#je veux sortir de cette journée
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La journée a commencé en avalant une araignée, a continué avec 8h de bio, et là j'ai une insomnie.
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do u ever swear? c’mon, really take it out on those delivery guys. use the worst words u know!
i get the feeling that kaveh is the more colourful one in the house, though…
…in terms of language-
Je suis tellement en colère. J'aurais pu sortir aujourd'hui mais j'ai justement attendu dans cette maison un putain de colis que j'ai payé et cet idiot ne sait même pas comment m'appeler ? il a juste décidé que je n'étais pas à la maison ? es-tu un putain d'idiot ? La jeune génération est-elle si stupide qu'elle ne peut pas décrocher un téléphone et appeler ? Ma journée entière est gâchée parce qu'ils n'ont pas pu livrer un simple putain de colis. Maintenant, qu'est ce que je fais? putain de rien ! maintenant, je dois écouter Kaveh japper pour le reste de la nuit jusqu'à ce qu'il se boive stupidement et que je doive le ramener à la maison. Je déteste ça. Je veux qu'il se taise et qu'il me tienne. est-ce si dur ? mais non, tout le monde pense que je suis un robot sans sentiments mais ce n'est pas vrai. Je ressens des choses que je ne comprends pas. Je suis sensible. J'ai déjà pleuré à cause d'un changement mineur dans mes plans. Je déteste ça. Je suis surstimulé et en colère parce qu'un putain de connard ne peut pas faire son putain de travail.
#admin speaks French#to an extent#so it only felt appropriate to chose that language for him to speak#genshin ask blog#ic ask#in character#in character blog#alhaitham#haikaveh#kavetham#kaveh#google translate him and watch this man scream
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J'ai juste besoin de lui ; rien ne sait compter plus que lui. J'ai besoin de le voir sur la table, à se faire comprendre pour avoir des croquettes ; et puis miauler, parce qu'il sait bien faire maintenant, et miauler parce que ça va pas assez vite ! Je veux le retrouver tout mouillé et que monsieur attend qu'on l'essuie parce que quand même, il va pas se sécher tout seul ! Je veux le sentir frétiller sous la serviette et ronronner même un peu ; et puis le voir descendre de la table, avec sa démarche de danseuse et réclamer à sortir encore, alors qu'il pleut et que je viens de l'essuyer ; de quoi je me plains, c'est un honneur de recommencer ça toutes les dix minutes !
J'ai besoin de le prendre dans mes bras, de l'embrasser partout sur la tête et le sentir serein, bien posé, sentir son tout petit poids relâché, là, dans le creux de mes bras. Même qu'on ronronne un peu mais pas tant, mais je sais que chez lui c'est énorme, qu'il a appris y'a même pas si longtemps ! Parce qu'il s'arrête jamais d'apprendre à être heureux, de comment c'est d'être un petit chat ; un jour, il ira vraiment pour préférer un carton à n'importe quoi d'autre dans une pièce... En attendant il est décidé qu'il dormirait à tel endroit et puis c'est tout ! J'aurais beau le ramener dans le lit, non non, il part directement pour se mettre dans le coin le plus inconfortable de la baraque ! Vraiment sa spécialité ça, alors qu'il a cent autres endroits où se mettre, tous mille fois plus confortables que ça !
Ouais, il a encore beaucoup à apprendre ; il m'impressionne toujours autant, parce que maintenant il fait des progrès de géant ! Alors qu'il est effrayé par les gens, il parvient à leur donner sa confiance maintenant, parce qu'il me croit, parce qu'il me voit aimer et que si j'aime la personne, il peut y aller aussi ! Il a ce grand coeur qui demande que ça dans le fond, comme avec Osiris ; le supporté pas au début et finalement c'est devenu son meilleur pote, à miauler derrière lui pour être sûr qu'il rentre quand on vient ouvrir la porte, qu'on y voit que du feu à se dire que c'était Marvel et en fait non !
Je veux qu'il revienne me faire râler ; en montant sur mes épaules ou sur mes cuisses quand je suis sur le pc ; à dormir sur mes côtes la nuit, à m'obliger de me réveiller un peu pour bouger sans l'écraser ; à le tenir d'une main tout en me tournant, en râlant dans mon sommeil avant de me rendormir, tandis qu'il se réinstalle en s'en fichant bien que je râle !
J'ai oublié ce que c'est, de vivre sans lui.
Parce qu'il m'a fait vivre pour lui.
Parce qu'il a vécu pour moi.
J'ai peur que cette journée se termine. J'ai peur de me réveiller demain. J'ai peur de me dire que ça fera déjà une journée sans lui. J'ai peur. J'en veux pas, de tout ça.
Je voudrais juste retrouver sa chaleur tout contre moi.
Comment on se remet de la perte de son ange gardien ?
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Fives-voices love
Chapitre 4
Après avoir terminé leur repas, tout le monde déposa leurs plateaux sur le comptoir de la cafétéria. Louis, Harry et Liam emboîtèrent le pas d’Enid, bien décidés à prolonger la journée ensemble.
« Bon, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? » demanda Liam, les mains dans les poches, un sourire aux lèvres.
Harry, toujours le plus spontané, tapota doucement l’épaule d’Enid. « Et si on t’invitait à sortir ? C’est vendredi après tout. » Il lui lança un regard malicieux avant d’ajouter : « Tu veux faire un tour en ville, faire un peu de shopping avec nous ? Zayn et Niall vont nous rejoindre. »
Enid hésita, grimaçant légèrement. « Oh… c’est gentil, mais j’avais prévu de rentrer, de m’installer avec un plaid et de me plonger dans The Vampire Diaries. Retrouver Damon Salvatore, tu vois », répondit-elle avec un petit rire.
« Damon Salvatore ? Sérieusement ? » fit Harry en levant les sourcils. « Tu sais, ma sœur Gemma adore The Vampire Diaries aussi, mais elle est plutôt team Stefan. »
« Elle est team Stefan ? » demanda Enid, amusée.
« Eh oui ! Et tu sais, si tu viens avec nous, tu pourrais peut-être la rencontrer. Elle t’adorerait, c’est sûr », ajouta-t-il en croisant les doigts d’un air faussement dramatique.
Liam hocha la tête, soutenant l’idée de Harry. « Ce serait sympa, Enid. C’est une bonne occasion de mieux te connaître, non ? »
Après un instant de réflexion, Enid finit par céder, un sourire éclairant son visage. « Mhh… d’accord. Mais à une condition : si je viens, on parle de The Vampire Diaries. »
Les garçons éclatèrent de rire, ravis qu’Enid accepte leur invitation. Louis, toujours prompt à donner son avis, lança avec enthousiasme : « Personnellement, je suis totalement fou de Katherine Pierce ! Cette fille est juste fascinante. »
« Katherine ? Sérieusement ? » s’étonna Harry en secouant la tête, un sourire amusé aux lèvres. « Tu n’as donc aucun goût, Louis. »
« D’ailleurs, Harry, je ne te permets pas de parler mal de Katherine Pierce », lança Enid avec un sourire malicieux. « Nina Dobrev est tellement incroyable qu’elle me ferait presque douter de ma sexualité ! » ajouta-t-elle en éclatant de rire.
Les garçons restèrent un instant interloqués avant de se joindre à son rire. Louis leva les mains en signe de victoire. « Bien envoyé, Enid ! Je savais que tu avais du goût ! » s’exclama-t-il avec enthousiasme.
Harry croisa les bras, feignant d’être vexé. « D’accord, d’accord. J’avoue que Nina Dobrev est impressionnante. Mais ça ne change rien : Katherine est bien trop manipulatrice pour être une favorite. »
« Oh, mais c’est ce qui la rend fascinante ! » rétorqua Enid, le regard pétillant. « Elle est complexe, imprévisible... une vraie anti-héroïne. »
Une demi-heure plus tard, ils arrivèrent au centre commercial, un lieu animé où les lumières brillantes et la foule donnaient une ambiance électrique. Louis, Harry, Liam et Enid s’arrêtèrent près de l’entrée principale, juste à côté d’un café, en attendant l’arrivée de Zayn et Niall.
« Bon, on parie combien que Niall va encore arriver en retard ? » lança Louis, les bras croisés et un sourire moqueur sur le visage.
Harry rit en secouant la tête. « Je mise sur quinze minutes de retard. Il doit probablement chercher un moyen d’attacher son vélo à la voiture de Zayn. »
Enid esquissa un sourire, amusée par leur complicité. « Vous êtes vraiment terribles avec lui. Peut-être qu’il est juste perfectionniste et qu’il prend son temps, qui sait ? »
« Perfectionniste ? » répéta Liam en riant. « Non, ça, c’est Zayn. Niall, c’est plutôt l’expert du ‘je suis distrait et je perds la notion du temps’. »
Niall et Zayn arrivèrent enfin, Niall sautant presque hors de la voiture de Zayn, son sac en bandoulière et un grand sourire sur le visage. « Désolé pour le retard ! » lança-t-il, légèrement essoufflé. « On a eu une petite galère avec mon vélo, mais tout est réglé maintenant. »
Zayn descendit à son tour, impeccable comme toujours, ses lunettes de soleil encore sur le nez, une aura de calme autour de lui. Mais derrière ce calme apparent, une idée occupait son esprit : séduire Enid. Depuis son arrivée, elle ne quittait pas ses pensées. Il s'était juré de trouver une façon de se démarquer des autres, et il savait déjà par où commencer. Aujourd’hui, il comptait lui offrir quelque chose d’inoubliable, un cadeau qui montrerait son attention et son intérêt.
Cependant, ce que Zayn ignorait encore, c’était qu’il n’était pas le seul à nourrir ce genre de pensées. Alors qu’ils s’engouffraient tous dans les allées lumineuses du centre commercial, il remarqua les regards furtifs que Liam, Louis et Harry lançaient à Enid. Chacun semblait chercher une excuse pour marcher à ses côtés, lui parler ou lui arracher un sourire. Même Niall, habituellement plus réservé, semblait plus attentif qu’à l’accoutumée.
#fanfiction#one direction#directioners#niall horan#zayn malik#liam payne#harry styles#louis tomlinson
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18 juillet
en sortant du cimetière maman m'a appelée pour voir comment j'allais et j'ai recommencé à pleurer derrière mes lunettes de soleil en traversant le parc de la hasenheide. elle m'a dit rappelle-toi que tout prend toujours beaucoup plus de temps avec toi et que tes émotions sont décuplées, que c'est un énorme changement et que tout ne peut pas être bien du premier coup. c'est exactement ce que me disait r. hier soir. je lui ai parlé des gens de bumble et il a dit que j'allais pas forcément rencontrer les gens les plus intéressants tout de suite, mais que je les trouverais peut être à travers d'autres gens, de fil en aiguille. je lui ai demandé s'il avait une stratégie pour se faire des amis dans une nouvelle ville et il m'a dit que lui il irait aux concerts et il essaierait de parler aux gens, et si j'y arrive pas, essayer de les trouver sur insta et leur écrire, comme il a fait avec moi. ha. je lui disais que j'étais de mauvaise foi mais lui il trouvait pas, juste un petit côté indécrottable à la limite. j'ai dit que je le mettrais dans ma bio parce que j'adore ce mot. on a discuté pendant un moment et tout d'un coup il a dit mais je vais me coucher lara! j'espère que notre causette t'a été utile, et la manière dont il l'a formulé m'a donné l'impression que toute notre conversation n'était qu'une sorte de bonne action de sa part. comme s'il se disait que j'avais que lui pour parler. j'en suis à un stade où je m'en fous un peu de ce qu'il pense mais ça m'énerve qu'il se donne cette importance toujours. ou alors c'est juste moi qui me monte le chou pour rien. indécrottable.
bon ça va un peu mieux depuis que j'ai pleuré en public. quand j'ai raccroché je voulais pas rentrer alors j'ai marché jusqu'au k-fetisch juste pour voir des lesbiennes et tenter du eye contact sur le trottoir, on sait jamais, mais personne m'a calculée sauf une fille hot au crâne rasé mais vite fait. je me suis dit ok, même si j'ose pas y rentrer, c'est quand même cool d'habiter à douze minutes à pied d'un bar lesbien. je suis rentrée à la maison de bonne humeur je me suis douchée j'ai chanté j'ai mangé du pain avec du beurre de cacahouètes et de la confiture et j'ai fini de traduire mon cv + fait une lettre de motiv pour les cours de français. j'ai l'impression que cette journée a duré cent ans. demain j'écris. demain je suis sérieuse. je dois rester plus concentrée sur mes objectifs. je m'éparpille trop.
