Tumgik
#il etait une seconde fois
offcampusstillnerdy · 2 years
Text
Finished this one. Spoiler: you can go back to the past but you can't evade fate. Thought so.
Tumblr media
1 note · View note
scotianostra · 1 month
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Happy birthday to Scottish actress and model Freya Mavor.
Freya was born in Glasgow on August 13th 1993, but grew up in the Inverleith area of Edinburgh, her father is an award winning playwright and teaches at Napier University in the city , her great grandad was also a very successful writer, O H Mavor but used the pseudonym James Bridie. He also was instrumental in 1950 setting up a college of drama which has evolved into The Royal Conservatoire of Scotland. Freya says she got interested in acting after watching the Shining aged just ten! She spent time in France as a child and was educated there and at Mary Erskine's in Edinburgh
Her first acting experience was in school productions of Shakespeare plays. She made her professional debut in 2011, when she gained a lead role as Mini McGuinness in the fifth and sixth series of E4 Bafta-winning drama Skins. She gained this role after going through an open audition process, with more than 8,000 other teenagers auditioning for the show.
Since starting out Freya has gone on to a build a career between France and the UK. She has worked on features such as L'Empereur de Paris alongside Vincent Cassel, and indie films such as The Sense of an Ending by Ritesh Batra or La Dame dans L'auto by Joann Sfar. Her TV credits include The ABC Murders on the BBC and Il Etait Une Seconde Fois for Arte/Netflix, her time in France means she is bilingual, always handy for her acting roles over there. Freya was last seen in another Arte/Netflix show Twice Upon A Time, a sci fi/romance mini series filmed in Bordeaux, Paris, London and Iceland
Mavor has always expressed a love of the theatre and made her own stage debut in London for the play Good Canary, directed by John Malkovich, where she played a drug addict battling with mental illness.
Last year she starred in Balance, Not Symmetry about an American student who is living a privileged existence at Glasgow School of Art when her father unexpectedly dies. She has also completed a film called in 2019 called Gore but it is on hold due the controversy over one of the stars Kevin Spacey.
Last yaer Freya has returned in the second season of the British-American television drama series Industry shown on HBO in the United States and BBC 2 over here. She also starred in a joint BBC and Canal+ historical series Marie Antoinette, for which a second series has been commissioned.
Freya also starred in a stage play, The Other Boleyn alongside the excellent Alex Kingston
According to IMDb she has a series due to be released, Invitation to a Bonfire and in recent news she has been cast as the female lead role on HBO’s “Virtuoso,” a pilot set in 18th Century Vienna, it follows a class of young musical prodigies from all over Europe at the prestigious Academy of Musical Excellence. Mavor will play Marie, daughter of a prestigious Catholic family in Paris and the only girl chosen for the inaugural class of the prestigious academy.
7 notes · View notes
alexar60 · 1 year
Text
Souvenirs d'autres vies
Tumblr media
Depuis ma plus jeune enfance, la réincarnation m’a toujours fasciné. J’avais 10 ans quand je m’y suis intéressé après avoir vu le film « Audrey Rose » avec Anthony Hopkins. C’était l’histoire d’une fille qui faisait le même cauchemar, celui de mourir brulée vive dans une voiture. Un jour, un homme prend contact avec ses parents et annonce que leur fille était la réincarnation de la sienne morte dans un accident de voiture. Comme il passait dans les dossiers de l’écran, j’avais regardé le débat qui suivit et fut fasciné d’entendre des gens parler de leur vie antérieure. Je me souviens entre autre de l’acteur Jean Le Poulain (pour ceux qui regardaient ‘au théâtre ce soir’).
J’avais une vingtaine d’années lorsqu’un ami proposa qu’on fasse une séance de régression. Nous partîmes rencontrer une de ses connaissances ayant quelques talents. Ce fut intéressant car cela marcha pour mes potes. L’un s’est vu en grognard pendant une bataille, l’autre en paysan vivant près d’un volcan en activité. Quant à moi, le médium (je ne sais pas si on les appelle comme ça) m’a prévenu que ce serait impossible. Parce qu’il sentait un blocage en mon esprit. D’après lui, j’aurais vécu quelque-chose de terrible. Il avait ajouté que je faisais partie de « ceux qui meurent dans la misère et sont reconnu tardivement pour leur œuvre »
Enfin, il me donna conseil pour essayer une pratique seule et régulière. Alors, chaque soir, je me couchais dans les meilleures conditions pour faire des régressions. Je m’allongeai sur le dos dans le noir complet. Je devais me détendre et me concentrer sur une lumière dans mon esprit, puis j’avançais vers cette lumière et je devais ouvrir une porte difficilement visible. En fait je ne me souviens pas l’avoir ouverte une fois.
Je ne sais pas si cela a réellement marché. Par contre, je me réveillais avec de sacrés rêves semblables à des épisodes de vies antérieures.
J’ai souvenir d’être à table dans une taverne. Je bois un verre avec un homme. Il sourit, il porte des cheveux longs et une petite moustache. Je ne sais pas à quelle période exactement, mais je sais que c’est un mousquetaire.
J’ai été quelqu’un sans importance, un bourgeois ou un paysan et j’ai assisté à un combat entre chevaliers en armure. Etait-ce un duel ou un tournoi ? Je ne sais pas. Ils se battaient à pieds et à l’épée.
La dernière expérience qui est apparue date d’il y a une dizaine d’années. J’étais un européen en plein XVIIIe siècle à la recherche d’une jeune femme dans un village japonais. Chose étonnante, car il me semble que le Japon était interdit aux européens durant ce siècle.
Mais celui qui m’a le plus marqué fut le souvenir d’une bataille. J’étais sur un chariot à me défendre lorsque je reçus un coup violent derrière la tête me faisant tomber au sol. Dès lors, je m’envolais et vis mon corps étendu au milieu d’autres. Je me suis senti voler au-dessus d’une forêt et j’ai vu des centaines de personnes courir et fuir la bataille. C’étaient principalement des femmes et des enfants. J’ai vu une jeune femme portant un bébé dans ses bras. En la voyant, je me suis dit qu’elle avait de l’importance pour moi.
