#la guerre de cent ans
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dreamconsumer · 4 months ago
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La Pucelle.
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jules-and-company · 2 years ago
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he is SO FINE
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je commence à regarder Thierry La Fronde (je vous livebloggerai au fur et à mesure parce que c'est plus drôle que les affaires de la république honnêtement)
le premier épisode commence par un long texte qui défile qui énumère toutes les occasions où la France se fait maraver pendant la Guerre de Cent ans.
Les personnages apparaissent enfin. Thierry parle avec un ami d'un plan contre les anglais.
Enchaînement avec une scène où un gars le trahit.
Retour sur Thierry, son ami lui demande "mais le gars (qu'on a vu la scène juste avant) on peut lui faire confiance ?"
Thierry, super confiant : "complètement ! tiens d'ailleurs le voilà"
le gars arrive avec une troupe d'anglais tiens comme c'est bizarrE....
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ekman · 7 months ago
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– Je vais vous le dire. Une fois pour toutes. Ce qui nous arrive à nous autres Français descendants de Français, c’est tout à fait dans l’ordre des choses.
– Une baisse de moral, Monsieur le Comte ?
– Tsss tsss. J’irai même plus loin, mon cher : ce qui risque d’arriver à l’humanité entière se justifie pleinement. Les Occidentaux ont complètement perdu le goût de vivre en crucifiant tout ce qui les retenait au sacré. Partout ils exhibent leurs tares et leurs vices. Ils se disent “fiers”. Tristes cloportes, incapables de réagir à la disparition programmée de leur vieille nation. Mais si ça se trouve, le processus va s’accélérer et prendre un chemin bien plus radical que l’asservissement à coups d’impôts, de normes, de flicage et de surinades. Les probabilités d’une guerre étendue à l’Est se confirment chaque jour. Décidément, ces Américains sont d’immondes salopards, et leurs vassaux ne valent pas mieux.
– Ah, vous aussi êtes inquiet de cette situation... Le fils du filleul de mon épouse qui est dans les transmissions, à un niveau que je ne puis divulguer, a prévenu ses parents d’un départ imminent à l’étranger, et pas besoin d’être grand clerc pour savoir de quelle région il parle.
– Vous voyez... Cent dix ans après la plus épouvantable catastrophe de l’histoire de ce continent, les veules crétins qui prétendent nous gouverner sont disposés à remettre le couvert. À cela près que la grosse Bertha d’aujourd’hui, si elle devait cesser de dissuader ces malades mentaux, cracherait des gigatonnes de souffle radioactif sur nos têtes de linottes. Et là, même si nos caves sont profondes, je crains que nous n’ayons le temps de vider tous les cols qui s’y trouvent.
– Ce serait fâcheux, Monsieur le Comte. Quand je pense que Monsieur le Comte votre père était parvenu à les soustraire à la connaissance de l’occupant d’avant... 
– Oh, vous savez, l’occupant d’aujourd’hui prétend ne pas boire d’alcool. Mais ça ne compte plus. Si tout cela doit péter, ils seront caramélisés ou cancérisés de la même façon. L’égalité par l’atome, quelle méchante farce !
– Vous avez raison d’en rire, Monsieur le Comte. De toutes les manières, nous n’aurions pas longtemps à pleurer.
– Je me demande qui portera le chapeau, cette fois. Les Danois, ces socialistes qui se prennent pour des vikings ? Les Polonais, ces abrutis de boutefeux ? Les Estoniens, ces acariatres acariens ? Le flamboyant inverti de l’Élysée, les fesses au chaud au dix-septième sous-sol du palais, en compagnie de son messieurs-dames ?
– Ha ha ! Quelle galerie ! C’est la magie de l’UE, Monsieur le Comte ! – Ce qui me contrarie le plus, c’est que l’atome n’a rien de sélectif. Cela nous condamne à périr avec ces ploucs. Vous rendez-vous compte ? Quel embarras que cette ultime promiscuité !
J.-M. M.
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shakeskp · 5 months ago
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Je ne sais pas pourquoi mes fics Star Wars s'écrivent autant avec des flashbacks, ce n'est pas un truc dont j'ai l'habitude, mais avec ce fandom ça vient naturellement.
Le début du projet Springbreak, aka la romance-qui-aurait-dû-être-épistolaire, aka la fic où Anakin vit une chanson de Fall Out Boy écrite en 2008 et Obi-Wan une ballade d'été mélancolique :
Deux ans après la fin de la guerre, le Haut Conseil perdit la tête et décréta que tous les chevaliers Jedi ayant été adoubés après le début du conflit devraient effectuer l'année de missions en toute indépendance dont ils avaient été privés. Les talents acquis durant la guerre avaient été, eh bien, guerriers, et il était temps de se remémorer l'origine de leur Mission, qui était pacifiste, et de nombreuses planètes avaient besoin de l'intervention d'ambassadeurs neutres.
