#je veux FAIRE quelque chose finalement
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AUDREY FLEUROT, la duplicité.
Crédit : Swan
Et si on se donnait un petit challenge ? J'ai tenté un truc sur ce set, et ça se voit sûrement. En général, il me faut quelque chose comme 4/5 h, 3 si je fonctionne bien ou si j'ai déjà bien en tête ce que je veux faire. Ici, je me suis laissée moins d'une heure pour faire le set, ce qui est loin d'être facile. (j'ai sué sur le dernier en regardant les minutes défiler.) Au final, j'ai réussi 10 minutes avant la fin.
Et si vous tentiez ? Si c'est le cas n'héstiez pas à me tag ! (Franchement me demandez pas pourquoi je me suis lancée là-dedans, une envie subite.)
#Audrey Fleurot#Audrey Fleurot avatars#Audrey Fleurot 400x640#rpg#faceclaim rpg#underrated faceclaim#underrated#faceclaim#avatar#400x640#challenge#graphisme#graphiste
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⚜ Le Cabinet Noir | Episode III, N°1 | Tuileries palace, 14 Thermidor An 230
Emperor Napoleon V and his wife Charlotte are worried about the presence of Louis Simparte on French soil. He is a notorious anti-imperialist, a sort of black sheep of the family. It seems he has decided to move back to Francesim. He has published a book "Freedom" in which he recounts his family's mistreatment of him, culminating in his liberating divorce from the mother of his children and the imperial family. The emperor has decided not to censor the book, nor to prosecute the author immediately, which is causing controversy among the Simparte people.
Finally, Napoleon V couldn't resist revealing to his wife that he and his uncle had a plan for dealing with the "Louis Simparte" case, without going into details.
Beginning ▬ Next
⚜ Traduction française
L'empereur Napoléon V et son épouse Charlotte sont inquiets de la présence sur le territoire français de Louis Simparte. C'est un anti-impérialiste notoire, une sorte de mouton noir de la famille. Il semblerait que ce dernier ait décidé de venir habiter à nouveau en Francesim. Il a publié un livre "Liberté" où il raconte les mauvais traitements familiaux qu'il a traversé jusqu'à son divorce libérateur avec la mère de ses enfants. L'empereur a décidé de ne pas censurer le livre, ni de poursuivre l'auteur en justice immédiatement, ce qui fait polémique au sein des Simparte.
Finalement, Napoléon V ne peut s'empêcher de révéler à son épouse que lui et son oncle ont un plan pour gérer le cas "Louis Simparte", sans rentrer dans les détails.
(Napoléon) Je l'ai feuilleté, un peu
(Charlotte) Tu te fais du mal (Napoléon) Je sais, mais comment faire autrement ?
(Charlotte) Tu ne m'as rien dit à propos de ton grand-père (Napoléon) Je ne l'ai jamais rencontré. Oncle Henri dit qu'il a trahi notre famille pour "vivre libre"
(Charlotte) Ton oncle doit être furieux (Napoléon) Il ne laisse rien paraître mais c'est évident
(Napoléon) Quel genre de père écrit "Liberté" à la mort de son fils ? (Charlotte) Pourquoi ne veux-tu pas le poursuivre en justice ?
(Napoléon) Je ne veux pas satisfaire les paparazzis
(Charlotte) Louis, tu dois faire quelque chose, il ne peut pas parader autour de nous pendant ton couronnement
(Napoléon) Ne t'en fais pas, oncle Henri et moi on a un plan
#episode iii#le cabinet noir#sims 4#ts4#sims 4 fr#ts4 fr#simparte#ts4 royal#royal simblr#sims 4 royal#sim : louis#ts4 royalty#ts4 simblr#ts4 royal family#ts4 royal simblr#ts4 story#the sims 4#royal sims#sim : charlotte#sim : henri#sims 4 royal family#sims 4 royalty#tuileries#napoleon
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Quand j'ai vu l'acte de déportation, ma première réaction était "Non ! Il va déporter Iruma ?! Faut faire quelque chose !". Mais mon ami pense que cet acte de déportation n'est pas pour Iruma mais pour Henri. L'une des théories populaires c'est que la femme d'Henri soit humaine et personnellement je crois en cette théorie. Et si ça se venait à savoir, ça risquerait de compromettre sa place dans les 13 couronnes. D'ailleurs il a aussi ajout�� dans la démonologie, plus précisément dans le livre d'Enoch, Azazel était devenu un ange déchu car il avait des relations avec des humains. Donc si la théorie est vraie et que tu vois qu'Amelie est tombée amoureuse d'Iruma, tu te dis que putain c'est génétique ! XD
Mais plus sérieusement, ça nous permettrait d'enfin avoir un flashback sur Henri et sa femme et je le veux désespérément !
When I saw the deportation act, my first reaction was “No! He's going to deport Iruma?! We've got to do something!" But my friend thinks that this deportation act is not for Iruma but for Henri. One of the popular theories is that Henri's wife is human, and I personally believe in this theory. And if this were to become known, it could threaten his place in the 13 crowns. Moreover, he also added that in demonology, more specifically in the Book of Enoch, Azazel had become a fallen angel because he had relations with humans. So if the theory is true and you see that Amelie has fallen in love with Iruma, you'd think it's fucking genetic! XD
But more seriously, it would finally give us a flashback to Henri and his wife, and I desperately want that!
#mairimashita! iruma kun#mairimashita manga#m!ik#m!ik spoilers#m!ik theory#azazel henri#naberius narnia
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On s'est vus et il m'a sorti que son premier amour lui revenait toujours en tête. C'était il y a 1 an et il n'arrive pas à passer à autre chose depuis. Parce que ça s'est terminé très brutalement. Je l'ai détesté immédiatement. Détesté d'avoir commencé quelque chose en ayant conscience de ça. Et lui qui a osé me dire qu'il avait peur de s'attacher alors que j'étais peut-être pas passée à autre chose avec mon plan cul.
Vous savez comme je fuis dès qu'une difficulté se présente. J'ai eu un sentiment de détachement immédiat et la sensation de vouloir tout arrêter tout de suite. Il me l'a dit parce qu'il sentait que je m'attachais et selon lui j'avais l'air de m'attacher plus vite que lui. Alors que c'est lui qui m'a déjà présenté sa famille et d'autres choses bien trop rapides à mon goût. Mais comme je le sentais s'attacher vite, j'ai laissé tomber mes barrières et je me suis laissée aller.
Actuellement, je sais que pour me protéger je serais capable de ne plus lui parler du jour au lendemain. Parce que j'en peux plus d'être blessée. J'ai été honnête et je le lui ai dit. Il n'était vraiment pas bien.
Je ne sais pas s'il a bien fait de me le dire. Je crois que cette vérité fait partie des vérités qu'il n'est pas nécessaire de dire. Évidemment que le premier amour est impossible à oublier mais tu ne commences pas une histoire si tu ressens encore tout à vif. Il a encore pensé à elle actuellement, c'est pour ça qu'il a eu besoin de me le dire. Je suis trop déçue et là vraiment je n'ai plus envie de garder contact.
"Tu retournerais vers elle si elle revenait vers toi?"
"... Je sais pas"
En plus il n'a vu son premier amour que 2-3 fois, ils se sont surtout rapprochés par messages. Mais ça a été très vite, ça a été ses premiers sentiments, ses premiers contacts physiques. Puis c'est un gars super sensible, qui ressent tout très fort et qui s'attache vite. Ça s'est fini parce qu'elle est partie pour revenir vers son ex, qui en plus de ça était un connard. Il est tombé de 10 étages. Ensuite, il est sorti avec une autre fille, qui a réussi à lui faire oublier la première. Mais après leur rupture, il a repensé à la première. Il arrive à être objectif et à se dire qu'il l'a beaucoup idéalisé et mise sur un piédestal. Il en a conscience mais il ressent quand-même encore toute cette frustration de ne pas avoir pu vivre une vraie histoire. Parce qu'au final ça n'aura duré que 3-4 mois.
J'ai beau réfléchir, j'arrive pas à m'imaginer commencer quelque chose avec quelqu'un qui a toujours une autre fille en tête. C'est inconcevable. Je lui ai dit qu'il devait prendre le temps de l'oublier. Il n'y a que le temps qui fera les choses. Mais ça n'a pas été ma décision finale, il m'a dit qu'il me laisserait le temps de digérer les infos et de réfléchir à ce que je veux faire. "En tout cas saches que si tu décides d'arrêter, ça aura été une belle histoire et je ne t'oublierai jamais".
Tout était trop beau pour être vrai.
