#je souffre de la distance
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Missing my bestie so much for like no reason??? RAMA WHERE ARE YOU IT'S BEEN AGE SINCE THE LAST TIME I SAW YOU 😭
#I want to watch a stupid show with them#I want us to comment how everyone is gay on the stupid show#and eat some random lebanese food that are way too good#DONNEZ MOI LES PAIN A LA VIANDE LA DONT JAI PAS LE NOM#bref Rama ramene ton boule je sais pas quand faut quon se voit la c'est trop#je souffre de la distance#my husband is at war (my futur roomate)#I don't know when I will see them again (surely soon)#and our children miss them (we have plush that we share)#:'(
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Eté 1929 - Champs-les-Sims
14/20
Si j'ai beaucoup souffert (et je souffre encore), de la perte de grand-mère, je ne peux imaginer ce que ce soit être de faire le deuil d'un de ses parents. C'est un malheur que j'ai eu la chance d'esquiver jusqu'à présent, car presque tous mes proches, comme toi et Ange, avez eu à le subir. J'espère être prête le jour venu. Toi, tu m'impressionnes. C'est peut-être la distance de la lettre qui me donne ce sentiment, mais tu semble t'en sortir à merveille, avec toute la maturité que chacun attend de toi ou de moi. Tu fais ton deuil, tu affrontes ta douleur. C'est bien. Crois-moi, mon père n'a jamais fait le deuil de sa propre mère, et les je sais qu'il en souffre encore horriblement aujourd'hui. Maman et Oncle Adelphe ont essayé durant des années, mais je crois que pour lui, c'est trop tard. Il portera sa plaie à vif jusqu'à la fin. Je ne le lui souhaite pas, et j'espère que quelque chose parviendra à l'apaiser un jour.
Transcription :
Constantin « Maman ne me laisserait jamais… Un jour, je… »
Adelphe « Non, ça suffit ! J’aurais du te confronter il y a longtemps. En refusant la vérité, tu te fais souffrir inutilement, tu te fabriques des regrets, des déceptions. Tu attends quelque chose qui n’arrivera jamais. Il faut que tu le dise. »
Constantin « Adelphe, s’il te plait… »
Adelphe « Fais moi confiance. Pour accepter la vérité, il faut la dire. Alors, je veux que tu la dise à haute voix, devant moi, comme une promesse de ne plus jamais te mentir à toi même. »
Constantin « Je ne peux pas dire ça... »
Adelphe « Si, tu le peux. Et tu vas le faire. Car tu n’as vraiment le choix. Je t’écoutes, vas-y... »
Constantin « Maman�� Maman est… morte. Elle ne reviendra jamais pour moi. »
Adelphe « Non, elle ne reviendra pas. »
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#eugénie le bris#Arsinoé Le Bris#Lucien Le Bris#Constantin Le Bris#Adelphe Barbois#Clémence Brion#Ange de Chastel#Albertine Maigret
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La lenteur de la broderie
L'une des choses que je préférais dans la série de Lisa Hanawalt Tuca and Bertie c'était la manière dont on passait d'une animation classique à des procédés plus handmade : l'utilisation de stop motion avec de la pâte à modeler, des silhouettes en papier, du noir et blanc griffonné, des marionnettes... Ce n'était jamais gratuit dans la série : cela signalait toujours qu'un personnage avait des difficultés à dire et à montrer. Le procédé était pudique, délicat. Une manière de dire que la mémoire, parfois, doit se protéger. Dans sa bande-dessinée Des maux à dire (parue aux éditions Sarbacane), Bea Lema utilise, elle, la broderie. C'est une manière de mettre une distance, mais aussi de nous faire ressentir encore plus fortement ce qui se joue dans la psyché de sa narratrice. La broderie devient souvenir, elle une façon expressionniste de dire, elle prend le relai du dessin. Elle tisse le lien entre une mère et sa fille. La lenteur de la broderie souligne quelque chose qui a besoin de temps pour être réparé. "Des maux à dire" raconte l'histoire d'une jeune fille qui doit grandir avec une mère qui souffre d'une maladie mentale. Comme son père et son frère ne savent pas quoi faire (la BD raconte beaucoup cette charge du care qui pèse sur les épaules des femmes et des filles), la narratrice doit s'occuper de sa mère. Essayer de comprendre ses démons, de se battre à ses côtés tout en se protégeant de sa paranoïa. La BD raconte la religion, les angoisses de cette mère persuadée d'être possédée par un démon, la prison de la domesticité, la difficulté de grandir dans l'ombre de la maladie, les traumas intergénérationnels. Les rôles qui s'inversent, au fur et à mesure. Il y a ces pages brodées dont je parlais et puis il y a d'autres trouvailles graphiques — un noir et blanc tranchant et des planches au feutre (sublimes) qui retranscrivent une imagerie foisonnante de l'enfance. C'est une BD difficile mais très belle, toute en délicatesse, sans raccourcis. Très recommandé.
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Encore et toujours en mode paradoxal…
Aujourd’hui, 14 février, jour de la St Valentin…même si je n’ai jamais trop porté d’importance à ce jour en particulier tout au long de ma vie de femme c’est désormais que je n’ai plus personne à mes côtés que je m’en soucie !
Alors je dis aux gens que j’aime que je pense à eux même s’il ne s’agit pas de cet amour-là que vise ce jour précis. Au fond, la fête des amoureux concerne-t-elle seulement les couples ? Mes enfants m’ont fait des cadeaux, mes amis et mes anciens amants ont eu des pensées tendres à mon égard, cela suffit… ? Devrais-je en attendre plus ?
Je pense qu’au fond j’aimerai vivre un jour cet état d’esprit où l’autre est dans ma tête et devance en permanence mes envies et mes attentes mais je vise l’utopie à travers ce fantasme. Lui, il aurait pu en être capable s’il n’avait pas toujours tendance à agir de travers !
Il lui suffirait peut-être de faire l’inverse de ce qu’il ferait en temps normal pour viser juste, qui sait ? En tous les cas, même si cette histoire touche à sa fin je ne suis pas satisfaite de cela. C’est un jour où il ne devrait pas y avoir de place pour les mots durs mais seulement pour les mots doux. J’ai envie de lui écrire ces mots-là mais j’en suis malheureusement incapable. J’en souffre énormément car rien n’est plus difficile que d’agir à l’encontre de ses sentiments profonds.
J’aurai aimé passer la soirée avec lui, juste lovée au creux de ses bras. J’aurai aimé le bercer de mes caresses et de mes baisers. J’aurai aimé lui dire dans les yeux que je l’aime malgré tout…Je sais que ça n’arrivera pas…
Je ne sais pas pourquoi mais parfois le négatif est plus fort, il remporte systématiquement la partie. Moi qui préfère tout contrôler ça je ne le contrôle pas ! Cette idée me résiste, il doit bien avoir une raison. Il préfère me tenir à distance de sa bulle dont il a besoin pour craquer mais craquer à cause de quoi ? De moi ? D’autre chose ? Pourquoi n’ai-je pas le droit de l’aider dans ces moments-là ? Pourquoi me tenir systématiquement en dehors ? Suis-je juste bonne à jouer le rôle de potiche ? Je comprends mais je n’accepte pas c’est difficile pour moi.
