#institut culturel italien
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equipels · 11 months ago
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Découvrez la Petite Italie de Montréal
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La Petite Italie de Montréal, un quartier vibrant et riche en culture, offre une expérience unique mêlant histoire, architecture, gastronomie et art de vivre à l’italienne.
Histoire et atmosphère de la petite italie
Ce quartier, délimité par Beaubien au sud, Jean-Talon au nord, Saint-Denis à l’est et Clark à l’ouest, a été façonné par une importante immigration italienne à la fin du XIXe siècle, initialement attirée par les opportunités dans la construction des chemins de fer canadiens. Après la Seconde Guerre mondiale, une seconde vague d’immigration a renforcé la présence italienne, transformant la Petite Italie en un épicentre vibrant de la culture italienne à Montréal. Le quartier, parsemé d’églises italiennes et d’épiceries spécialisées, est aujourd’hui célèbre pour ses restaurants, cafés, et autres établissements non italiens​​.
Les cafés et restaurants de la petite italie
La Petite Italie est un paradis pour les gourmets. Les visiteurs peuvent savourer un large éventail de cuisines, des délices du marché Jean-Talon aux restaurants italiens traditionnels. Parmi les adresses culinaires notables, on trouve le restaurant « Vin Mon Lapin », connu pour sa cuisine raffinée et son ambiance unique​​, le « Restaurant Lucca », un symbole de la tradition culinaire italienne​​, et « Porchetta », spécialisé en streetfood italien​​. Le « Caffè Italia » est une institution du quartier, offrant un voyage dans le temps avec son charme vintage​​. D’autres établissements comme « Primo et Secondo », « Le Petit Alep », et « Épicerie Pumpui » montrent la diversité gastronomique du quartier, offrant des cuisines variées allant de l’italien à l’arménien, syrien et thaïlandais​​​​.
Commerce et lieu de vie du quartier
En plus des restaurants et cafés, la Petite Italie abrite plusieurs commerces et attractions culturelles. Des boutiques comme « Piazza Salumi » et « Joe La Croûte » proposent une sélection de produits italiens et de pains frais​​​​. Des adresses telles que la « Crêperie du marché » et « Patati Patata » offrent une expérience culinaire unique avec des crêpes et des plats de rue canadiens​​​​. Les pâtisseries comme « Alati-Caserta » offrent un aperçu des délices sucrés italiens traditionnels​​.
Architecture et ambiance
La Petite Italie n’est pas seulement connue pour sa cuisine, mais aussi pour son architecture influencée par l’Italie, notamment l’Église Notre Dame de La Défense, un exemple frappant du style néo-roman​​. Les rues pavées, les façades colorées et les balcons fleuris contribuent à l’atmosphère pittoresque du quartier, invitant les visiteurs à explorer à pied ou à vélo​​.
Conclusion
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Valérie Lacasse
Leader et courtière immobilière
Vous avez un projet immobilier à la petite italie ? Contactez-nous
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news24fr · 2 years ago
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"pas été annulé.”"Nous pensions qu'il y avait d'autres œuvres de Krohg qui étaient plus intéressantes à exposer», a déclaré la directrice du musée, Karin Hindsbo, sans faire référence à l'explication controversée que la directrice des collections du Musée national, Stina Hoegkvist, avait donnée au média Aftenposten quelques jours plus tôt.Répondant aux plaintes du public concernant la disparition du tableau, Hoegkvist a déclaré au journal que "Leif Erikson découvrant l'Amérique" avait été envoyé au sous-sol parce qu'il "Norvégiens romancés qui sont allés en Amérique.” "C'est une image colonialiste", a-t-elle précisé, expliquant qu'elle et ses collègues du nouveau musée cherchaient à"contester une norme» en élevant les œuvres de «plus d'artistes féminines, plus d'artistes samis et plus d'art par des personnes qui ne sont pas nées avec la peau blanche.” Certains critiques d'art ont aussitôt accusé Hoegkvist de «annulation"Krohg. "C'est une façon imprudente de gérer la collection du Musée national", a déclaré la commentatrice culturelle de la chaîne de télévision publique NRK, Agnes Moxnes, suggérant que le musée national devrait"soulevez et montrez nos icônes nationales.”Le député du Parti du progrès, Silje Hjemdal, a dénoncé le «dangereux» déplacer dans les commentaires au point de presse Dagsavisen, avertissant qu'il a indiqué «un manque de compréhension de notre histoire.” L'indignation de Hoegkvist était en fait erronée, a suggéré le député du Parti rouge Mimir Kristjansson à NRK, soulignant que «Leif Erikson n'a pas colonisé l'Amérique. Il y en a d'autres qui ont fait ça.”La députée conservatrice et chef adjointe de la commission de la culture, Tage Pettersen, a exigé une réponse officielle de la ministre de la Culture et de l'Égalité Anette Trettebergstuen concernant «comment elle perçoit la nécessité d'un canon culturel dans les grandes institutions artistiques nationales» à la suite de la controverse, a rapporté Aftenposten. Trettebergstuen doit répondre devant le parlement d'ici la fin de la semaine. EN SAVOIR PLUS: Contrecoup alors que le Musée national suédois lance des avertissements de racisme et de sexisme sur CLASSIC ART Dimanche, Hoegkvist s'est excusé pour elle "imprudent» remarques à Aftenposten et a déclaré que le musée avait simplement «voulait consacrer de l'espace à autre chose que ce tableau de Krohg.”Erikson, un aventurier viking, aurait été le premier Européen à mettre le pied en Amérique du Nord. Il a débarqué sur la côte de ce qui est aujourd'hui Terre-Neuve au tournant du XIe siècle, des siècles avant que l'explorateur italien Christophe Colomb ne découvre le continent, qui était déjà occupé par des peuples autochtones. Vous pouvez partager cette histoire sur les réseaux sociaux : Suivez RT sur
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marcogiovenale · 2 years ago
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22 et 23 juin: giorgio manganelli à paris
22 et 23 juin: giorgio manganelli à paris
Diego Marani, directeur de l’Institut culturel italien de Paris est heureux de vous convier à la rencontre Hommage à Giorgio Manganelli le mercredi 22 juin à 18h30 Hôtel de Galliffet (50, rue de Varenne – Paris) Réservez vos places ici: https://iicparigi.esteri.it/iic_parigi/fr/gli_eventi/calendario/2022/06/omaggio-a-giorgio-manganelli.html Giorgio Manganelli (1922-1990) est l’un des écrivains…
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yama-bato · 3 years ago
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LensCulture
Mois De La Photo - Mediterranean Photography |
Segni effimeri, stratificati e sensibili © Martina della Valle, showing at Institut Culturel Italien. Image courtesy Mois de la Photo.
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vagabondageautourdesoi · 5 years ago
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Félix Fénéon – Les temps nouveaux,
de Seurat à Matisse –
Musée de l’Orangerie
A Paris, l’année 2019 restera l’année Félix Fénéon. Deux expositions sont proposées pour connaître tous les aspects de la personnalité complexe de cet homme à la fois critique d’art, découvreur de talent et féru de littérature.
Masque – Bobo -Haulte Volta – Artiste inconnu
En 1920 en publiant un texte fondateur, Félix Fénéon a posé les bases du Musée du Quai Branly actuel en permettant aux “arts lointains” (terme inventé par lui et préféré à “art nègre”) d’entrer au Musée du Louvre.
L’ exposition du Quai Branly a rendu hommage au galeriste découvreur de talents qu’était Félix Fénéon, à la fois concernant les arts océaniens et africains mais aussi les artistes du néo-impressionniste jusqu’à Matisse.  Il s’est attaché à les faire connaître lorsqu’il était employé par la galerie Bernheim-Jeune et rédacteur de la “Revue blanche”.
Celle de l’Orangerie s’attache à montrer un Félix Fénéon en chroniqueur politiquement engagé, désireux de faire connaître les  talents de son époque et de les rendre accessible.
