#je ne pratique plus.
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newmic · 2 years ago
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lilias42 · 5 months ago
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Ingrid voie Daphnel pour la première fois
Avant tout, promis, je n'ai pas oublié pour les questions qui fachent et de la violence ! J'ai bientôt fini et je les posterais dès que ce sera bien bouclé ! C'est juste que j'arrivais pas à dormir hier soir alors, j'en ai profité pour péter un léger cable niveau dessin et que je voulais partager !
Donc, mon dernier pétage de cable tourne autour de la première fois qu'Ingrid verrait Daphnel à l'académie... et ça va clairement pas lui plaire vu qu'elle est encore coincée dans son racisme. Donc, se rendre compte que la Brave Daphnel, la Bourrasque Fidèle, l'origine de sa famille et réceptrice de l'emblème donné par la Déesse elle-même, est une duscurienne, c'est difficile à accepter, surtout quand elle se rend compte qu'on ne la compare pas à une bourrasque pour rien. Quand elle était encore vivante, on l'appelait même plutôt la Bourrasque Enragée à cause de son caractère particulièrement vindicatif et sanguin qui n'en démord presque jamais, c'est une vraie tempête.
C'est d'ailleurs une des rares descendantes de Braves qui ne s'entendrait pas rapidement ensemble (l'autre étant Gloucester et Lorenz, aussi pour des questions de caractères opposés), juste parce que quand Daphnel entend quelqu'un dire qu'un peuple entier (le sien d'ailleurs) méritait de se faire massacrer, même si c'est une réponse à un autre massacre mais bien plus petit, c'est un énorme "non" et elle va juste avoir envie de l'envoyer sur les roses sans l'écouter après lui avoir soufflé dans les bronches, membre de la famille ou pas, vu que sur ce point, elles se rejoignent toutes les deux : elles sont très droites dans leurs bottes et le reste jusqu'au bout. Et si en plus, ado!Ingrid tente de lui faire la morale sur le fait qu'elle devrait être plus calme, mesurée, digne de son rang de Brave, là c'est bon, elle va juste vouloir l'envoyer loin d'elle ou s'envoler dans les airs, Daphnel n'a pas le temps avec ce genre de connerie.
Honnêtement, je ne pense pas qu'elles s'entendraient toutes les deux avant la phase de guerre où elle commence à bien grandir au-delà de son racisme et arrive à mieux comprendre ce qui s'est passé ce jour-là et là, Daphnel serait plus ouverte à l'écouter, puis pourrait même être fière d'elle une fois qu'elle aura bien compris la leçon et là, ça pourrait aller mieux entre elles deux.
ça fait longtemps que je voulais dessiner cette scène mais, je n'avais pas encore le niveau pour dessiner ses bras qui sont des ailes d'oiseau et je ne savais pas si j'allais lui ajouter des fiertés sur le visage mais finalement, vu qu'elle n'a "que" 300 ans environ et avec des fiertés quand même assez imposantes (ses bras ont rétrécit mais ses avants-bras sont devenus plus long avec le temps) et que la ressemblance serait plus frappante si elle n'avait rien sur le visage pour le dissimuler alors, je l'ai laissé sans. Pour sa lance avec deux côtés, c'est pas très réaliste mais, étant donné qu'elle se sert souvent de sa lance comme baguette pour mieux tenir ses bras quand elle plane dans le ciel alors, c'est mieux que les deux côtés fassent à peu près le même poids pour ne pas la déséquilibrer.
En tout cas, j'espère que ça vous plaira !
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#fe3h#dessin de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#les 11 braves (+ peut être les premiers qui reçoivent l'emblème des saints)#Ces ailes ont été une horreur à dessiner mais c'était aussi très satisfaisant de les réussir !#Pareil pour trouver un habit qu'elle puisse porter tout en restant pratique malgré ses ailes sous ses bras et sa queue#j'espère que ça passe je voulais aussi garder sa peau assez visible pour que ce soit impossible de ne pas comprendre qu'elle est duscurienn#elle n'aura jamais de BD pour elle les veines de Pyrkaïa sont suffisante...#ça faisait longtemps que je voulais la dessiner en train de se percher sur un pied en équilibre avec son pied se tordant#sa tresse part un peu dans tous les sens avec des mèches qui s'échappent pour tenter de refléter son côté impulsif#la fille n'a pas juste pas le temps pour la remettre correctement#ce serait une rencontre tellement explosive entre elles deux...#Daphnel ne serait pas comme Dedue à accepter que les gens soient racistes à cause de sa peau#elle remettrait les racistes à leur place comme il se doit et il la menace c'est elle qui finit par les vaincre#elle pense qu'elle ne pourra jamais s'entendre avec le peuple voisin de Gloucester mais c'est parce qu'ils étaient leur ancien esclavagiste#et qu'elle a elle-même été esclave qu'on a jeté dans une cage pour la calmer vu qu'elle était déjà bien caractérielle#ça la calme pas étrangement et devient encore plus vindicative après ce qui lui ait arrivée#merci beaucoup d'avoir tout lu !
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solarainy · 8 months ago
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Je passe beaucoup trop de temps sur Baldur’s Gate. Mais en même temps, c’est le seul jeu qui me donne envie de recommencer à la fin de chaque partie tellement il y a de possibilités. Il a atteint le sommet dans la catégorie mes jeux préférés avec Okami.
Du coup, j’ai une multitude de OC … et j’ai vu un post de @baldurians qui avait refait ses personnages avec ce picrew. J’ai un peu retravaillé pour que ça leur corresponde plus mais à l’occasion, je les dessinerai sûrement.
Dans l’ordre de gauche à droite :
𝕊𝕒𝕘𝕒 𝔾𝕣𝕖𝕪𝕔𝕒𝕤𝕥𝕝𝕖 : demi-elfe / Paladin parjure, anciennement serment des anciens / Acolyte.
𝕊𝕠𝕝𝕒𝕣 𝕏𝕚𝕝𝕠𝕤𝕔𝕚𝕖𝕟𝕥 : elfe / Barde (Collège du Savoir), magicienne (abjuration) / Noble
𝕀𝕤𝕠𝕝𝕕𝕖 ℕ𝕒𝕚̈𝕝𝕠 : demi-elfe / Barde (Collège des Épées), magicienne, guerrière / Collège des Épées / Hantise - Fille de Bhaal (fini méchante)
𝔸𝕝𝕥𝕒𝕚̈𝕤 𝔸𝕞𝕒𝕤𝕥𝕒𝕔𝕚𝕒 : demi-elfe / Clerc (domaine de la Tempête, vénère Talos), ensorceleuse (lignée draconique), magicienne (abjuration) / Hantise - Fille de Bhaal (fini gentille)
𝔸̀𝕖𝕕 𝕃𝕚𝕒𝕕𝕠𝕟 : elfe / Paladin parjure anciennement serment des anciens, clerc (domaine de la vie, vénère Lathandre) / Artisan de guilde
𝕊𝕠𝕝𝕨𝕖𝕚𝕘 𝔾𝕒𝕝𝕒𝕟𝕠𝕕𝕖𝕝 : drow de la Seldarine / Clerc (domaine de la vie, vénère Eilistraée), barde (Collège du Savoir) / Artisan de guilde
𝔸𝕝'𝕙𝕖𝕟𝕒 𝕍𝕣𝕒𝕥𝕙 : githyanki / Paladin (serment de la vengeance, barde (Collège des Épées) / Soldat
𝕃𝕚𝕝𝕚𝕓𝕖𝕥𝕙 𝔸𝕜𝕞𝕖𝕟𝕠𝕤 : tieffeline (lignée d’Asmodée) / Occultiste (fielon), ensorceleur (lignée draconique) / Sage
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thiphus · 3 months ago
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Je suis un peu inquiète par la montée du puritanisme dans la sphère du RP. Ça ne devrait pas être quelque chose de surprenant, ça suit inévitablement le mouvement que l’on voit de plus en plus sur certains types de réseaux sociaux, avec une chasse au sexe, à la représentation et tout ce qui est jugé peu ou pas en lien avec les bonnes mœurs. C’est triste, car après nous être battus pour une libération sexuelle, on part dans l’effet inverse.
Je ne prêche pas pour ma paroisse, je joue très peu de smut, ce n’est pas quelque chose qui m’intéresse plus que ça, mais je vois de plus en plus de comportements très sectaires de plus en plus de joueureuses. J’ai vu des gens regretter qu’il y ait autant de smut ou de fos +18, des gens faire la morale à d’autres pour vouloir jouer un certain type d’orientation sexuelle (qu’il y ait ou non idée ou sous-entendu que le personnage n’aurait pas une libido ou un rapport à la sexualité normal (et qu’est-ce que c’est qu’un rapport normal, au final ?)), j’ai vu des gens demander à ce que le RPQ soit limité à des fos privés, j’ai vu beaucoup de gens crier à la fétichisation (sans être soi-même concerné par l’identité concernée, ni réellement savoir ce qu'il en est de la personne en face), j’ai vu des gens faire des remarques déplacées lorsqu’un kink / pratique sexuelle peu courante était mentionnée à coup de « il y a des choses qu’il ne vaut mieux pas savoir », etc.
Est-ce qu’on prône la tolérance ou est-ce qu’on est en train de demander à des gens de se cacher pour avoir une libido ? Je voudrais rappeler, quand même, qu’une grande partie des créations littéraires (ou de la fanfiction) qui fonctionne contient du sexe, que ça soit uniquement grivois ou outrageusement explicite. Le désir sexuel et l’excitation est une chose normale, ne pas en avoir ou peu en avoir l’est aussi, mais c’est un mécanisme qui ne devrait pas être caché. La plupart des fos ont adopté un système de TW, de CW, de hide et de floutage pour ce genre de scènes, et il me semble que la plupart des gens respectent ces règles.
Je pense qu’il faut aussi rappeler qu’un personnage RP n’est pas une personne réelle, qui ne représente pas une situation universelle ou réelle, n’est (normalement) pas la personne derrière l’écran et n’est pas le vecteur de la morale et de l’éthique de cette même personne. On peut écrire quelque chose sans vouloir soi-même le reproduire IRL, on peut écrire quelque chose parce qu’on le fantasme IRL mais qu’on n’a pas l’occasion ou l’envie de le faire soi-même, on peut écrire quelque chose parce qu’on joue avec des poupées et que faire cette chose est un moyen de détente. On peut aussi écrire quelque chose parce que c’est un moyen pour nous de nous sentir mieux, d’explorer des mécanismes, de les comprendre, parce que certains ont besoin de revivre des scènes ou de les créer. On n’écrit pas uniquement pour écrire du juste, du bon, du réel, de la morale ou de l’éthique.