Anakin trouva cette décision raisonnable, jusqu'à ce qu'il réalise qu'il était également concerné.
-- C'est une blague ? demanda-t-il à Obi-Wan lorsqu'il reçut son premier ordre, une mission pour bébé Jedi dont le nez produirait encore du lait si on appuyait dessus. Je pourrais effectuer cette mission les mains attachées dans le dos et un bâillon sur la bouche.
Même en tant que mission diplomatique, c'était du niveau zéro. Anakin avait été formé par Obi-Wan Kenobi. Ce n'était pas parce qu'il manquait plus vite de patience qu'il était incapable de régler en cinq minutes ce cas de mariage arrangé.
— Parfait, répondit Obi-Wan avec un sourcil haussé. Elle n'en sera réglée que plus vite. Anakin, dit-il plus fort lorsque ce dernier allait insister. Toi plus que n'importe quel autre chevalier mérite cette année de liberté. Tu es l'un des très, très rares à avoir passé la guerre au côté de ton maître plutôt que d'avoir été déployé ailleurs.
Il lui sourit avec une excuse dans le regard.
— Ça te fera beaucoup de bien de pouvoir agir sans que je sois toujours sur ton dos.
Oh non, songea Anakin en réalisant soudain ce que cette histoire ridicule signifiait vraiment.
On voulait le séparer d’Obi-Wan.
***
Anakin savait, objectivement, que le Conseil n'aurait pas créé un décret influençant plus de mille cinq cents Jedi juste pour le séparer d'Obi-Wan. Il n'était pas égocentrique à ce point. Et ayant comparé sa mission à celle de plusieurs de ses compagnons de galère, il savait qu'il n'était pas le seul à être traité comme s'il sortait tout juste de la Crèche.
Mais. Il était Anakin Skywalker. Le Héros Sans Peur. Le pourfendeur de Dark Tyranus et Dark Sidious.
C'était complètement ridicule !
Aussi, après quelque jours à râler sombrement avec d'autres vétérans infantilisés, il demanda à voir le Conseil qui le reçut avec une rapidité louche. Clairement, ils s'étaient attendu à ce qu'il proteste.
Mais ils ne s'étaient certainement pas attendus à ce qu'il allait leur sortir.
Tout le monde, tout le monde oubliait qu'il avait été formé par Obi-Wan. Même Obi-Wan.
— Dans sa grande sagesse...
Même pas une pointe de sarcasme dans sa voix, il espérait vraiment qu'Obi-Wan était fier.
-- ...Le Conseil a décidé que les Jedi ayant été privés d'une année de missions en toute indépendance devraient l'effectuer, à dater du premier du mois prochain. Toutefois...
S'ils croyaient qu'il ne voyait pas leur sourire en coin...
— Ils ne sont pas les seuls à avoir été privé de cette expérience nécessaire à tout Jedi. Le chevalier Koestar, la chevalière An'ki, Maître Ost...
Il continua la liste des quatorze noms qu'il avait dénichés dans la base de données de l'Ordre après trois nuits blanches et une quantité de caf à en empoisonner un wookie. Et enfin...
— La chevalière Aïmetyo et... Maître Kenobi.
Et il le savait mieux que personne, il en était la raison. Obi-Wan l'avait pris comme padawan immédiatement et n'était jamais passé par cette étape initiatique.
-- Anakin, soupira l’interpellé en se pinçant le nez.
Le reste du Conseil le regardait avec une stupéfaction non dissimulée. Il les avait coincés, et ils le savaient. S'il y avait non pas un, mais plusieurs précédents, il n'y avait pas de raison qu'il ne puisse y avoir d'autres exceptions. Et Anakin avait toutes ses chances d'en être une.
— Une excellente remarque, déclara Maître Yoda à la surprise générale, y compris celle d'Anakin.
Il ne s'était pas attendu à ce que le Grand Maître soit le premier à céder, et si vite.
— En délibérer, le Conseil doit. À Maître Windu, la liste, remets.
Dérouté, Anakin s'exécuta, soutenant le regard exaspéré du Maître de l'Ordre.
Il sortit de la salle du Conseil avec un léger sentiment de malaise, le mit sur le compte de l'irritation d'Obi-Wan et se promit de l'inviter à dîner pour se faire pardonner, même s’il n'aurait pas dû en avoir besoin.
Il avait fait ça pour leur bien.
