#la divague
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D'un humour embellissant , d 'un contenu fascinable, merci Grosso Modo, merci Fabrice!
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No seré famoso, jamás lo seré, y no he querido ni he buscado serlo, ése tipo de ambición no me define. De hecho, un sueño que tuve desde pequeño fue publicar un libro y, bueno, ya lo cumplí. Me siento agradecido conmigo mismo por haber trabajado en ello y dejárselo al mundo. Igual a nadie le importa esto que estoy diciendo aquí, pero es algo que, de repente, me dieron ganas de expresar. Escribir ha sido un sueño para mí, una labor mágica y exquisita llena de hermosas satisfacciones y uno que otro dolor de cabeza y corazón, pues no siempre es fácil hacerlo (la hoja blanca es exigente y muy voluble). Sin embargo, y a pesar de algunas lamentables experiencias en las que no voy a ahondar, he amado tanto escribir que me ha dolido el alma en su más íntima raíz. He estado a nada de dejarlo cuando me he dejado abrumar por la voz de la ambición que no tengo, pero que veo en los demás escritores. Todos (o la gran mayoría) hacen lo imposible por lograr estar en un pedestal, trabajan por el éxito y por los números que anhelan que les lluevan en la cartera. Todo eso me causa un extraño malestar y me orilla a cuestionarme la verdadera razón que lleva a un ser humano a tomar la pluma y escribir… ¿Qué nos hace escribir? ¿Qué nos motiva? ¿Qué nos mueve? ¿La fama, la fortuna, el éxito o el simple amor al arte? Y si bien sé que la vida cuesta, que nada es gratis y que, si deseamos algo, debemos pagar por ello, también sé que el arte debe hacerse con el alma no buscando alardear o presumir por ser “bueno” o “letrado” o “intelectual”, y es que es tan fácil perderse en este camino que se puede caer en los extremos. En fin, estoy divagando… A veces es bueno divagar así. Me doy cuenta de lo que quiero y lo que no quiero… y no quiero ser un escritor que se llena de números y de una fama por demás ilusoria. Quiero mantener mi alma enfocada en la belleza y en la riqueza del arte, el cual es esperanzador por sí mismo.
I will never be famous, and I have never wanted or sought to be famous, that kind of ambition does not define me. In fact, a dream I had since I was a child was to publish a book and, well, I've fulfilled it. I feel grateful to myself for having worked on it and let the world know about it. Maybe nobody cares about what I'm saying here, but it's something that I suddenly felt like expressing. Writing has been a dream for me, a magical and exquisite work full of beautiful satisfactions and one or two headaches and heartaches, because it is not always easy to do it (the white page is demanding and very fickle). However, and in spite of some unfortunate experiences that I will not delve into, I have loved writing so much that it has hurt my soul in its most intimate roots. I have come close to quitting when I have let myself be overwhelmed by the voice of ambition that I do not have, but that I see in other writers. They all (or the vast majority) go to great lengths to be on a pedestal, they work for success and for the numbers they yearn to have raining down on their wallets. All this causes me a strange discomfort and makes me question the real reason that leads a human being to pick up the pen and write... What makes us write? What motivates us? What moves us? Fame, fortune, success or the simple love of art? And while I know that life costs, that nothing is free and that, if we want something, we must pay for it, I also know that art must be done with the soul, not seeking to boast or brag about being "good" or "literate" or "intellectual", and it is so easy to get lost on this path that one can fall into extremes. Anyway, I'm rambling... Sometimes it's good to ramble like this. I realize what I want and what I don't want... and I don't want to be a writer who is filled with numbers and an otherwise illusory fame. I want to keep my soul focused on the beauty and richness of art, which is hopeful in and of itself.
#esu emmanuel#acerca del autor#escritores en tumblr#divagues#el hombre de la soledad#escribiendo en soledad#the man of solitude#writing in solitude#writers on tumblr#pensamientos#2023
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Amour plastique but it's kubosai 🥹
#yellow talks#saiki k#kubosai#Dans mon esprit tout divague#je me perds dans tes yeux#Je me noie dans la vague de ton regard amoureux#Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau#Une fleur#une femme dans ton cœur Roméo#Je ne suis que ton nom#le souffle lancinant#De nos corps dans le sombre animés lentement#UGHHHHHHHHHHHHHHH THEEEMMMM#amour plastique
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Et la vague divague - Georges Rouge
Je me suis tuface aux océans Mais l’écumea voulu parler Et la vague divaguedans l’ivressede mon amour
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Buenas, Mercury~ Tenemos unas dudas que nos tienes que resolver. ¿Qué tan bueno eres perdiendo objetos? Hace unas semanas se te vio con un relicario, pero notamos que ya no lo llevas contigo... ¿Cuándo lo perdiste? ¿Fue culpa de alguno de los lobos?
¿ no te parece de mala suerte andar con fotos de gente muerta encima ? hasta a mí que compro la mitad de mi armario en ferias antiguas me da escalofríos pensar en cargar con ese peso encima, así que mejor lo boté por ahí, esa noche que estaba lloviendo horrible. me molestaba y de todas formas a nadie le interesa esa baratija. o quizás alguien le dio mejor uso... ¿ por qué ? ¿ vieron a alguno de los lupinos usándolo ? ¡ ja ! me hubiera gustado haber visto eso...o a gery usándolo. quizás le vendría bien tener un espacio donde poner una foto suya con la de la baronesa. ¿ lo vieron el otro día ? parecía enojado.
#𝔪𝔶 𝔟𝔢𝔰𝔱 𝔣𝔯𝔦𝔢𝔫𝔡𝔰 𝔫𝔞𝔪𝔢 𝔦𝔰 𝔱𝔥𝔢 𝔯𝔢𝔞𝔭𝔢𝔯 ; juegos.#arranca por la derecha el genio del divague mundial#what can i say....what can i sayyyy 👉👆#gracias bbs a donde dejamos la propina? 💋
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𝑵𝒆𝒖𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆𝒕𝒕𝒆 | Valse
*↷◌ Info:
||Personnage : Neuvillette ||Origine : Genshin Impact ||Nombre de mots : 2 600 ||Inspiration musicale : Gramophone waltz de Eugen Doga et C'est ça l'amour de Cendrillon ||Synopsis : [T/P] et Neuvillette sont des amis de longue date. Alors qu'un passe ses journées à son bureau, l'autre est une aventurière aguerrie qui ne rêve que de nouveaux paysages et de nouvelles contrées à explorer cachant en leur sein de nombreux contes et histoires. Mais que ce cache-t-il derrière ce visage toujours impassible?
