#il a plu du sable
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6h05. Une adorable boule de poil saute dans mon lit. Je la touche... beuuuuurk! Mouillée et si sale qu'on aurait dit une serpillière.
6h10... douche du chat. Shhhhshhchhhhh meoooaaarrrrrrrrrr shhhhchhhhhhoaaarrr... il était pas vraiment content. Moi non plus.
Y'a des matins qui démarrent trop vite, même pour un chat
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j'y pense....... ("having is not as satisfying as wanting" spock roi du pinning, spirk l'og de tout les pairings j'ai besoin d'aide c'est troooop c'est trooooooop)
#j'y repense aussi le sondage destiel vs spirk où j'avais voté spirk parce que c'est. l'origine de tout no joke. sans même avoir vu grand#chose d'eux deux. et maintenant danny devito as frank reynolds “i get it” gif.#même en ayant été victime d'spn et du destiel et sans même avoir commencé star trek à l'époque je savais que rien de peut les battre#DU PIPI DE CHAT COMPARÉ VREUUUUMENT#ils ont pas un “faut quje baise ou jcrève puis finalement rouler dans le sable avec mon captain en se battant suffit” destiel. à quoi bon.#même pas tu les compare ouste ouste#plus jamais j'entends destiel et spirk dans la même phrase 🔪🔪🔪🔪🔪🔪 spn m'a fait trop de mal + trop d'la d eux comparé#bref#pardon jdeviens zinzolibar parce que jpeux pas extérioriser#enfin même si je pourrais je deviendrai quand même zinzolibar
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En ce Jour du Souvenir, portons le coquelicot et accordons une minute de silence pour tous les soldats qui se sont sacrifiés pour notre liberté! N'oublions pas non plus d'honorer nos vétérans et ceux qui servent le pays car ils le méritent. En espérant que l'avenir nous apportera des temps de paix, voici un poème de Paul Eluard:
Sur mes cahiers d’écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable sur la neige J’écris ton nom Sur toutes les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J’écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J’écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l’écho de mon enfance J’écris ton nom Sur les merveilles des nuits Sur le pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J’écris ton nom Sur tous mes chiffons d’azur Sur l’étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J’écris ton nom Sur les champs sur l’horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J’écris ton nom Sur chaque bouffée d’aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J’écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l’orage Sur la pluie épaisse et fade J’écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J’écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J’écris ton nom Sur la lampe qui s’allume Sur la lampe qui s’éteint Sur mes maisons réunies J’écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J’écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J’écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J’écris ton nom Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J’écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attentives Bien au-dessus du silence J’écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J’écris ton nom Sur l’absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J’écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l’espoir sans souvenir J’écris ton nom Et par le pouvoir d’un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Liberté.
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" Le jour où je vais disparaître, j'aurai été poli avec la vie car je l'aurai bien aimée et beaucoup respectée. Je n'ai jamais considéré comme chose négligeable l'odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c'est bien, mais l'exaltation du présent, c'est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l'on voudrait avoir, on ne s'émerveille plus de ce que l'on a. On se plaint de ce que l'on voudrait avoir. Drôle de mentalité! Se contenter, ce n'est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l'on a, c'est un savoir vivre". Olivier de Kersauson
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Ça ne sert à rien de lire ce qui suit, je le note surtout pour me souvenir de mon état qd je relirai tout ça en janvier prochain.
Tout a commencé par une vieille voiture jaune, apparemment rare, que l'homme veut retaper.
La voiture est en ce moment garée dans l'abri de jardin. Pour qu'elle soit garée là, on a enlevé tous les outils, vélos etc. et on les a mis sous l'abri à bois que j'avais construit seule l'année dernière souvenez-vous j'avais fait un billet tellement j'étais fière d'avoir fait ça pour y ranger le bois. Bah c'est rempli d'outils, de vélos, de motos, d'un quad, et de zéro bois.
Donc on a fait une grande dalle de béton devant l'abri de jardin. Ça n'a l'air de rien mais ça demande de:
- Faire un trou: retirer la terre sur 30 cm. Stocker cette terre, le tas est immense.
- commander des tonnes de graviers et de sable, qui seront livrés à l'avant de la maison alors que l'abri de jardin est à l'autre bout du terrain.
- déplacer ces tonnes de graviers et de sable vers l'arrière du jardin. Des brouettes et des brouettes.
- stocker 50 sacs de ciment de 25kg chacun au sec. Donc dans l'entrée de la maison parce qu'il y a rien de sec à l'extérieur et l'abri de jardin est envahi par la voiture. Donc enlever de cette entrée le meuble, le porte-manteaux, les manteaux, les chaussures, les trucs qu'on trouve dans une entrée de maison. Donc avoir tout ça en vrac dans la maison.
- Remplir la moitié du trou d'une sorte de gravier fin qui s'agglutine qd on l'écrase. Écraser tout pour que ce soit bien plat. Mettre un plastique au dessus.
- Aller chercher une bétonnière (elle a 50 ans) avec la remorque. 1h de route. Pire trajet de ma vie, je vais faire de la tachycardie si j'y repense. Et je ne parle même pas de comment on l'a mise dans la remorque. Il va falloir faire le chemin inverse qd on va la rendre, ça me rend déjà malade.
- faire du béton. 10 pelles de graviers+ 8 pelles de sable + un seau de ciment+ 1/2 seau d'eau. Puis transporter cet amas dans le trou. 15 cm d'épaisseur de béton à mettre de niveau et à lisser. Des brouettes et des brouettes.
