Tumgik
#il leur arrive que des conneries
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ah mon dieu mais les croute ils sont grandioses
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olympic-paris · 28 days
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saga: Soumission & Domination 251
Nouvel an 2013
Le reste de la semaine s'est passé en préparatifs pour notre réception du 31. Comme tous les ans grosse teuf/touze pour le 31. Les amis arrivent de tous les cotés et ne manqueraient pour rien au monde ce grand moment de débauche sexuelle !
Les parisiens forment un bon contingent avec Kev que son boss/mari laisse libre ce soir là, Bo-gosse et Moitié. Alban sera des nôtres cette année, attiré par la présence de Ric ! Les potes de La Palmyre seront là aussi, Jérôme et son Frédéric, Manu et Théo. Bruno et Arnaud nos voisins de la campagne, Igor et ses jumeaux Tic et Tac collés du petit Théo, et donc aussi son frère Ed ne manqueraient cette fête sous aucun prétexte. Second et Julien, nos " manuels " arriveront dès la fermeture de la boutique de Julien. Nos architectes préférés, Olivier et Pierre nous ont répondu positif. Les motards, Eric et son petit Cédric, Phil et Luc, Daniel, Franck et donc Louis ont répondus présent. Nous attendons de Suisse Pablo le grand frère d'Ernesto qui a négocié de travailler à noël pour avoir son 31 et 1er. Absents, Jean coincé avec son client privilégié, nos amis du sud, Alex et Johan (mon sosie) qui sont en vacances au soleil.
Petit calcul : nous seront 33 sans compter Samir et Ammed. Belle logistique !
Pour être certain que Maxou ne fera pas de connerie ce soir là, je l'ai confié/loué à André le père de Ric avec qui il avait déjà passé les dernières vacances.
Nous ne sommes pas trop de trois pour tout mettre en place (bien secondés par Samir et Ammed). Toutes les chambres sont préparées et équipées, pas seulement de draps et couettes, mais aussi en kpotes, gels divers... Les salles de bain sont remplies de produits pour le corps et de draps éponge.. En ce qui concerne la bouffe, j'ai commandé tout le salé chez Julien et le sucré dans la meilleure pâtisserie de la ville. Contingences matérielles, il a fallu augmenter nos capacités de froid et le 30 nous recevons deux énormes frigos qui trouvent place au ré de chaussée. Juste a temps pour recevoir les livraisons de bouffe. Pour éviter les mélanges d'alcool, nous optons pour du champagne avec deux variantes : brut et rosé. J'en avais fait rentrer 15 caisses toutes maintenues à 10° dans la cave.
Le 31 matin, je prête ma 300SLS à Ernesto pour qu'il aille chercher son frère à l'aéroport. Pendant ce temps là les invités commencent à arriver. Ric arrive avec Alban qu'il a pris à la gare. Contrairement à ses habitudes, il amène avec lui les esquisses et les photos de nos cariatides en cours de création. Ric est aussi pressé que nous de les voir car il en est le modèle. Ça avance bien et même " soviétisé ", nous reconnaissons son visage.
Avant que les autres arrivent, Ric me demande où nous comptions les loger afin qu'ils puissent s'installer. Je les accompagne et leur laisse libre choix, tout en leur disant de prendre leur temps. Nous ne les reverrons qu'une heure et demi plus tard deux sourires béats ornant leurs visages. Pas besoin d'avoir vu ce qu'ils avaient fait pour le savoir !
Nos deux Espagnols de frères sont arrivés. Pablo roule des pelles à tout le monde, content de nous revoir. Je le prends à part quelques minutes pour lui dire que je voulais lui faire une proposition avant qu'il ne reparte. Il me dit qu'on a qu'à en parler tout de suite avant que les autres invités n'arrivent.
Je lui transmets le désir de ma mère de le voir prendre la place de sa cuisinière vieillissante, à ses propres conditions si elles ne sont pas extravagantes. Il me demande s'il peut la rencontrer. Je téléphone direct à Emma et elle nous dit de venir en début d'après midi.
Nous déjeunons tous sur le pouce d'un brunch improvisé par Ammed.
Nous laissons les autres le temps de faire un saut chez ma mère. Elle nous reçoit dans le salon, explique à Pablo sa problématique et lui demande ses conditions. Le salaire expédié (elle s'aligne sans problème sur ses émoluments suisses), elle lui annonce le cadre de travail. Service des petit déjeuners, déjeuners et diners avec l'aide de sa vieille cuisinière dont il sera le chef, à lui de la prendre dans le sens du poil pour s'en faire une alliée, ce qui lui permettra de prendre du temps pour lui quand le service de la maison sera minimum. Logement T3 dans le pavillon d'entrée au dessus du garage avec entrée indépendante, utilisation possible des véhicules de la maison pour son service mais aussi pour ses déplacements personnels, selon leurs disponibilités, avec juste à prévenir le majordome. Il pourra aussi, s'il le désire, exercer à façon chez des amis et connaissances tant que cela n'entre pas en concurrence avec ses propres réceptions. Et bien sur les 5 semaines de vacances légales en France.
Ernesto demande un moment de réflexion. Emma le pousse dans son bureau et lui dit que s'il veut parler à Ernesto il n'a qu'à utiliser le téléphone. Avant que nous nous retirions, il me demande de rester. On discute un peu sur la charge de travail. Je lui dis qu'il aura le plus souvent une personne à servir, Emma, environ 1 fois par semaine un diner en petit comité et 6 à 7 fois par an une grande réception. Il me dit que les 5 semaines de vacances c'est génial par rapport à ses 3 semaines péniblement arrachées à ses suisses. Il me questionne sur ses possibilités de taf extérieur. Je lui parle des amis de ma mère qui, sans avoir de cuisinier à demeure seront très intéressés pas ses capacité dès qu'ils auront été conquis par sa cuisine chez Emma et je lui parle de mes " beaux parents ", qui ont parfois besoin de plus que leur cuisinière maison. Je le laisse pour qu'il téléphone à Ernesto. Quand il nous rejoint, il demande quelques précisions puis accepte mais avec un délai d'un mois pour se défaire de ses employeurs actuels.
Pendant le trajet de retour, il me dit qu'il n'aura peut être pas autant de repas de gala à faire qu'avec ses suisses mais qu'il disposera d'une totale liberté de création en plus de conditions de travail plus généreuses. Je lui propose alors que s'il a besoin d'un cadre légal pour vendre ses services culinaires, il pourra utiliser les structures de ma société. J'aurais même peut être des clients " sexe " intéressés par ses facultés.
Je lui demande ce qu'en a pensé Ernesto. Il me dit qu'il était super content car ils se verraient plus mais qu'il ne comptait pas pour le moment émigrer lui aussi. Il avait trouvé un bon équilibre entre leur appart (à Hervé et lui), leur vie semi-commune et ses clients Barcelonais.
Quand nous rejoignons le Blockhaus, nous y trouvons tous nos invités arrivés (sauf Second et Julien). Le champagne est déjà débouché et tous se joignent à moi pour souhaiter à Pablo, une bonne venue en France. La fin d'après midi / début de soirée se passe en discussions diverses, prise ou reprise de contact pour certains. Pas encore de divergences vers le coté sexuel de nos retrouvailles, ils sont tous là jusqu'à demain soir ! Samir et Ammed ont toujours autant de succès dans leurs shortys en cuir noir que l'usure a moulés au plus près de leurs anatomies.  Quand second et Julien débarquent ça commence a devenir chaud. Faut dire qu'ils sont arrivés très " sex ", jeans slims moulant leurs cuisses musclées et leurs culs ronds et t-shirts exhibant leur travail en salle de muscu. Ils n'avaient pas fini de dire bonjour à tous que leurs t-shirt avaient quitté leurs torses ! Je crois bien que c'est Moitié qui a lancé les hostilités en renversant sa flute de champagne sur les pecs épilés de frais de Second et en se précipitant dessus pour récupérer le vin avec sa langue.
A partir de ce moment là, j'ai perdu le déroulé de la fête. Attrapé par Pablo qui voulait être le premier à me remercier pour l'invitation et ses conséquences. Et surtout être le premier à m'enculer. Je me laisse faire non sans lui avoir prodigué une pipe en mode gorge profonde comme je sais bien le faire. Je retrouve la même bite que celle d'Ernesto mais avec une façon d'opérer totalement différente. Il est plus viril dans sa possession de mon cul, et ce n'est pas désagréable (mon coté salope qui se réveille...comme s'il s'était jamais endormi !). Autour de nous les mecs se mélangent, se sucent, s'enculent, les " couples " se sont dissouts et les moitiés testent les autres mâles. Louis, pour qui c'est la première touze de ce genre, s'est vite mis au diapason après quelques instants de timidité, vite dissipés par les avances des mâles en mal de chairs fraiches et encore inconnues. Après mon intermède Hispano-suisse, je le trouve embroché par Bo-gosse et Igor. A l'occasion d'une prise d'air, il me dit que c'est trop fun cette touze. Franck, son " mari " est en train de se faire le cul de Théo. Les fauteuils sont partagés, les canapés servent de supports aux baises de groupe et la table basse (heureusement très solide) permet de mettre 4 culs à la bonne hauteur pour les faire défoncer par 4 mâles debout.
J'ai faim. Le comptoir de la cuisine sert de buffet avec la grande table à manger. Je grignote, je ne tiens pas à gerber au prochain gland qui passera de l'autre coté de ma luette ! Après m'être penché sur la queue bandée d'Hervé pour m'assurer qu'elle est bien dure et prête à défoncer le cul de Tac dont il vient de faire la connaissance, je m'aperçois qu'il manque une partie des invités. Le temps de voir des jambes s'agiter dans l'eau au dessus de la cuisine et de m'apercevoir qu'une partie à du émigrer sur la terrasse, je les rejoins. Ils sont bien partis et je vois Jérôme et Manu commencer un concours de pipes en apnée sur Olivier et Kev. Je rappel juste qu'il ne faut pas juter dans l'eau sous peine de voir le bassin fermer. De l'autre coté de la rambarde monte jusqu'à nous des halètements caractéristiques d'une sodomie bien menée. Je me penche et entre les feuillages tropicaux, je devine Eric en train d'enculer un cul plutôt étroit pour son gros calibre (26 x 7). A l'occasion d'un changement de position je vois qu'il s'agit de p'tit Théo (celui de Tic, frère d'Ed). le plus petit format de la touze se fait sodomiser par la plus grosse queue présente. Je descends voir ça.
Quand j'arrive, Eric lime toujours la rondelle de p'tit Théo. Je m'approche. Il est en train de l'enculer en levrette. Pour me montrer la rondelle éclatée, il écarte les fesses de Théo avec ses pouces. La vue est superbe ! Sa grosse et longue bite noire pistonne le trou un peu rougi séparant deux fesses d'une blancheur et douceur juvénile. P'tit Théo m'aperçoit. Il me fait un grand sourire et me dit que c'est trop bon ! Je lui avoue tout bas que je l'ai testé avant lui et que je sais tout le bien que sa queue peut provoquer.  Des soupirs vers le fond du " jardin " m'attirent. Derrière les bacs de palmiers et de rhododendrons je découvre un quatuor qui ne manque pas d'imagination. Cédric et Arnaud sont en train de se faire défoncer par Second et Julien. Les deux minets se roulent des pelles alors que nos deux " Musclors " les enculent tout en les portant. Je passe ma langue dans les bouches de mes deux sportifs et me place derrière second et kpoté m'enfonce dans la moiteur de son cul. Et dire que la première fois où je me le suis fait, il venait d'être mis à la bite par son Maçon de patron et que j'avais du lui apprendre à sucer correctement enfin profondément ! Il s'est méchamment développé question muscles et diversifié coté sexe. Mais sa rondelle est toujours aussi bonne à limer. Julien me voit faire et me demande comment je la retrouve (la rondelle de Second). Je lui dis que l'utilisation qu'il en fait la garde bien nerveuse et voluptueuse à souhait. Nous changeons de position, fatigue musculaire et équilibre précaire ! Arnaud dos sur un des bancs de notre jardin tropical supporte Cédric en 69 Julien et Second réinvestissent leurs rondelles en manque. Quand à moi, je passe du cul de Second à celui de Julien (qui est moins rodé à cette pratique) sans changer de kpote puisqu'entre eux, ils baisent sans (statuts sérologiques réalisés et similairement négatifs). L'anneau de Julien est un peu serré et ce n'est que meilleur ! J'ai du lubrifier un max avant de réussir à le pénétrer. Second me dit qu'il n'y va pas assez souvent car il préfère recevoir son mec dans le cul. Entre eux, nos deux jeunes se défoncent leurs bouches respectives. Ils jutent les premiers, se couvrant mutuellement de sperme. Je suis dans le cul de Julien au moment ou ce dernier jouit. Son sphincter me serre la queue délicieusement et je rempli ma kpote en trois coups de rein qui m'enfoncent au plus profond de son cul.
