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#j'aime paris au mois de mai
fidjiefidjie · 5 months
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Bon Soir đŸ’™đŸ—ŒđŸ‘ŒđŸŽ™â€ïž
Charles Aznavour et Zaz đŸŽ¶ J'aime Paris au mois de Mai
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newmic · 2 years
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blauesonnenblume · 6 months
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Lundi et mardi j'ai eu des journĂ©es un peu plus longues et intenses que d'habitude (genre rĂ©union lundi soir Ă  l'heure oĂč je pars normalement, hier j'ai passĂ© 5 heures Ă  faire des boulettes d'isotopes bref du labo long et extrĂȘmement rĂ©pĂ©titif) mais en sortant du bĂątiment vide hier soir je me suis dit que j'avais tellement de chance d'ĂȘtre ici. J'ai pris mon vĂ©lo il faisait beau, je suis Ă  10 minutes de vĂ©lo de chez moi et le trajet est chouette, que des pistes cyclables sans voitures ou presque, le vieux port, le soleil de fin de journĂ©e. J'ai envoyĂ© un message Ă  L pour lui dire de me rejoindre pour aller boire un verre, finalement on a pas rĂ©ussi car toutes les terrasses de tous les bars que j'aime bien Ă©taient pleines Ă  craquer, donc on est rentrĂ©s et il a fait semblant d'ĂȘtre serveur et il a mis une musique d'ambiance "busy bar at night" pour qu'on boive une biĂšre tous les 2. Demain soir on va Ă  Paris pour le week-end et ça me fait un peu de peine de rater la soirĂ©e sur la plage de cĂ©lĂ©bration du printemps, mais je n'ai pas le choix c'est pour le visa mdr. Au moins je vais pouvoir retrouver un peu mes copains. AprĂšs avoir vĂ©cu 3-4 ans Ă  Paris, quand j'y retourne c'est toujours avec apprĂ©hension car je dĂ©teste le mĂ©tro, je dĂ©teste le monde partout, tout le temps, sans que ça ne s'arrĂȘte jamais. Je ne comprends pas comment on peut passer sa vie Ă  faire ça tous les jours, Ă  s'imposer 2 heures (quand tout va bien) de trajet pour aller bosser, dans cette ambiance suffocante. Je sais qu'il y a des gens qui n'ont pas le choix aussi. Disons que ça me rend folle qu'autant de gens perdent leur temps et leur joie de vivre dans les transports Ă  cause de la centralisation parisienne. Si je perdais ces deux heures par jour, je serais Ă©puisĂ©e et malheureuse. Je suis trop attachĂ©e Ă  mon temps, Ă  l'ocĂ©an, Ă  la tranquillitĂ©. Mais en contrepartie je perds d'autres choses, comme ma vie sociale, car Ă  force de passer 6 mois par ci et 6 mois par lĂ , on ne se fait pas des amitiĂ©s trĂšs durables, elles mettent du temps Ă  se construire et toujours avec la perspective du dĂ©part. Comment sera ma vie dans 10 ans ? J'espĂšre que je serai stable, heureuse, et au bord de la mer.
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selidren · 2 months
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Printemps 1923 - Louxor (Egypte)
5/6
Comme je vous le disais, j'ai rĂ©guliĂšrement des nouvelles de la maison. Ma petite EugĂ©nie a eu sept an il y a quelques temps, mais nous avons convenu de fĂȘter dignement son anniversaire au printemps. C'est une enfant adorable qui, selon Constantin, me ressemble mais lui Ă©voque Ă©galement sa soeur Juliette au mĂȘme Ăąge. Je vous joins un mĂ©daillon qui a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© le mois dernier par NoĂ©. Comme elle sait que j'aime vous envoyer des photographies, elle en a fait un tirage supplĂ©mentaire Ă  votre intention. C'est vraiment une jeune fille aussi adorable qu'attentionnĂ©e.
Mes aĂźnĂ©s vont avoir dix-sept ans quand Ă  eux. Les filles se portent comme des charmes, mais je devine qu'elles ne disent pas tout Ă  leur vieille mĂšre dans leurs lettres. Marc-Antoine est toujours Ă  Paris, oĂč on dit de lui qu'il ressemble de plus en plus physiquement Ă  son pĂšre mais avec un caractĂšre autrement plus charmant. Il ne me parle guĂšre d'histoire de coeur, donc j'ai pris le parti naĂŻf de me dire qu'il n'y en a pas. C'est toujours un Ă©tudiant modĂšle qui ne ramĂšne que d'excellents bulletins avec une facilitĂ© dĂ©concertante. Franchement, moi qui ait toujours du beaucoup travailler Ă  l'Ă©cole, je suis abasourdie de voir avec quelle facilitĂ© mes enfants rĂ©ussissent sans presque aucun acharnement, Ă  l'exception de ma petite ClĂ©o, qui n'a semble t-il pas hĂ©ritĂ© de l'intellect de son pĂšre au contraire de ses frĂšres et soeurs.
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oldtvandcomics · 1 year
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Salut ! D'habitude, je blogue en anglais, mais je viens tout juste de terminer ce livre en français, et je dois ABSOLUMENT en parler.
Le voilĂ  :
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Nous Sommes la PoussiĂšre, de Plume D. Serves. Photo prise ici avec la recommandation de Les Mots A La Bouche, la librairie queer Ă  Paris. C'est pas lĂ  oĂč je l'ai achetĂ© d'ailleurs, mais dans Le Nuage Vert, librairie fantastique Ă  Paris, car Paris est grande et a des magasins spĂ©cialisĂ©s comme ça (je viens de la campagne, pour moi, c'est du nouveau). J'avais demandĂ© des livres queer des Ă©crivains français (Les Mots A La Bouche) et des livres des Ă©crivains français qui parlent des minoritĂ©s, surtout queer ou handicapĂ©s (Le Nuage Vert), car je lis presque exclusivement en anglais, et je ne sais pas comment trouver le genre de livre que je cherche en autres langues, bien que je sache qu'ils existent de super choses.
Et ce livre-lĂ , il Ă©tait TELLEMENT BIEN, je ne peux pas dire.
La madame de Le Nuage Vert me l'a vendu comme science-fiction trÚs léger, mais je trouve que c'est mieux décrit comme du réalisme magique. L'idée est qu'il y a cette condition qui fait matérialiser autour des gens un nuage des particules de poussiÚre électromagnétiques, ce qui évidemment va impacter la qualité de vie. Ce qu'est pire, c'est tous les stigmas sociétaux qui viennent avec. En fait, c'est un handicap et traité comme un. Le personnage principal est une jeune femme diagnostiquée assez tard, qui vécut toutes ces discriminations, et s'engage dans de l'activisme pour les combattre. Elle est aussi lesbienne.
Et ce livre, il parle DE TOUT. Je n'ai jamais vu la monde dans laquelle j'existe représentée comme ça avant.
Il parle des difficultés de recevoir une diagnose, le sentiment de voir ta vie se passer sans toi, les différentes difficultés des gens qui sont diagnostiqués comme adultes vs comme enfants, le privilÚge de "passer", la discrimination que font face les couples handicapés qui veulent des enfants, les difficultés d'organiser un mouvement activiste, activisme violent vs non-violent, la médecine alternative, les difficultés qu'ont les parents à se faire croire si leur enfant a un handicap invisible, l'intersectionnalité des identités marginalisées et comment la société les criminalise... Je ne balgue pas, je pourrais encore continuer avec les sujet auquel il touche.
C'est super clair que l'Ă©crivaine a des expĂ©riences personnelles dans ce milieu (son bio dit qu'elle est militante autiste et queer, et c'est vrai qu'on reconnait la communautĂ© autiste dans celle des magnophiles). Je ne suis pas de tout, mais pas de toute une personne Ă  faire des notes dans un livre, mais ici, j'ai passĂ© toute la lecture Ă  vouloir souligner des passages que OUI, REGARDEZ, C'EST EXACTEMENT COMME CA ! (Évidemment, je ne l'ai pas fait. Je ne prends pas de notes dans des livres.)
Aussi, j'aime bien le style de l'écriture. C'est assez léger comme structure, comme ce sont des chapitres courts interrompues de textes encore plus courts dans la premiÚre et deuxiÚme personne, qui donnent voix à l'inventeur des mailles qu'ils forcent les gens à porter et a au moins deux personnes anonymes qui sont aussi en train d'essayer de vivre avec leur handicap (ou bien une personne différente chaque chapitre, ce n'est pas vraiment clair). C'est super, parce que ça aide beaucoup avec l'immersion et donne le sentiment qu'on parle d'une vraie communauté de gens, et aussi, ça permet de temps à se passer entre les chapitres. Donc la narrative est plus une collection de petits moments de la vie d'Elias, au lieu d'une narrative stricte qui progresse de A à B à C et puis c'est fini. C'est un bon choix, que rend le tout beaucoup plus réaliste.
En bref, c'est un super livre que je recommande fort de lire à tout le monde. Surtout si tu es un peu dans ce milieu de l'activisme qui se bat pour les droits de minorités. Ou si tu veux lire un bon livre d'un écrivain français.
