#histoire gore
Explore tagged Tumblr posts
Text
These disturbing illustrations are from one of the weirdest, most bizarre Hansel and Gretel's retellings I have ever read. Naïma Pasche's "Hänel et Gretel, la véritable histoire", a Swiss book written in French.
It is... one unique book, that's for sure. I can't even get my head around it. One moment it seems for children, with silly things and goofy puns ; another it is for adults, with descriptions worth of a horror novel. You have illustrations of gore and nudity and terrifying abuse, and yet followed by naive, poetic texts that wouldn't be out of place in a regular Hansel and Gretel story... The text and illustrations almost feel completely inadequate with each other ; except when you notice how the illustrations take dark, adult, twisted interpretations to the text's naive words (or the reverse, the text describes ironically in a sweet and childish way the horror of the illustrations).
It is certainly not a book for children, it is much too dark and violent and dirty ; and yet... it is sold as a children's book and present in children sections of libraries. Despite the visuals being horrifying and many of the puns being only adult-level...
This is just... a weird, weird book. If I ever find out an interview by the creator explaining their intention, I'll update this post. But meanwhile just know that: there is an absolutely disturbing, horrifying Hansel and Gretel book that is apparently going around children's sections of bookshops and libraries in Switzerland (and other French-speaking countries). It even won a prize! And... it literaly seems to come out of nowhere, and I don't know where it is supposed to be going, and it is all just... it is one creepy UFO.
#hansel and gretel#dark fairytales#fairytale horror#french things#swiss things#switzerland#Naima Pasche's Hansel and Gretel#illustrations#weird things#creepy art
13 notes
·
View notes
Text
La « Déclaration Balfour ».
Cette « Déclaration Balfour » du 2 novembre 1917 proclame la reconnaissance, par le gouvernement britannique, de l'existence d'un foyer national Juif en Palestine, ce qui fut une étape décisive permettant de poser la première pierre conduisant à la création de l'État d'Israël en 1948.
Elle fut adressée à Lord Lionel Walter Rothschild.
Il est essentiel de rappeler que la « Déclaration Balfour » ne devrait pas afficher ce nom, car le véritable auteur de cette Déclaration ne fut pas Lord Arthur James Balfour, mais Alfred Milner.
Alfred Milner appartenait au groupe de Cecil Rhodes. Il était le bras droit au sein du Cabinet de Guerre, du Premier Ministre Lloyd George. Il était également membre de la Round Table, du RIIA (ou Chatham House) et de la Société Fabienne.
Lord Balfour ne fut qu'un « prête-nom ». La Déclaration aurait dû s'appeler la « Déclaration Milner ».
Et ceci a été prouvé par Caroll Quigley dans son livre "Histoire secrète de l'Oligarchie anglo-américaine" :
« La Palestine, cependant, occupait une position particulière parmi les mandats en raison de la déclaration Balfour de 1917, qui disposait que la Grande-Bretagne verrait favorablement établissement d'un foyer national pour les Juifs en Palestine. Cette déclaration, toujours connue sous le nom de déclaration Balfour, devrait plutôt s'appeler "Déclaration Milner", tant ce dernier en fut le concepteur réel et, apparemment, son soutien majeur dans le Cabinet de Guerre. Il fallut attendre le 21 juillet 1937 pour que ce fait soit rendu public.
À ce moment Ormsby-Gore, s'exprimant pour le gouvernement à la Chambre des Communes, déclara "Le projet initialement affiché par Lord Balfour n'était pas le projet final approuvé par le Cabinet de Guerre. Le projet exact auquel consentit le Cabinet de Guerre et par la suite les gouvernements alliés ainsi que les États-Unis (...) et en fin de compte incarné dans le mandat, fut élaboré par Lord Milner. Le projet final doit être publié au nom du ministre des Affaires étrangères, mais le véritable rédacteur fut Lord Milner. »
- Caroll Quigley "Histoire secrète de l'Oligarchie anglo-américaine" page 263.
2 notes
·
View notes
Text
Les 30 meilleurs films coréens à regarder en 2023, des films d’horreur populaires aux films d’action
Il est temps de plonger plus profondément dans le monde du cinéma sud-coréen.
Minuit (2021)
Vous avez aimé Squid Game? Ce thriller coréen de 2021 met en vedette Wi Ha-Joon (l’acteur qui a joué Jun-Ho, le policier, dans la série Netflix) et présente une histoire intense, de vie ou de mort, sur un tueur en série impitoyable qui traque une femme sourde dans les rues de Corée du Sud.
Printemps, été, automne, hiver... Et printemps (2003)
Pour ceux qui préfèrent une montre plus sentimentale et émotionnelle, vous ne regretterez pas d’avoir essayé ce film magnifiquement méditatif de 2003. Il suit la vie d’un moine bouddhiste vivant dans un temple flottant isolé, car chaque saison qui passe symbolise une étape de sa vie.
Peppermint Candy (1999)
Réalisé par le célèbre réalisateur coréen Lee Chang-Dong, Peppermint Candy est un drame puissant et émouvant qui explore les thèmes du destin, du temps et de la mémoire à l’aide d’une narration unique et intrigante. L’histoire est racontée à l’envers, ramenant les téléspectateurs en arrière à travers 20 ans de la vie d’un homme condamné.
Little Forest (2018)
Si jamais vous avez besoin de quelque chose d’apaisant et de relaxant, allumez simplement Little Forest. Avec l’histoire réconfortante d’une jeune femme qui s’échappe de la ville pour retourner dans sa ville natale à la campagne, c’est vraiment un film simple et calme avec beaucoup de cœur.
The Villainess (2017)
Envie d’un bon film d’action coréen? Ce thriller de vengeance élégant et exaltant sur une assasine entraînée en train de se déchaîner pour échapper à son passé offre toutes les séquences d’action énergiques que vous pourriez souhaiter. Préparez-vous au gore!
The Good, The Bad, The Weird (2008)
Oui, il y a aussi des films occidentaux coréens ! Préparez-vous à beaucoup de rires - et d’aventure - dans ce western d’action comique hilarant (inspiré du western spaghetti classique de Sergio Leone Le Bon, la Brute et le Truand) sur un chasseur de primes, un gangster et un voleur de train qui se lancent dans une croisade épique pour découvrir un trésor enfoui.
Right Now, Wrong Then (2015)
Right Now, Wrong Then is a great pick if you're in the mood for a more quiet, contemplative drama. This highly acclaimed film from celebrated director Hong Sang-Soo tells the story of a chance encounter between a celebrated art film director and a young painter.
Train to Busan (2016)
Un thriller coréen incontournable, Train to Busan présente une vision fraîche et originale de l’un des genres cinématographiques les plus classiques - le film d’apocalypse zombie - en suivant un homme luttant pour sa survie dans un train à grande vitesse qui est dépassé par une épidémie de zombies. Préparez-vous à être sur le bord de votre siège tout le temps tout en regardant celui-ci!
Peninsula (2020)
Après avoir regardé Train to Busan, vous aurez certainement envie de le suivre avec Peninsula, sa suite très attendue. Se déroulant quatre ans après les événements du premier film, un ancien soldat et son équipe combattent des zombies pour récupérer un camion plein d’argent dans les friches de la péninsule coréenne.