20 juillet
j'ai envie de rentrer. j'arrête pas de penser au meme avec le squelette qui court qui dit if it sucks it da bricks!! je sais pas combien d'efforts je suis censée faire exactement? ce matin j'ai de nouveau été réveillée par des gémissements de sexe (cette fois c'était n.) et évidemment j'avais le coeur qui battait trop vite pour me rendormir et je me demandais est-ce que je suis vraiment obligée de m'infliger ça? et si ça me suffisait de vivre ma vie par procuration? de me contenter de celle des personnages de fiction? à la maison quand je vois les autres vivre leur vie ça me donne envie de me tuer mais maintenant que j'ai l'opportunité d'avoir une vie moi aussi et que je dois faire des efforts pour la construire j'ai envie de retourner dans ma non vie par procuration. mais est-ce qu'avoir une vie signifie forcément de vivre dans une métropole sortir en club avoir du sexe et vivre dans une chambre pourrie de 9m2 avec de la vieille moquette dégueue? en scrollant ig ce matin au lit j'ai regardé une vidéo d'hortense raynal qui s'enregistre en train de dire des trucs dans un micro avec un looper installée dans ce qui ressemble à une maison de campagne et je veux ça. vivre à la campagne tranquillement et faire mes trucs au calme et puis aller à la ville pour les trucs pro, occasionnellement.
hier soir j'ai accompagné n. à une fête dans un squat alors que je m'étais déjà mise en pyjama et que je m'apprêtais à regarder un film en mangeant mes galettes de lentilles avec du beurre de cacahouète et une banane parce que je recommence à manger n'importe quoi n'importe quand et surtout je mange pas assez, mais dans un élan de courage j'ai enfilé des habits noirs englouti mes deux galettes et j'ai dit je viens! on s'est trompé de s bahn et on a atterri beaucoup trop loin et j'espérais secrètement qu'on arrive jamais, qu'on se perde dans la banlieue et que la fête disparaisse de l'horizon. j'étais jalouse des gens à l'intérieur de leurs appartements avec un éclairage tamisé eh oh moi aussi je veux passer la soirée sur le canapé devant la télé. vers une ou deux heures du matin des voisins ont appelé la police pour faire arrêter la musique et automatiquement je me suis mise à la place des voisins, de leur côté je veux dire, même si j'appellerais jamais la police, je suis pas du côté de la police, je suis juste du côté des gens qui veulent dormir en paix. j'ai passé la soirée à discuter avec des inconnus dans le jardin donc ça va, c'était largement faisable, c'était un jardin labyrinthique avec plein de petits recoins secrets et des grandes fleurs sauvages et on y voyait pas grand chose. toutes les fêtes devraient avoir lieu dans des jardins comme ça. à un moment n. est allée danser sur la techno à l'intérieur où il faisait mille degrés mais je préférais encore affronter la conversation avec des inconnus plutôt que le dancefloor.
j'avais un semi crush sur un garçon maigre et bouclé qui s'appelait oleg. il portait des lunettes rondes et il était hydrogéologue ou un truc comme ça et ça a suffi à me séduire. il racontait qu'il avait quitté la russie pour échapper à l'armée y a deux ans et que depuis il vivait un peu peu partout et nulle part. il revenait de naples là. avant il était à tenerife où il a retrouvé ses parents et sa soeur restés à moscou. je lui ai dit que j'étais française sans mentionner le luxembourg parce que ça m'emmerde les questions sur le luxembourg, c'est toujours les mêmes et ça m'ennuie profondément. il m'a dit qu'il avait habité à rennes parce qu'il devait travailler à l'université mais que le gouvernement français avait décidé que c'était un espion russe et qu'ils l'avaient mis sur liste noire, alors il est reparti. je me demande s'il mentait. l'été dernier à berlin j'avais décidé que j'allais commencer à mentir aux gens mais je l'ai jamais fait. il portait un sweat troué informe qui tombait sur son corps maigre. n. portait un mini short en jean taille basse avec un haut moulant en dentelle noire sans manches, pas berlin du tout. moi je portais un pantalon noir avec un tshirt noir et mes converse noires. à côté d'elle je me sentais pas trop habillée pour aller à une fête. en m'habillant j'ai dit i don't have any party clothes, mais après deux secondes de réflexion je me suis dit on s'en fout des party clothes, si j'étais un mec je pourrais mettre n'importe quoi, comme un grand sweat troué qui ressemble à rien et un pantalon quelconque et tout le monde s'en foutrait et je trouverais encore des filles pour avoir un crush sur moi (moi). la première fois que j'ai vu r. il portait portait un sweat troué aussi je crois. oh être un garçon.
j'ai aussi discuté avec un espagnol catalan à qui j'ai accidentellement mentionné ma crise existentielle le pauvre, il a dit it's okay i'm open to all kinds of conversation avec un sourire bienveillant mais j'ai vite manoeuvré vers un autre sujet de conversation en lui demandant ce qu'il faisait lui. je crois qu'il travaillait pour une start-up qui fabrique des batteries. il m'a dit just enjoy your funemployment in berlin! ou bien la phrase la plus absurde qu'on puisse me sortir. je crois que j'ai dit i'm not a person who enjoys things ou un truc comme ça. au moins je fais rire les gens avec mes conneries. il portait une veste en daim couleur caramel, je l'ai touchée quand il m'a serrée dans ses bras dans la s bahn, c'était tout doux. je suis sûre qu'il doit vivre dans un bel appart propre et bien rangé.
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Confiance En Toi - Stiles Stilinski
Masterlist
Emails I Can't Send Masterlist
Résumé : Tes problèmes de confiance ne font que s'empirer, détruisant petit à petit ta relation avec Stiles.
Warnings : hurt/comfort, angst, problèmes de confiance, mention d'un parent étant infidèle, mauvaise relation avec les parents, auto-sabotage, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Word count : 3.6k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Emails I Can't Send par Sabrina Carpenter
“Désolé, je vais devoir annuler ce soir. L'entraînement de lacrosse m’a crevé.”
Tu relis le message de Stiles au moins trois fois avant de lui répondre tout simplement ‘ne t’inquiète pas, repose toi’. Même si ton message semble anodin, derrière se cache une grande anxiété.
A chaque fois que Stiles a un empêchement, tu ne peux empêcher une petite voix de venir te parler et te faire peur : “Il ne t’aime pas. Il est toujours amoureux de Lydia. Il est allé la rejoindre. Ou peut-être qu’il était avec Malia. En tout cas, il n’est pas avec toi. Il a annulé pour aller en voir une autre et passer la nuit avec elle, car tu n’es pas assez bien.”. Et dernièrement, Stiles a annulé énormément de rendez-vous, donnant un peu plus de force à cette voix. Tu te bas pour ne pas l’écouter, mais elle est convaincante. Tu penses que Stiles ne te ferait jamais de mal, qu’il est quelqu’un de fidèle, mais ta peur est plus grande que ta confiance.
Ce soir-là, au lieu d’être dans les bras rassurants de ton petit ami, tu ne dors pas. Tu restes allongée sur ton lit, serrant un coussin contre toi et en laissant couler quelques larmes. Quand ton réveil sonne, tu contemples pendant un instant l’idée de mentir à tes parents et prétendre être malade, mais tu ne veux pas rester dans cette maison où tu ne te sens plus chez toi depuis une semaine. Tu as besoin de sortir, alors tu quittes ton lit et tu te prépares pour le lycée.
En arrivant en cours, Stiles te rejoint rapidement. Il s’excuse une nouvelle fois avant de te prendre dans ses bras. Tu essayes de rien laisser paraître même si la petite voix dans ta tête refait son apparition : “Il n’est sûrement pas désolé pour être allé voir ailleurs. Il va bientôt t’abandonner pour Lydia.”. Tu secoues la tête, comme pour la chasser, sans succès.
Pendant toute la matinée, tu restes assez silencieuse, inquiétant Stiles. Il a remarqué dès ton arrivée que quelque chose n’allait pas, mais il en est sûr au moment de la pause déjeuner. En effet, tu manges rapidement avant de partir, prétextant un devoir à faire. A ce moment-là, Stiles comprend que tu vas mal, même s’il ignore la raison. En réalité, tu es partie quand Lydia a évoqué un moment avec Stiles quand elle était chez lui, le soir d’avant. Tu as senti ta gorge se serrer et tu as eu besoin d’être loin de Lydia et de Stiles. Tu as fui dans les toilettes pour laisser tes larmes couler librement. Ton esprit continue à te torturer en te disant que la voix avait raison : il veut te laisser pour Lydia. Il t’a menti. Tu pleures jusqu’à ce que tu entendes la sonnerie.
Le reste de la journée, Stiles essaye de te parler, en vain. Tu l'évites alors que ta tristesse se transforme tout doucement en colère. Cependant, Stiles est têtu, alors il te propose de te ramener avec sa Jeep. Tu veux d’abord refuser, mais tu as besoin de le confronter, alors tu acceptes. Tu envoies rapidement un message à ta mère pour la prévenir qu’elle n’a pas besoin de venir te chercher. Pendant le trajet jusqu’à chez toi, tu es perdue dans tes pensées, cherchant la meilleure manière de parler à Stiles. De son côté, Stiles conduit nerveusement. Quand il se gare devant ta maison, tu décides finalement de ne rien lui dire, voulant éviter une nouvelle dispute. Tu t’apprêtes à quitter la Jeep quand il te retient. Tu le regardes, appréhendant ce qu’il va dire. Peut-être que la voix a raison : tu n’es pas assez bien, il veut quelqu’un d’autre, il a déjà trouvé quelqu’un d’autre.
-Y/N, qu’est-ce qui ne va pas ? demande-t-il sincèrement.
-Tout va bien, mens-tu et il lève rapidement les yeux au ciel.
-Je te connais, il y a quelque chose qui ne va pas.
Tu le regardes pendant une seconde, pesant le pour et le contre avant de décider de le confronter.
-Pourquoi t’as annulé hier ?
-Je te l’ai dit, j’étais fatigué à cause de l'entraînement.
-Tu aurais quand même pu venir chez moi. C’est pas comme si on allait faire la fête. Tu sais, si tu voulais aller autre part ou traîner avec quelqu’un d’autre, t’aurais juste pu me le dire.
-De quoi tu parles ? Après les cours, je suis rentré chez moi et j’ai dormi, veut-il savoir, les sourcils froncés.
-Vraiment ? Alors pourquoi tu m’as pas dit que tu étais allé voir Lydia ? rétorques-tu en croisant les bras sur ta poitrine.
-Elle est juste passée quelques minutes, elle devait venir récupérer un truc.
-Quel truc ?
-Un bouquin pour les cours.
-Tu pouvais pas lui donner aujourd’hui ?
-Elle en avait besoin pour terminer son devoir d’aujourd’hui.
-T’aurais pu me prévenir.
-Y/N, elle est restée cinq minutes. J’ai pas besoin de te dire tous mes faits et gestes, se défend-il et tu lâches un faux rire.
-T’as annulé notre soirée et Lydia est venue chez toi, je pense que je suis en droit de savoir.
-Pourquoi t’en fais tout une histoire ? C’était pour le lycée.
-J’en fais pas une histoire, mais tu m’as menti, insistes-tu en le pointant du doigt.
-Je t’ai pas menti, quand elle est partie, je suis directement allé me coucher, car j’étais fatigué.
-Et tu comptais me dire quand qu’elle était venue chez toi ?
-Je pensais pas que c’était aussi important. Franchement, Y/N, pourquoi t’es toujours tendue quand Lydia est évoquée ? questionne-t-il et tu tentes de garder une expression neutre.
-J’aime juste pas la façon dont elle te colle.
-Elle ne me colle pas.
-Si, elle te colle, mais comment tu pourrais t’en rendre compte ? T’es trop occupée à l’admirer pour le voir.
-Mais de quoi tu parles ?
-Je dis juste que tu es trop proche de Lydia et que presque toutes les fois où tu as annulé c’était pour la voir, expliques-tu et Stiles passe une main sur son visage, frustré.
-Elle est une amie.
-Avant, tu voulais qu’elle soit plus.
-Ouais, “avant”, comme t’as dit. Pourquoi est-ce que tu évoques toujours les sentiments que j’avais pour elle ? Il ne s’est jamais rien passé et il ne se passera jamais rien avec elle, affirme Stiles.
-Tu devrais peut-être garder cette information en tête et le lui dire.
-Y/N, honnêtement, je vois pas le problème.
-Je cite juste un fait : Lydia est toujours collée à toi, alors avoue-le.
-Avouer quoi ? demande-t-il, agacé.
-Tu le sais.
-Non. Franchement, je ne sais pas.
-Ne me prends pas pour une idiote, Stiles, ordonnes-tu sèchement.
-De quoi tu m’accuses ?
-Je t’accuse de rien.
-Pourtant, on dirait. Et c’est pas la première fois que tu fais ça. A chaque fois qu’on s’est disputés, tu as ramené Lydia, ou même Malia, alors qu’elles n’avaient rien à faire dans l’histoire.
-T’insinues quoi ? Que je suis chiante ? Que je réagis de manière excessive ? répliques-tu, sur la défensive.
-Je dis juste que j’ai l’impression que tu m’accuses souvent d’être trop proche de Lydia alors que je n’ai rien fait.
-Mais tu voudrais bien.
-Franchement, à ce stade, ouais, au moins je saurais vraiment de quoi tu m’accuses.
