#la cité lausanne
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It's on a bridge in Lausanne, it's Sunday and there's a music/performance festival, it's the last day, it's Sunday. In the morning it was pouring rain, but at 7pm the sky is blue and people have gathered here to listen pianist François Mardirossian play the music of Emahoy Tsegué-Maryam Guébrou, an Ethiopian composer, pianist and nun (1923-2023). At the end of the concert, the pianist played pieces that sounded similar, maybe influences to Tsegué-Maryam: Eric Satie, and the bis repetita from Keith Jarrett's Tokyo concert. While he was playing the last notes, five swallows came whirling down over the bridge, calling one another just above the people listening. It was a moment of grace, in movement. Serendipity I think they call it, you know?
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“Bagarre sanglante dans la ‘cité de la paix’,” Le Devoir. November 10, 1932. Page 1. === Douze personnes perdent la vie et soixante-dix blessés sont dans les hôpitaux de Genève — Les journaux genevois attribuent la responsabilité de cette tragédie aux socialistes ---- GENEVE, 10. (S.P.A.) — La “cité de la paix” a été ensanglantée hier soir par une bagarre qui a coûté la vie à 12 personnes et qui a envoyé 70 blessés dans les hôpitaux. Une foule montée par des agitateurs a voulu troubler une réunion antisocialiste et les autorités ont envoyé sur les lieux des jeunes recrues qu’elles avaient fait venir de Lausanne. La foule a hué les jeunes militaires et les a tournés en ridicule en les qualifiant d’enfants qui veulent "jouer au soldat”. Les recrues ont alors ouvert le feu de leurs mitrailleuses et des gens sont tombés sur le pavé drus comme mouches. On compte un enfant parmi les victimes. La foule irritée a massacré un soldat. Un autre soldat a pris peur en voyant tout ce sang et s'est enfui.
Les journaux du matin attribuent aux socialistes, qui font depuis quelque temps de l’agitation contre les autorités locales, la responsabilité de cette tragédie. Les orateurs socialistes auraient incité les gens à la révolution en pleine rue et quelques-uns entre eux seraient des émissaires de Moscou. Léon Nicole, directeur d’un journal du soir et membre du gouvernement cantonal, a été arrêté sous l’accusation d’avoir fomenté la révolte.
[AL: Almost all coverage of this event in Canada uncritically accepted the Swiss government’s explanation that somehow the massacre and wounding of dozens of people was their fault, and not the fault of the machine gun armed military.]
#genève#geneva#massacre#state violence#machine gunners#political protest#political demonstration#street fighting#military repression#fusillade#1932 geneva massacre#interwar period#swiss history
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Discover Lausanne in Comfort: The Ultimate Taxi Transfer Guide
Lausanne is a beautiful city, which is connected with the European states of France and Germany. With its rich cultural and educational background and being the home of the International Olympic Committee, Lausanne has become a popular destination for tourists. Regardless of the purpose of your trip, business, leisure, or just for a few hours layover, getting in and around the city with ease is easily a sure way of adding to the trip’s overall enjoyability.
All you need to know about using private taxi transfers to move around in Lausanne is how to get a smooth transfer from Zurich, and much more to ensure your trip in this beautiful city is as comfortable as possible.
Exploring Lausanne’s Key Attractions with Taxi Transfers
There is a great number of tourist places in Lausanne. Here you will find both cultural and historical sights and how car transfers can help you make the most of your visit:
Old Town (La Cité): Explore the beauty and serenity of the Old Town which is filled with narrow streets, old stone-paved paths, and the incredible Lausanne Cathedral. Taxis can easily drop you closer to these landmarks hence avoiding up-hill walks that may consume a lot of time.
Olympic Museum: Being the Olympic capital, there is the Olympic Museum of the World located in the Ouchy neighborhood. This museum contains some technological aspects in the sense that it has touchscreen games that people can play as they learn things about the Olympics. Hiring a Zurich chauffeur transfer can afford one a comfortable direct means to this memorable place of joy for families as well as for athletic personalities.
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La ville de Lausanne, située sur les rives du lac Léman et entourée par les Alpes, a une histoire qui s'étend sur plusieurs millénaires. Des premières traces de peuplement préhistorique aux périodes celte, romaine et médiévale, Lausanne a joué un rôle clé en tant que centre religieux, intellectuel et commercial. Aujourd'hui, Lausanne est une ville dynamique et moderne, mondialement connue pour son rôle dans le sport, notamment en tant que siège du Comité International Olympique (CIO). Ce guide explore en profondeur l'évolution de Lausanne à travers les âges.
1. Les origines préhistoriques et celtiques
Les premières traces d'occupation humaine dans la région de Lausanne remontent à la préhistoire, environ 4 000 ans avant notre ère. La région autour du lac Léman était propice à la vie humaine en raison de l'abondance des ressources naturelles comme l'eau, le poisson et le bois. Les premières habitations lacustres (palafittes) ont été découvertes à proximité des rives du lac, notamment à Vidy, un quartier de Lausanne. Ces premières communautés vivaient principalement de la pêche, de l'agriculture et du commerce local.
Au cours de l'âge du fer, la région de Lausanne était habitée par les Helvètes, une tribu celte qui dominait une grande partie du territoire actuel de la Suisse. Les Helvètes vivaient en communautés rurales et se consacraient à l’agriculture. Leurs relations avec les peuples voisins, comme les Romains et les Gaulois, ont joué un rôle important dans le développement économique et culturel de la région.
2. Lousonna : Lausanne à l'époque romaine
Vers la fin du Ier siècle avant J.-C., les Romains envahirent la région habitée par les Helvètes et intégrèrent la Suisse actuelle à l'Empire romain. Lausanne, connue à l'époque sous le nom de Lousonna, devint un port commercial important sur la rive du lac Léman. Ce village romain, situé à Vidy, à quelques kilomètres de la Lausanne moderne, jouait un rôle clé dans le commerce entre l'Italie et la Gaule, ainsi que d'autres régions du bassin méditerranéen.
Le site de Lousonna comportait des infrastructures typiques des colonies romaines, telles que :
Un forum (place publique) où se déroulaient des activités commerciales et sociales.
Des thermes publics.
Un théâtre.
Des temples dédiés aux divinités romaines.
Au fil du temps, Lousonna devint une petite ville prospère avec une population cosmopolite d'environ 1 500 à 2 000 habitants. Cependant, avec la chute de l'Empire romain au Ve siècle, la ville romaine déclina, et la population se déplaça vers la colline de la Cité, où se trouve aujourd'hui le centre historique de Lausanne.