(20/06/2024)
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Après ce garçon, je ne pourrai plus. J'ai trop tiré sur la corde niveau relationnel et émotionnel. Cette relation m'a fatiguée. Toutes les relations m'ont toujours puisé une énergie que je n'avais finalement pas. Je n'ai pas rencontré un homme qui m'a fait me sentir bien, je veux dire, plus d'un mois. Ça a toujours été ponctué de chagrin, de déception et d'unilatéralité surtout. J'ai peur et mal d'avance de devoir prendre la décision de me séparer mais ce n'est plus possible. Je sais que ce sera libérateur en un sens, enfin, c'est tout ce que j'espère. La vraie gentillesse c'est de ne pas attendre de retour à nos actes, cependant, je ne pense pas que ce soit une manière viable de vivre. Je ne pourrai pas toujours donner tout ce que j'ai pour rendre heureux quelqu'un qui ne se soucie pas de mon bonheur. Je ne pourrai pas toujours accepter les relations où je suis un objet. Je ne pourrai pas toujours espérer que quelqu'un fasse le minimum. Je ne pourrai pas toujours être en bonne santé avec des gens qui me la dégradent juste en existant. J'ai du mal à trouver des relations saines et peut-être à être saine tout court. J'ai longtemps été frustrée du fait que pour moi, c'était facile d'aimer. Facile de donner. Facile d'être attentionnée. Et je crois toujours que ce n'est pas quelque chose de compliqué ou pénible. Il y a des années, un garçon que je fréquentais m'avait dit qu'avec moi on voulait pas aimer, s'engager, mais juste baiser. Ça m'avait blessée tellement profondément et pourtant, je ne peux même pas lui donner tort des années après. Je n'ai rencontré personne qui souhaitait m'aimer de manière bienveillante et construire quelque chose avec moi. Mes parents me disent qu'on est jeunes, qu'on a le temps. Je ne doute pas d'avoir du temps, je doute seulement que le temps règle ce souci de malveillance et égoïsme relationnel. Si tu n'es pas le premier amour de quelqu'un alors tu n'es et ne seras jamais personne, c'est ça que je remarque. J'ai mis du temps à me remettre de ma première rupture, des années à faire un deuil que je pensais infaisable. Ça a été quelqu'un d'important pour moi, mais je l'ai laissé où est sa place: le passé. C'est ça un vrai deuil, c'est accepter. Je n'ai pas rencontré beaucoup de gens qui acceptaient les choses, que ce soit une rupture ou autre. Ça doit être douloureux d'attendre quelqu'un qui ne reviendra pas, pour l'avoir vécu quelque temps, je pense que c'est terrible. Je ne souhaite plus être la personne qui rend l'attente plus agréable et le déni plus fort. Il va me falloir beaucoup d'isolement pour panser toutes ces plaies d'ego et de valorisation qui ont creusé jusqu'à l'os. Je ne peux plus offrir ma guérison à des gens qui n'entreprendront jamais la leur.
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Eté 1925 - Champs-les-Sims
5/6
Même Papa, bien que je reste fâchée de son attitude, a pris sa décision et décide de suivre ses envies. A son âge, cela me parait un peu tardif, mais peut-être suis-je juste jalouse de Petite Eugénie ou de mon frère/ma soeur qui va naître dans un pays où je n'ai jamais eu la chance de mettre les pieds. A ce propos, avez-vous déjà envié les voyages de votre père ? Maman m'a dit qu'il n'emmenait jamais ta mère, c'est étrange.
Un jour j'irai, ne serait-ce que pour rendre visite à ma famille. En attendant, j'aurai une immense maison pour moi seule, Grand-Mère et Mademoiselle Laroche, avec la certitude rassurante qu'Antoine me rejoindra dès ses études terminées et les bras pleins de prospectus électoraux. Je serai tellement fière quand mon frère sera maire, puis député.
Transcription :
Adelphe « C’est de cela que je voulais te parler, et ça n’a pas été facile. Le pire, c’est que le sentiment est tenace. La tristesse, la frustration… Et je m’en veux de les ressentir. »
Constantin « Toi aussi tu vas me manquer tu sais. Oui, je suis heureux de partir, mais je suis aussi triste de te laisser ici. S’il n’en tenait qu’à moi, tu serais du voyage. »
Adelphe « Ah ah ! Moi ? Tu sais pourtant que je n’ai fait l’effort de supporter cette chaleur que pour te faire plaisir. Et deux fois qui plus est ! »
Constantin « Je le sais bien. Nous avons des centres d’intérêts et des styles de vie presque irréconciliables. »
Adelphe « C’est certain. C’est un miracle que nous ayons pu vivre sous le même toit aussi longtemps. J’aurai du me douter que tu finirais pas partir, même à un âge plus tardif. »
Constantin « De toute façon, même loin l’un de l’autre, cela ne changera pas grand-chose. »
Adelphe « Que veux-tu dire ? »
Constantin « Quand Papa m’a annoncé qu’il m’envoyait au pensionnat, je lui ait rétorqué que je ne voulais pas partir loin de toi. Je sais bien que c’était puéril, mais j’avais peur qu’être séparés change quelque chose entre nous. Et ce n’est pas arrivé. Papa a répondu qu’il fallait que j’arrête de m’accrocher à toi comme un enfant, car nous n’étions que cousins et rien de plus. »
Adelphe « Oncle Maximilien n’avait pas la clairvoyance d’Albertine, c’est un fait. »
Constantin « Je nous avais toujours figuré comme des frères, et j’ai réalise ce jour là que tout le monde ne voyait pas les choses ainsi. »
Adelphe « Nous sommes frères en tout sauf en titre. Ce qui importe, c’est ce que toi et moi en pensons. »
Constantin « J’aurai du répondre cela à Papa, mais je n’y avais pas pensé. »
Adelphe « Tu avais treize ans Tintin. Qui se croit réellement plus malin que son père à cet âge ? »
Constantin « Il avait tort sur pas mal de point. J’étais terrifié quand je suis rentré à la maison pour la première fois. Et pas seulement à cause de… de la situation à l’époque. Mais aussi parce que j’avais peur que quelque chose ait changé et que je sois passé dans une frange marginale de ta vie. »
Adelphe « Pour être honnête, moi aussi. Mais j’étais plus doué que toi pour le cacher et me persuader du contraire. »
Constantin « Mais au final, rien n’avait changé. »
Adelphe « Non, rien n’avait changé. »
Constantin « Alors, tu vois bien. Même de l’autre côté d’une mer et dans un pays à la chaleur étouffante, rien ne change pour moi. Je ne sais pas si cela peut t’aider, mais sache que rien ne changera. »
Adelphe « Merci Tintin. Pour une fois, c’est bien moi qui avais besoin de te parler un peu. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Adelphe Barbois#Constantin Le Bris#Maximilien Le Bris#Eugénie Le Bris II#Aurore Laroche#Marc-Antoine Le Bris
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diabolik lovers : haunted dark bridal — ayato ; dark 03 [traduction française]
—— La scène débute dans une grande salle remplie de ce qui semble être des poupées.
Yui : (Wow... C-Cet endroit est plutôt effrayant...)
(Il y a plein de poupées... Elles sont poussiéreuses... Elles ont l’air très vieilles.)
(Qu’est-ce qu’Ayato-kun peut bien avoir à me dire, pour me donner rendez-vous dans un endroit comme celui-ci...?)
(En plus... J’ai l’impression qu’il n’y a vraiment personne.)
A-Ayato-kun ?
… … … …
(Il n’est pas là ? Pourtant, c’est lui qui m’a appellée ici.)
(Qu’est-ce que je devrais faire... Cet endroit me fait un peu peur, je n’ai pas envie d’y rester trop longtemps.)
➛ Je vais repartir Yui : (Peut-être que je devrais juste repartir ?) (Il m’a appellée ici, mais c’est lui qui est en retard, finalement.) —— Yui retourne à la porte et essaie de l’ouvrir. Yui : Hein ? La porte ne s’ouvre plus !? (Oh non... Qu’est-ce que je vais faire... Est-ce que c’est Ayato-kun qui a fait ça pour me faire peur ?)
➛ Je vais jeter un œil ici (♥) Yui : (Je vais quand même jeter un œil ici... Peut-être qu’il m’attend quelque part.) Ayato-kun ! Tu es là ? … … … … Hmm, pas de réponse... —— Un bruit retentit. Yui : (Hein ? J’ai entendu un bruit...) Ayato-kun, c’est toi ?
Yui : (J’entends des bruits de pas se rapprocher... Est-ce que c’est Ayato-kun ?)