Désormais, je suis fatiguée de lutter autant. Il sait tout, il a tout compris mais ça ne suffit pas. Je suis cassée à nouveau et de son côté il est irréparable, aucune suite ne sera satisfaisante à une pareille situation. J’ai le cerveau qui brûle à nouveau, moi qui désirais tellement obtenir la paix c’est insupportable. Il a raison, seule la solution de l’adieu semble envisageable mais une partie de moi préfèrerait mourir que de ne plus jamais avoir de ses nouvelles c’est fou ! Visiblement, je dois me résigner à admettre que je ne suis pas celle qu’il lui faut même si j’aurai adoré l’être. Je ne suis pas en mesure de réaliser ce qui est en train de se jouer devant moi et d’autant plus aujourd’hui…Je me sens tellement divisée, brisée et déçue…de moi, de lui et de ce « nous » qui nous fait souffrir tous les deux finalement. C’est trop injuste et moi qui ne supporte pas cette idée je me sens impuissante…J’aimerai lui dire moi aussi que je suis désolée mais je ne sais pas de quoi en réalité. Je me laisse envahir par la fatalité alors que je lutte contre elle depuis ma naissance. Cette fois elle va probablement gagner…Je suis anéantie…Sache que je…
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Q&A 002
@depressedpug demande :
« Quand le parc était encore ouvert, quelqu’un a-t-il déjà essayé de manger des bouts de la mystérieuse créature de chair ? Je sais qu’on boit son fluide, mais est-ce que sa viande se mange ? »
À ma grande surprise, c’était une question très posée à l’époque. Oui. Lors de la découverte de la Fosse, une batterie de tests matériels et biologiques a été conduits et des échantillons de tissu ont été cuits puis consommés. Le personnel ayant pris part à ces tests impromptus, composés principalement de travailleurs sur le terrain, a rapporté que les muscles étaient répugnants et avaient le goût très prononcé du gibier. Ils restaient toutefois très tendres sous la dent. Ce même personnel a également rapporté que d’autres tissus, tels que pulmonaires, digestifs ainsi que les dépôts de graisse avaient une texture et un goût similaire à celui des abats. C’est pourquoi on considère aujourd’hui que la consommation des tissus du Superorganisme du Bassin Permien est une mauvaise idée et n’en vaut pas la chandelle. On dénote toutefois que de nombreux randonneurs et anciens employés de gestion de la faune et de la flore sauvage ont affirmé qu’un petit nombre d’espèces invertébrées, non venimeuses, issues de la fosse sont excellentes lorsqu’elles sont cuites à la vapeur et servies avec du beurre.
@eljaspardo demande :
« Est-ce que PETA ou des groupes similaires liés au droit animal ont déjà essayé de faire une remarque ou d’intervenir à propos de la souffrance du Superorganisme du Bassin Permien avant ou après l’incident ? »
On pourrait s’attendre à de fortes controverses de la part des activistes des droits animaux quant à l’exploitation de la Fosse, mais ce n’est pas le cas. Des petits groupes militants ont vu le jour lors de l’exploitation du parc, mais ne se sont jamais développés à l’échelle du pays. Certains attribuent ce phénomène à la distance et la méconnaissance du parc de la part du grand public — et ce malgré l’implication des industries dans le projet à l’échelle mondiale. Bien sûr, dans les mois suivants l’incident en 2007, une série de manifestations et de critiques de la part de groupes comme PETA et le WWF ont éclatées. Toutefois, ces mouvements se sont perdus dans la foule de centaines d’autres manifestations et contestations à propos de divers sujets. @insufficiently-advanced demande :
« Est-ce que la fosse souffre ? »
Y a-t-il quelqu’un qui ne souffre pas ?
@getsmashed demande :
« Dans le rapport d’enquête final sur l’incident, on recommande le remplacement des nutriments dans l’estomac du superorganisme par de la roche afin de lui éviter une sensation de faim. Combien de temps pourrait-il survivre sans manger ? Si l’on combine ceci avec les autres mesures de confinement, n’y aurait-il pas un risque que l’organisme meure ? »
Aujourd’hui encore, on ne comprend pas très bien le processus métabolique complet du Superorganisme du Bassin Permien. En revanche, on sait que son métabolisme est incroyablement lent : son régime, hybride, est principalement constitué de dépôts hydrocarbures souterrains qu’il digère lentement puis converti en énergie. C’est une méthode très efficace pour produire les calories nécessaires à l’énergie de la Fosse de Chair mystérieuse. Cependant, elle ne prend pas en compte l’apport de composants organiques spécifiques nécessaires à la production et à la croissance cellulaire. Des milliers de tonnes d’os et de carcasses d’organismes marins préhistoriques non digérés ont été retrouvés au fond de la plus grande mer gastrique de la Fosse. Cela laisse penser que le Superorganisme opérerait suivant un certain cycle alimentaire. Toutefois, les recherches à ce sujet sont toujours en cours.
@kalanchoe-official demande :
« Y a-t-il des rumeurs d’installations religieuses dans la fosse ? »
Une chapelle non confessionnelle et interreligion a été bâtie suite aux rénovations du centre d’accueil inférieur en 1995. Cette chapelle existe principalement pour le personnel travaillant dans la Fosse pendant de longues périodes. Les messes ont lieu tous les vendredis, samedis, dimanches ainsi que les jours de fête religieuse. Bien sûr, les visiteurs qui souhaitent visiter la chapelle sont les bienvenus. Nombreux sont ceux qui souhaitent profiter de l’atmosphère calme et sereine qui règne dans cet espace. Je n’ai pas plus de détails à ce sujet, sinon que la l’installation de la « Mesure de contingence » mentionnée dans le Rapport d’incident sur la catastrophe de 2007 est définie comme un lieu d’« observance ecclésiastique/religieuse » dans un rapport de construction budgétaire rédigé par l’Administration des services généraux des États-Unis. Faites de cette information ce que vous voulez.
@solitarelee demande :
« Ça fait QUELLE taille, un copépode abyssal ? Est-ce qu’on a déjà réussi à les mesurer ou à récolter des infos à propos d’eux ? »
Un copépode abyssal adulte peut atteindre une longueur allant de 4,5 à 6 m. Certains spécimens peuvent peser jusqu’à 140 kg. Bien sûr, ces spécimens restent très rares et représentent le 80e percentile ou plus de l’espèce. Un spécimen moyen atteint une taille de 2 m et un poids d’environ 82 kg. Les traces de mue présentes sur la carapace des copépodes abyssaux permettent de définir l’âge d’un individu spécifique. De manière générale, l’espèce possède une durée de vie très longue, et certains individus peuvent atteindre jusqu’à 250 ans. C’est un contraste brutal avec les Hiboux Haletants, qui ne vivent que quelques minutes une fois sortis du cocon.
@realflamegirl demande :
« comment est-ce que le superorganisme et le parc ont-ils fait face aux déchets des visiteurs ? les détritus, marées noires, etc. »
Comme dans tous les parcs nationaux, la plupart des visiteurs du Mystery Flesh Pit n’ont que faire de leurs déchets et les jettent à peu près n’importe où. Grâce au personnel de nettoyage, il est facile de se débarrasser des déchets disséminés dans les espaces encadrés du parc. En revanche, sur les sentiers battus, il était plus difficile de repérer les déchets. L’action des cils et des muqueuses de la fosse se « débarrassait » des ordures avant que le personnel du parc ne puisse les identifier. Où les déchets ont disparu et leur effet à long terme reste l’un des nombreux mystères de la fosse de chaire.