Minari (2020)
Un drame tendre et émouvant sur une famille d’immigrants sud-coréens qui prennent le rêve américain dans l’Arkansas rural des années 1980, ce film très acclamé du réalisateur américano-coréen Lee Isaac Chung a reçu six nominations aux Oscars (y compris pour le meilleur film!). Vous voudrez probablement garder une boîte de mouchoirs à portée de main pour celui-ci.
My Sassy Girl (2001)
My Sassy Girl est peut-être l’un des films de comédie romantique coréens les plus connus de tous les temps - en fait, c’était la comédie la plus rentable en Corée au moment de sa sortie. Avec une histoire d’amour délicieuse sur un étudiant qui rencontre un partenaire de lutte, il est facile de voir pourquoi ce joyau est devenu un tel succès à succès.
Parasite (2019)
Il y a une raison pour laquelle ce thriller comique noir a gagné tant de renommée internationale et a atteint l’histoire oscarisée. Avec une intrigue captivante et captivante, Parasite captive avec une narration à suspense tout au long du film et offre un point de vue vraiment intrigant sur les thèmes de la classe, de la violence et de l’inégalité sociale.
Memories of Murder (2003)
Si vous avez aimé Parasite et que vous voulez explorer davantage les œuvres du réalisateur Bong Joon Ho, Memories of Murder est un excellent point de départ. Combinant le genre du thriller policier avec la satire sociale et la comédie absurde, ce film suit deux détectives enquêtant sur une série de meurtres (vaguement basé sur l’histoire vraie des premiers meurtres en série confirmés de Corée qui ont eu lieu dans les années 1980).
The Beauty Inside (2015)
Si vous êtes à la recherche d’un bon film coréen romantique à regarder, ce 2015 fantaisie rom-com - qui est basé sur le 2012 film social américain du même nom - raconte l’histoire d’un homme qui se réveille dans un corps différent tous les jours. (De plus, il y a aussi une adaptation K-drama du film que vous pouvez regarder par la suite!)
The Wailing (2016)
Le cinéma sud-coréen a longtemps excellé dans le genre de l’horreur - et The Wailing, qui bénéficie d’une note de 99% sur Rotten Tomatoes, en est certainement la preuve. Pas pour les âmes sensibles, ce film d’horreur-thriller largement loué se concentre sur une série de meurtres mystérieux dans un village coréen rural.
Space Sweepers (2021)
Vous aimez les films d’aventure de science-fiction? L’un des films coréens les plus récents de Netflix - et également présenté comme le premier blockbuster spatial coréen - se déroule en 2092 lorsque la Terre est devenue presque habitable. Space Sweepers suit l’équipage d’un vaisseau collecteur de déchets spatiaux appelé The Victory, alors qu’ils découvrent un robot humanoïde enfant et se lancent dans une aventure spatiale épique.
Burning (2018)
Basé sur la nouvelle Barn Burning de l’auteur japonais Haruki Murakami, ce drame de mystère psychologique acclamé par la critique de Lee Chang-Dong raconte l’histoire tranquillement obsédante d’un jeune homme qui fait face à un secret mystérieux après que son ami d’enfance revienne d’un voyage et amène un homme avec un passe-temps étrange.
Pirates: The Last Royal Treasure (2022)
Un autre film coréen récemment sorti est ce film d’aventure d’époque sur une équipe de pirates de la dynastie Joseon qui partent à la recherche d’or royal perdu en mer. Actuellement l’un des meilleurs films coréens sortis en 2022, Pirates: The Last Royal Treasure a une histoire passionnante et trépidant et beaucoup d’aventure.
Oldboy (2003)
Peut-être l’un des films coréens les plus connus de tous les temps, ce film de vengeance sombre et viscéral de Park Chan-Wook - l’un des réalisateurs les plus célèbres de Corée - suit un homme qui part en mission de vengeance après avoir inexplicablement été emprisonné pendant 15 ans. Avertissement: Celui-ci n’est certainement pas pour les faibles de cœur!
The Handmaiden (2016)
Un autre film magistral du réalisateur Park Chan-Wook est ce thriller psychologique érotique et ce film d’amour inspiré par le roman de 2002 Fingersmith de Sarah Waters. Situé dans la Corée coloniale des années 1930 et le Japon, il suit l’histoire fascinante d’une héritière japonaise et de sa servante coréenne qui est impliquée dans un complot élaboré avec un escroc pour séduire la femme riche de son héritage.
#koreancinema#southkorea#parasite#oldboy#film#movie#cinema#parkchanwook#filmmaker#kdrama#netflix#itunes#youtube
2 notes
·
View notes
Text
Alien Romulus - Un retour aux sources horrifique
L’univers d’Alien est de retour avec Romulus, une nouvelle incursion dans la franchise culte, réalisée par Fede Álvarez, un spécialiste du genre. Ce nouveau film s’inscrit dans la lignée des premiers opus, en particulier Alien (1979) et Aliens (1986), qui sont toujours considérés comme les plus réussis de la série. Le réalisateur de ce nouveau volet, connu pour sa vision audacieuse et son approche gore, notamment dans le remake de Evil Dead en 2013, s’attaque ici à un projet où l’horreur prime sur la profondeur narrative. Le film s’inspire sans vergogne des éléments iconiques de la saga, tout en peinant à s'imposer comme un ajout distinctif.
Un hommage aux origines de la franchise
Ce qui frappe dès les premières minutes, c’est l’attachement presque viscéral aux codes des deux premiers volets de la série. La structure scénaristique et l’esthétique sont imprégnées de l’ADN d'Alien, au même titre que le sang acide des xénomorphes qui s'infiltre à travers les coques des vaisseaux spatiaux. Cela fonctionne en partie comme un hommage, Alien Romulus ne cherche pas à réinventer la roue mais plutôt à honorer les classiques. Situé entre les événements des deux premiers films, ce standalone se déroule dans un monde familier pour les fans, évitant ainsi le piège de la modernisation excessive ou du reboot. Ce respect presque fétichiste pour l’héritage de la saga a aussi ses inconvénients. Il y a une nette impression que le film reste trop attaché aux conventions du passé, échouant à se démarquer par son style, son ton ou ses thématiques. Là où le premier Alien fascinait par son environnement industriel oppressant et son ambiance de survie, Romulus se contente de réutiliser ces codes sans véritable innovation.
Une nouvelle génération face aux horreurs de l’espace
La principale originalité d'Alien Romulus réside dans son casting. Contrairement aux films précédents où les protagonistes étaient des adultes aguerris, souvent marqués par le travail en milieu spatial, ce nouveau volet introduit un groupe de jeunes adultes. Ce changement permet de capturer une certaine fraîcheur, tout en sacrifiant une partie du réalisme dur de l'univers professionnel des premiers films. Cailee Spaeny, que l'on a pu voir dans Priscilla et Civil War, brille dans le rôle de Rain, une jeune femme prête à tout pour échapper à la misère de sa colonie. Elle est accompagnée par David Jonsson, qui incarne son frère androïde Andy, apportant une touche de mystère et d’inquiétude à son personnage. Si l’âge des protagonistes apporte une nouvelle dynamique, il expose également le film à un certain risque, celui de glisser vers le territoire des sagas dystopiques pour adolescents comme Divergente. Mais Alien Romulus parvient à éviter ces écueils en s’appuyant sur un univers déjà bien établi et en construisant une histoire de fond sombre et désespérée. Les jeunes héros sont des enfants de mineurs sur une planète hostile, où l’astre solaire ne brille jamais. Leurs parents ont été décimés par des accidents miniers, des maladies respiratoires et des pandémies. Cette jeunesse, désillusionnée et enfermée dans un système d’esclavage moderne, cherche à fuir ce destin inéluctable en volant un vaisseau spatial abandonné.