3. La Lausanne médiévale : du pouvoir religieux à la domination bernoise
Après la chute de l'Empire romain, la région de Lausanne fut contrôlée par les Burgondes, un peuple germanique qui établit le royaume de Bourgogne. Vers le Ve siècle, Lausanne devint un centre chrétien important, grâce à la construction d’églises et à l’installation d’un siège épiscopal, ce qui fit de la ville un centre religieux régional. À cette époque, la ville commença à se développer autour de la colline de la Cité, surplombant le lac Léman, pour se protéger des invasions extérieures.
L'influence de l'Église
À partir du IXe siècle, les évêques de Lausanne exercèrent un pouvoir considérable, à la fois spirituel et temporel. En tant que seigneurs locaux, les évêques possédaient d’immenses terres et contrôlaient une grande partie de la vie politique et économique de la ville. Cette domination religieuse s'étendit à l'ensemble de la région jusqu'à la Réforme.
Construction de la cathédrale Notre-Dame de Lausanne
L'un des événements marquants de cette période fut la construction de la cathédrale Notre-Dame au XIIe siècle. Cet édifice gothique, situé sur la colline de la Cité, reste à ce jour l'un des monuments les plus emblématiques de Lausanne. La cathédrale devint un centre spirituel majeur, attirant des pèlerins de toute l'Europe. Elle symbolisait le pouvoir et la richesse de l'Église catholique à Lausanne.
4. La Réforme protestante et la domination bernoise (1536-1798)
En 1536, Lausanne fut envahie par les troupes bernoises, marquant un tournant majeur dans l’histoire de la ville. Berne, un canton protestant, imposa la Réforme à Lausanne, mettant fin à des siècles de domination catholique. Les évêques furent expulsés, et les biens de l'Église furent confisqués. La cathédrale Notre-Dame fut convertie en temple protestant.
Pendant cette période, Lausanne perdit son autonomie politique et fut administrée par Berne en tant que simple bailliage. Toutefois, la ville conserva son rôle intellectuel et éducatif. L'Académie de Lausanne, fondée en 1537, devint un centre majeur pour la formation des pasteurs protestants et des intellectuels réformés.
5. L’indépendance vaudoise et la période révolutionnaire
La domination bernoise prit fin en 1798 avec la Révolution vaudoise. Inspirée par les idéaux de la Révolution française, la population vaudoise se révolta contre l’autorité bernoise, avec l’aide des troupes françaises. Lausanne devint la capitale du nouveau canton de Vaud, intégré à la République helvétique sous l'influence de Napoléon Bonaparte.
Cette période fut marquée par une redéfinition de l'identité vaudoise et lausannoise, avec un fort sentiment d'indépendance et de souveraineté locale.
6. Le XIXe siècle : industrialisation et transformation urbaine
Au cours du XIXe siècle, Lausanne entra dans une phase d'industrialisation rapide et d'urbanisation. La ville se modernisa avec l'arrivée du chemin de fer en 1856, reliant Lausanne au reste de la Suisse et de l'Europe. Le port d'Ouchy devint un point stratégique pour le commerce maritime sur le lac Léman.
Expansion économique et démographique
La révolution industrielle transforma Lausanne en un centre de commerce, de transport et d'industrie. La population augmenta rapidement, attirant des travailleurs des campagnes environnantes et des pays voisins. De nouveaux quartiers émergèrent, et l'architecture de la ville évolua avec la construction de nombreux bâtiments publics, hôtels de luxe, et résidences bourgeoises.
Tourisme et culture
Grâce à son emplacement pittoresque au bord du lac Léman et à sa proximité avec les Alpes, Lausanne attira également l'élite européenne, y compris des écrivains, des poètes et des artistes. Des figures littéraires comme Lord Byron, Victor Hugo et Charles Dickens visitèrent Lausanne, contribuant à la renommée internationale de la ville.
7. Lausanne au XXe siècle : une ville internationale et olympique
Au début du XXe siècle, Lausanne se forgea une réputation de ville internationale, accueillant de nombreuses institutions et événements mondiaux. En 1915, le Comité International Olympique (CIO) choisit Lausanne comme siège, sous l’impulsion de Pierre de Coubertin. Ce choix fit de Lausanne la capitale olympique, renforçant son rôle de centre mondial pour les sports et le dialogue entre nations.
Le rôle du CIO et l’expansion du sport
Avec le temps, Lausanne devint le siège de nombreuses fédérations sportives internationales et accueillit le Musée Olympique en 1993, un centre d’exposition sur l’histoire des Jeux Olympiques. Aujourd'hui, Lausanne est une plaque tournante pour le sport international et abrite également le Tribunal Arbitral du Sport (TAS).
Modernisation et développement économique
Le XXe siècle fut aussi une période de transformation économique et technologique. Lausanne se diversifia avec l'essor des secteurs des services, de la recherche et de l'éducation. L'Université de Lausanne (UNIL) et l'École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), fondée en 1969, sont devenues des centres de recherche de renommée mondiale, attirant des étudiants et des scientifiques internationaux.
8. Lausanne aujourd'hui : dynamisme, culture et innovation
Aujourd'hui, Lausanne est l'une des villes les plus dynamiques de Suisse, connue pour sa qualité de vie, son économie florissante et sa scène culturelle vibrante. C'est une ville internationale avec une population diversifiée, où se côtoient les innovations technologiques, la culture et le sport.
Une ville culturelle
Lausanne est également une ville de festivals et d'événements culturels. Elle accueille le Festival de la Cité, un des plus anciens festivals en plein air de Suisse, ainsi que des institutions de renom comme le Béjart Ballet Lausanne, un des plus grands ballets contemporains du monde.
Centre d'innovation et d'éducation
L'EPFL et l'Université de Lausanne jouent un rôle central dans la position de la ville en tant que pôle de recherche et d'innovation. Les collaborations entre ces institutions et les entreprises locales dans des secteurs tels que la biotechnologie, l'intelligence artificielle et les technologies vertes sont à la pointe de la modernité.
Lausanne est une ville dont l'histoire est marquée par des transformations majeures, des origines celtiques et romaines à son rôle de centre protestant et de capitale olympique. Aujourd'hui, elle combine un patrimoine historique riche avec une modernité dynamique, ce qui en fait l'une des villes les plus attractives de Suisse, tant pour ses habitants que pour ses visiteurs.
