#je suis dans une profonde solitude
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J’aimerais être aimé 😢
#francais#je n’est pas d’amis#je suis dans une profonde solitude#dream#depressive#emo#melancholy#i wish to be loved#i want to be beautiful#i’m ugly#j’ai confiance en rien#sensible#hypersensible#tristesse#je suis dans cette profonde solitude depuis 3-4 ans je crois ?:(#metalhead#nature hikes#…
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Femme, j’ai tant de choses à te dire,
Qu’il me faudrait un livre pour l’écrire.
Une vie ne suffit pas,
et encore plus de temps,
Car tu portes en toi tout ce que je ressens.
Femme tendresse, femme douceur,
Femme tempête, femme douleur,
Il me faudrait tout le dictionnaire
Pour parler de toi, en rimes et en vers.
Tu es le commencement et la fin.
Tu es l’aboutissement, soir et matin.
Tu es l’émotion, la finesse, la vie.
Tu es tout ce que je ne suis pas,
je t’envie.
Tu es l’avenir de l’humanité,
Car tu portes en toi l’éternité.
Femme d’amour, tu donnes la vie.
Femme de cœur, tu donnes l’amour.
Femme sensible, fragile, forte,
J’attends tout de toi, ouvres-moi ta porte.
Fais-moi une place dans ton cœur.
Offre-moi tout de toi et plus encore.
Femme battue, maltraitée,
Femme outragée, mal aimée,
J’aimerais tant te protéger,
Pour pouvoir tout te donner.
Femme courage, tu es admirable.
Femme aimable, tu es remarquable.
Tu es, parfois, imprévisible, charmante,
Tellement troublante, émouvante.
Femme au regard si doux, si profond,
Je me plonge dans tes yeux jusqu’au fond,
Recherchant l’insondable, l’innommable.
S’il t’arrive de pleurer, je me sens minable.
Femme, ces colères que je redoute
Lorsque tes yeux lancent des éclairs,
J’apprécie pourtant, lorsque tu doutes,
Ton émotion, quoi qu’il t’en coute.
Femme, du fond de ma solitude,
J’ai besoin de ta sollicitude,
De ta douceur, de tes caresses,
De ton affection et de ta tendresse.
Femme heureuse, complice de mes bonheurs,
Femme amoureuse, tu supportes mes humeurs.
Et lorsque surviennent orage et malheur,
Tu gémis, tu souffres… pire tu pleures.
Femme tu me désarmes,
Alors je rends les armes.
Sans toi je l’avoue, je ne suis rien.
Tu le sais, de toi j’ai tant besoin.
Dis-moi encore qui es-tu ?
Oui, dites-nous encore qui vous êtes ?
Je crois que c’est ce qu’il y a de mieux à faire, laissons-les! Laissons les femmes nous s’exprimer, laissons les femmes penser et vivre leur vie, laissons les femmes s’épanouir.
Car comme le disait Louis Aragon dans son œuvre Le Fou d’Elsa, « L’avenir de l’homme est la femme ».
Anonyme
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Ecrire avec l’ombre des mots
la solitude invisible
des cœurs aimants
Sentiment endormi
La pluie aussi
Et à l'intérieur de chaque larme
Le petit incendie d'un chagrin
Qui aimerait sécher au soleil
"Je vous aime"
Mots si douloureusement épique
Quand ils restent lettres mortes
Ou deviennent champ de tournesols calcinés
Écrire avec de la cendre
Un amour impossible-mais-vrai
Son comique vague à l'âme
Ses rivages de paradis sans issue
Seuls les rêves
Soie de sa peau
dans le miel de ses gestes
Seuls les rêves
Dire alors "je vous rêve"
Pour ne déranger aucune pénombre
N'émerveiller ni ne décevoir
La moindre attente
Le moindre cauchemar
Du silence garder le trésor
Sa cachette est sous l'escalier
Votre beau visage à la fenêtre
Que fixe l'étoile polaire
Belle transparence de ses paupières
Qu'on imagine
Que dire de ses lèvres
Quand elle observe le ciel
On dirait le murmuré des pensées
Un mystérieux insecte serti dans un sourire
Sans ailes la neige
Partition blanche et nue
Vole aussi bien que la lumière
Bras grands ouverts
J'aimerais être le fil
Du funambule et vous y voir arpenter
Le durable périmètre de ma mélancolie
Celle que j'ai aujourd'hui
Car demain elle aura fondue en totalité
Avec les glaciers
Les déserts
Les vies rêvées et le sentiment profond
D'une absence abyssale
Imaginaire peut-être
Mais avec laquelle je suis né
jacques dor
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Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme ! Au gré des envieux, la foule loue et blâme ; Vous me connaissez, vous ! – vous m’avez vu souvent, Seul dans vos profondeurs, regardant et rêvant. Vous le savez, la pierre où court un scarabée, Une humble goutte d’eau de fleur en fleur tombée, Un nuage, un oiseau, m’occupent tout un jour. La contemplation m’emplit le cœur d’amour. Vous m’avez vu cent fois, dans la vallée obscure, Avec ces mots que dit l’esprit à la nature, Questionner tout bas vos rameaux palpitants, Et du même regard poursuivre en même temps, Pensif, le front baissé, l’œil dans l’herbe profonde, L’étude d’un atome et l’étude du monde. Attentif à vos bruits qui parlent tous un peu, Arbres, vous m’avez vu fuir l’homme et chercher Dieu ! Feuilles qui tressaillez à la pointe des branches, Nids dont le vent au loin sème les plumes blanches, Clairières, vallons verts, déserts sombres et doux, Vous savez que je suis calme et pur comme vous. Comme au ciel vos parfums, mon culte à Dieu s’élance, Et je suis plein d’oubli comme vous de silence ! La haine sur mon nom répand en vain son fiel ; Toujours, – je vous atteste, ô bois aimés du ciel ! – J’ai chassé loin de moi toute pensée amère, Et mon cœur est encor tel que le fit ma mère !