⁎↣♡↢⁎
3 mois.
3 mois d'attente.
3 mois de silence.
3 mois était la duration du voyage de sa chère amie, [T/P]. 3 mois durant lesquelles Neuvillette ne pourrait avoir de nouvelle de cette dernière, ni du dérouler de ses péripéties. 3 long mois à exercer sa fonction de juge; L'iudex infaillible de Fontaine. À passer cas après cas, à analyser crime après crime, jour après jour. Il s'agit là de sa fonction et de son rôle au sein de la société fontainoise, alors pourquoi, pourquoi durant ces 3 mois la tâche lui paraissait plus longue et laborieuse, plus lente et ennuyeuse? Ne remplissait-il pas cette fonction depuis bientôt trop longtemps pour qu'un changement de sentiment face à sa position ne soit visible?
Pour un être de son envergure, 3 mois ne représentait qu'un bref instant, et pourtant, l'absence de sa chère amie lui était douloureuse. L'enthousiasme que son doux visage arborait lui manquait, ses récit interminables détaillant le moindre instant de ses péripéties lui manquait terriblement. Ce silence qui régnait autour de lui, attabler derrière son large bureau, devenait assourdissant et oppressant. N'entendre que le simple bruit des pages tourner et la plume de son stylo écrire lui rappelait constamment cette solitude qui le suivait à longueur de journée.
Voyant la grandissante solitude du juge, son entourage le convia à plusieurs reprise à des après-midi thé où le but étant de le faire sortir de cette macabre solitude qui couvrait son visage et ternissait ses traits. Mais ce dernier rejetait l'invitation prétextant qu'un homme de la justice tel que lui ne pouvait laisser son jugement être influencer par quelconque activité futile. Et cette après-midi encore, Neuvillette avait décider de ce retirer afin de rester seul derrière sa paperasse administrative.
Néanmoins, il pouvait peut-être réussir à convaincre son entourage, lui-même était conscient que cette excuse était plutôt un bien nécessaire quant à cacher cette mélancholie et inquiétude qu'il ne cessait de nourrir à l'égard de son amie [T/P], partie bien trop longtemps en voyage. Et aujourd'hui encore, son esprit ne pouvait se concentrer correctement, divaguant constamment.
Assis derrière son bureau, Neuvillette poussa un soupir, voyant très clairement qu'il n'arriverait pas à terminer le dossier sur son bureau. Fermant les yeux, il soupirant de nouveau, se leva et se plaça face à la grande fenêtre derrière son large pupitre. Dehors, le ciel était gris et nuageux, annonçant très certainement une pluie prochaine. Le fait de savoir que le temps se joignait à ses complaintes silencieuses le fit sourire tristement. Le vide qu'installait votre absence le rongeait de l'intérieur. Pour personne auparavant n'avait-il eu de telles pensées ou sentiments, ce qui les rendaient d'autant plus proéminant et de plus en plus difficile à contenir à votre égard, mais il le devait. Son jugement ce devait de rester neutre et impassible face à toute éventualité; la justice n'admettait point les sentiments humains. Et pourtant, il ne pouvait nier cette tendresse qui grandissait en lui envers votre personne. Il pouvait tant bien que mal essayer de se convaincre qu'il n'en était rien, son cœur en avait décidé autrement.
Ses yeux violets parcoururent la cité qui se dévoilait sous lui, ombrager par les nuages. Observant le quotidien des fontainois comme il en avait pris l'habitue récemment, un sentiment de mélancholie l'envahit alors, assombrissant ses yeux. Cette tendresse qu'il éprouvait devait-elle rester interdite de tous? Devait-il se taire et garder à tout jamais ce doux penchant pour vous sceller de ses lèvres? Mais, cette option lui paraissait douloureuse, mais le prix d'avouer son doux pêché lui laisserait probablement un goût d'amertume en bouche. Pour rien au monde il voulait se résoudre à s'éloigner de votre tendre personne.
« Ma chère amie, voyez dans quel état vous me rendez à disparaitre durant 3 mois. Moi qui ne doit être qu'impassible, me voilà à laisser mon cœur dicter mes actes vous concernant. »
Il soupira de nouveau, décidemment, votre absence le tracassait plus qu'il ne voulait l'admettre. De sa main gauche, à l'aide de l'élément hydro, il représenta dans le creux de sa main une petite statue de vous, le sourire aux lèvres. Il regarda avec amour et bienveillance cette représentation de vous, avant de ne refermer sa main dans un point, faisant disparaître cette petite illusion de vous. Neuvillette ne savait pas s'il pourrait garder ce fardeau plus longtemps avant qu'il n'en devienne fou.
« Ma tendre [T/P], à tournoyer dans mes pensées, vous aller me faire perdre l'équilibre. »
Neuvillette murmura cette dernière parole avant de ce décider à revenir derrière son bureau, se remettant au travail.
Alors qu'il approchait de la fin de son dossier, il put entendre les pas décisifs d'une personne se dirigeant vers son bureau. Cela l'ennuyait légèrement, lui qui avait spécifier au garde qui se trouvait de l'autre côté de la porte de ne laisser entrer personne, à part en cas d'extrême urgence. De ce fait, il espérait ne pas être déranger. Seulement, un léger vacarme se fit entendre de l'autre côté de la porte et les voix montèrent en puissance. Depuis son pupitre, Neuvillette ne pouvait que distinguer des bribe de conversation ça et là sans trop comprendre la raison de ce qui semblait être une dispute. L'irritation monta tranquillement lorsque soudain, la porte s'ouvrit brusquement avant de ne se refermer dans un même vacarme sonore. Levant les yeux afin de savoir de qui il s'agissait, son cœur se serra automatiquement à la vue de sa tendre amie [T/P]. Il aurait voulu se lever afin de pouvoir vous serrer dans ses bras, mais le simple fait d'enfin revoir ce visage au trait si familier le rassura tout autan, faisant disparaître cette inquiétude qui le rongeait depuis trop longtemps.
