#il y en a déjà plus par chez moi :/
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Ah?
Apparemment Micromania est en train de couler et cherche un repreneur?
D'un côté c'est dommage parce que je suis vieille et j'aime bien acheter mes jeux en support physique, et ce d'autant plus qu'avec un support physique je peux m'assurer d'avoir des goodies en précommande -
D'un autre côté, je n'ai jamais digéré le fait que le Micromania près de chez moi m'ait arnaquée en ne me passant pas mes figurines de Link et Zelda auxquelles j'avais le droit parce que j'avais précommandé Spirit Tracks chez eux, donc bon débarras :p
Mais en vrai, c'est un petit peu triste de voir les magasins spécialisés en JV fermer, les éditions collector maintenant ça serait que sur Amazon, ou on peut encore demander à la personne qui tient le rayon "jeux vidéos" de Carrefour de prendre des pré-commandes?
#real life#peut être qu'il faudra passer par la FNAC sinon? Ils sont encore plus chiants#Sinon il y a les petits magasins de quartier mais c'est déjà compliqué pour eux alors bon...#Enfin je dis ça#il y en a déjà plus par chez moi :/
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saga: Soumission & Domination 354
WE à la campagne-2, Nathan
Dimanche :
Messe pour ceux qui veulent c'est-à-dire les parents et Côme. Nous profitons qu'ils soient partis pour une bonne heure et demie pour nous payer un réveil sexe. La veille nous nous étions couchés avec juste un câlin soft et la chambre d'à côté aussi vu l'avertissement de la veille.
Dès que le bruit du moteur de la voiture s'éteint, nous parviennent des gémissements de la chambre des jeunes.
Ils sont trois, nous aussi et l'épisode de la veille dans la paille m'a rappelé ce qui m'excite chez les jeunes. Le temps de décider mes acolytes de faire les quelques mètres qui nous séparent et nous arrivons alors qu'ils se sucent en triangle.
Les trois corps lisses mais musclés nous font saliver (et pas que) grave. Sachant la maison vide, nous sommes nous aussi à poil. Je regarde mes comparses, ils bandent tout comme moi.
Ils sont tellement pris par le corps de leurs amis qu'aucun ne s'est aperçu de notre présence. Ce n'est que quand ils sentent des mains en trop sur leurs corps qu'ils prennent conscience que nous sommes là. La partouze de la veille fait qu'ils ne sont pas surpris ou même gênés.
Je leur dis de continuer. Je m'accapare la rondelle de Nathan, PH cette d'Enguerrand et Max se retrouve avec la langue de Ludovic à lubrifier sa rondelle.
Ils s'ouvrent comme des fleurs et ils arrivent même à laisser échapper des gémissements de plaisir sur le coté des bites qui pourtant agissent en sourdine vu comme ils s'enfoncent le bâton de plaisir de leur pote bien profondément dans leurs gorges.
Je suis le premier à enfoncer ma bite là où j'avais la langue. Enkpoté contrairement à mes deux amours qui eux peuvent y aller direct. On a beau les secouer hard, ils ne se désaccouplent pas et continuent leurs pompages façon " morts de faim ".
Je caresse le flanc et le dos de Nathan. Il reste doux et de temps en temps je l'agrippe par ses hanches pour appuyer un peu plus mes pénétrations. C'est moi qui pousse à la rotation des sodomites. Un tiers de tour, je me dékpote et encule Enguerrand, cédant ma place à Ludovic et PH entreprend Max.
Mon petit beau-frère est attendrissant et je me penche pour l'embrasser sur la joue. Il sent mes lèvres et se tourne pour me rouler une pelle qui sent un peu la bite. C'est celle de Max et elle s'agite, impatiente d'être à nouveau couverte. Je me penche un peu plus et ce sont deux bouches qui s'occupent d'elle. Et/ou d'elle et des boules associées. J'adore limer sa rondelle, peut être que l'effet " famille " amène une dimension excitante supplémentaire.
Nouveau décalage. Petite hésitation de la part de Ludovic qui se trouve à devoir enculer son frère. S'il a déjà fait l'amour à son grand frère (relire les récits du nouvel an), ce n'est qu'à côté du petit qu'il l'a déjà fait. Cela ne trouble pas Enguerrand qui lui dit d'y aller que ça lui fait plaisir. Sans forcer personne, je reste à ses côtés pour le démarrage.
Ça beau être son petit frère, il n'a pas débandé pour autant. Je lui dis qu'ils se ressemblent tellement que ça tient plus d'une masturbation qu'à une vraie relation sexuelle. Approbation de cette assertion par les 4 autres participants. Je pousse même la délicatesse à positionner le gland de Ludovic juste sur la rondelle d'Enguerrand. Là, c'est ce dernier qui d'un recul franc et décidé, s'empale sur les 19 cm fraternels.
Après ça je peux moi aussi profiter du moment et enculer Max qui commençait déjà à se refermer. En fait c'est meilleur. Son anneau s'est resserré et mon gland doit déplisser la rondelle avant de pouvoir s'enfoncer dedans. Mes mains trouvent ses tétons et sous mes doigts, ils gonflent et son cul se détend. Je peux alors m'enfoncer sans douleur pour personne. Il ne faut pas 5 minutes pour que le duo de frères s'écarte du reste du groupe.
Reconfiguration : Max et Nathan en 69. Les enculeurs restent les même. Le duo ne va pas loin. Il reste sur le matelas juste à nos côtés. Le cul de Max est délicieux mais je suis distrait par le " couple ". La simple sodo se change en sodo plus pelle. La retenue de Ludovic a disparue. Sans mettre autant de passion que dans nos rapports, je le sens bien excité. Enguerrand serre ses bras autour du cou de son frère. C'est plutôt lui qui kiffe le plus cette sodomie ! Quand arrivent les moments de juter, nous 4 nous décollons de notre partenaire et laissons nos spermes les couvrir. Par contre, à côté, ils restent collés jusqu'au bout. Enguerrand éponge la production de Ludovic et jute entre leurs abdos collés. Comble du vice, Enguerrand ramasse sons sperme, le porte à sa bouche et roule un patin à son frère qui n'est toujours pas sorti de son cul.
Mais le temps passe et une messe, c'est finalement court ! On accélère le tempo. Passage sous les douches, groupés, même si elles ne sont pas si grandes qu'au blockhaus, nous arrivons à être habillés et le coeur à 60/65 pulsations/minutes quand ils reviennent de leur obligations dominicales.
Malgré ses protestations, nous aidons tous madame à finir la préparation du déjeuner.
J'observe tout le monde pendant le repas. Pour madame, c'est comme si nous étions tous ses fils. Elle n'hésite pas à reprendre Nathan quand il met ses coudes sur la table au même titre qu'Enguerrand. Elle oblige PH à se resservir le trouvant un peu maigre !
Je le vois se retenir de soulever le bas de son polo et lui montrer ses abdos.
Monsieur est plus réservé et comme moi, analyse plus qu'il ne parle. Je le surprends même à regarder souvent son ainé. Quand son regard glisse sur ses autres fils, il n'est pas aussi pensif. Quand il se pose sur Enguerrand, j'y vois même une tendresse particulière.
C'est vrai que c'est chez lui que le changement a été le plus radical. D'écorché vif à ne pas prendre avec des pincettes, il est redevenu le gamin espiègle, content de vivre qu'il devait être auparavant.
Par rapport aux premiers repas chez eux, il ne règne plus ces tensions qui perturbaient. L'ambiance est gaie et gay aussi. Si des remarques typées " homo " nous échappent, vêtements, mode, bijoux..., les parents s'y font, après la surprise des premières sorties. D'autant plus que mes cadeaux de Noël et du nouvel an ne sont pas forcément du style maison. Courant janvier j'ai fait faire un anneau supplémentaire pour Enguerrand non prévu à l'origine, puisqu'il nous avait rejoint le premier janvier. Il a été trop content que je ne fasse pas de différence avec tous les autres.
Les habitudes de la maison seraient plutôt, au maximum, une chevalière armoriée ! C'est sûr que ma boucle d'oreille, même si les pierres que j'y accroche sont de grandes valeurs, détonne, mais je suis accepté et c'est le principal.
Il fait beau et nous prenons le café dehors. Quand les parents nous laissent, les polos volent et on s'étale sur la pelouse. Il faut profiter de ce temps pour métaboliser la vitamine D et prendre quelques couleurs par la même occasion. Enguerrand cours vite à la maison chercher de quoi protéger nos peaux et après une séance de tartinage qui en a fait bander plus d'un, nous siestons.
Nous sommes réveillés par madame venu voir si nous avions besoin de quelque chose. Elle est surprise que nous soyons tous imberbes, même son ainé qu'elle croyait assez poilu. Innocemment elle nous dit nous trouver très beaux. On abonde tous dans son sens et ça part en sucette. Petits bisous, chatouilles, poursuites et bagarres. Nos cris et chahuts font venir le mari et père. On se calme, nous renfilons nos polos et acceptons un thé avant de partir.
Au retour, je reconduis Nathan chez Julien. Max et Enguerrand restent et partirons directement au lycée demain.
Julien nous attendait avec Second. Nathan monte à sa chambre et je reste discuter quelques instants avec son employeur. Je leur résume le WE et leur dit que le rapprochement avec Max et Enguerrand à l'air de se confirmer. Ces trois-là sont resté collés pendant les 2 jours. Julien est content car le gamin mérite d'être heureux après son année pourrie chez son confrère. Non seulement c'est un gentil jeune homme mais aussi un bon apprenti, travailleur et inventif.
Comme j'entends ça, je me dis qu'il pourrait faire des extra auprès de Pablo. Quand Emma donne de grands diners, il a toujours besoin de petites mains efficaces et professionnelles. Julien connait bien Pablo et me dit que ce serait une bonne idée.
Quand Nathan redescend pour me dire au revoir, je lui soumets ma proposition. Il hésite et nous dit craindre de ne pas savoir assurer, après tout il n'est qu'apprenti charcutier/traiteur. Julien balaye ses arguments et lui dit que lui, à son âge, n'était pas aussi bon.
Quand je passe voir ma mère, je fais ma proposition à Pablo. Il n'est pas contre car souvent il ne trouve que des extra de service mais pas en cuisine. Le fait que ce soit l'apprenti de Julien le rassure sur ses compétences. Il me dit qu'il passera les voir à la boutique et qu'il me tiendra au courant.
Coup de fil quelques jours plus tard. Je me fais presque engueuler d'avoir omis de lui dire qu'en plus le petit mec était canon. Je lui demande s'il croit pouvoir l'embaucher de temps en temps. Il me dit qu'il a beaucoup échangé avec Julien, qu'il a vu le travail de son apprenti et que oui, le gamin est bon en plus d'être volontaire.
Il m'annonce que nous le verrons vite puisqu'il a décidé de le tester le WE qui vient, Emma l'ayant prévenu qu'elle avait invité une 20aine de personnes dont nous sommes. Il pourrait s'en débrouiller seul mais ça va lui permettre de voir ce que notre dernier protégé valait.
Curieux de voir Nathan travailler, j'arrive en début d'après-midi chez Emma. Cette dernière ne se fait pas d'illusion sur la raison de ma présence. On travaille quand même deux heures ensemble et elle me laisse aller en cuisine chercher le thé ! Nathan ne fait pas attention à moi, accaparé par le travail que Pablo lui a donné à faire. Je dois aller le voir et quand je lui fais un bisou sur la joue, il manque de se couper. J'ai droit non pas à un " bonjour Sasha " mais plutôt à " merde tu fais chier".
