#Kafka sur le rivage
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rebornblr · 1 year ago
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« Seulement, tu ne t’en sortiras pas si tu ne t’endurcis pas un peu »
Murakami Haruki_ Kafka sur le rivage
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ernestinee · 1 year ago
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Lectures 2024
A lire
L'assassin royal - Époque 1, Robin Hobb
Jusqu'au bout de la peur, Geoffrey Moorhouse
Batman, Année un, Frank Miller, David Mazzucchelli
La Passe-miroir, Livre 1, Christelle Dabos
Petit traité des grandes vertus, André Comte-Sponville
Le clan des Otori, tomes 4 et 5, Lian Hearn
La patience des traces, Jeanne Benameur
Arbos Anima 3,4 et 5
Donjon
Kafka sur le rivage, Murakami
Chroniques de l'oiseau à ressort, Murakami
1q84, tomes 2 et 3, Haruki Murakami
La danse des damnées, Kiran milwood hargrave
Rocky, dernier rivage, Thomas Gunzig
Les déraisons, Odile d'Outremont
Envol, Kathleen Jennings
Fables livre 1, Bill Willingham et Mark Buckingham
Un apprentissage ou le livre des plaisirs
La belle famille, Laure de Rivières
Le fardeau tranquille des choses, Ruth L. Ozeki
L'été où tout a fondu, Tiffany Mc Daniel
Et toujours les forêts, Sandrine Collette
Une bête au paradis, Cécile Coulon
Le livre d'Eve, Meg Clothier
L'heure du retour. Christopher M. Hood
La femme gelée, Annie Ernaux
Lus: (les tags ci dessous pour retrouver mon petit mot pour chaque livre)
1. Tant que le café est encore chaud, Toshikazu Kawaguchi ⭐⭐⭐⭐ - 01/01
2. Prométhée et la boîte de Pandore, Luc Ferry (BD) ⭐⭐ - 17/01
3. La maison aux sortilèges, Emilia Hart. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 21/01
4. Le chant d'Achille, Madeline Miller. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 25/02
5. Accident de personne, Florence Mendez. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 27/02
6. L'été de la sorcière, Nashiki Kaho ⭐⭐⭐⭐⭐ - 08/03
7. 10000 litres d'horreur pure, Thomas Gunzig ⭐⭐⭐⭐⭐ - 09/03
8. Les jolis garçons, Delphine de Vigan ⭐⭐⭐⭐ - 14/03
9. Là où les arbres rencontrent les étoiles, Glendy Vanderah ⭐⭐⭐⭐⭐ - 24/03
10. Patients, Grand Corps Malade. ⭐⭐⭐⭐ - 20/04
11. Le passage de la nuit, Murakami ⭐⭐⭐⭐ - 29/04
12. Un miracle, Victoria Mas ⭐⭐⭐⭐⭐ - 12/05
13. Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ⭐⭐⭐⭐⭐ - 20/05
14. Acide sulfurique, Amélie Nothomb ⭐⭐⭐⭐⭐ - 30/05
15. Croire aux fauves, Nastassja Martin ⭐⭐⭐⭐ - 31/05
16. La clarté de la Lune, Lian Hearn ❤️❤️❤️❤️❤️ - 02/07
17. Mon mari, Maud Ventura. ⭐⭐⭐⭐⭐ - 21/07
18. J'étais là avant, Katherine Pancol ⭐⭐⭐⭐ - 31/07
19. Au prochain arrêt, Hiro Arikawa ⭐⭐⭐⭐ - 04/08
20. Réparer les vivants, Maylis de Kerangal ⭐⭐⭐⭐⭐- 24/08
21. Les papillons, Barcella. ⭐⭐⭐- 01/09
22. L'homme coquillage, Asli Erdogan ⭐⭐⭐⭐⭐ - 12/09
23. Autopsy, Sophie Buyse. ⭐⭐⭐ - 17/10
24. Morphine, Mikhaïl Boulgakov. ⭐⭐⭐⭐ - 19/10
25. Le jeune homme, Annie Ernaux ⭐⭐⭐⭐⭐ - 20/10
26. Tout le bleu du ciel, Roman graphique d'après le roman de Melissa da Costa ⭐⭐⭐⭐ - 20/10
27. Antigone, Anouilh. ⭐⭐⭐⭐ - 11/11
28. Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, E.E. Schmitt. ⭐⭐⭐ - 14/11 #fleurs #j'ai mis trop de hashtags
29. Au bal des absents, Catherine Dufour. ⭐⭐⭐ 22/12 (thème de la maison hantée)
30. La végétarienne, Han Kang ⭐⭐⭐⭐⭐ 29/12
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rosemarycovet · 1 year ago
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I was all over her - Billy Loomis X Fem reader
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(billys pov)
Don’t know what I wanted I have memory back at that party I was all over her
I had been dragged to one of stu’s party he was throwing since his parents were out he had begged and begged for me to go
‘come on billy boy it’ll be fun’
it got to the point that I couldn’t stand him so I agreed to go. I was on the phone with him as I was ready to leave when he had asked
