#pipi pyjama
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ce matin, c'était un matin mouillé..... pipi au lit ! je sais je suis trop grand pour ça.... mais chut personne sait que je le fait exprés !
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Quand tu as compris, en te déshabillant dans la salle de bain, qu'elle ne comptait ni sortir, ni refermer la porte pour respecter ton intimité, tu as cru mourir de honte, quand tu as dû faire pipi devant elle, qui te regardait avec un tendre sourire de maman, tu as cru mourir de honte, quand elle t'a affectueusement tapoté les fesses au moment où tu enjambais le rebord de la baignoire, tu as cru mourir de honte, quand son mari est venu te saluer, quand elle a commencé à te savonner le visage, quand elle t'a demandé de te lever (stehend !), quand elle t'a savonné les fesses, tu as cru mourir de honte, quand elle t'a savonné la zézette, tu as cru mourir de honte, mais en vérité, - tu dois bien le reconnaître, ce bain était plutôt sympa, agréable, alors, quand, après t'avoir séchée et frictionnée sur la carpette, elle t'a - à sept heures du soir - enfilé ton pyjama, tu ne l'as pas mal vécu, c'était la suite logique (par contre, quand son mari, Markus, te l'a rabattu sur les cuisses une heure plus tard pour t'administrer, sur ses genoux, ta première fessée du séjour, tu as vraiment cru mourir de honte !) ...
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Ce pyjama-là, avec lequel Léa accueille les Lefebvre, fait vraiment très pyjama : à vingt-deux ans, c'est tout de même un peu la honte, même si tout le monde, les Mercier et leurs invités, ont l'air de trouver ça normal (et Madame Mercier qui l'enverra se laver les mains avant de passer à table, comme si elle n'était pas capable, à son âge, d'y penser toute seule, c'est aussi un peu la honte, comme prendre son dessert dans la cuisine avant d'aller se coucher, pas question que Léa termine la soirée avec les adultes, et puis la petite phrase humiliante qui la fait rire à chaque fois, pour donner le change : Léa, chérie, fais un bisou à tout le monde, va te brosser les dents, pipi et au lit !) ...
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J'entrai dans la station-service. Je tins la porte à un homme qui était peut-être un routard États-Uniens, il avait la casquette la barbe et une chemise à carreaux enfin je crois je ne suis pas sûr je pourrais très bien dire n'importe quoi. L'homme m'a remercié chaleureusement il avait l'air sympathique, je me suis dit trop cool j'inspire du respect et de la chaleur à un homme qui est chauffeur de camion États-Uniens enfin je pense, j'espère, ce serait la classe. J'ai toujours trouvé cools les chauffeurs de camion États-Uniens, les hommes qui sont sur la route aux États-Unis. Les films sans doute...
On entre tous les deux dans les toilettes, je fais mon pipi et lui aussi, il s'en va, nous étions au pissoir. Moi je prends mon temps je suis un homme nerveux faut que ma ceinture soit remise parfaitement et que mon caleçon soit placé parfaitement sous mon short, faudrait pas que ça me dérange. Je passe les détails de tous les autres mécanismes de malade mental que j'ai et qui font que je suis un homme aussi lent qu'une tortue et qui vu de l'extérieur ressemble à un homme qui replace sa ceinture pendant 30 ans sans qu'au final ça ne change grand-chose à sa position initiale.
Dans les toilettes assis à côté de moi, de l'autre côté du mur, caché, j'entends un gémissement. Un soulagement même, prolongé, appuyé, bruyant. Chelou gênant mais quand-même sacrément drôle en vrai. Damn un homme encore plus bizarre que moi. Ça n'arrête pas les gémissements se répètent je me dis damn voilà un homme léger.
Ça me rappelle ce matin-là à l'auberge de jeunesse de la Nouvelle-Orléans où j'avais été réveillé également par un gémissement, c'était un long Damn d'ailleurs, genre daaaaaaaamn, mais aux sonorités plus érotiques et moins liées à l'univers gastrique. C'était tôt le matin j'avais mal dormi j'avais fait trop de portable la veille avant de m'endormir, et j'étais un peu stressé je devais partir à Mexico le jour même puis j'en avais ras le cul de cette auberge de merde, ouais c'était vraiment une auberge de merde je la recommande pas, si un jour ils me lisent ce que je pense arrivera inéluctablement aucun problème j'assume mes propos vous êtes une auberge de merde, une belle merde comme celle délicatement et savoureusement évacuée par l'homme décrit plus tôt.
Bref j'étais un peu de mauvaise humeur de me faire réveiller par les bruits d'une femme qui prend du plaisir. Nous étions seulement deux dans une grande chambre sans fenêtre de 6 lits superposés sans rideau isolant, et dont les lumières au plafond ressemblaient à celles des hôpitaux mais en encore plus moches et en encore plus lumineuses genre presque aveuglantes, d'un blanc froid aveuglant. Sauf que là on était dans le noir et j'entendais se tortiller dans le lit plus bas. Putain y en a qui s'en tape vraiment des autres, elle avait déjà été chiante la veille à faire des appels vidéos avec son homme jusqu'à pas d'heure, je me suis dit qu'il en avait peut-être marre de l'appeler et il était peut-être venu en personne, c'est vrai que j'avais cru comprendre qu'il y avait des passages un peu coquins lors de l'appel, alors que moi je lisais mon livre sur les Innus en pyjama, bien gentil bien sage bien docile dans mon lit superposé. Puis c'est vrai que je l'ai entendue se lever je crois, un peu plus tôt dans la matinée déjà tôt, peut-être qu'elle avait ramené son homme à ce moment-là mais c'était quand-même bizarre parce que normalement c'est interdit de ramener des invités, c'est pas moi qui le dit c'est le règlement. J'ai jeté quelques regards un peu énervés et peut-être un brin jaloux vers le lit de la meuf, quoique j'étais trop de mauvaise humeur pour avoir quelconque désir. J'ai vu bouger et je me demande si j'ai pas vu deux personnes. Ce qui est bizarre néanmoins c'est que quand ça s'est calmé, quand les gémissements qui en vrai sonnaient plutôt joliment, en tout cas plus jolis que l'autre cochon en train de chier dans la station-service de l'état de New York, bref quand ça s'est calmé elle a appelé quelqu'un. C'est bizarre de faire ça après l'amour c'est chelou quand-même non pourquoi tu ferais ça t'es bizarre.
J'ai lâché un Oh Come on parce que j'avoue j'étais agacé, y a des limites quand-même puis bon elle ne me faisait pas tellement peur. Elle a dit quelque chose je crois mais j'en suis pas sûr et puis de toute façon je m'en souviens plus. J'ai ajouté de manière polie, succincte et ouverte au dialogue qu'en gros elle était casse-couilles à faire tout ce bruit alors qu'il était à peine 8h du matin. Elle m'a répondu qu'il était exactement 8h du matin, comme si c'était l'argument ultime qui lui permettait de faire tout le bruit qu'elle voulait et qui m'empêchait de faire toute critique. Que répondre face à ça j'avoue j'étais un peu surpris, bien joué. Je me suis levé pour aller prendre mon petit-déjeuner j'avais mis le réveil à 8h du matin de toute façon et elle n'avait pas menti il était effectivement 8h du matin, fallait que je me taise bon dieu. Sur le chemin c'était bizarre j'avais l'impression qu'elle était seule dans son lit finalement mais bon tout n'était pas très clair dans ma tête j'étais fatigué, je pouvais pas vraiment réfléchir.
