#le souffle lancinant
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Amour plastique but it's kubosai 🥹
#yellow talks#saiki k#kubosai#Dans mon esprit tout divague#je me perds dans tes yeux#Je me noie dans la vague de ton regard amoureux#Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau#Une fleur#une femme dans ton cœur Roméo#Je ne suis que ton nom#le souffle lancinant#De nos corps dans le sombre animés lentement#UGHHHHHHHHHHHHHHH THEEEMMMM#amour plastique
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Dans mon esprit tout divague, je me perds dans tes yeux
Je me noie dans la vague de ton regard amoureux
Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau
Une fleur, une femme dans ton cœur, Roméo
Je ne suis que ton ombre, le souffle lancinant
De nos corps dans le sombre animés lentement
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J’ai enfin vu ce film qui m’intriguait tant !
Difficile en effet de ne pas être au courant que ce film de Justine Triet a fait l’unanimité dans la critique, obtenu divers prix dont la glorieuse Palme d’Or à Cannes… la bande-annonce et cet air lancinant au piano, tout ça avait fait monter une forte curiosité et une forte attente également.
Quand j’ai vu la durée du film, 2h30, j’ai un peu soufflé, pff, pourquoi cette manie des films fleuves, maintenant que je suis pas mal habituée à regarder des séries, donc de courts épisodes… et puis, c’est la vérité vraie, ce sont 2h30 qui passent sans qu’on ne le sente, on est happé de bout en bout, on retient presque son souffle, il y a une tension tout du long qui fait qu’on est très attentif, suspendu au moindre, mot, silence, regard, plan, on ne veut rien rater du puzzle qui ne se reconstitue jamais totalement, ni même comme on s’y attend.
Premier atout donc, cette surprise constante, où tout paraît essentiel même si on est toujours légèrement frustré de ne pas avoir les révélations que l’on souhaite : la mère est-elle coupable oui ou non ? Le film déjoue nos attentes comme il déjoue les codes du film de procès en rompant avec une esthétique solennelle et lisse, et déplaçant le terreau du suspense.
Deuxième atout, c’est la liberté d’interprétation constante du spectateur, même si elle est vacillante, et sûrement un peu frustrante. Mais précisément, je crois que le film parle de ça justement. La vérité des faits existe mais ce n’est pas celle qui compte dans un procès, c’est plutôt celle que l’on conte -ce n’est pas un hasard que l’accusée soit autrice de fiction- les récits des uns et des autres qui se superposent à l’élément manquant de celle qui sait si elle a tué ou non (on n’a jamais accès à l’intériorité du personnage de l’accusée) ; discours où l’accusée est défavorisée par le langage, puisqu’on la somme de parler le français qu’elle maîtrise mal, étant native d’Allemagne et parlant anglais avec son mari et son fils. Somme de discours qui ne se superposent jamais bien et qui n’ont pas le même pouvoir de persuasion ou de séduction. Il y a le récit qui passionne le public mais aussi le récit que fait l’avocat de l’accusation qui excelle à prouver que Sandra n’est pas une jeune innocente comme ce serait bien pratique (pour sa défense) de paraître. Elle est la plus puissante du couple, elle est même bisexuelle (!), elle a même trompé son mari, elle s’occupe de sa carrière, elle écrit, elle sait ce qu’elle veut, tandis que son mari est comme empêché de l’égaler, il n’arrive pas à écrire, il se perd dans des projets (comme le dit Swann Arlaud dans le rôle de l’avocat de la defense, toujours aussi génial) qui n’aboutissent pas, et tourne donc à l’homme au foyer frustré, et vexé. Et si c’était cela que l’on reprochait à cette femme au fond ? Sa puissance (et son opacité -troublante Sandra Hüller-) ? N’est-ce pas cela qui la rend suspecte ? Thèse qui est hyper intéressante et ô combien moderne.
Enfin, évidemment, à travers la victime collatérale, l’enfant, Daniel, mal voyant mais peut-être extra-lucide, il y a cette beauté aussi suggérée dans le film, cette ambiguïté qui persiste : et si c’était lui qui décidait de tout ? Sans trancher entre l’explication rationnelle ou l’explication sentimentale, les deux possibilités demeurent. Les deux sont acceptables : soit il sait la vérité, il la comprend, soit il en décide, par amour. (Ce jeune acteur est assez extraordinaire.) Là aussi, c’est une thèse émouvante et remuante.
Un grand film sur le couple et le langage, les mots que l’on dit, ceux que l’on ne dit pas, ceux que l’autre entend, sur le pouvoir qu’ils recèlent, les fictions qu’ils permettent, qui sauvent ou qui coulent les « histoires » d’amour.
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Une fleur, une femme dans ton cœur Roméo Je ne suis que ton nom, le souffle lancinant De nos corps dans le sombre animés lentement Et la nuit quand tout est sombre je te regarde danser
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Ça m'avait frappé d'un coup...
