#la guerre de cent ans
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La Pucelle.
#royaume de france#guerre de cent ans#hundred years war#la pucelle#jeanne d'arc#la pucelle d'orléans#saints#hundred years' war#la guerre de cent ans
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Jean d'Orléans, Comte de Dunois.
#royaume de france#maison de valois#jean d'orléans#comte de dunois#bâtard d'Orléans#county de dunois#full length portrait#valois orléans#full-length portrait#hundred years' war#la guerre de cent ans
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he is SO FINE
#il a commencé la guerre de cent ans ? c’est PAS GRAVE#moi je lui pardonne#parce que monseigneur est beau#que monseigneur est drôle#et que monseigneur est celui qui a le moins fait de coups bas#je dis pas qu’il a jamais fait deux trois saloperies#mais globalement il annonçait ce qu’il allait faire à pas mal de gens#robert d’artois forever les loulous#les rois maudits
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je commence à regarder Thierry La Fronde (je vous livebloggerai au fur et à mesure parce que c'est plus drôle que les affaires de la république honnêtement)
le premier épisode commence par un long texte qui défile qui énumère toutes les occasions où la France se fait maraver pendant la Guerre de Cent ans.
Les personnages apparaissent enfin. Thierry parle avec un ami d'un plan contre les anglais.
Enchaînement avec une scène où un gars le trahit.
Retour sur Thierry, son ami lui demande "mais le gars (qu'on a vu la scène juste avant) on peut lui faire confiance ?"
Thierry, super confiant : "complètement ! tiens d'ailleurs le voilà"
le gars arrive avec une troupe d'anglais tiens comme c'est bizarrE....
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– Je vais vous le dire. Une fois pour toutes. Ce qui nous arrive à nous autres Français descendants de Français, c’est tout à fait dans l’ordre des choses.
– Une baisse de moral, Monsieur le Comte ?
– Tsss tsss. J’irai même plus loin, mon cher : ce qui risque d’arriver à l’humanité entière se justifie pleinement. Les Occidentaux ont complètement perdu le goût de vivre en crucifiant tout ce qui les retenait au sacré. Partout ils exhibent leurs tares et leurs vices. Ils se disent “fiers”. Tristes cloportes, incapables de réagir à la disparition programmée de leur vieille nation. Mais si ça se trouve, le processus va s’accélérer et prendre un chemin bien plus radical que l’asservissement à coups d’impôts, de normes, de flicage et de surinades. Les probabilités d’une guerre étendue à l’Est se confirment chaque jour. Décidément, ces Américains sont d’immondes salopards, et leurs vassaux ne valent pas mieux.
– Ah, vous aussi êtes inquiet de cette situation... Le fils du filleul de mon épouse qui est dans les transmissions, à un niveau que je ne puis divulguer, a prévenu ses parents d’un départ imminent à l’étranger, et pas besoin d’être grand clerc pour savoir de quelle région il parle.
– Vous voyez... Cent dix ans après la plus épouvantable catastrophe de l’histoire de ce continent, les veules crétins qui prétendent nous gouverner sont disposés à remettre le couvert. À cela près que la grosse Bertha d’aujourd’hui, si elle devait cesser de dissuader ces malades mentaux, cracherait des gigatonnes de souffle radioactif sur nos têtes de linottes. Et là, même si nos caves sont profondes, je crains que nous n’ayons le temps de vider tous les cols qui s’y trouvent.
– Ce serait fâcheux, Monsieur le Comte. Quand je pense que Monsieur le Comte votre père était parvenu à les soustraire à la connaissance de l’occupant d’avant...
– Oh, vous savez, l’occupant d’aujourd’hui prétend ne pas boire d’alcool. Mais ça ne compte plus. Si tout cela doit péter, ils seront caramélisés ou cancérisés de la même façon. L’égalité par l’atome, quelle méchante farce !
– Vous avez raison d’en rire, Monsieur le Comte. De toutes les manières, nous n’aurions pas longtemps à pleurer.
– Je me demande qui portera le chapeau, cette fois. Les Danois, ces socialistes qui se prennent pour des vikings ? Les Polonais, ces abrutis de boutefeux ? Les Estoniens, ces acariatres acariens ? Le flamboyant inverti de l’Élysée, les fesses au chaud au dix-septième sous-sol du palais, en compagnie de son messieurs-dames ?
– Ha ha ! Quelle galerie ! C’est la magie de l’UE, Monsieur le Comte ! – Ce qui me contrarie le plus, c’est que l’atome n’a rien de sélectif. Cela nous condamne à périr avec ces ploucs. Vous rendez-vous compte ? Quel embarras que cette ultime promiscuité !
J.-M. M.
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Je ne sais pas pourquoi mes fics Star Wars s'écrivent autant avec des flashbacks, ce n'est pas un truc dont j'ai l'habitude, mais avec ce fandom ça vient naturellement.