Je mangeais mon petit-déjeuner tranquille quand un employé chelou et casse-couilles m'a donné le coup de grâce, alors même que je me disais que la vie est finalement plutôt belle et pleine de surprises et de promesses. Le beurre de cacahuète et moi c'est une relation solide, couple ouvert certes mais on en a vu d'autres. L'homme s'est arrêté à mon niveau et il m'a demandé comment j'allais. C'était un peu bizarre parce qu'à mon arrivée il m'avait rappelé l'arrogance teintée d'un brin de malveillance que je connaissais d'autres êtres humains et que je n'étais pas prêt d'oublier. Puis il avait été prodigieusement indifférent ce qui était vraiment une belle perf pour quelqu'un qui travaille dans le domaine de l'accueil des gens, trimballant avec lui une vibe très bizarre pas toujours claire ni saine ni bienveillante mais en vrai j'en sais rien finalement de ce qui le traversait, j'exagère peut-être j'ai parfois pas peur de l'exagération. Il s'était montré subitement sympathique un soir où j'avais débarqué sans faire exprès à l'happy hour pourri qu'il organisait et où il n'y avait personne. Il m'a offert un soft me l'a même ouvert et servi et m'a filé un extra dollar pour que je puisse prendre le tram comme le tram n'acceptait pas la carte. Je sentais ou au moins j'avais l'impression que ça le faisait quand-même un peu chier de faire tout ça pour moi mais en vrai j'en sais rien c'est peut-être mon esprit aussi susceptible que chelou avec sa ceinture après avoir fait pipi qui parle, par contre j'avoue j'ai quand-même jubilé quand je lui ai indirectement fait comprendre que ouais t'inquiète tu peux me servir toi-même le coca que tu m'as offert et décapsulé, et ce dans le cadre d'un happy hour où personne n'est venu et où moi-même je n'allais pas rester. Merci gars pour le dollar que tu m'offres sans remboursement à venir ça fait plaisir, ça aide. Yesseusse je suis un gamin mais j'avoue pour le coup ça faisait du bien, je comprends le gémissement de joie du gros dégueulasse qui faisait caca dans la station-service à New York.
Puis j'ai compris que les employés recevaient des bonus si les guests les mentionnaient dans leurs commentaires sur booking.com à la fin de leur séjour. Je me suis dit ah ok je comprends mais d'un autre côté il n'était pas totalement frontal vis-à-vis de ça donc j'avoue qu'au fond de moi j'avais l'espoir naïf innocent gênant et débile que cet homme finalement s'intéressait un peu à moi, un tout petit peu. J'ai souvent ressenti cet étrange besoin de plaire et de séduire des êtres humains pourris qu'en vrai je n'aime pas et qui peuvent être parfois blessants voire carrément des connards finis, wow je suis quand-même spécial à être content si jamais je les fais rire. Bref à la suite de cette interaction on a eu quelques small talks bizarres où il était sympathique je trouvais ça ouais franchement bizarre puis je me disais non il va pas oser, il est quand-même pas sympathique et curieux à propos de ma vie juste pour choper de la thune, il va pas oser.
Ce matin là à la fin de mon petit déjeuner, à la fin de ses nouvelles questions polies quant à mon voyage, alors que je me dis cool il est quand-même sympa finalement même s'il est quand-même masse chelou, je suis même carrément flatté en fait finalement qu'un connard fini puisse s'intéresser à moi, wow j'ai quand-même du charisme j'inspire le respect et la curiosité à des êtres qui n'ont pas peur d'être des connards finis publiquement, bref à la fin de la petite conversation, il me dit Ah oh fait, n'oublie pas de mentionner mon nom dans ton commentaire. Il s'en va et rigole comme si de rien n'était.
Je rentre dans la chambre noire en me disant fuck ça me casse les couilles cette auberge c'est de la merde je déteste la Nouvelle Orléans c'est vraiment pas pour moi je suis trop gentil et sensible et stylé ouais ça faut le dire pour la Nouvelle Orléans, je suis quand-même stylé ouais enfin je le pense enfin je pense que je le pense ou plutôt je le dis pour compenser l'autre enfoiré que j'hésite à démonter dans mon commentaire booking.com, crois-moi j'en suis capable je pourrais faire un roman magnifique sur cet tentative de corruption horrible et terrifiante et malsaine et terriblement méchante d'un pauvre petit Bakpacker du quartier Contades de Strasbourg qui voulait juste avoir du fun à la Nouvelle Orléans et oublier son passé tragique. Mais bon en vrai je suis pas assez lâche je suis quand-même digne enfin c'est ce que je me dis j'aime bien penser ça tout de suite je me sens mieux, puis je me barre bientôt donc en vrai tranquille. Puis je me rends compte en vrai que la meuf qui a gémi bah elle est seule dans son lit en fait, a priori. Putain c'est ouf ! Ça change beaucoup de choses. C'est presque flatteur, elle s'est sentie suffisamment à l'aise dans la chambre avec moi pour se faire du bien toute seule, pour se caresser et gémir langoureusement, damn peut-être même que c'était une invitation, peut-être même qu'elle voulait mon attention et que je participe. Dans tous les cas elle a l'air d'avoir joui au son de son long gémissement en forme de daaaaaaaamn qui m'avait presque inquiété tant il était appuyé. Damn c'est presque flatteur c'est comme si j'avais contribué à la chose, qui sait peut-être que je l'ai inspirée.
L'agacement a disparu j'étais presque fière de moi, une femme de plus qui était comblée. J'avais été tenté de faire un max de bruit en faisant mes affaires et de laisser les lumières d'hôpital ultra aveuglantes et froides allumées lorsque je quitterais la chambre, parce que comme elle le disait il était exactement 8h du matin, en fait il était carrément plus tard donc ouais ma grande moi aussi j'ai tous les droits prends ça, comme je suis lâche Damn je me défoule sur une fille mais bon l'homme est un loup pour l'homme et moi je suis une tortue ou un petit agneau sans défense au passé tragique et qui cherche monsieur le berger pour me protéger des requins. Sauf que bref tout avait changé on était maintenant dans la même équipe avec ma compagne de chambre, t'inquiète j'ai capté les signaux merci et de rien je t'en prie, service. Bon après faut pas abuser elle m'avait quand-même réveillé puis la veille elle avait été bien bruyante avec son tel donc ouais fallait que je fasse quelque-chose, du coup je suis quand-même parti en laissant la lampe de chevet allumée et ouais j'ai fait ça ouais je suis sûr qu'elle avait trop les nerfs en tout cas voilà faut pas me chercher je suis pas un lâche je suis courageux.
Ce jour-là dans les toilettes de la station service dans l'état de New York, alors que l'homme dans les toilettes assis faisait comprendre qu'il était de plus en plus soulagé, et que le malade mental que je suis n'arrêtait pas d'ajuster sa ceinture sans rien ajuster du tout, je me suis quand-même demandé à quoi ressemblait l'individu expressif et soulagé et sonore. Ça pouvait pas être un beau gosse comme moi, on aime trop plaire nous les beaux gosses on est trop addicts au regard des autres et à leur reconnaissance et leur validation, on est pas assez libres on est un peu des baltringues en fait nous les beaux gosses parmi les beaux gosses, ça prend un homme courageux, un homme qui s'en bat les couilles. J'avais raison il avait l'air bien chelou et courageux et pas un beau gosse parmi les beaux gosses comme moi qui est un beau gosse parmi les beaux gosses.
