#le gras est de moi
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Chloe taking Red to mardi gras in Bayou de Orleans, her aunt Tiana and uncle Naveen's kingdom. (Disney how dare you take her away from me. So this is how i'm healing, in my world Ella and Tiana stayed good friends)
Chloe makes sure Red has the best time. They eat in the french quarter, go on a ghost tour, meet louis (And he's one of Red's favorite part of the trip because finally an animal she can talk to in auradon). Chloe takes Red to a local store to get their masks and nobody is surprised when the princess of hearts picks up a red one. Tiana and Naveen personally invite them to their restaurant and to watch the parade with them. And reds just happy to be there because not only is the the most fun thing she's done in Auradon to this point, but her princess is having so much fun and she'll take any excuse to hear Chloe speak french so much even if she doesn't understand.
Chloe: Est-ce que le flotteur est prêt, ma tante?
Tiana: yes Chloe, don't worry so much firefly
Chloe: Je veux juste que ce soit parfait, elle mérite le meilleur
Naveen: et ce sera la petite grenouille, tu planifies depuis des mois
Red: What're we talkin bout?
When the parade happens, Chloe makes sure they're on a balcony (because they're both short no matter what Red says) and she wants her girlfriend to have the best view. And when Red turns to look at her, mouth open in shock and eyes shining because there's a wonderland float in the mix, Chloe takes so many pictures, to the point she thinks she'll run out of storage.
#look guys i actually put out a prompt!!!!#this is a cute one so if you wanna write this use it!!#rise of red#princess red#chloe charming#glassrose#charminghearts#redcharming#descendants#glasshearts#red daughter of the queen of hearts#descendants rise of red#chloe x red#red and blue#red x chloe#i went with french speaking chloe#chloe descendants#princess tiana#prince naveen#they consume my every waking thought#i love them#i can't stop thinking about it#i can't stop posting about them#the brainrot is real#red of hearts
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Dans la pizzeria pres de chez moi la pizza du mois est une pizza camembert, confit d'oignons et lardon.
Ce n'est donc officiellement plus de ma faute si j'ai du gras sur le cul.
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Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
(...)
Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
(...)
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
#E&R#Chartres#Paris#France#Tradition#Religion#Catholique#Pèlerinage#Julien Langella#Academia Christiana#La Martinerie#FSSPX#ICRSP#FSSP
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Aujourd’hui, mercredi 03/07/24, Journée mondiale sans sac plastique 👊 Je vous souhaite un très bel été à Annecy ou dans les 33 autres communes du Grand Annecy 🏖️
Mégots, sacs en plastique, fragments de verre et autres déchets continuent de s’accumuler le long des cours d’eau et sur les plages... Et si on profitait de cette Journée mondiale sans sac plastique pour se promener, apprécier la nature tout en ramassant des détritus❓
Quatrième et dernier jour (mercredi 03/07/24) de la Fête du cinéma, opération promotionnelle de la Fédération Nationale des Cinémas Français (FNCF), toute dernière occasion d'aller dans votre cinéma préféré à moindre coût (5 € la séance) 🎞️ À Annecy et dans toute la France 📽
Comme déjà indiqué, les transports collectifs de l'agglomération du Grand Annecy sont encore gratuits ces deux mois d’été (jusqu’au samedi 31/08/24) 🚌 Excepté le service de transport à la Demande qui reste accessible au tarif Sibra officiel 🚍 Ensemble, changeons nos habitudes 🤝
Qualité de l’air à Annecy (indices ATMO) : les conditions restent défavorables à la production estivale d’ozone en raison d'un ensoleillement limité ☀ La qualité de l’air devrait rester moyenne sauf dans la vallée du Rhône où elle pourrait rester localement dégradée 💨
L���indice de risque pollinique à Annecy reste élevé, au niveau 3 en ce qui concerne les graminées (indice communal valable du 29 juin au vendredi 05/07/2024 inclus) 🤧 Personnes allergiques : évitez les activités physiques intenses à l’extérieur (parcs, jardins, etc.) 😷
Deux dictons du jour, un acheté, un offert (pour la petite histoire, cette pratique est désormais illégale) : « S’il pleut le 3 juillet, il pleuvra jusqu’au 11 août. » 🌧 « À la saint Thomas, les jours sont au plus bas. » 📉
Et deux autres dictons du jour pour la route : « À la saint Thomas, cuit ton pain, lave tes draps, tue un porc gras, si tu l’as, tu l’auras pas si tôt tué, que Noël sera arrivé. » 🤔 « À la saint Thomas, ne fait pas de gras. » 🧈
Bon troisième jour de la semaine à tous et à toutes 🤹♂️
Bonne fête aux Thomas et demain aux Florent 😘
📷 JamesO PhotO à Annecy le lundi 01/07/24 📸
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1914. Les années de la Première Guerre mondiale où les agriculteurs qui cultivaient du « chanvre » en échange de dollars américains. Le chanvre industriel n'est pas seulement une plante agricole c'est l'antidote contre le pétrole et le dollar. Comment le chanvre a été interdit ?
1. Un acre de chanvre produit autant d'oxygène que 25 acres de forêt.
2. Un acre de chanvre peut produire autant de papier que 4 acres d'arbres.
3. Alors que le chanvre peut être transformé en papier 8 fois, le bois ne peut devenir du papier que 3 fois.
4. Le chanvre pousse en 4 mois, le bois en 20-50 ans.
5. Le cannabis est un véritable piège à radiations.
6. Le cannabis peut être cultivé partout dans le monde et nécessite très peu d'eau. De plus, comme il peut chasser les insectes, il n'a pas besoin de pesticides.
7. Si les textiles fabriqués à partir de chanvre se généralisent, l'industrie des pesticides pourrait complètement disparaître.
8. Les premiers jeans étaient fabriqués à partir de chanvre ; même le mot « KANVAS » est le nom que reçoivent les produits à base de chanvre. Le chanvre est aussi une plante idéale pour la fabrication de cordes, lacets, sacs à main, chaussures et chapeaux.
9. Il réduit les effets de la chimiothérapie et des rayonnements sur le traitement du cannabis, du sida et du cancer ; il est utilisé dans au moins 250 maladies telles que les rhumatismes, le cœur, l'épilepsie, l'asthme, l'estomac, l'insomnie, la psychologie et les maladies de la colonne vertébrale.
10. La valeur protéique des graines de chanvre est très élevée et les deux acides gras qu'elle contient ne se trouvent nulle part ailleurs dans la nature.
11. Le chanvre est encore moins cher à produire que le soja.
12. Les animaux nourris au cannabis n'ont pas besoin de suppléments hormonaux.
13. Tous les produits en plastique peuvent être fabriqués à partir de chanvre, et le plastique de chanvre est très facile à remettre à la nature, il est biodégradable.
14. Si la carrosserie d'une voiture est faite de chanvre, elle sera 10 fois plus résistante que l'acier.
15. Peut aussi être utilisé pour isoler les bâtiments ; il est durable, bon marché et flexible.
16. Les savons et les cosmétiques à base de chanvre ne polluent pas l'eau et sont donc totalement respectueux de l'environnement.
En Amérique du XVIIIe siècle, leur production était obligatoire et les paysans qui ne produisaient pas étaient emprisonnés. Mais maintenant la situation est inversée. W. Р. Hearst était propriétaire de journaux, magazines et médias aux États-Unis dans les années 1900. Il avait des forêts et produisait du papier. Si le papier avait été fabriqué avec du chanvre, il aurai pu perdre des millions. Rockefeller était l'homme le plus riche du monde. Il avait une compagnie pétrolière. Le biocarburant, l'huile de chanvre, était bien sûr son plus grand ennemi. Mellon était l'un des principaux actionnaires de la société Dupont et détenait un brevet pour la fabrication de plastique à partir de produits pétroliers. L'industrie du cannabis menaçait leur marché. Plus tard, Mellon est devenu secrétaire au Trésor du président Hoover. Ces grands noms ont décidé lors de leurs réunions que le cannabis était l'ennemi et l'ont éliminé.
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On est le 9 octobre. Je me dis que les personnes qui sont nées le 9/10 étaient pas loin de la perfection, et vivront toute leur vie avec une marge de progression.