Le début du projet Springbreak, aka la romance-qui-aurait-dû-être-épistolaire, aka la fic où Anakin vit une chanson de Fall Out Boy écrite en 2008 et Obi-Wan une ballade d'été mélancolique :
Deux ans après la fin de la guerre, le Haut Conseil perdit la tête et décréta que tous les chevaliers Jedi ayant été adoubés après le début du conflit devraient effectuer l'année de missions en toute indépendance dont ils avaient été privés. Les talents acquis durant la guerre avaient été, eh bien, guerriers, et il était temps de se remémorer l'origine de leur Mission, qui était pacifiste, et de nombreuses planètes avaient besoin de l'intervention d'ambassadeurs neutres.
Anakin trouva cette décision raisonnable, jusqu'à ce qu'il réalise qu'il était également concerné.
-- C'est une blague ? demanda-t-il à Obi-Wan lorsqu'il reçut son premier ordre, une mission pour bébé Jedi dont le nez produirait encore du lait si on appuyait dessus. Je pourrais effectuer cette mission les mains attachées dans le dos et un bâillon sur la bouche.
Même en tant que mission diplomatique, c'était du niveau zéro. Anakin avait été formé par Obi-Wan Kenobi. Ce n'était pas parce qu'il manquait plus vite de patience qu'il était incapable de régler en cinq minutes ce cas de mariage arrangé.
— Parfait, répondit Obi-Wan avec un sourcil haussé. Elle n'en sera réglée que plus vite. Anakin, dit-il plus fort lorsque ce dernier allait insister. Toi plus que n'importe quel autre chevalier mérite cette année de liberté. Tu es l'un des très, très rares à avoir passé la guerre au côté de ton maître plutôt que d'avoir été déployé ailleurs.
Il lui sourit avec une excuse dans le regard.
— Ça te fera beaucoup de bien de pouvoir agir sans que je sois toujours sur ton dos.
Oh non, songea Anakin en réalisant soudain ce que cette histoire ridicule signifiait vraiment.
On voulait le séparer d’Obi-Wan.
***
Anakin savait, objectivement, que le Conseil n'aurait pas créé un décret influençant plus de mille cinq cents Jedi juste pour le séparer d'Obi-Wan. Il n'était pas égocentrique à ce point. Et ayant comparé sa mission à celle de plusieurs de ses compagnons de galère, il savait qu'il n'était pas le seul à être traité comme s'il sortait tout juste de la Crèche.
Mais. Il était Anakin Skywalker. Le Héros Sans Peur. Le pourfendeur de Dark Tyranus et Dark Sidious.
C'était complètement ridicule !
Aussi, après quelque jours à râler sombrement avec d'autres vétérans infantilisés, il demanda à voir le Conseil qui le reçut avec une rapidité louche. Clairement, ils s'étaient attendu à ce qu'il proteste.
Mais ils ne s'étaient certainement pas attendus à ce qu'il allait leur sortir.
Tout le monde, tout le monde oubliait qu'il avait été formé par Obi-Wan. Même Obi-Wan.
— Dans sa grande sagesse...
Même pas une pointe de sarcasme dans sa voix, il espérait vraiment qu'Obi-Wan était fier.
-- ...Le Conseil a décidé que les Jedi ayant été privés d'une année de missions en toute indépendance devraient l'effectuer, à dater du premier du mois prochain. Toutefois...
S'ils croyaient qu'il ne voyait pas leur sourire en coin...
— Ils ne sont pas les seuls à avoir été privé de cette expérience nécessaire à tout Jedi. Le chevalier Koestar, la chevalière An'ki, Maître Ost...
Il continua la liste des quatorze noms qu'il avait dénichés dans la base de données de l'Ordre après trois nuits blanches et une quantité de caf à en empoisonner un wookie. Et enfin...
— La chevalière Aïmetyo et... Maître Kenobi.
Et il le savait mieux que personne, il en était la raison. Obi-Wan l'avait pris comme padawan immédiatement et n'était jamais passé par cette étape initiatique.
-- Anakin, soupira l’interpellé en se pinçant le nez.
Le reste du Conseil le regardait avec une stupéfaction non dissimulée. Il les avait coincés, et ils le savaient. S'il y avait non pas un, mais plusieurs précédents, il n'y avait pas de raison qu'il ne puisse y avoir d'autres exceptions. Et Anakin avait toutes ses chances d'en être une.
— Une excellente remarque, déclara Maître Yoda à la surprise générale, y compris celle d'Anakin.
Il ne s'était pas attendu à ce que le Grand Maître soit le premier à céder, et si vite.
— En délibérer, le Conseil doit. À Maître Windu, la liste, remets.
Dérouté, Anakin s'exécuta, soutenant le regard exaspéré du Maître de l'Ordre.
Il sortit de la salle du Conseil avec un léger sentiment de malaise, le mit sur le compte de l'irritation d'Obi-Wan et se promit de l'inviter à dîner pour se faire pardonner, même s’il n'aurait pas dû en avoir besoin.