J'ai eu la belle surprise de voir que l'être courageux chelou était dans mon bus en direction de New York City, il était assis tout à l'avant juste derrière le chauffeur il me semble, forcément. Pendant le trajet il s'est dirigé plusieurs fois à l'arrière du bus où étaient les toilettes, en vrai vraiment plusieurs fois c'était ouf j'étais impressionné en voilà un vraiment qui s'en bat les couilles qui est plus courageux que Marlon Brando y a pas photo, ça prend tellement plus de courage d'assumer aller aux toilettes d'un bus dont le trajet est de 9 heures, bref d'y aller et d'y revenir un nombre incalculable de fois devant presque les mêmes personnes et ce pendant 9 heures, ouais ça prend un courage et une force mentale de fou pour faire ça, un immense je m'en foutisme, bien plus de courage que les gens qui sauvent la nation ou les gens qui sauvent les gens dans le métro, respect bro, moi je stresse déjà si j'y vais plus d'une fois pendant le trajet, j'ai peur qu'on reconnaisse que je suis un chelou nerveux parmi les chelous nerveux pseudo lents et que du coup je ne fasse plus partie des beaux gosses parmi les beaux gosses qui attirent les filles vraiment intéressantes, Fuck j'aurais trop les nerfs qu'on réalise qu'en fait je suis pas un beau gosse parmi les beaux gosses mais vas-y j'ai quand-même l'impression que je suis peut-être quand-même un beau gosse parmi les beaux gosses, enfin j'espère s'il te plaît lecteur confirme. Je me demande si l'homme plus courageux qu'un militaire et qui vaut 100 policiers osait gémir comme il avait gémi lorsqu'il était dans la station-service, s'il osait le faire à chacune des dizaines de fois voire plus où il était allé aux toilettes du bus devant tout le monde, à chaque fois avec la même allure de chelou pressé et en vrai un brin ratatiné je suis sûr que tout le monde pouvait deviner qu'il allait faire caca. Wow ce serait ouf s'il avait osé gémir comme un fou, wow le courage du gars, dans ce cas oubliez tout ce que vous savez sur la guerre et faites le général, confiez lui les armées du monde entier il va nous sauver il aura pas peur c'est sûr il s'en bat les couilles c'est ouf c'est lui le vrai beau gosse parmi les beaux gosses.
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5 octobre
maison sans loki. y a un trou à côté du canapé maintenant. un énorme trou. j'avais personne à qui dire bonjour ce matin quand je me suis levée. je peux traverser le hall d'en haut, le hall d'en bas et le salon comme je veux, sans faire de détours pour éviter les taches de pipi sur les tapis, y a plus de tapis. je peux me laver les cheveux à l'heure que je veux sans avoir à prendre en compte ses sorties. je peux aller où je veux quand je veux. j'ai plus aucune raison de sortir dans la rue en pyjama et en tongs. mais je ressens pas de tristesse. je ressens rien. je rêve juste beaucoup de lui. c'est le même schéma qu'avec chacun de mes quatre grand-parents. comment je peux rester insensible à toutes ces morts, imperméable à toute émotion, et en même temps me laisser entièrement consumer par un chagrin d'amour jusqu'à le sentir dans mes os? c'est la mort spécifiquement qui me bloque, me paralyse, me désensibilise? c'est une histoire d'auto protection? est-ce que si r. venait à mourir je serais moins triste que lorsqu'il m'a dit qu'il m'aimait pas?
6 octobre
j'ai accumulé trop de retard dans ce que j'ai à dire. hier soir au cours de chant du centre lgbt j'ai chanté all that jazz en tremblant et la prof qui devait avoir dix ans de moins que moi a fait remarquer mon manque de confiance et j'étais mortifiée, j'en peux plus d'être comme ça. y avait deux jolies filles, une avec l'accent espagnol et une au crâne rasé et je me sentais très hétéro dans mon jean moche et mon haut rouge à imprimé liberty hérité de c. ma tante homophobe. celle avec le crâne rasé est en stage à la cour de justice européenne. elle est allemande. je l'enviais. j'en peux plus de ma fausse vie. ce matin l'orl m'a demandé ce que je faisais comme travail et je l'ai fait répéter pour me laisser plus de temps pour réfléchir à une réponse. j'ai dit j'écris mais j'en ai marre de dire ça parce qu'écrire est un hobby et non un travail. je veux pouvoir dire je travaille à la cour de justice européenne moi aussi. même si j'y survivrais pas deux semaines avec ma fragilité. j'avais dit que je déménagerais à la rentrée mais la rentrée est passée et j'ai repoussé à 2024 et là je me dis que mon plan est défectueux depuis le début parce que d'abord je dois trouver un moyen de gagner ma vie mais je dois aussi partir et trouver un appart et les deux font la course côte à côte dans ma tête en se rattrapant l'un l'autre et c'est sans fin et la course ne s'arrête jamais et en attendant je bouge pas.
8 octobre
hier soir après manger j'étais un peu tristoune sur le canapé de voir m. avec son copain o., même si elle doit le partager avec quelqu'un d'autre et que ça la fait souffrir, au moins elle l'a à moitié. hier soir on faisait des blagues parce que j'ai bu trois gorgées de bière à la vanille dans le verre de m. et quand on est passés aux alcools fort après manger j'ai dit non merci et o. a dit she's had enough alcohol for the next fifteen years! à moins que c'était she's had more alcohol than in the last fifteen years? ce qui est encore plus déprimant, je trouve. on faisait des blagues aussi parce que je me réveille à 7h30 comme les vieux maintenant et parce que j'avais envie d'aller au lit après le dessert mais d'une certaine manière (je commence à parler comme r.) c'était pas drôle du tout. il m'a dit qu'il connaissait un café qui embauchait, en face de l'église où j'avais tenté de soigner mon coeur brisé avec l'amour de jésus à la messe polonaise, et aussi qu'y avait une place qui se libérait dans une coloc mais que je devais m'attendre à entendre beaucoup pleurer parce qu'ils étaient tous en burn out aux institutions européennes. il m'a dit que je pourrais tenter de donner des cours dans des universités d'art aussi parce qu'il faut pas de diplôme ni rien, et je me dis que m. m'a peut être un peu survendue, comme maman l'autre jour avec les invités sur la terrasse.
j'ai envie de casser mille verres et mille assiettes, je supporte pas de voir m. avec son copain, je me sens exclue et abandonnée et j'ai peur d'être malade, de souffrir de troubles de quelque chose. c'était plus simple quand j'étais seule à la mer, même si à la fin je commençais à me sentir trop seule, au moins j'étais en colère contre personne, à part jean luc. j'ai à peine vu m. à part à table hier soir et deux minutes ce matin au petit-déjeuner, ils m'ont même pas proposé de les accompagner au musée cet après-midi et ça me donne envie de casser toute la vaisselle de la cuisine, puis la cuisine. f. m'a dit que sa mère voulait venir à ma lecture, elle pensait que maman et m. viendraient aussi et je lui ai ri au nez. la mère de f. est la seule personne qui me soutient. avec r.
j'aime pas quand je suis larmoyante comme ça, heureusement j'avais ma lecture au rainbow center qui m'a un peu sortie de ma colère triste de cet après-midi. y avait quatre personnes dans le public, soit deux de plus que lors de ma précédente lecture lesbienne dans ce maudit pays, et cette fois-ci j'étais pas seule avec ma solitude, y avait une autrice-prof de français qui a publié un roman et une artiste plasticienne qui a présenté une vidéo-poème un peu nulle. j'ai lu le texte que j'avais lu à la bellone mais rien avoir avec la bellone, zéro rire, personne a du comprendre les ref non plus, personne n'est venu me dire que mon texte était un chef d'oeuvre à la fin, mais tout le monde ne peut pas être aussi brillant que le public des soirées et caetera, la plus fine des fleurs des publics, qui entre autres m'a donné r. j'avais oublié à quel point le texte était sombre, j'avais retenu que les rires des gens pendant les passages drôles. on m'a quand même dit que j'avais un bon rythme de lecture et que c'était très agréable de m'écouter. comme on me l'a dit mille fois déjà je me dis que je devrais trouver un moyen de le rentabiliser, mais comment? radio, podcasts, doublages, voix off, voix de livres audio? je dois devenir plus entreprenante.