Ayato-kun ?
—— Une ombre apparaît.
Yui : (Ce n’est pas lui... C-C’est beaucoup plus grand qu’Ayato-kun...!!)
Kyaaaa !!
(Une poupée s’est mise à bouger !!)
—— Les bruits de pas se rapprochent.
Yui : N-Non... N’approchez pas...
—— Yui tombe par terre.
Yui : Ah...!
(N-Non... Mes jambes ne tiennent plus...!)
Q-Quelqu’un, aidez-moi...! Père !!
Ayato : Pff...
Yui : … Hein ?
Ayato : Hahahaha ! “Père”, qu’elle dit !
T’es une de ces personnes avec un complexe d’Œdipe !?
Yui : A-Ayato-kun...!
Ayato : Ah, c’était trop drôle. Je ne pensais pas que tu appelerais tes parents à l’aide.
Yui : C-C’était... c’était toi qui faisais bouger cette poupée !?
Ayato : Qui d’autre ? T’es bête ou quoi ?
Yui : C-C’est méchant...! J’ai eu terriblement peur !
—— Yui essaie de se relever sans succès.
Yui : (… Je ne peux pas me lever... Mes jambes m’ont lâchée...)
Ayato : Toi... se pourrait-il... que tu n’arrives plus à tenir debout ?
Yui : Uhh...
Ayato : Hahaha ! T’es hilarante ! Ta réaction est encore meilleure que celle que j’avais anticipée !
Ah—, bon sang, j’ai tapé dans le mille... Hahaha.
Yui : H-Hey ! Ne ris pas autant !
Ayato : Hahaha, c’est une bonne chose que tu ne tiennes plus debout.
Yui : Hein...?
Ayato : Je pourrais juste te garder ici et faire de toi l’une de ces poupées.
Yui : Que... Qu’est-ce que tu veux dire ?
Ayato : C’est évident, non ? Elles sont faites de cire.
—— Ayato tend une bougie allumée.
Yui : Q-Qu’est-ce que tu as l’intention de faire !?
Ayato : Ceci, évidemment.
—— Bruit d’une goutte qui tombe.
Yui : Non...! A-Attends...
(De la cire s’est écoulée sur le sol...)
Ah, c’est dangereux ! Si elle m’avait touchée...
Ayato : Tch, je t’ai ratée.
Yui : …!
(Est-ce qu’il... comptait sérieusement verser la cire chaude sur moi !?)
Ayato : Allez, quoi, fais pas ta poule mouillée. Ça fait mal au début, mais ça devient vite addictif.
Yui : A-Arrête...!
Ayato : Hahaha !
Yui : P-Pourquoi est-ce tu fais ça !?
Ayato : Pourquoi, tu dis ? Ah—, c’est vrai...
Ah, ça... C’est, “my move”, comme on dit.
Yui : “My move” ?
Ce ne serait pas plutôt... “My boom¹”, que tu essaies de dire ?
Ayato : Ah, c’est ça ? Bah, peu importe les détails insignifiants.
Yui : T-Ton “truc”, c’est de faire des poupées de cire !?
Ayato : Hah, mais non.
Yui : Alors...
—— Ayato renverse une goutte de cire sur Yui.
Yui : Kya...!
Ayato : Cette voix de fille.
Yui : S’il te plaît, Ayato-kun, arrête...!
Ayato : Hehe, cette expression terrifiée, je ne peux pas m’en passer...
Fais-moi entendre plus. Encore, crie de peur !
Yui : Ngh...!
Ayato : Je donnerais n’importe quoi pour obtenir de toi la réaction que je veux.
Yui : (Mon dos a percuté le mur... Je ne peux pas m’échapper, je suis coincée...)
Ayato : Hehe, tu ne peux pas m’échapper. … Cette fois, je ne te raterai pas.
Yui : … …
Ayato : Je te couvrirai de cire, avant de goûter à ton sang chaud.
Yui : Que...!
(Ayato-kun... Ses yeux sont sérieux...)
Ayato : Hehe, je compte bien m’amuser avec toi toute la nuit. Prépare-toi.
Yui : (À l’aide... Père...!)
¹ Un anglicisme utilisé par les japonais pour désigner quelque chose que l'on pratique, ou un domaine qui nous plaît. En gros, l'équivalent d'un hobby.
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100 Days of Productivity [Day: 81] || 100 Jours de Productivité [Jour: 81]
major highlight of the day: getting new tea & finally getting my hands on another tub of my favourite banana yogurt. :]
I've always enjoyed filling my life up with as many books as possible. ones to read, write in – I love them all. one of the bigger projects I want to undertake later this year is making a couple built-in bookshelves this year to organize them.
today was spent catching up the last of the freelance work I've been behind on. thankfully these were all new projects; I don't think I would have been half as productive if I had been stressing about open orders. it's strange to be back in the position where all of my school work is permanently done. but I won't complain, especially since we're on to much better things now.
currently listening // Limerence by Yves Tumor
le point fort de la journée : un nouveau thé et enfin un autre pot de mon yaourt à la banane préféré :]
J'ai toujours aimé remplir ma vie avec autant de livres que possible. des livres pour lire, pour écrire - je les aime tous. l'un des plus grands projets que je veux entreprendre plus tard cette année est de faire quelques étagères encastrées pour les organiser tous.
j'ai passé la journée d'aujourd'hui à rattraper les derniers travaux de freelance que j'avais pris du retard. heureusement, il ne s'agissait que de nouveaux projets ; je ne pense pas que j'aurais été à moitié aussi productive si j'avais été stressée par des commandes en cours. c'est étrange d'être de retour dans la position où tous mes travaux scolaires sont définitivement terminés. mais je ne vais pas me plaindre, d'autant plus que nous passons à des choses bien meilleures maintenant.
chanson // Limerence par Yves Tumor
#100 days of productivity#day 81#100dop#100 jours de productivité#jour 81#100jdp#studyblr#studyspo#study blog#study motivation#study aesthetic#bookish#gradblr#langblr#language learning#french
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Printemps 1921, Hylewood, Canada (5/6)
Il me semblait bien que j’avais entendu Jules mentionner quelque chose à propos des cent ans d’Eugénie. Je ne sais pas si son anniversaire est déjà passé… Souhaitez-lui un bon anniversaire de ma part, voulez-vous ? Elle n’a pas l’air facile à vivre, mais c’est une très vieille femme… Ce n’est pas à son âge que vous allez la changer. Je m’étonne qu’elle soit encore si mobile à son âge, après tout ce qu’elle a vécu.
Vos filles sont en train de devenir des jeunes femmes ! J’avais la même réaction que vous lorsque j’ai vu ma Louise grandir. Comme il est étonnant que toutes ces filles, qui ont le même âge et qui ont reçu la même éducation, soit chacune si différente. Vous me dites que votre enfance vous a longtemps convaincu que la solidarité entre les femmes était impossible, et cela m’étonne. Pourquoi donc ? J’étais très proche de ma mère quand j’étais jeune fille, et j’ai toujours été entourée d’amies qui m’ont été d’un grand soutien toute ma vie. J’ai ma chère Jeanne Rumédier, je vous ai vous, j’ai Layan qui a quitté notre service, mais nous restons bonnes amies. Je remercie Dieu tous les jours d’être si bien entourée.
Vous avez de la chance d’avoir un mari comme le vôtre. Lui aussi est piqué du virus de l’Egypte, mais lui, au moins, sait quand prioriser sa famille. Au final, c’est mon mari que je plains. Il a toutes ces correspondances, ces maîtresses, mais je ne lui connais pas de véritable ami sincère. Quand je vois sa résignation face à la disparition de notre Louise, je me demande s’il a un cœur. Elle a disparu il y a trois ans, et je n’en dors pas la nuit, je prie Dieu tous les jours pour qu’il me la ramène sauve. Je me demande sans cesse si elle est en sécurité ? Est-ce qu’elle mange bien ? Est-elle bien traitée ? J’espère qu’elle fait quelque chose d’honorable de sa vie… Je l’ai si bien éduquée, ce serait ma pire crainte.
C’est d’elle que Jules devrait s'inquiéter, pas de Lulu. Mon fils est très bien comme il est, c’est un bon garçon qui sait se contenter de ce qu’il a, mais qui est assez intelligent pour savoir ce si ce qu’il n'a pas est nécessaire ou superflu.
