qu’on rêve habiter. La Mythe pensait se souvenir de la première maison dans laquelle il avait vécu, de sa naissance à ses 3 ans. Perdue au milieu de la campagne, des tomettes au rez de chaussée dans la pièce de vie chauffée par une immense cheminée périgourdine pourvue de cantous, du parquet à l’étage au sol des chambres mansardées. La maison d’origine avait été divisée en deux habitations. Ses parents et lui d’un côté, et Tata Fatou et Cathy de l’autre. Elles avaient un cocker acariâtre. Le nom du chien, il l’avait oublié. Les couples étaient amis. En bas de la côte, il allait chez sa nounou, mamie Michèle, vieille antillaise à qui il avait attribué longtemps son gout immodéré pour le riz. Oh, oui! Le cliché! Tout cela, il n’avait pas pu l’inventer, il l’avait peut être seulement entendu et répété jusqu’à croire l’avoir vécu.
Ils déménagèrent dans un grand appartement de fonction, au dessus de l’école où il serait élève de la maternelle au cm2. On y montait par un vieil escalier en bois en colimaçon. Au premier étage, un couloir étroit distribuait une cuisine, une chambre, un salon et une autre chambre à droite, et en descendant trois marches, un salon, une salle de bain et une sorte de buanderie à gauche. L’escalier continuait à l’extérieur vers un étage dans lequel deux pièces supplémentaires servaient de remise et n’étaient au départ occupées que par les livres et meubles que ses parents devaient juger encombrants.
La disposition de cet appartement construisit fortement son esprit: modulant à sa forme la géographie des terres visitées dans ses rêves et cauchemars encore aujourd’hui. Ce couloir au parquet pourri qui le blessait d’échardes lorsqu’il oubliait ses chaussons, ces chambres humides sans volets par les fenêtres desquelles on voyait toutes les étoiles briller. La salle de bain couleur bleu-nuit au mur orné d’un immense poster « Anaïs-Anïs ». Dans cet appartement, il avait eu un frère! Dans cet appartement il avait vu ses parents jeunes. Il pouvait, à la récréation, organiser des missions, lors desquelles, avec quelques camarades choisis, ils échappaient à la surveillance légère des instituteurs pour monter et aller s’asseoir à la table de la cuisine pour se partager les Nougatis du placard en grand messe, mimant ce qu’ils imaginaient être les codes du repas au grand restaurant, avant de redescendre quand la cloche sonnait. Le soir, La Mythe s’accusait seul de la disparition des nougatis qui ne pouvait pas passer inaperçue. « Oui, j’en ai mangé trois hier. » C’était sans doute des paquets de 4…
C’est dans cet appartement, dans cette salle de bain chauffée par un poêle électrique, qu’il perdit la peau de son cul. Dépourvue de radiateur, ses parents avaient placé un poêle électrique dans le fond droit quand on regardait vers la baignoire, contre le mur qui donnait sur la cour de l’école et sur lequel était punaisée l’affiche. On y entrait, il y avait les toilettes dans un renfoncement à gauche, un lavabo, la baignoire et ce poêle en face du lavabo, au cul de la baignoire. Idée étrange: le sol de la salle de bain était couvert de moquette, bleue elle aussi. Peut-être à cause de la moquette, La Mythe développa une manie: il lui fallait deux serviettes: une pour se sécher bien sûr, et l’autre qu’il étalait sous ses pieds en sortant de la baignoire. Un soir d’inattention, alors que le geste avait été répété des centaines de fois auparavant, il étala la deuxième serviette trop près du poêle. En se baissant pour se saisir de l’autre serviette qui l’attendait à terre, il se cambra, et son cul humide se colla sur la vitre chauffée à blanc du poêle électrique. La sensation de la douleur est aujourd’hui complètement oubliée, mais il poussa un cri en sautant vers l’avant et en regardant en arrière les deux visages de cette Anaïs double qu’un filtre hamiltonien éthérait. Il vit sous leur regard la peau de son cul qui était restée collée sur la vitre du poêle, comme une peau de poulet grillée reste collée au fond d’un plat. Son père qui adorait les western, arriva vite, et raconte qu’il « dansait comme un sioux autour du feu ».
Le médecin vint d’abord. Ou son grand père? C’est là que l’histoire devient intéressante. Le père de sa mère était un être énigmatique. Hiératique, aimable peu pour un enfant, sans doute aussi peu pour les adultes. La Mythe se souvient qu’il l’aimait quand même. Il portait le petit déjeuner au lit à sa grand mère tous les matins, comme si la vieillesse et l’habitude n’avaient jamais entamé l’amour. Il se rappelle qu’un jour, à table, il lui dit merci parce qu’il lui avait passé le pain. Son grand père lui répondit, avec le même ton égal et froid qu’il employait tout le temps, qu’on ne disait pas merci quand on était invité: c’était le devoir de l’hôte de veiller à ce qu’on ne manque de rien. Il était chauve, son crâne luisait au milieu d’une auréole de cheveux restés d’un noir intense. Il lui paraissait grand dans son jogging Lacoste vert. Il aimait la Suze coupée à l’eau de seltz: il plaçait son verre facetté à moitié plein d’alcool sous le bec de la bonbonne en verre carrelée d’osier qu’il faisait pschiter avec parcimonie. La Mythe se souvient des cartouches de gaz en métal qu’il plaçait dans cette jarre fascinante. Il avait été toute sa vie rince-fiole en pharmacie, on dit « préparateur » aujourd’hui. Cependant, il ne connaissait rien de la vie de cet homme. Il était mort quand il avait 10 ans. Sa mère lui avait dit alors qu’il était malade et qu’il avait pris trop de médicament. Il découvrit quelques années plus tard, en fouillant dans les armoires de la chambre d’ami de leur nouvelle maison, une lettre de suicide signée de son grand-père.
Malgré les efforts développés par La Mythe pour lever la brume de l’oubli rendue par la douleur plus opaque sûrement, le moment continue de lui échapper. Que fit exactement son grand-père? Quels furent ses gestes, ses mots? Il lui enleva le feu. La Mythe n’eut plus mal, il n’eut plus peur. Il n’était pas soigné: sa peau restait à vif et il dut pendant des mois s’appliquer une pommade, porter des couches de gaze sous ses vêtements. Madame Lebret, sa voisine et son institutrice au C.P., dans un élan de bienveillance maladroit, accueillit son retour en classe avec ce commentaire: « La Mythe va s’asseoir sur une bouée pendant un petit moment, ce n’est pas parce qu’il est nostalgique des vacances, il s’est brulé le derrière. ». Ses parents, eux, avaient inventé une maladie: "La Mythe il a eu la pécole! Tu sais pas ce que c'est? C'est la peau du cul qui se décolle!", et fiers de ce trait, répét��rent cette blague à leurs amis un mois durant, au moins.
Eduqué au bouffage de curés, au doute érigé comme valeur de pensée nécessaire qui opposait, à toutes les assertions dogmatiques, la recherche scientifique de la vérité, La Mythe n’eut jamais de réponse. Il ne posa jamais de question. Coupeur de feu, son grand-père? Suicidé? Cartésiens mais aux racines paysannes, ses parents ne parlaient jamais des sentiments, ni des leurs, ni de ceux de leurs enfants. Ce tabou fut respecté.
Bien qu’il eût perdu toute la peau de son cul à six ans, il n’en gardait aujourd’hui aucune trace, aucune cicatrice. Le corps guérit bien mieux que l’esprit.
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