Certes, ça faisait un petit moment que c'était lancinant. Ces 40 ans qui grimpaient le long de ma cuisse pour s'attaquer à mon cerveau. Mais cette image-là, elle, elle est venue d'un coup.
Je me souviens très bien, c'était dans un avion. Je ne sais même plus pour quelle destination précisément, tant j'y passais de temps pour assouvir cette soif de dépaysement et de fuite de soi. L'avion allait décoller. Et c'est alors que je me suis mis, malgré moi, à établir une photographie de ce que j’étais devenu.
Cette sorte de personnage de série, figure caricaturale qui coche toutes les cases pour être sûr que le public ait bien compris dès l'épisode 1.
Thierry : pers. masc. blanc. homosexuel. 40 ans. Incarnation d'une sorte de réussite professionnelle. D'accomplissement social. Ou l'inverse. A la tête d'un département dans une agence de communication cool et prestigieuse. Un appartement Haussmannien. Beau. Blanc. Décoré avec goût et l'aide d'une décoratrice d'intérieur amie. Un quartier populaire mais en pleine gentirification. Des sacs de luxe. Des pantalons bien coupés. Encore séduisant, mais ridiculement terrorisé à l’idée de ne bientôt plus l’être. Dévoré par le stress que lui incombe le poste qu'il occupe. Mais ne prends pas le temps de se rendre compte qu'il n'y est plus heureux. Célibataire, bien sûr. N'a officiellement pas le temps, mais en réalité, a arrêté de faire les efforts nécessaires pour provoquer la rencontre. Quelques bières en fin de semaine, pour donner un souffle à ce rythme boulot branlette Netflix effréné. Lucy Liu version gay.
Dire que cela n’était pas réjouissant était un euphémisme.
Je ne savais même pas vraiment à quel moment ça avait commencé. Et surtout, je ne savais pas ce qui était le pire.
Savoir que j’avais passé mes 20 dernières années à ne rien faire d’autre que de tout mettre en œuvre pour en arriver pile là ? Savoir que ce là en question ne me rendait pas heureux, sans savoir ce qui ne me rendrait heureux à la place ? Ou savoir que j’étais incapable de sortir de ce là, parce qu’au fond, je ne savais rien faire d’autre que de nager dans ce niveau de vie confortable qui était devenu le mien ?
J'étais là, dans cet avion à dresser cet autoportrait grotesque de personnage de fiction, dont les seules distractions étaient de draguer en ligne des garçons que je ne verrai jamais, et d’acheter des fringues dont je n’avais pas besoin mais qui viendraient supplanter toutes celles que j’avais déjà.
Je savais d'ores et déjà que ce n'était pas la peine d'essayer de me convaincre que ça allait aller mieux, que tout cela était lié à ce quarantième anniversaire qui me pétait le cerveau. Parce que c'est ça qui est ce qui est terrible quand tu commences à être vieux. C’est difficile de se mentir à soi-même.
Et ça rend la vie encore plus chiante.
Il fallait donc trouver une solution. Agir. Se secouer pour donner un peu de profondeur à ce cliché que j'étais devenu.
Ce que je n'ai pas du tout fait.
J'ai donc continué à sombrer dans ce constat consternant, engendrant un mal-être dévorant mes vies personnelle et professionnelle devenues une seule entité, où j'errais telle une machine zombiesque, qui, semaine après semaine, pissait des slides et des tableaux de chiffres entrecoupés de bières trop chères à l'aube de chaque week-end.
"Tu ne me feras pas croire que tu es heureux" C'est cette phrase qui a tout déclenché.
Elle est venue de mon boss.
Tu ne me feras pas croire que tu es heureux. Non, je ne te le ferai pas croire, non. Déjà à moi-même je n'y arrive plus, à me le faire croire.
Alors, tout a basculé. Une phrase. Tu ne me feras pas croire que tu es heureux.
Mon job, ma carrière, ma seule source de définition. Mon statut social, mon quotidien, mes angoisses. Ma sécurité, ma source de revenus. Tout ça. Balayé. Du revers de la main.
J'ai quitté mon job. Sans aucun autre plan que celui de me retrouver.
Il était temps pour moi de pouvoir me définir autrement qu'en tant que simple entité professionnelle. Qui es-tu Thierry ? Au fond ? Au delà de ce personnage ? Au delà de ton travail ?
Ainsi allait commencer quelque chose de nouveau.
Alors j'ai d'abord pris des vacances. Puis des cours d'italien. J'ai mis en stand-by les opportunités professionnelles qui s'offraient à moi. Puis j'ai échangé mon appartement avec un Milanais. Et je partais m'installer là-bas pour un mois. Parce que quitte à ce que je sois une caricature de personnage, autant qu'il soit hollywoodien.