[Transcription] Layan Bahar : Première fournée terminée, mais j'ai peur que pas assez pour les invités. Je dois peut-être faire d’autres. Lucien LeBris : Pas d’inquiétudes, les Rumédier sont très frugaux, il n’est pas nécessaire de prévoir des quantités extravagantes de nourriture. Eugénie LeBris : Je vas retourner au salon. Appelez-moi si vous avez encore besoin. Layan Bahar : Attends, Madame, j’ai une chose à te dire. Eugénie LeBris : Tout va ben ? Layan Bahar : Oui… Mais je voulais demander quelque chose. La cuisinière des Simmon part… Peut-être je peux reprendre la place. Je n’est pas à l’aise que M. Le Bris soit là. Tu as été gentille, Madame, je ne veux pas te laisser. Mais être ici très difficile. Eugénie LeBris : Je comprends, Layan. Vous n’avez pas besoin de vous justifier. Avec Jules de retour, les choses sont… différentes. Layan Bahar : Oui… Tu n’es pas fâchée ? Eugénie LeBris : Non. Je vais vous écrire une lettre de recommandation. Et je ne reviens pas sur ma parole. Layla peut rester ici, je continuerai à l’élever avec autant de soin que mes filles. Et vous pourrez venir la voir quand vous voulez. Layan Bahar : Rabbena yebarek fiki. (Que Dieu vous bénisse.)
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen3ter#Jules Le Bris#Eugénie Bernard#Lucien Le Bris#Marie Le Bris III#Louise Le Bris II#Dolorès LeBris#Layan Adly#Layla Bahar
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saga: Soumission & Domination 317
Côme et Ludovic encore, journée de chasse !
Côme passe nous voir un soir où son frère doit rentrer chez eux.
Il est tout excité. Je me doute de ce qui s'est passé mais j'attends qu'il me le dise lui-même.
Comme c'est l'heure de l'apéro, Ammed nous sert un plateau de tapas avec nos verres.
Finalement, il se lance. Il me dit que ça y est, il a fait l'amour avec Jonathan et François.
Moi : alors ? Côme : trop bon réellement ! Moi : je t'avais dit qu'ils seraient doux et patients Côme : plus que ça. Je n'ai pas baisé avec eux, nous avons fait l'amour. Moi : ça ne m'étonne pas, même si ce sont mes deux escorts les plus coriaces, je connais leur fond et il est bon ! Côme : tu ne sais pas ce qu'ils m'ont fait ! Moi : non mais j'ai quand même une petite idée, moi aussi j'ai baisé avec eux. Côme : oui, je suis bête, c'est évident ! Moi : désolé mais je suis passé avant toi et je n'ai pas été le seul Côme : je le sais mais quelque part j'espère avoir été plus qu'un simple soir de sexe. Moi : t'as pas eu trop mal (sous entendant au cul) ? Côme : non ils ont été supers. Nous nous sommes embrassés, caressés, léchés et sucés. Ils m'ont préparé la rondelle et, quand Jona m'a enculé, j'ai juste eu une petite douleur quand son gland est entré mais après, c'était trop bon ! Moi : ok, ils ont fait du bon boulot Côme : comment ça du boulot ? Tu leur avais commandé de m'enculer ?
Oups mauvais choix de mots !!
Moi : bien sûr que non, imbécile. Sur le privé, je n'interviens pas. Ce n'est pas moi qui ai formé tous les couples parmi mes escorts ! Côme : ok j'ai eu peur. Moi : mais je suis content qu'ils t'aient fait découvrir cette facette de la sexualité. Et rassure toi, ce n'est pas pour ça que je te demanderais maintenant de taffer avec des clients homme. Côme : je suis content, car j'ai flashé sur eux, pas sur les autres. Ils ont quelque chose qui m'attire. Je ne sais pas quoi mais ça le fait pas avec tes autres escorts, et même toi ou PH. Moi : Merci !! Côme : excuse, j'ai pas voulu dire ça ! Enfin quoi, je vous aime bien, mais j'aurai plutôt un blocage. Je me vois mal partager les mecs de mon frère ! Moi : dommage, je t'aurais pas laissé dormir dans la baignoire. Côme : non, t'aurais pas fait ça ?! Moi : qu'est-ce que tu crois, je n'ai jamais laissé passer un bon plan et foutu comme t'es... Jona et François ont dû bien profiter ! Côme : tu charries, Moi : ne me dis pas que tu regrettes. Côme : non, mais c'était avec eux et pas d'autres ! Moi : OK c'est bien et tu as ma bénédiction pour faire ce que tu veux. Recommencer avec eux si tu as envie, ou pas. Côme : Merci Sasha, t'es trop cool.
PH rentre à ce moment-là. On s'embrasse, il prend le verre que je lui tends et je lui annonce que notre Côme venait de tester son goût pour les hommes. PH comprend de travers et il me dit " maintenant ? Avec toi ? ". Je le détrompe, pas qu'il m'aurait fait la tête, on est au-dessus de ça mais juste la vérité, qu'il a passé la nuit dernière dans les bras de Jona et François.
PH est content qu'il ait choisi ces deux-là. Il lui dit qu'il n'aurait pas pu mieux tomber. Côme lui dit qu'il n'avait pas choisi, que ça lui était tombé dessus. Rire de notre part à la façon dont il dit ça.
Le Mardi qui suit, lorsque Jona et François l'embrassent à pleine bouche devant tous les autres, ça fait un blanc qui dure jusqu'à ce que Ludovic applaudisse son frère. Côme est un peu gêné, je pense qu'il se serait bien passé de cette officialisation. Je vois Ludovic prendre son frère dans ses bras et lui parler tout bas à l'oreille.
Plus tard Ludovic me dira qu'il lui a dit que personne ne le jugeait et qu'il devait prendre ça comme ça venait.
Ça a marché puisqu'il s'est aperçu que tout le monde retournait vite fait à son activité.
C'est seulement sous les douches, que Viktor et Nikolaï lui ont proposé de passer les " voir " s'il était intéressé. Quand il a vu que son refus n'engendrait aucun malaise, il s'est complètement détendu et il n'a pas été le dernier à blaguer avec les autres. Sous les douches, mes escorts partagent souvent sur les petits trucs qu'ils utilisent pour s'entretenir la peau. C'est à qui prêche pour l'épilation à la cire, d'autre pour l'épilation définitive ou le rasage simple. Sans compter l'échange de crèmes apaisantes et autres astuces. On se croirait dans un salon de beauté !!
Anthony donne sa marque d'hydratant. Avec le temps qu'il passe dans l'eau, il en consomme des litres ! Surtout depuis qu'il bosse pour moi et qu'il peut se le permettre financièrement.
Ludovic passe de plus en plus de temps avec nous. Ce qui n'est pas pour nous déplaire. Son père essaye d'en savoir un peu plus sur moi et mes intentions. Je suis invité un dimanche à l'accompagner avec ses 3 fils à la chasse. Ok je ne suis pas un fervent défenseur de la cause animale mais quand même !
Je refuse la première fois mais cède à la seconde invitation. Côme me dit que c'est un des moyens de me mettre son paternel dans la poche. Je passe à la boutique qu'il m'a indiquée et achète ce qu'il faut. Des bottes en caoutchouc doublées cuir, une veste Barbour Sonar Waxed, elle a un petit côté rétro.
La chasse
Je me pointe le dimanche matin dès 7h 30 !! Je ne me voyais pas dormir dans la chambre d'amis tout seul avec Ludovic dans celle d'à côté !
J'ai pas fait attention et suis allé en Mercédès. Evidemment le petit frère ne la rate pas et cash me demande qui j'ai sucé pour l'avoir. Je n'ai pas le temps de réagir que son père l'attrape par l'oreille, le soulève jusqu'à ce qu'il soit sur la pointe des pieds et lui dit que s'il l'entend ne serait-ce qu'une fois avoir ce genre de propos, il retournerait directement à la maison et que ce ne serait que le début de ses problèmes.
J'essaye de temporiser mais le père reste ferme, lui demandant de me présenter ses excuses. Il le fait, je les accepte. Alors que nous partons vers le Range Rover qui doit nous amener à pied d'oeuvre, je vois Côme allonger une claque sur l'arrière du crâne du petit dernier et lui dire un truc que je n'entends pas. Le chien monte dans le coffre. Son père me détaille et me dis que je suis bien équipé. Je réponds tout neuf, première utilisation. Ça le fait sourire. Ludovic est près de moi mais moins collé que d'habitude ! C'est sûr, on n'a pas eu le temps de se faire des bisous !!
