#que monseigneur est drôle
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jules-and-company · 2 years ago
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he is SO FINE
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claudehenrion · 4 years ago
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Pendant les vacances...
  Sœur Dosithée s'est envolée dans le ciel. Elle avait 111 ans... Oh ! bien sûr, cette nouvelle ne va pas bouleverser grand monde. Mais pour moi, c'est une jolie page de ma vie qui se tourne. Il y a des gens dont la modestie absolue et la gentillesse intrinsèque font des ''pierres angulaires''  d'une vie qui, sans eux, aurait sans doute été différente. Ils ne le savent pas... et nous non plus, tant qu'ils sont vivants ou lorsqu'ils sont morts depuis longtemps. Mais là... Un mail d'un ami qui vit dans le sud m'a prévenu hier : Sœur Dosithée, que je croyais morte depuis des décennies, était devenue la doyenne de la région où elle vivait. Elle méritait bien un hommage.
  Laissez-moi vous raconter ''Sœur Dosithée'', née Zoé Redoulès, et en profiter pour vous parler d'un monde qui a disparu alors qu'il faisait si bon y vivre... malgré tout, car la guerre allait tout ravager. J'ai  connu cette Franciscaine-de-Marie (un ordre missionnaire très présent en Afrique du nord où leurs cornettes blanches carrées illuminaient toutes les villes où se trouvaient leurs couvents, à la fois havres pour les malheureux, dispensaires pour les miséreux--elle avait un diplôme d'infirmière-- et écoles pour les tout-petits) lors de ma première journée d'école. J'avais dans les  3 ans ou un peu plus... et elle (je viens de le calculer à l'instant) dans les 30...
  L'histoire que je voudrais partager avec vous commence en octobre 1937, à Rabat, capitale de l'Empire Chérifien et ville sublimement belle où mon Père avait été appelé (en 1920, remis de deux blessures de guerre) par le Maréchal Lyautey pour ''fonder un notariat français et faire passer le droit des affaires du Maroc du code coranique au code Napoléon''... ce qui a rendu possible le décollage puis la construction du Maroc moderne. Pas très loin de la villa de mes parents, il y avait, dans un parc de plusieurs hectares, un couvent tenu par ces ''Franciscaines de Marie''. J'avais 3 ans, et je partais conquérir le monde. En tout cas, ce nouvel univers. Le monde était beau... pour quelques mois encore. Bientôt il y aurait la guerre,  partout : des morts, des privations, et des horreurs indescriptibles.
  Deux religieuses, Mère Syolaine et, donc, Sœur Dosithée, et une ''mademoiselle'' se partageaient la tache d'apprendre à lire, à écrire, à compter et à être ''sages comme des images'', obéissants, disciplinés, respectueux et ''bien élevés'' en toute circonstance a une cinquantaine d'enfants que l'on dirait aujourd'hui ''en maternelle, puis en grande section''. Comme elles n'avaient jamais entendu parler de méthodes globale, visuelle, semi-globale, mixte... et autres inventions barbares sorties des cerveaux malsains de pédagogues en mal d'expérimentations mortifères, tout était rondement mené, et trois mois plus tard, le tour était joué : on savait tout lire, et on pouvait écrire à peu près n'importe quoi (parfois un peu n'importe comment !).
  En m'entendant mentionner le nom de ''sœur Dosithée'', le plus facétieux de mes frères m'avait dit, ''entre hommes'' : ''Mais tu sais, c'est par modestie qu'elle se fait appeler ''sœur''. En réalité, elle est ''Mère'' (il faut reconnaître que ''Mère Dosithée'', ça en jette, ça claque, ça a de la gueule, ça ne s'oublie pas !). Tous mes petits camarades avaient été mis dans la confidence et nous n'appelions plus cette sainte femme que ''ma Mère'' -- ''Non, non, mon petit, disait-elle : il faut dire : ma Sœur'' invitation à laquelle la réponse en retour était invariablement : ''Oui, ma Mère''...