***
— Ce n'était pas du tout ce que je voulais, dit-il, horrifié, quelques heures plus tard.
Obi-Wan, avec un stoïcisme né de ses nombreuses années d'expérience, venait de lui montrer un ordre de mission qui faisait passer celle d'Anakin pour une tâche ardue.
Servir de témoin à l'inauguration du nouveau parc naturel maritime dédié à la paix de Champala ? On le prenait pour un padawan ?
— Ils ont complètement perdu la tête, ils ne peuvent pas se passer de toi en tant que conseiller, c'est n'importe...
— Oh, je ne quitte pas pour autant mon poste, répondit calmement Obi-Wan. Au contraire, je sers d'exemple aux autres Jedi, afin de prouver que le Conseil est juste. Merci, Anakin. Sincèrement.
— Obi-Wan...
— Sur ce, je vais te laisser.
— Où est ce que tu vas ?
— Quinlan et Luminara ont une bouteille de Danse-de-Feu antakarien qui porte mon nom. À demain.
Anakin faillit le rappeler, mais choisit sagement de le laisser partir.
Et peut-être qu’il irait voir ce que lui aussi avait de plus alcoolisé dans son placard.
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lounesdarbois · 8 months ago
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Dans l’enquête qui nous concerne, cette ingénierie, cette technique, cette école, cette ascèse, c’est la religion catholique bien comprise, relue à la lumière du temps d’invasion-propagande-prédation actuel, temps de persécution. « Il y a beaucoup de maisons dans la maison de mon père. » Il y a assez de place dans l’Église pour une maison française, européenne, strictement organique (donc sans moi, qui m’arrête à son seuil mais qui l’aime et veille sur elle). Ces principes sont décrits par des auteurs comme Julien Langella, comme tous ceux qui entendent concilier foi et identité, et qui s’appuient sur l’exégèse biblique et l’apologétique, disciplines que peu de chrétiens étudient.
(...)
Nouveaux pèlerins, vous cherchez vraiment la vie chrétienne ? Vous ne pouvez plus vous habiller comme des primitifs, vous ne pouvez plus parler comme des primitifs, vous ne pouvez pas descendre vers des primitifs même temporairement par confort, pas d’un seul millimètre, sans quoi c’est la descente entièrement au primitif ontologique pour n’en plus jamais remonter. En temps d’effondrement vous ne pouvez pas « faire la fête ». On ne fait pas la fête quand on est assiégé. Vous ne pouvez pas paraître ivres en public comme les Hilotes devant les Spartiates, ni consommer du loisir, prendre du poids, descendre le courant avec les branches mortes. Les époques de vaches maigres sont des temps virils de réforme, de débarras, de concentration. Après le Carême viennent les délices du banquet de Pâques ; encore faut-il les mériter par les purgations du jeûne sans quoi on ne fait plus que bouffer pour se récompenser d’avoir bouffé, toute l’année, toute la vie. Le salaire des gaudrioles, c’est la honte, le déclassement, la mort, l’oubli.
Le suicide des adolescents harcelés à l’école, la persécution à travers le pays des jeunes Blancs sur les terrains de football urbain qui a fini par décourager tant de carrières prometteuses et défigurer l’équipe de « France » (le contre-exemple Griezmann formé en Espagne dit tout par ricochet), tant d’autres déshonneurs ordinaires, sont des plaies qui cicatrisent très vite à condition d’une hausse drastique des standards culturels.
(...)
Vive le prolétariat chrétien
Quand le gras domine sur le muscle, quand l’efféminé domine sur le bonhomme, alors c’est la dictature des bourgeois-bordel sur une Église-armée-mexicaine. C’est le modèle exactement contraire qui est chrétien, et qui commence au prolétariat choyé, révéré, spécifiquement favorisé. Ouvriers, techniciens, artisans, un prolétariat français chrétien qui maîtrise les métiers indépendants productifs, formé sur le modèle de l’école de la Martinerie : non-mixité, sobriété, technique.