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retrojoss · 1 month
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J'AIME PARIS AU MOIS DE MAI - ZAZ ET CHARLES AZNAVOUR
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swedesinstockholm · 2 months
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20 juillet
au cimetiĂšre. j'ai rĂ©ussi Ă  retrouver mon banc prĂ©fĂ©rĂ© sous le sapin Ă  cĂŽtĂ© de la pierre tombale noire qui ressemble au monolithe de 2001 l'odyssĂ©e de l'espace plantĂ© dans l'herbe tout seul. j'ai errĂ© dans les allĂ©es pendant trois heures pour le retrouver, ce cimetiĂšre est encore plus grand que ce que je pensais et c'est en train de devenir mon endroit prĂ©fĂ©rĂ© sur terre. en venant j'Ă©coutais modern love en boucle encore et encore, hier soir en rentrant Ă  pied de la s bahn Ă  trois heures du matin je la chantais toute seule sur le trottoir et quand je me rappelais plus des paroles je regardais sur mon tĂ©lĂ©phone comme si j'Ă©tais en train de rĂ©pĂ©ter un truc. ça m'a tellement donnĂ© envie d'avoir un truc Ă  rĂ©pĂ©ter. je pensais aux autres qui avaient dĂ©cidĂ© de continuer la soirĂ©e dans un club et je les enviais pas du tout. j'Ă©tais contente d'ĂȘtre moi, toute seule sur la karl-marx-strasse en train de chanter modern love comme si j'Ă©tais vraiment toute seule. je pensais Ă  lola de paris qui m'a Ă©crit hier, elle boit pas d'alcool elle non plus et je me suis dit qu'elle aussi serait rentrĂ©e seule en chantant dans la rue. ça m'a rĂ©confortĂ©e et ça m'a fait sourire. j'aime penser Ă  des gens et sourire.
en chemin je pensais Ă  n. et Ă  son amant mystĂšre qui sont rentrĂ©s Ă  six heures ce matin et qui Ă©taient encore au lit quand je suis partie et je me suis de nouveau dit que j'Ă©tais contente d'ĂȘtre moi avec ma vie bizarre en route vers le cimetiĂšre avec mes cheveux mouillĂ©s et mon journal dans ma banane. je veux dire que j'Ă©tais pas jalouse, je l'enviais pas et je me sentais pas nulle et moche et seule. je me sentais bien avec moi-mĂȘme. ce matin au lit je me disais que n. Ă©tait comme un moulin, un vrai moulin en Ă©tat de marche, un moulin parfaitement fonctionnel qui fait de la vraie farine, de la bonne farine ou de la mauvaise farine je sais pas, mais elle en fait. alors que moi je suis un de ces faux moulins que j'ai vus dans le bus l'autre jour Ă  la campagne quand on est passĂ©s devant un parc d'attractions avec des dĂ©cors hollandais. de loin on voit pas que c'est un faux moulin. personne hier soir ne savait que je faisais pas de farine. je viens de me faire Ă©clater de rire toute seule sur mon banc. en partant tout Ă  l'heure j'ai vu des baskets noirs Ă  cĂŽtĂ© de mes converse dans le couloir et je suis quasiment sĂ»re que c'est ceux du catalan de la fĂȘte.
21 juillet
trĂšs bonne journĂ©e je me suis levĂ©e Ă  onze heures et je suis partie au schlachtensee avec n. et j. parce qu'il faisait mille degrĂ©s. Ă©videmment tout le reste de la ville avait dĂ©cidĂ© de faire pareil et c'Ă©tait ma vision prĂ©cise de l'enfer, la s bahn Ă©tait bondĂ©e et quand on est arrivĂ©s on aurait dit qu'on allait Ă  un festival, tous ces corps dĂ©nudĂ©s et joyeux qui se dirigeaient tous vers la mĂȘme pelouse, mais j'Ă©tais contente de faire quelque chose avec mes nouveaux amis. et surtout ça m'a donnĂ© l'occasion de nager. nager m'a donnĂ© confiance en moi pour le reste de la journĂ©e. nager me donne toujours confiance en moi. j'en ai bouchĂ© un coin Ă  j. alors j'ai j'essayĂ© de lui apprendre Ă  faire des mouvements amples et Ă  se dĂ©tendre pour dĂ©penser moins d'Ă©nergie et avancer plus vite. ça me faisait du bien d'ĂȘtre celle qui est Ă  l'aise. Ă  l'aise avec son corps surtout. je lui disais que dans l'eau j'avais pas besoin de le porter, c'est ça qui change tout. dans l'eau y a pas de gravitĂ©, donc tout est lĂ©ger. c'est la gravitĂ© qui gĂąche tout toujours. il faudrait que toute la vie se passe dans l'eau. c'est le seul endroit oĂč j'arrive Ă  ĂȘtre lĂ©gĂšre et dĂ©tendue. quand j. est sorti parce qu'il Ă©tait crevĂ© Ă  force de me suivre j'ai fait un aller-retour vers l'autre rive au crawl, il faisait trĂšs vert sous l'eau et c'Ă©tait bizarre de pas avoir les yeux qui piquent. je me suis laissĂ©e flotter sous un arbre qui formait une grotte feuillue au dessus de l'eau, petit paradis, j'avais plus envie de repartir pour aller rejoindre les autres dans l'enfer.
au milieu de l'enfer y avait deux filles qui lisaient sur leur serviette avec leurs jambes entremĂȘlĂ©es. elles avaient toutes les deux les cheveux courts, une Ă©tait seins nus et lisait le journal, l'autre Ă©tait un peu butch et elle lisait un livre qui ressemblait Ă  une Ă©dition gallimard. j'ai dit Ă  n. que c'est ça que je voulais. lire le journal seins nus allongĂ©e sur une serviette avec la jambe emmĂȘlĂ©e dans celle de ma copine. comme j'avais pas pris de livre j'en ai profitĂ© pour Ă©crire un message Ă  la fille qui vend son microkorg sur kleinanzeigen parce que j'ai dĂ©cidĂ© que j'avais plus de temps Ă  perdre, i got shit to do. r. m'a envoyĂ© un morceau de starla online oĂč elle chante juste accompagnĂ©e d'un synthĂ© et il m'a dit que ses morceaux Ă©taient assez simples Ă  jouer et puis en trainant sur le site de la maison de la poĂ©sie locale j'ai trouvĂ© un appel Ă  performances poĂ©tiques deadline 28 juillet et je veux proposer un texte accompagnĂ© au synthĂ©. une fille sur ig m'a parlĂ© du rĂ©seau des autrices francophones Ă  berlin aussi et ça m'a un peu rĂ©conciliĂ©e avec la ville. musique et mots musique et mots musique et mots. c'Ă©tait le titre d'un article arrachĂ© dans un magazine de musique accrochĂ© au dessus de mon bureau quand j'Ă©tais au lycĂ©e.
22 juillet
j'ai enfin achetĂ© un tapis pour recouvrir l'horrible moquette. je suis allĂ©e le chercher ce soir au coucher du soleil dans une banlieue glauque dans un appartement glauque chez un type encore plus glauque qui m'a dit bonjour je m'appelle michel et je suis un homme et non une femme je sais que mon nom peut prĂȘter Ă  confusion et une puis une fois qu'il a eu dĂ©tectĂ© mon accent français il a dit michel comme michel platini! je crois que berlin me rend moins peureuse. pour ce genre de trucs du moins. j'ai peur nulle part. j'ai moins peur de l'altĂ©ritĂ© parce que j'y suis plus exposĂ©e. mais Ă  la rĂ©flexion j'Ă©tais pas non plus hyper peureuse avant de venir ici. j'ai pris mon tapis neuf encore emballĂ© j'ai payĂ© sans marchander et je suis repartie avec mon tapis dans les bras. dans la rue j'ai croisĂ© un homme qui promenait son chien qui m'a regardĂ©e comme si je sortais de chez mon dealer, je sais ce que tu viens de faire, dealeuse de tapis.
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putainsoumise · 1 year
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SERVICE(s) AU CAP D'AGDE 06 - 07 - 08 - 09 -
SERVICE(s) AU CAP D'AGDE 06 - 07 - 08 - 09 -
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ENGLISH VERSION AFTER THE FRENCH ONE
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SERVICE(s) D'AIDE A LA PERSONNE AU CAP D'AGDE (jobs d'été) JUIN... JUILLET... AOUT... SEPTEMBRE...
Qui peut me proposer un ou des jobs d'été au CAP D'AGDE
Je peux ĂȘtre Ă  votre disposition Ă  la journĂ©e... Ă  la semaine... au mois... Mes fonctions sont multiples et variĂ©es. Je peux ĂȘtre factotum... chauffeur... faire le mĂ©nage... faire vos courses... faire le service pendant vos soirĂ©es... et bien plus encore...
Plus de renseignements et explications complémentaires directement par mail
A trĂšs bientĂŽt j'espĂšre
Esclavement et Putement vĂŽtre
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SERVICE (S) FOR THE PERSON IN CAPE D'AGDE (summer jobs) JUNE ... JULY ... AUGUST ... SEPTEMBER ...
Who can offer me one or several summer jobs at CAP D'AGDE
I can be at your disposal by the day ... by the week ... by the month ... My duties are many and varied. I can be factotum ... driver ... do the housework ... do your shopping ... do the service during your evenings ... and much more ...