  C'est à elle que je dois de savoir lire, écrire et compter (et vous, de lire mes élucubrations, à cet instant), et c'est à elle, aussi, que je dois le plus beau de tous les cantiques de mon répertoire, pourtant fort étoffé. En effet, à l'occasion de la procession de la Fête-Dieu, Monseigneur l'Evêque était venu au couvent (Souvenir personnel : en mai 1939, toutes les automobiles des particuliers avaient été réquisitionnées par l'armée française, et Monseigneur était donc arrivé dans une calèche à cheval. Nous avons eu l'impression que l'odeur de sainteté ressemblait à s'y méprendre à celle du crottin de cheval !). Pour l'accueillir dignement,  nous avions appris un morceau de bravoure que nous entonnâmes à tue-tête à son arrivée : ''Jésus est mort... c'est bien fait, c'est bien fait... retomberont sur nous'' (sic !).  Ce n'est que quelques années plus tard que j'ai compris qu'il fallait entendre, au lieu du joyeux ''c'est bien fait'' que nous chantions... ''ses bienfaits'' qui, bien sûr, ne demandaient qu'à retomber sur nous en merveilleuses cascades ininterrompues...
  Ce soir, je suis vraiment triste. Tant d'années où j'aurais pu lui raconter tous ces petits détails de sa vie offerte aux autres  --et tant d'autres, tout aussi émouvants pour elle, sans doute, mais plus difficiles à restituer par écrit car ils demandent gestes et intonation pour être compris dans toute leur richesse. Pourquoi avais je décidé qu'elle était au Paradis depuis de longues années ? Sans doute parce qu'une ''grande personne'' de 30 ou 35 ans, lorsque l'on a soi-même entre 3 et 6 ans, ça appartient au monde des gens très très très âgés...   Elle a tenu bon, quelque 85 ans après notre première rencontre... et elle ne saura jamais que je tiens ce soir, toutes affaires cessantes, à lui demander de me pardonner les dizaines de ''ma Mère'' dont je l'ai gratifiée. Ils étaient drôles, certainement pas méchants, et je ne doute pas qu'elle aurait été heureuse de connaître cette histoire. Adieu, ''ma Mère''...  A Dieu, ma Sœur... Merci pour tout, et reposez en paix !      Claude                                                                                                                      Votre petit élève turbulent des années 1937/40 à Notre-Dame de la Paix, Rabat.
  Mais que cela ne m'empêche pas de vous souhaiter une bonne reprise de notre ''télé-vie'' (en chemin vers une ''télé-non-vie'', si nos élites-sic persistent dans leurs folies liberticides), que vous la passiez ''en présentiel'', ''en distantiel'' ou ''en zoom'', couvre-feu-isés et gestes-barrière-isés, masqués, testés, terrorisés, crachotant ou le nez farfouillé, confinés le week-end ou pas... que vous soyez vaccinés ou pas, puisque, apparemment, ça ne change rien, à l'arrivée : il faut garder le masque (qui-ne-sert-à-rien, disaient-ils quand ça les arrangeait) et tout le saint-frusquin qui l'escorte, dans la crainte de variants monténégrin, yougoslovaque, ou zimbabwéen.
  J'espère que vous avez bien profité des jours passés, soit dignes d'une glaciation (''réchauffement climatique oblige'', comme disent les texans !) soit iso-sahariens, sur la plage de Biarritz. Dans un mois et demi... ce sera les vacances de Pâques.
H-Cl.
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eric-sauvat · 3 years ago
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Cure
Lavoûte-Chilhac, Dimanche 9 janvier 2022
Cure
Familier. Ecclésiastique, prêtre catholique (plus ou moins péjoratif) : Il a été élevé chez les curés. − Tu es un drôle de corps, m'a-t-il dit, enfin. Un plus nigaud, on n'en trouverait pas dans tout le diocèse, sûr! Il faut que Monseigneur ait vraiment grand besoin de curés pour te mettre une paroisse dans les mains ! Bernanos, Journal d'un curé de campagne, 1936
Pas vu Antoine et sa progéniture hier, ce sera sans doute pour aujourd’hui dimanche et c’est une bonne nouvelle car ce jour là nous ne voyons jamais personne.
À Lavoûte, les visites sont toujours pour nous, salariées : kiné, médecin, infirmières ; qui d’autre viendrait nous voir ?
A moins d’avoir de la famille au village, personne ne vient voir personne, et la nôtre est au cimetière et c’est nous qui la visitons, quand nous y serons plus de visite pour personne !
C’est la vie dit-on ; c’est plutôt la mort.
Mort d’un village, jadis jolie villette de 1200 habitants, avec notaires, huissier et tribunal pour les occuper, curé et Prieuré débordés car tout le monde allait à la messe, boucheries, épiceries, boulangeries florissantes tout le monde mangeait là, aux restaurants le dimanche ; avec moins de 300 habitants, le village est mort, seul la cure y officie encore qui nous aura jusqu’au dernier.
C’est le destin de chacun de finir entre ses mains.