- laisser sécher.
Dans deux semaines, la dalle durcie pourra accueillir sa voiture. Du coup l'abri de jardin pourra retrouver les vélos, le quad, les motos, les outils,etc.
Du coup mon abri pour le bois pourra accueillir du bois. Qui poireaute sans abri depuis mars dernier.
Alors. Le tas de terre. L'immense tas de terre. Il y a un projet qui est de décaisser un sentier pour l'instant en graviers, se débarrasser de tout ça et y mettre la terre toute propre du fameux tas. L'autre projet est de laisser les graviers et se débarrasser de la terre mais je sais qu'un jour on fera ce sentier en herbe et on devra acheter de la bonne terre. Alors que là, elle est là. Donc ça va me casser les couilles mais ce sentier est le prochain projet d'envergure. Un sentier de 60m de long, pour que la voiture jaune puisse aller et venir de son abri jusqu'à la route - quand elle roulera. A l'emplacement des roues, on va mettre des dalles creuses pour que l'herbe continue de pousser mais que le sol ne s'écrase pas, et éviter les grosses flaques. En gros, il va falloir creuser sur 20 cm de profondeur, mettre 10 cm de stabilisé, puis 5 cm de terre puis les dalles creuses, et remplir ces dalles de 5 autres cm de terre, puis semer de l'herbe. Je veux aussi que ce soit un couloir pour que les animaux du champ en face de la maison puissent rejoindre la prairie de l'autre côté de la maison quand les tracteurs sont dans les champs. Tous les voisins ont des chiens, il n'y a que chez moi que la faune est tranquille (à en croire par la quantité de lapin et de hérissons qui se réfugient).
Autre projet plus sympa et rapide pour cet automne, refaire un gazon, pcq là ça a été le chantier trop longtemps. Et aussi, planter des bulbes de crocus dans l'herbe.
Faire des abris pour les hérissons déjà maintenant avec les feuilles mortes, pour augmenter la quantité de bestioles à ces endroits là.
Élaguer le chêne en janvier.
Délimiter un nouveau sentier de brouette pour la gestion du bois l'année prochaine. Pcq on va recevoir 8 stères à fendre courant février.
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Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité ! Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre.
Olivier de Kersauson- (Promenades en bord de mer et étonnements heureux)
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TW — dépendance, drogue inventée, médicamentation, violence médicale, oppressions.
La pilule rouge.
Ou l'Érythryle ; pilule nocturne, ne sort qu'aux heures crépusculaires. Rouge de couleur, se trimballe sur toutes les langues comme un mauvais ragot. On la trouve dans les lieux glauques des catacombes et les soirées qui iront d'after en after. Elle te mâche les synapses, les ports picorés d'un bruit blanc nauséeux. L'effet te hit façon camion propulsé sur l'A1. Même pas vingt minutes plus tard, c'est le feu d'artifice. L'Érythryle pulvérise les effets de la Kataline ; elle libère l'altération, en double la puissance. C'est la façon la plus connue de passer au-dessus du traitement sans se faire choper. Ça permet, pour huit heures par prise, de vivre notre "vraie vie". Le truc, c'est que ça a tendance à la raccourcir aussi. Jongler entre les deux traitements, ça en perd certain. Le hangover percute tout aussi fort ; la chute vaut le voyage askip'. Celles et ceux qui la prennent ont tendance à remettre ça. C'est pas vraiment la pilule qui rend nerveux·se, c'est la sensation de liberté qui en découle. Ça vire le mot cage avant thoracique, alors on prend une bouffée d'air à poumons bien ouverts. C'est difficile de se renfermer, après, dans son étroite boîte de silence grise.
La pilule bleue.
Ou Kataline ; minuscule démon rond, bleu délavé. À une époque, ils se croyaient joviales à graver un papillon dessus. Maintenant, c'est tout plat, c'est encore plus déprimant. On se lève, le soir, à 3h du mat : « fais chier, j'ai oublié mon médoc ». Une pilule au réveil, une avant d'aller dormir. La Kataline, plus fidèle que le marchand de sable. Au début, tes parents te forcent à la prendre avec de l'eau ; le bol de chocolat pour les plus fantaisistes. Puis, au fil des années, elle se marie avec tout : jus d'orange, fond de coca débullé, Leffe tiède de soirée. Une liste d'effet secondaire, t'as peur. Un vrai jeu de hasard, une issue différente pour chaque altération. Mes cornes ont arrêté de pousser, mais j'ai de violentes migraines ; parfois, je vois le monde en couleur télé qui capte pas. Ils disent qu'elle arrête l'altération. La vérité, c'est que ça la détraque, la ralentit. Le corps n'aime pas. Il se rebelle. C'est comme ça, on s'y fait.
C'est "obligatoire" pour tout·e altéré·e d'être sous Kataline. Elle est délivrée sous ordo', check up du toubib tous les ans : examen du foie, révise-tout. Elle se trouve remboursée par la sécu, enfin depuis peu. S'ils te grugent à l'arrêter, c'est l'avertissement, l'amende, puis la prison.