Horreur et tension au cœur de l'action
Les fans de la franchise ne seront pas surpris par ce qui les attend une fois le vaisseau envahi par l’équipe. Même si l’intrigue reste prévisible, Álvarez parvient à maintenir une tension palpable grâce à une mise en scène macabre et des scènes de massacres effroyables. Les décors, notamment les tunnels sinueux et organiques recouverts de la matière visqueuse des aliens, créent une atmosphère oppressante et dégoûtante à souhait. La bande-son, saturée de grincements métalliques et de cris, ajoute une dimension supplémentaire à l’horreur vécue par les personnages. Malgré des moments d’adrénaline indéniables, le film souffre d’un manque de liant entre les différentes séquences d’action. Les transitions entre les scènes paraissent souvent forcées, et le scénario ne résiste pas toujours à une analyse plus poussée. Mais en dépit de ces faiblesses, Romulus réussit là où l’on l’attend le plus, il effraie, choque et maintient les spectateurs sur le qui-vive. La performance d'acteur du personnage d'Andy, à elle seule, mérite le détour. Les choix finaux sont par contre plus douteux. Quoi qu'il en soit, le film est à voir et ne laissera pas les fans indifférents.
1 note
·
View note
Text
LECTURE DE 2024 : Le clan Bennett, tome 1 : Le chant du loup - T.J. Klune
Lecture terminée le 28 mai 2024 (55/60)
Nombre de pages : 600
OX OX OX OX OX OX Trois branches me frappèrent au visage. Au bras. Des petits pics de douleur brève avant que le chant ne reprenne. ICI ICI ICI ICI Je pensai à mon père, et il dit : " Tu vas en baver. Une bonne partie de ta vie ". NÔTRE NÔTRE NÔTRE NÔTRE NÔTRE Je pensai à ma mère, et elle rit : " Il y a une bulle de savon dans ton oreille ". CHEZ TOI CHEZ TOI CHEZ TOI Je pensai à Gordo, et il chuchota : " Tu es des nôtres maintenant ", et était-ce vrai ? Étais-je vraiment des leurs ? OUI OUI OUI OUI OUI
Ma 55ème lecture de l'année a été une troisième relecture du tome 1 de la saga Le clan Bennett, de T.J. Klune, "Le chant du loup" ! C'est une saga que j'aime beaucoup, mais dont je n'ai jamais lu le dernier tome, alors comme je compte enfin l'acheter pour finir cette saga, j'ai décidé de me refaire les tomes que j'ai déjà!
Résumé: Ox a 12 ans quand son père l'abandonne, lui disant qu'il va en baver toute sa vie, et il le croit parce qu'il l'aime. Pourtant, quand il a 16 ans, il rencontre un petit garçon du nom de Joe Bennett, et Ox apprendra grâce à toute la famille de cet enfant que ce n'est pas à son père de décider de sa vie, mais lui-même.
CW/TW: relation mineur/majeur (17/23 ans), sexe et humour sur le sexe, viols (mentionné, sous-entendus, menaces), pédophilie (mentionnée), meurtres, gore, violences physiques et psychologiques, enlèvement et séquestration de mineurs (mentions), tortures physiques et psychologiques (mentions), alcoolisme (mention), pensées suicidaires, manipulations, chantages affectifs, décapitation, masculinité toxique
Bonjour! Laissez-moi vous parler d'une œuvre que j'aime beaucoup et qui me fait encore pleurer aujourd'hui! (Même si, paradoxalement, ce tome 1 est celui que j'aime le moins, notamment à cause de la relation mineur/majeur qui est certes quasi-inexistante, mais difficile à ignorer vu qu'elle concerne notre protagoniste...)
J'ai découvert Le clan Bennett sur Amazon (sans l'acheter sur Amazon, mais j'aime bien voir ce qui est proposé sur le site pour ensuite l'acheter chez le libraire le plus proche de chez moi, car j'ai des propositions variées), et ça m'a intrigué alors on me l'a offert à Noël, avec le tome 2, il y a plusieurs années de cela déjà. L'histoire m'a tellement captivé à l'époque, que j'ai lu les 600 pages en quelques heures à peine.
Je l'ai relu ensuite une nouvelle fois (avec le tome 2) peu de temps avant de m'acheter le troisième tome, et à présent que je m'en vais acheter bientôt le quatrième tome, j'ai relu encore une fois le tome 1 (les tomes 2 et 3 viendront plus tard).
Comme à chaque fois, le tome m'a quasiment fait pleurer, j'avais en tout cas les larmes aux yeux! L'histoire est très belle, T.J. Klune sait comment rendre ses personnages attachants et a fait de moi un mordu du trope "found family" avec cette histoire. Et je pense que cette saga en particulier a fortement influencé mon style d'écriture. :')
L'histoire d'Ox, qui a du mal avec les mots, du mal à trouver sa place, du mal à se sentir important, et de sa famille qui l'aide et le porte, le soutient et lui offre une place plus que méritée, lui permet de s'exprimer et lui montre à quel point il est important et l'un des leurs, et qu'ils l'aiment...
Il ne s'agit pas d'une simple histoire avec des loups-garoux, il s'agit d'une histoire d'amour, romantique, fraternel, filial, platonique et puissant. Cette œuvre est la démonstration que la famille ne se détermine pas par le sang mais par les personnes qu'on aime, et je l'ai adorée, encore une fois.
Malgré tout, ça reste une œuvre assez violente ! Comme vous avez pu le voir il y a énormément de CW/TW, et ce n'est que le tome 1... Mais si vous vous sentez prêts à lire malgré tout ça, n'hésitez pas, c'est une superbe histoire.
0 notes
Text
Mexican gothic de Silvia Moreno-Garcia
[résumé du livre]
Honnêtement, j'ai adoré ce livre ! Mais d'une manière extrêmement personnelle et un peu cachée. Je ne crois pas que j'irais crier partout que tout le monde doit lire ce roman car il est merveilleux. Mais ce n'est pas non plus un pécher mignon, je n'ai pas honte d'aimer ce livre, il n'est pas mauvais. En fait je crois que c'est de la bonne littérature, très clean, ce qui fait vraiment plaisir. Je l'ai lu il y a plusieurs mois maintenant et j'y repense encore de temps en temps. Il est si clair, si bien mené, l'ambiance est si bien tissée, l'intrigue si bien ficelée et les personnages si complets, que cette histoire fait maintenant partie du corpus de mon imagination.
En même temps c'est un livre plutôt simple et réconfortant. Rien de trop spécial je crois, mais impactant pour moi ! Je n'avais jamais lu de livre "gothiques" (à part Dracula si ça compte) et je ne sais pas si ce livre est un bon représentant du genre. Je n'avais jamais lu de livres où la maison est un personnage à part entière. Je n'avais jamais lu un livre comme ça.
Moi j'aime quand les livres critiquent le racisme, l'eugénisme, le patriarcat, la société dans toute sa pourriture, les livres de solidarité féminine, de femmes fortes et d'angoisse.
Ne t'attends pas à du frisson, ce n'est clairement pas horrifique. L'ambiance est pesante et étouffante, il y a des fantômes, oui, des meurtres, oui, des monstres, oui, mais ce n'est pas de l'horreur. C'est sans doute ce qui m'a plu. Je déteste qu'un livre bascule dans le gore ou dans l'épouvante.