Je crois qu’il faut aussi se rappeler de temps en temps, car ça fait du bien, qu’on ne sait pas grand-chose de la personne en face. Partir du principe qu’une personne est forcément non éduquée, forcément cis hétéro, surtout sur une communauté aussi queer, qu’elle n’a aucune expérience de ce qu’elle joue ou aucune connaissance est un risque moral personnel. A vouloir chercher le mal partout, on finit par le trouver, ou pire l’imaginer. Notre expérience personnelle n’est pas universelle, l’expérience de la personne d’en face non plus, et chaque témoignage apporte de nouvelles visions, mais ne suffit pas à permettre de parler au nom de toutes les personnes. A trop voir le mal, on perd de vue le principe du RP : l’écriture et le plaisir du jeu.
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christian-dubuis-santini · 4 days ago
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Science et vérité: de la différence entre connaissance et savoir
Il n’y a de savoir que de lalangue.
Le psychanalyste établit une différence notable entre: “connaissance” (S2) et “savoir” (S1—>S2)
«Le savoir ne s’acquiert pas par le travail, et moins encore la formation qui du savoir est l’effet.
Ce qui n’est nullement dénier le savoir du travailleur, voire si l’on veut, du peuple, mais affirmer que pas plus que les savants, il ne l’acquiert par son travail.
Galilée, ni Newton, ni Mendel, ni Gallois, ni le mignon petit James D. Watson ne doivent rien à leur travail, mais à celui des autres, et leurs trouvailles se transmettent en un éclair à qui a seulement la formation qui s'est produite de court-circuits du même ordre, et numérisables, même si l’ennui scolaire en a éteint la mémoire.
N’importe quelle mère de famille sait que la lecture est un obstacle à son travail, le premier man��uvre venu que c’en est l’échappatoire, l’ouvrier communiste, qu’il y prend ses lettres de noblesse.» (Lacan)
La différence entre le savoir et l’acquisition de connaissances, qui, elle, procède de l’apprentissage, est probablement ce qui fait que dans la psychanalyse, on enseigne ; on continue d'enseigner tout en sachant que c'est intransmissible.
Cela ne veut pas dire que l’on enseigne quoi que ce soit. Autrement dit que l’enseignement soit une transmission de savoir.
Il se pourrait même que l’enseignement soit l'obstacle principal à la conquête du savoir.
Il n’y a de savoir que savoir de lalangue, écrit comme ça, en un mot, car tout savoir véritable est marqué du sceau de la jouissance, et il ne saurait y avoir de savoir que joui.
Loin de se situer en opposition à la pratique , la théorie - ce qui s'appelle à proprement parler “théorie”, du Grec theoria qui veut dire vision - est ce qui naît de la pratique pour en éclairer les modalités concrètes.
Le plus important, dans l'enseignement, c'est ce qui se passe, la valeur du savoir tient de l'usage que l'enseignant en fait - et donc sa façon singulière d'en jouir, plutôt que de son “échange”…
Lacan est très sévère avec le discours universitaire qui se trouve dans un rapport radical d’antipathie avec le discours de l’analyste. L'acquisition de connaissances du discours universitaire est à mettre au compte de la passion de l'ignorance, le savoir concerne autre chose, ce bout de Réel dont, en tant que sujet, je EST affligé, et que seul le discours de l’analyste, qui est de structure mœbienne, permet d’amener au jour.
«Le statut du savoir implique comme tel qu’il y en a déjà du savoir, et dans l’Autre, qu’il est à prendre en deux mots, c’est pourquoi il est fait d’apprendre en un seul mot. Le sujet résulte de ce qu’il doive être appris, ce savoir, etmême mis a-prix, p.r.i.x., c’est-à-dire que c’est son coût qui l’évalue non pas comme d’échange mais comme d’usage. Le savoir vaut juste autant qu’il coûte beaucoup en deux mots et c.o.û.t. avec un accent, beau-coût de ce qu’il faille y mettre de sa peau, de ce qu’il soit difficile, difficile dequoi ? Eh bien moins de l’acquérir que d’en jouir. Là dans le jouir, sa conquête à ce savoir, sa conquête se renouvelle dans le chaque fois que ce savoir est exercé, le pouvoir qu’il donne restant toujours tourné vers sa jouissance. Il est étrange que ceci n’ait jamais été mis en relief, que le sens de savoir soit tout entier là, que la difficulté de son exercice lui-même, c’est cela qui réhausse celle de son acquisition.» (Encore – 20 mars 1973)
Lorsque Gérard de Nerval dit: «Le premier qui a comparé la femme à une fleur était un poète, le deuxième un imbécile», il pointe le statut de la vérité qui fait structure de tout discours.
La vérité n’est pas à confondre avec l’exactitude ni le vrai.
Un énoncé peut être parfaitement exact — une formule de Lacan par exemple ! — cela ne signifie pas que le locuteur dit la vérité.
Il n’y a pas plus contradictoire à l’enseignement de Lacan que d’ânonner ses énoncés sans y mettre tout le poids de sa propre énonciation.
Il n’y a pas pire trahison de l’enseignement de Lacan que de rabattre ses énoncés sur la structure du Discours Universitaire, qu’il taxait lui-même de Discours du Maître perverti, celui de «la honte» que les soi-disant psychanalystes ont «à revendre»…
La vérité n’a pas de contraire, elle ne prend pas son statut de l’exactitude de tel ou tel énoncé mais des conséquences réelles à venir pour le sujet qui l’énonce.
Sans un risque réel pris par le sujet de l’énonciation — celui qui importe vraiment — l’énoncé peut être vrai, il n’en est pas moins exempt de vérité.
Le seul savoir auquel j’aie accès, c’est la fente dont se définit le sujet, le réel dont je “est” affligé.
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camisoledadparis · 9 days ago
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saga: Soumission & Domination 361
Espagne 2015-3 : Jaime recrutement
Jaime
Donc Jaime a 18ans et rentre en 1ère année de fac de science. C'est un volleyeur (ça s'est vu sur la plage). 1m85, 80Kg de muscles sous une peau imberbe, bronzée et débarrassée de ses quelques poils hors pubis, noir de cheveux, monté 20 x 5 à 5,2 circoncis. Homo depuis sa première expérience sexuelle avec un de ses potes de sport, il a fait son coming-out et sort d'une histoire de près d'un an avec un mec de 20 ans. Il est actif et passif. Son père est médecin et sa mère l'assiste, mais dans le contexte économique actuel et 3 frères et soeurs plus petits, il cherche à participer au financement de ses études et c'est pour ça qui va faire le serveur au mois d'août.
Ernesto déballe son argumentaire. C'est la première fois que je l'entends. Il est bon dans l'exercice. Jaime n'est pas choqué par la proposition. Il faut dire qu'Ernesto amène comme un privilège le fait d'entendre celle-ci. D'ailleurs Jaime est flatté que ce soit lui et pas les autres qu'on ait choisi en premier.
J'insiste sur le côté " sécurité " du travail, suivi médical, pratiques SSR, clients conscient du " haut de gamme " de notre offre de service. Sans minimiser la partie sexuelle des prestations, Ernesto précise qu'il faut aussi être bon dans l'Escort proprement dit.
Là, notre futur collaborateur s'inquiète de son dressing. Peur balayée quand on lui dit que les vêtements spécifiques (costumes, smoking...) sont compris dans le contrat.
Le dernier détail qui pourrait clocher c'est la taille de bites à " héberger " dans son cul. Le XXL n'est pas naturel à tout un chacun.
Quand je l'ai sodomisé, j'étais confortable, mais bien serré aussi. Rires de l'intéressé, le mec qu'il vient de quitter était équipé d'un sexe de 20 x 6.5 et avec lui il n'était que passif.
J'en profite pour dire que nous gérerons la partie professionnelle de sa vie mais pas la partie privée. Le seul truc est de ne pas prendre de risque concernant sa santé, question de respect pour les clients.
Ernesto bat le fer tant qu'il est chaud et je comprends pourquoi quand il nous dit qu'un de nos clients n'est pas " couvert " pour ses vacances le mois prochain. Contrat type de 3 semaines, voyage compris, 1 semaine d'affaires dans la capitale et 2 semaines sur la côte d'azur, le tout pour un salaire net 40 fois supérieur à celui de serveur estival.
Il a un peu de mal à digérer l'information. J'appelle Romain qui lui confirme que c'est du réel. Lui aussi va taffer le mois prochain et qu'entre sa mise aux enchères, ses prestations hebdomadaires et le " travail " d'été, il se fera cette première année plus qu'un cadre supérieur moyen.
Je n'avais pas pensé que ce serait aussi sa première prestation dans la société. J'en parle à Ernesto qui avait lui aussi zappé le truc. Il corrige aussitôt la proposition et l'assure pouvoir obtenir plutôt du 80 à 100 fois. Il est scié.
Ernesto lui propose d'aller le lendemain à Barcelone à son bureau. Il accepte et nous retournons avec les autres. Ses potes essayent de lui tirer les vers du nez pour savoir ce qui nous avait retenu tous les trois, mais il se tait.
21h, nous dînons tous ensemble, nos visiteurs ayant accepté l'invitation. Nous aidons Paco pour le service. C'est surtout Jésus qui fait les aller et retour avec la cuisine. Allez savoir pourquoi ! Le rosé glacé est de mise et sans nous en apercevoir, nous sommes tous un peu " partis " à la fin du repas.
Jaime me prend à part et me demande si je veux qu'il plante son cul sur la mégabite de Paco pour nous montrer ses capacités. Je lui roule une pelle. Il est gentil le gamin. Je lui dis que je lui fais confiance et que s'il prend ses quartiers à la villa, ça arrivera bien assez tôt. Il me serre dans ses bras et me dit qu'il a trop de chance cette année. Il a eu son " Bac ", il a largué son mec et nous arrivons avec la solution à ses problèmes de financement. Il va même économiser le camping. Quand il me dit cela, il éclate de rire et me dit qu'il vient de se rendre compte que c'est rien maintenant. Et puis ses deux amis ont besoin de son cofinancement de l'emplacement de leur tente.
La soirée se prolonge. Entre cafés, papotages, caresses diverses mais encore softs et passages dans l'eau pour nous rafraichir, la nuit s'avance et nos amis acceptent de rester. Traverser une partie de la ville à moitié bourré, pour rejoindre les matelas durs de leur tente... Ça convient bien aux habitants de la villa qui espéraient bien une deuxième partie de sexe.
Je me fais les hollandais. Culs blanc mais fougue toute méditerranéenne. En alternance avec PH et Ernesto, nous saturons leurs trous de nos coups de bites impérieux. Quand nous les laissons pour tester d'autres " abris ", ils sont pris en charge par Ludovic et Hervé. Pas de temps morts !