Pour l’administration du parc, il y avait un problème plus pressant : réduire les émissions des véhicules diesel, de l’équipement ainsi que des générateurs du parc. Grâce à leurs cils et mucus, les tissus de la Fosse sont entonnement efficace pour absorber la suie et les particules de pollution. Cependant, les émissions de CO2 produites par les moteurs nécessitaient un système de ventilation coûteux et complexe. En raison des espaces anatomiques très profonds ou difficiles d’accès, un tel projet n’était pas possible ni réalisable. Malgré tout, les opérations minières ont conclu qu’il était plus rentable d’alterner les équipes de travailleurs à intervalles régulières afin d’éviter l’empoisonnement au CO2. Pour les travailleurs, il était également possible d’utiliser les systèmes d’air intégrés dans les combinaisons de protection.
Le pétrole était déversé n’importe où.
Un utilisateur anonyme demande :
« En supposant qu’il y ait parfois des amalgames humains, ou des humains coincés dans un amalgame, y a-t-il un moyen de les aider, ou est-ce qu’ils sont foutus ? »
Une procédure médicale expérimentale et très secrète a été mise au point par des chercheurs sponsorisés par Anodyne au Baylor Medical Center à la fin des années 80. Cette procédure a permis, à quelques reprises au moins, de « récupérer » une personne de l’amalgame. Le procédé pouvait se résumer en cinq étapes :
Identifier quels organes/tissus d’amalgame étaient d’origine humaine. S’il y avait plus qu’un humain, quels organes/tissus possédaient une séquence ADN différente des autres.
Supprimer soigneusement le plus d’organes possible de l’amalgame principal, le cerveau ayant la plus haute priorité. Lorsque le cerveau était endommagé ou partiellement fusionné, la procédure cessait.
Stabiliser les organes toujours intacts, priorité au cerveau, et leur permettre de cicatriser en les conservant dans une solution chimique dérivée du lest amniotique.
Le cerveau, ainsi que tout autre organe extrait, était ensuite placé dans un système d’assistance puis connecté les uns aux autres.
Par le biais d’une interface DOS rudimentaire machine/cerveau, il était possible à travers une thérapie d’établir un contact avec la « personne ». Dans la majorité des cas, celle-ci conservait la majeure partie de sa mémoire et sa cognition mentale. Avec de l’entraînement, la personne pouvait même développer un semblant de qualité de vie via l’utilisation de caméras, microphones, système de synthèse vocale (text-to-speech). Dans certains cas, des prothèses mécaniques tels que des induits ou bien des supports d’équipements de réanimation ambulatoire.
Il est important de souligner que — malgré les dires d’Anodyne lors de divers salons de l’Industrie pharmaceutique — la qualité de vie de ces « cyborgs » était effroyable. De plus, il était très difficile financièrement pour les familles de soutenir leur proche. La procédure complète, quand bien même possible, coûtait souvent plusieurs millions de dollars à réaliser. Le résultat final était une pièce remplie d’un tas de tuyaux et d’un équipement informatique peint en beige, sujet à la surchauffe. Depuis la dissolution d’Anodyne en 2008, la majeure partie de ces recherches est devenu propriété du gouvernement des États-Unis. Celui-ci n’a fait que rejeter mes demandes d’information, malgré la loi d’accès à l’information (FOIA).
@jay-leno-incarnate demande :
« J’ai lu que le véhicule de traversée des rangers utilise une sorte de rayon X comme outil de navigation. Les rayons X ne sont-ils pas nocifs pour la chair de la fosse ? Est-ce qu’on a déjà pu observer une sorte de cancer ou de maladie à l’intérieur ou à l’extérieur de la fosse ? »
Malgré la quantité de rayons X et de rayonnement micro-ondes émis à l’intérieur et à travers la fosse, aucun effet négatif n’a été observé. Toutefois, par rapport à la taille estimée du Superorganisme du bassin permien, on estime que les quantités de radiation introduites par l’activité humaine sont quasiment insignifiantes pour la santé de la Fosse.
@salmonofwisdom demande :
« C’est quoi cette histoire de bain de libido ? »
Copyright © 2024 Trevor Roberts – Traduit par @LeTranslateur
Q&A 002
@depressedpug asks:
“While the park was still open, has anyone ever tried to eat parts of the mystery flesh creature? I know they drink the fluid stuff but what about the meat parts?”
This was a surprisingly common question during the park’s operation. Yes, as a battery of other material and biological tests conducted upon the discovery of the Mystery Flesh Pit, samples of tissues were cooked and eaten. Those who conducted the impromptu tests, mostly field workers, reported that the muscle generally had a very gamey and offensive taste but was otherwise very tender. Other tissues such as lung, nerve, digestive and fat deposits were similar in taste and texture to offal. For these reasons, consuming the tissues of the Permian Basin Superorganism was and continues to be mostly seen as bad form, and not worth the effort. However, many hikers and former fish & wildlife employees have stated that a few of the lesser & non-venomous invertebrate species within the pit are excellent once steamed and served with butter.
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#mystery flesh pit#mysteryfleshpit#mystery flesh pit national park#cosmic horror#horror writing#Q&A#eldritch abomination#worldbuilding#horror fiction#translation#traduction
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Vendredi 22.11.24, 8h30
Hier j'ai pris un énième coup de massue sur la tête. Encore une couleuvre terrible à avaler. Je n'en puis plus, je suis restée en état de sidération toute la fin de journée. J'ai découvert que mon ex menait une relation à distance depuis un moment avec une khazakstanaise... Ils s'appellent déjà chéri, elle dit qu'elle va venir en France pour le rencontrer. Ca pue l'énorme arnaque, il ne se rend pas compte. Ca c'est la première chose, c'est qu'elle va être intéressée que par son pognon, j'ai vu sa photo, on dirait une photo montage, elle est magnifique la fille. J'ai lu leur seul échange de mail sur lesquels je suis tombée hier. La deuxième chose, c'est que ça m'a fait un choc, je ne pensais pas qu'il tournerait la page aussi vite, après quinze années de vie commune, déjà reséduire et retrouver quelqu'un, même si ça sent pas bon pour lui cette femme, la démarche m'a mise en colère et m'a fait beaucoup de mal, alors que ça n'aurait pas dû, mais je pense qu'une fois encore c'est mon égo et ma dépendance affective qui ont pris un coup. J'ai eu l'impression que finalement en amour tout le monde (lui, Michaël), arrivait à le retrouver, à avancer, et que pendant ce temps-là moi je suis seule à me débattre sur place, à prendre des médocs et tenter de régler par tous les moyens mes problèmes psychologiques, de tenter de rester la tête hors de l'eau, péniblement. Je suis déçue par les hommes, et par lui encore plus qui me disait il y a encore quelques mois qu'il n'était pas prêt de se remettre un jour en couple. Tu parles ! Même lui je m'aperçois que je ne le connaissais pas si bien que ça. Prêt à tout et surtout n'importe quoi pour retrouver une femme, et du sexe certainement aussi. Qu'est-ce qu'il va foutre avec une nana qui vient d'aussi loin ? Elle a 41 ans, me dites pas qu'elle n'a pas de famille, pas d'enfants. Pourquoi viendrait-elle en France, si ce n'est pour un mec friqué et échapper peut-être à son contexte politique ? Bref. Je suis impactée. Je n'ai pas encore digéré, je ne pense pas que ce soit de la jalousie, mais le fait d'avoir son attention sur une autre, peut-être que ma mère a raison, je suis égotique, mais tout ça vient de mes blessures, je ne le fais pas exprès de souffrir comme ça, ça ne m'amuse pas du tout. Je suis lasse. Je n'arrête pas d'avaler des couleuvres, je ne pensais pas m'en taper encore une d'ici la fin de l'année. C'est vraiment une année noire pour moi 2024. L'année où j'aurai le plus versé de larmes dans toute ma vie je crois bien. Quand parviendrai je à passer au-dessus de tout ça et à me retrouver ? J'ai toujours eu besoin du regard de l'autre braqué sur moi pour me sentir bien, c'est terrible. Je ne veux plus souffrir comme ça, je vous jure que je me bats, que j'essaie, que je mets toutes les chances de mon côté, que je me force à manger, à garder certaines motivations, vous le savez, vous le voyez. Mais ce n'est pas assez dans ce cheminement personnel, j'ai encore très souvent peur, très souvent des angoisses, tout le temps mal du vide et de la solitude. Je ne sais plus pourquoi je vis. Je vis, c'est tout. Je souffre, c'est tout. J'attends, j'espère un jour entrevoir une petite lumière au bout du tunnel. Pour l'instant le tunnel n'en finit pas, je suis encore dans un cauchemar éveillé. Que dois-je donc encore apprendre ? Par quels chemins douloureux vais-je encore devoir passer avant d'entrevoir cette lumière ? Que suis-je devenue ? Un être sombre au fond de moi, qui cache cela par ses apparences trompeuses de fille gaie. Mais à l'intérieur, je suis en survie, je n'ai même pas de bouée de sauvetage. Je dois continuellement me battre pour me reprendre, et pour accepter tout ce lot d'émotions qui me submergent. Accepter. J'en ai une boule dans la gorge. J'ai vraiment besoin de cette thérapie. Tiendrai-je jusqu'en janvier/février sans décliner davantage ? J'ai dû dormir 5h cette nuit. Je voudrais pouvoir me réveiller un matin et me sentir bien dans ma peau, bien à l'intérieur de moi, sereine, apaisée, aimante. Pensez-vous que ce soit possible un jour ? Que cela revienne ?