Suite à sa phrase, Stiles ouvre grand les yeux, réalisant ce qu’il vient de dire. Tu as les larmes aux yeux, mais te retiens.
-Y/N, je…, tente-t-il de dire, mais tu l’interromps.
-Va te faire foutre.
Tu prends ton sac et quittes la Jeep avant de claquer la portière et de courir jusqu’à chez toi. Stiles hésite pendant une seconde à te suivre, mais décide finalement de partir, sachant que tu ne voudras pas l’écouter. Tu montes dans ta chambre et t’enfermes. Des larmes de colère coulent sur tes joues alors que tu tentes de ne pas crier. Vous vous êtes déjà disputés avec Stiles. De nombreuses fois. Trop de fois, même. Mais il n’était jamais allé aussi loin. Tout ça parce que tu l’as poussé à bout, mais il a également reconnu que s’il pouvait, il voudrait être avec Lydia. Tu te jettes sur ton lit, prends ton coussin et hurles dedans. Tu laisses toute ta rage sortir, alors que tes sanglots se font de plus en plus forts. Tu ne cesses de te répéter que tu as tout gâché à cause de tes peurs, tu les as tellement laissées parler que tu as fini par pousser Stiles dans les bras de Lydia. Tu as tout ruiné, car tu ne peux pas avoir confiance. Confiance que tu sembles ne plus pouvoir donner depuis deux ans. Après plus d’une heure à pleurer toutes tes larmes, tu commences à respirer doucement pour calmer tes émotions. Quand tu arrives enfin à trouver un rythme cardiaque normal, la porte de ta chambre s’ouvre, laissant apparaître ton père.
-On doit parler, Y/N, commence-t-il, mais tu ne réponds pas. Tu ne peux pas continuer à m’ignorer. Y/N, s’il te plaît.
-Pas aujourd’hui, j’ai pas la force, soupires-tu en te levant de ton lit.
-Non, ça ne peut plus attendre, on doit en parler.
-Il n’y a rien à dire. Laisse-moi tranquille, je ne veux pas te parler, tentes-tu de le repousser, mais il ne bouge pas.
-Dommage, car on va parler.
Comprenant qu’il ne va pas te lâcher, tu le dépasses et quittes ta chambre.
-Reviens ici, ordonne ton père derrière toi.
-Non.
-Tu comptes m’en vouloir longtemps ?
-Jusqu’au jour où tu auras la capacité de changer le passé, t’écris-tu en continuant de marcher jusqu’au salon.
-Mon Dieu, Y/N, même ta mère m’a pardonné.
-Et elle n’aurait pas dû, exploses-tu en regardant ton père dans les yeux. Si ça avait été moi, je t’aurais pas pardonner aussi facilement. Ou même tout court.
-S’il te plait, je n’aime pas voir ma petite fille en colère contre moi.
Ton père essaye de poser sa main sur ta joue délicatement, mais tu recules d’un pas. Tu vois à ses yeux qu’il est blessé, mais tu t’en fiches.
-Tu aurais peut-être dû y réfléchir avant de détruire notre famille en une nuit et je t’interdis de m’appeler ta petite fille.
-Cette nuit était une erreur. Je regrette.
-C’est la vérité ou c’est un mensonge, comme la fois où tu as dit que tu avais loupé notre sortie de famille, car tu dormais ? interroges-tu en faisant semblant de vouloir savoir.
-Y/N, je suis sincèrement désolé pour la façon dont j’ai menti.
-Ne dis pas que tu es désolé maintenant, c’est trop tard.
-S’il te plaît, j’essaye de faire un pas vers toi, supplie-t-il, te rendant un peu plus en colère.
-Je m’en fiche, le fait est que tu nous as laissé tomber pour une autre femme ! A cause de tes actions, maman était au fond du gouffre. Tu l’as fait souffrir et tu m’as aussi fait du mal. Je n’ai plus confiance en toi.
-Je sais et je vais passer toute ma vie à m’en vouloir.
-Alors, tu peux comprendre que je ne peux pas te pardonner. Tu sais pas ce que ça fait de voir une personne que tu admirais détruire toute la confiance que tu avais. Maintenant, je ne peux même plus te regarder ! rétorques-tu en sentant tes larmes revenir, ton père baisse le regard, honteux.
-Dis-moi au moins ce que je peux faire pour régler la situation.
-Il n’y a rien à faire, j’aimerais qu’il y ait quelque chose, mais tu ne peux rien faire. Tu as brisé notre famille. Et je te déteste pour ça. Tu parlais respect, fidélité et ça t’a pas empêché de trahir maman.
Tu respires rapidement à cause de ta colère. Tu prends une seconde pour essayer de te calmer avant d’ajouter d’un ton dur :
-Tu me dégoûtes. T’es vraiment qu’un connard.
-Tu peux être en colère, mais je t’interdis de me parler comme ça !
Au même moment où ton père te réprimande, vous entendez quelqu’un frapper à la porte. La respiration haletante, tu te diriges vers l’entrée. Tu te retournes vers ton père une dernière fois en t’écriant :
-J’en ai rien à battre !
En ouvrant la porte, tu tombes sur Stiles. En le voyant, tes yeux laissent couler quelques larmes. Il te fait un sourire gêné, ignorant quoi dire au vu de ce qu’il vient d’entendre.
-S’il te plait, on peut partir ?
En entendant ta voix se briser, Stiles n’attend pas avant de prendre ta main et de t’inviter à le suivre jusqu’à ta Jeep. Ton père vous suit en t’ordonnant de revenir. Pour simple réponse, tu lui fais un doigt d’honneur alors que Stiles démarre sa voiture.
Vous roulez dans un silence de mort. Ta colère envers ton géniteur se calme, mais tu sens toujours une douleur dans ta poitrine suite à votre discussion. Tu n’aurais jamais cru dire des choses aussi horribles à ton père un jour, mais tu n’aurais également jamais pensé qu’il vous ferait autant de mal, à toi et à ta mère. Tu tentes d’essuyer tes joues, mais elles sont mouillées une seconde plus tard.
Après avoir conduit pendant trente minutes, Stiles se gare à côté d’un parc. Il te regarde avec compassion, cherchant comment commencer la conversation. Tu prends plusieurs respirations avant d’oser le regarder.
-Tu veux en parler ? interroge Stiles avec une voix douce.
-Il n’y a pas grand chose à dire, renifles-tu. J’imagine que tu as tout entendu.
-Juste quand tu l’as insulté, confirme-t-il en t’offrant un mouchoir.
-Il l’a mérité.
Tu prends le mouchoir de la main de Stiles et essuies quelques larmes avant de te moucher.
-Pourquoi tu es venu chez moi ? reprends-tu.
-Je… Je voulais m’excuser. Je n’aurais pas dû dire que je voulais être avec Lydia. Tout d’abord parce que c’est faux, mais aussi parce que je t’ai blessé. Je m’en veux de t’avoir causé de la peine.
-Tu n’as pas à t’excuser, Stiles, déclares-tu d’une petite voix.
-Bien sûr que si ! J’ai été horrible en disant ça, réplique-t-il en colère contre lui-même.
-Je t’ai poussé à bout. Je suis toujours là à te chercher des défauts pour les retourner contre toi, même quand tu ne fais rien. Je te blesse, car je n’arrive pas à avoir confiance. C’est de ma faute si tu as dit ça.
-Tu m’as pas obligé à le dire.
-Je t’ai énervé pour te faire avouer quelque chose qui n’est pas vrai. Je suis désolée de toujours t’accuser de me tromper avec Lydia. Je sais que tu es honnête, mais je ne peux pas m’empêcher d’avoir peur, avoues-tu, honteuse.
-Tu te sens menacée par Lydia ? questionne-t-il, tentant de comprendre.
-Si ce n’était pas elle, ça serait Malia et si ce n’était pas elle, ça serait une autre. Je… J’ai juste peur que tu ailles voir ailleurs.
-C’est par rapport à ce que j’ai entendu ?
Pour simple réponse à sa question, tu hoches la tête. Tu restes silencieuse pendant une seconde, te demandant si tu devrais lui en parler. Finalement, tu te dis que tu as sûrement déjà tout ruiné, alors autant admettre.
-Mon père a trompé ma mère il y a deux ans. Elle l’a découvert quelques mois plus tard et après elle s’est séparée de mon père. Quand j’ai appris la vérité, j’ai eu tellement de haine pour mon père, informes-tu et tu sens les larmes revenir. Je n’aurais jamais cru qu’il ferait quelque chose comme ça. Mais je crois que le pire, c’était voir dans quel état ma mère était. Elle n’a pas quitté son lit pendant une semaine, elle mangeait à peine. J’ai essayé de prendre soin d’elle comme je pouvais. Jamais je n’aurais imaginé voir ma mère comme ça. Quand elle est allée un peu mieux, on a emménagé ici. Elle voulait être loin de mon père et honnêtement, je le voulais aussi.
-Ton père est revenu pour te voir ?
-Non, ma mère lui a pardonné, expliques-tu en levant les yeux au ciel. Ils se sont remis ensemble il y a quatre mois. Quand elle me l’a annoncé, je me suis tellement énervée. Comment est-ce qu’elle peut agir comme s’il n’avait rien fait alors qu’il lui a fait tant de mal ? Alors qu’il nous a fait autant de mal ? Il est revenu à la maison il y a une semaine et c’est tendu. Je l’évite autant que je le peux, mais il veut absolument me parler et tu as vu comment ça se finit généralement, dis-tu en riant jaune. Enfin, c’est pour ça que j’ai toujours peur. Depuis sa trahison… j’arrive plus à faire confiance aux autres, avoues-tu en regardant tes mains. Enfin, jusqu’à ce que je te rencontre. Mais même si j’ai confiance en toi, ce n’est pas à 100%. J’ai toujours peur que tu me fasses du mal, comme il l’a fait. Mes parents étaient tellement amoureux et mon père si respectueux envers ma mère, je n’aurais jamais pu imaginer qu’il puisse la tromper et maintenant, j’ai peur qui m’arrive la même chose, révèles-tu en le regardant, espérant qu’il comprenne. Et je sais que tu m’as donné aucune raison de douter de toi, mais mon père avait aussi donné aucune raison à ma mère de douter et ça ne l’a pas empêché. Je sais que je te diabolise en t’inventant des aventures, mais c’est plus fort que moi. À cause de mon père, je ne peux pas m’empêcher d’imaginer le pire. Je sais que j’ai toujours été la cause de nos disputes et qu’à cause de ça je t’ai souvent fait mal et je te jure que je ne veux pas te faire du mal et encore moins, ruiner notre relation, mais je ne sais pas comment faire autrement. J’ai l’impression que je ne peux pas aimer comme il faut et je déteste ça, pleures-tu.
Stiles pose ses mains sur tes joues, tentant d’essuyer tes nouvelles larmes. Tu fermes les yeux à son touché, appréciant votre proximité.
-Y/N, ce n’est pas grave, murmure-t-il et tu te sépares de lui.
-Non, c’est grave, affirmes-tu. Je suis en train de ruiner notre relation avec mes stupides peurs, ma relation avec mon père n’est pas prête d’être réparée, même avec ma mère, il y a des tensions maintenant et j’ai tellement de colère en moi.
-C’est normal, tu as été blessée, tu as le droit d’être en colère, t’assure Stiles et tu secoues la tête.
-Mais je ne veux pas rester en colère toute ma vie, surtout si je finis par te blesser. Et puis, je ne suis pas seulement en colère contre mon père, mais aussi contre moi-même.
-Pourquoi ?
-Même si mon père a merdé, je l’aime toujours. Tout à l’heure, je lui ai dit que je le détestais pour le blesser, mais je ne le pensais pas. J’aimerais le détester, mais je ne peux pas et en même temps, je ne peux pas lui pardonner, sanglotes-tu.
-On parle de ton père, tu as le droit de lui en vouloir et de continuer à l’aimer.
-Tu crois que je devrais lui pardonner ? Après tout, ma mère l’a fait et il a demandé mon pardon pleins de fois.
-Je ne peux pas prendre cette décision pour toi. Fais-le seulement si tu en ressens le besoin. Ton père t’a trahi, il n’a pas le droit de t’obliger. Ta mère a fait le choix de le faire, mais rien ne t’oblige à faire de même.
-Mais et si c’était la solution pour pouvoir avancer et pouvoir enfin te faire totalement confiance ?
-Je pense que tu devrais d’abord faire un travail sur toi pour voir si tu as besoin de lui donner ton pardon ou si tu peux retrouver cette confiance sans.
-Et nous dans tout ça ? chuchotes-tu, appréhendant sa réponse.
-On fera comme tu veux. Je… Je comprendrais si tu veux rompre pour te concentrer sur tes problèmes familiaux, déclare-t-il, même si l’idée d’être loin de toi lui fait peur.
-Je ne veux pas te perdre, je ne peux pas te perdre, Stiles. Actuellement tu es la personne en qui j’ai le plus confiance, mais si on dirait pas comme ça. Je ne veux pas le faire seul, j’ai besoin de toi auprès de moi.