Portrait de Félix Fénéon – Maximilien Luce – 1903
Le titre de l’exposition “Les Temps nouveaux” fait référence à une revue anarchiste fondée en 1895 qui tour à tour a pris le nom du “Révolté” ou de “La Révolte” qui a duré jusqu’au début de la première guerre mondiale avec Jean Grave, en rédacteur en chef. C’est autour de 1880 que se développe l’Anarchie révolutionnaire.
Pour pallier le déficit budgétaire constant de la revue “Les Temps nouveaux”, Jean Grave fait appel  à ses amis artistes. C’est en grande partie grâce à leur don d’argent ou d’œuvres que la survie matérielle du journal a été assurée. Néanmoins, Grave et Félix Fénéon  pensait sincèrement que l’art pouvait aider à la transformation de la société, en dénonçant la misère, en attaquant les institutions, pour préparer la venue de temps meilleurs.
L’anarchisme – Félix Valloton – 1892
Italien, Félix Fénéon arrive à Paris en 1881. Il a 20 ans. C’est l’époque de la 3ème république. Le premier gouvernement de Jules Ferry est installé depuis presque un an et déjà, l’enseignement devient obligatoire et gratuit pour tous et le principe de laïcité commence à s’affiner.
En même temps qu’une conscience ouvrière s’éveille, des groupes plus radicaux se sont rassemblés après la guerre de 70 et la Commune de Paris avec ses 30 000 parisiens tués par les troupes de Thiers.
Des groupuscules anarchistes se retrouvent. Deux points de vue s’affrontent, violence et / ou pacifisme. Félix Fénéon croyait au progrès scientifique qui aide au changement social pour combattre déterminisme et inégalités. 
Jules Vallès – Mazas – 1894
Félix Fénéon commence alors, grâce à des amis écrivains, à écrire des petits textes qu’il fait paraître dans différentes revues. Champion des “nouvelles en trois lignes” , sortes de ” brèves”, il s’impose rapidement dans le milieu de l’édition.
« Suicide. Un ouvrier saute du quatrième étage en laissant une veuve, trois orphelins et la fenêtre ouverte. »
« Mondier, 75 bis, rue des Martyrs, lisait au lit. Il mit le feu aux draps, et c’est à Lariboisière qu’il est maintenant couché. »
La mode est aux pseudo de toutes sortes. Impossible d’en comprendre la raison. Mallarmé et Apollinaire en étaient aussi férus. F.F (signature habituelle) en abuse aussi, des féminins ou masculins, au gré de son imagination.
Au temps d’harmonie: l’âge d’or n’est pas dans le passé, il est dans l’avenir. 1896 – Paul Signac . Le peintre choisit de représenter l’anarchie comme un nouvel Age d’or, une ère de paix et d’harmonie. Conservée à la Mairie de Montreuil en Seine- Saint-Denis. Une mignature est présentée ici.
Fonctionnaire serviable et compétent pendant trente ans au ministère de la guerre, Félix Fénéon est perçu comme un employé modèle. C’est au début qu’il se crée une apparence physique proche du dandy que peindra Signac et sa manière lente et singulière de parler. Mais, son anarchisme le marginalise, alors qu’il lui permettait de développer de nombreuses amitiés dans le milieu culturel.
Cet homme froid, distant, excessivement raffiné, s’adresse donc à l’ouvrier, le tutoie.
Portrait de Félix Fénéon – 1980 – Paul Signac
Motif de kimono qui a sans doute inspiré Paul Signac.
En 1893, les services de police recensent 2 400 anarchistes, dont un tiers de membres actifs considérés comme dangereux.
Le 4 avril 1894, Paris. En pleine instruction du procès d’Emile HENRY, une bombe explose au restaurant Foyot. L’écrivain libertaire Laurent Tailhade qui se trouvait là par hasard, perd un œil dans l’explosion. L’anarchiste Louis Matha sera soupçonné d’être l’auteur de l’attentat, mais aucune preuve ne pourra être retenue contre lui. Félix Fénéon aurait en fait, été l’auteur de cet attentat (qui ne sera jamais puni).
Liste de l’état des anarchistes connus des services de la police au 31 décembre 1887
Le procès s’ouvre le 6 août, vingt-neuf prévenus sont présentés pour “association de malfaiteurs” dont Fénéon. Ayant refusé de parler lors des interrogatoires préliminaires, il devient l’attraction avec son sens de la répartie. 
Si ce restaurant a été choisi, c’est évidemment parce qu’il passe pour le plus cossu du quartier, et que sa clientèle est essentiellement bourgeoise. Les anarchistes, le quartier étant désert, les sénateurs en vacances, y pouvaient préparer à loisir leur odieuse besogne. Et, en effet, ils ont eu le temps de placer leur engin, de l’assujettir, de le coiffer d’un pot de fleurs et de se retirer sans être inquiétés. La Dépêche.fr
Le milieu littéraire choisit de le soutenir largement. Son avocat dit de lui “ Ami sûr, fils modèle, cœur enthousiaste”. Le verdict est l’acquittement pour tous. 
Paysage à Port-en-Bessin – Georges Seurat – 1888
Le Pont et les quais à Port-en-Bessin – Georges Seurat – 1888
Grandcamp, un soir. Georges Seurat – 1885
De 1883 à 1893, Félix Fénéon s’inscrit dans la critique d’Art avec un style complétement différent de Mallarmé, de Baudelaire ou de Huymens. Il veut s’attacher “à rechercher la pensée derrière l’œuvre et en décrypter l’univers scientifique. Il entend rester objectif et mettre en valeur les artistes. “Isabelle Cahn (Conservatrice du Musée d’Orsay)
Un dimanche à la Grande Jatte. Georges Seurat – 1884/1886
Peinte par Monet, Van Gogh ou Sisley, l’île de la Grande Jatte inspire à Seurat un de ses chefs d’oeuvre. Durant deux ans, il travaille à cette oeuvre en composant une trentaine de dessins et autant d’esquisses à l’huile. Sa technique du divisionnisme se perfectionne : en passant de la chimie à la peinture, la tehnique permet de juxtaposer des points de couleurs que l’oeil et le cerveau va fusionner. Un courant né issu des impressionnistes qu’on nomme Pointillisme, divisionniste et que Fénéon appelera néo-impressionniste.
Le cercle chromatique est une représentation ordonnée des couleurs, utilisée en peinture, en teinturerie, en design industriel, en mode, en arts graphiques.
Fénéon rencontre Seurat par l’intermédiaire de Signac. Et, c’est grâce à ce dernier qu’il réunit des informations pour rédiger son manifeste. A la mort de Seurat, il organise la première rétrospective dans les locaux de la Revue Blanche en 1900.
Le cirque -ESQUISSE – Georges Seurat – 1891
Avec Le cirque, Georges Seurat veut  faire un sujet social à partir d’une attraction populaire. La représentation des spectateurs illustre la diversité sociale.
Concarneau. Pêche à la sardine. Paul Signac. 1888
L’amitié pour Signac fut durable et profonde pourtant ses deux caractères étaient opposés. Fénéon remarque ce jeune peintre de 26 ans au Salon des indépendants de 1884. Il présente une première biographie dans son “Les hommes d’aujourd’hui”. Signac est tellement ému de la justesse du propos  qu’il décide de le peindre. C’est le portrait qui figure au début.  Fénéon lui organise une première exposition en 1907 à la galerie Bernheim-Jeune.
Un dimanche. Paul Signac 1888
«Le peintre anarchiste n’est pas celui qui représentera des tableaux anarchistes, mais celui qui, sans souci de lucre, sans désir de récompense, luttera de toute son individualité contre les conventions bourgeoises et officielles par un apport personnel. Le sujet n’est rien ou, du moins,qu’une partie de l’œuvre, pas plus important que les autres éléments, couleurs,dessin, composition… Quand l’œil sera éduqué, le peuple verra autre chose que le sujet dans les tableaux, quand la société que nous rêvons existera, quand, débarrassé des exploiteurs qui l’abrutissent, le travailleur aura le temps de penser et de s’instruire, il appréciera toute les diverses qualités de l’œuvre d’art.» Signac – 1891 – Les temps nouveaux
Détails d’Un dimanche de Paul Signac
Ce tableau “Un dimanche” est d’une force incontestable tant elle évoque l’ennui et l’enfermement.