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La question que tu dois te poser papa c'est pourquoi je décide de ne plus t'adresser la parole ?
Je ne veux plus rentrer en contact avec toi car je ne me sens pas pleinement écoutée quand je suis avec toi. J'ai la boule au ventre quand je suis chez mamie, j'ai mon système nerveux qui est dérégulé et je somatise mes émotions (liées à des traumas) : je me sens dissociée et je ne fonctionne plus normalement. Je n'arrive plus à être moi-même (comme quand je suis avec maman ou d'autres personnes par exemple). J'ai appris à me dissocier inconsciemment pour me protéger. Me protéger de l'image du père qui se met en colère pour un rien. De la violence émotionnelle et morale qui est reçue. Me dissocier pour ni me soumettre, ni réagir. Me conformer à l'image de la petite fille sage qui obéit mais qui au fond souffre, mais qui au fond déborde de sensibilité liée à son entourage.
TOUT traumatisme est à prendre en compte. Un traumatisme n'est pas nécessairement un traumatisme de guerre ou liée à l'absence physique des parents. Les "petits" traumas existent. Ils sont à prendre en compte et c'est pas pour leur intensité qu'ils faudrait les minimiser ou maximiser.
Un trauma est un conditionnement enregistré à la suite d'un événement externe produit par un contexte, par une ou plusieurs personnes, de manière volontaire ou non.
Je suis probablement responsable d'un ou plusieurs traumas inconscients engendrés chez quelqu'un. Notamment peut-etre chez Susy ma petite soeur. Je le reconnais, et je change de comportement avec elle.
Tu es responsable de traumas causées chez mes soeurs, maman, et moi.
Maman est responsable de traumas que je porte.
Et si je décide de prendre mes distances avec vous, c'est aussi pour comprendre et guérir ça. Ca me fait de la peine de devoir vous rendre coupable de mes maux. En réalité, je suis responsable aujourd'hui de mon changement. Maintenant, j'aimerai que vous compreniez que vous aussi vous pouvez remettre en question vos mécanismes. Parce que si je prend mes distances avec vous, c'est pour me protéger. Marre de devoir me dissocier. Maintenant si je suis présente physiquement, ce sera pour poser ma personnalité d'adulte. Pour dire ce que je pense sans me faire couper la parole, sans me faire contredire violemment et sans recevoir de la colère. Je mérite tellement pas ça !!!
Je suis fatiguée de voir toi et maman prendre parti dans des histoires qui ne vous concernent pas directement, ci contre un exemple -> tatie patty. J'y vois que des jugements, de la plainte, des critiques.
Avoir une famille ne suffit pas. Non !!! C'est ton argument parce que tu n'as pas eu de famille, ok je comprend, mais pour que ça soit comme un acquis et que tu te permettes tout avec nous; non et non !!
Je veux des parents qui soient en paix avec eux-mêmes et avec leur histoire. Voilà le meilleur exemple qu'un parent peut donner à son enfant.
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Vers 3h du matin,
Mon monde ne s'est pas effondré, pas encore, j'ai reçu ce fameux message, celui ou j'ai appris que "nous" n'existait plus désormais, le fait que je ne reçoives aucun message hormis celui qui me confirmait que je sortais officiellement de ta vie aurait dû me servir d'indice. De mon côté, il reste encore 24 jours à mes photos pour disparaitre, c'était la meilleure chose à faire, j'imagine.
A mon grand damne, je suis naïve, je ne parle pas de cette naïveté charmante qui peut plaire mais celle brute, qui fait qu'on a toujours confiance en ceux que l'on aime, qu'on les croit sur paroles y compris lorsque les gens ne nous aiment pas en réalité.
Je passe le plus clair de mon temps à réfléchir à à peu près tout d'ailleurs et je crois qu'il y a une vérité que j'ai envie de rétablir au moins ici en ce qui concerne le 2nd "A" sans pour autant avoir envie de lui en faire part. Nous avions discuté il y a quelques jours de cela E et moi même au sujet de A et il m'a dit que lorsqu'il m'avait confié que A avait tenté de mettre fin à ses jours, je lui avais dit que si il lui reparlait, je choisirais de le quitter et cette déclaration a poussé E à choisir la rupture. Je ne nierais pas le caractère cruel de cet ultimatum mais l'histoire n'est pas complète et j'en suis quelques peu agacée à vrai dire. Pour commencer, je voudrais souligner le caractère hypocrite de la démarche, E n'a jamais cessé de parler avec A derrière mon dos et a continué de me mentir dans les yeux quand en réalité il n'a jamais été capable de me choisir. La seconde chose que je souhaiterais ajouter c'est que le lendemain, E m'a trouvée étrange, muette, ce qu'il ne sait pas c'est que ce silence était dû au fait que la déclaration m'a en réalité bien plus affectée que je ne l'aurais souhaité et que j'avais besoin de réfléchir à ce que je venais d'entendre, les raisons de son geste, j'ai même envoyé des messages à mon plus cher ami afin de savoir si je devais envoyer un message à A pour prendre de ses nouvelles, cet ami m'a dit de ne pas le faire. Je souffre d'avoir été jugé trop sévèrement pour des paroles qui n'ont été engendrées que par un désir de protection égoïste.
Je ne pense pas que tu liras ces lignes Elias mais si c'est le cas, cela n'est pas une version édulcorée de la réalité afin de te rassurer ou te plaire, c'est la stricte vérité. J'ai versé des larmes pour lui, je me suis sans cesse remise en question sur la raison pour laquelle je te demandais de prendre tes distances. Je souffre que tu fasses une croix sur moi en supprimant nos photos lorsque tu n'as jamais supprimé les siennes, je souffre que tu m'ai bloqué quand as préféré baser notre relation sur un mensonge plutôt que de le perdre.