-Très bien, alors je reste, sourit Stiles en essuyant une larme de ta joue. Mais à partir de maintenant, je veux que tu parles avec moi. Je ne veux plus que tu restes seule à te torturer l’esprit en imaginant le pire. Quand tu sens que ça devient trop, tu viens me parler, d’accord ?
-D’accord. Merci Stiles. Pas seulement pour m’avoir écouté, mais aussi pour ne pas m’avoir abandonné malgré tout ce que je t’ai fait traverser.
-Tu en vaux la peine, affirme-t-il et tu le regardes avec tendresse.
-Et je suis vraiment désolée pour tout ce que j’ai dit.
-Ce n’est pas grave, je ne t’en veux pas.
Tu te jettes dans les bras de Stiles, ayant besoin de son réconfort. Quand il resserre ses bras autour de toi, tu arrives à lâcher un soupir, tes épaules tombant légèrement, comme si toutes les tensions de ton corps avaient quitté ton corps. Stiles caresse doucement ton dos, espérant te calmer un peu plus. Tu enfouis ton visage dans le creux de son cou, voulant seulement sentir sa présence. Même si c’était angoissant, tu sais maintenant que tu avais besoin de lui parler de ton père et de tes peurs. Lui en parler, t’a permis de réaliser que ta confiance en lui est devenue un peu plus forte. Maintenant tu es sûre que Stiles ne te ferait jamais de mal. Il a su être patient et ne t’a pas lâché même si tu lui as donné toutes les raisons pour. Tu es reconnaissante de l’avoir auprès de toi. Tu es sûre qu’un jour tu arriveras à lui faire totalement confiance.
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{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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🏥Jeudi 7 décembre 2023: Je sors donc ce matin d’hospitalisation! Je débutais la journée avec ce beau ciel rose. Et sinon ils avaient complètement oublié de me retirer le midline ! C’est moi qui est dû demander à ce qu’on me l’enlève.. Le cathéter était immense dans mon bras, ça fait du bien qu’il soit enfin retiré! Au moins cette fois-ci je n’ai eu aucun problème avec! La dernière fois ont me faisait passer de la nutrition parentérale dessus donc c’est sûrement ça qui avait fait que je n’ai pas supporté. Avant de sortir un étudiant docteur est venu me voir mais il avait l’air un peu ailleurs. Je lui pose des questions et au lieu d’y répondre il me dit « d’accord »🤨 Et ils avaient oublié de me donner le courrier pour l’allergologue, j’ai dû le rappeler. Du coup c’est à moi de prendre rdv avec qui je veux. Mes parents sont venus me récupérer. Par contre j’ai oubliée ma gourde d’eau dans une salle d’attente 😅 Tant pis
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L’île de Neige. (Eustass x Lecteur) 🍋
PT.5 - { Chapitre 04 }
{ PDV Kidd }
la lumière qui se refléter sur la neige posé sur les branche de sapin illuminé la chambre. une envie de mettre la couverture sur mon visage pour continuer le sommeil si confortable était présent, voulant tiré la couverture je baisse la tête et voie Reader contre mon torse endormie, elle dégager toujours autant de chaleur émanant de son corp. soupirant un moment légèrement renfrogner de ne plus pouvoir fermer l'œil a la vue de son corp dans se si petit bout de tissue léger.
je remémore la journée et nuit d'hier. un peut de blush sur mes oreille, "depuis quand je suis autant attiré par elle..?" cette question me venez de plus en plus souvent au court de ces dernier mois. c'est vrais, dès que j'avais posé les yeux sur elle... je sert le point mais fini par la blottir plus contre moi posant un baiser sur sont front. elle gémie a mon acte se qui me fit la relâcher pour la regardé ouvrir les yeux.
{ PDV Reader }
je sentie mon corp blottie contre quelque chose de robuste, me souvenant petit a petit de la journée d'hier je sourie doucement, avant de me sentir un peu plus blottie je gémie un peu avant de lever la tête, je le voie pour la première fois de si près, avec la lumière éclatante venant des fenêtres. "Reader : Bonjour, Capitaine~ dit-je la voie du matin un peu cassé par temps de son de la veille.
"Kidd : Bonjour Reader. avec sa voie du matin, qui me fit frémir, elle était plus roque que d'habitude.
"Reader : tu est réveiller depuis longtemps ? au son de sa voix je pouvez deviner que non, mais posé cette question était purement instinctive. je rougis un peu.
"Kidd : Non. je viens de me réveiller.
son estomac fit un gargouillement étonnant me faisant écarquillé les yeux puis rire, je le sent s'agité dans le lit avant de vouloir sortir du lit, il avait a peine lever la couverture qu'il replongé directement sous la couverture et marmonnant de choses incohérente.
"Reader : Kidd ? je demande perplexe et étonné.
"Kidd : il fait putain de froid ! pourquoi il faut qu'il fasse froid en dehors du lit et chaud dans la couette ! il ralle a lui-même se qui me fit rire sur le moment.
"Reader : je viens glisser ma mains et me faufiler sur lui étant toute blottie contre son torse, tu veux que j'aille te chercher a manger ? killer a dit que toute sorti était impossible aujourd'hui a cause de la tempête qui arrive.
"Kidd : il grommelle et fini par acquiescer de la tête, pas le choix de rester ici et de se reposé.
je viens lui picoré le bout de ces lèvre se qui le fit sourire légèrement avant de venir ma tâtonné les fesses.
"Reader : Kidd ! il viens approcher mon visage du sien avec sa mains
"Kidd : si tu ne me donne rien a manger je vais devoir en trouvé moi-même, dit-il taquin.
je me lève d'un coup a califourchon sur lui étant toute rougissante, je saute en dehors du lit courant mettre son mentaux sur moi, en l'entendant râler de l'air froid que j'ai laisser passé sous la couette en quittant le lit.
"Reader : je me retourne vers lui et lui fait un clin d'œil malicieux, sa c'est pour ta taquinerie Capitaine ~
je ferme la porte derrière moi avant d'entendre l'impacte de l'oreiller sur la porte, je me mis a rire fortement marchant dans le couloir.
Marchant tranquillement dans le couloir la porte se trouvant non loin de la notre s'ouvrir, je sursaute voyant une masse énorme de doudoune debout, regardant au niveau des yeux je pouvez y voir des yeux persan et d'un bleu éclatant.
"Reader : Heu... Bonjour ?
je pouvez sentir sont regard le long de mon corp, de la tête au pied, puis rester fixer sur le manteau sur les épaule.
. . . Silence . . .
je me balance un peu sur mes pied et repris mon chemin des yeux écarquiller de se que je viens de voir. "mais c'était quoi sa !?" je me dépêche de descendre les escaliers et de passé la porte du bar pour voir le barman nettoyer les tables.
"Barman : Oh bonjour, je ne m'attendez pas a voir quelqu'un a cette heure-ci, dit-il étonné.
"Reader : Ah oui ? je penche la tète, tenant le mentaux contre moi fermer. quel heure est-il ?
"Barman : il est 6H20 actuellement, dit-il en regardant sa montre a gousset.
"Reader : Oh.. je suppose qu'il n'est pas l'heure pour commandé a manger ? je baisse mes oreilles voyant le vielle homme vaciller un peu
"Barman : N-Non ! c'est bon, je peu préparé quelque chose, en général j'ouvre la cuisine a 7h30, mais je peu faire une exception. dit-il en souriant et venant vers moi.
"Reader : je lui sourie, au ces gentille merci beaucoup, c'est possible d'avoir de la nourriture dans la chambre ?
"Barman : Bien sûr, il sort son petit carnet et son crayons se préparant déjà a prendre la commande. alors.. que veux donc la charmante petite louve ? dit-il gentiment, se qui me fit rire et sourire.
"Reader : et bien j'aimerais beaucoup de choses qui pourrais nourrir un capitaine affamé ~
"Barman : il vacille de nouveau a mes mots, riant nerveusement, et bien il y a pas de problème, je vais commencé a préparé tout sa et l'apporter dans vôtre chambre, dit-il en souriant.
je sourie me retournant avant de partir en trombe vers les couloirs disant merci au passage au vielle homme, remontant les escalier je croise l'énorme masse de doudoune.. il bloque les escalier...
. . . Silence . . .
"Reader : heu.. on se connait ? je penche la tête et examine un peu plus ces yeux.
{ FLASH BACK }
" . . . : Allez saute plus haut ! et envoie tes bras vers l'arrière pour surprendre ton adversaire ! crie t-il en esquivant mes coup de dague en bois.
"Reader : tu dit sa comme si c'était la chose la plus facile a faire !! je crie de rage partant pour esquiver son coup mais fini par être plaquer contre le murs de la salle d'entraînement du navire.
". . . : il suffis juste que tu y mette un peu plus du tien et tu pourra y arriver, n'oublie pas que tu peu être tué a tout moment dans le nouveau monde. dit-il calmement.
"Reader : je te signal que je suis née dans le nouveau monde, au cas ou que tu l'aurais.. OUBLIER !! je le pousse hors de moi d'un coup de pied a son torse se qui le jeta au sol.
je profite de cette opportunité pour bondir sur lui, finissant avec mes lame en bois sous sa gorge à califourchon sur sont ventre, respirant essoufflait près de son masque. le reflet du ciel bleu, et le couché de soleil clair traversant la fenêtre, je pouvais voir a travers les troue de celui-ci le reflet de ces yeux, il était... Magnifique. un ciel emprisonné dans une paire d'yeux, mélangeant les couleur du ciel et de la mer. je me senti sortir de mes pensé par une forte prise sur mes poignée, me retournant sur le dos, il inversa les rôle.
"Reader : AH c'est pas vrais !!!! TU MA PRISE EN TRAITRE !! K-I-L-L-E-R !!!! j'hurle de frustration se qui le fit rire de plus belle.
"Killer : Je voie pas de quoi tu parle. si tu rêvassé comme sa en plein combat tu ne durera pas plus de 2mn sur un champ de bataille.
il me relâché et m'aide a me relever, je lui fait la moue les oreille et la queue baisser.
"Killer : . . . ? quoi ?
"Reader : je redresse un peu mes oreilles et ma queue et le fixe calmement. Killer ? je peu voir ton visage ? je penche la tête.
"Killer : . . . Non. il avait répondu après un long moment qui semblait être un moment de réflexion..
"Reader : Eeeeeh !!!??? Allez !!! s'teuplaiiiiiiis !!!!
"Killer : Non. il répondis directement cette fois croisant les bras comme a son habitude quand il était ferme.
"Reader : Pas cool ! je fait la moue, allez juste un petit coup d'oeil !!!! je lui fit la moue de petit chiot.
"Killer : . . . après un moment de silence il soupire, si tu réussi un jour a me battre tu pourra le voir ? cela ressemblait a la fois une condition et une question.
"Reader : je baisse la tête un moment avant de la relever avec des étoile dans les yeux remplis de détermination, D'ACCORD !! je te prend au mots alors !!!
Killer posant les arme en bois a leur place, il se mis en chemin de la sorti de la salle d'entrainement, je fit de même mais restant pour nettoyer un peu le sol qui était un peu humide par les goutte de transpiration, au bout de 2h d'entrainement il était dure de ne pas transpiré, surtout avec un partenaire d'entrainement comme Killer.
"Reader : avant qu'il ne referme la porte je ne pouvais pas m'empêcher de lui faire la remarque. en tout cas tu as déjà de beau yeux Killer~
"Killer : Il tressaille a mon commentaire avant de se rattraper sur la poigner de porte. P-Pardon ? dit-il se retournant vers moi
"Reader : je sourie grandement et joyeusement, Et bien oui~ je les es entrevue dans les troue de ton masque tout à l'heure ! je fait la moue, c'est pour sa que je "rêvasser" !!!
"Killer : . . . il se mis a rire, Je voie.. et bien Merci.. dit-il avant de repartir.
{ FIN DU FLASH BACK }
je le pointe du doigt faisant un pas en arrière avant de commencé à m'écrier, KIL- !!! il fini par dévaler les escaliers m'emportant avec lui avant de finir en bas des marche avec un énorme vacarme.
"Reader : Aïe..Aïe... je me relève difficilement assis sur cette énorme boule de doudoune frottant ma tête. Killer... je soupire... Pourquoi tu porte autant de vertement ??? je soupire.
"Killer : . . . comme kidd, je ne supporte pas le froid. . . il détourne les yeux embarrasser.
"Reader : . . . au niveau ou tu en n'et se n'est plus du "supporter" c'est plutôt "craindre" dit-je d'un aire narquois croisant les bras sur ma poitrine.
j'ai oublier que durant la roulade dans les marche le mentaux qui était sur mes épaule n'était plus là. s'entend directement le contacte de mes mains sur mes bras je m'en rendis compte avant de baisser la tête et me rappeler quel genre de tenue je porté. j'explose d'un rouge directement, entendant des pas lourd dans les escalier me retournant voyant Kidd en haut les marche analysant la situation.. Oh non.. nous parlons avant tout de Eustass Cap'tain Kidd.