Félix Fénéon est réputé pour avoir une vision décloisonné de l’art et une curiosité intellectuelle rare. Ses goûts le portent vers l’estampe japonaise, puis vers les arts africains et océaniens en lien direct avec les premiers marchands. Il a constitué l’une des plus belle collection d’Art Africain. Paul Guillaume inaugurera sa première galerie en 1914. Guillaume Apollinaire commence aussi une belle collection.
Caricature de Félix Fénéon – Toulouse-Lautrec –
Portrait de Jeanne Hébuterne – Modigliani – 1918
Pour moi, cet accrochage est une révélation. L’attrait pour les arts océaniens et africains fait que la similitude de représentation entre les oeuvres réalisées pendant cette période est flagrante !
A partir de 1907, Félix Fénéon organise plusieurs exposition à la galerie où figurent plusieurs tableaux de Matisse. Une première rétrospective est organisé avec plus de 7à oeuvres en 1910.
Intérieur à la fillette – La lecture- Henri Matisse – 1906/1907
Félix Fénéon quitte son travail au ministère pour devenir rédacteur dans La Revue Blanche.
“Après ce premier groupe d’artistes rattachés au néo-impressionnisme, on distingue aux Temps nouveaux des artistes proches de la Revue blanche, revue littéraire favorable aux idées libertaires dont Félix Fénéon fut le conseiller littéraire de 1894 à1903. N’oublions pas que c’est dans cette revue que Paul Adam a écrit en 1892 au sujet de Ravachol, l’auteur d’attentats: «Un saint nous est né.» Je vous cite quelques noms parmi ces artistes anarchistes de cœur: Van Dongen, Vallotton, Roussel, Roubille, Maurin, Kupka. Leur style moderniste, souvent d’avant-garde, ne cache en rien leur révolte contre la société bourgeoise”. Aline Dardel
Son influence auprès des écrivains fut très importante: Il contribue à faire connaître Stéphane Mallarmé, Arthur Rimbaud, Guillaume Appolinaire, Jules Laforgues et même Jean Pailhan.
La lecture – Théo Van-Rysselberghe – 1903
Dans ce tableau le peintre représente son ami, Emile Verhaeren,  dans son appartement de Saint-Cloud entrain de lire à ses amis des passages de son dernier livre. Gide est là la tête appuyé sur son bras et Maurice Maeterlinck, les yeux dans le vague. Fénéon est accoudé à la cheminée. Mais, c’est un montage du peintre pour représenter les personnes importantes qui fréquentent son salon car ses illustres amis n’appartiennent pas au même groupe de visiteurs.
Plus tard, le 25 novembre 1938, dans une émission sur Radio Paris, Thadée Natanson explique « ce que fut La Revue blanche », « dévouée aux Impressionnistes, encore plus qu’au symbolisme. Révérant à la fois Zola et Mallarmé, Rousseau et Stirner, personne plus que Stendhal. Tolstoïenne, dreyfusarde, naturellement ; curieuse et respectueuse de la Commune, ardente contre les bagnes, surtout les bagnes militaires ; allant jusqu’à faire campagne avec Victor Barrucand pour le “pain gratuit” ». On y côtoyait Jarry, Léon Blum, Oscar Wilde, Gide, Valéry, Apollinaire, les peintres Bonnard, Vuillard, Toulouse-Lautrec, Vallotton, Van Dongen… Paris-luttes.info 
Une exposition des futuristes italiens à Paris en 1912 est organisée par Fénéon qui leur ouvre les portes de sa galerie alors qu’ils sont décriés en Italie.
Cette dernière piéce de l’exposition est étonnante car ce fut une belle découverte.
La révolte – Luigi Russolo – 1911
En 1924, Félix Fénéon se retire en continuant à collectionner. “Il y avait des tableaux partout, même dans un couloir étroit où il était impossible de,les voir alors que d’autres étaient empilés les uns sur les autres dans une pièce vide de tout meuble”. John Rewald
Peu de temps après sa mort, sa collection sera complétement vendue et dispersée par Drouot. Néanmoins, le public comprend  l’importance de cet homme pour l’art d’Avant-Garde qui souhaitait par dessus tout “s’effacer derrière l’oeuvre”.
Photographies de vagabondageautourdesoi.com
Sources :
Conférence autour de l’exposition L’Art social à la Belle Epoque 14 janvier 2006 – Abbaye Saint-Germain – Auxerre. Les illustrateurs des Temps nouveaux. Aline Dardel -Historienne d’Art
France Culture :
L’art et la matière – L’énigme Félix Fénéon
Félix Fénéon (1861-1944) : l’arpenteur des arts
Questions pratiques :
Musée de l’Orangerie
Exposition d’octobre 2019 au 27 janvier 2020
Commissaires Isabelle Cahn, conservatrice générale au Musée d’Orsay Philippe Peltier, conservateur au musée du Quai Branly-Jacques Chirac
Cette exposition est organisée par les musées d’Orsay et de l’Orangerie, Paris, le musée du Quai Branly-Jacques Chirac, Paris et The Museum of Modern Art, New York.
Elle sera présentée au MoMa de 22 mars au 25 juillet 2020 sous le titre “L’anarchiste et l’avant garde, de Seurat à Matisse et au-delà“.
 Musée du Quai Branly – Jacques Chirac, du 28 mai au 29 septembre 2019.
A Paris, l'année 2019 restera l'année Félix Fénéon. Deux expositions étaient proposées pour connaître tous les aspects de la personnalité complexe de cet homme à la fois critique d'art, découvreur de talent et féru de littérature.Présentation ici Félix Fénéon - Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse - Musée de l'Orangerie A Paris, l'année 2019 restera l'année…
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labelleaude · 8 years ago
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Alexander Rudigier présente la très belle sculpture de Vénus par Giambologna à l’Institut Italien de Paris.