Je pars avec le plateau de thé. Avant de passer la porte, je me retourne et lui dis " ça intérêt d'être bon sinon c'est ton petit cul qui sera de la fête ".
La réponse de cet impertinent : " arrête, ça me donnerait peut être envie de rater ! ".
Je me fais mettre dehors par Pablo qui me dit qu'ils ont autre chose à faire qu'à bavarder.
PH arrive avec Ludovic à ce moment-là. Thé puis une petite tête dans la piscine avant d'aller se doucher et de passer nos costumes.
Je change mon pendentif d'oreille pour le diamant que m'a offert Emma. Avec un costume noir, c'est ce qui fait le moins excentrique. Cravates bleues, quand on sort de " notre " chambre, Emma éclate de rire. On se regarde pour voir ce qui cloche chez l'un ou chez l'autre. Les costumes sont noirs, pas de tâches, les chemises blanches sont bien repassées, les cravates sont droites, je ne vois pas ce qui cloche.
Emma nous entraine dans sa chambre et en rang d'oignon, nous voyons ce qui l'a fait rire. Trois clones ! Tant pis nous restons comme ça. Les invités devront se débrouiller avec nos têtes différentes.
Les invités arrivent. Avec Emma je les reçois. PH et Ludovic s'assurent de leur côté que personne ne se retrouve seul. Nous sommes heureux quand Henri arrive avec Kev. Cela nous promet une nuit sympathique.
Le diner est excellent et Emma ne reçoit que des compliments. L'entrée est un plat que nous avait encore jamais fait Pablo. Une espèce de pâté en croute à base de foie gras servi avec un jus de truffe, un vrai régal. La surface est croustillante alors que le foie est encore rosé à coeur. Le reste du repas est du même niveau. Les discutions portent sur l'actualité et l'économie.
Ma voisine de gauche me demande où j'ai acheté une pierre aussi pure, en parlant de mon pendentif. Quand je cite la place Vendôme elle comprend mais elle ne peut s'empêcher de me demander ce qu'en a pensé ma mère. Avec un grand sourire, je lui dis que c'est elle qui me l'a offert. Ça lui clou le bec !
Son mari ré accapare la conversation sur un sujet moins...frivole.
Au café, nous nous écartons un peu avec Kev. On a toujours beaucoup de chose à nous raconter ! Je lui explique pour Nathan qui aide Pablo. Dans ses yeux je vois briller comme de la concupiscence. Il me dit que ce sera sympa de " travailler " une nouvelle recrue.
Je n'avais pas pensé que cela pouvait tourner comme cela mais pourquoi pas. Ce n'est pas Pablo qui sera contre. J'avise discrètement Emma que nous comptions finir la nuit chez Pablo. Elle est adorable. Elle me dit que cela tombe bien ils avaient plein de choses à se dire avec Henri. Du coup je suis pressé de voir partir les invités ! Le dernier embarque sa femme vers les 1h du matin. Avec PH, Ludovic et Kev, nous entrons dans la cuisine. Pablo et Nathan sont en train de ranger.
Je m'empare d'une pile d'assiettes et vais pour la ranger. Pablo m'arrête et me dit qu'il fera ça demain. Kev le félicite pour son entrée. Comme ils disent dans les émissions culinaires, il y avait du croquant, du doux avec une pointe d'acide...
Pablo fait la révérence devant Nathan et nous dit que c'est une création de monsieur. Lui qui rougit facilement devient pivoine. Ph lui demande s'il l'a proposé à Julien. Réponse de l'intéressé, il n'avait pas osé et en plus cela demande des ingrédients très chers. Pablo me dit que ça ne l'étonne pas il avait dû le forcer pour qu'il fasse son jus de truffe plutôt qu'un simple râpé.
On laisse donc la cuisine rangée et prenant tout le monde à témoin je propose un petit bain de minuit passé. Nathan n'ose pas dire oui mais non plus non. Je le pousse devant nous. Aux abords de la piscine les vêtements volent et alors que nos deux hommes de l'art prennent une douche nous autres plongeons dans l'eau chaude du bassin. Nous ne retournerons même pas chez Pablo (son appartement au-dessus des garages) pour baiser. La partouze s'initie sur les bords de l'eau. Nathan est subjugué par les 24cm de Pablo. Je lui dis de bien le sucer car quand il va se le prendre dans le cul, faudra qu'il soit bien lubrifié. Il me regarde avec des yeux ronds comme des soucoupes, apeuré par l'idée.
Pour le moment il commence avec Kev et ses " petits " 21cm. Pour éviter des dégâts, je prépare et assoupli sa rondelle. Quand le " travail " est bien avancé, je le laisse et avec Ludovic et PH, nous nous occupons de Pablo. Nous ne sommes pas de trop pour nous occuper de Pablo. 2 sont scotchées sur ses attributs, en pipe à deux ou un sur le gland l'autre aux boules. Le troisième oscille entre sa bouche et ses tétons.
On alterne, car chacun veut profiter des dimensions hors normes du mec. Avec un gland aussi gros que sa hampe, on a vite la bouche pleine. Heureusement il adore quand on le travaille à la langue. J'aime aussi ajouter mes dents. Puis brusquement, enfoncer le tout au fond de ma gorge. Je m'étouffe avec un effet d'excitation intense.
Alors que je m'étrangle, je sens ma rondelle lubrifiée par la langue de PH. Je me détends avant de m'assoir sur Pablo, enfin sur sa bite. J'ai préféré cette position où c'est moi qui maitrise la pénétration. Les petits cris de Nathan en train de se faire ramoner le conduit, m'excitent un peu plus et je touche brutalement les cuisses de Pablo de mes fesses. Ludovic me roule un patin et PH fait de même avec mon enculeur. Cela faisait un moment que je ne m'étais pris aussi gros dans le cul. J'ai senti passer chacun des 240 mm qui ont écarté ma rondelle. Je chevauche quelques instants mon " étalon " avant de le passer à PH. A ce moment-là je rejoins l'autre baise en cours. Nathan est chaviré par les coups de queue de Kev. Je lui roule un gros patin et je sens à la force de son roulage de pelle la plaisir qu'il y prend. Je décolle mes lèvres des siennes pour lui demander s'il était prêt pour Pablo. Dans l'ambiance, il accepte et me dit que c'est bon.
Je préviens Pablo et nous procédons à la reconfiguration des emmanchements. Nathan s'installe en levrette et Pablo arrive après avoir changé de kpote. J'attrape un flacon de poppers et lui fourre sous le nez au moment où Pablo entame la pénétration de sa rondelle. Ce n'est pas de trop et malgré cela l'enculage lui provoque quelques grimaces jusqu'à ce que Pablo soit totalement entré. Après il apprécie. Je reste à sa tête pour vérifier qu'il prend bien du plaisir et non de la douleur. Nathan me pousse jusqu'à ce que je sois assis devant lui. Là, il attrape ma queue et me pompe. Il laisse les coups de rein de Pablo rythmer sa fellation. Il est bon ce jeune, je l'avais déjà testé mais ça me confirme ses capacités et son intérêt pour le sexe. Je comprends pourquoi Max et Enguerrand lui ont mis le grappin dessus !
Nous terminons notre mini touze par des expulsions de spermes en direction de Nathan dont nous en couvrons les abdos. Il est 4h du matin quand nous regagnons nos chambres respectives.
PH, Ludovic et moi, nous nous glissons aux côtés d'Emma alors que Kev rejoint son Henri et que Nathan suit Pablo.
Jardinier
it's all about sharing Christmas
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Quelques phrases lues en 2024
En 2019, six Martine ont été engendrées par six familles courageusement rebelles aux appellations du jour.
Je ne vais faire que ça désormais : chercher partout des yeux qui me cherchaient partout.
À l'époque où je ne la connaissais pas, j'attendais déjà Anne Lebedele.
J'aime les lieux délabrés, j'en habite un.
[...] on disait chochotte quand j'étais petite pour les enfants délicats qui faisaient toujours des manières ou des histoires, et ça n'était pas un compliment, surtout pour les garçons.
Elle en était convaincue : si les hommes étaient capables d'échanger avec la même profondeur que les arbres, ils cesseraient de s'entre-tuer.
Chaque appartement qui se respecte, selon vous, devrait avoir, en vis-à-vis, un hôtel confortable.
Chaque soir nous jouions à ne pas mourir.
Les langues de vieux ne parlent que le patois et n'ont embrassé qu'une seule bouche.
Il y a cent mille espèces d'amour, inventées séparément, toujours plus ingénieuses, et chacune d'entre elles engendre des choses nouvelles.
À ceux qui l'écoutaient, il parlait des nuages et des larmes, de ces mondes lointains, de toutes ces choses de la terre et du ciel que ne savent que les enfants et les fous.
Il neigeait un tout petit peu, dehors, tellement peu que si je l'avais voulu, simplement pour m'amuser, je crois que j'aurais pu éviter les rares flocons qui tombaient et, le nez en l'air, en zigzaguant sur le trottoir, parvenir ainsi jusqu'au bout de la rue, sans qu'aucun m'ait atteint.
À quand remontait la dernière fois que les habitants de cette impasse avaient vu passer sous leurs fenêtres une Renault immatriculée dans les Bouches-du-Rhône ?
Face à face, chacune clouée sur son mur, une publicité pour Pepsi et l'autre pour Coca qui se regardent en chiens de faïence.
Il y a toutes sortes de gens dans le monde.
Les mensonges, c'est comme les os de poulet. Ils se coincent dans mon gosier et je les recrache.
J'aimais les insultes qui fusaient au bord des terrains de foot.
Parfois chez moi, quand il n'y a que les murs, je touche les murs qui me touchent en retour, est-ce que c'est faire le mur ?
Je refusais de cauchemarder de nouveau à cause d'une image.
Mélanie Martin était célèbre dans le pays pour avoir vu, en chair et en os, à l'occasion d'un baptême, Léon Zitrone.
Combien de fois dans ma vie ai-je prononcé la phrase suivante : « J'étais au collège à Sancerre » ? Et pour cause : j'étais au collège à Sancerre.
Il éclusa son whisky et, au lieu d'en commander un autre, opta pour une vodka comme s'il était facile de passer des États-Unis à la Russie.
Un clair de lune est-il rien d'autre, au fond, que quelque chose de quotidien, offert au mendiant comme au prince ?
C'est bien compliqué, la vie d'écrivain mais moins que la vie de non-écrivain.
Une année de lecture passée notamment en compagnie de Jean-Pierre Martin, Cédric Sapin-Dufour, Christian Oster, Olivier Rolin, Marie-Hélène Lafon, Marie Charel, Eric Faye, Camille Laurens, Marion Fayolle, Richard Powers, Étienne Kern, Joël Egloff, Sylvain Prudhomme, Régis Jauffret, Philippe Jaenada, Paul Auster, Antoine Wauters, Julie Marx, Yannick Haenel, Paul Fournel, Tanguy Viel, Enrique Vila-Matas, Robert Walser et Mathieu Lindon.
Bonne fêtes de fin d'année à toutes et à tous 🎅
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Delon nous a quitté dimanche dernier. Fin de bobine.
La salle s’éclaire, les yeux piquent, les assises se rabattent sèchement sur les dossiers, les gens piétinent vers la sortie. Le bel Alain s’en est allé pour de bon, lui qui – semble-t-il – avait déjà quitté le monde sensé, laissant ses glorieux enfants se déchirer autour d’un terril d’or.