{ PDV KIDD }
il c'est écouler un bon moment déjà depuis que Reader est parti chercher a manger. m'assoupissant de nouveau dans la chaleur du lit, quelques instant passe avant qu'un vacarme me fit sursauter. "c'était quoi sa ?" je grogne et sort quand même du lit, l'air froid qui frappe ma peau me fait grimacer, mais je doit allez voir si Reader n'as pas de problème.
m'habillant en vitesse je sort de la chambre me dirigeant d'où venait le bruit, je me stop en haut des marche court-circuitant un neurone ou deux voyant Reader, en petite tenue sans mon mentaux assise sur... une boule de doudoune...???? je cligne plusieurs fois des yeux, avant de revenir a la réalité.
"Reader : Capitaine ! s'écrias t-elle cherchant déjà mon mentaux en tournant la tête de droite a gauche.
"Kidd : je descend les escalier et viens l'attraper par la taille, la tirant hors de se "truc" ? je grommelle. tu en met du temps pour commandé a manger.
"Reader : elle rie nerveusement, Oui... il bloquer les escalier, elle pointe du doigt l'énorme boule au sol.
"Kidd : bordel mais c'est quoi sa ? j'interroge perplexe.
"Reader : Beh... C'est Kil-
"Killer : C'est moi Kidd-o. . .
Un moment de silence se fit avant que je finisse par éclater de rire avec Reader contre moi qui avait sursauté fouettant sa tête vers moi les yeux écarquillé.
"Kidd : MERDE !! MEC REGARDE TOI !!! on dirait un énorme tas de linge perdu !!
"Killer : Ca va !! on as pas tous la chance d'avoir un chauffage a disposition dans cette auberge ! dit-il en râlant, essayant de se relevé avec difficulté.
"Kidd : je viens donné un coup de pied a la grosse boule de doudoune qui fini par rouler un peu plus loin, je pouvez pas retenir mon rire a cette situation.
{ PDV Reader }
je profite que Kidd est pousser Killer pour ramasser sont mentaux qui était juste là et de le remettre sur mes épaules. je me dirige vers Killer l'aidant a se remettre droit entendant Kidd rire de plus belle jusqu'as s'accroupir tenant sont ventre. je me retiens de rire aussi maintenant que je repense a se qui c'est passé a l'instant. mais quand j'ai croisé le regard de Killer en colère je ferme mon sourire une goute de sueur au coin de ma tempe.
"Reader : S-Sa va ..?
"Killer : je vais retiré ces doudoune et lui botté le cul moi-même.. dit-il en gigotant.
je pince mes lèvre m'éloignant un peu passant a coté de Kidd qui ouvrit les yeux me regarde passer d'un air effrayer accélérant le pas, perplexe il a regardé Killer qui avait plus que la moitié de ces doudoune sur lui fixant d'un aura de colère Kidd, qui lui fini par tressaillir.
je me retourne en vitesse sur la Troisième marche tapant des mains deux fois en fermant les yeux d'un air de prière japonaise, se qui attira de nouveau l'attention de Kidd sur moi.
"Reader : Kami-sama... protégé cette auberge de tout grabuge... et ... évité que killer ne décide de castré notre capitaine adoré. je retape de nouveau deux fois dans mes mains et fit demi-tour en sprintant en direction de la chambre en criant, "le repas arrivera dans la chambre d'ici une bonne heure !!!"
j'entendez Kidd hurler, suivis par les fracas de ces deux là se battre en bas des marche, fermant la porte de la chambre et me remettant dans le lit au chaud j'attendez le repas sagement, écoutant maintenant un silence lourd...
{ PDV KIDD }
avant même de quitté du regard Reader je l'entend taper des mains, la fixant étonné et écoutant ces mots je me suis instinctivement relevé et positionné sur mes gardes, recevant un coup de pied violant de la part de Killer.
"Kidd : Enfoiré !! je me fait éjecter a l'autre bout du couloir me rattrapant contre un murs.
"Killer : tu l'as cherché Kidd-o ! cette auberge tombe en ruine, les canalisation sont complètement gelée !
"Kidd : et c'est ma faute peut-être ?! j'hurle incrédule.
"Killer : . . . quoi qu'il en soit pousse toi j'ai faim. il me pousse sur le coté pour passé du coté du bar.
Voulant ouvrir la porte qui mène a l'extérieur il l'as claqua aussitôt, se qui me fit le fixer en silence les yeux grand ouvert. il se retourne vers moi passant de nouveau a coté en direction des doudounes.
"Kidd : Ha..-
"Killer : Tu rie, t'est mort. dit-il au plus sérieux et sombre qu'il pouvez.
je déglutie ravalant mon rire presque en m'étouffant avec, avec une goutte de sueur je le regarde re mettre quelque doudoune avant d'ouvrir la porte et de taper son plus beau sprint en direction du bar.
Killer hors de vue maintenant je me mis a rire de nouveau faisant presque trembler les murs de l'auberge, prenant mon temps pour me calmer j'ai eu un frisson parcourir tout mon corp, me rappelant que je n'avais pas mon mentaux avec moi, je retourne donc dans la chambre, montant les marche je croise certain membre de l'équipage qui c'était réveiller avec tout le grabuge passé. mis à part me saluer comme à leur habitude il profité tous de leur journée de repos a resté dans leur couchette au chaud, ou bien a allez boire au bar et manger.
refermant la porte derrière moi, je pouvait déjà voir Reader au lit sous la couette, mon premier reflexe était de regardé par la fenêtre, voyant les nuage de tempête approché a toute vitesse. marmonnant de colère je viens m'allonger près de Reader la prenant dans mes bras.
"Reader : tu est toujours vivant ? dit-elle ironiquement avant que je viennent la serrer un peu plus fort.
"Kidd : Tu veux peut-être que je te montre a quel point je le suis ? je ricane taquin.
"Reader : elle gigotte dans mes bras secouant la tête, Non.. je veux juste dormir encore un peu avant que le repas n'arrive.
"Kidd : Bon plan.
{ PDV Narrateur }
après une sieste de 15mn, quelqu'un se mis a frapper a la porte, Kidd refrogner se lève et ouvre la porte, le pauvre petit barman sursaute de peur tenant le plateau de nourriture dans ces mains. prenant le plateau, il lui claqua la porte au nez et pose le plateau sur le lit avant de venir secouer Reader.
il manger le repas ensemble emmitoufler dans la couverture se qui rappela un certain souvenir de Reader, la première fois que cela arriva avec son capitaine. développant une attache plus qu'amicale, elle se rend bien compte qu'il ne s'agis pas que de simple action humaine, derrière toute cette attention et agissement se cache bien des sentiment qui se développe et ceux depuis quelque temps déjà.
la journée était longue, Kidd était devenue ronchon quand Reader lui avait dit qu'elle allez passé un peu de temps avec les autres fille de l'équipage. jouer au carte et discuter entre elle. il a essayer de la gardé contre lui mais fini par céder à son regard innocent de chiot.
Résultat de cette journée ? gagnée un capitaine caché sous une pile de couverture, s'amusant a commandé a boire et a manger dans la chambre.
{ Message de l'écrivaine }
Heio !! sa fait longtemps je sais !! PARDON !! mais j'essais de trouvé l'inspiration, mon cerveau et remplis d'idée et de rêve, mais quand je me trouve face à face avec la feuille blanche.. Le néant apparait !!
comme c'est effrayant... je ne veux pas gardé pour moi toute cette imagination, je veux la partager avec vous tous.
merci de suivre cette histoire encore aujourd'hui... n'hésité pas a me dire se que vous en pensé.
j'avais envie de faire un chapitre plutôt calme et drôle. du moins selon mon point de vue cela là était !!
à la prochaine fois !!
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Hier jour de fête je quitte mon lit avec M. je vois E. au travail et le soir le soir je vais voir B. alors quand c'est jour de fête moi j'ai envie de susciter le désir alors je mets une de mes robes préférées dans laquelle franchement je me trouve bonne et devant le miroir je pense que objectivement c'est vrai aussi ces jours-là où on a envie que le regard de M., E. ou B. se pose aussi doucement que le tissu qui glisse sur les cuisses on se sent belle tout le temps même à porter des trucs lourds avec les bras être coincée en haut de l'échelle collée à la charpente ou courir partout dans le magasin honnêtement j'ai mis cette robe juste en pensant à eux en me disant je veux un compliment des yeux et finalement ce qui me fait le plus plaisir souvent c'est Marion ma collègue qui fait sa bouche bée quand elle me voit sortir des vestiaires là je me sens comme une reine et vas-y que je roule ma bosse en robe toute la journée mais surtout que je roule mon boule et vas-y que je remets souvent ma bretelle de robe sur mon épaule nue juste pour dire "eh j'ai des épaules nues" mais
drame
E. ne bosse que 3h aujourd'hui et B. B. est malade j'ai l'impression d'avoir mis cette robe pour rien pour rien les épaules nues, le haut qui accueille mes petits seins et le reste qui accompagne le mouvement de mes jambes on dirait du vent et je la colère monte de continuer à m'oublier dans le processus de continuer à faire ça pour des mecs et pas pas pour moi de me voir belle qu'à travers leurs yeux et pas les miens qu'à travers leurs critères qu'ils ne disent pas que j'imagine plutôt que ceux de Marion ou M. si j'écoutais M. et Marion et Mathou un peu plus, je serai reine tous les jours heureusement avec cette robe il y a le collier que Brunissen a fait et j'ai l'impression d'être encore à Groix avec Mathou ça me porte les souvenirs alors je ne m'avoue pas vaincue cette robe va me servir à kiffer kiffer ma journée être en confiance avec moi-même être avec Mathou en pensée kiffer faire du vélo avec le vent qui remonte le tissu qui glisse sur ma cuisse peut-être au feu rouge verra t-on ma culotte et qu'est-ce que j'en ai rien à foutre c'est bien ça que j'ai envie de dire quand je mets une culotte sans shorty et que j'attends la jambe relevée car la pédale haute au feu rouge quand je repense qu'à l'école primaire une de mes hantises était que les mecs baissent ma jupe et que tout le monde voit ma culotte j'ai bien changé t'inquiète que si tu lèves ma robe pour voir ma culotte je te marave la gueule mais t'as pas idée à quel point je kiffe porter juste une robe et une culotte je crois que le truc c'est que j'avais envie d'être prête d'être apprêtée pour ce moment où E. me fait des blagues et utilise sa voix la plus grave du matin où je meurs un peu quand je le fais rire à gorge déployée prête apprêtée pour ce moment où B. me tiens les mains en pleine nuit me dit "Tu as été forte et courageuse. Bravo" ou quand on danse tous les deux comme des enfants où on oublie le prochain soleil prête et apprêtée pour un câlin d'amour prête et apprêtée quand M. me dit "Ne t'inquiète pas pour ça" sur ma plus grande inquiétude de la vie et que cette fois, je le crois
Est-ce qu'en belle robe on paraît plus forte est-ce qu'on assume plus est-ce qu'on a besoin d'être forte quand les autres ne nous rendent non pas faible mais accueillent notre vulnérabilité et nous accompagnent est-ce que le désir aide à obtenir de l'aide est-ce que si j'avais mis ma tenue de la flemme je connaîtrais tout ça c'est sûr
que oui
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Dispute
Je sais très bien ce qui va se passer. Je le savais déjà vendredi.
Vendredi, de sa petite voix de grand-mère là, il m’a annoncé qu’il avait réfléchi à une solution. Je croyais qu’on en avait déjà une de solution. Une solution discutée et arrêtée ensemble. Depuis des semaines, c’est vrai, je sentais qu’il ne voulait pas de cette solution, qu’elle ne lui plaisait pas. Et plutôt que de me le dire “la solution que l’on a trouvée ensemble, en discutant ensemble, elle ne me plait pas, j’en cherche une autre” il m’opposait un silence borné les quelques fois où j’abordais le problème.
Ce n’est pas qu’il noyait le poissons. Non, il ne fait même pas cet effort. Il ne répondait rien. Un silence suffisamment long pour que je comprenne toute seule qu’on n’aurait pas de discussion à ce sujet. Je défends quiconque de ne pas se sentir niée et méprisée face au silence de quelqu’un. Mais je mettais mes émotions dans un petit paquet pour ne pas l’importuner.
Je le connais. J’ai compris.
Je l’ai poussé à sortir du bois. Il en est sorti comme une grand-mère s’accroche à son sac, tremblante de tout son corps, quand il s’agit de traverser une place sur laquelle au loin une bande de jeunes fume des bédos.
Y a pas à dire, mon corps entier me rappelle que c’est ce que je déteste profondément de lui. Cette peur de vieux monsieur fragile.
Il m’annonce qu’il a une autre solution. Elle va à l’encontre de celle que l’on avait discuté et décidé ensemble. Ca, il ne le dit pas, c’est moi qui doit le dire.
