#guerre de cent ans
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La Pucelle.
#royaume de france#guerre de cent ans#hundred years war#la pucelle#jeanne d'arc#la pucelle d'orléans#saints#hundred years' war#la guerre de cent ans
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Joanne for my pricelist
#history art#art#french history#joan of arc#jeanne d'arc#my art#Guerre de Cent Ans#Hundred Years' War#13th century#knight#woman knight
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Plaque en hommage à : Jeanne d'Arc
Type : Commémoration
Adresse : Château royal de Blois, place du Château, 41000 Blois, France
Date de pose : 1929 [inscrite]
Texte : Jeanne d'Arc arrive à Blois le 25 avril 1429. Elle y organise son armée, fait bénir son étendard en l'église St-Sauveur et part le 27 avril pour délivrer Orléans
Quelques précisions : Jeanne d'Arc (v. 1412-1431) est une héroïne de l'histoire de France, plus tard canonisée par l’Église catholique. Surnommée la Pucelle d'Orléans, elle est une figure majeure de l'histoire de France pour le rôle qu'elle a joué pendant la Guerre de Cent Ans opposant la France et l'Angleterre. Persuadée d'avoir entendu des voix de saints lui demandant de libérer la France de la présence des troupes anglaises, elle parvient à obtenir audience auprès du dauphin Charles VII, qui l'envoie à Orléans, alors assiégée. Sa ferveur et son courage y inspirent les troupes françaises et la ville est finalement libérée au début du mois de mai 1429, faisant de Jeanne d'Arc une héroïne aux yeux de la population. Elle prend part à d'autres campagnes militaires, plus ou moins couronnées de succès, mais finit par être capturée par les Bourguignons (une faction française opposée aux Armagnacs qui soutiennent Charles VII), qui la vendent aux Anglais. Accusée d'hérésie, Jeanne d'Arc est jugée lors d'un procès ecclésiastique, qui la condamne à mort. Jeanne d'Arc périt ainsi sur le bûcher à Rouen en 1431. Elle sera toutefois réhabilitée par la suite et complètement innocentée. Ses actions héroïques et son destin tragique sont à l'origine d'une iconographie très importante, de multiples œuvres artistiques adaptant toute ou partie de sa vie, et donnent également parfois lieu à des théories abracadabrantesques sur sa possible survie au bûcher. D'autres plaques commémoratives en son honneur peuvent être trouvées en France, en particulier à Orléans mais aussi à Tours.
#individuel#femmes#commemoration#militaires#guerre de cent ans#france#loir et cher#blois#jeanne d'arc#datee
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Pembroke castle
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#Bataille de Bosworth#Elizabeth Chadwick#Elizabeth I#Georges Duby#Guerre de cent ans#Guerre des deux roses#Guillaume le Maréchal#Henry II#Henry le jeune#Henry VII#Henry VIII#Pembroke castle#Pembrokeshire#Shakespeare#Vikings#William Marshall
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Le Prince Noir de Marie Fauré
Le Prince Noir de Marie Fauré (©DR) Tout le monde, surtout dans le Sud-Ouest, connait le Prince Noir. On ne compte plus les auberges, les restaurants, les lieux où a dormi le Prince. Et nous ne parlerons pas ici des forteresses censées lui appartenir, une des plus célèbres étant le « château du Prince Noir », le château de Blanquefort. Mais d’où vient ce surnom et cette célébrité ? Le bel…
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Exceptionnel anneau en ivoire, gravé des #armoiries de Gilbert Talbot (1552-1616), 7e comte de Shrewsbury, pair d'Angleterre, entourées de la devise de l'ordre de la Jarretière «Honi soit qui mal y pense», dont-il avait été fait chevalier en 1592 🇬🇧 #Heraldry #England
Ivory ring of Gilbert Talbot with the memorial devise of « Honi soit qui mal y pense » in French coming of the Northmen influence after Guillaume the conquest in 1066 coming from Normandy !
Gilbert was honored just before : « de l’ordre de la Jarretière »
This devise is still this of the Royal family in England (Elisabeth II , then Charles III) with the other one : « Dieu et mon droit » always in French.