“uhm billy do you think you can get some beer…” I groaned and hung up
As I walked into stu’s entrance with a pack of beers stu had noticed me and came skipping to me “ahh look who finally made it” he grinned at me as I just shoved the beers in his chest with an annoyed expression I walked away from stu and some people greeted me but I just ignored them.the music and randy’s point less rules about horror movies were obnoxious and annoying that’s when I saw a girl standing by her self with her back against the wall she looked lonely as if she didn’t want to be here something about her made me want to be near her I couldn’t tell if it was because I was lonely just like her.Either way I approached her and greeted her
she looked surprised that I was talking to her she had turned her head to see if I was speaking to someone next to her but no one was there.she had came to a realization I was speaking to her she said a small hi back
we didn’t make out or do anything
I had offered her a beer to make things less awkward she accepted it and I began talking
“so why are you here you look like you don’t want to be here at all”
“do I look out of place?” she had ask
“kinda” I was honest with her
“well one of my coworkers named randy had dragged me to this party saying his friend was throwing it and we both didn’t want to be at work so we ditched”
ah randy I shook my head and laughed a little
“is he trying to get you fired with him”
she had chuckled at my remark
“ I guess so.what about you. why are you here talking to me?”I looked at her “Because you seemed lonely” that was part of the reason I had approached her.
to keep her some company
she shrugged and said
“I guess I am always.It’s not a problem it’s just something I got used to it”
I nodded at her respond feeling the same way
we spoke some more feeling a bit more relaxed and less awkward of our company. she laid her head on my shoulders and I laid mine on top of her head
Even though she was a stranger she had made me feel safe she was the one person that seemed beautiful to me
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satinea · 8 months ago
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Nous perdons tous sans cesse des choses qui nous sont précieuses... des occasions précieuses, des possibilités, des sentiments qu'on ne pourra pas retrouver. C'est cela aussi vivre. Mais à l'intérieur de notre esprit - je crois que c'est à l'intérieur de notre esprit - il y a une petite pièce dans laquelle nous stockons le souvenir de toutes ces occasions perdues. Une pièce avec des rayonnages, comme dans cette bibliothèque, j'imagine. Et il faut que nous fabriquions un index, avec des cartes de références, pour connaitre précisément ce qu'il y a dans nos cœurs. Il faut aussi balayer cette pièce, l'aérer, changer l'eau des fleurs. En d'autres termes, tu devras vivre dans ta propre bibliothèque.
Haruki Murakami, Kafka sur le rivage.
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lisaalmeida · 2 years ago
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Nous perdons tous sans cesse des choses qui nous sont précieuses.....des occasions précieuses, des possibilités, des sentiments qu'on ne pourra pas retrouver.
C'est cela aussi vivre.
Mais à l'intérieur de notre esprit je crois que c''est à l'intérieur de notre esprit ,il y'a une petite pièce dans laquelle nous stockons le souvenir de toutes ses occasions perdues.
Une pièce avec des rayonnages, comme dans cette bibliothèque, j'imagine. Et il faut que nous fabriquons un index avec des cartes des référence pour connaître précisément ce qu'il y'a dans nos coeurs.
Il faut aussi balayer cette pièce, l'aérer, changer l'eau des fleurs.
En d'autres termes, tu devras vivre dans ta propre bibliothèque.
Kafka sur le rivage
Haruki Musakami.