Nous nous désagrégeons. Les deux jeunes courent au monte-charge pour rejoindre les autres au 4ème, à la recherche de nouvelles bites à honorer. Avec Second et Julien, nous prenons un moment. Je félicite de dernier pour la finesse du buffet qu'il nous a réalisé.  Je demande à Samir au 4ème de nous envoyer une bouteille de champ. Elle nous arrive par le monte-plat. Je fais sauter le bouchon et nous buvons à la bouteille vu que j'avais oublié de demander des coupes ! le champagne coule sur nos bustes et tous les trois, nous nous léchons pour ne pas perdre. Ils sont vraiment bien musclés eux aussi. Quand je leur demande, ils me disent avoir investis dans du matériel car l'un comme l'autre n'a le temps d'aller dans une salle de sport. Ils s'entrainent et s'entraident tous les deux. Nous prenons des poses faisant ressortir nos muscles. J'avais déjà vu la fermeté de leurs fessiers, le reste est à l'avenant. Quand nous remontons, les autres sont en " pause " sauf nos deux voraces qui se sont trouvé les queues de Marc et Hervé à faire dégorger.
Je m'aperçois que la soirée est bien entamée et qu'il ne manque que quelques minutes pour terminer l'année. Bien que nous soyons tous à poil, les discutions reprennent. Alban est félicité par ceux qui ne le connaissaient pas pour la sculpture qui occupe le centre de la terrasse. Quand Ric dit qu'il lui sert de modèle pour la réalisation de deux cariatides, il se fait huer et arroser de champagne. Minuit est là. Embrassade générale, qui dure ! Je crois bien que le roulage de pelle général nous a pris une bonne demi-heure. Les deux heures qui ont suivies ont permis les dernières permutations possibles. A la suite de quoi, bien fatigués nous avons rejoints les étages de nuits (3ème et premier). Avant de tomber dans les bras de Morphée, j'ai lancé les enregistrements des vidéosurveillances des chambres. Je me joins à mes espagnols trop heureux de se retrouver. Je me coule entre eux et m'endors dans les bras de Pablo serrant Ernesto dans les miens. Avant de tomber de sommeil, je m'aperçois que PH s'est enroulé dans ceux d'Ernesto.
Au réveil le premier janvier, j'entends gémir. C'est PH qui se prend Ernesto alors qu'il est encore dans mes bras. Je sens contre ma rondelle le gland enkpoté de son frère tenter de me pénétrer. Je me suis détendu et lentement je l'ai senti progresser en moi. Mes gémissements se sont joints à ceux de mon PH. Et c'est ensemble que nous avons jouis sous les coups des deux bites espagnoles.
Au petit déjeuner / brunch vu l'heure avancée de la matinée, certains sont déjà en train de pomper. Quand ils ne se font pas enculer, comme Cédric empalé sur sa bite préférée, les 26cm de chair noire d'Eric. Cela ne l'empêche pas de savourer son café entre deux périodes de limage.
Ayant eu notre dose pour quelques 10aines de minutes au moins, PH et moi nous nous restaurons en compagnie de Pablo et Ernesto. Marc nous rejoint et nous demande comment s'est passée la nuit. Je lui réponds que la nuit fut calme contrairement au réveil. Il éclate de rire et nous dit qu'il en a été de même pour lui avec le cul de Louis comme réceptacle de sa bandaison matinale. Les exemples sous nos yeux réveillent les libidos encore somnolentes et les croissants ne sont pas finis que le séjour ressemble au bordel de la veille. Ça nique dans tous les coins. Après Cédric, c'est le cul de Kev qui s'embroche sur le barreau noir. Le gel coule à flot et les vapeurs de poppers envahissent l'air ambiant.  J'encule Franck devant les yeux de son Louis lui-même sodomisé par Igor. Les couilles sont sèches et les montées en jouissances longues. Mais à l'heure du café, toutes sont de nouveau vides !
Le reste de l'après midi se passe en douches et barbotages dans les piscines. Ernesto me redemande la 300SLS pour reconduire Pablo à l'aéroport.
Quand il revient, il me saute au cou pour me remercier du taf que j'ai trouvé à Pablo. Ne le voir que trois fois par an, l'avait peiné plus qu'il ne l'avait pensé au premier abord.
Jardinier
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perfekt bar
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perduedansmatete · 11 months
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mercredi il y a l'enterrement de cet ami d'enfance ça me déprime j'en ai marre de la fac je sens la vague intense de travail arriver et c'est atroce j'ai trop de trucs à faire et trop de stress et trop d'exposés affreux à préparer et à exposer et pas assez d'anxiolytiques que je ne suis pas censée prendre pour cet usage mais qui marchent quand même relativement bien pour calmer mon cerveau mais je peux pas avoir de rendez-vous avec ma médecin avant mille ans et je ne suis que fatigue mais j'arrive pas à dormir et en fait même juste l'idée de ce master me soûle trop en ce moment car ça a pas trop de sens mais bon je vais le faire puis j'en ai marre de me lever trop tôt pour aller au collège et du bruit des ados et leurs conneries et de mes angoisses et bloquages profonds auxquels je pense tout le temps en ce moment sans arriver à les énoncer ou sans essayer mais à qui de toute façon en plus je me sens terriblement seule et il fait froid dans la fac et chez moi et je me sens à ma place nulle part et j'ai mal au ventre et j'ai l'impression de quémander et je mange pas assez et j'ai juste plus envie de bouger de mon lit pendant l'éternité et qu'après ça s'arrête mais surtout j'ai l'impression d'être un gros bébé et c'est très désagréable et et et j'arrête les et car c'est aussi désagréable
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maaarine · 11 months
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je vois que le "crime de passion" a été remplacé par l'"acte de désespoir"
pauvres cocos, ils sont trop sensibles ces hommes, j'ai beaucoup de peine pour eux
source: Double homicide en Flandre : le suspect interdit de contact avec les victimes (Le Soir, 12 nov 2023)
Réinventer l'amour (Mona Chollet, 2021)
"Cette primauté des émotions de tous les hommes – pas seulement des hommes violents –, ce réflexe de s’identifier à eux, à leur vécu, à leurs intérêts, cette idée que le rôle d’une femme est de tout comprendre et de tout pardonner, nous les avons profondément intégrés.
La philosophe Kate Manne a forgé un terme pour désigner ce phénomène : himpathy (de him, « lui », et sympathy, « sympathie » ou « compassion »).
Battue par son petit ami, qu’elle a quitté sur-le-champ, Cécile, une trentenaire parisienne, a décidé de porter plainte ; mais son père le lui a déconseillé, estimant que « ça arrive à tout le monde de faire une connerie ».
Spontanément, il se mettait donc à la place de l’agresseur, et non à la place de sa propre fille, qu’il avait pourtant vue défigurée.""
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wubblesred · 4 months
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Ghoulcy week day 1 NSFW
Bonjour, cette fois on se retrouve avec le thème NSFW du jour 1. Ce thème est Proximité Forcée. Personne mineure ne pas interagir merci. J'espère que ça vous plaira. Cette histoire est aussi poster en anglais sur mon compte. Bonne lecture.
De toutes les merdes qui pouvaient leur arriver, il fallait que ce soit celle-là. Cooper s'était fait avoir comme un bleu, deux cents ans à parcourir ces terres, à connaître toutes leur magouilles tout ça balayer par Lucy foutu MacLean et son foutu cœur d’artichaut. Il lui avait dit qu'elle faisait une connerie en allant aider ces gens, qu'il y avait un truc pas net dans leur histoire mais non mademoiselle avait insister et il n'allait pas la laisser y aller seule. La petite tueuse était devenue une obsession pour lui au départ pour finir par devenir quelqu'un d'important pour lui depuis qu'ils voyageait ensemble, il ne lui avouerait pas cela bien sûr. Bon sang comment allait-il tenir en étant attaché à elle ainsi ?
Cooper allait la tuer c'était sûr. Ils commençaient enfin à se faire confiance, à échanger à propos de leur passé, de leur vie et comme une débile elle avait tout envoyé valser. Il lui avait pourtant prévenu de ne pas suivre ces gens et les aider mais non elle n'en avait fait qu'à sa tête et les voilà maintenant kidnappé et attaché. D'ailleurs qui attachait les gens ainsi, la goule était ligoté à une chaise tandis que Lucy avait été positionnée assise sur ses genoux ligoté à l'homme. C'était une posture fort embarrassante surtout au vu des réactions de son corps. Elle se souvient avec effroi des rires de ces sadiques à leur réveil, ils avaient pris sa réaction indignée pour du dégoût envers son camarade et s'était moqué qu'elle servirait bientôt de repas pour goule, apparemment tout ce que méritait une « pétasse qui kiffe la chair décomposée » dans son genre. Il fallait absolument qu'elle les sorte de cette situation avant qu'il ne comprenne que c'est tout sauf du dégoût qu'elle ressent. Elle commença donc à se dandiner en avant et en arrière afin de délier leur liens.
« Lucy » Entendit-elle grogner à son oreille. « Arrête de bouger ainsi par pitié. »
L'utilisation de son prénom ainsi que l'intonation de la voix de l'homme l'a fit se stopper d'un coup. La frustration la gagna quand même, ils ne pouvaient rester ainsi donc autant qu'ils travaillent ensemble, c'était sûrement leur seule chance.
« On doit trouver un moyen de se libérer. Si on travaille ensemble, on pourra y arriver. »
« Et ta solution c'est de te frotter à moi ? Crois-moi, petite tueuse, ça créera quelque chose mais certainement pas ta solution. »
« Hein ? Ça n'a pas de sens. Et puis moi au moins j'essaie de nous trouver une solution. »
Un coup de hanche provenant de la goule colla leur deux bassins. Tout en expirant un soupir de surprise, Lucy senti l'entrejambe dur de Cooper contre la sienne.
« Maintenant tu comprends le sens, poupée ? »
Tout s'embrouillait dans l'esprit de la jeune femme, elle savait qu'elle était prisonnière tout comme lui et qu'ils devaient se dégager de ce problème au plus vite mais ce coup de rein avait embraser ses sens et elle en voulait plus. Elle savait que c'était profiter de la situation si elle répondait à cette action, l'homme avait probablement eu une réaction naturelle et ne ressentait pas ce qu'elle ressentait. Cependant l'habitante d'abri n'en pouvait plus, elle avait déjà été attirer par Cooper en voyant ses films avec son père alors quand elle a mieux connu la goule et qui il était, son béguin était revenu et les voilà à présent lier l'un contre l'autre, leur souffle se mélangeant l'un à l'autre. La brune décida de lâcher prise, tant pis pour les conséquences, elle ferait l’égoïste, elle avait besoin de Cooper, un mouvement de sa part avait réussi à lui faire perdre pied, elle se demanda si il lui en accordera d'autres. Une seule façon de le savoir et Lucy tenta sa chance. Elle voulu commencer doucement mais son désir pris le dessus et les mouvements sensuels qu'elle voulait faire devinrent rapidement des balancement désespérés. L'homme face à elle était figé, elle qui aurait voulu que celui-ci prenne le contrôle et la fasse encore plus vibrer, ça avait l'air d'être loupé. Tant pis, la jeune femme était parti trop loin pour s'arrêter maintenant, elle assumerait les conséquences plus tard.
« Cooper » Ne put-elle s'empêcher de gémir tout en essayant de chasser son plaisir dans ses mouvements contre l'homme.
Ce son sut débloquer la goule qui commença à répondre aux avances de la jeune femme. Lucy foutu MacLean, comme si c'était pas assez de lui avoir fait ressentir de nouveau du désir et des sentiments après deux cents ans de simple pure vengeance, non il fallait que la brune éprouve le même appétit sexuel que lui. Pourtant, en la voyant et l'entendant prendre son plaisir, Cooper se dit que cela valait bien deux siècles d'attente. Il maudissait leur situation, il voulait pouvoir la toucher, la déshabiller et se perdre en elle sans qu'il n'y ait personne autour. Cette femme n'était et ne devrait être qu'à lui. Rien à foutre de son père ou de l'autre débile en armure avec qui elle était, il lui ferait oublier jusqu'à ce que seul lui ne réside dans son cœur, dans son corps. Si seulement ils n'étaient pas ligotés, ce qu'il ferait subir à son corps, si la jeune femme était déjà dans cet état rien qu'avec des frottements de bassins, il l'enverrait toucher les étoiles avec le bout de ses doigts.
Lucy devenait de plus en plus frustrée malgré la réponse de l'homme contre elle. Elle voulait qu'il la possède entièrement, personne ne l'avait jamais fait ressentir ainsi. Pas même Monty ou Maximus. Elle était déjà complètement trempée mais ce n'était pas assez, elle désirait ses mains, sa bouche sur elle, que leur corps ne fasse plus qu'un. Elle tenta à nouveau de se débattre contre leur liens mais ce fut un nouvel échec ce qui la poussa un lâcher un sanglot de frustration.
« Lucy... Lucy... Détends-toi... Continue de bouger contre moi, fais-toi plaisir, poupée. »
« C'est pas assez... Coop... J'en veux plus. » Gémit-elle.