#breizh#bretagne#brittany#french#cotesdarmor#english channel#middle ages#france#moyen âge#imperial war museum#regency#plantagenets#windsor#moyenâge#england#royalty#royaume uni#royauté#guerre de cent ans#armorial#noblesse#queen elizabeth ii#charles iii#bijoux#jewelry#ivorywork#ivoire#antique#antiquities
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Le mercredi des enfants : adieu Novembre et bonjour décembre !
Novembre vit son dernier mercredi sous le froid et la grisaille, l’hiver est son blanc manteau seront bientôt là et pour les petits loups le temps est venu d’écrire au Père Noel et de lui raconter vos désirs et vos rêves…En attendant voici des comptines hivernales, des jeux et le traditionnel conte de Noel “Les femmes et les hommes nuages” de Carmen Montet… Bon mercredi à tous ! Comptines…
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he is SO FINE
#il a commencé la guerre de cent ans ? c’est PAS GRAVE#moi je lui pardonne#parce que monseigneur est beau#que monseigneur est drôle#et que monseigneur est celui qui a le moins fait de coups bas#je dis pas qu’il a jamais fait deux trois saloperies#mais globalement il annonçait ce qu’il allait faire à pas mal de gens#robert d’artois forever les loulous#les rois maudits
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je commence à regarder Thierry La Fronde (je vous livebloggerai au fur et à mesure parce que c'est plus drôle que les affaires de la république honnêtement)
le premier épisode commence par un long texte qui défile qui énumère toutes les occasions où la France se fait maraver pendant la Guerre de Cent ans.
Les personnages apparaissent enfin. Thierry parle avec un ami d'un plan contre les anglais.
Enchaînement avec une scène où un gars le trahit.
Retour sur Thierry, son ami lui demande "mais le gars (qu'on a vu la scène juste avant) on peut lui faire confiance ?"
Thierry, super confiant : "complètement ! tiens d'ailleurs le voilà"
le gars arrive avec une troupe d'anglais tiens comme c'est bizarrE....
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– Je vais vous le dire. Une fois pour toutes. Ce qui nous arrive à nous autres Français descendants de Français, c’est tout à fait dans l’ordre des choses.
– Une baisse de moral, Monsieur le Comte ?
– Tsss tsss. J’irai même plus loin, mon cher : ce qui risque d’arriver à l’humanité entière se justifie pleinement. Les Occidentaux ont complètement perdu le goût de vivre en crucifiant tout ce qui les retenait au sacré. Partout ils exhibent leurs tares et leurs vices. Ils se disent “fiers”. Tristes cloportes, incapables de réagir à la disparition programmée de leur vieille nation. Mais si ça se trouve, le processus va s’accélérer et prendre un chemin bien plus radical que l’asservissement à coups d’impôts, de normes, de flicage et de surinades. Les probabilités d’une guerre étendue à l’Est se confirment chaque jour. Décidément, ces Américains sont d’immondes salopards, et leurs vassaux ne valent pas mieux.
– Ah, vous aussi êtes inquiet de cette situation... Le fils du filleul de mon épouse qui est dans les transmissions, à un niveau que je ne puis divulguer, a prévenu ses parents d’un départ imminent à l’étranger, et pas besoin d’être grand clerc pour savoir de quelle région il parle.
– Vous voyez... Cent dix ans après la plus épouvantable catastrophe de l’histoire de ce continent, les veules crétins qui prétendent nous gouverner sont disposés à remettre le couvert. À cela près que la grosse Bertha d’aujourd’hui, si elle devait cesser de dissuader ces malades mentaux, cracherait des gigatonnes de souffle radioactif sur nos têtes de linottes. Et là, même si nos caves sont profondes, je crains que nous n’ayons le temps de vider tous les cols qui s’y trouvent.
– Ce serait fâcheux, Monsieur le Comte. Quand je pense que Monsieur le Comte votre père était parvenu à les soustraire à la connaissance de l’occupant d’avant...
