#je veux sortir de cette journée
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ernestinee · 9 months ago
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La journée a commencé en avalant une araignée, a continué avec 8h de bio, et là j'ai une insomnie.
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aisakalegacy · 19 days ago
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Printemps 1937, Hylewood, Canada (13/27)
Après avoir appelé la police depuis le téléphone de ses parents, Irène, accompagnée de Gizelle, était montée dans la chambre de Lorita à la recherche d’un carnet d’adresse ou de quelque chose qui semblerait indiquer une famille à prévenir. Malheureusement, rien de tel ne fut trouvé dans ses affaires. C’est seulement plusieurs jours plus tard que nous finîmes par retrouver, sous une latte qui grinçait et sur laquelle Lorita avait tiré sa table, une trop grande quantité de cocaïne pour que l’on puisse penser qu’elle la réservait pour son usage personnel. Mais pour le moment, nous n’en savions rien. En revanche, Irène avait découvert une lettre très curieuse, dont le texte étonnant nous laissa pantois. Je te la retranscris ici.
« J'espère vraiment bien que rien ou tout arrive en est mais pas en si bel ordre solidement terne de cette façon ton business est côté en bourse. La petite semaine dernière une lourde cargaison noire pâle est mollement mais bien comprise si arrivée, peut-être oui mais en revanche il aime et manque l’heure rouge du matin au fric qui brûle. Je sais qu’il ne peut et veux un tour pas grand ni croire en Dieu que si tantôt tu perds tu joues simple ou double à ce jeu de vilain. Remets toi de la poigne de main gauche et sur le pont ce soir froid qui pique et manque le train et puis tu fais semblant jusque en avril qu’elle sorte dehors parce que Maman aime ça et elle ne prend que se raisin qu’il reproduise l’erreur de plus.
Même si je navigue et te transporte en rappelle de corde que j’accroche à ce navire matinal que jacari s’est tu mais je fais même beaucoup pour toi et moi quand je te promène et protège. Sans toi et moi, t’as sûrement jamais rien du tout. Reste toujours absolument discrète si possible et surtout ne fais pas de ce pain quotidien qu’on mange et te reprend parfois dit fois. Même si j’ai attrapé quelqu’un d’autre qui te prend et pose sur l’ensemble des meubles sans questions ni nouvelles, tu absous ni ne prie je sais moins que rien.
Et de une très bonne nouvelle quand la livraison pointe le doit pour peut-être arriver à destination bientôt. Et donc je forcerai et t’enverrai l’invitation pour les ventes au détails. Que Mère sois sainte et prête tantôt serment.
Luis »
N’y entendant rien et n’ayant pas le temps de s’en occuper, Agathon me transmit la tâche de déchiffrer ce message. Pourquoi à moi ? Parce qu’il m’avait disculpé d’office. J’avais été en permanence soit dehors sous l’œil des voisins et de Lola, soit en compagnie de visiteurs. Très honnêtement, il m’est arrivé de penser qu’Agathon est tellement tordu qu’il aurait très bien pu organiser un meurtre alambiqué juste pour le plaisir de le résoudre, mais lui-même semblait avoir été sous surveillance toute la journée, en tout cas si on estime que Layla, plongée dans ses pensées comme elle l’était, l’aurait entendue monter. Sur la liste des sept suspects - Layla, Sonia, Agathon, Lola, Irène, Gizelle et moi, cela en rayait donc trois.
[Transcription] Agathon LeBris : Tu ne dors pas ? Lucien LeBris : Non… Je n’ai même pas essayé. D’ailleurs je ne sais pas ce que je fais là, je n’arrive pas à lire non plus. Lucien LeBris : Tout avance comme tu veux ? Agathon LeBris : J’arrive à déterminer facilement qui est innocent, et difficilement qui peut être le coupable. Lucien LeBris : Tu penses vraiment que c’est un habitant de cette maison ? Agathon LeBris : Je pense qu’à moins que l’assassin soit capable de se volatiliser en pleine journée sans être vu ou possède des ailes, il était nécessairement dans la maison au moment où le corps a été découvert… Lucien LeBris : … Ça fait froid dans le dos… Agathon LeBris : … et que comme nous n’avons vu personne sortir, ça ne peut être, en effet, que l’un d’entre nous. Lucien LeBris : Donc… tu penses très honnêtement, par exemple, que je pourrais être le coupable ? Agathon LeBris : Toi ? Non. Lucien LeBris : Je ne sais pas si je dois être vexé ou flatté. Agathon LeBris : Avec ta femme, tu es le seul dont les alibis sont vraiment solides. Lucien LeBris : Et les filles… Agathon LeBris : J’ai trouvé de la cocaïne dans les affaires de Lola. Lucien LeBris : De la… Câlisse. Agathon LeBris : J’espère que tu ne comptes pas te coucher tantôt, j’ai un service à te demander.
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alhaithamaskblog · 10 months ago
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do u ever swear? c’mon, really take it out on those delivery guys. use the worst words u know!
i get the feeling that kaveh is the more colourful one in the house, though…
…in terms of language-
Je suis tellement en colère. J'aurais pu sortir aujourd'hui mais j'ai justement attendu dans cette maison un putain de colis que j'ai payé et cet idiot ne sait même pas comment m'appeler ? il a juste décidé que je n'étais pas à la maison ? es-tu un putain d'idiot ? La jeune génération est-elle si stupide qu'elle ne peut pas décrocher un téléphone et appeler ? Ma journée entière est gâchée parce qu'ils n'ont pas pu livrer un simple putain de colis. Maintenant, qu'est ce que je fais? putain de rien ! maintenant, je dois écouter Kaveh japper pour le reste de la nuit jusqu'à ce qu'il se boive stupidement et que je doive le ramener à la maison. Je déteste ça. Je veux qu'il se taise et qu'il me tienne. est-ce si dur ? mais non, tout le monde pense que je suis un robot sans sentiments mais ce n'est pas vrai. Je ressens des choses que je ne comprends pas. Je suis sensible. J'ai déjà pleuré à cause d'un changement mineur dans mes plans. Je déteste ça. Je suis surstimulé et en colère parce qu'un putain de connard ne peut pas faire son putain de travail.
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sm0keyb0nes · 9 months ago
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J'ai juste besoin de lui ; rien ne sait compter plus que lui. J'ai besoin de le voir sur la table, à se faire comprendre pour avoir des croquettes ; et puis miauler, parce qu'il sait bien faire maintenant, et miauler parce que ça va pas assez vite ! Je veux le retrouver tout mouillé et que monsieur attend qu'on l'essuie parce que quand même, il va pas se sécher tout seul ! Je veux le sentir frétiller sous la serviette et ronronner même un peu ; et puis le voir descendre de la table, avec sa démarche de danseuse et réclamer à sortir encore, alors qu'il pleut et que je viens de l'essuyer ; de quoi je me plains, c'est un honneur de recommencer ça toutes les dix minutes !
J'ai besoin de le prendre dans mes bras, de l'embrasser partout sur la tête et le sentir serein, bien posé, sentir son tout petit poids relâché, là, dans le creux de mes bras. Même qu'on ronronne un peu mais pas tant, mais je sais que chez lui c'est énorme, qu'il a appris y'a même pas si longtemps ! Parce qu'il s'arrête jamais d'apprendre à être heureux, de comment c'est d'être un petit chat ; un jour, il ira vraiment pour préférer un carton à n'importe quoi d'autre dans une pièce... En attendant il est décidé qu'il dormirait à tel endroit et puis c'est tout ! J'aurais beau le ramener dans le lit, non non, il part directement pour se mettre dans le coin le plus inconfortable de la baraque ! Vraiment sa spécialité ça, alors qu'il a cent autres endroits où se mettre, tous mille fois plus confortables que ça !
Ouais, il a encore beaucoup à apprendre ; il m'impressionne toujours autant, parce que maintenant il fait des progrès de géant ! Alors qu'il est effrayé par les gens, il parvient à leur donner sa confiance maintenant, parce qu'il me croit, parce qu'il me voit aimer et que si j'aime la personne, il peut y aller aussi ! Il a ce grand coeur qui demande que ça dans le fond, comme avec Osiris ; le supporté pas au début et finalement c'est devenu son meilleur pote, à miauler derrière lui pour être sûr qu'il rentre quand on vient ouvrir la porte, qu'on y voit que du feu à se dire que c'était Marvel et en fait non !
Je veux qu'il revienne me faire râler ; en montant sur mes épaules ou sur mes cuisses quand je suis sur le pc ; à dormir sur mes côtes la nuit, à m'obliger de me réveiller un peu pour bouger sans l'écraser ; à le tenir d'une main tout en me tournant, en râlant dans mon sommeil avant de me rendormir, tandis qu'il se réinstalle en s'en fichant bien que je râle !
J'ai oublié ce que c'est, de vivre sans lui.
Parce qu'il m'a fait vivre pour lui.
Parce qu'il a vécu pour moi.
J'ai peur que cette journée se termine. J'ai peur de me réveiller demain. J'ai peur de me dire que ça fera déjà une journée sans lui. J'ai peur. J'en veux pas, de tout ça.
Je voudrais juste retrouver sa chaleur tout contre moi.
Comment on se remet de la perte de son ange gardien ?
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sofya-fanfics · 1 month ago
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J’aurais préféré passer la Saint Valentin avec toi
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Fandom : Ranma ½
Relationship : Ranma x Akane
Voici ma participation pour le Year of the OTP 2025 pour le prompt : Saint-Valentin.
J’espère que ça vous plaira.
Résumé : Akane sortit les chocolats du réfrigérateur et sourit. Ils étaient enfin prêts. Cela faisait plusieurs jours qu’elle étudiait cette recette. Elle avait même demandé à Kasumi de l’aider et elle était fière du résultat. Elle était impatiente de les donner à Ranma.
Disclaimer : Ranma 1/2 appartient à Rumiko Takahashi.
@yearoftheotpevent
AO3 / FF.NET
Akane sortit les chocolats du réfrigérateur et sourit. Ils étaient enfin prêts. Cela faisait plusieurs jours qu’elle étudiait cette recette. Elle avait même demandé à Kasumi de l’aider et elle était fière du résultat. Elle les mit dans un petit sachet bleu clair et le ferma avec un nœud bleu foncé. Elle ne les avait pas goûté, pour une fois elle était sûre de les avoir réussi. Elle était impatiente de les donner à Ranma.
Elle prit son sachet, sortit de la cuisine et se dirigea vers le dojo. Elle l’avait entendu dire qu’il voulait s’entraîner. Elle entra dans le dojo, mais il n’y était pas. Akane fronça les sourcils. Est-ce qu’elle était restée aussi longtemps dans la cuisine ? D’habitude, il fallait presque qu’elle le force à sortir du dojo pour qu’il arrête de s’entraîner. Elle retourna dans la maison et croisa Kasumi qui portait le panier à linge.
« Est-ce que tu sais où est Ranma ?
-Tes chocolats sont prêts ? Tu vas les lui donner ? »
Akane rougit et secoua violemment la tête.
« Non ! Ce n’est pas pour ça que je veux le voir ! »
Kasumi lui sourit affectueusement.
« Je lui ai demandé s’il pouvait ramener un livre au docteur Tofu pour moi. Il ne devrait plus tarder. »
Elle partit en direction du jardin pour étendre le linge. Akane sourit, elle pouvait rejoindre Ranma à mi-chemin et lui donner ses chocolats. Au moins, il n’y aura pas toute les famille qui les observerait. C’était une bien meilleure idée, pensa-t-elle. Elle fit le chemin jusqu’au cabinet du docteur Tofu, mais ne croisa pas Ranma. Le docteur lui avait dit qu’il lui avait bien rapporté le livre et qu’il était parti. Elle regarda l’heure et remarqua qu’il était plus de midi. Elle soupira. Elle aurait dû se douter que s'il ne mangeait pas à la maison, il déjeunerait au Ucchan. Et comme c'était la Saint Valentin, elle était sûre que Ukyo essayerait de le retenir en le gavant d’okonomiyakis en forme de cœur. Et Ranma aimait trop ses okonomiyakis pour refuser.
Elle se rendit au Ucchan. Elle était presque arrivée lorsqu'elle vit la porte du restaurant exploser et Kodachi en sortir en riant. Elle partit en appelant « Ranma-sama ! » et en laissant des pétales de roses noires derrière elle. Ukyo sortit avec sa spatule géante à la main, prête à en découdre avec Kodachi qui était déjà loin.
« Ukyo, tu vas bien ? »
Même si elle était aussi fiancée à Ranma, Akane la considérait comme une amie malgré leurs moments de rivalité.
« Elle a failli faire exploser mon restaurant et elle a fait fuir Ran-chan ! »
Elle retourna dans le restaurant et Akane la suivit. Elle écarquilla les yeux en voyant la salle qui ressemblait à un véritable champ de bataille. Les chaises et les tables étaient retournées et il y avait des pétales de roses noires absolument partout.
« Ça va me prendre des heures pour tout ranger, dit Ukyo au bord des larmes. Je ne vais jamais pouvoir ouvrir aujourd'hui.