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Darius + Mars Red Sky à La Sarraz
Aujourd'hui sur Blog à part – Darius + Mars Red Sky à La Sarraz C’est un événement singulier au Château de La Sarraz: une dégustation de vins suivie d’un concert de Darius et Mars Red Sky, organisé par Humus & Wine. #Concert #PostRock #PsychedelicRock
C’est un événement quelque peu singulier que celui organisé, dimanche 23 juin, au Château de La Sarraz: une dégustation de vins suivie d’un concert de Darius et Mars Red Sky. Le tout est organisé par Humus & Wine, une structure née du label musical Hummus Records et de la Brasserie de Montbenon, à Lausanne. Me revoici donc embarqué pour deux heures de tram et de train jusqu’à la petite cité…
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Annecy
Annecy est une ville des Alpes située dans le sud-est de la France. C'est là que le lac d'Annecy se déverse dans le Thiou. Elle est réputée pour sa vieille ville avec ses rues pavées, ses canaux sinueux et ses maisons aux couleurs pastel.
Surplombant la ville, le château médiéval d'Annecy, ancienne résidence des comtes de Genève, abrite un musée proposant des objets régionaux, tels que du mobilier alpin ou des œuvres religieuses, ainsi qu'une exposition sur l'histoire naturelle.
Comment venir ?
Annecy se situe :
en train : 1h15 de Genève, 1h40 de Grenoble, 2h de Lyon, 3h de Valence, 3h40 de Paris
en voiture : 30min de Genève, 1h de Grenoble, 1h20 de Lyon, 2h de Valence
en bus : 1h de Genève, 1h40 de Grenoble, 2h10 de Lyon
Quand et combien de temps ?
Annecy se visite très rapidement car le centre-ville est assez petit, une journée peut donc être suffisante pour explorer la cité lacustre. Mais si vous souhaitez profiter des espaces verts environnants, partir en randonnée ou faire des musées mieux vaut rester deux jours.
Quoi voir à Annecy ?
Des monuments historiques : Pont des amours, Hotel de ville, Rue royale, Hotel de sales, Haras, Ancien hotel de ville, Maison gallo, Vieille Ville, le Pâquier
Des espaces verts : Jardins de l’Europe, l’Île des Cygnes, Le thiou, les bords du lac, Parc Animalier de la Grande Jeanne, Parc Vignières-Pommaries, Parc de l'Île Saint-Joseph, Parc Charles Bosson, Volière de l'Impérial, Verger du Colovry
Du patrimoine religieux : Basilique de la visitation, Eglise st maurice, Eglise notre dame de liesse, Eglise st françois de sales, Cathédrale st pierre,
Des musées : Palais de l’ile, Musée château, Musée du Film d’Animation
Quoi voir dans les environs ?
Des villes et villages : Grenoble, Aix-les-Bains, Chambéry, Valence, Genève, Lausanne, Lyon
Des espaces naturels : jardins Secrets de Vaulx, aigles du Léman
Des monuments uniques : abbaye de Tamié, château de Thorens, château de Montrotier, château de Menthon, château de Clermont, château de Duingt
crédits photos @lilstjarna
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Il y 100 ans
Mars-Avril 1923
Mars-Avril 1923 - des Annales de Lyre No. 193.
1.
REVUE DE MOIS
Du 12 février au 15 avril 1923
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FRANCE
A LA CHAMBRE. – 29 Mars. Vote définitif de la nouvelle loi militaire : Service de 18 mois…
AUTRES PAYS
ALLEMAGNE. - Dans la Ruhr, les Allemands nous créent le plus d’embarras qu’ils peuvent. Notre politique en devient de plus en plus énergique. Le 31 mars, dans une usine Krupp d’automobiles, nos soldats obligés de se défendre, 12 allemands tués, 30 blessés.
« La France n’abandonnera pas ses gages contre de simples promesses. Elle a le droit d’être payée : Elle veut l’être, elle tiendra jusqu’à ce qu’elle le soit. » (Discours Poincaré, au monument de Dunkerques, le 15 avril).
FAITS DIVERS
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CHRONIQUE OUVRIÈRE
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La T. S. F. à Chagny
La Télégraphie sans fil existait avant la guerre, grâce aux découvertes du savant Branly, de l’Institut Catholique de Paris, perfectionnée par l’italien Marconi. Mais, il fallait pour en bénéficier, suivre au son l’alphabet Morse. Avec la T. S. F., - la Téléphonie où le fil est remplacé par des ondes électriques d’un kilomètre et davantage, - c’est la parole elle-même qu’on entend comme au téléphone.
Pour la première fois, à Lyre, nous avons joui de cette merveille le dimanche 7 janvier. Sur la demande du Directeur de l’usine, M. M., et au profit de l’Association ouvrière de Secours Mutuels, la Société de Laminoirs Baraguey-Fouquet avait donné toutes les autorisations nécessaires. Aussitôt, M. A., électricien à la Neuve-Lyre, s’était mis à l’œuvre. Aidé d’une équipe d’ouvriers, aussi habiles que vigoureux, il avait élevé à l’aile gauche de la cantine et à l’extrémité sud de la grande cité ouvrière, deux tiges métalliques, entre lesquelles il tendit horizontalement quatre fils…
On dirait une lyre dans le ciel : c’est l’antenne. La distance entre les deux supports est de 60 mètres ; la longueur totale des fils de 240 mètres.
Mais, entrons dans le réfectoire de la cantine, que M. R. a transformé en salle d’audition.
L’appareil récepteur, posé sur une table, et soigneusement isolé, se compose principalement d’un amplificateur, de quatre lampes électriques assez compliquées et d’une caisse de résonance. Il appartient à M. A., électricien à Verneuil, qui a tenu à l’installer et à le mettre au point. C’est en passant par cet appareil, après s’être canalisées dans un seul fil, que les vibrations de l’antenne sont redevenues pour nous les paroles et la musique, qu’elles étaient à leur départ de Paris, à 38 lieues d’ici.
Nous avons été en communication à 18 h. 20, avec le poste de la Tour Eiffel ; à 14 heures et à 20 h. 45 avec celui de la Société Française Radio-Electrique. Longueur d’ondes du poste de la Tour Eiffel, 2.600 mètres ; de la Société Radio, 1.565 mètres.