– Oh, vous savez, l’occupant d’aujourd’hui prétend ne pas boire d’alcool. Mais ça ne compte plus. Si tout cela doit péter, ils seront caramélisés ou cancérisés de la même façon. L’égalité par l’atome, quelle méchante farce !
– Vous avez raison d’en rire, Monsieur le Comte. De toutes les manières, nous n’aurions pas longtemps à pleurer.
– Je me demande qui portera le chapeau, cette fois. Les Danois, ces socialistes qui se prennent pour des vikings ? Les Polonais, ces abrutis de boutefeux ? Les Estoniens, ces acariatres acariens ? Le flamboyant inverti de l’Élysée, les fesses au chaud au dix-septième sous-sol du palais, en compagnie de son messieurs-dames ?
– Ha ha ! Quelle galerie ! C’est la magie de l’UE, Monsieur le Comte ! – Ce qui me contrarie le plus, c’est que l’atome n’a rien de sélectif. Cela nous condamne à périr avec ces ploucs. Vous rendez-vous compte ? Quel embarras que cette ultime promiscuité !
J.-M. M.
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Joan of Arc. By Pierre Gustave Eugene Staal.
#Mary Cowden Clarke#pierre gustave eugene staal#World Noted Women#jeanne d'arc#la pucelle d'orléans#guerre de cent ans#hundred years war#la pucelle#royaume de france#la guerre de cent ans#engraving#joan of arc#engravings
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Je ne sais pas pourquoi mes fics Star Wars s'écrivent autant avec des flashbacks, ce n'est pas un truc dont j'ai l'habitude, mais avec ce fandom ça vient naturellement.
Le début du projet Springbreak, aka la romance-qui-aurait-dû-être-épistolaire, aka la fic où Anakin vit une chanson de Fall Out Boy écrite en 2008 et Obi-Wan une ballade d'été mélancolique :
Deux ans après la fin de la guerre, le Haut Conseil perdit la tête et décréta que tous les chevaliers Jedi ayant été adoubés après le début du conflit devraient effectuer l'année de missions en toute indépendance dont ils avaient été privés. Les talents acquis durant la guerre avaient été, eh bien, guerriers, et il était temps de se remémorer l'origine de leur Mission, qui était pacifiste, et de nombreuses planètes avaient besoin de l'intervention d'ambassadeurs neutres.
Anakin trouva cette décision raisonnable, jusqu'à ce qu'il réalise qu'il était également concerné.
-- C'est une blague ? demanda-t-il à Obi-Wan lorsqu'il reçut son premier ordre, une mission pour bébé Jedi dont le nez produirait encore du lait si on appuyait dessus. Je pourrais effectuer cette mission les mains attachées dans le dos et un bâillon sur la bouche.
Même en tant que mission diplomatique, c'était du niveau zéro. Anakin avait été formé par Obi-Wan Kenobi. Ce n'était pas parce qu'il manquait plus vite de patience qu'il était incapable de régler en cinq minutes ce cas de mariage arrangé.
— Parfait, répondit Obi-Wan avec un sourcil haussé. Elle n'en sera réglée que plus vite. Anakin, dit-il plus fort lorsque ce dernier allait insister. Toi plus que n'importe quel autre chevalier mérite cette année de liberté. Tu es l'un des très, très rares à avoir passé la guerre au côté de ton maître plutôt que d'avoir été déployé ailleurs.
Il lui sourit avec une excuse dans le regard.
— Ça te fera beaucoup de bien de pouvoir agir sans que je sois toujours sur ton dos.
Oh non, songea Anakin en réalisant soudain ce que cette histoire ridicule signifiait vraiment.
On voulait le séparer d’Obi-Wan.
***
Anakin savait, objectivement, que le Conseil n'aurait pas créé un décret influençant plus de mille cinq cents Jedi juste pour le séparer d'Obi-Wan. Il n'était pas égocentrique à ce point. Et ayant comparé sa mission à celle de plusieurs de ses compagnons de galère, il savait qu'il n'était pas le seul à être traité comme s'il sortait tout juste de la Crèche.