Vingt ans plus tard, je rencontrais et sympathisais avec une femme pour qui j’eus un coup de foudre. Durant une discussion, alors que je n’avais jamais parlé de mes pseudos régressions, nous parlâmes de la réincarnation. Elle expliqua qu’une de ses amies avait des dons et lui avait racontée qu’elle était une amazone dans sa première vie. Dans sa seconde vie, elle était mariée avec son âme-sœur qui eut une mort violente. Son amie dit l’avoir vu fuir à travers une forêt en tenant sa fille dans ses bras (qui serait dans sa vie actuelle, une de ses sœurs). Son amie ajouta qu’elle louperait son âme-sœur à chaque fois qu’elle le rencontrera et qu’il finira très pauvre dans cette vie.
Son histoire me fit froid dans le dos. D’abord parce qu’entre elle et moi, l’idylle est impossible. D’ailleurs, nous ne vivons plus dans la même région. Mais aussi parce que la fin de son âme-sœur rappelle ce que m’avait dit le médium. Enfin, tout ceci n’est peut-être qu’une coïncidence, tout comme le nombre de fois que nos chemins se sont croisés. Mais là, c’est un autre sujet.
Après réflexion, j’aurais dû vous raconter que j’étais un homme préhistorique. Un jour, un extra-terrestre nous a appris à faire du feu. Pour le remercier, nous l’avons mangé. C’est pour cela que les extra-terrestres ne veulent plus se montrer. Ils ont peur qu’on recommence.  
Alex@r60 – août 2023
Photo de Philip McKay
21 notes · View notes
romain8959-blog · 9 months
Text
Moi je l'ai fait la nuit de vendredi à samedi... mes parents n étaient pas la, on était
que tous les 2 avec ma soeur... chacun dans sa chambre... ma soeur sait que des fois je me réveille mouillé, alors c est pas grave.... j ai aussi deja vu que ça lui etait arrive donc je sais qu elle m embetterait pas si je fais pipi au lit !
Comme les fois ou j ai envie de jouer à pipi au lit, je me suis forcé à boire plus le soir...
Et au moment de me coucher, après avoir fini la serie sur Netflix un peu tard, lavé les denrs, mais pas pipi...
J avais deja un peu envie mais pas de quoi m empêcher de m endormir... je me suis donc endormi sagement....
Comme depuis que j ai 11/12 ans et que j ai recommencé a faire pipi au lit des fois (personne sait que c est exprès !) Le matelas, qui porte toujours les traces de mes premiers débordements vers 11 ans, est toujours protégé, alaise + grosses serviettes très absorbantes dessus... ces premiers pipi au lit mon amené à découvrir en même temps la masturbation au passage !!!
Faut dire qu à ce moment la, vers 11 ans, je fantasmais deja, sans oser franchir le pas, sur le fait de faire pipi au lit da mon pyjama... jusqu au jour où j ai finalement osé... c était tellement bon...que j ai eu l irresistible envue de me frotter sur le ventre dans mon pipi tout chaud, dans le pyjama tout mouillé... avant le plus bel orgasme de ma vie...bon chacun son truc !
Bon le réveil le matin a été moins glorieux... mais ce plaisir que je venais de découvrir valait bien la honte de ce matin la !
Mais je m égare !
Comme j avais beaucoup bu le soir, c était sur que ça allait me réveiller à un moment ou un autre dans la nuit...
Le réveil affichait 4 je sais plus quoi...j étais sur côté... le temps de rassembler tout les morceaux dans ma tête... envie de pipi.... a oui c est vrai je m etais dis que....
Je me suis retourné sur le dos...dans cette position, mon envie me paraissait encore plus forte..... et je me suis vite dit... j ai trop envie.... je vais faire pipi au lit....je vais faire pipi dans le pyjama...
J ai touché du bout des doigts le drap du dessous... je matelas avait déja pris suffisamment cher dans le passé, c était pas la peine d en rajouter !
Tout était en place.
.je pouvais faire pipi au lit... comme le gamin que j étais à ce moment la....
Et.... j ai décidé de la faire.... j allais pisser au lit ...
J ai mis mon zizi bien droit vers mon ventre....
Et j ai zrreté de me retenir mais..
Le réflexe de propreté est toujours la dans ces moments la, mais quand tu as trop envie... il ne dur pas... j ai pris une grande respiration., j ai un peu écarté les jambes...
J ai plus pensé a rien et...
J ai sensi que ça arrivait.... et d un coup j ai commençais à faire pipi au lit...
C était tout chaud, la douleur de me retenir s est tout de suite transformée en une onde de plaisir..
Je faisais pipi au lit dans le pyjama expres, c etait tellement bon... j avais tellement envie que je pouvais entendre mon pipi couler dans le pyjama...
Ça chauffait le bas du ventre, mes fesses aussi chauffaient... ça coulait dans la raie des fesses...
Des secondes d un pur plaisir en dehors du temps.
Et ça scest arreté..
Je venais de faire pipi au lit ..
Et sans y faire attention... j ai murmuré rien que pour moi...wouahhhh. j ai... j ai fais pipi au lit... je me le suis répéter plusieurs fois.
Je me sentais tout mouillé mais tellement bien !
Je me suis mis à bander comme un fou... j ai plongé ma main dans le pyjama trempé, en me repetant que j avais fait pipi au lit.
Et d un coup j ai ete submergé par un monstrueux plaisr qui ma laissé vidé jusqu au lendemain, ou dans un demi sommeil, j ai realisé que je baignais dans mon pipi.... putain que ça avait été bon !
.
..
14 notes · View notes
exilenpagaille · 8 months
Text
J'en avais ras-le-bol de ses messages aux sens cachés, de sa façon de me faire tourner en bourrique alors qu'en réalité, il pouvait bien faire ce qu'il voulait tant qu'il me lâchait. Je lui ai dit qu'on se verrait après le cours pour mettre les choses à plat, régler tout cela une bonne fois pour toutes et aussi pour pouvoir le regarder droit dans les yeux pour lui dire à quel point il me faisait chier. Evidement, c'est à ce moment-là qu'il a tout de même décidé de se mettre à côté de moi, bien que l'amphi fut très grand. Je sentais son regard et ses tentatives d'attirer mon attention.