PDV [T/P]:
« Quelle tête de mule celui-là! Plus têtu serait difficile à trouver, franchement! AH, Neuvillette, mon cher ami, comme vous m'avez manquer durant ce voyage! Mais ne vous inquiété pas, cette petite aventure est riche en rebondissement, vous ne serez pas déçu! »
- Je suis ravi d'apprendre que votre voyage c'est bien passé ma chère amie. »
Neuvillette répondit tout en gardant les yeux rivés sur ses dossiers, ne m'adressant que de très bref regards ça et là.
- Et vous toujours impassible à ce que je vois. Mon cher ami, à quand aurons-nous droit à un sourire de votre part? C'est à croire si les rumeur ne disent pas juste à votre sujet mon ami. dis-je en m'appuyant contre son bureau, lui tournant le dos.
- Et que disent les rumeurs à mon sujets?
- Aaaaahhh, soupirais-je, si vous saviez le nombre de petits ragots que l'on raconte sur votre personne afin d'animer nos petits après-midi thé, vous n'en reviendriez pas. Les gens se demandent même parfois si vous êtes bien un humain tant vos émotions sont indéchiffrables! Même moi qui vous connaît depuis maintenant assez longtemps, j'ai toujours un certain mal à vous cerner mon ami. Mais, je dois admettre que cela fait partie de votre charme.
- Hmmm, et bien soit, si ces divers récits amusent les gens, alors il en est ainsi. répondit-il, le nez toujours plongé dans ses documents.
- N'y a-t-il donc rien qui ne puisse ébranler cette impassible et stoïque façade qu'est la votre, monsieur Neuvillette? »
En posant cette question, le ton de ma voix se fit plus doux et curieux, presque taquin. Me retournant pour maintenant lui faire face, je remarquai qu'il fit une pause, d'un bref instant, certes, mais assez visible pour casser la fluidité de ses mouvements. Cette question l'avait-elle déstabilisé? Et ce pourquoi?
De son côté, le cœur de Neuvillette se serra, ne connaissant que trop bien la réponse à cette question. Toutefois, il préféra rester interdit, de peur qu'émettre une réponse ne révèle son amour interdit.
Face à lui, son regard toujours plongé dans ses écrits, je pris un instant pour observer son visage. Ses cheveux blancs parsemés de teintes bleu, ce visage composée de traits fins, et pourtant, prononcés, arborant une certaine austérité. Cette peau blanche comme de la porcelaine, ses yeux couleur améthyste qui vous dévisageait aux moindre regard. Je pourrais m'y noyer si je m'aventurais à y plonger mon regard trop longtemps. Et puis, il y avait cette bouche. Ah, le nombre de fois où mon esprit s'était égarer à imaginer la baiser tendrement! Hélas, je ne pouvais souhaiter une telle chose, un soupir s'échappant de ma bouche face à cette triste réalité qu'est la mienne. Aurais-je un jour le droit de lui avouer mon doux amour?
Ne voulant continuer à ruminer ces pensées noires, je décidais qu'il s'agissait du bon moment pour me changer les idées. Je m'éloignais du bureau afin d'aller chercher dans mon sac un objet que j'avais trouver lors de mon voyage. Je sortis la pochette d'un vieux vinyle dont le titre avait complètement disparu, ne donnant aucun indication sur le contenu de ce dernier.
« Neuvillette, regardez donc ce que j'ai trouvé lors de mon voyage: un vieux vinyle! Voudriez-vous bien en découvrir son contenu avec moi? »
Alors que je sortais le vinyle afin de le placer sur la platine du gramophone, je lançais quelques regards en direction de mon ami qui, à mon désarroi, n'avait pas bouger d'un poil ni énoncer une quelconque réponse. Plaçant la pointe sur le bord du vinyle, la mélodie commença alors à raisonner à travers toute la pièce. L'air y était doux et calme, comme un secret que l'on vous murmure à l'oreille à l'abris des regards. D'un pas léger, je me dirigeais vers Neuvillette, m'imprégnant du rythme de la valse que jouait le gramophone. Puis, me plaçant à son côté, je fis une révérence, lui présentant ma main droite, plongeant mes yeux dans les siens.
« Me ferriez-vous le plaisir de m'accorder cette danse, Monsieur Neuvillette? »
Je pus voir le bout de ses oreilles se teinter très légèrement d'un rose pâle avant d'acquiescer à ma requête, se levant avant de ne prendre ma main dans la sienne. Puis, d'un geste vif et remplis de délicatesse, il nous rapprocha à l'aide de son autre main, la posant ainsi délicatement dans mon dos. J'eus le souffle coupé l'espace d'un bref instant face à cette prise de risque soudaine, non pas que cela puisse me déplaire. Ensuite, c'est les corps collés l'un contre l'autre que Neuvillette se mit à mener la valse, suivant le rythme lent de la musique.
Pendant ce moment d'intimité, mon cœur battait la chamade contre ma poitrine, et mes joues arboraient probablement désormais une teinte rosée. Nous ne nous quittions pas du regards, oubliant complètement l'environnement qui se trouvait autour de nous. Seule la musique et le mouvement de nos corps était important, tout le reste pouvait bien disparaître.
Alors que je savourais cette valse, les traits de Neuvillette s'assombrirent, cachant une peine inconnu. Un sentiment désagréable s'empara alors de moi, une inquiétude, ou peut-être la sensation d'avoir compris, d'avoir enfin eu la réponse que je redoutais le plus. Mes émotions se chamboulèrent dans ma tête, et mon cœur se serra. Malgré cette proximité, j'avais l'impression qu'un gouffre se formait entre nous, une plaie ouverte qui ne se refermerait jamais. Mes pas se firent alors plus hésitants, douteux, ne sachant comment finir cette valse qui plus tôt, avait un goût sucré.