Je passe devant un parc. J'entends "Regarde!" et je regarde. C'est un enfant au sommet d'un toboggan. Sa maman ne regarde pas, alors il répète "Regarde!". Il me voit le regarder, alors je détourne le regard, et je continue de marcher. Combien de fois je n'ai pas regardé quand mon petit m'a dit "Regarde!" ? Qu'est-ce que je donnerais aujourd'hui pour regarder !
Je passe devant un café. J'entre pour demander à remplir ma gourde. Au pire si on refuse, ça me fera quand même un petit moment de socialisation. On accepte, c'est sympa. A la table près du comptoir, deux jeunes parlent de cul sans pudeur. La femme dit qu'elle prend ses accessoires BDSM sur materiel-medical.fr pas seulement parce que c'est moins cher, mais surtout parce que ce serait "plus professionnel". Je pense qu'elle est déjà dans un jeu de domination quand elle raconte ça.
Le mec qui l'écoute a une casquette. Je devine au fait qu'il la porte à l'intérieur qu'il la porte tout le temps. Il doit avoir les cheveux gras, ou les cheveux chauves, plus probablement un peu des deux. Sa casquette était rouge. Elle est rose. Le soleil l'a altérée autant qu'il a préservé sa peau. Tissu martyr.
On me rend ma gourde. Merci. Je ressors. L'eau est très froide. La prochaine fois, j'irai la remplir moi-même aux toilettes avec de l'eau tempérée.
Il se met à pleuvoir. C'est bien. Parce que c'était prévu. Ça mouille, mais c'est rassurant.
Mais il commence quand même à faire froid. Ça n'est plus tout à fait une pluie d'été. Je me dirige vers la gare. J'ai l'impression qu'avec l'automne qui vient, je vais passer de plus en plus de temps à la gare. Ma passion pour la botanique va en prendre un coup. A la gare, un gars joue du piano. Son look ne laissait pas deviner une telle sensibilité, il joue très bien. Je crois que je passe une heure à le regarder d'un peu trop près. Il me propose de jouer avec lui. Je lui réponds que je sais pas faire. Je m'installer carrément là. Il joue ensuite à quatre mains avec une autre personne qui l'écoutait, puis il lui laisse la place. Je regarde les mains qui se baladent.
Le lendemain, j'y retourne. Le pianiste est toujours là. Il me salue. Je l'écoute. J'observe ses mains.
Le lendemain, il n'est pas là. Le surlendemain non plus (je n'ai fait que passer, il faisait beau). C'est le lundi suivant qu'il revient. Il joue, je le regarde. Il me propose de m'apprendre. Je m'installe. Et je comprends que c'est une nouvelle passion. Une simple pression de mes doigts fait résonner un son magnifique dans toute la gare. C'est quand j'enchaîne les touches que le son est moins gracieux. Mais j'apprends vite, il me dit. Il veut m'apprendre. On a rendez-vous tous les jours de pluie ou les jours de froid. J'y passe plusieurs heures, à chaque fois.
Je sais que je m'accroche facilement aux hasards. C'est comme la fois où j'ai appris le Portugais pendant 2 mois, juste parce que dans la rue, j'ai entendu parler Portugais, alors que si ça se trouve c'était du Turc.
Je me passionne pour trop de choses quand je m'ennuie en ville. Si je passe devant une plaque de cabinet d'avocats, j'envisage la fac de droit. J'aperçois un laveur de vitre, je me scotche dessus jusqu'à ce qu'il ait parfaitement terminé de passer la raclette. Et même un peu après. Je voudrais apprendre à faire comme lui, je voudrais aspirer l'expérience de sa vie.
Je le dis à mon prof de piano, que j'ai l'organe de la passion bien développé, et celui de la persévérance tout atrophié. Je lui dis que ça va se finir comme ça. Si un jour de froid, je ne suis pas là, c'est que j'ai trouvé autre chose.
Maintenant, il me laisse jouer seule quelques morceaux. Il fait la quête avec son chapeau et me donne tous les sous. Il fait discrètement pour pas qu'on se fasse virer. Je mange très peu, je joue. Je perds du poids, mais au moins je joins les deux bouts.
J'arrive au pied d'un grand immeuble vitré de 4 étages avec ascenseur apparent. La porte tambour rejette un enfant qui dit "c'était la meilleure journée de ma vie à égalité". A égalité avec quoi ? Je me pose la question en levant les yeux pour contempler le bâtiment. Si ce que j'aime, c'est vivre les vies qui ne sont pas à moi, je serai bien ici. Au moins pendant l'hiver. Je me prépare à entrer à la médiathèque municipale.
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Chère Pommunist,
Merci pour ta patience, ta nuance et ta gentillesse à toutes épreuves. J'espère que tu prends soin de toi car même si les gens ne t'envoient pas de haine, ce type de situation peut devenir rapidement épuisant.
Je tiens à t'informer que dans un climat grandissant de mauvaise fois assumée et d'une incapacité à lire inquiétante du beau site qu'est tumblr – où il est toujours de bon goût de poster "si j'ai bien compris, le syndicat veut que Q MEURT 😨" plutôt que de relire les phrases lentement et avec le doigt qui suit la ligne – je résiste à l'envie terrible de laisser un message passif agressif d'explications en anon en ton honneur.
En effet, alors que je tapais un long message sarcastique et un peu méchant dans mes notes pour l'effacer ensuite comme j'en ai maintenant l'habitude (ça permet d'extérioriser...), m'est venue l'idée saugrenue que peut-être, sans doute, ça ne ferait pas trop de mal de poster ce message dans les asks d'une personne particulièrement obtuse... et je me suis dit que Pommunist, rayon de soleil de tumblr, symbole de patience à toute épreuve et de gentillesse sans faille dans l'adversité, n'approuverait pas. On a tous des moments de faiblesse je suppose, mais je suis contente de ne pas avoir suivi le mien, et c'est grâce à toi que ça a été possible.
(Je continue d'être aigrie cela dit. Mais aigrie selon les principes pommunistiens de respect et de tolérance.)
Bref continue comme ça, t'es incroyable, j'en deviendrait presque parasociale (/j)
(Mais entre nous........ parfois ce message ultra sarcastique dans les notes du téléphone démange les doigts........ je sais pas comment tu fais pour garder ton calme tout le temps mais j'admire........ Mais plus sérieusement, continue d'être quelqu'un de super (autant que possible, tu reste humaine !!), parce que je trouve ça vraiment cool que ta gentillesse m'ait inspirée moi et peut-être d'autres à ne pas écouter la petite voix dans la tête qui donne envie d'être méchant parfois. Dans une situation déjà tendue ça n'aiderait à rien mais parfois j'ai envie de m'énerver quand même. Bref, long message mais voilà, je t'envoie beaucoup de force et d'amour, prends soin de toi !!)
Franchement j’ai fait la paix avec le fait que certaines personnes ne savent juste pas lire quand j’ai vu un tweet qui répondait à la trad qu’on a fait de l’interview de léa en demandant quand s’etait passée l’interview (c’est literallement dans la première phrase du doc, tout en haut, écrite en gras 🫡). Et je pense que y’a beaucoup de gens qui sont tellement attachés à Q ou au serveur qu’ils vont inconsciemment chercher la moindre petite bête dans les discours d’en face pour les discréditer et se dire que tout va bien se passer, force à eux mdrrrr
Et vraiment c’est pas l’envie qui me manque des fois de passer en mode full français vnr full gilet jauné ambiance bien on brûle des poubelles dans la rue mais bon déjà qu’on galère à faire passer le message si on garde pas calme ça serait encore pire mdr
Mon astuce c’est juste de ronchonner en parlant à mes chats pour rester zen (ils captent rien ils doivent penser que je leur exprime mon amour et good for them franchement)
En tous cas trop doux ton message, merci beaucoup et plein d’amour en retour !!! Par contre, attends, t’as dit parasoQUOI ?????