Les deux heures sont passées, dehors il pleuvait alors je me suis dit que c'était finalement bien d'avoir une excuse pour ne pas rentrer tout de suite. Entre deux colonnes de livres, nous avons trouvé une table libre alors on s'installa de façon un peu trop formelle, l'un en face de l'autre. Je lui ai tout déballé sans prendre la peine de mâcher mes mots à tel point qu'il finit par m'avouer que je lui faisais peur. Je crois que son air mi étonné, mi apeuré a encore plus nourrit mon envie de le terminer. Quand il a cru que j'en avais fini, je le coupai pour lui faire comprendre que ce n'était pas le cas. A mesure que je m'expliquais, je sentis l'adrénaline et le plaisir de reprendre le dessus sur la situation vibrer en moi. Puis, le silence retomba, c'était à son tour de s'exprimer. Finalement, contre toute attente, il s'excusa et assuma ses actes. Il tenta alors de m'expliquer les raisons qui l'ont poussé à agir de cette façon mais parfois cela me semblait insuffisant alors je rétorquais. J'étais prête à repartir au tournant et il dû le sentir et pris mes mains dans les siennes (je m'exprime beaucoup avec des gestes et mes mains gesticulaient dans tous les sens). Pas longtemps, quelques secondes, il recommença de temps en temps et parfois ce n'était qu'un effleurement sur ma main. Il cherchait à m'apaiser, parfois à me retenir ou à se rassurer lui-même comme pour m'empêcher de lui échapper. Ce contact inattendu m'ébranla et je détournai le regard, ne sachant plus comment agir. J'essayais de garder la face et de ne laisser apparaître aucune faille.
Finalement, on parvint à trouver un terrain d'entente et on se promit de régler ce genre de choses de cette manière la prochaine fois. Il s'excusa encore et m'avoua qu'on lui reprochait souvent son manque de communication. J'eu envie de rire ironiquement, il était clair qu'il avait du taf à faire là-dessus, mais ce qui m'intriguait, c'était pourquoi je m'étais entraîné là-dedans.
Une heure passa. Il avait fini par me couper en me demandant: " ça se passe comment avec M?". Malaise. Pourquoi voulait-il savoir cela? Etait-ce une question sincère ou uniquement une manière détourner d'apaiser sa curiosité? Je décidai de lui expliquer vaguement que je tentais de m'éloigner malgré le mal que cela créait chez nous deux. Puis, j'enchaînai à mon tour avec quelques questions. Il me parla de sa copine, de sa mère, de la conférence qu'il avait organisée, le tout sur un ton désintéressé, voire lassé. Je me levai alors et lui dit au revoir. Dehors, il pleuvait encore.
7 notes · View notes
claudehenrion · 2 years
Text
Existe-t-il une parade ?
  Longtemps “lumière” de l'univers et fournisseur quasi-exclusif ès-bonnes idées et ès- remèdes aux maux des peuples, “le modèle occidental” a déraillé depuis, en gros, la fin de la 2de guerre mondiale –lorsque la vision de FD. Roosevelt s'est imposée comme seule alternative à la misère du monde. L'Amérique, seule vraie vainqueur de la seconde guerre mondiale, s'est imposée comme ange gardien, sauveteur, protecteur et référence unique : le monde s’est converti au “jeans”. Etait-ce une erreur ? Autre temps, autre mœurs : en ‘’contre’’ à ce rêve, Macron ne sait qu'inventer pour que les algériens haïssent la France... Devinez où est la faute ?
Les Etats-Unis, alors, avaient les potentialités, la capacité d'entraînement et les atouts nécessaires pour devenir le “leader” d'un monde en pleine convalescence. Les vertus que prônait ‘’the american way of life’’ étaient de vraies valeurs, et la société US y avait adhéré, créant ainsi une capacité d'attraction digne de celles qu’avaient eue l'Empire romain ou le XVII ème siècle français. Je n'ai jamais oublié le rêve d'Amérique qui a emballé ma génération, qui ne rêvait que de “ça”, qui n'aspirait qu'à “ça”, qui voulait “ça”… avec d'autant plus de force que nous savions que les principes qui sous-tendaient ce formidable ensemble étaient de bons principes, reposant sur de vraies et bonnes valeurs, susceptibles d'apporter le bonheur au monde. “L'Amérique, chantait Dassin, je veux l'avoir et je l'aurai…”.
Mais “sic transit gloria mundi” (traduction libre : ''le temps esquinte tout''. A mon âge, on sait que c'est vrai !). Déjà, dans l'ombre, des forces antagonistes conspiraient contre le Bien et le Bon : c'est une constante de l'humanité, que les latins avaient résumée en quelques phrases simples qui étaient le base de ce qui s'appelait ''la culture''. Les unes et l'autre rappelaient les limites éphémères de notre existence terrestre : depuis le Memento mori (= n'oublie jamais que tu es mortel) au Omnia vanitas de l'Ecclésiaste (= tout n'est que vanité), tout peut s'effondrer in ictu oculi (= en un clin d’œil), comme écrit Saint Paul dans la Première épître aux Corinthiens. 
Pourtant, ce n'est qu'en 1919 que Paul Valéry, dans “Les crises de l'esprit”, avait découvert que les civilisations sont mortelles, et avait poussé ce cri d'alarme : “L’Europe va-t-elle être réduite à ce qu’elle est en réalité, c’est-à-dire un petit cap du continent asiatique… ou bien l’Europe restera-t-elle ce qu’elle paraît être, c’est-à-dire la partie précieuse de l’univers terrestre, la perle de la sphère, le cerveau d’un vaste corps ?”... La façon dont a été mené le conflit ukrainien depuis le début a répondu à cette question de la manière la plus contre-productive qui puisse être !