Journalistes, politiques, pipoles et piplettes : ils n’ont tous que des superlatifs à la bouche. Machin y va de son “c’était le dernier monstre sacré”, Bidule nous rappelle que “c’était un vrai prince”. La presse idiote rivalise en putasserie unière, à qui la plus belle photo, à qui le plus pathétique titre en guimauve pur sucre.
Mais moi je me souviens, bande de hyènes. J’ai rien oublié du tout. Je me rappelle bien de la ringardisation à marche forcée du ci-devant Delon Alain, coupable de choix politiques impardonnables. Fallait les voir se pincer le nez, les tenanciers de ce merdique show-biz gavé de thunes. Tu citais Delon et voilà qu’ils avaient grave la gerbe, ces gauchistes gueulards et ces soixante-huitards pédos. Beuark ! Macho réac ! Machine à cash ! Vieux beau qui s’accroche ! Tout le catalogue des amabilités en travers de sa belle gueule, le Delon. Ah ça oui, fallait les voir tortiller du cul quand on leur faisait remarquer que son fric, lui, il allait le chercher à Caracas et à Kyoto en vendant des clopes et du cognac pendant qu’eux tapinaient sous les lambris des ministères comme des putes de chantier pour se gaver d’argent public. Et pour quoi faire ? Des films de merde labellisés gauche-xanax où des couples idiots s’engueulent à la cuisine pour des histoires d’adultère foireux tristes à mourir.
Je n’ai jamais pris Delon très au sérieux. Ça n’était pas un vrai soldat, pas complètement un tapin, plutôt un assez mauvais comédien... mais quel acteur ! Quel talent, le félin ! Au-delà de sa belle gueule, il y avait son charme infini de scorpion astralement pur : intransigeant, égocentré, jaloux, lumineux, charmeur, menteur. Elles ont été quelques-unes à y laisser des larmes. Et pas qu’un peu : par bonbonnes entières ! Mais lui s’en foutait. Il aimait, il vivait, il partait. C’est comme ça qu’il les a tous et toutes bluffé(e)s pendant plus de quatre-vingt ans. Au final, c’est la caméra qui l’a le mieux aimé. Cinégénique à en crever, le bonhomme. Pas un angle, pas une ombre pour nuire à sa beauté solaire – ce qui est le comble pour un aussi ténébreux Narcisse.
Tous les plans qui éclairent Delon sont une ode à la masculinité. Même avec un imper trop grand et un bitos rivé sur le crâne, il est crédible. Je veux bien croire qu’il y en a quelques-uns que ça a vraiment du faire bisquer, dans le métier.
Avez-vous remarqué que “masculinité” lui va bien mieux que “virilité” ? Je dis cela parce que Delon n’inspirait pas le cul – il n’y avait rien chez lui de léger en bagatelle ou d’ostentatoire en braguette. C’était un dominateur silencieux, une emprise, un orage. Les femmes – et surtout les plus inaccessibles d’entre elles – ne s’y trompaient pas. Elles cédaient et lui, tranquillement, disposait. Avec tact et élégance sans doute, en tout cas jusqu’à son départ.
Et le voilà parti pour de bon. Un de plus, un de moins, peut-être le dernier. En tout cas, c’est bien raccord avec cette époque qu’il vomissait, à juste titre.
J.-M. M.
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Vendredi
Ce matin, les techniciens et un représentant du bailleur social sont venus voir les problèmes de fuites d'eau dans mon appartement. Hier, j'ai découvert que le mur mitoyen à la salle de bain, celui de la cuisine, était imbibé d'eau et que ça coule par un petit accro dans la peinture. Pour eux, le problème vient d'une fuite d'eau dans la cuisine des voisins du dessus. Pour moi, le problème vient des tuyaux dans les cloisons, comme il y a 5 ans, parce que mes voisins devraient s'en rendre compte s'il y a une fuite dans leur cuisine non ? Mais de fil en aiguille, la responsable m'a appris que d'ici quelques mois, mes voisins allaient déménager ! La meilleure nouvelle depuis des mois ! Ils sont arrivés il y à 5 ans, avec 5 enfants ! Se sont des étrangers, qui vivent plutôt la nuit et qui font un bruit inimaginable. Je suis souvent monter leur demander de faire moins de bruit mais au départ, ils ne parlaient pas français et puis ça recommençait le lendemain alors j'ai laissé tomber. Il y a 3 ans, ils ont eut des jumelles. 7 enfants et 2 adultes dans le même appartement. Le bruit n'a fait qu'augmenter, les petites hurlent et pleurent sans arrêt, courent dans l'appartement, sautent sur les lits et comme nos appartements sont très mal isolés, j'ai l'impression de vivre avec eux ! Mes nerfs ont été mis à rude épreuve depuis qu'ils ont emménager et j'ai souhaité leur départ des milliers de fois ! Bientôt ce sera chose faite. Ma joie a du être visible car la responsable m'a assuré que l'appartement resterai vide un bon moment, car le bailleur n'a pas l'intention de faire des travaux de réhabilitation dedans pour l'instant. C'est déjà le cas avec l'appartement en dessous de chez moi , qui est libre depuis plus d'un an. Je vis ici depuis 17 ans. C'était une résidence calme et bien fréquentée. Puis le bailleur a changé et ils ont accepter n'importe qui. Les anciens locataires ont fuit, la plupart nouveaux aussi, parce qu'ils ont été expulsé faute de payer leur loyer ou de respecter les règles de vie en société. Désormais, énormément d'appartements sont libres, et sur les 6 apparts familiaux de 4 chambres comme le mien, 3 sont libres depuis des années et bientôt un 4em. J'ai tellement hâte de retrouver le calme d'avant et j'espère que le jour où de nouveaux voisins viendront, ils seront respectueux des gens qui vivent en dessous d'eux .

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Ça ne sert à rien de lire ce qui suit, je le note surtout pour me souvenir de mon état qd je relirai tout ça en janvier prochain.
Tout a commencé par une vieille voiture jaune, apparemment rare, que l'homme veut retaper.
La voiture est en ce moment garée dans l'abri de jardin. Pour qu'elle soit garée là, on a enlevé tous les outils, vélos etc. et on les a mis sous l'abri à bois que j'avais construit seule l'année dernière souvenez-vous j'avais fait un billet tellement j'étais fière d'avoir fait ça pour y ranger le bois. Bah c'est rempli d'outils, de vélos, de motos, d'un quad, et de zéro bois.
Donc on a fait une grande dalle de béton devant l'abri de jardin. Ça n'a l'air de rien mais ça demande de:
- Faire un trou: retirer la terre sur 30 cm. Stocker cette terre, le tas est immense.
- commander des tonnes de graviers et de sable, qui seront livrés à l'avant de la maison alors que l'abri de jardin est à l'autre bout du terrain.
- déplacer ces tonnes de graviers et de sable vers l'arrière du jardin. Des brouettes et des brouettes.
- stocker 50 sacs de ciment de 25kg chacun au sec. Donc dans l'entrée de la maison parce qu'il y a rien de sec à l'extérieur et l'abri de jardin est envahi par la voiture. Donc enlever de cette entrée le meuble, le porte-manteaux, les manteaux, les chaussures, les trucs qu'on trouve dans une entrée de maison. Donc avoir tout ça en vrac dans la maison.
- Remplir la moitié du trou d'une sorte de gravier fin qui s'agglutine qd on l'écrase. Écraser tout pour que ce soit bien plat. Mettre un plastique au dessus.
- Aller chercher une bétonnière (elle a 50 ans) avec la remorque. 1h de route. Pire trajet de ma vie, je vais faire de la tachycardie si j'y repense. Et je ne parle même pas de comment on l'a mise dans la remorque. Il va falloir faire le chemin inverse qd on va la rendre, ça me rend déjà malade.
- faire du béton. 10 pelles de graviers+ 8 pelles de sable + un seau de ciment+ 1/2 seau d'eau. Puis transporter cet amas dans le trou. 15 cm d'épaisseur de béton à mettre de niveau et à lisser. Des brouettes et des brouettes.
- laisser sécher.
Dans deux semaines, la dalle durcie pourra accueillir sa voiture. Du coup l'abri de jardin pourra retrouver les vélos, le quad, les motos, les outils,etc.
Du coup mon abri pour le bois pourra accueillir du bois. Qui poireaute sans abri depuis mars dernier.
Alors. Le tas de terre. L'immense tas de terre. Il y a un projet qui est de décaisser un sentier pour l'instant en graviers, se débarrasser de tout ça et y mettre la terre toute propre du fameux tas. L'autre projet est de laisser les graviers et se débarrasser de la terre mais je sais qu'un jour on fera ce sentier en herbe et on devra acheter de la bonne terre. Alors que là, elle est là. Donc ça va me casser les couilles mais ce sentier est le prochain projet d'envergure. Un sentier de 60m de long, pour que la voiture jaune puisse aller et venir de son abri jusqu'à la route - quand elle roulera. A l'emplacement des roues, on va mettre des dalles creuses pour que l'herbe continue de pousser mais que le sol ne s'écrase pas, et éviter les grosses flaques. En gros, il va falloir creuser sur 20 cm de profondeur, mettre 10 cm de stabilisé, puis 5 cm de terre puis les dalles creuses, et remplir ces dalles de 5 autres cm de terre, puis semer de l'herbe. Je veux aussi que ce soit un couloir pour que les animaux du champ en face de la maison puissent rejoindre la prairie de l'autre côté de la maison quand les tracteurs sont dans les champs. Tous les voisins ont des chiens, il n'y a que chez moi que la faune est tranquille (à en croire par la quantité de lapin et de hérissons qui se réfugient).
Autre projet plus sympa et rapide pour cet automne, refaire un gazon, pcq là ça a été le chantier trop longtemps. Et aussi, planter des bulbes de crocus dans l'herbe.
Faire des abris pour les hérissons déjà maintenant avec les feuilles mortes, pour augmenter la quantité de bestioles à ces endroits là.
Élaguer le chêne en janvier.
Délimiter un nouveau sentier de brouette pour la gestion du bois l'année prochaine. Pcq on va recevoir 8 stères à fendre courant février.






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Printemps 1937, Hylewood, Canada (21/27)
Agathon déroula ses conclusions dans un exposé méticuleux, appuyé sur la totalité des preuves qu’il avait collecté. Clairement, il n’avait pas chômé… Il avait mis son nez partout, fouiné chez tout le monde, exhumés des secrets. Il nous expliqua que Sonia et Lorita venaient du même quartier. Que le père de Sonia était une ordure de la pire espèce. Que Lorita avait tué le père de Sonia alors que celle-ci était encore une enfant. Il l’avait compris facilement. Le nom du cabaret de Lorita, la fameuse Ombre Rouge de l’affiche, correspondait à celui mentionné dans l’article de journal qui relayait la mort du caïd Marcel Houveau. Houveau était un nom courant, cela aurait pu être un hasard, mais le nom de « Marcel Houveau » était également présent sur le certificat de baptême de Sonia… laquelle avait été baptisée dans la paroisse Saint-Jacques. Un simple coup d’œil à notre atlas du Canada nous avait appris que cette paroisse était dans le périmètre du Quartier Lumière Rouge de Montréal.