Alors que la valse touchait à sa fin, je me retrouvais appuyé dos à son bureau, la respiration légèrement saccadée. Le visage de Neuvillette, à peine à quelques centimètres du mien, je pouvais sentir sa respiration lente et chaude sur mon visage. Le silence avait repris sa place dans la pièce, ajoutant une certaine lourdeur à l'atmosphère qui nos entourait.
« Pourquoi cette mélancolie sur votre visage, Monsieur Neuvillette? dis-je dans un souffle. Le simple fait de murmurer ces quelques mots me plongeait dans une tristesse profonde, connaissant déjà le dénouement de cet amour interdit.
- Car je porte un lourd secret. Un secret qui me ronge de l'intérieur tel une gangrène qu'il faut arracher. Hélas, je n'ai pas la force de le faire moi-même, ayant peur des conséquences de cet acte. »
Sa voix était plus douce que d'habitude, à peine plus haute qu'un murmure. Elle paraissait assurée, et pourtant, elle était tremblotante et fébrile, remplis d'émotions poignante, lui qui d'ordinaire avait un timbre neutre. Cette humanité nouvelle dans sa voix me fit chavirer tel un bateau pris dans une tempête en haute mer. Je restais muette, ne pouvant émettre aucune parole de peur que ma tristesse ne se fasse entende. Était-ce la fin? La rupture d'une relation qui n'avait même pas eu la chance de fleurir au grand jour? Non, ce n'était pas possible, pas maintenant, pas après avoir partager un moment d'intimité tel que celui-là.
Sans m'en rendre compte, le vinyle avait déjà silencieusement entamé la prochaine piste qui avait été graver dessus. Un rythme lent et suave enveloppa alors doucement la pièce, la réchauffant par la même occasion. Pourquoi un tel changement d'ambiance, c'est comme si l'air autour de nous se soumettait aux complaintes de Neuvillette. En effet, se dernier me regardait avec plus de tendresse et de pudeur que jamais, les joues rosées, comme un enfant embarrasser de dévoiler son petit secret.
« Ma chère amie [T/P], pardonnez mon jugement hâtif, mais mon cœur ne serait en décider autrement. »
À peine avait-il fini de prononcer cette phrase qu'il prit délicatement mon visage dans ses mains avant de ne poser ses lèvres contre les miennes dans un baiser rempli d'amour et de tendresse. Mes yeux se fermèrent automatiquement au contact, et je sentis une explosion d'émotion dans mon cœur, frémissant de bonheur. Les joues chaudes et le cœur battant, j'enlaçais Neuvillette de tout mon être. Le temps semblait s'être arrêté, et en cet instant, rien ne comptait plus que de sentir nos cœurs vibrer l'un contre l'autre et nos lèvres danser l'une contre l'autre. Puis, après de longues minutes, nous nous séparâmes à contre cœur, la respiration encore chaude et légèrement haletante de ce baiser passionnel.
« Alors c'est ça, l'amour»
Il murmura ces quelques mots qui lui étaient encore nouveaux, une excitation nouvelle brillait maintenant dans ses yeux violets. Il esquissa un léger sourire, ses yeux ne quittant jamais les miens. L'émotion nouvelle d'enfin pouvoir vivre cet amour me fit monter les larmes aux yeux, ne pouvant les retenir plus longtemps. Face à ce spectacle, nous ne pûmes nous empêcher de rire avec légèreté de la situation, soulager d'avoir enlever un poids de nos cœurs amoureux.
« Je vous aime [T/P]. Voudriez-vous bien rester à mes côté encore quelques temps?
- J'avais peur que jamais vous ne me le demandiez. Moi aussi je vous aime Neuvillette. »
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓬̧𝓪 𝓵'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓛𝓮 𝓰𝓻𝓪𝓷𝓭 𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻!
𝓛'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻 𝓺𝓾𝓲 𝓯𝓪𝓲𝓽 𝓬𝓱𝓪𝓷𝓽𝓮𝓻 𝓵𝓪 𝓿𝓲𝓮. 𝓛𝓪̀ 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓽𝓮𝓼 𝓫𝓻𝓪𝓼, 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓙𝓮 𝓼𝓪𝓲𝓼 𝓭𝓮́𝓳𝓪̀... 𝓠𝓾𝓮 𝓶𝓸𝓷 𝓫𝓸𝓷𝓱𝓮𝓾𝓻 𝓮𝓼𝓽 𝓲𝓷𝓯𝓲𝓷𝓲!
𝓜𝓸𝓷 𝓬𝓸𝓮𝓾𝓻 𝓼'𝓪𝓯𝓯𝓸𝓵𝓮, 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶...
𝓔𝓽 𝓳𝓮 𝓶'𝓮𝓷𝓿𝓸𝓵𝓮.
𝓙𝓮 𝓭𝓪𝓷𝓼𝓮 𝓼𝓸𝓾𝓼 𝓾𝓷𝓮 𝓹𝓵𝓾𝓲𝓮 𝓭'𝓮̨𝓽𝓸𝓲𝓵𝓮. 𝓣𝓾 𝓮𝓼 𝓬𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓳'𝓪𝓽𝓽𝓮𝓷𝓭𝓪𝓲𝓼, 𝓣𝓾 𝓮𝓼 𝓶𝓸𝓷 𝓻𝓮̂𝓿𝓮 𝓯𝓸𝓾!
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓬̧𝓪, 𝓵'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻!
⁎↣♡↢⁎
#genshin fanfic#genshin impact#genshin x reader#neuvillette#neuvilette genshin#neuvillete x reader#fontaine#romance#fr#fanfic#imagine#oneshot
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Happy anniversary
ー♡̵ pairing. lee know x female!reader ー♡̵ género y warnings. fluff, tan fluff que pudre los dientes, apodos ー♡̵ autora original. @leeknow-thoughts ー♡̵ wc. 0.5 K
masterlist
Entras tambaleándote por la puerta principal, quitándote los zapatos. Te encuentras con él en la cocina, preparando la cena. "Feliz aniversario, Jagiya", sonríe dulcemente.
"Hola Min, feliz aniversario", sonríes a pesar de tu cansancio, "Mierda, debería haber hecho una reservación"
"Ya haces lo suficiente por los dos" se toma un descanso de la estufa, cruzando el espacio para abrazarte "Además, la comida cara apesta"
Te ríes suavemente y abrazas a Minho con ternura. "Preparé tu favorito y compré un poco de vino, pensé que podríamos estar juntos esta noche"
"Eso suena muy bien", suspiras en su pecho.