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Eh, j'espère que le terrier valait le coup, parce que vous avez été unanimes, ça promet ! On a déjà balancé les deux annexes principales, oép. Il reste des annexes secondaires et les PLs du forum. Oui, déjà. On parle d'ouverture du discord du projet en fin de semaine. Notre travail commence à bien se terminer, c'est en super voie. Du coup, on vous laisse le choix pour le post de demain. On en profite pour vous remercier de l'engouement sur le projet, ça nous fait super plaisir. BREF, à demain, même heure, pour la suite de nos conneries (ptdrr ça y est, ça se pense youtubeurs), Putainement votre, Maxeine & Ekkymose.
#rpg francophone#rpg forum#forumactif#rpg faceclaim#rpg fantastique#rpg city#projet rpg#projet forum
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2019
Je pense que nous sommes juste passés à côté de quelque chose de bien
Son amour pour moi avait fait ses cartons
Tout était soigneusement disposé, rangé dans les pièces et les couloirs de sa mémoire ...
Des souvenirs, des moments, des instants, des photos ...
Éparpillés partout sur le sol,
une vie , nos corps à corps , la tempête qui nous avait encore plus soudés l’un à l’autre et qui nous avait, ironie de la vie, au final séparés ... nos rêves de balades, de voyages ... nos éclats de rire, nos peurs, des chansons , nos quelques espaces tel un couple normal , nos prises de bec , nos fantasmes et nos jeux érotiques , nos quotidiens entremêlés... nos pas de deux ...
Tout notre fouillis d’amour était désormais bien rangé, empilé, répertorié, prêt à recevoir la poussière des années ...
Je restais là... seul ... à vouloir tout garder d’elle : sa force, son humanité, son romantisme, sa sincérité, sa sensibilité, son museau de petit lapin, sa chevelure , sa force érotique, sa sensualité... mes doigts gardaient en eux le contact de sa peau ... j’avais la mémoire de son corps dans mes bras... son poids sur moi ...
nous nous étions tombés dessus ... la soudaine rencontre de deux âmes et de deux corps, une cohésion inattendue qui se transforme parfois en terreur et en détresse car elle libère trop d’énergies inconnues ...
La pluie et le froid tombait sur ma vie, je contemplais l’océan où j’allais errer, la plage immense où j’allais y chercher le petit grain de sable qu’elle disait être...
Me lever le matin désormais sera avec un vide dans la poitrine, j’étais imprégné d’elle,ce n’était pas la force de gravité qui me maintenait au sol c’était elle; là où elle était je voulais être , respirer le même air , bouger si elle bougeait ...
Il me restait mes chansons, mes livres, les petits vices de la vie comme disait le colonel Lawrence dans le désert , de simples plaisirs tel le café brulant à l’odeur de cannelle, une douche brûlante pour dénouer les muscles , courir ... m’enivrer le corps pour que l’esprit ne pense pas ... plus ... au-delà des responsabilités qui étaient les miennes ...
J’avais essuyé de trop nombreuses tempêtes et traversé assez de batailles pour savoir que l'amour était presque une maladie, une notion issue des temps anciens, d'une époque où le monde était à la fois plus jeune et plus sage.
Le chemin du jardin de mon cœur en était caché, perdu pour ne plus laisser une autre me séduire, me conquérir, s’installer dans ce lieu .
Elle était mon dernier amour ... celui que je cherchais depuis ... que ce mot avait planté ses racines en moi ...
Je ne sais pas si je pourrais
De nouveau tout recommencer
Elle aurait du mal la prochaine
A comprendre ce qui m’enchaîne
Une autre peau, une autre odeur, une autre personnalité ... changer de lit changer de corps ... à quoi bon ...
Il ne me restait plus qu’à plonger en moi-même pour aller au bout de la douleur, espérer qu’avec le temps ... va ... je pourrais contenir la brûlure de l’absence .
Comment l’évacuer de ma vie ... comment lui barrer le chemin de mes pensées... Cette petite chaîne en or, ce pull, cette dernière bouteille de parfum qu’elle m’a ramené de voyage ... ces tout petits riens qui impitoyablement la faisaient surgir ... elle avait façonné une part de ma vie... sans doute bien plus grande qu’elle ne pouvait l’imaginer ... je pouvais parler d’intrication assurément ... elle avait réussi ce tour de force de s’immiscer partout ... elle avait été telle l’eau qui gèle dans le rocher et le fait éclater ... elle était allée là où personne n’avait pu aller avant , elle avait même réussi à apposer une fissure tout au fond ...
J’étais tel Narcisse devant la glace de la salle de bain à chercher son image ... plus d’une fois l’idée que nous étions frère et sœur était venue aux gens... elle était non seulement mon âme sœur mais bien plus ... si j’étais né fille j’aurais aimé être elle ...
Elle avait beau tenir mordicus que nous étions différents... je ne pouvais que sourire ... à croire qu’elle essayait de se convaincre ... c’était sans doute ce qu’elle faisait d’ailleurs ... pour pouvoir se détacher de moi ... Elle ne voyait pas que nos différences se reflétaient ...
Pourquoi est-elle partie...
Elle disait qu’elle était une sale gamine ... oui je crains qu’elle n’eut été lucide envers elle-même ... bien qu’il m’en coûte de le reconnaître ...
Les vides, les espaces entre les lignes, les non-réponses, les non-dits ... éparpillés dans nos échanges épistolaires quelque soit le support ... me laissent exsangue.
Je suis comme un marin devant l’océan à qui on reprocherait la tempête qu’il a traversé ... elle n’a pas supporté ... et la voilà elle dans sa propre tempête et je sais au fond de moi que je ne peux rien faire ...
