#parce que monseigneur est beau
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he is SO FINE
#il a commencé la guerre de cent ans ? c’est PAS GRAVE#moi je lui pardonne#parce que monseigneur est beau#que monseigneur est drôle#et que monseigneur est celui qui a le moins fait de coups bas#je dis pas qu’il a jamais fait deux trois saloperies#mais globalement il annonçait ce qu’il allait faire à pas mal de gens#robert d’artois forever les loulous#les rois maudits
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«Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
(Emmanuel Macron, 24/11/2020)
La Verneinung se traduit le plus souvent en français par dénégation... L’exemple vient de Freud: lorsqu’un de ses analysants lui raconte un rêve et dit: "qui que soit cette femme dans mon rêve, ce n’est pas ma mère..." Freud en conclut que bien entendu il parle de sa mère. Dire en niant ne dit pas moins que dire en affirmant...
Comme remarque Lacan: «La Verneinung n’est que la pointe la plus affirmée de ce que je pourrais appeler "l’entre-dit", comme on dit l’entrevue.»
Notons également que le président parle au "je" : «Je ne rendrai pas le vaccin obligatoire.»
Le roi qui se prend pour le roi n’est il pas plus fou que le fou qui se prend pour le roi? Pour le psychanalyste, la normalité, c'est la psychose. Mais psychose et folie ne se recouvrent pas. Normal ça veut dire qu'il y a une norme, or il n'y a pas de norme sexuelle, et c'est bien pour ça qu'on passe son temps à inventer des normes sociales. La norme mâle... Névrose («je ne veux pas savoir»), psychose («je ne peux pas savoir») et perversion («je sais bien mais quand même») sont les trois structures de langage incorporé, nul sujet n’échappe à la structure.
NB: Le noyau psychotique est la norme, car c'est l’universel pour chaque sujet de ne pas pouvoir savoir...
Toujours dans la même allocution, Emmanuel Macron dit aussi: «Nos concitoyens ont besoin en effet d'avoir une vie, si je puis dire(...)»
Monseigneur est trop bon. Vraiment….
Tomber malade ou amoureux…
Toutes les gesticulations gouvernementales vides autour du covid (confinements, masques, couvre-feu, etc.) ont autant d’impact sur la propagation du virus que les danses tribales pour faire tomber la pluie... (En fin de compte, ce qui se sera passé en Suède en donnera la confirmation...)
Le véritable point saillant est toujours le rapport du sujet à la peur, la jouissance de la peur, l’instrumentalisation de la peur et son corrélât fantasmatique: l’illusion de la maîtrise.
Tomber malade n’est pas sans rapport avec tomber amoureux, cela n'arrive jamais pour des raisons "objectives", dans un premier temps, le sujet sent la maîtrise lui échapper, d’où l’impression de "tomber", et ensuite il (se) raconte une histoire pour tenter de "rationnaliser" ce qui aura échappé à la chaîne des causes et des effets...
Si je me questionne sur les "raisons" qui me font tomber amuoureux, j'ai beau énumérer ses qualités, je sais que ce n'est jamais "ça"... Ce qui m’aura attiré en l'autre, c'est un "je ne sais quoi" qui n'appartient pas à la série des raisons objectives, c'est peut être même l'index d'un défaut... Formellement, tomber amoureux a la structure d'une décision. Contrairement aux idées reçues, ce qui s'appelle à proprement parler "décision" est un acte qui pose rétroactivement ses raisons, le fameux "nachtrag" freudien que l’on retrouve dans la "performativité rétroactive du signifiant" chez Lacan...
C'est parce que suis déjà tombé amoureux (ou que j'ai toujours déjà décidé) qu'ensuite je me raconte des histoires pour essayer de rationnaliser (rendre "raisonnable") ce qui a effectivement échappé à la chaîne des causes et des effets, et qui se trouve dès lors marqué du sceau du Réel...
Dans "ce qui se passe", cela se passe sans que nous ayons l’impression d’y avoir été pour grand chose, ce n’est qu’après-coup que nous "reconstruisons l’histoire" pour essayer de donner du sens, un semblant de cohérence à notre existence, en produisant un récit plus ou moins convaincant qui nous donne l’illusion de maîtriser le cours de notre vie, alors que nous ne sommes le plus souvent que les observateurs passifs de ce qu’on appelle "le cours des choses" (ou "le destin"), raison pour laquelle nous passons notre temps à refouler l’inquiétude que notre radicale passivité génère en nous engageant dans toutes sortes de distractions, d’actions, de divertissements...
L’absence de maîtrise (et même de la moindre prise) dans ce qui se sera présenté à nous comme les événements les plus déterminants de notre vie nous apparaît si difficile à admettre qu’elle explique le succès de la posture de "victime" car elle offre une échappatoire au sentiment de culpabilité (si nous sommes coupables, cela veut dire que ce qui nous arrive aura dépendu de nous, donc nous aurions pu faire autrement et entreprendre de nous sauver nous-mêmes...)
L’impasse "culpabilité/victimisation" a été explorée par Kafka: d’un côté, dans la logique du Château, il n’existe aucun pardon pour les innocents (raison pour laquelle pour être entendu, tu dois d'abord trouver de quoi tu es coupable...), de l’autre: «...je ne prétends pas être un martyr. Ni même une victime de la société. Non, je ne suis pas une victime, je suis un membre de la société...» K. rejette le rôle de victime, il finit par déclarer que si l'on peut parler de conspiration (le "complotisme" d’aujourd’hui), c'est seulement dans la mesure où la fonction essentielle des gens du "pouvoir" est de persuader les sujets qu'ils sont les victimes de forces irrationnelles absurdes, que le monde est fou, dépourvu de sens et dangereux... Comment dès lors ne pas piger l’importance dans l’idéologie de la profusion et l’entretien des "informations" destinées à inquiéter les populations, en distillant la peur, en soufflant l’effroi, afin que le plus grand nombre possible de nos concitoyens soit maintenu en suggestion de victimisation (qui à tout prendre, puisqu’elle est "socialement reconnue" sera préférée aux affres de la culpabilité...)
Une psychanalyse menée jusqu’à son terme logique aura conclu à l’inconsistance de l’Autre, le grand Autre, avec un grand A, et il n’y a donc, pour le sujet qui en émerge, rien d’autre au monde qu’un objet petit a, conformément à l’écriture de son fantasme ($ <>a) par lequel il "voit le monde" — la psychanalyse, à l’instar du marxisme, n’étant pas une Weltanshauung. Le sujet s’y retrouve à assumer sa responsabilité, ce en quoi il échappe à l’impasse mortifère de l’alternative victimisation/culpabilité: être responsable cela veut simplement dire qu’il accepte de répondre de sa position de sujet, en tant qu’il est rejet de la chaîne signifiante: qu’on le veuille ou non, de notre position de sujet, nous sommes toujours responsable, ceci constitue le fondement indépassable de l’éthique psychanalytique, qui débouche et renouvelle la perspective formulée par Kant de la sortie de notre propre "minorité"...
En inventant la psychanalyse il y a plus d’un siècle, Freud nous interdit désormais de faire comme si nous ne savions pas que les mots savent de nous des choses que nous ignorons d’eux.
L’actualité du malaise dans la civilisation, c’est une époque malade comme jamais de la déliquescence du langage, et cette déréliction produit la vraie pollution, la pollution la plus toxique, la mère de toutes les pollutions.
Ce qui s’appelle Discours Capitaliste, dans l’acception lacanienne, ce n’est pas le discours tenu par des capitalistes, mais un effet de structure qui fait que le sujet croit qu’il est le maître des signifiants, et la langue en usage un simple instrument à sa disposition...
Nos sociétés occidentées soi-disant «progressistes et tolérantes» s’élèvent ainsi à des sommets de crétinerie autoflagellatoire jamais atteints historiquement...
Du temps des Grecs anciens, la «société» se mettait en scène pour les dieux, aujourd’hui elle se donne en spectacle à elle-même, dans une représentation permanente, répétant inlassablement dans les médias ou sur les réseaux dits sociaux le lexique et la syntaxe du discours dominant, s’imaginant qu’elle pourrait ainsi atteindre au «sourdre de la source» à partir de l'eau stagnante des égouts.
Le sujet du Discours Capitaliste qui croit s’opposer au capitalisme a autant conscience d’être pris dans un discours que le poisson a conscience de l’eau dans laquelle il baigne.
Se poser en s’opposant renforce ce à quoi on s’oppose.
La première révolution accessible au sujet est celle d’avoir osé faire un tour sur soi-même, à savoir le tour complet des quatre discours, aller et retour, afin de prendre en lui-même l’immarcescible sujet de l’énonciation dans ses propres énoncés.
Cela s’annonce avec le Discours de l’Analyste.
Comment la considération politique aujourd'hui pourrait-elle faire l’impasse sur ce qui, dans son acception stricte lacanienne, se définit d’être le Discours de l'Analyste?
Le Discours de l'Analyste ce n’est pas le discours tenu par les psychanalystes (rares parmi ceux qui se disent «psychanalyste» sont à la hauteur de ses exigences) c'est au contraire le Discours qui, en tant que structure interdéfinie avec les trois autres Discours (plus un), soutient le destin des quelques uns qui ont choisi de se mettre délibérément à son service ; le Discours de l’Analyste c’est avant tout le lien social déterminé par la pratique d’une analyse.
Pour que ce lien social ait été mis à jour, encore aura-t-il fallu que l'objectif de la cure ait été atteint, autrement dit la dissociation de a et A ait été correctement menée, car si cette «séparation» n'a pas eu lieu (étape logique succédant à l'aliénation) l'Autre continue de fonctionner comme un grand Autre non castré, non barré, entier, représentant absolu du domaine de la nécessité, qui contient sa propre raison, alors que l'opération qui sépare l'Autre de sa cause, place cette cause à la fois hors de la sphère du sujet, et hors de la sphère de l'Autre, c'est à dire au point de leur impossible intersection.
Le Discours de l'Analyste est ainsi le seul Discours qui permette au sujet, qui s’y prend délibérément, d’assumer sa division constitutive, tout en déterminant sa confrontation au Réel, à laquelle il est forcément convoqué puisqu’il en est partie prenante.
Le Discours de l’Analyste non seulement permet de rendre compte que de notre position de sujet, nous sommes toujours responsables, mais la position du psychanalyste ne laisse pas d'échappatoire puisqu'elle exclut la tendresse de la Belle Âme, comme elle exclut toute prétention à l’objectivité pure.
Le Discours de l'Analyste ne commande pas, et en ceci il est déjà l'envers du Discours du Maître, il ne commande ni ne recommande, ce qui permet de se dégager des sempiternelles pulsions de soumission et de domination, de séduction et de manipulation, une prise de distance avec l'Autre qui - grâce à un «jeu des places», où la place vide se différencie de ce qui l'occupe, sujet ou objet - offre la promesse d'un lien social authentique renouvelé, basé sur la parole qui engage, l'autre (qui est là) ayant pris le pas sur l'Autre (qui n’existe pas).
Lacan parle de sortie du Discours Capitaliste, ce qui ne signifie pas encore la sortie du capitalisme.
Raison pour laquelle il ne manque d’ajouter: «Plus on est de saints, plus on rit, c'est mon principe, voire la sortie du discours capitaliste, — ce qui ne constituera pas un progrès, si c'est seulement pour certains...» (Télévision)
Se mettre au service du Discours de l’Analyste implique pour nous que d'une part nous ayons compris que nous n'avons pas d'autre rayon d'action véritable et réel que d’intervenir sur les Discours, la psychanalyse étant une clinique du discours et un Discours, et d'autre part que nous refusons de végéter sur le «mode survie» – la survie utilitaro-hédoniste, pauvre en événements, principale préoccupation de beaucoup de nos contemporains: "un peu de poison par-ci par-là: cela donne des rêves agréables. Et beaucoup de poisons pour finir: cela donne une mort agréable. On a son petit plaisir pour le jour et son petit plaisir pour la nuit, mais l'on révère la santé. Nous avons inventé le bonheur, disent les derniers hommes, et ils clignent de l'œil." (Also sprach Z.)
Nous rejetons donc radicalement l'idéologie libérale de la victimisation, laquelle réduit la politique à un programme d'évitement du pire, au renoncement à tout projet positif et à la poursuite de l'option la moins mauvaise – car nous ne sommes pas sans savoir que, comme Arthur Feldmann, un écrivain juif viennois, l'a amèrement noté, "notre survie se paie généralement au prix de notre vie."
La survie vaut-elle le coup d’être survécue?
Aimer, c’est changer de discours.
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Pendant les vacances...
Sœur Dosithée s'est envolée dans le ciel. Elle avait 111 ans... Oh ! bien sûr, cette nouvelle ne va pas bouleverser grand monde. Mais pour moi, c'est une jolie page de ma vie qui se tourne. Il y a des gens dont la modestie absolue et la gentillesse intrinsèque font des ''pierres angulaires'' d'une vie qui, sans eux, aurait sans doute été différente. Ils ne le savent pas... et nous non plus, tant qu'ils sont vivants ou lorsqu'ils sont morts depuis longtemps. Mais là... Un mail d'un ami qui vit dans le sud m'a prévenu hier : Sœur Dosithée, que je croyais morte depuis des décennies, était devenue la doyenne de la région où elle vivait. Elle méritait bien un hommage.
Laissez-moi vous raconter ''Sœur Dosithée'', née Zoé Redoulès, et en profiter pour vous parler d'un monde qui a disparu alors qu'il faisait si bon y vivre... malgré tout, car la guerre allait tout ravager. J'ai connu cette Franciscaine-de-Marie (un ordre missionnaire très présent en Afrique du nord où leurs cornettes blanches carrées illuminaient toutes les villes où se trouvaient leurs couvents, à la fois havres pour les malheureux, dispensaires pour les miséreux--elle avait un diplôme d'infirmière-- et écoles pour les tout-petits) lors de ma première journée d'école. J'avais dans les 3 ans ou un peu plus... et elle (je viens de le calculer à l'instant) dans les 30...
L'histoire que je voudrais partager avec vous commence en octobre 1937, à Rabat, capitale de l'Empire Chérifien et ville sublimement belle où mon Père avait été appelé (en 1920, remis de deux blessures de guerre) par le Maréchal Lyautey pour ''fonder un notariat français et faire passer le droit des affaires du Maroc du code coranique au code Napoléon''... ce qui a rendu possible le décollage puis la construction du Maroc moderne. Pas très loin de la villa de mes parents, il y avait, dans un parc de plusieurs hectares, un couvent tenu par ces ''Franciscaines de Marie''. J'avais 3 ans, et je partais conquérir le monde. En tout cas, ce nouvel univers. Le monde était beau... pour quelques mois encore. Bientôt il y aurait la guerre, partout : des morts, des privations, et des horreurs indescriptibles.
Deux religieuses, Mère Syolaine et, donc, Sœur Dosithée, et une ''mademoiselle'' se partageaient la tache d'apprendre à lire, à écrire, à compter et à être ''sages comme des images'', obéissants, disciplinés, respectueux et ''bien élevés'' en toute circonstance a une cinquantaine d'enfants que l'on dirait aujourd'hui ''en maternelle, puis en grande section''. Comme elles n'avaient jamais entendu parler de méthodes globale, visuelle, semi-globale, mixte... et autres inventions barbares sorties des cerveaux malsains de pédagogues en mal d'expérimentations mortifères, tout était rondement mené, et trois mois plus tard, le tour était joué : on savait tout lire, et on pouvait écrire à peu près n'importe quoi (parfois un peu n'importe comment !).
En m'entendant mentionner le nom de ''sœur Dosithée'', le plus facétieux de mes frères m'avait dit, ''entre hommes'' : ''Mais tu sais, c'est par modestie qu'elle se fait appeler ''sœur''. En réalité, elle est ''Mère'' (il faut reconnaître que ''Mère Dosithée'', ça en jette, ça claque, ça a de la gueule, ça ne s'oublie pas !). Tous mes petits camarades avaient été mis dans la confidence et nous n'appelions plus cette sainte femme que ''ma Mère'' -- ''Non, non, mon petit, disait-elle : il faut dire : ma Sœur'' invitation à laquelle la réponse en retour était invariablement : ''Oui, ma Mère''...
C'est à elle que je dois de savoir lire, écrire et compter (et vous, de lire mes élucubrations, à cet instant), et c'est à elle, aussi, que je dois le plus beau de tous les cantiques de mon répertoire, pourtant fort étoffé. En effet, à l'occasion de la procession de la Fête-Dieu, Monseigneur l'Evêque était venu au couvent (Souvenir personnel : en mai 1939, toutes les automobiles des particuliers avaient été réquisitionnées par l'armée française, et Monseigneur était donc arrivé dans une calèche à cheval. Nous avons eu l'impression que l'odeur de sainteté ressemblait à s'y méprendre à celle du crottin de cheval !). Pour l'accueillir dignement, nous avions appris un morceau de bravoure que nous entonnâmes à tue-tête à son arrivée : ''Jésus est mort... c'est bien fait, c'est bien fait... retomberont sur nous'' (sic !). Ce n'est que quelques années plus tard que j'ai compris qu'il fallait entendre, au lieu du joyeux ''c'est bien fait'' que nous chantions... ''ses bienfaits'' qui, bien sûr, ne demandaient qu'à retomber sur nous en merveilleuses cascades ininterrompues...
Ce soir, je suis vraiment triste. Tant d'années où j'aurais pu lui raconter tous ces petits détails de sa vie offerte aux autres --et tant d'autres, tout aussi émouvants pour elle, sans doute, mais plus difficiles à restituer par écrit car ils demandent gestes et intonation pour être compris dans toute leur richesse. Pourquoi avais je décidé qu'elle était au Paradis depuis de longues années ? Sans doute parce qu'une ''grande personne'' de 30 ou 35 ans, lorsque l'on a soi-même entre 3 et 6 ans, ça appartient au monde des gens très très très âgés... Elle a tenu bon, quelque 85 ans après notre première rencontre... et elle ne saura jamais que je tiens ce soir, toutes affaires cessantes, à lui demander de me pardonner les dizaines de ''ma Mère'' dont je l'ai gratifiée. Ils étaient drôles, certainement pas méchants, et je ne doute pas qu'elle aurait été heureuse de connaître cette histoire. Adieu, ''ma Mère''... A Dieu, ma Sœur... Merci pour tout, et reposez en paix ! Claude Votre petit élève turbulent des années 1937/40 à Notre-Dame de la Paix, Rabat.