Car la réponse est désormais connue, et elle est cruelle : l'Europe n'est plus –à ce jour– qu'un promontoire… mais de l'Amérique ! Elle décide et nous exécutons, fut-ce contre nos intérêts vitaux, contre toute logique, contre toute intelligence, contre notre passé, notre présent et surtout notre survie à long terme. Seul ennui : le pays auquel nous nous abandonnons n'est plus le même que celui qui nous faisait rêver il y a 3/4 de siècle : il n'est plus que le porte-flingue des idées les plus absurdes, les plus farfelues et les plus mortifères pour le futur de l'homme et de toute humanité.
C'est comme si un immense voile de folie, progressiste et woke à la fois, s'était étendu sur lui. Etait-il devenu trop riche, trop opulent, trop “gâté” ? Ses dirigeants n'ont pas été à la hauteur des nouveaux défis. Gide, pourtant, avait prévenu,  dans les Nourritures terrestres : “Dans le bien-être s'étiole toute vertu” : l'El-dorado, ou l'ancien paradis sur terre de ma jeunesse, n'est plus qu'un enfer au bord d'une seconde guerre civile, mais que nos dirigeants, comme incapables de penser et de raisonner, continuent de suivre comme au temps d’Eisenhower. C'est un drame.
Après deux années covidiennes de restrictions, d'interdictions, d'inutiles mesures liberticides qui n'ont, en gros, servi à rien, je ne suis pas certain que les français ont suivi la désastreuse évolution des Etats autrefois tellement Unis (“Right or wrong, my Country” –qu'elle ait raison ou tort, c'est ma Patrie !) vers un insupportable cauchemar pseudo-intellectuel, nageant dans l'excès, le “too much”, le refus de l'Autre… et une bêtise épaisse, dans laquelle seul “l'affrontement frontal” a sa place et où toute discussion est devenue impossible, inconcevable et inenvisageable.
Les Universités US, il y a peu encore point de mire de toute la jeunesse du monde, se sont égarées et dégradées dans de ridicules querelles picrocholines, totalement “hors sol”, totalement inutiles, sûrement mortelles à terme court, devant  lesquelles la “disputatio” sur le sexe des anges, le “filioquisme” ou ‘’l'iconodoulie’’ qui ont signé la mort de la puissante Byzance (ouvrant ainsi la porte à la menace permanente exercée par l'islam depuis 1492 sur tout ce qui n'est pas lui), semblent être des querelles de cours de récré ! En effet, par une ironie de l'histoire, nous voici replongés, en ce moment-même, dans une crise interminable et sans espoir visible, “remake” de cette répétition à l’air prophétique : même causes, mêmes effets !
Et comme s'il y avait besoin d'accélérer cette chute vers la fin du monde (en tout cas, du nôtre !), notre ex-super-puissance maintenant tombée en pleine décadence, ne fascine plus que nos soi-disant “élites” –dont un ou deux spécimens à peine, au total, sont dignes du titre qu'ils arborent comme s'ils le méritaient ! Et encore sont-ils rejetés par leurs pairs qui les baptisent de noms d'oiseaux (“conservateurs” et “populistes” sont les plus fréquents --et les plus insensés), reflets du vrai niveau d'incompétence de ceux qui les éructent : voilà deux des plus belles qualités qu'a pu dérouler l'humanité (et notre civilisation) qui sont détournées en insultes. 
Un monde qui voit une tare dans une qualité démontrée est, il y a peu de doutes à avoir, un monde condamné ! Et un monde dont les chefs sont indignes du rôle de “guide” qui devrait être le leur, l’est tout autant : “Les nations ont le destin qu’elles se font. Rien d’heureux ne peut venir du seul hasard. Ceux qui les servent bien sont ceux qui développent leur force profonde’’, écrivait Edouard Herriot en 1936…  Qui, dans nos pantins-aux-affaires est capable d'une telle réflexion ? Là est le drame.
H-Cl.
20 notes · View notes
Text
Allô la lune, ici la terre.
Est-ce qu'on vous a déjà dit cette phrase ? moi parfois mais uniquement lorsque j'étais plus jeune. Mais actuellement j'ai plutôt envie de dire que je le ressens. Je n'ai jamais été à la hauteur des amitiés et des attentes sociales depuis le début du lycée, je le conçoit. Mais pourquoi ces quatre murs sont pires que le collège ? Je n'ai pas vraiment d'amies, ou uniquement un groupe de connaissance que je fréquente depuis le début de l'année, mais je ne suis pas tant que ca intégrée. Pourquoi les relations amicales sont si compliquées ?
Dans ma classe je n'ai pas du tout d'amis non plus. Après tout, avoir uniquement sept personnes autour de soi n'arrange pas les choses lorsqu'on ne coordonne pas avec eux. Je crois que depuis cette année je n'ai jamais autant sentit le "qui se ressemble s'assemble" mais dans ce cas là amicalement avec les personnes de ma classe. Mais comment vivre lorsque ces personnes seront avec vous pendant trois ans consécutives alors que le pourcentage d'assemblement est maigre ?
Amies dans les autres classes ? Impossible lorsqu'on sait que pres de 95% des secondes générales iront à letablissement général de mon lycee dans une autre ville l'année prochaine choisissant la générale à la technologique dont mon groupe de connaissance en font parti. Aucune autre classe de seconde pro, et franchement, je n'ai pas la foi de me lié d'amitiés avec les classes supérieurs sachant qu'ils s'en iront avant moi et que ce cercle vicieux reviendra. Mais j'y conçoit tout de même. Peut-être vaut mieux les avoir en amis maintenant afin de rester seule moins de temps durant ces trois ans d'enfer (dans le sens propres du terme).
Mais bon, quand aussi on est dans une filière professionnel qu'on a pas choisi, dans une orientation qu'on a pas choisi non plus, ce n'est pas si simple, pas vrai ? Il est si simple de voir sans issues l'avenir dans ce genre de situations. De se sentir coincé dans sa tête, par la solitude, par le mensonge que je me crée tous les jours que le bac pro que je suis est une fllière qui me plaît vraiment et dans lequel je suis épanouï.
foutu conseil de classe de 3e... Foutue orientation qu'est la pro ! Sans ca, rien n'aurait éte pareil. Je serait sans doute dans le même etablissement que mes amies, en train de choisir un curcuss qui me plaît vraiment et où je ne me sens pas forcer qu'il soit général, ou imaginons que je choisis de mon plein gré d'aller en pro, qui sait ? Mais là ce n'est pas un choix.
