#horaire décalé
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restonscalmes · 2 years ago
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Heure d'été
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est ce que g envie de faire un taf horaires décalés payés au "SMIC "🤕??
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zestdinfo · 6 months ago
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Stress, écrans, boulot… Pourquoi nos jeunes dorment mal
Confrontés à une multitude de choix, à des obligations personnelles et professionnelles, et à un environnement souvent peu favorable au repos, les jeunes Français dorment de moins en moins. Et de plus en plus mal. Morgane, Pol, Henri et Florian nous racontent leur quotidien et les solutions qu’ils trouvent.
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Quand les problèmes s’accumulent, les nuits de sommeil ont tendance à raccourcir. Photo DR
La durée de notre sommeil continue de se réduire, selon une étude de l’Institut national du sommeil et de la vigilance publiée en mars 2024. Elle démontre que les Français dorment en moyenne 6h42 par nuit. Alors que huit bonnes heures sont recommandées pour les adultes. Morgane, 22 ans, étudiante en agronomie, ne dort pas : « Des fois, j’ai beau me coucher à 23 heures, je ne vais pas dormir avant 6 heures du matin. »
La cause principale pour les 18-24 ans : un délai d’endormissement plus long. Ils mettraient 54 minutes en moyenne à trouver le sommeil, contre 37 minutes pour le reste de la population. L'enquête constate également que 42 % des personnes souffrent d'au moins un trouble du sommeil. 
« Je me mets une pression monstre pour mes études »
Plus de la moitié des étudiants de France dorment mal. Selon une étude Heyme/Opinion, 55% déclarent avoir des problèmes de sommeil et 27% disent dormir moins de 6 heures par nuit. Originaire de Bordeaux, Morgane fait partie de ce pourcentage. En première année d’études d’agronomie à l’ENSAIA de Nancy, elle a « déjà fait une première année, mais à cause des problèmes de sommeil, c’était une année blanche », regrette-t-elle.
Morgane a du mal à s’endormir depuis ses 10 ans. Beaucoup de médecins lui ont proposé des traitements, notamment de la mélatonine. Sa psychologue lui a conseillé la sophrologie. Rien n’a fonctionné. Depuis qu’elle est en études, elle enchaîne les insomnies à cause du stress. « Je me mets une pression monstre. Je veux faire ça depuis mes 15 ans, si je rate ça, je rate tout. » La commission handicap lui a même accordé des aménagements car elle n’arrive pas à se réveiller les matins.
Si Morgane n’arrive pas à sortir du lit, Henri a connu le problème inverse. Le sommeil était son « ennemi ». La bedtime procrastination était devenue sa routine. Cette “procrastination du coucher” le maintenait éveillé jusqu’à ce qu’il finisse par tomber de fatigue. Malheureux professionnellement, il avait le sentiment que le travail lui volait sa vie. Le Nancéien de 29 ans avait fait de la nuit son échappatoire. « Le seul moment où je commençais à vivre pour moi, c'était le moment où tout le monde dormait », explique-t-il.
« Je n’avais pas anticipé ce rythme-là »
Tout le monde ? Non. Pas Florian. Intermittent du spectacle depuis 5 ans, il travaille en horaires décalés. Il suit des tournées et installe des scènes de concert. La désinstallation se fait la même nuit, entre minuit et cinq heures du matin. « Je n’avais pas anticipé ce rythme-là, ça dérègle pas mal de choses. Je n’ai plus de normalité. Je n’accepte que le travail que je veux, sinon c'est intenable [de travailler ainsi pendant plusieurs semaines consécutives] », reconnaît-il. D’autant que ses nuits au travail sont courtes. Florian estime dormir entre 5 et 6 heures. Mais parfois, son temps de sommeil tombe à 2 heures. Une grosse sieste loin d’être réparatrice avant de ré-enchaîner avec une longue journée.
Pour Pol, qui prépare l’agrégation, les siestes c’est niet. Lors des concours blancs en janvier, il a enchaîné six épreuves en cinq jours. L’épreuve la plus courte a duré 3 heures, et la plus longue 7 heures. « Forcément, c’est stressant. » Mais Pol a su trouver comment gérer son stress : « J’écoute beaucoup d’ASMR pour m’endormir. Ça m'aide à me détendre. » Quand Pol a des gros coups de stress, les exercices de sophrologie l’aident à se concentrer sur sa respiration. Ce qui marche le plus pour lui, c’est d’aller au lit à 21 heures, et de couper le téléphone à 22 heures.
Ce soir, Pol tombera dans les bras de Morphée. Morgane, Henri et Florian n’auront peut-être pas cette chance.
Célia Simon et Thibaut Heberlé
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latribune · 1 year ago
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toutmontbeliard-com · 1 year ago
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[PUB] Salon Habitat & Décoration de Belfort : 17ème édition pour ce rendez-vous automnal
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Le 17ème Salon Habitat & Décoration aura lieu cette année du vendredi 3 au lundi 6 novembre 2023 à l’AtraXion d’Andelnans. Ces 4 jours de salon mettront en avant les savoir-faire de nos 100 exposants, spécialisés dans les dernières tendances en matière d’habitat, d’innovation, de décoration et d’économies d’énergies. Nouveauté cette année : retrouvez cette année un espace "Métiers d'art" avec 10 artisans qui proposent des produits décalés et originaux sur le Salon. Venez les découvrir et assister à des démonstrations en direct ! Un showroom de 200m², le Pavillon des Tendances, vous attend pour la 6ème année consécutive sur le salon pour une immersion totale où tous les espaces d’un habitat seront représentés et mis en scène. Vous pourrez apprécier les savoir-faire des 14 artisans : avec du mobilier design local, des revêtements muraux en bois ou textile en impression numérique. Un espace avec les œuvres de nos 8 artistes sera également mis en avant sur le salon. Venez découvrir leurs peintures, tableaux, sculptures etc… À retrouver cette année : les speed coaching, l’occasion pour les visiteurs d’échanger sur leur projet avec des professionnels ! Attention : uniquement sur rendez-vous. Pour prendre rendez-vous, direction notre site internet : www.salon-belfort.fr partie "Speed Coaching" puis "Prise de RDV" en nous indiquant l'horaire qui vous convient. Horaires : vendredi de 10h00 à 20h00 ; samedi et dimanche de 10h00 à 19h00 ; lundi de 10h00 à 18h00. Entrée gratuite pour tout le monde, tous les jours ! L’AtraXion Andelnans - ZAC des Près - 90400 ANDELNANS www.salon-belfort.fr Read the full article
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saut3relle · 1 year ago
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Jeudi 30.08.23, 15h52
Hier soir tu m’as écrit. Tu m’as demandé si mes billets de train étaient modifiables. A la lecture de ce message, mon cœur s’est arrêté et j’ai ressenti puissamment à l’intérieur de mon corps tout entier comme des milliers d’aiguilles qui venaient se planter simultanément sur chaque centimètre de mes organes internes. J’ai failli m’évanouir sur le canapé. J’ai cru que tu voulais annuler notre rendez-vous. En fait, pas du tout. Tu as juste eu un imprévu dans l’après-midi, tu devais repartir a 14h45 pour enregistrer un podcast, alors que nous devions nous voir jusqu’à 17h car mon train arrivait à midi. Ça nous faisait plus que deux heures environ pour se voir. Très peu, trop peu. J’ai senti la déception m’envahir. Finalement, je t’ai dit que j’avais trouvé une solution pour partir plus tôt, j’en ai une en effet, qui est due au hasard de la vie que je remercie grandement, pour une fois qu’il est de mon côté celui-là. Donc, j’ai décalé mes horaires de trains. J’arriverai a 10h05 pour repartir a 14h55. Ça nous fera 4h30 environ à être ensemble. Pour un déplacement de 3h aller-retour. C’est toujours mieux que 2h30. Le temps nous est précieux. Tu t’es excusé. Mais dans le fond, j’ai beaucoup été rassurée. Il est apparu avec évidence que tu voulais toujours me voir, que tu étais bien décidé. Et ça, c’est ce qui était le plus important. Le reste, ce n’est qu’une question d’aléas indépendants de nos volontés.