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4.44
Mon amour il m’est impossible de trouver le sommeil ni le repos.
J’ai voulu ce soir ne pas me shooter aux médicaments, en vain.
Mon cerveau ne cesse de penser à toi, à tous les mots que j’aimerais t’écrire mais que je dois par pudeur dissimuler ici et là.
J’aimerais te dire que tu as été mon plus beau rêve éveillé, mes plus beaux couchers de soleil, mes plus beaux petit déjeuners, les plus belles siestes, mes meilleurs souvenirs, mon plus bel avenir.
Je me souviens pleurer au cabinet, seul, quelques semaines après notre rencontre.
Je pleurais de t’avoir un jour rencontré, au milieu de nul part, dans l’un des plus beaux paradis terrestres.
Si longtemps que je t’attendais, si longtemps que j’espérais, si longtemps que je te voulais.
Je m’accrochais à mes rêves comme certains à des promesses.
J’étais persuadé qu’il ne s’agirait pas d’un mirage mais d’un mystère, le mystère de la vie.
J’étais persuadé, avant même que l’on sorte ensemble, que nous étions destinés.
J’étais certain que je pourrais panser tes blessures.
J’étais sans doute trop optimiste, cavalier ou trop déterminé.
Dieu sera le seul juge de mes errances.
Tu étais mon évidence, ma meilleure alliée, mon meilleur argument celui qui laisse sans voix.
J’ai cru réussir, j’ai cru que ma patience épongerait tes plaies pourtant béantes que je ne voulais voir.
J’ai cru en moi, j’ai cru en toi.
J’ai cru en nous, j’ai cru que nous serions plus fort que tous ces couples insipides.
J’ai cru que cet amour le Vrai ne servirait pas une histoire qui ne fut que quelques pages dans un livre entaché de souffrances.
Mon désespoir est grand. Mes rêves demeurent.
Je suis vide, vidé, éventré, agonisant.
Je pleurs pour un rien pour un tout.
Je pleurs pour tes chaussons délicatement rangés sous la table de nuit que j’avais achetée pour toi.
Je pleurs ces tiroirs vides, je pleurs tes crèmes de nuit qui se sont envolées dans mon sommeil.
Je pleurs la Pipi.
Je pleurs ces verres d’eau que je me précipitais de remplir pour honorer mes obligations.
Je pleurs ces attentions que je ne peux plus t’offrir, je pleurs ces carres de chocolat noir, ces mousses au chocolat, ces blancs en neige qui recouvrent le plan de travail, je pleurs ces draps parfaitement pliés, je pleure ton rasoir posé sur le rebord de la baignoire.
Je pleurs cet appartement vide de toi. Je pleurs tes manteaux jamais suspendu sur un cintre, ton pyjama plié sous le coussin, ton verre d’eau à côté du lit, tes sous vêtements dans la panière à linge.
Je pleurs t’es cheveux sur le balcon agrippés à l’olivier.
Je pleurs le saumon au four avec des courgettes.
Je pleurs chacun de tes plats, tes pâtes au pesto avec la mozzarella, je pleurs tes pieds que je caresse et toi qui réagit par un geste brutal.
Je pleurs te mettre de la Biafine partout, je pleurs chaque grain de peau, je pleurs tes jolis seins tes fesses indomptables. Je pleurs t’es lèvres, tes yeux verts.
Je pleurs tout.
Je pleurs ta tête qui se pose sur mon épaule quand je t amène en scooter.
Je pleurs la Frecha, le klaxon sous les ponts.
Je pleurs même ta mauvaise tête en rentrant de ta journée.
Je pleurs tes doutes et incertitudes.
Je pleurs les taches inutiles : retoucheur alors que les pantalons sont à la bonne taille.
Se plaindre pour les pantalons en velours qui se détendent.
Je pleurs toi qui cries parce que j’ai mis de l’eau partout en sortant de la douche et toi qui t’évertue à m’expliquer comment utiliser le pommeau de douche et comment me positionner.
Je pleurs de ne plus rentrer dans des églises avec toi.
Je pleurs tes peurs.
Je pleurs tous ces voyages et paysages. Ces weeks end improvisés.
Ne pas réussir à faire l’amour dans la baignoire.
Je pleurs tes certitudes. Je pleurs ta vérité.
Je pleurs ton apprentissage de l’italien à peine initié.
Tout ce qui m’appartient t’appartient.
Aujourd hui je n’ai plus rien.
Que des souvenirs.
5.02
Io no.
Le soleil se lève. Je n’ai pas dormi de la nuit.
J’ai perdu ma vie.
Je ne vis plus je survis entr deux océans.
Tu étais mon plus beau mistral, mon pacifique ma lumière.
Tu as donné du sens à ma vie.
Merci
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Quand au retour du restaurant Léa au salon traîne à se mettre en pyjama : chérie ? tu veux vraiment terminer cette journée fesses en l'air sur mes genoux ? déshabille-toi et va faire pipi ! on va laver les fesses avant d'enfiler le pyjama ...
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Samedi 14 Janvier 2023
09h42. Bon, j'ai beaucoup de chose a dire je crois. Jeudi je suis aller chez Mel a 18h45 pour m'occuper des enfants. Mel m'a donner les "instructions". Puis on a manger tous ensemble et a la fin du repas, Mel et Mat sont parti. En me disant en revoir, Mat m'a dit "avec les enfants tu fais comme tu peux" comme pour le rassurer et me dire que s'il y avait un louper dans la routine ce n'était pas très grave. Donc, avec les garçon j'ai fait une partie de babyfoot. Aug dessinait pendant ce temps. Et Phil s'occupait dans sa chambre. Après la partie, vers 20h, j'ai mis les petits en pyjama, se brosser les dents, pipi et je leur ai lu une histoire, puis dodo. Les grands étaient tranquille dans leur chambre. Je suis donc descendu dans le salon et ils m'avaient passer la tablette et le code, donc j'ai regarder une film d'action plutôt sympa. Je m'était couché sur le canapé avec une petite couverture sur moi. J'étais vraiment bien. Le film c'est terminé vers 23h et ils sont arrivé pile a ce moment la. Ils ont rangé un peu la maison, préparé la petit-dej et pendant ce temps la on a discuter de leur soirée mais aussi de tout et de rien... Puis, Mat est sorti fumer du CBD, Mel a dit "attend je vais venir avec toi, So est-ce que tu veux venir ?". Du coup, je suis allée fumer avec eux. C'était sympa encore une fois. Puis finalement j'ai dormi chez eux, dans le canapé lit du bureau. Le lendemain matin, je me suis réveillé vers 7h30 et je suis allée déjeuner avec eux. Bref, il c'est passé plein de truc cool puis vers 8h30, j'ai accompagné Aug a l'école. Et après je suis rentré a la maison mais Yv était déjà retourner au travail. A 3h du matin Yv m'a envoyé un message que je n'ai reçu que le matin : "est-ce que je dois appelé les gendarmes ou est ce que c'est normal que tu ne rentres pas?". J'ai répondu que c'était normal.