Certains chemins s’arpentent seul ... elle a fait des choix et les conséquences la submergent ... nonobstant la peur desdites conséquences, possibles ou probables , bien que ce que l’on désire ou ce à quoi on aspire se trouve juste de l’autre côté de la peur ... il y a aussi elle, elle avec elle-même ... telle une lame de fond ... mais oui hélas c’était bien une lame de fond de son passé qui remontait ... dont je ne connaissais que trop bien la force ...
Elle avait aimé celui que j’étais ...
J’aurais voulu être lui encore ... rester moi ... cet autre moi que je n’étais plus ... du moins plus complément ... j’étais sorti de ma tempête et je pouvais dire qu’elle m’enveloppait comme un manteau que j’acceptais comme une évidence ... je savais que j’allais voyager en solitaire ... mais en y réfléchissant je l’avais toujours été... quand à elle, elle était trop sauvage ... il lui fallait faire la paix avec elle-même ... On ne pouvait rien changer au cours des choses; autant jeter des pierres à la lune ...
je me sentais comme une maison qui se chercherait son fantôme et qui l’avait trouvé ... je me sentais hanté de sa présence ...
Quelle ironie , la vie redevenait supportable et se transformait en une chose qui méritait d’être vécue avec passion, énergie et un espoir dont le plaisir ne dépendait plus de la simple fatalité ... et elle me laisse ... là... presque comme si elle avait été qu’un rêve ...
Une vieille légende raconte que quand les dieux veulent vous punir ils exaucent vos prières ... je désirais trouver celle qui me ferait toucher ce qui se cachait au sein des vieilles histoires telles Tristan et Iseut, Lancelot et Guenièvre ... même malgré la morale des autres ...
Elle ne l’aime plus
C’est du passé
N’en parlons plus
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Sachant que le budget 2025 doit être voté *avant* la fin de l'année 2024, à votre avis, Macron va-t-il :
- nommer un Premier ministre qui composera un gouvernement, lequel rédigera un nouveau budget qui devra plaire à tout le monde pour être voté à l'Assemblée, tout ça avant le 31 décembre et nous sommes déjà le 4
- nous laisser poireauter et en attendant, réutiliser le budget 2024 avec tous les problèmes que ça implique (inflation toussa), sachant qu'il faut quand même que ça soit validé par une commission mixte paritaire (représentative de la composition du Parlement, mdr ça va être drôle ça)
- se voter les pleins pouvoirs et faire appliquer ce qu'il veut, comme ça s'est plié on en parle plus ?
Dans tous les cas: on est pas sortis du sable
avec un peu de chance on aura une réponse avant que le poll ne soit fini
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les ouvriers sont au dressage le chef gueule sur un gars pour lui donner l ordre d aller chercher du materiel celui qu a la brouette c est le plus con pas capable de poser les paves comme y faut il est bon qu a aller chercher le sable. le meilleur c est le tondu a blanc il est obeissant fier d etre soumis a son chef disponible 24/24 pour travailler. les gars ont ordre de montrer les semelles de leurs chaussures de securite. a la fin de la journee le conard qu a la brouette sera puni il devra lecher les semelles de tous ses collegues putin je voudrai bien prendre la punition a sa place
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Voici le visage du commissaire du peuple délégué à la censure pour la France, visa d’exploitation UE n°8563447. Cette sympathique tête d’abruti porte de nombreuses casquettes, toutes déformées par sa macrocéphalie gênante et sa réthorique de jésuite marxiste.
Il s’appelle Christophe Deloire et il est à la tête (haha) de Reporters Sans Frontières, la fameuse assoce qui contribua, en des temps reculés, à la défense de quelques correspondants, photographes et autres reporters menacés, engeôlés, torturés... parfois butés. On se souvient d’ailleurs que son co-fondateur, l’affreuse girouette Ménard, y agit pendant de longues et néanmoins utiles années. ONG de terrain à sa création, “RSF” est progressivement devenue une sorte de chapelle morale à la con pour gauchiste en phase de recyclage, profil 45/55 ans, directeur des rédactions, déjà un divorce, une bicoque à Ré et les gosses HP en garde partagée. Aujourd’hui, “RSF” est une petite usine à gaz armée d’un budget annuel de huit millions d’euros (subventions publiques, mécénat et “fondations” sorosiennes à hauteur de 80 %), finançant la bagatelle de trois millions de “ressources humaines”. C’est vous dire si on est contents pour eux, leurs émoluments et leurs notes de frais.
Cependant, notre carriériste ne se contente pas de ce job, car il est aussi directeur et vice-président du Centre de Formation des Journalistes, sorte de Saint Cyr pour futurs encartés du mainstream, escabeau vers la dynamique cooptatrice si chère à nos élites. Last but not least – comme écrivent encore les rescapés de la presse des années 2000, il a récemment été désigné pour occuper la tête des États Généraux de l’Information, énième pustule macroniste sensée réfléchir à la meilleure façon de bâillonner tout ce qui ne récite pas correctement la doxa informationnelle.