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defillenrecit · 4 years ago
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Un jeune officier
Un jeune officier, les pieds écartés et plantés dans le sable froid d'une grève bretonne pleine de solitude , scrutait l'horizon. Au dessus de sa tête les ruines du manoir des Kéryado dressées sur un promontoire battu par tous les vents bretons surplombaient une crique où la mer se fracassait en des gerbes incessantes sur des récifs noirs. Personne ne savait plus depuis quand le manoir dressait ses murs noirs face à l'océan. Datait -il de la préhistoire ? Depuis le matin il attendait la chaloupe qui devait amener dans cet endroit perdu un diplomate Italien exfiltré par la Grande Bretagne au nez et à la barbe du roi Henri II qui le recherchait pour fait de haute trahison envers le royaume de France.
Il attendit tout le jour et lorsque un crépuscule rouge sang inonda de sa couleur funeste la grève, comprenant qu'il attendait en vain, il se faufila avec sa monture dans une sente qui montait roide à travers les rochers et le genêts jusqu'aux ruines du Manoir. A son arrivée la nuit se répandait dans une cour herbée. Il frissonna non pas de peur mais de l'impression d'étrangeté qui emplissait les ruines et mu par son subconscient il se tourna. Au dessus d'un trou noir il vit un énorme corbeau qui vint croasser au dessus de sa tête. Il s'approcha et découvrit l'entrée d'un escalier étroit, sombre, abrupt qui s'engouffrait dans la roche. Laissant son cheval brouter il descendit , rejoignit un souterrain éclairé par deux lumignons et arriva devant une lourde porte de chêne qui s'ouvrit à son approche. Il entra dans un crypte où une vieille l'attendait. Vêtue de haillons la vieille était plus ridée qu'un parchemin médiéval oublié derrière un coffre ; elle ouvrait spasmodiquement une bouche édentée d'où s'écoulait une bouillie immonde, immangeable. La vieille réchauffait ses mains, atteintes de syndactyles à chaque doigt de la main gauche, à des flammes bleue émises par un chaudron où glougloutait une mixture verdâtre et nauséabonde. De temps en temps elle agitait, au dessus du chaudron, un rameau vert couvert de folioles obimbriques.
« Salut à toi beau capitaine, tu as raté ton rendez-vous sur la grève mais tu arrives juste à temps pour célébrer le bicentenaire de la déchéance de la famille des Kéryado. Mon mignon cela fait 200 ans que le manoir est abandonné ; seule je suis restée. Je suis la mémoire, je suis à moi seule une autobiographie. Je suis la sorcière du manoir, vivant de l'imagination, de la crédulité, de la concupiscence , de immoralité des hommes. Je suis immortelle. Assied- toi mon tout bel ; veux-tu connaître l'avenir des Hommes sur cette terre ? »
Le jeune homme fut pris d'une violente quinte de toux qui  le plia en deux et lui fit fermer les yeux.
- « Bois ceci dit la sorcière en prélevant une louche de son chaudron , c'est un antitussif qui va te soulager. »
Le chevalier secouait la tête de haut en bas en éternuant de plus belle.
- « Parfait mon joli éructa la sorcière. Voici l'avenir des hommes. »
Le jeune officier se réveilla dans une maison étrange qui sentait fort mauvais où plein de gens drôlement habillés poussaient une espèce de caisse munie de roues. Ils s'agitaient en permanence pour mettre dans la caisse des objets qui s'alignaient en profusion sur des planches. Qui étaient-ils ? , que faisaient-ils ?
Il s' aperçut qu'ils le montraient du doigt en en riant bruyamment« Vous êtes magnifique dans votre costume de carnaval , bien que ce ne soit pas la date. »
De quoi parlent-il ? Carnaval ? Il y avait aussi des voix et de la musique criardes qui lui vrillaient les oreilles, c'était insupportable. Il hurla. Les gens ne riaient plus, ils l'entouraient, méfiants voire agressifs. Ils avaient tous un petit objet sur l'oreille. Il fut saisi par deux costauds tout de noir vêtus. Ils le bousculèrent et  le firent entrer, brutalement, dans une drôle de coche sans chevaux et qui, elle aussi, sentait affreusement mauvais. On lui demanda son nom, ses papiers, son adresse, son emploi. Il ne comprenait rien à ces questions mais il leur raconta «  le manoir des Kéryado sur la lande bretonne et son cheval resté dans la cour,  l'infiltré transalpin poursuivi par le roi de France Henri II, la crypte, la  sorcière, le chaudron et la boisson magique qui allait lui permettre de connaître l'avenir des hommes »
Il se réveilla dans une chambre toute blanche , sur un lit blanc. Il avait mal partout comme s' il avait été roué de coups. Il était relié à une sorte d'arbre en fer étêté par un tuyau qui plongeait dans son bras. Un homme entra vêtu d'une houppelande blanche, comme un fantôme. Il souriait.