J’avoue, je ne suis pas encore tout a fait remise de cette violente émotion. Je crois qu’au prochain message que tu vas m’envoyer, je vais encore baliser de peur qu’un nouvel imprévu fasse capoter le truc.
Sensations fortes garanties jusqu’au bout. Je suis sans répit.
16h22 : j’ai mal à l’estomac et un apéro dînatoire ce soir. Je sais pas si c’est le rappel de mon vaccin contre le tétanos, ou encore l’émotion d’hier. Je rentrerais bien me faire une petite méditation. Mais la, je vais surtout me taper des courses pour préparer l’apéro de ce soir…
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musographes · 1 year ago
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Le juste prix d’une séance avec modèle vivant
Quel est le prix idéal pour une séance de modèle vivant à l’échelle de l’usager ? À partir de quand est-ce trop cher ? La réponse que chacun donnera à ces deux questions dépendra de sa richesse et ses référents personnels, la valeur financière absolue d’un service (ou d’un bien) étant impossible à déterminer.  Mais on peut offrir quelques éléments au service d’une honnête mise en perspective.
Le prix de l’artisan Si vous faites venir un artisan pour venir travailler dans votre logement, vous n’allez pas être étonnés de payer 30-40 euros de l’heure. Et si, au sein des occupants du logement, vous voulez vous en sortir pour seulement 5 euros chacun après une intervention de 3 heures du dit artisan, mieux vaudra être 20 personnes dans votre logement ! L’intervention d’un modèle vivant répond aux mêmes pré-requis financiers. Un modèle est l’équivalent d’un artisan qualifié que vous faites se déplacer. Vous n’allez pas le payer le prix d’un sandwich et, même à plusieurs artistes, vous ne vous en tirerez pas individuellement pour le prix d’un café. Logique, non ?
Le prix des modèles Il sera difficile d’obtenir un modèle compétent et consciencieux pour moins de 35E/h TTC. Il s’agit obligatoirement de salaire ; la part de rémunération nette du modèle dépassera donc à peine la moitié de cette somme. Si 18E net de l’heure peut paraître à première vue un niveau de rémunération confortable, il faut d’abord rappeler que modèle est un travail à dimension artistique demandant de vraies compétences et étant de surcroît fort éprouvant physiquement (sans parler de la nudité qui, à elle toute seule, se paie). Le fait qu’il bouge peu et que les artistes eux-mêmes soient actifs n’enlève rien à cette réalité.  Ensuite la générosité de ce niveau de rémunération est en trompe-l’oeil. Votre modèle, en sus de ses heures de pose, peut avoir jusqu'à deux heures de trajet non rémunérées, ce qui pèse fort lourd pour des engagements n’excédant pas 2-3h (même si des employeurs comptent une heure de déplacement, tout en révisant à la baisse le tarif horaire). Et la somme inclut les congés payés.  À ceci s’ajoute la quasi-absence de congés-maladie, les droits au chômage aléatoires, les horaires décalés, les dimanches travaillés payés comme un lundi, l’absence de médecine du travail ou de compte pénibilité malgré les pathologies, le tout sans aucun régime spécial, à l’instar de tous les intermittents "hors" spectacle.
La loi du nombre Le nombre de participants est stratégique. Si vous voulez que le modèle, à qualité de service égale, vous coûte moins cher que le carreleur venu refaire la salle de bain, il vous faudra être nombreux. Pour constituer le budget minimal de 100E pour trois heures d’atelier libre avec modèle, sans débourser plus de 10E par personne (et rester donc dans une gamme de tarif inférieure aux ateliers privés), il faudra réunir dix participants ! Donc, à tous les ateliers associatifs non subventionnés qui souhaitent profiter de modèles, répétons-le : faire atelier avec seulement trois ou quatre participants trouve très vite ses limites. Mais c’est connu : les ateliers périphériques, en banlieue ou, pire, en campagne, peinent à rassembler. Le privilège de réunir plus de dix personnes appartient aux ateliers des grandes villes. Il n’est point de solution miracle à cela.
Le prix du prof Le modèle vivant, en séance, se double souvent d’un enseignant. Et, les enseignants ayant de plus grandes prétentions que les modèles, vous serez béni des dieux s’il ne vous coûte que 35 euros de l’heure (cela dépassera plus probablement les 50E). Vous voilà à devoir débourser au minimum 70E/h pour le modèle et l’enseignant (probablement plus). Vous aurez vite fait d’atteindre les 250E de coût pour une séance de trois heures.  Être nombreux devient alors crucial. Seulement, voilà : pour un cours d’accompagnement où le professeur va avec application passer derrière chaque élève, il n’est pas raisonnable de réunir plus de 15 participants. La ligne est ainsi vite passée entre le déficit de participants et l’excès. Il devient inimaginable d’espérer débourser moins de 20 euros par participant pour 3h.
Le réflexe comparatif Une partie importante de l’offre d’ateliers avec modèles vient des établissements publics territoriaux et ce sont les tarifs de ces services publics qui vont plus d’une fois servir de référence à monsieur-tout-le-monde pour juger de la cherté d’une séance. Or ces ateliers, comme tout service public, sont abondamment subventionnés. L’usager n’y paie, au mieux, qu’un tiers du coût global (enseignant, modèle, gestion, local). Quotient familial aidant, le differentiel de prix avec le privé peut ainsi carrément aller de un à dix ! Même les associations, avec l’appui de leurs bénévoles et de leurs maigres subventions, ne peuvent faire concurrence.
Le problème du travail au noir Le moyen utilisé pour réduire les coûts a longtemps été le paiement «au noir» des modèles. Aujourd’hui il se maintient encore bien plus que de raison, une pratique encouragée par certains modèles eux-mêmes, qui échappent ainsi à l’impôt ou à la réduction de leurs prestations sociales (APL pour les étudiants, retraites pour les anciens, ou encore les indemnités chômage pour beaucoup). Et dès lors que cela semble "arranger" des modèles, les employeurs se sentent confortés dans cette pratique avantageuse pour eux.  Hélas, outre l’état de fraude, ce travail dissimulé prive les modèles de leurs droits sociaux et contribue à l’invisibilisation de ce métier alors qu'il a, au contraire, tant besoin d’être reconnu et encadré. 