S'installer dans un nouveau pays, s'immerger dans une nouvelle culture, apprendre une nouvelle langue, même si c'est de façon éphémère, c'est une forme de réapprentissage. De redépart. De renouveau. J'ai même postulé auprès d'agences de communication locales, en tant que stagiaire, pour recommencer tout en bas de l'échelle.
Me voilà. À quarante ans. Sans aucun plan ni projection professionnels, moi qui avais passé les 10 dernières années à ne me définir qu'à travers mon boulot. Parfois, je me demande si je n'ai pas fait une énorme connerie.
On verra bien.
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dans mon esprit tout divague, je me perds dans tes yeux. je me noie dans la vague, de ton regard amoureux. je ne veux que ton âme, divaguant sur ma peau. une fleur, une femme, dans son cœur Roméo. je ne suis que ton ombre, ton souffle lancinant. dans ton cœur, dans le sombre animé lentement.
et la nuit je pleure des larmes qui coulent le long de mes joues.
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Portland, USA, le clip, vu par Yan Kouton de Indiepoprock :
« Les Battements D’ailes », de Jeanne Morisseau, poursuivent leur chemin, et continuent de déverser leur poésie infinie. Morceau emblématique de ce disque précieux, Portland, USA est l’objet d’un clip, aux allures de véritable court-métrage, que l’on doit à Anne-Cécile Causse. Noyés dans un somptueux noir et blanc, la chanson et son folk lancinant trouvent-là un écrin visuel d’une beauté à couper le souffle.
Un univers visuel au plus près de l’intention des musiciens, de leur monde intérieur. Un monde où tout semble guidé par l’art, la concentration et la contemplation. Une merveille à voir, à écouter, encore et toujours. Yan Kouton
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Le Greenwashing (3) : Le retour
Les sœurs Coll quittèrent leur appartement crasseux dans le bloc bleu délabré de la cité bidonville de Carenz Baraques. Le couloir sombre de l'étage ressemblait à un fanal de cauchemars oubliés, où les ombres étaient tapies et où tout espoir était mort depuis longtemps.
"Tina, tu crois qu'on peut laisser maman comme ça ? Peut-être devrions-nous au moins l'allonger sur le canapé ?", murmura Gina, sa voix n'étant plus qu'un souffle dans le sombre silence.
Comme toujours, la génitrice alcoolique des sœurs s'était effondrée en état d'ébriété dans la cuisine de son logement, après avoir longuement vomi. Comme d'habitude, l'odeur du vomi et du désespoir flottait lourdement dans l'air moisi de l'appartement loué, qui ressemblait plus à un tombeau crasseux qu'à une habitation humaine.
"Gina, petit agneau, nous devrions laisser la vieille. Elle recommence déjà à stresser dès que tu la réveilles de ses doux rêves avec 99 jeunes hommes", rétorqua Tina avec un rire amer qui résonnait dans l'obscurité comme le cri d'une âme perdue.
Les sœurs continuèrent à avancer dans le couloir lugubre, leurs pas à peine audibles sur le linoléum graisseux. Elles arrivèrent enfin à la porte de l'ascenseur, dont la vue évoquait le portail d'un enfer pourri, où l'on pouvait abandonner tout espoir.
"Alors, les salopes en chaleur, où va-t-on ?"
Pendant ce temps, Pierre Bélier, affectueusement appelé "Peeping Fuzzy", était sorti d'une des unités d'habitation qui ressemblait plutôt à la grotte puante d'un homme de Neandertal. Conformément à son surnom, ce personnage vraiment peu attirant aimait regarder sans se faire remarquer. Tandis que son regard avide jaugeait les sœurs comme des proies, il passa ses doigts velus dans sa chevelure grasse et étira son corps corpulent d'un air de défi.
"Eh bien, que diriez-vous d'une petite fête chez moi ? J'ai la meilleure came au sud de Port-Réal !", couina Fuzzy d'un ton baveux et avec un sourire dégoûtant qui laissait apparaître ses dents pourries.
"Va te faire voir, voyeur ! Si tu ne pars pas tout de suite, tu vas entamer un voyage dont personne n'est jamais revenu ! Peut-être que je te donnerai aussi une balle en or".
Les mots sifflés de Gina et son regard dur intimidèrent tellement le voyeur qu'il se retira dans son trou puant, tremblant de peur de tout son corps, accompagné par les rires stupides de la dodue Gina.
Tina, elle, est restée silencieuse et a appuyé plusieurs fois sur le bouton de l'ascenseur, qui s'est finalement illuminé d'un jaune vacillant. Pendant ce temps, sa sœur, peu dotée de capacités cognitives, avait largement maîtrisé sa crise d'hilarité et se sentait obligée de commenter cet événement déplaisant avec sa manière habituelle.
"Quel type répugnant ! Je vais devoir dire quelque chose à Big Mike pour qu'il s'occupe de ce type".
"Mon Dieu, cet abruti ! Il n'en a rien à faire du voyeur !", Tina leva les yeux au ciel, agacée.
