seoulserpents
soulmie ' s biographies ;
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Je les appelle la 𝗯͟𝗶͟𝗯͟𝗹͟𝗶͟𝗼͟𝘁͟𝗵͟𝗲̀𝗾͟𝘂͟𝗲 de ma vie. Tous les étés, depuis que je suis toute petite, je hante les vide-grenier à la recherche de livres intéressants. Comme ça, j'ai toujours quelque chose à lire. Mais il y a tant d'autres choses qui nous attendent : les 𝗰𝗶𝗴𝗮𝗿𝗲𝘁𝘁𝗲𝘀 à fumer, l'𝗮𝗺𝗼𝘂𝗿 à faire, les 𝗯𝗮𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 à balancer. J'aurai du temps pour lire quand je serai 𝗏͟𝗂͟𝖾͟𝗂͟𝗅͟𝗅͟𝖾 et 𝖻͟𝖺͟𝗋͟𝖻͟𝖺͟𝗇͟𝗍͟𝖾.
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seoulserpents · 12 days ago
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𝗠͟𝗘͟𝗡͟𝗚͟ 𝗖͟𝗟͟𝗘͟𝗢 ;
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seoulserpents · 15 days ago
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𝗞͟𝗪͟𝗢͟𝗡͟ 𝗠͟𝗔͟𝗗͟𝗘͟𝗟͟𝗘͟𝗜͟𝗡͟𝗘 ;
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seoulserpents · 28 days ago
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𝗝͟𝗨͟𝗡͟𝗚͟ 𝗟͟𝗢͟𝗨͟𝗜͟𝗦͟𝗔 ;
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seoulserpents · 28 days ago
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𝗟͟𝗘͟𝗘͟ 𝗠͟𝗜͟𝗡͟𝗝͟𝗜 ;
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seoulserpents · 28 days ago
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𝗢͟𝗗͟𝗔͟ 𝗠͟𝗜͟𝗧͟𝗦͟𝗨͟𝗛͟𝗔 ;
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seoulserpents · 28 days ago
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𝗣͟𝗔͟𝗥͟𝗞͟ 𝗝͟𝗜͟𝗡͟𝗡͟𝗬 ;
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seoulserpents · 3 months ago
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𝗬͟𝗨͟𝗡͟ 𝗥͟𝗘͟𝗡͟𝗔͟𝗧͟𝗔 ;
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seoulserpents · 5 months ago
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𝗣͟𝗔͟𝗥͟𝗞͟ 𝗞͟𝗔͟𝗥͟𝗜͟𝗡͟𝗔 ;
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seoulserpents · 5 months ago
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𝗟͟𝗘͟𝗘͟ 𝗟͟𝗢͟𝗨 ;
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seoulserpents · 5 months ago
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𝗠͟𝗔͟𝗡͟𝗗͟𝗬͟ 𝗗͟𝗨͟𝗩͟𝗔͟𝗟 ;
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Mandy fait le bonheur et la fierté de ses parents. Bonne élève, enfant modèle, sage, calme, qui ne pose pas de problème, et qui surtout, suit la lignée de sa mère en s’intéressant au patinage dès son plus jeune âge. Elle a sept ans, la petite, et pourtant elle ne cesse de regarder en boucle et en boucle des vidéos de sa mère, pendant ses années où elle pratiquait le patinage artistique. Elle le sait, au fond d’elle, elle veut faire tout comme sa mère. C’est l’année qui suit sa septième bougie, après être tombée sur les vidéos de sa mère, que ses parents inscrivent Mandy pour participer à ses premiers cours de patinage. Et elle est douée, plus que douée même, quand elle ne cesse d’épater ses parents et ses entraîneurs. Tout le monde le sait, elle fera une carrière là dedans si jamais elle continue de se montrer aussi sérieuse. C’est sa cousine, à peine plus jeune d’un an, qui la rejoint quelques années après. Elles ont neuf et huit ans, et les deux cousines passent le plus clair de leur temps ensemble à la patinoire. Elles s’en fichent de ne pas avoir d’amis, de ne pas faire comme les jeunes filles de leur âge, parce que tout ce qu’elles veulent, c’est patiner encore et encore.