La communication avec la Tour Eiffel a été trouvée par plusieurs la mieux réussie.
D’une voix grave, comme il convenait, la Science, qui commençait la séance, nous prédit le temps qu’il ferait le lendemain : temps frais. On aurait pu s’en douter. Mais, que de choses on n’aurait pas devinées, par exemple que le vent soufflerait du nord sur l’Adriatique, le tout agrémenté d’une multitude de chiffres plus suggestifs les uns que les autres.
Le concert eut lieu ensuite.
Il fut bien piqueté de tictic, tictic, tic, tic, tic, quand des télégrammes Morse arrivaient de Rome, de Londres, de Lausanne ( ?) – et mêlé de quelque friture, quand venaient s’y greffer un instant des concerts de même longueur d’onde ; il n’en fut pas moins excellent dans sa partie instrumentale.
Qui n’eût admiré le Chant élégiaque de P. Fiévet, exécuté au violoncelle par Cl. Fiévet de l’Opéra ? Et les solos de cor : Nocturne, de Cl. Fiévet et Les Adieux, de P. Fiévet, sonnés par Jean Devemy, 1er cor solo de la Garde Républicaine ? – Quant aux chants de Mme Touret, Rives chéries, de Glück et Haï Lulli, de A. Cognard, ils nous permirent d’apprécier l’étendue, la sonorité, l’expression et le nuance de voix de la cantatrice ; mais, il nous fut impossible de distinguer ses paroles. La faute n’en fut certainement pas au récepteur, mais à l’état brumeux de l’atmosphère.
Séance en tout cas merveilleuse de nouveauté, radieuse d’espérance. Rien que la pensée que, par ce mode nouveau, le même orateur, le même artiste pourront se faire entendre, au même moment, par tous les Français, - et que par suite tous les Français pourront sentir battre leur cœur, au même moment, pour les mêmes grandes causes, - quel symbole, quel moyen d’union, quelle vision d’avenir !
Nos meilleurs mercis et félicitations à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à nous donner ce pressentiment dans la séance du 7 janvier.
Mars-Avril 1923 - des Annales de Lyre No. 193.
2.
MARCHÉS
Lyre. – Le 23 avril. Beurre, 6 francs la livre. Œufs, 2 fr. 50 la douzaine.
La vie toujours extrêmement chère : le veau, le porc inabordables. Divers légumes aussi. On nous cite un artichaut vendu 2 francs : ce sera bientôt un sou la feuille ; le foin par-dessus le marché.
Etat de la plaine et des jardins. – Dans les jardins, la végétation est ardente. Pruniers, cerisiers, pommiers. Belles apparences. Pas ou peu de poires. – Les Blés continuent à souffrir des pluies : les autres récoltes et surtout les herbes, - à s’en bien porter.
Vieille-Lyre. – La Messe de Gounod (Messe à deux voix), avait été longuement préparée. Elle a fait honneur, le jour de Pâques, à la nouvelle Chorale qui l’a exécutée et à ses excellents Directeur et Directrice. On se serait cru revenu aux fêtes musicales de l’abbé Pique, l’ancien curé de la Vieille-Lyre, le compositeur renommé. Le lutrin s’était transporté à la tribune de l’orgue, récemment restauré…
Bois-Normand. – Cinéma. Le dimanche 4 mars, à 8 heures du soir, dans le garage du château, M. le curé des Bottereaux a donné une séance de projections et de cinéma sur « les cités et monuments de l’Egypte, de la Palestine, de la Syrie etc. » qu’il a visités et photographiés au nom de la mission Gouraud. Malgré sa partie récréative, la séance était plutôt sérieuse. Elle a obtenu un plein succès.
Bois-Normand. – Au Tribunal. M. L. .. deux jours de prison et trois amendes de 2 francs pour abattage d’arbres appartenant à M. L.
Bois-Anzeray. – Vol de lapins. Deux mois de prison à la demoiselle D…, qui a volé successivement 4 lapins à Mme A. et 4 à Mme L. et les a mis dans le clapier de son maître M. R.
Neuve-Lyre. – Au Tribunal. Mme O., tenancière de l’Hôtel du Cygne, n’avait le droit de vendre des boissons titrant plus de 23° qu’à ses hôtes et aux heures des repas. – Les employés des contributions indirectes, ayant constaté qu’elle en vendait à 60°, en dehors des repas, l’ont fait condamner à 100 francs d’amende plus à divers frais et confiscations, qui représentent une somme totale de 4.000 francs. C’est cher le petit verre.
Baux-de-Breteuil. – Ecrasé. Le 7 avril, vers 9 heures du soir, arrivait à vive allure chez M. V., au Hamelet, son cheval attelé au tombereau. Qu’était devenu le charretier l’italien Carabelli, que M. V. avait chez lui depuis juillet et dont il avait toute satisfaction ? – On ne tarda pas à le trouver mourant, la face contre terre, sur la route des Baux à Ambenay. Un phare d’automobile avait effrayé le cheval : celui-ci s’était emballé renversant son conducteur et lui faisant passer l’une des roues du tombereau sur le corps. Malgré les soins du Dr M. G., suppléant de M. Morand, le pauvre Carabelli rendait l’âme vers 1 heure du matin.
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Interview: Sun Cousto (#2)
Sun Cousto à travers mon Nikon.
Un an après leur concert à la Galicienne, je me réjouissais de retrouver les Sun Cousto au festival de la Cité à Lausanne. Quelques heures avant leur set de minuit, joyeux et explosif, le duo accepte de me retrouver pour prendre des nouvelles et discuter de leurs projets post-Corona. Le programme est riche: des nouvelles chansons, un nouveau disque et un moyen-métrage. Je leur demande aussi de choisir un sponsor Suisse pour une hypothétique grosse tournée. Un grand merci à Sun Cousto et au festival La Cité! Rejoignez-nous!
Comment va la vie ces temps-ci ?
Julie : Ca va, c’est l’été ! On travaille en ce moment. On est aussi en création de théâtre, cette semaine on jonglait entre le théâtre et la cité. On est sur les deux fronts, mais on essaie en même temps d’être chill parce que c’est l’été et qu’on n’a pas envie de trop travailler. Du coup on se lève et on fait ce qu’on doit faire, mais tranquillement.
Isumi : On se lève, on fait des trucs et après on se couche ! (rires)
Julie : On s’est quand même fait des petites vacances, on est parties à la montagne mais séparément.