Je n'ai pas de haine mais il est certain que je ne chercherais plus jamais à te reconquérir, je ne te veux plus jamais de cette manière.
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Qu'il est court, ce temps appelé la vie !
Le pasteur Louis Meyer écrit:
"Il est juste de désirer la mort, non pas toutefois par désespoir, mais par espérance; non par dégoût du monde, mais par amour pour Christ (Philippiens 1:23), non pour partir, mais pour arriver."…
L'académicien René Bazin dans le pressentiment de son départ a écrit en mars 1932: "Je voudrais vivre dans un pays où il n'y aurait plus d'ennemis de Jésus-Christ. La parole sans voix m'a répondu: "Tu y vas"
O mon Dieu, rendez-moi digne de la mort joyeuse. Il désirait: "accepter la mort comme un acte de la vie", "Quand on vieillit tout s'en va, mais Dieu vient". "Le paradis ne sera qu'une acclamation. Avec quelle joie je verrai la monarchie divine, la vérité reconnue, la justice obéir, l'amour aimé !"
C'est comme un écho lointain de la voix des pères de l'Eglise qui nous montre la patience des chrétiens dans l'attente du ciel et leur désir de déloger...
LA MORT (Cyprien, traité de la mortalité):"Quel est l'étranger qui ne désire pas regagner sa patrie ? Quel est le passager qui ne souhaite pas un bon vent pour revoir plutôt ses parents, ses amis ? Le paradis est notre patrie, les fidèles sont nos parents; quel ne dois pas être notre désir d'arriver bientôt jusqu'à eux ? Un grand nombre de nos amis, de nos frères, de nos enfant sont déjà sur l'autre rive, déjà en possession de la béatitude céleste: quelle joie pour eux et pour nous de nous sentir r��unis ! Quel partage que celui du royaume des cieux, où règne un bonheur sans mesure et sans terme ! Ah! brûlons du désir d'arriver bientôt vers Jésus.
Ceux-là seuls doivent craindre la mort, qui n'ont pas été régénérés par l'eau et l'Esprit, qui ne sont pas marqués du sceau de la croix du Christ, et qui de la première mort doivent passer à la mort seconde".
Et voici les réflexions sur la mort du sage et doux Vinet."La vie est un voyage du midi vers le nord, de l'été dans l'hiver, et le déclin de l'age nous trouve établis sur un sol nu et ingrat qui donne à peine de quoi vivre à notre pauvre cœur, et dont l'unique ornement est le tendre et triste souvenir d'un plus fortuné séjour.
Il faut nous exercer nous-même à mourir. Or, ce n'est pas une petite science, c'est au contraire la plus grande de toutes; et je ne comprend pas comment celui qui n'aurait pas, de longue main, appris à mourir, l'apprendrait tout à coup et d'une seule fois au moment où, décidément, il faut le savoir. Il faut que le signal du départ, nous trouve déjà partis.
Le chrétien ne souffre, ni ne meurt malgré lui; il veut d'avance tout ce que veut son maître, et la nécessité pour lui se change en liberté. Il sait qu'il doit être dépouillé: eh bien, il lui plait que Dieu l'aide à se dépouiller; il sait qu'il doit mourir: eh bien, il prend les devants sur la mort, en mourant tous les jours à lui-même, en se préparant tous les jours de lui-même.
Nous qui ne durons pas, faisons des oeuvres qui durent.
Mettons tout ce que nous avons de facultés à tout ce que nous avons à faire; usons le mieux que nous pouvons du loisir, des ressources, de la vie que Dieu nous donne; ne vivons pas à moitié, ne vivons pas à regret… en demeurant, soyons prêts à partir; partons sans cesse en esprit; que nos reins soient ceints...
Il y a chez les croyants des pressentiments sur leur fin prochaine, c'est ainsi que le pasteur Rieu… qui devait mourir à 28 ans d'une épidémie écrivait à un ami six semaines avant sa mort : "Etudions-nous à ne pas perdre un seul des instants que le maître nous confie. Qu'il est court, ce temps appelé la vie ! Et combien ne peut-il pas être plus court encore que nous le pensons ! N'en plaçons plus le terme loin de nous, plus à une année, plus à un mois, plus à une semaine de distance ; plaçons-le au soir de chacune des journées où nous nous trouvons encore sur la surface passagère de ce monde. Vivons et agissons chaque jour, comme si c'était le dernier de nos jours. Ce calcul ne nous tromperas pas ; et c'est la seule manière de n'être pas surpris." Il écrira peu de temps avant sa mort, plongé dans une joie ineffable : "Jésus ! Tant aimé sans l'avoir vu ! que sera-ce !"Et nous aussi nous quitterons la terre.
Nos fers aussi tomberont à leur tour.
Nous te suivrons au céleste séjour,
Car ici bas notre âme est étrangère,
Ensemble alors dans la maison du Père
Nous chanterons son immuable amour. André Denjean
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Psychothérapie en Ligne : Complément ou Alternative au Face-à-Face ?
La psychothérapie en ligne suscite de nombreuses questions sur son efficacité et son adéquation par rapport aux consultations en face à face en cabinet. Dans cet article, pour Top Santé, je partage mon point de vue sur cette forme de soutien psychologique, en expliquant comment elle peut compléter le travail en cabinet et en abordant ses avantages et inconvénients. Les psychothérapies en ligne sont-elles un outil complémentaire, ou peuvent-elles remplacer totalement le face-à-face?
Mon expérience dans ces deux domaines m’a fait constater que les consultations en ligne sont plus un soutien psychologique ponctuel, parfois même du conseil qu’une prise en charge à long terme en psychothérapie. Les patients qui consultent en ligne ne sont pas ceux qui franchiraient d’emblée la porte du cabinet d’un psy., souvent du fait d’a priori sur la profession ou parce qu’ils ne voient pas la nécessité d’entamer une psychothérapie pour un problème qui leur semble ponctuel, ou parce qu’ils veulent un simple conseil. D’autres patients ont des raisons géographiques de consulter en ligne, vivant à l’étranger. D’autres encore recherchent une écoute immédiate entre deux rendez-vous chez leur psy habituel. En consultant un psy en ligne, ils recherchent malgré tout l’expérience avisée d’un professionnel de la psychologie qui aura le recul suffisant pour les aider à y voir plus clair dans une situation qu’ils vivent actuellement et qui leur semble inextricable. Mon travail consiste à les écouter bien sûr. Leur donner des pistes de réflexions peut leur permettre de débloquer une situation, les amener à s’interroger sur les bonnes questions, leur expliquer certains mécanismes psychologiques. Mais tout ne peut se traiter à distance. Mon rôle consiste alors à les orienter vers le professionnel de santé qui répondra au mieux à leur motif de consultation. Cela peut être de leur conseiller de faire une psychothérapie en cabinet ou de les orienter vers les thérapies cognitives et comportementales si la personne souffre de phobies, vers un professionnel de la relaxation pour apprendre à gérer un trop plein de stress, ou encore de prendre rendez-vous avec un médecin ou un psychiatre si la souffrance psychologique nécessite une prescription médicamenteuse. Donc pour répondre à votre question, il ne s’agit pas de psychothérapie en ligne, mais plus d’un soutien psychologique en ligne ponctuel dont les limites nécessites de savoir passer le relai quand nécessaire. Quels sont ses avantages et ses inconvénients ?