/jjjjj
Je rigole dsl ça fait trop longtemps que j’avais cette image sans pouvoir l’utiliser car j’ai le malheur d’avoir la chance de pas recevoir de haine en anon 😔✊��
Et on oublie pas que les valeurs pommunistiennes sont certes le respect et la tolérance mais aussi les droits des travailleurs, la grève, la RÉVOLUTION DRAAAAA (now playing l’internationale)
#vous inquiétez pas mes frs sûrs je sais que des fois je sors des takes plus tièdes que la cfdt#mais on se sait on est ensemble#asks
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Louis (partie 1)
C’est un samedi soir de juin. Je me prépare à aller au lit - who am I kidding - à m’évanouir sur mon sofa avant de transférer mon cadavre vers le lit à 3h du matin.
Je fais pourtant ma petite routine de dodo: Instagram, Hinge, Bumble, Hinge, Bumble, Hinge, Instagram. Je match avec un gars sur Bumble, probablement le plus hot que j’ai vu depuis 3 jours. Et 3 jours sur les applications, quand tu swipes en 0.1 seconde des centaines de profils à l'heure avant de dormir, c’est beaucoup de temps.
Il s’appelle Louis. Il fait du vélo et semble avoir une job payante. Intéressant. Les critères sont bas, mais les critères sont là. Et il est beau. Le regard vif, les poses candides (c’est-à-dire, pas en train de flexer dans un gym), les cheveux rasés et il semble avoir de belles mains.
Les mains, c’est très important chez moi. C’est toute l’histoire d’une amourette qui se dessine avec ces mains-là. Je regarde s’il peut me prendre là où je le veux, s’il a les doigts fins, s’il a les mains marquées par la job.
Clairement, lui c’est une job de clavier. Il semble savoir pianoter; je suis intéressée. Je sens qu’il va me divertir.
Son profil mentionne l’existence d’une blonde, mais c’est sous le couvert de la blague: « I’m actually very funny, you can ask my girlfriend ». Ça porte juste assez à confusion pour que je lui parle. Je fais ni une ni deux et lui demande ce que sa bio veut dire. Tout ça, de façon charmante évidemment; le gars n’a pas de compte à me rendre.
Il me répond qu’il est en couple ouvert.
« Shit. », ai-je pensé.
Pourquoi c’est la première pensée qui m’a traversée? Pourtant, je comprends et j’admire les personnes en couple ouvert. Ce sont des personnes qui s’efforcent de communiquer et de célébrer le bonheur de l’autre. Mais je ne connais pas le gars.
Peut-être qu’il n’a pas cette vision. Peut-être qu’il est mélangé et qu’ouvrir leur couple est le dernier recours pour le sauver. J’espère que ce n’est pas le cas. Le gars m’intéresse trop pour que je m’arrête à ça. Red flag déjà en partant? Le soir, dans le noir, c’est difficile de voir les couleurs, anyway.
Il me réquisitionne en date le soir même. Les conversations coulent déjà en textos, je suis curieuse de ce qu’il a à m’offrir en vrai. Moi, je suis en pyjama avec les cheveux gras. J’accepte, parce que ma devise de l’été c’est LFG (Let’s fucking go).
Je m’arrange une face cute-coquine-tu-m’as-pris-au-dépourvu, je me fais une couette et j’ai mon outfit d’urgence qui est propre. Les astres du sexe sont alignés.
OUTFIT D’URGENCE Définition: Un agencement vestimentaire infaillible, qui masque les complexes et met en valeur les atouts. C’est le passe-partout des vêtements. Ce outfit ressemble donc à des jeans évasés, une camisole moulante blanche et une chemise ample au tissu doux.
Il me convoque au Bar Mamie. Délicieuse place de date. J’accepte. Il est 21h, l’heure de tous les possibles. L’heure de (peut-être) frencher. L’heure de partir en bixi - avec casque - pour aller rejoindre le prince charmant d’une autre. Il y a des travaux partout, je marche plus que je roule. C’est aussi à ce moment que je commence à me questionner.
Suis-je complètement tombée sur la noix? (Cette expression) M’extirper de mon sofa pour aller en date sul’ fly - avec casque - avec un gars en couple ouvert?
Je voulais une amourette d’été, mais étais-je allée trop loin? Trop loin pour une personne pour qui je vivrai toujours en second plan? Je veux vivre en second plan, en fait. Je ne veux pas avoir la pression d’être la reine d’un autre. La couronne est trop lourde à porter pour ma tête qui ne veut pas s’engager.
Ça, c’est réglé.
Je fonce à toute vitesse - avec casque - sur Bellechasse et je tourne sur Drolet. J’approche du resto. Ma pensée à ce moment: j’espère qu’il ne me verra pas en bixi avec mon casque sur ma couette. C’est tout ce que je demande.
J’enclenche mon bixi et me dirige vers le resto. Est-ce que je peux me permettre d’être aussi séduisante qu’à l’habitude? Dois-je me garder une petite gêne pour la blonde? Trop tard pour les questions. J’entre dans le resto et il est là. Beau comme un cœur. Time to shine. Mais pas trop? On est arrivés en même temps. Il a un chandail blanc soigneusement rentré dans ses jeans et un tote bag. Il est exactement ce que j’espérais: un gars qui semble keep it together. Il n’inspire pas le chaos, je respire plutôt l’odeur d’un gars propre. Il a de la classe.
« Enchanté. Moi c’est Louis. » On se fait la bise timidement, lentement. Il me semble doux.
On verra ça après quelques verres de vin.
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Je pensais que tu étais partie depuis longtemps, mais je me suis mentie à moi même.
J'en rêve la nuit, ou plutôt l'obsession revient.
Celle où, le poids est un objectif, ou chaque gramme de perdu est une victoire. Perdre encore et encore, ressentir du dégoût pour tout ce que je mange, ne plus avoir de plaisir, ne plus rien ressentir lors des repas. Rester figée devant son assiette en espérant qu'elle se vide seule. Penser au nombreuses calories qui abritent ces aliments, tout en éliminant mentalement chaque morceau de gras. Mastiquer un morceau pendant longtemps car c'est un supplice de l'avaler.
L'anorexie me quitte pas et me quittera jamais.
J'ai fait ce rêve bizarre, où l'on me disait que j'étais si maigre que l'hospitalisation était nécessaire. Durant ce cauchemar, j'etais forcée à manger tout ce qui se trouvait sur le plateau, à finir mes repas. Mais ça ne suffisait pas. Mon poids descendait et la sonde nazo gastrique m'était posée.
Pensant ce temps, j'étais partagée entre "personne comprends, voir les os ressortir, ne plus avoir les jambes qui se touchent, sentir ce désir de tout contrôler même la moindre miette de ma vie"
Et
"Je m'enfonce. Peut être ai je besoin d'être secourue ?"
Revenant à la réalité, je me rends compte qu'elle est là, que la maladie sera toujours là. J'ai beau essayé de l'efface elle reviendra toujours quand la vie est trop difficile.
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XG - WOKE UP [VOSTFR]
Traduction en français faite par moi! Merci de ne pas reprendre ou republier mes traductions sans autorisation ou attribution appropriée.