Alors qu'on fait les km qui nous séparent de la zone de chasse, le père m'explique la philosophie. J'écoute. Je ne suis pas contre. En fait la chasse se résume à beaucoup de marche, quelques tirs dont certains réussis. Nous trainons donc sur leurs terres toute la matinée avec une pause casse-croute sur le coup des 10h. A défaut d'être passionnant, je prends un grand bol d'air et le gamin se révèle intéressant quand il parle de sa passion. C'est lui qui tue la première bestiole, un faisan. Le père le félicite, c'est amusant comme il est content du compliment. Le labrador le ramène.
On continu, le père et Côme tuent chacun leur bête alors que Ludovic rate toutes celles qu'il vise. J'entends Enguerrand (le petit frère) commencer à se moquer de lui. Un " je pensais que comme t'es amoureux tu saurais tirer droit ! " plein de sous-entendus, lui échappe avant qu'il s'arrête brusquement en se tournant vers son père quelques mètres devant nous.
Je me le réserve pour plus tard celui-là ! Va falloir qu'il apprenne quand s'arrêter.
Le reste de la matinée s'étire doucement et quand il est 13h nous rejoignons le véhicule.
Quand nous arrivons à la maison, madame nous attend le déjeuner prêt. Le temps de laisser les bestioles dans une réserve, de quitter les bottes et nous sommes à table devant un pot au feu brûlant. Elle n'a pas d'aide mais son plat est délicieux. Juste ce qu'il faut pour nous revigorer. Enguerrand me remercie car ma présence leur permet de boire un bon cru. Effectivement le Puisseguin saint-Emilion est tout à fait convenable. Un froncement de sourcils paternel lui rappel de se tenir.
Les sujets de discussion sont neutres. Pas de politique, pas de religion, encore moins de sexe, nos propos se limitent à nos études et à la chasse de ce matin.
Je bande que c'est pas possible ! Madame m'a placé entre Ludovic et Enguerrand et Ludovic ne cesse de passer sa main sur ma cuisse à chaque fois qu'il prend sa serviette sur ses genoux. Il le sait et s'en amuse. A mon tour, je passe ma main sur lui et sa bite déforme ses jeans. On va rire quand il va falloir se lever ! Enguerrand s'est aperçu du petit jeu de son frère et je le sens à la limite de sortir un vanne. Du coup je me tourne vers lui et lui demande où il en est question études.
A 16ans, il est rentré en 1ère (pas en retard le petit) scientifique et quand je lui demande ce qu'il veut faire après le lycée, il me sort " école de commerce, ça l'air de bien payer ". Le sous-entendu est compris par tous et son père lui fait les gros yeux. A cet âge-là, c'est un peu réduit comme admonestation et le petit con enchaîne avec " il suffit de trouver un patron compréhensif " pour bien appuyer au cas où nous n'aurions pas bien compris la première allusion. Là, il me trouve. Je lui demande devant tous si c'est par jalousie envers Ludovic qu'il est aussi acide. S'il le voulait, avec l'autorisation de ses parents, je suis tout prêt à lui présenter des garçons de son âge qui seraient ravi de le dépuceler. La surutilisation de sa main droite l'amenant à proférer des propos ineptes et déplacés. Côme se retient de rire tout comme Ludovic. Les parents, eux, me regardent comme si j'avais enculé le pape devant eux !
En attendant Enguerrand blanchit et se tait. Nous finissons le déjeuner tranquillement. Au café que nous prenons dans le salon, le petit dernier s'est éclipsé. Alors que la mère est partie chercher le café, le père me prend par le bras et me dit qu'il n'est pas d'accord avec ma proposition de tout à l'heure. Ludovic qui l'entend lui dit qu'il n'aura pas le choix avec Enguerrand, tout comme ils n'en n'ont pas eu avec lui. Que si c'est son penchant, il devra faire avec. On est plus au siècle où les homos se mariaient pour que leurs têtes ne dépassent du lot commun.
Il en convient mais nous dit que ce n'est pas une urgence non plus. Je suis d'accord avec lui, moi, je ne suis passé aux garçons qu'à 18ans.
Je ne m'attarde pas, pressé de sortir de cette ambiance conformiste et de retrouver mon PH et ma totale liberté de faits et gestes. Ludovic et Côme s'en aperçoivent. Je me retire non sans avoir remercié comme il se doit mes hôtes.
Comme Ludovic se penche sur moi déjà assis au volant de ma voiture pour me rouler discrètement une pelle, Enguerrand se pointe. Il attend que nous ayons fini pour me dire au revoir et s'excuser de son comportement puéril.
Comme il est penché vers moi, je l'attrape par le cou, lui baisse la tête et lui frictionne les cheveux avec l'autre main. Je le traite de connard et lui dit que c'est du passé. Qu'il comprendra notre situation plus tard. En poussant la porte de la voiture vers le bas, il me glisse qu'il a quand même 16ans.
Ludovic a attendu que je sois rentré pour m'appeler. Je venais de faire un résumé rapide de la journée à PH qui s'amuse de la situation. Je lui parle d'Enguerrand. Il a la même analyse que moi, le petit est jaloux de son frère.
Ludovic me dit qu'après mon départ ç'avait chauffé pour le cul d'Enguerrand. Son père a exigé qu'il m'écrive une lettre d'excuses et l'a interdit de chasse pour les 3 semaines suivante. Ce qui pour un passionné comme lui était ce qu'il pouvait lui arrivé de pire.
J'essaye d'intercéder pour lui, après tout c'est encore un gamin ! Ludovic me dit de laisser faire, ça va juste mettre un peu de plomb dans la tête de ce béta, plutôt que dans les bestioles sauvages qui les entourent.
Le lundi soir il est avec nous. Quand il débarque, je suis avec Max pour sa leçon de français. Enfin je commence parce qu'à son arrivé, Max est tellement excité que le seul moyen de lui rendre sa concentration c'est de l'enculer un bon coup. Il a assez mal pris l'arrivé de Ludovic dans ma vie. Je pense qu'il avait cru un moment que sa situation avec nous prendrait ce chemin. J'avais dû avoir une discussion franche avec lui et les choses s'étaient mises en place comme je le voulais. C'est pas comme s'il n'avait pas été testé au dehors son pouvoir de séduction et testé de nouvelles pratiques. Les moments passés à baiser avec Daniel puis quelques autres de mes escorts n'avaient pas été désagréables. De plus quand il a vu que nos cours continuaient avec le petit " plus ". Ça là totalement rassuré.
Comme il était particulièrement remuant ce soir-là, je l'ai rapidement assis sur mes genoux, planté sur ma bite. C'est la position qu'il adore. Devant le PC sur lequel je lui fais écrire ses dissertations, il aime sentir ma bite lui réchauffer la rondelle. Bon les mouvements que nous ne pouvons retenir de faire, l'empêche d'utiliser correctement le clavier ! Par contre ils sont parfait pour faire monter l'excitation. Max prend appui sur le bureau et utilise ma queue comme un mat sur lequel il fait coulisser sa rondelle. J'aime bien cette position. Sans avoir à bouger, je peux me concentrer parfaitement sur les sensations que me procure son mouvement d'ascenseur. Je sens sa rondelle s'ouvrir à chaque redescentes, coller mon gland, sauter sur les bourrelets de mon prépuce reculé au maximum, et millimètre par millimètre le réchauffement de ma hampe au fur et à mesure qu'elle s'enfonce en lui. Ses contractions ajoutent à ma montée en pression. Il le sait parfaitement et en joue sans honte. A un moment, Max se retourne pour me faire face et ajouter une pelle à sa chevauchée. Ma langue dans sa bouche l'achève ou alors ce sont mes doigts occupés à pincer ses tétons. Il me jute dessus et moi je remplie ma kpote. J'étouffe son hurlement de plaisir en maintenant sa tête pour garder nos lèvres plaquées et nos langues en contact.
Ludovic arrive alors que je viens de me changer, que Max s'est reculotté et que le cours à vraiment commencé. Il me roule une pelle et me dit qu'il monte au 4ème retrouver PH.
Pendant la demi-heure qui suit, toutes les 5 minutes Max me demande quand est ce qu'on les rejoint. Je résiste et lui dis que de toutes les manières qu'il ne compte pas baiser avec nous trois ce soir. Ludovic s'est bien libéré mais pas encore au point de baiser chaque soir avec un mec de plus que nous et en plus différent ! Max me dit que c'est pour ça qu'il faut commencer tout de suite et qu'avec lui ; Ludovic n'aura pas l'impression d'être en concurrence comme avec mes escorts. Physiquement, ses 60Kg ne font pas le poids !
Il a beau argumenter, je ne lui cède pas. J'y tiens à mon Ludovic. Je sais qu'il y viendra et que bientôt tout comme PH et Ernesto, il sera suffisamment en confiance pour me voir baiser n'importe qui et en faire de même. Il saura que comme mes trois autres amours (il faut compter Marc aussi), lui est au-dessus des autres.