A la maison. J'ai juste pris le temps de ranger quelques trucs, de me changer et Ev est venu me chercher a 10h30 pour aller se promener en ville. Puis a midi, elle m'a déposé a la maison pour que je prenne ma voiture pour aller chez elle. A midi on a donc manger des crêpes. Puis a 16h, Aga est rentré de l'école et on a goûter des crêpes et le soir je suis aussi rester chez eux et on a fait des frites. On a parler jusqu'à 00h et après je suis quand même rentré a la maison. Donc j'ai passé plus de 24h a ne pas être chez moi. Bref, durant la soirée Yv m'a envoyé des messages : "OK pour aujourd'hui et ce soir c'est pareil ?". Puis il m'a parler d'abandon du domicile familiale, puis comme quoi j'étais peut être avec un autre mec..." Ev a sentit qu'il était vraiment pas bien pour avoir des propos comme ça. (Moi quand il dort dans le fourgon je ne dis pas qu'il abandonne le domicile familiale). Elle voulait que Yo aille le voir, mais je crois qu'il ne se sentait pas trop. Normalement il devrait l'appeler aujourd'hui. Mais du coup, Yo m'a un peu raconter ceux qu'il c'était dit. Il m'a dit que c'était sur qu'il m'aimait, qu'il avait l'impression que Yv voyais tout en noir, ils ont parler du fait que Yv pense qu'un jour on ne verra plus Yo, Ev, Mat et Mel, etc... En soi rien ne m'a étonné donc je suis plutôt rassuré. Mais on en a conclu que moi j'étais entouré et que Yv était tout seul et vraiment pas bien. Maintenant je suis inquiète. J'aimerais vraiment que Mat et Yo le soutienne et l'invite ce weekend ! Parce que je sais ce que c'est de se sentir seul et malgré les apparence je pense que la il se sent seul parce qu'en plus d'habitude je reviens toujours...
Sinon rien a voir mais Mel m'a dit on essaye de ce soir ce weekend. Et Yo est passé chez Mat quand il est aller chercher Aga a l'école (et pourquoi pas chez Yv ???). Le soir, Yo et Ev sont sorti s'occuper de la chaudière. Au repas, Yo a dit "mais samedi tu sais qu'on ne mange pas là" et Aga a rajouter "mais pourquoi on ne dors pas chez eux". Mais ils n'ont pas citer la personne alors je trouve ça bizarre car quelque heure plutôt Ev me disais que samedi midi elle allait manger chez sa copine untel. Alors je me demande si ils sont pas invité chez Mel et Mat et qu'ils voulaient pas me le dire... Bref, j'ai trouvé ça bizarre et ça m'a un peu blessé, gênée et attristé. Je sais que les 4 s'entendent mieux que avec nous. Yo et Mat s'échangent régulièrement des compil, normalement ils devaient jouer ensemble le vendredi aprèm (sans Yv car apparement il allait chercher des pierres). Donc bon, j'ai aussi un peu peur que ça se finisse un jour, mais surtout c'est pourquoi pour une fois j'ai réussi a m'intégrer et Yv reste en retrait... Pourquoi les garçons ne lui propose pas un truc ce weekend. Ça me fait mal. Je suis triste et je culpabilise. Je m'inquiète pour Yv. Oui ces dernier temps je voyait souvent les filles parce que j'ai garder les enfants, je leur ai tenu compagnie pour aller en ville, etc... Je ne cherche pas a mettre Yv de côté. Mais j'ai l'impression que les filles ont tendance a plus facilement s'inviter pour des choses futile que les mecs. Quoique parce Yo et Mat se voit bien en coup de vent... Du coup, je repense au fait que Yv a chaque fois que quelqu'un est a la maison il sort les bières etc... Et du coup, est-ce que les gens ne se sentent pas pris au piège ? Pourtant eux aussi amène des bières... Enfin je ne sais pas mais je ne veux pas que Yv ai l'impression de ne pas être apprécié par les autres... Enfin peut être que je le fait des idées parce qu'il a quand même passé du temps avec Yo et qu'il était au courant de son programme du vendredi aprèm et pas moi. Alors je pense qu'ils s'appelle souvent mais je pense aussi que Yv trouve des escuse pour pas les voir : "je ne peux pas jouer parce que je dois aller chercher des pierres" mais est-ce que les pierres sont plus importante que les amis ou est-ce qu'il a proposé une autre date ???? Je m'inquiète vraiment vraiment vraiment pour lui !!!!
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En pyjama (pipi, les dents et au lit)
Eufrat May.Blinders EliteFans.Azul Fílmico.🇷🇴🇷🇺
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awesome news everybody. found out some of my old doll clothes fit spamton perfectly :)
#i love this little patch dress its real cute. i wanna add a lil pipis in the pouch :P#spamton plush#i wanna make him some pyjamas or something. try my hand at sewing#also i can see some cat fluff stuck to his glasses on this pic smh. i took it off after this
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COMMENT DEVENIR UN ÉNURETIQUE ET FAIRE PIPI AU LIT
L'une des plus humiliantes situations qui puisse arriver à une personne est de se réveiller trempé d'urine de la tête aux pieds, ou avec une couche mouillée. Ces accidents nocturnes peuvent être embarrassants, mais certaines personnes tel que les bébés adultes et fétichistes des couches culottes recherchent à provoquer ces accident de pipi au lit sans y arriver. As-tu envie de réussir ?
Malheureusement, ce n'est pas aussi simple que «vouloir», cela demande beaucoup de pratique, de volonté et d'engagement. Il y a des solutions "magiques" comme les méthodes de l'hypnose subliminale disponible en CD, mais les résultats ne sont pas toujours fiables.
Ce qui suit est une vraie méthode qui a fonctionné sur moi et je vous en présente les grandes lignes afin que vous aussi puissiez amorcer votre incontinence nocturne, et en fonction de ce dont vous rechercher, vous pouvez adapter cette méthode à votre convenance.
Important ! Il est plus facile de devenir incontinent que de réapprendre la propreté. Il est indispensable que vous mesuriez les conséquences de cette démarche, si vous engagez ce reconditionnement, vous allez modifier les automatismes psychomoteur qui contrôlent votre continence urinaire, dans quelques mois vous serez énurétique et les nuits sèches se feront de plus en plus rare, plus moyen de vous réveiller à temps pour éviter l'accident, lorsque vous prendrez conscience de votre état il sera trop tard, votre lit ou votre couche sera trempé.
Si vous êtes prêt à vivre cette aventure qui risque de changer votre vie il faut tout d'abord préparer votre lit. Procurez-vous une alèse en PVC afin de protéger votre matelas, car vous allez en avoir besoin. Si vous avez la possibilité de récupérer un vieux matelas taché d'urine ce serais un atout, car il serait un bon rappel visuel de votre objectif. Mais d'ici à la fin de votre formation, le vôtre sera à coup sûr taché de votre urine.
Vous êtes maintenant un énurétique! Ne pas oublier! A présent vos nuits vont changer et être humides.
Alèse mouillée, culottes, pyjamas ainsi que vos couches. Ce dont vous aurez besoin à ce point est la volonté de devenir un véritable énurétique. Même lorsque vous n'aurez pas envie de mouiller votre lit, il le sera. Lorsque vous séjournerez chez des amis où chez la famille, vous serez mouillé tous les matins et si par mégarde vous ne prenez pas de précautions (protection literie ou couche) vous aurez à vous expliquer auprès des personnes présentes qu'en raison de vos problèmes d'énurésie vous avez mouillé leur lit! Probablement l'atout le plus important dans la quête de l'énurésie est de vous considérer comme un énurétique, et de le faire savoir auprès de votre entourage y compris votre médecin, le fait que tout le monde soit informé que vous faites toujours pipi au lit vous aidera à vous considérer comme tel et accélérera le processus de conditionnement, vous serez surpris de vous apercevoir qu'en général les gens sont très compatissent face à l'incontinence. Je n'ai jamais eu de remarque moqueuse, et cela m'a beaucoup encouragé dans cette voie.