Mais que cela ne m'empêche pas de vous souhaiter une bonne reprise de notre ''télé-vie'' (en chemin vers une ''télé-non-vie'', si nos élites-sic persistent dans leurs folies liberticides), que vous la passiez ''en présentiel'', ''en distantiel'' ou ''en zoom'', couvre-feu-isés et gestes-barrière-isés, masqués, testés, terrorisés, crachotant ou le nez farfouillé, confinés le week-end ou pas... que vous soyez vaccinés ou pas, puisque, apparemment, ça ne change rien, à l'arrivée : il faut garder le masque (qui-ne-sert-à-rien, disaient-ils quand ça les arrangeait) et tout le saint-frusquin qui l'escorte, dans la crainte de variants monténégrin, yougoslovaque, ou zimbabwéen.
J'espère que vous avez bien profité des jours passés, soit dignes d'une glaciation (''réchauffement climatique oblige'', comme disent les texans !) soit iso-sahariens, sur la plage de Biarritz. Dans un mois et demi... ce sera les vacances de Pâques.
H-Cl.
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L’APPEL DE DIEU
LA MISSION
La Mission est arrivée peu après ce temps « d’ébullition » où une grande partie de l’Église ne voulait plus entendre parler de Dozulé. Notamment où Monseigneur P., Évêque de B., m’avait interdit par courrier de poursuivre sous des prétextes fallacieux, en se noyant dans des explications incohérentes et en tenant des propos assez médisants sur les Apparitions. Je n’ai d’ailleurs pas très bien compris la raison de cette impétuosité ? Cependant, j’ai reçu cet ordre arbitraire tel un coup de poignard et qui m’a fait particulièrement mal dans la poitrine. Je suis resté longtemps dans un état de totale incompréhension… Fallait-il obéir à Dieu ou à un homme ? Si l’Apôtre Pierre eut tranché à l’époque ( Actes 5, 29 ), ce n’était pas aussi simple pour votre serviteur, bien qu’à ce moment-là j’ai préféré obéir à Dieu… Puis, je me suis dit ensuite que je n’avais pas le droit de contrer les ordres de mon supérieur hiérarchique, et que c’était à Dieu de prendre les mesures qui s’imposaient en de pareilles circonstances. Alors j’ai prié sans cesse, surtout la nuit dans le silence… J’ai pu discerner plus tard que je ne devais surtout pas m’ériger contre cette décision, mais obéir à mes supérieurs, afin d’être en parfaite harmonie avec mon Église. Car si cette Église est composée incontestablement d’hommes imparfaits, elle reste toujours la Communauté du Christ. Or le Seigneur me demande par l’Esprit de la servir. D’autant que ma future Mission ne pourra exister qu’avec l’approbation de l’Église catholique et sa bénédiction.
Après cet état de souffrance intérieure et toujours dans la prière, j’ai appris quelques mois plus tard, par l’Esprit-Saint, qu’une autre Mission m’attendait, mais que je ne devais pas cesser de prier, afin que le Message aux cinquante Apparitions à Dozulé soit reconnu officiellement par l’Église. Puis, dans les jours suivants, le 25 mars 2001 en l’église de mon village, au-dessus de l’Autel, j’ai vu apparaître en vision l’Abbaye du Sacré-Cœur. Je vous assure que je n’avais rien vu de semblable sur la Terre. C’était une splendeur. Ses pierres de granit brillaient au soleil, et elle me donnait l’impression d’être tout en sucre, mais éclatante comme un bloc de neige. Les cristaux de granit étaient resplendissants. Bien sûr, cette Abbaye avait la forme du Sacré-Cœur mais en plus, au centre de la Croix, était surmonté un Sacré-Cœur blanc, métallique et très lumineux, qui tournait lentement dans le sens des aiguilles d’une montre. Mon Dieu que c’était beau ! Lorsque j’ai vu cette splendeur, qui a duré quelques secondes, je ressentais dans mon cœur une vibration d’Amour et une grande Paix. Comme ce phénomène merveilleux s’était passé en plein jour, j’étais donc éveillé et ai senti des larmes de joie coulées sur mes joues. J’étais vraiment heureux, et ai aussitôt rendu grâce au Seigneur pour cette vision extraordinaire, qui m’a fait comprendre que je devais m’occuper de cette nouvelle Mission. L’Appel de « Frère ELYÔN », par Notre Seigneur, avait un sens nouveau...
Mais ce n’est pas fini… Le 25 janvier 2002, dans l’après midi, alors que j’avais fermé les yeux dix minutes pour me reposer dans un fauteuil, j’ai vu apparaître l’Autel du Sacré-Cœur. Ce Sacré-Cœur était tout en cristal, entouré d’un cercle de 96 centimètres de diamètre, ou était serti 33 prismes. Le tout était scellé dans un cadre de bois rouge foncé, également en forme de cercle d’un diamètre total de 144 centimètres. Depuis l’intérieur de ce cadre, des lumières blanches, au nombre de 33, éclairaient les 33 prismes. Le résultat était incroyablement beau. Je voyais nettement le Sacré-Cœur, à la fois très lumineux, mais aussi dans un halo de brouillard de décomposition de la lumière. De même, le cadre en bois était pourvu de deux verres translucides circulaires, où étaient harmonisées en fondu les sept couleurs de l’arc en ciel. Ce superbe cadre, qui soutenait le Sacré-Cœur, formait à la base un socle servant de Tabernacle. La petite porte arrondie sur le dessus, ouvrant avec une clé pour accéder à l’intérieur du socle creux, était en or massif et mesurait 33 centimètres de hauteur. Sur cette portière était apparent en relief un calice surmonté d’une hostie avec des rayons. Sur le pourtour de la portière en haut étaient gravées les inscriptions suivantes : « Corpus Christi », « Agnus Dei » et : « IHS » en plus gros à l’intérieur de l’hostie représentée. Au centre du Sacré-Cœur, j’ai vu une soucoupe épaisse en cristal, un peu comme deux assiettes creuses transparentes collées l’une contre l’autre, d’un diamètre total de 33 centimètres. Cette soucoupe en cristal contenait, au centre, une galette blanche de pain azyme et, autour, un liquide rouge foncé ( très probablement du vin ). La partie attenante à la soucoupe, où était placé le vin rouge, ressemblait à un tube creux transparent et circulaire, où apparaissait en relief tout autour une couronne d’épines. C’était en fait l’Ostensoir du Sacré-Cœur, avec le Corps et le Sang du Christ. Croyez-moi, ce que j’ai vu était une merveille, comme il en n’existe nulle part ailleurs ici bas ! Quant à l’Autel qui soutenait l’ensemble, c’était une boîte parallélépipédique en verre épais ( une châsse ) où, à l’intérieur très éclairé, je voyais distinctement la reconstitution ( ou l’original ?) de l’Arche de l’Alliance, avec les Tables de la Loi posées devant. Il y avait également trois marches en marbre blanc pour accéder à l’Autel.
J’atteste ici par écrit, en mon âme et conscience, ce que j’ai pu voir en songe. J’affirme solennellement que je n’invente rien. Et je ne crois pas que le Démon s’amuserait à me montrer le Sacré-Cœur de Jésus, ce serait totalement incohérent et paradoxal ! Je pense donc fortement que l’Esprit de Dieu s’est manifesté, pour montrer à la très indigne créature que je suis, une nouvelle Mission et… quelle Mission ! Alors la question qui se pose immédiatement c’est, comment vais-je obtenir les fonds nécessaires pour réaliser une telle Œuvre ?
La réponse est surprenante… En effet, il y a pas mal d’années de cela, j’avais inventé un jeu de société. Lorsque je dis « inventé », c’est peut-être prétentieux de ma part car, en vérité, cela faisait partie des informations par locutions intérieures que j’avais reçues il y a longtemps. Bref, il est fort probable que ce jeu de société stratégique, en bois, avec des pions en forme de losange, ait été d’inspiration divine. A l’époque j’avais essayé de le faire commercialiser, mais les démarches furent négatives et j’ai laissé le jeu avec ses plans cachés dans un coin. C’est à la suite de la vision de l’Abbaye du Sacré-Cœur que je me suis souvenu curieusement de ce jeu. Aussi, j’ai repris les plans, ai refait un autre prototype beaucoup mieux, avec sa mallette de transport, et ai constitué un dossier tout en couleur par informatique, afin de le présenter. Il est visible en cliquant sur le lien approprié du site Internet indiqué en fin de cet ouvrage. Ainsi, une entreprise importante, ou autres financiers, peuvent être en mesure d’acheter le brevet d’invention de ce jeu, qui se compose en trois dépôts internationaux. Bien entendu, les fonds recueillis serviraient immédiatement à l’achat du terrain ( dans le sud-ouest de la France ) et la construction de l’Abbaye du Sacré-Cœur.
Alors, me direz-vous, est-ce qu’un jeu n’est pas incompatible avec l’édification d’une Œuvre aussi pure que le Sacré-Cœur ? Je réponds non, parce que cette conception ludique n’a rien à voir avec le jeu de hasard qui, lui, est interdit par Dieu. En revanche ce jeu, qui m’a été inspiré, fait appel à la stratégie et la réflexion, au même titre que le jeu d’échec. Sauf qu’il peut se jouer à quatre et qu’il développe le potentialité d’intelligence. Toutefois, je ne m’attends pas à ce que la réussite soit immédiate. Je sais que Satan refuse l’Abbaye du Sacré-Cœur et il fera en sorte que cette Œuvre ne soit pas érigée. C’est pourquoi il ne peut être l’instigateur des visions et locutions intérieures que j’ai reçues concernant cette Mission. Le Diable ne peut en aucun cas me montrer ce qui l’effraie le plus : Le Sacré-Cœur de Jésus. D’autant qu’à chaque fois que je prononce ce doux Nom de Sacré-Cœur, je ressens comme une grande joie intérieure. De fait, je garde une Foi inébranlable en Dieu, alors que seule Sa volonté s’accomplisse. Et puis, si ce n’est pas ce jeu qui doit être la principale source d’achat de l’Oeuvre du Sacré-Cœur, se sera par d’autres moyens. « Les voies de Dieu sont impénétrables » et elles sont inépuisables. En conclusion, si notre Seigneur désire que l’Abbaye du Sacré-Cœur soit élevée elle le sera, au même titre que la Croix Glorieuse…
Ceci dit, votre serviteur à eu droit une fois encore à l’apparition de cette Œuvre superbe. C’est le Prêtre responsable des séminaristes de ma région qui m’a judicieusement conseillé de venir le 20 mai 2002 à Saint J. de M., à l’occasion d’une ordination de deux Prêtres : « dans le cas où vous auriez une inspiration », m’a-t-il dit. Il est bon de savoir que j’avais informé ce Prêtre des grâces phénoménales et spirituelles reçues de Dieu. Il m’a écouté avec bienveillance et donné quelques conseils, dont celui d’aller à cette ordination. Or je crois que cet homme a été réellement inspiré par l’Esprit-Saint en m’invitant à cette cérémonie particulière, en présence d’une centaine de Prêtres et de Monseigneur R.
Cette journée a été en effet un moment de grâce exceptionnelle, et je l’en ai remercié vivement. Cette grande célébration m’a profondément émue et impressionnée. Mais ce qui a été pour votre serviteur le plus impressionnant, ce sont les trois phénomènes extraordinaires qui se sont succédés. Le premier est survenu durant peut-être deux ou trois minutes, au moment de l’ordination officielle, et dont je ne m’attendais absolument pas. D’ailleurs mon émotion a été si forte, pour ne pas dire extatique, que je n’ai pu contenir mes larmes… En cet instant précis, j’ai en un premier temps senti mon cœur se remplir de chaleur. Non point la chaleur du soleil qui était également au rendez-vous, mais une chaleur spirituelle remplie à la fois de Paix, de Joie et d’Amour. C’est comme si le Sacré-Cœur de Jésus pénétrait le mien, afin d’en faire qu’un seul. Cette impression n’était pas unique. J’ai déjà vécu par le passé cette agréable sensation, qui surprend cependant…
Durant la deuxième phase du phénomène, j’ai vu apparaître devant mes yeux, juste au-dessus de l’Autel, l’Abbaye du Sacré-Cœur. La même Œuvre monumentale qui m’est apparue en vision le 25 mars 2001. Et la troisième phase était encore plus extraordinaire, parce que je me suis trouvé d’un seul coup à la place de Frère E-J. Comme si c’était moi qui avait remplacé cet homme, et me suis vu recevoir les ornements liturgiques. J’ai eu l’impression, en quelques secondes, de ressentir une forme de dédoublement physique en parallèle. Ce n’est pas explicable, ni même compréhensible, car c’est la première fois que j’ai vécu un tel phénomène. En tout cas, je ne sais pas comment ceci a pu être possible ? C’est un phénomène étrange qui dépasse complètement mon entendement et sûrement aussi nos sommités scientifiques… En revanche, en ce jour béni, j’ai eu la confirmation de la volonté de Dieu, concernant mon sacerdoce, dans le but d’officier au sein de Son Abbaye du Sacré-Cœur. A mon petit niveau d’homme, cette volonté est devenue incontestable, elle ne fait plus l’ombre d’un doute. Mais c’est à l’Église qu’en revient l’ultime décision…
Vous allez sans doute me demander : quelle est cette nouvelle Abbaye ? Je crois qu’elle n’a rien de nouveau. C’est en vérité le Temple du Sacré-Cœur qu’a demandé Jésus à Sainte Marguerite-Marie en 1689, lorsqu’elle était au couvent de Paray-le-Monial. A ce moment-là, c’était �� Louis XIV d’ordonner l’élévation de cette Œuvre, or le Message a été court-circuité par le Père de La Chaize et ce Monument du Sacré-Cœur n’a pas vu le jour. De même que la consécration de la France au Sacré-Cœur avait été demandée par le Christ et Ses Paroles sont restées sans effet. Nous savons qu’à la suite de cette désobéissance prolongée, ( par Louis XV et Louis XVI ), la république a remplacé la Monarchie, et l’Église a été humiliée.
A présent, je vais vous donner très humblement les explications qui m’ont été soufflées par l’Esprit-Saint, en locutions intérieures, visions et songes, de la nécessité absolue ( matérielle et spirituelle ) de l’Abbaye du Sacré-Cœur que le Christ attend depuis plus de trois siècles…
Le Prêtre responsable des séminaristes, à l’issue de l’un des entretiens que j’ai eu avec lui, m’a précisé que : « cette Abbaye n’est peut-être que spirituelle et non matérielle ». Je lui ai répondu immédiatement par la négative, parce que j’ai eu l’immense grâce de voir précisément tous les plans, ainsi que l’ « Ordre nouveau » devant régir cette Œuvre d’exception, à la fois matérielle, morale et spirituelle. Si j’ai placé « Ordre nouveau », entre guillemets, c’est qu’il ne peut y avoir quoi que ce soit de nouveau par rapport aux Évangiles. S’il devait y avoir nouveauté dans le fondement moral et spirituel, ce serait dans ce cas un ordre anathème à fuir absolument. Alors qu’au contraire cet Ordre ne peut être rejeté, puisqu’il se pliera scrupuleusement aux Paroles de Notre Seigneur, à savoir : 1) Réconforter les plus pauvres et les exclus. 2) Donner à manger à ceux qui ont faim. 3) Vêtir ceux qui sont nus ou qui ont froid. 4) Aller visiter les malades et les prisonniers. 5) Évangéliser avec joie, respect, charité, patience et tolérance. 6) Exercer un ministère de guérison et, le cas échéant, d’exorcisme. 7) Puis, évidemment, effectuer les Offices de la Sainte Messe dans la plus pure tradition ancestrale. Comme vous pouvez constater, il n’y a rien de nouveau dans cet Ordre, si ce n’est dans le fait de revenir au ministère identique des premiers Apôtres. C’est à dire que le Pain consacré sera du vrai pain azyme ( le pain sans levain que le Christ a partagé lors de la Pâque du 14 Nissan ). De même que le Vin consacré sera rouge. Lors de la Communion, un petit bout de ce Pain sera trempé dans le calice, uniquement par les mains — préalablement lavés — du ou des Prêtres, et distribué à chaque fidèle. Les servants ( Diacres ou Religieux ) devront tenir les patènes, afin que le Corps et le Sang consacrés ne tombent pas au sol. Personne ne pourra toucher le Pain trempé dans le Vin, mis à part le ou les Prêtres officiants.
En effet, Notre Seigneur m’a dit à plusieurs reprises qu’il était offensé de la façon dont est actuellement distribuée la Sainte Hostie. D’où le retour à la Sacralisation véritable de la Sainte Eucharistie, selon la seule Volonté de Dieu. L’Hostie plate sera donc abandonnée dans la future Abbaye du Sacré-Cœur. La seule, mais grande Hostie traditionnelle immaculée ( délicatement moulée avec l’inscription « IHS » ) présente, sera à l’intérieur de l’Ostensoir en cristal décrit plus haut, pour des raisons pratiques. L’Ostensoir sera visible en permanence de jour comme de nuit, avec le Pain et le Vin, au centre du Sacré-Cœur en cristal, au dessus de l’Autel. Ce Mémorial Sacré est donc le retour aux sources qui n’auraient jamais dû être abandonnées…
Par ailleurs, ce qui va changer aussi dans l’Abbaye, c’est une place importante à l’adoration du Sacré-Cœur et bien sûr de l’Ostensoir du Saint-Sacrement, puisque tout sera lié dans un ensemble harmonieux. L’Autel du Sacré-Cœur sera évidemment intouchable par des mains impures et une protection très particulière a été prévue en cas d’intrusion par des individus mal intentionnés.