[Transcription] Agathon LeBris : Je suis actuellement en train de lire Cartes sur table, et comme vous le savez, je suis joueur. J’aime résoudre les énigmes avant qu’on m’en donne la solution. J’ai donc coutume de lire mon livre et de chercher en permanence à interpréter moi-même les indices, donc avec un autre livre ouvert à côté. Agathon LeBris : En l’occurrence, un livre d’herboristerie dans lequel j’ai marqué la page des plantes toxiques et des poisons pour pouvoir y revenir facilement - Irène, je ne me permettrais pas de juger tes distractions que je trouve fades et sans saveurs, je te prierais de ne pas juger les miennes. Je disais donc… Agathon LeBris : Je ne lis jamais l’un sans l’autre, et je déteste ranger un livre que je n’ai pas terminé. Les deux trainent donc négligemment sur ma table de chevet, ou sur tout autre meuble à côté duquel je me suis assis pour lire. Une personne un peu curieuse aurait tout à fait pu mémoriser les espèces toxiques présentes dans mon livre, pour s’en servir plus tard… Agathon LeBris : Sonia avait déjà commencé à préparer le thé pendant que nous étions en train de dîner. Si vous vous souvenez bien, il était trop infusé. Elle l’a séparé en deux théières. La première, nous l’avons bue ensemble et contenait un thé tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Agathon LeBris : La seconde a été apportée à Lorita et contenait une infusion de deux plantes qui poussent dans le jardin : de la belladone, ou plutôt les baies de cette plante, et un petit champignon nommé amanite tue-mouche, dont le nom équivoque se dispense de toute explication quant à ses effets. Les deux sont très toxiques individuellement. Agathon LeBris : Quand ils sont mis ensemble, leur issue mortelle est accélérée. Il fallait que le goût du thé soit fort pour masquer celui du poison. Les effets ne se sont pas faits ressentir tout de suite, Lorita a donc pu continuer son travail, qu’elle avait d’ailleurs presque fini puisqu’il ne lui restait plus que la chambre de Lucien. Agathon LeBris : C’est de là qu’elle a bu le thé, d’ailleurs. La chambre de Lucien est la plus grande, c’est elle qui prend le plus de temps. Quand les effets ont commencé à se faire sentir, Lorita n’avait pas terminé. Prise de bouffées de chaleur et de vertiges, elle s’est penchée à la fenêtre pour prendre l’air. Agathon LeBris : Mais en fin d’intoxication, elle a soudain eu très froid. Elle a refermé la fenêtre derrière elle et s’est mise le plus proche possible du feu pour se réchauffer un peu. Portée par ses hallucinations, elle s’est comme « endormie » sur le sol, puis elle est morte. C’est ainsi que Layla l’a trouvée.
#ts3#simblr#legacy challenge#history challenge#decades challenge#lebris#lebrisgen4#Lucien Le Bris#Irène Bernard#Agathon Le Bris#Dolorès LeBris#Layla Bahar#Lorita Donaldo#Sonia Houveau
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Candaulisme
Scène de vie d’un candaulisme ordinaire...
Un soir, au retour d’un apéritif d’entreprise improvisé, ma femme ayant préféré rentrer à la maison pour ne pas me laisser seul (même si lorsqu’elle m’a appelé au téléphone pour me prévenir je lui ai laissé comme d’habitude la décision d’accompagner ses amis ou pas) , vint me rejoindre dans la pièce bureau de notre maison.
« Hello, chéri » m’adressa-t-elle en venant me gratifier d’un baiser rapide sur les lèvres « Tout va bien ? Ta journée ? »
« Oui, et toi ? Tu aurais pu rester tu sais...je travaille à mon prochain livre...Je t’ai préparé le repas...Tu trouveras tout de prêt dans la cuisine... »
« Merci Chéri me glissa-telle à l’oreille tout en m’embrassant à nouveau et en se collant contre moi... »
« Oh...toi... ! lui fis-je remarquer...toi, tu as quelque chose à me raconter...§ Je te connais tellement...Viens... »
En m’embrassant, elle s’était effectivement appuyée assez significativement contre moi ...Son odeur...Sa chaleur...Ses adorables seins qui pointaient au travers de son chemisier un peu plus ouvert qu’à son départ au matin...
« Hummm me fit-elle en minaudant...Euh, oui enfin, pas grand-chose...mais il faut que je te dise... A l’apéro ce soir, à la guinguette à côté de notre boite, il y avait pas mal de monde et on a un peu dansé. »
Ma femme adorait danser et j’adorais la voir danser ou savoir qu’elle avait été heureuse en dansant...Elle était belle et dansait réellement avec grâce et légèreté...ce qui ne manquait pas d’attirer plus encore les regards sur son corps entretenu.
Ce faisant, alors qu’elle continuait à embrasser mes lèvres avec une réelle et non feinte gourmandise, me bécotant, je passais ma main sous sa courte jupe du vendredi, une habitude du "vendredi tout est permis" chez elle, se permettant ainsi de ne rien porter en dessous...Elle était alors si sexy...Elle avait aussi ce soir là ajouté une de mes cravates sur son chemisier pour un effet « woorking-girl » libérée qui lui allait particulièrement bien...
« Oh...toi...C’est bien chaud et bien humide tout ça », lui dis-je en parcourant sa chatte aux lèvres déjà accueillantes et entrouvertes...
« Hummmm...Toi, tu as été coquine ce soir...Coquine... ? Très coquine... ? Raconte-moi !»
Elle s’assit ainsi sur moi en faisant tourner mon fauteuil pivotant...
« En fait, rien de prévu mais après un Mojito et quelques danses avec les collègues, un jeune homme s’est approché de moi et m’a fait du gringue...Imagines-toi qu’il est voisin...Il vient d’arriver dans la boite d’à côté et m’a dit qu’il m’avait souvent vue arriver le matin, que j’étais toujours super habillée et souriante...Il arrivait tôt car débutant et s’installait à une fenêtre de leur espace café en attendant l’arrivée des autres ... On a alors discuté, il m’a proposé un autre verre et on a fait quelques danses car il y avait une série de rock et tu sais que je ne sais pas résister à cette danse... Il danse d’ailleurs très bien pour un jeune d’une autre génération de musiques...D’un pas à l’autre , on a ri, on a discuté et à la fin de la série de danses, il m’a prise par l’épaule pour qu’on discute un peu à l’écart...Là, et j’ai réellement aimé ;, il ne m’a pas caché son attirance, qu’il aimerait me revoir, m’a donné son téléphone...Il est bien bâti comme j’aime, car joueur d’une équipe de rugby du village d’à côté...Son sourire était trop craquant et aussi un peu sa timidité...Il rougissait mais était tellement sincère que s’en était touchant...J’ai craqué... ! Je l’ai embrassé...Il n’en revenait pas... et surtout il m’a indiqué ma bague...Je l’ai rassuré en lui disant qu’il ne risquait rien et que j’avais le plus incroyable et merveilleux des maris qui me laissait totalement libre...Il n’en revenait réellement pas, enchaînant les « Mais... ? » incrédules...Aussi, je lui indiquais de rester là quelques instants , le temps que je t’appelle...Je t’ai appelé et ai décidé de te rejoindre, aussi , en retournant vers lui et en saluant les collègues de bureau, je l’ai pris par la main et entrainé sur le parking...Il faisait déjà nuit et ne lâchant pas sa main, je me suis appuyée sur ma voiture pour l’embrasser de nouveau et lui indiquer que nous ne serions pas sans nous revoir … ».
Pendant que ma femme me racontait son histoire, elle avait aussi remonté sa courte jupe sur ses merveilleuses fesses et se frottait sur mon sexe qui ne cessait de grandir au travers de l’étoffe de mon pantalon...
Je bandais comme un fou...
J’ouvrais adroitement ma braguette pour qu’elle s’empale sur mon dard à son zénith et rapidement elle « dansait » sur ma bite tout en continuant son adorable récit d’adorable salope qu’elle avait su être et plus encore à cet instant, qu'elle était...
Je crois que c’est elle qui me baisait pour être honnête...
Elle se déchainait et je réussi à attraper la cravate, sa cravate, ma cravate pour la tenir comme en laisse ou avec un guide et suivre le rythme qu’elle voulait comme un cow-boy suit le rythme de son cheval déchaîné tout en tentant d’en garder la maîtrise... !
Elle continua en me décrivant comment elle l’avait sucé entre les deux voitures, au risque de se faire voir par ses collègues qui ne devaient pas tarder à quitter l’établissement festif...
Elle me narrât en détail la queue de ce nouvel amant, son poids, sa forme, sa puissance, sa liqueur, son abondance et surtout le plaisir qu’elle avait pris à le sucer sauvagement sur le parking, le garçon toujours aussi incrédule de la bonne étoile de cette soirée...
Elle m’expliqua aussi combien il lui fut difficile d’arrêter sa main pendant le trajet du retour vers la maison et combien son esprit naviguait entre la queue de ce jeune homme et la mienne, impatiente de se faire démonter...
« Chéri...On sort ce soir ! J’ai trop envie...Je suis impatiente de toi, d’autres, des autres et de lundi... Je crois que pendant un moment je vais avoir le sourire en allant au boulot le matin... ! »
Telle était ma femme...
Tel était notre façon de vivre...
Sa façon d’être et de vivre notre Candaulisme...
La soirée était loin, très loin d’être achevée...
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C'est bientôt la rentrée et comme je suis dans un gouffre sans fond de désespoir et de mollesse, je vais dresser une liste de choses qu'il faut que je fasse avant l'entrée en 2025, dans l'ordre chronologique (bon ya des trucs qui sont pas faciles à situer donc je vais voir où les mettre):
- Tout bien refaire mes fiches d'organisation et trier mon ordinateur (mon côté psychorigide revient au galop après 3 mois de déchéance)
- Rappeler tous les cons qui veulent pas répondre à mes demande de stages (ça fait bcp d'appels pour quelqu'un qui déteste appeler même ses parents, son mec ou ses potes, d'ailleurs ça fait qq années que j'ai instauré un safe word d'appel, si quelqu'un m'envoie un message où il y a écrit "courgette" c'est que l'appel est important et mérite que je le prenne, mais si c'est pas une urgence vitale en général ça m'énerve)
- Avoir mon permis (je suis à 2 ans de conduite, 2000€ de dépensé, des litres de larmes et de mascara, il est temps que ça cesse ce calvaire)
- Donner mon sang tous les deux mois et donc prendre rdv prochainement en septembre (faut que je reprenne du poids du coup parce qu'à 43kg je doute de survivre même si j'ai pu montrer une certaine résistance à la perte de sang dans mes années mutilation)
- Prendre rdv chez le médecin (que je comprenne pourquoi j'ai envie de vomir tout le temps, pourquoi j'ai mal aux reins, pourquoi je suis fatiguée, pourquoi je saigne pas pendant 2 mois puis après 6L en 2 jours et un petit test IST pour voir s'il reste une once de respect de mon mec à mon égard)
- Trouver un stage (par pitié acceptez-moi en stage que je ne sois pas obligée de demander les EHPAD, jme sens déjà bien trop en fin de vie pour faire un stage en soins palliatifs)
- Essayer d'instaurer des repas variés, à intervalles réguliers et un petit dej solide (non parce que c plus possible de manger un bout de salade par jour quand je suis stressée)
- Diminuer le RedBull (passer de 1/j à 1 tous les deux jours, on en est à ce stade d'addiction oui)
- Essayer de diminuer la clope (pas de volonté réelle pour le moment donc ça m'étonnerait)
- Faire du Yoga 1x par jour ou tous les deux jours et peut-être reprendre la course, ou m'inscrire à l'escalade (par contre 250€ une licence, pour ce prix, j'espère que le massage des mollets est inclus)
- Manquer le moins de cours possible et essayer de maintenir un 13.5 de moyenne, c'est le dernier semestre faut se bouger le fion
- Aller au cinéma au moins 2 fois par mois au.pire et 1 fois par semaine au mieux (pour maintenir la culture cinématographique que je Fake depuis des mois)
- Me séparer de mon copain (à moins d'un miracle et d'une prise de conscience rapide et profonde, ça me paraît malheureusement inévitable, ce qui veut dire me préparer à une rupture...)