Alors que je cherche un plan, j'entends Jaime qui m'appelle. En levrette devant Paco, il se fait ramoner le conduit par ses 23cm épais. Au moins on ne pourra pas dire qu'il n'a pas de suite dans les idées. Je m'approche roule un patin rapide à Paco avant de lui demander ses impressions. Je n'arrive à lui tirer qu'un " bon, trop bon". Je m'aplatis, retrouve les lèvres et la langue de ma dernière conquête. Il arrive à me glisser un " t'as vu, je peux prendre lourd " entre deux brassages de langues. Je me coule entre ses bras et kpote sa bite que le limage de sa rondelle ne semble pas faire débander. Je me retourne et, sur le dos cette fois, je recule jusqu'à ce qu'il me plante. Dans cette position, on peut se rouler un patin tout en menant nos petites affaires et Paco aussi. Ce dernier devine que j'ai un peu de mal à garder mes reins suspendus sous Jaime. Il nous propose de migrer vers la table basse proche. C'est mieux. Je suis couchée dessus sur le dos, Jaime à genoux entre mes cuisses est juste à la bonne hauteur pour m'enculer et Paco, accroupi, les mains accrochées à ses épaules reprend son labourage en règle.
La bite de Jaime est très efficace. En fonction des coups de rein qu'il reçoit, il arrive à modifier ceux qu'ils m'envoient dans le cul. Sans que je lui en parle, il me dit que c'est ce genre de plan qui lui avait manqué avec Pedro (son ex).
Il arrive à me faire jouir sans que j'aie besoin de me branler. Les passages et chocs répétés de son gland sur ma prostate suffisent à déclencher mon orgasme. Quand, lors de chacune de mes éjaculations, je stoppe net sa progression, il monte en pression et, à son tour, jute mais dans sa kpote. Ricochet suivant, c'est Paco qui gueule en larguant sa sauce.
Il est 4h30 quand on s'endort.
J+2
Réveils à 11h. Je suis dans notre grand lit avec Ludovic, Ernesto, PH et Jaime. Il y a aussi João et Romain à l'autre bout.
J'enfile un maillot. Ça réveille Jaime qui se lève à son tour. Sans bruit nous allons à la cuisine. Les portes des chambres sont grandes ouvertes et on voit qui a dormis avec qui. Mon Marc a encore dans ses bras Baz alors qu'Hervé s'est endormi avec Rubén. Plus loin Arvid et Gaz ont l'air d'avoir fait plus que dormir dans les bras l'un de l'autre vu la pagaille des draps.
Quand on déboule dans la cuisine, le spectacle est revigorant. Pour au moins la deuxième fois, Jesus est planté par Paco. Torse sur la table de la cuisine, il pousse de tous petits gémissements pour ne pas réveiller toute la maison. Paco va pour se retirer et nous servir le café mais je le prends de vitesse et lui dis de finir son petit Jesus.
Avec Jaime, on sirote notre café en commentant leur baise. Enfin c'est surtout Jaime qui entreprend Jesus. Il rigole car ce dernier le traitait de fou quand il se faisait Pedro et sa grosse bite. Là, Jesus se prend bien plus gros et long et il voit bien que ça donne aussi du plaisir les grosses bites. On mate encore quelques instants. C'est intéressant ce qu'une grande différence de physique permet comme positions. Paco exhibe ses gros muscles avec des portés sur bite athlétiques. Jesus n'en peut plus de se faire ramoner. Il finit par jouir, les jambes serrées autour de la taille de Paco, accroché à son cou. On le voit mordre dans le deltoïde et y laisser la marque de ses dents pour ne pas hurler son plaisir alors que son jus coule de leurs abdos compressés.
On les laisse pour se mettre au soleil sur la terrasse. Lunette sur les yeux, nous synthétisons de la vitamine D.
Les autres occupants de la maison arrivent en ordre dispersé. Certains la tête dans le cul, d'autres quasiment frais et dispo !
Je profite que tout le monde soit là pour prévenir qu'avec Ernesto et Jaime nous allons en début d'après-midi à Barcelone. Arvid nous demande de l'emmener aussi. Les autres décident de rester. Nous embarquons donc dans une des trois voitures de location et traçons au nord. Ernesto conduit. Il dépose Arvid devant sa coloc avec la promesse de ce dernier de revenir nous voir (il a notre adresse et nos n° de téléphones) surtout que les grosses partouzes sont encore à venir.
Puis on file vers le bord de mer. Vers le Bario de Barceloneta où Ernesto vient d'acquérir pas trop cher, au nom de la société, un vieil immeuble de 2 étages où il a implanté les bureaux et son appartement. L'extérieur est encore à refaire mais l'intérieur est nickel. Jaime est impressionné par l'endroit. Comme au blockhaus, Ernesto a réalisé une frise avec les photos de ses Escorts en maillot Addicted (chez moi ils sont en Aussiebum). J'ai beau connaitre mes employés, les voir les uns à côté des autres, je remarque une plus grande disparité de physiques. Jaime a du mal à décrocher ses yeux. Il nous dit reconnaitre trois mecs. Il n'aurait jamais pensé que leur aisance financière venait de ce taf. Quelque part ça le rassure.
On monte son dossier. Ernesto lui donne l'adresse des boutiques dans lesquelles il devra aller s'habiller. Il téléphone au labo d'analyse pour les prévenir que nous passerions plus tard. Il en profite pour appeler son client. Alors que ça sonne, il pousse le dossier du mec devant Jaime. Je l'ouvre et on voit le mec en photo. Il est en maillot de bain. Dans les 45ans, bien fait, on voit que le contenu de son slip est lourd et pourtant il ne bande pas ! Je regarde Jaime, il me dit que ça va il avait craint un mec gras, chauve et repoussant.
Nous entendons la conversation téléphonique. Ernesto explique qu'il lui a trouvé un escort pour le mois d'août. Le mec est ravi, il lui explique aussi que c'est une nouvelle entrée dans la société donc il devine ce qu'il va lui demander. Réponse du client " je sais comment ça marche mais là tu ne vas pas me faire des enchères j'en ai besoin ".
Ernesto l'assure qu'il le lui réserve mais qu'il va falloir qu'il soit généreux tout seul. Le client comprend et annonce le chiffre d'un résultat d'enchères normales. C'est ce que lui fait remarquer Ernesto qui lui rappelle qu'il va avoir son gars 3 semaines en 7j/7 et 24h/24.
 A mes côtés, Jaime est sans voix. Je tempère en lui disant que le chiffre discuté est le salaire brut. Qu'il n'en aura que 55% net (le reste ce sont les charges 35% et la marge de la boite).
C'est limite s'il ne tombe pas dans les pommes quand le client propose 1 fois et demie sa première offre. J'opine de la tête et Ernesto confirme notre accord puis raccroche.
Jaime me roule un patin de la mort avant de faire pareil à Ernesto. Il est trop content. Son mois d'août qui s'annonçait sympa mais peu rémunérateur s'est transformé en vacances en France avec salaire de ouf.
Je lui demande si avec ses parents ça ne posera pas de problème. Ernesto annonce qu'officiellement, il émargera en tant que " secrétaire particulier ". Il dit que ce sera OK. Je pense aussi à la drogue, à Saint Tropez, ça ne doit pas manquer. Jaime me rassure que s'il avait dû tomber là-dedans, ce serait déjà fait vu la facilité pour trouver de la cocaïne aussi bien à Barcelone qu'à Sitgès. J'en profite pour souligner que nos escorts sont tous " propres " concernant les drogues et le tabac. Question de respect du client.
Quand on repart, on passe au labo. Le prélèvement dure 5mn et les résultats lui seront communiqués sous 48H comme en France. Nous sommes de retour à 18h. La villa est quasi vide. Marc et Hervé nous préviennent que les jeunes sont sur la plage et qu'eux attendent notre agent immobilier et son petit copain qui vont passer la soirée avec nous.
On enfile nos maillots, un short par-dessus. On prend la voiture et descendons à la plage.
Facilement on retrouve le petit groupe qui squatte un filet de volley. Les deux potes de Jaime l'assaillent de question. Il coupe court en leur disant qu'il avait profité du fait qu'Ernesto et moi dévions aller à Barcelone pour aller voir ses parents.
On entre dans le jeu. Une partie décousue mais acharnée, un plongeons dans la mer et on discute de la soirée. Les deux hollandais ont entendu parler d'une teuf et comptent y aller tout comme Rubén. La triplette souhaiterait les accompagner. Je demande plus de renseignement sur qui organise quoi. J'ai pas confiance et Ludovic non plus.
Après 5mn à nous faire la tête, ils admettent que nous ne sommes que le troisième jour d'un séjour de 21, donc ils ont le temps.
João me prend à part et me dit que si je veux, il pourra " encadrer " les petits au besoin.
En attendant nous remontons à la villa sans les " fêtards ". Dans la voiture où nous sommes tous entassés (10 !! y'en a 2 dans le coffre du C4 Picasso) Jaime console les jeunes en leur assurant que cette fête c'était plutôt souleries et défonce que baises et plaisirs. Il avait été à la précédente organisée par le même mec et s'était barré tôt avec Arvid qu'il avait rencontré là-bas pour la première fois.
Jardinier
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lisaalmeida · 2 months ago
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La paresse est une valeur humaine qui est en train de disparaître. C'est fou ce qu'à notre époque les gens peuvent être actifs. Que quelques amis se réunissent le dimanche pour un bon déjeuner, à peine la dernière bouche avalée, il se trouve toujours quelqu'un pour demander: "Alors, qu'est-ce qu'on fait?" Une espèce d'angoisse bouleverse ses traits, tant est grand son désir de faire quelque chose. Et il insiste: "Qu'est-ce qu'on fait? - Mais rien!", ai-je toujours envie de répondre. Pour l'amour de Dieu, ne faisons rien. Restons un bon après-midi sans rien faire du tout. Çà ne suffit donc pas d'être avec de bons amis, de jouer à sentir cet invisible courant qui, dans le silence, règle les cœurs à la même cadence, de regarder le jour décroître sur les toits, sur la rivière, ou plus simplement sur le coin du trottoir?
J'exagère sans doute. C'est que j'aime tant la paresse, mais la vraie paresse, consciente, intégrale, que je voudrais bien lui trouver toutes les bonnes vertus. Bien sûr elle est comme toutes les bonnes choses, comme le vin, comme l'amour; il faut la pratiquer avec modération. Mais croyez-moi, la terre ne tournerait pas moins rond si ses habitants avaient le courage de se forcer chaque semaine à rester quelques heures bien tranquilles, sans occupation apparente, à guetter les signaux invisibles et puissants que vous adresse le monde vaste et généreux.
Jean Renoir
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petite-madame · 9 months ago
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Hey ! I have a little question : how do you start to draw ? I want to start but idk how-
And, for the digital art, what app to used for it ?
(I'm sorry for my bad english, it's not my first language, in fr :
Hey ! J'ai une petite question : comment on commence a dessiner ? J'aimerai commencer mais jsp comment-
Et, pour l'art digital/digital art, quel application utiliser ?)