Ce tout petit Monsieur, cette authentique pompe à merde pour paraphraser Magritte dans son adresse à un critique acerbe, a conduit de main assurée une opération contre l’Arcom, via le Conseil d’État, au motif que la chaîne CNnews dérogerait de manière éhontée à la nécessaire représentation, sur son antenne, de sensibilités politiques diversifiées. Oui, CNews ne proposerait qu’une longue succession d’éditos et de pseudo-débats ultra fachos, indignes de la rayonnante démocratie française. Ne serait-il pas temps de sucrer leur fréquence à ces fumiers réacs, pense en substance ce petit Béria de bac à sable ? Cependant, es-tu certain de ne pas t’être trompé de cible ? Ne pensais-tu pas plutôt à la totalité des médias du service dit public ? Franchement, on se demande quel genre de promesse on a bien pu te faire pour que tu t’abaisses à ce point. Au pouvoir qui nous accable, tu sers le plat le plus dégueulasse qui soit, celui de la censure d’épuration, celle qui traduit un désir de vengeance amère. Ce qui te fait chier, Christophe Deloire, c’est qu’un média que tu ne pourras jamais contrôlé – et qui dit le contraire de ta Pravda publique en exposant les faits de la réalité de ce pays, puisse encore seulement respirer et laisse respirer des millions de Français. Ces Français-là – qui représentent quand même plus de la moitié des suffrages exprimés – te conchient, toi et ta clique de plumitifs vendus à un projet extra-territorial dont tu sers les desseins absurdes en pensant honorer tes vieilles lunes socialistes.
Tu voudrais vivre comme Robespierre mais tu as peur de l’échafaud, tu voudrais mourir comme Marat mais tu ne te feras qu’enculer sous la douche. Pauvre toi, petit homoncule au crâne rempli de sérum égalitaire. Tu te crois pur et vertueux alors qu’il suffit d’observer ton regard vide pour comprendre que tu agis sur le seul fil de ton ambition démesurée. Ton envie de nuire est inversement proportionnelle à la taille de ta bite. Comment je le sais ? Sur le plateau de CNews où tu pensais pouvoir faire le bravache, tu t’es retrouvé le slip sur les chevilles, bizuté par d’ignobles nazis en colère. J’ai bien ri à observer ton désarroi. Tout compte fait, je te remercie pour ce moment passé chez ton vieux pote Bolloré.
J.-M. M.
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Pour le ao3 wrapped: 27 et/ou 29 ! :D
27. What do you listen to while writing?
ça dépend de ce que j'écris ! Si c'est du Star Wars, j'ai une playlist qui comprend une sélection des remix de la musique Star Wars par Samuel Kim ou la BO de la série Obi-Wan Kenobi. Sinon, je me partage entre Lofi Girl et le site My Noise, en fonction de de ce dont j'ai besoin comme ambiance/bruit de fond
29. Favorite line/passage you wrote this year?
Cette question est merveilleuse, parce que j'ai pu me rendre compte combien j'ai adoré ce que j'ai écrit cette année :D :D :D Mon égo est aux anges, merci pour lui. Je crois que je pourrais faire un Director's Commentary de tous mes fics.
Je vais faire une sélection douloureuse, mais j'en mets quand même plusieurs !!
D'abord Genshin !
Dans la partie 3 de De l'harmonie (De l'eurythmie), la scène où Kaveh et Alhaitham posent les fondations de leur nid, et ce petit bout tellement visuel dans ma tête : "
"Mais même Alhaitham eut un temps d’arrêt lorsque Kaveh se débarrassa de ses pantoufles et monta sur le tapis, faisant un petit tour satisfait sur lui-même, caressant la fibre des orteils. Il leva alors les yeux vers lui, brillants, et lui tendit la main.
— Viens voir comme il est doux !
Sans attendre de réponse, il lui saisit le poignet et le tira. Leurs glandes exocrines se touchèrent et leur arracha à tous les deux un gémissement vite étouffé. Mais Kaveh ne le lâcha pas et Alhaitham ne chercha pas à se dégager. La poitrine bloquée, il retira ses pantoufles à son tour et monta sur le tapis. La matière l’intéressait moins que la satisfaction de Kaveh, que ses doigts serrant les siens et son odeur qu’il mélangeait sans hésitation à la sienne."
(Et les blagues pourries de Cyno.)
*
Dans Et à la nuit s'épanouit, ce passage :
"— Qu’est-ce qui te fait croire que j’ai envie de partir ?
Il indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait accrochés, le canapé qu’il avait fait retapisser, la bibliothèque où se trouvait sa table à dessin, et enfin la cuisine où bien trop de choses avaient été changées depuis son emménagement pour que ça vaille la peine de préciser quoi. Vue de l’extérieur, la crainte d’Alhaitham semblait effectivement ridicule. Mais encore une fois…
— Peut-être le fait que tu fasses ton budget pour savoir quand tu pourras déménager, répondit-il, irrité.
— Peut-être que j’attendais que tu me dises que je pouvais rester ! rétorqua Kaveh sur le même ton.
Alhaitham indiqua, comme si c’était une évidence, l’un des tableaux qu’il avait laissé Kaveh accrocher, le canapé qu’il l’avait laissé retapisser, la bibliothèque où il avait fait de la place pour sa table à dessin et, enfin, la cuisine où Kaveh avait changé bien trop de choses pour que ça vaille la peine de préciser quoi."
(Et toute la scène entre Alhaitham et Nahida !!! Je l'aime fort !)