"Ce grand bronze, mesurant 1,12 mètres, provient apparemment du château de Chantemesle, situé à Corbeil-Essonnes et démoli dans les années 1960. Le château appartenait à Louis Hesselin, personnage très important de la cour de Louis XIII et grand collectionneur de bronzes de Jean Bologne. La Vénus était tombée dans l’oubli suite à l’abandon des lieux. Depuis une trentaine d’années, la sculpture circulait sur le marché de l’art, sans être attribuée à Jean Bologne. La sculpture a subi récemment des analyses plus approfondies. Les recherches d’Alexandre Rudigier, des documents découverts par Blanca Truyols, et les résultats d’analyses scientifiques menées par des laboratoires en Europe démontrent que la grande Vénus a été sculptée par Jean Bologne en 1597, puis fondue. De plus, des documents issus des archives de Florence démontrent que ce nu faisait partie d’un ensemble de présents diplomatiques envoyé par Ferdinand Ier de Médicis, grand-duc de Toscane, à Henri IV, entre 1597 et 1600, pour les jardins du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye. De cet envoi subsistent aujourd’hui trois sculptures de Jean Bologne : le Mercure du Louvre, le Triton du Metropolitan Museum de New York et cette Vénus, redécouverte en France. Ces documents d’archives fournissent des éléments inédits sur les relations entre les deux cours, ainsi que des témoignages directs sur Henri IV et son entourage. Ces découvertes et de nouveaux documents viennent d’être publiés dans un numéro spécial du Bulletin monumental, sous la direction de Bertrand Jestaz « Jean Bologne et les jardins d’Henri IV », édité par la Société française d’archéologie. La sculpture, aujourd’hui toujours en mains privées, sera exceptionnellement présentée dans le cadre de l’Hôtel de Galliffet, actuel Institut culturel italien, à Paris, du 18 au 20 janvier, de 15h à 18h." https://www.connaissancedesarts.com/peinture-et-sculpture/la-venus-de-jean-bologne-un-chef-doeuvre-retrouve-et-expose-a-paris-pour-la-premiere-fois-1161193/
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maxenceberube · 2 years ago
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Mon quartier
Je vis dans le quartier du Mile-End, qui est situé entre Outremont et le Plateau Mont-Royal. En termes de variété culturelle, il est moins diversifié comparé à mon ancien quartier, Côtes-des-neiges, mais plusieurs cultures s'y rencontre tout de même. C'est un quartier résidentiel relativement gentrifié, mais certaines communautés encore présentes laissent leurs marques sur la diversité culinaire du Mile-End. La culture culinaire juive est représentée par plusieurs commerces, comme la pâtisserie Cheskie's et la célèbre boulangerie à bagel, St-Viateur Bagel. De plus, la fameuse culture du café italien est présente avec des institutions comme le Café Olympico et le Café Club Social. Dans un rayon de 1km autour de mon appartement, j'ai accès à un deux restaurant caribéens, un restaurant thai, trois pizzerias, deux restaurant grecs, deux restaurants mexicains, trois restaurants japonais, de nombreux cafés et j'en passe! Ce n'est pas seulement la culture culinaire qui est intéressante au Mile-End, mais la culture en général. La culture du skateboard est présente dans le quartier grâce au Skatepark de Van Horne. Pour ce qui est des arts de la scène, de nombreux évènements se déroulent tout au long de l'été à l'entrepôt 77, un espace extérieur dédié à cela. Par exemple, cet été j'y ai visité un festival de la culture japonaise, où il y avait, des produits allant des vêtements traditionnels, aux articles de cuisine et bien sûr, avec un grande sélection stands de mets japonais. J'ai également pu assister à un set d'un DJ jouant des morceaux de musique japonaise des années 80. Le club de nuit le Nouvel Établissement, situé sur le Boulevard Saint-Laurent, est un lieu de rencontre pour plusieurs évènements comme les Drink an Draw organisés par Ligne De Fuites, une organisation qui encourage les créateurs de la mode à Montréal. Tout en ayant une effervescence culturelle et en étant un lieu parfois touristique, le Mile-End est un quartier relativement calme et peu bruyant. Je trouve que mon quartier est un endroit où il fait bon vivre et je compte y rester pour longtemps.
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Rue Bernard au coin de Waverly
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kitchenbrain · 6 years ago
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...dalla nostra cena di gala di ieri sera #ambasciataitaliana #Paris @pasta_rummo (presso Institut Culturel Italien de Paris)
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reseau-actu · 6 years ago
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L'Italie remet en question les prêts accordés au Louvre pour la rétrospective du cinquième centenaire en 2019.
À Rome, la nouvelle sous-secrétaire d'État à la Culture, une des personnalités d'extrême droite figurant dans le gouvernement de coalition formé par Giuseppe Conte, n'a pas tardé à mettre les pieds dans le plat. Dans le Corriere della Sera du 17 novembre dernier, Lucia Borgonzoni annonce vouloir rediscuter l'engagement signé en 2017 par son prédécesseur de prêter au Louvre en 2019, pour l'exposition liée aux 500 ans de la mort de Léonard de Vinci, tous les tableaux de l'artiste conservés dans les musées nationaux italiens.
Au total, selon l'avis fluctuant des spécialistes, le maître en a peint entre 14 et 17. Quatre se trouvent en Italie mais le Saint Jérôme est non concerné puisque propriété de la cité-État du Vatican. S'y ajoute en revanche le Baptême du Christ de Verrocchio aux Offices: un des anges a été peint par son élève Léonard. L'argument de la Bolonaise membre de la Ligue - «ces prêts placeraient l'Italie à la marge d'un événement culturel majeur […]. Les Français ne peuvent pas tout avoir» - et sa justification - «Léonard est italien, il est seulement mort en France» - fragilisent un projet culturel phare, déjà menacé par ailleurs.
» LIRE AUSSI - Florence lance les célébrations pour le 500e anniversaire de la mort de Léonard de Vinci
On se souvient notamment que le président du Louvre Jean-Luc Martinez attendait l'accrochage du Salvator Mundi au Louvre Abu Dhabi pour le 18 septembre, et avait annoncé son souhait de le voir ensuite inclus dans la rétrospective parisienne. Or, de cette huile sur bois acquise en 2017 par le département de la Culture d'Abu Dhabi pour le prix record de 450 millions de dollars, on n'a plus aucune nouvelle. Même le 11 novembre dernier, lors de la fête de premier anniversaire du musée dessiné par Jean Nouvel, rien n'a filtré à ce sujet. Les tensions nées des doutes exprimés par plusieurs spécialistes sur le caractère autographe de l'œuvre et celles, politiques, exacerbées sur place depuis l'affaire Khashoggi - le Salvator Mundi appartiendrait en réalité à l'homme fort d'Arabie saoudite Mohammed Ben Salman - semblent avoir gelé durablement toute présentation.
«Ne pas frustrer les visiteurs»
En ce qui concerne le coin enfoncé par Lucia Borgonzoni dans les relations franco-italiennes, il a été encore martelé par le sénateur Francesco Giro (Forza Italia) qui s'est occupé des biens culturels sous Berlusconi, de 2008 à 2011: «L'Italie n'est pas une colonie culturelle de la France […]. En ordre d'importance dans la vie de Leonardo, la France vient bien après la Florence des Médicis, le Milan des Sforza et la Rome des Papes.» Le Louvre n'a officiellement pas réagi. L'institution ne tient pas à ajouter de l'huile sur le feu. Toutefois, à l'intérieur comme à l'extérieur, nombreuses sont les voix dénonçant la «provocation facile», la «plastronnade populiste qui ne sert qu'à flatter l'électorat de la Ligue».
«Pour l'instant, on n'en est qu'à la simple déclaration d'intention. On attend de voir et on garde espoir», glisse une responsable, précisant qu'«aucun contrat de prêt n'a encore été mis sur la table». L'engagement initial s'inscrivait dans l'usage prévalant d'habitude entre institutions muséales européennes. Celui de l'échange de prêts. En contrepartie des tableaux italiens, la France a promis de faire voyager à Rome, au Musée du Quirinal, un «certain nombre» de ses Raphaël en 2020, année du 500e anniversaire de la mort de cet autre grand maître de la Renaissance.
» LIRE AUSSI - Le Salvator Mundi bouleverse le marché de l'art
Aujourd'hui, face aux crispations, on rappelle au Louvre, l'envoi de deux Vinci - La Belle Ferronnière et le Saint Jean Baptiste - à la rétrospective du Palazzo Reale de Milan, en 2015, dans le cadre de l'Exposition universelle. Deux voire trois si l'on ajoute la petite Annonciation, prédelle donnée à Lorenzo di Credi mais qui aurait été réalisée avec la participation, pour l'ange, du jeune Léonard. «Ce geste était exceptionnel: afin de ne pas trop frustrer ses visiteurs, le musée a en effet pour règle de ne prêter qu'un seul Vinci à la fois», argue-t-on au musée français.
On fait aussi remarquer que la date de la rétrospective parisienne a été arrêtée du 24 octobre 2019 au 24 février 2020, soit volontairement plusieurs mois après la date anniversaire du cinquième centenaire de Vinci, le 2 mai. Cela «précisément pour que chaque ville ou chaque musée concernés puissent organiser leurs propres manifestations».
Quoi que leur réserve l'avenir, les commissaires Vincent Delieuvin, responsable du département des peintures, et Louis Frank, conservateur au département des arts graphiques, croient encore pouvoir bâtir un parcours riche. S'ils se laissent encore du temps avant de dévoiler une liste définitive des prêts, il est sûr qu'avec les esquisses, les œuvres dites «de l'atelier» ou «de l'entourage» réunies et la collection maison forte de 27 dessins, les peintures du Toscan dont ils ont la responsabilité seront de la partie. Au nombre de cinq, ces trésors du Louvre représentent environ le tiers de la production subsistante.