Bonjour Anon ^^
Bonnes questions! 💗
On va y aller en français parce que, comme disait le Roi de France, "Car tel est notre plaisir" et puis parce que je l’ai déjà expliqué en anglais quelque part dans mon tag #arttechnique donc, pour une fois, la communication se fera en Langage de Grenouille. 🇫🇷
Pour commencer sache que tu as ouvert la boite de Pandore, la réponse va donc être longue. Alors, « comment on commence à dessiner ? ».
1 - Papier/Crayon. C’est loin d’être une plaisanterie, on commence avec un papier et un crayon. Pas besoin d'avoir du matériel sophistiqué et onéreux, j'ai commencé avec le crayon et le carnet à la con de chez Carrefour. De plus, quand tu vois ce que fait Alan Lee avec juste le dit crayon, tu n'as pas besoin de plus. C'est vraiment très bien pour s'exercer/démarrer. Après, si tu veux commencer directement en digital, tu peux le faire bien évidemment soit avec un iPad soit avec un ordinateur et une palette graphique mais très honnêtement, le papier/crayon offre une bonne base
2 - S'y mettre. Ça peut paraitre con comme conseil mais c'est comme à la piscine il va bien falloir rentrer dans l'eau, ne serait-ce que dans le petit bain. C'est bien beau d'avoir du matériel et de se répéter qu'on "va s'y mettre un jour" mais si on repousse l'échéance, ça ne va pas marcher. Il faut se convaincre que Rome ne s'est pas fait en un jour et qu'au début, ça va être tordu et que tu vas dessiner n’importe quoi. La procrastination au nom du perfectionnisme est un mal réel mais arriver à l'occulter est un belle victoire.
Pour ce faire, on commence doucement par gribouiller des choses qu'on aime. Conseil qui sonne sans doute comme une lapalissade absolue mais au début, je dis bien au début, on peut rester dans sa petite zone de confort pour booster la motivation. Tu aimes les chats ? Dessine un chat. Tu aimes les fleurs ? Dessine une pivoine. Tu aimes le ballet ET Emmanuel Macron ? Bref, tu sais ce qu'il te reste à faire (on ne kink shame pas, je suis sure qu’il y a des amateurs quelques part). Cependant, petit à petit, il va falloir prendre plus de risques et se forcer un peu à dessiner des choses qu'on n'aime moins pour progresser mais au commencement, il n'y a pas de mal à gribouiller Les Chevaliers du Zodiac, n'importe comment.
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Le Chevalier du Poisson après s’être pris un mur. J'avais 8 ans ok ?
Bon, je mets un « cut » parce que ça ne va pas être gérable.
3 - Suivre des tutos et ne pas avoir peur de l'aspect technique surtout quand on commence à aborder l'anatomie et la perspective. Et c'est là, qu'il va falloir sortir un peu de sa zone de confort pour faire des exercices pour pratiquer les ombres et lumières, la perspective, comprendre les points de fuites, les poses dynamiques. Il y a plein de tutoriels sur YouTube, tu as aussi des bouquins mais je pense qu'une vidéo est plus parlante. C'est vraiment TRÈS utile. Tu as des vidéos comme "apprendre à dessiner" ou "perspective pour débutant", "la théorie des couleurs pour les nuls", etc...C'est là que tu vas voir que pour dessiner un chat, un visage, un bateau il y a des règles pour simplifier une forme, un visage, un corps. Alors oui, c'est chiant de dessiner 12 fois la même main ou la même sphère éclairée différemment mais ça sert. Bref, commencer à dessiner, ça va être commencer à comprendre comment transposer la réalité en « 3D » vers un support « 2D », la feuille ou le canevas Photoshop, peindre ce que l’on voit et non pas ce que l’on croit voir, décomposer les formes, comprendre les couleurs. Une fois encore, ça va prendre du temps, mais ça viendra.
Pareil pour les applis de dessin que tu vas utiliser si tu commences en digital. Si tu ne sais pas faire quelque chose, va suivre des tutos sur Youtube. Il y a aussi des reels sur Instagram qui ne sont pas mal du tout car ils montrent des "trucs" comme des raccourcis clavier ou des façons de modifier les pinceaux (brushes) de Photoshop ou Clip Studio Paint.
4 - S'exercer par gribouiller tout et n'importe quoi, faire des croquis de...cafetière, bouquin, chaussures, prise électrique, la petite cousine, le gros voisin, la dame du pressing. 1) c'est marrant et 2) les défis techniques ne sont pas toujours là où on le croit 3) ces exercices permettent de comprendre ce dont je te parlais plus haut s’agissant de la décomposition des formes ainsi que de la façon dont la lumière frappe les objets.
5 - Utiliser des références. Je ne le dirais jamais assez, utiliser des références n’est pas tricher ! Des illustrateurs confirmés comme Alex Ross ont un studio où ils prennent des photos de leurs assistants, leurs amis, eux-mêmes, pour avoir une base de travail. Si tu veux dessiner un bateaux pirate, va chercher une photo de bateau pirate sur Internet. On n’est pas « un vrai artiste » parce qu’on dessine de tête ou sans gommer. 🙃
6 - Travailler régulièrement pour progresser. Je sais c'est dur de trouver du temps avec le lycée, la fac, le boulot, les transports, la vie de famille, etc...mais le mieux est d'arriver à dessiner un peu régulièrement, ça sera plus efficace que deux heures toutes les deux semaines. Les cours de géo sur les bassins sédimentaires sont faits pour ça. J'AI RIEN DIT.
7 - Ne pas se décourager. Je me répète mais les artistes étant leurs pires critiques, le chemin vers la satisfaction va être long. Tu vas commencer par copier tes artistes préférés et ta tête va exploser car un jour tes dessins vont ressembler à Mucha et le lendemain ça sera à One Piece et le jour suivant Moebius ou un web-comic coréen. C'est encore plus dur pour les artistes débutants aujourd'hui car ils sont confrontés, Tiktok après Tiktok, tableau Pinterest après tableau Pinterest, à un déluge constant d'influences, à une stimulation artistique telle qu'elle en devient inaudible pour un cerveau toujours plus sollicité. Savoir ce qu'on veut, se concentrer, construire son style sans se perdre est, je pense, un des grands défis des artistes débutants en 2024.
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C'était joliment dit. Merci d'avoir suivi Ce soir ou jamais, on se retrouve demain soir.
Il va surtout falloir que tu prennes en compte en tant que débutant que quand tu vas commencer, tes progrès vont être proche de ça :
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Ils ne seront pas linéaires mais, tu progresseras. Un petit "art block" de temps en temps, du découragement, mais surtout beaucoup de joie et de satisfaction quand tu auras dessiné quelque chose qui te tiens à cœur pour la première fois, même si tu détesteras ce même dessin deux mois plus tard, c'est ça être un artiste, félicitations!
8 - Ne pas se comparer à des illustrateurs de folie. Paix à son âme mais si tu vois une vidéo du regretté Kim Jung Gi qui dessinait des fresques entières sans traits de construction, à main levée, tu vas te dire "Mais punaise, pourquoi j'essaie ?". N'y penses pas, fais ta vie, à ton rythme. Pareil avec les gens de ton âge. Ne te compare pas à un mec de 13 ans à Singapour qui dessine déjà comme un artiste confirmé. On s'en fout. C'est une exception, grand bien lui fasse, on l'embrasse, cœur sur lui, mais ce n’est pas toi. Bref, l'inspiration OUI, la comparaison NON.
9 - Prendre des cours de dessins. Être autodidacte et s’entrainer tout seul, c’est bien, mais prendre des cours si on est perdu n’est absolument pas honteux. Il y a des cours municipaux, des ateliers parfois à la mairie, à la médiathèque de ta ville, etc...Alors oui, tu vas dessiner un pot de fleurs et une pomme avec Mamie Geneviève, retraité de la Mairie de Brie-Comte-Robert mais tu vas avoir un prof qui va t'expliquer les bases si tu sens que tu ne vas pas y arriver seul.
Et, pour l'art digital/digital art, quel application utiliser ?
Moi, j'utilise Photoshop mais c'est payant (et assez cher)
Pour commencer, je te recommande d'autres applications bien moins chères comme Krita (gratuite) ou, si tu as un iPad, Procreate. C'est environ 8€ (ça a peut-être augmenté depuis le temps où je l'ai acheté) mais pour tout ce que cette appli peut faire, c'est donné. Moins connue mais également gratuite, Fire Alpaca, très honorable aussi!
Clip Studio Paint est également très bien. Tu peux l'avoir soit avec un système d'achat unique, soit un system de souscription comme tu peux le voir ici.
Voilà ! Bref, il faut s’y mettre, se lancer, dessiner n’importe quoi pour se faire la main, suivre des tutos, parce que la technique c’est important, utiliser des références et ne pas se décourager.
J’espère avoir répondu à ta question et comme disait Marie-Pierre Casey :
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"Je ne ferai pas ça tous les jours!" (même si personne ne m’a demandé de faire aussi long).
Si vous n’avez pas la réf, demandez à vos parents.
Passe un bon dimanche et courage ! On reste motivé !! 💗
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kiddressources · 9 months ago
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Hello bonjour bonsoir!
New theme, new me (c'est faux). ✨ J'ai décidé de changer de theme pour pouvoir ravoir une search bar, la seule, l'unique, l'outil bien pratique qui vous permettra en un clic de voir si j'ai graphé sur votre fc, ou de retrouver des avatars que vous aviez repérés!
J'ai aussi décidé de faire un pinned post (celui-là même) pour tenir au courant plus facilement celleux qui seraient intéressés par le statut des commandes et/ou des suggestions, qu'iels soient sur ordinateur ou sur téléphone, tablette, etc. Dans le cadre des suggestions, elles devront être faite sous ce post uniquement pour que je puisse m'y retrouver. Celles envoyées ailleurs ne seront pas comptabiliser! 💫
Commandes d'avatars : fermé. Suggestions de fc : ouvert.
Merci à celleux qui continuent de me suivre malgré mon activité en dents de scie, ça fait extrêmement plaisir de vous voir toujours aussi nombreux.euses. 🥹🩷
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lilias42 · 8 months ago
Note
Salut, désolée que j’ai pas fait votre post chains (je sais pas comme ça dire en français)
Je suis curieuse, avez-vous joué à Fire Emblem en anglais ou français? Vous utilisez les noms anglaises des routes, mais vous préférez parler français.
J’ai supposé que vous avez joué en français avec voix anglaise, mais je veux être sûre.