-Je vais t'aider. »
Akane se sentirait coupable si elle la laissait se débrouiller seule dans ce capharnaüm. Elle donnerait ses chocolats à Ranma plus tard.
******
Akane sortit du Ucchan après avoir aidé Ukyo à tout remettre en place. Si elle n’avait pas été là, la pauvre Ukyo en aurait eu pour la journée. Pour la remercier, elle lui avait offert des okonomiyakis pour elle et sa famille, sans oublier celui en forme de cœur pour « Ran-chan ».
Akane marcha encore un peu dans quelques rues. Elle avait juste vu Ranma au loin, qui était transformé en fille et qui se faisait poursuivre par Kuno qui tenait un énorme bouquet de roses. Elle décida qu’il était temps de rentrer. Elle soupira, déçue. Elle n’avait pas pu lui donner ses chocolats, mais au moins, elle y arriverait lorsqu’il rentrera pour dîner. La Saint Valentin ne sera pas encore terminée. Elle traîna un peu dans le centre ville, regardant les vitrines. Elle passa ensuite par le parc pour rentrer. C’est alors qu’elle vit Ranma avec Shampoo. Cela n’augurait rien de bon. Elle s’approcha et elle entendit Ranma déclarer :
« Shampoo, je t’aime.
-Airen, moi être si heureuse ! »
Shampoo se jeta dans ses bras. Akane sentit les larmes lui monter aux yeux. Il venait de dire à Shampoo qu’il l’aimait ! Cette phrase résonnait dans sa tête. Elle crut qu’elle allait être malade.
« Ranma ! S’exclama-t-elle. »
Il se tourna vers elle, l’air à la fois coupable et terrifié. Il réussit tant bien que mal à se dégager de l’étreinte de Shampoo. Akane ne savait pas si elle devait éclater en sanglots ou éclater de colère.
« Akane, ce n’est pas ce que tu crois ! »
Elle tourna les talons et s’en alla. Elle ne voulait rien savoir. Il aimait Shampoo, elle l’avait clairement entendu.
« Akane, je t’aime ! »
Elle se tourna vers lui, furieuse. Ranma avait plaqué ses mains sur sa bouche et rougissait.
« En plus tu te moques de moi, dit-elle. Ranma no baka ! »
Elle lui donna un violent coup de poing qui le propulsa dans les airs. Les larmes coulaient le long de ses joues. Elle partit en courant.
******
Akane était assise sur le toit de sa maison, les jambes recroquevillées sur sa poitrine et ses bras encerclant ses genoux. Elle n’arrêtait pas de penser à ce qu’il s’était passé avec Ranma. Jamais elle n’avait eu aussi mal. Elle jeta un coup d’œil vers le sachet de chocolat qu’elle avait posé à côté d’elle. Elle ne savait pas pourquoi elle ne l’avait pas jeté. Elle enfuit son visage dans ses genoux, sentant à nouveau ses larmes monter.
« C’est là que tu te cachais ? Ça fait des heures que je te cherche.
-Va-t’en Ranma. »
Elle n’avait aucune envie qu’il voit à quel point elle avait été blessée.
« Tu t’es énervée avant que je t’explique.
-Il n’y a rien à expliquer.
-Tu es une vraie tête de mule. »
Elle l’entendit s’asseoir à côté d’elle, mais elle refusa de le regarder.
« Shampoo m’a fait manger des chocolats magiques. Je ne sais pas ce qu’il y avait dedans, mais dès que je voyais quelqu’un, je lui disais je t’aime. »
Akane leva la tête et le regarda. Il avait l’air sincère et cela ne l’étonnerait pas que Shampoo ait réussi à lui faire manger quelque chose d’aussi dangereux.
« J’ai même dit à madame Fukuhara que je l’aimais. »
Akane esquissa un sourire. Madame Fukuhara était leur voisine de quatre-vingt ans qui étrangement avait un petit faible pour Genma.
« Se sont des chocolats de Saint Valentin ? Demanda-t-il en attrapant le sachet.
-Tu n’as pas eu suffisamment de chocolats de la part de tes autres fiancées ? »
Ranma fronça les sourcils.
« Tu ne crois pas que j’aurais préféré passer la Saint Valentin avec toi ? »
Il se mit à rougir. Akane écarquilla les yeux, ne s’attendant pas à ce genre de déclaration. Elle était tout aussi rouge que lui. Ranma essaya de se ressaisir et comme si de rien n’était, il ouvrit le sachet et avala un chocolat.
« Est-ce que c’est toi qui les a fait ? »
Akane acquiesça et un immense sourire illumina son visage.
« Ils te plaisent ? Tu peux tous les manger, je les ai fait rien que pour toi. »
S’il s’était écouté, il aurait refusé d’en manger un autre. Ils étaient à la fois durs et pâteux et il se demandait ce qu’elle avait fait pour qu’ils aient un goût de vinaigre. Mais il ne voulait pas la voir à nouveau triste à cause de lui. Il avala les chocolats avec grande difficulté. Il réussit à tous les manger. Mais il n’avouera jamais à Akane que ça l’avait rendu malade toute la nuit.
Fin
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1dlovestory · 4 months ago
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Fives-voices love
Chapitre 4
Après avoir terminé leur repas, tout le monde déposa leurs plateaux sur le comptoir de la cafétéria. Louis, Harry et Liam emboîtèrent le pas d’Enid, bien décidés à prolonger la journée ensemble.
« Bon, qu’est-ce qu’on fait maintenant ? » demanda Liam, les mains dans les poches, un sourire aux lèvres.
Harry, toujours le plus spontané, tapota doucement l’épaule d’Enid. « Et si on t’invitait à sortir ? C’est vendredi après tout. » Il lui lança un regard malicieux avant d’ajouter : « Tu veux faire un tour en ville, faire un peu de shopping avec nous ? Zayn et Niall vont nous rejoindre. »
Enid hésita, grimaçant légèrement. « Oh… c’est gentil, mais j’avais prévu de rentrer, de m’installer avec un plaid et de me plonger dans The Vampire Diaries. Retrouver Damon Salvatore, tu vois », répondit-elle avec un petit rire.
« Damon Salvatore ? Sérieusement ? » fit Harry en levant les sourcils. « Tu sais, ma sœur Gemma adore The Vampire Diaries aussi, mais elle est plutôt team Stefan. »
« Elle est team Stefan ? » demanda Enid, amusée.
« Eh oui ! Et tu sais, si tu viens avec nous, tu pourrais peut-être la rencontrer. Elle t’adorerait, c’est sûr », ajouta-t-il en croisant les doigts d’un air faussement dramatique.
Liam hocha la tête, soutenant l’idée de Harry. « Ce serait sympa, Enid. C’est une bonne occasion de mieux te connaître, non ? »
Après un instant de réflexion, Enid finit par céder, un sourire éclairant son visage. « Mhh… d’accord. Mais à une condition : si je viens, on parle de The Vampire Diaries. »
Les garçons éclatèrent de rire, ravis qu’Enid accepte leur invitation. Louis, toujours prompt à donner son avis, lança avec enthousiasme : « Personnellement, je suis totalement fou de Katherine Pierce ! Cette fille est juste fascinante. »
« Katherine ? Sérieusement ? » s’étonna Harry en secouant la tête, un sourire amusé aux lèvres. « Tu n’as donc aucun goût, Louis. »
« D’ailleurs, Harry, je ne te permets pas de parler mal de Katherine Pierce », lança Enid avec un sourire malicieux. « Nina Dobrev est tellement incroyable qu’elle me ferait presque douter de ma sexualité ! » ajouta-t-elle en éclatant de rire.
Les garçons restèrent un instant interloqués avant de se joindre à son rire. Louis leva les mains en signe de victoire. « Bien envoyé, Enid ! Je savais que tu avais du goût ! » s’exclama-t-il avec enthousiasme.
Harry croisa les bras, feignant d’être vexé. « D’accord, d’accord. J’avoue que Nina Dobrev est impressionnante. Mais ça ne change rien : Katherine est bien trop manipulatrice pour être une favorite. »
« Oh, mais c’est ce qui la rend fascinante ! » rétorqua Enid, le regard pétillant. « Elle est complexe, imprévisible... une vraie anti-héroïne. »
Une demi-heure plus tard, ils arrivèrent au centre commercial, un lieu animé où les lumières brillantes et la foule donnaient une ambiance électrique. Louis, Harry, Liam et Enid s’arrêtèrent près de l’entrée principale, juste à côté d’un café, en attendant l’arrivée de Zayn et Niall.
« Bon, on parie combien que Niall va encore arriver en retard ? » lança Louis, les bras croisés et un sourire moqueur sur le visage.
Harry rit en secouant la tête. « Je mise sur quinze minutes de retard. Il doit probablement chercher un moyen d’attacher son vélo à la voiture de Zayn. »
Enid esquissa un sourire, amusée par leur complicité. « Vous êtes vraiment terribles avec lui. Peut-être qu’il est juste perfectionniste et qu’il prend son temps, qui sait ? »
« Perfectionniste ? » répéta Liam en riant. « Non, ça, c’est Zayn. Niall, c’est plutôt l’expert du ‘je suis distrait et je perds la notion du temps’. »
Niall et Zayn arrivèrent enfin, Niall sautant presque hors de la voiture de Zayn, son sac en bandoulière et un grand sourire sur le visage. « Désolé pour le retard ! » lança-t-il, légèrement essoufflé. « On a eu une petite galère avec mon vélo, mais tout est réglé maintenant. »
Zayn descendit à son tour, impeccable comme toujours, ses lunettes de soleil encore sur le nez, une aura de calme autour de lui. Mais derrière ce calme apparent, une idée occupait son esprit : séduire Enid. Depuis son arrivée, elle ne quittait pas ses pensées. Il s'était juré de trouver une façon de se démarquer des autres, et il savait déjà par où commencer. Aujourd’hui, il comptait lui offrir quelque chose d’inoubliable, un cadeau qui montrerait son attention et son intérêt.
Cependant, ce que Zayn ignorait encore, c’était qu’il n’était pas le seul à nourrir ce genre de pensées. Alors qu’ils s’engouffraient tous dans les allées lumineuses du centre commercial, il remarqua les regards furtifs que Liam, Louis et Harry lançaient à Enid. Chacun semblait chercher une excuse pour marcher à ses côtés, lui parler ou lui arracher un sourire. Même Niall, habituellement plus réservé, semblait plus attentif qu’à l’accoutumée.
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swedesinstockholm · 3 months ago
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17 octobre
oh oui ce qui fait passer les jours encore plus vite que de rester au lit toute la journée: faire des excursions tous les jours. hier j'étais à babelsberg et on est déjà jeudi! aujourd'hui je veux retourner à potsdam parce que j'ai oublié d'aller voir l'orangerie et je suis obsédée par les châteaux ridicules. hier j'ai vu le château de babelsberg qui est très ridicule, on aurait dit un jouet ou alors un décor, on aurait dit que barbie allait sortir de sous les arcades avec ses petits talons qui font ploc ploc sauf que les murs étaient pas roses. c'était encore un jour radieux, j'ai traversé le parc-forêt en chantant avec taylor swift parce que c'est l'automne et que je marchais dans les feuilles mortes, ça m'a rappelé mes promenades d'automne dans le parc de la clinique où y avait aussi un château néogothique ridicule, ou plutôt une fausse ruine de château qu'on avait visité avec nik et il avait fait semblant qu'on était en couple en mettant son bras autour de mes épaules. ça fait dix ans. 1989 venait de sortir.
en bas du château j'ai retrouvé la havel mon amour sous forme de lac (glienickensee) j'ai traversé deux ponts au dessus de l'eau scintillante, vu deux gigantesques péniches et attendu une heure un bus qui n'est jamais passé. j'ai mis trois heures pour rentrer mais au moins la fête d'anniversaire des mioches d'en dessous était terminée quand je suis arrivée. j'en peux plus des bruits de voisinage ça me rend folle, j'en peux plus d'entendre le plafond qui craque et qui tremble juste au dessus de ma tête qui me réveille au milieu de la nuit et les pas les pas les pas incessants. et puis une fois que ça s'arrête c'est la famille d'en dessous qui prend le relais avec les enfants de l'enfer et une femme qui parle fort dans un flot continu de paroles énervées tous les jours cette femme est énervée et les mots sortent de sa bouche sans jamais s'arrêter et j'arrive pas à comprendre comment elle peut avoir autant de choses à dire d'un coup, tous les jours. mes journées ici sont beaucoup plus remplies qu'à la maison, elles sont plus riches, plus inspirantes et plus intéressantes, mais malgré ça j'arrive pas à apprécier, j'arrive pas à me détendre. en attendant le train à potsdam j'ai relancé la psy et elle m'a répondu aujourd'hui pour me dire de la recontacter le 30 novembre elle va me rendre complètement ZINZIN et j'ai peur de placer trop d'espoir sur elle.