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Artiste : XG
Chanson : WOKE UP
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Ouais, j'attendais ici en les observant
Essayant de rattraper, prenez-le comme vous voulez
Je suis partie en panique, j'ai quitté pour une autre planète
Prête à faire entendre une nouvelle voix
XG bébé, prononcez les noms correctement
Je vais les épeler pour que tu les retiennes
On peut sentir l'odeur des pneus qui crissent
On peut sentir l'odeur du feu qui brûle
On peut constater qu'on a tous fait en sorte de réussir
On a réussi mais il a fallu travailler beaucoup de travail
Un travail parfait fait
qu'il en devient douloureux, n'est-ce pas ? Maintenant, je profite des résultats
Tout de suite, on chevauche la vague, on part
Parce qu'on avait la voie libre
Salut, salut, salut, en filant rapidement puis on s'envole
Vers l'espace
En sortant de l'avion
Je monte dans un coupé
Regarde ma tenue maintenant
à peine levée du lit
Je me coiffe et je me maquille en route
Prête pour la prochaine étape
Prête pour le succès
Je les fais s'incliner devant le X (uh)
Je suis bien plus qu'ordinaire, je suis respectée
Souvent sous-estimée mais je les laisse tous ruinés
Je suis le juge et le jury, je n'ai pas besoin d'entendre
Je suis celle qu'ils redoutent, mais je préfère rester discrète
C'est automatisé, je suis l'élément motivateur
J'ai dit à mes haineux : 'Plus vous êtes nombreux, mieux c'est'
Vous êtes tous mon spectacle, je suis fascinée
Je ne peux m'empêcher de rire car c'est hilarant
Une petite fille avec une grande bouche, uh
Un petit groupe mais avec une grande maison, ouais
Une grosse montre au poignet maintenant, uh
Je viens de trouver ce flow à l'instant
J'ai investi davantage pour une montre de luxe
J'ai fait une tournée en bus et tout déchiré
Tout est sur mesure maintenant, les fans se ruent dehors
La sécurité a dû m'escorter
48 lois du pouvoir
Je suis une fille avec une grande détermination et une énergie puissante
Regardez-moi exceller
Regardez-moi percuter comme un téléphone à clapet Motorola
Je ne veux pas être trop intense dès le début
Mais apporte ce rythme énergique comme un 6-4
Retrouvez-moi à Tokyo en train de rapper en jupe
Vous voyez ce que je veux dire ?
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça, comme ça
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça, comme ça
Je me vante un peu et j'y vais doucement
Je laisse une marque comme un graffiti
Envoie-moi une localisation
Et j'y serai
Je fais le show et c'est ce que je maîtrise
J'ai une vision exceptionnelle
Alors que vous vous fiez seulement à des superstitions
Regardez-moi accomplir
Tout, partout
Tout à la fois tout le temps
Dans le monde entier
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
X G A L X
Et ça c'est le nom de notre équipe 'et c'est tout !'
Je suis la protectrice, la louve
Alors ne vous moquez pas de mes enfants
On est une famille unie et forte maintenant
Alors ne rabaisse pas les nôtres, hé
Bienvenue à la fête
On s'amuse comme lors du Mardi Gras, ouais
Vous pouvez m'appeler HARVEY
Mais je ne suis pas une poupée Barbie, ouais
Dur à cuire, haha, je me moque d'eux
Pendant qu'on s'éclate
Vêtues tout en noir, en noir
On est prêtes à tout
C et O C O
C'est moi, Seigneur aie pitié
Jeune reine mais je agis comme une grande soeur
Jeune mais je suis conçue comme une OG
Je m'entraîne dur pour porter tout cet argent
Je suis en super forme pour les magazines
Et je suis une louve dans une meute
Donc je grogne et j'attaque
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça
Comme ça
Je me suis réveillée comme ça
Alors ne me cherchez pas
Je me suis réveillée comme ça
Comme ça
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Les bases de tumblr et comment rp dessus
Coucou à tous ! Je pense que vous êtes certains, tout comme moi à être venu posez vos valises suite à la fermeture prochaine de Skyblog et vous êtes sûrement nombreux à vous posez la question "Mais comment est-ce qu'on rp sur Tumblr ?" la réponse est assez simple et je vais vous la donner dans ce post, car je sais que ça aidera un certain nombre d'entre vous à prendre un nouveau départ sur une nouvelle plateforme. Déjà sachez que même si vous venez de Skyblog, il faut oublier tout ce que vous avez appris dessus et repartir de zéro, parce que oui, même si Tumblr est semblable ce n'est pas Skyblog, alors oubliez tout ce que vous savez et reprenons du début.
Déjà premier point important, vous pouvez oublier le rp par commentaires, non ça c'est bien terminé, comme vous l'aurez sans doute constater, Tumblr ne possède pas de catégorie "Commentaires à valider" donc rp par commentaire risque de vous compliquer la vie plus qu'autre chose puisqu'il vous faudra passer votre temps à chercher les commentaires pour y répondre (et je ne parle même pas de la largeur de la bulle commentaire, autant jouer sur kik ou sur line en mode mobile, un enfer pour ceux qui, comme moi, aiment les longs rps) du coup c'est simple, nous allons revenir à notre question principale :
• Comment pouvons nous rp sur Tumblr ?
Là encore la solution est simple, pour cela il vous suffit d'avoir écris son rp quelque soit le logiciel de traitement de texte que vous utilisez, que ce soit word ou google docs (toujours mieux d'écrire sur un traitement de texte, ça permet de garder le rp au chaud en cas de bug, mais surtout, à vous corrigez, si comme moi vous faites des fautes d'inattention) et d'ouvrir un post "texte" ou "image" depuis votre page d'accueil, en fonction de si vous souhaitez mettre une image ou non dans votre rp. En suite vous indiquez le titre de votre rp, vous avez même la possibilité de @ la personne avec laquelle vous comptez jouer, ce qui lui enverra une notification dans la zone "trafic" et lui permettra de voir que vous lui avez écris un rp pour cela il vous suffira d'écrire les premières lettres du blog et de sélectionner le blog qui correspond. par exemple : je tape @lepal et sur la liste donné je sélectionne @lepalaisdeslarmes si c'est le blog auquel je pense à tagguer sur mon rp.
Ensuite, il vous suffit juste de mettre votre rp juste en dessous (si comme moi vous voulez mettre de la mise en forme, je vous conseille d'attendre le dernier moment pour le faire, si vous ne souhaitez pas tout casser et/ou si vous débutez sur Tumblr) parce que oui, contrairement à Skyblog, ici vous avez la possibilité de titrer vos rps pour pas les confondre, si vous souhaitez les relire plus tard, mais également de mettre en forme vos rps, si par exemple vous souhaitez mettre vos dialogues en gras ou vos pensées en italiques, et oui il y a quand même certains avantages à rp sur Tumblr.
• Comment répondre à un rp sur Tumblr ?
Le principe reste le même que pour débuter votre rp, vous écrivez votre réponse sur votre traitement de texte habituel et au moment de répondre, il vous suffit juste d'aller sur le post du rp auquel vous devez répondre et de cliquer sur le bouton "reblog" et de coller votre rp dans la zone de texte qui à été ouverte et une fois que vous avez fait votre mise en page comme vous le souhaitez il ne vous restera qu'à poster. Cela créera un fil pour votre série de rp, ce qui vous permettra de relire vos rp le jour ou le fil sera terminé, avec vos réponses et celles de votre partenaire comme si vous lisiez chapitre par chapitre.
Si jamais vous souhaitez voir un exemple de rp sur Tumblr, pour visualiser un peu ce que j'ai pût expliquer sur ce post, vous pouvez allez voir l'un de mes rps (clique ici). Sur ce je vous souhaite une bonne aventure sur Tumblr, mais avant tout, de bons rp ❤.
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15/05/24
C'est dur d'avoir tellement de choses à lui raconter mais de rien lui dire alors je pense que je vais un peu vider mon sac ici, ça me fera peut-être du bien.
D'abord je me suis enfin acheté un chargeur correct!! Je suis trop contente même si j'ai clairement mis trop de temps mais maintenant je vais pouvoir charger mon téléphone correctement.
Je suis sortie avec les filles du stage même si j'en avais pas trop envie de base. Je me suis pas trop sentie à ma place mais au moins j'ai fait un effort social et en plus on est sorti manger et au lieu de manger un truc gras, j'ai privilégié un truc sain même si c'était un peu cher. Ce qui est positif en soi car j'ai beaucoup crisé ces dernières semaines.
J'ai été travaillé ce midi parce que ça servait à rien de rester au kot pour déprimer. C'était vraiment fatiguant ceci dit mais L. a dit un truc trop marrant t'aurais trop rigolé. En gros elle a dit à un client que la carte de proposition était grande voire même trop grande et la patronne l'a fixée tellement choquée c'était trop drôle.
J'ai aussi un peu travaillé sur mon travail, bon pas beaucoup mais là j'y suis encore et j'avance. Mais j'avoue qu'atteindre les 9000 mots ça me paraît impossible.