Bonjour ! Merci pour la question ! Et ne t'inquiète pas, c'est pas grave ! Je suis la première à ne pas répondre aux post chain soit parce que j'oublie, soit parce j'y répond 10 ans en retard ! (c'est les jeux de tag où quand on se fait tagguer par quelqu'un, on doit répondre à une question / poster quelque chose, c'est ça ? J'avoue que je ne connais pas non plus le nom français, j'appelle ça des "jeux de questions" pour faire un nom qui me parle et englobe autant les post chains que les billets avec une liste de question) Ces post chain / jeu de question sont fait pour s'amuser, ça n'a pas de sens d'obliger les gens à les faire s'ils n'en ont pas envie ! Donc, ne t'en fais pas pour ça :)
Et j'ai joué à FE3H en français avec les voix anglaises. Même si je ne parle pas anglais et que j'ai beaucoup de difficulté avec, il y a parfois des mots que j'arrive à comprendre alors, je garde en anglais par défaut. Le seul jeu que j'ai fait avec les voix japonaises, ça doit être ma partie actuelle de "Monster Hunter Stories 2" mais, je l'avais déjà fait avec les voix anglaises.
Pour les noms de route, c'est simplement une question de fluidité et de clarté. Tout le monde utilise les noms anglais alors, même si j'écris en français, je garde les noms de route pour ne pas embrouiller les potentiels personnes anglophones qui passerait sur mon blog. Quand j'ai commencé à lire les billets sur 3H, je m'étais un peu perdue toute seule avec les noms des routes que je ne reconnaissais pas (surtout qu'avec le traducteur automatique, AM était parfois traduit "matin", et CF par "Mucoviscidose") jusqu'à ce que je tilte que c'était les abréviations anglais des noms des routes. En plus, à force de les voir, c'est les abréviations anglaises qui me viennent en premier. C'est donc plus simple pour tout le monde.
EN with Deepl (si c'est ce que tu préfères. Tu dis dans ton billet épinglé que tu parles autant anglais qu'espagnol alors, si tu préfères l'espagnol, je passerais mes réponses au Deepl espagnol pour t'éviter de devoir traduire aussi / if that's what you prefer. You say in your pinned post that you speak English as well as Spanish, so if you prefer Spanish, I'll pass on my answers to the Spanish Deepl so you don't have to translate too.) :
Hello ! Thanks for your question! And don't worry, it's no big deal! I'm the first not to reply to post chains either because I forget or because I'm 10 years late! (It's those tag games where when you get tagged by someone, you have to answer a question / post something, isn't it? I confess I don't know the French name either, I call them ‘jeux de questions’ to make a name that speaks to me and encompasses both post chains and posts with a list of questions) These post chains / jeux de question are for fun, there's no point in forcing people to do them if they don't want to! So don't worry about it :)
And I've played FE3H in French with English voices. Even though I don't speak English and I have a lot of trouble with it, there are sometimes words I can understand, so I keep it in English by default. The only game I've ever played with Japanese voices was my current game of Monster Hunter Stories 2, but I'd already played it with English voices.
As for the route names, it's simply a question of fluidity and clarity. Everyone uses English names, so even though I write in French, I keep the road names so as not to confuse potential English speakers who come across my blog. When I first started reading the posts on 3H, I got a bit lost on my own with the road names that I didn't recognise (especially as with the automatic translator, AM was sometimes translated as ‘matin’, and CF as ‘Mucoviscidose’) until I realised that they were the English abbreviations of the road names. What's more, as I keep seeing them, it's the English abbreviations that come to me first. So it's easier for everyone.
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jawnressources · 6 months ago
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Appliquer le dark mode à une bannière
Il est d'utilité commune désormais d'utiliser un dark mode sur nos forums afin de rendre l'accessibilité la plus complète possible au maximum d'utilisateurices. Cependant un souci se pose souvent; c'est celui de la bannière. Une fois installé dans le panneau d'administration, il est difficile de savoir comment faire en sorte qu'elle change lorsqu'on clique sur le bouton de dark mode. Les couleurs; c'est souvent très bien expliqué mais la bannière, je n'ai personnellement pas trouvé de tuto' explicatif de comment faire. C'est pour ça que nous sommes là aujourd'hui ! Avec quelques petites modifications de template et de rajout de CSS, nous allons apprendre à mettre en place une bannière en deux "couches" afin qu'elle change au click du dark mode.
Il va falloir tout d'abord comprendre comment nous allons procéder. Nous allons tout simplement supprimer la balise dans notre template principal qui correspond à la bannière et en "recréer" une toute nouvelle. Ça semble compliqué de premier abord, mais pas du tout !
Dans votre template "overall_header" (Panneau d'administration > Affichage > Template > Général), vous avez cette ligne là :
<a href="{U_INDEX}" id="logo"><img loading="lazy" src="{LOGO}" alt="{L_INDEX}"/></a>
Cette ligne correspond à la bannière que vous allez entrer dans votre panneau d'administration au niveau des images, et qui est cliquable en renvoyant à l'accueil. Donc si on la supprime, allez-vous me dire, comment avoir une bannière qui s'affiche correctement et qui est ensuite cliquable ? Et bien, on va tout simplement simuler cet effet avec deux couches; un peu comme les calques sur Photoshop. Le premier calque correspondra à notre bannière qui va changer au dark mode et la seconde couche sera une bannière "invisible" à la même taille que l'on va poser par dessus, et qui sera elle, cliquable. C'est donc en décortiquant cet effet pour le reproduire en deux étapes simples que l'on va pouvoir avoir une bannière qui change avec le dark mode.
Alors avant de continuer, il faut que vous ayez d'ores et déjà installé un dark mode (celui de @code-lab, EDISON, est très bien, très bien expliqué et très pratique !) afin d'avoir dans notre CSS le root correspondant au mode de base de notre forum et le "data:root", correspondant aux valeurs du dark mode.
Commençons donc par installer les deux couches de bannière. À la place de votre valeur supprimée qui correspond à la bannière de base de Forumactif, vous allez rajouter ceci à la place :
<div class="dark_bann"></div>                                    <div class="dark_bann_sup"><a href="/"><img src="https://2img.net/i.ibb.co/BTqHhnX/prdbirthday3.png"/></a></div>
Ici, vous pouvez voir que la première div est vide et que la seconde contient une bannière invisible. Votre affichage de forum après avoir enregistré le template sera tout vide en haut de la page d'accueil et c'est parfaitement normal ! On ne panique pas, et on va installer le CSS pour rendre tout ça un peu plus joli.
La première étape est d'aller créer une nouvelle valeur dans le root correspondant à l'image de la bannière de base que vous voulez afficher; comme celle que vous aviez installé dans votre panneau d'admin. Exemple :
:root {   --imgbann:url(VOTREURLD'IMAGEICI); }
Une fois ceci fait, vous allez copier coller cette même valeur dans le dark:root (qui correspond à ce que le dark mode va aller remplacer), mais en changeant l'URL par la bannière en dark mode. Exemple :
[data-color-scheme="dark"]:root {   --imgbann:url(VOTREURLDELABANNDARK); }
D'accord, c'est bien mignon mais rien ne change quand on clique sur le dark mode, oskour ! Pas de panique, c'est parfaitement normal. On vient simplement de configurer le changement d'image au click du bouton de dark mode. Maintenant, il va falloir appliquer cette même image par le CSS dans la bannière dont la div était vide. Et oui, elle servait à ça ! Retournez donc dans votre CSS, et rajouter ceci :
.dark_bann {   width: 800px;   height: 500px;   overflow: hidden;   background-image: var(--imgbann);   background-size: 100%;   background-position: 50% 50%; }
Ici, nous avons donné une largeur de 800px à notre bannière, une hauteur de 500; on a imprimé en image de fond notre bannière de base; on lui a appliqué une taille de 100% pour que ça prenne bien toute la place disponible et on l'a centré totalement. Et là, magie, notre bannière s'affiche bien et change au click du dark mode !
Cependant il reste un souci, notre bannière invisible cliquable apparaît en-dessous de notre "vraie" bannière qui elle n'est pas cliquable. Nous allons donc ajouter à notre CSS :
.dark_bann_sup {   overflow: hidden;   width: 1005px;   height: 500px;   margin-top: -500px; } .dark_bann_sup img {   width:100%; }
Ici, on a donné la même taille à la bannière invisible (vous pouvez essayer de lui mettre un background d'une couleur bien voyante comme le rouge pour bien la voir) et on l'a "remonté" pour qu'elle se superpose à notre vraie bannière. Et là, tout est parfait ! On peut bien la cliquer comme une bannière "normale", et la couche inférieure est notre bannière qui change au dark mode.
Voilà voilà, j'espère que ce tuto pourra aider qui que ça intéressera et que ça ne sera pas trop difficile à utiliser !
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petrichorpg · 1 year ago
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Il y a deux jours je suis allez faire un tour sur prd. Ça faisait longtemps ! J'étais curieuse de voir les nouveaux forums qui s'étaient montés mais aussi voir quels anciens tiennent le choc après un an ou deux voir plus.
Savez-vous ce que j'ai eu à la fin de ma session de farfouillage ? Une migraine ! On s'en fou non me direz-vous ? Et bien non !
Ma migraine a été provoquée tout simplement par un manque d'accessibilité numérique sur les différents rpg. Je peux comprendre que de vieux forums aient du mal à changer leur charte graphique et encore pas vraiment justifiable ... Mais les nouveaux forums qui se montent ...
Je rêve d'un monde où la police ne serait pas en dessous de 15px, ou les polices de textes seraient lisibles et non justes jolies, que les textes respirent avec des interlignes corrects et que chacun vérifie que les couleurs mises en place respectent les normes d'accessibilité ! Pitié arrêtez avec votre jaune sur du rouge où on doit plisser des yeux pour lire et bannissez aussi votre blanc et noir pur !
Il y a un tas de ressources bien faites qui circulent sur le sujet, prenez la peine de les lire, pour le bien de tous ! Et quand je vois que des personnes qui sont au courant de ces ressources, font des forums sans appliquer les recommandations/conseils ça m'exaspère au plus haut point.
L'accessibilité numérique ce n'est pas seulement pour les personnes avec des difficultés, si ça fait du bien à une catégorie de personne ça fait du bien à tous !
Dans mon job je milite pour ça au quotidien et je me demande si je ne vais pas faire de mon Tumblr mon cheval de bataille pour les forums !
Il est temps que ça change. On a bien réussi à changer d'autres pratiques pour rendre les rpg plus safe et bien ça passe aussi par offrir un design agréable à sa communauté, c'est aussi prendre soin de ses membres en travaillant son accessibilité numérique !