Ok, je divague... Ce blog etait consacrée à mes passions... WHATEVER.
have a good day !!
Tumblr media
SB
0 notes
my--wonderland · 1 year
Text
Bright darkness - 6 - Les Sombrals.
Pour leur seconde rentrée, Cassandra et ses amis furent accueillis à Poudlard par une pluie battante et glacée. Ils s'empressèrent de rabattre leurs capuches dès qu'ils posèrent un pied à Pré-au-Lard. C'était une nuit sombre, brumeuse. Des nuages se confondaient avec le ciel, masquant la lune et les étoiles.
La petite Poufsouffle chercha Hagrid du regard, mais remarqua qu'il n'appelait que les première année. Elle se souvint également que seule sa promotion avait traversé le lac en barques l'année précédente.
- Mais on va où, nous, du coup ? demanda Camélia qui avait compris la même chose.
- Pas aux barques ? s'étonna Cassandra.
- Non, seuls les première année prennent les barques, et aussi les septième année, le dernier jour de leur scolarité. Pour boucler la boucle, vous voyez ?
Le silence des filles fit soupirer Shel.
- Mais enfin, quand est-ce-que vous vous déciderez à lire L'Histoire de Poudlard, vous trois ?!
- Pas besoin, rétorqua Camélia. Tu connais le bouquin par coeur, il suffit de te demander.
Le Serdaigle leva les yeux au ciel.
- Suivons le groupe, proposa-t-il. A partir de la deuxième année, on se rend à Poudlard en dilligences.
- Cool ! jugea Camélia.
Les dilligences étaient noires et anciennes, tirées par d'étranges chevaux, assez terrifiants. Noirs, squelettiques, des yeux blancs, des ailes de dragon décharnées... Cassandra fut saisie d'un frisson. Le quatuor se dépêcha d'entrer dans un fiacre, et retirèrent leurs capuches, soulagés d'être à l'abri de la pluie. Ils ne remarquèrent pas tout de suite qu'il y avait quelqu'un d'autre dans la dilligence... La cape de cette personne se confondait avec les murs sombres, la rendant presque invisible.
- Ils sont vraiment horribles, ces chevaux, trembla la petite Poufsouffle en jetant un coup d'oeil par la fenêtre.
Camélia et Shel suivirent son regard, et les deux filles froncèrent les sourcils.
- Euh, quels chevaux, Cass ? s'enquit la blonde.
- Bah les chevaux noirs là, les moches qui tirent la dilligence...
- Personne ne tire les dilligences, Cassandra... Elles avancent toutes seules. Par magie.
- Mais non, coupa la voix calme de Shel. Il y a bel et bien des chevaux noirs squelettiques qui tirent les dilligences.
La Poufsouffle fronça les sourcils, le coeur battant. Elle ne comprenait rien. Pourquoi ses amis ne voyaient-ils pas ces chevaux ? Etait-ce une hallucination ? Etait-elle vraiment folle ?
Lorsque Shel appuya son point de vue, la petite fille se sentit plus soulagée. Ainsi, le Serdaigle les voyait aussi ?
- Je ne les vois pas non plus, la détrompa-t-il, comme s'il avait lu dans ses pensées. J'ai juste lu L'Histoire de Poudlard. Ce sont des Sombrals. Seuls ceux qui ont vu quelqu'un mourir peuvent les voir.
L'annonce de Shel jeta un froid dans l'habitacle. Les regards lourds de sens de ses trois amis se posèrent sur Cassandra, qui se mit à rire un peu nerveusement.
- Ha ha, pour voir des gens mourir, j'en ai vu ! Ca c'est clair ! Y'a un bonus quand on les a tués nous-mêmes ? Genre on peut monter sur les Sombrals ? Avec une selle ? Des étriers ! Ha ha !
Le Serdaigle et la Gryffondor restèrent silencieux, puis Camélia exprima le point de vue général :
- T'es chelou, Cass.
- Merci Cam.
Plus personne ne dit un mot de plus pendant le reste du trajet. Des pensées chaotiques avaient succédé à la surprise dans l'esprit de Cassandra. Sa tête lui tournait, son coeur se serrait. Elle ne comprenait pas. Pourquoi tout le monde ne voyait pas les Sombrals ? Ils n'avaient pas passé presque toute leur vie en compagnie de la Mort, à la voir, à la donner, à la respirer. Alors, à quoi avait ressemblé leur enfance ? Avaient-ils eu une maison ? Un jardin ? Avaient-ils fait des bonhommes de neige l'hiver, étaient-ils partis en vacances l'été ? Avaient-ils lu des livres, s'étaient-ils disputés avec leurs frères et soeurs ? Fait des gâteaux, des balades à vélo ?
Pour la première fois, Cassandra comprit que sa vie ne ressemblait en rien à celle des autres enfants. Qu'elle était étrange, anormale, morbide. Et le besoin de savoir ce qu'était la normalité transperça son coeur d'un sursaut glacé.
Elle ne réagit pas lorsque la dilligence s'arrêta. Camélia, Lizzy et Shel sortirent, pensant que leur amie les suivrait, mais elle resta assise, raide, tourmentée. Son regard noisette ne quitta plus les Sombrals, preuves de la folie de son passé.
Cassandra n'eut pas le temps de réfléchir plus longtemps. Ses amis surgirent derrière elle, Camélia rabattant la capuche de son amie sur ses boucles blondes.
- Eh bah alors Cass ? Tu t'es perdue ? la taquina la Gryffondor.
- Je viens, marmonna Cassandra, tentant de cacher son trouble.