La Joconde ne bougera pas
Reste que laJoconde , bois de peuplier très mince et en partie fendu, jamais prêté depuis 1974 et sanctuarisé en 2005 à cause de cette fragilité dans un caisson fixe à l'épreuve des balles et des variations de température, ne quittera pas la salle des États pour gagner le hall Napoléon. Au rayon des belles femmes, on sait encore que la Belle Ferronnière reviendra du Louvre Abu Dhabi. On ne sait pas en revanche si la Dame à l'hermine quittera le Musée national de Cracovie à l'heure où la tendance en Pologne est également au repli sur soi.
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Côté russe, une des deux madones conservée au Musée de l'Ermitage de Saint-Pétersbourg a été demandée. Il s'agit de la Madonna Benois dont l'attribution est majoritairement admise. Rien à voir avec la très contestée Madonna Litta. À l'hiver 2011, celle-ci n'avait pu être empruntée par la National Gallery pour son exposition «Léonard de Vinci peintre à la cour de Milan» qu'à la condition qu'elle soit présentée sans aucune interrogation sur son caractère autographe…
Pareillement discutée malgré son authentification en 2009 par le grand léonardien anglais Martin Kemp, la Bella Principessa, dessin à la pierre noire, craie blanche, sanguine et encre réalisé sur un vélin, ne gagnera pas non plus les cimaises du palais parisien. Les commissaires se sont bien déplacés pour voir ce portrait dans le port franc de Genève où son propriétaire, le collectionneur Peter Silverman, le conserve. Mais ce dernier, plutôt que d'attendre une éventuelle demande de leur part, a préféré répondre aux sollicitations sonnantes et trébuchantes des musées chinois. Résultat: après des séjours dans ceux d'Urbino et de Monza en Italie, la belle effectue un long et très applaudi périple dans l'empire du Milieu.
500 ans de la mort de Vinci, le programme:
En Italie, la préparation du 500e anniversaire de la mort de Vinci n'a commencé qu'au printemps dernier. La fédération des initiatives en un comité a été mise en place trop tard, de l'aveu même de son président, Paolo Galluzzi. Celui-ci ne peut compter que sur le volontariat et une subvention d'environ 1 million d'euros. Conséquence: aucune manifestation d'ampleur internationale comme au Louvre (du 24 octobre 2019 au 24 février 2020), mais plusieurs expositions de moindre ambition à Florence, Milan (où le génie a vécu près de vingt ans), Turin, Rome et Vinci, notamment.
● Le Musée des Offices à Florence a commencé le 30 octobre et jusqu'au 20 janvier 2019 avec la présentation du Codex Leicester (le livre le plus cher du monde, aujourd'hui propriété de Bill Gates) et d'autres travaux, dessins sur les mouvements de l'eau, l'astronomie et la lumière…
● En France, la Sucrière de Lyon (49-50, quai Rambaud) a dégainé la première. Depuis le 13 septembre et jusqu'au  13 janvier, elle accueille un parcours consacré aux inventions du génie déjà monté au Memling Museum de Bruges, puis à Istanbul et Antalya.
● Du 1er juin au 6 octobre 2019, une exposition se tiendra dans la salle du Jeu de Paume du domaine de Chantilly autour de la Joconde nue, mystérieux dessin qui, comme toute la collection du château, n'en sort jamais.
● Quant à la région Centre-Val de Loire, qui inclut le château du Clos Lucé à Amboise (Indre-et-Loire), dernière demeure de Léonard, elle annoncera le 11 décembre le détail des 500 projets qu'elle a labellisés. Ainsi, du 2 mai au 31 août 2019, l'exposition sur le mythe Léonard au château royal d'Amboise. Ou, du 6 juin au 2 septembre, celle autourde la tapisserie de la Cène, au Clos Lucé.
● Ailleurs, le Teylers Museum de Haarlem expose jusqu'au 6 janvier une série de dessins de Léonard venue de différentes collections et jamais vus aux Pays-Bas.
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dneurin · 4 years ago
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ZOE digital edition de LUNA CENERE from Institut culturel italien on Vimeo.
Attention, la vidéo contient des scènes de nu intégral.
coreografia e concetto Luna Cenere con Luna Cenere, Lucas Delfino, Daria Menichetti, Ilaria Quaglia, Davide Tagliavini musiche originali Gerard Valverde Ros disegno luci Gianni Staropoli produzione Compagnia Körper Festival Oriente Occidente/ CID Centro Internazionale della Danza in collaborazione con AMAT e Civitanova Danza per “Civitanova Casa della Danza con il supporto di L’Arboreto – Teatro Dimora di Mondaino e Teatro Petrella di Longiano Compagnia Virgilio Sieni, Les Brigittines – Playhouse for Movement Associazione Armunia/Festival Inequilibrio inserito nel progetto ResiDance XL 2018 – luoghi e progetti residenza per creazioni coreografiche azione della Rete Anticorpi XL – Network Giovane Danza D’autore coordinata da L’Arboreto – Teatro Dimora di Mondaino
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claudehenrion · 6 years ago
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Un rappel historique utile : le déclinisme.
  Le mot “déclinisme’‘ est une manière, péjorative pour ceux qui l'emploient, de désigner un courant d’idées et d’analyses de penseurs (majoritairement français) pour qui la France et l'Occident sont en déclin, principalement dans les domaines économique, culturel et géopolitique. Il va sans dire que ce mouvement de pensée est très mal vu par les ’'optimistes-par-système” et les “myopes par vocation” qui préfèrent que le peuple (qu'ils méprisent sans limite) ne se réveille pas de la torpeur où ils ont réussi à l'enfermer. “Etre décliniste” est devenu pour les gens honnêtes, normaux, de Droite, cultivés… (ce sont souvent les mêmes !) synonyme de “être intellectuellement honnête”… “Déclinisme”, une nouvelle façon de dire “réalisme’' ?
 Pour les prophètes sado-masochistes du ’‘bonheur artificiel par le malheur réel et grâce à lui”, la baisse du rang de la France dans tous les classements mondiaux et par tous les organismes possibles et imaginables, ne compte pas : leur absence de pensée ne doit pas être dérangée en évoquant nos performances inimitables en matière de chômage, de grèves injustifiables, de fiscalité confiscatoire, de revenu par habitant en berne, de niveau scolaire en deuil, ni le nombre de pauvres et de SDF qui, lui, se porte bien… Il n'aiment pas, non plus, qu'on parle des problèmes liés à la sécurité, à la paix civile, aux violences urbaines (et à ces iso-émeutes que la Presse-aux-odres oublie de raconter !), aux déficits sans limite de nos systèmes sociaux, de nos retraites “CSG-isées” à mort, des branches “vieillesse” ou “maladie” de notre système de sécurité sociale (qui ne tient plus que grâce à des foultitudes des rustines savamment déguisées).. Et par dessus tout, tous les adversaires du “déclinisme”, ces grands “tolérants” si on les en croit, ne tolèrent pas trop qu'on mentionne en leur présence l'effondrement de notre poids dans tous les domaines liés à la culture, aux sciences, à la religion, à la morale… à la place dans le monde !
 Le mythe du Paradis perdu est une constante de l'humanité et de l'histoire, sous les avatars de “l'âge d'or”, du “c'était mieux avant”, du “tout va mal’’ et du ’'c'était le bon temps”. Il n'empêche que,  malgré les énormes bobards qui sont déversés sur nous, l'impression que notre pays et la civilisation occidentale sont en plein déclin est une des choses les mieux partagées qui soient, ces temps-ci !            Déjà invoqué alors comme l’une des causes de la Révolution française, et repris par Chateaubriand (“nous montrons de nombreux symptômes de décadence”), le “déclinisme” est le sobriquet méchant dont la Gauche aimerait voir affubler un courant de pensée qui se répand comme un jaillissement, et qu'elle voudrait ne voir attribué qu’à la Droite… ce qui est évidemment faux, comme tout le reste : parmi ceux qui utilisent ce mot, Eric Zemmour est à droite, mais Nicolas Baverez se veut politiquement “neutre” et Jacques Julliard se revendique à gauche, par exemple…      Entre le “déclin de notre puissance” et le “déclin de nos valeurs”,  73 % des français estiment que notre pays est “en déclin” (d’après une enquête CSA).