Un long texte mais j'avais besoin de déverser sur Tumblr ... ✨
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thebusylilbee · 8 months ago
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"Un café crème et une minute, voire deux, de réflexion. Nawel (1) est à la recherche des mots pour décrire ses sentiments. La trentenaire est «chargée de sécurité en ligne» pour un média social. Elle a «galéré» pour se faire embaucher. La faute à quoi ? Son nom, son prénom et sa religion, dit-elle dans une brasserie parisienne proche de la place de la République. «Je fais attention à ne pas tomber dans la colère parce qu’on nous refuse le droit à la colère. Elle est perçue comme une forme de violence alors que nous la subissons au quotidien.» Le «nous» englobe de nombreux Français musulmans diplômés. Ils dénoncent une atmosphère «pesante» dans le monde du travail, les médias et l’espace public. Ils ne supportent plus les regards de travers les jours qui suivent les attentats, la «suspicion» et les débats politiques. Une vie avec la «boule au ventre», disent-ils.
Aïcha (1) qui enseigne la littérature dans le Val-de-Marne garde encore en elle la souffrance lorsqu’un collègue lui a posé une question après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre. Elle était installée en train de boire son café en pianotant sur son téléphone dans la salle des professeurs. Tout était calme. Puis : «Et toi Aïcha, tu es bien silencieuse, ça ne te fait rien ce qui vient de se passer ?» Elle a fondu en larmes dans sa voiture sur le chemin du retour. En arrivant à son domicile, Aïcha a demandé à son compagnon : «Pourquoi on reste encore ici alors qu’on pourrait être respectés ailleurs ?»
«On se bat pour se faire embaucher»
Le ressenti est documenté. Trois sociologues ont mené une enquête. Olivier Esteves, Alice Picard et Julien Talpin ont interrogé une partie de cette «élite minoritaire» – appuyée sur un échantillon quantitatif de plus de 1 000 personnes et sur 140 entretiens approfondis – qui a décidé de quitter la France pour s’installer à Londres, Dubaï, New York, Casablanca, Montréal. Ils ont en fait un livre, La France, tu l’aimes mais tu la quittes (Seuil). Les interrogés racontent les raisons de l’exil : discrimination, stigmatisation et difficultés à grimper dans le fameux ascenseur social. Libération a rencontré une dizaine de jeunes diplômés musulmans – pratiquants ou non – qui travaillent actuellement en France mais qui pensent chaque jour un peu plus à l’exil. Nous en avons également croisé qui ont passé le cap ; celui de vivre ailleurs.
Le recteur de la grande mosquée de Bordeaux, le médiatique Tareq Oubrou, perçoit le phénomène. «Le malaise est profond chez les musulmans et ne l’a jamais autant été. Il y a de grandes interrogations, une angoisse même face à l’avenir politique et social d’une France qui se crispe», explique cette figure de l’islam de France. Combien ont passé la frontière ? Les chiffres n’existent pas.
Salim est ingénieur dans la téléphonie. «J’en parle presque tous les jours avec des copains, dit-il en introduction. Nous sommes nombreux à ressentir la même chose. On se bat pour se faire embaucher et on galère pour être promu. Récemment, mon collègue qui a été nommé chef d’équipe a été gêné. Il n’arrive même plus à me regarder dans les yeux. Je suis arrivé avant lui et j’ai fait de meilleures écoles que lui. Je suis vu comme le mec sympa qui fait des blagues, qui devrait remercier chaque matin ses patrons d’être là.» Le trentenaire est en train de se laisser convaincre par son cousin à Londres. Il gagne le double de son salaire mais pas seulement. Salim regarde le plafond, s’évade et revient parmi nous : «Personne ne lui fait de réflexions pendant le ramadan ou après une attaque terroriste. Il n’est pas vu comme un arabe ou un musulman mais comme un ingénieur français.»
«Je me suis sentie entièrement française»
Dans la brasserie parisienne, Nawel commande un second café crème et déroule le câble de sa trajectoire. C’est la petite dernière des huit enfants de la famille. Ses parents ont quitté le Maroc à la fin des années 60 pour s’installer dans l’Yonne. Le daron à l’usine et la daronne avec la marmaille. La famille déménage un peu plus tard dans un petit village du Loir-et-Cher. «Mon père est devenu bûcheron. Les premiers temps étaient compliqués dans le village. Il y avait beaucoup de racisme, nous étions la seule famille arabe du coin. Mais notre famille nombreuse a sauvé l’équipe de foot, la fanfare et l’école du village.» Après un bac littéraire, la petite dernière se lance dans la sociologie. Elle se retrouve à Londres grâce au programme Erasmus. Tout change. «Je rencontre des gens du monde entier et plus personne ne me méprise, dit-elle. Je n’avais plus besoin de me justifier ou d’avoir honte de ce que je suis. Et, pour la première fois de ma vie, je me suis sentie entièrement française.» Cette dernière phrase reviendra souvent tout au long de nos rencontres avec les expatriés.
Nawel se cherche à son retour. Elle se lance dans le journalisme, un milieu où l’entre-soi est roi et la diversité (surtout dans les postes à responsabilité) un songe. Elle galère, enchaîne les petits jobs pour payer les factures. Elle décide de partir pour Dublin, en Irlande, où elle se retrouve – après avoir vendu des sandwichs – modératrice de contenus pour Facebook. Elle gravit les échelons en interne et change de boîte. Airbnb puis Twitter (devenu X). La vie est belle. Un bon salaire et des responsabilités. Nawel décide de rentrer en France après sept années en Irlande. «Je pensais que ça allait bien se passer. J’avais fait mes preuves dans de grosses boîtes, mais non. Je postule à un tas de trucs mais je n’ai aucune réponse. Je galère aussi pour trouver un appartement à Paris. J’avais des offres d’emploi toutes les semaines en Irlande et pas une depuis mon retour en France.» Elle ne lâche pas l’affaire. La «chargée de sécurité en ligne» décroche deux entretiens. Deux réponses positives. Elle ne croit pas au hasard : «J’ai eu un entretien avec un directeur des ressources humaines maghrébin et le second, c’était en visioconférence avec un Afro-Américain parce que c’est une entreprise américaine.»
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Pour Amara, 24 ans, la religion en France reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. (Dorian Prost/Libération )
La jeunesse diplômée qui pense à l’exil se ressemble dans le regard de ceux qui mettent dans le même sac les enfants d’immigrés nés en France. «Nous sommes différents. Tous les Arabes ne sont pas musulmans et tous les musulmans ne sont pas Arabes, explique Salim. Et chez les croyants, les degrés de pratique varient mais de nombreuses personnes ne cherchent pas à comprendre.» Les pratiquants, notamment les femmes voilées, sont nombreux à se projeter loin de la France ; pas forcément dans des pays musulmans.
«On est obligés de cacher un peu notre identité»
Cap au Nord. Ils ont tous les deux un parcours brillant : étudiante en M1 dans une grande école lilloise pour l’une ; en dernière année de Centrale-Lille, cursus ingénieur en développement applications mobiles et web, pour l’autre. Fatima (1), 22 ans, a grandi à Roubaix, immigration de troisième génération. Ses grands-parents, habitants de l’Algérie française, sont arrivés en métropole dans les années 50. Amara, 24 ans, originaire de banlieue parisienne, a des parents venant d’Afrique subsaharienne : Côte-d’Ivoire pour le père, Guinée pour la mère. Tous les deux, si différents dans leur histoire, partagent le même désir d’ailleurs. «Rester reviendrait à vivre dans un pays où on ne se sent pas à 100 % acceptés», résume Fatima, voile kaki accordé à sa chemise vintage, chinée en friperie, et jeans blanc. Amara approuve : «Je voudrais trouver un pays où je peux pratiquer ma religion dans des conditions plus propices.» Il dit qu’en France, la religion reste un «tabou», surtout dans le cadre professionnel. Un regret ? «On est dans le pays où on a grandi, on fait la culture de ce pays, mais on est obligés de cacher un peu notre identité.»
Fatima souffre, elle, de l’image des musulmans issus des quartiers populaires. «On les associe dans l’imaginaire collectif à délinquance et à communautarisme. Et on nous confond avec des terroristes», soupire-t-elle. Le retour de Berlin, après un séjour Erasmus, a été dur. «Deux jours après, c’était l’annonce de l’interdiction de l’abaya. Je ne me sens pas vraiment concernée, je n’aime pas porter des robes, mais après Berlin, où tout le monde se respecte…» Elle porte le voile depuis trois ans. Dans son école lilloise, elle n’a subi aucune discrimination, de la part des profs comme des élèves. Juste parfois des étonnements maladroits quand on constate qu’elle ne parle pas arabe ou que ses parents sont français. Elle flippe pour les entretiens d’embauche. Elle a une autre peur, que l’extrême droite arrive au pouvoir. Pour ces raisons, elle prévoit de chercher du travail au Canada ou en Grande-Bretagne. «Soit on reste et on aide au développement de sa ville, soupire-t-elle. Soit on part, avec un sentiment de culpabilité. La France a investi sur moi, mais cela ne lui profitera peut-être pas. Je n’ai pas l’impression qu’elle se rende compte de cette perte.»
Amel a une phobie : l’avion. Elle traverse les mers et les océans pour rejoindre les différents continents. Elle a vécu un temps au Brésil. Puis un long moment à Dubaï. Elle raconte toujours un tas d’histoires. Ses traversées en cargo ou en voiliers. «J’ai toujours su que je quitterais la France après mes études, explique l’ancienne étudiante en école de commerce. Je n’ai jamais été une victime directe de racisme mais je sentais que j’aurais moins de barrières ailleurs et qu’on ne me jugerait pas.» Amel a créé plusieurs entreprises à Dubaï dans la cosmétique. Elle travaille aussi dans la finance. Dans un café du IIe arrondissement de Paris, la trentenaire pose une question qui paraît banale : «Pourquoi les choses ne changent pas ?» Elle ne cherche pas la réponse. Elle refuse de parler de «regrets» ou de «gâchis». Elle préfère dire «tant pis» pour la France. Son retour à Dubaï est programmé pour les prochaines semaines. Elle cherche un voilier pour embarquer.
Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante»
Omar est ingénieur en informatique. Il a tout quitté du jour au lendemain pour la Californie. Une décision «difficile mais réfléchie», «contrainte aussi». Le trentenaire, fils de Marocains, est musulman pratiquant. Il y a six mois, il était encore «bien installé». Omar a traversé le monde pour s’établir à Los Angeles avec sa femme Nadia, 30 ans, chercheuse en biologie, et leurs deux enfants de 3 et 8 ans. La réponse à «une atmosphère islamophobe» devenue trop pesante. «Nos proches nous manquent, mais on ne veut plus se cacher par peur d’être jugés», dit-il. La réalité ? Un «incident» leur a fait franchir le pas l’an dernier. «Nadia a été dénoncée par des collègues car elle portait le voile dans son laboratoire.» Des questions de sécurité ont été mises en avant. Une «fausse excuse», selon Omar, qui insiste pour dire que sa femme travaille désormais dans l’un des plus grands hôpitaux de Californie «sans que cela ne leur pose de problème». Dans son entourage, leur cas n’est pas isolé, ses deux sœurs, dont il préfère taire la profession, sont parties en Angleterre pour les mêmes raisons.