Arbres de ces grands bois qui frissonnez toujours, Je vous aime, et vous, lierre au seuil des autres sourds, Ravins où l’on entend filtrer les sources vives, Buissons que les oiseaux pillent, joyeux convives ! Quand je suis parmi vous, arbres de ces grands bois, Dans tout ce qui m’entoure et me cache à la fois, Dans votre solitude où je rentre en moi-même, Je sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’aime ! Aussi, taillis sacrés où Dieu même apparaît, Arbres religieux, chênes, mousses, forêt, Forêt! c’est dans votre ombre et dans votre mystère, C’est sous votre branchage auguste et solitaire, Que je veux abriter mon sépulcre ignoré, Et que je veux dormir quand je m’endormirai.
AUX ARBRES – VICTOR HUGO
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Alright @ele-millennial-weirdo asked me a little text about our boy Thrawn in my weird and strange mother language that is French, because I never write in my own language (strangely). So here you go! We'll see if i ever provide a translation
Karyn Faro marche dans les longs et sinueux couloirs du Chimaera, pour tout un chacun cela serait un labyrinthe tortueux mais elle est la Commodore du vaisseau, il n’a aucun secret pour elle. Les officiers de rang inférieur et subalterne la saluent avec respect quand leurs chemins se croisent, elle leur répond d’un hochement de tête et poursuit sa route. Elle arrive devant la porte de la suite du Grand Amiral Thrawn, donne son cylindre de codes au Stormtrooper et passe la porte coulissante.
La pièce est large, mal éclairée, sans doute une volonté de la part du Grand Amiral et une légère odeur d’alcool semble flotter dans l’air. Les hologrammes d'œuvres d’art flottent ça et là dans la pièce, égayant ce salon qui manque cruellement de personnalité si ce n’est de charme. Le luxe est bien présent par contre…
“Grand Amiral?” elle appelle doucement, de peur de le déranger dans son intimité.
“Je suis là, Commodore,” il répond depuis un fauteuil caché dans un coin où il ne peut être remarqué mais où il peut observer la porte comme bon lui semble. “Vous souhaitez quelque chose?” il demande d’une voix qui semble empreinte de lassitude.
“Les cartes Grand Amiral” elle indique, “Je vous apporte les datacartes.”
Il ne répond pas et tend la main vers elle.
“Approchez, Karyn, approchez…”
Elle obéit, comme une bonne Commodore le devrait et s’avance vers l’homme. Elle remarque le verre de whisky posé sur la table, sans doute sa seule compagnie de la soirée, pense-t-elle..
“Un problème, Monsieur?” Elle demande prudemment.
“Pas le moins du monde, je souhaite simplement vous observer de plus prêt.”répond-il en tapotant ses genoux “Asseyez vous.”
Elle marque un temps d’arrêt, une hésitation subtile mais qui n’échappe pas au Chiss.
“Allons, nous avons dépassé ce stade ne pensez vous pas?” il la réprimande gentiment, un léger sourire flottant sur ses lèvres
Elle repense aux nuits de passions qu’ils ont déjà partagés et aux baisers enflammés qu’elle prend plaisir à voler à ses lèvres. Elle secoue la tête, effectivement hésiter pour si peu est ridicule compte tenu de leur passif. Elle finit d’approcher et s’assoie confortablement sur les larges et solides genoux de son officier supérieur. Thrawn soupire, lui caressant le dos délicatement. Elle passe son bras autour de ses épaules et lui caresse les cheveux, attendant qu’il s’explique, mais il reste muet, observant la baie vitrée donnant sur l’infinie galaxie, froide et noire. Il repose sa tête dans le creux de son épaule, inhalant l’odeur de ses cheveux et le parfum du gel douche réglementaire de la Navy.
Elle lui prend la main reposant sur ses genoux et la presse.
“Y-a-t-il un problème, Thrawn?” demande-t-elle à nouveau, avec une voix plus douce.
Il soupire à nouveau.
“Je suis las, Karyn.” Explique-t-il “Las de ces conflits triviaux, de tous ces problèmes que l’Empire se crée lui-même. De toutes ces querelles politiques incompréhensibles et de ces hommes et femmes véreux qui ne savent voir plus loin que leurs propres intérêts…” il marque une pause, semblant rassembler ses mots “Et par-dessus tout je suis las de ma solitude. J’aspire à rentrer chez moi, retrouver les miens et la chaleur réconfortante de mon foyer…”
Karyn reste coi, abasourdie par ces révélations. Combien de verres a-t-il bu pour lui avouer tout cela? Elle repose son menton sur le haut de sa tête.
“Eli Vanto vous manque?” elle murmure.
“En effet.” il admet “C’est un ami qu’il me plairait de revoir. Mais il ne pourra jamais remplir le gouffre que je ressens…”
Les notes d’alcool de son haleine remontent jusqu’aux narines de Karyn, il est définitivement soul. Il la serre contre lui, enfouissant sa tête contre sa poitrine, inhalant son parfum au plus profond de ses poumons. Elle embrasse le haut de son crâne.