«  Et bien vous êtes réveillé, le carnaval est fini. Il faut remettre les pieds sur terre. »
Le jeune homme lui expliqua ,  «  le manoir des Kéryado sur la lande bretonne et son cheval resté dans la cour,  l'infiltré transalpin poursuivi par le roi de France Henri II, la crypte, la  sorcière, le chaudron et la boisson magique qui allait lui permettre de connaître l'avenir des hommes »
Il se réveilla dans une autre chambre, attaché sur un lit. Chaque jour une belle femme qui s'appelait Psychologue lui rendait visite. Il la trouvait jolie mais ce nom de Psychologue ne lui allait vraiment pas. Chaque jour  il lui racontait   «  le manoir des Kéryado sur la lande bretonne et son cheval resté dans la cour, l'infiltré transalpin poursuivi par le roi de France Henri II, la crypte, la  sorcière, le chaudron et la boisson magique qui allait lui permettre de connaître l'avenir des hommes »
Psychologue riait et repartait.
Peu à peu il fut autorisé à se promener dans un parc où il y avait des gens étranges, qui parlaient peu et marchaient à petits pas et puis il y avait un nègre qui lui aussi se promenait. C'était totalement irréel. Un nègre ! Mais à tout prendre c'était le noir qui était le plus poli et aimable. Il s'appelait Aristide. Ils sympathisèrent.
Aristide lui expliqua : « j'ai travaillé dans une banque comme trader. Je gagnais et faisais gagner beaucoup d'argent à mon patron . Tous les pays sont sous la dépendance de la macroéconomie qui distille un poison antisocial et qui détruit, peu à peu mais sûrement, la Terre. Un jour devant mon ordinateur j'ai eu une vision hyperréaliste de l'avenir des hommes , en postposé j'ai compris que j'étais un visionnaire rédempteur et j'ai transféré les numéraires de la banque sur mon compte personnel puis j'ai détruit mon ordinateur avec une chaise. Il y a eu une grand trou noir et depuis je suis ici. Toi, tu as été trouvé dans un supermarché, tes propos étranges t'ont valu une bastonnade et un séjour dans un hôpital avec intraveineuse et tout le tsoin-tsoin. Puis dans cette clinique psychiatrique.
Le jeune officier n'a rien compris au discours d'Aristide sauf que lui aussi devait connaître l'avenir des hommes. Cette similitude renforça son amitié et il lui confia «  le manoir des Kéryado sur la lande bretonne et son cheval resté dans la cour, l'infiltré transalpin poursuivi par le roi de France Henri II, la crypte, la  sorcière, le chaudron et la boisson magique qui devait lui permettre de connaître l'avenir des hommes.. »
Aristide lui posa sa main sur l'épaule et s'écria : « par Dieu tu as été envoûté par  un puissant esprit des ténèbres qui te veut du mal. Il te tient dans ses serres puissantes ; seule une prêtresse vaudou peut le débusquer et te sauver. J'ai toujours sur moi mon pentacle ; je vais pouvoir entrer en communication avec Taubiranis la grande Mambo qui pratique la magie blanche. Elle est toute puissante et elle a le pouvoir de te désenvoûter et de te rendre la liberté.».
Un garçon qui cherchait des bernacles sous les ruines du Manoir des Kéryado trouva un jeune officier hébété, le bicorne de travers , immobile sur un rocher tel une actinie apode et privé de toute conscience . Monseigneur dit le garçon «  le cheval qui broute dans la cour des ruines du manoir de Kétyado est -il à vous » ?
Aux mots de cheval, de manoir, le jeune officier se dressa droit dans ses bottes et le regard fou s'écria :  « enfant n'essaie pas de connaître l'avenir des hommes. Il n'y a pas d'avenir »
 Annie Reich
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jajamanu · 7 years ago
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JAJA - CRÈTE - JOUR 4.                 AU 3e CIEL !
5h50,  je ne comprends pas qu’aucun avertissement ait été fait pour notre arrivée éminente.  Je regarde dehors, c’est la nuit et le bateau vibre toujours au même ton.  Nous avions surement du retard au départ?  Je ne sais plus parce que nous étions trop occupés à regarder partout hier soir pour regarder l’heure. Puis la voix se fait entendre,  on ne comprends rien mais on sait qu’il faut sortir.  Dehors c’est le jour qui se lève, la lumière est belle et c’est très frais.