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vague-abondage · 2 years ago
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Nous perdons tous sans cesse des choses qui nous sont précieuses, des occasions précieuses, des possibilités, des sentiments qu'on ne pourra pas retrouver. C'est cela aussi vivre. Mais à l'intérieur de notre esprit, je crois que c'est à l'intérieur de notre esprit, il y a une petite pièce dans laquelle nous stockons le souvenir de toutes ces occasions perdues. Une pièce avec des rayonnages, comme dans cette bibliothèque, j'imagine. Et il faut que nous fabriquions un index, avec des cartes de références, pour connaitre précisément ce qu'il y a dans nos coeurs. Il faut aussi balayer cette pièce, l'aérer, changer l'eau des fleurs. En d'autres termes, tu devras vivre dans ta propre bibliothèque.
Haruki Murakami, Kafka sur le rivage.
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odnagnisul · 2 years ago
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100 livres à avoir lu dans sa vie (entre autres):
1984, George Orwell ✅
A la croisée des mondes, Philip Pullman
Agnès Grey, Agnès Bronte ✅
Alice au Pays des merveilles, Lewis Carroll ✅
Angélique marquise des anges, Anne Golon
Anna Karenine, Léon Tolstoï
A Rebours, Joris-Karl Huysmans
Au bonheur des dames, Émile Zola
Avec vue sur l'Arno, E.M Forster
Autant en emporte le vent, Margaret Mitchell
Barry Lyndon, William Makepeace Thackeray
Belle du Seigneur, Albert Cohen
Blonde, Joyce Carol Oates
Bonjour tristesse, Françoise Sagan ✅
Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez
Charlie et la chocolaterie, Roald Dahl ✅
Chéri, Colette
Crime et Châtiment, Féodor Dostoïevski
De grandes espérances, Charles Dickens
Des fleurs pour Algernon, Daniel Keyes
Des souris et des hommes, John Steinbeck ✅
Dix petits nègres, Agatha Christie ✅
Docteur Jekyll et Mister Hyde, Robert Louis Stevenson ✅
Don Quichotte, Miguel Cervantés
Dracula, Bram Stocker ✅
Du côté de chez Swann, Marcel Proust
Dune, Frank Herbert ✅
Fahrenheit 451, Ray Bradbury ✅
Fondation, Isaac Asimov
Frankenstein, Mary Shelley ✅
Gatsby le magnifique, Francis Scott Fitzgerald ✅
Harry Potter à l'école des sorciers, J.K Rowling
Home, Toni Morrison
Jane Eyre, Charlotte Bronte
Kafka sur le rivage, Haruki Murakami
L'adieu aux armes, Ernest Hemingway ✅
L'affaire Jane Eyre, Jasper Fforde
L'appel de la forêt, Jack London ✅
L'attrape-cœur, J. D. Salinger ✅
L'écume des jours, Boris Vian
L'étranger, Albert Camus ✅
L'insoutenable légèreté de l'être, Milan Kundera
La condition humaine, André Malraux
La dame aux camélias, Alexandre Dumas Fils
La dame en blanc, Wilkie Collins
La gloire de mon père, Marcel Pagnol
La ligne verte, Stephen King ✅
La nuit des temps, René Barjavel
La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette ✅
La Route, Cormac McCarthy ✅
Le chien des Baskerville, Arthur Conan Doyle
Le cœur cousu, Carole Martinez
Le comte de Monte-Cristo, Alexandre Dumas : tome 1 et 2
Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo ✅
Le fantôme de l'opéra, Gaston Leroux
Le lièvre de Vaatanen, Arto Paasilinna
Le maître et Marguerite, Mikhaïl Boulgakov
Le meilleur des mondes, Aldous Huxley
Le nom de la rose, Umberto Eco
Le parfum, Patrick Süskind
Le portrait de Dorian Gray, Oscar Wilde ✅
Le Petit Prince, Antoine de Saint-Exupery ✅
Le père Goriot, Honoré de Balzac ✅
Le prophète, Khalil Gibran ✅
Le rapport de Brodeck, Philippe Claudel
Le rouge et le noir, Stendhal ✅
Le Seigneur des anneaux, J.R Tolkien ✅
Le temps de l'innocence, Edith Wharton
Le vieux qui lisait des romans d'amour, Luis Sepulveda ✅