Il avait fait ça pour leur bien.
***
— Ce n'était pas du tout ce que je voulais, dit-il, horrifié, quelques heures plus tard.
Obi-Wan, avec un stoïcisme né de ses nombreuses années d'expérience, venait de lui montrer un ordre de mission qui faisait passer celle d'Anakin pour une tâche ardue.
Servir de témoin à l'inauguration du nouveau parc naturel maritime dédié à la paix de Champala ? On le prenait pour un padawan ?
— Ils ont complètement perdu la tête, ils ne peuvent pas se passer de toi en tant que conseiller, c'est n'importe...
— Oh, je ne quitte pas pour autant mon poste, répondit calmement Obi-Wan. Au contraire, je sers d'exemple aux autres Jedi, afin de prouver que le Conseil est juste. Merci, Anakin. Sincèrement.
— Obi-Wan...
— Sur ce, je vais te laisser.
— Où est ce que tu vas ?
— Quinlan et Luminara ont une bouteille de Danse-de-Feu antakarien qui porte mon nom. À demain.
Anakin faillit le rappeler, mais choisit sagement de le laisser partir.
Et peut-être qu’il irait voir ce que lui aussi avait de plus alcoolisé dans son placard.
#il y a des chances que je doive le réécrire entièrement parce que le reste a un ton complètement différent#on verra#j'ai presque 8000 mots pour le moment#il ne s'est pas passé grand-chose et je ne sais pas trop ce que la suite va donner#yolo comme disent les plus si jeunes#blabla#mes scribouillis#obikin
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Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
(...)
Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
(...)
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
Le prolétaire, étymologiquement, c’est l’homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
#E&R#Chartres#Paris#France#Tradition#Religion#Catholique#Pèlerinage#Julien Langella#Academia Christiana#La Martinerie#FSSPX#ICRSP#FSSP
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26 octobre 1440 : exécution de Gilles de Rais ➽ https://cutt.ly/Gilles-Rais Devant hélas davantage sa célébrité aux extravagances, vices et crimes le menant à la potence qu’à ses exploits militaires durant la guerre de Cent Ans aux côtés de Jeanne d’Arc, Gilles de Rais, fréquemment confondu avec le personnage de « Barbe Bleue » du conte de Perrault, ne laisse pas, aujourd’hui encore, de susciter les controverses quant à sa culpabilité
#CeJourLà#26Octobre#GillesDeRais#biographie#histoire#france#history#passé#past#français#french#news#événement#newsfromthepast
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LES FAY —
Espèce la plus ancienne du Monde Connu, les Fay sont considéré·es comme les habitant·es originel·les de ce dernier. Iels auraient été créés par la Déesse Isthari, considérée comme l'Evanuri de la Lune et de la Magie. Créatures faites de magie pure, iels sont capables de manipuler la magie et de définir les lois du monde qui les entourent.
— GENERALITES
caractéristiques physiques — Les Fay se différencient des humains par leurs oreilles pointues, mais également par la présence d’ailes qu’iels sont capables de rétracter. Les Fay naissent avec leurs ailes présentes et apprennent en grandissant à les rétracter. Les ailes grandissent en même temps qu’iels vieillissent et sont un signe de l’âge de ces dernier·es.
longévité — De nombreux textes relatent la beauté figée dans le temps des êtres féériques et de l’immortalité dont iels étaient doté·es. Cette immortalité cependant, s’est éteinte il y a plusieurs siècles. Les Fay de la Cour Seelie possèdent une longévité similaire à celle des humains, pouvant vivre jusqu’à cent ans. Les Fay de la Cour Unseelie, elleux, sont le symbole même de cette légende d’antan. S’iels ne sont à proprement parlé pas immortels, iels peuvent vivre jusqu’à l’âge vénérable de 420 ans.
faceclaim & âges unseelie : De leur 0 à leurs 25 ans, les Unseelies vieillissent normalement et gardent l’apparence d’un·e adulte de 25 ans, jusqu’à leurs 80 ans. 80 ans à 120 ans : faceclaim entre 25 ans et 35 ans. 120 ans à 180 ans : faceclaim entre 35 ans et 45 ans. 180 ans à 240 ans : faceclaim entre 45 ans et 55 ans. 240 ans à 300 ans : faceclaim entre 55 ans et 65 ans. 300 ans à 360 ans : faceclaim entre 65 ans et 75 ans. 360 ans à 420 ans : faceclaim entre 75 ans et 85 ans.
reproduction — Les Fay ne sont fertiles que durant quatre semaines de l’année, généralement autour des équinoxes et solstices, lorsqu’iels atteignent leur maturité sexuelle. Si les Fay de chaque cour peuvent se reproduire avec des humains, les Seelies et les Unseelies semblent incapables de se reproduire entre elleux.