More information and further explanations directly by email
See you soon I hope
Slavery and Bitchy Yours ************************************************************************ MIS A VOTRE DISPOSITION en RP a PARIS au CAP D'AGDE ou AILLEURS GRACE AUX SERVICES D'AIDE AUX PERSONNES (grùce au CESU profitez de 50 % de réduction d'impÎts)
Je cherche Ă  me mettre Ă  disposition de personnes qui peuvent me proposer un ou des jobs en RP a PARIS au CAP D'AGDE ou AILLEURS
Totalement "SOUMISSIBLE" je peux ĂȘtre Ă  votre disposition Ă  la journĂ©e... Ă  la semaine... au mois...
Pour information j'ai servi un couple de trÚs haute bourgeoisie parisienne pendant 5 ans dans ces conditions Eduqué et dressé comme Kajirus mais trÚs trÚs souvent utilisée comme kajira
Mes fonctions peuvent ĂȘtre multiples et variĂ©es. Je peux ĂȘtre utilisĂ©(e) comme factotum... chauffeur... faire le mĂ©nage... faire vos courses... faire le service pendant vos soirĂ©es... ĂȘtre utilisĂ©e comme soubrette... servir d'esclave sexuel... ĂȘtre femĂ©lisĂ©e... et bien plus encore... 24/24 Ă  votre service
Esclave sexuel Ă  disposition de femme dominatrice ou couple dominateurs
Ayant un impĂ©rieux besoin d'ĂȘtre utilise(e) comme une femelle esclave sexuelle
J'aime ĂȘtre pris(e) en main par une personne dominante ou un couple dominants qui pourrait faire de moi un(e) vĂ©ritable esclave sexuel(le), un(e) chien(ne) en chaleur, un(e) putain soumis(e), un trou Ă  bite pour ĂȘtre utilisĂ©(e) comme femelle... salope... chienne... pute et tous ces mots ne sont pas que des mots pour moi mais un rĂ©el dĂ©sir.. ou besoin d'ĂȘtre utilisĂ©(e) comme ça
J'aime ĂȘtre exhibĂ©(e) et prĂ©sentĂ©(e) pour ĂȘtre offert(e) et mis(e) Ă  disposition en permanence.
"O" comme dans histoire d'O, un collier autour du cou et tenu en laisse mes Maitresse et Maitre pourront m'exhiber et me prĂ©senter Ă  tous afin que je sois offert(e) et mis(e) en pĂąture comme ils le voudront de façon soft ou plus hard y compris pour des mises Ă  l'abattage Chacun pourrait me palper... me fouiller... me pĂ©trir... me triturer les fesses ou les tĂ©tons... me doigter... me baiser... double sodo possible... me goder... me fister... ĂȘtre livrĂ©(e) pour un Gang Bang, ou pour ĂȘtre baisĂ©(e) Ă  la chaine, et ĂȘtre utilisĂ©(e) de façon intensive... etc.
MAIS IMPERATIVEMENT AVEC DES PRESERVATIFS PROPRES ET NEUFS A CHAQUE PENETRATION
Si vous avez d'autres idees ou propositions je suis ouvert(e) meme aux idées les plus perverses ou les plus vicieuses
J'espĂšre devenir pour vous une bonne femelle... une bonne salope... une bonne chienne ... une bonne pute
Avec mes respectueux hommages
Esclavement et Putement vĂŽtre
Stephan(i)e
************************************************************************ Baie des cochons : bienvenue sur la plage libertine du Cap-d’Agde Au coeur du village naturiste du Cap-d’Agde, sur un morceau de plage rebaptisĂ© “baie des cochons”, les libertins s’amusent. Fellations, masturbations, bukkake, gang bang : ici, le plaisir est public et collectif. Article extrait des Inrocks spĂ©cial sexe, actuellement en kiosque.
C’est l’heure du goĂ»ter et quelques messieurs, visiblement affamĂ©s, hĂątent le pas sur le sable chaud. ArrivĂ©s Ă  hauteur d’un parasol gris, ils s’arrĂȘtent et se placent soigneusement en arc de cercle. Ils sont cinq, puis dix, trente. Tous sont nus et en Ă©rection. Muscles contractĂ©s, mĂąchoire serrĂ©e, la plupart se masturbent mĂȘme avec Ă©nergie. Sous le parasol, posĂ© sur une serviette blanche, un couple se montre. La femme est allongĂ©e sur le dos, l’homme se tient sur elle, dans la position du missionnaire. Ils ont une cinquantaine d’annĂ©es et leurs corps sont extrĂȘmement blancs, totalement Ă©pilĂ©s. BientĂŽt, ils glissent en levrette. Autour d’eux, les spectateurs semblent toujours plus nombreux, toujours plus excitĂ©s. AprĂšs quelques instants, elle souffle un mot Ă  son partenaire, en allemand. Il se retire d’elle et introduit un premier doigt dans son vagin, puis un deuxiĂšme. Avec attention, il accĂ©lĂšre le mouvement et, rapidement prise de convulsions, elle jouit. Elle jouit magistralement. Madame est une femme fontaine et l’assistance est aux anges. Quelques applaudissements se font mĂȘme entendre. Le spectacle ne fait pourtant que commencer.
Au Cap-d’Agde, sur un morceau de la plage du camp de naturistes, long d’une centaine de mĂštres et rebaptisĂ© “baie des cochons”, rien ne semble interdit. Les couples s’aiment en public et assouvissent leur dĂ©sir d’exhibitionnisme devant une cohorte de voyeurs Ă  l’affĂ»t. En semi-Ă©rection permanente, ceux-ci passent d’un couple Ă  l’autre exactement comme un enfant enchaĂźnerait les attractions Ă  Eurodisney. Ici, la police se fait extrĂȘmement rare. Elle intervient parfois lorsque les Ă©bats se prolongent en bordure de la plage, dans les dunes rattachĂ©es Ă  la rĂ©serve naturelle. Il est mĂȘme arrivĂ© que des voyeurs et des exhibitionnistes s’y fassent arrĂȘter et emmener au poste, simplement habillĂ©s d’une paire de menottes. Mais sur la plage, elle ferme les yeux. Car, mĂȘme si l’exhibitionnisme y est, comme partout, un dĂ©lit, les plaintes sont rarissimes. Dans le coin, tout le monde sait ce qui se trame Ă  cet endroit.
Tout le monde est adulte, consentant et nu
Depuis la construction du village naturiste du Cap-d’Agde dans les annĂ©es 70, cette parcelle de sable a toujours accueilli les libertins et leurs pratiques ont presque fini par entrer dans les moeurs. Des lois informelles se sont mĂȘme Ă©tablies au fil du temps. Sur la “baie des cochons”, tout le monde est adulte, consentant et nu, absolument nu (mĂȘme le journaliste, aprĂšs qu’il eut renoncĂ© au stratagĂšme du parĂ©o). Le groupe veille sur lui-mĂȘme et chasse ceux qui mettraient en danger son harmonie. Cet aprĂšs-midi-lĂ , un homme ayant eu l’indĂ©licatesse de sortir un tĂ©lĂ©phone portable pour filmer une femme en action se fera ainsi sĂ©vĂšrement reprendre. Son portable finira mĂȘme Ă  l’eau.
Au Cap-d’Agde, les exhibitionnistes se montrent dans l’assurance que les voyeurs sauront se tenir, malgrĂ© l’excitation. Ici, lorsqu’un homme jouit et rĂ©pand sa semence sur la plage, il prend mĂȘme le temps de la recouvrir de sable.
Un peu plus loin, c’est maintenant une femme trĂšs bronzĂ©e, la cinquantaine peroxydĂ©e et siliconĂ©e, qui s’offre Ă  son homme. Il est Ă  genoux devant elle et lui lĂšche le clitoris. Un nouveau cercle de voyeurs se forme autour d’eux. Les plus jeunes ont 25 ans, les plus vieux presque 80, Ă  vue d’oeil. Ils sont lĂ , agglutinĂ©s, collĂ©s les uns aux autres, le sexe Ă  la main. Ils se masturbent dans un silence de cathĂ©drale, comme concentrĂ©s sur les petits cris de plaisir poussĂ©s par la femme. C’est elle l’hĂ©roĂŻne de ce spectacle improvisĂ©, aux allures de tournage porno en plein air et en public. C’est elle qui donne le tempo, dit “oui” ou “non”.
Quand une femme désigne un homme, il doit venir la contenter
Au Cap-d’Agde, la femme est toujours au coeur des attentions, et ses dĂ©sirs sont comme des ordres. Quand elle dĂ©signe un homme dans la foule des voyeurs, celui-ci doit se rapprocher et venir la contenter, ce qu’il fait gĂ©nĂ©ralement avec empressement. LĂ , le veinard est un jeune homme d’origine maghrĂ©bine au corps ferme. DĂ©licatement, il s’installe Ă  cĂŽtĂ© de madame et pose ses doigts sur son corps, puis lĂšche ses seins. BientĂŽt, il pourra venir en elle.