Peut-être que la nouveauté sera dans la création de la Communauté du Sacré-Cœur de Jésus, avec les Petits Frères et Petites Sœurs. Oui, l’Abbaye du Sacré-Cœur sera mixte. Les Religieux et Religieuses présents auront un esprit pur, totalement dépourvu de pensée malsaine. Ce seront des êtres d’exception choisis par Dieu qui devront pénétrer ce Lieu Saint. Il est important de ne pas oublier que cette Œuvre est le Sacré-Cœur de Jésus matérialisé sur Terre. De fait, les résidents devront faire acte de consécration au Sacré-Cœur, ce qui implique une pureté totale du corps et d’esprit de chacun.
L’Abbaye du Sacré-Cœur formera deux étages, ainsi qu’un sous-sol voûté, avec de nombreuses colonnes en marbre de soutènement, occupant toute la superficie du Monument. Au rez-de-chaussée, il y aura les cellules des Petites Sœurs et des personnes âgées, une infirmerie, la cuisine, la salle à manger, le bureau de réception, le bureau du Prêtre responsable, les sanitaires, un magasin, ainsi qu’une salle de bibliothèque et de loisirs. A l’étage supérieur sera aménagé les cellules des Petits Frères, les sanitaires, ainsi que quatre salles d’activités. Enfin le second étage sera étudié pour les retraites des Religieux ou pour recevoir des laïcs de passage et autres pèlerins. Il y aura également des sanitaires, ainsi que deux autres salles d’activités. Nous atteindrons les étages par deux escaliers en colimaçon de 1,60 mètre de large, fermés par des portes coulissantes en verre. Au sous-sol, il y aura en plus un monte charge qui accèdera directement à la cuisine. Cette disposition est pour le bâtiment en forme de cœur, avec un corridor par étage, aux voûtes et arcades de style roman. Le corridor sera protégé du froid par une vitre transparente entre chacune des arcades. Ce Cœur mesurera 49 mètres de diamètre, symbolisant les 49 ans de la Vierge Marie à la mort de son Fils. La largeur de la bâtisse formant le Cœur sera de 10 mètres, départagés en deux par les corridors ( 3,50 mètres de large environ ) et les cellules ( 6,50 mètres environ ). Nous y entrerons depuis l’extérieur par une large porte en acier blindé qui s’ouvrira électriquement.
La Croix est attenante au Cœur et elle est le Temple catholique où aura lieu chaque jour les offices : Matines à 7 h, les Laudes à 7 h 30, Messe conventuelle à 11h 15, de 15 h à 16 h la récitation des 3 chapelets [1] ou du Rosaire, dans la soirée : un long office avec les Vêpres à 18 h, ministère de guérison ( éventuellement d’exorcisme ) à 18 h 45 jusqu’à 19 h, et Complies jusqu’à 19 h 15. Les dimanches : les Laudes seront à 7 h 30, Messe à 10 h 30, Vêpres 16 h 45, Messe du soir 18 h, Complies 19 h.
Il y aura plusieurs portes à l’entrée, dont une en acier blindé, une coulissante en verre, et une porte de sortie de secours dans le fond en acier blindé. Au centre de cette Croix sera placé l’Autel, avec le Sacré-Cœur en cristal. Les murs seront couverts de tableaux, représentant la Passion et le chemin de Croix de Notre Seigneur. La branche de la Croix gauche servira de chapelle ou, au fond, sera exposée une statue inaltérable colorée, réalisée dans une matière de cire durcie à la résine, pour sa solidité, représentant Jésus Miséricordieux. Cette statue, grandeur nature, sera à l’identique du tableau de Sainte Faustine ( la seconde œuvre ), avec des rayons rouges et bleus pâles sortant du Cœur ( par un système de rayonnement laser ). Les yeux de la statue fixeront l’Autel du Sacré-Cœur, et elle sera protégée par une grille. Cette statue sera élevée à 1 mètre de hauteur, à l’intérieur d’une boîte ovale en bois. Sur les murs, il y sera placé la reproduction fidèle du Linceul de Turin, sur une toile tissée en chevron de 4,36 mètres sur 1,10 mètre. D’un côté la face négative, et de l’autre, la face positive ( le Corps ainsi que la Sainte Face ).
La branche de la Croix droite sera recouverte de tableaux qui représenteront des scènes : les mystères joyeux, douloureux et glorieux. Au fond sera placée une statue de la Vierge Marie, réalisée dans la même matière que celle opposée. Elle sera à l’identique de la médaille miraculeuse de Sainte Catherine Labouré et de la chapelle de la rue du Bac à Paris, mais colorée. Cette statue sera aussi dans une boîte ovale à 1 mètre de hauteur, protégée par une grille et les yeux fixeront également l’Autel du Sacré-Cœur. Des rayons blancs sortiront des mains de la statue, avec le même procédé que celle dupliquant Jésus Miséricordieux.
Sur le mur du fond du Temple il y aura un immense tableau bien éclairé représentant : « Le Triomphe Glorieux du Divin-Cœur ». Nous verrons le Sacré-Cœur rayonnant au centre d’un écusson héraldique or sur fond bleu-roi, surmonté d’une couronne impériale et l’ensemble entouré de six anges. En-dessous, une oriflamme d’or où sera inscrit : « Omnia Vincit Amor ». Sous cette fresque nous pourrons constater un grand vitrail de 12 m² ( 3 m x 4 m ), qui sera éclairé de jour comme de nuit, grâce à un système extérieur de projecteurs de lumière bien dirigés, de façon à ce que les rayons lumineux englobe l’autel. Ce vitrail représentera le Sacré-Cœur, au centre duquel apparaîtra le Visage de Jésus Miséricordieux. Ce Sacré-Cœur sera situé sur un fond pastel de décomposition de la lumière et de forme ovale, où apparaîtra une lumière blanche derrière la Croix, ainsi qu’une colombe rayonnante devant, symbolisant l’Esprit-Saint. Le tout sera encadré d’un arc-en-ciel ovale et fermé. En-dessous, une oriflamme multicolore où il y sera inscrit : « Alliance et Paix dans le Sacré-Cœur ». Ce vitrail sera contenu au sein d’un verre à fond blanc rectangulaire. L’ensemble sera protégé sur le côté extérieur par un autre verre transparent et blindé. Sur le coin gauche du vitrail en haut sera inscrit en biais : « Yahweh est mon Pasteur, je ne manque de rien », sur le coin droit : « Yeshouah est mon Sauveur, je ne crains pas la fin ». Ces sigles seront les devises de l’Abbaye, où elle seront gravées sur les médaillons-Sacré-Cœur en bois d’olivier, portés par les Petits Frères et Petites Sœurs.
Toutes les autres fenêtres du Temple et Cœur auront chacune la forme d’un Sacré-Cœur, avec les dimensions suivantes : 0,98 mètre x 1,64 mètre. Les vitraux seront assemblés par une multitude de petits losanges, avec des verres translucides et incassables d’une épaisseur de 8 mm. Néanmoins, des barreaux extérieurs en forme de Croix de Malte protégeront la fenêtre des intrusions éventuelles.
Les murs extérieurs de soutien du Monument complet seront tous doublés. C’est à dire qu’il y aura un mur extérieur en pierres blanches de granit, un autre mur en parallèle à l’intérieur en pierres calcaires de Lens ou similaires, mais d’un blanc sans impureté, de 42,5 centimètres chacun, avec un vide d’air au milieu de 12 centimètres, soit une masse d’une largeur totale de 97 centimètres. Le mur de soutien central, également en pierres de Lens sans défaut, fera 43 cm d’épaisseur. Le mur d’enceinte à l’intérieur du Cœur sera bâti avec des pierres pures de quartz Apophylitte, bien taillées, et mesurera aussi 43 centimètres d’épaisseur. Tous les murs mentionnés ci-dessus seront agencés en forme de blocs parallélépipédiques, avec trois dimensions différentes, et élevés en pierres sèches, ( ou juste un point de ciment-colle en leur centre ), à partir du rez-de-chaussée. Le mur de soutènement doublé du sous sol sera entièrement en pierres de granit. Une multitude de colonnes en marbre blanc soutiendront toute la surface du rez-de-chaussée. Cette surface plane d’environ 2500 m² sera d’une épaisseur de 70 centimètres au-dessus de la voûte de soutènement. Elle sera composée de béton armé avec de grandes poutres et treillis d’acier, surmonté de sable et de blocs de pierres dures. Au-dessus ce sera de la terre pour le centre du Cœur, et du dallage en marbre beige/rosé à l’intérieur du bâtiment. Les pierres de Lens, ou analogues, seront utilisées également pour les trois corridors voûtés : du rez-de-chaussée, du premier et second étage. Ces corridors auront des arcades aux colonnes tout en marbre blanc sculpté. Entre chaque arcade vitrée, le mur, surmontant la colonne, sera perforé d’un Sacré-Cœur, avec fenêtre circulaire ouvrante. Les dalles du sol seront en marbre beige/rosé, comme décrit plus haut.
L’intérieur ajouré du Cœur sera recouvert d’un toit amovible et translucide jaunâtre en forme de vaste parasol, ( de 30 mètres de diamètre ), qui se déploiera électriquement. Ce toit-parasol/parapluie sera contenu à l’intérieur d’un large pilier creux en acier de 80 centimètres de diamètre environ et qui pénétrera dans le sous-sol, juste au centre du Cœur. Ce système de protection permettra notamment un abri lors de la grande célébration, où des milliers de pèlerins afflueront à l’occasion de la fête du Sacré-Cœur en juin. Ce pilier creux sera entouré d’une fontaine en marbre blanc, ou l’eau pure jaillira depuis quatre poissons en bronze. Ce sera une eau de source exceptionnelle, dépourvue de toute impureté, et possédant une énergie magnétique d’une grande intensité, permettant de guérir de nombreuses, voire toutes les maladies.
Des fleurs, du gazon, de larges allés, ainsi que des colombes orneront ce Lieu de Paix et de tranquillité sur un peu plus de 700 m².
Au dessus de la porte d’entrée du Temple, il y aura un superbe orgue à tuyaux, ainsi qu’un large balcon pour y placer des choristes ou autres musiciens. L’acoustique du Temple sera unique et réalisée avec soin, selon des traditions ancestrales du moyen âge.
Les dimensions : Les dimensions du Temple seront de 33 mètres de long sur 12 mètres de large. La longueur de chaque branche sera de 16 mètres sur 8 mètres de large. La hauteur des bâtiments ( Cœur et Temple ) seront de 12 mètres environ. Le sous-sol fera 4 mètres de haut. Le Cœur : 49 mètres de diamètre, avec une toiture de 10 mètres de large. Les dimensions totales et extérieures de l’Abbaye seront globalement de 49 mètres de large sur 82 mètres de long.
Sur le toit du Temple, au centre de la Croix, tournera lentement un immense Sacré-Cœur, dans le sens des aiguilles d’une montre. Sa hauteur totale sera de 33 mètres et la largeur du Cœur 12 mètres. Il sera construit avec un agencement de tubes massifs en aluminium poli, qui formeront une multitude de triangles. Cette structure sera ainsi ajourée de façon à permettre le vent de passer au travers. L’épaisseur sera de 4 mètres de diamètre et, à l’intérieur, plusieurs centaines de petits, mais puissants projecteurs, à la lumière blanche et d’une grande intensité, éclaireront toutes les nuits. Une cloche sera suspendue au centre, sous le pied de la Croix.
La toiture générale du Monument sera de forme convexe en duralumin traité, le tout recouvert de larges plaques d’or 24 carats. La toiture du Cœur sera perforée, afin qu’une seconde toiture en fibre de verre et de forme concave puisse recevoir les eaux de pluies à l’intérieur de cette large rigole. Cette toiture sera légèrement inclinée et se rejoindra à chaque extrémité de la toiture du Temple. Cette dernière également en pente, se terminera aux extrémités par des chéneaux invisibles depuis l’extérieur. Cet ingénieux système permettra de récupérer les eaux de pluie au sein des citernes, pour les usages quotidiens de l’Abbaye.
Au-dessus du toit du Temple, à quelques centimètres, sur toute la surface, seront déposées des plaques solaires. Au centre du toit sera prévu un passage d’environ 1,20 mètre, pour les techniciens et les visites éventuelles. Le toit sera accessible par le biais de tourelles extérieures, élevées aux quatre coins de la Croix du Temple.
L’énergie solaire, nécessaire pour l’eau chaude et le chauffage, ne sera pas unique. Il y aura quatre éoliennes qui seront disposées à l’extérieur du Monument à une centaine de mètres, pour tous les éclairages et les systèmes électroniques. L’Abbaye du Sacré-Cœur bénéficiera en effet de la technologie de pointe en matière d’électronique, de sécurité et d’hygiène. Bien que la structure aura un style moyenâgeux, son fonctionnement bénéficiera de toutes les commodités que nous apporte la science contemporaine.
Les Petits Frères et Petites Sœurs auront suffisamment de travaux à effectuer, en plus des prières et des offices quotidiens, sans leur faire perdre du temps dans des tâches désagréables. L’humilité se situe dans le cœur des religieux et religieuses, non pas en les obligeant à récurer les sanitaires. Le temps des corvées est révolu et c’est un bien, pour justement laisser d’avantage de temps aux résidents de se consacrer à d’autres tâches infiniment plus essentielles. N’oublions pas que l’Abbaye du Sacré-Cœur sera le Temple consacré du Fils de Dieu. Or rien n’est trop beau pour Celui qui a donné sa vie pour tous les hommes de la Terre. D’autant que Jésus n’a jamais demandé à personne de porter une croix plus lourde que nécessaire. La mortification se fait dans le cœur de chacun, pas forcément en recevant des coups. En revanche, les Paroles du Seigneur devront être suivies à la lettre, et une place importante à l’adoration du Sacré-Cœur sera observée.
Ceci étant dit, ce ne seront pas les tâches qui manqueront. Il est bon effectivement de savoir que l’Abbaye du Sacré-Cœur sera construite sur un terrain particulièrement vaste, de 150 hectares au moins et clôturés. Sur ce terrain, à l’extérieur de l’Abbaye, sera exploitée une agriculture biologique complète, à savoir : viticulture, horticulture, apiculture, élevage des ovins et volailles. Cette exploitation biologique bénéficiera d’un savoir faire ancestrale et quasiment oublié de nos jours. Des activités artisanales feront également parties des travaux de l’Abbaye, telles que notamment : parfum de lavande, production de crottins de chèvre, des émaux, des sacs en cuir, des tableaux, dessins sculptures, et divers autres travaux manuels. Certains produits alimentaires serviront pour l’usage quotidien. Une partie de la production sera vendue aux particuliers directement, et en distribution par le biais de centrales d’achats royaux qui alimenteront les nouvelles Cités. L’autre partie sera donnée, si besoin, à des fondations caritatives. L’Abbaye du Sacré-Cœur possédera un magasin de tous nos produits, afin de satisfaire les visiteurs. Une spacieuse salle à manger permettra de recevoir environ 140 convives sur les grandes tables « monastères » massives. Il y aura très probablement des jours où il faudra assurer deux services de restauration.
Vous constaterez que les Petits Frères et Petites Sœurs n’auront certainement pas le temps de s’ennuyer. Du fait justement de la haute technologie de cette nouvelle Abbaye, chacun pourra effectuer ses propres tâches en fonction de leurs compétences ou prédispositions. Une trentaine de Religieux et Religieuses resteront en permanence dans l’Abbaye ou sur le terrain agricole. Quant aux autres, ils auront un travail de communication charitable et sociale à l’extérieur, comme : visiter les malades et les privés de liberté, apporter du réconfort aux blessés de la vie, aider ceux qui sont dans le besoin, vêtir ceux qui n’ont rien, donné à manger à ceux qui ont faim, mais aussi évangéliser dans la joie, la patience, la tolérance et le respect. Il n’y aura pas d’ordre particulier, si ce n’est les instructions élémentaires de base mentionnées sur un règlement intérieur, parce que chacun fera selon ce qu’il ressent dans son cœur et selon ses possibilités. L’Esprit Saint n’est pas l’apanage d’un Évêque ou d’un Prêtre. Des religieux et même des laïcs peuvent aussi percevoir directement des Ordres de Dieu, à condition bien sûr d’être humble de cœur et de savoir écouter dans le silence.
Néanmoins, si la discipline de cette Abbaye unique ne possèdera pas l’extrême austérité d’antan, une ligne de conduite à suivre devra être observée, tant par les résidents religieux que par les pèlerins, ou autres personnes désireuses d’effectuer une retraite. Les règles absolues seront : la tenue descente, le respect du Lieu saint et des personnes, la fraternité christique, le silence au sein du Temple, et aucun éclat de voix ne sera toléré dans l’enceinte du Cœur. Les habits des religieux seront : une robe d’un blanc écru avec une capuche, genre aube, en toile de coton épais. En plus, une capeline pourra être portée par les prêtres s’ils le souhaitent. Par dessus, le scapulaire assez large, recouvrant les épaules, de couleur bleue foncé. Au centre de la poitrine, sera cousu un tissu de coton fin et rouge représentant le Sacré-Cœur. Autour de la taille, un cordon blanc avec trois nœuds pendant resserrera le scapulaire et la robe. Un collier de cuir ou en coton, avec le médaillon du Sacré-Cœur en bois d’olivier, béni par un Prêtre, complètera la tenue Pour les religieuses les habits seront à peu près identiques, mis à part le foulard blanc qui couvrira leur tête au lieu d’une capuche.