Gina, une expression exaltée et indignée sur le visage, regarda sa sœur d'un air réprobateur. "Tu es juste jalouse ! Mikey n'aime que moi et pas les 50 autres meufs qui lui courent après. Il va montrer à ce type ce qu'il faut faire ! Tu sais, Tina, Big Mike est tout simplement incroyable. Il a ce charisme brutal, mais en quelque sorte sexy".
Tina poussa un profond soupir et interrompit sa sœur d'un ton qui oscillait entre la résignation et la patience irritée. "Gina, je t'ai déjà dit mille fois que Big Mike est un parfait idiot. Son gang a peut-être un peu de pouvoir, mais lui-même n'est rien d'autre qu'une brute creuse sans esprit, qui saute quand Ma Barker le regarde de travers ! Mieux vaut que je m'occupe moi-même de notre voyeur. On verra bien s'il est toujours aussi insistant sans son zizi".
L'ascenseur arriva enfin à l'étage et les portes s'ouvrirent dans un grincement lancinant. Mais au lieu de l'intérieur délabré d'un ascenseur négligé auquel ils s'attendaient, c'est un paysage étrange qui s'étendait devant eux. Une taïga aux arbres enneigés et à l'air glacial s'étendait, un contraste choquant avec le triste quartier d'immeubles. De ce monde étrange, une silhouette s'approchait lentement, comme si elle venait d'une époque révolue.
Gina fixa la scène devant eux, perplexe, et fit une remarque digne de son niveau intellectuel : "C'est une putain de forêt de sapins de Noël ou quoi ?"
Tina, qui a réagi rapidement, a sorti son couteau à cran d'arrêt et s'est préparée à un éventuel combat, tout en observant l'apparition en silence et à l'affût. Mais avant que la confrontation n'ait lieu, la druidesse fit un geste mystérieux et les deux sœurs se transformèrent en louves surdimensionnées.
La druidesse, désormais définitivement entrée dans ce monde, était fidèlement escortée par les sœurs Coll transformées. Leur présence apportait un calme inquiétant alors qu'elle arpentait les couloirs déserts de la cité perdue des hauts immeubles, à la recherche d'autres âmes à transformer en son armée magique de la nature.
La flamme des ténèbres absolues flambait dans son cœur alors qu'elle affrontait le destin dans ce monde perdu.
Suite à donner
© 2024 Q.A.Juyub
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Le piano de la gare
On ne peut pas dire qu'il fasse beau, pas qu'il fasse mauvais non plus.
Comme dans la plupart des halls de gare, des personnes en transit, certains lisent, certains jouent sur leur téléphone et d'autres écoutent les pianistes.
Elle doit avoir 18 ans tout au plus, elle fait glisser ses doigts pour quelques accords, s'arrête puis recommence. La lettre à Elise, Requiem for a dream, moonlight sonata et comptine d'un autre été.
On entend que le piano est désaccordé, il sonne creux ou un peu décalé. Et tout à coup, plus rien.
14h, elle s'arrête, se lève et s'en va pour prendre son train direction les montagnes. Non pas qu'elle me l'ai dit, c'est juste le seul départ à cette heure là.
Un train arrive, d'autres partent, c'est la cohue. Des hommes d'affaire, des étudiants qui partent pour d'autres villes, des retraités sur le départ, des enfants rentrant de vacances en décalé.
Le train pour la capitale est annoncé, le hall se vide.
14h22, nouvelle heure, nouveau pianiste. Un homme cette fois, grand et musclé. C'est la nocturne n°9 de Chopin qui résonne cette fois. il porte un survêtement floqué que je devine être un club d'athlétisme. Il est chargé comme un mulet, un sac de sport, une valise à roulette et un sac plastique contenant des vêtements surnuméraires. C'est le premier que je vois utiliser les pédales du piano blanc. Puis, c'est une nouvelle nocturne qui résonne, pas la même version, mais la même partition. C'est plus décousu, plus rythmé. L'enchaînement est moins lancinant.
On dit que les musiciens sont bons en mathématiques. Probablement car leur esprit doit calculer le tempo, ajuster les notes, compter les soupirs. 14h32, Il est parti.
C'est à ce moment où on se dit que si le piano était personnifié et pouvait se déplacer, il serait peiné. Au vu des chaînes et des liens qui le retiennent à l'estrade.
14h35, ce garçon là est bien plus timide. Il s'est d'abord assis discrètement sur le tabouret, sans en régler la hauteur. Il a flouté ses intentions en prenant son téléphone. Puis il a soulevé le rabattement qui protège les touches. Il s'exerce à une main, le résultat n'est pas heureux, les notes sont coupées, saccadées, timides comme lui. Ça reste néanmoins touchant, cette détermination à vouloir s'essayer. Ça y est, il joue à deux mains. La coordination est naissante mais il semble parfaitement connaître sa partition. Les gens autour, semblent de ne pas entendre son acharnement. Les minutes passent, c'est moins haché, les notes s'enchaînent mieux malgré les ratés. Et il s'est éclipsé, aussi discrètement qu'il est venu, en un souffle, il a disparu et le temps est reparti.