1ère étape:
Dès votre première nuit d'énurétique, vous devez dormir dans un lit sans protections.
– pas d'alèse en plastique ni couche!
Votre matelas en souffrira, mais c'est ce que vous souhaitez c'est ça que d'être énurétique il va falloir vous y habituer.
Les nuits suivantes, utilisez une alèse en PVC,
Mais n'oubliez pas que vous devez parfois dormir dans un lit sans protections.
Votre matelas et l'alèse doivent sécher bien en évidence dehors à la vue de votre voisinage qui constatera toutes les taches d'urine sur votre matelas.
Pendant quatre heures avant de vous coucher vous devez boire abondamment, sans aller aux toilettes. Lorsque vous allez vous coucher, essayez de vous endormir malgré la pression de la vessie pleine. Vous devrez probablement vous réveiller dans quelques heures, et lorsque vous le faites, tout d'abord vous devez vider complètement votre vessie et commencer à jouir de votre premier lit mouillé! Si vous vous réveillé à nouveau uriner une nouvelle fois de plus dans vos draps. Cette étape et nécessaire pour s'habituer à l'idée de faire pipi au lit. Cela peut prendre un certain temps.
Pour votre formation vous devez vous conditionnez et modifier votre approche des toilettes « les toilettes sont un inconvénient il faut se lever, le lit est un bien meilleur endroit pour uriner »!
Si vous êtes mouillé, jouissez de toutes ces sensations (l'odeur et la chaleur humide tout autour de vous). Si vous êtes une fille, se concentrer sur la délicieuse sensation du pipi entre vos jambes et sous vos fesses et si vous êtes un mec, vous pouvez orienter le jet urinaire sur votre ventre et laisser couler l'urine sur les côtés. Après avoir terminé, assurez-vous de vous masturber dans votre lit et pyjamas mouillé.
De cette manière, vous associez encore plus de plaisir avec l'énurésie, d'ailleurs vous devriez éviter de vous masturber ailleurs que dans votre lit mouillé ou plus tard dans votre couche pleine de pipi.
Le matin, passer environ 30 minutes dans votre pipi et lorsque vous vous levez, inspectez les dommages causés à votre lit. Constatez l'auréole humide sur votre matelas. Admirez votre chef d'œuvre!
Vous êtes sur la bonne voie pour devenir un véritable énurétique !
Sur les premières nuits, vous devrez sécher votre matelas. Si possible, le mettre à l'extérieur à la vue de vos voisins ou toute autre personne qui vient vous rendre visite.
Bien qu'il faille un certain effort pour mouiller son lit, au fil des jours cela deviendra plus facile. Continuez à suivre la même procédure tous les soirs, jusqu'à ce que vous trouviez que le pipi dans votre lit est facile et naturel, même si cela est encore totalement délibéré. Cette étape peut prendre plusieurs semaines, mais vous vous sentirez serein et détendu lorsque votre lit sera mouillé. L'important est d'uriner à chaque fois que vous vous réveillez, même si c'est seulement un peu. Dans quelque temps vous serez seulement à moitié réveillé, puis peu de temps après (environs 8 à 10 semaines) vous commencerez à avoir des «accidents» vous vous réveillerez alors que vous êtes en train d'uriner dans vos drap.
2ème étape:
Vous devez facilement et délibérément mouiller votre lit toute les nuits, et ne devez avoir aucune difficulté à le faire. Maintenant, nous allons mettre en place les couches. Toutes vos nuits seront humides!
Tout d'abord vous devez vous procurer des couches et des culottes en plastique. Mêmes règles, boire abondamment quelques heures avant d'aller au lit au point que vous devez avoir une vessie pleine à craquer quand vous allez vous coucher.
Au moins une heure avant le couché, de sorte que vous apprécierez les sensations, allez mettre votre couche. Dire à votre entourage la raison pour laquelle vous en avez besoin, et profitez de toutes les sensations de la porter. Si vous pouvez faire participer votre partenaire, tant mieux. Savourez le sentiment et la texture des couches, l'odeur du plastique et des culottes plastiques de bébé, le talc, la pression, le sentiment volumineux entre vos jambes, regardez-vous dans le miroir, et rappelez-vous que vous êtes habillé comme ça parce que vous êtes un coquin qui fait toujours pipi au lit.
Allez au lit, et dès que la lumière est éteinte, détendez-vous complètement dans vos couches, laissez s'écouler votre urine et apprécier la chaleur de l'urine chaude qui se propage tout autour de vous. Maintenant, vous allez avoir à y dormir toute la nuit, pas d'excuses! Une fois de plus, passez du temps à en apprécier les effets, glisser votre main à l'intérieur de votre couche et masturbez-vous. Les filles peuvent pratiquer de roulement sur leurs couches (comme les bébés) basculé d'arrière et en avant sur le coussin volumineux. Lorsque vous vous réveillez au cours de la nuit vous devez continuer à mouiller immédiatement même si l'envie ne se fait pas ressentir.
Si vous avez des amis qui vous rende visite et dorment sous votre toit ou si vous allez dormir chez eux, vous allez peut-être avoir à vous expliquer au sujet de votre énurésie. Cela peut effectivement être très amusant. Dites-leur que vous mouillez encore votre le lit et que c'est pour ces raisons que vous devez protéger le lit et en complément porter une couche et après que chacun soit partie au lit, le petit pisseux (que vous êtes sensé être) iras mètre sa couche pour la nuit.
Si l'occasion se présente, laisser votre lit avec son alèse ainsi que votre paquet de couche bien en évidence (à la vue de tous).
3ème étape:
À ce stade, vous ne prêtez plus d'attention à la sensation d'humidité de vos sous-vêtements, couches ou lit, le fait d'être mouillé devient tout à fait banal voir normal. Vous devez arriver au stade où vous vous sentez vraiment à l'aise lors ce que vous êtes mouillé, d'ailleurs vous l'êtes toutes les nuits. Même si le lit et encore humide des accidents précédent, vous arriverez très facilement à y dormir, et vous continuerez sans difficulté à vous mouiller tout au long de la nuit
Au réveil vous devez encore faire pipi en position allongé avant de vous lever. Le but de tout ceci est de réapprendre à faire pipi au lit et d'intégrer que le fait d'avoir un lit ou une couche mouillé est très agréable. Répétée délibérée le pipi au lit et le pipi couche toute les nuit où que vous soyez, vous constaterez que de plus en plus il vous arrivera d'uriner dans un demi état de veille, et votre cerveau enregistrera qu'il est normal et bien de mouiller le lit, vous vous sentirez mieux lorsque votre vessie sera vide et que votre couche sera humide.
Désormais ce qui arrivera dépend totalement de votre esprit à concevoir « qu'il est bien et correcte de faire pipi au lit », vous devez avoir cette volonté pour atteindre votre objectif, si vous êtes motivé et que vous le souhaitez vraiment, à terme vous serez un véritable énurétique.
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Promenade du soir, on va voir les trains. A mi-chemin mon garçon ND de 4 ans s’oublie. Je me retrouve avec un pantalon souillé dans les mains et un gamin en caleçon humide dans la rue.