à part ça ce soir j'ai encore tenu mes engagements et je suis allée lire un texte à une scène ouverte francophone/multilingue au café plume. j'ai demandé à n. de m'accompagner et j'ai lu mon texte rebeka warrior et ça m'a fait trop plaisir de chanter rebeka rebeka de nouveau. les gens ont beaucoup rigolé c'était un excellent public. on est rentrées à pied et on parlait de jobs et n. a disait que je finirais bien par trouver un jour, ça finira bien par arriver, j'ai dit y a beaucoup de choses qui devront bien finir par arriver un jour, mais est-ce qu'elles sont vraiment obligées d'arriver? elle a dit what things? et je savais qu'elle avait deviné que je parlais de sexe mais j'ai dit everything, parce que j'assume pas d'en parler. après un petit silence elle m'a parlé de son prof d'escrime de 65 ans qui lit des romans d'amour un peu nuls pour combler sa solitude et elle a dit what if i end up lonely and sad like him? et j'ai dit natalie moi je vis DÉJÀ comme lui. je vis ma vie sentimentale par procuration en regardant des séries. au moins je tomberai pas de haut quand je serai vieille. en plus une fois que je serai vieille j'aurai le réconfort de savoir que ça durera plus très longtemps. ce matin à la radio alexia larouche joubert a dit qu'elle voyait la mort comme une délivrance. qu'elle l'attendait de pied ferme, que c'était comme une vieille amie, un non-sujet. je pensais pas avoir autant de points communs avec alexia laroche joubert.
21 octobre
il me tarde de retrouver mon rythme de la maison. de manger trois repas par jour à des heures plus ou moins régulières et de pas avoir de plafond qui craque au dessus de ma tête. je veux retrouver la vie douce loin de la crasse de berlin. samedi soir y avait des amis de j. et d. dans la cuisine qui faisaient leur "pregame" avant d'aller au bowling pour l'anniversaire d'alex , ils ont descendu toute une bouteille de vodka et ils attendaient que la cocaïne soit sèche pour en prendre au bowling parce qu'apparemment la cocaïne est humide. quand ils ont commencé à parler de cocaïne la fille blonde aux cheveux victoria secret a dit wenn coke da ist bin ich raus! et je croyais que ça voulait dire non merci mais non c'était son péché mignon. elle part en weekend à majorque pour son anniversaire. j. était encore sous l'effet de la méphédrone de la fête de la veille, il était assis sur le canapé et il rigolait sans raison en se collant contre la fille assise à côté de lui. il buvait du kratom à la paille parce que ça rend plus sociable, mais j. est déjà quelqu'un d'archi sociable. son corps est une vraie poubelle. il a l'air tellement paumé. je sais pas lequel de nous deux est le plus paumé. sauf que moi je réagis de manière inverse, je contrôle tout ce qui rentre dans mon corps parce que j'ai peur de m'abîmer et de ce qui pourrait se passer si je lâchais le contrôle. il a besoin de se perdre moi j'ai peur de me perdre.
il m'a dit qu'il voulait m'emmener au kitkat pour mon anniversaire et j'ai dit lol non et il m'a regardée en disant i need to crack you before you leave et j'ai rigolé en disant i'm a tough nut, many have tried, hahaha. si seulement il suffisait d'un jonas sous méphédrone pour me craquer. il voulait que je vienne avec eux vendredi soir mais je sais pas s'il était sérieux ou pas vu que c'était une fête bdsm où tout le monde était sous méphédrone (c'est la nouvelle drogue à la mode et aussi mon nouveau mot préféré parce qu'y a mephisto et drone dedans) je me suis contentée de lui passer du rouge à lèvres et de lui apprendre à faire des bisous au sopalin avant de partir. le lendemain il nous a raconté qu'y avait un type avec une cagoule en cuir attaché à une chaise par le cou qui se faisait pénétrer par un gode plus gros que son avant-bras et qu'il sentait plus ses jambes à cause de la drogue et que d. avait fait un énorme caca parce que la méphédrone relâche l'anus et moi ça me fait pas rêver ok? laissez-moi regarder emily in paris en paix sur le canapé.
samedi soir on devait aller voir des performances à wedding avec n. mais en recherchant les artistes on s'est rendu compte que c'était de la merde (une fille qui se prenait pour un pigeon sexy en nuisette de soie) alors elle a proposé qu'on se fasse un marathon saison 4 d'emily in paris et j'ai senti mon visage s'éclairer comme si elle venait de m'offrir le plus beau cadeau du monde. on a passé la journée dans la cuisine, j'ai fait du pain pour réchauffer la pièce (on a toujours pas de chauffage) ça sentait bon et c'était cosy. hier je suis allée au marché aux puces du boxhagener platz et à celui du raw gelände mais à force de regarder emily in paris j'avais envie d'habits de luxe. je suis obsédée par le gros duffle coat en bouclette qu'elle porte à l'aéroport avec un foulard rouge et un sac en fourrure en bandoulière. ça me fait pas trop rêver emily in paris mais cette scène à l'aéroport dans l'escalier blanc du business lounge au téléphone dans son gros duffle coat de luxe, ç'a réveillé quelque chose. je crois que c'était la combinaison de l'aéroport de la fourrure et du duffle coat ou bien trois piliers de mon goût embarrassant du luxe. ça m'a rappelé quand je voulais un blackberry pour mon anniversaire en 2010 parce que blair waldorf de gossip girl en avait un. j'avais même mis la même sonnerie qu'elle.
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yaminahsaini · 1 year ago
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🏥Jeudi 7 décembre 2023: Je sors donc ce matin d’hospitalisation! Je débutais la journée avec ce beau ciel rose. Et sinon ils avaient complètement oublié de me retirer le midline ! C’est moi qui est dû demander à ce qu’on me l’enlève.. Le cathéter était immense dans mon bras, ça fait du bien qu’il soit enfin retiré! Au moins cette fois-ci je n’ai eu aucun problème avec! La dernière fois ont me faisait passer de la nutrition parentérale dessus donc c’est sûrement ça qui avait fait que je n’ai pas supporté. Avant de sortir un étudiant docteur est venu me voir mais il avait l’air un peu ailleurs. Je lui pose des questions et au lieu d’y répondre il me dit « d’accord »🤨 Et ils avaient oublié de me donner le courrier pour l’allergologue, j’ai dû le rappeler. Du coup c’est à moi de prendre rdv avec qui je veux. Mes parents sont venus me récupérer. Par contre j’ai oubliée ma gourde d’eau dans une salle d’attente 😅 Tant pis
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0nalia · 2 years ago
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L’île de Neige. (Eustass x Lecteur) 🍋
PT.5 - { Chapitre 04 }
{ PDV Kidd }
la lumière qui se refléter sur la neige posé sur les branche de sapin illuminé la chambre. une envie de mettre la couverture sur mon visage pour continuer le sommeil si confortable était présent, voulant tiré la couverture je baisse la tête et voie Reader contre mon torse endormie, elle dégager toujours autant de chaleur émanant de son corp. soupirant un moment légèrement renfrogner de ne plus pouvoir fermer l'œil a la vue de son corp dans se si petit bout de tissue léger.
je remémore la journée et nuit d'hier. un peut de blush sur mes oreille, "depuis quand je suis autant attiré par elle..?" cette question me venez de plus en plus souvent au court de ces dernier mois. c'est vrais, dès que j'avais posé les yeux sur elle... je sert le point mais fini par la blottir plus contre moi posant un baiser sur sont front. elle gémie a mon acte se qui me fit la relâcher pour la regardé ouvrir les yeux.
{ PDV Reader }
je sentie mon corp blottie contre quelque chose de robuste, me souvenant petit a petit de la journée d'hier je sourie doucement, avant de me sentir un peu plus blottie je gémie un peu avant de lever la tête, je le voie pour la première fois de si près, avec la lumière éclatante venant des fenêtres. "Reader : Bonjour, Capitaine~ dit-je la voie du matin un peu cassé par temps de son de la veille.
"Kidd : Bonjour Reader. avec sa voie du matin, qui me fit frémir, elle était plus roque que d'habitude.
"Reader : tu est réveiller depuis longtemps ? au son de sa voix je pouvez deviner que non, mais posé cette question était purement instinctive. je rougis un peu.
"Kidd : Non. je viens de me réveiller. 
son estomac fit un gargouillement étonnant me faisant écarquillé les yeux puis rire, je le sent s'agité dans le lit avant de vouloir sortir du lit, il avait a peine lever la couverture qu'il replongé directement sous la couverture et marmonnant de choses incohérente.
"Reader : Kidd ? je demande perplexe et étonné.
"Kidd : il fait putain de froid ! pourquoi il faut qu'il fasse froid en dehors du lit et chaud dans la couette ! il ralle a lui-même se qui me fit rire sur le moment.
"Reader : je viens glisser ma mains et me faufiler sur lui étant toute blottie contre son torse, tu veux que j'aille te chercher a manger ? killer a dit que toute sorti était impossible aujourd'hui a cause de la tempête qui arrive.
"Kidd : il grommelle et fini par acquiescer de la tête, pas le choix de rester ici et de se reposé.
je viens lui picoré le bout de ces lèvre se qui le fit sourire légèrement avant de venir ma tâtonné les fesses.
"Reader : Kidd ! il viens approcher mon visage du sien avec sa mains
"Kidd : si tu ne me donne rien a manger je vais devoir en trouvé moi-même, dit-il taquin.
je me lève d'un coup a califourchon sur lui étant toute rougissante, je saute en dehors du lit courant mettre son mentaux sur moi, en l'entendant râler de l'air froid que j'ai laisser passé sous la couette en quittant le lit.
"Reader : je me retourne vers lui et lui fait un clin d'œil malicieux, sa c'est pour ta taquinerie Capitaine ~
je ferme la porte derrière moi avant d'entendre l'impacte de l'oreiller sur la porte, je me mis a rire fortement marchant dans le couloir.
Marchant tranquillement dans le couloir la porte se trouvant non loin de la notre s'ouvrir, je sursaute voyant une masse énorme de doudoune debout, regardant au niveau des yeux je pouvez y voir des yeux persan et d'un bleu éclatant.
"Reader : Heu... Bonjour ?
je pouvez sentir sont regard le long de mon corp, de la tête au pied, puis rester fixer sur le manteau sur les épaule.
. . . Silence . . .
je me balance un peu sur mes pied et repris mon chemin des yeux écarquiller de se que je viens de voir. "mais c'était quoi sa !?" je me dépêche de descendre les escaliers et de passé la porte du bar pour voir le barman nettoyer les tables.
"Barman : Oh bonjour, je ne m'attendez pas a voir quelqu'un a cette heure-ci, dit-il étonné.
"Reader : Ah oui ? je penche la tète, tenant le mentaux contre moi fermer. quel heure est-il ?
"Barman : il est 6H20 actuellement, dit-il en regardant sa montre a gousset. 
"Reader : Oh.. je suppose qu'il n'est pas l'heure pour commandé a manger ? je baisse mes oreilles voyant le vielle homme vaciller un peu
"Barman : N-Non ! c'est bon, je peu préparé quelque chose, en général j'ouvre la cuisine a 7h30, mais je peu faire une exception. dit-il en souriant et venant vers moi.
"Reader : je lui sourie, au ces gentille merci beaucoup, c'est possible d'avoir de la nourriture dans la chambre ?
"Barman : Bien sûr, il sort son petit carnet et son crayons se préparant déjà a prendre la commande. alors.. que veux donc la charmante petite louve ? dit-il gentiment, se qui me fit rire et sourire.
"Reader : et bien j'aimerais beaucoup de choses qui pourrais nourrir un capitaine affamé ~
"Barman : il vacille de nouveau a mes mots, riant nerveusement, et bien il y a pas de problème, je vais commencé a préparé tout sa et l'apporter dans vôtre chambre, dit-il en souriant.
je sourie me retournant avant de partir en trombe vers les couloirs disant merci au passage au vielle homme, remontant les escalier je croise l'énorme masse de doudoune.. il bloque les escalier...
. . . Silence . . .
"Reader : heu.. on se connait ? je penche la tête et examine un peu plus ces yeux.
{ FLASH BACK }
" . . . : Allez saute plus haut ! et envoie tes bras vers l'arrière pour surprendre ton adversaire ! crie t-il en esquivant mes coup de dague en bois.
"Reader : tu dit sa comme si c'était la chose la plus facile a faire !! je crie de rage partant pour esquiver son coup mais fini par être plaquer contre le murs de la salle d'entraînement du navire.
". . . : il suffis juste que tu y mette un peu plus du tien et tu pourra y arriver, n'oublie pas que tu peu être tué a tout moment dans le nouveau monde. dit-il calmement.
"Reader : je te signal que je suis née dans le nouveau monde, au cas ou que tu l'aurais.. OUBLIER !! je le pousse hors de moi d'un coup de pied a son torse se qui le jeta au sol.
je profite de cette opportunité pour bondir sur lui, finissant avec mes lame en bois sous sa gorge à califourchon sur sont ventre, respirant essoufflait près de son masque. le reflet du ciel bleu, et le couché de soleil clair traversant la fenêtre, je pouvais voir a travers les troue de celui-ci le reflet de ces yeux, il était... Magnifique. un ciel emprisonné dans une paire d'yeux, mélangeant les couleur du ciel et de la mer. je me senti sortir de mes pensé par une forte prise sur mes poignée, me retournant sur le dos, il inversa les rôle.