Plus tard dans la soirée, même si j'avais fait l'amour à PH la veille, et que Max s'est permis de me vider avant le diner, nous faisons l'amour comme des fous. J'adore son corps de boxer, masser et pétrir ses muscles bien marqués. J'aime passer ma langue sur sa bite, manger ses couilles lisses, saliver sa rondelle plissée. Je ne suis pas le seul car souvent nous commençons nos ébats, PH et moi par honorer son corps de jeune dieu.
Je ne m'en lasse pas ! Il n'est pas de reste et nos langues parfois se retrouvent sur la peau de PH. J'adore faire des pipes à deux. Faire glisser ses lèvres le long d'une bite tout en sentant celles de son partenaire effleurer les siennes, atteindre le gland et de la langue agacer ses terminaisons nerveuses et ce faisant rencontrer l'autre langue et finir par se rouler une pelle avec le gland comme bonbon ou tout simplement piper la bite alors que l'autre bouffe les couilles et se rejoindre en position " gorge profonde ", tout est bon.
Je passerais des heures à parcourir son corps avec ma bouche. Remonter de ses pieds, passer sur son mollet rebondi, couler derrière le genou et détailler le quadriceps pour arriver à son aine et au trésor planté au centre, l'abandonner raide après l'avoir copieusement recouvert de salive pour suivre le sillon qui sépare le six pack, s'��garer à droite ou à gauche pour aller honorer un de ses tétons, là, y passer un peu de temps comme sur son sexe, pour faire monter son excitation et sentir gonfler le bouton de chair, le laisser quand il est rempli de sang et devenu hypersensible, suivre la ligne de sa jugulaire pour atteindre sa mâchoire, en suivre l'arête et du menton passer à ses lèvres, sortir ma langue et les lécher jusqu'à ce qu'elles s'entrouvrent et que je lui envahisse sa bouche, un délice. Heureusement que je ne suis pas anthropophage, je finirais par le manger ! Quand avec PH nous lui faisons subir ce supplice, c'est lui qui nous demande de le prendre sauvagement, de l'enculer grave, de lui défoncer la rondelle. Que devenu une chienne affamée de sexe, nous devons apaiser ses désirs en le faisant jouir de tous les côtés.
Et ça avec PH on sait faire ! L'un devant lui à pomper sa belle tige d'acier alors que l'autre s'occupe de détendre sa rondelle en lui enfonçant une langue pleine de salive, il subit une préparation qui l'amène plusieurs fois aux portes de la jouissance. Nous devons faire bien attention à ne pas le faire craquer trop vite. Quand nous l'estimons prêt, si Marc est là, c'est lui qui passe en premier sinon c'est moi, nous lui enfonçons notre sexe en lui, sans recours possible, profondément, plus ou moins lentement selon notre propre degré d'excitation. Heureusement que l'isolation phonique a été bien faite car les cris de plaisirs qui nous échappent alors réveilleraient toute une caserne. Il est arrivé que les premières fois, Ludovic en éjacule direct et me surprenne, ou bien PH, manquant de nous étouffer par le volume de sperme éjaculé. Même dans ces cas, celui qui l'enculait a pu continuer, l'excitation de Ludovic ne retombant pas.
Le lendemain matin, en cours, Morgan m'a dit que ce n'était pas la peine de me demander ce que j'avais fait la veille vu la tête de zombie que je trainais.
Jardinier
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Je n’ai plus l’énergie de considérer les sentiments des autres plus que les miens. Mon cœur passe en premier maintenant. Son cri est maintenant le plus fort, et ses morceaux sont quelque chose que j’ai finalement appris à ne pas donner aussi facilement que je le faisais auparavant. J’ai appris à les garder au fond de ma poche. Après tout, je sais que je suis tout ce que j’ai quand tout s’effondre, et je ne suis même pas fâché que ce soit comme ça que le monde réel est. Nous essayons tous simplement de nous en sortir et de nous sentir un peu plus légers à notre manière. Je ne peux pas m’attendre à ce que d’autres personnes partagent le poids de mon monde avec moi, ou me sauvent. Je n’ai peut-être plus l’énergie de considérer les sentiments des autres plus que les miens, mais cela ne veut pas dire que je ne leur souhaite pas des jours meilleurs. Oui. Je veux juste faire passer mon cœur en premier, et d’une manière ou d’une autre, après tout ce que j’ai traversé, tous les jours de pluie et toute la poursuite de tout ce qui est beau, je sais que ce n’est pas trop demander.
Jun Mark Patilan
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Monstres
Il n’était jamais bon de se promener seul dans une forêt. Après quelques kilomètres, Johannes regretta d’avoir refusé une assistance. Il regarda les arbres à l’apparence humaine pendant que son chariot avançait. En bon marchand colporteur, il ne transportait pas de réelle valeur si ce n’est quelques dentelles ou tissus venu de France. Toutefois, il craignit une attaque de bandits, malandrins ou voleurs de grand-chemin qui n’auraient aucune pitié pour sa vie.
Mais son inquiétude allait surtout sur les légendes que la forêt, celle qu’il traversait actuellement, regorgeait. En effet, nombreux furent ceux qui prétendaient avoir rencontré un monstre, une bête au regard noir et à la forme d’un loup. D’autres parlèrent de farfadets, trolls malveillants qui s’amuseraient avec les visiteurs perdus. Et puis, il y avait les histoires concernant des disparus. Chaque village autours du bois comptait au moins une personne qui n’est jamais revenu de la forêt.
Il aurait pu faire le tour. Seulement, afin de gagner deux bonnes journées, le marchand voulu traverser cet endroit maudit. Son cheval avança avec une certaine nervosité. Un léger brouillard imposait une ambiance glaciale pendant que quelques oiseaux criaient. Un coucou par-ci, quelques corbeaux par-là. Le vent balançait les cimes des arbres provoquant un sifflement inquiétant. Parfois, Johannes tournait la tête au craquement d’une branche ou au bruissement d’un buisson provoqué par un animal sauvage.
Le cheval n’avait qu’à suivre la route tracée. Cependant, après quelques heures, il s’arrêta brusquement. Son hennissement alerta le commerçant. Dès lors, il se leva sans quitter le chariot, il serra un bâton long et attendit. La peur faisait gargouiller son ventre. Ses tympans battaient son cœur dans un désagréable fracas.
Avance, mon ami, avance, je t’en prie, murmura-t-il afin de ne pas réveiller de monstre.
Mais il n’obtint du cheval qu’un énième hennissement. Il demeura debout, les jambes tremblantes. Il réalisa qu’il n’entendait aucun autre son en dehors de sa respiration, et de celle de son cheval. Il tourna la tête, cherchant à voir à travers la brume. En fait, il espérait la venue de quelque-chose qui puisse le rassurer, même un monstre. Car le silence absolu était la pire des angoisses.
Soudain, un hurlement surgit des profondeurs de la forêt. Le cheval se cabra avant de galoper comme un forcené, provoquant en même temps, la chute de Johannes hors du chariot. Lorsqu’il se releva, il ne put que constater son bien déjà trop loin pour le rattraper. Mais sans attendre, il se mit à courir espérant retrouver son cheval le plus tôt possible.
Il courut au milieu des branches. Un bruit fort et rapide sembla approcher comme un monstre en train de pourchasser sa proie. Il continua de courir sans se retourner. Le froid de la brume giflait ses joues contrastant avec son sang qui bouillait en lui. Il courut pour finalement arriver dans une clairière.
Essoufflé, fatigué, il se pencha pour reprendre une respiration normale. En entendant des rires, il leva la tête et découvrit un lac peu profond et pas très grand. Au bord, sept jeunes femmes s’amusaient de sa présence tout en lavant du linge blanc. Elles se ressemblaient comme des sœurs, la peau blanche comme le lait. Leur longue chevelure rousse flamboyait telle une torche allumée. Johannes se sentit gêné de se retrouver avec d’aussi belles femmes, dont les robes blanches trempées ne cachaient rien de leur corps désirables.
Qui es-tu, jeune imprudent ? demanda celle qui semblait être la plus vieille.
Je me nomme Johannes Tischler. Je suis un marchand perdu en ces lieux. N’auriez-vous pas vu passer mon cheval tirant un chariot, par hasard ?
Non, répondit-elle. Mais il ne doit pas être bien loin. Si tu veux nous t’aiderons à le chercher plus tard. Mais en attendant, tu pourrais nous aider à frapper ce linge.