Comme partout ailleurs, personne n’est Ă©videmment Ă©gal devant le dĂ©sir. Il y a une hiĂ©rarchie et un ordre esthĂ©tique. Dans Les Particules Ă©lĂ©mentaires, s’arrĂȘtant pendant quelques pages magistrales sur la plage du Cap-d’Agde, Michel Houellebecq Ă©crit :
“(
) une femme au corps jeune et harmonieux, un homme sĂ©duisant et viril se voient entourĂ©s de propositions flatteuses. Au Cap-d’Agde comme ailleurs un individu obĂšse, vieillissant ou disgracieux sera condamnĂ© Ă  la masturbation – Ă  ceci prĂšs que cette activitĂ©, en gĂ©nĂ©ral proscrite dans les lieux publics, sera ici considĂ©rĂ©e avec une aimable bienveillance.”
Nudité, érection et chaussures de ville, tout passe
Au fil des heures, et des jours, rien ne choque ou ne surprend plus vraiment. On s’habitue Ă  voir dĂ©ambuler des sexagĂ©naires Ă©quipĂ©s d’épais cockrings en mĂ©tal (assurĂ©ment l’accessoire de l’étĂ© 2012 au Cap-d’Agde). On se fait aussi au spectacle bizarroĂŻde d’hommes en Ă©rection, nus mais chaussĂ©s de leurs chaussures de ville ou de leurs baskets, car le sable brĂ»le les pieds en plein aprĂšs-midi. Tout devient normal. Tout passe. MĂȘme quand notre voisine de serviette, ĂągĂ©e d’au moins 70 ans, ouvre ses cuisses en grand et entreprend de se caresser pour le plaisir d’un mateur venu se poser Ă  quelques centimĂštres d’elle, sous l’Ɠil approbateur du mari, un homme aux longs cheveux blancs et au physique de gourou de secte.
A lire aussi : Faisons un tour en club échangiste
Ici, les corps, entiĂšrement Ă©pilĂ©s dans l’immense majoritĂ© des cas, sont souvent usĂ©s, tombants, fripĂ©s. La moyenne d’ñge tourne autour de 45 ou 50 ans et, si l’on recense quelques hommes dans la fleur de l’ñge, les femmes de moins de 40 ans sont trĂšs rares. “C’était mieux avant”, regrette d’ailleurs un homme Ă  casquette, postĂ© en haut d’une petite dune, Ă  un poste d’observation privilĂ©giĂ©. “Il y avait des jeunettes, des belles filles. Elles sont toutes parties
”
De façon gĂ©nĂ©rale, des habituĂ©s de la plage aux policiers municipaux en passant par les habitants du coin, on s’accorde Ă  dire que “la baie des cochons” est au creux de la vague, et qu’il s’y passait davantage de choses il y a cinq ou dix ans. Pour la police, les arrestations dans les dunes portent leurs fruits et dissuadent une partie des exhibitionnistes et voyeurs. Pour les autres, c’est l’apparition des boĂźtes libertines, ouvertes le jour, qui a changĂ© la donne. Il se dit, par exemple, que les jeunes libertines du Cap-d’Agde passent dĂ©sormais leurs aprĂšs-midi au Glamour, une boĂźte de nuit du village naturiste rĂ©putĂ©e pour la qualitĂ© de ses ambiances mousse.
Il est 18 heures, les choses s’accĂ©lĂšrent
Pourtant, indiscutablement, les trois ou quatre cents fidĂšles venant poser leur serviette chaque jour d’étĂ© sur “la baie des cochons” continuent de s’y s’amuser. Il est maintenant 18 heures et le poste de surveillance des maĂźtres nageurs vient de fermer. Les choses s’accĂ©lĂšrent. Dans l’eau, Ă  quelques mĂštres du bord, on remarque une vingtaine d’hommes en groupe. Au milieu d’eux, une femme aux cheveux courts, extrĂȘmement gĂ©nĂ©reuse.
Sur la plage, on s’active aussi. Goguenard, un homme revient de derriĂšre les dunes et raconte Ă  ses copains qu’”une fille vient de se faire Ă©jaculer sur le visage par une dizaine de types” (une pratique connue sous le nom de bukkake). Plus loin, une femme rousse allongĂ©e sur le sol fait l’attraction. Elle est entourĂ©e d’au moins cinquante hommes et elle dĂ©signe les Ă©lus, appelĂ©s Ă  venir profiter d’elle. Ils piaffent tous, cherchent Ă  capter son regard dans l’espoir d’un signe. Mais elle semble impĂ©nĂ©trable, les yeux dans le vague, doucement gagnĂ©e par le plaisir.
Elle dit ” viens” à un homme. Elle est française, comme une majoritĂ© des gens prĂ©sents sur la plage, semble-t-il. Il y a aussi beaucoup d’Allemands, de Hollandais, de Belges et quelques Anglais. Mais, dans le plus simple appareil, les Ă©tiquettes tombent vite, et les marqueurs sociaux s’estompent naturellement. C’est aussi le charme du Cap-d’Adge. Si quelques coupes de cheveux ou quelques tatouages maladroits semblent trahir, parfois, une appartenance Ă  un milieu populaire, on ne peut savoir vĂ©ritablement qui est riche, qui est pauvre, qui est cadre ou ouvrier.
Toujours dans Les Particules Ă©lĂ©mentaires, Houellebecq Ă©voquait, avec une certaine gourmandise, la prĂ©sence “d’infirmiĂšres hollandaises, de fonctionnaires allemands, tous trĂšs corrects bourgeois, genre pays nordiques ou Benelux”. Sur place, pourtant, les informations sont difficiles Ă  glaner. Un homme, habituĂ© des lieux depuis une dizaine d’annĂ©es, glisse qu’il est commercial dans l’agroalimentaire. Une femme dit ĂȘtre kinĂ©sithĂ©rapeute. Mais, ici, personne ne veut ĂȘtre ramenĂ© Ă  la vraie vie. Il y a tellement mieux Ă  faire. Tellement mieux Ă  Ă©voquer. Le soleil tombe et des couples se rapprochent, entament la conversation. Il est grand temps de prĂ©parer ce qui se passera plus tard, Ă  l’abri des regards, cette fois.
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etsicetaitmavie · 1 year
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Aujourd'hui c'est mon anniversaire. J'ai passĂ© une super belle journĂ©e pas du tout prĂ©vue, mon fils Pierre m'a invitĂ© au restaurant avec ma Lali, c'Ă©tait un trĂšs joli moment, je me suis un peu reposĂ©e pendant qu'ils allaient nourrir le chat du pote de mon fils parti en vacances puis nous avons regardĂ© un film et fait des Blind test pour l'apĂ©ro et ce soir mon fils Maxime est rentrĂ© de Paris et on a dĂźnĂ© tous ensemble. Demain je le fĂȘte avec mes 4 enfants et mon chĂ©ri le soir.
Avant, je n'aimais pas fĂȘter mon anniversaire, jamais.
Mais depuis quelques annĂ©es, c'est devenu important pour moi, ces moments partagĂ©s, ces souvenirs que je garde tout prĂ©cieusement au creux de mon cƓur de maman. Maintenant que Mathilde et Pierre ne vivent plus avec moi et mĂȘme si on arrive Ă  se voir tous ensemble souvent, c'est important pour moi de se retrouver autour des anniversaires. Et c'est important aussi que mon chĂ©ri soit lĂ .
Beaucoup d'Ă©vĂšnements ont eu lieu cette annĂ©e, mon grand a quittĂ© sa copine, ma grande a trouvĂ© sa moitiĂ©, elle s'installe avec lui. Un peu loin de moi et ce n'est pas simple pour moi, je ne pourrais plus aller boire un cafĂ© avec elle les samedis aprĂšm mais quand je la regarde si Ă©panouie et heureuse alors je le suis avec elle. Ah oui et aussi elle a eu son master (avec les encouragements du jury et 14.5 s'il vous plait !). Il est possible aussi que mon grand change de ville d'ici fin d'annĂ©e. Si cela lui va alors cela ma va aussi. Mon Max est en pleine tempĂȘte avec sa copine (que je dĂ©teste profondĂ©ment de se comporter aussi mal avec lui). On a passĂ© l’orage avec ma Lali, jusqu’au prochain ?
J’ai dĂ» quitter mon travail que j’adorais et c’est encore aujourd’hui difficile pour moi d’arriver Ă  me projeter ailleurs.
Je suis heureuse auprĂšs de mon ChĂ©ri mĂȘme si des fois je voudrais plus. Plus de temps rien qu’à nous. Plus de temps tous ensemble. Des fois c’est vraiment frustrant mais ce qu’on vit c’est tellement beau que cela prend le dessus sur cette frustration.
Je veux vieillir avec lui.
Cette annĂ©e ma copine va perdre sa maman et je voudrais pouvoir  lui enlever cette infinie tristesse, je vais souvent voir sa maman et je prends le relai de ma copine (ĂȘtre aidant c’est vraiment difficile). Sa maman est une belle, une trĂšs belle personne.
Je ne sais pas demain alors je profite de chaque seconde avec les personnes que j'aime.
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flo-nelja · 6 months
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If you're still doing the meme, Cassandre?
Why I like them: J'adore la cruauté du concept, de la personne qui dit toujours la vérité et n'est jamais crue.
Why I don’t: Je veux dire, c'est un concept intĂ©ressant, mais bien sĂ»r, en soi, je suis toujours frustrĂ©e par le concept que rien ne peut ĂȘtre changĂ© au futur (je pense qu'elle aurait dĂ» au moins essayer de tuer Paris Ă  la naissance :P )
Favorite story: J'aime le moment oĂč elle explique Ă  Agamemnon que sa femme va le tuer et oĂč, pour un instant, elle est contente de n'ĂȘtre pas crue.