Je voulais aussi savoir ce qu’il y aurait dans votre set de ce soir. Est-ce que vous allez jouer des nouvelles chansons ?
Julie : Il y a deux nouveaux morceaux, Do you wanna die et Ticket to Lima, qui ne sont plus si nouveaux que ça parce qu’entre-temps, il y a eu le Corona. On les a enregistrés il y a un an avec Louis Jucker. Ils devaient sortir l’année dernière, un peu avant la deuxième vague, sous la forme d’un 7’’ sur la collection Tiny, le label de Hummus Records de Louis. On devait faire une semaine de tournée et de concerts, et vendre ce 7’’ avec les deux titres. La tournée est repoussée jusqu’en octobre 2021, donc un an et demi plus tard que ce qui était prévu. On aimerait aussi faire un nouveau disque, avec la chanson Hardcore Sex with your TV, qui est un morceau qu’on avait composé avant le Corona. Sinon, on est en train d’écrire des morceaux pour le prochain disque, mais on ne les joue pas encore.
Je voulais aussi parler de la reprise de Lola des Kinks que vous jouez sur scène. J’adore les Kinks !
Isumi : En fait, on aime bien les Kinks aussi, mais surtout le groupe anglais the Raincoats. Elles ont fait une reprise de Lola, et on voulait vraiment la jouer. Ce sont elles qui nous ont donné envie de reprendre cette chanson.
Julie : À la base, on l’avait jouée pour la première fois au FFIFA, le Festival des Femmes* Insoumises et Fières en Action, au Rocking Chair, où on avait fait plusieurs reprises de groupes avec des musiciennes. La reprise est cool parce qu’il y a plein de gens qui connaissent la chanson et qui la chantent avec nous en concert.
Imaginons que vous partez pour une mégatournée de six mois. Vous avez pour cette tournée un sponsor qui est 100 % suisse, mais vous devez en échange manger la nourriture qu’il vous fournit à chaque repas. Que choisissez-vous entre la fondue Gerber et le papet vaudois ?
Isumi : Du papet vaudois.
Julie : Moi aussi.
Isumi : Il y a un peu de légumes dans le papet vaudois, Gerber ce n’est que du fromage !
Julie : La fondue à tous les repas pendant six mois, tu ne la digères plus ! Ton estomac devient un nœud !
Isumi : Une fois, j’ai joué dans un spectacle où on mangeait de la raclette. À la fin des deux mois de répète, je devais prendre des médicaments pour le lactose parce que je commençais à avoir des boutons à cause de la raclette ! C’était horrible.
Julie : En plus, la fondue Gerber n’est pas la meilleure.
Quels sont les plans de Sun Cousto pour le futur ?
Julie : Un 7’’ en octobre, en même temps que celui de Love Cans. On va faire la sortie et les concerts avec eux. Ensuite, on aimerait enregistrer le prochain disque. On va aussi faire un moyen-métrage connecté au disque avec un ami qui est réalisateur, Lucien – c’est aussi lui qui fait nos clips. On aimerait bien faire un grand événement qui serait en même temps la projection du film. Un clip va sortir bientôt. On commence aussi à penser à faire des tournées en-dehors de la Suisse, et à chercher des labels étrangers.
https://suncousto.bandcamp.com/ https://www.facebook.com/suncousto https://www.instagram.com/sun.cousto/
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Nous sommes du bétail. Certes, mais en quoi exactement ?
« La prophétie de Georges Orwell se trouve réalisée aujourd'hui. On nous a peu à peu supprimé tous les mots négatifs du vocabulaire qui nous permettaient de nommer négativement le capitalisme et donc, de le penser négativement et qu’on nous les remplace par des mots positifs. À partir du moment où on n’a plus que de la pensée positive, on n’est plus en démocratie, puisqu’on ne peut plus penser les contradictions du capitalisme. […] Aujourd'hui, nous n’avons pas encore inventé les moyens de nous défendre contre du langage positif. Comment se battre contre la ”démarche qualité“ ? – Vous êtes contre la qualité, vous ? – La ”démarche qualité“, c’est des gens qui se suicident aujourd'hui dans un certain nombre d’entreprises… parce que ce n’est pas une ”démarche qualité“, mais une démarche productivité, bien sûr (0). » (Franck Lepage)
Nous défendre contre la perte de sens du vocabulaire, certes, mais est-ce suffisant ? Dans la rencontre animée par Ema Krusi qui suit, Slobodan Despot (traducteur, chroniqueur, critique et éditeur suisse d’origine serbe) (0.1) nous expose comment et par qui sont mises en application les connaissances universitaires en comportementalisme pour nous diriger, par le biais de l’ingénierie sociale, là où les élites veulent nous mener : une voie de garage, un « Global Humanic Park », un enclos planétaire. À la suite de cet exposé, on est curieux d’en savoir plus au sujet de Daniel Kahneman (1, 2) et de Cass Sunstein (3). —
(à 00:33:00) « Les gens qui sont dans le système se débrouillent très bien pour y rester, même quand le système, apparemment, change de peau (ou de drapeau). Il y a des gens qui sont dans le “flux“ et il y a des gens qui sont en dehors du “flu“. […] ceux qui sont dans le “flux”, pour y rester, ne doivent surtout pas réfléchir ; ceux qui réfléchissent, parce qu’ils hors du “flux”, n’arrivent pas à se mettre dans le “flux”. C’est une position relative aux caractères humains qui ne dépend pas de l’idéologie en place. C’est comme ça. […] [Concernant les futurs rédacteurs des grands éditoriaux durant leurs études] : Je voyais qu’ils avaient un flair extraordinaire pour adopter la ligne qui leur éviteraient […] de se poser des questions et de poser des questions. Il suffirait de répéter ‘opinion admise, mais ils avaient un flair pour savoir quelle serait l’opinion admise demain. Il faut un certain talent pour, ça, un talent d’opportunistes, mais il n’y a pas de pensée là-derrière. Ayant eu la chance d’avoir été formé au lycée de l’abbaye de Saint-Maurice en Valais, tenu par de chanoines […] qui nous éduquaient à la philosophie, à la rhétorique, à la logique… et, si cette rhétorique et cette logique se retournait contre eux, ils étaient tout contents, parce qu’ils nous avaient enseigné quelque chose. […] En arrivant, à 19 ans, à la faculté des lettres à Lausanne, j’ai été frappé par la totale absence de réflexion et de pensée structurée des gens qui allaient former l’élite de cette société pour les années à venir. Ceux qui ont été formés dans les années 1980 sont aujourd’hui aux commandes et la dernière chose qu’ils font, c’est de réfléchir… »
(00:36:04-25) Edouard Berneys et la manipulation mentale : « En fait, on barbote là-dedans. Car, à mesure que les générations de “dirigeants” d’apparatchiks, désapprenaient à penser, par leur propre tête, on avait dans des secteurs bien précis des gens qui apprenaient à penser la non-pensée (!), c’est-à-dire comment embrigader, orienter, polariser ces moutons pour aboutir à certaines fins. »