Le marchand hésita un instant. « Si monstre il y a, il ne peut attaquer quand nous sommes plusieurs » pensa-t-il. Dès lors, il retira ses bottes et entra dans une eau froide. Une des jeunes femmes tendit un battoir qu’il attrapa. Deux autres s’écartèrent pour lui laisser une place. Il prit un drap et commença à le frapper sous les sourires des lavandières.
Parfois, elles discutaient, murmuraient entre elles tout en regardant Johannes. Il avait l’impression qu’elles n’avaient jamais vue d’homme avant lui. Il battait le linge avec difficulté. Et une fois terminé, une laveuse l’aidait à plier correctement les draps pour les faire sécher. Il avait du mal à empêcher ses yeux d’admirer les formes généreuses de ses coéquipières du moment. Le téton de leurs seins ressortant de sous la robe trempé, Les pubis collant au tissu. Il détourna le regard, dès que l’une d’elle se penchait trop, lorsqu’elle était à genoux, galbant ainsi ses fesses rosies par les reflets du soleil. Il ne s’était pas rendu compte que la brume ne recouvrât pas la mare.
Enfin lorsque le linge fut propre, il retourna au bord pour remettre ses chausses et attendit qu’elles sortissent à leur tour. Le soleil commença à décliner. La plus ancienne s’approcha. Il remarqua ses jolis yeux noirs et son nez fin. Il baissa rapidement les yeux, admirant au passage qu’elle avait plus de poitrine que les autres.
Il se fait tard, je te propose l’hospitalité pour te remercier de ton aide, annonça-t-elle.
Soulagé de ne pas à traverser la forêt en pleine nuit, Johannes accepta. Dès lors, il suivit les sept jeunes femmes sur un sentier qui l’éloignait de la route principale. Sur leur passage, les oiseaux ne chantaient pas, le brouillard se dispersait et un silence immense régnait.
Elles marchèrent sans prononcer une seule parole. Par moment, elles regardaient Johannes, lui conseillant de faire attention à une racine au sol ou aux ronces sur le côté. Elles marchèrent tout en portant leurs paniers de linge. Les arbres étaient si proches les uns des autres que Johannes n’imaginait pas une chaumière dans un endroit pareil. Il suivit les femmes et vit enfin une cabane.
Elle parut grande, cependant il fut surpris qu’elles continuassent de marcher, se dirigeant vers une caverne. Le colporteur aurait voulu demander si la maison en bois était leur domicile. Mais invité par deux des rouquines, il se contenta de les accompagner. Il sentit leurs mains presser ses bras et ses hanches. Décidément, il faisait un grand effet auprès d’elles. Il pénétra dans la grotte. Elle était immense, éclairée par une multitude de bougies. Toutefois, une odeur nauséabonde empoisonnait l’atmosphère.
Viens, nous avons retrouvé ton cheval, annonça une des femmes.
Etonné, Johannes s’enfonça dans la grotte. Comment son cheval pouvait être ici ? Et comment pouvait-elle le savoir alors qu’il ne les a jamais quittées ? Il marcha toujours encadré par deux jeunes femmes. Leurs doigts devenaient de plus en plus entreprenants, et déjà, il sentit leurs caresses de plus en plus sensuelles. La forte odeur putride se fit de plus en plus forte.
Tout-à-coup, le marchand fut saisi d’effroi. C’était une vision d’horreur que de voir un monceau de cadavres. Il y avait des animaux en grande quantité, à moitié putréfiés, des parties dévorées et décharnées, des squelettes attendant de blanchir. Il y avait des chiens, des loups, des chats, des renards, des chevreuils et des cerfs, des lapins, et par-dessus, les restes d’un cheval noir copie exacte du sien, s’il était encore entier. L’animal avait la gorge arraché et exhibait ses côtés encore ensanglantées.
Johannes n’eut pas le temps de crier quand il sentit des pointes enfoncer son ventre. Les doigts de ses hôtesses venaient de se transformer en griffes acérées. Leurs visages n’avaient plus rien d’humain. Elles hurlèrent tout en se jetant sur le pauvre homme. Elles le dépecèrent, arrachant sa viande avec une telle monstruosité. Le sang coula le long de leur menton pendant qu’elles mangeaient sa chair. Et dès que les dames de la forêt se sentirent rassasiées, elles jetèrent les restes parmi le tas de cadavres d’animaux, avant de s’endormir repues et comblées.
Ales@r60 – août 2023
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Note
En voyant un de tes reblogs sur l'empire byzantin je me demandais si tu avais vu la série Netflix sur la Chute de Constantinople?
(oui sur une des posts il y a le Constantin de la série lol)
En un mot comme en cent, c'est franchement mauvais, il y a un gros biais pour faire passer Mehmet comme un super roi conquérant trop OP avec tout plein de prophéties, mais qui passe en réalité pour un charlot, et si Constantin passe pour quelqu'un de faible entouré d'incapables et de traîtres, mais qui reste courageux jusqu'à la fin.
Je ne sais pas si les costumes ou si les décors sont censés être assez fidèles à l'époque, mais si jamais tu veux regarder quelque chose de mauvais pour en rire, ben il y a ça sur Netflix!
(Même si le rôle de la mère de Mehmet est le rôle féminin le plus intéressant dans cette série qui n'en a aucun autre, dans le sens où elle essaie de freiner les renforts de son père qui veulent rouler sur les Ottomans pendant qu'il fait le pied de grue devant Constantinople - si tu peux faire abstraction du "mais 10 ans se sont passé, les hommes ont des barbes grises et quelques coups de crayon sur le visage, mais elle elle n'a pas changé d'un iota?" intrinsèquement lié aux adaptations télévisées).
J'en ai entendu parler mais je ne l'ai pas encore vue (mais j'ai reconnu le Constantin de la série car sa prestation a été visiblement très appréciée dans certains cercles). En général, je me méfie des productions turques à ce sujet, elles sont souvent bourrées de propagande, quand elles ne sont pas directement produites par des chaines appartenant à l'état.
Pour Constantin XI qui passe pour quelqu'un de faible...ce n'est pas complètement éloigné de la réalité. Malgré l'image dorée de martyr que lui a fait la postérité, ce n'était pas vraiment un bon général, ni un diplomate, ni un grand dirigeant quand on regarde l'ensemble de ses actions et de sa carrière. Il a quelques coups pas du tout reluisants à son actif. De plus, on ne sait au final pas vraiment comment se sont déroulés ses derniers instants. Bien sûr, je note aussi la situation impossible dans laquelle il se trouvait et sa détermination à se battre jusqu'au bout.
Je te conseille l'ouvrage de Marios Philippides à son sujet (on le trouve sur des sites qui hissent haut le jolly roger). Non seulement c'est un livre récent mais il s'appuie en plus de manière très rigoureuse sur les sources d'époque et il essaie de comprendre qui était l'homme derrière le mythe.
Mais bon, s'ils ont lavé Mehmed plus blanc que blanc, ils auraient pu aussi remonter le niveau pour Constantin XI. Parce que bon, d'après ce que j'ai compris, ça passe bien sous silence les massacres commis une fois la ville tombée. D'ailleurs si tu veux rigoler je te conseille de regarder la scène finale du film 1453 Fetih. On ne peut pas aller plus loin dans la UWUification de l'histoire.
J'ai aussi vu que Loukas Notaras joue le rôle du traitre et du méchant de service alors qu'en vrai sa position était beaucoup plus pragmatique, mais loin d'être un traitre, et que la postérité a contribué à lui donner une légende noire.
Je ne comprends aussi pas trop le délire d'avoir donné autant d'importance à Giovanni Giustiniani. De ce que j'en ai vu, ils montrent ça comme si la défense de Constantinople avait reposé sur lui seul ???
Et pour les décors bon...la ville et le palais étaient dans un certain état de pauvreté à cette époque et ça a l'air d'être ça (les empereurs n'avaient même plus de quoi se payer une vraie couronne). Pour les costumes c'est ok. Pas 100% fidèle, mais c'est bien mieux que ce qu'on a pu voir dans d'autres productions même s'il y a quand même du gros n'importe quoi (et puis c'est quoi ce délire avec les turcs en cuir noir ?). Mais le problème est que le niveau de base est très bas. Il n'y a qu'à voir l'immondice qu'une récente série sur les vikings nous a pondu.
Tant mieux si le rôle de Mara Branković reste intéressant vu que c'était un personnage très influent.
En tout cas, je sais quoi regarder si je veux rigoler !