La il est 2 heures je t'ai plus envoyé de messages depuis 20 heure je crois, j'avoue que j'ai un peu de mal parce que j'ai envie de savoir ce que tu fais, comment tu vas ou simplement te parler mais je ne voulais pas encore t'envoyer de message car il n'y a que moi qui le fais et j'ai pu remarqué que tu ne m'en envoies aucun mais tu as raison, je vais aussi t'en envoyer moins. Je le dis pas de manière négative mais je peux pas continuer à être la seule à parler:(
Je suis surtout un peu triste parce que je pense que tu as été dormir et tu n'as pas pensé à me dire bonne nuit. Mais c'est normal, tu ne me dois plus aucun bonne nuit I.
Je vais retourner travailler histoire de pouvoir réussir mon année I.,
Bonne nuit à toi!
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" Wound "
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Nanami Kento.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Son entrevue avec Mahito l'ayant laissé quelque peu amoché, Nanami tente tant bien que mal de cacher sa blessure afin que son épouse ne l'apprenne pas. Cependant, lors de l'élaboration de son plan, Nanami n'avait pas pris en compte Gojo Satoru et son désir fou de le nuire.
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : spoil de la saison un, Nanami blessé mais rien de méchant.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad or AO3, my accounts are in my bio, these are the ONLY ONES i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad ou AO3, j'ai des liens dans ma bio, ce sont mes SEULS comptes
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟓𝟖𝟔.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
Sous mon regard attentif, Satoru entra dans la pièce. Il referma la porte derrière lui d'un simple geste de la main, s'avança nonchalamment dans ma direction, prit place sur le fauteuil devant mon bureau et s'y installa. Il se mouvait avec aise, et n'avait pas spécialement l'air préoccupé par le fait qu'il me dérangeait dans mon travail. J'arquai un sourcil, je me permis même de le zieuter ce qui, aux yeux de plusieurs, aurait pu sembler extrêmement déplacé. Gojo Satoru avait le don de faire comme bon lui semblait, il avait la réputation d'être un petit merdeux, cela lui collait à la peau depuis des années. Et, je me doutais que si il me dérangeait ici et maintenant, c'était qu'il devait y avoir une raison.
Abandonnant le tas de feuilles que j'avais commencé à signer et corriger, je déposai mon stylo feutré sur mon bureau fraîchement vernis. Il était recouvert d'une fine couche de gras. Je frôlai le tout de mon pouce.
« Qu'est-ce qui t'amène ? Je suis occupée. »
Satoru apporta une main outrée dans sa direction.
« Si ça c'est une façon d'accueillir un ami, tu me déçois..! »
« Tu m'en diras tant... »
Je me mis à jouer avec mes talons aiguilles, forçant mes pieds à sortir de mes chaussures, puis les replongeant à l'intérieur. Cela m'amusa le temps que l'enfant prodige ne reprenne enfin la parole. Il titilla ma curiosité, de part son ton étrangement solennel.
« Quelque chose s'est produit, aujourd'hui. En début d'après-midi. » se corrigea-t-il.
« Oui. » j'acquiesçai. « Tu es sorti exorciser quelques fléaux, non ? Je t'ai vu traîner avec Kento ces derniers jours, vous bossez ensemble. Rien de grave ? Dis-le moi si il t'embête, que j'en rajoute une couche. »
Sa réaction me mit la puce à l'oreille.
« Justement... »
Dans un tout autre contexte divergeant de celui-ci, il aurait surenchérit, il se serait lamenté d'un tel traitement envers sa personne voire, il m'aurait taquinée. Alors, pourquoi ne faisait-il rien de cela ? Ça portait à confusion. Je le questionnai davantage du regard. Croisant mes bras contre ma poitrine, je sentis les boutons de ma chemise grincer. Mon dos heurta au même moment le dossier de mon fauteuil.
Un mauvais pressentiment me démangeait.
« Kento est mort ? »
« Quoi ? » s'étonna gravement Satoru.
« Quoi ? » répétai-je. « C'est toi qui fais traîner la chose, tu ne peux pas être plus direct et t'exprimer ? »
L'exorciste soupira bruyamment, il accompagna ce geste en levant ses deux mains dans les airs. Son bandeau cachait la fenêtre de son âme, je fus incapable de bien percevoir ce qui se déroulait dans son esprit mais, à l'aide de son langage corporel, je me rassurais, me disant que la situation ne pouvait pas être si grave qu'elle le semblait. Dans le cas contraire, l'atmosphère l'accompagnant aurait été plus sinistre et officielle. Je tentais de m'en persuader.
« C'est Ijichi qui m'a téléphoné. Et comme je sais que la nouvelle te fera pas plaisir, je me suis dis que j'allais pas le laisser se faire manger par le grand méchant loup. »
« Moi étant le grand méchant loup, je présume ? »
Satoru me pointa du doigt.
« Exact'. »
« Kento est en vie, alors ? »
Il acquiesça. Inconsciemment, je poussai un soupir.
« Il a été blessé au combat. »
Sa petite précision, glissée maladroitement comme si il avait espéré que je ne l'entende pas me fit le regarder plus intensément. Désormais, il avait toute mon attention. Mes pieds s'agrippaient au parquet de la pièce et mes paumes fondirent contre la surface boisée de mon bureau. J'étais figée dans le moment. Paralysée par l'incrédulité.
« Je te demande pardon ? »
Satoru écarta les jambes et posa ses poignets sur chacun de ses genoux.
« Un nouveau fléaux l'a attaqué, 'rapiécé' selon sa description. Une sale ordure qui affirme manipuler les âmes des êtres humains. Nanami s'est- »
Je me levai.
« Où est-il ? »
Sans attendre, la chaise roula, elle entra en contact avec la baie vitrée derrière moi et se coinça entre le verre et le grand et épais rideau couleur pistache. Cela attira son attention. Je me redressai sur mes hauts talons aiguilles, mes jambes pressées les unes contre les autres.
« Ne me regarde pas comme ça, Satoru. Où est Kento en ce moment même ? »
Il hésita.
« Avec Shoko. »
« Évidement. » je grinçai entre mes dents.
Je retirai ma veste de costume de mon fauteuil et l'enfilai d'un geste efficace. Mes deux bras y passèrent. Je fis signe à mon collègue de se lever, ainsi, il me suivit hors du bureau. Je glissai un coup d'œil à ma montre, une TAG Heuer. Il était relativement tôt, nous arrivions à la fin de l'après-midi, cela devait faire une petite heure que Kento était revenu. Ça lui correspondait bien. Je marchais vite. Reconnaissante pour la fente derrière ma jupe crayon, j'accélérai le pas.
« Où est Ijichi ? J'ai deux mots à lui dire. »
« Il, hum, il avait autre chose à faire. »
Je le foudroyai du regard.
« Tu ne fais que gagner du temps, tu en es conscient ? » m'emportai-je.
Ijichi n'était qu'un pauvre assistant, il ne savait rien faire d'autre que poser des rideaux. C'était peut-être mieux ainsi, il n'était pas fait pour ce monde cruel composé uniquement de violence et de macabre. Il n'empêche, j'avais remis entre ses mains la vie de Kento. Je me revoyais encore lui parler devant l'école d'exorcisme, le supplier de prendre soin de lui et de me le ramener en un seul morceau. J'avais pensé pouvoir lui faire confiance, qu'elle sombre idiote avais-je été ! Je ne pouvais donc faire personne en ce monde pour me le ramener sain et sauf, pas même Gojo Satoru, l'enfant Prodige, j'imaginais, quel comble ! Cette maigre pensée força mon cœur à se serrer dans ma poitrine. J'en eus les larmes aux yeux.
Si un jour... Si un jour il ne me revenait pas..
« Laisse-moi te dire, Satoru. Dès que je lui mets la main dessus, il passera un sale quart d'heure. » déclarai-je avec conviction. « De même pour toi ! Quelle idée de le laisser sans surveillance ? Tu sais pourtant comment Kento est ! »
Ce fut avec horreur que je m'étais mise à titiller mon annulaire, plus précisément ma bague de marriage.