les cours — Les Fay sont séparé·es en deux cours, la Cour Seelie et la Cour Unseelie. Ces deux Cours dirigent chacune un territoire établi il y a plusieurs siècles. Les Seelies régissent le Royaume de Mythralis, tandis que les Unseelies régissent l’Empire de Vesperia. Il est à noter que les Seelies et les Unseelies ne formaient autrefois qu’une seule et même Cour, jusqu’à ce que les Fay se séparent des suites de la Guerre du Sang, il y a plus de huit siècles.
la magie — Les Fay sont capable de maîtriser la magie. Iels ne sont cependant capable que de contrôler un type de magie, nommé domaine qui se déclare durant leur enfance.
les faiblesses — S’iels sont fait de magie pure, les Fay ne sont pour autant pas indestructibles. Iels sont sujets à des maladies diverses et variées, généralement d’origines magiques ou surnaturelles. Selon qu’il s’agisse de Fay Seelie ou Unseelie, certaines de leurs faiblesses sont différentes. Les deux types de Fay ont cependant en commun le fait que la pratique de la magie est une chose épuisante, qui use leur énergie vitale. Cette énergie vitale s’amenuise selon la puissance des sortilèges et rituels qu’iels utilisent. De ce fait, les Fay doivent apprendre à maîtriser et contrôler la magie, et doivent constamment contrôler leur énergie.
langues — Les Fay parlent l’Ancien langage (la langue originelle du monde connu), mais également la langue commune.
patronymes — Les Fay possèdent des noms de familles qui finissent généralement par ar, nor, os, ys.
— LA COUR SEELIE
les particularités — Les Fay de la Cour Seelie se distinguent des Fay de la Cour Unseelie, par leurs ailes d’insectes, de couleurs différentes selon leur région d’origine. Les Fay de cette cour sont également affaiblis par la morelle noire, une plante qui inhibe la magie des Fay Seelies. Il s’agit d’un poison, qui a trop forte dose peut faire perdre définitivement la magie d’un·e Fay et mettre fin à ses jours. Leur corps est aussi fragile que celui d’un mortel.
territoire — Les Fay de la Cour Seelie vivent principalement au sein du royaume de Mythralis. Ce dernier est séparé en plusieurs régions, chacune sous la direction d’une Reine. Les couleur des ailes des Fay de la Cour Seelie est un signe indicateur de leur région d’origine : Bois d’Argent (D’un marron argenté), Désert des Etoiles (D’un blanc satiné), Montagnes de Givres (D’un blanc tacheté de noir), Archipel Astral (De verts et de turquoise), Îles Célestes (De bleus limpides ou abyssal), Marais de l’Eclipse (Translucides, reflétant myriades de couleurs), Plaines du Destin (Dans les tons lavandes et violets).
la magie de la cour seelie — Il existe cinq domaines de magie différents qui peuvent être pratiqués par les Fay de la Cour Seelie. Le Domaine de la Vie (guérison, nature, familiers), le Domaine Elémentaire (création et contrôle de certains éléments), le Domaine Mystique (télékinésie, divination), le Domaine d’Altération (modification magique des objets, des corps), le Domaine d’Abjuration (anti-magie, lumière)
relations avec les autres espèces — Les Fay de la Cour Seelie ont généralement de bonnes relations avec les humains. Iels ont rapidement acceptés ces derniers lors de leur arrivée dans le Monde Connu, leur ouvrant les portes du Royaume de Mythralis pour y habiter. Iels ont tentés de leur apprendre l’art de la magie, en vain. Pour autant, chaque être humain avait sa place parmi elleux, afin de faire grandir les deux espèces. Il y a peu cependant, des suites de la destruction du Conclave, les Fay de la Cour Seelie ont fermés leurs portes aux mortels et les ont chassés de leurs terres. Les relations entre les deux espèces commencent donc à s’effriter, de nombreux humains ayant été arrachés à leurs proches, leur foyer. Si certain·es Fay cautionnent les choix de leurs Reines d’avoir expulsé les humains, certain·es d’entre elleux étaient contre ce choix. Il est à noter que pour la grande majorité des humains vivant au sein de Vesperia, les Seelies sont considérés comme celleux à l’origine des horreurs du Monde Connu.
La Cour Seelie a toujours été dans l’acceptance des hybrides, qui ont existés chez elleux depuis le début de l’arrivée des humains. Iels ont eu le choix, de rester à Mythralis ou de quitter leurs terres.
Les relations entre les Seelies et Unseelies a cependant toujours été belliqueuse et les deux espèces pourtant parentes, se détestent plus que de mesure ce depuis la création de la Cour des Unseelies. Pour les Seelies, les Unseelies sont des êtres malveillants, des voleurs, des hérésies. Aucun Unseelie n’est accepté au sein de Mythralis.