Je recommande si tu es trouillard.e, que tu aimes une ambiance lugubre qui transporte et les situations désespérées.
informations sur le livre : - âge conseillé : adulte - date de parution : 2021 - thèmes : secret de famille, eugénisme, colonialisme, magie, maison hantée, historique
0 notes
Text
Les films d'horreur ne sont pas seulement une porte ouverte à l'activité paranormale, mais ils donnent aux démons le droit d'être dans votre maison et dans votre vie.
Faites attention à ce que vous mettez sous vos yeux.
Je me souviens que j'adorais les bonnes frayeurs. J'essayais de trouver les films les plus terribles, les plus intenses, les plus éprouvants pour les nerfs et les plus horribles qui soient, puis je me réunissais avec d'autres personnes pour avoir une peur bleue. C'était devenu une tradition. J'aimais le sang, j'aimais le gore, j'aimais les films surnaturels basés sur des histoires vraies jusqu'à ce que cela commence vraiment à affecter ma vie. Nous avons commencé à voir des silhouettes sombres dans notre maison. Nous avons commencé à faire des rencontres démoniaques dans nos rêves. Je me souviens même d'une époque où j'étais terrifiée à l'idée de regarder des émissions chrétiennes parce que je savais qu'elles allaient réveiller les démons dans notre maison.
Je me souviens de moments où je regardais des films d'horreur et où la pièce me paraissait sinistre. Je me souviens avoir frappé aux murs. Je me souviens m'être réveillé au milieu de la nuit, incapable de bouger, littéralement, à cause d'une sombre présence démoniaque.
Nous entendions quelqu'un monter et descendre... Nous entendions les fenêtres 🪟 et les portes se fermer... Nous nous réveillions et voyions des esprits épier les chambres... etc.... Je n'oublierai jamais qu'une nuit, j'étais allongée sur le canapé et que quelqu'un me donnait des coups sur le côté jusqu'à ce que j'en aie assez et que je lève la tête pour voir qui était le coupable ? J'ai regardé dans la cuisine et j'ai vu un parent fermer le réfrigérateur et se diriger vers sa chambre. Je me suis levée d'un bond et j'ai frappé à leur porte jusqu'à ce qu'ils se réveillent complètement après que j'ai frappé... Ce n'était pas mon parent, mais un esprit qui se faisait passer pour lui et qui me narguait...
Je pourrais raconter beaucoup d'histoires, mais je terminerai par celle-ci...
VEUILLEZ être conscients de ce que vous et votre famille mettez sous vos yeux. En outre, soyez particulièrement attentifs à ce qui est considéré comme des programmes adaptés aux enfants de nos jours. Les derniers films de Marvel et Disney peuvent sembler inoffensifs au regard des normes mondiales. Ils peuvent même sembler inoffensifs aux yeux de certains chrétiens confessants. Mais c'est peut-être la raison pour laquelle vous éprouvez de la peur, de l'anxiété, des tourments, etc. et que vous n'avez pas reçu de percée dans votre vie, votre foyer et votre famille.
Les chrétiens ne devraient jamais jouer avec les démons ou la sorcellerie 🧙♀️
Pour les non chrétiens c’est encore plus DANGEREUX
0 notes
Text
Les exorcistes, des maîtres qui repoussent le mal.
Michael est un exorciste d'Allemagne réputé, enchaînant les missions dans tous les coins du monde à affronter trolls, gobelins, sorcières et autres monstres mytiques. Sa petite faiblesse : un amour débordant pour le cinéma d'action. Quand il est envoyé au Japon, c'est l'occasion rêvée pour lui de prendre un nouveau pseudonyme : “Akira Kurosawa” ! Seulement, il est encore loin de se douter que cette mission risque de le changer dans tout son être et de bouleverser le cours du monde.
Hasta la vista, baby !
Akira Kurosawa, exorciste de classe S, est venu tout spécialement d’Allemagne pour enquêter sur les nombreuses apparitions d’esprits maléfiques qui ont lieu au Japon. En compagnie de sa nouvelle partenaire, une jolie exorciste nommée Chikage Awashima, il se rend là où tout a commencé et tombe nez nez avec une femme à la peau mate accompagnée d’un colosse protégé par une véritable armure de muscles. Tous les éléments sont réunis pour que débute un combat où l’imprévisible est maître et où le moindre moment d’inattention peut mener à la mort.
Les dessins sont plutôt réalistes et léchés.
Je ne suis pas fan du côté gore et femmes à poils. Si le côté gore se comprend avec des histoires de démons et d’exorcisme, les gros plans sur la poitrine, l’entrejambe et les fesses de Chikage sont vite saoulants. De même que le fait de la mettre à moitié nue pour tout et n’importe quoi.
Néanmoins, l’histoire est intéressante. Le mystère plane sur de nombreux éléments de l’intrigue et donne envie d’en savoir plus. Le personnage de Mickael pique également la curiosité. C’est un mec très enthousiaste mais qui cache aussi des traces de gravité. La fin du tome 2 nous apporte une grosse révélation et donne envie de plonger tout de suite dans le tome 3.
0 notes
Text
2024
En germe
Ce que je créé est le fruit de ma consommation culturelle liée à ma génération, celle d’une enfance et adolescence nourrit de la pop culture, à l’américanisation des programmes télés (films, séries…), des jeux vidéos et du mouvement Hip Hop. Je me rappel déambuler dans les artères des vidéos-club juste avant leur disparition. Les rayons de films s’ouvraient comme des vortex sur une histoire alternative du cinéma. Fasciné par ces étagères de VHS, c’est peut-être de ce magnétisme des jaquettes gores qu’est né cette appétence pour les monstres et l'image transgressive. Entre fascination et répulsion, ces photos de films étranges floutant la frontière entre réalité et fiction m’ont imprégné la rétine. Je découvre Jurassic Park au cinéma en 1993 qui est un bouleversement dans les effets spéciaux et très tôt je veux découvrir la fabrication d’une production cinématographique. J’entame mes recherches sur la construction des films: décors, art concept, maquettes et effets spéciaux à travers les magasines.
“Je comprends mieux la réalité en regardant des films qu’en la vivant moi-même, c’est une nourriture intellectuelle et spirituelle totalement indispensable” Albert Dupontel
Au collège entre 1996 et 1999, la culture Hip-Hop pénètre dans mon cerveau par le biais du Rap dont je deviens rapidement un fidèle auditeur. Cette esthétique musicale composée de samples et de textes subversifs plante ses crochets dans mes viscères. Je relie rapidement l’intérêt que j’ai pour le dessin depuis l’enfance au mouvement Graffiti que je découvre à travers quelques revues. À 15 ans, j’y trouve alors un moyen d’expression libre et sauvage. C’est la période lycée qui m’emmène à réaliser mes premières peintures à l’extérieur, sur les murs de la ville
Fondation
Au début des années 2000, j’entame un parcours professionnel après une formation de maquillage artistique à Paris, dans le milieu de l’audiovisuel et du spectacle vivant. Je crée en 2002 une association avec laquelle je peux développer des actions artistiques auprès du public. J’obtiens le BAFA en 2006 (brevet d'aptitude aux fonctions d'animateur) et travaille parallèlement dans le secteur du socioculturel tout en continuant la pratique de la peinture murale et du Graffiti. Ces trois axes professionnels constituent une pluridisciplinarité combinant création libre, commande et intervention pédagogique. Je développe durant ces années mon travail personnel de peinture de manière autodidacte avec toujours cette volonté de tisser un lien entre mes influences artistiques et mes centres d’intérêt : qu'y a-t-il derrière l’image du monstre, celui qui peuple l’imaginaire des films que je regarde, à qui/quoi font-ils références ? Quel est le reflet de ces zombies et autres mutants dans notre société ?. Une première série se dégage de cette réflexion : Dystopie Urbaine (2009-2012) qui pose les fondements d'un travail visuel interrogeant la chair, sa transformation physique subite, assimilée ou acceptée. La série est une galerie de portraits en noir et blanc peints sur murs puis sur toiles qui s’appuie sur l'ouvrage "Les gueules-cassées" de Martin Monsestier. L’idée étant de transposer les dégâts corporels subis par ces soldats durant la guerre 1914-1918 à ceux d'une population des quartiers populaires, suburbains victimes d'un système violent et répressif. Au même moment je travaille sur la fabrication de masques de zombie pour un projet collectif (avorté) de pièce de théâtre au Café de la Gare de Paris avec pour référence principale les morts-vivants des films du réalisateur anti-conformiste Georges A Romero.