- M'inscrire dans une association (parce que c'est intéressant mais surtout parce que je vais pouvoir dire dans mes lettres aux masters "eh regardez jsuis peut-être une merde en cours mais j'aide les enfants qui se font harceler a l'école prenez moi")
- Restée moins confinée dans mon appartement (aller respirer, marcher, chier, peu importe mais dehors, comme ça ça réduit les moments de vide et de grattage compulsif)
Bon déjà ce sera pas mal ça en vrai, je rajouterai bien trouver une manière de me faire de l'argent facilement mais à moins de dealer, ça me paraît pas très faisable, après pas vu pas pris comme on dit hm
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Une étoile et un réverbère
an idezawa fanfic for @dnrarepairweek day 3 - pining
rated G / 1,928 words / in french for now (the english translation is coming very soon !)
additional tags: canon-compliant, one-sided attraction
read on ao3 or below the cut !
31 décembre 2004
Le vent lui mord les joues, mais il ne fait pas assez froid pour que Shuishi prenne le temps de mettre son écharpe. Il est déjà assez en retard comme ça, Matsuda n’étant pas capable de rendre un rapport à l’heure, mais bon, il savait dans quoi il s’engageait en revenant dans le bureau d’enquête. Il devrait être en congés à l’heure qu’il est, et il n’ose songer au nombre d’appels manqués qui l’attendent quand il rouvrira son téléphone… Mais il avait prévenu sa femme, il se pourrait bien qu’il soit de service, oui, même le soir du nouvel an, oui, même après ses horaires de service habituels. C’est la première fois qu’il rate le nouvel an depuis la naissance de leur fille, mais bon. En grinçant des dents, il lui avait dit qu’il faudrait probablement s’y faire.
La poignée de la porte ne tourne pas. Shuishi fouille frénétiquement ses poches à la recherche de son badge, mais rien n’y fait.
« Putain de merde ! Manquait plus que ça ! »
La faim lui tiraille l’estomac, surtout qu’il n’a pas eu le temps de déjeuner, mais l’ascenseur est en panne et il n’a vraiment aucune envie de se taper les huit étages à pied juste pour un badge à la con.
« On va manger un truc ? »
La voix derrière lui le fait sursauter, et Shuichi porte la main à sa poche par réflexe – il ne devrait plus avoir son arme sur lui, malgré ses heures sup, mais ça fait même pas deux mois que…
Enfin. C’est pas comme si un pistolet arrêtait le pouvoir du Death Note.
« Ide, t’es encore là ? Je pensais que tout le monde serait parti… » Il n’avait pas levé la tête de la journée, trop maussade pour vraiment souhaiter la bonne année à ceux qui rentraient chez eux avant lui.
« Un ou deux dossiers à finir. Je rattrape les notes du bureau d’enquête, voir ce que j’ai raté pendant que j’étais pas là. »
Shuichi ne sait pas quoi répondre à ça. Lui-même n’a pas touché la masse assez inquiétante de paperasse que Light et les autres ont accumulée, préférant se joindre au directeur adjoint pour éplucher les dernières nouvelles en provenance de Yotsuba. Les quelques mois passés avec Ide à tâtonner lui ont donné la rage, et depuis la mort de L, c’est dur de ne pas être défaitiste. Shuichi prend le temps de le regarder pour la première fois aujourd’hui, remarquant ses traits tirés et la mèche grisonnante à sa tempe, qui n’était pas là quelques semaines auparavant. Lui-même ne doit pas avoir meilleure mine, ils subissent tous le contrecoup…
Après un silence presque trop long, Ide se racle la gorge. « Du coup… je te voyais plus à ton poste, je me suis dit que t’étais parti chercher à dîner. Y a un izakaya au coin de la rue qu’est pas trop mal. »
Un dîner en tête à tête, comme d’habitude finalement. Shuichi esquisse un sourire. « J’te suis. »
Ide commande une bière, un okonomiyaki et deux assiettes de poulet frit, Shuishi se contente d’une assiette de yakisoba. Il ressort du restaurant en ayant encore un peu faim, mais, s’il a de la chance – et que sa femme n’est pas trop en colère – il y aura une assiette de dessert soigneusement mise de côté quand il rentrera… d’ici trois ou quatre heures. Il entend à peine l’anecdote qu’Ide lui raconte sur les mésaventures de Matsuda.
Shuichi s’arrête net sous un réverbère, aveuglé un instant par la lumière qui l’enveloppe de toute part, et lève les yeux vers la devanture d’une supérette encore ouverte malgré l’heure tardive. « Viens, je t’offre un taiyaki. »
« T’es sûr ? » Ide n’a pas l’air de vouloir refuser, un air presque somnolent sur son visage d’ordinaire pincé. Shuichi s’offusquerait presque de ce regain de politesse, c’est pas comme s’ils n’avaient jamais pris un verre après le boulot !
« Y aura probablement d’autres desserts, mais si tu viens pas avec moi, je choisis pour toi. »
Hideki le remercie, les joues rosies par le froid, et ils s’engouffrent dans le magasin en se chamaillant sur le meilleur dessert à emporter.
5 mai 2007
Il fait très beau, mais Hideki n’est pas sûr que ça soit la raison pour laquelle Aizawa ne cesse de regarder par la fenêtre. Le ciel semble d’un bleu presque trop foncé, la météo donne plus envie de s’allonger dans un parc que de rester enfermé à relire en boucle les mêmes documents, mais ils sont de service. Le bureau d’enquête est toujours officiellement à la recherche de Kira, et ils ne manquent pas de morts sur lesquels creuser un peu, même si les hauts gradés commencent à se lasser des innombrables rapports indiquant la cause du décès comme « crise cardiaque », et le coupable présumé comme « Kira »…
Les rayons du soleil dansent sur ses boucles quand Aizawa secoue la tête, de petites étoiles qui clignotent en reflets roux, et il replonge son regard las sur un rapport d’autopsie. Il a parlé de les couper, Hideki n’est pas sûr d’en avoir envie, mais ce n’est pas à lui de décider. À l’inverse, il se laisse pousser la barbe, et un bouc encadre maintenant ses lèvres qui font la moue.
Les mots lui échappent alors qu’il secoue la tête pour tenter de se ressaisir. « Vous avanciez plus, quand L était là ? »
Aizawa sursaute – il a la fâcheuse manie de le surprendre, mais Hideki sait qu’il ne lui en tient pas rigueur. « Euh. Ouais, on peut dire ça. »
Ses yeux parcourent rapidement leur bureau, comme pour vérifier qu’ils sont seuls. Hideki ne se serait pas risqué à poser la question autrement, pour ne pas froisser le directeur adjoint et son fils d’une part, et d’autre part, pour ne pas essuyer un des innombrables récits héroïques (et sans nul doute embellis) de Matsuda.
« C’était plus facile d’essayer de trouver des preuves quand on avait un suspect sous le nez, même si l’obsession de L pour accuser Light ne nous a pas menés bien loin. Après ça… On a mis des mois avant de retrouver la trace du carnet chez Yotsuba, et je suis parti quand la police nous a posés un ultimatum, et que j’en ai eu assez des méthodes de L. T’étais là, pour le reste. »
Un soupir. Hideki se demande s’il pense à la même chose. Qu’ils avaient autant progressé tous les deux, isolés au sein d’une unité de police hostile, obligés de chercher des informations en cachette et avec une fraction des ressources qu’ils ont maintenant à leur disposition. Mais avec infiniment plus de résultats qu’en trois ans, depuis la mort de L. Plus souvent qu’il ne devrait, il se dit qu’il aurait préféré continuer comme ça. Malgré tout son mépris partagé pour les méthodes de L, celles de Light ne font en rien leurs preuves, et il se sent étouffer dans ce bureau inutile. Au moins, quand il n’y avait que lui et Aizawa… ils étaient seuls contre tous, mais il avait entière confiance en son partenaire. C’est de moins en moins le cas avec ses collègues actuels.
Hideki suit du regard le stylo d’Aizawa, quand il le porte à ses lèvres avant de parler.
« Tu sais, Ide. C’est la première fois que je suis de service pendant le Jour des Enfants. Même en 2004, j’avais facilement négocié de pouvoir rentrer chez moi. » Un nouveau soupir. « Eriko a rien dit, je crois que c’est limite pire que quand elle m’engueule… J’ai emmené mes gosses au parc hier, mais bon. Vu le boulot d’aujourd’hui, ils auraient pu me mettre d’astreinte à un autre moment. C’est encore plus frustrant d’être coincé ici, alors que je sers à rien. »
Hideki émet un vague son pour lui exprimer sa sympathie, et Aizawa grimace en remerciement. Ils se remettent à travailler, et Hideki propose de ranger seul leurs affaires pour le laisser partir plus tôt.
31 décembre 2009
Il y a des moments où Shuichi se demande pourquoi il fait tout ça. Six ans, depuis l’apparition de Kira, depuis les meurtres quasi quotidiens, six ans qu’il s’enferme de plus en plus dans un bureau étouffant en compagnie de gens qu’il a, dans l’ensemble, de plus en plus de mal à supporter.
Son regard croise celui d’Ide, qui secoue la tête sombrement – au moins, quelqu’un d’autre partage son exaspération pour le merdier dans lequel ils sont embourbés. Et, s’il a correctement interprété ses actions, Near devrait bientôt mettre un terme à cette affaire.
Quand il a vu Light appeler sa mère pour lui dire qu’il ne serait pas avec elle pour le nouvel an – une évidence, et Shuichi songe amèrement à sa propre famille qu’il n’a pas revue depuis des semaines – il a presque eu envie de lui foutre un pain.
Il est sorti prendre l’air, une pause bien méritée après cette soirée qui n’en finissait plus. Il ne fait pas si froid, mais la colère lui a fait oublier son manteau, et il tente de se convaincre de rentrer avec les autres plutôt que de rester appuyé sur ce réverbère quand une main se pose sur son épaule.
Pour une fois, il ne sursaute pas.
« Merci, » dit-il simplement en acceptant son manteau et son écharpe. « Je sais pas ce que je ferais sans toi. »
« Des merveilles sur un chalutier. » Devant son air ahuri, Ide continue, « quoi, tu penses pas que tu te serais reconverti, au bout d’un moment ? T’en aurais eu trop marre, t’aurais claqué la porte, et tu serais parti à la pêche au hareng. »
Shuichi éclate de rire. « T’en as d’autres, des idées comme ça ? Tu ferais quoi toi, expert comptable ? Ou peut-être bibliothécaire, t’as toujours eu un don avec les enfants. Les petites me demandent encore quand est-ce que tu passeras la prochaine fois. »
La bouche tordue en une étrange grimace, Hideki secoue la tête. « Ouais, on est bien où on est, finalement. » Il lève la tête vers les quelques nuages, la voix un peu distante. « C’est bientôt fini… »
« Oui. »
Ide se tourne vers lui, et sa grimace se transforme en sourire. « Si on sort de tout ça indemne, je serai drôlement content de reprendre du service à tes côtés, comme avant. »
« Faut que t’arrêtes de faire des plans sur la comète, mon vieux… » Shuichi lui serre brièvement l’épaule avant de rentrer dans l’hôtel.