Ambos se quedan allí un momento, disfrutando del calor del otro. "Eres tan hermosa", te besa en la frente, "mi hermosa chica"
Te acaricia el cabello, colocando algunos mechones detrás de tu oreja. "Compré una bomba de baño de lavanda, ¿por qué no te das un baño y te llamo cuando la cena esté lista?"
Asientes en su pecho antes de salir hacia el baño con un beso en sus labios mientras él vuelve a ocuparse de la olla en la estufa.
Dejas correr el agua y te quitas la ropa antes de sumergirte en las cálidas burbujas. El agua te ayuda a relajarte un poco, aún mentalmente tensa después de un largo día. Cierras los ojos y casi te quedas dormida cuando tres golpes en la puerta del baño te sacan de tu sueño. "Hey, la cena está lista", dice Minho con dulzura mientras asoma la cabeza en el baño.
Te levantas de la bañera, vacías el agua y te secas con una toalla. Te pones una de las camisetas de Minho y un par de tus propios pantalones cortos para dormir. Te reúnes con Minho en el comedor. Ambos comen en silencio, no necesitas palabras para decirle cuánto lo amas. Él te demuestra cuánto te ama, sin necesidad de palabras.
"Eres tan hermosa", Minho se detiene a tu lado, después de poner su plato en el fregadero, "¿Alguna vez te dije eso?"
Te ríes entre dientes, "Sólo cada vez que abres la boca"
"Debería decírtelo más", tararea, tomando tu plato vacío y poniéndolo en el fregadero, "Eres tan hermosa"
Sonríes, "déjame limpiar por ti, tú preparaste la cena, es justo"
"Llámame loco, pero lavemos los platos mañana, ahora estemos simplemente juntos", insiste
Asientes, estando de acuerdo con él. "Vamos a acostarnos en la cama", tararea
Te unes a él en la cama y te acurrucas a su lado. "Aquí está tu regalo de aniversario", sonríe, entregándote una caja de terciopelo negro que sacó de su mesita de noche
Te quedas con la boca abierta, el anillo de oro te deja sin aliento. "Minho, realmente no tenías por qué…", empiezas
"Es un anillo de compromiso" interrumpe el divague que estabas a punto de continuar
Lo miras con los ojos muy abiertos "¿Me estás pidiendo que me case contigo?"
Él asiente y te devuelve la mirada con los ojos más amorosos. "¿Quieres casarte conmigo?", pregunta con un ligero temblor en su voz
"Sí", dices, "absolutamente un millón de veces sí"
Su rostro se quiebra en un gesto de alivio y una sonrisa se forma en sus labios. Presiona sus labios contra los tuyos y, para ser sincera, no puedes pensar en nada mejor.
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@natehwang // — ¿Porque... así atraerás a los animales? —idea era bastante descabellada, considerando que no les habían encontrado por ningún otro medio, pero tampoco iba a descartarla en voz alta. Arqueó las cejas ante suposición ajena—. Es... Sí, tendría sentido, la verdad. Pero te faltó decir que Vivianne lo hizo para convertirles en mascotas vampiro o algo así —lo cuál sería más del estilo contrario, al menos guiada por conversaciones contrarias. Frío le recorrió sólo ante propuesta—. Creo que sólo lo empeoraríamos, la verdad... Si la Clave los tiene, que es casi seguro, no deberíamos hacerles enfadar, ¿no? Son como... rehenes. ¿Tu mascota está bien?
"si ves trocitos de manzana por ahí, no los tires, yo los dejé." advierte cuando siente la presencia de alguien más. no ha tenido mucho éxito con la búsqueda, pero no por eso dejará de intentarlo. "estaba pensando, si yo fuera vivianne y tuviera que secuestrar un montón de mascotas, las metería en el granero o en el sótano de la casa maldita." comparte pensamiento, a pesar de que nadie le ha preguntado. está distraído, comiendo el último pedazo de manzana. ese que decidió guardar como recompensa por el esfuerzo. "¿qué dices? ¿damos una visita?"
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L'automne à Paris me tourner la tête, là où le ciel gris me fait des courbettes, Pour un dernier bal, le (grand) jour dans les feuilles, d'un étrange mal, j'ai le cœur qui s'endeuille,
L'automne à Paris, c'est comme un poème, qui fait du roulis le long de la Seine, Un soleil fané, dans le rues, divague, laissant aux pavés, un peu de l'été, en gage,
Doucement ta main vient chercher la mienne, Et moi je sais bien que c'est surtout toi que j'aime, quand j'aime l'automne à Paris.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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je ne sais pas (j. hoseok)
dans mon esprit tout divague, (in my mind everything goes wild)
je me perds dans tes yeux (i lose myself in your eyes)
je me noie dans la vague de ton regard amoureux (i drown myself in the wave of your loving gaze)
je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau (i only want your soul going wild on my skin)
summary: in which two strangers spend an unforgettable day together without actually getting to verbally understand each other.
pairing: hoseok x reader
word count: 2.8k
tags: fluff, language barrier, idol!hoseok, quebecois!reader, strangers to lovers, im bad at this tagging stuff
warnings: none, just enjoy some sweet hoseok fluff <3
author’s note: im really excited about this one yall 😭 i love the idea of language barrier romance because just think about it... u love someone so much that talking to them doesn't matter as much as the memories u create with them.. god ok ill stop speaking please please enjoy!
── ⋅ ⋅ ── ✩ ── ⋅ ⋅ ──
The province of Quebec is often quite peaceful for about 85% of the year, with the exceptions typically being one of two things. First, there's always the typical influx of tourists that happens during peak times of the year like summer, Christmas, things like that. However the second exception is typically related to whatever artist is in Montreal for the Canadian leg of their world tour. It wasn't uncommon for there to be a little bit of buzz around the famous singer in question, however no one seemed to go harder than kpop fans when their group or soloist of choice was coming for a show or two.