Les Chroniques de Narnia, CS Lewis
Les Hauts de Hurle-Vent, Emily Brontë
Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos ✅
Les Malaussène, Daniel Pennac ✅
Les mémoires d'une jeune fille rangée, Simone de
Beauvoir
Les mystères d'Udolfo, Ann Radcliff
Les piliers de la Terre, Ken Follett : tome 1
Les quatre filles du Docteur March, Louisa May
Alcott
Les racines du ciel, Romain Gary
Lettre d'une inconnue, Stefan Zweig ✅
Madame Bovary, Gustave Flaubert ✅
Millenium, Larson Stieg ✅
Miss Charity, Marie-Aude Murail
Mrs Dalloway, Virginia Woolf
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, Harper Lee ✅
Nord et Sud, Elisabeth Gaskell
Orgueil et Préjugés, Jane Austen
Pastorale américaine, Philip Roth
Peter Pan, James Matthew Barrie
Pilgrim, Timothy Findley
Rebecca, Daphne Du Maurier
Robinson Crusoé, Daniel Defoe ✅
Rouge Brésil, Jean Christophe Ruffin
Sa majesté des mouches, William Goldwin ✅
Tess d'Uberville, Thomas Hardy
Tous les matins du monde, Pascal Quignard
Un roi sans divertissement, Jean Giono
Une prière pour Owen, John Irving
Une Vie, Guy de Maupassant
Vent d'est, vent d'ouest, Pearl Buck
Voyage au bout de la nuit, Louis-Ferdinand Céline ✅
Total : 37/100
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gedjub · 1 year ago
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120124 Tous les mercis deviennent des bravos. Héroïnes et héros des rapports sociaux, chaperons de la communication, sauveurs de l'humeur général qui tournait à l'aigre.
+ Je suis gros de tant d'années d'idées que pour me vider il faudrait me taire jusqu'à la mort. Je finirai donc obèse de cris du coeur et d'obsessions, ç'aura été riche tout ça et adieu Berthe.
+ Ah le plaisir de lancer un mot ou deux et de voir une phrase s'en échapper, la suivre et la pousser de mes doigts, m'emplir les sens des sens (j'entends tout, je touche les touches, je vois bien, j'ai du pif, et le reste), peindre la page, tailler la phrase, dirait Manon!
140124 Oil in boil
150124 La lenteur dont on est capable, à quatre heures du matin...
Et de reconnaître les mauvaises choses en les prenant en bouche. Je referai, peut-être, mes placards entièrement si je goûtais tout maintenant.
J'ai lu l'astragale plus longtemps que d'habitude, évidemment puisque d'habitude, il n'y en a qu'aux toilettes et donc en entrecoups. Si je me lève à nouveau plus souvent aussi tôt qu'aujourd'hui, j'aurai enfin fini ce livre bientôt.
Ces deux tôt ne me paraissent pas si proches et ne me dérangent pas.
Je sens ma machine à penser tourner au quart de tour comme en journée, comme au coucher, mais c'est moi qui n'en suis pas le fil, moi, j'ai les yeux mi-clos, je ne sens pas mon corps, je suis hors du temps, il n'est maintenant encore que six heures et le silence dort.
160124 Au sous-sol de l'ombre, endormi et chéri de loin le sommeil se demande mais rien ne réagit à rien, faire s'efface.
(D'après écriture automatique pour paroles, aujourd'hui. Je n'oserais pas la découper si je ne le copiais pas, alors même que je l'ai écrite pour ça...)
+ Bonjour est-ce que vous auriez de l'Armel en poudre? C'est pour reconstituer mon ami qui est mort...
170123 ce qui me semble être la forme la plus efficace pour la phrase la plus importante d'une chanson, d'une musique : un appel : des notes comme un ouhou! lancé d'une fenêtre vers le trottoir ; encore mieux, trois notes : un OHÉ solennel d'une montagne à l'autre et donc dont le O est en mouvement, de grave à aigu.
+ Que tu sois en cendres, ça ne colle pas pour le moment. Surtout que tes lettres sont très très bien conservées.