Le quatuor se sépara, chacun rejoignant leurs tables. La Répartition commença, mais Cassandra n'entendit aucun nom. Les yeux rivés sur le bord de la table, elle réfléchissait. Jusqu'à ce que cela lui fasse mal. Que son esprit s'affole, tourmenté, dans une quête désespérée de réponses, enchevêtré par la colère et la peine. Elle explora ses plus anciens souvenirs, ranima ses émotions les plus profondes, invoqua ses vagues connaissances de la vraie vie. Mais rien ne lui amena de réponses fiables.
Alors que le banquet apparaissait sur la table, la Répartition achevée, Cassandra regarda tour à tour Camélia, et Shel. La première s'était proposée de l'aider à discerner le bien du mal. Le second pouvait lui expliquer toutes les études menées sur les Nés-Moldus et les Moldus. Mais la Poufsouffle hésitait. N'était-ce pas trop leur demander ? Parfois, elle voyait cette étincelle mêlant peur, curiosité et inquiétude, celle qui naissait dans les regards de ses amis quand elle faisait quelque chose de déconcertant, comme lorsqu'elle avait ri dans la dilligence un peu plus tôt. N'était-elle pas trop folle pour eux ? Trop folle pour expliquer ce qui se passait dans sa tête ? Et eux, n'étaient-ils pas trop normaux pour comprendre ?
Cassandra voulait des preuves irréfutables. De la logique. Des certitudes. Leur absence menaçait de la rendre véritablement dingue. Et peu importe si la vérité risquait de la détruire. Elle voulait savoir. Comprendre. Ce désir la tint éveillée toute la nuit. Vers deux heures du matin, la petite Poufsouffle se glissa dans la salle commune de Poufsouffle, seulement éclairée par la lumière des astres, qui n'étaient plus masqués par les nuages. Elle s'assit près d'une fenêtre, et contempla les étoiles, particulièrement Polaris.
Cette nuit-là, Cassandra décida de faire entièrement confiance à ses amis. De les supplier qu'ils lui apprennent la vérité. Qu'ils comblent son coeur en miettes de certitudes. Et ce, en prenant le risque qu'en sachant tout de leur amie, même sa noirceur la plus enfouie, Shel et Camélia prennent peur et s'éloignent d'elle. Et que dans leurs yeux se reflète le même feu dévorant mêlant haine et crainte qui animait le regard de tant d’élèves quand ils le posaient sur Cassandra.
0 notes
eamjournal · 2 years
Text
Lettre 12
Jeudi 16 Février 2023
Cher Hugo,
Aujourd'hui c'était vraiment une journée calme. A première vue, je n'aurais pas grand chose à te raconter. Je peux dire que depuis que j'ai mon mimosa je m'en occupe régulièrement et je me soucis tous les jours de savoir s'il a assez de lumière ou s'il fait assez chaud. J'ai rarement pris soin d'une plante de cette façon puisque les cactus que j'ai nécessitent qu'on les maltraite. Alors que le mimosa a besoin de davantage d'attentions. Ca m'apprend plein de trucs super intéressants !
C'est aussi une journée ou j'ai beaucoup été gavée par ma mère qui, me virant déjà de ma chambre pour y travailler, me virait aussi de la télé du salon pour ses 30min de pause. Donc j'ai erré de pièces en pièces toute la journée et à la fin j'étais un peu énervée je dois le dire. Ma mère a beaucoup et de plus en plus de nouvelles lubies. De base elle est égoïste mais là ce trait s'accentue. Elle parle assez mal, ne dit pas merci, change d'avis de façon assez violente sans s'en rendre compte et en fait payer les autres. À côté de ca, elle s'énerve assez fort contre ma soeur pour une chose qu'elle a faite en la privant de toute distraction pour 1 semaine. Pour au final lever des restrictions le lendemain même. Donc avec papa, on ne comprend pas vraiment son comportement instable, agressif et enfantin je dirais que c'est déconcertant.
La seconde partie de la journée a été plus mouvementée ! J'ai décidé d'embarquer mon frère, qui tournait en rond, dans un marathon Pirates Des Caraïbes. On a regardé le premier avec succès ! Il etait à fond dans le film, interagissait avec les personnages et avec moi aussi. Ca lui a beaucoup plu et il a demandé le deuxième. Je l'ai finalement mis après les informations mais comme il etait tard, Jules s'est endormi bien avant la fin du film. Mais je dois dire que ce n'est pas grave, j'ai beaucoup apprécié le motiver pour une chose aussi simple et le voir aussi content et investi. J'aurais beaucoup aimé t'en parler.
La journée s'est terminée sur moi qui fouille dans le téléphone de ma soeur sur demande de mes parents pour trouver une preuve accablante comme quoi elle aurait discuté jusqu'à tard dans la nuit. Et comme ils ne savent pas où chercher, c'est à moi qu'on a demandé. Mais en cherchant j'ai découvert autre chose qui m'a un peu fait overthink. Sur un tiktok de ma soeur, j'ai appris qu'elle m'admirait beaucoup et qu'elle aurait vraiment aimé avoir une relation soeur/soeur avec moi. Quand je suis parti de la maison elle a beaucoup pleuré et est restée dans ma chambre toute la journée. Elle a écrit plusieurs fois qu'elle m'aimait beaucoup et qu'elle était très fière même si on ne parlait pas. Donc je cogite je me demande si je ne vais pas avoir une discussion de "soeurs" avec elle demain. Il est peut-être temps de changer certaines choses quand on approche 22ans. Encore plus quand ma soeur se retrouve dans une passe compliquée avec ma mère que j'ai moi même traversé.
Enfin, je te souhaite une bonne nuit mon coeur et aussi de passer une super journée demain. Je t'aime très fort Hugo.
M.
1 note · View note
if-you-fan-a-fire · 2 years
Text
Tumblr media
"Au cours d'un hold-up un jeune homme BLESSE GRAVEMENT un OFFICIER de POLICE et un CITOYEN," La Patrie. January 10, 1943. Page 39. ---- Poursuivi, le forcené a été blessé et maîtrisé par deux constables... ---- Tragique chasse à l'homme ---- Le lieutenant Aimé Brouillette, de la police municipale, est entre la vie et la mort, à l'hôpital Notre-Dame, après avoir été atteint à l'abdomen d'une balle de revolver tirée par un jeune homme qui venait de commettre un vol à main armée dans une banque.