You weren't really a fan of kpop in the way that many of your friends were. Sure, you've listened to some songs before, but you never felt the desire to get invested in any of the artists or the lore that came with them. It would be nice to hear your friends babble on about a new song that was released or a new tour that was announced, however you were absolutely not expecting the absolute freakout that was to come when BTS announced that they'd be doing a show in Montreal.
"Can you believe it?" One friend asked you with excitement. Yes, you could. They were famous. Of course they were going to come to Canada for a world tour. It's not that you weren't excited for your friends, who called themselves 'Army', but you just weren't as invested so it didn't mean as much to you. It also didn't help that a lot of their discussions with fellow fans and the things they'd post relating to BTS on their social media profiles were in English.
The majority of Quebecois people were able to communicate in English as well as their native language of French, but for some reason your family lived under a rock and you didn't learn anything beyond basic greetings and conversations in English. You felt rather left out because it felt like you were behind your friends and everyone else around you, however as you grew older you tended to not let it bother you that much. Since French is a prominent language in Quebec, you weren't bothered about language barriers and knew you could get around and live life normally without worry.
Since your friends were much deeper down the Bangtan rabbit hole, they were able to secure floor tickets to their Montreal show and were extremely busy completely overthinking the event and what they wanted to wear. It was now the day before the show and they were last-minute panicking, roaming the stores of downtown Montreal to put together outfits that were both cute and appropriate for the vibe of the concert.
Given that they were rather busy with this, you decided that this would be a weekend to yourself where you could peacefully do whatever you wanted. The quaint cafe you work at full-time decided to close for the weekend given the occasion (apparently the owner was also an Army), so it was a perfect opportunity for you to go down to the local park and do some reading on a bench.
And that's exactly what you did. You found yourself parked on the lawn of Mount Royal Park, right next to the lake. You brought some light reading with you, a small romance novel that involved the typical coffee shop trope, prepared to do some reading but also some people watching in between. It was absolutely perfect, and you couldn't have asked for a better way to spend the weekend. As you peacefully read your cliche novel, cup of iced coffee from a local coffee shop in-hand, you thought the day couldn't get any better. Until it did.
"Hey, excuse me, can you help me?" You looked up from your book to see a boy standing a short distance away from you. He had the warmest smile on his face and his eyes were bright with cheer. You tilted your head slightly, not too sure what he was asking. After a minute of silence, his smile dropped slightly.
"Uh... E-English?" He asked. It was clear that he was struggling with his words as well, even though you didn't speak the language. You shook your head, a slight frown on your face. "Français?" You ask in response, to which he mirrors you and shakes his head in return. The boy looks down for a second, clearly stumped as to what to do at this point. Part of you thought that he was about to walk away, however his feet didn't move from where he was standing.
After a second, he looked back up, his sweet smile once again appearing on his face. With his phone in hand, he pointed at it, then pointed at himself, then pointed at you. Was he asking for your number? Raising an eyebrow, you started to shake your head, however you watched as his smile dropped again and he shook his head rapidly. "No! No!" He said frantically, before mimicking the act of taking a photo, making a little 'click click' noise. He wanted a photo!
Finally understanding what he was saying, you grin and nod, causing him to squeal in delight. He approached you briefly to hand you his phone before backing up toward the lake a little more. You start to turn his phone landscape before he shakes his head and lets out a little yelp, indicating that he wanted the photo to be in portrait mode. You giggle at his antics as he attempts to pose in the way he wants, admiring his efforts to not only have a good photo but also to communicate with you.
Once it seems like he's ready for you to take the photo, you begin clicking the photo button and watch as he begins to move a little bit to hit different styles of poses. And wow, this man was incredible at modeling. You watched in wonder as he effortlessly moved his body in all kinds of directions, going from casual to silly to cute and back to casual. He was absolutely gorgeous, there was no denying that. A ten in a world of fives.
After a couple minutes, he stops posing and giddily bounces back over to you. When he takes his phone back to look at all the photos, he makes a couple of 'woaaahhhh' noises, clearly impressed with your photography skills. You turn away as a blush creeps to your cheeks, flattered that he's happy with the photos. When you look back you watch him slightly bow to you in thanks before pointing to himself. "Hoseok," He says, making sure to enunciate each part of his name in the correct way so that you know how to say it.
You smile and nod, offering your name back to him, to which his smile grows into one of the most beautiful smiles you have ever seen. If it weren't for your impeccable self-control, you probably would have fainted the very first time he smiled at you, given how absolutely charming he was. However, this most recent smile made you a little weak on your feet. You were able to tough it out and stay strong, but God, he was just stunning.
You go to sit back down on your spot in the grass, but before you get the chance to you feel a gentle hand grasp your wrist. Face hot with shyness, you peer back over to him and notice his smile has dropped. You watch as he points toward the exit of the park and into the main city, and gives you a 'come on' motion, indicating that he wanted you to come with him. If this would have happened a few minutes ago when he first approached you, you might not have taken the offer. But now that you've gotten to somewhat know this breathtaking stranger, it was an offer you couldn't turn down. Grabbing your book and iced coffee from off the ground, you decide to follow him out of the park.
As you step back onto the streets of Montreal, walking with this random man, you watch as he turns to you and thinks for a second. You can tell he was trying to figure out how to communicate his next thought, so you remain silent and patient. After a second, he points at his eyes, and then gives this huge gesture with his arms, almost like he's expressing something blowing up. Letting out a soft giggle, you tilt your head slightly, resulting in a laugh coming from his own mouth. His laugh was so loud, sweet, and full of joy, and it was like pure honey dripping from his tongue. He retries his previous charades, now acting like he is looking at something with his hand above both of his eyes. He then goes 'woahh!!' and gives an amazed look, and you realize that he's asking to see some of the highlights of the city. With a soft nod, you take his hand, watching a soft blush creep to his cheeks as you pull him along the street and show him everything he needs to see in your beautiful city.
˗ˏˋ ♡ ˎˊ˗
After spending hours with Hoseok, showing him about everything in Montreal and taking a picture of him with it, you found yourselves once again back in the park where you first met. It was a rather chaotic day, pulling the boy around and watching his face light up at absolutely everything, but what seemed to be weirder was the fact that multiple times during your tour you guys received a few looks and even whispers. Every time that it happened, Hoseok would indicate to you that he wanted to move on and go to the next spot while also pulling up the light scarf that he had around his neck to cover his mouth and nose. You thought that it was rather bizarre but dismissed it as people being disrespectful since he was a rather loud and excited tourist.