180124 Qu'Armel soit aujourd'hui poussière, ça m'impressionne dans le sens où je ne le comprends pas. Il n'a plus de visage, plus de corps, ces vues que je connais bien, que j'ai même là sous les yeux, cette consistance animée, tout ça est dans le vent et dans les vagues, désormais, grains encore en train de se séparer au gré des marées. Même si j'y allais maintenant et que j'en trouvais un amas, je ne pourrais pas y voir ne serait-ce que la forme de l'un de ses yeux rieurs. Et si en rêve je prenais toutes les mini-miettes de papier brûlé qu'il est devenu, je ne pourrais, au mieux, qu'en faire une poupée en tassant les éléments et en leur donnant la forme souhaitée, exactement comme avec les pelotes de laine du placard, quand j'étais petit, qui au moins s'accrochaient un peu entre elles grâce aux mini-cheveux de leur laine. Je croyais que c'était comme ça qu'on "cousait". Mais la forme tombait sur elle-même, corps inerte, et se délitait, parce qu'il lui manquait une unité. Je la gardais telle quelle, tant que ma mère ne la rangeait pas.
+ İf what you're doing is not your life, please don't do it. (sadhguru)
190124 La trilogie de Renaud Lambert :
1. La synagogue au loin
2. Tu gênes, Jacqueline
3. De canton en canton
+ Gérer deux-trois guerres
+ Voir l'eau
200124 Go gilt-trip your mother
220124 Elles ouvrirent les cages et tous les rois s'enfuirent, certains avec les clés entre les dents.
+ Je relis Kafka sur le rivage, j'en suis au passage où le titre apparait pour la première fois et j'ai un peu pleuré comme toi, franchement et avec le souffle court, ce qui m'a rappelé que je t'ai offert ce livre. Il est beau, tu verras.
+ Renaud Lambert fait des doudous liste bourré.
+ Crémation: si le gars est une ordure, on parle d'incinération.
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fairyinpills · 2 years ago
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I was lonely
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cricxuss · 2 months ago
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C'est comme si sa silhouette de dos essayait de me dire quelque chose. Quelque chose qu'elle ne peut pas me dire de face.
Kafka sur le rivage de Haruki Murakami
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lesjaponaiseriesdekeiko · 7 months ago
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“ Tu es assis au bord du monde, et moi dans un cratère éteint.
Debout dans l'ombre de la porte, il y a des mots qui ont perdu leurs lettres.
La Lune éclaire un lézard endormi, de petits poissons tombent du ciel.
Derrière la fenêtre il y a des soldats résolus à mourir. ”
Kafka sur le rivage – Haruki Murakami
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mon-essence-spirituelle · 10 months ago
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Merci pour ce présent !
Merci pour ce présent ! Dans le texte “Un caillou est un caillou”, je reprenais la citation de Haruki Murakami dans “Kafka sur le rivage” : “Une fois la tempête passée, tu te demanderas comment tu as fait pour la traverser, comment tu as fait pour survivre. Tu ne seras pas très sûr, en fait, qu’elle soit vraiment achevée. Mais sois certain d’une chose : une fois que tu auras essuyé cette…
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walker-diaries · 3 years ago
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neurotic001 · 3 years ago
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-Mon père ne m'a jamais considéré que comme un objet, au même titre que ses sculptures, qu'il se sent libre de briser ou de jeter à sa guise.
-Si c'est vrai, c'est drôlement tordu et pervers, dit Oshima.
– Vous savez, Oshima-san, là où j'ai été élevé, tout est tordu. Tout est atrocement tordu et pervers, à tel point que ce qui est droit y semble tordu. J'ai compris ça il y a des années. Mais je n'étais encore qu'un enfant et je n'avais pas d'autre endroit où aller.
- J'ai déjà vu les œuvres de ton père, dit Oshima. C'est un sculpteur de talent. Des œuvres originales, provocantes, fortes. Sans concession. De l'art authentique , sans le moindre doute.
- Peut-être. Mais vous savez, les débris qui restent une fois qu'il a créé une œuvre , ces débris-là sont répandus comme du poison tout autour de mon père, et on ne cesse de s'y heurter. Mon père a sali et blessé tous ceux qui l'entouraient. Je ne sais pas s'il faisait exprès ou non, ou s'il ne pouvait pas faire autrement. Peut-être que ça faisait partie de sa personnalité dès le départ. Et je me demande si, en ce sens, il n'était pas relié à quelque chose de particulier. Vous voyez ce que je veux dire ?