— LA COUR UNSEELIE
les particularités — Les Fay de la Cour Unseelie possèdent des ailes à l’instar de leurs comparses Seelies. Ces dernières et ce indépendamment de leurs régions, ont la forme d’ailes de chauve-souris. Les Fay Unseelies possèdent également des canines tranchantes et acérées, qui leur permettent d’hameçonner leurs proies. En effet, les Fay de la Cour Unseelie, si iels peuvent se nourrir de denrées communes, doivent boire du sang pour regénérer leur magie et leur énergie. Sans apport de sang, les Unseelies semblent perdre toute nature féérique jusqu’à devenir des cadavres, ce qui leur a valut le surnom de “vampire”, dans la bouche des humains. Leurs sens, leurs réflexes mais également leur force sont surhumaines. Ce sont des prédateurs. Le bois de sorbier venant des bosquets sacrés, les empêchent d’utiliser leurs pouvoirs, mais plus encore peut leur être fatal. Pour cette raison, il n’existe plus aucun bosquet sacré au sein de Vesperia et des Terres Libres. Il est à noter que leur type de magie est héréditaire, au contraire des Seelies.
l’enansal din’ashiral — tw ; sacrifice humain Cérémonie propre aux Unseelies, l’Enansal Din’Ashiral, qui signifie Bénédiction du voyage vers la mort, est une cérémonie que tout Fay Unseelie pratique lorsqu’iel atteint l’âge de vingt-cinq ans. Elle représente le moment où l’Unseelie entre dans l’âge adulte et où son vieillissement ralentit. Il s’agit d’une cérémonie importante, plus encore que la naissance d’un nouveau né, ou la mort d’un individu. Cette cérémonie est pratiquée au sein d’un Temple de la Chantrie, entouré généralement de la famille et des proches de l’individu. L’Unseelie célébré se voit offrir un sacrifice humain, dont iel devra boire le sang jusqu’à la dernière goutte. De grandes festivités accompagnent également la cérémonie jusqu’à l’aube.
territoire — Les Fay de la Cour Unseelie vivent principalement au sein de l’Empire de Vesperia. Ce dernier est séparé en plusieurs régions, sous l’autorité de familles seigneuriales unseelies. Ces régions sont les suivantes : Narakashad, Hanazora, Nyumbani, Silva, Okeanos et Basarova. La capitale de l’Empire se trouve dans la région de Narakashad, à Kalipur.
la magie de la cour unseelie — Il existe cinq domaines de magie différents qui peuvent être pratiqués par les Fay de la Cour Unseelie. Le Domaine des Ombres (création et contrôle des ombres), le Domaine des Tempêtes (intangibilité, contrôle des intempéries), le Domaine de l’Âme (télépathie, contrôle mental), le Domaine des Horreurs (illusions, contrôle de la peur), le Domaine de la Mort (nécromancie, magie du sang).
relations avec les autres espèces — Les Fay de la Cour Unseelie et les humains tendent à avoir une relation paradoxale. Celleux qui placent leur foi dans la Chantrie considèrent les êtres féériques comme les enfants des Evanuris (les dieux), et placent en elleux leur foi, leur confiance et suivent aveuglement leurs préceptes et leur propagande. En vérité, nombre d’entre elleux, voient cependant clair dans le jeu des Fay et savent qu’ils se sont fait asservir par ces êtres à la magie infernale. Les Fay Unseelies, voient en elleux, du bétail. Une denrée qui se reproduit à la vitesse de l’éclair et qui permet des les sustenter elleux et leur magie. Rares sont les humains qui arrivent à faire fortune sur leurs terres, ou qui arrivent à gravir les échelons de la société. Leurs conditions de vie sont telles, qu’aujourd’hui plus que jamais, les Fay de la Cour Unseelie et les humains sont en parfaite opposition.
La Cour Unseelie n’a jamais été dans l’acceptance des hybrides, les Fay de cette Cour considérant que leur sang est bien trop précieux pour être dilué avec celui des humains. Pourtant, les hybrides d’Unseelie et de mortels existent. Considérés uniquement comme des bâtards par les Fay, iels se sont vus octroyer le titre de Champion·nes des Evanuris par les Humains et la Chantrie. La seule raison de leur existence est donc de protéger l'humanité et les Unseelies des créatures obscures en rejoignant la Garde de l'Aube. Pour autant, nombreux sont les Unseelies qui défient ces préceptes et pourchassent leurs bâtards pour mettre fin à leur existence avant qu'iels n'atteignent la Garde.
Les relations entre les Unseelies et les Seelies sont belliqueuses, et les deux cours se détestent ouvertement. Si les Seelies voient en elleux des monstres, les Unseelies voient en leur cousin·es des êtres faibles et indignes de leur ascendance, qui serviraient bien plus à rejoindre les rangs de leur bétail. Si leur présence n’est pas interdite au sein de l’Empire de Vesperia, il est malgré tout interdit aux Fay Seelies de pratiquer la magie sur les terres Unseelies.
crédits des icons : lunarghost.