La nuit, il y sera possible de s’y déplacer aisément car les corridors seront éclairés d’une lumière douce. Le Temple sera également éclairé par la lumière du Sacré-Cœur de l’Autel, réduite à 50 %, ainsi que par les projecteurs du grand vitrail. De plus, des puissants projecteurs éclaireront toute la nuit l’Abbaye depuis l’extérieur. En cas de danger immédiat, toutes les portes blindées seront automatiquement fermées, ainsi que les volets cachés dans les murs qui encadreront toutes les fenêtres. L’Autel du Sacré-Cœur descendra en moins d’une minute au sous-sol, par un système de vérins hydrauliques, à l’intérieur d’une châsse incassable. Une trappe épaisse en acier trempé refermera l’emplacement de l’autel. Dès la coupure d’électricité, un groupe électrogène silencieux se mettra en route, ainsi qu’une soufflerie d’oxygène, émanant des citernes entreposées au sous-sol, à l’écart et protégées par une cage d’acier. Je rappelle que cette cave voûtée, en pierres de granit, avec des fondations importantes prévues pour supporter un séisme d’amplitude maximale, disposera de toute la superficie de l’Abbaye, soit je le rappelle : environ 2500 m² ! Or cette imposante surface ne servira pas seulement à entreposer des pommes de terre, du fromage, du vin, des conserves ou des confitures, mais contiendra tout un système de survie pour 6 mois et pour 200 personnes ! Ce sera en fait un véritable blockhaus anti-atomique et sismique ! En vérité, cette magnifique Abbaye devra être construite pour une durée de vie de 10 000 ans !
Quant aux personnes qui vont édifier cette Merveille, elles en seront directement averties par l’Esprit de Dieu. Que ce soit les architectes, ou les tâcherons, ce seront des maîtres spécialistes, ayant bénéficié d’un savoir faire ancestral. Ce seront des authentiques Compagnons du devoir qui auront hérité des secrets des bâtisseurs de cathédrales du moyen-âge. Ils ne seront pas ou peu rémunérés pour cette édification, afin que leur motivation ne soit pas poussée par l’intérêt du gain. Leur motivation sera uniquement de l’ordre d’un travail absolument parfait pour une Œuvre exceptionnelle émanant de Dieu. Leur fierté d’avoir accomplie scrupuleusement leur Mission sera leur seul pôle d’intérêt. Oui, des âmes pures qui font passer les intérêts du Seigneur avant les leurs, il en existe encore et Dieu soit loué ! Elles ne sont pas nombreuses, certes, mais je vous assure qu’elles existent. D’autant que la pureté de ces âmes, alliée au savoir faire, est synonyme de perfection absolue. Dans ce cas, la quantité importante d’hommes à la tâche ne sera pas nécessaire. Néanmoins, toute personne de bonne volonté est la bienvenue, parce qu’il ne faudra pas seulement des Maîtres d’œuvre, mais aussi d’autres aides bénévoles sans compétence particulière. N’oublions pas que « l’union fait la force » et « la Foi déplace les montagnes ». L’essentiel est d’avoir le cœur pur et d’être capable d’écouter dans le plus grand silence le murmure de l’Esprit Saint. L’Appel de Dieu n’est pas toujours aussi fort qu’il l’a été pour votre serviteur. Il peut se manifester sous bien des formes et quand on s’y attend le moins. C’est à chacun de comprendre avec intelligence et perspicacité le moment opportun de cet Appel. L’Appel se fera dans les mêmes circonstances pour les Religieux et Religieuses devant faire acte de consécration au Sacré-Cœur, au sein de cette Abbaye unique au monde…
D’après ce que j’ai pu comprendre, les pierres nécessaires à cette réalisation proviendront de différentes carrières, mais principalement d’Italie, près de Naples. Quant à leur acheminement, ceci est un mystère pour votre serviteur, car je ne suis pas en mesure aujourd’hui de donner une explication rationnelle. ( Cela ne change pas grand chose car, de toute façon, rien n’est rationnel dans tout ce que vous avez lu jusqu’à présent et ce qui va suivre ! ) Mais peu importe le moyen de transport des pierres, l’essentiel est de savoir qu’elles arriveront sur le terrain même de la construction.
Une fois les travaux terminés, l’Abbaye du Sacré-Cœur reviendra à environ 130 millions de francs ( 20 millions d’euros ). D’autant qu’il va falloir acheter du matériel agricole au complet, machines, outils, plantations strictement biologiques et sans OGM, les engrais naturels, les animaux, etc. Néanmoins, toujours dans la cadre bio et pour respecter la terre, celle-ci ne sera en aucun cas labourée avec des charrues d’acier mais de bois. De même que les plantations se feront selon la méthode « au carré », avec des mélanges hétéroclites de fleurs, d’arbres fruitiers et de légumes. Nous respecterons aussi les périodes de plantations, le terrain approprié pour tel légume ou arbre fruitier, les mouvements planétaires, le respect scrupuleux des semis, de la profondeur appropriée à chaque famille de graines, du temps d’arrosage, etc. Du fait que nous ne rechercherons pas la production à profusion, mais la qualité, le résultat sera spectaculaire. D’autant qu’en employant cette science millénaire, pratiquement oubliée aujourd’hui, la qualité de la production dépassera tout ce que l’homme peut imaginer…
Mais comme je vous l’ai déjà écrit, j’ai pleinement confiance en Dieu. « Le jeu Suprême », vaut une fortune. Alors que ce soit par le biais de la vente des brevets ou autres fonds providentiels, de toute façon je sais que la somme récoltée dépassera le coût de l’Abbaye, ainsi que du terrain agricole au complet. Aucun centime ne sera demandé à l’Église pour cette Réalisation. Cependant, cela n’empêche aucunement de prier afin de souhaiter la concrétisation d’un tel Projet. C’est à chacun de nous de se mettre à l’œuvre, d’abord dans la prière et ensuite par l’action. Je précise un détail important, c’est que l’Abbaye du Sacré-Cœur ou Temple du Divin Cœur n’appartient et n’appartiendra en aucun cas à votre serviteur. Je me garderai bien de prétendre le contraire ! C’est une Œuvre avant tout divine, que vous pouvez admirer sur le dessin en couverture, ou hors texte, et qui deviendra, une fois terminée, la propriété de l’Église catholique. Église qui portera, à la fin des travaux de l’Abbaye, le nom de : « Église de la Lumière Universelle du Sacré-Cœur ». Il doit en être ainsi selon l’Ordre de Dieu. Toutefois, elle deviendra également une propriété universelle…
En effet, il est vrai que Jésus m’a demandé de participer humblement, mais activement à l’élévation matérielle et spirituelle de Son Sacré-Cœur sur Terre. Cependant, cette Mission particulière n’appartient pas à un seul homme, ni même à une communauté religieuse précise, mais à tous les humains de notre globe. C’est à dire que si, d’abord l’Église actuelle, et ensuite toutes les âmes refusent la demande expresse du Sauveur, l’Abbaye du Sacré-Cœur ne verra pas le jour. Franchement, cette prise de position générale ne serait pas souhaitable, car elle aurait des répercussions particulièrement dramatiques sur nous tous… Il suffit de méditer un instant sur ce qui s’est passé lorsque le Père de la Chaize n’a pas voulu transmettre le Message reçu par Marguerite-Marie en 1689. Comme je l’ai déjà mentionné plus haut, à cause de cette grave erreur, la république a tué la Monarchie et a asservie l’Église. Puis les guerres se sont succédées les unes aux autres, avec toutes les souffrances atroces que nous connaissons. Vous me direz que tout ceci n’est que spéculation gratuite et coïncidence. Libre à vous d’avoir de telles pensées non objectives. Néanmoins, je m’adresse directement aux responsables de l’Église catholique, ainsi qu’à tous les laïcs, en leur posant la question suivante : Etes-vous prêts à prendre le risque de refuser une fois encore la demande du Fils de Dieu ?
D’autant que, et là j’insiste sur ce point, c’est que l’Abbaye du Sacré-Cœur n’est ni plus ni moins : le Divin Cœur de Jésus matérialisé sur Terre ! C’est à dire que la puissance d’Énergie qui se dégagera de cette Œuvre merveilleuse et divine, dépassera tout ce que nous connaissons ici-bas. Déjà en entrant dans l’enceinte, nous nous sentirons « transportés » par la Puissance d’Amour du Cœur de Jésus. Sa Miséricorde sera presque palpable, tant l’émanation de cet Amour de Dieu nous pénétrera à l’intérieur du corps et de l’��me. Il n’y a pas de mots pour expliquer cette Energie spirituelle. Il faut le vivre pour la ressentir. J’ai parlé plus avant de cette eau jaillissante et qui guérira toutes les maladies du corps. Mais la Puissance d’Amour du Divin Cœur est telle, qu’Elle guérira toutes les âmes, à condition que celles-ci viennent avec une Foi intense prier humblement en ce Lieu Sacré. En fait c’est simple, tout être impur qui acceptera de venir se repentir sincèrement dans le Temple du Divin-Cœur en ressortira purifié. Ce sera une renaissance pour cette personne qui, avec confiance, se confiera au Sacré-Cœur de Jésus. Notre Seigneur n’a jamais rejeté une âme qui a fait appel à Sa Miséricorde. Beaucoup de gens peuvent en témoigner. Alors imaginez un instant les grâces qui vont s’opérer à l’intérieur du Sacré-Cœur de Jésus matérialisé sur Terre, pour la seule gloire de Dieu et le salut de toutes les âmes !…
La Basilique du Sacré-Cœur de Paris est certes un beau monument. Elle a été construite dans une bonne intention et pour des raisons historiques que nous connaissons tous. Hélas, d’une part, elle a été érigée sur un cimetière protestant, ce qui entache considérablement sa sacralité. Puis, nous verrons plus loin dans les prophéties que cette Basilique ne sera pas épargnée par les événements qui viennent. D’autre part, elle n’a pas la forme du Sacré-Cœur. D’où la nécessité d’obéir à Jésus dans Sa demande pressante d’ériger ce Temple/Abbaye du Divin Cœur.
Donc, avant de rejeter cette Main secourable émanant de Dieu, merci d’y réfléchir plusieurs fois et de bien s’imprégner de ce que votre serviteur vient d’écrire ci-dessus. Ce n’est pas à Jésus de bâtir Lui-même cette Œuvre, mais à nous de faire les efforts qui s’imposent. N’attendez pas à ce que Notre Seigneur vous serve tout sur un plateau. Il semble qu’Il a déjà fait un grand pas vers nous par Son Sacrifice Suprême sur la Croix… Je vous rappelle que ce qui est écrit ne provient pas de mon imagination mais de l’Esprit-Saint. La Croix Glorieuse demandée à Dozulé a été rejetée par les responsables de notre Église. Soit, Dieu la placera Lui-même dans le ciel, mais il faudra préalablement en tirer les conséquences de cette désobéissance. Maintenant, si l’Église ainsi que les laïcs refusent l’élévation de l’Abbaye du Sacré-Cœur, c’est que, de toute évidence, les hommes n’ont plus la Foi en Dieu et alors il est à craindre que notre monde subira des répercussions dont il ne se relèvera pas ou à grand peine…
Quelques sceptiques objecteront peut-être le fait que, lors d’une vision, il n’est pas possible d’obtenir autant de précisions sur la matière exacte de ce Monument, ainsi que ses mesures. Si telle était l’objection, elle émanerait sans nul doute d’un cerveau à l’esprit fort étroit. En effet, comme je l’ai déjà écrit, mon vécu n’est pas tout à fait rationnel pour des personnes habituées, depuis l’enfance, à recevoir des informations concrètes, enfin… tout du moins en apparence. Seuls ceux qui ont reçu ce genre de grâces peuvent comprendre mes perceptions. Je ne pense pas qu’il soit utile d’épiloguer longuement sur le sujet car, quoique je dise, même si je devais apporter des preuves tangibles, ceux qui refusent catégoriquement de recevoir des informations opposées à leur conviction, resteront toujours « agrippés » à leur point de vue. Ceci est un fait indéniable et historiquement prouvé depuis les origines de l’homme. Maintenant, pour faire court, je dirai simplement que mes visions ont été accompagnées d’effets en trois dimensions avec des sensations particulières faisant appel notamment au sens du toucher. Un peu comme si j’avais voyagé en quelques secondes à la fois en dehors et à l’intérieur de l’Abbaye du Sacré-Cœur matérialisée. Ne me demandez pas d’explication concernant ce phénomène, car je ne saurais vous répondre. D’autre part, je précise avoir reçu d’autres informations ultérieures par locutions intérieures concernant les mesures exactes de l’Oeuvre en question. Ceci dit, à l’heure où j’écris ces lignes, je n’ai pas encore toutes les données. Elles me seront communiquées au moment opportun. Par ailleurs, les architectes et les maîtres d’œuvre qui travailleront à la construction de ce Monument, ont des connaissances suffisantes afin de parfaire la partie d’information décrite par votre serviteur. Que vous me croyez ou non, ceci est une affaire de conscience entre l’Esprit Saint et vous mêmes. Je n’ai absolument pas à intervenir dans votre processus de pensée, ni à vous donner plus d’explications que nécessaire… En ce qui me concerne, sachez que j’aurai accompli mon devoir tel qu’il me l’a été demandé par le Sauveur et Roi de l’univers. Je répète que je ne suis pas le propriétaire d’une aussi grande Mission qui plus est, celle-ci peut m’être retirée du jour au lendemain, si ma conduite est contraire à ce que m’a demandé d’accomplir Notre Seigneur Jésus-Christ. Je n’ai pas le droit à l’erreur, ni d’agir de mon propre chef. Cette Œuvre est trop importante pour Dieu et pour le monde. Aussi la gloire en revient pleinement et entièrement à Jésus. Votre serviteur n’est qu’un très humble transmetteur/Avertisseur et je dois rester « petit »…
A propos, c’est bien le terme que Jésus a employé lorsqu’Il m’a parlé en locution intérieure au mois de janvier de l’année 2004. Je me permets donc de vous révéler très exactement ce que Notre Seigneur m’a dit sans en rajouter ni en soustraire. Je n’y apporterai non plus aucune remarque à la suite de ce Message puissant, car la portée est riche en Vérité et les Propos transparents. Votre serviteur n’a, par conséquent, aucun droit de se permettre une quelconque observation à la suite des Paroles lumineuses du Sauveur. Merci de les prendre en considération et de lire les phrases suivantes avec déférence. Que l’Esprit Saint vous éclaire dans cette lecture, car chaque mot prononcé par le Christ possède une valeur spirituelle incommensurable…
[1] De Dozulé, à la Miséricorde Divine et des Saintes Plaies du Christ.
http://www.prophete-fr.com/l_appel_de_dieu….pdf
http://www.prophete-fr.com/
https://www.youtube.com/channel/UCYX3DMJ6JMaEb1vQgJM2jUg
https://www.change.org/p/emmanuel-macron-dieu-ne-veut-pas-de-fl%C3%A8che-sur-notre-dame-098097a0-f72c-4021-9b66-cc9c78ecb8a8?lang=fr-FR
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Jour 15 : Victorian
-Comme d'habitude, monsieur Haddock ?
Lord Hiccup Hamish Haddock le Troisième acquiesça et on lui donna la clé de sa chambre habituelle. Il remercia la réceptionniste et monta à l'étage.
Lord Hiccup avait une vie des plus agréables. Marié à l'une des plus belles femmes de Londres, il détenait plusieurs entreprises industrielles, la fabrication de calèche, et la fabrication de véhicules motorisés qui faisait fureur. Il avait un magnifique manoir dans lequel se déroulaient les plus luxueuses et les plus prisées des réceptions. Sa femme lui avait également donné deux magnifiques enfants, une fille, Zephyr et un fils Nuffink. Lord Hiccup avait tout ce dont on pouvait rêver. Or, il continuait de venir là. Dans cette maison close.
Il enlevait généralement ses objets de valeurs, quand il venait là. Il allait directement à la réception et demandait une chambre, la même que d'habitude. Avec la même prostituée que d'habitude. Jacklynn faisait des merveilles sur lui.
Peu de temps après son arrivée, elle entra.
-Bienvenue à la l’île des Plaisir, monseigneur que puis faire pour réaliser… Hiccup ?
-Bonjour.
Immédiatement, Jack ferma la porte et enleva sa perruque. Un doux sourire éclaira son visage.
-Je ne t'attendais pas avant plusieurs jours…
-Justement, à ce propos… J'ai discuté de toi avec ma femme.
-Oh… Et alors ?
-Elle est d'accord pour que tu viennes vivre avec nous.
-C'est vrai ?
-Mais tu devras te faire discret. Nous avons un grand domaine. Tu t'occuperas des chevaux, avec notre palefrenier.
-Tu vas racheter ma liberté…
-Tu la rachèteras toi-même. Je vais te donner de l'argent que tu donneras à ta tenancière. En partant, tu monteras dans ma calèche. J'ai de quoi… Te faire enlever tes frusques. Arrivé au manoir, tu ressembleras à n'importe qui. Je te conduirais chez mon palefrenier qui s'occupera de toi. Tu auras une chambre personnelle et trois repas par jour, ainsi que…
Mais Jack se jeta sur lui, l'empêchant de continuer. Il tomba à la renverse sur le sol, Jack sur lui.
-Merci mon amour…
-Jack tu dois comprendre que…
Mais Jack l'embrassa et Hiccup fondit comme d'habitude. C'était bien le problème. Il était venu ici la première fois lorsqu'il avait dix-huit ans. Son cousin Rupert ne cessait de se moquer de lui, alors il avait voulu lui prouver qu'il avait tort. Il avait demandé une prostituée et on lui avait donné Jack. Jack n'avait alors que huit ans. Il avait perdu ses parents et sans aucune famille pour s'occuper de lui, il avait choisi la maison close au lieu de la famine de la rue. Hiccup avait été son premier client et son seul amour. Au début, Hiccup avait été choqué de voir que Jack était aussi jeune. Mais son père, discrètement, lui avait expliqué que tout le monde n'était pas aussi chanceux que lui, et que certains ne naissaient pas dans les bonnes familles. Hiccup était alors revenu plusieurs fois pour voir ce qu'il devenait et en grandissant, Jack devenait de plus en plus beau. Et des premières fois maladroites s'étaient transformé en étreintes charnelles des plus affectueuses. Le jeune lord s'était pris d'affection pour lui et avait voulu lui faire la surprise de le libérer de la proxénète qui avait acheté ses droits. Mais la vie s'était mis en marche, l'empêchant pendant douze longues années de mettre son plan à exécution. Hiccup s'était marié, à la belle Astrid Hofferson. Si Hiccup n'avait d'yeux que pour Jack, il devait avouer que la belle Astrid ne le laissait pas indifférent. Il avait été ensuite réglé les affaires de son père en Norvège. Il était revenu quelques jours, le temps de faire un enfant à sa femme pour repartir pour aller enterrer son père et mettre en ordre ses affaires. Il avait rapidement fait un deuxième enfant à sa femme avant d'aller voir Jack en coup de vent et de repartir pour gérer la fondation de son père. Ensuite il y avait eu la guerre, et la maladie, Hiccup avait attrapé la coqueluche et avait mis des mois à s'en remettre. Et enfin, depuis plusieurs semaines, il était revenu au pays.