"Reader : AH c'est pas vrais !!!! TU MA PRISE EN TRAITRE !! K-I-L-L-E-R !!!! j'hurle de frustration se qui le fit rire de plus belle.
"Killer : Je voie pas de quoi tu parle. si tu rêvassé comme sa en plein combat tu ne durera pas plus de 2mn sur un champ de bataille.
il me relâché et m'aide a me relever, je lui fait la moue les oreille et la queue baisser.
"Killer : . . . ? quoi ?
"Reader : je redresse un peu mes oreilles et ma queue et le fixe calmement. Killer ? je peu voir ton visage ? je penche la tête.
"Killer : . . . Non. il avait répondu après un long moment qui semblait être un moment de réflexion..
"Reader : Eeeeeh !!!??? Allez !!! s'teuplaiiiiiiis !!!!
"Killer : Non. il répondis directement cette fois croisant les bras comme a son habitude quand il était ferme.
"Reader : Pas cool ! je fait la moue, allez juste un petit coup d'oeil !!!! je lui fit la moue de petit chiot.
"Killer : . . . après un moment de silence il soupire, si tu réussi un jour a me battre tu pourra le voir ? cela ressemblait a la fois une condition et une question.
"Reader : je baisse la tête un moment avant de la relever avec des étoile dans les yeux remplis de détermination, D'ACCORD !! je te prend au mots alors !!!
Killer posant les arme en bois a leur place, il se mis en chemin de la sorti de la salle d'entrainement, je fit de même mais restant pour nettoyer un peu le sol qui était un peu humide par les goutte de transpiration, au bout de 2h d'entrainement il était dure de ne pas transpiré, surtout avec un partenaire d'entrainement comme Killer.
"Reader : avant qu'il ne referme la porte je ne pouvais pas m'empêcher de lui faire la remarque. en tout cas tu as déjà de beau yeux Killer~
"Killer : Il tressaille a mon commentaire avant de se rattraper sur la poigner de porte. P-Pardon ? dit-il se retournant vers moi
"Reader : je sourie grandement et joyeusement, Et bien oui~ je les es entrevue dans les troue de ton masque tout à l'heure ! je fait la moue, c'est pour sa que je "rêvasser" !!!
"Killer : . . . il se mis a rire, Je voie.. et bien Merci.. dit-il avant de repartir.
{ FIN DU FLASH BACK }
je le pointe du doigt faisant un pas en arrière avant de commencé à m'écrier, KIL- !!! il fini par dévaler les escaliers m'emportant avec lui avant de finir en bas des marche avec un énorme vacarme.
"Reader : Aïe..Aïe... je me relève difficilement assis sur cette énorme boule de doudoune frottant ma tête. Killer... je soupire... Pourquoi tu porte autant de vertement ??? je soupire.
"Killer : . . . comme kidd, je ne supporte pas le froid. . . il détourne les yeux embarrasser.
"Reader : . . . au niveau ou tu en n'et se n'est plus du "supporter" c'est plutôt "craindre" dit-je d'un aire narquois croisant les bras sur ma poitrine. 
j'ai oublier que durant la roulade dans les marche le mentaux qui était sur mes épaule n'était plus là. s'entend directement le contacte de mes mains sur mes bras je m'en rendis compte avant de baisser la tête et me rappeler quel genre de tenue je porté. j'explose d'un rouge directement, entendant des pas lourd dans les escalier me retournant voyant Kidd en haut les marche analysant la situation.. Oh non.. nous parlons avant tout de Eustass Cap'tain Kidd.
{ PDV KIDD }
il c'est écouler un bon moment déjà depuis que Reader est parti chercher a manger. m'assoupissant de nouveau dans la chaleur du lit, quelques instant passe avant qu'un vacarme me fit sursauter. "c'était quoi sa ?" je grogne et sort quand même du lit, l'air froid qui frappe ma peau me fait grimacer, mais je doit allez voir si Reader n'as pas de problème.
m'habillant en vitesse je sort de la chambre me dirigeant d'où venait le bruit, je me stop en haut des marche court-circuitant un neurone ou deux voyant Reader, en petite tenue sans mon mentaux assise sur... une boule de doudoune...???? je cligne plusieurs fois des yeux, avant de revenir a la réalité.
"Reader : Capitaine ! s'écrias t-elle cherchant déjà mon mentaux en tournant la tête de droite a gauche.
"Kidd : je descend les escalier et viens l'attraper par la taille, la tirant hors de se "truc" ? je grommelle. tu en met du temps pour commandé a manger.
"Reader : elle rie nerveusement, Oui... il bloquer les escalier, elle pointe du doigt l'énorme boule au sol.
"Kidd : bordel mais c'est quoi sa ? j'interroge perplexe.
"Reader : Beh... C'est Kil-
"Killer : C'est moi Kidd-o. . .
Un moment de silence se fit avant que je finisse par éclater de rire avec Reader contre moi qui avait sursauté fouettant sa tête vers moi les yeux écarquillé.
"Kidd : MERDE !! MEC REGARDE TOI !!! on dirait un énorme tas de linge perdu !!
"Killer : Ca va !! on as pas tous la chance d'avoir un chauffage a disposition dans cette auberge ! dit-il en râlant, essayant de se relevé avec difficulté.
"Kidd : je viens donné un coup de pied a la grosse boule de doudoune qui fini par rouler un peu plus loin, je pouvez pas retenir mon rire a cette situation.
{ PDV Reader }
je profite que Kidd est pousser Killer pour ramasser sont mentaux qui était juste là et de le remettre sur mes épaules. je me dirige vers Killer l'aidant a se remettre droit entendant Kidd rire de plus belle jusqu'as s'accroupir tenant sont ventre. je me retiens de rire aussi maintenant que je repense a se qui c'est passé a l'instant. mais quand j'ai croisé le regard de Killer en colère je ferme mon sourire une goute de sueur au coin de ma tempe.
"Reader : S-Sa va ..?
"Killer : je vais retiré ces doudoune et lui botté le cul moi-même.. dit-il en gigotant.
je pince mes lèvre m'éloignant un peu passant a coté de Kidd qui ouvrit les yeux me regarde passer d'un air effrayer accélérant le pas, perplexe il a regardé Killer qui avait plus que la moitié de ces doudoune sur lui fixant d'un aura de colère Kidd, qui lui fini par tressaillir.
je me retourne en vitesse sur la Troisième marche tapant des mains deux fois en fermant les yeux d'un air de prière japonaise, se qui attira de nouveau l'attention de Kidd sur moi.
"Reader : Kami-sama... protégé cette auberge de tout grabuge... et ... évité que killer ne décide de castré notre capitaine adoré. je retape de nouveau deux fois dans mes mains et fit demi-tour en sprintant en direction de la chambre en criant, "le repas arrivera dans la chambre d'ici une bonne heure !!!"
j'entendez Kidd hurler, suivis par les fracas de ces deux là se battre en bas des marche, fermant la porte de la chambre et me remettant dans le lit au chaud j'attendez le repas sagement, écoutant maintenant un silence lourd...
{ PDV KIDD }
avant même de quitté du regard Reader je l'entend taper des mains, la fixant étonné et écoutant ces mots je me suis instinctivement relevé et positionné sur mes gardes, recevant un coup de pied violant de la part de Killer.
"Kidd : Enfoiré !! je me fait éjecter a l'autre bout du couloir me rattrapant contre un murs.
"Killer : tu l'as cherché Kidd-o ! cette auberge tombe en ruine, les canalisation sont complètement gelée !
"Kidd : et c'est ma faute peut-être ?! j'hurle incrédule.
"Killer : . . . quoi qu'il en soit pousse toi j'ai faim. il me pousse sur le coté pour passé du coté du bar.
Voulant ouvrir la porte qui mène a l'extérieur il l'as claqua aussitôt, se qui me fit le fixer en silence les yeux grand ouvert. il se retourne vers moi passant de nouveau a coté en direction des doudounes.
"Kidd : Ha..-
"Killer : Tu rie, t'est mort. dit-il au plus sérieux et sombre qu'il pouvez.
je déglutie ravalant mon rire presque en m'étouffant avec, avec une goutte de sueur je le regarde re mettre quelque doudoune avant d'ouvrir la porte et de taper son plus beau sprint en direction du bar.
Killer hors de vue maintenant je me mis a rire de nouveau faisant presque trembler les murs de l'auberge, prenant mon temps pour me calmer j'ai eu un frisson parcourir tout mon corp, me rappelant que je n'avais pas mon mentaux avec moi, je retourne donc dans la chambre, montant les marche je croise certain membre de l'équipage qui c'était réveiller avec tout le grabuge passé. mis à part me saluer comme à leur habitude il profité tous de leur journée de repos a resté dans leur couchette au chaud, ou bien a allez boire au bar et manger.
refermant la porte derrière moi, je pouvait déjà voir Reader au lit sous la couette, mon premier reflexe était de regardé par la fenêtre, voyant les nuage de tempête approché a toute vitesse. marmonnant de colère je viens m'allonger près de Reader la prenant dans mes bras.
"Reader : tu est toujours vivant ? dit-elle ironiquement avant que je viennent la serrer un peu plus fort.
"Kidd : Tu veux peut-être que je te montre a quel point je le suis ? je ricane taquin.
"Reader : elle gigotte dans mes bras secouant la tête, Non.. je veux juste dormir encore un peu avant que le repas n'arrive.
"Kidd : Bon plan.
{ PDV Narrateur }
après une sieste de 15mn, quelqu'un se mis a frapper a la porte, Kidd refrogner se lève et ouvre la porte, le pauvre petit barman sursaute de peur tenant le plateau de nourriture dans ces mains. prenant le plateau, il lui claqua la porte au nez et pose le plateau sur le lit avant de venir secouer Reader.
il manger le repas ensemble emmitoufler dans la couverture se qui rappela un certain souvenir de Reader, la première fois que cela arriva avec son capitaine. développant une attache plus qu'amicale, elle se rend bien compte qu'il ne s'agis pas que de simple action humaine, derrière toute cette attention et agissement se cache bien des sentiment qui se développe et ceux depuis quelque temps déjà.
la journée était longue, Kidd était devenue ronchon quand Reader lui avait dit qu'elle allez passé un peu de temps avec les autres fille de l'équipage. jouer au carte et discuter entre elle. il a essayer de la gardé contre lui mais fini par céder à son regard innocent de chiot.
Résultat de cette journée ? gagnée un capitaine caché sous une pile de couverture, s'amusant a commandé a boire et a manger dans la chambre.
{ Message de l'écrivaine }
Heio !! sa fait longtemps je sais !! PARDON !! mais j'essais de trouvé l'inspiration, mon cerveau et remplis d'idée et de rêve, mais quand je me trouve face à face avec la feuille blanche.. Le néant apparait !!
comme c'est effrayant... je ne veux pas gardé pour moi toute cette imagination, je veux la partager avec vous tous.
merci de suivre cette histoire encore aujourd'hui... n'hésité pas a me dire se que vous en pensé.
j'avais envie de faire un chapitre plutôt calme et drôle. du moins selon mon point de vue cela là était !!
à la prochaine fois !!