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JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE / SPÉCIAL BNF / J-2
L'exposition "La France sous leurs yeux." Deux cent regards de photographes sur les années 2020, à la Bibliothèque Nationale de France, site François Mitterrand, du 19 mars au 23 juin 2024.
Après une si longue absence
L’Auvergne est la région qui m’a vu naitre et dans laquelle j’ai vécu jusqu’à l’âge de onze ans. L'Auvergne, dans la zone libre, fut aussi la région de refuge de mes parents et de mes grands-parents pendant la seconde guerre mondiale. Mes grands-parents, chassés par l'antisémitisme et la pauvreté en Pologne sont venus y chercher un refuge. Refuge éphémère puisque la déportation les rattrapa. Pour eux un voyage sans retour. Pour moi une Histoire de vie, de mort. Une histoire d’une certaine France, celle de mon enfance.
Extrait de mon journal : L’étang de Montmazot. Première vraie halte de mon travail. Il y a la maison de Madame Conchon où j’allais tout petit, je ne devais pas avoir six ans.
L’étang me paraît aujourd’hui tout petit, en fait il était grand quand j’étais tout petit enfant. Je continue sur Montaigut en Combraille, à quatre kilomètres. Dans la grande rue, qui en fait elle est toute petite et étroite, tous les commerces sont fermés, ou presque. Ça fait ville sinistrée. C’est dans cette rue que nous allions à pied de l’étang avec Madame Conchon pour m’acheter Tarzan. Et sans doute d’autres choses.
© Alain Keler /MYOP/Grande commande photojournalisme
#Grandecommandephoto #RadioscopiedelaFrance #BnF #ministeredelaculture #Photojournalisme #photographie#France #lafrancesousleursyeux
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Joan of Arc. By Pierre Gustave Eugene Staal.
#Mary Cowden Clarke#pierre gustave eugene staal#World Noted Women#jeanne d'arc#la pucelle d'orléans#guerre de cent ans#hundred years war#la pucelle#royaume de france#la guerre de cent ans#engraving#joan of arc#engravings
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Comte Jean de Dunois. Unknown artist. Château de Beauregard.
#royaume de france#maison de valois#maison d'orléans#valois orléans#jean d'orléans#comte de dunois#Château de Beauregard#la guerre de cent ans
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🔴 Berzé-le-Châtel, un castrum du Xème siècle en Bourgogne
Constitué d’un donjon primitif en bois et d’une chapelle carolingienne en pierre, le castrum de Berzé est attesté dans un cartulaire de Cluny datant de l’année 991, en faisant la plus ancienne baronnie du Mâconnais.
Intégré au réseau de défense de l’abbaye de Cluny dès le Xème siècle, le château prend une importance considérable au XIIIème siècle. En 1229, le sire Hugues de Berzé bénéficie d’un prêt de l’abbaye lui permettant de transformer le château en place forte. Berzé devient ainsi en l’espace de quelques années la plus grande forteresse militaire de Bourgogne du Sud, principal château de défense de l’abbaye. Cluny est alors à son apogée et accueille près de mille moines à l’année.
Au cours de la guerre de Cent ans, le château devient un enjeu disputé et convoité entre les Armagnacs et les Bourguignons. Donné aux Bourguignons en 1417, il est pris par les Armagnacs en 1420 lors de leur attaque du Mâconnais. Après quatre ans d’occupation, il est finalement repris par Philippe le Bon grâce à la présence d’un tunnel souterrain reliant le château à une tour de garde située sur une colline voisine. En 1471, il est à nouveau la cible d’une attaque royale, celle de Louis XI, cette fois infructueuse.
Durant la renaissance, le rôle militaire de la forteresse devient plus secondaire, cette dernière se trouvant pourtant au cœur du conflit déchirant alors le royaume : la guerre des ligues. Catholiques et protestants s’affrontent à travers des escarmouches mettant le pays à feu et à sang. Le duc de Nevers à la tête de la ligue catholique porte un assaut considérable en 1591. Forte de 1100 hommes, 100 chevaux et d’une série de canons portatifs, l’armée du duc vient à bout des défenses de la forteresse qui cède après deux mois de siège.
Après l’attaque de la ligue et l’expulsion de ses propriétaires, le château est laissé à l’abandon pendant près de deux siècles. Lieu de pâturage pour le bétail durant la révolution française, il est malgré quelques dégradations relativement épargné par les vagues de destructions révolutionnaires. Déclaré tout comme l’abbaye de Cluny bien national, il entre dans la propriété de l’Etat mais n’est pas réinvesti. Le château subit alors les affres du temps…
En 1817, les descendants des anciens propriétaires rachètent le château, celui-ci redevenant alors un bien privé. Ayant subi de nombreuses dégradations de par son inoccupation prolongée, le château nécessite alors de nombreuses restaurations : charpentes, toitures et planchers doivent être rénovés afin d’assurer la sécurité du lieu. La famille Thy de Milly agrandit peu à peu les fenêtres, rénove le logis seigneurial et entretient les jardins, permettant bien des années plus tard de l’ouvrir au public afin de partager et donner à voir ce monument remarquable du patrimoine.