“Ne suis-je pas une amie également?”
“Vous l’êtes… Et bien plus que cela. Vous partagez ma vie dans ses victoires commes ses moments les plus sombres, vous êtes une fidèle compagne et un atout précieux.” Il continue, sa voix quelque peu étouffée par le tissu de l’uniforme de Karyn “Je ne saurais me défaire de vous, vous êtes trop précieuse…”
Elle continue ses caresses de cheveux alors que son cœur s’emballe à ces compliments. Thrawn savait complimenter ses officiers mais c’était toujours montré secret dans sa vie privée, même envers elle. Une telle démonstration d’affection était particulièrement rare et très certainement due à l’alcool.
Elle le plaint sincèrement. Être envoyé loin de chez soi, chez des étrangers pour quérir de l’aide, et ensuite gravir les échelons d’une entité militaire dans un environnement hostile à sa race… Elle n’en mènerait pas large, du moins pas aussi bien que Thrawn.
“M'aideras-tu?” Susurre-t-il “M’aideras-tu, Karyn, a trompé ma solitude une fois encore dans tes bras?” enfonçant ses doigts dans sa chair, comme si elle pouvait s’enfuir de ses bras à tout instant.
Comme si elle voulait être autre part que dans ses bras…
“Bien sûr, Thrawn.” Elle embrasse sa joue. “Ce soir, demain et tous les jours si il le faudra…”
Ils regardent dans les yeux l’un de l’autre, il n’y voit que dévotion, résolution et loyauté, elle y voit noirceur, solitude et une ombre de tristesse. Mais les deux voient également l’amour. Partagé, sincère, secret… Fragile.
Ils scellent leurs lèvres en un tendre baiser qui s’enhardit et s’enflamme, les laissant pantelant. Il repose sa tête sur son épaule et embrasse son cou, sa main glissant vers le haut de sa cuisse vers le cœur de tous ses désirs.
Elle le sert contre elle, fort, comme si il pouvait disparaître.
Ce soir ils tromperont leur solitude ensemble à nouveau.
@kissed--byfire, @al-astakbar
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Je ferais brûler mon coeur sur le buchet du désamour... Aucun sort ne pourra m' enfermer dans l' illusion d'un profond sentiment à mon égard... Les miroirs et leurs yeux ne me renvoient que du dégout... Je suis pourrie de l'intérieur et cela se voit sur mon visage... Seule la lame me touche encore... Le reste me fuit... Je ne m'attache ni à mon sort ni à qui que ce soit... Mon vécu m'a appris à étouffer mes cris de douleur... C'est la solitude qui m'a accepté, consolé et gardé en sécurité... Cependant je ne l'aime pas... Je la subis autant que je la désire... Je ne me sens jamais sereine où que je sois... J'ai banni l'espoir de ne pas crever oubliée au fond de mon trou... Un fardeau en moins à porter... Que d'admettre que je suis déjà morte... Un simple amas de chair qui se traîne jusqu'à la tombe... Un adieu inutile à prononcer...
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Notre rendez-vous du mois!
Hello mes papivores 2.0, et bienvenue à notre rendez-vous du mois qui s'annonce riche en émotions comme le premier. Aujourd'hui, je vous garde dans le même univers que mon précédent article, mais celui ci est un peu plus je dirais … GLAUQUE! L'écrivaine Louise Mey, auteure engagée au style on ne peut plus percutant, sait nous captiver, nous lecteurs dès les premières pages. Et ce que j'adore par dessus tout avec cette grande dame bourrée de talents c'est le fait que la plupart de ses thèmes repose sur des sujets sensibles et d'actualité, tels que les féminicides, les manipulations psychologiques, les secrets de famille et les injustices sociales.
C'est exactement dans un thème comme ceux suscités que je me suis plongée récemment. Laissez vous submerger d'émotions (je vous promets très débordantes), dans ce thriller psycho dramatique de Louise Mey: LA DEUXIEME FEMME .
Le PITCH d'abord!
Sandrine a tout pour être heureuse : un mari aimant, deux enfants magnifiques, une vie paisible. Mais un jour, tout bascule. Son mari, Thomas, lui annonce qu'il a retrouvé son ex-femme, Clara, disparue depuis des années. Sandrine se retrouve alors en proie à un sentiment de jalousie et de peur qui va crescendo. Qui est vraiment Clara ? Que veut-elle ? Sandrine est-elle en danger ?
Mon avis, toujours HUMBLEMENT!
Louise Mey sait d'habitude comment tenir son lecteur en haleine. Dès les premières pages, on est happé par l'intrigue et on a du mal à lâcher le livre. L'auteure distille savamment les indices et les rebondissements, nous menant sur de fausses pistes et nous surprenant jusqu'au dénouement final. Par contre dans ce thriller, j'ai eu beaucoup de mal aux premières pages qui ennuyaient très vite et qui ont bien failli me faire laisser tomber ce livre (heureusement que non!). On nous présente Sandrine, jeune femme ordinaire envahie de complexes (sentiment normal je vous assure!), essayant de vivre sa vie paisiblement. Son univers bascule quand son mari Thomas (attention à tous les "Thomas" de votre entourage après ça!) lui annonce qu'il a retrouvé son ex femme auparavant mystérieusement disparue… Le retour de Clara (personnage très atypique), l'ex-femme de son mari, agit comme un tremblement de terre, ravivant des blessures enfouies et semant le doute et la peur dans son esprit. Le roman explore avec profondeur les sentiments complexes de Sandrine, tiraillée entre la jalousie, la colère et l'espoir de sauver son mariage. Sa confrontation avec Clara est électrique, chaque mot résonnant comme un coup de poignard dans une atmosphère de tension palpable.