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mamaasawriter · 1 year ago
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Hier jour de fête je quitte mon lit avec M. je vois E. au travail et le soir le soir je vais voir B. alors quand c'est jour de fête moi j'ai envie de susciter le désir alors je mets une de mes robes préférées dans laquelle franchement je me trouve bonne et devant le miroir je pense que objectivement c'est vrai aussi ces jours-là où on a envie que le regard de M., E. ou B. se pose aussi doucement que le tissu qui glisse sur les cuisses on se sent belle tout le temps même à porter des trucs lourds avec les bras être coincée en haut de l'échelle collée à la charpente ou courir partout dans le magasin honnêtement j'ai mis cette robe juste en pensant à eux en me disant je veux un compliment des yeux et finalement ce qui me fait le plus plaisir souvent c'est Marion ma collègue qui fait sa bouche bée quand elle me voit sortir des vestiaires là je me sens comme une reine et vas-y que je roule ma bosse en robe toute la journée mais surtout que je roule mon boule et vas-y que je remets souvent ma bretelle de robe sur mon épaule nue juste pour dire "eh j'ai des épaules nues" mais
drame
E. ne bosse que 3h aujourd'hui et B. B. est malade j'ai l'impression d'avoir mis cette robe pour rien pour rien les épaules nues, le haut qui accueille mes petits seins et le reste qui accompagne le mouvement de mes jambes on dirait du vent et je la colère monte de continuer à m'oublier dans le processus de continuer à faire ça pour des mecs et pas pas pour moi de me voir belle qu'à travers leurs yeux et pas les miens qu'à travers leurs critères qu'ils ne disent pas que j'imagine plutôt que ceux de Marion ou M. si j'écoutais M. et Marion et Mathou un peu plus, je serai reine tous les jours heureusement avec cette robe il y a le collier que Brunissen a fait et j'ai l'impression d'être encore à Groix avec Mathou ça me porte les souvenirs alors je ne m'avoue pas vaincue cette robe va me servir à kiffer kiffer ma journée être en confiance avec moi-même être avec Mathou en pensée kiffer faire du vélo avec le vent qui remonte le tissu qui glisse sur ma cuisse peut-être au feu rouge verra t-on ma culotte et qu'est-ce que j'en ai rien à foutre c'est bien ça que j'ai envie de dire quand je mets une culotte sans shorty et que j'attends la jambe relevée car la pédale haute au feu rouge quand je repense qu'à l'école primaire une de mes hantises était que les mecs baissent ma jupe et que tout le monde voit ma culotte j'ai bien changé t'inquiète que si tu lèves ma robe pour voir ma culotte je te marave la gueule mais t'as pas idée à quel point je kiffe porter juste une robe et une culotte je crois que le truc c'est que j'avais envie d'être prête d'être apprêtée pour ce moment où E. me fait des blagues et utilise sa voix la plus grave du matin où je meurs un peu quand je le fais rire à gorge déployée prête apprêtée pour ce moment où B. me tiens les mains en pleine nuit me dit "Tu as été forte et courageuse. Bravo" ou quand on danse tous les deux comme des enfants où on oublie le prochain soleil prête et apprêtée pour un câlin d'amour prête et apprêtée quand M. me dit "Ne t'inquiète pas pour ça" sur ma plus grande inquiétude de la vie et que cette fois, je le crois
Est-ce qu'en belle robe on paraît plus forte est-ce qu'on assume plus est-ce qu'on a besoin d'être forte quand les autres ne nous rendent non pas faible mais accueillent notre vulnérabilité et nous accompagnent est-ce que le désir aide à obtenir de l'aide est-ce que si j'avais mis ma tenue de la flemme je connaîtrais tout ça c'est sûr
que oui
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marie-swriting · 2 years ago
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On Va Sortir D'ici - Thomas
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Masterlist
Résumé : Tu travailles pour W.I.C.K.E.D, mais tu n'en peux plus quand ton meilleur ami meurt pendant l'Epreuve du Labyrinthe. Avec l'aide de Thomas, vous donnez des informations au Bras Droit et vous essayez de quitter le base ensemble.
Warnings : morts de personnages (dont celle du reader), armes à feu et coups de feu, mention d'interrogatoire violente, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 2.8k
Version Wattpad
Version anglaise sur Tumblr
Face à l'ordinateur, tu es en train d’effectuer tes tâches habituelles : observer le Labyrinthe A, tester les sujets et noter les résultats des expériences de la journée. Tu les exécutes tel un robot. Tu sais que si tu réfléchis trop, tu réaliseras tout le mal que tu fais. Alors, tu tentes de garder une distance émotionnelle avec les épreuves du Labyrinthe, avec les sujets, avec tes amis. Toutefois, certains jours sont plus compliqués que d’autres, surtout quand de bon matin, on te tend un dossier avec le mot "décès". Parfois tu assistes à ces morts en direct, d'autres fois ils se produisent quand ton travail est déjà terminé. En commençant ta journée, tu ne savais pas qu’une autre personne avait échoué à l'épreuve. Anxieuse, tu ouvres le dossier et lis "Sujet A25 : Nicolas". Les larmes te montent aux yeux en une seconde. Tu refermes le classeur et prétextes aller aux toilettes. Tu retiens tes larmes jusqu'à la fermeture de la porte. Tu essayes de sangloter en silence, mais si on tend l’oreille, on peut entendre ta souffrance. Ta respiration se fait de plus en plus courte à chaque fois que tu repenses à cette fiche. Cette fiche annonçant le décès de ton meilleur ami depuis que tu as dix ans. Il n’est pas le premier proche à mourir, mais cette mort est la goutte de trop. Tu voudrais crier pour sortir tout ton désespoir, mais tu ne peux pas. Tu ne dois pas avoir de sentiments en travaillant pour W.I.C.K.E.D. Tu es là pour trouver un remède, pas pour faire dans les émotions. Des sacrifices doivent être faits. Tu ne dois pas l'oublier. Janson ne le permettra pas. Tes pleurs se font de plus en plus forts quand on frappe à la porte. Tes sanglots s'interrompent, craignant qu'on te découvre. En entendant la voix de Thomas, tu lui ouvres. Il reste devant toi pendant quelques secondes avant d'oser prendre la parole :
- J'ai lu le dossier. Je suis désolé, Y/N.
- J'en ai marre, Thomas, lâches-tu, en colère. Je n'en peux plus de tous les voir mourir. J'en peux plus de voir mes amis mourir. Je veux que ça se termine ! Je sais qu'on fait ça pour la bonne cause, mais est-ce qu'on doit vraiment sacrifier toutes ces vies humaines pour un potentiel remède ? Ce n'est pas juste.
- Je sais.
- Je veux les sortir de là. Je veux qu'on les sorte de là et qu'on parte avec eux, loin de W.I.C.K.E.D. Je ne supporterai pas une nouvelle mort, Thomas. Je... je ne pourrai pas, prononces-tu d’une voix brisée.
Ignorant quoi dire, Thomas te prend dans ses bras. Il espère te rassurer, mais il sait que dans cette situation, ça serait une utopie. Vous êtes condamnés à voir des horreurs dans l'espoir de sauver l'humanité. Rien de ce qu'il pourrait faire ou dire ne pourrait t’aider à aller mieux. Il le sait car il tente chaque jour de se rassurer lui-même, en vain.
- On devrait y aller, reprends-tu en te séparant de ton ami. Janson va se demander où on est passé.
- Ça va aller ?
- Ça va aller pour eux ? rétorques-tu, les yeux remplis de souffrance.
Thomas reste silencieux, sachant qu’il ne peut répondre à cette question honnêtement. Tu lui lances un dernier regard, quittes les toilettes et retournes à ton poste. Thomas te rejoint quelques minutes plus tard, une expression neutre au visage. De ton côté, tu utilises ton ordinateur comme si quelques instants auparavant tu n’avais pas été submergée par tes émotions. Vous agissez comme on vous l’a toujours appris.
Les jours suivants, tu fais ton deuil en silence. Thomas se montre présent, même s’il a l'impression d'être inutile. Cependant, il a beau ne pas le réaliser, mais il t'aide à ne pas sombrer, car tu te dis que malgré tout, tu as encore Thomas. Tu n’es pas totalement perdue. Tu as encore une raison de continuer.
Ce soir-là, vous quittez vos dortoirs respectifs, vous retrouvant dans une pièce isolée du centre de W.I.C.K.E.D, comme vous le faites toujours quand l’un de vous ne va pas bien. Vous n’y faites rien de spécial. Vous restez enlacés, tentant d'oublier la douleur du monde et la votre. Ce n’est pas un succès, mais vous êtes présent l’un pour l’autre. Un soir, Thomas brise le silence en donnant une information importante :
- Je sais comment on peut les aider.
- Qu'est-ce que tu veux dire ?
- Tu te rappelles du médecin Mary ? demande-t-il, te faisant hocher la tête. Elle est partie, car elle n’est plus d'accord avec leurs expériences. Elle travaille avec le Bras Droit maintenant.
- Le Bras Droit, l'organisation de résistance ? t’assures-tu en le regardant.
- Ouais. Je pense qu'elle a pu retarder pas mal de leurs plans grâce aux informations qu'elle avait, mais maintenant, elle n'a plus accès à rien. Si on arrive à communiquer avec elle, on peut les aider. On leur donnera tout ce dont ils auront besoin avant de partir, déclare Thomas, déterminé.
- Comment tu vas la retrouver ? Le Bras Droit doit être intraçable.
- J'ai commencé mes recherches quand on a appris la mort de Nicolas. Je crois que je suis sur le point de les trouver. Ça sera dangereux, mais on pourra sortir nos amis de ces Labyrinthes. Qu'est-ce que t'en dis ?
- Je suis avec toi, acceptes-tu, sans hésitation. Je veux faire tomber W.I.C.K.E.D.
Vous vous regardez dans les yeux, le courage ayant pris possession de votre corps. Vous avez un plan et vous comptez le mettre à exécution le plus tôt possible. Les sacrifices ont assez duré. 
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Quand Thomas arrive enfin à trouver le Bras Droit, il te prévient. Pendant la nuit, vous vous infiltrez dans une des rares pièces avec des radios pouvant communiquer avec l'extérieur et commencez l'appel. Tu es à la fois contente d'être proche du but et effrayée que le Bras Droit ne vous fasse pas confiance.
- Allô ? Je suis Thomas, je travaille pour W.I.C.K.E.D et j'ai des informations pour vous, initie-t-il la conversation, sans réponse. Mary ? Tu es là ? C'est moi, Thomas. Je peux vous aider.
Vous restez silencieux pendant quelques instants. Thomas est sur le point de couper la communication quand vous entendez une voix féminine :
- Thomas ? Je n'aurais jamais cru avoir de tes nouvelles. Tu es en sécurité ? Tu es seul ?
- Y/N est avec moi. On veut vous donner toutes les infos dont vous aurez besoin pour faire tomber W.I.C.K.E.D. On ne veut plus voir nos amis mourir.
- On veut que ça cesse. Aucune personne dans ces Labyrinthes mérite d'y être. On veut les sauver, ajoutes-tu, les larmes aux yeux.
- Très bien. Je vais en parler avec les autres membres du Bras Droit. Je vous rappellerai demain à la même heure pour qu'on s'organise. Faites profil bas.
- Merci Mary.
L'appel terminé, Thomas range la radio et se tourne vers toi. Même si vous devez attendre l'approbation du Bras Droit, vous ne pouvez pas vous empêcher de sourire. Vous avez le soutien de Mary. Vous allez pouvoir vous en sortir.
- Merci Thomas, dis-tu. Tu m'as redonné un peu d'espoir. Je n'aurais jamais cru ça possible.
- On fera tout pour les aider. On va y arriver.
Quand le Bras Droit accepte de collaborer avec vous, vous commencez à récolter les données importantes et à les communiquer une fois par semaine. Vous en donnez un peu à la fois pour qu'ils puissent s'organiser sans alerter le Docteur Paige ou pire Janson.
Un soir, quand tu es en train de te préparer pour aller dormir, Teresa te prend à part, un sourire compatissant sur le visage.
- On m'a dit pour Nicolas. Je suis désolée, déclare-t-elle, sincère. Mais on ne doit pas oublier pourquoi on fait tout ça. On doit trouver un remède. Braise devient de plus en plus mortel.
- Je sais, réponds-tu sans émotion. Je vais me coucher, je suis fatiguée.
Teresa pose sa main sur ton bras, montrant son soutien. Tu lui souris légèrement avant de partir vers ton lit. Les propos de ton amie t’ont froissé. Tu sais que Teresa n'agit pas méchamment. Elle t’a raconté son histoire avec sa mère, tu comprends pourquoi elle veut autant trouver un remède. Mais pour toi, ça ne justifie pas le fait qu'on agisse comme si ces morts ne représentent rien. Elles représentent quelque chose pour toi : ta lâcheté, ton impuissance, ta douleur, mais surtout ton privilège d'avoir pu échapper à ces Épreuves.
Quand Thomas et toi avez commencé à travailler pour le Bras Droit, tu avais pensé à en parler à Teresa, mais tes doutes t’avaient retenu. Ta conversation avec ton amie te prouve que tu as bien fait. Teresa n'aurait pas cautionné vos agissements, peu importe si vous êtes amis. Pour elle, W.I.C.K.E.D est réellement bon.
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Deux mois sont passés, toi et Thomas avez réussi à transférer des informations sans vous faire remarquer. Les soirs où W.I.C.K.E.D doivent gérer des crises, vous donnez un peu plus de renseignements, permettant au Bras Droit de mettre en place des plans d'attaques plus importants. Vous restez encore sur la base de W.I.C.K.E.D, attendant le moment parfait pour fuir.
Un soir où Thomas donne les données de la semaine, il te rejoint dans votre pièce. En plus d’être votre refuge, il est maintenant le lieu que vous utilisez en attendant l’autre afin de débriefer.
Quand Thomas entre dans le lieu, il s'assoit à tes côtés à même le sol. Vous vous prenez dans les bras et restez d'abord silencieux, permettant à Thomas de relâcher le stress d'être découvert. Quand sa respiration est plus calme, il attire ton attention.
- La semaine prochaine, on quitte la base. J’en ai parlé avec Mary et si on donne tous les emplacements des complexes et laboratoires, ils auront tout pour faire tomber W.I.C.K.E.D donc on pourra se faire la malle. Tu te chargeras de tout transférer et je gérerai notre sortie. Ils pourront sauver nos amis des Labyrinthes et nous éloigner de cet organisme. Tout est arrangé.