Mais. Il était Anakin Skywalker. Le Héros Sans Peur. Le pourfendeur de Dark Tyranus et Dark Sidious.
C'était complètement ridicule !
Aussi, après quelque jours à râler sombrement avec d'autres vétérans infantilisés, il demanda à voir le Conseil qui le reçut avec une rapidité louche. Clairement, ils s'étaient attendu à ce qu'il proteste.
Mais ils ne s'étaient certainement pas attendus à ce qu'il allait leur sortir.
Tout le monde, tout le monde oubliait qu'il avait été formé par Obi-Wan. Même Obi-Wan.
— Dans sa grande sagesse...
Même pas une pointe de sarcasme dans sa voix, il espérait vraiment qu'Obi-Wan était fier.
-- ...Le Conseil a décidé que les Jedi ayant été privés d'une année de missions en toute indépendance devraient l'effectuer, à dater du premier du mois prochain. Toutefois...
S'ils croyaient qu'il ne voyait pas leur sourire en coin...
— Ils ne sont pas les seuls à avoir été privé de cette expérience nécessaire à tout Jedi. Le chevalier Koestar, la chevalière An'ki, Maître Ost...
Il continua la liste des quatorze noms qu'il avait dénichés dans la base de données de l'Ordre après trois nuits blanches et une quantité de caf à en empoisonner un wookie. Et enfin...
— La chevalière Aïmetyo et... Maître Kenobi.
Et il le savait mieux que personne, il en était la raison. Obi-Wan l'avait pris comme padawan immédiatement et n'était jamais passé par cette étape initiatique.
-- Anakin, soupira l’interpellé en se pinçant le nez.
Le reste du Conseil le regardait avec une stupéfaction non dissimulée. Il les avait coincés, et ils le savaient. S'il y avait non pas un, mais plusieurs précédents, il n'y avait pas de raison qu'il ne puisse y avoir d'autres exceptions. Et Anakin avait toutes ses chances d'en être une.
— Une excellente remarque, déclara Maître Yoda à la surprise générale, y compris celle d'Anakin.
Il ne s'était pas attendu à ce que le Grand Maître soit le premier à céder, et si vite.
— En délibérer, le Conseil doit. À Maître Windu, la liste, remets.
Dérouté, Anakin s'exécuta, soutenant le regard exaspéré du Maître de l'Ordre.
Il sortit de la salle du Conseil avec un léger sentiment de malaise, le mit sur le compte de l'irritation d'Obi-Wan et se promit de l'inviter à dîner pour se faire pardonner, même s’il n'aurait pas dû en avoir besoin.
Il avait fait ça pour leur bien.
***
— Ce n'était pas du tout ce que je voulais, dit-il, horrifié, quelques heures plus tard.
Obi-Wan, avec un stoïcisme né de ses nombreuses années d'expérience, venait de lui montrer un ordre de mission qui faisait passer celle d'Anakin pour une tâche ardue.
Servir de témoin à l'inauguration du nouveau parc naturel maritime dédié à la paix de Champala ? On le prenait pour un padawan ?
— Ils ont complètement perdu la tête, ils ne peuvent pas se passer de toi en tant que conseiller, c'est n'importe...
— Oh, je ne quitte pas pour autant mon poste, répondit calmement Obi-Wan. Au contraire, je sers d'exemple aux autres Jedi, afin de prouver que le Conseil est juste. Merci, Anakin. Sincèrement.
— Obi-Wan...
— Sur ce, je vais te laisser.
— Où est ce que tu vas ?
— Quinlan et Luminara ont une bouteille de Danse-de-Feu antakarien qui porte mon nom. À demain.
Anakin faillit le rappeler, mais choisit sagement de le laisser partir.
Et peut-être qu’il irait voir ce que lui aussi avait de plus alcoolisé dans son placard.