 Déclinisme égale populisme ? Une majorité d'européens juge que leur pays est en déclin : 67 % des français interrogés, 73% des italiens, 69% des espagnols, 57% des britanniques et 47% des allemands, selon une étude réalisée par Ipsos Global Advisor, ce qui, ajoute l'étude, nourrit la défiance envers les partis politiques et les institutions internationales, et favorise en retour une montée du populisme.         Autres chiffres à ne pas rater : une majorité de français (61%), d'italiens (60%) et d'espagnols (56%) pensent que leur génération vit moins bien que celle de leurs parents, vision que partagent 44% des allemands et 43% des britanniques.                 Encore un résultat intéressant ? Les européens ont peu de confiance dans leur gouvernement, à 89% des espagnols, 80% des italiens, 77% des français, 70% des allemands et 66% des britanniques. Et en ce qui concerne les ‘’institutions internationales’’, c'est l’ Espagne qui se méfie le plus (77%), mais la France (65%), l’Italie (64%), l’Allemagne et le Royaume-Uni (59%) ne sont pas mauvais non plus.
 On est tout de même en droit de se dire que les peuples ne s'estiment pas bien dirigés, me semble-t-il ! Les ’'anti-déclinistes’’ devraient lire plus souvent la presse, qui, pourtant, est massivement de leur côté… mais contre la dure réalité des chiffres, il y a peu à dire ! Un lien existe-t-il entre le déclinisme et le populisme ?         En tous cas, les pays frappés il y a peu par le terrorisme sont enclins à souhaiter qu'on s'y oppose par tous les moyens, même au prix d'une réduction des libertés publiques : c'est l'avis de 59% des sondés en France et de 55% en Belgique, contre seulement 35% en Italie et 31% en Espagne : le lien de cause à effet est très net.
 L'historien belge David Engels (rien à voir avec l'autre, Friedrich) a publié une monographie dans la tradition historique d’Oswald Spengler et d’ Arnold Toynbee, consacrée à la crise identitaire actuelle de l’Union européenne. Dans son essai, intitulé de manière prophétique Le Déclin (Ed. du Toucan), ce David Engels a comparé divers aspects de la construction de l’identité collective de l’Union européenne avec les symptômes de crise de la République romaine tardive.               Sa conclusion est claire :  l'Europe doit assumer son héritage et ses traditions plutôt que de les occulter, ce qui est une autre façon de dire que l'Europe n'est ni une frontière, fut-elle “de Schengen”, ni un laboratoire sociologique ou économique, mais un espace politique peuplé d'hommes de chair et d'âme, et d'un passé formidable, qu'il faut enfin admettre, pour pouvoir le rebâtir un jour comme il faut.
 Cette conclusion ne plaît vraiment pas aux professionnels de l'angélisme béat : “L'Europe n'a aucune chance d’éviter une guerre civile”, dit-il…  Cette guerre prendra sans doute la forme de ‘’banlieues qui sortent du contrôle de l’État… de territoires où règnent des groupes paramilitaires, ethniques ou religieux… où la criminalité est galopante et la faillite économique totale…  dans un immobilisme politique sans espoir”. Il faut remarquer que, dans bien de endroits, nous y sommes déjà : on dénombre “officiellement” en France dans les 600 “Zones de non-droit”, qu’on pourrait croire oubliées de Dieu... mais reprises en main par Allah, pour le malheur de leurs habitants sacrifiés à l'impéritie de politiciens sans politique…
 Cette situation, dit David Engels, est comparable à celle qui prévalait vers la fin de la République romaine (ce qui n'est pas bon signe, pour nous). Et, ajoute-t-il, “les principaux partis politiques ne veulent pas admettre la pauvreté qui avance, la perturbation culturelle et politique croissante et la perte de confiance dans la démocratie”. Est-ce qu'on a le droit de dire que… nous sommes bien mal barrés ?
H-Cl.
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ecoledeschartes · 7 years ago
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Un semestre en Toscane
Flavien Piovano, élève en 2e année, effectue un semestre d’étude à l’École normale supérieure de Pise, dans le cadre du programme d’échange européen Erasmus +.
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"Look in the distance, like you're thinking of something deep..." me dit mon photographe (sur les marches du palazzo della carovana)
Après le campo dei Miracoli ou trône la fameuse tour, la piazza dei Cavalieri est sans doute la place la plus emblématique de Pise, passage obligé pour les nombreux touristes qui déambulent tous les jours dans l’ancienne capitale de la république maritime.C’est dans ce cadre prestigieux et chargé d’histoire, où Cosme l’Ancien plaça le siège de l’ordre des chevaliers de Saint Etienne, qu’est sise l’École Normale Supérieure de Pise (appelée SNS ou la Normale, comme vous préférez). Depuis le mois d’octobre, quand je suis arrivé pour effectuer un séjour Erasmus d’un semestre, c’est mon cadre quotidien. L’école domine la place et occupe plusieurs « palais » comme  le palazzo della carovana où ont lieu la plupart des cours, le palazzo dell’orologio où se trouve la bibliothèque, ou encore le palazzo della canonica qui abrite des laboratoires.
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Le palazzo della carovana
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Le palazzo dell'orologio
Mais que fait une école normale supérieure en Italie ? Le concept n’est-il pas strictement hexagonal ? En fait la France a bien quelque chose à voir dans cette histoire puisque c’est Napoléon qui en 1810, cinq ans après s’être fait couronner roi d’Italie, décide de créer le pendant péninsulaire de l’École normale supérieure de Paris. L’institution survit au départ des Français et perdure jusqu’à nos jours, renouant des liens avec son ancienne institution-mère et les autres ENS. Ses élèves, les normalisti, bénéficient aujourd’hui d’un statut exceptionnel au sein du monde universitaire italien puisque leurs études et la plupart de leurs dépenses quotidiennes sont prises en charge. Des noms illustres de la culture, la science et la politique en Italie figurent parmi ses anciens élèves, tels Giosuè Carducci, Carlo Ginzburg, Antonio Tabucchi ou Carlo Azeglio Ciampi.
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À l'intérieur de la bibliothèque du palazzo dell’orologio
L’organisation de la scolarité de la Normale diffère notablement des autres établissements italiens. Les études à la SNS sont complétées par une formation universitaire classique puisque les élèves suivent le cursus académique de l’Université de Pise - ou Unipi – en plus de leurs cours à la Normale. La scolarité se divise en deux niveaux : les corsi di studio pour les trois premières années et les corsi di perfezionamento pour les années supérieures. Toutefois la division entre promotions n’existe pas réellement et chacun peut suivre les cours de son choix à condition de respecter un nombre d’heures minimum. Ainsi il n’est pas rare de voir dans la même classe des élèves de première année avec des doctorants ou des philosophes curieux fréquenter un cours d’histoire contemporaine. Les cours sont par ailleurs très ouverts à l’intervention des élèves et au débat, encouragé par les professeurs sans distinction de niveau et au prix parfois de longs silences. Un autre aspect nouveau pour moi sont les seminari comme mode d’évaluation. Il s’agit à la fin de l’année (entre les mois de mars et juin) d’un exposé sur un sujet en relation avec la thématique du cours que l’étudiant fait devant la classe, selon un modèle proche des cours : on dispose de quarante minutes d’exposé suivies de vingt minutes de questions et débats. Bien que cet exercice ne soit pas obligatoire pour les Erasmus, j’ai choisi de m’y soumettre et je m’y prépare avec un grand intérêt et une certaine angoisse. Je retrouve par ailleurs les plaisirs chartistes puisque j’assiste également à des cours de paléographie. Les élèves bénéficient de plus d’activités culturelles annexes, comme les concerti della normale tous les mardi soir.
Mais l’intérêt majeur de ce séjour est certainement la découverte d’autres méthodes de travail, fondées sur le débat et une approche moins structurée et plus discursive que celles que j’ai pu connaître lors de mes études en France. Du point de vue linguistique ce séjour m’aura permis d’améliorer mon niveau en langues, en italien bien sûr puisque c’est la langue de communication quotidienne et que je suis en colocation avec deux Italiens, mais aussi en anglais pour communiquer avec les autres Erasmus.