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Dans mon esprit tout divague, je me perds dans tes yeux
Je me noie dans la vague de ton regard amoureux
Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau
Une fleur, une femme dans ton cœur Roméo
Je ne suis que ton nom, le souffle lancinant
De nos corps dans le sombre animés lentement
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CINÉMA | Holy Spider (Les Nuits de Mashhad) 2022 : laisse dans un état vague, happant, sans concessions, ébranlé, complètement abasourdi !
réalisé par Ali ABBASI
★ 6��| L'impression d'être abasourdi, que ce monde pourtant si vaste où mille voyages puisses être parcourus et autant de visages confondues, que je ne me serai finalement égaré, qu'il n'y ai plus que Mashhad, endroit viscéral mais paradoxalement débarrassé, dépouillé de toute joie de vivre. Cet endroit m'enivre, son atmosphère, on se laisse volontiers autant s'enfoncer dans la nuit noire que dans la laideur du jour en espérant savoir peut-être ce qu'il s'y passe, maintenu en haleine par ce climat d'oppression qui n'a pas seulement l'odeur du soufre mais, celle aussi de la corruption, de la drogue, une odeur de crasse qui embaume les narines et qui serait sans cesse sur le point d'imploser mais qui resterait pourtant stable, maintenu en survie d'on ne sait quelle façon car surtout, le film nous demande de bien croire que les choses ne sont pas si simples qu'il n'y parait. Le souffle donc profond, c'est avec le visage pâle qu'on avance et qu'on languis impatiemment d'avoir à être plaqué au sol par la réalité, mais ce visage pâle c'est probablement tout ce que le film parvient à nous flanquer tout le long, entrant le ventre creux dans cette ville, comme si manger n'avait jamais été un besoin vitale, on se découvre comme privé de rêves pour la première fois, assistant à un monde froid, subissant ce qui serait la folie... déconcerté on ne saurait la définir exactement tant elle peut être protéiforme, mais le film ne faisant que la montrer dans son plus simple appareil qu'on s'y retrouve qu'uniquement confronté, ne sachant comment réagir, qui véritablement appeler au secours en ces lieux étriqués qui laisse à peine respirer, laissé donc à notre propre sort nous aussi. Figé, immobilisé là, au fond de notre siège, le film ne nous apprend rien, ce n'est pas son but, il reste silencieux, lancinant, la réalité on la connaissait dès le départ et il non, il ne nous donnera finalement satisfaction aucunement d'aucun fantasme moribonde gratuit pour esthétisé son œuvre ou scénarisé une surenchère de la violence pour gavé l'appétit d'une partie du public peut-être pistant les films gores pour quelques minutes d'extase. Non, il ne nous laissera rien d'autre que la réalité à avaler, sans artifice, nous laissant simplement repartir avec ce même ventre creux mais, happant, sa réalité ne nous quitte pas, on la ressasse, comme si elle prenait le pas sur tout le reste. Les mains dans les poches, on trace ensuite son chemin pour retourner chez soi, mais ce film reste dans ta tête, comme un bruit blanc où tu te demandes pourquoi est-ce que ce que tu viens de voir te donne l'impression d'avoir comme pris une cuite en pleine semaine et devoir reprendre le travail le lendemain, il est où le problème ? Réfléchir à tout ça devient comme être perdue dans un blizzard. Ce film c'est ça, il te laisse dans un état vague, ébranlé peu importe ce que tu peux croire, ne pas croire ou savoir, car même conscient de ça, des formes de violences qui sévissent dans le monde, il te happe, ne te ménage pas, et te laisse repartir les pieds sciés, te laissant te débrouiller pour refaire surface après ça... Seuls points négatif que je soulèverais avec ce film c'est son manque de subtilité à la fin et la façon dont la mise en scène peut être menée sur tout le long ressemblant trop aux thrillers américains (ex : musique oppressante lors des scènes avec le serial killer, manière de filmer la ville la nuit) et par conséquent, rendant le film trop prévisible, trop ordinaire, trop convenue, jamais on ne se sens vraiment dépaysé, c'est filmer comme si on était aux state dans les villes de l'Ouest alors qu'on est sensé être à l'Est au Moyen-Orient. C'est le seul bémol que j'y trouve pour ne pas le trouver réussit mais uniquement intéressant.
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J’ai entendu hier que ce livre avait obtenu le Prix Inter, après avoir remporté celui du Monde. Le sujet m’intéresse : la colonisation de l’Algérie, pour des raisons familiales, originelles, couvertes d’un voile de gêne et de tristesse.
J’ai donc lu, rapidement car il est court et intense, ce roman puissant de Mathieu Belezi.