(00:37:10) « Il y a deux ou trois semaines, dans l’anti-presse, j’ai donné mon interprétation du phénomène de psychologie collective qui a permis la création de cette immense panique à partir de pas grand chose qu’est la “covidéologie”. Et, j’ai découvert, dans un livre de psychologie, qui est une référence dans le business, le livre de Daniel Kahneman (prix Nobel d’économie), Les deux vitesses de la pensée (1, 2), qui raconte sur base des recherches d’un de ses collègues [Amos Tversky] […] la cascade de disponibilités qui fait que l’être humain, surtout à l’échelle collective et surtout soumis à des émotions, ne tient pas compte de ce qu’il sait être vrai, de ce qu’il sait être sûr, de ce qu’il sait être fiable, mais tient surtout compte de ce qui est disponible à l’esprit à un moment donné. Grosso modo, pour reprendre la technique de Goebels, si on lui raconte cent fois par jour la même connerie, l’être humain finit par raisonner en fonction de cette connerie et non pas en fonction de ce qu’il sait être vrai. Lorsqu’on crée un phénomène auto-alimenté, cela devient une cascade de disponibilités, c’est-à-dire qu’on médiatise un phénomène et à partir du moment où ce phénomène est suffisamment médiatisé, ce n’est plus le phénomène qui est l’objet de l’attention et de la panique, mais les effets de la médiatisation, deuxième degré… puis il y a un troisième degré [non explicité – ndr]. Donc, l’origine de la spirale se perd complètement et on n’en a plus besoin. Pour cette raison, aujourd’hui, il ne sert plus à rien d’aller chercher et de publier les statistiques de l’Office fédéral de la santé publique, de l’INSEE français. Ces statistiques donnent la réalité, mais on n’en est plus là (!).
Le psychologue américain qui a découvert la cascade de disponibilité qui décrit parfaitement la pseudo-réalité [la fable orchestrée de mains de nos maîtres – ndr] dans laquelle nous nous trouvons, se nomme Cass Sunstein (3), qui est aujourd’hui conseiller de l’OMS (4) (!). donc, le type qui serait le mieux à même d’arrêter la machine est celui qui sert de chauffeur dans la locimotive. […] J’observe que si les médecins de l’OMS ne sont pas très compétents, les psychologues, eux, le sont. » (Slobodan Despot)
‣ Ema Krusi, « La Krusière s’amuse – #1 – Slobodan Despot – Dr Edouard Broussalian [12.01.2021] », pub. 12 jan. 2021, https://emakrusi.com/videos/la-krusiere-samuse-1-slobodan-despot-dr-edouard-broussalian-12-01-2021/ (cons. 1er mai 2021). — (0) chaîne youtube « le média », « Cure de désintox contre la langue de bois - Franck Lepage », pub. 21 nov. 2018, https://youtu.be/JjJ2tzh3r7w (cons. 2 mai 2021). (0.1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Slobodan_Despot (cons. 2 mai 2021). (1) wikipedia, « système 1 / système 2 : les deux vitesses de la pensée » – « système 1 / système 2 : les deux vitesses de la pensée (thinking, fast and slow) est un livre publié en 2011 par le lauréat du “prix nobel d'économie” daniel kahneman, qui résume les recherches qu'il a effectuées au fil des décennies, souvent en collaboration avec amos tversky. Il couvre les trois phases de sa carrière : ses travaux de jeunesse sur les biais cognitifs, son travail sur la théorie des perspectives et ses travaux ultérieurs sur le bonheur. La thèse centrale du livre est la dichotomie entre deux modes de pensée : le système 1 (rapide, instinctif et émotionnel) et le système 2 (plus lent, plus réfléchi et plus logique). Le livre définit les biais cognitifs associés à chacun de ces modes de pensée, en commençant par les recherches de Daniel Kahneman sur l'aversion à la perte. Du cadrage des choix en passant par la substitution, le livre met à profit plusieurs décennies de recherche universitaire pour montrer une trop grande confiance dans le jugement humain. » – https://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_1_/_Syst%C3%A8me_2_:_Les_deux_vitesses_de_la_pens%C3%A9e (cons. 2 mai 2021). (2) Daniel Kahneman, « Système 1 / Système 2: Les deux vitesses de la pensée », https://www.amazon.fr/Syst%C3%A8me-deux-vitesses-pens%C3%A9e/dp/2081211475 (cons. 2 mai 2021). (3) Ce qui est fou, c’est que sur sa page Wikipedia (en), c’est que pour défaire une théorie du complot qui s’auto-alimente via les cascades de disponibilité (cognitive), Cass Sunstein envisage plusieurs stratégies dont l’infiltration… et que, au final, les élites ne se cachent pas que pour défaire les théories du complot (qui ne sont qu’une remise en perspective de faits très gênants pour elles, car il s’agit d’une invitation au peuple à sortir de la fable dans laquelle il stagne), il faut comploter contre elles. Je ne pensais pas tomber sur une ficelle aussi grosse ! – Wikipedia, Cass Sunstein, « Cass Sunstein Robert (né le 21 Septembre 1954) est un professeur de droit américain, en particulier dans les domaines du droit constitutionnel, droit administratif, droit de l'environnement, et le droit et l'économie comportementale. Il est également un auteur à succès du New York Times avec The World Accordin Star Wars (2016) et Nudge (2008). Il a été administrateur du Bureau de l'information et des affaires réglementaires de la Maison Blanche dans l' administration Obama de 2009 à 2012. En tant que professeur à la faculté de droit de l'Université de Chicago pendant 27 ans, il a écrit des ouvrages influents sur le droit réglementaire et constitutionnel, entre autres sujets. Depuis qu'il a quitté la Maison Blanche, Sunstein a été le Professeur de l'Université Robert Walmsley à la Harvard Law School. Des études de publications juridiques ont montré que Sunstein était de loin le juriste américain le plus fréquemment cité. » (trad. via Google), https://en.wikipedia.org/wiki/Cass_Sunstein#%22Conspiracy_Theories%22_and_government_infiltration (cons. 2 mai 2021). (4) Cass Sunstein préside le Groupe consultatif technique sur les connaissances et les sciences comportementales pour la santé de l’OMS. « Cass R. Sunstein est actuellement professeur à l'Université Robert Walmsley à Harvard. Il est le fondateur et directeur du programme sur l'économie comportementale et les politiques publiques de la Harvard Law School. En 2018, il a reçu le prix Holberg du gouvernement norvégien. De 2009 à 2012, Cass a été administrateur du Bureau de l'information et des affaires réglementaires de la Maison Blanche, puis il a siégé au Comité d'examen du président sur les technologies du renseignement et des communications et au Conseil de l'innovation de la défense du Pentagone. Il est l'auteur de centaines d'articles et de dizaines de livres, dont Nudge: Improving Decisions about Health, Wealth, and Happiness (avec Richard H. Thaler, 2008). » – OMS (WHO), « Technical Advisory Group on Behavioural Insights and Sciences for Health - Biographies » (« Groupe consultatif technique sur les connaissances et les sciences comportementales pour la santé - Biographies », trad. via Google), https://www.who.int/our-work/science-division/behavioural-insights/TAG-on-behavioural-insights-and-sciences-for-health-biographies (cons. 2 mai 2021). —
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photographer by Ergy Landau (Budapest,1896 - Paris, 1967)
China 1954 - Mongolia
Landau and Goncourt Prize winner Pierre Gascard published two books about China. One of them was published under the title of "Chine ouverte" (1955). The second book, "Aujourd'hui la Chine", prefaced by Claude Roy.