En parlant de Celia – sa cousine, les deux petites quittent leur entraînement, elles ont quelques années en plus maintenant, Mandy frôle les douze ans, et elles attendent les parents de la plus âgée qui sont coincés dans les bouchons. La jeune Duval ne saurait pas tellement expliqué ce qui s’est passé… Celia prétexte avoir oublié quelque chose dans le vestiaire, laissant sa cousine seule devant la patinoire, inquiète de voir que cette dernière met beaucoup trop de temps à son goût. Cinq minutes, dix minutes, ses parents ne sont toujours pas là, et la plus jeune est toujours aux abonnés absents. Peut-être que c’est son instinct qui la pousse, du haut de ses douze ans à rentrer de nouveau dans la patinoire pour se diriger vers les vestiaires, peut-être que c’était ce qui était écrit, qui allait provoquer un tournant dans sa vie, mais elle se serait bien passée de cette vision affreuse ; sa cousine, allongée dans une mare de sang, avec une sorte de démon au dessus d’elle. C’est la peur, qui la pousse à prendre la fuite, courant et courant au risque de se tordre la cheville jusqu’à atteindre la sortie, et tomber sur ses parents qui ne comprennent pas pourquoi leur fille est en train de crier à la mort, à pleurer, avec ses yeux écarquillés et sa mine apeurée. Elle ne sait plus trop, ce qui s’est passé par la suite. Mais Mandy est paralysée, sur le trottoir avec sa mère, qui ne cesse de lui poser des questions alors que son père est rentré dans la patinoire pour récupérer Celia. Puis la police, les urgences, trop de sang sur le corps de sa petite cousine qui est emmené sur un brancard. Peut-être que Mandy a halluciné, peut-être que clouée sous le choc, elle s’est imaginé cette figure sombre démoniaque au dessus du corps de sa cousine, parce que le résultat donné par les caméras de surveillances montre que la petite Celia a trébuché en montant sur une chaise, en voulant attraper ses affaires, et que sa tête a directement tapé le sol, provoquant une commotion cérébrale qui a entraîné sa mort.
Plus de dix ans après de nombreuses séances chez le psy, des cauchemars à répétition, des images de ce démon qui lui reviennent sans cesse en tête, c’est quand Mandy fait son entrée en master à l’université, que ses cauchemars deviennent réalité. Sa vie prend un tournant différent quand elle commence à faire de nouveaux cauchemars, des femmes qui la hantent la nuit, qui lui ressemblent, qui ne cessent de lui répéter encore et encore qu’elle est l’élue. Elle n’y croit pas, pense que c’est le fruit de son imagination, mais tout se corse quand un soir, en rentrant des courses, elle tombe sur des vampires. Des vampires ? Elle qui se forçait à être terre à terre pour ne pas retomber dans ses psychoses, est bien obligée de se rendre à l’évidence. Ce qu’elle avait vu, des années auparavant, dans les vestiaires de la patinoire, ce n’était pas son imagination. Elle avait juste depuis le début. Mais elle ne sait pas quoi faire, alors elle prend la décision de fuir, parce qu’elle n’a aucune idée qu’elle est l’élue, ne sait pas comment gérer la situation, et elle a surtout l’impression de virer à la folie pure et dure. Son comportement change du jour au lendemain, les cauchemars se font plus violents, plus nombreux, elle est désagréable les trois quarts du temps, et surtout, elle ne sort plus de sa chambre. Ne cessant de répéter à quel point c’est dangereux dehors, prétextant que des vampires sont après elle. Face au comportement de leur fille, ses parents décident de l’envoyer dans un centre psychiatrique, pour qu’elle puisse se soigner, sauf qu’elle le sait au fond d’elle, Mandy n’est pas folle, et elle est appelée pour régler quelque chose, mais quoi ? C’est au bout de deux/trois jours, qu’elle prétexte aller bien, qu’elle a tout imaginé pour se montrer intéressante. Ses parents, qui ne comprennent pas pourquoi elle a tout inventé, commencent à se disputer, encore et encore, jusqu’à ce que Mandy se sente coupable face au divorce de ses parents, qui ne supportent plus la présence de l’un et l’autre. C’est donc avec le besoin de retaper son année de master, que Mandy débarque à l’université de Andong. Nouvelle université, nouvelle ville, nouvelle vie, c’est avec sa mère qu’elle tente de se reconstruire, même si sa culpabilité est beaucoup trop présente en elle.
Sauf qu’elle est l’élue, la chasseuse de vampire…
Et qu’elle a été choisie pour une bonne raison.