Mon engagement passe par la création.
“Regarde ta jeunesse dans les yeux”, Acrylic on canvas 100X100 - 2012 ©La Fleuj
Make up FX prothèse zombie, travail collectif, 2009.
Photo for artwork cover - “L’acide dans les idées”- Scoop&J.Keuz, 2012
J'intègre en 2011 un atelier de maquillage effets spéciaux Double FX à portes des Lilas (93). J’apprends des techniques et découvre des matériaux auprès des chefs maquilleurs pour la réalisation de divers projets audiovisuels. Je continue de naviguer entre plusieurs domaines et explore plusieurs pratiques. Je continue de développer une vision, des actions dont je serai à l’initiative. Je deviens le temps d’un projet, directeur ou/et collaborateur artistique avec des artistes pour la plupart issus du milieu Hip-Hop. En 2010, je participe au clip de la rappeuse Casey “Créature Ratée” dont l'écriture au vitriol est à la croisée des genres musicaux et identitaires.
"Casey", usine désaféctée, Acrylique & spray, 2010,
Clip "Creature Ratée", Casey, 2011
Make up, Art Work, Despo Rutti, photo by Fifou, 2010
“Parisnoïa”, Venom’s Vidéo clip, Réalisation et Make up FX. 2011
Photo for artwork cover - “L’acide dans les idées”- Scoop&J.Keuz, 2012
Réflexion mutante
J’alimente depuis toujours mes recherches par une accumulation obsessionnelle de matière visuelle. Je constitue des mood boards composés de fragments photographiques, vidéos, revues, magazines et grâce à internet, les images complètent continuellement ce travail d’archivage. Cette banque de donnée qui ne cesse de grossir est une matière nutritive composés de biographies, d’entretiens, d’analyses cinématographiques et sociologique. Ce que je produis résulte de ce que j’assimile au travers des films, livres, photographies, musiques et rencontres.
“Les monstres sont appelés monstres (...) parce que ce sont des êtres qui font résonner en nous nos terreurs et désirs les plus profondément enfouis”. James Baldwin, Playboy, 1985.
Exploration / Adaptation
Mes recherches se composent d’observations et d’expériences vécues. Elles me sont bénéfiques et élargissent mon champ de vision. Les voyages au Burkina Faso, Bénin, Cuba ou la Roumanie dont l’identité politique et culturelle (communiste) sont des explorations marquantes. Des attaches familiales au Bénin m’emmène en 2010 à la création d’un échange artistique (peinture et photographie) entièrement auto-financé par mon association, dans le nord du pays, à Natitingou.
En 2013, je réalise le film "Segtaab Rap Au pays des hommes intègres", un documentaire de 35 minutes sur la rencontre de rappeurs et producteurs d'Afrique de l'Ouest et européens. Entre entretiens et freestyle chacun évoque son rapport à la musique et à l'engagement. Autoproduit et autofinancé, le film a été projeté dans des festivals et lors d'évènements en France et à l'international et a servi de support pour des ateliers en direction du jeune public.
Photographie tirée du film “Segtaab Rap au pays des hommes intègres”, 2013. Photo Christian Zan. ©La Fleuj
Filmé un an avant l’insurrection populaire qui a poussé le Président Blaise Compaoré à fuir le pays, une scène particulièrement prémonitoire oppose le rappeur burkinabé Joey Le Soldat rappant face à véritable crocodile, animal monstrueux et mythologique. Cette confrontation devient une allégorie, celle d’un combat entre la jeunesse d’un pays révoltés face au vieux dirigeant africain.
Future Sex
Depuis mes débuts dans la peinture murale, les lieux où j’interviens sont souvent d’anciennes usines désaffectées ou entreprises délocalisées laissées à l’abandon. Ces espaces dystopiques où fusionnent machines électroniques, signalétiques ouvrières, matériaux et végétation sauvage renvoient brutalement aux symboles d’aliénations professionnelles. Devenus des carcasses vides, ces lieux illustrent la rupture entre un modèle (économique) obsolète, dépassé et celle d’une humanité en transformation, transhumanisé, mondialisé. C'est sur ces ruines encore chaudes, de ces murs aux épidermes diverses que je transpose ma perception sociale d'un monde en mutation. Un décor souvent chaotique devenant galerie sauvage aux multiples ambiances : lumières, architectures, décombres, textures…
"Luttes intestines", 2018
« La science-fiction est un art du présent » Alain Damasio
Les murals sont réalisés sans autorisation et parfois de nuit, ils ont alors une dimension doublement illégale, d’une part parce que le support si situe dans l’espace urbain (propriété privée ou publique) considéré alors comme acte de vandalisme, et d’autre part, par le sujet représenté, celui de sexes explicites, selon l’article 227-24 du code pénal.
Urbex Writing
« La science-fiction est un art du présent » Alain Damasio
A partir de 2014 une nouvelle série She Live poursuit la précédente, la violence laisse place au sexe en s’orientant vers un érotisme fantastique. La science fiction me permet de surenchérir sur l’existant à travers une galerie d’humanoïdes sexuées. En se basant sur le concept de films abordant les relations entre humains et extraterrestres et autres humanoïdes She Live imagine l’intimité de personnages imaginaires à travers des peintures de masturbations frontales. La technique utilisée est celle de la ligne claire venant à la fois de la bande dessinée tout en s’inscrivant dans les codes du Graffiti : un aplat de couleur pour le remplissage des formes et un contour noir. Les peintures murales sont réalisées dans des ronds ou formes ovoïdes qui rappelle le tondo sulfureux du bain turc de Jean Auguste Dominique Ingres ou plus encore, les estampes japonaises érotiques montrant des gros plans de sexes. Les murals sont réalisés sans autorisation et parfois de nuit, ils ont alors une dimension doublement illégale, d’une part parce que le support si situe dans l’espace urbain (propriété privée ou publique) et donc considéré alors comme acte de vandalisme, et d’autre part, par le sujet représenté, celui de sexes explicites, selon l’article 227-24 du code pénal. A travers l’imaginaire, la mutation des êtres vivants interrogent notre difficulté viscérale à accepter l’étrangeté d’un corps hybride que nous ne reconnaissons pas. Tout en cherchant à créer l’impact par l’image, ma motivation est aussi de produire des peintures prenant le contre pied d’un art urbain consensuel envahissant les villes depuis environ 10 ans. Je questionne à la fois la récupération d’un mouvement inapprivoisable par les institutions ainsi que les sujets qui animent avec virulence la société actuelle : morale, tabou, identité, sexualité. Je défends cette idée que la représentation artistique d’un acte n’est pas l’acte lui-même.