Favorite quote (from them or about them) : Giraudoux encore !
"[Le destin] est simplement la forme accélérée du temps. C'est épouvantable."
BrOTP: Je suis curieuse de sa relation avec Helenos.
OTP: Autant je ne shippe rien (à part potentiellement en tordu avec HélÚne), une part de ma curiosité sur Helenos est un potentiel triangle amoureux avec Apollon.
an-oh-god-why-did-that-have-to-happen: Le passage oĂč elle se fait violer lors de la chute de Troie est trop cruel pour moi.
Unpopular opinion: Je me demande ce qui serait arrivĂ© si les gens avaient cru ses prophĂ©ties. Elles se seraient toujours rĂ©alisĂ©, n'est-ce pas ? Ca suffit pour faire mal Ă  la tĂȘte
My nickname for them: Pas de surnom encore une fois.
if you could say one thing to them: Rien de spécial : l'idée que je ne croirais rien de ce qu'elle peut me dire est trÚs frustrante pour moi.
Favourite portrayal of them: La guerre de Troie n'aura pas lieu !
LEAST favourite portrayal of them: Ce n'est pas que c'est négatif, mais HomÚre n'a rien fait avec elle, c'est frustrant.
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lalignedujour · 1 year
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La photo d'une petite fille en fond d'écran. Une application de calendrier. Une liste de tùches avec des codes couleur. Des conversations avec des liens vers des documents sérieux.
C'est ce que je vois dans son tĂ©lĂ©phone. Je suis voiture 2 place 76 dans le Paris-Lyon. CĂŽtĂ© fenĂȘtre. Juste derriĂšre lui. Ma mĂšre m'a retirĂ© mon tĂ©lĂ©phone Ă  moi. Et j'en avais un peu marre de lire Le Grand Maulnes. Je le finirai chez mon pĂšre. Le paysage de novembre, j'aime bof, alors entre les siĂšges je regarde le tĂ©lĂ©phone du gars devant moi.
Je prends toujours le train du lundi 7h52 la deuxiĂšme semaine de chaque vacances scolaires. L'annĂ©e prochaine, j'aurai le droit de le prendre tout seul, mais lĂ , c'est encore ma mĂšre qui m'accompagne. Elle pense que ça me rassure. Je dirais que c'est pas nĂ©cessaire, elle m'agace parfois et je prĂ©fĂšrerais ĂȘtre seul. Mais peut-ĂȘtre qu'en fait elle a raison. Peut-ĂȘtre que ça me fait du bien quand mĂȘme. Aux vacances de NoĂ«l, je vais lui demander de prendre le train seul. Pour voir. Ou peut-ĂȘtre Ă  celles de fĂ©vrier.
J'ai soif et un peu envie de pisser, mais j'aime bien regarder le téléphone du gars devant. Je suis hypnotisé. Il l'utilise pas du tout comme j'utilise mon téléphone.
On arrive bientĂŽt Ă  Lyon. Il ferme ses applis les unes aprĂšs les autres, il revient sur la photo de la petite fille trop mignonne et range son tĂ©lĂ©phone dans sa poche. Ma mĂšre me demande de prĂ©parer mes affaires. J'aurais bien aimĂ© une petite sƓur, mais c'est mort maintenant.
Donc, lĂ , je passe la deuxiĂšme semaine de vacances scolaires avec mon pĂšre. C'est cool. Parfois, il travaille et je peux traĂźner Ă  la maison. Mais il prend quand mĂȘme des congĂ©s quelques jours et on va au cinĂ©, Ă  la Vogue des Marrons, au KFC, Ă  la boutique de mangas. C'est comme avec un pote, mais un pote qui aurait de l'argent et dans une ville oĂč je connais personne. J'ai pas Ă  faire semblant de ne plus aimer des trucs de gamins. J'adore les auto tamponneuses et les glaces. Et de toute façon je croiserai personne que je connais.
Ensuite, il me raccompagne à la Gare de Lyon, ma mÚre vient me chercher et on rentre à Ivry. En français, on étudie Le Grand Maulnes. Je progresse un peu à PES. J'ai enfin la moyenne en maths. Je fais mon premier vol au Carrefour Market en face du lycée. Et les vacances de Noël arrivent vite. Alors, je reprends le train. Seul cette fois.
On arrive super en avance. Le quai est indiqué juste 20 minutes avant, mais nous on sait que c'est la voie 23, on a l'habitude. Et en fait, non, ça a changé, c'est la voie A, dans le Hall 1. On y va en courant, ma mÚre est super stressée, il y a plein de monde. Elle me fait beaucoup de bisous devant tout le monde et me répÚte des trucs style t'as ton chargeur dans ta poche extérieure, oublie pas de descendre à Lyon, garde ton sac prÚs de toi on sait jamais, et tu m'appelles quand tu veux. Je monte dans le train, mais je pars du mauvais cÎté, c'est la mauvaise voiture, je m'en rends compte tard et je dois me refaire une bonne partie du train dans l'autre sens alors qu'il part déjà.
Et c'est lĂ  que je le vois. Le mec de la derniĂšre fois. Dans le carrĂ© famille. Il a un peu changĂ© de tĂȘte. Je le reconnais Ă  son tĂ©lĂ©phone posĂ© sur la tablette devant lui. Je reconnais la petite fille. La mĂȘme photo que la derniĂšre fois. La mĂȘme photo, mais en noir et blanc.
J'ai connu Jed.
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journaldenimportequi · 10 months
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Jeudi 16 novembre 2023
Escapade parisienne
Les jours passent et je trouve toujours une bonne raison de remettre au lendemain le moment d'écrire ces lignes mais ce soir je suis motivé alors me voilà.
Je suis plutÎt influencé par mes lectures du moments, à savoir les mémoires de Paul Bowles et le journal de Paul Léautaud.
Voilà des gens qui savaient écrire !
Quand je lis les écrits de Paul Bowles, je ne peux que regretter amÚrement de ne pas mener une vie d'aventurier, explorateur du monde, toujours parti quelque par autour du globe, avec une prédilection pour les endroits exotiques.
Ah c'est sûr qu'il en avait des choses à raconter !
Ne devrais je pas faire pareil ?
Me forcer à bouger pour avoir des choses à raconter ?
Mais je ne suis pas un aventurier, moi je suis trop attaché à mon confort pour courir dans le désert et dans la jungle.
Cependant, il est certain que si j'avais les moyens financiers, je voyagerais réguliÚrement.
J'ai gardé notamment cette envie persistante de revoir New York City.
Je n'abandonne pas l'idée.
En attendant, je vais Ă  Paris puisque Paris est Ă  3 heures et demi de train de chez moi.
Ainsi, j'y suis retourné l'autre jour.
Le week-end d'avant, j'ai retrouvé mes amis Justine, Canel et Arthur et nous sommes allé manger au restaurant japonais, puis nous avons filés, Canel en moins, direction la bourse aux disques de Clermont-Ferrand pendant quelques heures et nous sommes ressortis enrichis de quelques galettes plus ou moins intéressantes (j'ai acheté des cds que je possédais déjà en vinyles).
Et puis donc, le lundi suivant, je suis parti Ă  Paris.
Le prétexte de ce séjour court (juste un peu plus de 24 heures) fut la visite d'une exposition au musée d'Orsay consacrée à Van Gogh.
C'est une bonne raison de monter Ă  la capitale, vous en conviendrez.
Je suis donc arrivé à la gare de Bercy aprÚs un voyage en train toujours agréable (j'aime les voyages en train) et je suis allé acheter des tickets de métro puis je me suis rendu à mon hÎtel habituel, dans le 18Úme.
La gĂ©rante m'a reconnue, il faut croire que j'ai une gueule qu'on oublie pas (Ă  mon grand dĂ©sarroi, je rĂȘve de ressemble Ă  monsieur tout le monde).
Il faut dire que ça doit faire la troisiÚme ou la quatriÚme fois que je séjourne dans cet établissement.
J'ai déposé mes affaire et j'ai filé au boulevard Saint Michel pour me rendre dans le magasin Gibert consacré à la musique et j'ai passé du temps à éplucher les bacs de cds en cherchant la bonne affaire.
J'ai été trÚs raisonnable puisque je suis ressorti avec deux cds d'occasion (un Bob Dylan, « Blonde On Blonde », et un Kanye West, « Late Registration »).
Encore une fois, je possédais déjà ces albums en vinyle.
AprÚs ça j'ai remonté le boulevard et j'ai marché sans but précis.
Je suis passé devant La Closerie Des Lilas, j'ai pensé à Hemingway mais je ne suis pas rentré, trop impressionné par l'histoire de ce lieu, « je ne suis pas digne », j'ai pensé.
Et puis le coca devait coûter une blinde, en plus !
J'ai continuĂ© Ă  marcher et le temps s'est gĂątĂ©, il a finit par pleuvoir et j'ai dĂ» me rĂ©fugier dans une brasserie oĂč, unique client, j'ai profitĂ© des happy hours pour dĂ©guster une pinte de blonde Ă  5€.
A ce moment lĂ , j'Ă©tais plutĂŽt content de moi.
Seul, mais content, je n'aurais pas voulu ĂȘtre autre part.
