#guerre de cent ans
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dreamconsumer · 2 months ago
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La Pucelle.
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michel-feuilly · 6 months ago
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Joanne for my pricelist
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jbrasseul · 1 year ago
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Pembroke castle
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d-bovet · 2 years ago
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A côté de Saint-Malo : la tour Solidor à Saint-Servan ( Bretagne )
Sant Malo : Ar Peul Solidor (Breizh)
Solidor tower (Brittany)
Solidor turm (die Bretagne)
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plaques-memoire · 1 month ago
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Plaque en hommage à : Archibald et James Douglas
Type : Lieu d'inhumation
Adresse : Cathédrale Sainte-Croix, place Sainte-Croix, 45000 Orléans, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Ici ont été déposés le dix avril 1938 les restes de plusieurs défunts anonymes découverts sous les dalles du sanctuaire. En ce lieu avaient été inhumés les deux William Douglas, seigneurs écossais tombés à Verneuil en 1424 pour la défense de la France contre les Anglais. In pace
Quelques précisions : En dépit du nom indiqué sur cette plaque commémorative, il est probable que cette dernière fait référence à Archibald Douglas (1369-1424), un noble écossais, huitième comte de Douglas, et son fils James. Archibald combattit les Anglais à plusieurs reprises, ce qui lui valut plusieurs peines d'emprisonnement. Pendant la Guerre de Cent Ans, il se rend en France en 1421 et remporte une victoire contre les Anglais lors de la bataille de Baugé. Toutefois, trois ans plus tard, les troupes d'Archibald sont vaincues lors de la bataille de Verneuil, durant laquelle Archibald et son fils James sont tués.
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philca · 1 year ago
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Le Prince Noir de Marie Fauré
Le Prince Noir de Marie Fauré (©DR) Tout le monde, surtout dans le Sud-Ouest, connait le Prince Noir. On ne compte plus les auberges, les restaurants, les lieux où a dormi le Prince. Et nous ne parlerons pas ici des forteresses censées lui appartenir, une des plus célèbres étant le « château du Prince Noir », le château de Blanquefort. Mais d’où vient ce surnom et cette célébrité ? Le bel…
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roehenstart · 2 years ago
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Jean d'Orléans, Comte de Dunois.
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dixvinsblog · 1 year ago
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Le mercredi des enfants : adieu Novembre et bonjour décembre !
Novembre vit son dernier mercredi sous le froid et la grisaille, l’hiver est son blanc manteau seront bientôt là et pour les petits loups le temps est venu d’écrire au Père Noel et de lui raconter vos désirs et vos rêves…En attendant voici des comptines hivernales, des jeux et le traditionnel conte de Noel “Les femmes et les hommes nuages” de Carmen Montet�� Bon mercredi à tous ! Comptines…
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jules-and-company · 2 years ago
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he is SO FINE
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je commence à regarder Thierry La Fronde (je vous livebloggerai au fur et à mesure parce que c'est plus drôle que les affaires de la république honnêtement)
le premier épisode commence par un long texte qui défile qui énumère toutes les occasions où la France se fait maraver pendant la Guerre de Cent ans.
Les personnages apparaissent enfin. Thierry parle avec un ami d'un plan contre les anglais.
Enchaînement avec une scène où un gars le trahit.
Retour sur Thierry, son ami lui demande "mais le gars (qu'on a vu la scène juste avant) on peut lui faire confiance ?"
Thierry, super confiant : "complètement ! tiens d'ailleurs le voilà"
le gars arrive avec une troupe d'anglais tiens comme c'est bizarrE....
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dreamconsumer · 9 days ago
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Joan of Arc. By Pierre Gustave Eugene Staal.
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ekman · 5 months ago
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– Je vais vous le dire. Une fois pour toutes. Ce qui nous arrive à nous autres Français descendants de Français, c’est tout à fait dans l’ordre des choses.
– Une baisse de moral, Monsieur le Comte ?
– Tsss tsss. J’irai même plus loin, mon cher : ce qui risque d’arriver à l’humanité entière se justifie pleinement. Les Occidentaux ont complètement perdu le goût de vivre en crucifiant tout ce qui les retenait au sacré. Partout ils exhibent leurs tares et leurs vices. Ils se disent “fiers”. Tristes cloportes, incapables de réagir à la disparition programmée de leur vieille nation. Mais si ça se trouve, le processus va s’accélérer et prendre un chemin bien plus radical que l’asservissement à coups d’impôts, de normes, de flicage et de surinades. Les probabilités d’une guerre étendue à l’Est se confirment chaque jour. Décidément, ces Américains sont d’immondes salopards, et leurs vassaux ne valent pas mieux.