Photographies d’une usine d’électroménager fermée pour cause de plan social en 2019, Nevers.©La Fleuj
En s’appuyant sur l’image de la femme-monstre véhiculée depuis la nuit des temps dans l’histoire des sociétés (mythes, religions, sorcellerie, vagina dentata…), ce mélange entre sexualité explicite et monstruosité crée alors un mélange perturbant qui transforme le regardeur en voyeur face à une scène dont la sexualité du personnage peint est assumée, assimilée et extirpée de toute pression extérieure.
Par ces compositions de masturbations principalement féminine teintée d’une dimension science fictionnelle, mes travaux sont alors pensés comme des œuvres-références ou œuvre-hommages car ils s’imprègnent de tout un pan du cinéma fantastique, et tout particulièrement du sous-genre cinématographique : le “Body Horror” qui se distingue par son approche subjective et presque métaphysique poussant le spectateur à revoir son anatomie sous une nouvelle forme. C’est une vision personnelle influencée par les thématiques abordées par Paul Verhoeven et David Cronenberg, cinéastes de la chair, du sexe et de la violence.
“Une des caractéristiques de la science fiction c’est de dépouiller les oripeaux des origines et de l’ethnie à travers une créature ou un peuple imaginaire, cela permet de montrer plus facilement les mécanismes qui conduisent à la hiérarchie des races, et à la ségrégation.” Laurent Genefort, auteur de science-fiction.
Eve, 2019
Shunga du 17 ou 18ème siècle, Japon.
En 2017, j’obtiens un BPJEPS d’animateur culturel (Brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport) tout en occupant le poste de médiateur/animateur au sein de la Galerie d’Art Contemporain ”Khiasma” crée par Olivier Marboeuf. Ce lieu d’exposition entre galerie et laboratoire est un espace d’échange spécialisé sur les questions de genre, d’identité et postcoloniale. Je découvre des noms, politologues et militant.e comme Donna Haraway (”Manifeste Cyborg”), Françoise Vergès (”Féminisme décolonial”) ou de Mona Chollet (« Sorcière, la puissance invaincue des femmes »). Ma réflexion s’enrichit de ces lectures et m’en apporte d’autres. Ces analyses me permettent de poser des mots sur mon travail artistique, celui qui relie réalité et imaginaire à travers la redéfinition contemporaine des termes “sorcières”, “mutantes” ou “cyborg”.
Bibliographie à l'exposition Interlope, Oct, 2021
“Concubine de l’hémoglobine”, Wall, ©La Fleuj
“Behind The White Rainbow” , Painting on wall and sculpture in situ, Dédale Project, 2018. ©La Fleu
GraffitiXploitation - Run man run
La charge politique des films 70′s, l’esthétique des 80’s ( l’âge d’or des effets spéciaux “les années latex”) mais aussi la photographie, les pochettes de disques, de livres ou encore la charge érotique d’images contemporaines forment un amas difforme dans lequel j’extraie mes inspirations. Chaque peinture est pensée et préparée sous forme de storytelling. Entre héroïnes et icônes “bad ass” fictives ou réelles, cette série de peintures Graffiti (personnage + lettrage) développée en parallèle des autres, porte une charge irrévérencieuse en mettant en scène des personnages qui renversent la position de domination.
Créer de la pensée.
Maturation, rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.
« Une révolution politique, pour avoir des effets réels et profonds, doit être une révolution dans les idées et les comportements, une révolution culturelle et intime qui implique les médias et les arts”. Lizzie Borden
0 notes
Text
BOO 🎃
Cette année, pour la première fois, je me suis laissé inspirer par la période d'Halloween. Ce n'est pas une fête avec laquelle j'ai grandi, et pendant très longtemps je ne la comprenais pas. J'ai toujours été une grosse trouillarde ! Je n'ai jamais aimé les films d'horreur et les histoires qui font peur. Je suis bien assez anxieuse comme ça, pas besoin d'en rajouter. Alors c'est quoi l'intérêt d'une fête qui célèbre tout ce que je n'aime pas ?
Et puis finalement, je ne sais pas si c'est d'avoir grandi, mais je découvre une tout autre façon d'aimer Halloween. Ce n'est pas nécessairement du gore et de l'angoisse. Je découvre de la beauté dans des ambiances sombres et sinistres. Je découvre des nuances. Je découvre une certaine nostalgie aussi... Finalement, je découvre un certain plaisir à me confronter à mes peurs, c'est un peu cathartique. Est-ce que c'est pas ça finalement Halloween ?
C'est quoi pour vous Halloween ?
Cette année, je commence en douceur avec ces deux chats fantômes, qui s'amusent à se faire peur avec espièglerie. J'espère que d'année en année, Halloween sera pour moi l'occasion de me plonger toujours plus en profondeur dans le sombre, le sinistre (pourquoi pas l'horreur), pour exorciser mes peurs... _________________________________________ Toute utilisation ou reproduction est formellement interdite. Any use or reproduction is strictly forbidden.
#traditionalart#traditionalartist#illustration#mixedmedia#watercolor#coloredpencilart#halloween#catart
1 note
·
View note
Text
Mon histoire avec la musique commence réellement en 2000, lorsque que ma maman m'offre mon premier album de Bon Jovi à l'époque MTV, Viva Polska, Onyx TV et toutes ces chaines du câble, passer en boucle le titre "It's My Life".
Cet album à fait de mon adolscence, une vie incroyable, j'adorais ce groupe, j'avais des poster des cartes postales. Puis la même année, je suis alors en 6ème et ma vision de la musique change avec 1 album Hybrid Theory de Linkin Park.
C'est eux qui m'ont amené à la scène métal que je connais aujourd'hui, cette album à tournée plus de 1millions fois dans mon poste, je connais les chansons par coeur, je chante beaucoup dans ma chambre les morceaux surtout le passage de Mike Shinoda qui est mon chouchou à l'époque.
Puis 2004 une rencontre va faire que ma vie à changé, il me fait découvrir cet album qui me grave et me parle d'un certain Jonathan Davis.
2004 KoЯn arrive dans ma vie et cette même personne ne me parle que de cet album Take A Look In The Mirror. Il adorait surtout ce titre "Break Some Off" pour la batterie incroyable, mais moi je l'aimais pour le cingle "Right Now" dont le clip était Gore à Souhait ! Et j'adorais ça !
Je naviguais, écouter ces groupes de cette fameuse personne ça passer entre du Slipknot, Fear Factory, Chevelle, Pleymo, Staind, Sum41, Rammstein ou encore Limp Bizkit.
Moi je faisais mon chemin, j'ai aimé ce groupe pendant des années au point même de m'appeler KoЯnette. À l'époque on pouvait trouver des livres très cours "Linkin Park de À à Z". Je l'avais trouvé aussi pour KoЯn et je découvre mon nouveau groupe qui va devenir celui que je vais suivre longtemps Adema. Le demi-frère de Jonathan Davis n'est qu'autre que le chanteur leader du groupe Adema. Et comme pour Linkin Park j'adorais chanter leurs morceaux et je m'imaginais dans leurs groupe (oui j'étais une ado fanatique).