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seoulserpents · 5 months ago
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𝗞͟𝗜͟𝗠͟ 𝗛͟𝗬͟𝗨͟𝗡͟𝗝͟𝗔͟𝗘 ;
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seoulserpents · 5 months ago
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𝗦͟𝗢͟𝗡͟𝗚͟ 𝗢͟𝗖͟𝗧͟𝗔͟𝗩͟𝗜͟𝗔 ;
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Le district sept. Un des plus grands districts, mais également l’un des plus pauvres. C’est là qu’Octavia voit le jour, dans un monde qui cultive la papier et le bois. Elle est la deuxième de la famille et la dernière, ayant un grand frère qui a deux ans de plus qu’elle – Emil -. Elle n’est pas la favorite non plus, parce qu’elle est une fille, qu’elle n’est pas assez forte, d’après ses parents, pour s’occuper du bois et pour maîtriser la hache. La jeune femme fait donc ce qu’on attend d’elle, aller à l’école et fournir le minimum d’effort, même si son semblant de scolarité ne l’importe guerre, elle sait que dans tous les cas, si jamais elle vient à ne pas participer aux Jeux de la faim, elle sera promise à un garçon de son district, pour être mère au foyer. Sa vie est déjà toute tracée. Mais elle ne veut pas de cette vie là.
Puis c’est le drame. Octavia a à peine une dizaine d’année, quand elle rentre de l’école et qu’on lui annonce aussi simplement que ça que son père est décédé. Il faisait tourner la maison, s’occupait du bois, et c’est un mauvais mouvement de hache qui le tue. Contrairement à son grand frère qui rentre dans une rage, sa mère qui se noie dans l’alcool pour oublier tout ça, elle reste calme et se range dans un mutisme constant. Emil est contraint de reprendre la place de son père, de prendre la place de la figure autoritaire de la maison. Ils ne sont pas forcément proches, les deux frères et sœurs, mais Octavia voit bien que le jeune homme ne se plaît pas dans ce rôle là, qu’il est encore trop rongé par le décès brutal de leur père pour pouvoir avoir la tête sur les épaules. Et c’est quelques années plus tard qu’un autre drame arrive ; Emil se blesse, aussi tragiquement que l’on peut l’imaginer. Cet acte manqué lui vaudra une jambe en moins. Elle n’était pas destinée à cette vie là, et pourtant elle devra prendre la relève à son tour. En même temps, comment la maison pouvait-elle fonctionner avec une mère qui est ivre tous les jours et un grand frère qui est dans un fauteuil, incapable de faire autre chose que de pleurer sa vie à présent brisée. Octavia donc, abandonne l’école – comme si ça l’importait – et se met au charbon, aidant à trancher le bois. La jeune femme n’est pas tout de suite douée avec sa hache, manquant plusieurs fois de se blesser, mais elle progresse assez vite. D’ailleurs, plusieurs anciens amis de son père ne se gênent pas pour lui rétorquer qu’elle pourrait être une excellente carrière avec sa précision quand cela concerne la hache. Mais elle ne sera jamais une carrière, parce qu’elle n’a pas le temps de s’entraîner, passant ses journées à trancher le bois ou à se rendre à la fabrique de papier pour aider. Les jeux de la faim sont les derniers de ses soucis, et pourtant elle n’y échappera pas.
Octavia atteint bien vite l’âge légal pour participer aux Jeux. Contrairement aux autres jeunes de son âge qui sont angoissés, qui stressent à l’idée de voir leur prénom être tiré au sort, elle reste calme, neutre, vidée de toute énergie. Qu’elle participe ou non aux jeux, elle en a strictement rien à faire. Alors quand son prénom est tiré au sort, elle ne réagit pas tout de suite, c’est seulement quand elle peut voir les têtes se tourner dans sa direction qu’elle lève enfin la tête. Elle est tirée au sort. Elle va devoir se battre pour sa survie. Comme si ce n’était pas ce qu’elle faisait déjà depuis la mort de son père. Elle entend des pleurs dans l’assemblée, et Octavia n’a même pas besoin de tourner la tête pour se rendre compte que c’est sa mère, dans un semblant de lucidité qui pleure la perte de son dernier enfant. Parce que soyons honnête, personne ne mise sur la jeune femme, et encore moins sur le jeune homme qui l’accompagne sur l’estrade. Elle le connaît de vue, ont du faire un bout de scolarité ensemble, mais encore une fois, elle s’en fiche. Elle ne compte pas sociabiliser, ne compte pas faire ami ami avec ce garçon qui vient du même district qu’elle. Mais pourtant, quand elle pose son regard sur le jeune homme, avant de monter dans le train qui les mèneront jusqu’au Capitole, elle a de la peine. Elle ne veut pas s’avancer, mais elle sait très bien que le maigrichon qui l’accompagne, ne survivra pas un jour dans l’arène.