– Ah, vous aussi êtes inquiet de cette situation... Le fils du filleul de mon épouse qui est dans les transmissions, à un niveau que je ne puis divulguer, a prévenu ses parents d’un départ imminent à l’étranger, et pas besoin d’être grand clerc pour savoir de quelle région il parle.
– Vous voyez... Cent dix ans après la plus épouvantable catastrophe de l’histoire de ce continent, les veules crétins qui prétendent nous gouverner sont disposés à remettre le couvert. À cela près que la grosse Bertha d’aujourd’hui, si elle devait cesser de dissuader ces malades mentaux, cracherait des gigatonnes de souffle radioactif sur nos têtes de linottes. Et là, même si nos caves sont profondes, je crains que nous n’ayons le temps de vider tous les cols qui s’y trouvent.
– Ce serait fâcheux, Monsieur le Comte. Quand je pense que Monsieur le Comte votre père était parvenu à les soustraire à la connaissance de l’occupant d’avant... 
– Oh, vous savez, l’occupant d’aujourd’hui prétend ne pas boire d’alcool. Mais ça ne compte plus. Si tout cela doit péter, ils seront caramélisés ou cancérisés de la même façon. L’égalité par l’atome, quelle méchante farce !
– Vous avez raison d’en rire, Monsieur le Comte. De toutes les manières, nous n’aurions pas longtemps à pleurer.
– Je me demande qui portera le chapeau, cette fois. Les Danois, ces socialistes qui se prennent pour des vikings ? Les Polonais, ces abrutis de boutefeux ? Les Estoniens, ces acariatres acariens ? Le flamboyant inverti de l’Élysée, les fesses au chaud au dix-septième sous-sol du palais, en compagnie de son messieurs-dames ?
– Ha ha ! Quelle galerie ! C’est la magie de l’UE, Monsieur le Comte ! – Ce qui me contrarie le plus, c’est que l’atome n’a rien de sélectif. Cela nous condamne à périr avec ces ploucs. Vous rendez-vous compte ? Quel embarras que cette ultime promiscuité !
J.-M. M.
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shakeskp · 3 months ago
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Je ne sais pas pourquoi mes fics Star Wars s'écrivent autant avec des flashbacks, ce n'est pas un truc dont j'ai l'habitude, mais avec ce fandom ça vient naturellement.
Le début du projet Springbreak, aka la romance-qui-aurait-dû-être-épistolaire, aka la fic où Anakin vit une chanson de Fall Out Boy écrite en 2008 et Obi-Wan une ballade d'été mélancolique :
Deux ans après la fin de la guerre, le Haut Conseil perdit la tête et décréta que tous les chevaliers Jedi ayant été adoubés après le début du conflit devraient effectuer l'année de missions en toute indépendance dont ils avaient été privés. Les talents acquis durant la guerre avaient été, eh bien, guerriers, et il était temps de se remémorer l'origine de leur Mission, qui était pacifiste, et de nombreuses planètes avaient besoin de l'intervention d'ambassadeurs neutres.
Anakin trouva cette décision raisonnable, jusqu'à ce qu'il réalise qu'il était également concerné.
-- C'est une blague ? demanda-t-il à Obi-Wan lorsqu'il reçut son premier ordre, une mission pour bébé Jedi dont le nez produirait encore du lait si on appuyait dessus. Je pourrais effectuer cette mission les mains attachées dans le dos et un bâillon sur la bouche.
Même en tant que mission diplomatique, c'était du niveau zéro. Anakin avait été formé par Obi-Wan Kenobi. Ce n'était pas parce qu'il manquait plus vite de patience qu'il était incapable de régler en cinq minutes ce cas de mariage arrangé.
— Parfait, répondit Obi-Wan avec un sourcil haussé. Elle n'en sera réglée que plus vite. Anakin, dit-il plus fort lorsque ce dernier allait insister. Toi plus que n'importe quel autre chevalier mérite cette année de liberté. Tu es l'un des très, très rares à avoir passé la guerre au côté de ton maître plutôt que d'avoir été déployé ailleurs.
Il lui sourit avec une excuse dans le regard.
— Ça te fera beaucoup de bien de pouvoir agir sans que je sois toujours sur ton dos.
Oh non, songea Anakin en réalisant soudain ce que cette histoire ridicule signifiait vraiment.
On voulait le séparer d’Obi-Wan.
***
Anakin savait, objectivement, que le Conseil n'aurait pas créé un décret influençant plus de mille cinq cents Jedi juste pour le séparer d'Obi-Wan. Il n'était pas égocentrique à ce point. Et ayant comparé sa mission à celle de plusieurs de ses compagnons de galère, il savait qu'il n'était pas le seul à être traité comme s'il sortait tout juste de la Crèche.