Conclusion À part peut-être lorsqu’il est vacancier, l’individu rechigne à débourser pour ses loisirs ce qu’il paie plus volontiers pour les nécessités quotidiennes. Et la séance avec modèle relève du loisir. Pour autant, le prix "normal" d’une séance avec modèle, si tant est qu’on puisse raisonnablement tenter de le définir, n’est absolument pas celui proposé par les établissements publics vu qu’ils sont largement subventionnés.  Les tarifs bas de ces services publics font partie intégrante de leur mission, mais il est injuste vis-à-vis de toutes les autres structures, associations et ateliers privés, de les prendre pour référence. Si, à l’école publique du coin, vous payez votre cours avec modèle le prix d’un demi de bière, réjouissez-vous (vos impôts y contribuent toutefois), mais n’allez pas y voir un reflet du prix réel du service rendu.
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actu24hp · 2 years ago
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où voir et cinq choses à savoir sur France-Écosse
Horaire, statistiques, infos décalées… Tout ce qu’il faut savoir avant le troisième match des Bleus dans le Tournoi, ce dimanche (16h) au Stade de France. Où voir Irlande-France Le coup d’envoi du match entre les Français et les Écossais sera donné ce dimanche à 16 heures au Stade de France. Une rencontre diffusée en direct sur France 2, avec Matthieu Lartot et Dimitri Yachvili aux commentaires.…
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laplumedebrume · 2 years ago
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Un concert inattendu
Nori enfourcha son vélo et emprunta le chemin qui le menait chez lui. Ses horaires de travail décalés le faisaient souvent circuler dans l'obscurité. Il détournait volontairement le centre ville pour avoir plus de tranquillité. Avec l'habitude et la fatigue, il roulait machinalement, sans vraiment prêter attention à la route. Ce soir-là pourtant, quelque chose vint perturber son trajet. Au beau milieu de la rue des Obscures-Mésanges, un bâtiment laissait échapper une curieuse source lumineuse. D'ordinaire, cette rue étroite était sombre et inanimée. Nori passa lentement devant l'ouverture éclairée et vit une affiche collée sur la porte entrouverte. Celle-ci était plutôt succincte. Alors qu'il lisait, il entendit une charmante mélodie provenant de l'intérieur. Il décida de descendre de son vélo pour aller jeter un œil au concert. Le jeune homme découvrit une salle aussi vaste qu'un gymnase. Pendue au centre du plafond, une imposante boule à facettes faisait onduler la lumière sur les murs. Juste en dessous, il y avait une scène, ridiculeusement petite par rapport à la salle. Trois femmes s'y tenaient. Deux musiciennes jouaient du violoncelle et du violon. La chanteuse, dont la voix avait attiré Nori, se tenait derrière un piano droit. Elle était au centre du spectacle. Son chant enveloppait chaque note et enrobait la salle comme de la bruine. Nori finit par rejoindre le public. Il s'installa discrètement, à l'extrémité du cercle de spectateurs. Confortablement assis, il se sentit vite captivé par le spectacle. Son esprit commençait à divaguer lorsqu'il remarqua, stupéfait, que les spectateurs étaient en lévitation. La plupart ne flottaient qu'à quelques centimètres du sol, mais certains décollaient de plusieurs mètres ! L'audience était unanimement transcendée par la représentation. Sans même s'en rendre compte, Nori ne tarda pas à décoller du sol lui aussi. Il rejoignit vite les plus haut perchés et cette sensation lui parut incroyable. De là-haut il pouvait voir la scène en détail. Des bougies étaient disposées partout sur la scène, et leur flamme colorées oscillaient en suivant le rythme de la musique. Alors que le temps semblait être suspendu, le concert toucha à sa fin. Les trois artistes se levèrent face au public et enchainèrent avec une révérence gracieuse. Les applaudissements du public résonnèrent dans toute la salle. Avant de partir, la chanteuse leva une main et fit un signe vers le bas. Comme par magie, le public en lévitation regagna délicatement le sol. Soudain, Nori fut aveuglé par une puissante lumière blanche.
 — Vous, là, sortez immédiatement ! cria un homme au même moment. Nori eut de la peine à rouvrir les yeux. Après quelques secondes, il finit par apercevoir un gardien faisant signe de sortir.
 — C'est bien à vous que je parle et je ne le répéterai pas ! reprit à nouveau l'homme sur un ton plus menaçant. Nori ne comprit pas immédiatement que c'était à lui qu'il s'adressait. Il mit un temps à réaliser qu'il était seul dans la salle. Il n'y avait personne autour de lui. Plus de scène ni de boule à facettes. La salle délabrée semblait même abandonnée. Le jeune homme, sonné, s'empressa de sortir et n'osa rien raconté au gardien.
Chaque soir au milieu de son trajet, Nori observait attentivement le bâtiment de la rue des Obscures-Mésanges, dans l'espoir d'entendre à nouveau la mélodie qui l'avait enivré.
Fin.
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solhrafn · 6 months ago
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Mon horaire est tout décalé, je suis perturbé. Aussi un durum köfte andalouse avant de donner un conférence/animation mhhh middle comme choix mais j’avais faim. Un monster pour faire descendre le tout et du chewing gum pour masquer les oignons et on est bon! Je crois en tout cas!
Demain je donne une conférence de deux heures pour un public adulte de parents et d'enseignants sur les jeunes et les réseaux sociaux / éducation aux médias. Le pitch c'est de la dédramatisation, de la mise en perspective, leur rappeler que l'excès nuit en tout, qu'en tant qu'adultes faut s'investir un peu. Que le 3-6-9-12 c'est que des guidelines et que ça a fait pas mal de dégat surtout en termes de parent-shaming etc.
On passera en revue les types d'utilisations des RS par les jeunes, on rappelera qu'avant "de notre temps" tout ça existait déjà mais sous un autre forme, on leur expliquera c'est quoi cette nouvelle forme, vraiment, et comment récupérer un peu de pouvoir face à ces tentacules voleuses d'attention.
Ce sera plutôt une conférence-animée durant laquelle je les laisserai me guider et répondrai à toutes les questions, oscillant entre débat-philo et moments ex-cathedra.
Je vais au casse-pipe quasiment sans notes et sans support.
TDA for life quoi.
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maisouvontlespoussieres · 3 years ago
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2022 - Menuiserie
Je ne déjeune qu’en solitaire. Horaires décalés, frimas et nécessaire tranquillité ont guidé mes pas et mon estomac vers le désormais traditionnel : nouilles sautées, crevettes pimentées, sans soja, sans menthe, merci. Le rade silencieux était quasi désert quand elle est arrivée. Rouquine de belle taille à la silhouette jumelle de Mae West, elle a envahi l’espace par sa présence. Par sa voix aussi. Apostrophant le serveur qu’elle a tutoyé d’emblée, elle a déclamé la carte en réclamant des conseils, des associations, des mixes et à boire. Je ne sais pas ce qui m’a le plus troublé. Ses talons aiguilles rouges, son décolleté, sa jupe mouvante, sa vulgarité ou son absolu sans-gêne. Une fois servie, elle a déposé son téléphone sur la table et poussé le haut-parleur à la limite de la survie. Son gestionnaire d’assurance a peut-être regretté d’avoir décroché. Le dossier semble ancien. Elle se plaint dans une interminable litanie d’une fenêtre mal fermée parce qu’abîmée par la pluie. Il fait froid. - Vous comprenez, j’aime déambuler nue dans mon appartement et là, ce n’est vraiment plus possible. Je ne vais quand même pas demander au premier inconnu croisé de venir me dépanner.