Il aurait pu demander à n'importe qui d'aller libérer Jack, mais si la personne avait eu des motivations malhonnêtes et avait décidé de rendre publique la chose -que le très respecté Lord Haddock fornique avec un homme- ça aurait été la fin de son empire. Même si Jack se travestissait en fille depuis quelque temps pour rentrer dans la norme -et parce qu'en tant qu'homme, aucun client ne voulait prendre le risque de se faire surprendre avec lui- ils se devaient de rester discret. S'il avait directement demandé à la tenancière de la maison close, Madame Green, elle se serait fait une joie de le faire chanter en échange de son silence. Finalement, il en avait discuté avec sa femme. Quelques années avant, il l'avait surprise au lit avec une servante. Astrid avait alors fondu en larmes en lui expliquant qu'elle l'aimait lui, mais qu'elle était également amoureuse de sa servante, qu'elle connaissait depuis son plus jeune âge et qu'elle avait fait venir exprès depuis la maison de ses parents pour son mariage. Hiccup lui avait avoué la même chose, et leurs relations s'en étaient sorties renforcées. Il était amoureux d'Astrid, il ne pouvait pas le nier. Mais ce qu'il ressentait pour Jack, c'était complètement renversant.
Il lutta un moment pour se forcer à arrêter d'embrasser Jack.
-Nous devons se dépêcher… Le soleil ne va pas tarder à se lever. Il vaut mieux finir cette transaction pendant qu'il fait nuit.
Jack l'aida à se relever.
-Dis-moi ce que je dois faire.
-Je vais descendre. Et tu attendras quelques minutes avant de me suivre. Tu donneras l'argent à Madame Green et tu me rejoindras dehors, ma calèche est juste en bas de la rue.
-Le conducteur ne dira rien ?
-Non. C'est un de mes plus vieux amis. Le genre d'homme qui emporte un secret dans la tombe pour peu qu'on y met le prix. Il nous conduira jusqu'au manoir et nous serons en sécurité.
Hiccup l'embrassa.
-Tout devrait bien se passer.
-Je l'espère, mon amour, répondit Jack.
-Je suis tellement désolé d'avoir mis aussi longtemps…
-Tu as des responsabilités, c'est normal. Déjà tu as le temps de t'occuper d'un rebut de la société comme moi, c'est déjà bien.
-Tu n'es pas…
-Chut…
Jack l'embrassa doucement.
-Faisons vite.
Quelques mois plus tard
-Bon anniversaire, my Lord !
-Joyeux anniversaire my Lord !
-Bon anniversaire, mon amour…
-Joyeux anniversaire, père !
Hiccup sourit discrètement devant la surprise que lui avait concoctée sa femme. Elle avait réuni presque tous ses amis pour lui organiser une grande fête d'anniversaire. Le chef et le personnel s'étaient surpassés, faisant un des repas les plus délicieux qu'il n'ait jamais goûtés. La soirée avait duré jusqu'à tard dans la nuit, et après que le dernier invité fut parti, Hiccup et Astrid mirent leurs enfants au lit. D'habitude, c'était aux gouvernantes de s'en occupé, mais ce soir, exceptionnellement, ils s'en chargeaient. Ils mirent Nuffink au lit en premier, puis Zephyr et finirent par se retirer dans leur chambre. Ils se dévêtirent et Hiccup prit sa femme dans ses bras.
-Merci pour cette soirée, ma chérie.
-Le plaisir était pour moi. D’ailleurs, j'ai un autre cadeau pour toi.
-Ah oui ?
-Bien sûr, ce n'est rien d’exceptionnel, car c'est un cadeau… Comment dire… Que tu te procures souvent. Mais étant donné que tu as passé la nuit d'avant avec moi, peut-être que pour cette nuit, la première de ta trentième année, tu voudrais la passer avec ton palefrenier…
-Tu es sûr ?
-Bien sûr.
Elle frappa à la porte de sa domestique, dont la chambre était adjacente à la leur et Ingrid ouvrit. Jack était avec elle.
-Madame.
Astrid lui sourit et retourna voir son époux.
-Profite bien de ton cadeau, mon amour.
Ils s'embrassèrent en souriant et alors qu'Astrid rejoignait sa domestique dans sa chambre, Jack entrait dans celle des maîtres. Quand Astrid referma la porte, Jack courut vers Hiccup pour lui sauter dans les bras.
-Joyeux anniversaire, mon amour.
Il l'embrassa doucement et Hiccup l'amena sur le lit. Il le déshabilla tranquillement et lui fit l'amour tendrement. Une fois rassasié, Jack se colla dans ses bras.
-Tu es heureux ? Demanda Hiccup au bout d'un moment.
-Heureux ?
-D'être avec nous.
Jack se redressa un peu.
-Bien sûr, pourquoi cette question ?
-Parce que tu dois me partager avec ma femme…
-Ta femme t'aime, et je ne peux pas lui reprocher. Hiccup, avant, je faisais plaisir à toutes sortes de gens pour gagner ma vie, et il n'y avait pas que des enfants de chœur. La vie que tu m'offres est beaucoup mieux. Je n'ai plus à vendre mon corps pour pouvoir manger…
-J'aurais aimé le réussir à le faire avant.
-Eh, je suis encore jeune, contesta Jack. Je n'ai que vingt ans. J'ai encore de belles années devant moi. Et je vais les passer avec toi, et rien ne me ferait plus plaisir. Même si j'ai dû attendre douze ans, ça les valait. J'aurais attendu l'éternité pour être avec toi…
Il l'embrassa tendrement et Hiccup essaya de faire taire ses remords pour en profiter. C'était son anniversaire, après tout.
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Un jeune officier
Un jeune officier, les pieds écartés et plantés dans le sable froid d'une grève bretonne pleine de solitude , scrutait l'horizon. Au dessus de sa tête les ruines du manoir des Kéryado dressées sur un promontoire battu par tous les vents bretons surplombaient une crique où la mer se fracassait en des gerbes incessantes sur des récifs noirs. Personne ne savait plus depuis quand le manoir dressait ses murs noirs face à l'océan. Datait -il de la préhistoire ? Depuis le matin il attendait la chaloupe qui devait amener dans cet endroit perdu un diplomate Italien exfiltré par la Grande Bretagne au nez et à la barbe du roi Henri II qui le recherchait pour fait de haute trahison envers le royaume de France.
Il attendit tout le jour et lorsque un crépuscule rouge sang inonda de sa couleur funeste la grève, comprenant qu'il attendait en vain, il se faufila avec sa monture dans une sente qui montait roide à travers les rochers et le genêts jusqu'aux ruines du Manoir. A son arrivée la nuit se répandait dans une cour herbée. Il frissonna non pas de peur mais de l'impression d'étrangeté qui emplissait les ruines et mu par son subconscient il se tourna. Au dessus d'un trou noir il vit un énorme corbeau qui vint croasser au dessus de sa tête. Il s'approcha et découvrit l'entrée d'un escalier étroit, sombre, abrupt qui s'engouffrait dans la roche. Laissant son cheval brouter il descendit , rejoignit un souterrain éclairé par deux lumignons et arriva devant une lourde porte de chêne qui s'ouvrit à son approche. Il entra dans un crypte où une vieille l'attendait. Vêtue de haillons la vieille était plus ridée qu'un parchemin médiéval oublié derrière un coffre ; elle ouvrait spasmodiquement une bouche édentée d'où s'écoulait une bouillie immonde, immangeable. La vieille réchauffait ses mains, atteintes de syndactyles à chaque doigt de la main gauche, à des flammes bleue émises par un chaudron où glougloutait une mixture verdâtre et nauséabonde. De temps en temps elle agitait, au dessus du chaudron, un rameau vert couvert de folioles obimbriques.
« Salut à toi beau capitaine, tu as raté ton rendez-vous sur la grève mais tu arrives juste à temps pour célébrer le bicentenaire de la déchéance de la famille des Kéryado. Mon mignon cela fait 200 ans que le manoir est abandonné ; seule je suis restée. Je suis la mémoire, je suis à moi seule une autobiographie. Je suis la sorcière du manoir, vivant de l'imagination, de la crédulité, de la concupiscence , de immoralité des hommes. Je suis immortelle. Assied- toi mon tout bel ; veux-tu connaître l'avenir des Hommes sur cette terre ? »
Le jeune homme fut pris d'une violente quinte de toux qui le plia en deux et lui fit fermer les yeux.
- « Bois ceci dit la sorcière en prélevant une louche de son chaudron , c'est un antitussif qui va te soulager. »
Le chevalier secouait la tête de haut en bas en éternuant de plus belle.
- « Parfait mon joli éructa la sorcière. Voici l'avenir des hommes. »
Le jeune officier se réveilla dans une maison étrange qui sentait fort mauvais où plein de gens drôlement habillés poussaient une espèce de caisse munie de roues. Ils s'agitaient en permanence pour mettre dans la caisse des objets qui s'alignaient en profusion sur des planches. Qui étaient-ils ? , que faisaient-ils ?
Il s' aperçut qu'ils le montraient du doigt en en riant bruyamment« Vous êtes magnifique dans votre costume de carnaval , bien que ce ne soit pas la date. »
De quoi parlent-il ? Carnaval ? Il y avait aussi des voix et de la musique criardes qui lui vrillaient les oreilles, c'était insupportable. Il hurla. Les gens ne riaient plus, ils l'entouraient, méfiants voire agressifs. Ils avaient tous un petit objet sur l'oreille. Il fut saisi par deux costauds tout de noir vêtus. Ils le bousculèrent et le firent entrer, brutalement, dans une drôle de coche sans chevaux et qui, elle aussi, sentait affreusement mauvais. On lui demanda son nom, ses papiers, son adresse, son emploi. Il ne comprenait rien à ces questions mais il leur raconta « le manoir des Kéryado sur la lande bretonne et son cheval resté dans la cour, l'infiltré transalpin poursuivi par le roi de France Henri II, la crypte, la sorcière, le chaudron et la boisson magique qui allait lui permettre de connaître l'avenir des hommes »
Il se réveilla dans une chambre toute blanche , sur un lit blanc. Il avait mal partout comme s' il avait été roué de coups. Il était relié à une sorte d'arbre en fer étêté par un tuyau qui plongeait dans son bras. Un homme entra vêtu d'une houppelande blanche, comme un fantôme. Il souriait.
« Et bien vous êtes réveillé, le carnaval est fini. Il faut remettre les pieds sur terre. »
Le jeune homme lui expliqua , « le manoir des Kéryado sur la lande bretonne et son cheval resté dans la cour, l'infiltré transalpin poursuivi par le roi de France Henri II, la crypte, la sorcière, le chaudron et la boisson magique qui allait lui permettre de connaître l'avenir des hommes »
Il se réveilla dans une autre chambre, attaché sur un lit. Chaque jour une belle femme qui s'appelait Psychologue lui rendait visite. Il la trouvait jolie mais ce nom de Psychologue ne lui allait vraiment pas. Chaque jour il lui racontait « le manoir des Kéryado sur la lande bretonne et son cheval resté dans la cour, l'infiltré transalpin poursuivi par le roi de France Henri II, la crypte, la sorcière, le chaudron et la boisson magique qui allait lui permettre de connaître l'avenir des hommes »
Psychologue riait et repartait.
Peu à peu il fut autorisé à se promener dans un parc où il y avait des gens étranges, qui parlaient peu et marchaient à petits pas et puis il y avait un nègre qui lui aussi se promenait. C'était totalement irréel. Un nègre ! Mais à tout prendre c'était le noir qui était le plus poli et aimable. Il s'appelait Aristide. Ils sympathisèrent.
Aristide lui expliqua : « j'ai travaillé dans une banque comme trader. Je gagnais et faisais gagner beaucoup d'argent à mon patron . Tous les pays sont sous la dépendance de la macroéconomie qui distille un poison antisocial et qui détruit, peu à peu mais sûrement, la Terre. Un jour devant mon ordinateur j'ai eu une vision hyperréaliste de l'avenir des hommes , en postposé j'ai compris que j'étais un visionnaire rédempteur et j'ai transféré les numéraires de la banque sur mon compte personnel puis j'ai détruit mon ordinateur avec une chaise. Il y a eu une grand trou noir et depuis je suis ici. Toi, tu as été trouvé dans un supermarché, tes propos étranges t'ont valu une bastonnade et un séjour dans un hôpital avec intraveineuse et tout le tsoin-tsoin. Puis dans cette clinique psychiatrique.
Le jeune officier n'a rien compris au discours d'Aristide sauf que lui aussi devait connaître l'avenir des hommes. Cette similitude renforça son amitié et il lui confia « le manoir des Kéryado sur la lande bretonne et son cheval resté dans la cour, l'infiltré transalpin poursuivi par le roi de France Henri II, la crypte, la sorcière, le chaudron et la boisson magique qui devait lui permettre de connaître l'avenir des hommes.. »
Aristide lui posa sa main sur l'épaule et s'écria : « par Dieu tu as été envoûté par un puissant esprit des ténèbres qui te veut du mal. Il te tient dans ses serres puissantes ; seule une prêtresse vaudou peut le débusquer et te sauver. J'ai toujours sur moi mon pentacle ; je vais pouvoir entrer en communication avec Taubiranis la grande Mambo qui pratique la magie blanche. Elle est toute puissante et elle a le pouvoir de te désenvoûter et de te rendre la liberté.».
Un garçon qui cherchait des bernacles sous les ruines du Manoir des Kéryado trouva un jeune officier hébété, le bicorne de travers , immobile sur un rocher tel une actinie apode et privé de toute conscience . Monseigneur dit le garçon « le cheval qui broute dans la cour des ruines du manoir de Kétyado est -il à vous » ?
Aux mots de cheval, de manoir, le jeune officier se dressa droit dans ses bottes et le regard fou s'écria : « enfant n'essaie pas de connaître l'avenir des hommes. Il n'y a pas d'avenir »
Annie Reich
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[Test] Codex, l'ultime secret de Léonard de Vinci
1+ joueurs
Florent Cautela
14 ans
Philippe Mompas, Alice Ribeiro
jusqu'à 4h
Les éditions du lion vert
Escape game, Enquête, énigmes
Moderne
40€50 chez
et dans
Codex Je ne suis pas un grand expert des Escape Games à la Unlock et je ne suis pas fan de cette dernière série, mais j'aime beaucoup les jeux d'enquête. Alors quand j'ai vu ce premier jeu d'une toute nouvelle maison d'édition, il a fallu que je l'essaye. Financé sur Ulule le 22 mars 2020, a réuni 21 623€ pour 9 000€ demandés et 324 contributeurs. Codex se présente comme un jeu d'enquête, mais les énigmes présentes dans le jeu se rapprochent plus de l'escape game. On remarque d’ailleurs tout de suite la boite fermée par un cadenas à code. Dans Codex, les joueurs incarnent les héritiers d'une personne décédée et se retrouvent en possession de ses affaires et d'une mystérieuse boite cadenassée. A charge aux joueurs de comprendre pourquoi ils se retrouvent avec cette boite et comment l'ouvrir. Une série d'énigmes seront à résoudre pour ce faire. https://youtu.be/_iOsusDUl6Y - Une enveloppe blanche - Une enveloppe noire - Une boite cadenassée - Un arbre généalogique à compléter - Des photos - Des cartes postales - Un dossier d'enquête - Le reste et à découvrir dans la boite
Comment on joue à Codex ?
A l'ouverture de la boite de Codex, on est un peu dérouté : pas de règles du jeu, pas d'indications. On déballe tout et on se débrouille. En fait on s'y retrouve vite et on avance dans l'enquête facilement. Notez qu'on vous donne l'adresse d'un site internet qui peut vous donner des indices si vous êtes coincés. Des musiques d'ambiance sont disponibles sur le site des Editions du Lion Vert pour une immersion encore plus grande. Voilà, vous savez à peu près tout sur ce que je peux révéler du fonctionnement de Codex - Un matériel de folie - Une ambiance Da Vinci Code très agréable - L’histoire est prenante - Les énigmes intéressantes - On a très envie de savoir ce qu'il y a dans cette foutue boite - Tout est refermable pour pouvoir le refiler à quelqu'un d'autre - Le système d'indices sur le site - Des énigmes assez dur avec des éléments très/trop bien cachés - J'aurais aimé de vraies photos et de vraies cartes postales pour encore plus d'immersion
Design
Codex est beau avec des éléments très réaliste. Les documents ressemblent vraiment à des vrais, même le rapport de police. Celui ci est d'ailleurs relié avec de vraies trombones, le truc de fou ! La fameuse boite est fermée avec un vrai cadenas à code assez épais mais qui ne résistera pas à une pince monseigneur ;-) Les photos sont sympa, même si on a du mal à reconnaître les époques dessus, ce qui auraient facilité leur utilisation. Les cartes postales sont sympa aussi et assez jolies. J'aurais aimé de vraies photos et de vraies cartes postales pour augmenter encore l'immersion mais c'est pour chipoter. J'aime beaucoup le design de la boite qui ressemble beaucoup à une malle mystérieuse qu'on pourrait en effet recevoir d'un oncle lointain un peu fou. Dans l'ensemble, le design de Codex vous mettra bien dans l'ambiance avec des éléments crédibles et agréables à regarder.