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Le prolétaire, étymologiquement, c’est l��homme dont la seule richesse sont ses enfants. Qu’est-ce qui a perdu le Liban ? La Syrie chrétienne ? C’est la vie bourgeoise, le mesquin principe du « pas trop d’enfants », la radinerie du « pas de premier enfant avant 30 ans ». En pleine Syrie 2013, en plein merdier, une petite effrontée de l’ultra minoritaire communauté chrétienne restante, propriétaire d’un restaurant payé par sa famille articulait ceci à un camarade. « Quoi ? Tu n’as pas cinq cent mille euros sur ton compte en banque ? Tu ne te marieras jamais », authentique. Le principe de toutes les libanisations par guerre des berceaux tient peut-être en cette phrase. Stérilité par calcul bourgeois. Tous les parents de familles françaises nombreuses se sont mariés jeunes et pauvres, ont commencé par souffrir et non par jouir, pour ensuite s’enrichir. Leurs maisons sont rangées, vivantes, ils prient, ils travaillent, ils chantent, ils lisent, ils s’entraînent, ils s’entraident. Tout le contraire des couples catastrophes qui eux commencent par le plus agréable : la baise, le restaurant, le voyage ; en un an ils ont déjà tout ratissé et aux premiers nuages qui s’amoncellent ils ouvrent chacun un parapluie différent au lieu d’en prendre un pour deux et de se serrer dessous ensemble.
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lilias42 · 1 month ago
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6 : dans une classe différente
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Pour ce nouveau jour, c'est la Brave du Corps, Metaheta, qui est à l'honneur, même si elle n'est pas bien contente de ce qu'elle récolte comme "armure" et des propos de sa descendante, Hilda (et on en profite pour mettre un taquet sur le gout... discutable des classes féminines de ce jeu !)
Normalement, Metaheta est une combattante au corps à corps qui n'utilise que ses poings et ses jambes pour se battre, elle n'a pas vraiment de coup à distance (comme des sorts classiques) pour attaquer à part quand elle décide de vous balancer la moitié de sa montagne sur la figure ou quand elle se fait grandir pour vous écraser. Elle est très résistance et grâce à sa très grande capacité de régénération, ses blessures se referment très vite quand ses ennemis arrivent à la toucher. Elle a également de très nombreux yeux sur tout le corps (notamment dans le dos) qui lui permettent de voir sous tous les angles. Sa sorcellerie est pensée pour la rendre plus ou moins imbattable étant donné qu'elle est la plus âgée de sorciers (1 200 ans en tout, dont deux cent ans à survivre aux agarthans qui ont chassé son peuple pour le fun car, ils les considéraient comme des animaux, elle est même devenue une des premières sorcières de l'histoire pour pouvoir protéger les siens).
Même si je ne met jamais mes sorciers dans une classe spécifique du jeu (leurs pouvoirs sont justes trop particuliers pour pouvoir être catégoriser, même si certains utilisent des armes blanches, notamment Siopélè, l'ancêtre de Marianne, qui utilise constamment une épée), je pense que pour Metaheta, elle serait surement un maitre de guerre, même si elle se débarrasserait de tout ce qui est inutile dessus pour être le plus libre de ses mouvements possible (la cape, l'énorme protection d'épaule qui lui bouche la vue... tout ça, ça dégage !), surtout qu'elle ne fait pas vraiment attention à ses affaires quand elle se bat. Elle se donne juste à fond sans penser à autre chose que de défoncer l'adversaire et de protéger sa cité donc, ses vêtements finissent souvent en lambeaux ou imprégner de sang alors, elle met quelque chose de facile à réparer ou pas trop cher (même si c'est la seule des Braves qui est riche) histoire de ne pas jeter du tissu à la poubelle (une de scènes les plus marquantes que j'ai en tête à son sujet, c'est quand les agarthans arrivent à l'attirer dans une embuscade en volant la peau de son frère et en se faisant passer pour lui. Quand elle se rend compte de la supercherie, elle devient ivre de rage et massacre toute la troupe à elle toute seule à mains nues, en particulier celui qui ose se faire passer pour son frère dont il a arraché la peau comme celle d'une vulgaire proie qui finit réduit en charpie à coup de poing, tellement que rien ne pourrait soupçonné que ce tas de chair a été un agarthan ou un humain alors qu'elle est intégralement couverte de sang rouge-brun d'agarthan, avec juste l'écarlate de l'oeil sur son front qui s'ouvre à ce moment-là alors qu'elle jure de les tuer tous jusqu'au dernier [même si contrairement aux agarthans - et aux responsables de la Tragédie de Duscur - elle ne tuera que les combattants et les décisionnaires, elle laisse toujours partir les civils qui n'ont rien demander ni fait à part naitre dans le mauvais peuple]). Alors, étant donné qu'elle est une sorcière et qu'elle manie la magie, je pense qu'elle pourrait finir grémorys si on la changeait de classe, même si ça ne corresponds presque pas à ses vrais capacités.
Cependant, elle DETESTERAIT avec ses tripes l'uniforme des grémorys !