Now, though, it was just you and him, sitting in the grass in front of the lake as you ate a late lunch/early dinner. He asked you to go with him to a local store where he went around and picked out a bunch of ready-made food as well as a bottle of champagne, paying for it all and implying that he wanted to eat it with you back at the park. Considering this stranger was doing more than anyone had ever done for you in the last twenty-something years of your life, you were beyond flattered and at this point you were hardcore swooning for him.
You half expected your meal to be quiet and consist of you guys looking at the lake, looking at each other, and silently eating your meal. But this was Hoseok, the man you had learned was anything but quiet. Even though he couldn't speak your language and you couldn't speak his, he was telling you all kinds of stories through the power of charades and sound effects. For most of the time, he had you in tears, laughing at his impeccable sense of humor and all-around silliness. But he also provided you with moments of peace so you could eat without choking, which was rather respectful of him, you thought.
After a while of fun storytelling, you two fell silent. You gazed over at the lake, watching as the sun made the water shimmer, and let out a sigh. When you looked back over to Hoseok, you caught him staring at you, causing a blush to creep to your cheeks. Raising an eyebrow, you nudged him as a way to ask 'what are you looking at?'. Shaking his head, he hesitantly stretched out his arm to wrap it around your waist. Just by looking at him you could tell he was internally freaking out, his eyes wide with nervousness. You smiled softly and inched your way closer to him, accepting his embrace as you rested your head on his shoulder.
There was something about this man that was so much different from anyone else that you had ever met. His charisma, his kindness, his energy – all of it was so attractive. It was the fact that he wasn't just a pretty face, he was a pretty human. You could tell he was raised right with a heart of gold and you felt beyond lucky to have ever met him in the first place. For him to have asked you of all the people in Montreal to take a picture of him made you feel extremely lucky, because had he not approached you, the two of you would have never met.
He pulled back a little bit to prompt you to remove your head and look at him. You watched as he pointed at himself, then cleared his throat before singing a little bit of a song. His singing voice was as sweet as can be, and you were about to just sit there and admire him, until you realized that the song he was singing was familiar. You didn't quite know what the name of the song was, and he wasn't singing it in quite the right tone, but you knew it was by BTS. The kpop group that was currently in Montreal and about to perform the following day.
Your mouth gaped open as you realized what was happening. You didn't even realize that you had been spending the entire day with a member of BTS. The people looking and whispering throughout were probably people who recognized him, not people who were judging him. And he was hiding his face because he didn't want to be recognized. He just wanted to spend the day with a beautiful girl and feel like a normal human being. You didn't blame him for not telling you sooner, though. It's not like you're a diehard fan of his group, but you probably wouldn't have looked at him the same way had he told you immediately.
After processing what was happening, you closed your mouth and smiled, giving him a vigorous nod. Once he gave you a smile in return, you went back to resting your head on his shoulder and grabbing your glass of champagne to hold. You wanted to show him that it was cool, everything was fine, and things weren't going to change. You liked him as Hoseok, the boy he introduced himself as when he eagerly asked you for a picture earlier. Not the kpop idol that stands in front of thousands on a stage and performs for them.
As time continued to pass and the sun got to a point where the day started to become sunset, you two sat in blissful silence while enjoying one another's presence. After a while Hoseok once again nudged you, causing you to look up at him. You watched as he once again admired your face, a blush creeping to your cheeks as you became shy from the eye contact. Just as you were about to look away he reached his hand over to brush a strand of hair behind your ear, and then rested that hand against your cheek.
At this point there was no need for charades because all you needed to do was look into his eyes and he told you absolutely everything you needed to know. He dipped his head down slightly as you both pulled each other in for a kiss, his sweet lips meeting yours in absolute harmony. Your stomach did about five thousand backflips as adrenaline coursed through your veins and your brain went fuzzy. Whether you wanted to admit it or not, this was a moment that you were waiting for practically all day. Little did you know, however, this was a moment that he had been anticipating even before he spoke to you for the first time. It all started when he saw you from a distance and his heart almost beat out of his chest because he was so enamored by your beauty.
As you both pulled away from the kiss, you watched as his mouth curled into the sweetest heart smile and he leaned in once again to peck the tip of your nose. You knew that today was going to be absolutely perfect, but your new romance made it about ten times better than perfect if that was even possible.
It's safe to say that the next day you were at barricade at the biggest concert of the year in Montreal, courtesy of BTS' resident rapper and dancer, J-Hope. Or, as you knew him, your smiley Hoseok.
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A mí sí me ha dolido, pero así soy yo: un pedazo de carne sensible que camina por la tierra con los pies en el corazón.
It hurt me, but that's me: a sensitive piece of flesh that walks the earth with my feet in my heart.
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¿Como te ves a vos misma?