#il y a des chances que je doive le réécrire entièrement parce que le reste a un ton complètement différent#on verra#j'ai presque 8000 mots pour le moment#il ne s'est pas passé grand-chose et je ne sais pas trop ce que la suite va donner#yolo comme disent les plus si jeunes#blabla#mes scribouillis#obikin
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Plaque en hommage à : Jeanne d'Arc
Type : Lieu de résidence
Adresse : Maison de Jeanne d'Arc, 3 place du Général de Gaulle, 45000 Orléans, France
Date de pose : Inconnue
Texte : Dans cette maison reconstituée en 1965, Jeanne d'Arc a été l'hôte de Jacques Boucher, trésorier du duc d'Orléans du 29 avril au 9 mai 1429
Quelques précisions : Jeanne d'Arc (v. 1412-1431) est une héroïne de l'histoire de France, plus tard canonisée par l’Église catholique. Surnommée la Pucelle d'Orléans, elle est une figure majeure de l'histoire de France pour le rôle qu'elle a joué pendant la Guerre de Cent Ans opposant la France et l'Angleterre. Persuadée d'avoir entendu des voix de saints lui demandant de libérer la France de la présence des troupes anglaises, elle parvient à obtenir audience auprès du dauphin Charles VII, qui l'envoie à Orléans, alors assiégée. Sa ferveur et son courage y inspirent les troupes françaises et la ville est finalement libérée au début du mois de mai 1429, faisant d'elle une héroïne aux yeux de la population. Elle prend part à d'autres campagnes militaires, plus ou moins couronnées de succès, mais finit par être capturée par les Bourguignons (une faction française opposée aux Armagnacs qui soutiennent Charles VII), qui la vendent aux Anglais. Accusée d'hérésie, elle est jugée lors d'un procès ecclésiastique, qui la condamne à mort. Elle périt ainsi sur le bûcher à Rouen en 1431. Elle sera toutefois réhabilitée par la suite et complètement innocentée. Ses actions héroïques et son destin tragique sont à l'origine d'une iconographie très importante, de multiples œuvres artistiques adaptant toute ou partie de sa vie, et donnent également parfois lieu à des théories abracadabrantesques sur sa possible survie au bûcher. D'autres plaques commémoratives en son honneur peuvent être trouvées en France, par exemple à Tours et à Blois.
#individuel#femmes#residence#militaires#guerre de cent ans#france#loiret#orleans#non datee#jeanne d'arc
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Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
(...)
Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
(...)
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
#E&R#Chartres#Paris#France#Tradition#Religion#Catholique#Pèlerinage#Julien Langella#Academia Christiana#La Martinerie#FSSPX#ICRSP#FSSP
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6 : dans une classe différente
Pour ce nouveau jour, c'est la Brave du Corps, Metaheta, qui est à l'honneur, même si elle n'est pas bien contente de ce qu'elle récolte comme "armure" et des propos de sa descendante, Hilda (et on en profite pour mettre un taquet sur le gout... discutable des classes féminines de ce jeu !)
Normalement, Metaheta est une combattante au corps à corps qui n'utilise que ses poings et ses jambes pour se battre, elle n'a pas vraiment de coup à distance (comme des sorts classiques) pour attaquer à part quand elle décide de vous balancer la moitié de sa montagne sur la figure ou quand elle se fait grandir pour vous écraser. Elle est très résistance et grâce à sa très grande capacité de régénération, ses blessures se referment très vite quand ses ennemis arrivent à la toucher. Elle a également de très nombreux yeux sur tout le corps (notamment dans le dos) qui lui permettent de voir sous tous les angles. Sa sorcellerie est pensée pour la rendre plus ou moins imbattable étant donné qu'elle est la plus âgée de sorciers (1 200 ans en tout, dont deux cent ans à survivre aux agarthans qui ont chassé son peuple pour le fun car, ils les considéraient comme des animaux, elle est même devenue une des premières sorcières de l'histoire pour pouvoir protéger les siens).