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La trentenaire Amel a préféré dire «tant pis» à la France et partir vivre à Dubaï. (Marie Rouge/Libération)
Facky, lui, raconte un tas d’anecdotes. Diplômé d’école d’ingénieur l’an dernier, il a sauté le pas il y a quatre mois pour rejoindre le Japon. Une parenthèse pour le moment. Il compte y apprendre la langue, pendant un an, et, s’il s’y plaît, s’y installer définitivement. Ici ou ailleurs mais pas en France. «J’aime mon pays mais malheureusement je n’ai plus vraiment l’espoir de vivre sereinement quand on te répète tous les jours que tu n’es pas chez toi en France.» Il raconte des expériences. Du racisme ordinaire devenu «monnaie courante». Cette fois, lors d’un contrôle d’identité alors qu’il attend sa mère, où quatre policiers le mettent en joue par crainte de ce qu’il peut avoir dans son sac. Un flingue pointé sur sa tête. Ou alors, «moins grave», mais tout aussi «fatiguant», lorsqu’un caissier de supermarché refuse de passer ses articles. Dernier épisode en date, il y a un mois, dans l’avion le ramenant en France pendant le ramadan. Il explique au personnel de bord qu’il jeûne. Une femme, assise à portée de la conversation, juge bon de donner son avis : «On est au Japon ou à Kaboul là ?»
Dans la brasserie parisienne, Nawel regarde l’heure. Elle doit retourner travailler. La pause est terminée. Une ultime question : partir ou rester en France ? «Je parle cinq langues et j’ai fait mes preuves mais mon pays a du mal à reconnaître mes compétences. C’est triste. Nos parents sont venus ici pour travailler sans faire de vagues. Ils ont accepté beaucoup de choses que je ne pourrais jamais accepter.» Nouvelle hésitation. Nouveau silence. Puis : «Je n’ai pas envie de faire semblant ou de jouer à la meuf sympa pour me faire une place. C’est terminé cette époque. Peut-être que demain j’aurai des enfants et je ne veux pas qu’ils grandissent dans une ambiance ou il faut toujours montrer patte blanche ou se justifier.» "
(1) Les prénoms ont été modifiés.
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30jourspourecrire · 7 months ago
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Surpriiiise !
🌷 Voici 30 sujets d'écriture sur le thème des Couleurs pour le mois de Juin ! 🌷
J'avais très envie de dédier un mois entier aux Couleurs. Ce sera une manière de faire advenir le printemps dans l'écriture à défaut de l'avoir dans le ciel, et de célébrer le mois des visibilités qui a lieu en juin 🌈
Toutes ces couleurs sont une invitation à l'observation du monde qui vous entoure, aux métaphores, aux sensations qui vous habitent, aux synesthésies, à la poésie du banal.
Je vous souhaite une belle pratique d'écriture 🎈
Note : Je ne rebloguerai plus vos textes sur ma page car je n'ai plus le temps de le faire quotidiennement, mais vous pouvez continuer à utiliser le tag #30jourspourécrire, je vous lirai toujours.
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aisakalegacy · 22 days ago
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Hiver 1930, Hylewood, Canada (1/3)
Chère Noé,
J’ai le regret de t’annoncer la mort de mon père, qui vient de décéder de la tuberculose. Cela fait un moment que ma famille s’y prépare, et pour tout t’avouer, c’est un soulagement. Il souffrait beaucoup depuis trois mois, ses poumons s’étaient considérablement détériorés et il avait de la misère à respirer. Au moins, aujourd’hui, il ne souffre plus.
Il a été enterré dans le cimetière d’Hylewood aux côtés de Maman. C’est l’oncle Joseph qui présidé la cérémonie. Il a insisté pour faire le déplacement jusqu’à Hylewood, malgré ses quatre-vingt-seize ans… Il a pratiquement éjecté le Révérend de sa propre église. En même temps, le Révérend n’allait pas refuser l’accès à sa paroisse à son évêque… La cérémonie d’enterrement de Papa était… mouvementée. L’éloge funèbre de l’oncle Joseph avait le goût du vitriol et du règlement de compte. Concrètement, il lui a reproché d’avoir dilapidé l’héritage laissé par mon grand-père, les efforts d’une vie, alors qu’il avait toujours œuvré pour que ça tienne… Marie trouvait cela très amusant, Agathon se renfrognait parce qu’il estimait que ce n’était ni le lieu, ni le moment, les cousines Ada et Winifred murmuraient que c’était un grand manque de pudeur et que Tante Françoise n’aurait jamais toléré ça si elle avait été encore en vie, et moi, comme d’habitude, je devais jongler entre les sensibilités de tout le monde.
[Transcription] Marie LeBris : Crisse, Papa, tu as vraiment choisi le pire moment pour mourir…
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camisoledadparis · 14 days ago
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saga: Soumission & Domination 357
24h du Mans moto-3
18/04 suite :
En attendant nous passons notre temps entre mater la course et se balader le long du circuit. Bon d'accord je mate aussi les petits culs quand ils sont bien mis en valeur par les pantalons ou les combis en cuir. On croise quand même un bon nombre de petits mecs qui accompagnent leurs pilotes !
Ils sont reconnaissables à différents détails : une différence d'âge limite père/fils, des physiques disparates avec souvent un des deux typé " crevette ", et pour celui-ci une tenue plus soignée que celle du motard de base qui privilégie le confort à l'esthétisme. Ils répondent sans pudeur par un grand sourire à mes clins d'oeil quand nos regards se croisent.
On se retrouve tous pour diner. Bon ça prend une bonne demi-heure pour que nous soyons tous réunis mais nous sommes au complet pour nous restaurer. Nous choisissons la " gargote " en fonction de sa capacité à nous recevoir tous.
La nuit tombe sur le circuit et l'ambiance change. Malgré la fraicheur qui tombe, l'alcool ingurgité tout l'après-midi commence à faire des effets sur un bon nombre de spectateurs. Ça va des mecs qui cuvent sur un talus à ceux qui n'en sont pas loin mais gerbent le surplus sans compter les mauvais coucheurs qui interpellent ceux qui passent à leur portée dans le but inavoué de déclencher une bagarre.
Notre groupe décourage les emmerdeurs même si nous sommes moins discrets et que les couples qui le compose sont évidents, plus collés/serrés.
Mais nous tombons sur un groupe d'Anglais inconscients. Ils sont une 10aine et nous aussi puisque l'autre moitié de notre groupe nous suit à plus de 20 mètres derrière. Ils sont plein de bière et nous insultent. Même si nous leur faisons savoir que nous sommes tout à fait d'accord avec eux quand ils nous traitent de PD, ils n'en restent pas là et veulent vraiment se battre. Nous sommes dans une partie peu fréquentée du circuit et ils se pensent vraiment au-dessus de nous avec leurs physiques lourds !
On essaye de leur faire comprendre que ce ne serait pas raisonnable pour eux de continuer à nous chercher mais ils sont sourds, les oreilles bouchées par l'alcool ingurgité en grande quantité.
La première ligne anglaise laisse passer ceux qui étaient derrière. Eux sont armés de chaines. Moins drôle tout à coup ! Heureusement nous sommes tous équipés de cuir et les renforts vont nous servir.
Je pense qu'ils se sentent réglos en avançant un par un.  J'engage le premier qui se présente. Contrairement à ce que son alcoolisation pourrait le faire penser, il est encore très lucide ! On fait à peu près la même taille mais il me semble plus lourd.
J'attends qu'il fasse le premier pas. Il me fonce dessus. Je tente un truc qui devrait, si cela marche, l'arrêter direct. Il s'agit de frapper très fort avec le plat de la main situé à l'aplomb du bras sur le front de l'agresseur. Selon la théorie, car c'est évident qu'on n'a pas essayé ça entre nous, ça doit stopper un boeuf.
Je tente et frappe à l'endroit voulu. Ça marche !! Le mec tombe à mes pieds. Par contre le choc en retour est costaud.
Ses potes sont sidérés. Ça devait être leur leader car ils restent comme des cons sans réagir. Un des internes s'occupe du mec que j'ai couché. Il nous rassure tous, oui même moi. Le mec est juste assommé. Les copains nous rejoignent. Ça finit de dissuader les anglais qui repartent avec leur pote.
On rejoint des lieux plus éclairés en discutant de l'efficacité de ma riposte. Nos deux gendarmes ne connaissaient pas et trouvent ça plutôt pratique. PH et Ludovic sont un peu déçu que le reste de la troupe n'ai pas suivi et me reprocheraient même d'avoir été trop rapide. Ils se font remonter les bretelles par Marc et nos représentants de l'ordre public. On était là pour la course pas pour se faire un tableau de chasse.
Frank me dit avoir filmé la scène avec son smartphone. On s'isole et je mate la vidéo. On voit bien le geste. Je lui dis qu'il devra me l'envoyer pour que je le passe à notre prochaine séance d'entrainement.      
On s'approche de la zone du concert. La foule est dense pour écouter les Wampas. On passe un bon moment entre musique et " gesticulations ".
Un nouveau tour du côté de la piste et comme minuit est passé nous rentrons dormir un peu. Pas un chat sur la route, nous mettons 5mn pour arriver au château.
Notre hôte n'est pas encore couché. J'en profite pour lui donner son t-shirt. Il est tout content et nous accompagne pour l'en cas que nous avions prévus. Alors qu'il apporte les plats avec l'aide de quelques-uns d'entre nous, Frank branche son portable sur l'écran plat. Les professionnels (gendarmes) et même les autres regardent le geste que j'ai fait et l'analysent.
On critique le mouvement et je leur explique que si ça mis le mec au tapis, ce n'est pas sans douleur au poignet au moment du choc. Donc c'est le genre de truc à ne pas louper. Les médecins expliquent le phénomène. Ça ressemble au KO d'un boxeur. Le choc au front entraine un traumatisme du cerveau et une perte de connaissance. Les lobes situés à l'avant du cerveau contrôlent la parole et le langage, le raisonnement, la mémoire et divers autres fonctions dont et surtout les mouvements. Le lobe frontal droit gère les mouvements du côté gauche du corps, et inversement pour le gauche.
Donc quand on choque cette partie du cerveau avec une force suffisante, on obtient une immobilisation temporaire immédiate.
J'explique que c'est la première fois qu'on met en oeuvre cette parade. Ils rient et nous disent d'éviter de nous entrainer sur nous-même. Chaque choc à la tête provoque la destruction de centaines de neurones.
Ils nous disent aussi que ce n'est qu'en dernier recours que nous devrions avoir recours à cette parade. Les risques sont important pour le frappé d'avoir des séquelles importantes si le choc est trop fort.