- Thomas, c'est risqué, rétorques-tu, anxieuse. On a déjà eu beaucoup de chance de pas s'être encore fait attraper. Ça ferait trop d'un coup.
- On a une semaine pour tout planifier comme il faut. J'ai déjà une idée de la façon dont je vais m'y prendre. Ne t'inquiète pas, on va sortir d'ici, te rassure-t-il, te faisant réfléchir un peu plus.
- Je te fais confiance, Thomas.
La semaine d'après, votre plan est au point. Il est toujours risqué, mais il peut fonctionner. Vous avez fait encore plus preuve de discrétion, ne voulant pas donner de raisons à Janson d'être suspicieux. Vous faites exactement ce qui est demandé, sans montrer le moindre signe de rébellion.
Le plan en marche, tu saisis tous les dossiers que tu dois envoyer, ça prend plus de temps que d'habitude. Ton stress est à son paroxysme en regardant la ligne de téléchargement. Tu ne cesses de jeter des coups d'œil de tous les côtés, effrayée d’être découverte. Du côté de Thomas, il se dirige vers la salle de contrôle. Il doit être sûr que vous puissiez sortir du complexe quand tu auras fini. Il doit confronter quelques gardes qu'il arrive à maîtriser de justesse avant d’y arriver. Pendant qu'il fait les manœuvres pour ouvrir les portes, les dernières données sont enfin transférées au Bras Droit. Tu soupires de soulagement et quittes la pièce. Tu fais attention en te rendant au lieu indiqué par Thomas. Quand celui-ci a fini de tout préparer pour votre évasion, il entend le talkie-walkie d'un garde qu'il a assommé :
- Besoin de renfort. Un sujet hors des dortoirs. Infos transférées vers l’extérieur. Janson au courant. Terminé.
La panique prend possession du corps de Thomas, il quitte les lieux en courant. Il ne cherche pas à être discret, il veut juste te retrouver. Vous ne pouvez pas perdre une seconde de plus, c’est le moment ou jamais pour partir. Dans ses recherches, Thomas tombe sur Teresa au détour d'un couloir.
- Thomas ? Qu'est-ce que tu fais là ? questionne-t-elle.
- Je pourrais te dire la même chose, réplique-t-il en cachant son stress.
- Je travaille avec le Docteur Paige après ma journée. Tout va bien ? Tu devrais être dans ton dortoir.
- Je... Je dois retrouver Y/N, avoue Thomas, ne voulant pas perdre plus de temps. Écoute, on va partir d'ici, ce soir, mais elle s'est faite attraper. Aide-moi à la retrouver. Que tu veuilles nous suivre ou non, ça ne tient qu’à toi, mais aide-moi. On veut juste quitter cet endroit. On ne veut plus avoir toutes ces morts sur la conscience.
- Thomas, je ne…
- Tu vas m'aider, oui ou non ?! l'interrompt-il, impatient.
Teresa n'a pas le temps de répondre que des gardes saisit Thomas par le bras et le tirent en arrière. Il tente de se débattre alors que Teresa est choquée face à la scène. Thomas est traîné de force dans une section du complexe qu'il connait que trop bien. Ils vont effacer ses souvenirs et l'envoyer dans le Labyrinthe. Il ne peut pas laisser ça se produire. Il doit se débattre. Il doit au moins s'assurer que tu es en sécurité. Les gardes resserrent leur poigne sur l'adolescent, l'empêchant de bouger. En arrivant dans la pièce, ils l'attachent de force sur un brancard avant de lui injecter un produit, l'endormant instantanément. Thomas est changé pendant qu'il reçoit d'autres piqûres, Janson supervisant l’intervention. De ton côté, tu es en train de subir un interrogatoire violent. Ils veulent savoir où se cache le Bras Droit. Tu restes silencieuse à chaque coup de poing. Tu tentes de te remettre d'un énième coup quand tu entends rapidement un talkie-walkie. Un des gardes te prend par le bras et te force à marcher. Tu ne regardes même pas où tu vas, trop épuisée. Rien n'a d'importance. On t’a attrapé. Tu ne pourras pas t’échapper. Tu seras mise sous haute surveillance ou alors tu seras envoyée dans le Labyrinthe. Tu espères simplement que Thomas a été plus chanceux que toi. Quand avec les gardes vous arrivez dans une salle, ils te jettent au sol. Tu ne bronches pas jusqu'à ce que la voix de Janson résonne :
- Je dois dire que tu aurais pu nous avoir. On se doutait qu'il y avait des fuites, mais rien n'était sûr. Tu as su cacher ta trahison. Mais ça n'a pas suffi. Vous avez été négligent aujourd’hui, ce qui vous a valu d'être découvert.
- Vous ? demandes-tu, espérant avoir mal entendu.
- Je sais très bien que tu n'as pas agi seule, Y/N. Dis bonjour à Thomas. Il est juste là, sourit-il en faisant signe derrière lui.
- Thomas ? Laissez-le partir ! cries-tu en tentant de te relever, mais les gardes te retiennent. C'était mon idée ! Ce n'est pas de sa faute. Laissez-le !
Tu as le regard fixé sur Thomas qui est emprisonné dans une sorte de bassin vertical en verre se remplissant d'eau. Il frappe sur la vitre alors que Janson se rapproche de toi avec un sourire machiavélique.
- Vous êtes tous les deux dans le coup. Vous allez payer les conséquences de votre égoïsme.
- Notre égoïsme ? La bonne blague.
- Vous avez essayé de faire échouer les tests pour trouver un vaccin qui pourrait sauver l'humanité toute entière pour quelques amis. Je pense qu'on peut dire que ce n'est pas très charitable.
- Laissez-le, s'il vous plaît, répètes-tu, désespérée.
- Oh, non ! Tu vas le regarder avoir ses poumons remplis d'eau, déclare-t-il en tenant ton visage pour te forcer à regarder la scène.
Le corps de Thomas est presque entièrement immergé. Sa tête est encore à la surface, lui permettant de crier aussi fort qu'il peut. Mais les parois réduisent la puissance de ses hurlements.
- Vous êtes un monstre, lâches-tu.
- Un homme agissant pour la science, je préfère.
Thomas continue à crier, les suppliant de te laisser tranquille, mais ses efforts sont vains. Le processus est presque terminé et Janson n'aurait jamais accepté, trop fier d'avoir arrêté les deux traîtres de W.I.C.K.E.D.
- Dites-moi ce que je peux faire. Si vous le laissez tranquille, je ferai ce que vous me direz, proposes-tu.
- Très bien. Alors, sois gentille et ne parle plus jamais.
Suite à ses paroles, Janson sort rapidement une arme et te tire dessus. Tu n'as le temps de réagir que ton corps tombe à terre. Thomas hurle encore plus fort, même s'il est sur le point de se noyer. Ses larmes se perdent dans le bassin pendant qu'il regarde ton sang s'étaler sur le sol. Il continue de frapper sur la paroi, attirant l'attention de Janson. Celui-ci le regarde, un sourire diabolique sur le visage. Thomas montre toute sa colère et sa frustration jusqu'à ce que la quantité d'eau dans ses poumons le fasse perdre connaissance. Janson lance un soupir de joie avant d'indiquer qu'ils doivent se débarrasser de ton corps et de s'occuper du transfert de Thomas dans le Labyrinthe où son épreuve est sur le point de commencer.
Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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samrant · 2 years ago
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Le BUT MMI (4ème semestre) : La moitié du parcours !
Ok ok ! Avant de raconter mon 4ème semestre, parlons tout d'abord de la fin de 2022 et début 2023 ? Comment ça s'est passé pour moi ?
Eh bien, ça va on va dire, c'était assez intense mais on a pu s'en sortir. Disons que 2023 a démarré fort. Un nouvel an assez tranquille mais malheureusement j'ai dormi 20 min après le décompte, j'étais exténué. Je m'en veux un peu alors que y'avait toute ma famille encore réveillé (mais tout le monde était malade par contre chaud). Noël c'était cool aussi. Comme d'habitude passé en famille et on a tous eu énormément de cadeaux.
Les projets de fin de semestre 3, finalement on a pu s'en tiré ! Le CV Vidéo fait en même pas deux semaines, le podcast vidéo qui a été réussi, le projet de site du BUT MMI, un des projets les plus éprouvants, on a persévéré jusqu'à la fin. Franchement, j'en ressors assez fier de cette fin de semestre.
Passons au semestre 4, il a été basé que sur un grand projet en groupe. La SAÉ 402/403 : Création d'une exposition fictive. Nous devions créer une agence de 6 à 7 personnes et nous devions nous diviser en deux parties : la partie création numérique et la partie développement web. Bref, je vais pas trop aller dans les détails parce que j'ai un peu la flemme. Je veux juste dire que ce projet, il y a eu des hauts et des bas. Au départ nous voulions bien nous organiser pour ne pas se perdre dans les tâches à réalisés cependant en faisant ainsi, nous nous sommes quand même perdus. En voulant être trop organiser, nous commencions des tâches mais nous ne les finissions pas. Elles étaient toutes incomplètes. Ensuite, personnellement, j'ai eu des baisses de motivation, je me trouvais plus dans mon rôle, j'arrivais plus du tout à avancer. J'ai eu une panne de créativité. Grâce au Carême, j'ai pu me reprendre en main. Je ne voulais pas rester dans cet état et spirituellement, je voulais jaillir cette flamme de nouveau en moi.
petit aparté Carême
Le Carême cette année, m'a aidé bien plus que les dernières années. Durant deux ou trois ans, je ne faisais pas vraiment le Carême, je m'abstenais uniquement de mes tentations mais je ne faisais pas grand chose à côté. Ce Carême, j'ai essayé de faire un effort et puis, je m'étais préparé un mois avant que ça commence pour pas que le changement soit trop brutal. Je me suis mis à lire des livres, lire des plans de lecture de la Bible, prier régulièrement. Même si vers la fin, j'avoue m'être un peu relâché. Je prie pour continuer sur cette lancée même après le jeûne de cette année.
fin de l'aparté
Après m'être de nouveau remotiver, tout est devenu plus fluide et j'avais hâte de passer l'oral bien que j'étais un peu stressé. On finit toutes nos tâches et un jour avant l'oral, nous nous préparons. C'est l'oral le plus important de nos deux années. Nous devions passé en amphithéâtre devant tous les professeurs et les étudiants de première année. Ça s'est étalé sur une journée le temps que tous les groupes passent. Nous passions en 4ème. Donc nous pouvions regarder les groupes passer avant nous. J'ai regardé seulement le 3ème groupe parce qu'on répétait pendant que le 1er et le 2ème passaient. Lorsqu'ils sont passés, j'ai ressenti un peu cette tension avant que ça commence. Quand ça a commencé, j'étais + détendu. Ça m'a rassuré bizarrement. Le fait que j'ai été un peu stressé c'est dû aux attentes que j'avais de notre oral, je voulais que ce soit nickel, captivant etc... Mais en ayant regardé l'autre groupe, je me suis dis : tranquille, sans pression, on fait ça pour nous et c'est tout.
C'est à notre tour, c'était parti pour 25 min d'oral. Nous commençons avec une mise en scène d'introduction pour captiver l'auditoire. Nous nous étions partagé des phrases à dire un par un en se levant des chaises et en descendant des escaliers. Après ça, la partie de l'agence débute puis on déroule. Tout se passe comme prévu SAUF... moi qui fait un lapsus, purée. J'étais en train de présenter deux illustrations d'enfants qu'un de mes camarades avait dessiné et c'était un garçon et une fille. Je les présente et je dis : le garçon s'appelle Ponito et la MEUF s'appelle Kohana" Olala... Tout le monde a rigolé. Les profs étaient mode : rolalaaa... Mais à ce moment-là, l'atmosphère était moins tendu. Je m'en voulais trop parce que j'avais géré jusque-là. Sinon à part ça, tout le reste de l'équipe a fait un sans faute. À la fin de notre oral, les profs n'avaient pas grand chose à dire et c'est plutôt bon signe parce qu'ils avaient un peu allumé certains groupes. J'étais grave fier de ce que nous avions pu réalisé.