Même si je ne met jamais mes sorciers dans une classe spécifique du jeu (leurs pouvoirs sont justes trop particuliers pour pouvoir être catégoriser, même si certains utilisent des armes blanches, notamment Siopélè, l'ancêtre de Marianne, qui utilise constamment une épée), je pense que pour Metaheta, elle serait surement un maitre de guerre, même si elle se débarrasserait de tout ce qui est inutile dessus pour être le plus libre de ses mouvements possible (la cape, l'énorme protection d'épaule qui lui bouche la vue... tout ça, ça dégage !), surtout qu'elle ne fait pas vraiment attention à ses affaires quand elle se bat. Elle se donne juste à fond sans penser à autre chose que de défoncer l'adversaire et de protéger sa cité donc, ses vêtements finissent souvent en lambeaux ou imprégner de sang alors, elle met quelque chose de facile à réparer ou pas trop cher (même si c'est la seule des Braves qui est riche) histoire de ne pas jeter du tissu à la poubelle (une de scènes les plus marquantes que j'ai en tête à son sujet, c'est quand les agarthans arrivent à l'attirer dans une embuscade en volant la peau de son frère et en se faisant passer pour lui. Quand elle se rend compte de la supercherie, elle devient ivre de rage et massacre toute la troupe à elle toute seule à mains nues, en particulier celui qui ose se faire passer pour son frère dont il a arraché la peau comme celle d'une vulgaire proie qui finit réduit en charpie à coup de poing, tellement que rien ne pourrait soupçonné que ce tas de chair a été un agarthan ou un humain alors qu'elle est intégralement couverte de sang rouge-brun d'agarthan, avec juste l'écarlate de l'oeil sur son front qui s'ouvre à ce moment-là alors qu'elle jure de les tuer tous jusqu'au dernier [même si contrairement aux agarthans - et aux responsables de la Tragédie de Duscur - elle ne tuera que les combattants et les décisionnaires, elle laisse toujours partir les civils qui n'ont rien demander ni fait à part naitre dans le mauvais peuple]). Alors, étant donné qu'elle est une sorcière et qu'elle manie la magie, je pense qu'elle pourrait finir grémorys si on la changeait de classe, même si ça ne corresponds presque pas à ses vrais capacités.
Cependant, elle DETESTERAIT avec ses tripes l'uniforme des grémorys !
Je ne suis surement pas la première à le dire mais, les tenues féminines de ce jeu ont beaucoup trop d'élément qui ne sont là que pour le plaisir des joueurs masculins et pas du tout pour la protection des combattantEs ! Un des meilleurs exemples de ça, la classe des enchanteurs :
Si la tenue masculines ressemblent à ce qu'on attend d'un magicien relativement classiques dans la pop culture (grande robe, grand chapeau, beaucoup de tissu de partout...) l'habit féminin est très genré, avec la taille qui est souligné et cintré (là où elle est invisible pour les hommes) et surtout cet énorme fenêtre pour seins inutiles sur un champ de bataille, c'est juste se mettre une énorme cible en plein sur la partie la plus sensible du corps avec écrit dessus "tuez moi SVP !". C'est encore plus flagrant quand on se souvient que la plupart des utilisateurs de magie de Raison sont des femmes (Annette, Dorothéa, Lysithéa, voir Mercedes avec si on la développe sur le plan offensif et de la Raison), et la classe de grémory qui est également très genré et révélatrice pour rien est réservée aux femmes alors, le but des développeurs devient assez évident. Je ne demande pas à ce qu'une classe d'un jeu vidéo de fantasy soit ultra réaliste (même si je pense sincèrement que de vrais armures bien faites et documentées serait bien plus cool et agréable à regarder que... ça pour les batailleurs) mais, là, c'est évident que les développeurs voulaient juste transformer leurs personnages féminins en bonbon pour les yeux (eye candy pour les anglophones) pour le grand plaisir de leurs joueurs masculins hétéros, le grand désespoir du reste de la fanbase et surtout les femmes qui en ont marre d'être limité à une paire de sein et des fesses qui bougent pour décorer le champ de vision de hommes.