5 novembre 2011
Near a fini par leur dire où L était enterré. Hideki a comme l’impression qu’il n’en avait aucune idée avant qu’Aizawa lui en fasse la demande, et que l’information n’a pas été simple à obtenir – ni la permission de les y emmener, d���ailleurs. Aizawa sait se montrer très buté quand l’envie lui prend, et ils y sont, maintenant. Devant une tombe si incroyablement neutre qu’ils ne l’auraient probablement jamais trouvée seuls, perdue dans un cimetière près d’un orphelinat anglais.
Aizawa recommence à faire pousser son afro. Il aurait perdu un pari avec ses filles, soi-disant, mais Hideki pense plutôt que c’est la vie qui commence à reprendre son cours. Pour ceux encore en vie pour en avoir l’occasion.
« Tu viendras dîner à la maison, Ide ? Quand on sera rentrés. »
Son regard croise celui d’Aizawa, et Hideki se rend compte qu’il le fixait depuis quelques minutes. Il a à peine jeté un œil à la tombe de L, mais de toute façon, il ne lui a jamais accordé une grande estime. Depuis le début, sa loyauté va à Aizawa – à ses collègues.
« Bien sûr. »
Il ressent déjà un léger pincement au cœur à l’idée qu’Aizawa l’accueillera de la même façon que d’habitude, coutumière comme ces films qui passent à la télé tous les hivers. « Fais comme chez toi. »
#dnrarepairweek25#death note#aizawa shuichi#ide hideki#idezawa#dn#fic#olorea makes#PHEW i'm glad i could at least finish the french version on time !! for some reason this one did NOT come in english to me#title is from “encore et encore” by francis cabrel bc i am always on my cabrel propaganda grind <3333#v v v tired i sleep now but !! excited to write and excited to read what everyone did when i'm not hammering on my keyboard anymore !#if u see anything wonky in this. first of all bisous la francophonie. second of all plz tell me. this is very obviously not beta read lmao#txt
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Extraits du journal de Nelly Mousset-Vos, chanteuse d'opéra, lors de sa détention dans les camps de Ravensbrück et Mauthausen, déportée pour avoir été résistante, évoquant sa rencontre et son début d'histoire d'amour avec Nadine Hwang, fille de diplomate chinois s'étant engagée dans l'armée chinoise et ayant travaillé à Paris pour Natalie Barney, de qui elle était, évidemment, aussi l'amante:
“22 avril 1943, Paris. J'étais arrêtée devant le buste de Molière. ‘Halt, Polizei!’ J'étais ravie au monde.”
“Ravensbrück, 1944. Je vais chanter avec les Françaises, comme autrefois les troubadours dans les châteaux. [...] Soudain, une voix appelle dans le brouhaha: ‘Chantez-nous donc Butterfly!’ [...] L’émotion coule sur ma peau...une joie dionysiaque [m'envahit]. Battements de mains. Deux bras me serrent, deux baisers sur ma joue. Butterfly est devant moi. Ses cheveux noirs, sa peau d’ivoire, ses yeux obliques. Nadine. Elle dit: ‘Le bon Dieu a été chic pour nous ce soir!’”
“10 janvier 1945, Ravensbrück. Je rentre de la corvée de charbon, épuisée, mes jambes molles. Je verrai Nadine tout à l’heure. Je me suis attachée à elle. J’ai pris l’habitude de chercher du regard ses cheveux noirs sous le foulard blanc, et ses yeux qui s’éclairent à ma vue...Je monte à ton lit du troisième étage. Tu y es heureusement seule, ce qui est rare dans ce camp. Mi-couchées, mi-accoudées, nous parlons. Moi de mon enfance, du jardin de ma grand-mère…de musique, de mes concerts. Toi de la Chine. Du Grand Hôtel de Pékin et des ses fastes, ou de ta vie chez Natalie Barney dans son salon de la rue Jacob. Tu fais de singuliers projets où il est question de caviar et de champagne que nous attendons au retour d’une soirée parfaitement brillante. Cela me fait rire. Plus tard, si je reviens dans la vie, je reverrais cette nuit. Je te reverrai, Nadine, au bras de qui je m’appuyais. Ce bras que je sens chaque jour plus maigre sous le vêtement rayé. Nadine, y aura-t-il jamais une vie pour nous?”
“Là-haut, couronnant la montagne, le camp. Mauthausen, antichambre de l’enfer. Nous descendons un escalier géant de 186 marches taillées dans la roche. C’est la carrière, notre tombeau. L'air sent le typhus et le cadavre. [...] Où es-tu? Toi, qui m’a aidée à vivre?”
“18 avril 1945. La mort règne...Je cours après ton souvenir, de toutes mes forces. Je revois ta silhouette si familière, ton visage aux traits fins. Je revois ton regard sérieux, dont tu tournais vers moi seule l’intense expression mystérieuse. Attends-moi. Je dois te revoir.”
Ayant perdu Nadine de vue à Ravensbrück lors de sa mutation au camp de déportation le plus strict et violent (Mauthausen), Nelly ajoute à sa libération:
“Juillet 1945. Seule sur le balcon où j’attendais ton retour. Je rêve qu’un jour peut-être, tu viendras frapper à ma porte. J’aurais une longue robe de cretonne claire. La chambre sera toute baignée de clarté. J’ouvrirai ma porte et je te verrai debout dans la pénombre.”
Par une chance incroyable, Nadine, elle aussi, survit, est libérée et la retrouve. Nadine envoie une carte postale à Claire (nom de guerre de Nelly) en février 1946:
“Mon amour, où es-tu? Sache seulement que je ne cesse de penser à toi. Tu es dans mon cœur, et dans mon âme. Je donnerais ma vie pour te revoir ne fut-ce que 24 heures. Claire, à genoux je te demande de m’écrire. Puisse Dieu, qui nous a donné la chance de franchir déjà cette étape, nous accorder la faveur de la poursuivre encore longtemps. Je t'aime comme jamais.”
Elle se retrouvent et s'empressent de déménager à Caracas, d'où Nadine filme et photographie leur vie commune. Elles ne se quittent plus jusqu'à la mort de Nadine en 1972.
“Octobre 1972. Oh ma chère camériste, ta pierre est placée. Cela tu le sais, si tu peux encore savoir quelque chose. Pourquoi l’envie me reprend-elle d’écrire un journal? Je sais que c’est morbide. Car il ne faut pas se dissimuler que c’est là ce que je fais, t’écrire. Mais est-ce ma faute si chaque geste que je fais, chaque objet que je touche, évoque tes mains, ta silhouette. Personne pour juger de ma nouvelle robe, personne pour me la fermer. Je t’attends, comme si tu étais en voyage.”
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saga: Soumission & Domination 387
Mes Escorts-2
Maxime dit Maxou :
Depuis sa proposition de pipe à 10€ dans une boite de la ville, il est celui qui a le plus évolué. La stabilité que lui a procuré son embauche suivit de sa prise en charge matériel pour le sortir de son état de squatteur chez les copains a transformé son futur. Parti pour être véritable SDF et/ou pute au rabais, il a pu reprendre ses études et il suit sa 4ème année d'école d'ingénieur sans problème. Le fait que Louis l'ai rejoint à l'appart de PH et qu'ils aient commencé ensemble leurs études supérieures a bien aidé pour son retour dans un cursus " normal " lui qui avait été foutu à la porte de chez lui par un père intolérant. S'il n'a pas grandi (il fait toujours 1m75) et qu'il a gardé sa taille étroite, ses 55 Kg tout mouillés sont loin et il accuse maintenant 65Kg de muscle ronds et imberbes qui lui vont à ravir. C'est l'avis de tous mes clients qui l'ont eu entre leurs .... mains ! Son format et son épilation intégrale en font le préféré des amateurs de mecs tout juste majeurs. Ses cheveux ultra-courts (tondeuse sabot de 3mm) ajoutent un côté mauvais garçon qui donne à mes clients l'impression qu'ils ont levé un loubard dans une ruelle mal famée. Depuis que j'ai fait mon tatouage, il me tanne pour que je l'autorise à faire de même. Pour calmer ses envies j'ai accepté qu'il se fasse percer l'autre téton. J'ai fourni l'anneau en or blanc pour aller avec le tigre/lion qui orne celui déjà percé. Quand il m'a demandé un prince Albert j'ai dit non mais je crois que c'était juste pour me tester. Sans attaches sentimentales avec un autre de mes escorts, il aime satisfaire et se satisfaire avec les nombreuses bites qui sont attachées à ceux qui viennent faire du sport au blockhaus. Dans les touzes " troisième mi-temps " ce n'est jamais le dernier à trouver un partenaire, même de couple déjà établis. Je crois bien qu'il n'y a qu'avec Louis qu'il ne baise pas. Quand je le lui demande, il me confirme que c'est vrai et que c'est mieux comme ça puisqu'ils vivent dans le même appartement. Il me dit que l'inverse ferait qu'ils commenceraient par baiser à chaque retour de l'école et que leurs études en pâtiraient. Ça je peux le comprendre. En attendant, moi non plus son corps ne me laisse pas indifférent. J'aime son petit format qui autorise des plans différents d'avec mes amours (on fait quasiment tous les 4 la même taille). Par contre il y toujours eu entre nous une tendresse parfois absente avec mes autres Escorts. Elle vient du fait que je lui ai offert une porte de sortie, alors qu'il allait sombrer. Psychologiquement il avait plus accusé le coup de s'être fait mettre à la porte de chez lui qu'à devoir aligner les pipes à 10€ pour s'acheter à bouffer. A chaque fois que nous nous sommes retrouvé, ça toujours été en tête à tête même lors des touzes. Étonnamment, il n'est jamais entré dans mes plans à plusieurs et je ne m'en fait la réflexion que maintenant ! Quand je lui demande pourquoi il ne s'est pas encore " fixé ", il me dit qu'entre les études et le taf qu'il fait pour moi, il est très heureux. Louis est un véritable ami tout comme Franck son copain et il sait qu'il peut compter sur chacun d'entre nous en cas de problème. Nous prenons donc notre temps et nous faisons ce qui s'apparenterait plutôt à un gros câlin sexe qu'un plan baise. À part un enculage en porté (moi debout les jambes écartées, lui ses jambes serrées autour de ma taille et ses bras autour de mon cou) qui a amené un peu de fantaisie, nous avons savouré d'être ensemble moi le plus souvent dans son cul parfois au fond de sa gorge, lui content d'être le centre de mon attention. Bien que calme notre " épisode sexuel " ne manque pas de saveur et quand je suis au fond de son cul, il me tend les lèvres pour qu'on se roule de pelles enflammées. La montée lente de nos plaisirs réciproques a assuré la concomitance de nos jouissances et sur ses abdos le mélange de nos spermes.
Je me fais la remarque que, malgré les gros calibres qui les défoncent régulièrement, jusqu'à présent mes escorts gardent une tonicité anale performante. C'est sûr qu'ils ne pourraient passer pour des puceaux mais les exercices qu'ils continuent de faire (contractions de leur sphincter sur un crayon de bois) sont efficaces.