Qualité du matériel
La qualité du matériel de Codex est très bonne ! Les papiers sont standards, mais ne semblent pas fragiles. Les enveloppes et le dossier sont des bonne qualité également. Le cadenas est solide et il n'est pas possible de le forcer sans outils. La boite est également dure à forcer sans ouvrir le cadenas. Les photos et cartes postales sont en papier cartonnées, elles auraient pu être en carton à défaut d'être sur de véritable papier photo ou papier cartes postales. Dans l'ensemble, le matériel donne un sentiment de qualité et de longévité, ce qui est bien pour un jeu qui doit passer de mains en mains.
Thème
Dans Codex, on se retrouve assez bien dans l'ambiance Da Vinci Code avec un mélange de géographie, d'histoire et d’ésotérisme. Si la partie géo ne demande aucune connaissance précise, avoir quelques connaissance d'Histoire, notamment au niveau de la seconde guerre mondiale sera un plus (sinon google est votre ami). Les liens avec Léonard de Vinci sont ténus et on l'oublie assez vite finalement, dommage. L'Énigme sacrée (The Holy Blood and the Holy Grail, « La Sainte Lignée et le Saint Graal ») est un essai controversé réalisé en 1982 par trois journalistes britanniques : Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh. La thèse de cet ouvrage a été reprise de manière romancée dans le jeu vidéo Les Chevaliers de Baphomet puis dans le best seller Da Vinci Code. En tentant d'éclaircir l'énigme de Rennes-le-Château et de l'abbé Saunière (années 1885–1917), les trois auteurs se lancent dans une véritable enquête et relient entre eux le Prieuré de Sion et l'histoire des Templiers, des Cathares, de la dynastie des mérovingiens, du Saint-Graal et les origines du christianisme. L’Énigme sacrée véhicule notamment la théorie selon laquelle Jésus aurait eu un enfant avec Marie-Madeleine, et fait de cette dernière un avatar de la Grande Déesse ou Féminin sacré. Il s’agit donc de l'ouvrage qui se trouve à la base des théories sur l'union Jésus/Marie-Madeleine, sur la signification « marie-madeleinistique » du Graal et sur tout ce qui s'ensuit – toutes théories qui s'avèrent donc récentes, contrairement à l'opinion de nombreux lecteurs du Da Vinci Code, best-seller de 2004 dont l'intrigue est basé sur ces allégations. Bien que leur travail s'appuie sur de nombreuses références citées en notes en fin d'ouvrage, l'essai de Henry Lincoln, Michael Baigent et Richard Leigh demeure très controversé : tout d'abord parce que les auteurs entretiennent une mystification dont les premières pierres ont été posées par le faussaire et mythomane Pierre Plantard dans les années 1940, sur le Prieuré de Sion, mais aussi parce que certains voient dans L’Énigme sacrée l’instrument d’une propagande néopaïenne et d’une « falsification » de certains éléments de la foi chrétienne. L'enquête faite par Marie-France Etchegoin et Frédéric Lenoir, dans Code Da Vinci : l'enquête a montré le peu de sérieux des thèses développées dans L'Énigme sacrée. L'Énigme sacrée a tout d'abord été critiqué du fait que toutes les théories que le livre fournit sur le Prieuré de Sion reposent d'une part sur des entretiens des auteurs avec Pierre Plantard, soi-disant grand maître du Prieuré qui reconnut en 1992 avoir fabulé, d'autre part sur les Dossiers secrets d'Henri Lobineau, qui s'avèrent être des faux ayant été créés par ce même mystificateur en 1967. Beaucoup ont dénoncé des intentions anti-chrétiennes et de propagande néopaïenne qui, à leurs yeux, se trouvaient à la source de l'ouvrage. Certains lecteurs jugent toutefois ce scénario comme étant conspirationniste. D'après ce type particulier de détracteurs de L'Énigme sacrée, c'est Liz Greene – sœur de Richard Leigh et petite amie de Michael Baigent à l'époque de la rédaction de l'ouvrage, et par ailleurs astrologue affiliée au New Age et à la Wicca (un culte néo-païen né dans les années 1940 et centré sur le culte du Féminin sacré) – qui serait à l'origine de l'affaire. Considérant, en regard de ses croyances, qu'il était temps de préparer l'humanité à l'Ère du Verseau et au retour du culte du Féminin sacré que ce dernier impliquait, elle aurait sommé son frère et son ami de réaliser une "investigation" ayant pour secrète vocation de détourner les chrétiens de leur religion « phallocrate » (certains néo-païens ont en effet coutume de voir le christianisme comme une sorte de "Masculin sacré", avec son Messie et ses apôtres tous masculins et un Dieu perçu comme masculin dans l'opinion commune) et de les convertir, à l'inverse, à la spiritualité « gynocrate », au culte de la Déesse.
Mécanique
Il n'y a pas vraiment de mécanique dans Codex. On déballe tout le contenu de la boite et on essaye de s'en sortir avec les éléments qu'on a. L'histoire se déroule au fur et à mesure et on comprend petit à petit ce qui se trame. Les énigmes bien qu'assez classiques sont intéressantes et assez ardues à résoudre. Certaines nécessitent de bons yeux et une logique mathématique. On ne s'ennuie pas dans Codex, même si le jeu peut être assez long. Trouver le code du cadenas vous demandera de beaucoup réfléchir, et si vous êtes plusieurs vous y arriverez mieux car plusieurs cerveaux qui réfléchissante ensemble valent mieux qu'un. Prévoyez un carnet de note (non fourni) car il y a pas mal d'éléments à noter si vous voulez organiser vos pensées de manière cohérente. Dans l'ensemble, j'ai beaucoup aimé Codex qui est en passe de me réconcilier avec les escape games.
Simplicité des règles
Les règles sont tellement simples qu'il n'y en a pas.
Codex se déballe très vite et tous les éléments peuvent être remis dans leur état original pour pouvoir passer le jeu à quelqu'un d'autre, c'est très bien vu ! Codex est un excellent jeu d'enquête/Escape Game. On retrouve les sensation d'une salle d'escape dans son salon. Codex est assez immersif, avec des énigmes intéressantes, non capilo-tractés, mais certaines requièrent quand même de très bon yeux. Au final on ne voit pas les 3-4 heures de jeu passer, on en ressort vidés mais forts d'une satisfaction énorme d'en être venu à bout ! Fans de jeux d'enquête et/ou d'escape games, ruez vous sur Codex, vous risquez de passer une très bonne soirée en compagnie de ce jeu !
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First arrivals
Un tapis rouge, simple tapis Rouge, BTS, SuperM et les quelques membres de SNSD... Sunny et Hyoyeon était aux bras de leurs copains actuels tandis que Yuri, Yoona et Taeyeon se retrouvaient à trois dans la ligne... puis un éclair, une épaisse brume franchissant le tapis et puis un tourbillon.... Ensuite le néant. Le noir le plus complet.
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Namjoon ouvrit les yeux, toujours en costard, étaler sur les marches d'un château médiéval, devant des bottes en cuir. Il leva les yeux pour voir un homme, pas très grand mais couronné, roux aux yeux émeraudes si intense.
« Euhhh..... votre … majesté... » couina Namjoon
« Ah … » l'homme s'accroupit et releva Namjoon sans faire d'effort « Il me semble que vous venez de l'Autre réalité. » dit-il simplement « A en croire votre tenue. »
« Euh... Je … » Namjoon était livide
« Respirer très cher. » dit il en époussetant sa tenue
« Monseigneur ! » hurla un garde « La Sorcière a reparue !! Monseigneur il y a un étranger derrière vous souhaitez vous que je l'élimine !?»
« Je sais. » Le Roi se tourna donc vers Namjoon « Monsieur..... »
« Namjoon... » marmonna-t-il
« Monseigneur Namjoon de la croisée des Marches, est mon invité. » dit le Roi rapidement « Il est mon Favori personnel. » Le Roi se fit plus froid « Quiconque s'en prendra à lui, répondra de mon épée me suis-je fait comprendre ? » siffla-t-il
« O-oui Monseigneur.. »le garde s'en alla
« Wow mec.... » Namjoon se couvrit la bouche « euh... monseigneur... »
« Ewan. » Il sourit amusé
« Je peux pas vous appeler par votre prénom..... » fit Namjoon
« Vous le devez très cher.. » Ewan rit doucement « Pour vous sauvez d'un garde trop enthousiaste je vous ait anobli et fait Favori. Savez vous comment le commun nomme un Favori ? » demanda-t-il
« Non ? » Namjoon haussa un sourcil
« Un amant. » Ewan monta les marches amusé « Suivez moi, nous allons nous charger de changer vos vêtements. »
« Oh ... » Namjoon suivit le roi « et je dois faire quoi en tant qu'amant du Roi ? » Il n'en revenait pas « Votre femme va pas être jalouse ? »
« Quelle femme ? » Ewan monta les marches et traversa la salle du trône
« Vous êtes pas marié ? » demanda Namjoon
« Non. » Il poussa la porte de ses appartement et laissa Namjoon entrer « Je vous expliquerais la politique locale autour d'un dîner. »
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Il avait froid, voilà la première pensée de Baekhyun quand il se réveilla, il cligna des yeux faisant face à une meute de loup semblant affamés.. Il pâlit, il allait mourir là...bouffer par des loups ?! Vraiment.... ?! Soudain des bruits lourd de pas se firent entendre dans la neige et un homme aussi grand qu'une montagne s'avança, il souleva Baekhyun et le hissa sans soucis sur le dos d'un immense cheval de trait blanc. L'homme regarda les loups simplement et la meute s'en alla. Il monta dans le plus grand silence sur son cheval et avança dans la forêt morbide et effrayante en pleine nuit.
« Euhm.. Merci... » couina Baekhyun
Pas de réponses, l'homme derrière lui ne dit rien et son regard aussi froid que l'environnement découragea presque le jeune chanteur. Il soupira longuement en frissonnant.
« Fait froid.... »
Une épaisse cape en fourrure se posa sur ses épaules et Baekhyun sursauta. Alors il avait un cœur ? Ou pas quand il se tourna légèrement, l'homme regardait toujours droit devant lui. Baekhyun gigota un peu sur la selle pour chercher la chaleur du géant. Géant qui fit s'arrêter le cheval pour sauter de son dos et marcher à côté.
« Pourquoi m'avoir sauver si c'est pour pas parler ? » couina Baekhyun vexer
« Parce que c'est mon devoir. » dit l'homme en soupirant avec un épais accent
« Ah et donc vous sauver les gens mais vous accepter pas les remerciements... » soupira Baekhyun
« Aucun besoin. » Il s'arrêta devant un pont levis antique très médiéval siffla..
Le pont se baissa et l'homme fit traverser le cheval avec Baekhyun.
« Bienvenu dans le Royaume des Neiges Éternels. » dit l'homme
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Y faisait si chaud sur le tapis rouge ? Ou dans l'ambulance ? Mark ouvrit doucement les yeux pour se rendre compte qu'il était pas du tout dans un hôpital ou un tapis rouge. Il était au beau milieu d'un désert au sol rouge comme les pierres du grand canyon et au ciel étrangement rouge orangé. Le jeune garçon se leva. Il avait tellement chaud. Puis sur un petit amas de pierres il vit un homme habillé de noir, blond, les yeux clos... Mark s'en approcha doucement.
« Euh... exc- »
« Un être humain... » L'homme avait la voix rauque et arqua un sourcil en gardant les yeux clos
« Je m'appelle Mark et je- »
« Mhmh je sais. » Il sauta de son rocher et lui indiqua de le suivre « Un humain ne survit jamais plus de 10 minutes dans ce désert. » dit-il
« Ahh !! » Mark s'approcha de l'homme effrayé et prit son bras
« Et un humain ne survit pas plus longtemps si il touche le diable. » L'homme ouvrit le yeux.
Il avait des yeux vert pomme mais la sclère de ses yeux était noire.. Et il n'avait rien de gentil.
« Aaaaah !!! » Mark sursauta et recula vivement arrachant à l'homme un rictus malsain
« Court et tu es mort. Les dragons aime la chaire fraîche. Reste ici et tu vivras... » dit-il
« V-vos... y.... yeux ... » couina Mark
« Chéri. » L'homme l'attrapa par les hanches pour le plaquer à lui « Je suis ravi qu'ils t'effrayent. » il susurra dans son cou « combien de temps veux-tu vivre ? » murmura-t-il doucement
« Aha.... je... euh... je … » Mark était rouge pivoine
« T'es mignon... alors je te laisse en vie. » Il recula « Pour l'instant. »
Il tendit la main et Mark la saisit, n'ayant pas trop le choix. Pourquoi il pouvait pas tomber sur quelqu'un de gentil... ?
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Il s'était sentit flotter, maintenant il sentait le soleil sur sa peau et sur sable sous son dos, Taehyung ouvrit doucement les yeux pour voir une sublime créature penchée sur lui, caressant ses cheveux et souriant quand ouvrit les en entier.. C'était une très belle femme... sauf que le bas de son corps était couvert d'écailles... Une sirène... Taehyung se redressa un peu pour voir ses écailles blanches, iridescente... Elle sourit un peu et recula pour s'asseoir dans les vagues.
« Bonjour bel étranger.... » Elle sourit doucement
« Bonjour jolie sirène... » marmonna-t-il
« Tu viens de l'autre réalité.... la tempête n'a pas été douce avec toi et t'as lâché dans nos contrées... Un humain ne respire pas sous l'eau sans le bon sortilège. » Elle pencha la tête en arrière appréciant la vague et Taehyung resta sans voix devant une telle beauté « Une chance que je t'ai vue ! » Elle sourit « Tu te sens bien ? Veux-tu manger ? Il faut que tu boives de l'eau douce..... » Elle se hissa vers lui, mains sur ses jambes et sourit « Je peux t'amener à un endroit sur ! »
« D... d'accord... » Il se releva doucement et cligna des yeux quand la Sirène l'imita, ayant soudain de belles jambes « Ah.. ; tu sais marcher... »
« Un avantage de princesse ! » elle sourit et marcha autour de Taehyung « Avez vous un prénom ? »
« Lucie ! » Elle sourit « Et toi ? »
« Taehyung... » Il suivit la petite sirène qui l'emmena vers la foret avant d'y trouver une source d'eau douce
« Voilà une source d'eau douce.... il faut que tu boives beaucoup d'eau pour évacuer le sel.... » Elle caressa sa joue « Que tu es beau... »
Taehyung rougit … Ah qu'elle était chou... Il ne se plaindrait jamais d'avoir été trouver par cette femme.
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Il faisait étrangement chaud mais un aura sinistre la réveilla et Yoona se redressa.. Pourquoi tremblait-elle alors qu'il faisait chaud ? L'atmosphère sinistre pesante semblait étouffer quiconque voulant respirer trop fort... Yoona avait soudain très peur quand une présence un peu plus rassurante se fit sentir. Devant-elle se trouvait une sublime créature, elle avait de longues mèches mauves, des yeux bleus sombre et un sourire doux sur le visage, portant des vêtement noires. Yoona s'en approcha et la belle lui caressa la joue.
« Bonjour Yoona. » elle sourit en caressa la joue de la coréenne
« Bonjour.... » Yoona rougissait
« Une belle créature comme toi n'a rien a faire dans la solitude de l'Entremonde.... mais je soupçonne que tu n'es pas ici par volonté. » Elle l'aida a se relever et tendit la mains pour qu'un petit bateau arrive. « Viens n'ai crainte.. »
« Je n'ai pas peur... » murmura Yoona « Tant que tu es là, je n'ai pas peur... Malia... »
« Oh.. alors tu te souviens de moi. » Malia l'aida a monter dans la barque
« Pourquoi tu ne venais plus dans mes rêves ? » murmura Yoona en s'installant
« Tu n'avais plus besoin de moi. » Malia sourit « Je ne t'en veux pas. »
« J'avais besoin de toi.... tellement..... » Yoona leva les yeux « mais tu ne revenais pas.... pas après que j'ai... été en couple... Malia.... »
« Oh vraiment ? » Malia fit avancer la barque
« Tu étais jalouse ? » Yoona rit un peu
« Moi ? Jalouse ? » Malia soupira « Probablement. » Elle fixa Yoona « Dans ce monde, rien ne compte. Dans ce monde les problèmes du tient n'existe pas.. Il y en a d'autres... tout aussi grave, certains pire.... »
« Mais tu me laisseras pas.... » Yoona tendit la main
« Jamais. » Malia embrassa la main. « Maintenant que je peux te toucher... »
« Oh oui touche moi.... » marmonna-t-elle
« Pas tout de suite petit cœur.... la Rivière de l'Oublie n'est pas un endroit pour ça. » Malia sourit « Mais je te donnerais ce que tu veux arriver dans mon palais.... »
« Tout ce que je veux ? » couina Yoona
« Oui. » Malia mit une mèche derrière ses oreilles
« Même de l'amour ? » murmura-t-elle
« Autant que je puisse t'en donner. » Malia sourit
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Yoongi ouvrit les yeux et vit Hoseok étaler à côté de lui... Ils étaient dans une pièce de marbre blanc, dont les murs étaient couvert de longs rideaux en toile et en soie, brillant, vert et or. Des coussins recouvraient les marbres et au centre un bassin d'eau chaude sentait bon la lavande et la rose. Hoseok émergea et fixa Yoongi qui maintenant regardait la porte ou se trouvait une femme, l'une des plus belles qu'ils ait eu le luxe de voir. Des longues mèches noires tombant dans autour d'un visage fin et de grands yeux verts, ses oreilles pointues et son élégance la faisait sortir tout droit du Seigeur des Anneaux, et doucement la belle demoiselle s'avança avant de s'arrêter à mi-chemin faisant tomber son manteau pour se dévoiler nue et entrer dans le bassin.