Sans introduction ou détours, on est plongés dans l’Algérie du XIXe siècle, aux alentours probablement de 1830-1840, à travers les voix de deux personnages : Séraphine, mère de famille venue chercher l’Eldorado promis par la République avec son mari, ses trois enfants, sa sœur et son neveu, et celle d’un soldat chargé de « pacifier », parmi son escadron, les barbares d’Afrique. Ce sont leurs voix que l’on nous donne à lire et grâce au talent de l’auteur, à entendre. Brutes. Sans contextualisation autre que celle de notre esprit, étourdi par tant de malheurs.
Les voix parlent, et l’écriture se trouve à mi chemin entre oralité et poésie en prose, conférant aux mots lyrisme, souffle, élan, avec rythme lancinant, charriant mots et sensations comme un feu qui emporte tout, qui consume littéralement la page.
Ce livre est assez stupéfiant. Remarquablement écrit, extrêmement puissant.
Ne connaissant pas vraiment ce pan de l’Histoire, j’ai été profondément choquée de la violence des faits relatés. Évidemment, je me doutais que la colonisation, toute colonisation n’a pas dû (n’a pas pu, ne peut PAS) se faire dans la douceur ; mais je ne m’imaginais pas la barbarie des actes des soldats français, convaincus qu’ils incarnaient les Lumières, la civilisation, et que le peuple à conquérir, inculte, devait se soumettre par la force et la peur, donc par la violence. Galvanisés par la certitude de la nécessité de leur cause, ainsi que par des instincts virils et sanguinaires moins aisément justifiables, assommés par l’alcool et la griserie de conquête des villages et des corps, le plaisir du vol, pur, la jouissance de la possession arrachée, ils se livrèrent à un massacre étourdissant. J’ai vérifié, ces informations ne semblent pas exagérées.
La voix de Séraphine offre un contrepoint troublant, celui des colons agricoles, d’abord logés en plein hiver sous des tentes sommaires, vivant dans la promiscuité, la crasse, le froid, la puanteur, puis dans des cabanes, chargés d’apporter la culture sur des terres arides et dures. Lourde tâche, pour tous dont on devine que nombre d’entre eux se demandent, comme Séraphine ce qu’ils font là, face à des dangers nouveaux : craintes des algériens voulant se rebeller, épidémie de choléra, dysenterie, maladies diverses, solitude, épuisement. En fait de paradis, ils se retrouvent en enfer, malgré leurs efforts, malgré l’espoir qui essaie de tenir comme une flamme vacillante.
Bref, vous l’aurez compris, ce livre est puissant et ce, d’une atroce manière. On ne peut même pas lui en vouloir d’être fictionnel, car on devine qu’il est proche de la vérité, celle que les cours ne nous ont pas appris.
J’ai été dérangée, profondément. J’ai réfléchi à mon malaise. Il vient sans doute d’une forme de dénuement psychologique chez les deux personnages. Ils semblent ne pas penser. N’être que dans leurs sensations et intuitions. Soif sanguinaire de conquête pour le soldat, désir de survie pour la mère de famille. Ça me laisse perplexe. Au XIXe siècle, en choisissant cette vie de colon, était-on forcément démuni de toute considération pour un autre peuple ? L’aveuglement nécessaire à cette mission était-il forcément aussi total ? Peut-être bien. Ou peut-être que l’écrivain voulait juste écrire ce récit-là, sans nuance, façon coup de poing, pour dire l’horreur de cette guerre absurde, injustifiable, la folie des hommes qui fantasment leurs vies. Peut-être que c’est tout simplement difficile à croire, aussi insupportable que de contempler le soleil en face.
#littérature#livres#litterature#roman#attaquer la terre et le soleil#Mathieu Belezi#le tripode#algerie
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« Boulevard des Capucines »
Comme une cascade aux pierres
Plus vieilles que le temps
Elle chantera,
Qu’est-ce que ça peut vous faire
Et qu'est-ce que ça détend
Mouton noir,
Elle en est fière
En abuse et dans les champs
Elle sautille,
Scintille au milieu des frères
Elle est bêle et ça surprend
Le berger s'entête
À mâchouiller son frein
Mais elle l'envoie paître
Enfin !
Comme un fou aux prières
Plus vieilles que le temps
Elle va au-devant de rivières
Qui changent sans cesse de courants
Prend de l'âge et nage vers
Son destin,
Sans fin chantant
La bulle d'un brochet se perd
Rien qu'en l'écoutant
Et le lit s'inquiète
Elle chante jusqu'à la lie,
Rien
Ne l'arrête non rien
Enfin...