Je la fis tourner tout autour de mon doigt, submergée par un profond sentiment d'angoisse. Peu m'importait si Shoko s'occupait de lui, je ne pus échapper aux pensées effroyables qui s'emparèrent de mon esprit, j'en fus terriblement ébranlée. Satoru affirmait qu'il était vivant, blessé certes mais le cœur pulsant dans sa poitrine. J'aurais adoré m'en convaincre. Cela aurait été si simple. J'avais.. J'avais simplement le besoin de m'en assurer moi-même, il me fallait plonger mon regard dans ses beaux yeux, toucher son avant-bras, écouter le son de sa voix, me blottir contre lui, et l'entendre me répondre avec chaleur et affection tandis que je le réprimanderais.
« Ce fléau, Kento l'a attrapé ? »
« D'après Ijichi, non. »
« Comment ça ? » m'offusquai-je.
« Tu le connais mieux que moi... »
Satoru me rattrapait, à présent il marchait à côté de moi, les mains dans les poches de son uniforme. Quant à moi, je regardai à nouveau ma montre. Juste après, je retournai titiller ma bague.
« Je vais moi-même me charger de son cas. Il va voir. »
« Le fléau, ou⸺ »
« Kento, bien sûr. Ce fichu fléau m'importe peu ! Quelqu'un finira bien par l'exorciser. C'est lui qui m'inquiète. »
« Je l'ai vu, avant de te rendre visite. » me conta Satoru. « Hormis son flanc gauche, il n'est pas gravement blessé, tu n'as pas trop à t'en faire. Il est solide, mine de rien. »
« Je sais de quel bois est fait mon mari, merci. »
Satoru esquissa un rictus. Il leva les mains en l'air.
« Je disais ça comme ça... »
Nous arrivâmes enfin à destination.
J'ignorai mon ami de longue date pour pousser la porte du bureau de Shoko, pénétrant la première dans la pièce et faisant passer mon regard sur l'endroit à la recherche de Kento. Les bibliothèques contenant des livres de médecine ou de fléaux furent ignorées, tout comme les lampes ou les murs et sol faits de bois, son bureau et Shoko elle-même. Car, presque instantanément, mes yeux s'étaient posés sur lui. J'avais trouvé Kento.
Assis sur un canapé calé contre le mur gauche de la pièce, la brune était accroupie dos à nous, elle se chargeait de trifouiller le flanc de mon mari, mais elle tournait la tête dès qu'elle entendit Satoru refermer la porte.
« Je t'avais dit de garder le silence. »
Les propos de Kento ne me surprirent point, l'enfant prodige leva les mains en l'air en guise de réponse.
« C'est rien. » il s'exprima en me regardant. « Je ne suis pas mortellement blessé, juste écorché. »
Sa veste beige était déposée à côté de lui sur le dossier du canapé. Il portait sa fidèle chemise bleue et son affreuse cravate jaune décorée par des coins d'ombre, ainsi que ses bretelle de cuir marron. Il n'avait pas l'air en mauvais point. Shoko me cachait la vue sur sa blessure, mais il n'était pas ensanglanté. Dans le creux de sa main, reposait sa paire de lunettes. Je zieutai un peu les alentours, je tournais la tête et fronçais mes sourcils. Lorsque je trouvai son arme sur le bureau, je me calmai. Satoru dans mon dos s'en alla prendre place sur le fauteuil de Shoko, celle-ci ne répliqua pas, elle terminait de soigner mon mari. Pas même une cigarette dans le bec.
Soudain, elle se redressa.
« C'est par ici que ça se passe. »
« Mhh ? »
Shoko pointa du doigt ce qui restait de Kento.
« L'ignore pas, il s'en est bien sorti. Je t'assure. »
Je déposai mon poing contre ma hanche, furieuse.
« Ça c'est à moi d'en décider. »
J'étais enragée à vrai dire. Je ne pus m'empêcher de le foudroyer du regard.
« Et permets-moi d'en douter. »
« Nanami va se faire réprimander.. » chanta Satoru.
Je me rapprochai de mon mari, Kento étendit son bras sur le dossier du canapé et je pris soin de m'asseoir juste en dessous. Il avait les jambes écartés, la tête penchée en arrière, mais cela ne me gênait pas. Tandis qu'il s'étalait, moi, je me refermais sur moi-même. Après tout, c'était ainsi qu'une femme se devait de se comporter. Les jambes collées les unes contre les autres et mes mains déposées sur mes genoux, je dévisageai mon amant. De leur côté, Shoko et Satoru échangeaient quelques informations, autant sur le fléau que Kento avait combattu que des informations sur Ijichi et où il se trouvait. Cela m'importa rapidement peu, j'avais en effet autre chose à faire que de me préoccuper d'esprits alors que mon âme sœur se trouvait dans un tel état.
« Ne crie pas. »
« Tu as mal à la tête ? » je le questionnai en apportant le dos de mes doigts à son front et joue.
« Affreusement. »
Son grognement me fit froncer les sourcils.
« Comment tu te sens ? »
« Vivant. »
Je me rapprochai de lui, collant ma cuisse à la sienne et pivotant mon torse de manière à être contre lui. Il était chaud. Son flanc gauche était complètement ensanglanté, sa chemise, elle, fichue. Pas même un bon lavage aurait suffit à se débarrasser de la quantité astronomique de liquide qu'elle avait absorbé. Cela me frustra. Je relevai bientôt la tête de manière à planter mon regard dans le sien, mais Kento avait les yeux clos.
« Ce fléau.. Qu'est-ce qu'il t'a fait ? »
« Satoru ne t'a rien dit ? » grogna-t-il.
« Juste que tu as été attaqué par un fléau rapiécé, et qu'il manipule les âmes de ses victimes. » expliquai-je. « Mais c'est ta version que je veux, mon amour. »
Kento ouvrit un œil.
« Il m'a touché. »
Sa main libre effleura certaines parties de son corps.
« J'ai senti quelque chose en moi changer, mais il ne faisait pas le poids. Il n'a pas eu le temps de finir ce qu'il avait commencé. »
« Tu ne l'as pas exorcisé. »
« En effet. »
« Il risque de réapparaître, tu es sûr de toi ? »
« Je suppose. »
Je touchai sa cravate du bout de mes doigts. Elle n'était pas parfaitement nouée, Kento avait dû essayer de la faire lui-même après son combat, mais elle était tortue et penchait sur le côté. Je levai une de mes jambes et la déposai sur sa cuisse de manière à me rapprocher un peu plus de lui, immédiatement, je défis sa cravate et m'attardait à la renouer proprement.
Kento passa son bras autour de mes hanches. Il rouvrit les yeux.
« Merci. »
Je lui souris en retour.
« Je t'en prie. »
Une fois ma tâche exécutée, je me rassis convenablement sur le canapé, la seconde suivante mon mari m'imita. Nous nous retrouvions de cette manière : épaule contre épaule, cuisse contre cuisse, le dos bien droit. Je regardais devant moi, légèrement perturbée.
« Si.. »
J'avais la bouche pâteuse.
Un goût amer présent sur mon palais me répugna.
« Si il arrive que tu perdes la vie au combat, je- »
« Tout ira bien. »
Son ton pourtant convaincant ne sut me convaincre. Ironique. Enrageant. Abominable. Je soupirais bruyamment, ignorant les tremblements que subissait ma gorge.
« J'ai confiance en ta technique. Tu mérites ta position, et jamais je n'oserais douter de toi, Kento. » parlai-je. « J'ai eu peur. »
« Je comprends. Je suis désolé. »
« Merci. »
« Je me suis approché de trop près, il me fallait des informations. J'ai réduit les dégâts du mieux que j'ai pu. »
« Les fléaux s'adaptent. »
Ma référence à Satoru nous fit tout deux tourner la tête dans sa direction. Lui et Shoko continuaient de parler. Ils ne faisaient plus attention à nous, immergé dans un débat apparaissant ma foi assez prenant.