Ce groupe était un culte, tous mon entourage le connaissent alors que clairement ils n'ont jamais réellement tournée en France.
2006 Je sors avec ce fameux garçon même si j'étais en mode "nan mais c'est trop un connard". Ce moment ça sera accompagné par du Pleymo. Putain de souvenir surtout avec le DVD, ces morceaux ou clairement la Batterie (son instrument fétiche, car il en jouait depuis ses 9ans) me souffle à chaque foi (Kubrick, Muck).
Mais 2006 sera aussi un drame, la vie est mal faite, et ce drame sera aussi accompagné de Pleymo "Qu'est-ce qui nous restera" "Un Parfum Nommé 16ans" tous ces chansons qui sont passées en boucle lorsque je n'allais pas bien. J'étais dans le dénis, j'ai oublié même ce qui se passer autour de moi, un vide qui ne laisser entrer aucune lumière, mais qui retsé à vivre avec lui pour toujours.
C'est alors qu'un jour en 2008 un ami nous parle d'un groupe de Toulouse du nom de Sidilarsen. Ce groupe à partagé 10 ans de notre vie avec une amie à moi, on les as suivis, bousillé nos Doc' Marteen sous le feux de leurs scènes.
Pendant cette periode des rencontres qui m'ont fait découvrir la musique electronique notament Noisia qui est pour moi l'un des meilleurs, créateur de musique electonique de leurs génération. (Ils ont même un duo avec KoЯn).
Ensuite je pars de ma ville natal, toujours les oreilles dans le dubstep. Et puis grace à des replays de concert des vieilles charues je me suis mise à écouté un groupe qui va être le tremplin de ma vie aujourd'hui... Of Monster And Men. Je fais écouter ça un covoitureur qui me dit, "leurs accent et surement Irlandais ou nordique". Je regarde leurs page Wikipédia et je vois islande. Mon copain lui avait voyager là bas une 15aine de jours et là je suis tombé amoureuse du pays, j'en parlais souvent diffusais des photos, parler du groupe etc et là !!! Vous le voyez venir !!
On m'envois ce moreau
Je suis d'abbord intriguée mais surtout très emballée par ces basses incroyable et ce grognement sans cesse. Mais qu'elle langue incroyable parle t'il anglais et là je vais voir les paroles "Við skerum á Augnaráð Nú stingur í Ofbirta"
Je tombe littéralement amoureuse du morceau, de la langue j'achète l'album.
Je vais ensuite à leurs concert ma vision de la musique à changé, ma consommation aussi, j'écoute différement et ce groupe à fait quelques choses d'uncroyable entre cet album et les précédents, des choses artistiques
Prochain article mon premier live de Sigur Rós <3
1 note
·
View note
Text
«Enfin elle est morte cette p...» : Après le suicide de Lindsay, 13 ans, le harcèlement continue dénonce sa mère Betty et François, les parents de la jeune Lindsay, 13 ans, qui s'est suicidée suite à un harcèlement scolaire constant, ont raconté l'insoutenable situation que leur fille a traversée et dénoncent l'inaction de l'école et du rectorat avant le drame, malgré leurs alertes.
Je l'avais dit ; J'ai posé ma plume définitivement . Pourtant il y a certaines actualités bouleversantes . Condoléances aux parents de Lindsay . Les réseaux . Ces réseaux seraient les principaux vecteurs de la haine féroce qui sévit partout , jusque dans les écoles . Evidemment ce monde virtuel sans Dieu ni maître se permet tout , s'étends aux nombres de déséquilibrés que compte malheureusement et de plus en plus la société dans son ensemble . Mais quelle est LA PUNITION ? LA PUNITION pour ces cinglés en général , ceux qui se focalise sur une VICTIME et cherche jusqu'au bout de leur rage , son malheur ou son suicide ! . Cette folie qui les habite serait digne d'un séjour plus ou moins court dans un asile psychiatrique de Maison Blanche , spécialisée pour soigner les fous dangereux et précoces qui porte atteinte à tous . Quelle sentence pourrait être exercée pour stopper ces harcèlements dégoutants qui font se suicider une jeune fille aujourd’hui peut-être d autres demain . Combien d'affaires de ce type surgiront avant qu'une décision soit prise tant au niveau des réseaux , et avant que ne se produise un drame de cette ampleur ! . Par ailleurs et quoiqu’on en pense la responsabilité des parents de ces monstres est bien réelle ! Je suis écrivaine , des messages j'en ai reçus . Des diffamations en nombre ! . Des mensonges , des bêtises infâmes . Que peut-on contre ces cerveaux mal nés cachés , dissimulés sous des pseudos qui ne riment à rien . Coco majestueux , Didine de la tour du Pin aurait dit .... L'ennui justement se trouve là ! . LE PSEUDO PERMET TOUTES LES DERIVES ! . Les pires . Les insultes , le harcèlement , le choix de la victime , les salissures à son encontre , les injures et même parfois les menaces voilées , au point que vous n'estes plus en sécurité chez vous ! . Un rien chez les fous fait la différence et ils vous poursuivent . Religion , statut , manière de s'exprimer , statut des parents , difformité , relations . Tout est bon pour eux . Ils se défoulent , inconscients qu'ils sont , eux qui au départ de leurs vies malheureusement , sont des cerveaux mal nés . Incapables d'empathie , visionnant le plus souvent des films gores, des histoires salaces , souvent incultes . Et la société du monde virtuel , de lire et de s'offusquer souvent ! . Mais rien ne change . Surtout il ne faut rien changer ! . L'argent maître Roi nous dit beaucoup de choses et fait aussi beaucoup de victimes ! . Coco majestueux pourrait répondre . Espèce de pute tu vas cesser immédiatement ou on va .. Coco majestueux après tout ne risque rien ! . IL EST PROTEGE SOUS UN PSEUDO . La petite jeune fille est morte . Puissance des pseudos , des cerveaux mal nés , des inconscients , des fous au manque d'empathie vis à vis des autres , des rageux sans conscience , des suicidaires de leur propre vie et de celle des autres ! PATRICIA COINTE LAURENT .
0 notes
Text
Cyberpunk 2077, un jeu vidéo trop proche de notre réalité ?
Blade Runner sortis en 1982 est un film lançant la base qu’est le mouvement cyberpunk dans les années 80. Inspirant ensuite le fameux roman Neuromancien de William Gibson, considéré comme la première œuvre Cyberpunk aujourd’hui. Mais qu’est-ce que le « Cyberpunk » ? C’est un sous-genre de la science-fiction dans un futur proche avec une technologie à la pointe montrant une certaine dystopie. En 2020, Cyberpunk 2077 est un jeu suivant ce genre. Étant donné son histoire et son monde vivant, il est une critique et des idées conçus de l’avenir. Mais cette vision vient des années 80. Aujourd’hui quelques similitudes sont analysées avec notre monde actuel. Ces ressemblances sont-elles constatables alors et rassemblent donc des critiques de notre société actuelle ? On peut y constater un capitalisme et libéralisme trop imposé ainsi que l’évolution de nos interactions qui évoluent.
Ce capitalisme présent est très constatable avec l’invention des implants. C’est simple, l’humanité est au moins composée à 40% de chromes. Certains membres sont remplacés et les smartphones sont directement dans notre tête. Les implants donnent des capacités physique dépassant l’Homme. Tout ceci, montant peu à peu le pouvoir aux plus riches pouvant devenir les plus puissants puisqu’ils peuvent s’offrir des implants qui dépassent la raison. Une différence se fait et critique les personnes riches aillant pleins de faveurs aujourd’hui.