J'ai fini par rentrer à l'hÎtel, en Uber, parce qu'il pleuvait trop et je n'avais pas le courage de me taper tout le chemin inverse jusqu'au métro.
Le trajet m'a coûté prÚs de 27 balles et il a duré presque une bonne heure.
Pendant tout le trajet, le chauffeur n'a pas dit un mot et c'était trÚs bien comme ça.
J'ai observé Paris sous la pluie et c'était presque romantique, il ne manquait plus qu'une compagne à mes cÎtés.
Je suis rentré, j'ai avalé un sandwich triangle sans saveur en me félicitant de ne pas avoir dépensé de l'argent pour un repas et puis je suis parti, toujours en Uber, il faisait nuit, rejoindre Mathieu, Nina et leurs amis dans un bar à Belleville.
Cette fois ci, le chauffeur n'Ă©tait pas muet, bien au contraire, il passait son temps Ă  invectiver les autres automobilistes qui avaient le toupet de partager sa route.
Encore une fois je me suis plu à observer Paris et ce soir il y avait une ambiance apocalyptique, des gens criaient, il y avait une tension causée par l'actualité (conflit israélo-palestinien, une manifestation pro palestinienne avait eu lieu quelques heures avant).
J'ai fini par arriver devant le bar non sans un certain trac : j'ai toujours un peu peur de rencontrer des gens nouveaux, je connaissais dĂ©jĂ  Mathieu et Nina mais il n'empĂȘche que c'est dur de sortir de ma zone de confort.
Finalement, tout s'est bien passé.
Je n'ai absolument rien bu pendant toute la soirée, et mon cÎté pingre s'en est félicité.
La soirée était une soirée blind test et c'était trÚs amusant.
Tout s'est terminé à une heure raisonnable et je suis rentré en Uber.
Je me suis endormi facilement, en essayant de ne pas trop songer aux punaises de lits dont les médias n'avaient de cesse de nous parler depuis un bon mois.
Je me suis levé tÎt, puisque j'avais commandé un petit déjeuner servi dans ma chambre à 7 heures et demi.
Entre temps, j'ai contacté mon cousin Jimmy qui habite dans le coin pour lui proposer qu'on se voit pour manger à midi avant mon départ.
Il m'a dit que j'Ă©tais dingue de dĂ©penser 110€ pour une nuit Ă  l'hĂŽtel, que la prochaine fois je ferais mieux de le prĂ©venir pour qu'il m'hĂ©berge.
Nous avons convenus de nous voir Ă  midi.
J'ai rassemblĂ© mes affaires et j'ai quittĂ© mon hĂŽtel pour aller au musĂ©e d'Orsay oĂč avait lieu l'exposition.
Et puis, je suis rentré, et j'en ai pris plein les yeux.
Il faut dire que ça fait plusieurs mois que je suis plongé dans une biographie consacrée à Van Gogh et qu'il m'accompagne donc au quotidien, j'ai l'impression qu'il est un de mes proches, presque un ami.
Ce fut vraiment trĂšs Ă©mouvant de pouvoir observer sa peinture en vrai et de prĂšs.
Car sa peinture, il faut la voir en vrai, en 3d, je vous jure, c'est autre chose que de regarder de simples photographies.
Quelle émotion c'était de voir sa palette et ses tubes de peintures, d'observer ses coups de pinceau, ses épaisses couches de peintures recouvrant ses toiles !
Il faut préciser que l'exposition était consacrée à ses deux derniers mois de vie.
J'ai été étonné par le format de ses peintures que je n'imaginais pas si imposant.
J'ai aussi remarqué qu'il ne signait là presque jamais ses toiles.
Et puis encore une fois, beaucoup d'émotion en observant « champ de blé aux corbeaux » qui est une toile qui m'a beaucoup marquée et trÚs tÎt puisqu'elle était dans mon bouquin d'école en primaire, au CE2.
Je suis ressorti de lĂ  avec une furieuse envie de peintre en me demandant si il Ă©tait possible d'en ĂȘtre autrement.
Et puis j'ai quitté le musée, pour quelque temps, puisqu'il est évident que j'y reviendrais un jour prochain.
J'ai pris le métro et je me suis rendu au lieu de rendez vous pour attendre mon cousin qui était là pile à l'heure.
Ca me fait toujours quelque chose de le voir, mon cousin, car il est trÚs lié à mon enfance et je suis toujours trÚs nostalgique.
Je suis le seul cousin à le fréquenter encore, aussi.
Je suis trÚs heureux d'avoir conservé un lien avec lui.
Nous avons mangés et j'ai réussi à lui payer le repas (les fois précédentes il avait toujours réussi à me payer la note).
Nous sommes allés nous promener, sommes entrés dans une Fnac et nous avons parlé musique (Cypress Hill), série télé (Miami Vice) et jeux vidéos (Dragon Ball Kakarot).
Et puis nous nous sommes quittés et j'ai filé à la gare de Bercy prendre mon train aprÚs une petite journée qui s'est déroulée trÚs vite, finalement, mais je n'étais pas mécontent de cette escapade, il est toujours bon de changer d'air et malgré tout, Paris sera toujours magique à mes yeux.
Voici une poignée de réflexions posées en vrac ces derniÚres semaines dans le bloc note de mon téléphone :
Plus je me cultive, plus j'ai honte de savoir aussi peu de choses.
Je suis un esthĂšte laid, quelle ironie, tout de mĂȘme !
J'ai de préjugés à propos des belges et des homosexuels qui ont toujours ma sympathie immédiate, ce qui est plutÎt stupide, je m'en rend bien compte.
Je termine ce rĂ©cit en saluant celles qui me lisent toujours : fidĂšles lectrices (il semblerait qu'aucun homme ne me lis dĂ©sormais), c'est un honneur d'ĂȘtre lu par vous : coucou Glady, coucou Kalina !
Bande son : Teenager Of The Year, Frank Black
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tournevole · 2 years
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. La vie est un mythe. Mon Ăąme et moi, nous fĂźmes nos bagages et cherchĂąmes dans le quartier un gĂźte qui n'aurait Ă©tĂ© qu'un gĂźte. Le pain est simple, l'amour est simple, la mort est simple. Pourquoi les pauvres hommes ont-ils voulu la vie si compliquĂ©e ? Pourquoi la bourrent-ils Ă  l'envi de leurs fantaisies ? Que de fatigues, et que de dĂ©chets ! ...Ils nous convient dans leurs thĂ©Ăątres pour Ă©couter des dialogues de vendeurs aux soutiens-gorge, ou dans leurs parlements pour entendre des harangues de tambours de village, ou dans leurs salons pour admirer la VĂ©nus TeinturiĂšre. Vivre ! Docteur, je voudrais vivre ! Pourquoi les hommes ne sont-ils pas comme les feuilles d'un arbre, toutes propres, silencieuses et discrĂštes ? Faut-il des Ăąmes d'Ă©lite ? Oui, bien, il en faut. Et des cerveaux de princes et des sensibilitĂ©s de grands hommes. Oui, mais il ne faut pas que celles-lĂ . Paris doit avoir avant tout des habitants et non pas des gĂ©nies Ă  chaque Ă©tage, comme des dentistes ou des tailleurs Ă  façon. Je ne suis qu'un homme qui veille dans son phare, une abeille qui porte sur son dos son miel noir, un passant parmi les passants. J'aime la vie, comme les courtiliĂšres aiment leur chemin, et les tuiles leur coude Ă  coude aux tempes des maisons. Je voudrais faire mon devoir d'homme parmi des spectacles rĂ©els, "dans de la banalitĂ© riche". Je voudrais qu'il n'y eut qu'un phare tous les mille mĂštres sur cette route qui nous mĂšne Ă  la mort. Des gĂ©nies, mais des hommes. Non, je ne suis pas thĂ©ologien, ni un fasciste, ni un rouge, ni un mauve, ni un syndiquĂ©, ni un des plus brillants romanciers de ce temps, ni l'auteur dramatique le plus en vue, ni le commis voyageur le plus actif de la PensĂ©e Française, ni quelqu'un des pontifes les plus adorables des Lettres, ni un charmant causeur, ni un ornement des salons. Je ne suis qu'une lampe de chair et d'ombre. Je sens pourtant ce qui est bien et ce qui est faux. J'ai attachĂ© mon existence au corbillard des pauvres. Et j'aime mieux mordre dans le saucisson de la mĂšre Bourdognon que de me prendre au sĂ©rieux. Tous ces gĂ©nies me font peur. Si au moins ils avaient apportĂ© des joies, s'ils avaient crĂ©Ă© quelque chose ? Car enfin, il y a eu Rabelais, Balzac, Pascal, Baudelaire, Stendhal, Musset, le pĂšre Hugo, ce grand prĂȘteur dont ils taisaient tous le nom. Il y a eu Rimbaud, MallarmĂ©, Verlaine et Debussy. MĂȘme, il y a eu Bizet et Fragonard. Et tous ceux qui les prĂ©cĂšdent. Alors, qu'on ne secoue pas les braves gens dans leur lit parce que le jeune PĂšteprouf a accouchĂ© d'un pouĂąme, d'une piĂ©cette, d'une musiquette, d'une historiette ou d'une peinture lurette. Sinon, nous allons appeler les artilleurs Ă  leurs piĂšces Ă  notre tour, nous autres qui avons cent ans et plus de coins de Paris, et de bouquins, et d'application. Nous aussi, nous avons une RĂ©volution qui menace derriĂšre nos fagots. Mais une rĂ©volution obscure, digne, toute en veilles fantastiques, en vellĂ©itĂ©s de bonne tĂȘte. Un coup de tĂȘte de PoĂ©sie, une dĂ©claration d'amour plus artiste Ă  la matiĂšre. Une autorisation donnĂ©e aux hommes de se risquer entiĂšrement, corps et Ăąme, dans l'aventure ! Il faudrait une RĂ©volution du courage contre la facilitĂ©, de la mĂ©ditation contre le bagout, de l'art vrai contre l'art Ă  portĂ©e de tous. Et de mon cañon de silence et de lassitude, je les vois venir, ceux qui la feront, au nom de l'honneur de sentir. »
LĂ©on-Paul Fargue (1876-1947) - " Azazel " - Haute solitude. Paris, Émile-Paul frĂšres , [1941].