La consultation en ligne se révèle être pour certains patients un premier pas pour lever certaines barrières défensives comme la peur d’être pris pour un fou, la peur du regard de l’autre, la peur du jugement. Elle permet l’anonymat et pour certaines personnes, il est plus facile de se confier ou de révéler de lourds secrets quand la personne qui vous écoute ne connaît pas votre nom. Certains patients y trouvent un intérêt particulier, par exemple des personnes isolées géographiquement, introverties, timides, handicapées ou encore agoraphobes. Les patients vivant à l’étranger qui souhaitent un soutien psychologique dans leur langue maternel n’hésitent pas à consulter à ligne. Les contradicteurs vous diraient que nous n’avons pas ou peu accès au langage non verbal des patients. Mais que dirait-on d’un non-voyant qui pratique la profession de psy en cabinet ? Le psychanalyste qui se trouve derrière son patient, a t-il accès à cette forme de communication ? Encore une fois, il ne s’agit pas de se prévaloir de proposer une thérapie « comme en cabinet », il s’agit d’un autre modèle d’accompagnement psychologique. Comment savoir si on a affaire à une personne sérieuse ?
De façon générale, les psys qui consultent en ligne mettent en avant leurs diplômes sur leur site internet et puis il suffit parfois d’aller sur les moteurs de recherche internet pour en apprendre plus sur eux. Pour ce qui est des plateformes qui proposent les services de différents psys, je suppose que les créateurs sont garants de leur professionnalisme. Que se passe-t-il une fois le temps payé écoulé ? (j'ai pu lire que, parfois, la communication était coupée automatiquement: qu'en est-il vraiment ?)
Je ne peux vous parler que de ma pratique professionnelle. C’est moi qui gère le temps de consultation, comme en cabinet. La durée de mes consultations est annoncée sur mon site et je ne mets jamais fin à un entretien sans en avoir avisé mon patient. Si ce procédé existe, une communication coupée automatiquement, c’est un principe irrespectueux et commercial auquel je ne peux adhérer et qui va à l’encontre de mon éthique professionnelle.
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Chapitre 39 : L'Homme à la cigarette partie 1
Scully suivit la jeune femme, qui l’amena en direction de la salle de bain. L’atmosphère était lourde de tension, et Parker, visiblement nerveuse, referma la porte derrière elles avec un claquement qui résonna dans le couloir.
- C’est un problème médical. Commença Parker, sa voix tremblante trahissant son agitation. - Pour faire court, je souffre depuis plusieurs années de crises d’ulcères liées au stress. Les effets secondaires se font sentir, et j’ai besoin de votre aide.
Scully acquiesça, son regard perçant ancrant Parker dans le présent.
- Je dois d’abord savoir s’il s’agit d’un ulcère de l’estomac ou d’un ulcère duodénal.
Parker plissa les yeux, la frustration mêlée à la douleur.
- Je ne comprends rien à votre charabia.
Scully, prenant une profonde inspiration, poursuivit :
- Si c’est uniquement gastrique, je peux vous prescrire un antihistaminique. Cela réduira l’acide produit par votre estomac et soulagera vos douleurs temporairement. Si cela persiste, une gastroscopie sera nécessaire.
- Parfait. Faites ça. J’en ai besoin. Merci. Dit-elle en se massant le ventre, son visage déformé par l’inconfort. La vulnérabilité de Parker, si tangible, frappa Scully.
- Je vais appeler un collègue du labo. C’est urgent. J’arrive tout de suite. Scully sortit de la salle de bain, prenant son téléphone en main.
Mulder, le cœur serré par l’inquiétude, balayait la pièce du regard à la recherche de la jeune femme. Lorsqu’il tourna au coin du couloir, il se retrouva brusquement face à Parker. Le choc de leur rencontre fut presque électrique, leurs corps se frôlant avec une force inattendue. La chaleur de l'instant fit frissonner l'air entre eux, une tension palpable qui s’installa en un clin d'œil. Dans le mouvement précipité, la paume de Mulder effleura accidentellement la hanche de la jeune femme, et il sentit une pression fugitive sous ses doigts, avant que leurs bras ne se heurtent et que la chaleur de leur proximité se fasse plus intense. Le contact dura à peine une fraction de seconde, mais pour Mulder, il s’étira comme une éternité. Le regard de Parker se durcit, sa respiration se coucha dans une exaspération soudaine.
Irritée, elle se dégagea brusquement, repoussant Mulder d’un geste sec, comme pour effacer toute trace de ce rapprochement involontaire. Leurs corps se séparèrent dans une distance trop nette après cet instant de proximité.
- Vous me faites du rentre-dedans maintenant ? Ne vous approchez plus de moi, est-ce que c’est clair ?
Sa voix, perçante et pleine de colère, vibra dans la pièce. Mulder se figea, son regard accroché au sien, sentant une chaleur étrange s'insinuer dans ses veines. Il déglutit, ses doigts encore tremblants là où la peau de Parker l'avait frôlé.
- Pardon, je ne vous avais pas vue. Vous n’avez rien ? Tenta-t-il de garder son calme, mais son ton était légèrement maladroit, trahissant une agitation sous-jacente. Un malaise palpable envahit ses gestes, tandis qu’il chercha à masquer l’agitation qu’il ressentait sous cette façade de calme.
Parker croisa les bras, son regard plus acéré que jamais, et détourna le visage en signe de rejet.
- J’ai l’air d’être en pleine forme ? Écoutez, j’ai mal au bide alors foutez-moi la paix avec vos questions.
Elle se retourna, furieuse, et marcha rapidement vers sa chambre.
- Attendez ! S’il vous plaît, j’ai quelque chose à vous demander. L’interpella Mulder, son cœur battant la chamade. Il était tiraillé entre le besoin de résoudre ce mystère et la souffrance évidente de Parker. Une partie de lui était attirée par sa force, son caractère, mais une autre savait qu’il devait faire attention.
Elle s’arrêta net, surprise par son insistance.
- Qu’est-ce que vous me voulez encore ?
- Désolé de vous importuner, mais c’est au sujet de votre père. Croyez-vous qu’il pourrait avoir un moyen de reprendre contact avec lui pour en savoir plus sur ce qu’il sait ? Demanda-t-il d’un air sérieux, son regard perçant cherchant une réponse au-delà des mots.
Parker, à cet instant, sembla adoucir son expression, un mélange de compassion et de frustration se lisant sur son visage.
- Vous ne manquez pas de culot. Écoutez, ce n’est pas que je ne veux pas vous aider, mais là, j’ai vraiment besoin de respirer un peu. Toute cette histoire est en train de me rendre malade. J’aimerais m’occuper de ma santé pour le moment. Ses mots étaient chargés d’une fatigue qu’il ne pouvait ignorer, mais il sentait aussi une connexion entre eux, une tension qui échappait à leur contrôle.
Mulder se sentit mal en la voyant ainsi, cette détresse le frappant avec une intensité qu’il n’avait pas anticipée. Son cœur se serra. Il regretta de l'avoir importunée. Mais l’urgence de l’affaire pesait lourdement sur lui, et son esprit était en ébullition.
- Je comprends. Pardonnez-moi. Murmura-t-il, bien qu’une frustration sourde l’envahisse.
Parker s’approcha, son regard perçant fixant Mulder avec une intensité surprenante.
- Hé, regardez-moi. Dit-elle en lui saisissant le visage d’une main ferme, un geste qui éveilla des sensations inattendues en lui. - Ça vous ronge vous aussi. Vous faites votre boulot, c’est normal. Je vous promets de vous aider à résoudre ce mystère. Je suis avec vous. Ok ?