Je ne suis surement pas la première à le dire mais, les tenues féminines de ce jeu ont beaucoup trop d'élément qui ne sont là que pour le plaisir des joueurs masculins et pas du tout pour la protection des combattantEs ! Un des meilleurs exemples de ça, la classe des enchanteurs :
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Si la tenue masculines ressemblent à ce qu'on attend d'un magicien relativement classiques dans la pop culture (grande robe, grand chapeau, beaucoup de tissu de partout...) l'habit féminin est très genré, avec la taille qui est souligné et cintré (là où elle est invisible pour les hommes) et surtout cet énorme fenêtre pour seins inutiles sur un champ de bataille, c'est juste se mettre une énorme cible en plein sur la partie la plus sensible du corps avec écrit dessus "tuez moi SVP !". C'est encore plus flagrant quand on se souvient que la plupart des utilisateurs de magie de Raison sont des femmes (Annette, Dorothéa, Lysithéa, voir Mercedes avec si on la développe sur le plan offensif et de la Raison), et la classe de grémory qui est également très genré et révélatrice pour rien est réservée aux femmes alors, le but des développeurs devient assez évident. Je ne demande pas à ce qu'une classe d'un jeu vidéo de fantasy soit ultra réaliste (même si je pense sincèrement que de vrais armures bien faites et documentées serait bien plus cool et agréable à regarder que... ça pour les batailleurs) mais, là, c'est évident que les développeurs voulaient juste transformer leurs personnages féminins en bonbon pour les yeux (eye candy pour les anglophones) pour le grand plaisir de leurs joueurs masculins hétéros, le grand désespoir du reste de la fanbase et surtout les femmes qui en ont marre d'être limité à une paire de sein et des fesses qui bougent pour décorer le champ de vision de hommes.
Alors, allez, autant profiter de cette invit' pour faire un petit braquage et montrer une combattante qui a une réaction censée face à un habit pareil ! Elle est donc dégoutée par cette tenue qui la serre, et pète juste un cable quand elle comprend que les hommes ne se l'inflige pas alors, c'est juste pour qu'ils se rincent l'oeil sur leurs camarades. Elle vient de l'époque mycénienne, les femmes avaient une place importante dans cette civilisation et elle-même a toujours eu une position d'autorité, notamment grâce à son rôle de sorcière, et elle a toujours été solidaire avec toutes les femmes, même quand celles des autres cités perdent de l'importance et de l'autonomie dans les autres cités. Elle ne supporte donc pas que l'on l'objectifie ainsi et préfère tout déchirer pour aller se battre en pagne, c'est toujours mieux que ce truc ! En plus, la civilisation de Metaheta étant inspirée de l'époque mycénienne, l'habit normal des femmes étaient une jupe, avec ou sans une sorte de boléro qui laissait souvent la poitrine découverte. C'est donc complètement normal pour elle de laisser sa poitrine à l'air libre (elle porte souvent juste une jupe pour garder un maximum de ses yeux découverts) et comme elle voie que Hilda porte une mini-jupe, elle se dit que c'est normal aussi alors, elle ne se gêne pas, histoire d'encore gagner en visibilité. En plus, j'aimais bien le contraste entre son corps couvert de fierté qui est très chargé, et le côté très uni du tissu qu'elle porte quand je la dessine.
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(différentes peintures et un sarcophages décoré mycéniens, c'est juste magnifique !)
Petit point anecdote de dessin : d'habitude, je ne met jamais autant en valeur les courbes d'un personnage en mettant le détail de la poitrine et des fesses comme ici, j'ai ajouté ses détails pour montrer à quel point la tenue la serrait et était moulante, ce qui la rend évidemment encore moins pratique. C'est aussi pour ça que j'ai enlevé les muscles ou le relief des yeux de Metaheta, pour renforcer encore plus l'aspect "on se fiche des particularités de ton corps, tout ce qu'on veut, c'est des fesses et des seins d'une femme au corps de mannequin qui ne peut pas nous défoncer la gueule si on la mate", alors que même si elle peut changer d'apparence et que ce n'est pas rare qu'elle cache ses muscles quand elle tente de tromper quelqu'un, elle est très fière de ses fiertés et de ses muscles alors, elle les laisse visible autant qu'elle peut.
(Et faut vraiment que je trouve le courage de faire une fiche de personnage pour Metaheta pour que ses fiertés restes régulières - -' )
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francepittoresque · 1 month ago
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5 décembre 1360 : création du « franc à cheval » ou « franc d’or » ➽ http://bit.ly/Creation-Franc Premier franc de l’histoire monétaire française, le « franc à cheval » est créé. Cette pièce d’or valant une livre tournois est frappée pendant la guerre de Cent Ans, au moment de la libération du roi Jean le Bon, qui avait été capturé par les Anglais en 1356 à la bataille de Poitiers
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aurevoirmonty · 1 month ago
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4 décembre 1370, bataille de Pontvallain lors de la guerre de cent ans. Bertrand du Guesclin, Connétable de France, et ses hommes battent les anglais, reprenant le Maine, l’Anjou et le Poitou.