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Lounès Darbois: Paris ce n’est pas une ville pour “investir”, où n’importe quel putois mondial aurait droit à son “pied-à-terre”. Paris c’est la concentration du génie pratique français de la construction et de l’art ornemental passés par de crucifiants essais et erreurs étalés sur des siècles, trouvant début 17ème son type classique fixé dans la pierre calcaire et le toit d’ardoise, pour enfin en obtenir fin 19ème-début 20ème siècle, une merveilleuse résurrection néo-classique. Paris c’est pour les Français seuls, c’est “pour nous, à nous, chez nous”. Les squatteurs étrangers qui y résident n’ont pas été une seule fois capable de créer un seul bâtiment qui ait le quart de la beauté du plus laid bâtiment érigé durant l’âge d’or 1880-1914. Ce ne sont pas des parisiens ce sont des squatteurs de cavités laissées vacantes par les morts à la guerre et il y a un terme pour les gens qui cherchent ce mode d’habitation: des troglodytes. Et pas plus que de génie pratique, quantifiable, mesurable, concret, ils n’ont de sens esthétique du mode de vie. En vêtement, en gastronomie, en choix de locomotion ils sont lourdingues et nuls. Ils foncent aux grossiers commerces crasseux, aux viandes mal saignées étalées sans bardage sous les présentoirs sans feuillage, à côté de cela comparons ce qu’est une boucherie française traditionnelle, une boulangerie, une cordonnerie bien tenue, avec travail en tablier. Et l’ambiance de frénésie gaie des samedi après-midi de Paris jusque vers 2010, avec ses familles françaises nombreuses, ses jeunes femmes habillées, coiffées, ses darons sans ventre en manteau longs et chaussures cirées qui passaient en coup de vent acheter la tarte aux poires du déjeuner, toute cette petite beauté gratuite de la rue, la vraie France organique, parquet et lambris, ascenseur à grillage et escalier à tapis serti de tiges de maintien, tout le savoir-faire d’hommes inconnus d’avant, qui avaient des vrais beaux noms de provinces francophones, pas ces noms trafiqués de tricheurs importés, de gougnafiers qui n’ont jamais rien embelli et qui se prétendent des droits sur nous. C’est le ressentiment? Mais le ressentiment contre une telle exploitation, un tel mensonge, une telle colonisation forcenée alors que nous n’avions rien fait, cela ne s’appelle pas ressentiment cela s’appelle du sang qui crie justice, un véhément redressement qui renverse la pensée contre soi-même, cela s’appelle la Grâce, et merde et cent fois merde aux catégories nietzschéennes et à leur engrenage mental incapacitant. La vie organique d’abord bordel! Et l’évidence, l’intuition, l’instinct d’abord. Nous disons ce que nous disons pas pour l’avoir “pensé” (penser la société...) mais pour l’avoir expérimenté, payé sur le terrain depuis 20 ans, depuis 50 ans même pour certains, et il faudrait s’inhiber l’évidence par respect d’un philologue allemand d’université qui n’a jamais vu venir l’invasion barbare contrairement aux grands Français Art Déco, les Céline, les Morand dès 1925 avec L’Europe galante, dès 1928 avec Magie Noire? Et Lapouge même avant. La vraie impulsion révolutionnaire c’est ça, et tout ce que ça induit.
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Limiter la richesse individuelle
Les frères Gracchus, Gaius et Tibérius, étaient tribuns, l'équivalent de nos députés et ils ont voulu s'attaquer aux problèmes de l'époque. Les riches étaient peu nombreux mais possédaient presque toutes les terres. Comme ils produisaient toutes les céréales, ils se mettaient d'accord entre eux pour fixer un prix élevé et faisaient venir des étrangers pour travailler à des salaires très bas que les citoyens romains n'acceptaient pas. En 133 avant J-C, Rome était plongée dans une pauvreté généralisée qui tourmentait Rome. Les frères Gracchus ont fait voter une loi qui s'appelait propriété et elle affirmait que la propriété avait une limite en quantité au-delà de laquelle elle était toxique pour la société et une limite d'usage selon laquelle ce n'est pas parce que c'est à moi que je peux en faire ce que je veux. Les frères Gracchus ont été saisis par les riches et leurs hommes de main et jetés dans le Tribe. S'en est suivi 100 ans de guerre civile entre la plèbe et les riches avant que l'empereur Auguste n'instaure les lois des frères Gracchus profitant de l'émoi causé par la mort de Jules César. Quatre cent ans de paix et de prospérité ont suivi.
En 1930, en France, des juges ont crée le service public de l'eau, nationalisant les sources. Cela a montré que la propriété privée n'est pas sacrée. Ils ont exproprié les propriétaires, et c'était normal. Léon Blum a été harcelé et a quitté sa fonction.