Mais. Il était Anakin Skywalker. Le Héros Sans Peur. Le pourfendeur de Dark Tyranus et Dark Sidious.
C'était complètement ridicule !
Aussi, après quelque jours à râler sombrement avec d'autres vétérans infantilisés, il demanda à voir le Conseil qui le reçut avec une rapidité louche. Clairement, ils s'étaient attendu à ce qu'il proteste.
Mais ils ne s'étaient certainement pas attendus à ce qu'il allait leur sortir.
Tout le monde, tout le monde oubliait qu'il avait été formé par Obi-Wan. Même Obi-Wan.
— Dans sa grande sagesse...
Même pas une pointe de sarcasme dans sa voix, il espérait vraiment qu'Obi-Wan était fier.
-- ...Le Conseil a décidé que les Jedi ayant été privés d'une année de missions en toute indépendance devraient l'effectuer, à dater du premier du mois prochain. Toutefois...
S'ils croyaient qu'il ne voyait pas leur sourire en coin...
— Ils ne sont pas les seuls à avoir été privé de cette expérience nécessaire à tout Jedi. Le chevalier Koestar, la chevalière An'ki, Maître Ost...
Il continua la liste des quatorze noms qu'il avait dénichés dans la base de données de l'Ordre après trois nuits blanches et une quantité de caf à en empoisonner un wookie. Et enfin...
— La chevalière Aïmetyo et... Maître Kenobi.
Et il le savait mieux que personne, il en était la raison. Obi-Wan l'avait pris comme padawan immédiatement et n'était jamais passé par cette étape initiatique.
-- Anakin, soupira l’interpellé en se pinçant le nez.
Le reste du Conseil le regardait avec une stupéfaction non dissimulée. Il les avait coincés, et ils le savaient. S'il y avait non pas un, mais plusieurs précédents, il n'y avait pas de raison qu'il ne puisse y avoir d'autres exceptions. Et Anakin avait toutes ses chances d'en être une.
— Une excellente remarque, déclara Maître Yoda à la surprise générale, y compris celle d'Anakin.
Il ne s'était pas attendu à ce que le Grand Maître soit le premier à céder, et si vite.
— En délibérer, le Conseil doit. À Maître Windu, la liste, remets.
Dérouté, Anakin s'exécuta, soutenant le regard exaspéré du Maître de l'Ordre.
Il sortit de la salle du Conseil avec un léger sentiment de malaise, le mit sur le compte de l'irritation d'Obi-Wan et se promit de l'inviter à dîner pour se faire pardonner, même s’il n'aurait pas dû en avoir besoin.
Il avait fait ça pour leur bien.
***
— Ce n'était pas du tout ce que je voulais, dit-il, horrifié, quelques heures plus tard.
Obi-Wan, avec un stoïcisme né de ses nombreuses années d'expérience, venait de lui montrer un ordre de mission qui faisait passer celle d'Anakin pour une tâche ardue.
Servir de témoin à l'inauguration du nouveau parc naturel maritime dédié à la paix de Champala ? On le prenait pour un padawan ?
— Ils ont complètement perdu la tête, ils ne peuvent pas se passer de toi en tant que conseiller, c'est n'importe...
— Oh, je ne quitte pas pour autant mon poste, répondit calmement Obi-Wan. Au contraire, je sers d'exemple aux autres Jedi, afin de prouver que le Conseil est juste. Merci, Anakin. Sincèrement.
— Obi-Wan...
— Sur ce, je vais te laisser.
— Où est ce que tu vas ?
— Quinlan et Luminara ont une bouteille de Danse-de-Feu antakarien qui porte mon nom. À demain.
Anakin faillit le rappeler, mais choisit sagement de le laisser partir.
Et peut-être qu’il irait voir ce que lui aussi avait de plus alcoolisé dans son placard.
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lounesdarbois · 6 months ago
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Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
(...)
Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
(...)
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
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Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
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d-bovet · 2 years ago
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Rouen in Normandy : the cathedral , one palace, the big clock .
Rouen en Normandie : la cathédrale, un palais , le gros-horloge , rue du gros-horloge , Rouen (76)
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francepittoresque · 13 days ago
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26 octobre 1440 : exécution de Gilles de Rais ➽ https://cutt.ly/Gilles-Rais Devant hélas davantage sa célébrité aux extravagances, vices et crimes le menant à la potence qu’à ses exploits militaires durant la guerre de Cent Ans aux côtés de Jeanne d’Arc, Gilles de Rais, fréquemment confondu avec le personnage de « Barbe Bleue » du conte de Perrault, ne laisse pas, aujourd’hui encore, de susciter les controverses quant à sa culpabilité
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