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underthe-shadows · 9 months ago
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LES FAY —
Espèce la plus ancienne du Monde Connu, les Fay sont considéré·es comme les habitant·es originel·les de ce dernier. Iels auraient été créés par la Déesse Isthari, considérée comme l'Evanuri de la Lune et de la Magie. Créatures faites de magie pure, iels sont capables de manipuler la magie et de définir les lois du monde qui les entourent.
— GENERALITES
caractéristiques physiques — Les Fay se différencient des humains par leurs oreilles pointues, mais également par la présence d’ailes qu’iels sont capables de rétracter. Les Fay naissent avec leurs ailes présentes et apprennent en grandissant à les rétracter. Les ailes grandissent en même temps qu’iels vieillissent et sont un signe de l’âge de ces dernier·es.
longévité — De nombreux textes relatent la beauté figée dans le temps des êtres féériques et de l’immortalité dont iels étaient doté·es. Cette immortalité cependant, s’est éteinte il y a plusieurs siècles. Les Fay de la Cour Seelie possèdent une longévité similaire à celle des humains, pouvant vivre jusqu’à cent ans. Les Fay de la Cour Unseelie, elleux, sont le symbole même de cette légende d’antan. S’iels ne sont à proprement parlé pas immortels, iels peuvent vivre jusqu’à l’âge vénérable de 420 ans.
faceclaim & âges unseelie : De leur 0 à leurs 25 ans, les Unseelies vieillissent normalement et gardent l’apparence d’un·e adulte de 25 ans, jusqu’à leurs 80 ans. 80 ans à 120 ans : faceclaim entre 25 ans et 35 ans. 120 ans à 180 ans : faceclaim entre 35 ans et 45 ans. 180 ans à 240 ans : faceclaim entre 45 ans et 55 ans. 240 ans à 300 ans : faceclaim entre 55 ans et 65 ans. 300 ans à 360 ans : faceclaim entre 65 ans et 75 ans. 360 ans à 420 ans : faceclaim entre 75 ans et 85 ans.
reproduction — Les Fay ne sont fertiles que durant quatre semaines de l’année, généralement autour des équinoxes et solstices, lorsqu’iels atteignent leur maturité sexuelle. Si les Fay de chaque cour peuvent se reproduire avec des humains, les Seelies et les Unseelies semblent incapables de se reproduire entre elleux.
les cours — Les Fay sont séparé·es en deux cours, la Cour Seelie et la Cour Unseelie. Ces deux Cours dirigent chacune un territoire établi il y a plusieurs siècles. Les Seelies régissent le Royaume de Mythralis, tandis que les Unseelies régissent l’Empire de Vesperia. Il est à noter que les Seelies et les Unseelies ne formaient autrefois qu’une seule et même Cour, jusqu’à ce que les Fay se séparent des suites de la Guerre du Sang, il y a plus de huit siècles.
la magie — Les Fay sont capable de maîtriser la magie. Iels ne sont cependant capable que de contrôler un type de magie, nommé domaine qui se déclare durant leur enfance.
les faiblesses — S’iels sont fait de magie pure, les Fay ne sont pour autant pas indestructibles. Iels sont sujets à des maladies diverses et variées, généralement d’origines magiques ou surnaturelles. Selon qu’il s’agisse de Fay Seelie ou Unseelie, certaines de leurs faiblesses sont différentes. Les deux types de Fay ont cependant en commun le fait que la pratique de la magie est une chose épuisante, qui use leur énergie vitale. Cette énergie vitale s’amenuise selon la puissance des sortilèges et rituels qu’iels utilisent. De ce fait, les Fay doivent apprendre à maîtriser et contrôler la magie, et doivent constamment contrôler leur énergie.
langues — Les Fay parlent l’Ancien langage (la langue originelle du monde connu), mais également la langue commune.
patronymes — Les Fay possèdent des noms de familles qui finissent généralement par ar, nor, os, ys.