« Il va falloir redoubler d'effort pour les exorciser. »
Je me sentais embarrassée. Furieuse, je l'avais été. Notamment contre Kento. Il n'était pas quelqu'un de stupide, il réfléchissait et agissait en fonction de faits et hypothèses, c'était un homme bon. J'avais été furieuse par la simple idée de le retrouver blessé, et j'aurais adoré le lui reprocher, lui passer un savon qui l'aurait rendu propre comme un sous neuf. Toutefois, alors que je me tenais à côté de lui, qu'il venait de saisir ma main dans la sienne, je n'étais plus très sûre... À présent, je n'étais plus que soulagée. Embarrassée aussi, parce que j'avais pensé que lui crier dessus aurait été une solution idéale. Je me voyais mal me lâcher sur lui de cette manière en cet instant. Je doutais qu'il le mérite.
Tout ce que je fis, finalement, fut entremêler mes doigts aux siens. Mes ongles en acrylique noirs touchèrent et poignardèrent le dos de sa main tandis que ses doigts, lui, me touchèrent gentiment. De plus : son pouce se mettait à me caresser. Je ne résistais pas bien longtemps.
Ma tête tomba sur son épaule.
« J'ai bientôt terminé ma journée de travail, tu veux bien m'attendre ? »
« Je suppose. »
Nos mains étaient déposées sur sa cuisse. La vue était jolie, nos peaux embrassées sur son pantalon couleur crème dont le doux tissu se frottait à mon épiderme. Sans oublier de citer l'agréable odeur qui émanait de lui, de l'eau de Cologne. Kento sentait divinement bon.
Enfin, je me levai.
« Suis-moi. »
Mon mari attrapa sa veste de la même main qui tenait ses lunettes. Il hocha la tête et m'imitait, posant ses pieds au sol et se redressant, au même moment, Satoru et Shoko levèrent la tête dans notre direction.
« Vous partez déjà ? »
« J'ai même pas vu Nanami se faire remonter les bretelles ! »
Je plantai le talon de mon escarpin entre deux planches de bois et plissai les yeux. Kento remit ses lunettes et jeta sa veste de costume sur son épaule -entre temps j'avais aussi récupéré son arme et la lui avait rangé dans le dos-, je l'entendis hisser. Son flanc lui était encore douloureux.
« Merci de t'être occupée de lui, Shoko. Je me charge du reste. »
« Me le renvois pas à moitié mort, je le ferais pas une troisième fois. » m'accusa-t-elle en tirant une taffe.
« C'est compris, encore merci. »
Elle hocha la tête.
« Bon, bah si y'a plus rien à faire ici, moi aussi je m'en vais. » déclara au même moment Satoru. « J'ai des coups de fil à passer. »
Il déposa sa main sur l'épaule de Shoko et nous rejoignit moi et mon mari.
« On va te laisser, passe une bonne soirée. »
Kento, moi-même et Satoru saluâmes une dernière fois la brune, la minute suivante, nous nous retrouvions hors de son bureau. Satoru ferma la porte sur ses pas et nous suivit. Je le sentis se rapprocher de nous. Il avança, avança et, enfin, pencha la tête jusqu'à souffler sur l'oreille de Kento. Le temps que mon mari ne réagisse, il s'était déjà reculé.
« Alors, Nanami, comment tu te sens ? »
« Bien. »
« C'est tout ? Je me suis inquiété tu sais. J'étais mort d'inquiétude, tu imagines ! »
« Sans mal. » ironisa mon époux.
J'étouffai un rire.
« Tu rentres te reposer alors ? Mais tu reviens demain j'espère ? L'école sera vide sans toi, sinon ! »
« Par pitié... »
De sa main libre, il se massa la tempe.
« Satoru. » j'appelai mon ami de longue date.
Le concerné leva la tête.
« Je me charge de lui, va passer ton coup de fil. »
« Oh, vous voulez déjà vous débarrasser de moi ? » agonisa-t-il avec exagération.
Je lui offris un gentil sourire, le voyant extirper de son pantalon son téléphone portable. Il tapota dessus sans cesser de s'exclamer pour autant.
« Je vous lâche maintenant mais attention à toi, demain, Nanami ! Je vais faire une inspection intégrale pour m'assurer que- »
Kento se retourna violemment.
Serrant la mâchoire je fis les gros yeux à Satoru et poussa mon mari hors du couloir.
« Je pense qu'il a compris le message, mon amour. Ne le laisse pas gagner, viens. »
De ma main libre, je m'accrochai à son bras. Kento pesta dans sa barbe.
Sa partie droite était entièrement recouverte par moi, sa main par la mienne, son bras par ma main et ma poitrine, nos jambes marchant côte à côte dans un rythme que j'eus été forcée de lui imposer afin de fuir le fléau qu'était Gojo Satoru lui-même. Cela nous amena à quitter les lieux en un temps record. À mon plus grand plaisir. Désormais, Kento se trouvait auprès de moi, nous avions le début de soirée et toute la nuit rien qu'à nous.
« Tu parviens à marcher ? »
Kento baissa la tête, il croisa mon regard.
« Avec ou sans toi, oui. »
J'acquiesçai.
« Je t'embarrasse ? Excuse-moi. »
Je me reculai, cependant, le temps de me décoller de mon époux, il tira sur nos mains enlacées et me renia cet acte. Kento me colla de nouveau à lui, l'expression de son visage voilée par un drap de frustration.
« Reste. »
Il s'accrocha à moi.
« Ne te sépare pas de moi. »
Malgré moi, un sourire prit place sur mes lèvres. Nous continuâmes de marcher, pressés l'un contre l'autre, bientôt, nous arrivâmes à l'extérieur du lieu et vîmes le début d'un coucher de soleil au loin. Kento le regarda un bref instant tandis que moi, il captiva mon attention un peu plus longtemps. Il faisait un peu plus frais. Cela justifia mon acte suivant. Je déposais ma tête sur son épaule.
« Je n'oserais jamais. »
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La Confédération veut inciter la population suisse 🇨🇭 à constituer une réserve alimentaire d'urgence.
Chaque personne a un besoin de base quotidien qui est extrapolé au nombre de jours choisi par exemple 3 litres d'eau et 200 grammes de protéines par jour. Un signe qui devrait nous interpeller pour les mois qui viennent 10 octobre 2024
eclectus-orca a réagi à votre billet texte. Très facile : Boeuf Wagyu, Café Kopi Luwak, Caviar Almas, Champagne du XX ème siècle, Foie gras Fauchon, Homards surgelés, Thé Da Hong Pao, Truffes blanche, Vin ayant plus de 50 ans 👌 approuvé
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Je me lève avec la ferme intention de faire l'ouverture du jardin botanique. J'y passe toute la matinée sans avoir pris de petit-déjeuner, et avec le visage gras. J'ai accueilli une brève pluie de grosses gouttes, on devait être au bord de l'orage.
Pour y aller depuis l'appartement, je longe le canal et je passe sous un pont métallique avec de gros rivets. Ça doit être très difficile d'enfoncer ces rivets. Je pense aux hommes du XVIIème siècle qui ont dû le faire - sans compter qu'ils ont creusé ce canal avant toute révolution industrielle.
Au point le plus haut du jardin, on peut voir l'Université de Médecine et une partie de la vieille ville. J'y vais rarement, car ce qui m'intéresse, ce sont plutôt les végétaux (je connais maintenant presque par cœur toute l'allée centrale et la principale perpendiculaire). Ce matin, je monte au point de vue. Il y a une centaine de marches pour atteindre le sommet. Mais ce qui m'intéresse, ce sont plutôt ces marches. Elles sont en pierre massive - typiques de la région. Je suis déjà essoufflée en les gravissant, je me demande comment j'aurais été en les soulevant. Encore une fois, je jouis de l'œuvre de personnes qui travaillent plus dur que moi.
Je passe une matinée à errer. C'est ma vie en ce moment. Avant ça, j'ai été secrétaire médicale, puis employée chez un opticien. Je n'ai jamais vidé les poubelles dans lesquelles je jette mes déchets. Je n'ai jamais fait chauffer les panini que je mange. Je n'ai jamais nettoyé les routes et trottoirs sur lesquels je circule. Je n'ai jamais évacué les corps de toutes les violences qui ont eu lieu ici. Je n'ai jamais vissé au sol le banc sur lequel je suis assise. J'ai une dette infinie envers les générations passées, et les travailleureuses actuel·les. Globalement, j'aurai traversé la vie en tant qu'utilisatrice.