À cet instant, une chaleur s’installa entre eux, un frisson électrique parcourant l’espace qui les séparait. Mulder sentit son cœur s’accélérer, pris au piège entre son devoir et une fascination grandissante.
Au même moment, Scully rejoignit ses équipiers Elle hésita un instant, observant la tension palpable entre eux, avant de s’adresser à Parker.
- Pardon, je voulais juste dire à l'agent Parker que vous pourrez commencer votre traitement dès demain.
Parker éclata d’un rire nerveux.
- Décidément, ma belle, vous débarquez toujours au mauvais moment. Je vais passer pour qui moi ? Un sourire malicieux sur ses lèvres, semblant désireuse de faire monter la tension dans l'air entre eux.
- De toute façon, nous avions fini. Il est à vous. Ajouta Parker en adressant un clin d'œil à Scully, mais le sarcasme était palpable.
- Mais je vous en prie. Répondit Scully, son ton chargé de sarcasme.
Un silence pesant s’installa, et Mulder, ne sachant quoi répondre, semblait ailleurs. Ses pensées tourbillonnaient autour de Parker, de sa douleur, de son père, et de l’énigme qui les entourait. L’idée de la perdre le perturbait plus qu’il ne l’aurait voulu l’admettre.
- Bon, eh bien, j’ai du travail qui m’attend. Dit Scully en tournant les talons, quittant la scène avec une détermination qui cachait une certaine frustration.
- Scully, attendez ! J’espère que tu ne vas pas encore t’imaginer des choses. On en a déjà parlé, je crois. Lança-t-il, sa voix trahissant une inquiétude croissante.
- Ce que je crois, c’est que nous avons dépassé ce stade. Il y a bien d’autres choses à penser que ces stupides enfantillages, Mulder. Répliqua-t-elle, sèche et exaspérée.
Elle s’éloigna, laissant Mulder, planté là, le regard perdu. Ses pensées se mélangeaient, tiraillées entre son rôle d’agent et les sentiments qui l’assaillaient. Il se demandait si le poids de cette enquête ne devenait pas trop lourd à porter.
De son côté, Skinner était au volant de sa voiture, son esprit préoccupé par les agissements de Krycek. Ce dernier était déterminé à en découdre une bonne fois pour toutes. Mais les choses n’étaient pas si simples pour lui. Skinner avait longtemps subi des pressions de l’homme à la cigarette, un manipulateur sans scrupules, membre du Département de la Défense des États-Unis, impliqué dans un syndicat secret dissimulant la vérité sur l’existence potentielle d’extraterrestres et leur collaboration avec le gouvernement. C'était un homme manipulateur et sans scrupules, qui n’hésitait pas à éliminer ceux qui se mettent en travers de ses plans. Skinner devait redoubler de prudence sur ses agissements.
Il était encore dans sa voiture lorsqu'il reçut un appel téléphonique. Il décrocha d'un geste mal assuré :
Allô ? Qui est à l'appareil ?
Vous connaissez déjà la réponse monsieur Skinner.
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Quelque mots d'une fille qui tombe dans le néan...
Toi qui es censé me soutenir dans les moments difficile, Toi qui as choisi une nouvelle voie d'avenir, Et qui c'est au fur et à mesure des jours éloigné de moi... Toi qui me délaisse pour t'amuser avec d'autres... Et moi en attendant, je passe mes journées seule, A broyer du noire, à m'enfoncer chaque jours un peu plus dans les enfers... Chaque jours qui passe je ne montre que de faux sourires aux gens qui m'entourent... Parce que la raison qui me faisait sourire m'a délaissé .... Alors oui depuis ton départ je souffre de ton absence, Je souffre de cette distance qui nous déchire et finira par nous séparer... Oui car depuis que tu es parti je ne suis plus moi-même, Car vois-tu une part de moi est parti avec toi... Depuis un moment je ne supporte plus que tu sois avec des filles, Je ne supporte pas qu'elles soient h24 avec toi... Mais toi à tout cela tu me dis que je suis devenue parano qu'il n'y a que moi, Mais vois-tu je ne le vois pas ça, tu ne me montre rien qui puisse m'en découdre... Depuis un petit moment je ne suis pas bien dans ma tête ni dans mon corps, Je suis seule et chaque soir voire même la journée j'ai qu'une envie pleurer.. Pleurer pour lâcher toute cette souffrance que je ressens que je ne peux partager, Pleurer pour oublier que tu n'es pas là pour me soutenir... Alors oui depuis un moment je me sens délaissée voir oublié quand tu es avec les autres, Mais qu'est ce que je peux faire ? Rien justement car je suis loin... Et que je ne sais même pas si un jours on pourra ne serait-est vivre ensemble... Alors oui je peux te prendre la tête et qu'au bout d'un moment qui sait tu en aura marre de moi, Mais sache que toi tu es entouré et moi non... Que toi tu peux discuter, rigoler, être épanouie, Alors que moi je suis seule, je me renferme un peu plus sur moi même... Mais bon comment faire autrement je ne peux pas comprendre ce que tu vis, Comme toi tu ne peux et ne veux comprendre ce que je vis.. J'ai l'impression qu'un fossé est entrain de ce créer entre nous, Et j'ai peur qu'il puisse un jours nous séparer à jamais... :'( Alors voilà mon amour ce que je suis en ce moment une pauvre fille, Qui la joie de vivre l'a quitté pour une dépression que personne ne semble voire... Je ne suis plus épanouie dans ce que je fais, je ne suis pas bien, La seule chose qui pourrait me faire du bien est de pouvoir partir loin de tout ! Mon amour sache que je t'aime plus que ma propre vie, ♥ Mais la façon que tu te comporte me fais mal et je ne sais pas comment te le dire, Je ne suis pas bien et j'ai la mauvaise impression que cela ne te touche pas ou du moins plus... Tu m'as dis d'être forte mais je n'en suis rien qu'une pauvre et misérable faiblarde... Ne me juge pas trop fort mais ce qui est écris et tout ce que je ressens au moment où ces mots sont écris, A présent tu sais où j'en suis et ce que je suis devenue en ton absence... Mais mon amour, ma confiance, ma passion et mon envie pour toi sont encore plus fort Mais qu'en est-il de toi... Je rêve d'une vie à tes côtés, Devenir un jour ta femme et porté ton nom... Mais ce jours et loin d'arriver et nous sommes tellement loin de lui, Mais j'ai foi qu'un jours il arrivera et que tu feras de moi TA FEMME ♥
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Jeudi 25.04.24, 7h41
Je pense que suite à mon message d'hier tu ne m'écriras plus avant un moment. Je me suis encore laissée guider par mes peurs, mais j'ai senti à nouveau un changement d'attitude de ta part entre la semaine dernière et cette semaine. Un repli encore davantage, une froideur, une distance. Je suis épuisée par ça. La semaine dernière tu disais que t'allais m'envoyer les chocolats que tu m'avais acheté en Irlande. Je pense que je n'en verrai jamais la couleur. Ce n'est pas pour le chocolat, c'est pour le lien. Je souffre tellement, j'ai un mal fou à me sortir de cette dépendance de toi, je n'y arrive pas, la psy ne m'aide pas. Tu es glacial, tu ne veux plus rien savoir de mes combats. As-tu l'attention détournée par quelqu'un d'autre ? Je ne sais plus grand-chose de toi, j'ai l'impression d'avoir fait un immense bond en arrière. Je n'ai même pas réussi à avaler quoi que ce soit ce matin, tellement angoissée.