Je m’en fous, j’ai l’habitude et le regard des autres boah, je suis blindé. Lui aussi, il est totalement immunisé. Je lui dit juste qu’il faut me dire quand il doit faire pipi parce que c’est vraiment pas gai d’être tout mouillé (en plus l’urine, ça gratte). D’habitude quand ça arrive en sortie, je le vois trépigner et peut lui trouver un endroit, mais cette fois, rien.
C’est pas grave, il faisait bon, il n’a pas trop pris froid. On a quand même regardé les trains vu qu’on y était. On en a vu trois. Deux de voyageurs, un de marchandises. On a couru sur le chemin du retour. Il était presque vingt heures quand on est rentrés et on a sauté à la douche. Pas sans pleurs (se laver c’est toute une histoire, on peut pas lui mouiller la tête).
Une fois fini, pyjama et hop, au lit.
Il s’est endormi à 23h30.
Il est maintenant deux heures et j’ai seulement l’impression que ma soirée commence, mais je me fous en l’air. Je flingue mon rythme. En fait non, quel rythme? Je suis neurodivergent aussi et dormir ne veut rien dire.
T’as vu le passage du coq à l’âne TDAH ici?
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L’histoire de Vincent (Sommaire)
Résumé : Vincent a 8 ans et habite dans une station de ski. Il se met à porter des couches parce qu’il fait pipi au lit.
Cette histoire est écrite par mes soins, et est inspirée de mon vécu, d’autres histoires, et de mon imagination. Merci de ne pas la copier ailleurs sans ma permission.
Vous trouvez des fautes de conjugaison, de grammaire, des incohérences ? N’hésitez pas à me le dire ! Il n’est pas toujours simple de bien écrire quand on est plongé dans son histoire.
Bonne lecture.
BJ.
Voici le sommaire :
- Partie 1 : Présentation
Vincent et Mathieu découvrent qu’ils font tous les 2 pipi au lit. Vincent accepte d’aller dormir chez Mathieu le soir de l’anniversaire de ce dernier.
- Partie 2 : Une journée et une nuit chez Mathieu
Après l’anniversaire de Mathieu, Vincent reste pour dormir. Il découvre que Mathieu porte des couches pour dormir et il doit lui aussi en porter une alors qu’il n’en porte pas chez lui.
- Partie 3 : Une après midi au ski
Les 2 amis partent faire du ski avec un pull-ups sous leur combinaison de ski. La maman de Mathieu s’en aperçoit car il a une fuite avec. Elle met au courant Béatrice, la maman de Vincent.
- Partie 4 : Mathieu à la maison
Mathieu vient passer une nuit chez Vincent. Il apporte une couche pour lui, et une 2ème pour Vincent que sa maman lui met pour dormir.
- Partie 5 : Des couches pour Vincent
Une visite chez le docteur va permettre à Vincent de pouvoir reporter des couches. Sa maman et lui se rendent en magasin pour en acheter. Un camarade de classe, Eric, en achète lui aussi. Vincent passe sa 1ère nuit en couchez chez lui.
- Partie 6 : Un trajet en voiture
C’est le départ pour aller chez les grands parents de Vincent. Vincent porte un pants sous son pyjama pour le trajet. Mais il n’est pas très absorbant et sa maman doit acheter des couches de rechange dans une boutique d’une station service sur une aire d’autoroute : des drynites.
- Partie 7 : Chez les grands parents
Vincent passe quelques jours chez ses grands parents. Il porte une drynites pour dormir mais il a des fuites. Aussi sa maman et lui vont dans un magasin médical acheter des changes complets. Vincent se fait un nouvel ami dans un parc : Dimitri
- Partie 8 : Chez Dimitri
Dimitri a une malformation de sa vessie et porte des couches 24h/24 depuis sa naissance. Vincent va passer une journée et une nuit chez lui, et Hélène, la sœur de Dimitri, met aussi une couche à Vincent, de jour comme de nuit. Vincent apprécie d’en porter et encore plus le lendemain matin quand il est un peu malade.
- Partie 9 : Chez son cousin et sa cousine
Vincent passe quelques jours chez Damien et Lætitia. Damien se moque de sa sœur et de Vincent qui font encore pipi au lit et portent des couches, alors que lui ne mouille plus son lit depuis 1 mois. Aussi ces derniers lui font faire pipi au lit grâce à un bol d’eau et Damien doit porter une couche comme punition de s’être moqué et d’avoir fait pipi au lit.
- Partie 10 : L’accident de ski
Mathieu et Vincent font du ski en couche quand Vincent chute. Les secours arrivent et l’emmènent chez le médecin où il passe une radio. Pour plus de sécurité, il doit aller à l’hôpital faire un scanner.
- Partie 11 : A l’hôpital
Vincent passe quelques jours à l’hôpital où il rencontre Noémie qui vient de se faire opérer de l’appendicite. Ils sympathisent et s’aperçoivent qu’ils ont en commun une amie : Virginie.
- Partie 12 : Visites à l’hôpital
Vincent et Noémie reçoivent des visites des parents, de Virginie et de Mathieu. Virginie entend un bruit de plastique et sait que les enfants doivent porter des couches à l’hôpital. Virginie avoue à sa copine qu’elle porte des couches la nuit.
- Partie 13 : Retour à la maison
Noémie et Vincent quittent l’hôpital après s’être échangés leur numéro de téléphone et promettent de se revoir. Vincent met un change complet pour rentrer chez lui et Noémie un pants.
- Partie 14 : Mauvaise odeur
Mathieu passe la nuit chez Vincent mais ce dernier a un accident dans sa couche.
- Partie 15 : Chez Noémie avec Virginie
Noémie invite Vincent à passer la nuit chez elle et il s’aperçoit que Virginie est là aussi.
- Partie 16 : Vacances chez ses grands parents
Vincent va passer quelques jours chez ses grands parents avec ses cousins. Il décide avec Laetitia de mettre une couche pour aller à la pêche.
- Partie 17 : Au parc d’attraction avec Dimitri
Vincent retrouve Dimitri et ils vont passer une journée à Disneyland où il rencontre Lucie, qui elle aussi doit porter une couche comme eux.
- Partie 18 : 2ème journée à Disneyland
2ème journée au parc où les 2 garçons font la rencontre d’autres enfants qui eux aussi portent des couches. Ils passeront par la boutique du parc où ils feront quelques achats.
- Partie 19 : Retour à la maison après les vacances
Vincent est de retour à la maison après ses vacances. Sa maman lui parle des couches et de la visite chez l’urologue le lendemain.
- Partie 20 : Visite chez l’urologue
Béa et Vincent ont rendez-vous chez l’‘urologue et heureusement que Vincent porte une couche. Différents examens sont effectués.
- Partie 21 : 2 copines à la maison
Virginie et Noémie viennent chez Vincent. Tous les trois apprécient d’être en couche et en body.
- Partie 22 : Retour au magasin de matériel médical
Vincent et sa maman retourne au magasin de médical pour prendre des renseignements sur le pipi stop et testent des couches à ceintures.
- Partie 23 : Une nuit chez Virginie
Vincent passe la nuit et la journée chez Virginie en compagnie de Jennifer, et tout ne se passe pas si bien que ça.
- Partie 24 : Vincent va à un mariage
Les parents de Vincent l’emmène à un mariage où il a un accident pendant la cérémonie.
- Partie 25 : Claire emménage chez Vincent
Claire et sa maman viennent temporairement habiter chez Vincent.
- Partie 26 : Soirée chez un collègue du papa de Vincent
Vincent accompagne ses parents à une soirée chez un collègue de son papa. Il teste de nouvelles couches qui ne se révèlent pas aussi pratiques que prévues.