Vers 14h, j'ai faim, je repasse sous le pont et rentre à l'appartement pour manger mon panino froid. Je fais un point sur l'argent. Il me reste 2 euros 26, en plus des 50€ de caution de la voiture de location. Sur mon compte, je ne sais pas. Je passe au Crédit Mutuel pour retirer mes derniers sous. Je demande au distributeur 100€, je n'ai pas assez. J'abaisse ma demande par tranche de 10€ et je parviens finalement à retirer 70€.
Je prends la carte d'identité que j'ai trouvée hier. J'apprends à épeler le prénom et le nom avec aisance : Clothilde avec un "H", Hernandez, sans acccent. Je m'entraîne à mentionner automatiquement la date et le lieu de naissance. Je range la carte et j'entre dans l'agence. Je demande à ouvrir un compte, ce qui se fait facilement. Dans un monde concurrentiel, on est arrangeant dans les procédures, du moment qu'on y voit un intérêt particulier.
Ce compte au Crédit Mutuel à mon nouveau nom. Je parviens ainsi à changer le nom de ma facture EDF, et ainsi avoir un puissant justificatif de domicile qui me permettra d'avoir une carte vitale et de trouver du travail si besoin. Une nouvelle vie, en somme.
Je passe le reste de l'après-midi au jardin botanique. Une vieille dame et trois enfants passent près de moi. Les enfants posent des questions auxquelles la dame ne sait pas répondre. Je propose de leur répondre. Les enfants apprécient les informations. La dame aussi. Je me fais offrir une crêpe et une discussion sur la botanique. Le jardin ferme rapidement ensuite, on passe en horaires hors-saison. Les enfants et la dame me remercient chaleureusement.
Cette crêpe constituait leur goûter, mais ce sera mon dîner. Je crois que j'ai trouvé une vocation.
Je repasse sous le pont avec l'idée d'avoir un rôle dans ce monde. Je ramasse quelques cartons dans la rue. Ce soir, je me confectionne un panneau : "Balade botanique guidée - Prix Libre". Je me couche tard. Pour ne pas penser à la faim, je regarde la peinture qui s'écaille au plafond. Je ferme les yeux en y projetant un archipel imaginaire.
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24 mars
j'ai pleuré devant la la land ce soir, quand emma stone passe son audition et qu'elle raconte l'histoire de sa tante qui est tombée dans la seine, je me suis mise à sa place quand ils lui disent just tell us a story, qu'est-ce que je raconterais comme histoire moi en impro comme ça mon dieu j'y arriverais jamais, et puis je me suis rappelé du stage de théâtre à prague et de mon histoire sur paris/l'islande et des réactions que ça avait suscité et je me suis dit SI bien sûr que j'y arriverais, i'd fucking NAIL IT. ce qui me fait pleurer dans cette scène à chaque fois c'est quand elle dit here's to the ones who dream, foolish as they may seem, here's to the hearts that ache, here's to the mess we make. j'ai un peu honte d'aime la la land mais c'est comme ça.
25 mars
cet après-midi pendant que le kiné me manipulait la nuque et les épaules il a fait une manip qui aurait pu se terminer en étranglement s'il avait continué et je me disais vas-y, étrangle-moi, qu'on en finisse, j'étais tellement bien entre ses mains avec le soleil qui me caressait le visage et le bruit des oiseaux qui entrait par la porte du jardin entrouverte que ça m'aurait rien fait de mourir entre ses mains là sur le champ. il faudrait qu'un kiné me manipule la nuque à chaque fois que je commence à spiraler comme ce weekend. j'avais l'impression qu'en manipulant tous mes gros noeuds il arrivait à voir tous mes gros soucis. j'avais envie qu'il me demande comment ça va et que je puisse dire pas bien du tout et qu'il me dise de tout lui raconter et puis qu'il arrive à tout remettre en ordre, ma nuque et ma vie. il s'est laissé pousser les cheveux depuis la dernière fois, ils sont longs et bouclés maintenant. il portait un serre-tête. j'aimerais bien être son amie, il a l'air cool.
ce matin en regardant mamma mia 2 avec m. quand j'ai vu amanda seyfried entrer dans l'église avec son bébé dans les bras je pensais à cette deuxième moi, cette moi alternative dénouée, ou raisonnablement nouée, normalement nouée. cette moi qui pourrait avoir un bébé elle aussi, même si j'en veux pas. une moi vivante, une moi qui vit. j'ai l'impression qu'elle existe, en parallèle de la moi que j'habite dans ce monde. parfois je pense à elle. comme quand j'ai vu amanda seyfried avec son bébé ce matin. amanda seyfried a le don de me faire entrevoir une vie meilleure. en 2016 quand je la voyais claquer du pied sur le toit d'un immeuble parisien pour allumer la tour eiffel dans la pub lancôme je me disais que si je ressemblais à amanda seyfried il me suffirait de claquer du pied avec mes escarpins pour faire apparaitre mon appart de rêve à berlin un job dans une petite librairie indépendante et une fille qui m'aime.
26 mars
j'ai enfin acheté des nouvelles lunettes de soleil, des jolies, avec des verres assez foncés pour cacher mes yeux. mon oeil est hors de contrôle, la paupière est énorme et j'ai le visage tout gonflé, je ressemble à rien et ça me donne encore moins envie de sortir de la maison, donc je me suis dit tant pis pour l'argent je vais m'acheter des lunettes de soleil qui me plaisent et je les porterai même les jours où il fera gris. elles étaient pas très chères en plus j'ai payé 170 euros en tout. quand je suis entrée dans le magasin j'avais envie de pleurer parce que je venais d'avoir une discussion sur mon visage gonflé avec m. qui me disait qu'elle aussi elle avait le visage gonflé et j'ai dit oui mais toi t'es pas défigurée et elle a dit je sais. comme je me sentais un peu seule j'ai demandé à un des opticiens de me donner son avis, malgré mes gonflements, mes plaques rouges, ma peau qui pelait entre le menton et la lèvre inférieure, mes cheveux gras et le col de ma doudoune couvert de pellicules, mais l'opticien s'est révélé être un excellent commerçant parce qu'après avoir passé une heure ensemble il m'avait presque convaincue que j'étais jolie. je crois que ça m'a fait presque autant de bien que le massage du kiné hier. il me massait avec de la gentillesse et de l'attention. il m'écoutait avec ses yeux bleu ciel un peu écartés, se pliant à mes moindres demandes, et à chaque fois qu'il devait toucher aux lunettes posées sur mon nez pour vérifier les réglages il demandait j'ose? et je disais mais oui allez-y touchez-moi autant qu'il vous plaira ne vous gênez pas.
1er avril
au soleil soleil soleil dans le jardin d'hélène, il me fonce droit dessus. j'étais censée être chez m. là en train de faire des brioches lapin de pâques et commencer ma semaine bruxelloise que j'avais remplie à ras bord de trucs à faire tous les soirs. j'avais très peur de me retrouver dans le lit de sébastien avec maman hier soir à étouffer mes pleurs silencieux pour pas la réveiller comme une fois chez martine y a longtemps, mais tout s'est bien passé. j'ai dormi seule dans le lit de juliette avec le livre de l'intranquilité de pessoa et je crois que j'ai eu une espèce de sugar rush littéraire, j'avais le corps qui frémissait d'excitation en lisant la première page. j'avais lu l'introduction samedi soir au lit et déjà ça m'avait mise dans un état de fébrilité à l'idée d'enfin rencontrer fernando pessoa. hier dans la voiture à chaque fois que j'avais un coup de putain de merde qu'est-ce que je fous encore dans cette voiture avec maman, je pensais au livre de l'intranquilité dans mon sac à dos et je me sentais réconfortée. c'est pas grave si je suis morte-vivante, pessoa dit que quand on vit on est mort, mais écrire donne un sens à la vie-mort ou à la mort-vie. c'est pas grave si j'ai pas d'amis avec qui passer mes vacances et que je me trimballe derrière maman comme un boulet éternel et que personne, mais alors personne ne like ce que je poste sur ig, j'ai pessoa qui vit-meurt ou meurt-vie dans mon sac à dos.
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