En parlant de riches, les sociétés tel que les GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft) sont littéralement les corporations qui corromps le gouvernement ans l’univers de Cyberpunk. Une analyse montrant que ces « Corpos », dirigent aussi dans notre monde, ils peuvent littéralement s’offrir un pays vu leurs grands monopoles.
Les interactions entre être humains deviennent spécial. Le rapport au corps humain est différent vu ce monde chromé. On peut y voir de la prostitution mais la plupart des personnages utilisent des « DS », des simulations pouvant montrer du contenue oser, des rapports sexuels (comme un porno) jusqu’à des massacres gores.
Certains personnages peuvent être vu comme des lanceurs d’alerte comme Johnny Silverhand, joué par Keanu Reeves, incarne une vision anarchiste et anticapitaliste. Il est comparable à des Julian Assange ou Snowden dans les plus connues.
Cette vision de l’avenir est peut-être même datée. En effet, la publicité montrée, avec beaucoup d’allusion sexuelle est certes dépassée. Dans le jeu, ils ne jouent pas assez sur la surveillance et les sociétés qui nous écoute pour adapter les pubs. Aussi, la sexualité ne joue pas assez sur les nouvelles générations de Onlyfan, qui peut-être une bonne problématique à traiter dans un univers cyberpunk. On pourrait se demander comment serais un univers cyberpunk avec ces problématiques appliqués pouvant être en avance sur notre temps ?
Temple Esteban, 20223316
Sources :
youtube
0 notes
Video
[Gameplay][Tir] Gungrave G.O.R.E 🔫🚶
Dans Gungrave GORE, incarnez l'anti-héros badass de vos rêves tout en abattant des tonnes d'ennemis dans un ballet sanglant de balles et vivez une histoire de vengeance, d'amour et de loyauté, le tout dans un magnifique jeu de tir à la troisième personne, combinant le meilleur de la conception de jeux orientale et occidentale.
0 notes
Text
Un sunday morning run si parfait, un photographe japonais, deux amis irlandais séparés et une jeune péronnelle norvégienne qui file à sa perte pour quelques milliers de like
Arras film festival day 2 domenica 6 novembre 2022 Courir le long de la Scarpe sous la pluie, 9 km, 1h10 ; pur bonheur New shoes day et le sentiment d'avoir trouvé celles avec lesquelles me confronter au marathon. Trois films et le plaisir voluptueux d'avoir un chez-soi provisoire sur les places, à deux pas. Rentrer dans un logis cozy avec un lit douillet ferme parfait. Ma capacité aux siestes instantanée devient ainsi mon alliée. Un jeune photographe japonais, fantaisiste, avec une famille soutenante et un frère aîné vaguement jaloux et mécontent mais qui l'aime bien au fond. Survient Fukushima, mars 2011, tsunami et l'artiste rigole moins qui aide les gens avec générosité au mieux de ses capacités. J'ai enfin pu pleurer. [La famille Asada] Sur une île irlandaise, en 1923, deux types sont deux vieux potes mais soudain l'un d'eux décide sans signe avant-coureur très unilatéralement que ben non plus maintenant. Ça s'explique et se finit mal. Mais on a profité de fort beaux paysages (malgré le virage gore du dernier tiers, dont je me serais parfaitement passé) [The banshees of Inisherin] Le Welsh remplacé par des pseudo croques-monsieurs buggers, ça vaut pas. Anders Danielsen Lie vaut à lui tout seul d'aller voir un film, il a ce don (ou ce travail poussé à la perfection) de jouer juste c'est époustouflant. Je suis pourtant une spectatrice qui a du mal à y croire et tend à fuir les productions avec des acteurs que j'ai trop vus ailleurs. Alors je me déplace pour cette histoire de jeune femme qui se rend volontairement malade (à coup d'un médicament aux effets secondaires redoutables et qu'elle prend à très hautes doses et sans raisons) simplement pour devenir centre d'attention, faire célèbre et star de réseaux sociaux, capitalisant sur les like que son mystérieux handicap attire. Histoire qui ne me disait rien qui vaille mais dont le réalisateur fait quelque chose qui nous alerte et ne manque ni d'humour ni de sens. Merci Anders, je n'y serais pas allée sinon !
[Sick of myself]
0 notes
Text
My Hero Academia, Tome 39 - Kohei Horikoshi
Lecture terminée le 2 mars 2024 (15/36)
Ma 15ème lecture de l'année a été le 39ème tome de My Hero Academia!
Résumé: Le conflit continue de faire rage. Les Todoroki s'affrontent tant bien que mal, Ochako essaie d'ouvrir son cœur à Toga, et All Might participe à son tour au combat.
CW/TW: guerre, morts, sang, violences physiques, gore, cadavres, nudité (de mineure)
J'avoue ne pas tout à fait me souvenir de tout ce qu'il s'est passé dans ce tome car j'ai lu la première partie il y a quelques mois et je l'ai fini hier, alors je ne sais pas trop quoi penser de ce tome. J'ai adoré la partie sur Ochako, qui est mon deuxième personnage préféré (après Present Mic), donc je suis super content quand l'histoire se centre sur elle!
En revanche, je ne vous conseille bien sûr pas ce tome-là, on est bien d'accord, mais l'histoire de MHA est vraiment efficace, alors n'hésitez pas si vous aimez les histoires de super-héros, surtout que je trouve que le manga aborde mieux la complexité qu'apporterait un monde où tout le monde ou presque a des pouvoirs par rapport à d'autres médias (mais c'est mon avis à moi, vous n'êtes pas obligé·es d'être d'accord).
Mes lectures de 2024! ✧◝(⁰▿⁰)◜✧
Quelque chose que j'ai très fort envie de faire pour la nouvelle année, c'est répertorier toutes mes lectures que je ferai cette année (romans, BDs, etc...)! Rien qu'aujourd'hui, j'ai pu lire deux petites BDs et finir un tout petit roman (je n'aurai pas tout le temps ce rythme) mais il est tard, ahah, alors je pense que j'en parlerai demain, parce que ça me permettra de faire tout ça correctement, eheh
Je ne sais pas trop comment parler de mes lectures pour l'année à venir alors si vous avez un conseil, je prends, mais je vais au moins faire mes présentations comme ceci:
Nom du livre et de l'auteurice
Photo du livre
Résumé du livre avec mes mots à moi
Prévention sur les CW/TW potentiels qui m'ont marqué, et si le livre prend la peine de nous prévenir pour ça
Commentaire personnel sur le livre et à quel point je l'ai aimé ou non, et si je le recommande ou non
Aussi! Je me suis mis pour objectif de lire 35 livres cette année, donc un rythme de 2-3 livres par mois alors voyons si j'y arrive!
Et puis, si vous voulez me conseiller un livre, faites donc mais je ne confirme en rien de si/quand je vais l'acheter et de quand je le lirai, ahah :'))
J'espère que je pourrai réussir à vous intéresser avec ma future liste, et peut-être même que je vous donnerai envie de découvrir certains d'entre eux!
(je ne crois pas avoir le savoir infini, bien sûr, et ce n'est pas parce que j'ai un avis sur un livre qu'il est universel, vous pouvez ne pas être d'accord, bien sûr)
49 notes
·
View notes