« Moi qui n'ait jamais eut l'idée d'user ce Harem pour autre chose qu'une salle d'eau privé, voilà que l'autre réalité m’envoie deux hommes... » elle sourit et leurs fit signe « Rejoignez moi, votre chute du monde parallèle a du être éreintante. »
Yoongi n'avait pas réfléchit pour une fois et se déshabilla, comme au final Hoseok qui se joignit la sublime créature.
« Je suis Morganna Valnéas Holmeséas, Impératrice des Domaines elfiques. » Elle tendit les deux mains vers les hommes
« Yoongi... » Yoongi embrassa la main avec douceur
« Moi c'est J-Hope mais mon vrai nom c'est Hoseok !! » Il embrassa la main avec plus d'entrain
« Deux faces d'une même pièce. Messieurs... » Morganna s'approcha deux caressant leurs joues « Je suis ravie que vous ayez atterrit dans mon harem. » elle sourit en glissant ses mains le long de leurs torse
« Ohola » Hoseok rougit
« Tout le plaisir est pour moi. » Yoongi se pencha pour embrasser le cou de la belle elfe
« Ah un humain qui n'a pas peur... » Morganna sourit « C'est vivifiant.. »
« Hé... j'ai pas peur mais.... euhm … on est pas sensé … euhm être amoureux.... ? » osa Hoseok « Et être à deux... »
« Mhh. » Yoongi avait le nez dans le cou « C'tellement vieux jeu. »
« Hé ! » Hoseok ronchonna « J'suis pas vieux jeu. »
« Alors prouve le. » dit Yoongi en glissant ses bras autour des hanches de Morganna
« Je suis de son avis. » fit l'Impératrice en se laissant aller « Approche » murmura-t-elle
Hoseok avala de travers mais s'approcha et il se pencha pour l'embrasser avec tendresse.
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Doux... La surface sur laquelle il était poser était douce. Il se blottit dans cette douceur et soupira d'aise quand soudain il entendit un rire doux et amusé. Jongin se redressa et fut retenu par deux bras musclés. Jongin sursauta en voyant qu'il était suspendu en l'air et les bras qui le retenaient était ceux d'un Ange, un homme ailé. Doucement l'homme sourit et le posa sur un nuage qu'il venait de créer.
« Assieds-toi. » murmura-t-il doucement en posant Jongin sur le nuage
« Je suis mort ? » Jongin fixa l'Ange en s'asseyant
« Oh non. » L'homme ailé rit un peu « Mais tu as faillit. Les humains ne sont pas fait pour évoluer dans le ciel comme moi. »
« Je dormais sur un truc doux.... » dit Jongin
« Je te prierais de ne pas me plumer pour faire un oreilles de mes plumes.. » L'homme caressa la joue de Jongin d'un aile
« C'est tout doux..... » souffla Jongin
« Merci.. » L'ange s'assit sur le nuage « Je suppose que tu as pas mal de questions »
« Trois pairs.... » il comptait les ailes
« Oh oui... je suis le Roi du ciel. » il sourit « Jack. Enchanté »
« C'est … pas … oh woh » Jongin secoua la tête
« C'est un nom simple et court mais l'officiel est long et chiant. » dit-il en souriant
« Je m'appelle Jongin. » dit-il doucement
« Je sais ! » Jack replia ses ailes « Poses tes questions jeune homme de l'Autre Réalité.. » dit-il
Jongin posa ses questions alors que Jack répondait a ses questions avec honnêteté. Il était très heureux d'être tomber les bras de cet ange, dans tous les sens du terme.
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Le plus célèbre des marins français a abandonné la course au large pour se consacrer à la pêche et à l'écriture. Cru, grinçant, parfois nostalgique, il ne se résout pas au pessimisme.
« Quand j’arrive dans la salle, montez debout sur la table et criez : « Bonjour, Monseigneur ! » ». “L’Amiral” - son surnom - a quelques jours plus tôt accepté de nous accorder un entretien. À la date promise, le marin appelle : « Rendez-vous dans vingt minutes au Lutetia. » Il faut dans ce cas se montrer réactif car le Breton, qui vit entre la Polynésie française, Brest et Paris, ne s’attarde généralement pas auprès des hommes.
S’il continue à collaborer épisodiquement aux Grosses Têtes de RTL, le navigateur choisit son rythme, imprévisible. Grâce à l’émission de Philippe Bouvard puis de Laurent Ruquier, Kersauson touche depuis plusieurs décennies la France dans toutes ses déclinaisons : l’ouvrier sur son chantier comme le médecin entre deux consultations. Les auditeurs de RTL comme les lecteurs de ses livres à succès savourent un tempérament que le skipper Loïck Peyron résume ainsi : « Un ours mal léché mais bien élevé. »
« Mon égoïsme géré de façon remarquable me permet d’avoir une vie délicieuse », se vante l’ours en question, avant d’appuyer, espiègle et brutal : « Allez vivre dans votre naufrage, je ne suis pas secouriste. » Derrière cette formule comme derrière les réflexions livrées dans l’entretien qui suit, pointe un individualisme qui n’a pourtant rien à voir avec le consumérisme de l’époque. Un individualisme conservateur, aristocratique, élégant, avec lequel il observe, depuis la mer, ce qui perturbe le bon fonctionnement de la rive d’en face. Kersauson a aujourd'hui 74 ans. Enfant, le verbe gémir lui était interdit. Son équation personnelle est simplissime : « Mon histoire, c'est celle d'un mec qui veut bien finir. »
Sur les océans, où vous avez passé une partie de votre vie, la temporalité se trouve bouleversée. Sur terre, ne s'est-elle pas accélérée ? En mer, il y a effectivement une distorsion du temps. Il est toujours moins ennuyeux d'attendre une risée que d'attendre un avion. Ici, notre monde ne réfléchit plus. Ou n'a plus le temps de réfléchir. Tout est rapide et compliqué : les gens ont l'obligation de décider, de dire oui, de dire non, de juger à toute allure. Notre monde se bouscule et s'entasse. Il n'y a plus de pensée, de préméditation, il n'y a que de la réactivité. C'est l'écho du buzz.
Vous pensez aux réseaux sociaux ? Je trouve ça horrible. Avant, quand Bébert disait une connerie au Café du commerce, tout le monde lui disait : « Ta gueule, Bébert ! » Aujourd'hui plus personne ne dit « Ta gueule ! » à Bébert, or Bébert continue avec une pensée de merde, ponctuée de neuf fautes d'orthographe, à inonder les réseaux sociaux. Qui plus est de façon anonyme. Cela ne me semble pas obligatoirement supportable.
Vous vivez entre la France et la Polynésie. Que retrouvez-vous chaque fois que vous atterrissez à Roissy ? Le goût du vin. En pays tropical, le vin n'a pas les mêmes goûts qu'ici. Quand je reviens en Europe, je me délecte de sentir le vin, de boire, pour leur mâche, des bordeaux blancs - je trouve en revanche les vins de Loire trop acides. En Bourgogne, il y a des choses à boire qui sont magnifiques. J'ai bu des belles choses au cours de mon existence… Des grands bordeaux de 61, des latours 82. J'aime le monde du vin : un maître de chai, c'est quelqu'un de formidable. Une cave, c'est un navire immobile.
Revenir en France est-il toujours un plaisir ? J'aime bien revenir en France mais je n'aime pas revenir à Paris. Je n'ai pas les codes des villes de l'intérieur. Paris, c'est bruyant, sale. À Paris, je ne comprends pas les gens. Le paraître a dépassé l'être depuis longtemps. Les Parisiens ne sont pas des gens agréables, ils sont prétentieux. Péteux. Le merveilleux de Paris, je ne l'ai jamais appréhendé. Je n'ai pas de souvenir ému à Paris. J'en ai à Marseille, à Brest sur la rade. J'en ai même à Nice. Je suis un provincial pur…
Vous êtes marin mais également écrivain. Quelle importance revêt la langue à vos yeux ? J'essaie de m'appliquer. Mes parents parlaient 8 000 mots, moi moins. Et ceux qui viennent après nous en parlent douze… Je suis sensible quand j'entends un beau français. Comme le français parlé aux Antilles, par des gens qui veulent le parler par ascension sociale. Le français du Prix Goncourt Patrick Chamoiseau, il n'est pas pompeux mais il est riche, fin, subtil. J'aime ces écritures- là. Je suis charmé par des expressions françaises : dire, pour désigner des gens fâchés, qu'ils sont « à couteaux tirés », par exemple. J'adore.
Je suis d'une civilisation judéo-chrétienne. Même si je ne partage pas tout, j'ai un lien avec ce monde-là. Un lien réel, un lien charnel. Je n'ai pas du tout de révolte. L'éducation catholique que j'ai reçue m'a permis de discerner la notion de sacré.
Vous considérez-vous comme un auteur ? Non. Je suis un petit commerçant en littérature.
Le développement de l'écriture inclusive vous paraît-il une aberration ? Ce n'est pas la première fois que des couillons traversent l'histoire. Mais je m'en fiche. On n'est pas obligé de se ruer sur toutes les fautes de mauvais goût contemporaines.
Même la télé-réalité ? La nuit, comme je dors peu, je zappe. Donc il peut m'arriver de tomber sur ce type de programme. Mais je n'ai pas de mépris pour les candidats de télé-réalité. Vous savez, il y a un truc touchant chez l'homme, qu'il faut inclure quand on regarde notre monde : les gens font ce qu'ils peuvent. Et souvent, ils ne peuvent pas beaucoup.
Serait-ce pour cela qu'à la fin de votre livre Ocean's Songs (paru en 2008 au Cherche Midi et vendu à plus de 300 000 exemplaires), vous faites l'éloge de la « miséricorde » ? On peut vivre avec ses contemporains sans partager leurs goûts ni leurs idées. J'aime tout ce qui chasse la vanité, le mépris et la suffisance. Je ne me suis pas assis à côté de ma vie pour distribuer des bonnes notes. Je n'ai pas de leçons à donner. Je n'en ai pas trop à recevoir non plus…
La miséricorde, c'est éminemment chrétien, non ? Pourquoi pas ? Je suis d'une civilisation judéo-chrétienne. Le catholicisme est la religion des gens qui m'ont élevé, des gens que j'ai beaucoup aimés, de la mère de mon fils Arthur, de nos familles, de mes frères et sœurs disparus. Ils sont enterrés dans des tombes avec des croix. Même si je ne partage pas tout, j'ai un lien avec ce monde-là. Un lien réel, un lien charnel. Je n'ai pas du tout de révolte. L'éducation catholique que j'ai reçue m'a permis de discerner la notion de sacré. Que j'ai pu retrouver chez d'autres : l'homme qui a une religion, s'il ne fait pas de prosélytisme et n'est pas agressif, me plaît. La religion consiste quand même à considérer au quotidien qu'on traverse un monde qui nous dépasse. Elle nous ramène à une place cohérente. Voilà pourquoi je n'ai jamais, de ma vie, fait des plaisanteries sur une religion, quelle qu'elle soit. Sinon, on fait de la peine à des gens qui ne peuvent pas se défendre. Qui ont un attachement fort.
Vous avez été élevé dans un collège jésuite du Mans mais ne gardez pas un bon souvenir de votre scolarité… J'ai une capacité d'étanchéité au monde qui m'entoure à mon avis très supérieure à la moyenne. Cette capacité, je l'ai depuis tout petit. Dès l'âge de 8-9 ans, je formulais mon désintérêt, ma fin de non-recevoir, face aux concepts, attitudes et comportements proposés. Ce qui rendait parfois les gens chargés de mon éducation hors d'eux. Cela faisait de moi un individu dont les collèges voulaient se séparer, bien que je n'aie jamais chahuté de ma vie. Seulement parce que j'étais réfractaire aux propositions intellectuelles qu'ils me faisaient.
Nous étions une génération de marins prêts à mourir pour ce sport. Aujourd'hui, on a surtout l'impression d'avoir affaire à une génération prête à en vivre. Les gars continuent à courir en solitaire mais ils ne courent plus en solitude.
Et vous êtes devenu navigateur… Courir au large en solitaire nécessitait-il d'être individualiste ? Nous étions une génération de marins prêts à mourir pour ce sport. Aujourd'hui, on a surtout l'impression d'avoir affaire à une génération prête à en vivre. Les gars continuent à courir en solitaire mais ils ne courent plus en solitude. Ils sont connectés, reçoivent des coups de téléphone de leurs enfants : « Allô, papa, t'as vu des baleines ? » Depuis que je ne cours plus, je ne regarde même plus la voile. Je m'intéresse à la pêche, à la pêche au gros. Et à la visite du monde avec la compagnie du Ponant (dont il conseille le président, NDLR). Mais, pour rien au monde, je ne serais allé à Saint-Malo au départ de la Route du rhum.
Que vous a enseigné Éric Tabarly, avec qui vous avez appris à naviguer ? Ce qu'était un vrai patron. C'est-à-dire quelqu'un qui ne vous explique pas ce qu'il faut faire, mais qui le fait.
Selon vous, quelle est la différence entre un voyageur et un touriste ? Le touriste connaît l'heure à laquelle il revient. Il est parti le 23 et il sait qu'il sera de retour le 32. Le touriste va trouver quelque chose qu'il est venu chercher, le voyageur va découvrir.
Il y a pourtant plus de touristes que de voyageurs… Quel serait notre mal profond ? Notre société est biologiquement faisandée depuis toujours. L'homme se montre formidablement apte à se tromper. En 1942, 90 % de l'Allemagne est nazie. Quand j'ai quitté la fac, j'ai posé mes bouquins, laissé derrière moi mon professeur d'économie avec ses chaussures à semelles crêpe et son complet nul, et je suis parti en stop faire le tour d'Europe. Je suis notamment allé à Dachau. À l'époque, c'était un site à l'abandon, et je me vois encore essayer une paire de lunettes de déporté avant de me rendre compte que je venais de déconner avec quelque chose de sacré. Je les ai reposées. Je venais subitement de comprendre qu'il ne fallait plus jamais faire confiance à personne. Je me suis dit : “À partir de maintenant, évite le groupe. Leur réserve d'enculés est énorme.” Cela a été mon chemin de Damas.
Comment expliquez-vous que le communisme fut applaudi dans les années 1970 ? C'était à la mode pour les plus cons. On n'a d'ailleurs jamais vu de bateau de course russe, à l'époque… Je suis allé à Berlin-Est dans ces années 1970 : je vois encore les « Vopos », c'était monstrueux. Et c'était tangible. J'en avais discuté avec Jean-François Revel, l'éditorialiste du Point et grand pourfendeur du communisme. À l'époque, si on n'était pas communiste, on ne pouvait pas être professeur à la fac ou intellectuel.
Notre société, elle, s'impose continuellement des aigreurs. Moi, je ne me lève pas le matin en me demandant de quoi je vais pouvoir me plaindre aujourd'hui.
Le pessimisme historique, ou celui plus immédiat de la presse, est-il légitime ? Vous savez, on a les vies qu'on veut avoir. Les unes des journaux, en France, ne sont pas nouvelles… J'ai découvert ça en 1967, quand j'ai embarqué avec Tabarly pour l'Angleterre. Quand on partait en mer, on n'avait même pas les moyens de se payer le téléphone, alors on ne pouvait se tenir au courant de rien. On revenait, on prenait les journaux : on avait l'impression que c'était le même journal que quand on était parti. Sans aucun intérêt. Aujourd'hui, quand je suis à Tahiti, je ne regarde pas la télévision, je ne lis aucun journal. Quand je reviens en France, je lis vaguement pour me tenir un peu au courant, savoir qui sont les dernières coqueluches puisque je travaille avec Laurent Ruquier pour les Grosses Têtes de RTL. Vous savez, j'ai 74 ans. Dans six ans, j'ai 80 ans. Je vais donc bientôt devenir un vieillard, aussi vite que je suis passé d'adolescent à l'âge adulte. Le temps qui me reste doit être consacré à ce qui m'intéresse et ce qui m'amuse. Mon histoire, c'est celle d'un mec qui veut bien finir.
Comment résumeriez-vous alors - et pardon pour la platitude de l'expression - votre philosophie de vie ? Je refuse d'être solidaire des préoccupations que je n'ai pas. La vie n'est pas un dû. Elle est une chance. Depuis des années, je vis comme si c'était le dernier jour. Je cherche les gloires de la journée. Qu'est-ce qui va être magnifique ? J'ai toujours pensé de façon assez confuse, bien que ça se soit précisé avec le temps, que nous avions un devoir d'être heureux. Cela ne signifie pas être positif coûte que coûte, mais prendre conscience que le malheur commence quand, là où on dort, il pleut et qu'on n'a pas mangé à sa faim. Si ce n'est pas le cas, c'est qu'on est déjà en plein dans le bonheur : ne perdons pas de temps. Notre société, elle, s'impose continuellement des aigreurs. Moi, je ne me lève pas le matin en me demandant de quoi je vais pouvoir me plaindre aujourd'hui. Au contraire, je me lève en m'interrogeant sur ce que le fait d'être vivant m'apporte de merveilleux. C'est bien, hein ?
À votre âge, la vie passe-t-elle si vite qu'on en vient à apprécier les automnes ? Oh putain… Quand j'étais gosse, à une époque où je devais avoir dans les 12 ans, je me plaignais sans cesse du temps de merde, parce qu'il pleuvait sans arrêt à Brest. Et je me souviens qu'un vieux m'avait dit : « Mieux vaut avoir ce temps-là que pas de temps du tout. » Parfois j'y pense. Attendez, on n'est quand même pas en Syrie, ici ? On est vachement bien dans ce putain de pays. Qu'est-ce qu'ils ont tous à gueuler ? Quand on est malade, on est parfaitement soigné, non ? On n'est pas là à se prendre des bombes sur la gueule, à voir des enfants courir brûlés par du napalm ! Au contraire, on vit comme des gorets… Quand j'étais revenu de mes premiers voyages en mer, il y a cinquante ans, j'étais frappé de l'aptitude des gens à se plaindre, de toutes ces heures gâchées à ne pas se marrer. C'est très contemporain. Moi, pour me faire chier, il faut venir à nombreux.