Sauf là,
Sur son épaule,
Cet amour lancinant
Doucement qui la frôle
Et verse
Des regrets qui s'échappent
Dans la ville,
La nuit
Un souffle qui la happe
Au long du fil de sa vie
Des regrets qui s'échappent
Dans la ville,
La nuit
Et sans lui,
Elle chante pas
Sans lui sa voix craque
Elle crie des mots en vrac
Mais elle chante pas
Ou alors chante à peine
À larmes et à sourires
Et comme les étoiles comprennent
Elle chante qu'elle n'a plus rien à dire
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How MHA boys react to reader singing the intro of Amour Plastique by Videoclub fluently
Tamaki Amajiki
You walked inside a public library, looking for an empty space to sit on. You found yourself in the horror section where almost nobody went. Well, you really didn't care as long as you were alone.
Sitting down on the floor, your back against the wall, you pulled out your phone and put your earphones on before plugging it in. You played your favorite song which was "Amour Plastique" a french song. You weren't french or anything close to it but you knew how to pronounce the lyrics.
You played the song and you closed your eyes, singing along to the lyrics.
"Dans mon esprit tout divague
Je me perds dans tes yeux
Je me noie dans la vague de ton regard amoureux
Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau
Une fleur, une femme dans ton cœur Roméo
Je ne suis que ton nom, le souffle lancinant
De nos corps dans le sombre animés lentement"
You sang those lines repeatedly, you stopped once you felt someone gazing at you. You opened your eyes and the first thing you saw were indigo coloured eyes from behind the books on the shelves staring at yours. "U-uh.." you said standing up and pulling your earphones out. The eyes widened and the books fell from the shelves revealing your classmate, Tamaki Amajiki. He had bumped his head on the shelf, causing the books to fall out.
"Amajiki-kun, were you just watching me..?" you asked approaching him "N-n-no! I-i was just p-passing b-by and uh... y-yeah i was w-watching a-and listening t-to you sing.." you just stared at him "i-i hope y-you don't find me more w-weird.." he mumbled which you heard "I don't, i'm just a little shocked." you replied "Well since we're already here, i guess i'll just confess" you smirked "W-what do you m-mean b-by that..?" he asked "I'm practicing so that i could sing that song for you." you admitted
"W-what..? Y-your singing was so f-fluent.. T-that was all for m-me?" he questioned "Yeah. I've been working on it for weeks, i'm not french so that's why." you replied smiling at him "So? How was it? My singing."
"I-it was amazing. I almost t-thought you were actually f-french.." he said facing you instead of the shelf
"Thanks Amajiki."
Izuku Midoriya
You sat down on the couch of your dorm room waiting for Izuku so the two of you could finally spend some time together.
After some time he finally arrived, he had a plastic bag filled with both your favorite drinks and snacks, he saw the new controller you bought just for him. But before the two of you could start playing [favorite game] you pulled out your phone "Hey Izuku, want me to sing a little before we start?" you asked "Sure! What song will you sing?" Izuku asked, you just smiled at him and the instrumental of Amour Plastique started playing on your phone. You closed your eyes and started singing.
"Dans mon esprit tout divague
Je me perds dans tes yeux
Je me noie dans la vague de ton regard amoureux
Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau
Une fleur, une femme dans ton cœur Roméo
Je ne suis que ton nom, le souffle lancinant
De nos corps dans le sombre animés lentement"
You finished singing. You opened your eyes and saw Izuku staring at you, blushing a little. He shaked his head "Wow! That was awesome! What language was that?" He asked smiling "It was french, i'm not fluent with french but i nailed at pronouncing the lyrics!" you exclaimed "Haha, you sure did! You should sing to me more often!" Izuku beamed. You stared at him because you were only joking about nailing the pronounciation part, you grinned "I will, Izuku."
Shoto Todoroki
Shoto was waiting right outside of your dorm room, so that his date with you could finally start. You opened the door and met him there. "Ready to go?" he asked offering you his hand "Yeah." you took his hand and gave it a squeeze walking towards the hallway.
You went into a café, an amusement park, the mall, an arcade.
Once you walk into the arcade you couldn't help but notice the tiny pods with karaokes inside of it (A/n: idk what those are called sorry) Shoto noticed how you stared at the pods, so he grabbed your hand and led you inside.
You looked at the list of possible songs you could sing for him. There's one song that caught your eye. "Amour Plastique" by Videoclub. Before you typed the code in the karaoke, you asked Shoto "Is it alright if i go first?" He nodded. "Yeah sure."
You typed the code in and the instrumental started playing, you took a deep breath and started singing.
"Dans mon esprit tout divague
Je me perds dans tes yeux
Je me noie dans la vague de ton regard amoureux
Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau
Une fleur, une femme dans ton cœur Roméo
Je ne suis que ton nom, le souffle lancinant
De nos corps dans le sombre animés lentement"
You stopped singing and noticed Shoto's eyes were sparkling "Sorry those were the only part i could sing, i don't even know if i pronounced the words properly ehehe.." you said putting the mic down "No no no, it was beautiful actually, your pronounciations were perfect." he protested "Really?" you confirmed
He nodded and sat beside you, putting a kiss on your cheek "I'm having fun with our date." Shoto said, slightly blushing
You smiled at him "Me too."