La Deuxième Femme n'est pas seulement un thriller psychologique, mais également un récit poignant sur la place des femmes dans la société. Louise Mey met en lumière les injustices et les violences auxquelles elles sont confrontées, soulignant la douleur et la solitude ressenties par celles qui se retrouvent dans l'ombre d'une autre femme. C'est un livre poignant et bouleversant qui ne se résume pas à une simple intrigue policière. Il nous confronte à la complexité des relations humaines et aux répercussions profondes de nos choix. Un récit qui m'a profondément marquée et qui m'a amenée à réfléchir sur la force et la résilience des femmes face à l'adversité. Ce qui rend ce livre particulier est le partage incroyable de sentiments que l'on peu avoir avec Sandrine: l'insécurité, la peur à chaque fois que son mari rentrait du travail, la douleur des coups qu'elle recevait, l'humiliation servie par Thomas et surtout la RAGE de vaincre et de se sortir de là une fois le déclic eu… La fois de trop! Attention, les violences psychologique et physique peuvent être difficiles à lire pour certains.
J'ai clairement savouré avec amertume (pour être honnête) ce livre et je le recommande à tous les lecteurs qui recherchent un roman intense et poignant, les amateurs de thrillers psychologiques et les personnes sensibles aux questions de société et aux violences faites aux femmes.
Vous pouvez vous procurer cette merveille au Supermarché CARREFOUR à PLAYCE, quartier WARDA à Yaoundé au rayon bibliothèque.
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Come back
Ce matin, l’ennui. Et les jours qui s’allongent dans une nouvelle sérénité. Je me suis tue longtemps. J’ai cru devoir dissocier des parts de moi-même, les comparer, les soupeser, les caresser aussi, lesquelles avaient les couleurs de la peur, les autres du chagrin. Prendre une à une ces douces bandes et les lisser le long de ma paume. Les voir, et simplement se taire. Taire le balancement exiguë de la pensée, pour ne sentir que la piqûre, ou le frottement des épines le long de l’échine. Parler me semble encore un peu dérisoire, ou bien intrusif. La mue s’opère encore en fond, qui sait s’il ne faut pas quand même respirer à travers ? Que dire d’une transformation dont on doute à chaque instant des bienfaits ? Que dire des mouvements de reculs et projections, des obsessions manifestes et nombreuses ; que faire des angoisses infinies de ne pas savoir qui l’on est, ce qu’on devrait être ou faire, du temps qu’on a perdu à pleurer dans sa chambre, à maudire le monde entier, du temps perdu à s’en vouloir soi-même de n’avoir pas été assez, d’avoir eu trop peur.
Ce matin, la peur, donc. Mais la peur de l’ennui qui nous fait croire qu’on a creusé dans sa vie un sillon trop profond qu’on ne pourra jamais combler. Croire fort qu’encore une fois les choix qui ont été faits étaient vains, qu’on se retrouve à nouveau, sans retour possible, dans les bras de la solitude promise, en échec, à l’abandon, au bout d’un chemin douloureux qui n’a pas vraiment de borne. La peur s’apitoye sur ton corps fatigué, jamais satisfait, jamais vraiment heureux, parfois en paix. Autrefois tu écrivais pour freiner la course de ces grandes douleurs. Autrefois tu écrivais, et on te demandait quand est-ce que tu trouvais le temps. Autrefois tu écrivais, et puis tu t’es tue.
Respirer. Refuser l’abîme. Refuser la souffrance fabriquée par les croyances maternelles. L’ennui que tu ressens est aujourd’hui comme fenêtre, une ouverture : oui, ça y est, c’en est la preuve, tu es enfin en sécurité. Tu sens en toi suffisamment d’espace pour revenir quand tu sens l’effroi t’embraser. Tu as le luxe de t’ennuyer. Ouvre les yeux sur l’espace qui t’entoure, sans les oeillères de la survie pour étouffer les petits chemins et les détours futiles. C’est l’heure du come back. Tu peux aller jouer maintenant. Tu peux risquer, gambader, te faire une frayeur, revenir. Le temps n’est plus un problème. Prend les poignées des portes qu’on te pointe du doigt, et prononce une formule tout droit sortie du fond de la sagesse humaine. Elle tient en trois lettres.
Ose.
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Si tu m'aimes ne pleure pas ! Si vous saviez l'immense mystère du ciel où je vis maintenant, si vous pouviez voir et entendre ce que je vois et entends parmi ces horizons sans fin, et dans cette lumière que tout investit et pénètre, tu ne pleurerais pas si tu m'aimes. Nous voilà maintenant absorbés par le charme de Dieu, de ses expressions de bonté infinie et des reflets de sa beauté sans limites. Les choses du passé sont si petites et éphémères à la comparaison. L'affection pour toi est coincée : une tendresse que je n'ai jamais connue. Je suis heureux de t'avoir rencontré à temps, Même si tout était si éphémère et limité à l'époque. Maintenant l'amour qui me tient au plus profond de toi, C'est la pure joie sans coucher de soleil. Pendant que je vis dans le serein et en attendant ton arrivée avec exaltation parmi nous, c'est comme ça que tu penses de moi ! Dans vos batailles, dans vos moments de réconfort et de solitude, Pensez à cette merveilleuse maison, là où la mort n'existe pas, où nous nous dissoudreons ensemble, dans le transport le plus intense vers l'inépuisable source d'amour et de bonheur Ne pleure plus si tu m'aimes vraiment !