« Ah oui ? Je ne te donne pas assez de plaisir ainsi ? » Ricana la goule
« Nooon. »
Ressentant la même frustration que Lucy, l'homme lui ordonna de se préparer à l'impact avant de propulser en arrière brisant la chaise en bois dans la collision. Quand ce fut fait, il enleva leur liens desserrer et plaqua la femme contre le sol. Il l'embrassa à perdre haleine tout en abaissant la tirette de sa combinaison. Ses mains s'insinuèrent dans celle-ci laissant une traînée de frissons sur le corps de l'habitante d'abri. Cette dernière rendit avec autant d'émotion le baiser et aida Cooper à la déshabiller tout en retirant après son manteau et sa chemise. Une des mains de l'homme finit sa course dans les sous-vêtements de Lucy, ses doigts glissant lentement contre ses lèvres, frôlant son entrée sans jamais y pénétré dans le but de titiller sa douce camarade pour la punir de ces derniers jours où il aurait pu l'avoir sans le savoir. Néanmoins un seul regard vers le sien empli de larmes le poussa à entrer son doigt en elle, son pouce venant se poser sur son clitoris où il imposa un mouvement circulaire pour lui faire perdre de plus en plus pied. Lucy n'avait jamais été aussi belle qu'en cet instant, perdue dans le plaisir, Cooper avait penser que la jeune femme fut sublime devant le Super Duper Mart mais ce ne fut rien face à la beauté qu'il avait face à lui.
Lucy n'avait jamais senti autant de plaisir, c'était comme si Cooper et elle étaient connectés. L'homme venait touché les endroits qui lui procuraient le plus de sensations, les allers et retours de ses doigts en elle lui faisait perdre la tête. Trois doigts dorénavant entrait et sortait de son corps afin de la préparer à recevoir le sexe de Cooper. Elle le voulait tellement, elle s'impatientait même, elle souhaitait ne faire qu'un avec celui qui lui faisait ressentir autant de sentiments. Ses mains cherchèrent son compagnon pour l'attirer à elle et lui murmurer qu'elle le désirait en elle. Comportement qui fit rire ce dernier mais il accéda tout de même à la demande de sa belle. Le plaisir qu'elle ressentit quand leur corps furent enfin lié fut tellement intense qu'il lui donna un orgasme.
Après plus de deux cents ans sans coucher avec quelqu'un, Cooper revivait en allant et venant en Lucy. Sa petite tueuse était vraiment un cadeau venu du ciel, ciel qu'il pensait l'avoir abandonné et qui était revenu tout lui donner. Une piste pour retrouver sa fille et Lucy MacLean pour venir raviver son cœur et panser ses plaies. Son corps et ses gémissements étaient divins et malgré qu'elle soit déjà venu une fois, la goule voulait encore lui donner des orgasmes. Que ces vas et viens leur fasse atteindre ensemble le septième ciel. Que cette première fois soit mémorable au point d'oublier les autres et qu'elle continue d'être à lui. Sentant le plaisir monter davantage en lui, Cooper accéléra ses mouvements et amena à nouveau sa main vers le sexe de la jeune femme pour stimuler son clitoris et leur faire atteindre ensemble l'orgasme. Le moment étant imminent pour tout les deux, l'homme repris possession de la bouche de sa compagne, il voulait que chaque gémissements et sons de Lucy aille jusqu'au plus profond de son âme. Celle qu'il pensait perdue jusqu'à ce que l'habitante d'abri vienne la raviver et la garder pour elle parce que Cooper, même si il n'oserait jamais lui dire, savait qu'il appartenait à cette femme. Et il voulait qu'elle lui appartienne en retour pensa-t-il avant de se répandre en elle.
Les deux individus ne s'étaient pas encore détacher l'un de l'autre malgré les minutes qui furent écoulées depuis leur jouissances. Ils ne voulaient pas briser leur moment et séparer leur corps qui s’emboîtaient si bien. Durant leur plaisir, ils n'entendirent pas les cris de douleur de leur ravisseurs ni les bruits de luttes qui avait eu lieu dans la pièce d'à côté. Leur surprise fut donc grande quand la porte s'ouvrit non pas pour montrer leur geôliers mais la silhouette d'une goule femelle. Cooper s'empressa de couvrir Lucy avec son manteau tout en la plaçant derrière lui.
« Eh ben on s'amuse bien le vieux. » Fit la goule que Cooper reconnu comme Camille, une habitante d'un village de goule dans lequel il avait déjà résider quelques fois. Camille était ce que Lucy considérerait comme une « amie ».
« Oh ferme là Camille. » Cracha l'homme
« Drôle de façon de remercier la personne qui vous a sauvé pendant que vous preniez votre pied. Aller rhabillez vous, tu pourras m'expliquer en chemin comment t'en ai venu à te taper une peau douce le vieux et elle pourra avoir une dose de RadAway. » Dit la goule avant de sortir de la pièce en sifflotant.
Malgré la gêne qu'elle ressentait, Lucy apprécia la douceur dans les gestes de l'homme pendant qu'il l'aidait à s'habiller. Quand ils furent prêts et debout, Cooper attira la jeune femme à lui pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres avant de prendre sa main et l'amener en dehors du bâtiment. Cette action fit sourire Lucy, ils étaient peut-être fort atypiques et un couple que beaucoup n'auraient pas vu venir mais la brune, elle, était de plus en plus persuader qu'ils étaient destiné à être ensemble.
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humanbra · 10 months
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Our Way Back
Chapitre 9 : Saisir, Agir, Fuir
Où Morgane et Karadec se courent l'un après l'autre et Morgane tente de réparer ses conneries.
"Plus tard, il l'aurait couverte de baisers. Il l'aurait conduite à sa chambre, dont il aurait changé les draps la veille pour qu'ils soient encore frais quand elle s'y coucherait. Il lui aurait fait l'amour autant de fois que leurs corps leur auraient permis, l'aurait fait jouir autant de fois qu'elle l'aurait laissé faire, ne se serait jamais lassé de l'entendre gémir ni de la sentir se cambrer contre lui.
Et tout ça aurait pu arriver.
C'est presque arrivé.
Sauf qu'elle s'est enfuie en plein milieu du dîner.
Sauf qu'ils avaient déjà couché ensemble sous substance."
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xvi-1 · 1 year
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London Bridge
#yungblud #yungbludxsu1c1d4l!reader
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Pov Dominic :
Ahhhh c'était un super concert ! L'ambiance, les lumières, les gens qui chantaient ! C'était mental !
Adam pose sa main sur mon épaule et ris.
Adam: C'était un super concert t'a assuré Dom !
Tom: Ouai ! C'était génial mec !
Moi: J'ai rien fait c'est les gens qui était déchainer ! Et puis toi Adam t'étais ouf à la guitar !
Je fait le signe des rockeurs avec ma main droite en tirant la langue et on ris.
Adam: On va se prendre une bière ou on rentre directement ?
J'allais répondre que je connaissait un bar pas très loin, mais j'entendis Tom bailler a côté de moi.
Moi: On est tous crevé, on ferait mieux d'aller se coucher à la coloc'.
Tom: Ouais, je vais appeler un taxi.
Tom s'avance sur le trottoir et lève sa main. Un taxi arrive s'arrête et nous fait signe de monter. On s'installe tous à l'arrière et j'appuie m'a tête sur la fenêtre et regarde le paysage défiler devant mes yeux.
On passe dans une rue, on tourne à droite puis on arrive dans une autres rue.
On arrive sur le grand London Bridge. J'observe l'eau et les quelques bateaux qui flotte. Je regarde aussi les immeubles au loin avec toute leurs lumières allumer.
La voiture me berce et je ferme un peut mes paupières. Pour finalement les rouvrir ne trouvant pas le sommeille, je me redresse et continue de regarder la vue depuis le pont.
Quand soudain je vois une silhouette sur le rebord du pont. Cette silhouette a les bras grand ouvert. Je suis plutôt loin mais je peut voir que c'est une fille de dos. Elle va sauter ! Je me redresse d'un coup et cris au chauffeur.
Moi: Arrêtez vous ! Arrêtez vous ! Putain ! Regardez là bas !
La taxi s'arrête d'un coup. Je montre du doigt la silhouette. Puis je descend du taxi et cours jusqu'à l'autre bord du pont. Je cours jusqu'à ne plus avoir de souffle. Fook j'ai oublié mon inhalateur dans le taxi ! Pourquoi ce pont est aussi large ?!
J'arrive à quelque mètres de la fille. Elle est toujours de dos. Elle à de long cheveux bond mais les pointes sont teintes en bordeaux. Je l'entend sangloter et décide de m'approcher doucement pour ne pas qu'elle m'entende. Je n'ai pas le temps de discuter avec elle, il faut qu'elle descende ! Sinon elle va faire une connerie...
Je suis juste derrière elle et elle ne me vois toujours pas. Elle est debout sur la rembarde en métal, donc sa taille est à la même hauteur que ma tête.
D'un coup j'enroule sa taille de mes bras et la tire en arrière vers moi. On tombe tout les deux à terre et je resserre la prise que j'ai sur elle pour ne pas qu'elle s'enfuis et qu'elle n'essaye à nouveau de sauter.
Je relève la tête, je suis au dessus d'elle. Je me pousse et m'assoie à côté d'elle en essayant désespérément de reprendre mon souffle mais mon asthme me rattrape. Adam arrive quelque secondes après avec mon inhalateur, suivie par Tom. Je le remercie et reprend mon souffle.
La fille a mes côtés se relève alors difficilement puis s'assoie en tailleur, la tête baissée ses cheveux cachant son visage. Je l'entend a nouveau pleurer, alors je m'approche d'elle prudemment et pose ma main droite sur son épaule gauche. Elle se redresse soudainement et se met debout en reculant de quelques pas.
Je vois enfin son visage... Elle a des yeux bleu claire, ils sont hypnotisant. Mais ils sont rougis par ses pleures, ses joues sont trempées de larmes et ses lèvres soubresaute aux rythme de ses épaules qui se baisses et se soulèves. Elle respire difficilement. Je lui tend mon inhalateur en restant loin pour ne pas l'effrayer. Elle me lance un regard remplie de haine mais aussi d'incompréhension et de tristesse. Elle est désespérer ça se voie.
Elle s'avance vers moi et prend mon inhalateur, ses mains tremble. Puis elle balance mon inhalateur par terre et me fout une gifle !
Moi: Mais qu'est-c'qui te prend ?! T'es pas bien ! Je viens de te sauver la vie !
Elle: Justement ! Je t'ai rien demander, pourquoi t'a fait ça ?! Je te connais même pas ! Putain j'avais vraiment pas besoin de ça...
Elle murmura la dernière phrase comme si elle se parlée à elle même. Elle a les mains sur son visage et je l'entend pleurer de nouveau. Elle se rassoie par terre et enfouie sa tête dans ses bras, les jambes sont remontée sur sa poitrine. Je m'accroupis devant elle et l'entoure délicatement aves mes bras.
Moi: C'est bon, ça va aller. Je suis là. Murmurais-je à son oreille.
Elle relève la tête et je remet une de ses mèches de cheveux derrière son oreille.
Moi: Comment tu t'appelle ?
Elle: Coline. Coline Douglas.
Adam: Et t'a quel âge Coline ?
Adam s'accroupis aussi et lui sourit gentiment.
Coline: J'ai dix-neuf ans. Depuis un mois.
J'ouvre en grand mes yeux, puis je me relève et m'appuie contre la rembarde. Ma tête tourne et je sent une main se poser doucement sur mon épaule. Tom se met à côtés de moi.
Tom: Ca va Dom ? T'a pas l'aire bien.
Moi: T'a entendue, elle à que dix-neuf ans... Comment on peut avoir des pensées suicidaire quand on est aussi jeune ? Qu'est ce qu'elle à pu vivre pour vouloir mourir avant d'avoir eu le temps de vivre ?!
Tom: J'en ai aucune idée c'est à elle qu'il faut demander ça.
Je me retourne et vais voire Coline qui c'était remise debout, c'est larmes ont arrêtées de couler et elle discute calmement avec Adam. Quand j'arrive vers eux Adam se retourne vers moi.
Adam: Elle n'a nul-part où aller, elle peut venir dormir à la coloc' ?
Moi: Bien sûr ! Vient suis-moi, on à laisser le taxi en plans depuis tout à l'heure, il va nous faire payer chère.
Adam, Tom et moi rions, mais Coline se fondit aussitôt en excuse.
Coline: Oh je suis vraiment désoler ! C'est ma faute excusez moi les garçons !
Je rigole de plus belle face à sa mine désoler. Je l'a prend pas les épaules.
Moi: Mais non t'inquiète pas pour ça, c'est rien.
Je lui fait un grand sourire et elle souri légèrement. Elle est vraiment belle je trouve... Qu'est ce que j'raconte entre moi ?! On rentre dans le taxi, Tom monte à l'avant er s'excuse auprès du chauffeur qui ne nous en veut pas finalement. Adam est placé derrière le conducteur, Coline est au milieu et je suis derrière Tom. Personne ne parle durant tout le trajet.