Je sais, au moment où je raccroche le téléphone, que l’on va passer un très mauvais moment. Je sais que l’on ne va pas s’adresser la parole de la journée. Qu’il n’y aura pas de messages gentils vers midi pour savoir si la matinée s’est bien passée et qu’il n’y en aura pas dans l’après midi pour savoir si l’après midi se passe bien. Ouais, on est ce genre de débiles-là.
Je sais aussi que ce soir, il a un pot d’adieu avec ses collègues pour l’une d’entre elle qu’il ne connait pas bien. Il m’avait proposé de venir et il m’avait dit qu’il ne resterait pas trop longtemps, de toute façon. Je sais qu’il ne me proposera plus de venir et je sais aussi qu’il restera longtemps, sans m’envoyer le moindre message.
Le soir arrive. Je suis seule à la maison. La soirée n’est pas mauvaise, je suis heureuse qu’il y reste à son pot d’adieu. S’il pouvait y passer la nuit, je signerais aussi.
J’avale un zopiclone et un autre truc. Je veux dormir d’un sommeil si lourd quand il revient que je ne sente pas sa présence dans le lit.
S’il y a bien une chose que je ne supporte pas, c’est sentir sa présence à mes côtés, dans le lit, quand une dispute couve et qu’il fait merveilleusement bien comme si de rien n’était.
Le lendemain, je me réveille, totalement abrutie encore par les médocs, sur les coups de 13h. Et le voilà, mignon comme un bichon maltais, qui fait le gentil. Houlala, mais tu as bien dormi, toi. J’ai réservé un resto pour ce soir. Et ça s’est bien passé hier avec ta copine ?
Je ne suis pas du genre à exploser. Je n’ai pas explosé, donc.
Oui, j’ai bien dormi. Ok pour le resto. Voilà comment ça s’est passé avec mon amie...
Et tout mon être me crie que je le déteste profondément quand il est comme ça. Quand il nie ce qui se passe entre nous. Quand il pense pouvoir mettre sous le tapis.
Je retourne me coucher. Je l’ai déjà trop vu pour la journée. S’il n’est pas décidé à me parler de ce qui s’est passé la veille, qu’il aille se faire foutre.
Il vient me voir. “Je vais faire des courses, tu veux quelque chose”.
Bichon...
“Tu es fâché pour hier”.
Non, tu crois ? Dis-moi, pourquoi donc serais-je fâché ? C’est si agréable d’être traitée par son mec comme une ennemie dangereuse.
Ni l’un ni l’autre on arrive ni à s’écouter ni à se parler. Je fulmine mais je me contiens. Il me demande de me calmer. Oui, c’est facile d’être toujours celui qui demande à l’autre de se calmer. Il n’attend que ça, que je me calme. Que je fasse comme si de rien n’était. Que je ne ressente rien. Que je flotte au dessus de tout sans rien ressentir. Tiens, je devrais peut être augmenter ma dose d’antidépresseur. Qu’est-ce que tu en penses chéri ? C’était bien non, quand je sortais de l’hôpital et que mes émotions étaient bien rangées dans des boîtes de cachets. C’était plutôt confortable, qu’est-ce que t’en penses ?
J’ai fini par me barrer. Passer la soirée chez des potes ça vaudra toujours mieux que de l’entendre dire que je lui fait peur et que c’est pour ça qu’il ne me parle pas. Mes émotions, dit-il, sont désajustées et débordantes. Elles me débordent. Ah non, bien sûr, pas cette fois. Il ne parle pas de cette fois. Ni même de la fois d’avant. Non. C’est vrai. Ca fait un petit moment. Mais quand même, elles m’ont souvent débordées mes émotions, je ne peux pas le nier, non ? Il y a quand même quelque chose de pas normal dans ma façon de vivre mes émotions. Et lui, bha ça lui fait peur.
Petit bichon...
Je te fais peur, mon amour... Je te fais peur... Est-ce que tu te souviens, quand tu te tapais la tête contre les murs ? Tu te souviens comme je m’interposais entre le mur et toi pour que tu ne te fasses pas mal ? Et quand tu t’arrachais littéralement les cheveux devant moi ? Quand tu te traînais sur le sol en te donnant des coups sur la tête en répétant “je suis une pauvre merde” parce que j’avais osé dire que le fait que tu m’avais trompé avec ton ex continuait à me hanter. Ah, et cette fois où tu m’as jetée sur le lit et où tu t’es ensuite jeté sur moi en martelant le matelas autour de moi de coups, frôlant mon corps et mon visage ? Et cette fois encore où de rage tu as donné un coup de pied dans notre porte vitrée, que ton pied est passé au travers et que tu t’es retrouvé aux urgences....
Elles étaient comment tes émotions, là ? Dis-moi...
Tu te souviens ce que j’ai dit de tes émotions ?
Est-ce que je t’ai dit qu’elles étaient désajustées ? Anormales ? Débordantes ? Est-ce que je t’ai fait comprendre que tes émotions étaient tellement désajustées que ce n’était pas à moi de les prendre en charge ? Que tu ne pouvais pas décemment attendre ça de moi ?
Non.
Simplement non.
Toute mon empathie d’humaine s’est tournée vers toi pour mettre du baume sur ta souffrance.
Si tu souffrais au point de te faire du mal, peu m’importait que ta souffrance ne s’exprime pas comme j’aurais aimé qu’elle s’exprime. Je te prenais dans mes bras, j’accueillais tes larmes, et je t’écoutais parler pendant des heures.
Je n’ai jamais tapé ma tête contre les murs. Je ne me suis jamais arraché les cheveux. Je ne me suis jamais traînée au sol en me donnant des coups sur la tête, je ne t’ai jamais dominé de ma force pour te faire peur, je n’ai jamais pété le double vitrage et fini aux urgences.
J’ai fait d’autres choses. J’ai hurlé quelques fois dans une pièce de l’appartement, comme un animal qu’on égorge, pour sortir de moi toute la colère de ne pas être entendue. J’ai claqué des portes jusqu’à en faire trembler les murs, encore, pour me faire entendre. J’ai pleuré si fort et si longtemps que mes paupières ont mis des jours à dégonfler. Un jour, j’ai jeté un verre contre un mur puis j’ai attrapé le tesson à pleine main, j’en ai encore la cicatrice au creux de la paume. Tu m’as traitée de folle, tu te souviens ?
C’était ma souffrance à moi et la forme qu’elle prenait.
Et maintenant, tu as peur.
T’es vraiment une petite chose fragile, mec.
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Si je pouvais dire tout ce qui me passe par la tête
Je ne veux pas dire que ça se détache alors que je te mets sur un piédestal, je sais que tu l'as déjà fait et que tu n'as pas aimé ça, j'apprends chaque fois que je suis autour de toi, j'apprends quelque chose nouveau sur vous.
Si je pouvais dire tout ce qui me passe par la tête, tu saurais qu'à chaque fois que je te regarde dans les yeux, je vois tellement de choses qui pourraient être, je ne peux pas décrire cette énergie que tu apportes dans ma vie
Je n'ai jamais vraiment ressenti quelque chose comme ça, je ressens ce besoin de protéger votre féminité en sachant que vous n'avez pas besoin de moi. Chaque fois que je t'embrassais, je fermais les yeux (je n'aime pas fermer les yeux en m'embrassant) j'aimerais que notre timing soit meilleur nous nous sommes rencontrés à un moment bizarre pour nous deux je peux sentir que nous sommes tous les deux dedans nos phases de transition de la vie où nous nous mettons enfin en premier et travaillons à nous améliorer
Quand je suis avec toi, juste moi et toi, j'ai l'impression de pouvoir faire tout et n'importe quoi, j'ai essayé d'apprendre et d'être plus vulnérable et de m'ouvrir à toi. Je ne veux pas trop m'ouvrir et tu ne peux pas le supporter et sortir de ma vie c'est la dernière chose que je veux
Je veux faire partie de ta vie, j'essaie de ne pas rester trop longtemps dans la vie des gens, je ne veux pas trop prolonger mon accueil, mais pour toi, je ne veux pas te quitter.
Je vois tes imperfections et les choses que tu peux améliorer, je ne te juge pas pour ça, je te permets d'être toi. J'ai l'impression d'être trop excité avec toi et mes manières passionnées t'ont repoussé. Je ne veux pas être une distraction dans votre vie, je veux vous voir grandir, j'aime entendre parler de votre journée, qu'il s'agisse de réussir à l'école ou de me parler de vos projets pour l'avenir, vous inspirez plus que vous ne le pensez . En fait, vous avez inspiré une ligne dans une chanson que j'écris, elle n'est pas encore terminée, mais vous me poussez à être une meilleure version de moi-même. Si je pouvais dire ce que je ressens quand je regarde dans tes yeux.
If i could say everything on my mind
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🕯Rampo x poe🗝 ( étudiant )
===============================
"Mrs Edogawa ! Je vous prie de bien vouloir réveiller votre camarade !"
Je le regarde d'un coup d'œil est ces exacte il dormait .
Nos études sont coplexe en se moment , il nous demande beaucoup plus de travaille .
Mais poe ne sais pas faire la part des choses et mes sa santé sur côté sans aucun remort
"Poe,réveille toi.
-Hmmm..."
Il fini par ouvrire les yeux et de ce redresser , en écoutant les 10min restante de notre cours .
*sonnerie*
Les cours pour aujourd'hui c'esr fini !
J'attendais poe a la porte le temps qu'il s'excuse au prof .
"C est bon ?
-oui
-bien ! "
Nous partons déposer nos affaire dans son dortoir on s'installe et commençons nos biographie .
"Poe ?
-hmm?
-on sort !?
- non pas maintenant rampo , j'ai pas fini.
-je veux sortir poe , je veux qu'on sorte tout les deux ! Allez ! Tu a casi fini !
-3 petites secondes
"3heures tu veux dire !?"
Je sort de la chambre et comme prévu il m'a suivit en dehors en soufflant.
Avec lui , il aurait encore travaillé comme un fou et aurais dormir tout notre fin d'après-midi !
Je nous traîne a la bibliothèque puis a une pâtisserie et fesont la queue pour avoir notre bubble tea.
"Bonjour, ca serait pour deux bubble tea s'il vous plaît.
- bonjours , bien les goût je vous prit ?
- un (le dien) et pour ma part un pèche je vous prit .
-et voila tenez , aurevoir passé une bonne journée !
-merci vous aussi."
Nous nous promenons dans les rue pour nous asseoir quelque part.
il s'assoit sur un ban vide, je me met devant lui debout.
Toujours en sirotant mon bubble tea ,je me penche vers lui en levant son menton du jour des doigts,.enlevant en même temps la paille de ça bouche .
En le remplaçant de mes lèvre sur le sienne .
Après avoir fini ça je met rapidement ma bouche sur sa paille pour lui piquer de son bubble tea !
il me tape sur la tête est enlève sa paille de la bouche .
"Ça fait mal poe!
-tu n'avais qu'à pas touché ce qui m'appartient rampo!
-mais!!! Je voulais goûter moi ..
-Et moi?
-toi?
-je veux tes lèvres encore une fois.."rougit"
-biensur!"
Je l'embrasse une 2iem fois et m'assois à côté de lui .
il posa sa tête sur mon épaules.
Quand poe est fatiguer , il devient dosil voir beaucoup trop adorable !
Nous rentrons à l'internat .
"Enfin rentré à la maison!
- oui
-mon cœur? On regarde un film ?
-attend rampo d'abord je termine ça
-d'accord "
, nous terminons les travaux qu'on a suspendu
et regardons pas la suite dans sont lit une serie nomme " Alice In Bordeland " .
Je me met au dessus de lui et l'embrasse , il posa c'est mains sur mes hanches en me serrant dans c'est bras tout les deux allongé sur le lit .
La serie commence je me retourne dos à lui en restant sere contre lui
Il dormait et vu l'heure il est réellement temps pour moi de rentré dans mon dortoir.
Je me lève, range son pc, embrassa ça joue.
"Je t'aime poe
-Moi aussi je t'aime, mais reste rampo.. s'il te plaît .
-vu la façons d'on tu tiens ma chemise je pense pas partie bien loi poe"
Je me glisse à nouveau dans ces bras ,dans le lit.
je me colle à lui en fessant de même de son côté.
"Cette fois tu n'as pas d'excuse ,tu dort ce soir poe.
Je suis la pour veiller sur toi
Je garde un œil sur toi <3"
===============================
Et voilà!!!
Cadeaux
#anime#bungou stray dogs#rampo headcanons#rampo#edgar poe#gay couple#etude#oc ship#bsd headcanons#textext#manga#japan
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Le BUT MMI (4ème semestre) : La moitié du parcours !
Ok ok ! Avant de raconter mon 4ème semestre, parlons tout d'abord de la fin de 2022 et début 2023 ? Comment ça s'est passé pour moi ?