*
Côté Star Wars :
Dans la série des De l'espoir, la scène où Luke touche le Côté Obscur dans Les braises :
"Mal à l’aise, Luke reprit la méditation. Ce fut plus difficile qu’il s’y attendait. L’immersion qui lui venait si naturellement d’habitude lui échappait, le monde paraissait assourdi. Sous ses pieds, le sable glissait, traître, un adversaire plutôt qu’un compagnon. Le troisième jour, l’irritation de Luke fut à son paroxysme. Les yeux fermés très fort, imaginant le désert autour de lui, il chercha à nouveau la sérénité, mais les dunes l’étouffaient, cachaient la vie, s’étendaient trop loin et l’empêchaient de toucher l’horizon, le privaient de la lumière des soleils levants.
Il serra les dents, il ne voulait, pouvait, pas retourner auprès de Ben sur un tel échec, alors que ses pieds trébuchaient, alors que le désert se dérobait à lui… Il ferma les paupières encore plus fort et se dit que ce serait bien plus facile si les dunes dans sa tête cessaient de l’étouffer… Dans un élan de colère, il s’imagina les faire disparaître. Une tempête de sable changeait leur forme, pourquoi ne pourrait-il pas faire de même ? Les aplatir, les disperser, s’en débarrasser ! Elles ne lui servaient à rien !
Ses dunes imaginaires s’effondrèrent. Le sable s’éparpilla d’un coup. Le silence se fit dans sa tête. Mais c’était un silence inquiétant, celui d’un lieu mort, où plus une créature ne vivait, toutes chassées de chez elles par une violence inimaginable, ou pire : tuées.
Luke eut froid.
Puis honte."
*
La toute fin de À l'aube de notre premier jour :
"Main dans la main, ils traversèrent le long couloir blanc du palais royal.
Anakin n’arrivait toujours pas à mettre Obi-Wan dans une case, ni de confiance, ni pas, ni parfois oui, ni parfois non. Indéfinissable.
Mais il était sans équivoque dans le camp d’Anakin, songea ce dernier avec une inébranlable certitude.
Et il le serait toujours."
*
Dans Et tout au bout, ta main tendue, les deux scènes où on voit Anakin lutter contre le Côté Obscur, et à choisir, celle-ci :
"C’est trop tard, tu ne peux plus te cacher, tu t’es toi-même démasqué. Dis-moi quand, enfin, dans ta tête, je n’ai plus été un padawan pour de vrai, dis-moi, dis-moi, dis-moi…
Et la réponse vint : sur un fond de chagrin dévastateur, celui d’Obi-Wan, l’image d’Anakin aux yeux dorés, le visage dur et l’aura glaciale. D’un coup, il se retourne et découpe Sidious, une fois, deux fois, et il tombe à genoux, haletant. Son cri de rage, de douleur, et la voix rauque avec laquelle il hurle en boucle :
— Il n’y a pas d’ignorance ! Il y a la connaissance ! Il n’y a pas de passion ! Il y a la sérénité ! Il n’y a pas de chaos ! Il y a l’harmonie ! Il n’y a pas de mort ! Il y a la Force ! Il n’y a pas d’ignorance, il y a la connaissance, il n’y a pas de passion, il y a la sérénité ilnyapasdechaos…
Encore et encore, jusqu’à ce que sa gorge douloureuse le force à murmurer, jusqu’à ce que le mantra l’ancre à nouveau dans la réalité de la Force, que la chaleur du Côté Clair brûle le Côté Obscur qui empoisonnait sa signature, qui embrouillait ses pensées, qui nourrissait le noyau de fureur permanente au fond de lui.
Enfin, il lève les yeux, bleus, immenses, magnifiques. Et sous ceux d’Obi-Wan ne se trouve plus son padawan succombant au Côté Obscur, mais un homme extraordinaire."
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Dans Les Voies, il y en a tellement que j'aime que c'est une torture, mais disons, pour les Voies divergentes, la première scène de la fic en elle-même, encore une fois Anakin vs le Côté Obscur :
"Le combat s’écoula dans un brouillard givrant, il n’existait que le choc du bleu sur le rouge, que les grognements de son ennemi qui reculait, que la puissance froide de la Force dans ses veines, dans chaque cellule. Les Sith contrôlaient la Force ? Les Jedi la servaient ? Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Il était la Force, il était son enfant, sa forme de chair, il était sa main et sa volonté !
Il abattit le traître. Le transperça de sa lame, l’ouvrit en deux. Puis il saisit cette vie pervertie avant qu’elle s’éteigne et s’offrit le plaisir de la détruire lui-même.
Il ne resterait rien de Sheev Palpatine, de Dark Sidious, pas même l’écho de sa conscience dans la Force.
— …Walker ! Skywalker !
Anakin se retourna et frappa, et sa lame en rencontra une autre, violette, inflexible. Mace Windu. Windu qui aurait dû être là, Obi-Wan aurait survécu s’il avait été là, mais non, il avait sûrement fallu encore discuter et palabrer, pour qu’il arrive aussi tard ! Qu’avait-il besoin des Sith et des Jedi ? Le mieux était peut-être de reprendre à zéro. Tous les éliminer et recommencer. Windu ne le laisserait pas faire, et le combat serait difficile, plus dur que contre le traître. Mais au bout du compte, ce n’était qu’un Jedi. Les Jedi étaient au service de la Force, à SON service, et Windu plierait."
Pour les Voies convergentes, honnêtement 90% du chapitre 1, mais extrayons ce passage :
"— Je vais méditer un peu avant de manger. Est-ce que tu veux m’accompagner… ?