Benoît (Ben) et Clément (Clem) : Troisième couple dans mes Escorts après Morgan et Simon et Jona et François. 22ans chacun aussi, Ben en termine avec son master de sciences éco et Clem sa formation de Kiné. Encore chacun chez ses parents, ils ont été les premiers à me demander s'ils pouvaient intégrer l'annexe 2. Le temps que chacun trouve un taf. Leurs parents, informés de leurs orientations sexuelles et ne les en brimant pas, n'acceptaient pas pour autant d'abriter sous leurs toits leurs relations intimes. Jusqu'à présent ils utilisaient, pour se voir en tête à tête, les chambres du premier étage du blockhaus. Et si la cuisine, le séjour et les sanitaires sont communs, la taille et l'insonorisation de leur chambre leur convient tout à fait. Et comme, ils sont autorisés à recevoir des amis (autres que notre petit cercle) si toute fois ils ne se choquent pas de voir par les fenêtres des mecs au trois quart à poil faire du sport, ils kiffent leur nouvelle installation. C'est d'ailleurs dans leur pièce personnelle que je les rencontre. Ils ont mis leurs touches personnelles. Les murs sont recouverts d'affiches de concerts de Hard Rock. Ils ont amené des portemanteaux pour y mettre chacun leur tenue du jour. Les immenses placards coté couloir sont suffisants pour leurs vêtements sachant que les " tenues de travail " sont toujours stockée au premier du blockhaus (ça permet un suivi de nettoyage par mes Hommes de maison). Je ne sais pas s'ils ont rangé en prévision de ma venue mais leurs deux bureaux sont quasiment vierges en dehors de leur ordinateur portable. Ils m'assurent que l'absence de téléviseur est une bonne chose et que le fait que chacun de ceux présents dans le salon disposent de 6 paires d'écouteurs suffit à tous les occupants les soirs où ils se détendent. Ils s'amusent à regarder un film en écoutant les paroles d'un autre. Mais en général ils n'en n'ont pas le temps et se contentent de regarder les informations. En ce qui concerne mes clients, ils me disent n'avoir pas l'impression de les saturer même si cela fait maintenant pas mal de fois qu'ils voient chacun. C'est pour cela qu'avec les autres escorts ils échangent sur eux. Ça leur permet de proposer à chacune des prestations un renouvellement des positions et des modes de baise. Les clients eux même sont initiateurs d'évolutions. Ils me rapportent que certains sont parfois passifs avec eux (cela vient en confirmation des dire de leurs collègues). D'autres virent dominateurs hard, se permettant avec le temps des pratiques qu'ils ne pratiquaient pas, ou n'osaient pas pratiquer dans les premiers temps. Là, je leur demande s'ils remontaient bien ces infos à Jona pour le suivi du dossier clients. Comme ils n'y avaient pas pensé, je le dit de le faire rapidement. Ce fichier est à leur disposition justement pour que tous aient connaissance des évolutions de leurs désirs. Pendant qu'on discutait, ils se sont mis à poil. J'ai donc devant moi deux beaux jeunes hommes d'1m80 environ, châtain tous les deux, bien musclés comme tous mes autres escorts. Ben, le basketteur reste quand même légèrement plus fin. L'équipement de chacun, bien taillé et " dégagé aux oreilles " dénote leur souci de respecter les classiques de la maison. Quand je sors de leur chambre, je me fais interpellé par Com 1 & 2 qui me demandent quand est ce que je les évaluais. Je suis un moment étonné par leur interprétation de ces entretiens. Je réagis et leur répond que c'est juste un point sur la situation de chacun dans mon entreprise et dans leurs études et vie personnelle puisque le travail qu'ils font pour moi n'est pas aussi anodin que de servir des Big-mac !
Kamal : Mon petit beur quasiment danseur professionnel et nonobstant petit ami d'Alexandre son professeur et initiateur. Son mètre 75 atteint à 18ans n'a pas changé depuis son entrée dans mon écurie. Il a pris 2 / 3 Kg de muscles mais pas plus, surveillant sa prise de masse pour garder la souplesse nécessaire à la pratique de sa discipline. Depuis qu'il bosse pour moi, les quelques difficultés qui étaient apparues dans son couple ont disparues. Lui qui ne supportait plus l'étroitesse d'une relation fidèle et surtout unique depuis son entrée dans la sexualité y a retrouvé un intérêt depuis qu'il " couche " pour moi et son portefeuille. Il est exclusivement réclamé par mes clients pour sa souplesse de danseur qui fait merveille quand il s'agit de baiser. Une de mes positions favorite avec lui c'est de l'enculer debout alors qu'il lève sa jambe en grand écart entre nous deux. Sa jambe relevée est coincée entre nos deux bustes, ma queue lui pistonne l'anus alors que son autre jambe est dirigée vers le sol qu'elle atteint sur la pointe des pieds (je suis quand même plus de 10cm plus grand). Chacun de mes coups de rein le soulève du sol et je porte son poids sur ma bite. Là, il se l'enfonce totalement dans son petit cul de danseur. Ça plus sa peau mordorée et ses cheveux noirs bouclés en font un véritable ange de sexe. Alexandre (son professeur de danse) l'avait bien vu, tout comme son potentiel de petit mec chaud du cul. Malgré toutes ces qualités ce n'est pas un de mes escorts les plus demandé. Par contre question prime personnel il est dans le premier 1/4. Comme il est redevenu très amoureux de son mec, 2 contrats pas mois suffisent à lui amener les variations qui lui vont bien. Ça plus les quelques touzes post sport de la maison bien sûr ! Cette position verticale, en plus d'être déjà possible contracte naturellement son anus et renforce l'effet sur ma bite. Alors que je me fais plaisir avec lui, je lui demande si c'est une position qu'il fait souvent avec mes clients. Sa réponse me parvient hachée par mes va et vient. Oui mais après une sodo classique où il chevauche le mec. Il attend d'être bien " rodé " et de se le prendre bien profond avant de la proposer. Là il fait un grand écart à l'horizontal et quand sa cheville se pose sur l'épaule du mec, ce dernier peut se relever ce qui les amène à notre position actuelle. En attendant la compression de son anneau commence à bien faire son effet et je rempli la kpote alors que son jus coule sur nos jambes. Ça vaut bien une bonne pelle !
Antony notre maitre-nageur : Avec ses 25ans, il est dans les " vieux " de mon équipe. Toujours maitre-nageur à une des piscines de la ville, son activité pour moi est principalement la même. Il est notre coach en sports aquatiques. Depuis son arrivée, le niveau général s'est nettement amélioré, même de nos gymnastes les plus réfractaires. Celui de quelques-uns de mes clients et celui d'Emma aussi (elle ne le prend que pour ces seules compétences). Il est très content de sa nouvelle vie. Surtout depuis que le petit Guillaume qui m'avait gravement allumé justement à sa piscine l'a choisi comme partenaire privilégié depuis 2 ans. Comme je le rémunère pour son coaching sportif de ma petite bande, il ne fait des prestations " complètes " qu'une fois par mois environ. Avec Guillaume c'est même un peu d'amour qu'il s'agit, du coup la situation est stable pour lui. De mon côté je l'assure qu'il a toute sa place dans mon organisation. Lui aime l'ambiance et suivre les entrainements sportifs individualisés avec Jona.
Gwen (interne médecine) : Dans ces dernières années, sa disponibilité n'est pas fantastique mais j'arrive quand même à le faire travailler 2 fois par mois et il nous rejoint pour faire du sport au moins 1 fois par semaine. Ça n'en fait pas le plus sportif d'entre nous mais lui permet d'entretenir surtout son niveau de self défense et de maitrise de forcené. Notions qui lui servent de temps à autres quand il est d'Urgence. Depuis cette année, il assure aussi le suivit médical de la troupe et émarge comme tel dans les frais de ma société. Bien qu'hétéro il n'est pas fermé à une sexualité alternative. Et j'en profite !! C'est évident. Il me laisse l'enculer et c'est bon une rondelle rarement utilisée. Moins de maîtrise mais plus de spontanéité. C'est rafraichissant même s'il est plus vieux que moi. Brun 1 (interne médecine homo) : Lui, que le test avec la mère de Jean, avait ouvert les yeux sur son désir profond des queues de mecs, émarge aux mêmes conditions que Gwen. Les dernières années de médecine n'étant pas les plus légères en termes de temps de travail. Comme il est toujours partant maintenant pour se faire sodomiser, je n'hésite pas et l'encule plutôt hard. Ce que je sais qu'il aime maintenant. Surtout que j'avais confié sa " mise à niveau " à Pablo et André après son dépucelage qui avait engendré une bataille lors de sa mise aux enchères pas encore dépassée. Il est celui de mes étudiants en médecine qui se rend le plus disponible (rapport aux bi et hétéros). Je prends bien du plaisir à lui défoncer la rondelle et j'aime qu'il se laisse aller dans ses gémissements. Alors que nous reprenons nos souffles après l'optimum atteint, il me dit qu'il souhaiterait continuer encore quelques années même s'il est installé comme spécialiste. Il m'avoue trouver un intérêt personnel à se trouver dans la peau d'un escort. Il sait que c'est un peu irrationnel mais éprouve une grande excitation à l'idée de " louer " son corps. Il me dit qu'entre son internat et les prestations, il n'a pas eu le temps ni trouvé de petit copain. Même parmi les autres escorts de ma maison. Il apprécie les quelques fois où il peut rester aux 3ème mi-temps et là, il privilégie les rapports multiples. Ça fait trop peu de temps qu'il s'est avoué son penchant pour être déjà exclusif.
Jardinier
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Automne 1933 - Champs-les-Sims
4/4
Chère Dolorès,
J'ai été très émue en lisant ta lettre. Ce que tu as fait était incroyablement généreux et courageux. Je ne sais pas si j'en aurais été capable moi-même, après tout, je suis tombée tête la première dans les pièges de l'amour.
Je comprends que tu n'ai pas osé à parler à Lucien, ou à qui que ce soit dans ta famille d'ailleurs, c'était une situation très délicate. Il ne faut pas avoir honte de ses sentiments, c'est quelque chose de tout à fait naturel, mais il faut également faire appel à sa raison. Je sais que c'est bien plus compliqué à appliquer qu'à penser. Je le sais par expérience, l'amour confère un sentiment de toute puissance qui donne parfois une foi aveugle en son propre discernement. J'ai aimé un garçon il y a quelques années, et malgré les avertissements de Lucien, d'Antoine et d'Ange, je n'ai pas pu anticiper qu'il me brisé le coeur en préférant épouser une autre fille. Tu fais preuve d'un bon discernement, c'est bien.
Je peux également tenter de relativiser ta situation, ce qui peut paraître un peu cruel de ma part c'est vrai, mais on comprend en vieillissant. Je sais qu'Hylewood a un marché matrimonial, disons, limité. On n'y croise ni l'homme de sa vie ni un bon parti tous les jours. Ce Fabien m'a l'air d'être un homme très bien, mais rien ne dit que vos deux caractères se seraient accordés sur le long terme. L'amour est doué pour nous faire flamboyer de mille feux, il brille si fort que parfois il nous aveugle quand aux défauts ou mauvaises habitudes que l'on perçoit chez l'autre.