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Jeudi 30 avril
Linda
La confirmation du déconfinement est à nouveau repoussée au 7 mai, date où il sera décidé d'une sortie le 11 mai, soit 3 jours avant. Le moins que l'on puisse dire est que l'avancée vers la sortie du confinement et la récupération de nos libertés de mouvement est hésitante. Les décisions sont on ne peut plus floues. Peur de la deuxième vague ou peur de décider ?
Serait-il si difficile de dire : chacun décide pour soi-même au risque d'encombrer le système hospitalier ? Chacun organise ses protections et s'en remet à ses proches ou à la bonne volonté des voisins pour confectionner des masques (l'achat va revenir vraiment très cher). Chacun est libre de reprendre le travail ou de faire valoir son état de santé pour ne pas reprendre. Chacun est libre pour organiser avec son employeur, surtout dans les grandes villes, des horaires de travail décalés pour ne pas encombrer les transports publics... Chacun est libre de mettre son enfant à l'école ou pas. Chacun est libre d'aller ou non au restaurant, de faire son jogging dans les parcs, d'aller diner chez des amis...
Les solutions ne manquent pas. C'est juste un problème de décision éthique "pour-soi" comme aime à le dire René Gandolfi.
En fait, il s'agirait juste de conseiller aux 15% de personnes à risque de rester confinées en leur offrant des lieux d'isolement, au lieu de confiner 100 % de gens. Ne plus s'en remettre à l'État, à sa protection (qui en fait n'en est pas une), c'est sortir de "Big Mother".
C'est peut-être une piste pour comprendre ce à quoi nous mène cette crise. Une hyper responsabilisation qui met chacun de nous face à Sa décision. La sanction ? Là, il faut croire à une logique qui n'est pas celle de l'obéissance à la loi. La logique de la sanction est celle justement du virus qui vient foudroyer nos hésitations et nos lâchetés.
Serait-ce la fin de l'État comme nous l'avait prédit Marx ? Il n'est pas impossible en effet que les états ne résistent pas à cette crise. Dans ce cas, la réorganisation du monde passe par une régionalisation des problèmes et une universalisation de la gouvernance. Ça fait rêver certes, et les utopies sont aujourd'hui nécessaires.
Mais même si le changement de paradigme est là, à portée de voix, on peut prévoir, avant que cela ne se mette en place, une belle période de chaos au cours de laquelle il faudra sans doute se battre pour décider pour soi.
Le danger qui se rapproche n'est pas celui du virus, mais bien celui d'une dictature. De nombreux observateurs ont appelé l'attention sur la manière dont les populations des états démocratiques ont pu accepter de tout arrêter du jour au lendemain sans interroger plus avant les dangers du coronavirus. On est en droit de se questionner sur le degré de notre acceptation passive et de notre soumission en cas de grave désordre économique et politique international.
Ainsi je pense que nos réactions face aux décisions sur cette crise vont être déterminantes pour la suite. Première étape donc, sortir du confinement et aller de l'avant.
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latribune · 1 year ago
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days-of-a-nurse · 4 years ago
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Reconfinement Day 1
Vendredi 30 octobre.
Voilà, ça y est,on est reconfiné.
Enfin, "on" est un bien grand mot, je suis infirmière, pour moi tout continu quasi à l'identique, même horaires, même trajet, même boulot, même collègues.... Malgré la peur, malgré ce foutu Covid qui reprend du terrain jour après jour, je continue à m'occuper de mes patients, car l'hôpital ne s'arrête jamais de tourner.
Posons le décor : Ce reconfinement à fait remonter tous mes souvenirs à la surface, j'espère que vous me pardonnerez mes bavardages et la longueur de ce post.
Je travaille dans un hôpital de la region Parisienne, un gros hôpital, une vraie petite ville, même les "rues" qui séparent la multitude de bâtiments portant le nom d'obscurs médecins et les différents secteurs qualifiés par couleurs portent de vraies plaque de rue avec de vrais noms ...
C'est un vrai labyrinthe où j'ai bien failli me perdre plus d'une fois, surtout les premiers mois.
Je suis diplômée depuis Juillet 2019 et le poste que j'occupe actuellement est mon premier poste.
Infirmière en pneumologie.... Tout mes proches disent que j'ai le pire timing qui soit, en même temps ils n'ont pas tort ... J'ai été embauchée dans le service le 10 Mars dernier.
Cette date vous dit quelque chose ? Normal trois jours plus tard nous étions confinés ....
J'ai été jetée dans le grand bain via le plus haut plongeoir avec comme seule sécurité une bouée percée par les "circonstances sanitaires" comme les bureaucrates aiment bien dire.
Ça n'a pas été simple, surtout au début, j'avais un sentiment d'imposture d'incompétence qui me prenait aux tripes a chacune de mes prises de poste, et puis au final j'ai eu de la chance, notre équipe soignante est jeune et on s'entend tous bien. Nous nous sommes serrés les coudes et plus je voyais arriver nos "renforts" :des étudiantes infirmières de troisième année venues faire fonction d'aide soignante, des externes en médecine venus faire fonction d'infirmière, des collègues proche de la retraite arrachés à leurs poste en hôpital de jour ou d'assistantes dans les salles d'examens (scanner, fibro, ...) ; plus je me disais que finalement je n'étais peut être pas si perdue et incompétente que ça, qu'on était tous dans le même bateau, dans la même galère et qu'on allait s'en sortir, ensemble.
Notre service est constitué de deux "ailes" une grande aile de 36 lit dont une douzaine de chambres doubles, et une petite aile de 15 lits dont cinq chambres doubles. Pour faire tourner tout ce petit monde, en temps normal il faut trois infirmière sur la grande aile et une à deux sur la petite aile à tout moment et autant d'aides soignantes.
Nous tournons en horaire de 7h30 de jour et 10h la nuit . Soit une horaire de "Jour" 6h45 - 14h15, une horaire de "Garde" 14h - 21h30 et une horaire de nuit 21h-7h.
Avec le Covid nous avons vu notre nombre de lit et notre effectif faire les montagnes russes.
Au tout début, dès le confinement nous avons déplacé tout nos patients fragiles le plus loins possible de notre service pour qu'il y ait moins de chance qu'ils attrapent le Covid, et avons fermés tout les lits doubles afin de ne plus avoir que des chambres simples. Nous voulions éviter tout problème de contamination croisée.
Puis ils ont passé notre petite aile en Unité Covid. Jusqu'ici elle était fermée pour travaux et venait d'être prête à la réouverture.
Pas de problème de personnel au début, bien sur il fallait une infirmière et une aide soignante pour s'occuper de l'unité Covid, mais comme nous avions baissé notre nombre de patients à 23 sur la grande aile il ne fallait plus que deux infirmières de ce côté là.