Bien évidement, personne ne la calcule plus que ça. Parce qu’elle n’est pas une carrière, qu’elle ne vient pas d’un district riche et que par conséquent, elle ne suscite pas l’intérêt des autres participants ni même des jurys. Mais elle y parviendra, grâce à la hache, à la précision dans laquelle elle excelle. Elle n’est pas une carrière, mais elle sera vu comme une menace pour certains participants, d’après les bruits de couloirs qu’elle peut entendre lorsqu’elle passe devant les différents groupes. Cela dit, elle est seule et restera seule également lorsqu’ils seront emmenés dans l’arène. Octavia n’a pas forcément de tactique ni même de plan, elle espère juste échapper à la boucherie des premières secondes de Jeu. Les autres ne lui portes pas plus attention que ça, étant donné qu’ils sont occupés à s’entre-tuer ou de prendre le dessus sur les plus faibles. D’ailleurs, la dernière chose qu’elle voit avant de fuir en direction de la foret, sa hache en main, c’est le garçon du district sept qui se fait tuer sous ses yeux. Que les jeux commencent.
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seoulserpents · 5 months ago
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𝗛͟𝗪͟𝗔͟𝗡͟𝗚͟ 𝗙͟𝗘͟𝗟͟𝗜͟𝗫 ;
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seoulserpents · 5 months ago
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𝗖͟𝗛͟𝗢͟𝗜͟ 𝗔͟𝗗͟𝗔͟𝗠 ;
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seoulserpents · 5 months ago
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𝗖͟𝗛͟𝗢͟𝗜͟ 𝗦͟𝗨͟𝗡͟𝗚͟𝗡͟𝗔͟𝗠 ;
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seoulserpents · 6 months ago
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𝗛͟𝗜͟𝗡͟𝗢͟ 𝗞͟𝗜͟𝗬͟𝗨͟𝗠͟𝗜 ;
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seoulserpents · 6 months ago
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𝗔͟𝗦͟𝗨͟𝗠͟𝗜͟ 𝗦͟𝗔͟𝗥͟𝗔 ;
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Sara est née au Japon, sa famille ayant émigré en Corée lorsqu’elle était encore toute petite. Bien qu’elle passe sa vie dans la capitale, elle est surtout élevée dans le cadre des valeurs traditionnelles japonaises, montre énormément de respect à l’égard de ses parents, pouvant des fois être exagéré. La jeune femme accorde beaucoup d’importance à ses origines, elle envisage même plus tard de retourner vers ses racines, au Japon. Mais pour l’instant, elle doit surtout assurer sa vie en Corée, sa scolarité. Si au début elle est une bonne élève, faisant des efforts pour assurer toutes ses classes, sa concentration s’envole bien vite quand la mauvaise nouvelle tombe. Sa mère est malade. Une maladie qui ne peut être soignée, ou au pire, être retardée mais Sara ne se fait pas d’idées – comparé à son père – elle sait que sa mère n’a pas beaucoup de temps. Alors elle se prépare, dans son coin, se renferme un peu plus sur elle même, bosse beaucoup ses cours, quitte à ne plus voir qui que ce soit. C’est comme ça jusqu’à sa scolarité, et même si elle va récupérer son diplôme du lycée avec sa mère, dans un fauteuil roulant et un bonnet sur la tête, elle est fière de pouvoir offrir cette dernière fierté à sa mère. Avant qu’elle ne parte.