On en prend note et les assurons que nous l'utiliserons qu'en arme ultime.
Nos faims calmées nous partons dormir un peu.
19/04 :
Réveils décousus sur une bonne heure. Je suis le premier debout et part vite plonger dans l'eau me réveiller et détendre mes muscles. Quand je sors de l'eau, le cuisinier m'apporte un café accompagné d'un croissant tout frais. Je lui dis de rester là et pars chercher son t-shirt dans le sac resté dans l'entrée. Quand je reviens il est toujours planté à côté de la table de jardin. Je lui tends le bout de tissu. Il le déplie, lit l'inscription et me remercie qu'il ne fallait pas. Je lui dis que c'est pour le remercier de nous avoir sacrifié son WE. Je m'approche de lui, retire le t-shirt basique blanc qui recouvre son torse et après m'être rincé l'oeil, lui dit d'enfiler le nouveau. La taille est bonne, c'est-à-dire 1 en dessous. Ça le moule bien et on devine le modelé de ses abdos. Pour les pecs, c'est évident et de profil même ses tétons sont visibles !
Quand il repart en cuisine je lui sors un " bonne chance maintenant pour éviter de te faire violer ". Il se retourne et me remercie du compliment.
Mes acolytes se réveillent dans le désordre et me rejoignent, les yeux encore collés, qui les cheveux en bataille quand ce n'est pas les deux à la fois.
Comme prévu, ce sont des sifflements qui sortent de toutes les bouches quand le cuisinier apporte les plateaux de bouffe. Mes amis attendent quand même qu'il les ait déposés avant de passer leurs mains dessus, justes pour apprécier le-t-shirt bien sûr !!
Nous arrivons à le faire bander même s'il n'est pas persuadé de baiser avec nous !
Donc petit déjeuner, douches, enfilage des combis et on saute sur nos motos pour rejoindre le circuit. Nous arrivons en milieu de matinée et la population debout, autour de la piste est encore dispersée. Nous sommes frais et propre par rapport à ceux qui sont restés toute la nuit dans l'enceinte du circuit. On fait le point sur les évolutions de la nuit, qui est en première place, qui en second ...
Il fait beau. Je retire mes bras du haut de ma combi et me met torse nu. Je suis imité par mes mecs (PH et Ludovic) et par la moitié de notre groupe. Ceux qui voudront nous chercher sauront à quoi s'attendre. Plus cachés sous le cuir, nos masses musculaires imberbes font dans la dissuasion.
Et c'est efficace car bien que nous ne nous retenions pas en geste tendre (sans non plus être collés tout le temps à se rouler des pelles) nous n'entendons plus les remarques homophobes de la veille et ne sommes pas pris à partie.
La journée se passe merveilleusement bien jusqu'au drapeau à damier.
Comme bon nombre de motards, nous envahissons la piste et attendons sous le podium la remise du prix et la douche de champagne. Ça parle toutes les langues autour de nous, Espagnol, Italien, Anglais bien sûr mais aussi des langues du nord, hollandais et plus septentrional encore type norvégien et suédois. Non je ne comprends pas toutes ces langues mais comme les diffuseurs agitent des drapeaux nationaux, j'arrive à deviner !
On n'est pas les seuls à être torse nu mais on est le groupe le plus homogène question muscles.
Comme j'ai loué jusqu'à demain matin, personne n'est pressé et nous laissons partir la majorité des motards avant de retrouver nos montures et rentrer au château.
Nicolas nous attendait. On se met à poil et directs dans la piscine. Comme c'est évident qu'on va baiser, pas la peine de s'encombrer de maillots ! Bonne détente musculaire et ça dérape vite. On sort de l'eau et ça s'embrasse de tous les côtés juste au moment où Nicolas arrive avec les bières fraiches.
L'un de nous veut l'entrainer dans notre délire mais il recule et me dit que son cuisinier est là et qu'il ne veut pas être en porte à faux avec lui. Je comprends. Je pars donc en cuisine chercher " l'empêcheur de tourner en rond ".
Je le trouve avec le t-shirt que je lui ai offert le matin même. Il est toujours aussi sexy. Je profite qu'il a les mains pleines pour passer mes bras autour de sa taille, lui faire un bisou dans le cou et lui dire que nous attendons qu'il nous rejoigne à la piscine. Il pose sa poêle se retourne (oui je l'avais attrapé de dos) et me dit que c'est impossible elle est réservée aux clients. Il m'énerve ! Je le bascule sur mon épaule et le porte jusqu'à la piscine où je l'envoi dedans. Puis j'avise Nicolas et lui annonce que son homme est dans l'eau et qu'on va se charger de lui apprendre à baiser des mecs. Donc, lui n'a plus de raison de se retenir, son chef cuistot ne saurait le faire chanter une fois dépucelé.
Le temps qu'on discute, les deux gendarmes et 3 autres sont dans l'eau à dévêtir le nouveau venu.
Quand il est éjecté de l'eau, il est donc tout nu et déjà bandant ! Comme quoi c'était bien la peine de me dire non !!
Nicolas est un peu gêné jusqu'à ce que Louis se mette à téter sa bite.
Moi, son cuisinier m'attire. C'est normal, je ne le connais pas ! Je dois pousser deux Bordelais pour pouvoir atteindre sa peau. Il est face à moi. Le mec est canon de corps (tête normale) surtout un bassin étroit qui porte une belle bite aux couilles rasées et pubis dégagé, raide comme un bâton.
Les deux " expulsés " me poussent dans ses bras et j'en profite. Tentative de roulage de pelle qui est finalement acceptée et même voracement acceptée. Ma bite vient au contact de la sienne et mes mains descendent de son dos pour attraper ses petites fesses. J'essaye de les écarter. Il serre ses fessiers et m'empêche quelques secondes d'accéder à sa rondelle. On continue à se mélanger nos langues et à frotter nos queues l'une contre l'autre.
Les copains me le laissent et sont partis chercher leur plaisir entre eux. Mes tétons durcissent contre les siens. Il lève ses bras pose ses mains derrière ma tête et appui histoire de me retenir au cas improbable où j'aurais souhaité le laisser tomber !
Il relâche ses muscles et j'arrive à séparer ses fesses et à poser un doigt sur sa rondelle. Je sens sa bite sursauter contre la mienne dès que le bout de mon doigt se pose sur cet endroit intime.
Je repousse ma tête, le fixe dans les yeux et lui dis " tu veux me faire croire que t'as pas envie de ma bite au fond de ton cul peut être ? ". Il m'embrasse dans le cou et me souffle que, faire ça chez son boss c'était pas évident pour lui.
C'est vrai, nous c'est facile, on est des clients mais lui, c'est Nicolas qui le paye.
Je lui dis d'ouvrir une parenthèse que demain quand on sera parti, il l'a refermera tout comme son boss et il ne restera qu'un bon souvenir pour tous.
Je descends ma tête jusqu'à ses tétons déjà raidis. Je suce, mordille. Je l'entends gémir. Je descends encore et trouve son gland juste au niveau de son nombril. Il est circoncis et gonflé à en éclater. Je m'empresse de tempérer son extrémité. J'ouvre la bouche et après l'avoir mis dedans, je joue de ma langue. Léchages langue plate, tour de sa couronne, tentative de l'enfiler dans son méat, je m'occupe bien de son bout avant de me l'enfoncer dans la gorge. Je ressens son sursaut alors que son gland passe ma glotte. J'attrape ses fesses et les tire vers moi pour bien écraser mon nez sur son pubis. Sa bite rentre profond. A vue de gorge, elle doit faire dans les 21cm. Je m'étouffe puis recule pour respirer puis recommence. Je l'entends au-dessus de moi gémir que c'est trop bon.
Je me redresse et on se roule une nouvelle pelle. Il est encore plus chaud qu'avant. A son tour, il glisse contre moi et sans arrêt part directement chercher ma queue. Sa pipe est bonne mais pas du niveau de la mienne. Il s'y essaye pourtant et s'étrangle deux fois avant de se contenter de me téter le gland. Il l'aspire collant ses joues contre lui. Il gonfle ses joues pour avoir la place d'en faire le tour avec sa langue.
C'est pas mauvais non plus !
C'est lui-même qui se redresse et me tourne le dos tout en restant collé contre moi. Il roule du bassin jusqu'à ce que ma bite se calle entre ses fesses. Là, il contracte ses muscles et elle se retrouve emprisonnée alors que je suis toujours dehors ! Pas mal du tout !!
Je glisse entre elle comme un hétéro entre deux seins ! Mais c'est meilleur car plus de compression.
Je mordille son cou et lui souffle à l'oreille que j'adorerai lui défoncer la rondelle. Réponse : " pareil ", " enfin non, je veux ta bite en moi ". Bon on est sur la même longueur d'onde, c'est tout bon.
Je me kpote et lui enduit le trou de gel. Bon je lui enfonce quand même deux doigts bien profond pour graisser l'entrée. Ils rentrent facile. Je les remplace par ma bite. Je pousse doucement je lui laisse le temps de se détendre. J'accentue ma pression et mon gland pénètre son ampoule anale. Je cesse de pousser le temps qu'il s'habitue à ma présence. En fait j'attends et c'est lui qui relance la pénétration en se reculant.
Je termine d'un coup sec et pose mes hanches contre ses fesses. Dieu que c'est bon un cul nouveau ! J'y vais doucement les trois/quatre premiers assauts.  Je monte en puissance. Il encaisse bien et prend du plaisir sous mes coups de boutoirs. Sa rondelle se crispe par moment et amplifie mon propre plaisir. Je me couche sur son dos et lui affirme que je suis bien dans son cul mais que je ne suis sûrement pas le premier. Il tourne la tête, me sourit et me confirme le fait. Il ajoute que ce n'est quand même pas sa pratique habituelle et que sa dernière sodo remontait à quelques mois quand même.
Sans cesser notre emboitement mouvementé, on mate un peu les autres baiseurs. Il rigole de voir son patron dans sa position, avec un gendarme à chaque extrémité. Je fais un panoramique. Mes mecs sont bien occupés aussi. Ludovic est en train d'enculer le Louis de Frank avec ce dernier planté dans son cul. PH lui est occupé avec deux de nos bordelais. Kamal lui s'éclate la rondelle sur la méga-bite du Lad.
La baise est intense. Entre les gémissements on peut distinguer des " Fuck ", des " t'es trop bon toi ", des " plus fort ". Tout va bien !!
Quand la baise est finie, nous mettons tous la main à la pâte pour finir la préparation du diner et ce malgré les refus répétés de Nicolas et de son cuisinier.
C'est sûr qu'il ne faudrait pas que la DDPP se pointe pour une visite sanitaire. Voir des mecs en maillot dans la cuisine, ça passerait pas !
Soirée calme puis gros dodo en prévision des retours.
Jardinier
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