Ouvrages cités d’Ergy Landau :
Pierre Gascar, Ergy Landau, Aujourd’hui la Chine, Préface de Claude Roy, Lausanne, La Guilde du Livre, 1955.
Pierre Gascar, Ergy Landau, Chine ouverte, Paris, Gallimard, 1955.
Abolir les frontières en littérature jeunesse : la tentative des albums photographiques des années 1950 à travers l’exemple d’Horoldamba le petit Mongol par Laurence Le Guen (revue STRENAE)
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Dans sa Lettre à Bernard Grasset de 1929, Ramuz précise son rapport avec la Suisse romande : « Mon pays a toujours parlé français, et, si on veut, ce n’est que « son » français, mais il le parle de plein droit [...] parce c’est sa langue maternelle, qu’il n’a pas besoin de l’apprendre, qu’il le tire d’une chair vivante dans chacun de ceux qui y naissent à chaque heure, chaque jour. [...] Mais en même temps, étant séparé de la France politique par une frontière, il s’est trouvé demeurer étranger à un certain français commun qui s’y était constitué au cours du temps. Et mon pays a eu deux langues: une qu’il lui fallait apprendre, l’autre dont il se servait par droit de naissance; il a continué à parler sa langue en même temps qu’il s’efforçait d’écrire ce qu’on appelle chez nous, à l’école, le « bon français », et ce qui est en effet le bon français pour elle, comme une marchandise dont elle a le monopole. ». Ramuz écarte l’idée que son pays soit une province de France et dit le sens de son œuvre en français : « Je me rappelle l’inquiétude qui s’était emparée de moi en voyant combien ce fameux « bon français », qui était notre langue écrite, était incapable de nous exprimer et de m’exprimer. Je voyais partout autour de moi que, parce qu’il était pour nous une langue apprise (et en définitive une langue morte), il y avait en lui comme un principe d’interruption, qui faisait que l’impression, au lieu de se transmettre telle quelle fidèlement jusqu’à sa forme extérieure, allait se déperdant en route, comme par manque de courant, finissant par se nier elle-même [...] Je me souviens que je m’étais dit timidement : peut-être qu’on pourrait essayer de ne plus traduire. L’homme qui s’exprime vraiment ne traduit pas. Il laisse le mouvement se faire en lui jusqu’à son terme, laissant ce même mouvement grouper les mots à sa façon. L’homme qui parle n’a pas le temps de traduire [...] Nous avions deux langues: une qui passait pour « la bonne », mais dont nous nous servions mal parce qu’elle n’était pas à nous, l’autre qui était soi-disant pleine de fautes, mais dont nous nous servions bien parce qu’elle était à nous. Or, l’émotion que je ressens, je la dois aux choses d’ici... « Si j’écrivais ce langage parlé, si j’écrivais notre langage... » C’est ce que j’ai essayé de faire... » (Lettre à Bernard Grasset (citée dans sa version préoriginale parue en 1928 sous le titre Lettre à un éditeur ) in Six Cahiers, no 2, Lausanne, novembre 1928).
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Charles_Ferdinand_Ramuz
#le gras est de moi#sociolinguistique#linguistique#français#variation diatopique#variation linguistique#francophonie#insécurité linguistique#suisse#suisse romande#romand#ramuz#littérature
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La ville de Lausanne, située au bord du lac Léman en Suisse, a une histoire riche et complexe qui remonte à plusieurs millénaires. Capitale du canton de Vaud, Lausanne est aujourd'hui une métropole dynamique, mais son passé est marqué par des influences celtes, romaines, médiévales et modernes. Ce guide retrace les principales étapes de l'évolution historique de Lausanne, depuis ses origines jusqu'à l'époque contemporaine.
1. Les origines préhistoriques et celtiques
La région de Lausanne était habitée dès la préhistoire, comme en témoignent les vestiges d'habitations lacustres datées de l'âge du bronze découverts au bord du lac Léman. Ces peuplements palafittes (maisons sur pilotis) révèlent que les premiers habitants étaient déjà installés près des rives du lac, profitant des ressources naturelles de l'eau.
Plus tard, les Helvètes, une tribu celtique, occupèrent la région. Ce peuple indigène vivait principalement de l'agriculture et du commerce, notamment grâce à la proximité du lac Léman qui favorisait les échanges avec d'autres peuples celtes et méditerranéens.
2. Lausanne à l'époque romaine : Lousonna
Au Ier siècle avant J.-C., l'Empire romain conquit la région des Helvètes, et Lausanne devint un site stratégique sous le nom de Lousonna. Ce nom est à l'origine du nom actuel de Lausanne. Les Romains établirent un port sur le site actuel de Vidy, à quelques kilomètres de l'emplacement de la ville moderne, et en firent un point de commerce important sur les routes reliant l'Italie et la Gaule.