Saint Augustin
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C’est trop triste quand tu aimerai être proche d’une personne, lui montrer que tu es là mais que cette personne ne le voit pas ou s’en fou. Même quand tu pensais qu’il y avait un petit quelque chose entre vous.
C’est triste et égocentrique, on ne peut pas forcer les gens à compter sur nous, on peut pas brandir un panneau en leur disant « coucou je suis là » parfois on est juste pas suffisant voir on est rien.
J’ai envie de te montrer que tu n’es pas seul(e) que je tiens à toi que je suis là.
D’un côté je le comprend, je ne sais pas si c’est la lucidité ou le cafard qui me fait parler mais personne aussi me viens quand j’ai besoin d’aide, besoin de parler ou de réconfort. Enfin pour le réconfort je peux me jeter dans les bras de n’importe qui, mais c’est pas profond, c’est superficiel c’est de l’affect. Mais dans l’humain, dans le sens relationnel, j’ai personne à qui parler je me sens seul et incompris.
Et pourtant je mentirai en disant que je n’ai ps d’amis, je pense que je ne sais juste pas comment faire avec eux, je veux dire, je pense que je ne vois personne pour m’aider parce que je ne sais pas comment on pourrai m’aider, et parler me semble qu’une répétition de ce que j’ai déjà dis et une perte d’énergie.
Sûrement que certain ressente la même chose que moi (ce dont je parle au début) ils aimeraient que j’aille vers eux et être là pour moi mais moi je vois que mon nombril négatif et ma pseudo solitude
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Pépite. C’est danois. Quel peuple étonnant.
Quand je suis allée au Danemark, après quelques jours dans la campagne et quelques jours en ville, un mot m’était venu pour qualifier l’atmosphère du pays : lénifiant. Ça n’est en aucun cas un jugement définitif puisque deux semaines en touriste ne permettent pas de saisir l’essence profonde d’un pays. Mais je garde un souvenir « lénifié » de ce séjour. Tout a l’air propre, calme, plat, ronronnant, pas loin d’être un peu chiant, n’ayons pas peur de le dire. Sentiment différent à Copenhague, parce que les capitales sont des petits pays en eux-mêmes, avec une pulsation indépendante.
L’héroïne du roman a quitté Copenhague avec son mari qui se met à enseigner la littérature dans un genre de collège-lycée pour le peuple (truc typiquement danois qui ressemble à une communauté new age, écolo et vaguement à une secte). Elle s’ennuie car elle est déracinée, sans amis véritables ; avec son mari, ils ont un enfant en bas âge qui les épuise de manière aussi banale que drôle. Elle s’acharne pendant presque tout le roman à diverses tâches : passer son permis, lier amitié avec autrui, comprendre comment les gens fonctionnent dans le Jutland de l’Ouest (le fameux pays des phrases courtes où elle peine à se calquer sur le rythme taiseux des conversations qui la déroutent).
Le récit est d’une grande sensibilité, car avec fantaisie, elle excelle à retranscrire des dialogues étranges, qui montrent sa solitude, et à exprimer des sentiments de désespoir tout autant que d’allégresse assez subtils, difficiles à saisir et à appréhender. Grâce à des images étonnantes et à une immense honnêteté, elle touche en plein cœur tout en nous faisant nous gondoler. Car le livre est désopilant, avec cette forme d’absurde proche du désespoir.
Je me suis sentie proche de la narratrice-héroïne, je l’ai comprise ; je crois que c’est parce qu’elle se sent profondément inadaptée au lieu où elle vit, et qu’elle se montre à la fois totalement immature et très sage. Je comprends ce sentiment, et je pense que tout le monde le peut aussi. On se sent toujours un peu différent des autres n’est-ce pas ? On croit que les autres réussissent mieux que nous, et on se sent bêtement humilié pour des choses dérisoires (cf le chapitre sur la poussette, grand moment). Pourtant, cahin-caha, elle réussit à accepter d’être elle-même, et à ce que les autres l’acceptent aussi telle quelle. L’air de rien, le roman parle avec originalité de choses ultra importantes comme le couple, l’amour, la maternité, la communication, tout en restant léger, farfelu et sans cesse étonnant.
Ce livre est une bouffée d’air frais, absolument pas lénifiant, mais plutôt revigorant.
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5 novembre
depuis quelques années le mois de novembre est devenu le pire mois de l'année, alors qu'historiquement c’est censé être mon mois, avec le scorpion et mon anniversaire et noël au bout du couloir. mais là j'ai envie de le faire disparaitre mon anniversaire qui marque le temps qui passe et de crier whitehead you were WRONG je suis le grain de sable dans la théorie de la process philo parce que je bouge pas moi, jamais. je suis, dans l’ordre chronologique de mes divers diagnostics: endormie, gelée, à moitié morte, anesthésiée. sans oublier le moteur de ferrari coincé dans une deux chevaux. gracious.