Et puis la situation s'intensifie, on a besoin de lits covid supplémentaires, alors on nous annonce le passage de la grande aile en unité covid, mais comme nous avons toujours des patients non covid qui ne sont pas en état de rentrer chez eux, la petite aile redevient covid negative, il a fallut faire un gros transfert de tous les patients d'une aile à l'autre ... Heureusement qu'il n'y a qu'un couloir entre les deux ...
On s'aperçoit très vite que là ou une infirmière peut s'occuper de douze patient non covid sans trop de difficulté, les contraints sanitaires font qu'il est difficile de s'occuper de plus de six patients covid pour un binôme Infirmière-aide soignante.
Alors nos 23 lits sont divisés en 4 secteurs (3 de 6 et 1 de 5). Nos collègues de fibroscopie bronchique et d'hôpital de jour de pneumologie nous rejoignent pour gonfler les effectifs.
La demande en lit monte encore, nos dernier patients non covid sont transférés dans un autre hôpital et la petite aile rejoint le côté obscur du covid... Dix chambres donc deux infirmières, les externes et étudiants infirmiers viennent en renfort.
Les lits manquent partout, les unités covid fleurissent dans tout les service, les soins intensifs, les réas, sont débordés ont ouvres les blocs opératoires et la salle de réveil pour en faire des unités de réa et même comme ça de plus en plus de nos patients qui en temps normal seraient descendus aux soins intensifs ou en réa au vu de leur état restent en salle malgré un debit d'oxygène à très haute doses.
La peur et la colère s'installe parmis l'equipe. Peur, peur de ne jamais voir le bout de cette pandémie, peur d'être contaminer et de contaminer sa famille, peur de ne pas réussir à soigner nos patients, peur de nous noyer sous cette vague de Covid.
Colère, colère contre le gouvernement qui n'a pas écouter quand on leur a dit que nos moyens et nos effectifs n'étaient pas suffisant, colère contre ceux qui n'ont rien ou peu fait par peur de faire paniquer la population, colère contre ceux qui n'ont pas pris au sérieux l'ampleur de la pandémie et la nécessité des mesures, colère contre les gens dans la rue qui semblaient avoir plus de FFP2 que nous, colère contre les sans masques et les anti vax, contre ceux qui ne respectaient rien...
C'en est venu au point où vos applaudissements, vos encouragements nous semblaient bien dérisoires.
Pour autant nous n'avons jamais perdu ni l'espoir et le sourire, nous avons trouvés la force de continuer, dans un gâteau fait par une collègue ( soyons honnêtes c'est moi la pâtissière de l'équipe donc là je parle de moi), dans nos rires et nos decompressions inopinés a coup de bataille d'eau, et de blagues plus ou moins douteuses, dans le sourire de nos familles au travers d'un écran, dans la vision bienvenue d'un patient resté longtemps en réa sortir du service sur ses deux jambes pour rentrer chez lui.
Puis les cas ont baissés et petit a petit le service a retrouvé ses patients non covid jusqu'à ne plus en avoir du tout... Et puis septembre est arrivé et avec lui la deuxième vague et le retour des patients covid ....
Cette fois-ci nos médecins espèrent ne pas avoir à passer la grande aile en unité covid car nos patients habitiels devant faire leurs bilans de suivi habituels ont déjà du être décalé, si nous annulons à nouveau leurs rendez vous, nous ne pourrons jamais rattraper le retard et ce sera nos patients qui en pâtirons. Alors la petite aile est pleine à craquer, quatorze patients, deux infirmières, deux aides soignants et beaucoup de demandes d'intérim parceque entre les deux vagues plusieurs de nos collègues sont partis travailler ailleurs et que nous manquons cruellement de personnel.
Vendredi, malgré le confinement, il y avait toujours autant de monde dans les transports et toujours autant de monde qui ne portent pas leurs masque correctement... Sous le menton, sous le nez, a le triturer en permanence, portant des gants qui ne servent a rien vu qu'ils pensent que le seuls faits de les porter les protège et qu'ils se touchent le visage, le masque, Etc après avoir mis leurs mains partout.
Oubliez les gants, le lavage de mains est bien plus protecteur, et portez vos masques bon sang !!!
Vendredi, c'était le dernier jour de stage pour nos internes, Lundi ce seront des petits nouveaux qui travailleront avec nous ... Alors on a décidé de leurs souhaiter leurs départ comme il se doit : avec une bonne bataille : eau, mousse à raser, betadine, ... Tout est bon pour les arroser des pieds à la tête en embuscade entre deux couloirs. Et ils ne sont pas en reste, la riposte à été féroce ! Certains diront que c'est un comportement de gamins, mais en fait c'est juste la soupape de décompression d'une équipe soignante épuisée, surchargée de travail et au moral au plus bas, a deux doigts de finir noyée dans cette deuxième vague.
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kidult-conso · 4 years ago
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Chronique BXFM 104,3 du 22 au 28 sep. 2020 Story Playmobil
VERSION OFFICIELLE (diffusée à la radio: 3 mns) 
Chronique BXFM 104,3 du 22 au 28 sep. 2020 
Story Playmobil Voici une nouvelle chronique , du nom : "TOYS TOYS TOYS" ... en référence au célèbre titre de Sabrina "Boys Boys Boys" ... Depuis le mardi 15 septembre, venez me retrouver sur BXFM 104.3, je suis maintenant en radio avec une chronique de 3 mns, (qui sera différente toutes les semaines), sur l'univers des jouets que nous aimons ! 
Cette semaine pour la 2ème chronique, je vous propose #Playmobil et son histoire. Voici les horaires de ma chronique, disponible sur BXFM 104.3 : Le mardi à 10h30 (chronique enregistrée - pas de direct) Le mercredi à 16h30 (re-diffusion) Le dimanche à 10h15 (re-diffusion) (Emission enregistre en studio, il y 3 semaines) Le site de BXFM : https://www.bxfm.be/ Facebook : https://www.facebook.com/BXFMradio 
BXFM EST PRÉSENTE EN FM, SUR INTERNET ET EN DAB+. LA RADIO DES BRUXELLOIS(ES) PROPOSE DES PROGRAMMES PROCHES DES HABITANTS: OUVERTS, PARFOIS DÉCALÉS MAIS TOUJOURS SANS COMPLEXE. BXFM A POUR VOCATION D’OUVRIR SON MICRO AUX CITOYENS, AUX ORGANISATEURS D’ÉVÉNEMENTS, CRÉATEURS, SPORTIFS, ENTREPRENEURS, ACTEURS EUROPÉENS, TOUS AMOUREUX DE LEUR VILLE. UNE ATTENTION TOUTE PARTICULIÈRE EST ACCORDÉE À L’ACTUALITÉ POLITIQUE ET SOCIO-ÉCONOMIQUE BRUXELLO-EUROPÉENNE. SELON LES TRANCHES HORAIRES, LA MUSIQUE DE BXFM COLLE AU « WAY OF LIFE » TYPIQUE DE BRUXELLES.  