- Je crois, oui. Quelque chose qui dépasserail la distinction ordinaire entre le bien et le mal. On pourrait dire que ç'a été la source de sa force artistique.
- Et moi, j'ai hérité de lui la moitié de mes gènes. C'est peut-être pour ça que ma mère m'a abandonné. Elle voulait se séparer d'un être né de cette force terrible, un être souillé.
Haruki Murakami- Kafka sur le rivage
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jbgravereaux · 5 years ago
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L’écrivain japonais Haruki Murakami, en 2014. DOMINIK BUTZMANN / LAIF-REA                                                                                                                                                                                                                                                      Haruki Murakami, une touche de génie, par Florence Bouchy , le 19 octobre 2018, LE MONDE DES LIVRES                                                                                                                                                                                                              Son nouveau roman, « Le Meurtre du Commandeur », histoire fantastique d’un peintre en mal d’inspiration, se double d’une belle réflexion sur les ressorts de la création artistique.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                              Le Meurtre du commandeur. Livre 1, Une Idée apparaît et Livre 2, La Métaphore se déplace (Kishidancho Goroshi), d’Haruki Murakami, traduit du japonais par Hélène Morita et Tomoko Oono, collection 10/18 ou chez Belfond.                                                                                                                                                                                                                                                                              Gageons que les lecteurs français feront fi de la polémique suscitée, au Japon, par la parution, en 2017, du nouveau roman d’Haruki Murakami. Sous prétexte qu’il évoque brièvement un épisode controversé de la « guerre de la Grande Asie », le sac – ou massacre – de Nankin en décembre 1937, Le Meurtre du Commandeur a été accusé, sur les réseaux sociaux, de sympathies prochinoises. Ce qui n’a pas empêché l’auteur à succès, fréquemment cité comme favori pour le prix Nobel de littérature, de rencontrer une fois encore son public : en deux mois, son roman (près de 1 000 pages) s’était déjà écoulé à 1,5 million d’exemplaires. C’est justice, tant le romancier fait montre, encore une fois, de toutes les qualités lui valant d’être devenu l’écrivain japonais le plus lu dans le monde.                                                                                                                                                                                                                                L’auteur de Kafka sur le rivage (Belfond, 2006) et de l’impressionnante trilogie 1Q84 (Belfond, 2011 et 2012) ou, plus récemment, de Des hommes sans femmes(Belfond, 2017), explore cette fois-ci, dans une langue toujours aussi limpide que suggestive, les ressorts de la création artistique. Sans théorisation excessive, ­Murakami fait confiance au récit pour saisir les contours d’une faculté mystérieuse – la créativité du peintre qu’il met en scène, bien sûr, mais celle de l’écrivain lui-même, également, dont toutes les figures d’artistes dans le roman sont des métaphores ou des représentants.                                                                                                                                                                Disposition mentale                                                                                                                                                                                                                                En même temps que les deux volumes du Meurtre du Commandeur (Une Idée apparaît et La ­Métaphore se déplace) paraît d’ailleurs un passionnant échange sur cette même question entre le romancier et le chef d’orchestre Seiji Ozawa, De la musique (traduit par Renaud Temperini, Belfond, 328 p., 22 €). Dans cet art, comme dans les autres, remarque Murakami, « créer à partir de rien nécessite une attention totale et, la plupart du temps, un (…) état de concentration, qu’on pourrait qualifier de dämonisch [« démoniaque »] ». Et, en effet, c’est au moment où le narrateur du roman renonce aux portraits de commande pour se consacrer à sa propre peinture que Le Meurtre du Commandeur bascule dans le fantastique. Conséquence aussi bien que condition de sa capacité créatrice, l’abolition des frontières entre le rêve, le réel et le fantastique est le signe de l’entrée du peintre dans un état propice à la production artistique.                                                                                                                                                                                                                            