ça va faire 48h que je suis enfermée dans ma chambre parce que maman est malade et que j’ai pas envie de tomber malade alors que ça changerait pas grand chose à mon quotidien pour être honête. dehors il pleut et c’est la tempête et hier soir j’ai regardé real housewives of new york jusqu’à deux heures du matin pour couvrir le bruit des voisins qui rigolaient à gorge déployée avec leurs invités en bas. j'avais l'impression de m'être cramé le cerveau mais dans un des épisodes jenna lyons va dans un bar lesbien de manhattan et monte sur scène pour danser avec une drag queen strip teaseuse donc ça en valait la peine. je veux aller dans un bar lesbien avec jenna lyons et qu’elle flirte avec moi ostensiblement pour me ramener dans son appart de soho archi luxe que je connais déjà par coeur.
j’ai vu sur ig que bettina heldenstein était allée voir les mêmes expos que moi à paris + celles que je voulais aller voir mais que je suis pas allée voir parce que trop cher. j’ai fini par aller voir l’expo sophie calle mercredi matin, y avait beaucoup de monde et les deux femmes devant moi ont rien payé parce qu’elles travaillaient dans la culture. j’ai bien aimé voir toutes ses idées de projets non réalisés ou abandonnés. j'étais un peu agacée par son privilège d'avoir grandi dans une famille de riches bourgeois cultivés aussi. elle dit qu’elle est devenue artiste pour plaire à son père qui était collectionneur d'art. parce qu’elle savait pas quoi faire d’autre. parfois j’aimerais savoir comment j’aurais fini si j’avais grandi avec mon père. mon père médecin qui criait beaucoup et qui tenait à ce qu’on fasse notre scolarité ici plutôt qu’en france. est-ce que j’aurais fini par péter un câble? est-ce que je me serais rebellée comme une ado normale? j’étais pas une ado rebelle du tout et je m’identifiais à 100% à la réplique de jason schwartzman dans bored to death quand il dit i’m not good with anger i go straight to depression. ma désobéissance se cantonnait à sécher compulsivement les cours à gros coups de mensonges éhontés pour rentrer à la maison et regarder desperate housewives en paix. jamais d’alcool ni de cigarettes ni de drogue, j’avais les films et les séries.
à paris dans le metro j’écoutais une fille d’une vingtaine d’années qui racontait à son amie la première fois qu’elle avait eu un crush sur une fille qui était hétéro et son amie lui demandait si elle le lui avait dit mais j’ai pas entendu la suite. ça m’a renvoyée à moi à paris y a douze ans avec ma profonde solitude face à mes tout nouveaux et terrassants sentiments pour j. et puis le soir chez chartier on était assises à côté d’un jeune étudiant en première année de licence de lettres modernes qui parlait de ses cours chiants et de ses devoirs à rendre avec sa mère en visite à paris et ça m’a rendue un peu mélancolique, pas dans le sens nostalgique mais dans le sens si je m’étais penchée vers leur table pour lui dire que moi aussi j’avais fait des études de lettres modernes à la sorbonne et qu’il m’avait demandé ce que j'en avais fait j’aurais eu que des regrets à lui rapporter. regrets de pas avoir continué dans la linguistique l’édition ou le cinéma pour avoir au moins un master, regrets de pas avoir bifurqué vers des études d’art, regrets de m’être laissée glisser dans le vide avant même d'avoir terminé mon année de m1.
à part ça lundi matin en sortant de la gare de l’est j’ai vu céline sallette au coin du boulevard magenta, elle m’a brièvement regardée, sans doute attirée mon oeil gauche comme tous les autres gens. elle portait une doudoune noire et elle tenait un enfant par la main. elle avait l’air soucieuse mais elle était magnifique.
7 novembre
quatrième, cinquième, sixième, 180e jour d'exil dans ma chambre? je me suis quand même aventurée dans le salon pour regarder harry potter 3 ce soir mais j'ai loupé la moitié du film parce que je discutais de trucs cons avec r., on discutait déjà de trucs cons ce matin, puis je suis partie à la pharmacie et à la boulangerie chercher des trucs pour maman et on a continué à discuter quand je suis rentrée, il me racontait qu'il avait réussi sa formation et obtenu un contrat d'un an qui lui permet d'être payé pour développer ses propres projets et après ça normalement il aura droit au statut d'artiste et à la fin du message il crie et j'aurai plus besoin de job alimentaiiiire!!!!! comme dans ma chanson de saturne. j'ai du me forcer à me réjouir pour lui, heureusement par écrit c'est facile de faire semblant, mais si je l'avais eu en face de moi il aurait vu mon âme morte derrière mes yeux, et ma saleté de jalousie aussi. il part en tournée en france bientôt et je sais pas pourquoi ça me met dans cet état, je suis jalouse à en avoir mal au ventre, alors qu'y a un an je le connaissais pas et il vivait sa vie de musicien et moi je vivais ma vie de merde, blissfully unaware.
une fille qui a vu mon film au festival en islande hier soir m'a dit qu'elle l'avait trouvé très beau et plein de joie et que c'était le plus cool qu'elle ait vu jusqu'à maintenant et ça me tue d'être enfermée dans ma chambre à regarder rhony et à pleurer sur r. et sa jolie tête dans des vidéos de huit minutes où il joue des trucs discordants sur ses multiples synthés à me dire non mais il pourrait pas au moins avoir la décence de se couper la tête pour la remplacer par une plus moche c'est quoi cet affront là, au lieu d'être en islande en train de discuter de mon film avec des gens et agrandir mon réseau. le nouveau directeur de la lunga school semble l'avoir bien aimé lui aussi donc je me dis qu'il est peut être pas si nul que ça? mon film pas le directeur.
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FEMME… Hommage…
Internaute anonyme (2012)
Femme, j’ai tant de choses à te dire,
Qu’il me faudrait un livre pour l’écrire.
Une vie ne suffit pas, et encore plus de temps,
Car tu portes en toi tout ce que je ressens.