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Le week end dernier a été compliqué pour nous deux. L'ambiance était froide, pesante et désagréable. Suite à quoi, en début de semaine, je lui avais écrit le fameux "il faut qu'on parle". J'y avais notamment abordé le thème de la communication. Notion sur laquelle j'ai du travail certes mais lui encore plus. Je lui disais que ce n'était plus possible qu'on vive des moments aussi pénibles uniquement parce qu'il ne voulait pas me dire ce qu'il se passait que je n'étais pas dans sa tête, que tout n'était pas flagrant, que des fois, je pouvais ne pas me rendre compte d'avoir mal agi ou été maladroite. J'avais pas fait du chantage affectif, j'avais seulement spécifié que moi ce n'était pas quelque chose qui me convenait et que ça me ferait partir à un moment donné si ça ne changeait pas, que j'en avais marre d'amorcer les discussions difficiles mais nécessaires, d'être rejetée par lui à chaque fois que j'essayais de savoir ce qu'il ressentait, et d'accepter ça globalement. On avait beaucoup parlé, il m'avait expliqué ce qui l'avait dérangé le week end dernier, ce qu'il avait ressenti, ce qu'il pensait de mon monologue, etc. Mais du coup, moi j'avais une appréhension pour ce week end là. Je me suis dit "je suis déjà assez chamboulée par les partiels, je veux pas risquer de l'être plus en le voyant, de me rajouter de l'angoisse". Il est quand même venu. Et j'ai senti que la conversation avait fait un bout de chemin dans sa tête. Il est parti tout à l'heure, milieu d'après midi, et avant de partir, il m'a dit "viens on se pose un peu, couche toi tranquillement et écoute moi, laisse moi parler jusqu'au bout et après tu me diras ce que tu as dans la tête". Je savais pas trop ce qu'il allait me dire. J'ai obéi du coup. Je l'ai laissé parler. Il m'a dit, dans les grandes lignes, qu'il était désolé pour le week end dernier et qu'il allait faire de réels efforts pour que notre couple pâtisse moins de ses traumas et surtout de son incapacité à parler dans les moments compliqués. Ensuite, il m'a dit qu'il n'était pas bête, qu'il voyait bien que sous mon calme plat, j'avais peur de rater, puis il m'a aussi dit qu'il avait conscience que cette année avait été dure pour moi. Surtout ce changement de vie, le cancer de ma mère, sa tromperie, et que c'était normal d'avoir eu du mal à m'y mettre. Et que même si je ratais, mes notes ne reflèteraient jamais qui je suis ni ma valeur. Il m'a dit aussi qu'il avait rarement croisé quelqu'un d'aussi intelligent que moi et d'aussi fort (mentalement) et qu'il admirait beaucoup ce côté là de ma personnalité. Puis il a rajouté qu'il croyait en moi, que j'étais capable et que son amour et celui de mes proches n'étaient pas conditionnés à ma réussite scolaire. Puis qu'il m'aimait aussi.
Et tout ça, j'ai beau le savoir, ça m'a fait tellement de bien qu'il le dise et qu'il me montre un côté plus émotionnel de lui. Finalement, ce week end m'a fait un bien fou. J'ai eu l'impression qu'on s'était retrouvés. Il montre tellement peu de lui des fois, qu'on a vite fait de le prendre pour un con mais là, il m'a prouvé le contraire sans même que j'ai à demander.
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Eté 1925 - Champs-les-Sims
4/6
J'ai aussi beaucoup réfléchis au sujet de ton envolée de dernière page. Sur mes choix, mes responsabilités. J'avoue n'avoir jamais vraiment pris la question sous ce prisme, mais pour répondre d'emblée à ta question, oui je désire reprendre l'affaire familiale. Et ce n'est pas pour autant que je suis libre de soucis ou de responsabilités. J'avoue que j'aimerai moi-même tenter d'apprendre à pêcher, mais bon, comme tu dis, il faut faire des choix, et je suis donc libre de me dire que je peux bien sacrifier quelques petites choses en suivant mes envies. Grand-Mère m'a dit un jour qu'elle avait beaucoup sacrifié pour faire de moi celle que je serait plus tard : une femme d'affaire. J'avoue en effet ne pas avoir choisi la voie la plus facile.
Oui, il est vrai que quand je vois Cléo s'épanouir à Paris, Sélène devenir de plus en plus vive sur un cours ou Antoine se forger des amitiés dans des bars brumeux de fumée de cigarette, je me pose des questions. Puis je regarde autour de moi, et je réalise que je suis là où j'ai envie d'être, avec Oncle Adelphe pour me seconder et un foyer à construire.
Transcription :
Constantin « Quand j’ai annoncé que nous partions pour Alexandrie, j’ai vu ce drôle d’air sur ton visage. Je n’ai pas osé te demander ce qu’il signifiait alors j’ai retourné le problème dans ma tête pendant des jours. »
Adelphe « Oh, il ne faut pas y faire attention. J’étais surpris voilà tout. »
Constantin « Non, ne me mens pas, je d��teste quand tu essaies de me mentir ! Je veux juste que tu saches que ce n’est pas contre toi. »
Adelphe « Mais je ne l’ai jamais cru ! Où vas-tu chercher cela ? »
Constantin « Ton drôle d’air. Albertine m’a confirmé que cette annonce ne t’a pas fait plaisir, bien au contraire. »
Adelphe « Bénie soit Albertine et sa parfaite lecture de l’être humain... »
Constantin « Tu m’en veux, c’est bien cela ? »
Adelphe « Non, Constantin. Je ne t’en veux pas. Je t’ai toujours encouragé à mener ta vie comme tu l’entendais, et même à te détacher de moi autant que possible. »
Adelphe « La vérité, c’est que je suis un sale hypocrite. »
Constantin « Bien sur que non ! »
Adelphe « Laisse moi finir. Oui, je t’ai toujours encouragé à couper le cordon, car je savais que c’était ce qu’il y avait de mieux pour toi. Mais j’avais aussi l’absolue certitude que tu n’y parviendrai jamais totalement. Cela m’a conforté dans mon habitude de t’avoir depuis toujours avec moi, ou dans mes alentours. Même parti, tu finissais toujours pas revenir. J’ai vécu auprès de toi pendant cinquante ans Tintin. Au final, j’ai toujours pensé que tu étais de nous deux le plus dépendant. Quand tu as annoncé votre départ, j’ai ressenti une blessure profonde, comme une trahison. »
Constantin « Alors c’est bien vrai, tu m’en veux de partir. »
Adelphe « C’est bien plus compliqué que cela, et quoi qu’il arrive, ce n’est pas de ta faute, mais de la mienne. Ce soir là, j’ai surtout fini par comprendre c’était bien moi le plus dépendant, celui qui avait toujours refusé de ta voir partir, et pas l’inverse. Moi le grand-frère qui prend comme un affront personnel que le cadet n’ait plus besoin de lui. C’est une terrible blessure d’égo. »
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Nan en vrai ce serait mentir si je disais que je ne m'étais pas du tout imaginée aller plus loin avec le Dieu Grec. Il est tellement doux, attentionné, ambitieux, curieux, ouvert d'esprit, beau,... Mais aujourd'hui on a fait un test avec ma meilleure pote. Je voulais savoir s'il était un minimum ouvert à l'idée d'être en couple. Je lui ai tendu une mini perche et on a attendu sa réponse. Finalement, on a interprété différemment sa réaction. Ma meilleure amie l'a interprétée de manière négative et a demandé l'avis de son frère qui l'a interprété de la même manière qu'elle. En gros pour eux c'est mort, il ne se voit pas aller plus loin. Moi je n'avais pas compris sa réaction de cette façon là mais j'ai préféré les suivre dans leur interprétation. Je ne veux pas avoir d'attentes et être blessée donc je préfère me dire que c'est mort. Et j'ai pas envie de gâcher ce qu'on a. Mais c'est quand-même frustrant parce que je n'arrive vraiment pas à le cerner. C'est quand-même lui qui m'avait proposé qu'on aille boire un verre. S'il pensait juste au cul, comme l'a dit ma meilleure pote, il ne m'aurait pas proposé ça? Si? Il faudrait qu'on discute de tout ça une fois pour toute mais j'ai pas envie que quelque chose change entre nous. Je veux pas mettre trop de sérieux dans une histoire si douce et légère. Je crois que j'ai envie que ça continue comme ça. Mais je sais pas pourquoi je me casse la tête. Je crois que c'est parce que je me dis qu'il vaut le coup d'essayer. De mettre mes peurs de côté et de me lancer. Mais je pourrai jamais faire le premier pas sans être sûre qu'il veut bien essayer aussi.
(09/02/2024)
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