La pregunta es tan simple como para contestarla con algo resumido, con un bien, con un adjetivo calificativo o un verbo que identifique por completo mi estado actual de como me veo a mi misma, de como me veo hoy y hubiera sido genial poder abreviar todo con un simple y tonto, bien. Pero no, Marta no esperaba que de mi boca saliera esto, quería más y quería conocer en profundidad mi alma, saber que como me veo realmente y como es convivir conmigo misma todos los días de la semana. Anoto un par de cosas en la libreta mientras yo me pensaba que decirle; las preguntas fáciles son las mas difíciles de responder... Al final no pude calificarme, pero en cuanto llegue a casa busque el cuaderno donde me hace anotar las cosas que no se me ocurren decirle en la sesión y anote todo lo que podía, de como me veo... divague un poco al final, pero fui completamente sincera. Y es que su pregunta es tan difícil de responder, no se como me veo Marta, hay días en los que me veo feliz y bien, pero otros me veo muy oscura. ¿Si me entiendes? Hay días en los que puedo verme realmente, no verdaderamente a mi, si no a una niña, a una joven de 16 o a una adulta de 21, puedo verme a través del espejo en extractos de felicidad Marta; pero nunca me veo completa. Me gustan mis ojos Marta, me gusta la forma, el color, como se ensanchan cuando me miro al espejo o como brillan cuando reciben la luz solar, también se aclaran un poco más. Me gustan mis labios, lo marcado del arco de cupido y las comisuras que están inclinadas siempre hacia arriba, parece que sonrío todo el tiempo pero no es cierto Marta, la mayoría del tiempo estoy triste. Hay muchas cosas que me gustan de mi cuerpo, y hay muchas que no, odio mi nariz, la odio a gritos y es por eso que de niña me golpeaba con lo que fuera para que sangrara, para que el dolor de tenerla se note. Odio mis brazos Marta, odio lo relleno que se ponen a veces cuando como de más y es por eso que arranque los pedazos de piel con una gillete. Odio mi espalda, su forma, su poca suavidad y no porque mi piel siempre haya sido así, si no por los castigos que no pude detenerme, por los latigazos que se aferraron a la piel y dejaron en estado crudo varias zonas, y si Marta, aún tengo días en los que tengo que pedirle al pastor que cure mis pecados. Amo mi cabello, porque cuando me veo con las ondas en las puntas y el movimiento tan vivaz, me regreso de nuevo a de niña... y estoy hamacándome en los columpios, colgada del trepamanos y el cabello libre... Pero antes de llegar a casa tenia que atármelo para que no se dieran cuenta que lo solté. Me veo feliz, triste, de color y gris, prendida y apagada, riendo y llorando, pero me veo Marta, me veo viva que es lo que realmente importa después de todo. Me veo con vida, con salud a medias, desempleada pero aferrada a la posibilidad de volver a encontrar un nuevo trabajo, me veo viva Marta, me veo con vida.
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J'aime les plages vides à la tombée du jour, Et le sable mouillé, les traces de nos pieds, Des baisers partagés sur nos lèvres salées, Par les embruns du soir que le vent fait voler.
J'aime les plages vides qui m'incitent à t'aimer, Lorsque le soleil rouge parvient à embraser, La ligne d'horizon que pointent nos regards, Une envie de lointain et d'un nouveau départ.
J'aime les plages vides et les senteurs d'amour, Ces mains qui s'entrecroisent, ce désir qui se lit, J'aime le chant des vagues et leur doux clapotis, Notre amour qui divague lorsque descend la nuit.
(Danièle Labranche)
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Tener labia de joven es fácil, cualquier par de nalgas enboban a uno y si eres "distinto al resto" pues lees un poco, luego mezclas tus ganas de meterla con lo aprendido por la lectura y listo, el problema es cuando no paras de leer y la curiosidad gana, entiendes que no sabias de amor y lo escrito anteriormente lo ves con verguenza, cobrando sentido muchas otras cosas, dichos o consejos; ahora tienes que crear una musa por que descubres que idealizar es de estúpidos, que soñar no te lleva a nada sin acciones y que la depresión...bueno tan poco justificada que le de a la mayoría pero sufrida por todos volviendose el mal del siglo XXI, pues tan rápido avanzó la tecnología que no vimos que caímos en la necesidad de atención y la falsa empatia. Que no tenemos motivos reales para sobrepensar pero "oye soy un ser especial unico y diferente que merece lo mejor" donde creemos ser originales cuando de manera figurada 10 personas pensaron lo mismo, 9 lo realizaron y a ninguna le funciono pero "a mi si", subsistimos en la miseria justificando la miseria del pasado y diciendo desde la comodidad del sufrimiento propio "soy una victima", "tu estas mal", "mira no sabes ni que pedo", "hice lo que pude con lo que tenia". Oh lo lamento divague mucho, pero volviendo al tema (crear tu musa) solo recuerda toda tus relaciones pasadas, las cosas que te hacian sentir esas damas en su momento, combinalo con todas las mujeres de tus fantasías o de instagram y ponla en un altar justo debajo de la imagen mental que tienes de aquella mujer que solo has visto algunas veces y con la que no puedes dejar de soñar, pensar, hablarle, que al escuchar su voz alegra tu día y esa descubrirás es tu musa.
🐺
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Llevo como 4 horas hablando de arcane en todos los vídeos de teorías que me salen en TikTok. Pedazo de serie la amo tanto, con todos esos detalles que alimentan el que investigue y divague en mi mente curiosa
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Salut! Je viens d'essayer de regarder le docu 'Margarethe et Leonie' sur la chaine YT d'Arte, et j'ai dû arrêter au bout de 55 secondes, 'communauté queer' 'histoire queer' 'mouvement queer', ça me rend dingue que le mot 'queer' ait pris le dessus sur 'LGB(T)', même dans un contexte informatif/plus académique en FRANCE quoi (pas chauvine lol), alors que le mot ne veut absolument rien dire pour nous.
Désolée pour la petite divague, j'avais juste envie d'en parler :)
Comme je te comprends ! Il y a, d'une part, la façon dont on ne dit plus gay/lesbien mais "queer" qui est déjà chiante et homophobe. Mais alors le ridicule français de copier les américains à tout prix jusqu'à l'absurde. Je te montre ce magnifique exemple :
Une personne française lambda ne comprend absolument rien à ce message. A part sa vulgarité. Donc c'est pour qui ? Bah pour ceux qui le mettent en fait, pour se faire mousser, pour le prendre en photo et le montrer à leurs copains anglophones sur twitter. Stonewall personne connaît en France. Même le terme "racisé" ça vient de l'obsession américaine des "races", en français ça sonne faux.
C'est des moutons qui répètent bêtement ce qu'ils lisent sur le net, même quand ça s'applique pas, parce qu'ils reflechissent pas, ils suivent et c'est tout.
C'est comme l'usage du mot "terf" que personne connaît en France et qui ne veut rien dire vraiment. Ce que les américains appellent "féminisme radical" c'était le féminisme tout court en France jusqu'à il y a peu.
A Lyon ils ont nommé un parc "square Marsha P. Johnson" tu te rends compte du niveau de ridicule de ces gens ? C'est pas demain la veille que les américains vont appeler leurs parcs avec les noms d'obscures militants français... qui étaient même pas là le jour de l'émeute mais passons.
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