Voilà. Maintenant. Parlons problème. En parallèle du projet, il fallait chercher bien sûr, un STAGE de fin d'année. Un stage a commencé le 11 avril. Jusqu'à maintenant, je n'ai RIEN. C'est un peu chaud en ce moment. J'ai fait une quarantaine de candidature et je n'ai eu qu'un entretien. J'attends toujours la réponse du mec, si ça s'trouve d'ici-là il m'aura accepté mais là ça fait 1 semaine et demi, même après l'avoir relancé, toujours rien. Je suis pas impatient comme mec mais là il me fait attendre sans réponse, je comprends qu'il soit dans le rush mais une petite réponse ne fait pas de mal. Bon je dois être empathique. Cette recherche de stage est épuisante, je me sens prisonnier, j'arrive pas à avoir l'esprit tranquille. C'est frustrant, j'ai l'impression de revenir à mon année sabbatique. J'espère de tout coeur en trouver un au plus vite comme ça j'enchaîne sur ma recherche d'ALTERNANCE (on en finira jamais ayayay)
- Samedi 15 avril à 00h07
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saut3relle · 4 months ago
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Mardi 03.12.24, 8h09
J'ai encore consulté une autre voyante, qui m'a confirmé que ça ne marcherait pas avec Mickaël. Qu'il reviendrait probablement m'écrire mais qu'en amitié, qu'il n'était pas prêt à s'engager dans une relation amoureuse, que ce soit avec moi ou bien une autre. A deux-trois ans plus tard elle ne le voyait toujours pas. C'est à ce moment-là je crois que j'ai compris qu'il fallait que je le lâche complètement. La semaine dernière j'ai été en arrêt trois jours, incapable de me sortir du lit, j'ai pu avancer mon rdv chez ma neuropsy, parce qu'entre cette mauvaise nouvelle et mon ex qui semblait avoir trouvé quelqu'un (il s'est avéré que c'était une arnaque finalement et il s'est fait avoir, mais il n'était pas amoureux encore), j'ai pété un plomb dans ma tête. Ca été trop, j'ai cru mourir quand je me suis imaginée une nana entrer dans les murs de mon ancienne maison, vivre à ma place, dans mes meubles que j'avais choisi, dans cette luxure, ces biens acquis avec Mess heureux alors que moi je suis au fond du trou. J'ai mangé samedi soir chez mon ex et je me suis effondrée, lui ai tout avoué. Il a été très compréhensif, a avoué s'être fait avoir, mais il restait positif et gai. Il m'a prise dans ses bras, embrassée, je crois qu'il m'aime toujours. Moi je me suis sentie mieux à ce moment-là. Il m'a proposé de venir une semaine chez lui dès dimanche, histoire de m'aider à me retaper. J'ai finalement craqué et accepté. Donc depuis dimanche je suis à nouveau avec lui dans mon ancienne maison. Et le malaise physique, et mes angoisses ne se dissipent pas malgré tout. L'impression de ne pas savoir si j'ai pris une bonne ou une mauvaise décision, l'angoisse de ne pas savoir si je l'aime encore ou si c'est un retour par dépit, par peur de l'abandon. Il se plie en 1000 pour moi, et hier soir nous avons refait l'amour mais je n'ai rien pu ressentir. Je ne sais pas ce que je fais, je ne sais plus, je continue d'être perdue, de ne pas avoir les idées claire, je pense vraiment être en dépression. Je ne retrouve pas le goût de vivre, l'envie et le plaisir de faire des choses. Même que je suis avec lui, que j'ai une présence depuis le début de la semaine, je reste angoissée, apeurée de mon avenir. Un mal s'est installé en moi et ne me quitte plus. Est-ce le deuil de Mickaël que je dois faire et qui ne passe pas, est-ce la sensation de faire marche arrière avec mon ex et l'impression de vivre cette séparation comme un échec ? Je me pose 1000 questions, j'ai peur de rentrer chez moi dimanche et de ne pas réussir à revivre seule dans mon appartement. Les fêtes de fin d'année me pèsent énormément. Je crois bien que je suis tombée en dépression quand même. Je ne me réjouis de rien, rien ne parvient à m'atteindre et me redonner l'envie de vivre et de prendre du plaisir. Même voir mon amie me coûte, je dois faire un effort pour tout. Le matin je n'ai plus envie de sortir du lit et de vivre la journée. J'ai rdv chez la thérapeute ce soir, j'espère qu'elle va me soulager un peu les maux de mon âme et de mon corps. Je redoute que mon ex m'abandonne maintenant. Je ne veux pas jouer avec lui, mais je suis trop perdue dans ma tête.
Je ne sais plus quoi faire en fait, je ne vois pour le moment aucune issue à cette souffrance. Je voudrais m'enfermer et ne plus sortir, ne plus voir personne, me couper de mes émotions et ne plus rien ressentir. Cet homme est entré dans ma vie et je l'ai détruite à cause de lui, je n'ai pas encore trouvé de sens à tout ça. J'ai perdu le sens de ma vie. Je n'ai plus de projets, plus de rêves, je n'aspire à plus rien. Je vis comme un robot, absente de ma propre vie.
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alice-wonderland-world · 4 months ago
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Ça fait deux semaines que dès qu'il y a un rayon de soleil je vais marcher en bord de mer. Ça fait du bien à mon moral, à mon corps. Et j'ai une chance immense d'habitude à 15 minutes en voiture de la plage.
Il y a deux semaines il faisait tellement chaud, pas un pet de vent que tout le monde était dans l'eau 🥵 pas normal pour un mois d'octobre. Mais bon. J'étais le long de la plage naturiste, j'avais pas pris mon maillot. J'ai l'habitude de faire ça il m'est jamais rien arrivé. Du coup pour pas tremper mes vêtements j'y vais en culotte.
L'eau est incroyable j'y rentre facilement, c'est trop bien. Je regarde vers là où j'ai laissé mes affaires et là un type dit à son pote d'aller plus loin et le mec à poil bien sûr se poste à 2 mètres à tout casser de mon sac. Et M... Dans ma tête c'est les pensées qui se succèdent : est-ce que je vais me retrouver en culotte sans affaires sur la plage ? Il va me voler mon sac ? Ou c'est un pervert ? J'essaie de me détendre dans l'eau même pas une minute plus tard, un papi à poil débarque et se poste à 2 mètres et quelques de mon sac à droite.
C'est une blague ? Une coalition ? Le vieux (plus vieux que mon père) commence à se diriger vers moi dans l'eau ! Non non je ne veux pas parler, je veux je juste rester tranquille dans l'eau... Bon je commence à sortir car aucune envie de rester à moitié à poil à côté d'un mec à poil plus vieux que mon padre.
�� mi-chemin on se rencontre, on discute du beau temps. Il ne voit pas mes yeux moi je porte des lunettes de soleil. Son regard est assez fixe sur mon visage c'est pas si malaisant, ça va, je me fais peut-être des films tout va bien je retourne à ma serviette.
J'ignore complètement le mec plus jeune que moi à poil à 2 mètres de ma serviette. Une reine de l'ignorance. Je suis là pour me détendre je ne lui doit rien.
1 min de silence ah la la, c'est dommage tu pouvais pas te taire non ?
-Bonjour, je suis pas un mauvais bougre, je suis là quelques jours.
-Non, non vu la journée que j'ai passé j'ai pas avis de parler.
-Je suis là pour faire des rencontres.
-Et moi je suis là pour être tranquille, je ne suis pas intéressée. Je suis mariée (c'est faux la flemme la flemme de devoir sortir cette excuse la flemme de devoir te parler tu connais pas le mot pacs ou c'est pas assez sérieux alors que c'est sérieux) tu peux me laisser tranquille? Vu la journée que j'ai passé j'ai pas envie de parler. Je commence à me lever car il se rapproche, hors de question de me faire petite. Oh j'y crois pas je vais devoir me mettre en garde ?
-Tu es mariée vraiment ? Essaie de voir ma main gauche où j'ai enlevé mon alliance pour ne pas l'abîmer dans la mer.
-Oui depuis 7 ans, laisse moi tranquille.
-Ca serait juste pour un jour ou deux (de sexe sous entendus) ( mes pensées : je vais te vomir dessus et puis te cracher dessus et t'envoyer du sable dans la tronche ton S. me dégoûte, j'ai très clairement envie de rajouter je n'ai pas besoin de toi pour me faire plaisir mais la flemme de parler).
-Je ne suis pas intéressé (je l'ignore complètement, il commence à partir, me rallonge sur ma serviette, il continue à mater, mes tatouages notamment j'aime pas du tout le regard qu'il pose sur moi je souffle bruyamment).
-Magnifique corps au passage.
-Merci.( Comment ça merci ? Je viens réellement de le remercier ahhhh mais quelle réponse de M!)
J'essaie de me détendre sur ma serviette au soleil de calmer mes pensées. Je sens un regard sur moi, évidemment c'est le vieux qui cherche un eye contact.
J'abandonne je me rhabille et marche le long de la plage pieds nus. À un moment le vieux me repasse devant. Je le laisse passer, je sens qu'il va me faire le coup de m'attendre au parking...
Je déteste ma réaction, mais j'attends qu'il se place quelque part sur la plage entouré d'autres personnes puis je prends mon tél et téléphone à mon chéri lui raconte tout et continue à marcher jusqu'à la voiture pour m'enfermer à clé. Avant de démarrer et de rentrer à l'appartement.
Je suis fatiguée, on va être très clair j'ai changé d'itinéraire pour me balader en bord de plage. Je vais plus à la plage naturiste mais à côté de la cathédrale et même juste à côté de l'église la maison de dieu. Un mec handicapé m'a dit qu'il galérait à remonter son pantalon quand il faisait pipi et m'a demandé de l'aide.
L'échange n'était pas si toxique que ça en plus il avait l'air de craindre les hommes et tout et tout je ne saurai jamais si c'est un fou pervers ou un homme handicapé qui n'a pas de chance. Et je lui ai simplement répondu que je ne me sentais pas à l'aise et l'ai laissé là.
Je suis fatiguée de devoir changer de plage, de changer de trottoir, de laisser ma place. Je sais me défendre, ce n'est pas moi la proie. Les gars, pervers, chien arrêtez juste de vous tromper sur moi comme ça. Je refuse de changer de plage, de changer de tenue, de changer mes habitudes, de me faire petite.
Je ne suis pas responsable de ce que vous pensez de moi, je ne suis pas responsable de vos regards. J'ai 30 ans, j'ai l'air d'une ado avec des tatoo. Je suis moi et il est hors de question que je cède ma place. C'est à vous de changer.
Mais ma puce pourquoi tu te balades seule ? Pourquoi tu ne demandes pas à ton chéri de venir avec toi ? Mais parce que j'ai le droit de marcher seule ! Ce n'est pas moi le Problème.
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lifextime · 6 months ago
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"La nouvelle version 'Tsuyokute New Game' également ! De nouveaux éléments continuent d'être révélés dans l'interview de 'Shin Sangokumusou ORIGINS' [TGS2024]."
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"Prévu pour sortir le 17 janvier 2025, 'Shin Sangokumusou ORIGINS' sera publié par Koei Tecmo Games. Comment le dernier opus de la série 'Musou', qui évoque le terme 'origine', va-t-il nous offrir une expérience unique ? Nous vous proposons une interview de Shō Chihiko, le producteur, réalisée lors du Tokyo Game Show 2024."
◆ La réalisation de « l'appel de guerre de nos alliés » était un souhait de longue date !
―― La date de sortie a été annoncée pour le 17 janvier 2025, et j'ai été agréablement surpris que ce soit plus tôt que prévu. Pouvez-vous nous parler de l'état actuel du développement ?
Shō Chihiko : Le développement est entré dans sa phase de réglages finaux, et toute l'équipe travaille ensemble sur le projet. Aujourd'hui, j'ai permis à la moitié des jeunes employés de prendre un congé pour venir ici. Je pense que voir tant de personnes essayer le jeu va les motiver encore plus.
―― Les sessions de jeu à TGS sont très populaires, avec des files d'attente même pendant les journées professionnelles.
Shō : Je ne sais pas si je devrais le dire, mais je considère cela comme quelque chose de très appréciable.
―― Continuons avec les impressions sur la version d'essai de TGS. Lorsque l'on attaque avec ses alliés, le cri de guerre résonne, et c'est vraiment impressionnant ; cela m'a vraiment enthousiasmé pendant le jeu.
Shō : Le cri de guerre a toujours été un élément que je souhaitais intégrer, donc c'est un rêve de longue date qui se réalise enfin !
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―― Je pense qu'il y aura des réglages de difficulté dans la version finale, mais quel était le niveau de difficulté dans la version d'essai ?
Shō : C'était réglé sur une difficulté standard. De plus, c'était beaucoup plus facile que dans la version finale. La bataille de « Housui Pass » est un niveau que l'on peut jouer pendant environ 10 heures dans la version finale, mais pour la version d'essai, il devait être suffisamment accessible pour que les joueurs puissent s'amuser en 15 minutes, même s'ils ne le connaissent pas.
―― J'ai eu l'impression que c'était une difficulté où l'on pouvait mourir assez facilement en avançant de manière imprudente…!?
Shō : Cette fois, nous avons ajusté le jeu pour « tuer les joueurs » !
―― Cela dit, dans la version d'essai, même si l'on se faisait battre, on pouvait reprendre immédiatement depuis le dernier point, ce qui facilitait le changement d'approche et l'expérimentation. Par exemple, on pouvait décider de laisser les ennemis forts pour plus tard.
Shō : Ce système sera le même dans la version finale, donc j'espère que les joueurs pourront en profiter sans hésitation.
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◆ Des milliers de soldats pensant et agissant grâce à l'IA, créant une atmosphère immersive sur le champ de bataille !
―― Comme vous l'avez mentionné dans les émissions officielles du TGS, ce jeu impressionne par l'énorme quantité de troupes, tant du côté des ennemis que des alliés.