On arrive enfin devant l'immeuble et je descend. Pendant que Tom paye - quoi ? C'est son tour de payer le taxi c'est comme ça - , j'aide Coline a descendre. Adam descend à son tour suivie de Tom. Je sort les clefs, on entre dans le hall, puis on montre les escaliers pour atteindre le cinquième étage. Oui, le cinquième... Non l'ascenseur est en panne, depuis quatre ans... C'est du foutage de gueule oui je sais !
J'ouvre l'appartement et on rentre tous. Tom et Adam vont se coucher directement.
Moi: Euh Coline ?
Coline: Oui ?
Moi: Je suis désoler mais il n'y a que trois chambres.
Coline: Et le canapé ?
Moi: Bah y'en à pas...
Coline: Quoi ?
Elle se retourne va dans le salon et regarde les trois pouf qui y sont disposé. Je ris de sa tête déconfite face à ça.
Moi: C'est pas grave, tu peut dormir dans ma chambre. Je suis le seul a avoir un lit deux place.
Elle sourit et me remercie puis on va dans ma chambre. Je lui donne un de mes T-shirt qui est noir et je vais prendre une douche pendant qu'elle se change.
Quand je revient, je la trouve allonger dans le lit à moitié en train de dormir. Alors j'éteins la lumière et vais me coucher aussi.
Coline: Tu sais, je suis désolé pour toute à l'heure; quand je t'ai crié dessus et que je t'ai giflé.
Moi: T'inquiète pas pour ça.
Je lui lança un sourire qui se voulait réconfortant même si on est dans le noir.
Moi: On parlera de tout ça demain...
Puis je lui embrassa le front avant de la prendre dans mes bras et de m'assoupir.
Here's a little one-shot to give hope to you who read this <3 take care of you guys
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claudehenrion · 8 months
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Requiem, ou gueule de bois ?
Nos médias, qui sont vraiment mauvais “dans la masse”, font sans cesse appel à de vieilles ficelles simplistes mais éprouvées pour arriver à déformer tout ce dont ils parlent. La totalité des soi-disant idéologies (défendues contre toute intelligence par tous les cerveaux contaminés du monde), a lamentablement “foiré”, contenant et contenu… Il n'en reste rien, qu’une belle capacité (très laide) de nuisance et de destruction… Mais rien n’y fait : les gaucho-journalistes continuent leur travail de sape… sous les encouragements d'une caste de politicards qui préfèrent leurs idéologies mensongères et mortifères, à la France –dont ils se foutent pas mal, en réalité.
Comme illustration, on pourrait se pencher sur la prise de conscience brutale de nos concitoyens qu'il existe, dans nos villes et nos banlieues, mais aussi dans nos ''villes moyennes'' et jusque dans nos jolis villages, ces anciens havres de l'ancienne douceur-de-vivre ''à la française'', des abrutis qui n'ont à offrir aux regards de leurs contemporains que des visages déformés par la haine et leur connerie. On s’étonne qu’il existe encore des français aveugles-par-système qui semblent découvrir les horreurs croisées de l'islamo-gauchisme et du gauchisme islamophile, qui découvrent l'existence de crétins-insulteurs-assassins-judéophobes-violeurs-violents, émargeant à une ‘’tendance salafiste’’ ou se disant de gauche. Mais ce sujet est si grave et si porteur d'émotions, d'images actuelles et de souvenirs terribles qu'il mérite un traitement ''personnalisé'', un autre jour.
  Revenons donc sur l’exemple, tristement actuel, du “mouvement” (qui, justement, n'en est pas un) de révolte de l'ensemble du monde paysan, tant en France que dans la plupart des autres pays qui ont trop longtemps souffert sans se plaindre de l'insupportable férule des féroces (et stupides) écologistes-punitifs et des bruxello-européâtres anthropophages. (NDLR : je n'aime pas le mot ''agriculteur''. Cette traduction de ''paysan'' en technolangue n'apporte rien, sinon une connotation hautaine). Nos pauvres paysans, donc, risquent, une fois de plus, de se retrouver dans le rôle du cocu de l'histoire. La manière dont les médias avaient détourné les justes revendications des gilets jaunes et les avaient transformées en un cauchemar à la mode gauchiste aurait dû devenir un ''cas d'école''.
Mais non ! Une fois de plus, le ''système'' a réussi à noyer le ''poison'', et nos affreux technocrates se croient libres à nouveau de refaire joujou avec les prix, les revenus, les conditions de vie, la joie de vivre et l'honneur de nos pauvres ''jacquou-le-croquant'' : hier, l'horrible le Maire oser dire qu'il aurait du mal à trouver les faux ''400 millions'' promis... alors qu'il ne s'est apparemment jamais posé de questions sur les 10 milliards que nous a déjà coûté le puéril caprice russophobe de Macron (NB- Les chiffres sont sans appel : déjà 3,5 milliards pour l'aide militaire et entre 0,5 point et 1 point du PIB français pour 2022, soit environ 20 milliards d'euros par an... au moment où Macron fait tout son possible pour interdire l'arrêt de ce conflit inutile en clamant ''Poutine ne doit pas gagner'' --sic ! Le coq qui défie l'ours ! La Fontaine aurait écrit des choses délectable sur cette prétention poussée à son extrême !). En écrivait ''10 milliards, je suis donc très au dessous de l'étendue de notre drame. Les paysans vont payer le ''quoi qu'il en coûte'' ukraino-présidentiel.
Leur demande, presque en forme de supplique, est pourtant simple : ''Nous ne voulons pas d'assistance, nous voulons vivre de notre travail... et ne plus être emmerdés sans cesse par les élucubrations de gens qui croient avoir raison parce qu'ils ne savent rien''. Réponse : ''On va bientôt relever temporairement les barèmes de x ou y (ou plutôt... εpsilon !) %... on vous accorde généreusement une rallonge de 150 millions d'Euros... et on vous dit qu'on va essayer d'obtenir de l'Europe un léger report de 2 ou 3 des scandaleux traités absurdes qui ne nous apportent que désolation... Mais à propos de l'Europe, laissez-moi vous dire qu'elle vous est nécessaire, vitale, puisqu'elle vous reverse 9 milliards de PAC –sur les 18 qu'elle vous coûte chaque année. On dit ''Merci qui ?'' ?
Les raisons pour lesquelles nous sommes tombés dans ce trou sans fin seraient, disent nos nuls qui les découvrent, trop nombreuses et trop complexes pour qu'ils les comprennent, alors qu'il n'y a rien d'inattendu dans ces revendications, directement issues d'un “ras-le-bol” général, dans cette révolte de braves gens sur le dos desquels des générations d'énarques et leurs équivalents ''eurodoules'' (voir ci-dessous) se sont essuyés les pieds en leur témoignant leur mépris de caste. Dans le fond, depuis que la magnifique mission attribuée à ce qui s'appelait alors ''l'Europe'' et qu'on persiste à appeler ainsi (alors que ce n'est plus qu'une machine à contraintes néfastes en quête de mondialisation anthropophage) a été oubliée, tout va de mal en pis, et surtout ces derniers, si j'ose ce mauvais jeu de mots, à propos de la filière ''lait''!
Et ce n'est pas la promesse-à-ne-pas-tenir de reporter légèrement quelques uns des scandales le plus insupportables qui va changer quoi que ce soit. Nos mondialistes impénitents jouent la montre et la fatigue des braves citoyens... contre leur absence dogmatique et systémique d'empathie et de sens des vraies priorités. Par naïveté et excès de confiance dans une caste qui n'en mérite aucune, on vient de laisser passer une chance qui risque de ne pas se représenter de sitôt : nos malfaisants vont encore plus ''verrouiller le système''...
H-Cl.
PS : ''Eurodoules'' est un néologisme que j'ai fabriqué (car le besoin commence à s'en faire sentir, dramatiquement) à partir du grec ancien δουλεία, douleia (= qui est au service de...).et a connu un moment de célébrité lors de la ''guerre des icônes'' (de 750 à 840) entre iconoclastes (= ceux qui, inspirés par l'islam –déjà-- interdisaient les icônes, !) et les iconodoules –ou -dules-- ceux qui les vénèraient. L'Europe à la mode Macron ou von der Trucmuche est devenu un sujet d'adoration illimitée qui justifierait –pour ses ''-doules''-- tous les excès, tous les mensonges, toutes les ruses –un peu comme la ''taqqyia'' musulmane. NDLR.
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gerceval · 2 years
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Le Choix - chapitre 7
Une fic hebdomadaire dont vous pouvez choisir la suite en votant chapitre après chapitre !
[Commencez depuis le chapitre 1]
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Après une micro-seconde de délibération, il se pencha, sans trop savoir lui-même ce qu'il cherchait. Jamais il n'avait eu envie d'embrasser Guenièvre, même à l'époque, même après que les fantômes de Rome s'étaient estompés, même avant que l'aigreur ne se soit installés pour de bon. Mais ce soir-là, après toutes les péripéties qui venaient de s'enchaîner en à peine quelques heures, la pommette encore douloureuse, il trouvait les lèvres fines et roses de Guenièvre soudainement attirantes. Lorsque leurs bouches entrèrent en contact, elle eut cette légère paralysie que peut créer la surprise, mais cela ne dura pas plus d'un instant. Elle répondit à son baiser avec chasteté, incertaine. Avant de le rompre.
- Seigneur Lancelot ! s’exclama-t-elle faiblement.
- Non mais ça va pas la tête, qu'est-ce qui se passe ici !
Arthur fit un bond de trois mètres.
La dame du lac venait de se matérialiser dans la chambre.
- J'espère que vous vous moquez de moi, Lancelot ! Je sais pas bien ce que vous manigancez mais attention hein, je peux très bien me mettre en rogne moi !
Ah très bien. Le sortilège était donc assez puissant pour tromper les dieux, manifestement. Super. Devant son silence stupéfait, la dame du Lac continua.
- Alors vous vous souvenez probablement pas de moi, c'est vrai que vous étiez grand comme trois pommes à l'époque, mais c'est pas parce que vous vous souvenez pas de moi que je peux pas vous en mettre une comme quand vous étiez petit.
Il balbutia, exagérant la surprise. Guenièvre chercha son regard.
- Qu'est-ce qui vous arrive, vous êtes pas bien ?
- Attendez, je... Vous la voyez aussi ?
- Qui c'est que je vois aussi ?
Bien sûr, Guenièvre ne pouvait pas la voir, mais il devait feindre de ne pas comprendre comment marchaient ces choses-là.
- Faites un effort, dit la dame du Lac, rappelez-vous. Je suis Viviane, la dame du Lac. Je m'occupais de vous quand vous étiez petit, je vous apparaissais, et puis des fois vous étiez le seul à pouvoir me voir ? Ça vous dit quelque chose ? Ya une loupiote qui s’allume là-dedans ? Bon alors là, pourquoi maintenant je peux vous apparaître comme ça, bon ça il faudrait que je voie avec les cheffes parce que c'est qu'Arthur normalement... Mais là je vous vois en train de péter un boulon et apparemment je peux intervenir alors je vais pas me gêner pour sauter sur l'occasion !
- La dame du Lac... murmura Arthur, comme s'il mettait du temps à réaliser ce qui lui arrivait.
- La dame du Lac ? dit Guenièvre. Ah bah non pas vous aussi !
Elle plaça ses mains sur ses hanches, habituée à devoir attendre que les visites de Viviane soient finies.
- Alors écoutez-moi bien, mon petit vieux, reprit la fée. Je sais pas ce qui vous a pris d’un coup, je sais que ça fait des années que vous ne pensez qu’à ça, que depuis que vous avez posé les yeux sur elle vous vous dites que c’est la seule et unique élue de votre cœur et blablabla, ça on l’a tous bien compris, mais il faut vous sortir ça du crâne Lancelot !
- Des années ? dit Arthur, ne sachant plus si sa confusion était celle de Lancelot ou la sienne.
- Pardonnez-moi le terme, mais c’est une grosse connerie ce que vous êtes en train de faire ! Et puis la p’tite, c’est pas parce qu’elle se laisse embrasser comme ça une fois, bon, voilà… Mais c’est à Arthur, que les dieux l’ont promise, Arthur, et rien ne changera ça, même si vous avez des sentiments réciproques ou je ne sais quelle autre niaiserie…
Des quoi ? Des sentiments quoi ?
- Enfin bon, réciproques ça j’en sais rien hein, on n’est pas arrivées à un consensus là-haut, même pour elle je crois pas que ce soit très… enfin n’allez pas vous faire des films quoi !
- Euh, elle a bientôt fini ? interrompit Guenièvre. Nan parce que si vous en avez pour la soirée, moi je retourne au plumard hein.
Il resta silencieux.
- Rentrez-vous bien ça dans le ciboulot Lancelot, c’est très important : vous ne pouvez pas vous permettre d’espérer ! Ça finira en désastre. Alors reprenez-vous et faites un effort mon p’tit père ! Pis bon, moi je vais essayer de voir pourquoi c’est avec vous que je suis en communication parce que là Arthur… enfin bon. Que je ne vous y reprenne pas hein !