Femme tendresse, femme douceur,
Femme tempête, femme douleur,
Il me faudrait tout le dictionnaire
Pour parler de toi, en rimes et en vers.
Tu es le commencement et la fin.
Tu es l’aboutissement, soir et matin.
Tu es l’émotion, la finesse, la vie.
Tu es tout ce que je ne suis pas, je t’envie.
Tu es l’avenir de l’humanité,
Car tu portes en toi l’éternité.
Femme d’amour, tu donnes la vie.
Femme de cœur, tu donnes l’amour.
Femme sensible, fragile, forte,
J’attends tout de toi, ouvres-moi ta porte.
Fais-moi une place dans ton cœur.
Offre-moi tout de toi et plus encore.
Femme battue, maltraitée,
Femme outragée, mal aimée,
J’aimerais tant te protéger,
Pour pouvoir tout te donner.
Femme courage, tu es admirable.
Femme aimable, tu es remarquable.
Tu es, parfois, imprévisible, charmante,
Tellement troublante, émouvante.
Femme au regard si doux, si profond,
Je me plonge dans tes yeux jusqu’au fond,
Recherchant l’insondable, l’innommable.
S’il t’arrive de pleurer, je me sens minable.
Femme, ces colères que je redoute
Lorsque tes yeux lancent des éclairs,
J’apprécie pourtant, lorsque tu doutes,
Ton émotion, quoi qu’il t’en coute.
Femme, du fond de ma solitude,
J’ai besoin de ta sollicitude,
De ta douceur, de tes caresses,
De ton affection et de ta tendresse.
Femme heureuse, complice de mes bonheurs,
Femme amoureuse, tu supportes mes humeurs.
Et lorsque surviennent orage et malheur,
Tu gémis, tu souffres… pire tu pleures.
Femme tu me désarmes,
Alors je rends les armes.
Sans toi je l’avoue, je ne suis rien.
Tu le sais, de toi j’ai tant besoin.
Dis-moi encore qui es-tu ?
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Je l'ai. C'est bon, je comprends doucement pourquoi je reste aussi seule la quasi-totalité du temps. Voir n'importe quelle personne me renvoie à des réflexions intérieures prenantes et franchement déplaisantes. Penser que je vais m'emmerder avec quelqu'un c'est nettement moins pénible que m'emmerder vraiment avec quelqu'un. J'aime cette solitude parce qu'autrement je m'imprégne très -trop- rapidement d'aversion, de peine, de dégoût profond pour l'Autre. Avec un grand A car c'est pas une personne, c'est tout le monde. Ça me renvoie à la perte de temps. Ça me renvoie à ce sentiment de faire les choses trop bien pour des gens qui ne le sont pas. Gâcher du temps, voilà ce que je déteste car c'est fatiguant. Je ressens des émotions, j'ai des pensées, des souvenirs que je n'ai pas quand je reste avec ma seule compagnie. Parce qu'avec moi, je sais à quoi m'attendre. Je me connais. Je me déçois pour bons nombres de choses mais pas en ce qui concerne m'accompagner pout défier les minutes. Il y a une lourdeur dans mon ventre quand je suis accompagnée, une fatigue soudaine, comme celle de la digestion après un repas. Sauf que les Autres sont indigestes, me pèsent sur l'estomac. Ça me fait me sentir bête de dépenser mon peu d'énergie de cette manière et c'est la raison pour laquelle je m'isole profondément et constamment. Je vis tellement mieux, tellement plus posément. J'ai déjà tant de questions qui affleurent qu'il est délétère d'en rajouter d'autres
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Le foyer Sympa " Les Sympa semblent être le foyer parfait du moins en apparence. Mary-Sue est bien déterminé à devenir une figure éminente en politique quitte à consacrer tout son temps à cela et laisser son foyer à la dérive. Son mari délaissé, Daniel, a succombé au charme ravageur de sa domestique. Quant aux jumelles, les disputes et actes de rebellions de Lilith bouleverse le clame du foyer. Mary-Sue, découvrira-t-elle la liaison de son mari? Et arrivera-t-elle à clamer le jeu entre ses deux filles pour retrouver le clame dans son foyer? " Mary-Sue Sympa Fille adoptive de Marco et Coraline Rococo, Mary-Sue vécus au sein d'un foyer aimant et loin du besoin. Comme son père avant elle, elle fera de grandes études universitaires pour se lancer plus tard dans une carrière politique. Lors d'un déplacement, elle rencontrera l'homme qui partagera sa vie, Daniel Sympa. Amoureuse elle l'épousera très rapidement sans le consentement de ses parents qui n'appréciait que peut le jeune homme, ne le trouvant pas assez bien pour leur fille. De leur amour, viendront deux jumelles Angela et Lilith Sympa. Aujourd'hui Mary-Sue, est plus proche que jamais d'atteindre ses rêves de gloire dans la sphère politique, mais la discorde continuelle de ses filles et la liaison secret de son mari pourrait tout faire basculer. Daniel Sympa Fils de Jeff Sympa, Daniel vécu dans un foyer modeste avec pour seul souvenir de son enfance un père alcoolique rêvant de marcher sur Mars. Il quittera son foyer à 18 ans avec sa sœur, Jennifer Deschamps, pour s'éloigner de son père et de l'alcool qui pourrisait sa vie. Lors d'une sortie au restaurant avec sa sœur, pour fêter sa majorité, il tomba sur le charme d'une femme du nom de Mary-Sue. Ils étaient bien différents, elle rêvait grand avec que lui ne souhaitait