Parfois Anakin était d’humeur, parfois non, et parfois il se joignait à lui en cours de route. Il hocha la tête, alors ils s’installèrent face à face sur le tapis de méditation. Anakin tendit les bras, paumes offertes, et Obi-Wan y pressa les siennes avant de fermer les yeux. Ils n’avaient pas toujours besoin de se toucher, mais ça aidait Anakin et lui n’allait certainement pas le lui refuser, même si ça lui rajoutait une touche de difficulté.
Le contact de leurs callosités, un peu décalées à cause de la différence de taille et de forme de leurs mains, la dureté de la prothèse d’Anakin sous la douceur du gant de nanosoie, la chaleur constante qu’il dégageait, le bruit de son souffle tout proche, tant d’éléments perturbateurs dont se détacher.
Mais Obi-Wan, donc, avait de l’entraînement."
(Et aussi Anakin et le Vaapad, tellement) (et ce bout-là dans le chapitre 8 :
"Avec ce manque de dignité typique qu’Anakin invoquait chez lui, Obi-Wan lui mordit l’épaule. Étant donné les mains empoignant ses fesses, ce geste ne put que dérailler la conversation et les pousser à s’unir de façon bien plus prosaïque et profane que dans la Force.
Mais tout aussi transcendante.")
*
Dans Le Cercle littéraire des défenseurs de la galaxie : Tous les résumés de Cœurs de Kyber XD XD et :
"— Alors oui, continua Obi-Wan, sans merci. J’ai regretté de t’avoir pris comme padawan, et de nombreuses fois.
Inexplicablement, après cette déclaration d’une violence insoutenable, il esquissa un petit sourire. Puis il tourna un peu la tête, regarda Anakin du coin de l’œil.
— Aussi souvent, j’imagine, que tu as regretté que je ne sois pas Qui-Gon Jinn.
Il ne retenait vraiment pas ses coups.
— Mais quelle importance ? continua-t-il, les mains dans ses manches, le regard perdu à l’horizon. Quelle importance, ce que nous pensions et ce que nous regrettions il y a toutes ces années, comparé à tout ce que nous avons vécu ensemble, à tout ce que nous avons partagé ? Quelle importance ce que nous étions à l’époque, comparé à ce que nous sommes aujourd’hui ? Aujourd’hui, je ne regrette rien. Je suis simplement heureux de te connaître, heureux que tu me sois cher et de t’être cher. Et reconnaissant à Maître Qui-Gon de m’avoir donné la chance de te rencontrer."
(Mais aussi la scène avec Rex. La scène avec Rex <3)
*
Dans De la Cosmographie :
"Obi-Wan en profita pour le détailler, un plaisir qu’il s’accordait rarement. En partie pour ne pas nourrir l’ego déjà bien établi de son compagnon, en partie parce qu’il s’en était empêché si longtemps. Les boucles châtain aux reflets dorés qui ornaient son front, les sourcils épais qui lui donnaient si facilement l’air ombrageux. Ses yeux clairs, invisibles à cet angle, mais qu’il imaginait si bien. Son profil parfait, avec ce nez par miracle encore droit, le trait marqué de sa mâchoire où Obi-Wan aimait tant passer la bouche le matin, quand sa peau était délicieusement râpeuse. Ses lèvres pleines, encadrées de sillons triangulaires qui se creusaient quand il souriait, et qui révélaient déjà quel serait le dessin de son visage vingt ans plus tard.
Obi-Wan espérait le voir, de tout son cœur.
Il serait magnifique, son Anakin, avec des rides au coin des yeux."
*
Dans Sous vos yeux, la scène où Obi-Wan dit à Anakin qu'il a failli quitter l'Ordre pour lui me fait bêtement rire :
"— La première fois, évidemment, à ton arrivée au temple…
— Évidemment ?
Il se redressa à son tour face à lui, semblant surpris.
— Je croyais que tu le savais. Si le Conseil avait refusé de faire de toi un Jedi, je t’aurais enseigné à te servir de la Force en dehors de l’Ordre. Maître Qui-Gon avait raison en disant qu’il fallait que tu sois formé.
À nouveau, Anakin dut complètement réarranger sa vision des choses.
— Tu ne m’aimais même pas, à l’époque, lâcha-t-il sans le vouloir. Et, ajouta-t-il, ne me sors pas que les Jedi aiment tout le monde, je connais la théorie . La réalité, c’est que si tu pouvais faire tomber discrètement le sénateur de Geminia de sa nacelle, tu le ferais.
— Il serait bien moins compliqué de le faire destituer, rétorqua Obi-Wan d’un ton terriblement raisonnable, mais un sourire frémissant au coin des lèvres. Néanmoins, les Géminians ont voté pour lui et il est de notre devoir de respecter la volonté du peuple, quelle que soient nos réserves.
Anakin avait une tout autre opinion, mais il avait appris à choisir ses batailles.
— Quoi qu’il en soit, tu étais un être vivant, digne de mon dévouement comme le serait tout autre.
— Mais tu m’aurais fait tomber de la tour du Temple si tu avais pu ?
— Tu avais neuf ans, rappela Obi-Wan sévèrement.
— OK, OK, murmura Anakin en mettant la main sur sa nuque avant de l’embrasser pour détourner son attention du fait qu’il ait jamais été un enfant.
Il remarquait quand même qu’Obi-Wan n’avait pas nié qu’il l’aurait bien balancé par la fenêtre, s’il n’avait pas eu seulement neuf ans."