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jbgravereaux · 5 years ago
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Haruki Murakami - RICHARD DUMAS / AGENCE VU POUR LE MONDE                                                                                                                                            Haruki Murakami : « Mon travail consiste à proposer des textes, pas à trouver leur sens », par Florence Bouchy , Publié le 18 juillet 2019 - Mis à jour le 26 juillet 2019                                                                                                                                                                                                                                    ENTRETIEN                                                                                                                                                                                                                                            Le plus lu des romanciers japonais s’exprime peu dans les médias. Dans cette interview donnée en exclusivité au « Monde », et qui ouvre une série de conversations avec des figures de la littérature mondiale, il évoque son parcours et son art d’écrire.                                                                                                                                                                                                              Grands écrivains, grands entretiens (1|5).                                                                                                                                                                                            Haruki Murakami n’est pas de ces écrivains qui assurent volontiers la promotion de leurs livres. Sans doute les siens n’en ont-ils d’ailleurs pas besoin, tant chacune de ses publications constitue en ­elle-même un événement et se hisse immédiatement en tête des meilleures ventes.                                                                                                                                                                                    Qu’il s’agisse de la trilogie 1Q84 (Belfond, 2011-2012) ou du récent Meurtre du Commandeur (Belfond, 2018), qui met en scène un peintre en manque d’inspiration, tous ses romans s’écoulent à des millions d’exemplaires. L’écrivain japonais le plus lu au monde, fréquemment cité comme favori pour le prix Nobel de littérature, distille sa parole au compte-gouttes et préfère se tenir à l’écart de la vie littéraire comme des médias. Il préserve ainsi, dit-il, la « concentration » nécessaire à l’élaboration de son œuvre.                                                                                                                                                                       Fin février, dans le cadre de Japonismes 2018, l’année culturelle du Japon, le Théâtre de la Colline donnait l’adaptation du roman le plus célèbre d’Haruki Murakami, Kafka sur le rivage (2002 ; Belfond 2006), dans une mise en scène de Yukio Ninagawa. De ­passage à Paris pour la dernière de la pièce, c’est au Monde que le romancier, à l’emploi du temps millimétré, a choisi d’accorder une interview exclusive.                                                                                                                                                                                                                          Il nous consacre une heure de discussion dans le bureau de Wajdi Mouawad, le directeur du Théâtre national de la Colline, à Paris. Et s’il ne s’attarde pas outre mesure sur le sens de ses romans, souvent oniriques, tendant au fantastique, où se déploie une imagination féconde, il évoque volontiers son parcours et son travail. Un avant-goût des réflexions que l’on pourra lire dans un recueil d’essais, ­Profession écrivain, à paraître le 3 octobre chez Belfond.                                                                                                                                                Savez-vous à quelle époque remonte ­votre désir d’écriture ?                                                                                                                                                            Quand j’étais enfant, ce qui avait le plus d’importance pour moi, c’était les chats, la musique et les livres. Dans cet ordre-là. Mais je n’avais pas de goût particulier pour l’écriture, même si j’avais de bonnes notes en rédaction à l’école. Comme j’étais fils unique, la lecture me permettait de m’occuper, elle tenait une place importante dans ma vie. Mais pas aussi grande que la musique, ­passion vers laquelle je me suis d’abord tourné à l’âge adulte, puisque j’ai ouvert un club de jazz à Tokyo, le Peter Cat, en 1974.                                                                                                                                                        Je ressentais bien l’envie de créer, mais je pensais que je n’en étais pas capable, que je n’avais aucun talent particulier. Et plutôt que de créer moi-même, je préférais soit écouter de la bonne musique, soit lire de bons livres. Me nourrir des œuvres des grands créateurs, m’en imprégner. Ce n’est qu’à 29 ans que je me suis dit, subitement, que j’allais peut-être être capable d’écrire. Une véritable épiphanie ! Et depuis ce jour, je n’ai pas arrêté.                                                                                                                                                                      La légende assurant que cette ­ « épiphanie » a eu lieu durant un match de base-ball dit-elle vrai ?                                                                                                                                                                                                                          C’est la vérité. Je suis allé assister à un match de base-ball, au stade près de chez moi. Et tout à coup, je me suis dit : « Je suis capable d’écrire. » C’était le premier match de la saison, il y a eu un hit du batteur. Quand j’ai entendu le bruit de la balle contre la batte, je me suis dit que je pouvais peut-être écrire.                                                                                                                                  Selon vous, cette révélation a-t-elle tenu à la beauté du son ou à la perfection du geste du batteur ?                                                                                                                                                                                                                          C’est certainement un tout. Nous étions au printemps, il faisait beau, l’ambiance générale, dans ce grand stade, était propice au bonheur. Et puis, à l’intérieur de cela, il y a eu le coup, le bruit. Il se trouve que j’étais en train de boire une bière. Peut-être que cela aussi a eu son importance !                                                                                                                                                          Vous mentionniez votre passion de la musique. N’avez-vous jamais eu envie de devenir musicien ?                                                                                                                                                                                                                          J’aurais bien aimé, mais je chante faux et je ne suis pas doué pour les instruments. Je tenais ce club de jazz et j’avais donc la chance d’écouter en permanence de la bonne musique. Dans les années 1960, nous baignions dans la musique des plus grands, comme John Coltrane ou Miles Davis. Tous ces musiciens qui vivaient à la même époque, c’était extrêmement stimulant. Artistiquement, il y avait beaucoup d’énergie, que ce soit dans le jazz ou dans le rock. D’ailleurs, dans le quartier où nous sommes aujourd’hui, pas loin du Théâtre de la Colline, se trouve le ­cimetière du Père-Lachaise, où repose Jim Morrison, le chanteur des Doors, dont je suis un très grand fan. Je ne suis pas encore allé voir sa tombe, mais j’aimerais en avoir le temps.                                                                                                                                                            Quand j’avais 19 ans, au moment où je suis entré à l’université [Haruki Murakami y a étudié le théâtre et le cinéma], on entendait beaucoup une chanson des Doors, Light My Fire [1967]. Elle avait un côté magique. Aujourd’hui encore, quand je l’écoute, les sentiments que j’avais à cet âge-là me reviennent. L’envie de créer est donc certainement montée en moi petit à petit, dans ce climat de stimulation artistique, jusqu’à ce que, à 29 ans, ait lieu cette explosion, cette illumination lors d’un match de base-ball.                                                                                                                                              Comment cette évidence s’est-elle concrétisée ?                                                                                                                                                                                  Je me suis d’abord dit qu’il fallait que j’achète un stylo, parce que, dans mon travail au Peter Cat, je n’avais pas l’habitude d’écrire. Je me suis procuré un stylo à encre et me suis mis au travail à l’aube, sur la table de la cuisine. Ces moments restent pour moi de très beaux souvenirs.                                                                                                                                                                              Je ne savais absolument pas écrire, je partais de zéro. J’ai quand même écrit des pages, tant bien que mal, mais, à la lecture, je me suis aperçu que ce n’était pas intéressant. M’est alors venue l’idée d’écrire en anglais. Pourquoi en anglais ? Parce que mon vocabulaire est plus restreint. Il fallait que je m’exprime avec une langue moins riche, plus directe, une syntaxe moins complexe. En réalité, je n’ai écrit qu’un chapitre en anglais, que j’ai ensuite traduit moi-même en japonais. Mais cela m’a permis de trouver mon style. Voilà comment est né Ecoute le chant du vent [1979 ; Belfond, 2016].                                                                                                                                                      