#olivier de kersauson
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« Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.
Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis.
Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés.
Je suis poli, voilà.
Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir.
Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a.
On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité!
Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir vivre. »
Olivier de Kersauson
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Promenades en bord de mer et étonnements heureux (extrait)- Olivier de Kersauson
Vieillissant, je ne me dis pas que les promenades en bord de mer seront de moins en moins nombreuses mais je me dis que les attaques de la nostalgie vont se faire de plus en plus fréquentes. Et c’est normal car j’ai plus de passé que d’avenir, donc dans l’équilibre de mon psychisme, il y a davantage de choses faites que de choses à faire. La tentation est grande de se laisser rattraper par le…
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La vie est un privilège. Ce n'est pas un dû. Alors on doit avoir la politesse, l'élégance de profiter du fait d'être vivant pour que cette vie soit belle. La conscience de notre privilège doit engendrer un comportement. Une seule question chaque matin : comment faire en sorte que cette journée qui débute soit belle.
Olivier de Kersauson
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" Le jour où je vais disparaître, j'aurai été poli avec la vie car je l'aurai bien aimée et beaucoup respectée. Je n'ai jamais considéré comme chose négligeable l'odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c'est bien, mais l'exaltation du présent, c'est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l'on voudrait avoir, on ne s'émerveille plus de ce que l'on a. On se plaint de ce que l'on voudrait avoir. Drôle de mentalité! Se contenter, ce n'est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l'on a, c'est un savoir vivre". Olivier de Kersauson
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Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité ! Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre.
Olivier de Kersauson- (Promenades en bord de mer et étonnements heureux)
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Dans son livre "Promenades en bord de mer et étonnements heureux", Olivier de Kersauson parle de son amour de la mer et, plus largement, de son amour de la vie.
« Vieillissant, je ne me dis pas que les promenades en bord de mer seront de moins en moins nombreuses mais je me dis que les attaques de la nostalgie vont se faire de plus en plus fréquentes. Et c’est normal car j’ai plus de passé que d’avenir, donc dans l’équilibre de mon psychisme, il y a davantage de choses faites que de choses à faire. La tentation est grande de se laisser rattraper par le souvenir. Mais je veux encore me fabriquer des moments et non pas en revivre. Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.
Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis.
Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir.
Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité !
Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre. »
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"Vivre est un privilège.
Ce n'est pas un dû.
Alors on doit avoir la politesse, l'élégance de profiter du fait d'être vivant pour que cette vie soit belle."
Olivier de Kersauson
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"Vieillissant, je ne me dis pas que les promenades en bord de mer seront de moins en moins nombreuses mais je me dis que les attaques de la nostalgie vont se faire de plus en plus fréquentes.
Et c’est normal car j’ai plus de passé que d’avenir, donc dans l’équilibre de mon psychisme, il y a davantage de choses faites que de choses à faire.
La tentation est grande de se laisser rattraper par le souvenir. Mais je veux encore me fabriquer des moments et non pas en revivre.
Le jour où je vais disparaître, j’aurai été poli avec la vie car je l’aurai bien aimée et beaucoup respectée.
Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis.
Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés.
Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir.
Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a.
On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité !
Se contenter, ce n’est pas péjoratif.
Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre".
Olivier de Kersauson .
Promenades en bord de mer et étonnements heureux .
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" Toutes les idéologies politiques qui ont voulu modifier le monde paysan ont échoué parce que le monde agricole ne peut être géré par des théories, il est régi par la réalité."
Olivier de Kersauson.
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Aboard the world’s fastest maxi-trimaran, the Idec Sport, the team aims to set the first women’s record for the Jules Verne Trophy by sailing around the globe in fewer than 40 days. Titled “The Famous Project”, this challenge is taking place in partnership with luxury watch house, Richard Mille.
This ambitious endeavour has inspired generations of eager adventurers, including Bruno and Loïck Peyron and Olivier de Kersauson, to push the boundaries of circumnavigation and surpass the fictional journey of Phileas Fogg in Jules Verne’s famous novel, Around the World in Eighty Days.
Led by Barrier and handpicked for their diverse and complementary sailing expertise, the team includes record-breaking sailors Dee Caffari and Marie Riou. We caught up with some of the crew prior to the expedition to find out how they are getting on.
#The Famous Project#dee caffari#Alexia Barrier#ultim#Jules Verne Trophy#multihulls#world record#circumnavigation#link#news
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Les seules histoires qui se passent dans une vie, ce sont les mouvements du cœur. C'est là que se produisent les orages, les tempêtes. C'est là aussi que, parfois, il fait grand beau temps.
Olivier de Kersauson- Le monde comme il me parle.
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On veut des noms - Jean-Paul Clair (de KAAR Alphonse à KERSAUSON Olivier)
On attaque le K des noms célèbres de la grande et petite histoire K KAAR Alphonse (1808-1890) : Romancier et journaliste on lui doit une multitude de citations, en voici une pour l’exemple : « Si l’on veut gagner sa vie, il faut travailler. Si l’on veut devenir riche, il faut trouver autre chose. » KANNULARD : Inventeur de la machine à aspirer le pognon et à refouler le boulot. Ses cendres…
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Faire rire quelqu'un, c'est une formidable complicité. Quand quelqu'un me fait rire, je prends ça comme un cadeau.
Olivier de Kersauson
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Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis.
Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.
Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir.
Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité !
Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre.
Olivier de Kersauson- (Promenades en bord de mer et étonnements heureux)
Source : Facebook
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Je n’ai jamais considéré comme chose négligeable l’odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c’est bien, mais l’exaltation du présent, c’est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l’on voudrait avoir, on ne s’émerveille plus de ce que l’on a. On se plaint de ce que l’on voudrait avoir. Drôle de mentalité ! Se contenter, ce n’est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l’on a, c’est un savoir-vivre.
Olivier de Kersauson- (Promenades en bord de mer et étonnements heureux)
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Quand je regarde la mer, je me promène dans le temps du monde.
Olivier de kersauson (Promenades en bord de mer et étonnements heureux)
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