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stories-of-c · 1 year
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P.
PDG - 25 ans - français - capricorne
Cette histoire est cocasse. Assez cocasse mĂȘme !
Bon, tout commença un dimanche, vers 22 heures. Je lisais tranquillement Ă  la terrasse de mon cafĂ© habituel Ă  la lueur des lanternes. J'ai cette habitude le dimanche soir lorsque je suis seule. Je lis et je bois jusqu'Ă  a ce que l'alcool me couche. En thĂ©orie, c'est efficace, en pratique, je dois traverser la rue et ouvrir la porte de mon immeuble. Enfin ! Ne digressons pas ! Nous sommes dimanche. Je me souviens avoir vu A. ce jour la (j'ai des sentiments pour A., ca fait longtemps que je n'ai pas eu ce genre de sentiments - je me ronge de l'intĂ©rieur - Ă  ce moment je n'en ai pas encore. c'est au moment ou j'Ă©cris - tout de suite maintenant que je le ressens). Je lis tranquillement lorsqu'une prĂ©sence s'approche de moi. C'est P. Il est chargĂ© de chemises qu'il porte sur des cintres et me dis venir du lavomatique au bout de la rue. "Je suis passĂ© il y a deux heures, tu lisais dĂ©jĂ , j'espĂ©rais te revoir en revenant, et tu es toujours la !" Nous avons Ă©changĂ©, peut ĂȘtre 15 minutes : moi sur ma chaise, les jambes Ă©talĂ©es sur la chaise d'en face, ma casquette sur la tĂȘte, mon verre de vin dans la main gauche et mon livre dans la main droite - lui, sur le trottoir Ă  porter ce qui vraisemblablement pesait lourd - une dizaine de chemises Ă  bout de bras. Avant de partir, je lui demanda son prĂ©nom et lui me demanda mes coordonnĂ©es. Nous Ă©changeĂąmes trĂšs peu, mais trĂšs rĂ©guliĂšrement ! Pas une journĂ©e sans un message - jamais plus de 5 messages ! AprĂšs notre rencontre, nous ne nous sommes pas vu aussitĂŽt. Il repartais en province. Quelques jours plus tard, de retour Ă  Paris il m'invita Ă  boire un verre. (a ce moment j'Ă©tais avec A. et dĂ©clina cette proposition.) Je crois que je plais beaucoup Ă  P. J'aime l'appeler mon voisin. Nous Ă©changeames encore un peu et dĂ©cidĂąmes de se revoir pour boire un verre un soir de semaine, peut ĂȘtre un lundi. J'Ă©tais assise Ă  la mĂȘme place que notre premiĂšre rencontre. Il me rejoignit et nous passĂąmes la soirĂ©e Ă  refaire le monde. A ce moment la je culpabilisais presque pour A. en qui j'avais dĂ©veloppĂ© une forte attache. Suite Ă  cette entrevue, nous ne nous sommes pas vu pendant une dizaine de jour, jusqu' Ă  hier soir.
Ce dernier m'a invité chez lui, soit : à cÎté de chez moi ! Comme vous l'imaginez, nous avons couché ensemble. Ici je n'ai pas envie de raconter comme c'était, ce qu'il s'est passé, si c'était beau, laid, romantique, fort ou sensuel. Sachez que c'était bien. Juste bien.
Avant d'arriver chez P., je pensais Ă  A. - quand je suis rentrĂ©e chez moi, j'ai pensĂ© Ă  A. Cet homme m'obsĂšde. J'ai dĂ©sirĂ© P. le temps d'une soirĂ©e. Peut ĂȘtre le dĂ©sirerai-je encore Ă  d'autres occasion. Mais c'est avec A. que je souhaite ĂȘtre. C'est avec A. que je souhaitais ĂȘtre Ă  ce moment la. Je voulais son souffle sur moi, son odeur, sa peau, tout. Je le voulais lui. Et pourtant je crois que pour la deuxiĂšme fois de ma vie, un homme ne me veut pas. A. ne me veut pas. (je raconte quelques histoires ça et la Ă  C. Ă  S. Ă  J. avec qui j'ai passĂ© la journĂ©e d'hier avant de retrouver P. ou encore Ă  ma directrice - oui - vous avez bien lu. C'est lĂ©ger et frivole. je lui raconte la situation. Elle me rĂ©conforte. "C. tu ne mĂ©rites pas quelqu'un de plus faible que toi. Tu vas avoir du mal Ă  trouver et je le sais, je suis passĂ©e par la" - je quitte la voiture, prends un verre de vin rosĂ© en face de chez moi - relis mon brief - supprime l'intĂ©gralitĂ© de mes Ă©changes avec A. et rentre Ă  la maison.)
Il me rend folle. quel connard !
05-23
C.
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lualluna0 · 2 years
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AdhelfĂ­ PsikhĂ­ - Î±ÎŽÎ”Î»Ï†Îź ÏˆÏ…Ï‡Îź - 03.
Tumblr media
03.
Ma douche a Ă©tĂ© rapide et j'ai choisi une tenue assez simple pour aujourd'hui ; un jean noir, un t-shirt du groupe Queen ainsi que des baskets noires. Je n'ai que deux heures de cours ce matin et je file ensuite Ă  la bibliothĂšque jusqu'Ă  17h – si ce n'est pas bondĂ© lol. Le matin je ne mange pas, je n'en ai jamais envie. Si j'ai le temps, je m'arrĂȘterai sur le chemin pour acheter quelque chose Ă  boire, je me dis. Je prends mon manteau, mon sac de cours et quitte l'appartement. Je prends soin de fermer Ă  clĂ© derriĂšre moi. Je dĂ©vale les escaliers des trois Ă©tages qui me sĂ©parent de la sortie et me dirige vers la station de mĂ©tro.
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Les cours Ă©taient ennuyant aujourd'hui. J'avais l'habitude de toujours ĂȘtre entourĂ©e de mes amis lors de mes prĂ©cĂ©dentes annĂ©es d'Ă©tudes, mais depuis que je suis Ă  Paris je n'ai pas rencontrĂ© beaucoup de personnes. Il y a Nour, qui est gentille avec moi. Elle est dans ma classe. Elle a l'air assez folle et j'aime bien ça. On n'est pas encore assez proche pour la qualifiĂ©e d'amie mais c'est un dĂ©but. Le fait d'ĂȘtre seule la plupart de temps est assez difficile. Ça fait se poser beaucoup de question sur soi-mĂȘme, sur la confiance qu'on croyait avoir acquise, sur l'intĂ©rĂȘt que les gens peuvent nous porter et sur bien d'autres choses. Mais c'est aussi une maniĂšre d'apprendre Ă  se connaitre, en tout cas c'est ce que j'essaye de me dire.
Je pousse la porte de la bibliothÚque et la cloche sonne. Il n'y a personne aux alentours mais je suis habitué. Je monte à l'étage et cherche M. Pavel du regard.
— " Monsieur ? C'est Luna, je suis arrivĂ©e.
— Je suis lĂ , viens ! La rĂ©ponse vient du fond de la piĂšce, Ă©touffĂ©e par les nombreux rayons remplies d'exemplaires de toutes les couleurs et de toutes les tailles. Sa voix est enjouĂ©e mais je sens que ça ne va pas me plaire. M. Pavel reste rarement Ă  la boutique lorsque je travaille, mais il ne peut pas s'empĂȘcher de venir trifouiller ses livres. C'est sa femme qui l'avait convaincue d'embaucher quelqu'un, il avait acceptĂ© mais au fond je pense que sa passion est Ă  tout jamais ici.
Je suis cette direction et finis par voir l'homme assez ùgé, accroupit par terre et entouré de piles de livres.
— Aaah tu es lĂ  ! Tu vas pouvoir m'aider ! Je fais du tri dans les Ă©tagĂšres. Il me regarde avec un grand sourire en se relevant, fourrant une petite pile de livres dans mes mains.
— Commence par mettre ça dans la rĂ©serve, il me montre un tas de livre posĂ© Ă  la va vite dans un coin.