Un employé d'une autre banque, M. Léo Desroches, 31 ans, 5023 Pe Garnier, est de méme dans un grave état à l’hôpital St-Luc, après are atteint à la tête par une autre balle tirée également par l'apache fugitif qu'il poursuivit.
D'autre part, le fugitif lui-même, Laurent Laroche, 27 ans, habitant Garnier, est dans un grave état à l’hôpital Notre-Dame, souffrant d'une blessure à l'abdomen causée par deux constables qui firent fou simultanément quand ils virent leur officier s'affaisser. L'état de Laroche n'est pas apparemment aussi sérieux que celui du lieutenant Brouillette.
A l’hôpital Notre-Dame, tard samedi, on n'avait pas encore osé tenter une intervention chirurgicale pour extraire la balle de l'abdomen de l'officier. En plus de sa grave blessure le lieutenant Brouilette souffre d''un violent choc nerveux, mais, samedi soir, il n'avait pas perdu connaissance et pouvait encore parler légèrement à sa femme qui alors qui se tenait à son chevet.
Alors que la succursale de la banque de Montréal, angle des rues Mont-Royal et Christophe-Colomb, allait fermer ses portes, à midi, samedi, un jeune homme se présenta, sachant qu'il n'y avait dans l'institution que le gérant, M. Cousineau, deux commis et deux clients. Menacant tout le monde de son revolver, le bandit s'empara d'une somme d’environ $5,000 dans la caisse et prit la fuite. Il fut aussitôt poursuivi par des employés de la banque et par plusieurs citoyens alertes. Il partit d'abord rue Mont-Royal, puis à DeLaroche il tourna vers le sud.
Juste avant d'arriver au coin de rue Marie-Anne, l'apache, se sentant serré de pres pars ses poursuivants et voyant arriver plusiers voiture de la pplice, se tourna et fit feu à plusieurs reprises dans le direction de ceux qui donnaient la chasse. Un employé de la banque d'Epargne de la Cité et du District, dont le bureaux sont en face de ceux de la banque de Montreal, qui était parmi ceux qui donnaient la chasse fut atteint à la tête par une balle. Il tomba et fut immédiatement transporté à l’hôpital St-Luc ou les médecine déclarent que son état était assez sérieux.
Voyant qu’il allait être capturé, le fugitif entra alors dans le restaurant Gosselin, 4353 rue DeLaroche. Plusieurs policiers étaient sur les lieux et cernèrent la maison, disant au public de s’éloigner afin de ne pas etre blessé, car il était évident que le fugitif etait desespere et qu'il allait encore se servir de son arme. L'homme traversa rapidement le restaurant et sort par la porte d'ariere pour trouver face à face avec les détectives Leon Gauthier et Roy qui firent feu dans un direction, mais le raterent.
Juste comme le fugitif rentrait de nouveau dans le restaurant par l’arrière il vit le lieutenant Brouillette et deux constables qui venaient a sa rencontre. Le lieutenant Brouillette n'eut pas le temps de faire un mouvement, ni de sortir son arme. L'homme tenait la sienne à la main et fit feu à bout portant contre l'officier qui s’affaissa sur le plancher.
Le constables (639) Vatiero et (17) Holly, ne perdirent pas une seconde et visèrent le forcené qui, cette fois, n'eut pas le temps de se servir de son arme et qui s’écrasa sur le plancher, lui aussi atteint dans l'abdomen. Dans les vêtement de Laroche la police retrouva l'argent qui avait été vole a la banque.
Le lieutenant Brouillette, age de 40 ans, est marié et père de cinq enfants. Son épouse fut immédiatement prévenue et se rendit a l’hôpital ou elle est restée depuis. Le lieutenant fait partie du personnel de poste numéro 14 et fut, pendant plusieurs années en charge de la mortalité pour la partie nord et est de la ville. Quand Me Fernand Dufresne, directeur de la police, fut informe de la tragédie, il offrit immédiatement ses condoléances à la famille de brave officier victime de son devoir.
0 notes
crackshipandcrap · 3 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
8 x Gaspard Ulliel 
as Vincent Dauda in  Il était une seconde fois (ep 01)
206 notes · View notes
scotianostra · 1 year
Text
Happy birthday to Scottish actress and model Freya Mavor.
Freya was born in Glasgow in 1993 but she grew up in the Inverleith area of Edinburgh, her father is an award winning playwright and teaches at Napier University in the city , her great grandad was also a very successful writer, O H Mavor but used the pseudonym James Bridie. He also was instrumental in 1950 setting up a college of drama which has evolved into The Royal Conservatoire of Scotland. Freya says she got interested in acting after watching the Shining aged just ten! She spent time in France as a child and was educated there and at Mary Erskine’s in Edinburgh, her first acting experience was in school productions of Shakespeare plays. In he own words she says she has developed an accent she can only describe as a “weird mix of Scottish, Irish, English and French”.
Miss Mavor made her professional debut in 2011, when she gained a lead role as Mini McGuinness in the fifth and sixth series of E4 BAFTA-winning drama Skins. She gained this role after going through an open audition process, with more than 8,000 other teenagers auditioning for the show.
Since starting out Freya has gone on to a build a career between France and the UK. She has worked on features such as L'Empereur de Paris alongside Vincent Cassel, and indie films such as The Sense of an Ending by Ritesh Batra or La Dame dans L'auto by Joann Sfar. Her TV credits include The ABC Murders on the BBC and Il Etait Une Seconde Fois for Arte/Netflix, her time in France means she is bilingual, always handy for her acting roles over there. Freya was last seen in another Arte/Netflix show Twice Upon A Time, a sci fi/romance mini series filmed in Bordeaux, Paris, London and Iceland
Mavor has always expressed a love of the theatre an made her own stage debut in London for the play Good Canary, directed by John Malkovich, where she played a drug addict battling with mental illness.