Lire aussi ce portrait littéraire : Murakami origami                                                                                                                                                                                C’est seulement dans cette disposition mentale – une disposition rendant possible le surgissement d’une « Idée » là où il n’y avait rien – que l’artiste peut atteindre ce qu’il désire. Sur la toile où il peint la jeune Marié Akikawa apparaît ainsi « une des facettes authentiques de cette fillette laconique de 13 ans. Ce portrait (…) représent[ait] non seulement son apparence mais aussi tout ce qui ne se voyait pas et qu’elle enfermait en son for intérieur ». Le peintre explique : « Rendre manifestes, autant que faire se peut, ces informations d’ordinaires cachées et transposer les messages qu’elles véhiculent sous une forme différente, c’est ce que je cherche dans mes propres œuvres. »                                                                                                                                              Métamorphose de la réalité                                                                                                                                                                                                                  Si elle est au cœur du roman, cette réflexion n’étouffe ni ne surplombe pourtant jamais le récit. Le grand art de Murakami est au contraire de la subordonner tout entière à la narration, à laquelle elle ne semble jamais préexister. C’est bien une histoire, que nous raconte d’abord, pour notre plus grand plaisir, l’écrivain nippon. Celle d’un peintre en mal d’inspiration, qui s’installe dans la demeure d’un artiste de génie quand sa femme le quitte. Lorsqu’il découvre, dans le grenier, une œuvre inconnue du célèbre peintre, sa vie bascule. La réalité se métamorphose subrepticement, et lui impose des épreuves qu’il lui faudra surmonter s’il veut devenir à son tour un véritable créateur.                                                                                                                                                          Murakami l’affirmait au Monde, lors de la parution de 1Q84 : il s’inscrit dans la filiation « des conteurs ou des romanciers [qui] racontent des histoires [ayant] pour but d’aider les gens à trouver un sens, à structurer leur esprit ». Il ajoutait : « Je crois au pouvoir des bonnes histoires. Une fiction peut aider à révéler une parcelle de vérité. » Et, dans toute bonne histoire, il faut de bons personnages. L’« Idée »,quand elle surgit, en est un magnifique : sortie du tableau qui donne son nom au roman, l’« Idée » mesure 60 cm de hauteur. Toute vêtue de blanc, elle porte une épée et s’exprime de manière inventive et savoureuse – on imagine le travail qu’il a fallu aux traductrices, Hélène Morita et ­Tomoko Oono, pour proposer un équivalent de cette langue chatoyante. Grâce à ce personnage loufoque, qui porte les enjeux métaphysiques du récit, La Mort du Commandeur est un roman lumineux. Et Murakami, un génie facétieux.                                                                                                                                             EXTRAIT                                                                                                                                                                                                                                                 « En tant que peintre professionnel expérimenté, quoique imparfait, j’avais   retranscrit sur la toile, le plus fidèlement possible, le paysage qui s’offrait à   mes  yeux, avec toute l’expertise technique dont je disposais. Davantage   qu’une peinture, il s’agissait d’un enregistrement.                                                                                                                                                                               Mais il y avait là comme le pressentiment d’une action. Au sein de ce paysage,   quelque chose était sur le point de se mettre à bouger – je ressentais son   arrivée imminente venant du cœur même de la peinture. Quelque chose   s’apprêtait à commencer ici. Et enfin, une idée surgit en moi. Ce que j’avais   voulu peindre là, ou ce que je ne sais quelle volonté avait voulu me faire   peindre, c’était justement ce présage, ce signe annonciateur.                                                                                                                                                       Toujours assis par terre, je me redressai et, encore une fois, j’observai la toile. » (Page 186)                                                                                                                                                                                                                                            Florence Bouchy (Collaboratrice du « Monde des livres »)                              Haruki Murakami, une touche de génie - Le Monde                  
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vague-abondage · 2 years ago
Text
Nous perdons tous sans cesse des choses qui nous sont précieuses... des occasions précieuses, des possibilités, des sentiments qu'on ne pourra pas retrouver. C'est cela aussi vivre. Mais à l'intérieur de notre esprit - je crois que c'est à l'intérieur de notre esprit - il y a une petite pièce dans laquelle nous stockons le souvenir de toutes ces occasions perdues. Une pièce avec des rayonnages, comme dans cette bibliothèque, j'imagine. Et il faut que nous fabriquions un index, avec des cartes de références, pour connaitre précisément ce qu'il y a dans nos cœurs. Il faut aussi balayer cette pièce, l'aérer, changer l'eau des fleurs. En d'autres termes, tu devras vivre dans ta propre bibliothèque.
Haruki Murakami, Kafka sur le rivage.
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