Je fais ce qu'il me dit sans broncher et me dirige Ă  nouveau vers l'entrĂ©e de la boutique. Je passe devant le comptoir et ouvre la porte qui se trouve derriĂšre. Il y a une petite piĂšce remplie de livres inutilisĂ©s car abĂźmĂ©s ou trĂšs rarement lu. Ça sent le renfermĂ© et il y a de nombreuses toiles d'araignĂ©es suspendues au plafond. Je dĂ©pose les livres sur une pile dĂ©jĂ  commencĂ© et sors en vitesse. Cette piĂšce n'est pas vraiment rassurante.
— Luna ! OĂč es-tu ? Ce n'est pas finit hein !" Je lĂšve les yeux au ciel et remonte les escaliers. Je comprends que cette journĂ©e de travail ne va pas ĂȘtre de tout repos, contrairement Ă  d'habitude.
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18 heures et enfin dehors ! Le vent froid me fouette le visage, j'avais remonté le col de mon manteau. Je me dirige vers le métro en vitesse pour ne pas geler sur place. Je suis attirée par le restaurant-café La Tavérna qui se trouve à mi-chemin entre la bibliothÚque et la station. Je ne suis pas contre prendre quelque chose de chaud vu le temps.
J'entre dans la piĂšce et je suis soudainement enveloppĂ© par la chaleur qui y rĂšgne. J'ai un regain d'Ă©nergie grĂące Ă  l'ambiance rĂ©confortante du cafĂ©. Je commande un cappuccino et enlĂšve mon manteau en attendant que le serveur le prĂ©pare. AprĂšs avoir payĂ©, je vais m'asseoir Ă  une table au fond du cafĂ©, prĂšs d'une grande fenĂȘtre donnant sur la rue. En attendant que mon cappuccino refroidisse, je regarde les gens passer, rĂ©sistant face au vent, les feuilles de l'automne qui s'envolent dans un grand tourbillon. Un groupe d'Ă©tudiants passe devant la vitrine et je suis prise de nostalgie, encore une fois, la prĂ©sence de mes amis me manque terriblement.
Je bois une gorgĂ©e, le liquide enfin Ă  la bonne tempĂ©rature et tourne la tĂȘte vers l'intĂ©rieur de la piĂšce. C'est un petit cafĂ© chaleureux. Les murs sont peints en nuances de beiges, des bibelots en rapport avec la prĂ©paration traditionnelle du cafĂ© sont disposĂ©s sur des Ă©tagĂšres en bois, les banquettes sont rouge bordeaux. Et il fait chaud ici, j'adore. Le cafĂ© est presque vide. Un couple de personnes ĂągĂ©es boit et mangent sur une table Ă  ma droite, un jeune homme est installĂ© dos Ă  moi, dans le coin opposĂ© Ă  ma table, un autre est en face de moi, une capuche sur la tĂȘte. Une Maman et son fils rigole vers l'entrĂ©e du cafĂ©. J'avais fini ma boisson et me lĂšve pour enfiler mon manteau. Le jeune homme du fond se lĂšve en mĂȘme temps que moi. Je jette un dernier regard curieux vers lui tout en me dirigeant vers la porte. Il se retourne et je reste figĂ©. C'est Ken. Il range ses affaires dans son sac. Un courant Ă©lectrique traverse mon corps et je sors du cafĂ© Ă  toute vitesse, prise de panique. Je prends la direction de la station de mĂ©tro sans trop y penser. Comment pouvais-je croiser quelqu'un que je n'avais jamais vu avant, autant de fois en si peu de temps ? Il me perturbe. Et je ne sais pas pourquoi mais ça me stresse. Je file Ă  toute vitesse vers ma destination, je n'ai qu'une envie : rentrer chez moi.
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My shower was quick and I chose a pretty simple outfit for today; black jeans, a Queen t-shirt and black sneakers. I only have two hours of class this morning, and then I go to the library until 5pm – if it's not crowded, lol. In the morning I don't eat, I never want to. If I have time, I'll stop on the way to buy something to drink. I take my coat, my bag and leave the apartment. I take care to lock the door behind me. I run down the stairs of the three floors that separate me from the exit and head towards the subway station.
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Classes were boring today. I used to always be surrounded by my friends during my previous years of study, but since I am in Paris I have not met many people. There's Nour, who's nice to me. She's in my class. She looks pretty crazy and I like that. We're not close enough yet to call her a friend, but it's a start. Being alone most of the time is quite difficult. This raises a lot of questions about yourself, about the confidence you thought you had acquired, about the interest people may have in you and about many other things. But it's also a way to get to know yourself, at least that's what I'm trying to tell myself.
I push the library's door and the bell rings. There is no one around, but I am used to it. I go upstairs and look for Mr. Pavel.
— Sir? It's Luna.
— I'm here, come on! The answer comes from the back of the room, muffled by the many aisles filled with books of all colors and sizes. His voice is cheerful, but I feel like I'm not gonna like it. Mr. Pavel rarely stays in the shop when I work, but he can't help but come and search books. It was his wife who had convinced him to hire someone, he had accepted, but deep down I think his passion is here forever.
I follow this direction and end up seeing the old enough man, crouching on the ground and surrounded by piles of books.
— Aaah you're here! Help me! I'm sorting out through the shelves. He looks at me with a big smile as he gets up, stuffing a small pile of books in my hands.
— Start by putting this in the storeroom, he shows me a bunch of books in a corner.
I do what he tells me without flinching and head back to the shop entrance. I walk past the counter and open the door behind it. There is a small room full of unused books because there are damaged or very rarely read. It smells musty and there are many cobwebs hanging from the ceiling. I put the books on a pile that has already been started and come out quickly. This room is not really reassuring.
— Luna! Where are you? It's not over!" I roll my eyes in my head and go up the stairs. I understand that this work day is not going to be easy, rather than usual.
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18 hours and finally outside! The cold wind whips my face, I had pulled up the collar of my coat. I'm heading to the subway in a hurry so as not to freeze on the spot. I am attracted by the restaurant-café La Tavérna which is halfway between the library and the station. I'm not against taking something hot in the weather.
I enter the room and am suddenly enveloped by the heat that reigns there. I have a boost of energy thanks to the comforting atmosphere of the coffee. I order a cappuccino and take off my coat while the waiter prepares it. After paying, I sit at a table at the back of the café, next to a large window overlooking the street. While waiting for my capuccino to cool down, I watch people pass, resistant to the wind, the autumn leaves that fly away in a big whirlwind. A group of students pass by the window and I am filled with nostalgia, once again, I miss the presence of my friends terribly.
I drink a sip, the liquid finally at the right temperature and turn my head towards the inside of the room. It is a small, warm coffee. The walls are painted in shades of beige, trinkets related to the traditional coffee preparation are arranged on wooden shelves, the benches are burgundy red. And it's hot in here, love it. The coffee is almost empty. A couple of elderly people drinks and eats on a table to my right, a young man is seated with his back to me, in the corner opposite my table, another is in front of me, a hood on my head. A mother and her son laugh at the entrance of the café. I had finished my drink and got up to put on my coat. The young man in the background gets up at the same time as I do. I take one last curious look at him as I walk towards the door. He turns around and I freeze. It's Ken. He's putting his stuff in his bag. An electric current runs through my body and I come out of the coffee at full speed, panicked. I take the direction of the subway station without thinking too much about it. How could I meet someone I had never seen before, so many times, in such a short time? He disturbs me. And I don't know why, but it's stressing me out. I'm rushing to my destination, I just want to go home.
* English is not my first language. I apologize if the sentences are not clear or if there are mistakes. xoxo
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fuckyouwitches · 1 year
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Je comprends complÚtement ton chéri, ces mÚches blondies naturellement, ça va te trop bien. Oh mais c'est que tu es chipie toi avec ton chéri lol. Tu as envie de le tester ? Je vais essayer Telegram parce que tu n'es pas la seule qui m'en parle. AprÚs, c'est vrai que WA c'est facebook = Surveillance maxi. Vous rentrez quand de votre escapade ?
Je t'avoue que je n'ai plus envie de rentrer. On est bien ici. Nous avons dĂ©programmĂ© notre dĂ©part deux fois dĂ©jĂ ... Lui, fait du surf ou de l'escalade pendant que moi je m'occupe de mes recherches sur la fleur de TiarĂ©. On se retrouve en journĂ©e ou le soir. On est trĂšs libres. je ne supporterais pas qu'on soit sans arrĂȘt l'un sur l'autre. Je crois que lui non plus. On vit tout ça au jour le jour tu sais. Baptiste se projette, moi je refuse mĂȘme l'idĂ©e d'y penser. Je ne veux plus de plans sur la ComĂšte. Je veux vivre, l'aimer, et continuer mes projets, sans penser Ă  un futur nous. Je sais que ça peut sembler Ă©trange pour toi de lire ça, puisque nous nous sommes quand mĂȘme enfuit, sans prĂ©venir personne; sans Ă©couter personne. Tous les deux, c'Ă©tait un pari trĂšs risquĂ©, mais on l'a fait !
Mais il nous faudra bien rentrer. Un jour...
J'aime assez provoquer des rĂ©actions, pour voir ce qui se passera. Il aime tellement mes cheveux qu'il les brosse le soir. J'aimerais voir sa tĂȘte si demain je rentrais les cheveux plus foncĂ©. Nah, ce n'est pas un test, c'est juste de l'Ă©pice soupoudrĂ© sur notre relation. Et puis tu sais, il est dans le challenge perpĂ©tuel, c'est pas lui qui s'en plaindrait.
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