Voilà, pardon, je me suis emballée xD
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Last Six Sentences
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thank you @bluntblade for the tag!!! Those sentences were written less than a hour ago, they’re still warm :3
* 𓊝 * NAUTILUS (TV) * 𓊝 *
Dakkar poussa plus loin dans ses souvenirs; c’était important. Les soldats avaient répondu quelque chose à propos de Mya et Renouka, il en était sur, mais les paroles exactes s’enfuyaient comme du sable entre ses mains. La migraine enfla encore et encore, faisant tournoyer la pièce et le forçant à prendre appui sur le mur jusqu'à ce que, à bout de souffle, Dakkar perdit la piste du souvenir qui le narguait aux frontières de sa conscience.
Son regard tomba sur un des symboles qui avaient attiré son attention plus tôt alors qu’il reprenait son équilibre. Le blason de la Compagnie lui faisait face au centre d’une parure dorée, moquant ses peurs et sa faiblesse. Une rage brûlante lui envahit le cœur.
English version bellow the cut.
Dakkar dug deeper into his memories; it was important. The soldiers had said something about Mya and Renouka, he was sure of it, but the exact words were slipping away like sand through his fingers. His headache spiked more and more, making the room spin and forcing him to lean against the wall until, out of breath, Dakkar lost track of the memory taunting him.
His gaze fell on one of the symbols that had caught his attention earlier as he regained his balance. The coat of arms of the Company was facing him in the centre of a golden ornament, mocking his fears and his weakness. A burning rage invaded his heart.
(Go watch this tv serie, it’s inspired from Jules Verne 20,000 Leagues Under the Sea book, and it contains all the best angst and whump tropes you can obtain with a messy bunch of a crew.)
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Je suis une amoureuse de l'amour. Je passe mon temps à romantiser ma vie. À voguer dans le passé. À me balader dans mes précieux souvenirs. Je chéris ma mémoire pour protéger mes souvenances. Le mécanisme du cerveau me fascine. Ce pouvoir de filtrer les aspects négatifs d'un traumatisme avec le temps ou même de le dissoudre entièrement. La vie m'a offert le cadeau de ressentir intensément, le monde appelle ça l'hypersensibilité. Il est vrai, que l'émotion me frappe comme les vagues sur le sable. Je suis un torrent, j'aime les détails et leur beauté. J'observe tout ce qui est transparent, imperceptible. Être avec moi, c'est être charmé par mon sourire, mon côté solaire et ne plus du tout me reconnaître lors des jours de pluie. Je suis une tempête. L'amour me transperce, il ne me fait plus vivre. Je disparais quand il arrive. Je rêvasse de mes promenades dans Paris la nuit, j'aimerais revenir à ces soirs où l'amour ne me terrorisait pas. Comment le moteur de ma vie a pu devenir la cause de mes insomnies, de l'angoisse qui me ternit ? Comment peut-il se confondre avec ses semblants, survenir dans mes cauchemars ?
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Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité ! Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre.
Olivier de Kersauson- (Promenades en bord de mer et étonnements heureux)
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Printemps 1924 - Champs-les-Sims
8/10
D'ailleurs, la question du futur semble être au coeur des préoccupations de tout le monde en ce moment à la maison. C'est à un point ou même Papa s'en mêle. C'est rare de le voir s'investir dans autre chose que son travail. Nous avons aussi appris il y a peu que mon oncle Adelphe serait grand-père sous peu, et Maman dit que cela travaille beaucoup Papa, même si je ne suis pas bien sure de comprendre pourquoi. Mais il faut dire que des choses qui nous paraitraient anodines ont tendance à beaucoup travailler Papa. Tout ce qui touche à Adelphe en fait. D'ailleurs, je l'appelle mon oncle, mais c'est le cousin de mon père, c'est juste qu'ils sont si proches que personne ne fait la distinction pour eux. J'ai l'impression d'avoir répété cette phrase ma vie entière.
Cléo et Antoine vont aller à l'université, et Sélène va aller à Paris pour prendre des cours de tennis avec un champion. C'est son ambition, de vivre du sport et de gagner des tournois. J'aimerai bien un jour vous montrer une coupure de journal qui parle de ma soeur. J'imagine qu'elle finira par épouser son Berto. Ce serait incroyable qu'ils forment un couple de champions de tennis.
Transcription :
Constantin « Dis-moi Sélène, tu ne comptes toujours pas candidater dans une université ? »
Sélène « Non Papa, toujours pas. »
Constantin « Je n’ai pas vraiment saisi ta raison. Je pense que ce serait bien pour toi. »
Sélène « Je ne pense pas que ce serait très utile. Je veux jouer au tennis. Comme joueuse professionnelle je veux dire. »
Constantin « Mais enfin Sélène, courir après une balle, cela ne peut quand même pas remplir une vie. »
Sélène « Mais enfin Papa, creuser dans le sable, cela ne peut quand même pas remplir une vie. »
Constantin « Quoi ? De quoi tu… ? Oh ! Je vois… Enfin je crois. Je pense, ma fille, que nous allons devoir nous accorder sur le fait que nous ne comprenons pas nos intérêts de vie respectifs et qu’il faudra nous efforcer de nous montrer plus ouverts. »
Sélène « Je le pense aussi. Merci Papa. »
Constantin « Mais est-ce que ton Gilberto gagne bien sa vie au moins ? Car si vous vous mariez, je tiens malgré tout à ce que tu conserves une certaine indépendance financière. »
Sélène « Oh non Papa ! Cessez de parler de mariage ! Grand-Mère suffit amplement. »
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