De même, tu es encore jeune, et des garçons, tu vas encore en voir passer encore quelques uns. Des garçons que tu pourras apprendre à connaître avant de trouver chaussure à ton pied. J'ai l'impression de parler comme une ancêtre en te disant ceci, mais je pense qu'on ne peut pas rêver d'un meilleur mari que celui avec lequel tu établit une profonde relation de confiance avant un amour fort. Et rien ne dit que l'amour ne peut pas venir ensuite. Ne le dis pas à Lucien, car il a déjà ironisé sur le sujet, mais avec les années, je pense que je suis en train de tomber amoureuse d'Ange. C'est terrible, car je sais qu'il ne s'intéresse que peu aux femmes, et qu'il connait à Paris des personnes au caractère bien plus intéressant et flamboyant que le mien. Je te comprends mieux que tu ne crois, même si nos situations ne font que vaguement se ressembler.
Tu n'en parle pas vraiment, mais j'espère que cela ne t'affecte pas gravement. Je me doute que cela n'a pas du être facile, et que quand tu es seule avec tes pensées, cela doit être amer. Sache en tous cas que, de l'autre côté de l'Atlantique, tu as une lointaine cousine qui te comprends et te soutiens. Elle lira également tes lettres avec plaisir si tu ressens le besoin d'en écrire une autre.
Bien à toi et avec tout mon soutient,
Arsinoé
#lebris#lebrisgens5#history challenge#legacy challenge#decades challenge#nohomechallenge#sims 3#ts3#simblr#sims stories#Arsinoé Le Bris#Dolorès Le Bris#Lucien Le Bris#Marc-Antoine Le Bris#Ange de Chastel#Fabien Bernard
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Je sais... Je sais comme à l'intérieur tu as mal. Je sais comme parfois tu pleures sans que personne ne le sache. Je sais que tu vis dans la peur d'être jugé. Je sais comme tu attends depuis longtemps des relations profondes et sincères. Je sais comme une parole peut t'impacter telle une balle qui vient trouer ton coeur. Je sais comme dans ce monde tu as déjà beaucoup souffert. Je sais que tu as toujours beaucoup donné, voir trop au point même de ne plus savoir qui tu es. Je sais comme certains, certaines ont cherchés à éteindre ta lumière. Je sais comme tu penses depuis si longtemps que tu seras seul ici toute ta vie. Je sais comme tu es émotionnellement épuisé. Je sais que parfois tu es fatigué de te battre. Je sais comme parfois tu tournes ton regard vers le ciel, implorant de l'aide, qu'on vienne te libérer. Je sais à quel point on a cherché à te changer. Je sais comme on t'a maltraité, comme chaque cellule et chaque parcelle de ton corps ont été fracassées. Je sais qu'il est difficile pour toi de trouver ta place et ta voix. Je sais que tu as peur de souffrir encore. Je sais que tu restes seul parce que tu as peur que personne ne te comprenne et ne t'accueille tel que tu es. Je sais que tu ne comprends pas pourquoi toi tu fais tout avec le coeur et pourquoi les autres pas. Je sais cette profonde solitude qui vit en toi. Je sais comme tes émotions parfois t'étouffent et te donnent mal au ventre. Je sais comme tu étouffes quand il y a trop de monde dans la pièce ou là dehors. Je sais comme tu aimes aider parfois même au détriment de ton énergie. Je sais comme tu n'oses même plus parler par peur qu'on vienne casser tes rêves. Moi voilà ce que je vois en toi... Je vois ta force de faire face à tant de choses et pourtant être encore en vie ici. Je te vois reconnaître le bon chez les gens et crois moi ce n'est pas donné à tout le monde. Je vois ta lumière, ta capacité d'amour et de pardon. Je te vois inchangé, aligné dans ta bonté quand beaucoup d'autres aurait déjà basculé dans l'obscurité à faire souffrir pour se venger. Je te vois comme fédérant et incarnant ce dont ce monde à le plus besoin. Je vois ton coeur pur et loyal. Je te vois capable d'affronter tous les combats que la vie te donnera, je ne vois pas un seul mal dont tu ne te relèverais pas. Je vois ta foi inébranlable et pourquoi tu mènes tes combats. Je vois comme tu ressens la vérité derrière les mots et les émotions des autres qui te rendent solidaire. Je vois comme ta sensibilité révèle ta qualité d'être. Je vois comme tes pleurs transpirent de vérité. Je vois comme tu pétilles et rayonnes quand tu acceptes simplement qui tu es sans ne plus mener de combat avec toi même. Et quand parfois tu penseras marcher seul, remets en toi à moi et aie confiance en toi.
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Mon père à la compagne la plus maniaque de la terre ! Elle a été femme de ménage pendant des années et elle ne trouve jamais un lieu à la hauteur de son exigence de propreté. Elle débarque chez moi dans une semaine mais comme elle sait que le ménage n'est pas mon fort, elle préfère aller dormir à l'hotel. Sauf qu'elle a déjà fait les 3 meilleurs hotels de ma petite ville et que chaque fois, elle a trouvé quelque chose à redire. Alors cette fois, ils ont loué un appartement sur Booking. Depuis que j'ai eu la confirmation de sa venue, je me stress en voyant l'étendue du travail qui m'attend pour remettre mon appartement aux normes sanitaires souhaité par la dame. Tout en sachant bien qu'elle trouvera forcément quelque chose à redire. Bien entendu, elle ne me le dira pas ouvertement, quoi que. Elle fera des réflexions sur le fait qu'elle ne pourrait pas vivre dans un appartement aussi encombré, ni avec de la poussière sur les étagères, etc. Mais je sais qu'elle fera des commentaires plus virulents sur ma façon de tenir ma maison, au reste de la famille. Elle l'a déjà fait, il y a quelques années, en pleins repas avec mes grands parents et mes tantes, affirmant que la prochaine fois qu'elle viendrait nous voir en Normandie, elle irait à l'hotel car c'est sale chez moi . Cela m'a blessé parce qu'en plus, lors de sa venu, mon appart n'avait jamais été aussi propre ! Bien entendu, on a tous son idée de ce que la propreté peut être. Mais je vis avec deux chats et un chien, j'ai des tonnes de plantes un peu partout. Mon mari et mon fils n'en ont rien à faire de l'état de la maison, ils n'y prêtent pas attention et je ne veux pas passer ma vie à ranger et nettoyer après eux. Pour moi, le ménage c'est secondaire, c'est vite fait, parce que c'est de nouveau sale au bout de quelques heures et que je ne souhaite pas passer ma vie un aspirateur à la main. Mais ça, ma belle-mère ne le comprend pas. Elle refuse de sortir de chez elle si elle n'a pas tout nettoyer avant ! Elle ne cuisine plus rien qui sente un peu fort, car l'odeur reste dans leur minuscule appartement. En faisant la liste des critiques faites par ma belle-mère, je me suis rendue compte que même quand on va au restaurant, elle critique. Surtout les restaurant à volonté ou elle ne manque jamais de faire la même réflexion, au sujet de la nourriture asiatique qui serait du chien ou du rat. Bref, elle arrive dans une dizaine de jours et 48h plus tard c'est mon mariage ! Autant vous dire que j'ai des choses à faire, à prévoir, à penser que que me mettre un coup de stress supplémentaire pour le ménage, ça me déprime ! Du coup, j'ai décidé de ne rien faire de plus que d'ordinaire et vogue la galère. Elle va pouvoir s'étouffer avec la poussière, déprimer en voyant les toiles d'araignée dans les coins, gerber en constatant que les chats montent sur les tables, je m'en fous ! Je sais que, quoi que je fasse, ce ne sera pas suffisant, qu'elle critiquera de toute façon. Alors, à quoi bon ? Sérieusement, je ne pense pas que les gens se souviendront de moi parce que mon ménage laissait à désirer. Ils se souviendront de la femme joyeuse, cool, et aimante, celle qui avait toujours le temps pour discuter, créer, sortir. Mais quels souvenirs garderont-ils d'elle ? Pour ma part, je crois que vous avez déjà compris ce que j'en garderai .
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5h45 et ça fait 1h que je suis réveillée pcq Nougat s'est réveillé dans la pièce d'à côté, il en a marre d'être seul. Alors pour lui c'est suffisant de dire "chuuuttt nougat encore dodo" mais ça réveille les deux autres qui voient ça comme un "go la journée peut commencer", qui commencent à courir partout, se battre etc. et moi je ne sais pas me rendormir bien sûr. Et c'est comme ça que toutes les journées commencent depuis qu'il fait clair un peu plus tôt, j'en suis à espérer la fin de la saison.
Lundi il y a eu le briefing pour la semaine de stage de cirque en camping. Je me disais "une semaine sans chat whouhou" bah on se lève à 6h, un peu plus tôt si on veut une douche tranquille, et le feed back de la journée est à 23h. Alors moi je ne vais pas faire de cirque cette semaine là, j'y vais dans l'équipe d'intendance, qui est en fait l'équipe de profs dans l'école de cirque où je jongle. On va faire les courses et les repas pour les 130 jeunes et animateurs du camp. Ça va être une semaine de dingue et c'est assez bien payé. L'ado participe au stage chez les jongleurs mais on ne se croisera pas beaucoup en journée, et les nuits, il a une tente avec ses potes.
Les examens continuent, il en reste trois. Pour l'instant ça va mais on sent la fatigue et les erreurs d'inattention qui arrivent. Je continue de trouver cette période de l'année totalement inutile. Les remplir comme des seaux et les faire vomir le tout en fin d'année au lieu de fonctionner avec des bilans. Mon amie, qui est prof en supérieur, trouve que c'est important de pouvoir ingurgiter des grosses quantités comme ça. Ça les prépare aux études supérieures. Je trouve qu'il n'y a pas de rapport entre faire son boulot convenablement dans sa vie professionnelle et utiliser sa mémoire de manière aussi intensive et endurante, jusqu'à la nausée. Les études supérieures aussi pourraient segmenter la matière et leur éviter cette période de stress. Elle a utilisé comme argument "si je devais me faire opérer, j'aimerais que le chirurgien soit assez endurant au cas où" et je n'ai quand même pas vu le rapport avec la gestion d'une session d'examens du coup je trouve cet argument complètement claqué.
Il y a une psy de l'un des centres pluridisciplinaires où je bosse qui est partie récemment, il y a aussi l'animateur des ateliers BD et là c'est une logopède qui quitte bientôt l'équipe. A chaque fois c'est parce qu'iels ont trouvé une place comme salarié.e.s. Ce centre était déjà en questionnement, par rapport au fait que beaucoup d'indépendants partent (ça coûte très cher d'être indépendant en Belgique) et donc il n'y a pas suffisamment de loyers qui rentrent pour les bureaux et ça se pourrait que le centre ferme bientôt. Pour moi ça ne représente qu'une petite aprèm mais l'amie qui a ouvert ce centre et qui y met énormément d'énergie depuis des années est dévastée. On est en juin, les nouveaux professionnels sont diplômés et vont chercher une patientèle, j'essaie de la rassurer comme je peux mais on verra. Ce soir on a une réunion-barbec justement avec toute cette équipe, l'ambiance va être bizarre.
Je suis moi aussi dans une remise en question, une impression de ne pas être bonne dans mon job en ce moment. Les examens de l'ado me stressent et me font faire le taxi et j'ai l'impression que mon cerveau est totalement absorbé par ça , je n'ai pas de longue période "pour moi" dans la journée du coup mes factures ne sont pas envoyées, mes bilans ne sont pas faits, je n'ai pas harcelé les médecins pour avoir mes prescriptions signées. J'ai été absente 3 semaines en mai, j'ai l'impression d'avoir abandonné mes patients à un moment où ils avaient besoin de moi. Et il y a ce petit bonhomme dont le bégaiement revient alors que d'autres choses se règlent.
Et mon alarme sonne dans 2 minutes.
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