— LA COUR SEELIE
les particularités — Les Fay de la Cour Seelie se distinguent des Fay de la Cour Unseelie, par leurs ailes d’insectes, de couleurs différentes selon leur région d’origine. Les Fay de cette cour sont également affaiblis par la morelle noire, une plante qui inhibe la magie des Fay Seelies. Il s’agit d’un poison, qui a trop forte dose peut faire perdre définitivement la magie d’un·e Fay et mettre fin à ses jours. Leur corps est aussi fragile que celui d’un mortel.
territoire — Les Fay de la Cour Seelie vivent principalement au sein du royaume de Mythralis. Ce dernier est séparé en plusieurs régions, chacune sous la direction d’une Reine. Les couleur des ailes des Fay de la Cour Seelie est un signe indicateur de leur région d’origine : Bois d’Argent (D’un marron argenté), Désert des Etoiles (D’un blanc satiné), Montagnes de Givres (D’un blanc tacheté de noir), Archipel Astral (De verts et de turquoise), Îles Célestes (De bleus limpides ou abyssal), Marais de l’Eclipse (Translucides, reflétant myriades de couleurs), Plaines du Destin (Dans les tons lavandes et violets).
la magie de la cour seelie — Il existe cinq domaines de magie différents qui peuvent être pratiqués par les Fay de la Cour Seelie.  Le Domaine de la Vie (guérison, nature, familiers), le Domaine Elémentaire (création et contrôle de certains éléments), le Domaine Mystique (télékinésie, divination), le Domaine d’Altération (modification magique des objets, des corps), le Domaine d’Abjuration (anti-magie, lumière)
relations avec les autres espèces — Les Fay de la Cour Seelie ont généralement de bonnes relations avec les humains. Iels ont rapidement acceptés ces derniers lors de leur arrivée dans le Monde Connu, leur ouvrant les portes du Royaume de Mythralis pour y habiter. Iels ont tentés de leur apprendre l’art de la magie, en vain. Pour autant, chaque être humain avait sa place parmi elleux, afin de faire grandir les deux espèces. Il y a peu cependant, des suites de la destruction du Conclave, les Fay de la Cour Seelie ont fermés leurs portes aux mortels et les ont chassés de leurs terres. Les relations entre les deux espèces commencent donc à s’effriter, de nombreux humains ayant été arrachés à leurs proches, leur foyer. Si certain·es Fay cautionnent les choix de leurs Reines d’avoir expulsé les humains, certain·es d’entre elleux étaient contre ce choix. Il est à noter que pour la grande majorité des humains vivant au sein de Vesperia, les Seelies sont considérés comme celleux à l’origine des horreurs du Monde Connu.
La Cour Seelie a toujours été dans l’acceptance des hybrides, qui ont existés chez elleux depuis le début de l’arrivée des humains. Iels ont eu le choix, de rester à Mythralis ou de quitter leurs terres.
Les relations entre les Seelies et Unseelies a cependant toujours été belliqueuse et les deux espèces pourtant parentes, se détestent plus que de mesure ce depuis la création de la Cour des Unseelies. Pour les Seelies, les Unseelies sont des êtres malveillants, des voleurs, des hérésies. Aucun Unseelie n’est accepté au sein de Mythralis.
— LA COUR UNSEELIE
les particularités — Les Fay de la Cour Unseelie possèdent des ailes à l’instar de leurs comparses Seelies. Ces dernières et ce indépendamment de leurs régions, ont la forme d’ailes de chauve-souris. Les Fay Unseelies possèdent également des canines tranchantes et acérées, qui leur permettent d’hameçonner leurs proies. En effet, les Fay de la Cour Unseelie, si iels peuvent se nourrir de denrées communes, doivent boire du sang pour regénérer leur magie et leur énergie. Sans apport de sang, les Unseelies semblent perdre toute nature féérique jusqu’à devenir des cadavres, ce qui leur a valut le surnom de “vampire”, dans la bouche des humains. Leurs sens, leurs réflexes mais également leur force sont surhumaines. Ce sont des prédateurs. Le bois de sorbier venant des bosquets sacrés, les empêchent d’utiliser leurs pouvoirs, mais plus encore peut leur être fatal. Pour cette raison, il n’existe plus aucun bosquet sacré au sein de Vesperia et des Terres Libres. Il est à noter que leur type de magie est héréditaire, au contraire des Seelies.
l’enansal din’ashiral — tw ; sacrifice humain Cérémonie propre aux Unseelies, l’Enansal Din’Ashiral, qui signifie Bénédiction du voyage vers la mort, est une cérémonie que tout Fay Unseelie pratique lorsqu’iel atteint l’âge de vingt-cinq ans. Elle représente le moment où l’Unseelie entre dans l’âge adulte et où son vieillissement ralentit. Il s’agit d’une cérémonie importante, plus encore que la naissance d’un nouveau né, ou la mort d’un individu. Cette cérémonie est pratiquée au sein d’un Temple de la Chantrie, entouré généralement de la famille et des proches de l’individu. L’Unseelie célébré se voit offrir un sacrifice humain, dont iel devra boire le sang jusqu’à la dernière goutte. De grandes festivités accompagnent également la cérémonie jusqu’à l’aube.