Et elle disparut.
Guenièvre s’était recouchée et lui tournait le dos, pelotonnée sous les couvertures. Il fit deux petits tours maladroit sur lui-même, ne sachant que faire dans le silence désormais pesant de cette chambre qui ne pouvait plus être la sienne.
- Bonne nuit, seigneur Lancelot. Faites gaffe à croiser personne dans les couloirs en sortant, ce serait dommage de vous prendre une autre mandale dans la même soirée.
Message compris. Il sortit à pas de loup, ruminant les événements de la soirée. Deux personnes avaient surpris – ou cru surprendre – Guenièvre et Lancelot en train de se bécoter, et n’avaient pas paru plus étonnés que ça. En colère, et Léodagan comme la dame du Lac avaient bien raison sur ce point-là, mais pas plus étonnés que ça. Quant à ce que Guenièvre avait dit… Quoi qu’il en soit, la coïncidence qui lui sautait maintenant aux yeux était la suivante : Lancelot nourrissait une passion secrète pour Guenièvre ; Lancelot se retrouvait catapulté dans le corps d’Arthur. L’histoire de sa propre naissance se rappela à lui comme un spectre menaçant.
Même pas besoin de ça, se dit-il amèrement : lorsqu’il l’avait embrassée sous les traits de Lancelot, pris par il ne savait quelle pulsion absurde, elle ne l’avait pas repoussé.
Son instinct lui disait de fuir, de s’isoler, de ne parler à personne pendant trois mois. Il n’avait aucune envie de lutter contre son instinct. Mais il se connaissait, maintenant, il savait qu’hurler sur quelqu’un pouvait lui faire du bien aussi. Alors que le jeune soleil commençait à illuminer le couloir, il repoussa la porte de la chambre où il avait laissé Lancelot.
[Votez ici pour ce qui va se passer au chapitre suivant !] [Lisez le chapitre suivant ici]
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Je fais n'importe quoi de ma vie. Financièrement. Socialement parlant. De mon corps. De ce que je mange. De mon sommeil. Je continue inlassablement de tenter de rectifier le tir, mais putain. Quelle année pourrie finalement. Je dois tout arranger. Je dois m'hydrater comme il faut. Ne plus faire de sorties qui me coûtent de l'argent. Continuer de marcher et faire du sport quand je me sens capable, me donne le temps. Dormir beaucoup plus tôt. Arrêter de donner toute mon énergie aux autres. Arrêter de parler aux gens. Mais j'peux pas. Je me sens seule même quand je le fais, alors si j'arrête, je sais que je tiendrai pas le coup. J'suis capable de tout foutre en l'air. Et je vis, j'existe. Ça se voit pas de la bonne façon. J'ai l'impression qu'on ne voit que le négatif qu'on veut bien voir ou le positif qu'on veut bien prendre. Mais ce qu'il y a de mieux en moi, qui me définit, c'est invisible. Je sais qu'il y a des gens qui me voient. Et ça me fait du bien. Mais même si je connais ma valeur et que quelques personnes me voient sous cet angle également, je peux pas m'empêcher de me demander quand ça va être le moment de trop. Le truc qui me fera faire une connerie. Je tiens et je sais pas comment je fais. Je suis épuisée de penser à ce qu'on pense de moi, de savoir ce qu'on dit à mon propos. Du fait qu'on voit ce qu'on veut, mais pas le tout, ou le positif. Parce que si j'suis là, c'est car je suis une putain d'optimiste. Je sais pas pourquoi, ni comment je fais. Mais c'est là. Je suis là. Mais quand est-ce-que je trouve une stabilité ? Quand est-ce-que je trouve la sécurité que je recherche ? Tout est en train de s'écrouler et je suis au milieu, le pied près de la mine. J'ai jamais eu d'équilibre, et je joue autour d'elle. Mais j'arrive pas à tout contrôler. Et à tout vouloir contrôler, on ne vit pas. On explose à l'intérieur. Et les gens qui sont trop dans leur tête, ça me rend malade. Trop aimer les autres me donne mal à la tête. J'ai une boule au ventre et la nausée en pensant aux gens que j'aime plus que les autres, ces individus que j'aime trop. Je peux pas dire de quoi je parle ou qui je vise. Je sais jamais qui a accès à mon tumblr. Mais putain. J'ai vraiment mal. Et je sais pas pourquoi, mais je me bloque. J'arrive pas à pleurer. Je suis juste bonne à me faire du mal. Dans tous les sens. Et juste en disant ça, j'ai envie de retourner dehors et Je sais pas. Ressentir la douleur ? Tomber suffisamment haut pour avoir mal mais pas assez pour que ce soit grave pour autant. Ou autre. Les méthodes sont multiples. Je manque pas d'idées en général, j'suis imaginative. Mais putain. Même pas foutue d'aller un minimum bien pour être à jour et écrire pour le défi de l'été. Ça me rend malade aussi. J'ai attendu un an pour pas arriver à pondre tous les jours quelque chose. Ça me rend malade. Si je peux plus écrire, il me reste pas grand chose. Et ce que j'ai, est-ce-qu'un jour, ce sera seulement assez ?
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emmeler · 1 year
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A vouloir faire comme ci de rien n’était pour leur convenir, tout explose quand il ne faut pas. A vouloir tout refouler je me prends tout dans la gueule au pire moment. A vouloir être comme ils voulaient, je me suis perdue. C’est de ma faute. Mais en même temps on ne m’a jamais écouté auparavant. C’est eux qui m’ont poussé à tout cacher, c’est eux qui m’ont mis dans la tête que c’était une honte, que c’était stupide, qu’il fallait que je la ferme, que ça n’avait pas de valeur, que ce n’était rien. Si ce n’était rien, pourquoi j’ai toujours autant souffert ? Pourquoi j’ai aussi mal ? Pourquoi je tremble alors que je ne tremble jamais ? Pourquoi j’ai autant de haine ? Pourquoi j’ai envie de mourir ? Peut être que si on m’avait aidé plus tôt je n’en arriverais pas là. J’ai voulu faire des pauses plein de fois, j’ai appelé à l’aide plein de fois mais personne ne m’a entendu. Personne ne m’a écouté, tout ne monde a négligé mes émotions, et moi pendant ce temps là je n’ai fait que de faire ce qu’on attendait de moi, je n’ai fait que d’obéir au regard des autres, à leur regard, alors qu’eux, ils n’ont jamais été capable de me regarder juste 5 minutes et de me prendre en considération. Ça a toujours été eux eux eux, leur égoïsme et leurs petites idées. J’aurai préféré avoir un cancer, une maladie physique grave, au moins personne ne m’aurait fait chier, personne ne m’aurait remise en question, tout le monde m’aurait cru, personne ne m’aurait négligé, on ne m’aurait pas jugé si j’aurai eu besoin de soins, d’une hospitalisation. S’ils ne peuvent pas le voir de leurs propres yeux, ils n’en ont rien à foutre, il faut pisser le sang, il faut crever devant eux, ça n’existe pas, c’est du cinéma, je suis folle lol. Pourtant c’est ce que je fais, je crève devant eux, tous les jours un peu plus, depuis toujours. Mais ils sont aveugles, ils n’ont pas voulu le voir, ça ne se voit pas donc ce n’est pas assez important pour eux.
10 ans de mensonges. « Oui ça va », « Regarde j’ai des bonnes notes », « J’ai eu mon brevet », « Ça va pas et vous en avez rien à foutre, vous me rabaissez, mais je me force quand même à garder une scolarité à distance pour avoir mon bac pour vous », « Regarde j’ai eu mon bac », « J’ai eu mon permis », « Je déménage à 800km avec personne autour », « Ah j’ai trouvé un travail ! »,  « Cool j’ai trouvé mon apprentissage », « J’ai été admise à l’école », « Ah j’ai acheté la voiture que je voulais depuis mes 15 ans, elle est magnifique ! ». L’enfant exemplaire qui ne sort pas trop du cadre, qui n’a jamais fait de conneries, qui a toujours obéit. La belle façade. L’image, toujours l’image. La surface de l’iceberg car ils sont trop stupides pour accepter de voir la face cachée. Ils n’ont jamais voulu la voir, ils s’en foutent.
Tout ça pour ne jamais avoir été écoutée, pour ne jamais avoir été regardée, pour ne jamais avoir été soutenue, pour ne jamais avoir été félicitée car « Tu y arrives toute seule donc on pensait que tu n’en avais pas besoin », alors qu’en réalité ils sont juste centrés sur LEUR vie, et que moi bah, j’ai toujours dû me débrouiller. J’ai eu le confort de base et le confort matériel, mais derrière personne n’a été là quand j’en ai eu le plus besoin et ils ne seront jamais là. La preuve aujourd’hui. Je serai toujours seule. Je me sens ingrate, et en même temps, c’est sûrement car on m’a mis dans la tête que toutes mes pensées étaient stupides et n’avaient aucune valeur, que ce n’était rien, lol.
J’ai plus envie de parler a personne, une part de moi leur en veut et les déteste tous car s’ils s’étaient bougés le cul, s’ils avaient pris 5 minutes pour me regarder, pour m’écouter ne serait-ce qu’une fois dans leur minable vie, au lieu d’écouter leurs préjugés construits sur des conneries, s’ils avaient ne serait-ce qu’ouvert leur esprit fermé, je n’en serais pas là. Ils m’ont tué.
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magicalstrawbi · 6 days
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𝐋͟𝐄͟𝐒͟ 𝐂͟𝐀͟𝐌͟𝐏͟𝐔͟𝐒͟ 𝐃͟𝐑͟𝐈͟𝐕͟𝐄͟𝐑͟𝐒 ;
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les campus drivers sont avant tout une bande de meilleurs amis. tous en master dans des disciplines différentes, c'est une volonté de vouloir arrondir leurs fins de mois qui les mène à créer cette application. tout part d'une soirée autour d'un verre, quand lois et romeo, ivres, proposent l'idée de créer une application qui sert à ramener les étudiants et de faire payer les courses. si au début ça se maintient sur le territoire de l'université, ils élargissent bien vite leur périmètre dans la ville entière. lois et romeo sont avant tout les têtes de l'organisation, gérant les plannings de chacun. à bord de leurs voitures de collection, les campus drivers se font bien vite leur réputation au sein de l'université. lewis est avant tout celui qui gère les plus longs trajets, les gros bras, celui qui veille à la sécurité de ses passagers. adam gère la trésorerie, qui répartie les comptes à chaque fin de mois. si au début ils ne sont que quatre, la bande est rejoint en premier lieu par jubee. mécanicienne dans l'âme, la jeune femme se retrouve bien vite à court de logement, c'est après avoir réparé la voiture de romeo, que ce dernier propose l'idée de la colocation avec lois, ce qui ne les ravie pas forcément au début. julian est le dernier à arriver, s'inquiétant de ne pas avoir de nouvelles de sa jumelle, il la rejoint à séoul, entrant à l'université avec une année de retard. la surprise est qu'il est en réalité le meilleur ami d'enfance de lois, qui n'avait aucune idée de ce qui unissait les jumeaux jusqu'à maintenant.
⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ 𓂃★ ⸝⸝ ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ /) /) (。•ㅅ•。)〝₎₎ intro ! ✦₊ ˊ˗ . .╭∪─∪────────── ✦ ⁺. . .┊ ◟﹫ name : lois myers . .┊﹒𐐪 age : twenty six . .┊ꜝꜝ﹒pronouns : he/him . .┊ ⨳゛sexuality : straight . .┊ ◟ヾ faceclaim : kang yeosang ╰───────────── ✦ ⁺. ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ 𓂃★ ⸝⸝ ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚
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ʕっ•ᴥ•ʔっ
lois ne voit le jour que deux ans après son grand frère - leo - et pourtant, il a à peine quelques jours et il ressent déjà la différence qui est faite dans cette famille. la vérité c'est que le jeune homme n'était aucunement souhaité, une erreur comme on dit, une erreur qui a du être accepté par cette famille des plus conservatrice. d'après leurs parents, chaque grossesse doit être assumée. et même si il n'est là que malgré lui, ses parents ne prennent même pas la peine de lui apporter un quart de l'attention ou de l'amour qu'ils peuvent donner à leo. c'est donc effacé, livré à lui même, que le garçon entame les premières années de sa vie. et au final il s'y fait, parce qu'il sait que ses parents ne sont pas regardants sur ses notes, qu'ils ne le disputent pas quand il fait des bêtises plus grosses que lui, il fait un peu sa vie et ça l'arrange énormément. mais visiblement, l'univers a une drôle de façon de se foutre de sa gueule. lois n'est âgé que de dix-sept ans, s'apprêtant à passer ses derniers examens quand il apprend la mauvaise nouvelle. son frère qui vouait une obsession malsaine envers les motos, se tue dans un accident de la route. même si ils ne sont pas proches, même si ils n'entretiennent pas des relations normales de petit et grand frère, c'est tout son monde qui s'écroule. leo n'était peut-être pas le grand frère idéal, mais ces rares fois où il le défendait, ces fois où il devenait juste le grand frère aimant et doux que lois attendait, il y croyait. et puisqu'il est malheureusement le dernier enfant, ses parents se souviennent subitement de son existence. terminé les sorties jusqu'à pas d'heure, les conneries, les mauvaises notes, il ne comprend pas ce changement d'attitude, mais visiblement ses parents font transfert sur lui, jusqu'à l'étouffer et le fliquer au moindre de ses faits et gestes. c'est la goutte de trop pour le garçon qui ne supporte plus tout ça et qui décide, après ses examens, de quitter la maison pour aller s'installer dans la capitale et intégrer l'université de séoul. lois c'est le stéréotype même du mec qui veut vivre sa vie sans attache. toujours aux soirées, quasiment jamais en cours - sauf pour les td obligatoires - qui enchaîne les conquêtes sans les rappeler le lendemain. c'est à une soirée qu'il fait la rencontre de romeo, quand sur le parking, ils s'échangent des compliments sur leurs voitures de collection. se forme une réelle amitié, puis dans le lot vient adam et lewis qui sont meilleurs amis depuis l'enfance, et ce petit groupe de quatre se font bien vite une renommée dans l'université, avec leurs voitures qu'ils chouchoutent et leur application ; les campus drivers.
⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ 𓂃★ ⸝⸝ ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ /) /) (。•ㅅ•。)〝₎₎ intro ! ✦₊ ˊ˗ . .╭∪─∪────────── ✦ ⁺. . .┊ ◟﹫ name : romeo wolinski . .┊﹒𐐪 age : twenty five . .┊ꜝꜝ﹒pronouns : he/him . .┊ ⨳゛sexuality : bisexual . .┊ ◟ヾ faceclaim : song mingi ╰───────────── ✦ ⁺. ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ 𓂃★ ⸝⸝ ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚
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ʕっ•ᴥ•ʔっ bio en cours.
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ʕっ•ᴥ•ʔっ bio en cours.
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ʕっ•ᴥ•ʔっ bio en cours.
⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ 𓂃★ ⸝⸝ ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ /) /) (。•ㅅ•。)〝₎₎ intro ! ✦₊ ˊ˗ . .╭∪─∪────────── ✦ ⁺. . .┊ ◟﹫ name : lim jubee . .┊﹒𐐪 age : twenty five . .┊ꜝꜝ﹒pronouns : she/her . .┊ ⨳゛sexuality : bisexual . .┊ ◟ヾ faceclaim : kim minjeong ╰───────────── ✦ ⁺. ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ 𓂃★ ⸝⸝ ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚
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ʕっ•ᴥ•ʔっ deux jumeaux qui voient le jour en 1999, des parents divorcés, c'est éloignés que jubee et julian passent les premières années de leur adolescence. ils avaient tout pour être heureux, des parents aimants - du moins les premières années - pas beaucoup de moyens mais énormément d'amour. jusqu'à ce que leur mère décide de quitter leur père, de partir avec son nouveau collègue de boulot. c'est un déchirement pour jubee qui voit son équilibre être perturbé, qui a peur d'être séparée de son frère. et elle n'y échappera pas, parce qu'après le procès qui signe le divorce de ses parents, ils en viennent à un même constat : un enfant chez un parent. julian est contraint d'aller vivre chez leur mère, qui part s'installer en dehors de séoul, et jubee et contrainte d'aller vivre chez leur père. si les jumeaux jusqu'à maintenant étaient très fusionnels, la blonde devra bien vite prendre son courage à deux mains et se débrouiller par elle même. ce qui lui permet de garder un semblant de santé mentale, c'est la mécanique et purée qu'elle est douée dans ce domaine. loin d'être coquette, n'hésitant pas à se salir ni à s'affirmer pour se faire respecter, jubee suit bien vite les traces de son père qui tient un des garages de la ville. en dehors de ses études, elle travaille tous les week-end dans le garage de son père, jusqu'à signe un petit contrat qui lui permet de mettre de l'argent de côté, jusqu'à ce qu'elle ne termine ses études, dans l'espoir de quitter la ville une bonne fois pour toutes. mais ses ambitions et son quotidien changent bien vite, quand elle est approchée par les campus drivers. elle était seulement censée s'occuper de la voiture de romeo, remettre sa jante en place et s'assurer que ses cuirs étaient en bon état, mais après une discussion, puis deux, après avoir malencontreusement échappé qu'elle cherchait un appartement pour prendre son indépendance, ce dernier lui donne le contact de lois. lois cet éternel solitaire qui ne veut voir personne chez lui. bien sûr que ça ne se passe pas comme prévu, que les deux amis se tiennent la bourre un long moment, mais les deux étudiants doivent tout de même se rendre à l'évidence. ils peuvent s'entraider ; jubee offre ses services aux campus drivers, ne leur faisant pas payer les réparations qu'elle peut effectuer, et en échange, elle récupère la chambre d'ami de lois. force est de constater que la jeune femme est douée dans les voitures, qu'elle conduit plutôt bien et qu'elle a un fort caractère, ne se laissant aucunement marcher sur les pieds. c'est après de longues semaines de colocation, que les garçons l'approchent une nouvelle fois, lui proposant cette fois-ci de rejoindre le groupe des campus drivers et de devenir officiellement la première conductrice.
⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ 𓂃★ ⸝⸝ ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ /) /) (。•ㅅ•。)〝₎₎ intro ! ✦₊ ˊ˗ . .╭∪─∪────────── ✦ ⁺. . .┊ ◟﹫ name : lim julian . .┊﹒𐐪 age : twenty five . .┊ꜝꜝ﹒pronouns : he/him . .┊ ⨳゛sexuality : straight . .┊ ◟ヾ faceclaim : ji changmin ╰───────────── ✦ ⁺. ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚ 𓂃★ ⸝⸝ ⧣₊˚﹒✦₊ ⧣₊˚
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ʕっ•ᴥ•ʔっ si jubee se fait bien vite à cette séparation, ce n'est pas le cas de julian qui enrage un peu plus à chaque jour qui passe. il ne supporte pas bien la séparation avec sa jumelle, ne supporte pas non plus son nouveau cadre de vie. contrairement à sa soeur qui est contrainte de vivre dans un quotidien des plus précaires, julian doit se faire à une nouvelle famille aisée. il a la haine contre leur mère, lui en veut énormément d'avoir quitté leur père, en veut également à ce nouveau beau père qui montre son argent à qui veut bien le voir. autant dire qu'il rigole ouvertement face à tout ce semblant de richesse. il en a rien à faire des cadeaux qu'on peut lui faire, pour acheter son amour, pour acheter sa gentillesse, pour ce que ça peut bien lui foutre à ce stade. c'est au lycée qu'il commence à enchaîner les conneries. pas assidu pour un sou, pas aimable, il cherche toujours à provoquer ses camarades ou les professeurs, quitte à se retrouver dans quasiment toutes les bagarres. jusqu'à ce que sa mère en ait marre, se tirant les cheveux par rapport au comportement de son fils. seul le chantage fonctionne, c'est comme ça qu'il arrive à négocier sa première moto, et putain qu'il a l'impression de revivre quand il roule dans les rues de la ville. c'est d'ailleurs comme ça qu'il fait la connaissance des courses illégales de moto. julian se fait petit à petit sa place et se fait même un nom dans ce domaine là, commençant à se faire de l'argent sur le dos des courses qu'il gagne. c'est d'ailleurs avec cet argent qu'il met de côté chaque mois, qu'il parvient à claquer la porte de la maison une bonne fois pour toutes, sans se retourner, pour aller retrouver jubee à séoul. quelle fut sa surprise de voir que le colocataire de sa soeur n'était que lois, un de ses meilleurs potes du lycée. au départ pas très emballé à l'idée de voir jubee dans le même appartement que lois - parce que sa réputation le suit - il doit bien avouer que vu le caractère de sa soeur, il n'a pas de soucis à se faire. bien qu'il n'ait pas de voiture, se déplaçant toujours à moto, les campus drivers voient un intérêt à l'idée de le faire rentrer dans le groupe, et d'optimiser leur application. même si de base ils ne font les courses qu'en voiture et que lois n'est pas un grand fan des motos, ils rajoutent cette option pour faire des courses privées, et avec son franc parlé ainsi que sa belle gueule, julian séduit bien vite les étudiants de l'université. mais si le garçon veut voir sa place être gardée auprès des conducteurs, c'est à une seule condition : arrêter les courses illégales pour ne pas entacher leur réputation qu'ils se sont acharnés à chouchouter.
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iradiei · 8 months
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1er février
“De toute façon, avec leurs conneries d’année bisexuelle…” A-t-on idée de ne pas comprendre les années bissextiles ? C’est ce matin que nous avons remarqué, par un hasard tout à fait singulier, que nous étions une année bissextile. Outre la très fameuse blague - qui, comme chacun sait, a un potentiel humoristique inversement proportionnel à sa renommée - que fait le commun des mortels sur les infortunés qui sont nés un 29 février, qu’est-ce que cela apporte donc, une année bissextile ? Eh bien, chers mous de la caboche, une année bissextile, c’est ce qui permet aux pauvres mortels que nous sommes d’être en phase avec ce foutu soleil qui ne fait rien qu’à nous cramer la rétine, quand ce n’est pas le frimousse - ou, pour les plus braves, des parties plus proches de la terre, mais qui, étrangement, ressemblent parfois aux visages de nos concitoyens, à moins que ce ne soit leurs visages qui ressemblent à de basses parties, allez savoir - et nous faire transpirer après que la bise fut venue. En tous les cas, l’année bissextile, c’est le moyen fort ingénieux qu’ont trouvé les malins qui ont fait le calendrier - grégorien, comme le nom du pape l’ayant promulgué, lequel se nommait évidemment Henri IV, dont la couleur du cheval duquel nous ne vous dirons pas - pour qu’on soit toujours en accord avec la révolution terrestre autour du Soleil, plus ou moins à une vache près, parce que c’est pas une science exacte. Ainsi, cher vermisseaux de la matière grise, la Terre effectue sa révolution autour du Soleil en 365,24 jours et des poussières, qu’on arrondit à 365,25, d’où la présence, tous les quatre an, d’un jour complet, le fameux 29 février, pour combler ce vide qu’on aurait sinon, et qui ferait qu’on serait tous décalés avec le Soleil, ce pauvre bougre. Comme quoi, ceux qui ont pensé à tout ça n’étaient pas la moitié d’imbéciles.
Pour en revenir aux malheureux qui sont nés un 29 février, sachez, pauvres ignares baignant dans la mélasse intellectuelle, que ceux-ci fêtent généralement leur anniversaire le 28 février, sauf les années bissextiles, où ils doivent faire comme le commun des mortels et attendre le jour de leur naissance plutôt que de gruger d’un jour. Ce qui fait, si notre calcul est bon, qu’ils gagnent deux mois d’avance s’ils sont des hommes, puisqu’ils ont le bon goût de mourir, dans notre beau pays, vers 80 ans, et plus ou moins deux mois et trois jours si ce sont des femmes, qui, pour une fois, n’auront pas à subir la connerie des hommes pendant les cinq ans qu’elles mettent à mourir après eux. Encore une fois, les mathématiques, ce n’est pas une science exacte, et il est fort possible que notre calcul soit mauvais ; le tout est que, pendant leur vie, ces malchanceux nés le 29 février fêtent leur anniversaire en avance, sans que cela ne dérange personne et sans jamais rattraper l’avance qu’ils accumulent, ce qui est quand même injuste ; s’il est normal que nous devions rattraper le retard que nous accumulons en arrivant chaque jour quelques minutes après l’heure officielle au travail, ne serait-il pas normal que ces resquilleurs de gâteaux immondes soient obligés de fêter, parfois, leur anniversaire en retard, afin que tout le monde soit égal ? Nous pensons que si, et nous sommes près à partir, dès le 29 février prochain, en manifestation pour revendiquer ce droit élémentaire ; et pour marquer le coup, et montrer la conviction qui est la nôtre, nous ferons de même chaque année, le 29 février !
Mais alors que certains essaient encore de comprendre pourquoi les années sont bissextiles, nous giclons autant d’étoiles nacrées qui vous tomberont sur la gueule.
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verver · 10 months
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TUMEURS URBAINES
Épisode 15
Installés sur le canapé, Édouard avait servi un verre . Ils trinquèrent à leur rencontre . Ava était sous le charme, ils discutèrent à bâton rompus de la pluie et du beau temps , de l'entretien de la pelouse, du quartier, des beaux massifs de fleurs qui faisaient la fierté d'Édouard.
Ils burent quelques verres pour accompagner leur discussion. Édouard était plus prolixe qu'à son habitude. Ava s'en rendait compte. Elle se demandait si c'était l'alcool ou si c'était sa présence chez lui. Peut-être les deux pense-t-elle en souriant.
Édouard l'observait avec attention, toujours poli il lui demanda
- ça te dérange si je passe de la musique ?