Eh bien, ça va on va dire, c'était assez intense mais on a pu s'en sortir. Disons que 2023 a démarré fort. Un nouvel an assez tranquille mais malheureusement j'ai dormi 20 min après le décompte, j'étais exténué. Je m'en veux un peu alors que y'avait toute ma famille encore réveillé (mais tout le monde était malade par contre chaud). Noël c'était cool aussi. Comme d'habitude passé en famille et on a tous eu énormément de cadeaux.
Les projets de fin de semestre 3, finalement on a pu s'en tiré ! Le CV Vidéo fait en même pas deux semaines, le podcast vidéo qui a été réussi, le projet de site du BUT MMI, un des projets les plus éprouvants, on a persévéré jusqu'à la fin. Franchement, j'en ressors assez fier de cette fin de semestre.
Passons au semestre 4, il a été basé que sur un grand projet en groupe. La SAÉ 402/403 : Création d'une exposition fictive. Nous devions créer une agence de 6 à 7 personnes et nous devions nous diviser en deux parties : la partie création numérique et la partie développement web. Bref, je vais pas trop aller dans les détails parce que j'ai un peu la flemme. Je veux juste dire que ce projet, il y a eu des hauts et des bas. Au départ nous voulions bien nous organiser pour ne pas se perdre dans les tâches à réalisés cependant en faisant ainsi, nous nous sommes quand même perdus. En voulant être trop organiser, nous commencions des tâches mais nous ne les finissions pas. Elles étaient toutes incomplètes. Ensuite, personnellement, j'ai eu des baisses de motivation, je me trouvais plus dans mon rôle, j'arrivais plus du tout à avancer. J'ai eu une panne de créativité. Grâce au Carême, j'ai pu me reprendre en main. Je ne voulais pas rester dans cet état et spirituellement, je voulais jaillir cette flamme de nouveau en moi.
petit aparté Carême
Le Carême cette année, m'a aidé bien plus que les dernières années. Durant deux ou trois ans, je ne faisais pas vraiment le Carême, je m'abstenais uniquement de mes tentations mais je ne faisais pas grand chose à côté. Ce Carême, j'ai essayé de faire un effort et puis, je m'étais préparé un mois avant que ça commence pour pas que le changement soit trop brutal. Je me suis mis à lire des livres, lire des plans de lecture de la Bible, prier régulièrement. Même si vers la fin, j'avoue m'être un peu relâché. Je prie pour continuer sur cette lancée même après le jeûne de cette année.
fin de l'aparté
Après m'être de nouveau remotiver, tout est devenu plus fluide et j'avais hâte de passer l'oral bien que j'étais un peu stressé. On finit toutes nos tâches et un jour avant l'oral, nous nous préparons. C'est l'oral le plus important de nos deux années. Nous devions passé en amphithéâtre devant tous les professeurs et les étudiants de première année. Ça s'est étalé sur une journée le temps que tous les groupes passent. Nous passions en 4ème. Donc nous pouvions regarder les groupes passer avant nous. J'ai regardé seulement le 3ème groupe parce qu'on répétait pendant que le 1er et le 2ème passaient. Lorsqu'ils sont passés, j'ai ressenti un peu cette tension avant que ça commence. Quand ça a commencé, j'étais + détendu. Ça m'a rassuré bizarrement. Le fait que j'ai été un peu stressé c'est dû aux attentes que j'avais de notre oral, je voulais que ce soit nickel, captivant etc... Mais en ayant regardé l'autre groupe, je me suis dis : tranquille, sans pression, on fait ça pour nous et c'est tout.
C'est à notre tour, c'était parti pour 25 min d'oral. Nous commençons avec une mise en scène d'introduction pour captiver l'auditoire. Nous nous étions partagé des phrases à dire un par un en se levant des chaises et en descendant des escaliers. Après ça, la partie de l'agence débute puis on déroule. Tout se passe comme prévu SAUF... moi qui fait un lapsus, purée. J'étais en train de présenter deux illustrations d'enfants qu'un de mes camarades avait dessiné et c'était un garçon et une fille. Je les présente et je dis : le garçon s'appelle Ponito et la MEUF s'appelle Kohana" Olala... Tout le monde a rigolé. Les profs étaient mode : rolalaaa... Mais à ce moment-là, l'atmosphère était moins tendu. Je m'en voulais trop parce que j'avais géré jusque-là. Sinon à part ça, tout le reste de l'équipe a fait un sans faute. À la fin de notre oral, les profs n'avaient pas grand chose à dire et c'est plutôt bon signe parce qu'ils avaient un peu allumé certains groupes. J'étais grave fier de ce que nous avions pu réalisé.
Voilà. Maintenant. Parlons problème. En parallèle du projet, il fallait chercher bien sûr, un STAGE de fin d'année. Un stage a commencé le 11 avril. Jusqu'à maintenant, je n'ai RIEN. C'est un peu chaud en ce moment. J'ai fait une quarantaine de candidature et je n'ai eu qu'un entretien. J'attends toujours la réponse du mec, si ça s'trouve d'ici-là il m'aura accepté mais là ça fait 1 semaine et demi, même après l'avoir relancé, toujours rien. Je suis pas impatient comme mec mais là il me fait attendre sans réponse, je comprends qu'il soit dans le rush mais une petite réponse ne fait pas de mal. Bon je dois être empathique. Cette recherche de stage est épuisante, je me sens prisonnier, j'arrive pas à avoir l'esprit tranquille. C'est frustrant, j'ai l'impression de revenir à mon année sabbatique. J'espère de tout coeur en trouver un au plus vite comme ça j'enchaîne sur ma recherche d'ALTERNANCE (on en finira jamais ayayay)
- Samedi 15 avril à 00h07
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Imagine Luke Evans your boss
Notre patron M. Evans prend enfin sa retraite et lègue son entreprise à son fils Luke. -Mon fils Luke prend enfin ma place dans cette boite et j'espère que vous allez appréciez sa présence. Tout le monde sourit et applaudit le nouveau patron Luke Evans quand je le vois qu'il me sans arrêt. Chacun se présente en privé quand vient mon tour. Il me regarde avec un sourire et me demande de m'asseoir. - Mon père m'a beaucoup parlé de toi tout à l'heure. Tu es une femme très intelligente et que depuis que tu travailles ici, la boitte va de mieux en mieux grâce à tes bonnes idées. -Merci, M. Evans. - Parle moi de toi, je veux tout savoir de toi. Je me présente et parle de mon entrée dans la boîte. Quelques mois ont passé et je vois que notre nouveau patron continue de me regarder avec un beau sourire. - Un macchiato aux noisettes sans sucre. Dit une voix très douce, je me retourne et vois M. Evans me donner le café. Je lui souris en le remerciant puis il me demande si je vais bien. Je lui dis que tout va bien en buvant mon café. - M. Evans, nous travaillons ensemble depuis 3 mois et vous m'apportez mon café tous les matins. Pourquoi ?. Il s'appuie contre mon bureau et sourit. - Peut-être que j'aime apporter du café à mes employés qui le méritent. J'aimerais aussi que tu restes après le travail car j'ai quelque chose à te demander. Je lui dis qu'il n'y a pas de problème et que j'irai directement à son bureau en fin de journée. Le soir même en me rendant au bureau de M. Evans, je constate surtout que son bureau est ouvert. Il lève les yeux de son dossier et sourit. - Oh !! tu es déjà là, super. - Vous m'avez demandé de venir après le travail donc je suis là. Il se lève et marche vers moi. - Je voudrais t'inviter à dîner ce soir. Tu accepte ?. - Je... Pourquoi pas. Après tout, ça me ferait du bien de sortir de chez moi le vendredi soir. Il sourit et m'annonce qu'il viendra me chercher à 19h00. A la maison, je me dépêche de prendre une douche et de me préparer pour le dîner. J'enfile une jolie petite robe noire et me maquille légèrement, puis j'entends la sonnette retentir et me précipite pour l'ouvrir. Je vois Luke avec une rose à la main et bien habillé. Il me sourit, m'offre la rose et me baise la main. Mon cœur bat tellement qu'il finira par sortir tellement de ma poitrine tellement mon patron est beau, je sais aussi que toutes les femmes qui travaillent pour lui sont sous son charme. - Tu es si belle. J'espère que tu es toujours d'accord pour dîner avec moi ?. - Je me suis habillé pour sortir avec vous ce soir, M. EVANS. - Appelle moi simplement Luke et nous apprendrons à nous connaître. Il sourit et me propose d'aller à son restaurant favori. Il m'offre son bras comme un gentleman et me fait un clin d'œil en même temps. Nous entrons dans le restaurant lorsque le serveur reconnaît Luke. - Bonsoir Monsieur Evans, comme d'habitude une table pour vous ?. - Non, ce soir je suis en compagnie d'une charmante jeune femme. Dit-il en souriant. Nous allons nous asseoir et commandons notre plat quand je vois que Luke me regarde en train de boire son verre de vin en souriant. - Qu'est ce qu'il y à ?. Je dis en souriant. - Tu es très belle. Dit il en me voyant rougir. - Et tu es encore plus jolie quand tu rougis. Je me mets à rire et le remercie. La soirée se passe à merveille et tout en prenant notre café, on voit un couple se faire un beau bisou. On les regarde quelques secondes en souriant quand il me dit qu'ils sont mignons tous les deux. Je souris en le regardant. Peu de temps après, il m'invite à boire un verre chez lui en me regardant avec des yeux doux. J'accepte en lui prenant le bras alors que j'ai failli tomber. Je baisse les yeux et réalise que mon talon est cassé. - Oh non ma chaussure. Mon talon est cassé. Luke me regarde et une idée lui vient. Il me porte dans ses bras et nous emmène jusqu'à sa voiture. Après 20 minutes de trajet, nous arrivons devant une grande maison. Je sors de la voiture pieds nus quand il vient vers moi et me prend une seconde fois dans ses bras. A l'intérieur, il m'allonge doucement et me regarde prêt à m'embrasser. Il m'invite à m'asseoir et me propose un petit cocktail qu'il a préparé pour nous deux.
- Tu as une magnifique maison et j'aime beaucoup la vue sur ton jardin avec la piscine. - Merci, mais ma future ex-femme fait tout pour me dépouiller de ma fortune. - Tu es divorcé ?. - Pas encore, cette garce refuse de signer les papiers. Elle signe si j'accepte de lui donner 80% de ma fortune et de lui laisser l'entreprise que mon père m'a léguée. Dit-il en venant s'assoir près de moi.
- Oh, je suis vraiment désolé, je te souhaite beaucoup de courage.
Il sourit et me remercie.
- J'ai quand même engagé le meilleur avocat du pays. Dit-il en prenant une gorgée de son verre. Il prend ma main et nous emmène dans le jardin quand je sens sa main caresser mon visage puis se penche et embrasse ma joue. - Et c'est pour ça que je t'ai emmené dîner avec moi parce que tu es une femme extraordinaire et si gentille. Mais mon père a oublié de me dire quelque chose. Je le regarde en lui demandant ce que c'était. - Il a oublié de me dire que tu es extrêmement belle et tellement magnifique. Dit-il en se penchant et en m'embrassant passionnément. Il me demande d'attendre et entre dans la maison et revient quelques minutes plus tard avec une bouteille de champagne et deux coupes. - Cette bouteille est assez chère et la boire seule n'est pas amusant du tout. Alors autant le boire avec une jolie femme. Dit-il en ouvrant la bouteille et en nous servant une coupe. Après quelques gorgées, Luke s'approche de moi, me caresse le visage et rapproche son visage du mien. Nous nous embrassons passionnément quand il prend mes bras pour les mettre autour de son cou. Je sens sa langue entrer dans ma bouche et glisser ses mains sur mes hanches en m'embrassant toujours langoureusement. Je glisse ma main contre sa poitrine et sens ses muscles malgré le fait qu'il porte une belle chemise. Je l'entends gémir doucement alors qu'il mordille tendrement mon oreille. Luke me serre plus fort et entre ses doigts dans mes cheveux. Il dénoue ma robe et la laisse glisser jusqu'à mes pieds. Il commence à embrasser mon cou jusqu'à ce qu'il mordille doucement ma peau tout en retirant ma culotte en soie. Il m'embrasse langoureusement en enlevant ses vêtements et me soulève dans ses bras pour nous faire entrer dans l'eau chaude de la piscine. Nous commençons à faire l'amour passionnément.
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Aujourd’hui je me retrouve seule avec moi même, sans les médicaments je me suis retrouvée un peu. Enfaite j’étais moi même parce que j’étais extravertie, je riais de tout et je m’en foutais de tout ! J’étais heureuse et j’avais pas envie de me taire, j’avais pas envie non plus de me cacher. J’avais pas non plus envie de bougonner ou de me plaindre, enfaite, j’avais juste envie de vivre.
Cest fou comme c’est contradictoire de vouloir vivre sans médicament alors que je sais aussi que ce sont eux qui m’ont permis de survivre.
J’ai été moi même et j’ai ris aux éclats, je me suis retrouver dans mes paroles et dans le fait de faire rire les autres et de me sentir bien à travers ce que je leur faisais ressentir !