que quelque chose de petit et simple. Mais le charme de cette femme déterminé était irrésistible. Après plusieurs années, un mariage heureux, la naissance de deux petites filles, la flamme commencent à s'éteindre. La solitude s'empare de Daniel, sa femme est de moins en moins à la maison accaparé par son travail. Ses filles sont aussi peut présente, occupé à penser à leur avenir et à leur petit amis. Alors quand sa nouvelle domestique, Kérine Hébert, poussa la porte de son foyer, Daniel ne put y résister. Il c'est que s'amouracher de sa sulfureuse domestiques métrait à mal son foyer mais la solitude était pour lui bien pire. Angela Sympa Fille de Daniel et Mary-Sue Sympa, Angela est une jeune fille brillante et aimée de tous. Elle excelle dans toutes les matières et même le pom pom sim ne semble être difficile pour elle. Mais sa récente relation avec Kévin Hasseck le voyou du coin l'éloignera-t-elle de son glorieux avenir? Lilith Sympa Fille de Daniel et Mary-Sue Sympa, Lilith est la deuxième fille de la famille, née seulement 3 min 45 secondes après sa sœur Angela. Jusqu'à aujourd'hui, elle garde en elle un profond ressentiment pour ses parents, car ils se sont toujours plus intéressés à la brillante Angela qu'à la banal Lilith. Alors tout est sujet de dispute avec son foyer comme: son style, ses tatouages ou même sa relation avec Dirk Dourève. Arrivera-t-elle un jour à se réconcilier avec son foyer? Note de l'artiste: J'espère que ce premier relooking vous a plus. (est ce que l'un de vous avez vu l'indice dans le post précédant?) C'était un peut long mais je voulais présenter ma version des Sympa avec leurs espoirs, leurs conflits... J'ai utilisé les poses de @lou-from-moonwood, de @nell-le et de @helgatishaccreblog pour mon photo montage. Je me suis aussi inspiré des relookings de @sundaymorningsims4 pour faire les miens.
#sim#sims 4#the sim#simblr#the sims 4#PNJ#angela sympa#foyer sympa#mary-sue sympa#daniel sympa#lilith sympa#story#sim4 story#sim story#sim 4 no cc#sim pnj#sim4 pnj#ts4#ts4 simblr#the sim 4#foyer pleasant#angela pleasant#lilith pleasant#daniel pleasant#mary sue pleasant#ts4 pnj
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De poétiques tourbillons - David Frenkel
Nuit psychédélique Dans le tourbillon assourdissant De la grande messe métallique, Et sous les lasers fluorescents, Je dansotte avec les alcooliques. Pris dans un tourbillon de folie, Dans l’abysse je suis entraîné ; J’aperçois la méduse Aurélie ; Sous ses ailes d’or je vais caner. Le mal de tête me ressuscite, M’extraie du tourbillon de mes rêves. J’émerge dans une aube anthracite Celle qui m’enténèbre et me crève. Dansez arias Les soucis dansent avec moi Dans un tourbillon de joie. Ils ont vibré d’effroi Aux souffles de Dame Fortune, Et ont trépassé Dans un tourbillon de bonnes nouvelles. Ils ont ressuscité Aux détours des vicissitudes de la vie ; D’autres esprits les avaient invités. Avant de partir, valsez avec moi. Le labeur, ma solitude Dans un tourbillon de labeur, J’enfonce mon impérieuse vanité. Agite-toi, besogne indispensable ; Tes objectifs me font vibrer jusqu’à la moelle. Sous le joug d’un capitalisme fiévreux, Sous la férule de fébriles mépris, Je tourbillonne dans la vaste économie, Dans la solitude endormie. Mouvements amoureux Dans le tourbillon de l’amour, Tes yeux tournent en vrille, Ta voix descend en spirale, Ton parfum monte en volute, Ta grâce tourne comme une hélice, Et mon cœur se tortille d’amour. L’infâme jalousie Dans le tourbillon de la passion, J’aperçois maintes rivalités. Mon amour est en ébullition Dans la tortueuse volupté. Mes mots s’agitent de jalousie Qui dans un tourbillon de violence Enlève à l’amour sa poésie. Le poème se meurt en silence. Un vaste tourbillon de colère Entraîne mon esprit et mon cœur Dans des pensées qui vont vous déplaire ; Mon âme s’abîme de rancœur. Ô vieillesse Par la fenêtre de la vieillesse, J’aperçois mes années printanières Qui dans un tourbillon de joliesse Me saluent de brillante manière. Le tourbillon de la mort m’entraîne. Avec le trépas, je dois descendre. Autour de moi, les années s’égrènent La vieillesse me joue les Cassandre Aux confins du trépas Dans le tourbillon de l’angoisse, La noire inconnue m’engloutit. Je virevolte dans le néant, Damné par l’hydre des ténèbres. Je tournique dans l’ombre infernale, Dans le tourbillon de la mort. Aucune main ne me sauve, Aucune parole ne me délivre Du tourbillon d’un diabolique silence. Dans le tourbillon des souvenirs, Mon âme soudainement surgit ; Leur mémoire va me retenir ; Ils gravent sur mes années : ci-gît. Le tourbillon de la création Un jour Dieu a tourbillonné d’ennui. Il s’est agité dans la profonde nuit Et s’est morcelé en d’infinis tourbillons Qui tournent autour de l’éternel sillon, Celui que Dieu creuse continuellement Dans le labyrinthe de son entendement. David Frenkel Read the full article
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