- Non ! rétorqua Ava
- Bowie tu aimes ?
. j'adore ! s'exclama t-elle
Let's dance envahi le salon , il prit la main d'Ava en l'entrainant au milieu du salon pour une danse endiablée.
Ava était heureuse , la soirée s'annonçait sous de bons auspices , les morceaux défilaient, ils dansaient comme de beaux diables.
Ils s'asseyaient régulièrement pour boire un verre et parler musique.
Quand ils reprenaient leur danse Édouard se tenait de plus en plus serré contre elle , il devenait plus entreprenant, puis il l'embrassa doucement , mais il restait courtois. Ava le laissait faire.
Il continuait sa drague , Ava se demandait quand est-ce qu'il allait l'entraîner vers le canapé ou la chambre . Sur le canapé , il lui retira maladroitement ses chaussures.
- va doucement ! Édouard on est pas pressés
Maintenant Édouard soufflait et était tout rouge , il marmona :
- laisse toi faire !
Ava ne le sentait plus dans de bonnes dispositions. Elle réalisa qu'elle s'était trompée depuis le début.
- arrête ! arrête ! hurla t-elle
- ferme la !
Une porte s'ouvrit , un homme à l'allure scrofuleuse apparut .
- qu'est ce qu'elle a celle la ? gueula t-il en baissant son pantalon .
Ava hurla :
- hey ! les gars arrêtez !
- ferme ta gueule ! hurla le scrofuleux
Édouard se débattant avec ses chaussures et son pantalon, était maintenant prit de tremblements. Il tomba par terre renversant une table basse . Le scrofuleux s'avança vers Ava avec une démarche chaloupée et un ricanement démentiel.
Immédiatement Ava plongea la main dans son sac , prit son flingue et tira sur le mec . Un grand silence , le scrofuleux gisait sur le sol , gemissant et tenant son ventre à deux mains .
Il regardait le salon et Ava avec un air ahuri et surpris, ne comprenant manifestement pas ce qui lui était arrivé.
Soudainement Édouard était calme , il observait d'un regard inquiet Ava et son flingue, à part sa chemise , il était nu .
- t'as l'air d'un con ! dit-elle
- pitié ! dit-il d'une petite voix
- dit moi ducon ! qu'est-ce que vous aviez l'intention de faire ?
- Rien ! cria Édouard
- Tu te fiches de moi ?
- Non j'te jure !
- Tu me racontes des conneries ?
Elle lui assena un coup de crosse au visage.
Elle délaissa un moment Édouard pour ce concentrer sur le scrofuleux, elle fouilla dans son sac et cette fois en sortit une feuille de boucher et s'approcha tranquillement du dégénéré qui gémissait de plus en plus fort.
Ava souriait étrangement, elle s'était revêtue d'une combinaison qui la couvrait des pieds à la tête. Cela lui donnait une allure encore plus bizarre, son sourire n'éclairait pas son visage mais c'était un vilain rictus qui déformait son joli visage.
Les jambes du scrofuleux tremblaient, tout son corps était prit de spasmes incontrôlables qui lui donnait l'air d'un artiste qui exécute la nouvelle chorégraphie d'une danse contemporaine .
Ava lui caressa son ventre blessé avec sa feuille de boucher.
- pitié ! pitié !
Un hurlement retentit dans le salon , la feuille de boucher venait de s'abattre sur le sale type.
Ava frissona l'individu perdait son sang celui-ci n'avait plus de bras à présent.
Son sang était d'un rouge carmin qui fascinait Ava.
Édouard hurlait maintenant de toutes ses forces , Ava devait en finir rapidement si elle ne voulait voir arriver les voisins .
- Tu vas fermer ta gueule !
Elle lui administra quelques coups de feuille de boucher , elle démantela le corps d'Édouard et fendit son crâne en deux. Comme hallucinée , à la manière d'un automate elle se dirigea vers la salle de bain pour se laver et changer de vêtements puis elle sortit en siflotant une chanson de Bowie satisfaite du travail bien fait et se dirigea en direction de la gare
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12-edition · 1 year
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Conversations V : Part III
4/08
A : Sauf qu'il était même pas "quelconque" c'était un pauvre type, menteur et qui s'invente une vie qu'il ne fait que rêver! Physiquement il était même pas mon genre donc nan, je crois que c'est l'intérêt qu'il m'a porté qui m'a fait du bien sur le moment et a occulté tout les défauts évidents! Pour ça je m'en veux encore Alors qu'au fond, tout n'est pas ma faute, mais j'aurai voulu être plus forte à ce moment Aujourd'hui ça m'a apporté bcp donc finalement, peut être qu'il fallait que ça arrive🤷‍♀ -Peut-être ouais A : Enfin j'aurai préféré me couper une guibole quand même je crois! -C'est peut être pas encore trop tard 😅 Ça m'aurait étonné 😅 A : 😄 -Pour terminer mon propos, à ce moment on se parlait déjà plus, et t'avais aucunes raisons de m'écouter. De plus, je pense que personne ne peut te faire changer d'avis, surtout pas moi. A : Tu as raison Mais sur le moment, je crois que j'aurais aimé entendre que c'était un sale con mytho, j'aurai peut être pensé différemment J'étais seule avec une envie d'être avec la mauvaise personne Peut être que j'aurai pensé différemment même si tu as clairement raison, j'ai du mal à écouter les autres Mais toi, quand on s'entendait encore et que tu as vu ce qu'il se passait, j'aurai aimé t'entendre, ou te lire Je sais ce que tu devais penser à l'époque -Je pense pas non A : J'aurai eu besoin de l'entendre je crois Ça n'aurait peut être rien changé, mais ça l'aurait mis en porte à faux et peut être que je l'aurais vu tel qu'il était Je suis même dégoûtée qu'il t'ait écrit ce bâtard, pour s'excuser en + mais quelle merde humaine! -Je pourrais dire que j'avais tout compris dès le départ, mais c'est le cas, j'ai rien vu venir, à ce moment c'est mon égo qui parlait, parce que j'ai compris que je tenais à toi au moment où je t'ai perdu, par ma faute, tu parles d'un génie. Pour ses excuses, j'ai savouré je l'ai mérité. A : Tu m'as pas perdu par ta faute -Si, peut être pas entièrement mais si Moi aussi je me suis comporté comme un connard, j'ai mérité ce que j'ai eu A : Le vrai connard Alex, c'est celui qui a menti, trahi, disparu, qui nous a pris pour des cons! Ce fils de chien de mérite pas que tu t'en prenne à toi -Non ça il mérite pas A : Il mérite que la vie de merde qu'il doit avoir Avec sûrement une ptite femme qui pense avoir trouvé l'homme idéal Sûrement une débile 🤦‍♀ -Ce genre de personnes trouve des gens suffisamment influençable pour croire à leurs histoires. De toute façon dans la vie, plus tu fais de bruit plus tu racontes de conneries plus les gens te remarque, je comprendrais jamais ça. A : Mais au final, tu finis entouré de connards dans ton genre ou de gens faibles On a vite vu qui il était Ma dernière conversation avec lui reste en mémoire, grillé il a préféré fuir comme un lâche qu'il est! -J'imagine A : C'était moche -Presque aussi moche qu'on en viennent à parler de lui quand on taille le bout de gras. A : Je sais Mais ça me fait du bien de me défouler 😄 -Je sais bien A : Mais je sais que t'aime pas ça Dsl -J'ai pas dit que j'aimais pas ça A : Tu sais le pire! C'est que j'aurai aimé être bcp plus virulente à l'époque avec ce con! -Ça aussi je sais 😅 Tu t'es rattrapée depuis A : Oui mais j'ai pas pu lui dire toute la merde que je pensais de lui🤦‍♀ Alex: On pourrait lui changer son nom, simple proposition 😅
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A : 🤣🤣🤣 Excellent ça!!!! -Mike Hannigan l'un des dix personnages les plus sous-estimé de l'histoire A : C'est certain!!! -Ouais nan Paul Rudd carrément tiens A : Ah bah lui c'est toute la filmo qui est bonne!!! Sa série avec son double est géniale!!! -Ze note A : Living with yourself Excellent!!! -Ouep j'avais trouvé 😄 Merci de m'avoir accordé un peu de ton temps A, j'apprécie A : Ah beh quand on peut rendre service hein🤦‍♀ 😅 Mauvais smiley! Je suis une misérable 🤣🤣🤣 -Elle non plus c'est pas une flèche 😅 A : 🤣🤣🤣 Ça a un rapport avec le tir à l'arc?? -Bah il faut dire que quand vous m'avez appris c'était tellement clair 😅 A : Mais vous savez tirer à l'arc depuis? -J'ai pas réessayer depuis mais y a pas de raisons x) C'est marrant cette conversation me rappelle un truc 😅 A : Ah oui?? 😄 -Nah je me disais que on pourrait remplacer le tir à l'arc par autre chose et mes réponses serait pareil 😅 suis fatigué 😅 A : Ah mais merde 🤣 -Ça colle parfaitement, mes excuses pour cet écart de comportement 😅 A : 😄😄😄 T'en fais pas! -Y a un minimum de dignité 😅
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t-news-pastille · 1 year
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Actu trans de septembre 2023
La CEDH (la Cours Européenne des Droits de l’Homme) a déclaré recevable les 261 requêtes initiées contre la France par des travailleurs et travailleuses du sexe dans le cadre de la pénalisation du recours à la prostitution en 2016 par le pays.
Alors vous vous demandez peut-être pourquoi j’en parle ici alors que c’est un podcast orienté thématique trans, simplement parce que cette loi impacte les TDS, et qu’il y a pas mal de TDS qui sont trans. Avec cette loi, les TDS ont vu leur risque de violence et leur précarisation accroître et leurs droits à la santé et à la sécurité diminuer.
Donc c’est une étape importante de la part de la CEDH de reconnaître l’impact négatif de cette loi. Par contre, attention, cela signifie simplement qu'ils prendront en charge l'affaire. On ne sait pas encore quelle décision, ni comment statuera la Cours concernant cette affaire.
Marion Maréchal Le Pen a lancé une campagne pour les élections européennes en promettant, entre autres idées abjectes, de combattre "la propagande woke et LGBT".
A Pau, un gynécologue transphobe a refusé de prendre en consultation une patiente parce qu’elle est trans. Alors, en soit ce n’est, malheureusement, pas vraiment une « grosse news » étant donné que ce type de situation arrive assez régulièrement. Mais ça a fait grand bruit. Et surtout ça a montré l’incompétence et l’ignorance des gens et du corps médical face aux corps et besoins des personnes trans. Puisque le bonhomme à indiqué ne « [s]'occuper [que] des vraies femmes » [sic] et qu’il est « incapable d’examiner une personne trans, de la conseiller, [car il] n’a pas cette compétence » alors que la patiente venait consulter pour une douleur à la poitrine.
Voilà.. Bon aux dernières nouvelles, cis ou trans, des seins sont des seins hein. Rien ne change. Donc s’il n’est pas capable de s’occuper de ça, il faudrait peut-être penser à changer de métier ou ouvrir un bouquin pour se former et ne pas mettre en danger la vie de sa patientèle – que cette dernière soit cis ou trans.
Dans cette affaire, les deux parties n'excluent pas de porter plainte. Le praticien pour diffamation et agression verbale (puisqu’apparemment dire qu’il est transphobe serait une agression) et la jeune femme trans pour transphobie.
Et dernière info française du mois, un collégien de 14 ans, auteur de messages à caractère harcelant à l’encontre d’une lycéenne trans de 15 ans, a été interpellé en plein cours et placé en garde à vue à Alfortville.
Une enquête pour violences et menaces de mort a été ouverte avec circonstance aggravante, étant donné que la victime est trans et que le harcèlement à son encontre était en lien avec ça.
Le harceleur a reconnu les faits et sera soumis à une mesure de réparation pénale.
La version UK de « Mariés au 1er regard » accueille sa première candidate trans de l’émission dans sa programmation 2023.Charlie Bentley-Astor, une militante anti-trans, a publié, de manière indignée, la photo d'un auto-collant représentant une chaussure aux couleurs du drapeau des fiertés piétinant le mot « femme », suggérant que les militants LGBTQ+ attaquaient les droits des femmes. Cependant, il a été rapidement révélé que l'auto-collant provenait de l'organisation anti-trans Standing For Women, fondée par la TERF Posie Parker, et non de militant·es des droits des personnes trans comme le laissait entendre la militante. Certain·es ont même des doutes quant au fait que cette dernière est coller l’autocollant elle-même pour créer la polémique… On a encore une fois, la démonstration de la bêtise TERF….
Dans la rubrique « les transphobes ont une fragilité et une connerie colossale », nous avons l’entreprise Braun qui s’est retrouvée dans un élan de critiques britanniques pour avoir montré un homme trans, torse nu cicatrices de mammec’ visibles, se raser dans une publicité pour un rasoir électrique. Les détracteurs transphobes accusent la marque de "glorifier une chirurgie irréversible" et de « promouvoir une contagion sociale ».