Lousonna était alors un petit bourg romain doté d'infrastructures caractéristiques de l'Empire : thermes, théâtre, marché et habitations. Des fouilles archéologiques à Vidy ont révélé des vestiges de cette période, dont des mosaïques et des pièces de monnaie. Le port romain permit à Lausanne de s'intégrer pleinement dans le réseau commercial de l'Empire romain.
3. La Lausanne médiévale : entre pouvoirs ecclésiastiques et seigneuriaux
Après la chute de l'Empire romain au Ve siècle, la région tomba sous l'influence des Burgondes, un peuple germanique qui établit son royaume sur les terres helvétiques. Au VIe siècle, la christianisation de la région donna un rôle central à l'Église dans le développement de la ville.
Le siège épiscopal fut déplacé à Lausanne au IXe siècle, faisant de la ville un centre religieux important. La construction de la cathédrale Notre-Dame de Lausanne débuta au XIIe siècle et elle devint l'une des plus grandes cathédrales gothiques de Suisse. L'influence de l'Église était telle que les évêques de Lausanne jouissaient de pouvoirs temporels et gouvernaient la ville comme des seigneurs locaux. Ce pouvoir seigneurial dura plusieurs siècles.
Au Moyen Âge, Lausanne se développa sur la colline de la Cité, s'éloignant du port romain de Vidy pour des raisons de sécurité. Les fortifications furent renforcées pour protéger la ville des attaques et des rivalités entre seigneurs locaux. La ville devint un carrefour commercial grâce à sa position stratégique entre les Alpes et le plateau suisse.
4. La période bernoise : la Réforme et la domination des Bernois
Au XVIe siècle, la Réforme protestante bouleversa Lausanne. En 1536, la ville fut conquise par les troupes de Berne, un canton protestant, qui imposa la Réforme à Lausanne. Les Bernois mirent fin à l'autorité des évêques catholiques et prirent le contrôle de la ville, l'intégrant à leur territoire. La cathédrale de Lausanne fut transformée en temple protestant.
Sous la domination bernoise (1536-1798), Lausanne perdit son rôle politique mais devint un centre intellectuel et spirituel du protestantisme. L'Académie de Lausanne, fondée en 1537, joua un rôle majeur dans la formation des pasteurs et des intellectuels réformés. Cet établissement est aujourd'hui l'Université de Lausanne.
5. La Révolution vaudoise et l'indépendance de Lausanne
En 1798, les Vaudois se révoltèrent contre la domination bernoise, soutenus par les armées françaises de Napoléon Bonaparte. Lausanne devint alors la capitale du canton de Vaud, intégré à la nouvelle République helvétique. Cette période marqua la fin de la domination bernoise et le début d'une nouvelle ère pour Lausanne, qui retrouva son indépendance politique.
6. Le XIXe siècle : Lausanne moderne et industrialisation
Le XIXe siècle fut marqué par l'essor industriel et l'urbanisation de Lausanne. La ville s'agrandit rapidement et se transforma en un centre économique important. Les nouvelles infrastructures, telles que la gare (ouverture en 1856) et le port d'Ouchy, relièrent Lausanne au reste de la Suisse et de l'Europe, stimulant ainsi le commerce et l'industrie locale.
L'arrivée du chemin de fer et la construction d'hôtels prestigieux renforcèrent également la réputation de Lausanne comme destination touristique prisée par l'élite européenne, attirant des personnalités telles que Victor Hugo, Lord Byron et Charles Dickens.
Durant cette période, Lausanne devint aussi un centre intellectuel et artistique, avec la création de nombreux établissements culturels et académiques.
7. Lausanne au XXe siècle : Capitale olympique et ville internationale
Au XXe siècle, Lausanne poursuivit son développement et s’affirma comme une ville internationale. En 1915, le Comité International Olympique (CIO) s'installa à Lausanne sous l'impulsion de Pierre de Coubertin, faisant de la ville la capitale mondiale du mouvement olympique. Cet événement renforça le statut de Lausanne comme un centre international du sport et du dialogue entre nations. En 1993, la ville accueillit également le Musée Olympique, renforçant son lien avec les Jeux Olympiques.
Le XXe siècle vit également la diversification de l'économie lausannoise, avec un développement accru du secteur des services, en particulier dans l'éducation et la recherche. L’Université de Lausanne et l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) sont devenues des institutions de renom international, attirant des étudiants et des chercheurs du monde entier.
8. Lausanne aujourd'hui : une ville dynamique et internationale
Aujourd'hui, Lausanne est une ville moderne, prospère et multiculturelle. Elle est reconnue pour sa qualité de vie exceptionnelle, son dynamisme économique et son rayonnement culturel. Capitale du canton de Vaud, elle joue un rôle central dans la région lémanique, un pôle économique et technologique majeur de Suisse.
La ville continue d’être un centre international pour le sport et accueille de nombreuses organisations sportives internationales, notamment le Tribunal Arbitral du Sport (TAS). Elle attire également des visiteurs grâce à son patrimoine historique, ses festivals culturels (comme le Festival de la Cité), et ses institutions académiques de premier plan.
Lausanne est une ville qui a su évoluer au fil des siècles, de ses origines celtiques à son statut actuel de capitale internationale du sport et de l'éducation. Elle allie une histoire riche et un dynamisme moderne, offrant à ses habitants et visiteurs un cadre unique, entre lac et montagnes, tout en conservant son patrimoine historique et ses traditions.
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Nous avons eu le plaisir de monter sur scène avec Delphine Dora, dans le cadre du Festival de la cité à Lausanne. Merci au label Three:four pour sa fine programmation ainsi qu’aux résidences d’artistes La Becque pour l’accueil idyllique. We had the great pleasure to collaborate with Delphine Dora for a concert at Festival de la cité in Lausanne. Thank you three:four for programming us, and Le Becque for the beautiful studio. Photos : Marie-Douce St-Jacques
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LA KABANE
Festival de la Cité, Lausanne 9-10 juillet, 15h, Tridel
Avec Maïté Minh Tam Jeannolin, Emmel Chemouny, Géraldine Chollet, Raphaël Raccuia et Sélim Dir Mélaizi
plus d’infos sur: https://2022.festivalcite.ch/fr/p/la-kabane/
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