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La piazza dei miracoli depuis le baptistère
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Santa Maria del Fiore à Florence, malheureusement en travaux
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Le baptistère de Pistoia
On m’a fait la remarque avant mon départ : la Toscane ressemble plus à une destination de vacances qu’à un lieu d’études. C’est pourquoi, malgré mon sérieux à toute épreuve (je ne rate que très peu de cours et en général je ne le fais pas exprès) mes semaines ici comportent de nombreuses visites culturelles, d’aucuns diraient touristiques. Les destinations ne manquent pas (voir photos), à commencer par la ville elle-même dont la taille réduite permet de la parcourir entièrement à pied, mais aussi Florence, Lucques ou Sienne qui sont toutes à une heure de train environ, ou encore Prato, Pistoia, San Gimignano, San Piero a Grado, autant de lieux qui sont une plongée dans la Renaissance italienne et qui sont le cadre de ce semestre particulier.
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if-you-fan-a-fire · 5 years ago
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“Cinquante ans après sa publication , la thèse principale de Michel Foucault, Folie et déraison.…, l’œuvre de Foucault suscite encore des discussions et appelle quelques mises au point, à la lumière des recherches récentes. Si le philosophe a eu le mérite indéniable d’ouvrir un véritable champ de recherches, trop longtemps confinées à l’étroit milieu de l’historiographie médicale, les travaux qui en ont résulté portent principalement sur la période qui s’ouvre à la fin du xviiie siècle, soit pour ainsi dire à partir de Foucault, du point où Foucault s’était arrêté (Goldstein 1990 ; Foucault 2003). L’avant, entendu au sens chronologique mais également conceptuel, se trouve souvent écrasé dans une perspective déformante, confiné aux premiers chapitres des manuels d’histoire de la psychiatrie (Shorter 1997 : 1-32 ; Postel et Quétel 1994 : 3-127), ou aux études d’histoire locale consacrées à telle ou telle institution asilaire. Pour autant, personne ne nie que la folie ait fait l’objet d’une approche proprement médicale, pas même Foucault, encore que l’omission dans les premières traductions du livre en italien (Foucault 1963) et en anglais (Foucault 1965), entre autres passages, du chapitre consacré aux théories médicales du xvieme au xviiieme siècle (« Le fou au jardin des espèces ») a beaucoup influé sur le débat, parfois âpre, qui s’en est suivi (Still et Volody 1992 ; Foucault 2006 : 677-694). Il ne nous est pas possible d’entrer dans les détails de ce débat, mais un point nous semble devoir être souligné : le but, dans cet article, n’est pas de dire en quoi Foucault se serait trompé ni de lister les éléments factuels qu’il aurait omis ou survalorisés. Le risque d’une telle lecture, aujourd’hui comme hier, est d’isoler des éléments, des théories et des hypothèses appartenant à un texte doté d’une unité et d’une cohérence propres. Foucault, comme tout autre chercheur, a dû opérer des choix entre les différentes approches possibles d’une période ou d’un problème et les théories susceptibles d’en rendre compte. Et s’il est vrai qu’après la première édition (Foucault 1972, 1999, 2003, 2005), il est revenu sur certains thèmes, explicitant, nuançant ou modifiant plusieurs de ses positions, ce n’est pas dans les « dits et écrits » successifs, pour stimulants qu’ils puissent être, que l’on trouvera ce que l’un de ses critiques les plus vifs a appelé « l’évangile selon Foucault » (Quétel 2009 : 89). Que Foucault ait constitué un point de référence, y compris critique, pour plus d’une génération de chercheurs est indéniable ; aujourd’hui, cependant, le problème se pose d’une manière différente. Il s’agit moins de s’intéresser aux éléments empiriques avancés qu’aux hypothèses formulées et aux questions demeurées irrésolues, pour chercher, à la lumière de travaux postérieurs, de nouvelles perspectives de recherche. ... Comme le remarquait Colin Gordon il y a près de vingt ans, l’histoire de la réception de Michel Foucault dans le monde anglophone est avant tout l’histoire d’un profond malentendu, dû pour une bonne part au caractère partiel de la traduction de l’œuvre, établie à partir de la seconde édition française, mais abrégée selon le souhait même de Foucault (Gordon 1990 : 3). De sorte que plus de la moitié du texte original et un nombre non négligeable de notes (près de huit cents) manquent à cette première version anglaise, qui n’est en outre pas très fiable, comme l’a souligné Gordon. Pour autant, l’argument tiré du caractère incomplet et partiellement incorrect de la traduction ne suffit pas à expliquer le traitement expéditif et hargneux réservé par une partie du monde académique à Foucault, dont l’œuvre a souvent été reliée au mouvement antipsychiatrique, dont il partageait effectivement (quoique dans une perspective plus proprement philosophique) l’idée de la folie comme fait culturel et non naturel, ainsi que la critique des institutions asilaires (Roudinesco 1992 : 12 ; Gordon 1990 : 5-6). Au cours d’un célèbre échange avec Lawrence Stone, ce dernier accusa ainsi Foucault d’être responsable, à travers ses théories, de la désintégration du système psychiatrique des États-Unis (Foucault et Stone 1983 : 43). Mais ce qui symbolise le mieux le rapport complexe entre Foucault et les historiens aura été la longue « querelle des archives ». Comme l’on sait, pour rédiger sa thèse de doctorat parue initialement sous le titre Folie et déraison. Histoire de la folie à l’âge classique (Foucault 1961), le philosophe s’est appuyé principalement sur les volumes conservés à la Biblioteca Carolina Rediviva d’Uppsala. Les documents d’archives sur les hôpitaux et les maisons de force manquent, tout comme les témoignages sur les pratiques d’enfermement effectives et sur la condition des internés. La querelle ne tint cependant pas tant à l’usage plus ou moins parcellaire des fonds documentaires qu’au statut même de l’œuvre et de son auteur. « M. Foucault est certes un écrivain » notait, en 1961, Henry Gouhier dans son rapport sur la thèse de Foucault. « L’érudition est certaine », continuait-il, qui s’accompagnait cependant d’une « tendance spontanée à dépasser les faits » et d’une certaine « valorisation de l’expérience de la folie à la lumière de cas comme celui d’Antonin Artaud, de Nietzsche, ou de Van Gogh » (Eribon 1991 : 138-139 ; Canguilhem 1986 : 39). On trouve là formulées pour la première fois celles qui deviendront au cours des années suivantes les critiques les plus sévères adressées à Foucault, sous le double registre de la critique historique-méthodologique et de celle plus spécifiquement philosophique (Derrida 1963 ; Boyne 1990). La récente traduction intégrale de l’œuvre en anglais (Foucault 2006) a suscité une nouvelle vague de controverses (Earle 2007 ; Barham 2007). Dans une recension parue dans le Times Literary Supplement en 2007, le sociologue américain Andrew Scull estime que même cette traduction intégrale (jugée médiocre) ne parvient pas à lever les doutes et les objections soulevées par plus d’un lecteur contre l’Histoire de la folie, premier stade d’une entreprise de « déconstruction des Lumières et de leurs valeurs » fondée, à l’en croire, sur des bases bien fragiles, comme ces « sources secondaires […] visiblement datées et inadéquates » ou « exhumées de manière sélective » (sans se préoccuper de « leur provenance douteuse ») par « un homme assez cynique et éhonté, misant sur l’ignorance et la crédulité de ses clients [customers] » (2007). Sous cet éclairage, les thèses fameuses de Foucault sur la Nef des fous [Narrenschiff] et sur le « grand renfermement » ne seraient guère que des mythes fondés sur des affirmations « outrancières, voire fantaisistes ». De tels arguments n’ont rien de nouveaux : ils ne font que ressasser les points de vue exprimés, à partir du début des années 1980, par Lawrence Stone (1982), Gladys Swain et Marcel Gauchet (1980), H. C. Erick Midelfort (1980) et Scull lui-même (1992). Et, aujourd’hui comme hier, les défenseurs de Foucault, Gordon en tête, soulignent en retour les biais idéologiques et les préjugés historiographiques qui pèsent encore sur le débat et conduisent à de nombreux malentendus (Gordon 2007a, 2007b).” - Lisa Roscioni, “Soin et/ou enfermement? Hôpitaux et folie sous l'Ancien Régime.” Genèses, 2011/1 (n° 82), p. 31-51
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karinegloanecmaurin · 5 years ago
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La Grange de Saint-Agil, ensemble nous pouvons tout !