Et nous avons également eu l’occasion d’apprendre, qu’apparemment, les femmes trans auraient un avantage biologique injuste pour pêcher du poisson puisque l’équipe féminine de pêche à la ligne d’Angleterre refuse de participer aux championnats du monde après l’inclusion d’une coéquipière trans dans l’équipe indiquant que cela est « injuste ».
L’organisme organisatrice du sport, l’Angling Trust, a depuis nié que les femmes trans bénéficient d’un avantage.
Les résultats d’une nouvelle étude provenant de la British Social Attitudes interviewant 6 638 personnes a montré une forte augmentation des préjugés à l’égard des personnes trans, avec seulement 64 % déclarant qu’elles n’avaient « aucun préjugé », contre 82 % en 2019. Presque 4 personnes sur 10 s'opposent au droit des personnes trans à modifier le sexe enregistré à la naissance sur leur certificat de naissance, et seulement 3 sur 10 estiment que les personnes trans devraient avoir ce droit, soit une baisse de 23 points de pourcentage depuis 2019.
Rapide tour en Allemagne, pour parler du projet de loi d’auto-détermination. Je rappelle que ce projet de loi permettra, s’il est adopté complètement, de faire changer son genre légal en se déplaçant simplement dans un bureau d'état civil local. C’est une bonne chose, par contre le gouvernement, dans un article de ce projet de loi, souhaite restreindre cette possibilité aux personnes assignées homme à la naissance en cas de période de tension ou de défense de guerre, arguant que c’est une mesure destinée à empêcher les hommes d'abuser de ces règles d'auto-détermination pour échapper à la conscription militaire.
En Australie, une nouvelle recherche comprenant 1 309 personnes a montré que près de la moitié de toutes les personnes trans interrogées ont été victimes de haine – en ligne ou en physique – au cours de l’année écoulée. En moyenne, une personne trans sur 6 a répondu qu’elle a subi des violences physiques au cours de cette année. Le rapport révèle également que même si les personnes trans n’ont pas personnellement été victimes de haine en ligne, presque toutes (soit 94 %) ont été témoins d’une forme de haine anti-trans en ligne au cours de l’année écoulée.
Une autre étude, qui cette fois-ci montre que les soins d'affirmation de genre réduisent de près de 55% risque de suicide chez les personnes trans, en plus de réduire les taux de dépression et dysphorie.
Et dernière info pour le pays, Gymnastics Australia a approuvé de nouvelles lignes directrices pour l'inclusion des personnes trans qui permettront aux athlètes trans de participer à des compétitions genrées et de porter l'uniforme de leur choix. L'organisation a également déclaré que les gymnastes trans ont « le droit d'utiliser les vestiaires et les toilettes qui reflètent le mieux leur identité de genre », et a également affirmé que les athlètes trans pourront s'inscrire aux événements sportifs en fonction de leur genre.
Une news un peu en retard, puisque j’avais loupé l’info. Le Kirghizistan a adopté une nouvelle loi mi-août, prenant effet le 30 août dernier, visant à restreindre la liberté d'expression et l'accès à l'information sur les personnes LGBTQI+, sous prétexte de protéger les mineur·es contre des informations jugées nuisibles. La loi interdit la diffusion « d’informations niant les valeurs familiales et sociales traditionnelles, promouvant les relations sexuelles non traditionnelles et manquant de respect envers les parents ou d’autres membres de la famille ». Cela va priver les enfants LGBTI de l’accès aux services et au soutien dont iels ont besoin pour s’épanouir et les expose au risque de harcèlement, de violence et à un environnement généralement hostile.
Cette loi, similaire aux lois "anti-propagande LGBTI" de la Russie et de la Hongrie, prévoit des amendes pour la diffusion d'informations considérées comme nuisibles.
En Irak, les parlementaires discutent d'une proposition de loi visant à emprisonner les femmes trans du pays pendant 3 ans ou de leur donner une amende pouvant aller jusqu’à 7 100 €.
Les femmes trans sont définies comme quiconque « imitant une femme », et concerne les personnes assignées homme qui portent du maquillage ou des vêtements féminins ou qui « apparaissent comme une femme » en public.
Les partis conservateurs fédéraux et provinciaux du Canada ont récemment voté des politiques restrictives à l'égard des personnes trans, interdisant aux mineur·es trans de recevoir des soins d'affirmation de genre, définissant une femme comme une "personne de sexe féminin" et demandant l'interdiction des femmes trans dans les espaces réservés aux femmes.
Ces politiques ont été adoptées lors de la convention politique du Parti conservateur fédéral à Québec, avec une majorité significative de délégué·es exprimant leur soutien à ces mesures. Toutefois, il est important de noter que ce vote ne deviendra officiellement partie intégrante de la plateforme du Parti conservateur que si le chef actuel, Pierre Poilievre, décide de l'inclure.
En tout cas, ce vote et ces thématiques ciblant les personnes trans s'inscrivent dans un contexte de montée des manifestations anti-trans au Canada. Et s'ajoutent à d'autres mesures prises par certains gouvernements provinciaux conservateurs pour restreindre les droits des étudiant·es trans en matière de noms et de pronoms à l'école. Le 20 septembre, des organisations anti-trans ont appelé à une « 1 Million March 4 Children» (une « marche du million pour les enfants ») contre les droits des personnes trans au Canada, mais l'événement a pris une tournure inattendue.
Au lieu de voir débarquer une majorité d'opposants aux droits des personnes trans, qui venaient marcher pour montrer leur volonté d’éliminer les mesures d’éducation et d’inclusion LGBTQ+ dans les écoles, des foules largement plus massives de personnes pro-droits trans ainsi que des syndicats d'enseignant·es ont envahi les rues de plusieurs villes (comme Toronto, Vancouver et Ottawa) pour contrer ces marches. Le 1er ministre canadien, Justin Trudeau, a par ailleurs exprimé son soutien aux contre-manifestant·es.
Le portail Nexus Mods, qui sert à accueillir des mods de jeux, a retiré un mod controversé du jeu Starfield qui visait à retirer tous les pronoms du jeu au moment de la création du personnage. Puisque le jeu permet de choisir librement les pronoms de son personnage (y compris des pronoms neutres) à ce moment là.
Comme d’habitude, les gens s’insurgent pour des broutilles.. Ça n’a pas été au goût de tout le monde. On a pu voir un Youtubeur littéralement péter un câble sur ça, et donc un mod chargé de retirer les pronoms du jeu a été créé par des joueurs, puis diffusé à la sorti du jeu. Finalement, ce mod a été depuis interdit et retiré. Mais il faut savoir qu’en plus, le mod ne donnait pas le résultat escompté en jeu puisque qu’en retirant l’option des pronoms, les joueurs se retrouvaient avec les pronoms They/Tem qui sont les neutres en anglais.
On reste sur la thématique de la fragilité des conservateur·ices qui s’énervent pour pas grand-chose. Ce mois-ci iels ont décidé d’être outré·es par un spin-off du dessin animé Pat'Patrouille puisque ce dernier comporterait un contenu soit-disant scandaleux. Le contenu scandaleux, qui je cite « endoctrinerait [les] enfants », étant un seul personnage non-binaire portant des chaussettes à l’effigie des couleurs du drapeau trans, et qui n'apparaît que dans un seul épisode du spin off….
On termine avec les États-Unis.
En terme de lois adoptés, on a :
- Le Conseil scolaire de l’Alaska vote pour interdire les filles trans des équipes sportives de filles des lycées ;
- Un juge fédéral a statué que les fonctionnaires de l'État ne sont plus tenus d'autoriser les résident·es trans du Kansas à mettre à jour leur acte de naissance pour refléter leur identité de genre.
- Une juge de district de Géorgie a rétablit l'interdiction de soins d’affirmation de genre pour les mineur·es trans, moins de 3 semaines après avoir émis une injonction contre cette même loi. La juge Sarah Geraghty avait initialement émis une injonction contre cette loi. Mais en raison d'une décision similaire de la Cour d'appel du 11e circuit dans l'affaire de l'Alabama, elle a dû suspendre sa propre décision temporairement, en attendant de voir comment cette affaire se développera. - Un juge californien met fin à la politique du district scolaire consistant à outer les élèves trans à leurs parents.
- Un juge fédéral au Texas a déclaré inconstitutionnelle l'interdiction des performances de drag devant un public de moins de 18 ans la qualifiant d'atteinte à la liberté d'expression. (Je rappelle que le texte de loi définissait le drag d’une manière qui ciblait également les personnes trans et une performance comme un truc super vaste. En gros une personne trans dansant dans un bal ou chantant un karaoké entre ami·es tombaient sous le coup de cette loi.) Cette dernière, connue sous le nom de Senate Bill 12, a été jugée trop large et vague, et comme n’ayant pas de motif justifié. Bien que le texte de la loi ne mentionne pas explicitement le terme "drag", le juge a estimé qu'elle constituait une discrimination.
- Un juge du Montana a bloqué une loi interdisant les soins d’affirmation de genre pour les jeunes trans mineur·es, la jugeant inconstitutionnelle en raison d'un manque de preuves médicales et de violations des droits fondamentaux. Cette décision pourrait avoir un impact majeur sur les droits des personnes trans dans l'État et au-delà.
Dans le reste de l’actu USA :
- Un projet de réflexion républicain intitulé "Projet 2025" propose des plans pour les droits (ou plutôt le retrait des droits) des personnes LGBTQ+ en cas de victoire du Parti Républicain à l'élection présidentielle de 2024, et inclut une section sur la manière dont le prochain président pourrait effacer les personnes trans de la vie publique.
Le projet, créé par la fondation conservatrice The Heritage Foundation, suggère de définir l'existence des personnes trans comme "pornographique". Le plan prévoit également de supprimer complètement les protections contre la discrimination pour les personnes LGBTQ+ dans la loi.
- L'entreprise spécialisée dans la recherche d'emploi et le recrutement Indeed, a mis en place un programme dans lequel elle offre 10 000 dollars aux employé·es trans ou à leurs membres de famille proche s'iels ont besoin de déménager pour échapper aux législations anti-trans des états comme le Texas ou la Floride. L’entreprise prendra également en charge les impôts associés aux fonds de déménagement, les considérant comme des allocations.
- Une nouvelle étude a montré l’importance de l’inclusion des personnes trans dans les sports scolaires et universitaires, ainsi que l’impact que les interdictions peuvent avoir sur les jeunes trans.
Selon un rapport publié par un groupe de médecins du sport et de chercheur·euses en services de santé dans JAMA Pediatrics, l’interdiction de la participation des personnes trans au sport pourrait contribuer je cite à « une détérioration durable de la santé physique et mentale de cette population à risque ».
- Selon une nouvelle enquête intitulée "The State of Our Nation" ("L'État de notre nation") menée par The 19th News et Survey Monkey, la grande majorité des américain·es, quelles que soient leurs affiliations politiques, estiment que les politicien·nes ne devraient pas se concentrer sur la législation liée aux personnes trans.
Cette enquête a interrogé plus de 20 000 adultes américain·es sur leurs opinions concernant des questions politisées telles que la démocratie, l'avortement, les soins d'affirmation de genre et les armes à feu en prévision des élections de l'année prochaine.
Les résultats montrent que :
- les politicien·nes devraient soit protéger les personnes trans, soit ne pas se concentrer du tout sur les questions trans.
- que les tentatives de la droite visant à légiférer contre les jeunes trans sont très impopulaires auprès des électeurices.
- que seulement 17 % des américain·es estiment que les politicien·nes devraient se concentrer sur la restriction des soins d'affirmation de genre.
- que près des 3/4 de la population générale estiment que les politicien·nes ne sont pas suffisamment informé·es sur ce sujet pour élaborer des politiques justes.
- et qu’1/3 des américain·es (et près de 60 % des Démocrates) estiment plutôt que les législateurices devraient se concentrer sur la protection des droits des personnes trans.
- Une clinique de fertilité spécialement axée patientèle trans s'apprête à ouvrir à Pittsburgh au printemps prochain. Cette clinique se spécialisera dans la délivrance (abordable) de soins d’affirmation de genre aux individu·es trans et non-binaires, ainsi qu'aux couples cherchant à concevoir.
La clinique proposera des services de fertilité standard tels que la fécondation in vitro, les traitements hormonaux, la gestation pour autrui, ainsi que des dons de sperme et d'ovules, tout en mettant l'accent sur l'éducation autour de la santé reproductive des personnes trans. L'objectif est de fournir des soins à un coût de un tier à la moitié de celui des autres centres de fertilité, dans le but de rendre ces services accessibles à toutes et tous, quelle que soit leur situation financière.
- Le Tennessee vient d’élire sa première personne ouvertement trans à une fonction publique. Elle s’appelle Olivia Hill.
- Une femme trans des Samoa américaines gagne 125 000 $ dans le cadre d’un règlement pour harcèlement transphobe.
- Et pour terminer, la Californie est devenue, au début du mois, le tout premier état à déclarer le mois d’août comme le « Transgender History Month » (un « mois de l'histoire transgenre »).
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