Ce qui arrive. Elle qui pensait être prête, elle qui pensait être forte, ce n’est absolument pas le cas. Elle a dix-neuf ans quand sa mère rend son dernier souffle, sa main dans la sienne, son mari de l’autre côté du lit. Et Sara pleure, encore et encore, jusqu’à faire un malaise. Sa mère laisse un manque indéniable dans la famille, se retrouvent à deux alors qu’ils avaient eu l’habitude d’être trois. C’est son père qui en souffre le plus. Il commence à s’éteindre, petit à petit, trouve refuge dans l’alcool, devant une Sara qui ne sait pas gérer la peine de deux personnes. Alors elle part de la maison, décide d’abandonner ses études et de trouver un travail pour joindre les deux bouts, pour trouver un appartement. Elle continue les premiers temps d’aller rendre visite à son père, pour s’assurer qu’il respire toujours, qu’il n’est pas trop dans un sale état. Mais les seules fois où elle retourne dans la maison familiale, c’est la tristesse qui l’envahit, la frustration de voir son père se laisser mourir. Elle arrête petit à petit de lui rendre visite, mais elle garde tout de même un œil sur la rubrique nécrologique de la ville, s’attendant au moment où elle verrait le nom de son père y figurer. Sara trouve un travail en tant que serveuse dans un café du centre-ville, ce n’est pas le boulot idéal mais ça lui permet de penser à autre chose. Puis elle n’est pas toute seule, elle a Jae, son meilleur ami. Même si on dirait qu’ils se détestent la plupart du temps, le garçon est sa seule constante dans sa vie, la seule personne à qui elle peut faire entièrement confiance.
La jeune femme arbore un look à l’image de sa personnalité – et ce n’est pas rare que les gens pensent d’elle qu’elle est bizarre ou qu’elle fait peur. Toujours vêtue de noir, elle inspire au premier abord la froideur et la distance, ne permettant pas aux autres de rentrer dans sa vie de peur d’être blessée. Cassante, un humour bancal souvent sarcastique, cette carapace est surtout là pour protéger sa générosité ou sa sensibilité, car derrière tout ça, se cache une jeune femme serviable, gentille et sincère. Seulement, peu de personnes sont capables de s’en rendre compte. Sauf avec les guerriers Lyoko. Il lui faudra du temps pour leur accorder sa confiance, mais elle devient d’une fidélité à toute épreuve les concernant. Après tout ils sont tous dans la même merde, ont les mêmes craintes concernant XANA.
Sara n’était pas destinée à devenir une guerrière Lyoko, aucun d’eux ne l’était. C’est par le biais de Terry, qu’elle et son meilleur ami - Jae - font la connaissance du groupe. Terry est ami avec Thomas, qui est également le meilleur ami de Minho, qui est à la tête du petit groupe, qui est le cerveau quand ils sont envoyés sur Lyoko. Leur groupe est plutôt bancal, parce que tout ça ne s’est créé que sur un système de bouche à oreille. Elle sera d’ailleurs, en premier lieu, réticente à l’idée de participer à ses missions qu’elle jugera puériles. Un jeu virtuel ? Sara avait déjà beaucoup trop de soucis à gérer avant de se lancer dedans. C’est son plus jeune ami, Terry, qui l’aura à l’usure, la suppliant presque de les rejoindre, lui promettant qu’elle ne sera pas la seule fille. Tu parles, son ami s’était bien caché de lui dire que oui, il y avait une fille, mais que cette dernière était coincée dans un monde virtuel et que leur quête était de la faire revenir dans le monde réel. Perplexe, les premiers temps, elle devra tout de même se rendre à l’évidence, et avouer que tout ça ce n’est pas si mal. Elle galère à joindre les deux bouts, mais étonnamment, Lyoko lui permet de se vider la tête et de penser à quelque chose d’autre l’instant d’une heure. Sur Lyoko, son arme de prédilection est le shuriken. Malgré que cette arme lui serve à se défendre, ce n’est pas son rôle premier sur Lyoko. C’est avec l’aide de Mimi qu’elle s’élance à travers le programme, à la recherche de tours à désactiver. Plutôt petite et fine, elle reste élancée, et sa petite taille lui permet d’être plutôt discrète et d’être rapide quand il s’agit de taper un sprint. Sara est sans doute la plus mature et la plus réfléchie du groupe – après Minho – son opinion est toujours prise en compte. Elle agit au sein du groupe comme étant responsable des autres, surtout de Thomas qui a le don pour se mettre dans de beaux draps. Celle qui prend les décisions urgentes sur Lyoko, celle que l’on envoie désactiver les tours et à qui on vient demander conseils quand Minho ne peut pas assurer sur Lyoko. En parlant de ce dernier. Il est le chef de leur groupe, celui qui agit dans l’ombre et qui les guide dans le monde virtuel. Il est discret, timide, mais c’est ça qui touche la jeune femme qui ne peut empêcher le coup de coeur de se développer de jour en jour.
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