- Partie 27 : Classe de mer, le voyage aller
La classe de Vincent part en classe de mer. Le voyage s’effectue en car et Vincent n’est pas le seul à avoir un problème.
- Partie 28 : Classe de mer, l'arrivée au centre
Vincent et Mathieu sont arrivés au centre et se retrouvent ensemble dans leur chambre. Sam va s’occuper d’eux.
- Partie 29 : Classe de mer, 1ère journée
La classe de Vincent va faire une pêche à pieds, et Noémie ne se sent pas très bien. Sophie, une animatrice, n’est pas très gentille avec elle.
- Partie 30 : Classe de mer, 2ème journée
Une chasse au trésor est organisée dans le parc du centre. Tous irons voir le coucher de soleil, mais l’absence de toilettes pose soucis.
- Partie 31 : Classe de mer, 3ème journée
Sortie en char à voile et en bateau. Joaquim découvre le secret de Vincent.
- Partie 32 : Classe de mer, 4ème journée
Vincent et sa classe vont faire la visite d’un aquarium. Vincent a un accident, tandis que Joaquim, lui, est puni...
- Partie 33 : Classe de mer, 5ème journée
Les 3 garçons décident de mettre une couche mais se font surprendre par Sam. L’après-midi, c’est kayak, bien mal à pris Vincent de porter une couche...
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PYJAMAS
Bel pintu kaca di family mart berbunyi, menandakan seorang pelanggan memasuki toko. Aku melirik sekilas dan mengucapkan dengan riang "Selamat malam, selamat berbelanja".
Sang pelanggan mengabaikanku tentu saja, seperti biasa. Seorang pria muda memasuki toko dan berjalan menuju rak Ramyun. Wajah itu tidak asing, dia memakai piyama krem bergaris. Kalau tidak salah lihat, tag mereknya sempat kubaca sekilas BURBERRY.
Rambutnya agak panjang menutupi hampir alisnya yang tebal, rambut coklat blonde yang indah. Aku mengernyit jengkel, kenapa piyama bisa tampak mewah dan luar biasa dipakai oleh pemuda itu.
Ah dan lihat juga sneaker putih polos itu, wah gila, siapa dia sebenarnya ? Tercetak jelas bahwa sneaker itu adalah GUCCI.
Tapi tunggu dulu, wajah itu jelas tampak tidak asing. Apa aku pernah melihatnya ? Hidung bangir, bulu mata yang panjang, alis tebal, mata tajam, dia juga tinggi bak model. Jelas sekali siapapun akan menatapnya agak lama jika berjumpa di jalan atau tidak akan melupakan wajah itu dengan cepat. Yah tipe wajah yang tidak akan dilupakan dengan mudah.
Tentu saja dia tampan, tanpa berusaha dengan keras pun tetap tampan.
Apa yang kulakukan ? Sejak tadi aku terus terfokus padanya. Tapi aku memang merasa tidak asing dengan pemuda ini.
Sial kenapa sih aku masih kerja di jam setengah sepuluh malam ? Ini seharusnya pergantian shift dengan pekerja pria.
Kemana bajingan itu pergi ? Aku kan jadi kerja lima belas menit lebih lama.
Oh, si pemuda piyama berjalan menujuku. Ekspresinya sangat datar tapi dia kesusahan membawa tumpukan Ramyun di tangannya. Ada apa dengan keranjang belanja ? Aku melirik tumpukan keranjang belanja dekat pintu dan masih sangat banyak.
Apa dia tidak tahu bahwa ada namanya keranjang belanja untuk memudahkan membawa belanjaan.
Aku mengerjap, dia berdiri di depanku. Menatapku heran dan tumpukan ramyunnya sudah berada di atas meja kasir.
"kau melamun".
Ucapnya datar, suaranya yang dalam dan rendah tidak menunjukkan emosi apapun. Wah suaranya, dia sebaiknya berperan jadi raja Joseon saja.
Aku menunduk sekilas dan mulai mengecek belanjaannya, hanya bunyi barcode scanner yang terdengar diantara kami.
"Kau sekelas denganku ya, photography kan?".
Aku mendongak dengan cepat, apa dia bicara denganku ? Tentu saja, tidak ada orang lain di sini dan dia jelas sedang tidak bicara di telepon.
Tentu saja aku masih mencerna pertanyaan itu, apalagi dari jarak dekat begini ternyata bola matanya kelabu, apa itu kontak lensa ? Tapi benar-benar sangat indah.
"kita sekelas, kau tidak tahu aku ?".
Aku masih diam.
"Hei jangan diam saja, ini canggung banget".
Dahinya mengerut, alisnya kenapa tebal sekali.
"Ah, benarkah?". Aku masih berusaha mengingat siapa saja teman sekelasku di kelas photography.
Dia menganguk, rambutnya sedikit bergoyang. Tampaknya lembut, apa dia merawat rambutnya ?
"Kim Taehyung, benar bukan ?". Aku masih tidak yakin.
Tetiba terbit senyum kotak yang sangat lucu darinya. Sangat lucu sampai aku ingin mencetak dan menyimpannya di dalam dompet.
Dia mengangguk masih dengan senyuman kotaknya. Sekarang dia agak menyandar di meja kasir.
Aku melihat lagi tag merek di piyamanya, ah ternyata benar BURBERRY.
"kalau kau, siapa namamu ?".
Aku masih diam, yang kulakukan adalah melihat tahi lalat di bawah mata kanannya, di ujung hidungnya yang bangir, di pipi.
"Aneh banget".
Aku menatapnya dengan kaget.
"Aneh ? Apa ?". Tanyaku tak mengerti.
"Kau terus menatapku, dan diam saja saat aku tanya namamu".
"Apa kau tipe teman sekelas yang sombong ?" Dia bertanya sambil memanyunkan bibirnya dan pipinya agak menggelembung.
Ah hentikan, itu lucu sekali. Hentikan sekarang juga makhluk lucu.
"Bukan begitu". Aku dengan panik menjawabnya.
Dan dia malah terkekeh pelan dengan senyum kotak yang membuat mataku buta.
Sial, aku kenapa.
"Aku becanda kok, habisnya kamu cuma diam saja".
"Jadi, Park Jo Hyun. Berapa semuanya ?".
Aku tergagap, melihat monitor harga dan menyebut nominal harga semua ramyunnya. Sambil memasukkan satu persatu di kantung plastik.
"Sampai jumpa di kelas ya".
Dan begitulah dia berjalan ke luar toko dengan menenteng tas plastik penuh Ramyun, satu tangan dimasukkan di saku celana piyamanya yang mahal itu.
Kenapa dia tahu namaku ? Oh name tag sialan ini.
.
Jam delapan pagi, hari Selasa. Kelas photography, masih terlalu pagi dan hanya ada beberapa mahasiswa di ruangan ini.
Kepalaku tak hentinya menoleh setiap ada orang memasuki kelas ini, hingga datanglah dia.
Masih dengan piyama krem bergaris BURBERRY, kali ini dia memakai jaket denim biru dan tas punggung hitam. Apa-apaan, sungguh tidak adil.
Aku merasakan wajahku memanas begitu aku tahu ke arah mana dia berjalan, iya dia duduk di sampingku.
"Pagi Jo Hyun". Dia menyapaku dan meletakkan tasnya di lantai.
Hah ? Jangan. Tas Gucci itu, jangan letakkan di lantai.
Dia hanya tersenyum tipis, tidak ada senyum kotak pagi ini.
Dan semenjak hari itu, aku sangat menyukai piyama. Maksudku, piyama yang dipakai Kim Taehyung.
__Whale.
A short story no one asked for.
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