In 2019 Freya starred in Balance, Not Symmetry about an American student who is living a privileged existence at Glasgow School of Art when her father unexpectedly dies. She has also completed a film called Gore but it is on hold due the controversy over one of the stars Kevin Spacey.
Recently Freya has returned in the second season of the British-American television drama series Industry shown on HBO in the United States and BBC 2 over here. has just starred it’s second series Freya is also in a new film, About Joan, internationally filmed drama in several languages and the film Rogue Agent, based on the true story of the English con man Robert Hendy-Freegard who masqueraded as an MI5 agent, it's worth a watch, as is the movie My Policeman.
Freya Mavor’s directorial debut ‘Kink’, no news of a release for it, as yet, the film was also written by the talented Scots lass, with Mavor directing and curating the entire project.
10 notes · View notes
mikaalyssa · 4 years
Text
Shows/movies to stream if you’re learning French (Netflix USA)
**I’m not any type of expert. If you have different methods that have helped you, please share!**
I took French all throughout high school and minored in it in college. I’d consider myself intermediate, but my skills have definitely plateaued and I’m trying to make a conscious effort to improve.
I went through some titles that caught my eye. Currently, they’re available to stream in the US (may be true for other countries, but can’t guarantee!). Most of the results looked horror/thriller and I don’t go for that genre, but there’s a lot out there if that’s for you!
I typically watch all content with subtitles, even English. But for the sake of learning I recommend keeping them OFF for two reasons:
Reading and listening and two different things. Difficult to improve your listening brain if you’re relying on reading!
Subtitles are not always exact and may conflict with what’s being said vs. helping you hear it. 
That being said, if your vocab isn’t very good, you might not understand even half without subtitles. That’s actually okay, too! At least try without subtitles first, then turn them on for the rewatch (so make sure to pick something quick and worth rewatching). You’ll be surprised at how much you already know and how much you learn. 
And always keep the subtitles in French. Pause and translate if you must, but since language doesn’t match up exactly you’ll miss out on learning grammar structures and new words if you read the English (or any non-French subtitle). 
Discussed after the jump:
Nailed It! France (reality competition series)
Fary: Hexagone (two-part stand-up)
2 Alone in Paris (comedy, movie)
Twice Upon a Time (drama/thriller/romance, series)
I didn’t want to call out “cons” (those can be subjective) so I called them “notes”.
Nailed It! France // C’est du gâteau!  Reality Competition (finished the season)
If you’ve watched the original Nailed It!, this version is the exact same. The French title means more “(It’s a) piece of cake!”
It stars a comedian host, Artus; a chef (bizarrely not Jacques Torres, but he does guest!), Noémie Honiat; and a rotating special guest, some sort of celebrity. Three competitors change from episode to episode, but the format is always the same.
Pros:
You’re exposed to lots of different speakers. Slow, fast, young, old, high pitch, low pitch, and different accents. 
You’re exposed to slang and more casual styles of speech.
A lot of the terminology repeats from episode to episode. You can train your ear to recognize them. 
On-screen tips and directions add reading opportunities. 
Because each episode is themed, you do get a genre of terminology.
Notes:
Terminology is baking-heavy. It may not be relevant to your interests, and the vocab may not be very useful for regular conversation. 
No overarching plot or deep comprehension. 
Jokes and puns add a challenge.
Fary: Hexagone  Two Part Stand-Up (finished both)
Part one of the stand-up is black and white (except for the blue of Fary’s outfit), and part two is in full color. 
Fary is humorous and light, while also touching on a variety of deeper topics, especially in the second half. 
Pros:
Like Nailed It!, it’s better for casual, spoken French.
There’s a couple jokes that rely on knowledge of English to make them funny.
Notes:
He speaks very quickly and uses more colloquialisms than Nailed It!. I’d consider it more advanced. 
Captions are not exact so do be careful with them! 
There’s some language, so up to your tastes. 
Make sure you have base knowledge of Éric Zemmour, Dieudonné, and  Bataclan/ the November 2015 Paris attacks beforehand to understand some of the bits.
Also available: Fary Is the New Black from 2 years prior (I did not watch this)
2 Alone in Paris // Seuls Two Comedy, movie
What a fever dream, an unhinged bundle of chaos. The end credits say it was inspired by an event in Nevada in 1964 but I can’t seem to find anything about it. I can only assume it’s just for show but if you find anything about it, let me know. There is a small mid-credits scene and some bonus footage. And at the very end is dedicated to Pierre and Marie Curie. 
Comedy duo Eric and Ramzy are a cop-and-criminal duo that are playing a long-standing game of cat and mouse. Something happens and suddenly they are the only two on Earth...
Pros:
It’s only an hour and a half. So though it’s a movie, it’s a quick one. 
Notes:
More than 50% of the film is yelling and screaming. I recommend subtitles, but they’re not very accurate.
Again, a fever dream. 
(Did I just get tired and lazy or did I really feel some type of way about this one?)
Twice Upon a Time // Il était une seconde fois Drama/thriller/romance, series (watched part of 1)
There’s only 4 episodes and I didn’t even finish one, but wanted to chat about it all the same. As I mentioned above this isn’t really my genre, though I didn’t even get far enough for any suspense. 
But I do love Gaspard Ulliel so I decided to check it out anyway. It didn’t really suck me in, and based on some Reddit comments it seems like it only gets more and more confusing and has no wrap up. 
No clear pros and notes because I didn’t watch enough of it. But pro being following a plot line (having to retain the information) even if, note, the plot is all over.
~~~
If you made it this far, why? But thank you!
Here are some honorable mentions that didn’t make the list because, though I have seen them and recommend them, I did not rewatch them for this post. All on Netflix:
The African Doctor (similar-ish to Seducing Doctor Lewis, which is not available on Netflix)
My Life as a Zucchini 
The Little Prince 
65 notes · View notes
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
13 notes · View notes
angiemcalisters · 5 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
freya mavor in twice upon a time (2019)
207 notes · View notes
fratboykate · 5 years
Text
Bro I just watched a French show that I can't even find a trailer on YouTube for to share it but it's *chef's kiss* how do you say...perfection?
3 notes · View notes