Ecrire dans une langue étrangère, c’est un très bon entraînement. Quand je lis des textes d’Agota Kristof [1935-2011], qui était d’origine hongroise mais écrivait ses romans en français, j’ai l’impression de me voir moi écrire en anglais. Il y a une similitude entre ce que je produisais, à ce moment-là, et ce qu’elle faisait. Les phrases sont courtes, le vocabulaire n’est pas très fourni, mais cette économie de moyens permet l’expression d’une émotion sincère.                                                                                                                                Souvent, le premier roman n’est pas le plus dur à écrire, et les écrivains disent que les ennuis arrivent avec le deuxième. Cela a-t-il été votre cas avec « Flipper, 1973 » (1980 ; Belfond, 2016) ?                                                                                                                                                                                                Non, l’écriture de Flipper, 1973 a été facile. En revanche, le troisième a été plus difficile. Le deuxième, en fait, je l’ai vécu un peu comme une suite au premier. Mais pour le suivant, je ne pouvais plus faire la même chose sans risquer de me répéter. Il fallait donc que j’invente une forme très différente. Et c’est ainsi que m’est venu La Course au mouton sauvage [1982 ; Seuil, 1990]. De plus, après Flipper, 1973, je m’étais décidé à vendre mon club de jazz. Et je pouvais donc me ­consacrer à temps plein à mon activité d’écrivain. Or, jusque-là, j’avais plutôt une vie nocturne et des horaires décalés. Après avoir vendu le Peter Cat, je me suis mis à me lever tôt, j’ai arrêté de fumer, commencé à faire du jogging… Cela a été une vraie révolution.                                                                                                                                                                                            Votre littérature en a-t-elle bénéficié, ­selon vous ?                                                                                                                                                                                Les deux premiers romans m’avaient ­permis de prendre confiance en moi, mais j’avais le sentiment que je pouvais écrire ­encore mieux. C’est la raison pour laquelle je devais me concentrer sur ce travail. Mes amis étaient très opposés à la vente du club de jazz, parce qu’abandonner une affaire qui marchait bien pour tout miser sur la littérature représentait un risque. Mais j’avais envie de relever ce défi que je me lançais : j’étais persuadé de pouvoir progresser. J’avais l’impression que, quand je travaillais au club, je n’étais qu’à 20 % ou 30 % de mes possibilités.                                                                                                                                                                                                                        Depuis cette époque, je me couche à 21 heures ou 22 heures tous les soirs, et je me lève tous les matins à 5 heures. Je cours beaucoup, cela m’est devenu indispensable, et je participe à un marathon chaque année [Haruki Murakami a du reste consacré à cette activité Autoportrait de l’auteur en coureur de fond – 2007 ; Belfond, 2009]. Je viens d’ailleurs tout juste de courir le marathon de Kyoto.                                                                                                                                                                                                                                                  Cette hygiène de vie est-elle vraiment ­nécessaire à votre activité créatrice ?                                                                                                                                        Le matin, j’écris très tôt, avant que la vie ne s’éveille autour de moi. Je pense que le travail d’un écrivain, c’est d’aller au fond de sa ­conscience. C’est donc un travail solitaire et qui demande beaucoup de concentration. S’il y a du bruit autour de moi, je n’y parviens pas. Certains auteurs, comme Hemingway, sont stimulés par les événements extérieurs – la guerre, une corrida, une partie de chasse… En ce qui me concerne, c’est le contraire.                                                                                                                                                                          Dans votre dernier livre traduit, « Le Meurtre du Commandeur » (Belfond, 2018), ce parcours que l’on fait pour aller chercher l’inspiration au fond de soi est mis en scène et métaphorisé. Ce roman constitue-t-il une réflexion sur la ­création artistique ?                                                                                                                                                                                                                                      Lorsqu’on descend au fond de sa conscience, il y a des choses que l’on voit, des bruits que l’on entend, et c’est tout ce matériel qu’on rassemble pour le remonter à la surface. Une fois que l’on dispose de ces éléments, il suffit de les agencer. Moi-même je ne sais pas comment se fait ce travail, c’est mystérieux. Si on écrit dans la logique, ce n’est plus une histoire qu’on raconte, mais une suite d’affirmations. Une histoire est belle parce qu’elle n’est pas explicable.                                                                                                                                    Dans la littérature japonaise, il existe, de longue date, une veine personnelle, qui exprime des sentiments très intimes. Mon œuvre, au contraire, s’inscrit vraiment du côté de l’imagination, elle n’en est que le développement. D’ailleurs, au début, mes romans n’étaient pas très appréciés, car ils paraissaient trop différents de ce qu’on avait connu jusque-là au Japon.                                                                                                                                        Lorsque je vais au fond de ma conscience, que je rassemble les éléments que j’y ai trouvés pour raconter une histoire, et que, en ­lisant mon livre, vous vous sentez en empathie, il y a fort à parier qu’il y a des émotions communes entre nous deux, au fond de nos deux consciences. Et c’est l’émergence de ce lien-là, entre l’auteur et le lecteur, qui ­m’intéresse.                                                                                                                                                                                      Ne cherchez-vous pas à comprendre le mystère de la création ?                                                                                                                                                        Non, je n’ai pas le désir d’en savoir davantage sur le processus. C’est le récit qui doit me comprendre et pas moi qui dois comprendre le récit. Je n’ai d’intérêt particulier ni pour la psychologie ni pour la psychanalyse. Même s’il est vrai que les psychanalystes ont l’air de bien apprécier mon œuvre. Ils m’invitent souvent à des colloques… mais je n’y vais jamais ! Je n’aime pas expliquer les choses, je ne suis pas très doué pour cela, alors je m’arrange pour vivre sans devoir expliquer. Mon travail consiste à proposer des textes, pas à trouver leur sens.                                                                                                                                           Ma théorie, c’est seulement qu’il y a de l’art lorsque, en allant au plus profond de sa conscience, on trouve un lien avec les lecteurs, et que se crée une relation plus fondamentale, plus vive aussi. Lorsque l’on parle de compassion ou d’empathie, mais que cela reste, disons, au-dessus de la terre, ce n’est pas de l’art : c’est superficiel.                                                                                                                                                                                                                      Vous aimez échanger avec d’autres ­artistes, comme vous l’avez fait pour « De la musique » (Belfond, 2018), où vous ­dialoguez avec le chef ­d’orchestre Seiji Ozawa. Qu’est-ce qui vous intéresse dans ce dialogue avec d’autres créateurs ?                                                                                                                                                                                                                                                              En fait, là, vous évoquez le cas précis de la musique. Je n’ai pas de plaisir à échanger avec tous les créateurs. Seiji Ozawa est un ami. Mais quand nous nous voyons, nous ne parlons pas de musique. C’est pourquoi je me suis dit que, pour connaître ses idées sur le sujet, il fallait que j’en fasse un travail. Il a fallu que j’écoute beaucoup de musique avant de commencer les entretiens avec lui. Je savais que si je n’avais pas des avis très tranchés, il n’y aurait pas tellement d’échanges.                                                                                                                                                                                                                            Je le répète, la musique est vraiment centrale pour moi – le jazz comme le rock ou le classique. D’ailleurs, depuis quelque temps, je fais le disc-jockey sur une radio FM, au Japon, et cela me plaît beaucoup. Comme je suis très occupé, ça n’est possible qu’une fois tous les deux mois environ, mais nous avons déjà fait quatre émissions.                                                                                                                                                                                                                              Passez-vous tout type de musique ?                                                                                                                                                                                                    