La victoire du Labour en 1945 au Royaume-Uni a permis d'exproprier les propriétaires de mines. La propriété n'est pas absolue. Les propriétaires sont devenus moins riches et cela les a fait passer en-dessous de la limite de toxicité.
Le 24 novembre 2013, en Suisse, est votée une loi limitant les salaires à 250 fois le salaire minimum. Cela veut dire que pour que les salaires les plus hauts augmentent, il faut augmenter les salaires les plus bas. A titre de comparaison, en France en 2019, les patrons du CAQ40 gagnaient 1128 fois le salaire de leurs employés les plus modestes. Les riches sont très heureux en Suisse.
En 2022, en Ukraine, profitant de l'opportunité de pouvoirs exceptionnels liés à la guerre, le président Zelensky a nationalisé les banques, les chaînes de télévision et les industries possédées par les oligarques. Ceux-ci étaient tellement riches qu'ils décidaient de tout dans le pays, les caisses ukrainiennes étant vides.
Quand Elon Musk intervient dans la guerre en Ukraine, c'est trop. Quand Mark Zuckerberg favorise l'élection de Trump pour s'enrichir, c'est trop. Quand une personne est suffisamment riche pour avoir un propre programme spatial ou a plus d'argent qu'un pays, c'est trop. Quand tes décisions peuvent ruiner la vie de millions de gens alors que tu n'as pas été élu, c'est trop. Quand les 1% les plus riches de l'humanité émettent 100 fois plus de gaz à effet de serre que ceux qui émettent les 99% autres, c'est trop.
Ces gens méritent d'être riches mais pas à ce point. Ils n'ont jamais rendu à la société ce que la société leur avait donné en premier lieu. La société a formé leurs employés avec des écoles et des universités; ceux-ci sont en bonne santé grâce aux hôpitaux, il y a des routes, des chemins de fer et des aéroports pour transporter leurs biens. Il y a une police et une armée pour les protéger et une justice pour faire valoir leurs droits. Il y a des ressources naturelles pour alimenter leurs industries, etc.
La Columbia University estime que 100 millions de dollars est une limite. C'est largement suffisant pour la personne et pas assez pour être toxique. (Putting a Limit On Wealth - Stephen H. Unger: http://www1.cs.columbia.edu/~unger/articles/wealthLimit.html)
What, if Anything, is Wrong with Extreme wealth: https://www.tandfonline.com/doi/epdf/10.1080/19452829.2019.1633734?needAccess=true&role=button
Having too Much - Ingrid Robeyns: https://www.openbookpublishers.com/books/10.11647/obp.0338
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Les autorités illégitimes: https://www.aurianneor.org/les-autorites-illegitimes/
“The world has enough for everyone’s need, but not enough for everyone’s greed”: https://www.aurianneor.org/the-world-has-enough-for-everyones-need-but-not/
You can’t get enough… Enough!: https://www.aurianneor.org/you-cant-get-enough-enough-the-same-companies/
Qui se cache derrière le drapeau?: https://www.aurianneor.org/qui-se-cache-derriere-le-drapeau/
Riche: https://www.aurianneor.org/riche-cetait-une-belle-journee-et-le-paysage/
Liberté et vivre ensemble: https://www.aurianneor.org/liberte-et-vivre-ensemble/
Tomorrow – Chap 4: La démocratie: https://www.aurianneor.org/tomorrow-chap-4-la-democratie-the-panama/
Solidarité Hélvétique: https://www.aurianneor.org/solidarite-helvetique-democratie-semi-directe/
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2 petites filles écrivent à leur père parti à la guerre de 14...
Le 27 Décembre 1917
Papa chéri
nous ne sommes pas assez grandes pour te faire une longue lettre, mais notre cœur est grand de tendresse pour toi, il t'envoie pour la nouvelle année ses meilleurs vœux de bonheur et de santé et surtout papa bien aimé que tu revienes au plus tot pour toujours sain et sauf de cette vilaine guerre ta petite fille qui t'envoie un million de bons baisers
Guite(?)
ta didi mignonne te souhaite bonne chance, et d'être toujours bien portant, et venir vite pour la biser. Papa chéri je t'aime beaucoup beaucoup et je te bise bien fort.
Edith
Un "poilu" écrit à sa chère et tendre en 1916 depuis sa tranchée...
Françoise et Pierre écrivent une carte de vœux pour l'année 1944 à leur cousine...
Jeanne-(?) écrit à sa chère Léontine une carte de vœux pour l'année 1916...
CARTES DE VŒUX...
Une question qui me vient, à la lecture de toutes ces cartes de vœux, qui ont pour certaines d'entre-elles plus de cent ans :
_QU'ATTENDEZ VOUS, LES HOMMES, POUR REFUSER DE PARTICIPER DORÉNAVANT A LA MOINDRE GUERRE ?
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