Je me suis sentit moi jusqu’au moment où j’ai été trop encore pour ce monde, trop fofolle, trop bruyante je crois bien pour des gens fatiguée. Alors je me suis remise à broyer du noir et surtout à me taire. Et c’est la que j’ai compris que c’est celui le faisais le plus mal. Je suis reconnaissante d’être passé par cette case mais bordel ce que ça fais mal. Ça fais mal de ce sentir de nouveau soit même et de voir que finalement c’est votre entourage qui vous fais vous sentir seule.
Je me suis sentie moi quelques heures aujourd’hui et puis j’ai finalement compris qu’on vie dans une société de merde où il est plus simple de s’exprimer par ses râlement, d’être aigrie et de s’énerver des choses, plutôt que d’en rire, de prendre la vie comme elle viens et de ne pas être sérieuse.
Je suis comme ça enfaite, c’est juste moi, pleine d’énormité que ce soit dans la joie ou dans l’émotion, c’est moi bordel écoutez moi ! Je vous en prie essayer de comprendre avant de me mettre cette camisole sociale et cette m’isoliez des temps morderne.
J’arrive à écrire ce soir tant que les médicaments ne font pas effet, je suis heureuse d’avoir brosser mes dents, brosser mes cheveux et avoir été me coucher vite afin d’écrire avant que les médicaments brouillent mes pensée et mes dires. Mes émotions sont là je ne peux les niées ! Et je veux qu’elles puissent sortir dans cette folle journée en 1 an er demi je me suis retrouvée !
Merci à la chance de m’avoir permis de me sentir moi et de me retrouver avec la personne que j’aime tant, c’est à dire moi quand je suis pleine de joie comme aujourd’hui !
Je suis également pleine d’émotion qu’elle soit impulsive ou triste mais c’est moi bordel ! Je voudrais tellement travailler dessus et que comme dans le passé elles me permettent d’avancer mais au lieu de ça on me mure et me barricade pour rentrée dans un moule.
Ça me tue d’accepter ça, j’ai de la haine er de la colère quand finalement tout deviens si claire. Même si je sais que c’est pur les bonnes raisons que mes proches l’ont fait. Mais aujourd’hui j’aimerais me retrouver et travailler sur mes pensée trop sombre plutôt que de me sentir zombifier par des médocs et de pensée sombre et surtout cette peine que de se sentir si différente qu’on soit obliger de m’infliger tout ça.
Je suis pas facile et même moi parfois j’ai du mal à me contrôler mais je me dis que si je le faisais avant qu’est ce qui l’empêché de réussir encore aujourd’hui ?
Je voudrais en dire tant et plus m’arrêter, je voudrais simplement qu’on me comprenne ! Qu’être différente c’est pas une tare et c’est surtout pas quelque chose qu’on doit cacher ou murer ! J’en ai marre j’ai trop de joie que vous avez enfoui et enfumée et aujourd’hui je me retrouve dans la société que part mes préjuger de merde et ma haine et ma colère. Qu’à ton fait de cette enfant si solaire et lumineuse, qui riais constamment de tout et de rien ? Pourquoi dois je me taire ? Je veux pas être comme les autres, putain c’est si contradictoire bordel ! Je veux vivre et je sens cette folie en moi qui veut tout crier et vivre putain vivre ! Et d’un autre côté j’ai tellement eu envie de mourrir que j’ai trop peur. Est ce que j’ai eu envie de mourrir pck je sentirait qu’on m’enlever mon brin de folie? Qu’on m’enlevais c’est qui me qualifzisais et comment je me voyais ? Ai-je eu envie de sauter ce jour là pck je ne riais plus ? Ou aid je envie d’avaler tous ces médocs pck je ne trouvais plus de raison de sourie ? Ai-je voulu tailler mes veines pck je ne me sentais plus écouter ? Ou simplement pck personne n’a su m’entendre tellement ?
Je me demande aujourd’hui ce que ça ferais si un jour on se mettais à ma place, dans ce corps face à ce tourbillon d’émotion, comment ils réagirait lorsqu’on leur dirais de calmer cette tempête qui fait rage , de calmer ce tsunamis de rire et d’émotion lui eue, de ne pas pleurer lorsque le brouillard est la ? Hein comment se sentirais t’il s’ils étaient juste doté de mon don ?
Parce que oui c’est un don de sentir et de comprendre le monde il nous entour. Avec ces médicaments de merde je vie mais à quel prix ? Je ne vie plus pour moi mais je vie pour les autres dorénavant . Je ne suis plus une flamme petante mais une personne éteinte qui survis avec ces médocs.
Ils se sentent bien dans le moule de la société. Peut être sont ils malheureux ou non mais ils font bonne figure. Alors que moi je préfère juste tout vivre pleinement , être heureuse d’une balade, rigoler fort dans un restaurant pour rien, m’étouffer de pleure lorsque je croise l’injustice, c’est juste moi, je préfère tout vivre à chaque moment mais putain s’ils vous plait j’aimerais qu’on me foute la paix !
Je voudrais rire ou pleurer en paix, juste une main sur l’épaule qui me dit je comprend ou juste je suis là. Peut être même rien de votre part que de l’ignorance si vous voulez mais surtout pas me sentir juger et museler comme vous me le faire ressentir.
Aujourd’hui sans médicaments je ressent tout ça et j’arrive à l’exprimer. Mes doigts tapent a toute vitesse sur le clavier avant que les medicament ne m’affecte et me replonge dans un brouillard, m’endormant er me laissant molle et sans but, étant simplement pour être la parmis vius mais sans être moi même.
Une coquille vide c’est ce que j’ai l’impression d’être et oui je me répète mais triste contraste que de vouloir autant vivre alors que sans cachet je n’y arrivais plus.
Même si je penses que c’est de votre faute que je sois si malheureusement et que je prennent ses merdes, merci de m’avoir sauver mais aujourd’hui je pense qu’à moi et je suis sûr que j’aurais su trouver la paix au fond de moi.
Je suis comme ça je suis une battante et parfois je perd pieds, mais si je n’ai pas su rebondir c’est pck j’ai déceler au fond de vous une lassitude de la situation. Ok vous êtes lasser mais moi bridé je suis lasser de devoir vous plaire, d’avoir cette sensation que être moi c’est TROP pour vous, que mon énergie vous ne la supporter pas, désolé mais tout simplement pck vous êtes moins que moi. J’ai cette chance d’être différente et au lieu de m’élever vou m’avez descendu et aujourd’hui vous me garder zombie juste pour vous.
Je ne vie plus je survis, et je sent que ça y est je repart dans ce brouillard qui empêche mon cerveaux de comprendre et d’expliquer ce que je ressent alors sur ces dernier mots je m’excuse pour les fautes mais j’ai besoin que ça sorte et ce sera ici.
Merci à moi même pour être qui je suis. Note à moi même stp redeviens toi, relis ce message quand tu sera plus là, dans ton désert de médicaments ou je ne vois que la brume , repense à tout ça et stp bat toi pour revenir toi !
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17 janvier
m. est rentrée d'espagne un peu avant minuit et la vie qu'elle a fait entrer dans l'appart m'a fait réaliser à quel point c'était une mauvaise idée, la pire idée de venir passer une semaine ici toute seule sans voir personne parce que la solitude me laisse vriller sans limite. je me demande aussi si mon anxiété diffuse et ma non-envie de sortir de la maison sont liées à mon dérèglement hormonal. je sais pas pourquoi l'idée me rassure, que ce soit mon cors qui est cause et pas moi, ma tête, la partie qui a le contrôle. c'est pas MA faute. très bon moment de la journée sinon: quand j'ai sorti les draps chauds du sèche-linge et que je les ai serrés contre moi sous les yeux du coloc qui attendait que je sorte de la salle de bain et à qui j'ai murmuré bonsoir. j'adore cette salle de bain, le plafond est en bois et il est très bas et je regardais la neige tomber par la fenêtre en contrebas et puis je me suis prise en photo en me souriant dans le miroir parce que je me trouvais jolie avec mes cheveux courts et pour me dire que j'allais m'en remettre. je m'aime je m'aime je m'aime et un jour on va m'aimer aussi mais en attendant moi je m'aime. autre très bon moment de la journée: tout le reste de la journée passée à regarder la neige tomber à gros flocons sur les saules pleureurs en écoutant des chansons douces.
18 janvier
cet après-midi en longeant le parc quand je suis tombée sur un morceau de chris weisman dans ma playlist j'ai dit non et j'ai mis avril lavigne et je me suis dit que j'aurais du faire ça depuis le début. j'ai aussi écouté une playlist de l'été 2022 et en tombant sur un morceau de danitsa que j'avais entendu dans la voiture de c. un jour en allant aux répèts à lasauvage je me suis dit et si la solution pour oublier r. était de me mettre à écouter uniquement du hip-hop féminin? j'ai presque envie de demander à c. de me faire une playlist antidote. il a passé le mois de décembre en grèce à travailler dans une pépinière et maintenant je crois qu'il est à budapest. moi aussi je veux partir. en attendant cet après-midi je suis sortie dehors et les trottoirs étaient pas salés et je marchais tellement précautionneusement que je me faisais dépasser par tous les vieux parce que j'ai zéro confiance en mes jambes mais j'ai pas fait demi-tour parce que j'étais concentrée sur mes objectifs: voir la grosse pomme gonflable sur le toit du musée magritte et ramener des mochis frais de la confiserie japonaise à m. qu'on a finalement oublié de manger parce que j'ai fait des gnocchis de patate douces et elles ont volé la vedette.
20 janvier
hier en allant à esch pour la sortie de résidence d'une autrice de théâtre j'ai mis sexy sushi parce que ça faisait longtemps et j'avais l'impression de me retrouver, comme si je m'étais perdue avec r. et sa mélancolie douce. parce qu'avant qu'il s'immisce je voulais faire des trucs électroniques, au printemps avec ru. et s. on parlait midi controler et ableton live et sampler avec des carrés qui clignotent et pas guitares enregistreurs quatre pistes et beatles. mais je l'avais un peu oublié ça.
j'ai vu f. et n. et celui qui faisait le bourreau à la soirée wip en juin et je me demandais qui d'autre dans la salle était dans le comité de sélection, s'ils avaient déjà lu mon dossier et s'ils étaient embarrassés pour moi à cause de la médiocrité de mes idées et du degré de vulnérabilité dont j'ai fait preuve dans ma note d'intention. j'avais l'impression que tout le monde savait qui j'étais. mais j'ai bien aimé la pièce qu'a présentée l'autrice avec les deux comédiens, ça se passait dans un institut un peu vague de santé mentale et ça m'a donné envie d'écrire sur la clinique. j'ai failli pleurer quand une des personnages se met à parler de sa jeunesse qui lui a été volée par son mari qu'elle a rencontré à 19 ans alors qu'il était plus vieux en listant toutes les expériences dont elle a été privée, comme être frivole avec les garçons et s'amuser et être légère. je me suis pas mariée à 19 ans moi mais c'est un peu comme si. à la fin l'autrice m'a fait un sourire appuyé comme si elle avait deviné et puis j'ai dit bonjour à f. mais j'ai pas osé aborder les autres alors j'ai mangé un mini sandwich triangle au jambon cru pour me donner une contenance et je suis partie.
21 janvier
ce soir je suis allée voir poor things au cinéma et j'ai complètement reconsidéré mon plan d'écrire un roman d'autofiction pour écrire un livre de science fiction à la place. un poor things contemporain et à ma sauce. j'ai réservé le livre à la bibliothèque dès que je suis rentrée du cinéma. je veux écrire un personnage hilarant et cru qui se comporte de façon non encombrée par son égo, qui a un gros désir de savoir et de connaissance et qui soulève le voile sur le monde. le seul truc que j'ai pas aimé: les scènes de sexe qui m'ont mise mal à l'aise. je sais pas si c'est à cause de mon traumatisme du sexe non expliqué, ou si c'est parce que c'était trop douloureux de voir cette fille qui découvre le monde découvrir le sexe avec joie, un truc que je suis censée connaitre mais que je connais pas, ou alors si c'est juste une histoire de male gaze. mais à part ça ce film m'a apporté beaucoup de joie et d'exaltation et j'aime tellement quand le cinéma fait ça.
après le film je suis allée manger une pizza avec maman et d. et n. et pendant qu'il me parlait de rognons et de pattes de poule je voyais l'écran de mon téléphone qui arrêtait pas de s'illuminer avec des notifs de r. qui répondait à mes messages et j'étais contente d'avoir une distraction, même si c'était juste une pizza et le père de a. qui me parlait d'abats. je lui ai raconté mon épopée du weekend dernier avec chris weisman (à r. pas au père de a.) et il me disait qu'il le trouvait un peu agaçant parce qu'il exagérait trop et je me suis dit merde est-ce que je l'ai idéalisé comme j'idéalise r.? mais je crois pas que j'idéalise r. je lui ai pas répondu, j'essaie de le traiter comme le commun des mortels de mes autres amis, c'est-à-dire: mettre trois plombes à répondre.
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