Alors, allez, autant profiter de cette invit' pour faire un petit braquage et montrer une combattante qui a une réaction censée face à un habit pareil ! Elle est donc dégoutée par cette tenue qui la serre, et pète juste un cable quand elle comprend que les hommes ne se l'inflige pas alors, c'est juste pour qu'ils se rincent l'oeil sur leurs camarades. Elle vient de l'époque mycénienne, les femmes avaient une place importante dans cette civilisation et elle-même a toujours eu une position d'autorité, notamment grâce à son rôle de sorcière, et elle a toujours été solidaire avec toutes les femmes, même quand celles des autres cités perdent de l'importance et de l'autonomie dans les autres cités. Elle ne supporte donc pas que l'on l'objectifie ainsi et préfère tout déchirer pour aller se battre en pagne, c'est toujours mieux que ce truc ! En plus, la civilisation de Metaheta étant inspirée de l'époque mycénienne, l'habit normal des femmes étaient une jupe, avec ou sans une sorte de boléro qui laissait souvent la poitrine découverte. C'est donc complètement normal pour elle de laisser sa poitrine à l'air libre (elle porte souvent juste une jupe pour garder un maximum de ses yeux découverts) et comme elle voie que Hilda porte une mini-jupe, elle se dit que c'est normal aussi alors, elle ne se gêne pas, histoire d'encore gagner en visibilité. En plus, j'aimais bien le contraste entre son corps couvert de fierté qui est très chargé, et le côté très uni du tissu qu'elle porte quand je la dessine.
(différentes peintures et un sarcophages décoré mycéniens, c'est juste magnifique !)
Petit point anecdote de dessin : d'habitude, je ne met jamais autant en valeur les courbes d'un personnage en mettant le détail de la poitrine et des fesses comme ici, j'ai ajouté ses détails pour montrer à quel point la tenue la serrait et était moulante, ce qui la rend évidemment encore moins pratique. C'est aussi pour ça que j'ai enlevé les muscles ou le relief des yeux de Metaheta, pour renforcer encore plus l'aspect "on se fiche des particularités de ton corps, tout ce qu'on veut, c'est des fesses et des seins d'une femme au corps de mannequin qui ne peut pas nous défoncer la gueule si on la mate", alors que même si elle peut changer d'apparence et que ce n'est pas rare qu'elle cache ses muscles quand elle tente de tromper quelqu'un, elle est très fière de ses fiertés et de ses muscles alors, elle les laisse visible autant qu'elle peut.
(Et faut vraiment que je trouve le courage de faire une fiche de personnage pour Metaheta pour que ses fiertés restes régulières - -' )
#fe3h oc drawcember#fe3h#fe3h oc#dessin de curieuse#écriture de curieuse#j'espère que ça vous plait surtout !#c'était un truc que je voulais faire depuis un moment : qu'est-ce que c'est que ces habits pour les femmes ?!#Je sais que c'est un code du JRPG mais on peut changer les choses vous savez !#Et Metaheta est parfaite pour s'énerver contre ce genre de pratique !#Je vais pas avoir le temps de le faire mais j'aurais bien fait l'équivalent avec un perso masculin qui subit aussi une armure féminine#genre Pertinax vu que c'est bien son genre de s'énerver quand on tente de le déguiser avec un truc pas pratique#il se retrouve avec l'armure de savante mortelle ou d'assassine il va pas apprécier alors avec celle des magiciennes...#il ferait comme Metaheta : autant aller se battre à poil... et surtout rendez-moi mes vêtements !#enfin ça se fera peut-être un jour...#j'espère surtout que celle-ci vous plait !#et faut vraiment que je fasse une fiche de perso pour Metaheta ^^'#C'était long de faire toutes les fiertés - surtout sur le 2e - mais c'était satisfaisant une fois le crayon gommé !#et je sais je me suis trompé pour les mains le pouce était à l'envers à la base... ma faute habituelle... j'ai corrigé comme j'ai pu - -'
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5 décembre 1360 : création du « franc à cheval » ou « franc d’or » ➽ http://bit.ly/Creation-Franc Premier franc de l’histoire monétaire française, le « franc à cheval » est créé. Cette pièce d’or valant une livre tournois est frappée pendant la guerre de Cent Ans, au moment de la libération du roi Jean le Bon, qui avait été capturé par les Anglais en 1356 à la bataille de Poitiers
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