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Nous marchons en direction du centre ville d’Heraklion,  je sens que je vais aimer cette ville aussi. J’aime les îles, il a sur une île un sentiment qui n’existe pas ailleurs.  Nous cherchons un café ouvert.  Rare à cette heure mais ça existe… le café est froid, mais je ne fais pas de cas…je savoure le matin avec l’odeur agréable de la cigarette du vieillard d’à coté.
Il est tôt, nous reprenons la marche en direction de l’adresse désirée, sur le chemin nous prenons le temps de déjeuner avant la rencontre avec Costas, le locateur de l’appartement, parce que notre but est de prendre possession de l’espace et prendre le temps d’une sieste aussi.  
Cette fois, on peut dire que les photos de l’apart sur Airbnb sont représentatives. C’est parfait, lumineux, bien aménagé et très propre.  Un condo étroit dans la ville avec vue sur la mer.  Mignon comme tout.  J’aime!    Manu prends la chambre du 2e étage et moi celle de 3e.  Entre les étages un petit escalier en colimaçon qui semble sans fin.   C’est loin le 3e étage.. c’est la premiere fois de ma vie que je loue un apart avec work out inclus!   La photo n’est pas assez représentative…il manque des sections bcp de sections! 
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Je me trouve ben drôle quand je dis à Manu :  BON!  Je reTOURNE à ma chambre!
Manu vient me trouver pour visiter mes quartiers, elle aime…je suis installée dans le lit douillet et tout blanc duvet…elle s’assoit au bord…elle embarque un peu plus… c’est confo!   Elle me dit :   Pousse toi un peu… ha ha!   C’est attirant le douillet hein!   On jase un brin, on potine.. et Manu re tourne tourne dans son lit pour l’heure de la sieste.
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Pas trop mon genre la sieste, mais là j’ai envie d’essayer, je suis assez fatiguée. Mais, je parle au téléphone avec Monseigneur et je fouille le net pour les travaux de construction en cours… je ne dors pas.. j’entends Manu qui bouge,  elle n’a pas dormi vraiment non plus.. la faim nous guette,  c’est l’heure de partir à la conquête d’un resto et faire quelques amplettes pour le déjeuner demain.
Nous arpentons les petites rues qui nous ramènent vers le centre-ville,  c’est animée mais juste assez… c’est serein.  Nous choisissons un resto Grec bien sûr… une sangria pour Manu et le traditionnel vin blanc pour moi.   Quelques choix d’entrées sont notre lunch du jour,  qui fait office de dîner et souper à la fois.   En fait,  ce soir nous décidons de se taper un dessert seulement,  ça fait assez longtemps qu’on en regarde deux ou trois de travers!
Dernière mission du jour,  la liste de commission.  C’est parti.   Le marché est trouvé rapidement, nous achetons en plus du dej, un vin blanc, celui-là même que nous avions bcp aimé sur le bateau hier soir.  Nous passons à la boulangerie / pâtisserie…wow, wow, wow..
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 De retour au chic cond’haut!   On se repose les pieds, bien étendues sur le divan, on discute des plans pour la semaine qui vient,  la soirée passe vite d’un sujet à l’autre, il est 20h.. c’est l’heure du verre de vin assommant et du dessert.
Manu prépare l’assiette, j’ouvre le vin….enfin,  tout est parfait ici, sauf les outils de cuisine, pas de tire-bouchon, pas de coupes…. Je vais ouvrir la bouteille ça c’est sur!   C’est long, mais j’y arrive avec plusieurs types d’outils et d’astuces…
Les desserts sont à se rouler parterre,  c’est juste trop savoureux en bouche..hein Manu!   Parce que savoureux ailleurs qu’en bouche….c’est quoi ça?!    On aime les phrases qui veulent dire qu’on ne sait pas ce qu’on dit… et les phrases ou l’on ne connait pas un mot.. ça c’est impressionnant!  Et la différence entre Ophtalmologiste et Oculiste… que de belles discussions!  C’est dommage qu’on soit déjà rendu à l’âge ou l’on doit prendre en note nos jokes et nos fous rires du jour, parce qu’on s’en souvient plus ni une ni l’autre le soir venu… au moins on est pareille!
Bon! On Monte dodo.. dernier appel à la maison,  tout va bien, nous avons un plancher de béton…
θα σας δούμε αύριο
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