Avez-vous éduqué votre fils Arthur dans cet état d'esprit ? Je ne l'ai pas éduqué, puisque j'étais en mer. La seule chose que j'ai faite, c'est de l'avoir convoqué un jour pour lui payer un billet d'avion, lui offrir l'équivalent d'un Smic mensuel pour faire un tour du monde afin de choisir où il voulait faire ses études. Je ne voulais pas qu'il reste chez les Français. Je voulais qu'il devienne bilingue, connaisse le monde anglo-saxon, s'aère l'esprit.
Demeurez-vous attaché à votre nom de famille ? Je suis attaché à mes parents. Bien qu'avec mon père, échanger des choses intimes n'était même pas pensable. Je suis également attaché à mon frère officier de marine, avec qui j'avais deux ans d'écart et qui est mort. À ma génération - je suis né en 44 -, on a connu les rationnements jusqu'en 52. Quand j'étais petit, les aînés nous parlaient de chocolat. Nous, on n'en avait jamais vu. Mais vous savez, on ne choisit ni son nom ni sa gueule. On choisit son âme. Écoutez ça : « À quoi sert à un homme de conquérir le monde, s'il vient à perdre son âme ? », Jésus-Christ.
Dans quelle rubrique des journaux faut-il vous placer ? Si vous attendez un peu, vous pourrez me mettre dans les défunts.
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Le plein d’idées pour l’été!
Parcs de quartier
En été, en plus d’être agréable d’y jouer, les parcs de Beauport grouillent d’animation. Les enfants auront l’occasion de se dégourdir en participant aux animations-spectacles Vibrez au rythme de la tradition qui proposent une initiation à la musique traditionnelle. Théâtre en Quartiers présentera aussi gratuitement la pièce familiale Les Galoches du Bonheur le 27 juillet à 19h30 au Parc Jean-Guyon. Des coffres à jeux sont également disponibles dans les parcs Forain, Jean-Guyon, Armand-Paris, Courcival, Royal, Évangéline, de la Charmotte et Bochart.
L’heure du conte
Ce n’est pas parce que c’est l’été qu’on prend congé d’histoires. Tous les jeudis à 14h, jusqu’au 9 août, participez au conte animé suivi d’un bricolage à la Bibliothèque Étienne-Parent. Jusqu’au 21 août, tous les mardis soirs dès 18h30, les petits sont attendus en pyjama accompagnés de leur peluche favorite pour L’heure du conte en pyjama dans les parcs de Beauport.
Cinéma en plein air
Le feu ciné-parc Beauport est parti depuis belle lurette, mais il est tout de même possible de profiter d’une projection sous les étoiles avec les soirées cinéma en plein air les jeudis et vendredis jusqu’au 17 août dans les parcs de l’arrondissement.
Lectures d’été
Quoi de mieux qu’un bon livre pour passer le temps?
Théâtre en Quartiers s’arrête au parc Jean-Guyon le 27 juillet
Jusqu’au 11 août, le Club de lecture d’été TD propose aux abonnés de 3 à 12 ans de lire des livres et d’obtenir des surprises. Les petits sont aussi invités à plonger dans l’univers des livres tout en profitant du beau temps avec l’activité Ça me tente de lire! Jusqu’au 9 août, entre 13h et 15h, la tente de lecture s’installe aux abords des piscines de l’arrondissement.
Sciences et techologies
Envie de passer un été scientifique? Une foule d’activités animées par Sciences en folie ont lieu cet été à la Bibliothèque Étienne-Parent. Le 21 juillet à 10h30, prenez part à l’atelier Aérospatial (Brixologie) pour tout savoir sur l’ingénierie aérospatiale. Le 11 août, les tout-petits pourront découvrir le monde des insectes avec un atelier d’exploration. Le 25 août à 10h, c’est Le Grand Laboratoire en fête, un événement qui rassemblera un spectacle et des kiosques scientifiques. Jusqu’au 9 septembre, les petits ingénieurs en herbe ne doivent pas manquer l’exposition Le monde en blocs présenté à la salle Jean Paul-Lemieux de la bibliothèque. On y découvre des monuments et bâtiments emblématiques construits en petites briques.
Événements
L’été donne lieu à de nombreux rassemblements festifs. Pour marquer le coup d’envoi de la saison, on s’amuse à la Journée gratuite financière Sun Life de la Baie de Beauport. De 10h à 16h se tiendront une foule d’activités familiales: jeux gonflables, trapèze volant, initiation au Catamaran, etc.
Il faut aussi mettre au calendrier la journée du 25 août puisque c’est le retour de l'événement L'avenue Royale fête l'été! Cette année, on promet la plus grosse épluchette de maïs au monde avec 10 000 épis à éplucher. Jeux gonflables, camions de cuisine de rue et maquillage sont au programme au centre de loisirs Monseigneur-De Laval, à la Maison Girardin et à l’agora.
L’horaire détaillé des activités est disponible sur la page Facebook Quoi faire à Beauport?
La tente de lecture est au Chalet Chevalier le lundi, au Centre de loisirs Sainte-Gertrude le mardi, à la Piscine de Giffard le mercredi et au Chalet aux Pignons Verts le jeudi
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Quand Ancelotti fait les yeux doux au PSG...
Carlo Ancelotti a-t-il envie de retrouver le Paris Saint-Germain ? L’entretien tout miel qu’il a accordé au Figaro donne l’impression à peine voilée d’un exercice de lèche-bottes. Ou de cire-pompes si vous préférez. Fayot Ancelotti ? Décryptage.
« Je n’ai pas eu la bonne attitude car je voulais partir et le club souhaitait que je reste encore à la tête de l’équipe. » J’ai failli renverser mon J&B glace au petit déjeuner quand j’ai découvert les paroles de Carlo Ancelotti. Oserai-je dire que le Mister m’a déçu ?
Non pas tant parce ce qu’il a quitté le Paris Saint-Germain à la fin de la saison 2013.
Non plus parce qu’à l’époque, il justifiait de l’incompétence des dirigeants du PSG pour rallier Madrid. Après tout, pourquoi pas ? Comment refuser la Maison blanche ? C’était de bonne guerre.
Non, c’est autre chose.
J’ai cru percevoir comme le vent du fayot le soir au-dessus des jonques.
J’ai cru deviner comme la petite musique du courtisan composée depuis Munich et interprétée quelques heures avant de revenir à Paris. Le chant du flatteur, le refrain de l’obséquieux : Touchez ma bosse Monseigneur, elle vous portera bonheur.
Je n’imaginais pas Ancelotti capable de ces contorsions. Mea culpa. Mea maxime culpa. La soupe est bonne sans doute. Il ne faut jamais insulter l’avenir. Que sera demain ? Hier en Espagne. Aujourd’hui en Allemagne. Demain en France ? Qui sait ? Un petit message d’amitié pour le clan du Qatar ne mange pas de pain : « On a eu des petits problèmes. C’était une période difficile et les rapports avec Nasser (Al-Khelaïfi, le président du PSG) étaient compliqués, mais le temps va régler tout ça. Aujourd’hui, nos rapports sont bons. » Ce n’est pas encore une offre de service mais Monsieur Carlo passe la pommade. Il sait y faire. Les sirènes qataries valent celles de la mythologie grecque. Elles sont irrésistibles. A ce détail près qu’elles ne tuent plus. Elles achètent, voilà tout. Et de conclure dans un élan de tendresse dont son banquier lui saura gré : « Maintenant, le PSG est un grand club. Je suis heureux de retrouver le Parc des Princes, ses supporters et des joueurs comme Thiago Silva, Rabiot, Motta, Verratti, Pastore. On avait une belle relation, ils me manquent. Je garde aussi contact avec le président. »
Snif. C’est beau comme un contrat de trois ans à Paris. Ça va Carlo ? Vous vous ennuyez au Bayern ?
Pascal
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chapitre 17
Elrick regardait son amant, avant de le prendre dans ses bras, une simple marque d'affection dans ce salon ou tout le monde buvait et riait. Cette cérémonie imprévue avait apporté quelques grands moments. Et quand ce soir là tout le monde souriait et riait, on oubliait les quelques tracas... Ewan Winchester se leva soudain, un peu bancale, son verre de champagne en main. Oh le rouquin était loin... très loin... bon pourtant ce n'était que son deuxième verre, mais il n'avait pas pour réputation de tenir l'alcool. Il monta sur une table basse et appela au silence d'une façon assez mignonne en mimant un 'chuuuuut', ah l'oxfordien était beau là, complètement ivre.
« Alors ! J'suis pas bourré ! Mais j'voulais juste dire a Momo que je l'aimais beaucoup très fort ! » dit Ewan « Bon pas au temps que j'aime Donghae ! Ça c'est pas possib' mais j'vous aime beaucoup ! » et voilà qu'Ewan bascula en arrière pour se retrouver dans les bras de Donghae...
« Embarque ce pochtron » dit Elrick en secouant la tête
« Et dire que c'est l’aîné. » Nota l'un des deux autres roux
« Eyyyh tu m'dois l'respect j't'ais l'premier wooh !!! » geignit Ewan
« Tu n'as été qu'un prototype pour mieux me concevoir » lança tenacement le cadet avec un sourire sadique.
« Erwwaaaaaaan he's meeaaaan » chouina Ewan
« You're drunk Ewan » souffla Erwan avant de regarder Donghae « Emmène le se coucher »
« C'est ce que je comptait faire » dit Donghae doucement en emmenant Ewan vers son lodge.
Elrick se leva soudain sa bière en main. Il la descendit cul sec et lança son verre en arrière, que plus par réflexe que par envie Jack récupéra. Tout le monde applaudit le roux claire qui rit et posa le verre en souriant, replaçant ses lunettes sur son nez.
« Essayez de faire ça en concert. » dit Jack amusé « Avec une guitare en main... »
« On sent le vécu » dit doucement Chanyeol
« Boooooooooon ! » lança Elrick « Maintenant que Monseigneur Winchester coincé du cul est partit pioncer on peut lancer les festivités. Mona ma douce, dis-moi ce que tu veux ? »
« Je veux voir ce que vous avez fait en Angleterre avec Ewan ! » dit Morganna.
« Ah... John t'as la clef ? » demanda Elrick
« Toujours. » Il sortit une magnifique clef USB Darth Vader et la tendit a Elrick.
« Darth Vader ... really Watson ... » soupira Elrick
« I've got a Tardis one too... » dit Jack
« You geek. » souffla Elrick en soupirant.
Il rejoignit rapidement l'ordinateur et commença a lancer le programme sur le grand écran, Elrick éteignant les lumières. On voyait soudain sur l'écran, Elrick descendre des marches d'un Jet-privé aux couleurs de JUMP, il passait entre des fans sans un regard puis la musique commença et il commença a chanter Still Alive. Avançant dans une rue devant des posters géants de JUMP, ayant juste changer 44 pour 36 ans. Il semblait s'en battre les couilles de ce qu'il chantait en marchant dans les rues de Londres avant de s'arrêter dans une salle passant tous les disques d'or et de platines de JUMP pendant le refrain. Au couplet suivant c'est Ewan qui apparut avançant dans Londres signant a des fans avant d'avancer en regardant des clips de Kpop ou on voyait une MusicBank et la victoire de Shinee dans une vitrine puis sur le grand écran la rediffusion de sa victoire aux oscars pour la meilleure BO interprété et composer pars ses soins, Ewan continua son chemin secouant la tête en souriant chantant qu'il était inquiet parce que ce n'était pas évident. Au refrain il entra dans une salle, ou tout ses titres, ses prix et son oscars trônaient dans une vitrine. Il rejoignit Elrick sur une scène et chantèrent la suite de la chanson. On vit des images d'Ewan a son premier concert devant très peu de monde puis a Wembley avec 95 000 spectateurs, on vit Elrick a ses premiers concerts avec JUMP dans un garage avec quelques gens, puis à l'ouverture de JO de Londres chantant devant plus de 150 000 personnes et autant de millions devant leurs télé et surtout la Reine. Puis on les vit en fin de chanson, assis dans un bureau, Ewan derrière le bureau et Elrick assis dessus en souriant.
« Ah oui... quand-même » dit Mona doucement « C'est pour répondre a ce comédien qui a dit que vous n'étiez personne ? » demanda-t-elle
« Totalement. J'ai autant d'années de carrières que JYP si pas plus... Alors me dire que je suis personne ... J'ai quand-même manqué de m’asseoir sur not' statue maaaaais ça faisait trop prétentieux. » dit Elrick amusé
« A peine » souffla Jack amusé « Et nous avons aussi terminé les montages des chansons pour les Reprises de MV »
« Sérieux ? Mais tu dors parfois ? » demanda Ashlynn
« ça lui arrive .. » souffla Chanyeol doucement
« Comment tu sais ça toi ? » demanda Baekhyun.
Jack eut un petit sourire, se pencha vers Chanyeol et ce-dernier plongea vers lui pour l'embrasser avec passion, un grand sourire sur les lèvres. Ce baiser ressemblait a quelque chose comme un cadeau de noël pour Chanyeol. Tout content il reprit sa place alors que Jack réajustait ses lunettes en regardant Baekhyun ; totalement choqué le pauvre.
« Depuis ... depuis quand ? » balbutia « Encore que Hyung soit marié avec un mec par erreur, j'y croyais moyen mais çà ? Vous savez qu'on est mort si ça se sait ? Vous vous rendez pas compte ... »
« On est pas tous prêt a ramper et accepter une relation de couverture pour des faveurs. » cette voix. Kyungsoo leva les yeux de son livre et fixa tour a tour Chanyeol puis Baekhyun et enfin Jack « Je vous souhaite tout le bonheur du monde Monsieur Lincoln, je sais que vous serez sincère. J'ai pu le constaté lors de vos échanges avec Chanyeol par le passé. » dit Kyungsoo
« Appelle le John bro. » lâcha Elrick amusé
« Je ne me permettrait pas » souffla Kyungsoo
« On va te trouver un mec .... ou une meuf » dit Diana
« J'avoue préféré les hommes, mais présentement ce n'est pas dans mes priorités. » souffla Kyungsoo
« Ni dans les miennes ! » lança Morganna en riant
« Dans les miennes si ! » dit Ashlynn avec le sourire
Les rires remplissaient la pièce quand Malia alluma le stand de karaoké. Diana se leva en souriant, voyant Mamma Mia dans la liste. Sveinn vit le regard de Diana et se leva en souriant. Prenant la main de la blonde, Malia sélectionna directement 'Lay all your love on me'. Le duo chanta sans regarder les paroles, dansant sur la musique. Jackson serra la mâchoire, quand a Junmyeon il venait de péter un bic... La sensualité et la complicité entre les deux était tellement profonde mais quelque parts on voyait une certaine habitude... Quand la chanson se termina, Diana et Sveinn rejoignirent leurs moitiés, la blonde lançant son micro a Tonio et Sveinn lançant le sien a Nikolina.
« On est peut-être un couple culte... mais vous... êtes des légendes. » dit Sveinn
Niko déposa son micro et commença a équiper Antonio d'un micro 'casque'. Elle sélectionna Bailamos dans la liste, et Antonio sourit a la belle latine. Il commença a chanter et ils dansèrent une superbe Salsa. Antonio souriait en dansant. On voyait l'habitude, la complicité et cette sensualité latino exacerbée par deux corps des plus parfaits. Nikolina sourit à la fin et retourna s'asseoir entre les filles d'SNSD quand Hilary se leva en riant, tendant la main a Morganna. Les deux femmes chantant For Good de Wicked. La militaire étonna par son brin de voix pur et puissant quand à Mona elle était fidèle a elle même, faisant sourire Diana, chanteuse originale de la chanson. La jeune mariée finit par rejoindre son mari à la fin et sourit doucement aux gens autour de la table.
« Bon les filles ! On va vendre les hommes de Noctis ! » dit Ashlynn en se levant
« Très bonne idée ! » dit Mona en souriant « Je propose Zhen à la vente aussi.... et Hilary. » dit Mona
« Je refuse. » dit Zhen
« Et pourquoi ? » demanda Diana
« Je suis en couple » déclara-t-il
« No shit sherlock ? » Mona se tourna vers Zhen « Genre ... en couple ?... Toi ? »
« Oui moi. » dit Zhen
« Je veux ... une preuve ! » dit Mona.
« In need of a guitare » dit Zhen
Malia lui tendit la sienne presque immédiatement, alors que Zhen s'installa sur une chaise, face a Jungkook, un de ses pieds reposant sur le mur, comme pour le bloquer. Il commença a jouer puis chanta 'Thousand years' en regardant Jungkook. Il ne le quitta pas des yeux un seul moment, surprennant Jungkook qui devenait rouge cramoisi, Namjoon et Jimin étonné de voir le Maknae aussi touché, Morganna qui n'avait jamais vu Zhen aussi sincère .... Il cessa de chanter à la fin de la chanson et déposa la guitare.
« Jungkook, voudrais-tu me faire l'honneur de chanter ce que Mona et Malia nomme la 'partition du dragon' ? » demanda Zhen avec un sourire doux sur le lèvres
Morganna se tint soudain le cœur et Malia en laissa tomber sa valise. Les deux se retournèrent vers Zhen. Les yeux écarquillés et leurs expression ahurie par la proposition du chinois. La « Dragon Partition » était presque devenue une légende.... presque un mythe... Un partition qui contenait selon une ancienne croyance le cœur de Zhen............
« Zhen... tu .... » Morganna s'éventa « Dragon Partition ? Like... you're giving your heart and soul ? Like you should be singing it ..... Or I don't know »
« I'm giving it up for him » répondit Zhen « Alors Jungkook ? »
« Jungkooook ! Réfléchit bien ! Cette parti... cette partition c'est toute la vie de Zhen.... genre c'est son âme et son cœur, Zhen tout entier résumé en une chanson.... » marmonna Morganna
« C'est pas une partitions si importante... si ? » demanda Jack pour dédramatiser
« Elle est gravé sur son DOS ! » dit Malia
« Ah. »
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