La Grange de Saint-Agil, ensemble nous pouvons tout !
Le 15 juin, j'ai eu le grand plaisir avec un grand nombre de mes collègues : représentants  de l’Etat, parlementaires, élus locaux, départementaux, régionaux, et avec le  conseil municipal de Couëtron au Perche où je suis élue, d'inaugurer la  deuxième tranche de travaux de La Grange de Saint-Agil qui abrite l’agence  rurale de développement culturel « L’Echalier ». Cet événement très  attendu sur le territoire s’est déroulé sous le parrainage de la ministre de  la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités Madame  Jacqueline Gourault qui nous a fait l’honneur de sa présence.
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Elle avait  soutenu le projet lorsqu’elle était sénatrice de Loir et Cher. Investir en  ruralité pour un équipement culturel dans cette période de contrainte budgétaire  relève du défi. Avec beaucoup de patience, de conviction et de détermination,  c’est ce que nous avons voulu défendre car une collectivité qui trouve les  moyens d’investir accompagne le dynamisme du territoire, soutient son  artisanat et protège les services à la population. Cette rénovation a été possible  grâce aux concours de toutes les institutions publiques : de l'État avec la  DETR, de la Région Centre-Val de Loire (avec la mobilisation de fonds  européens pour la première tranche), du département de Loir et Cher et de fondations  et mécènes privés. Elle est le fruit d’un engagement de plusieurs décennies  autour de ce patrimoine de proximité qui permet aujourd’hui à « l’Echalier »  de poursuivre une action artistique et culturelle exigeante et de qualité  auprès des populations et sa mission spécifique de résidence d’artistes très  professionnelle.
. Parce que je suis convaincue que « la  poésie est le réservoir de la résistance » comme le dit l’écrivain  italien Erri de Luca, que je défendrai toujours la culture et l’éducation  avec autant de force que le développement économique ou la santé dans les  territoires ruraux. Ceux-ci constituent sans aucun doute l’avenir de la  France et de l’Europe lorsque la saturation urbaine sera à l’œuvre.  Je  serai ainsi toujours au rendez-vous de leur défense et de leur mise  en avant.
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TAIWAN
Jeudi 25 Avril 2019
Et c’est parti pour découvrir une nouvelle île ! Départ pour l’île de Taïwan, objet de débat, de conflit et de rivalité avec la Chine, encore aujourd’hui.
Après être arrivée sans probleme à Taipei, direction la ville au centre de l’île appelée Chiayi pour y retrouver Luisa, en échange là-bas pour un semestre, et sa famille lui rendant visite (fine équipe du sud-ouest on adore !). Nous partons en voiture à la découverte d’Alishan, une montagne au centre de l’île réputée pour sa culture du thé (dit le meilleur du monde). Nous sommes arrivés en début d’après-midi dans le parc, assez tôt pour profiter du reste de la journée pour aller crapahuter dans le parc montagneux. Et c’était top ! Marche facile, pas de bestioles, un temple assez folklorique eu milieu et des paysages exceptionnels !
Nous avons marché dans le parc jusqu’au coucher de soleil (top d’ailleurs) avant de regagner le centre vivant du parc pour dîner (18h45 pour être sûrs que ce soit ouvert). Nous avons découvert un restaurant de Hot Pot (fondue chinoise) qui s’est avéré être une super adresse (bœuf aux oignons et porc à la sauce red beans soja) ! Petit tour shopping obligé pour digérer : achat de thé ! Ce qui s’est soldé par une dégustation de thé super pro ! La grande découverte : si le the change de couleur au fur et à mesure qu’il infuse c’est du thé nul vous vous êtes fait avoir !
Vendredi 26 Avril 2019
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Lever à 3h30 donc pour prendre un petit train typique et grimper à un point de vue exceptionnel sur les montagnes pour admirer le lever du soleil. Puis petite marche matinale pour rentrer récupérer la voiture et partir en direction du village de Fenchihu. Ce petit village offre une rivandelle de petite ruelles qui constituent une sorte de marché couvert (donc full nourriture encore). Juste à côté, nous avons fait une marche dans une sorte de parc jouxtant le village pour voir la forêt de bamboos (assez impressionnant d’ailleurs).
Avant de regagner Chiayi, nous avons fait un stop dans les plantations de thé en terrasses qui forment un paysage très particuliers. Cette étape nous a permis de comprendre le process de fabrication du thé (et c’est pas si simple!
Une fois de retour à la gare de Chiayi, départ illico pour Taipei ! Arrivés vers 15h, j’ai laissé Luisa et ses parents pour gagner le quartier de Beitou, là où se trouve notre auberge pour les deux premiers soirs. C’est le quartier sympa résidentiel de Taipei, au nord de la rivière et près des fameux hot springs, les bains publics. 
En attendant Marie arrivant de Hong-Kong, j’ai arpenté le quartier avant de descendre vers Tapei Main Station en traversant les quartiers de Shiling et de Datong: temple Bo An, temple de Confucius, les night-markets, les passages souterrains des libraires... Une fois le colis récupéré, direction le fameux restaurant JiangHong Noodle Beef, une institution!! 
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Samedi 27 Avril 2019
Allez, grasse mat cette fois-ci, lever 9h pour aller visiter le Yeliou Geopark et ces espèces de champignons de coraux assez informes mais plutôt marrants. On a vu les coraux, les chinois, la mer et on a fait une bonne séance photo touristes avant de repartir pour Jianshang et son marché. 
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Retour à Taipei dans l’après-midi pour se balader dans le quartier moderne de Xianyi et de réserver le Starbucks (dit comme ça c’est ridicule) pour le lendemain au 35ème étage de la Tour 101 (pour éviter de monter à l’observatoire en payant un bras). Direction ensuite le mausolée de Chiang Kai-Shek, une place entourée de bâtiments imposants, le temple de Longsheng et le quartier historique aux alentours. 
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Nous avons terminé cette journée explosive (enfin tenté de terminer) cette journée hyper remplie par un petit bain dans les hot springs de notre quartier : un SKETCH. Premier bain public entourée de taïwanais avec des serviettes sur la tête: FAIT. 
Dimanche 28 Avril 2019
Journée plus chill pour ce Sunny Sunday dans les quartiers artistiques de Songchang et le creative park 1914 près de Taipei Main Station après un petit déjeuner en haut de la tour 101. Nous avons fini par retrouver Luisa à Main Station pour aller visiter le Musée national (le Louvre Taïwanais), à l’Ouest de la ville. Bon, c’était rapide, 25 minutes comme nous sommes arrivées à la fermeture mais nous avons vu de la jolie vaisselle et cela n’avait rien de comparable à ces chères momies. 
Après cet échec culturel, direction Daan pour prendre un verre avec une vue pas trop mal au Marco Polo. J’ai donc pu tester un cocktail assez étrange à la purée de framboise et au fromage... bon ... pourquoi pas...
Tout fermant à 22h, nous avons lamentablement échoué le repas “restaurant italien full mozza” et fini par prendre des sushis et diner à notre auberge près de Taipei main station. On prépare son petit sac et hop au lit, départ le lendemain matin pour Shanghai !
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francesco-ferla-love-blog · 7 years ago
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Farnesina, Ministero degli Affari Esteri Institut Culturel Italien de Paris 10/12 Juin 2017 Hôtel de Galliffet, Paris Palerme Arabo-normande de Francesco Ferla
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