Surtout du rock, un peu de jazz également. J’apporte les CD que j’ai chez moi, ou mes disques vinyle. Je passe ce que je veux, et je dis ce que je veux. Jusqu’à une époque récente, je m’étais dit que je me consacrerais uniquement à l’écriture. Mais depuis peu, depuis que j’ai 70 ans [Haruki Murakami les a fêtés en janvier], je me rends compte que c’est peut-être un bel âge pour essayer de nou­velles choses.                                                                                                                                                                                                                J’ai compris qu’il ne faut pas trop se formaliser, ni être trop rigide, et que je peux m’essayer à ce qui me fait envie sans que cela nuise à l’écriture. C’est mon épouse qui m’a dit que disc-jockey, ça m’irait très bien. Alors, j’y suis allé.                                                                                                                                Avez-vous d’autres envies comme ­celle-ci ?                                                                                                                                                                                       Je n’ai pas d’idées précises, mais si des occasions se présentent… Une chose m��embête un peu, c’est que, avant, c’était la jeunesse qui aimait mes livres, et j’avais l’impression de n’être un auteur « culte » que pour les jeunes. Je m’aperçois que, petit à petit, je deviens moi-même un auteur grand public, consensuel, et certains disent que je suis un personnage important. Cela me gêne parce que c’est compliqué pour moi et que, en réalité, j’aime les choses simples. C’est l’une des raisons pour les­quelles cela peut être intéressant de tenter de nouvelles aventures. Mais encore faut-il les trouver.                                                                                                                                                                J’aime par exemple cuisiner, mais il n’y a pas là de défi particulier pour moi. Et j’aime également beaucoup traduire. Quand je n’écris pas mes propres œuvres, je traduis celle des autres [Murakami a traduit en japonais Raymond Carver, Francis Scott Fitzgerald, John Irving, Ursula Le Guin, J. D. Salinger], et quand je ne traduis pas, j’écris. Et quelquefois je fais le disc-jockey. Et quelquefois fois je cours aussi ! Peut-être que je suis workaholic !                                                                                                                                                                          Continuez-vous à beaucoup voyager ?                                                                                                                                                                                                Je voyage pas mal mais, aujourd’hui, je suis vraiment basé au Japon. J’ai vécu dans divers endroits, jeune, et, maintenant que je le suis moins, je souhaite vivre davantage dans mon pays. D’autant que ma mère est toujours là, j’en profite pour aller la voir. Et je ne veux pas trop m’éloigner de ma grande collection de disques !                                                                                                                                                                                                                           Il se trouve que j’ai écrit plusieurs de mes ­livres à l’étranger. J’ai écrit La Ballade de l’impossible [1987 ; Belfond, 2007] en Grèce et en Italie, Chroniques de l’oiseau à ressort [1994-1995 ; Belfond, 2001] à Princeton, aux Etats-Unis. J’ai besoin de concentration pour écrire, et je suis davantage concentré quand je suis à l’étranger. En tant que romancier, ce qui est formidable, c’est qu’en me concentrant, j’arrive à être un autre, je deviens un autre. Pendant un an et demi, j’ai écrit Kafka sur le rivage, et pendant cette période, j’étais devenu un jeune garçon de 15 ans, comme le protagoniste. Je ressentais le vent comme un enfant de 15 ans peut le ressentir, et je voyais le monde comme un enfant de 15 ans peut le voir.                                                                                                                                                                                                                                Pourquoi vous exprimez-vous si peu, ­notamment sur les questions politiques ou de société ?                                                                                                                                                                                                                                      Je suis romancier, mon travail est de ­proposer des histoires, pas de produire des commentaires. Mais il m’arrive de donner mon avis. Je m’exprime en tant que citoyen quand j’en ai l’occasion, comme je l’ai fait à Barcelone sur les enjeux écologiques, mais pas en tant que romancier.[En 2011, recevant le prix de Catalogne trois mois après l’accident de Fukushima, Haruki Murakami a dénoncé dans son discours le recours à l’énergie ­nucléaire.]                                                                                                                                                                Si je fais trop de déclarations, cela va nuire à mon travail de romancier. Il faut donc trouver un équilibre. L’un des problèmes les plus importants aujourd’hui, c’est celui du populisme, et de la montée de l’extrême droite. Je pense qu’il va falloir que je donne mon avis dessus. Mais si j’ai quelque chose à en dire, je veux le faire en prenant le temps de peser mes mots.                                                                                                                                                               Repères                                                                                                                                                                                                                                              1949 Naissance d’Haraki Murakami à Kyoto                                                                                                                                                                                      1974 Ouverture du Peter Cat, un bar de jazz à Tokyo                                                                                                                                                                        1978 Murakami décide de devenir romancier, lors d’un match de base-ball                                                                                                                                        1979 Parution de son premier roman, Ecoute le chant du vent, prix Gunzo (Belfond, 2016)1986 Il s’expatrie en Europe, puis aux Etats-Unis où il enseigne la littérature japonaise                                                                                                                                                                                                                              1987 La Ballade de l’impossible (Belfond, 2007), premier immense succès                                                                                                                                        1995 Après le séisme de Kobe et l’attaque au gaz sarin du métro de Tokyo, Murakami retourne au Japon, où il signe le recueil de nouvelles Après le tremblement de terre (10/18, 2011)                                                                                                                                                                                                      1996 Il court son premier ultramarathon (100 km)                                                                                                                                                                                1997 Underground (Belfond, 2013), reconstitution de l’attaque au gaz sarin du métro de Tokyo par la secte Aum. Murakami y retrouve certains terroristes et les interroge en essayant de comprendre les origines de la violence et les raisons pour lesquelles le Japon a été touché                                                                                                                                                                                                  2003 Kafka sur le rivage (Belfond, 2006), prix Franz Kafka 2006. Histoire fantastique d’un garçon de 15 ans qui quitte le foyer familial et accomplit son destin œdipien. Variation, au sens musical, sur la tragédie de Sophocle, le roman mêle réflexions sur la musique, sur la sexualité, sur la guerre… et sur les chats                                                                                                                                                                                                                                                        2007 Autoportrait de l’auteur en coureur de fond (Belfond, 2009)                                                                                                                                                      2009-2010 Parution des trois tomes de 1Q84 (Belfond, 2011-2012). La trilogie fantastique dont le titre est une allusion au 1984, de George Orwell, a été écrite en trois ans et compte 1 500 pages. Son succès consacre l’œuvre de Murakami                                                                                                                                                                                                                                              2017 Dans Le Meurtre du Commandeur (Belfond, 2018), Murakami met en scène un peintre en mal d’inspiration, qui s’installe chez un artiste célèbre après s’être séparé de sa femme. Les expériences fantastiques qu’il y vit lui font traverser des épreuves initiatiques, et renouvellent ses capacités créatrices                                                                                                                                      Lire aussi ce portrait littéraire de 2014 : Murakami origami
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