Me résoudre à te laisser de côté, impossible. Impossible. Impossible. Impossible. Est-ce que tout est définitivement perdu ? Essaies tu de me sortir de ta vie doucement ? Où bien toutes mes pensées sont-elles encore que le fruit de mon imagination et ma surinterprétation, suranalyse ?
Je voudrais juste ne plus souffrir de toi. Depuis un an et demi que tu es entré dans ma vie, je ne suis plus moi. J'ai l'impression de m'être égarée, perdue moi-même. Je devrais relativiser et me dire des pensées positives. Je vais encore essayer.
"Tout ce qui arrive est bon pour moi"
"Je mérite le meilleur et je l'aurai"
"L'univers fait ce qu'il y a de meilleur pour moi"
"Fais confiance"
...
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Je souffre de cet amour unilatéral
Une soirée que je passe avec toi à souffrir
Je ne veux plus te voir
Je ne veux plus être avec toi
Je ne veux plus t'entendre
Je ne veux plus te sentir
Je ne veux plus sentir tes mains et ton menton et ta tête et tes bras et ton souffle
Rien
J'ai essayé de garder mes distances tout en maintenant la proximité
Ça m'est impossible
Parce que je suis tombé amoureux de toi
Aussi difficilement que je puisse l'écrire
Parce que de toute évidence je suis seul à ressentir ça
Mon sentiment n'est pas partagé
Il est unilatéral
Je suis seul
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ça fait très longtemps que j’ai rien écrit, j’ai changé
mais y’a quelque chose que j’aimerais bien dire et je sais pas à qui en parler donc voilà
il y a quelques années, j’ai aimé quelqu’un. j’ai aimé quelqu’un très fort, de tout mon cœur, comme je n’ai jamais aimé dans ma vie, et comme je ne crois plus pouvoir aimer, avec la même innocence, je n’en ai même pas envie d’ailleurs. quelqu’un qui signifiait tout pour moi, qui était mon meilleur ami, celui à qui je voulais tout dire, avec qui je voulais tout faire, celui à qui je pensais avant de dormir avec le sourire aux lèvres. je crois que je saurais même pas expliquer à quel point je l’aimais de tout mon cœur, je n’ai plus jamais aimé à ce point jusqu’ici.
et il y a ces mêmes quelques années, un jour je me suis réveillée, je suis allée chez lui, comme à notre habitude d’ailleurs, et je me rappelle encore de ce moment précis, il portait un tee shirt bleu, un short gris, c’était l’été. j’étais allongée sur lui, quand d’un coup il m’interpelle avec une voix tremblante. il m’explique que ça fait quelques jours qu’il ne sait plus où il en est. je me rappelle la pensée que j’ai eu, je me rappelle que je n’y ai même pas cru. je me rappelle l’entendre me dire qu’il avait des doutes, qu’il pensait qu’il devait réfléchir. je me rappelle être allée manger avec lui, la fois où il m’a annoncé qu’on devait faire une pause, où nous avons tous les 2 pleuré, je ne l’avais jamais vu pleurer, parce qu’il ne savait pas s’il m’aimait. alors les jours qui ont suivis, la douleur incommensurable que je ressentais, je me revois allongée sur mon lit, tétanisée de douleur, à pleurer. les moments où j’ai pleuré devant mon père, entendant ses conseils, me disant de prendre de la distance, et moi qui en étais incapable, croyant qu’il reviendrait. et puis la soirée chez mon amie, où on a finit par dormir ensembles, où il m’a embrassée, où j’ai cru qu’il m’aimait encore. et puis le message que j’ai reçu ou il m’a annoncé que c’était finit, qu’il ne m’aimait plus, cet appel téléphonique. je me suis écroulée au sol, hurlant de tristesse et de douleur, je n’avais jamais ressenti ça, je n’avais jamais pleuré ainsi, j’ai cru mourir.
je me rappelle de tout, dans les détails, mais par dessus tout, je me rappelle du sentiment que j’ai ressenti, je me rappelle de cette énorme souffrance et dans le fond de moi même je crois que je ne serai plus jamais là même personne. le déni, l’injustice, la haine, la peine, l’espoir, le désespoir, les rires forcés, le sentiment de ne plus jamais pouvoir être aimée. j’ai souffert pendant 2 ans, vivant constamment des événements ravivant ma peine. j’ai mis tellement de temps a m’en remettre.
et aujourd’hui, je croise tous les jours ce quelqu’un, je le vois tous les jours, et pourtant je ne le vois même plus. j’ai pu re discuter à nouveau avec lui, je n’ai rien ressenti. aujourd’hui, j’ai l’impression de croiser une vague connaissance, quelqu’un que je ne connais presque pas. j’ai toujours cru qu’un tel amour ne pouvait jamais s’éteindre, qu’un tel lien perdurerait toute la vie, que jamais il ne me serait possible que je ne remarque pas sa présence. et pourtant aujourd’hui c’est exactement ce qu’il se passe.
je sais que je ne pourrai pas oublier ce qu’il s’est passé, que j’ai fondamentalement changé depuis tout ça, mais j’étais tant persuadée que je l’aimerai toujours, que rien ne me ferait l’oublier, mais je crois que j’avais oublié le seul remède : le temps. j’ai cru ne jamais m’en remettre, j’ai cru mourir, et pourtant aujourd’hui, plus rien. est-ce que j’aimerai de nouveau quelqu’un à ce point? est-ce que j’y crois? moi qui croyais tant en l’amour, aujourd’hui je regarde le monde d’un œil différent, avec un air plus pragmatique, et si je ne retrouve jamais quelqu’un? est-ce d’ailleurs si grave? je ne suis plus la même personne, je ne souffre plus à ce point, je suis loin d’être la personne que j’aimerais être, j’ai encore tant de choses à vivre et à apprendre. si je retiens bien une chose c’est que rien n’est figé, tout change, les pensées, les événements, les peines, rien n’est éternel. je ne sais pas qui je vais devenir, je ne sais même pas encore qui je suis, j’ai vécu tellement de choses depuis ce moment où je pensais que tout était finit. les choses changent si vite, on ne s’en aperçoit même pas. et c’est ça la vie, je crois qu’il n’y a rien à en conclure d’autre, rien à répondre d’autre à la douleur, aux événements malheureux, aux moments de doutes, de bonheur intense : c’est la vie.
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Wilford, mon cher amour:
La distance que je ressens loin de toi est criminelle. Mon cœur souffre de manquer la chaleur de ta poitrine pressée contre lui. Tu es le remède à ce qui m'afflige, dans un monde où personne d'autre ne le peut.
(I'm aware that I'm just on the couch. I'm allowed to have a silly moment every once in a while.)
S'il te plaît, reviens-moi, mon chevalier rose. Je souhaite te chouchouter jusqu'aux petites heures du matin et perdre tous mes soucis dans tes beaux yeux. ���
-D
Oh dear... That is quite a crime! I'm offended I allowed such a thing to happen to you!
Don't worry though -- I shall come to your rescue, my devilishly stunning Monarch! I will slay through any treacherous creature that dares block me from saving you from such a cold, lonely fate! Nothing will stop your ever courageous knight, my love~ Especially not when the reward surpasses any other gift you could possibly bestow upon me.
Gosh! Auch wenn du mich verwöhnen willst, ich kann es kaum erwarten, dein charmantes Gesicht zu küssen. Ich werde sogar für dich singen wenn du mein kostbarer Rabe willst~
~ᗯIᒪ
#ask wilford#wilford ask#markiplier egos#wilford warfstache#darkiplier#darkstache#darkiplier x wilford
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