Katsuki Bakugo
Finally a break from training, you immediately head over to the rooftop, sitting on the railing. You were trying to correctly pronounce the lyrics of a certain french song. Not because you wanted to sing for anyone, for yourself rather.
You pulled your phone out and put your headphones on. You played the song Amour Plastique so you could start singing along
Bakugo was just passing by, then he saw you. He thought you were going to jump off the school building so he ran over to you shouting "HEY! DON'T-" he was cut off by you singing
"Dans mon esprit tout divague
Je me perds dans tes yeux
Je me noie dans la vague de ton regard amoureux
Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau
Une fleur, une femme dans ton cœur Roméo
Je ne suis que ton nom, le souffle lancinant
De nos corps dans le sombre animés lentement"
You took your headphones off and coiled them around your neck. You turned around saw Bakugo looking down. "B-bakugo?" you asked "Don't scare me like that you dumbass, i thought you were going to jump off." he said, still looking down
You got off the railing and hugged him, surprisingly he hugged back. Even though the two of you barely talked in class. He rested his head on your shoulder. "Bakugo, what got you like this hmm?" He didn't answer. He just hugged you tighter as you stroked his hair to calm him down
The two of you stayed like that for a while until you saw Kirishima and Kaminari staring at you both
"OHOHO WHAT'S THIS? BAKUGO IS GOING SOFT" Kaminari teased
"WHAT'D YOU SAY YOU PIKACHU FUCK!?" Bakugo let go of you and faced Kaminari
Welp, atleast he's back to normal. You and Kirishima just laughed at Bakugo and Kaminari fighting.
A/n: i live for soft bakugo.
#Shoto x reader#Todoroki x reader#Izuku x reader#Midoriya x reader#Katsuki x reader#Bakugo x reader#Soft bakugo#Tamaki x reader#Amajiki x reader
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Louis Phillipe III Happy New Year “je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau, une fleur, une femme, le souffle lancinant de nos corps dans le sombre.” - Amour Plastique
Louis usou os tons tradicionais de branco como era pedido nas tradições mas fez questão de usar uma coroa, um pedido incomum para um príncipe e o Bourbon mais novo jamais usava uma, não, esse era um ornamento para o Rei Cedric. Se não estivesse claro a vinda do mesmo a Illéa, o toque sútil do objeto faria o papel, um alerta para o que viria a seguir, os boatos começariam como ele queria. Estaria o príncipe querendo tomar o lugar do irmão? Se tudo ocorresse bem, como cautelosamente calculou nos últimos anos trabalhando por trás da sombra do atual regente da França, o novo ano que começava traria mudanças para os franceses. Illéa agora tinha Alexander Schreave como Rei, porque não aproveitar a deixa para a França mudar também? Louis faria questão disso, o mais rápido possível.
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In my mind everything wanders, I get lost in your eyes
Dans mon esprit tout divague, je me perds dans tes yeux
I'm drowning in the wave of your loving gaze
Je me noie dans la vague de ton regard amoureux
I only want your soul wandering on my skin
Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau
A flower, a woman in your heart Romeo
Une fleur, une femme dans ton cœur Roméo
I'm just your name, the throbbing breath
Je ne suis que ton nom, le souffle lancinant
Of our bodies in the dark moving slowly
De nos corps dans le sombre animés lentement
And at night I cry tears running down my cheeks
Et la nuit je pleure des larmes qui coulent le long de mes joues
I only think of you when the dark day falls on me
Je ne pense à toi que quand le jour sombre, que s'abattent sur moi
My sad demons, in the bottomless abyss
Mes tristes démons, dans l'abîme sans fond
Love me until the roses wither
Aime-moi jusqu'à ce que les roses fanent
May our souls sink into deep limbo
Que nos âmes sombrent dans les limbes profondes
And at night when everything is dark I watch you dance
Et la nuit, quand tout est sombre, je te regarde danser
I echo in kisses, along your chest
Je résonne en baisers, le long de ta poitrine
Lost in the avalanche of my lost heart
Perdue dans l'avalanche de mon cœur égaré
Who are you where are you
Qui es-tu, où es-tu
By the tears, by the laughter of your frightened shadow
Par les pleurs, par les rires de ton ombre effarée
I echo in kisses
Je résonne en baisers
In my mind everything wanders, I get lost in your eyes
Dans mon esprit tout divague, je me perds dans tes yeux
I'm drowning in the wave of your loving gaze
Je me noie dans la vague de ton regard amoureux
I only want your soul wandering on my skin
Je ne veux que ton âme divaguant sur ma peau
A flower, a woman in your heart Romeo
Une fleur, une femme dans ton cœur Roméo
I'm just your name, the throbbing breath
Je ne suis que ton nom, le souffle lancinant
Of our bodies in the dark moving slowly
De nos corps dans le sombre animés lentement
And at night when everything is dark I watch you dance
Et la nuit quand tout est sombre je te regarde danser
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