Shō : C'est quelque chose que nous avions envisagé dès la phase de conception. J'ai dit au directeur : « Je veux déployer un nombre de soldats que nous n'avons jamais vu dans les précédents jeux de la série. J'aimerais que nous puissions en afficher autant que possible sur PS5. »
En réponse à cela, le directeur a demandé sur le terrain de faire apparaître « 1 000 soldats à la fois », et un programmeur lui a répondu : « Dans ce cas, dites plutôt 'faites-en 10 000' ! »
―― C'est impressionnant… De plus, lorsque le joueur brille dans le jeu, il reçoit des éloges du style : « Toi, le héros que même 10 000 hommes ne pourraient vaincre ! »
Shō : Malheureusement, nous n'avons pas réussi à afficher simultanément 10 000 soldats, mais nous avons dépassé les milliers. L'équipe a vraiment fourni un effort incroyable. Cependant, ce qui était crucial pour la production se passait à partir de là.
―― Que voulez-vous dire par là ?
Shō : Simplement afficher des milliers de soldats ne donnait pas du tout cette impression immersive. Nous avons dû réfléchir longuement sur la façon de créer cette sensation d'« immersion dans la bataille ». En fin de compte, en développant une IA détaillée qui permet aux groupes de se mouvoir de manière autonome selon la situation, je pense que nous avons réussi à créer quelque chose de véritablement impressionnant.
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◆ Les « généraux accompagnateurs » sont tous extrêmement puissants !
―― Lors des batailles, vous pouvez choisir un général accompagnateur à emmener avec vous. Comme vous l'avez mentionné dans les émissions officielles du TGS, est-ce que des généraux célèbres comme Guan Yu ou Xiahou Dun sont ajustés pour être plus forts que le protagoniste dans ce jeu ?
Shō : Oui. Bien que vous ne puissiez les remplacer qu'à des moments limités, ils sont ajustés pour démontrer une force qui est littéralement « un contre mille ». Dans ce jeu, l'histoire se déroule du point de vue d'un protagoniste original, mais j'ai voulu conserver le plaisir de jouer avec des généraux familiers, c'est pourquoi nous avons fait cela. Ils sont extrêmement puissants, alors attendez-vous à cela ! Si nous permettions de contrôler ces généraux à tout moment, leur force serait telle qu'elle ruinerait l'équilibre du jeu.
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―― Dans ce jeu, en plus des généraux accompagnateurs, les « gardes » qui servent sous le protagoniste font également leur retour après un certain temps.
Shō : Nous les avons réintroduits comme un élément qui relie l'« action » et la « stratégie » caractéristiques de la série 'Musou', ainsi que comme un aspect de progression et de contenu à explorer. J'ai dit à l'équipe sur le terrain : « Puisque nous allons augmenter le nombre de soldats, nous pouvons aussi faire apparaître des gardes, n'est-ce pas ? » (rire).
―― (rire). J'ai entendu dire que dans la version d'essai, il y avait 21 gardes qui accompagnaient le joueur. Est-ce la limite du nombre de gardes que l'on peut emmener ?
Shō : Non, non, nous pouvons en avoir beaucoup plus. Bien qu'ils ne soient pas très en vue, je pense que lorsque le nombre maximum sera atteint, les joueurs seront surpris en disant : « Est-ce que je peux vraiment commander autant de gens ? » De plus, même dans des situations où ils devraient normalement avancer avec les alliés, vous pourrez vous battre uniquement avec vos gardes.
Inversement, vous pouvez aussi choisir de ne pas emmener de gardes du tout et partir en solo, donc cela dépend vraiment de vos préférences.
―― Avoir plus d'options est une excellente idée !
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◆ Le protagoniste est un personnage entièrement fictif
―― J'aimerais vous poser des questions sur le protagoniste. Ses souvenirs sont également liés à l'histoire, n'est-ce pas ? Étant donné qu'il est très séduisant, j'ai pensé jusqu'à la révélation d'informations au Tokyo Game Show : « Peut-être qu'il s'agit d'un Zhao Yun amnésique ? » (rire).
Shō : Je suis vraiment heureux que vous puissiez imaginer autant de choses, mais je dois préciser que le protagoniste n'est pas quelqu'un qui apparaît dans le « Roman des Trois Royaumes ». Cependant, bien qu'il soit fictif, il n'est pas une création aléatoire. Nous cherchons à développer un personnage qui pourrait raisonnablement exister dans le contexte historique de l'époque, en nous demandant : « Quel genre de personne aurait pu être là ? »
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―― Il semble que le joueur puisse définir le nom, mais y a-t-il un nom par défaut ?
Shō : Il n'y a pas de nom par défaut particulier. Si l'on devait dire quelque chose, ce serait « anonyme » ? Mais est-ce vraiment un nom… ? J'encourage vivement les joueurs à utiliser le nom qu'ils souhaitent. De plus, comme le protagoniste possède une capacité spéciale appelée « Œil de l'oiseau spirituel » (qui lui permet de survoler le champ de bataille comme un oiseau), il est également appelé « Shiran » dans le jeu. (Note de l'éditeur : « Luan » est le nom d'un oiseau légendaire dans la mythologie chinoise.)
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―― Le protagoniste et certains généraux semblent changer d'apparence en fonction de l'évolution de l'histoire. Y a-t-il un élément de "personnalisation" permettant de définir librement les tenues du protagoniste ?
Shō : En résumé, oui. Les costumes peuvent changer au cours de l'histoire, et après cela, vous aurez la possibilité de choisir entre le costume original et le nouveau costume. De plus, il y aura également des bonus spécifiques aux magasins et des bonus de précommande.
―― Donc, il n'y a pas d'élément où l'apparence change en raison du vieillissement au fil de l'histoire, n'est-ce pas ?
Shō : Si j'ai pu créer une confusion à ce sujet, je m'excuse, mais je ne pense pas que nous ayons dit que cela changerait à cause du vieillissement. Passé 20 ou 30 ans, la plupart des gens ne changent pas tellement en apparence même après 5 ou 10 ans, n'est-ce pas ?
Pour ce jeu, je vous encourage à penser que ce sont plutôt des "changements d'état" qui influencent l'apparence des personnages.
◆ Chaque type d'arme a ses propres caractéristiques et atouts !
―― En regardant la scène de la « carte continentale » représentant la Chine, j'ai remarqué qu'il y avait des nuages au-dessus de Shu. Cela signifie-t-il que ce jeu ne se rendra pas du tout dans le royaume de Shu parmi Wei, Wu et Shu ? J'ai entendu dire que le jeu couvre la bataille de la falaise rouge, mais Liu Bei ne prend le contrôle de Shu qu'après cette bataille, n'est-ce pas ?
Shō : Oui, c'est exact… Il semble que nous n'irons à Shu que si nous pouvons produire une suite à ce jeu.
―― Avez-vous déjà des idées pour une suite ?
Shō : Non, pour le moment, nous n'avons absolument aucun plan (Note de l'éditeur : l'idée ici est que nous ne réfléchissons pas encore à comment créer une suite, pas que nous n'avons pas du tout envisagé de suite). Actuellement, notre préoccupation est de "comment relancer la série Sangokumusou" et de "livrer le meilleur Sangokumusou que nous puissions créer". Réfléchir à une suite ne viendra qu'après la sortie de ce jeu et si le public l'accepte.
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―― Il semble que le protagoniste puisse utiliser diverses armes. Combien de types d'armes y aura-t-il dans le jeu ?
Shō : Pour le moment, nous avons révélé environ 5 à 6 types, mais la version finale proposera un plus grand nombre de variétés, chacune avec ses propres caractéristiques et atouts.
Parmi les armes présentes dans la version d'essai, l'« épée du général » est une épée à une main qui est classique et facile à utiliser, ce qui en fait un choix attrayant. Le « Naginata », une arme à longue lame, a la particularité de permettre des attaques enchaînées simplement en appuyant sur le bouton d'attaque, créant ainsi un combo continu. Plus vous enchaînez de coups, plus la puissance de l'attaque augmente.
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―― Cela semble très efficace contre des groupes d'ennemis.
Shō : En effet. Quant au « broadsword » que portait Xiahou Dun, contrairement aux armes mentionnées précédemment, il ne permet pas de passer directement d'une attaque normale à une attaque chargée. En revanche, en enchaînant les attaques chargées, vous pouvez passer à une attaque puissante infligeant de gros dégâts, ce qui le rend particulièrement adapté aux attaques chargées. J'espère que les joueurs pourront essayer différentes armes.
―― Dans l'émission officielle du TGS, vous avez également utilisé des armes de combat.
Shō : Oui, il s'agit d'une arme appelée « gantelet de fer » (tekko). Elle a une cadence d'attaque rapide et offre une belle sensation de puissance avec des enchaînements d'attaques.
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―― Il y avait aussi des coups portés avec le dos (y compris les épaules), ce qui donnait un aspect très cool, digne d'un film de kung-fu.
Shō : Oui, nous avons effectivement intégré des attaques comme le « Tiezhan Kua » (coup de l'épaule) de manière intentionnelle (rire). C'est ce genre de mouvements qui rendent les combats vraiment « spectaculaires ».
―― Parlez-nous des « arts martiaux ». Les techniques que vous pouvez utiliser dépendent-elles du type d'arme que vous avez équipée ?
Shō : En principe, oui, mais il existe également des techniques universelles qui peuvent être utilisées avec n'importe quel type d'arme. Dans l'émission officielle du TGS, nous avons montré une technique où le personnage prend immédiatement un arc et tire des flèches ; cela fait partie des techniques qui ne sont pas liées à un type d'arme spécifique.
◆ Routes de branchement – Les fins multiples peuvent être facilement appréciées avec des parties en boucle !
―― J'ai entendu dire que le jeu comportait des routes de branchement et plusieurs fins. Est-il prévu que le joueur fasse des parties en boucle après avoir atteint une fin ?
Shō : Oui. Nous espérons vraiment que les joueurs prendront plaisir à refaire le jeu. Bien sûr, vous pourrez conserver vos statistiques améliorées et les armes que vous avez acquises, et vous aurez la possibilité de reprendre à partir des points où l'histoire se divise, donc pas d'inquiétude. Nous l'avons conçu pour être accessible et agréable à jouer !
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―― Je suis soulagé ! Enfin, pouvez-vous laisser un message aux joueurs qui attendent la sortie du jeu ?
Shō : Bien que le nombre de généraux jouables soit réduit par rapport aux précédents opus, je pense que cela est compensé par une expérience riche et immersive, et nous avons créé un excellent jeu qui ouvrira la voie à l'avenir de la série « Musou ». J'espère vraiment que vous aurez l'occasion de l'essayer.
De plus, grâce à la densité de l'histoire, même ceux qui ne connaissent pas « Les Trois Royaumes » devraient pouvoir en profiter. Dans ce jeu, nous avons ajouté des rubis pour les kanjis difficiles typiques de « Les Trois Royaumes », donc j'espère que cela éveillera un peu votre curiosité.
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source : inside-games
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floracrispin · 7 months ago
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"Le gros triste" - "Le gros heureux"
Avez-vous déjà eu ce genre de collègues au travail qui sont aussi agaçants que deux épines plantées dans le pied ? Complètement insupportables. C’est ce qui m’arrive en ce moment : l’un est un « gros » heureux mais venimeux, et l’autre est un « gros » triste, et oui... surtout venimeux, qui ne cesse de parler, un individu complètement insupportable. Parfois, les journées sont meilleures quand je ne vois pas, surtout, le « gros » triste.
Je tiens à préciser que cet article n’est pas une attaque contre les personnes en surpoids, car j’ai aussi rencontré un ancien collègue qui, oh surprise ! était un ancien « gros » devenu un homme athlétique, mais dont l’esprit restait piégé dans son ancienne corpulence. On m’a souvent parlé du body positivisme, et je pense que se laisser aller au point de mettre en danger son corps peut être un symptôme révélateur d’un mal-être profond. Ces kilos qu’un ours polaire ou des membres de tribus du Groenland pourraient souhaiter pour résister aux froids extrêmes sont en réalité un signal d’alarme indiquant qu’il y a une blessure profonde à guérir à l’intérieur de soi.
Il y a un venin qui nous empêche d’en sortir, quelque chose qui, bien souvent, n’est pas de notre fait, mais dont nous devons nous charger pour ne pas empoisonner la vie et déprimer les gens qui nous entourent, ou dire des mots gentils que l’on termine par des phrases passives-agressives. Ce que je veux dire, c’est que la lutte pour l’acceptation n’est pas le problème, le problème réside dans la manière dont on se perçoit soi-même et dans ce que l’on fait pour prendre soin de soi.
Dans mon cas, cette description me sert simplement à définir les deux personnages de cet article, deux personnes bien réelles avec qui je dois travailler huit heures par jour : l’un est joyeux bien qu’il laisse parfois entrevoir ses insécurités, et l’autre se promène tous les jours avec un nuage gris au-dessus de la tête. Arrive un moment où l’empathie des autres s’épuise, et c’est là qu’il faut se demander : dois-je faire quelque chose pour moi ?
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"Suite de l'histoire demain sur la même chaîne."
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