territoire — Les Fay de la Cour Unseelie vivent principalement au sein de l’Empire de Vesperia. Ce dernier est séparé en plusieurs régions, sous l’autorité de familles seigneuriales unseelies. Ces régions sont les suivantes : Narakashad, Hanazora, Nyumbani, Silva, Okeanos et Basarova. La capitale de l’Empire se trouve dans la région de Narakashad, à Kalipur.
la magie de la cour unseelie — Il existe cinq domaines de magie différents qui peuvent être pratiqués par les Fay de la Cour Unseelie. Le Domaine des Ombres (création et contrôle des ombres), le Domaine des Tempêtes (intangibilité, contrôle des intempéries), le Domaine de l’Âme (télépathie, contrôle mental), le Domaine des Horreurs (illusions, contrôle de la peur), le Domaine de la Mort (nécromancie, magie du sang).
relations avec les autres espèces — Les Fay de la Cour Unseelie et les humains tendent à avoir une relation paradoxale. Celleux qui placent leur foi dans la Chantrie considèrent les êtres féériques comme les enfants des Evanuris (les dieux), et placent en elleux leur foi, leur confiance et suivent aveuglement leurs préceptes et leur propagande. En vérité, nombre d’entre elleux, voient cependant clair dans le jeu des Fay et savent qu’ils se sont fait asservir par ces êtres à la magie infernale. Les Fay Unseelies, voient en elleux, du bétail. Une denrée qui se reproduit à la vitesse de l’éclair et qui permet des les sustenter elleux et leur magie. Rares sont les humains qui arrivent à faire fortune sur leurs terres, ou qui arrivent à gravir les échelons de la société. Leurs conditions de vie sont telles, qu’aujourd’hui plus que jamais, les Fay de la Cour Unseelie et les humains sont en parfaite opposition.
La Cour Unseelie n’a jamais été dans l’acceptance des hybrides, les Fay de cette Cour considérant que leur sang est bien trop précieux pour être dilué avec celui des humains. Pourtant, les hybrides d’Unseelie et de mortels existent. Considérés uniquement comme des bâtards par les Fay, iels se sont vus octroyer le titre de Champion·nes des Evanuris par les Humains et la Chantrie. La seule raison de leur existence est donc de protéger l'humanité et les Unseelies des créatures obscures en rejoignant la Garde de l'Aube. Pour autant, nombreux sont les Unseelies qui défient ces préceptes et pourchassent leurs bâtards pour mettre fin à leur existence avant qu'iels n'atteignent la Garde.
Les relations entre les Unseelies et les Seelies sont belliqueuses, et les deux cours se détestent ouvertement. Si les Seelies voient en elleux des monstres, les Unseelies voient en leur cousin·es des êtres faibles et indignes de leur ascendance, qui serviraient bien plus à rejoindre les rangs de leur bétail. Si leur présence n’est pas interdite au sein de l’Empire de Vesperia, il est malgré tout interdit aux Fay Seelies de pratiquer la magie sur les terres Unseelies.
crédits des icons : lunarghost.
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dreamconsumer · 2 months ago
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Joan of Arc. By Pierre Gustave Eugene Staal.
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plaques-memoire · 1 month ago
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Plaque en hommage à : Jeanne d'Arc
Type : Commémoration
Adresse : Château royal de Blois, place du Château, 41000 Blois, France
Date de pose : 1929 [inscrite]
Texte : Jeanne d'Arc arrive à Blois le 25 avril 1429. Elle y organise son armée, fait bénir son étendard en l'église St-Sauveur et part le 27 avril pour délivrer Orléans
Quelques précisions : Jeanne d'Arc (v. 1412-1431) est une héroïne de l'histoire de France, plus tard canonisée par l’Église catholique. Surnommée la Pucelle d'Orléans, elle est une figure majeure de l'histoire de France pour le rôle qu'elle a joué pendant la Guerre de Cent Ans opposant la France et l'Angleterre. Persuadée d'avoir entendu des voix de saints lui demandant de libérer la France de la présence des troupes anglaises, elle parvient à obtenir audience auprès du dauphin Charles VII, qui l'envoie à Orléans, alors assiégée. Sa ferveur et son courage y inspirent les troupes françaises et la ville est finalement libérée au début du mois de mai 1429, faisant de Jeanne d'Arc une héroïne aux yeux de la population. Elle prend part à d'autres campagnes militaires, plus ou moins couronnées de succès, mais finit par être capturée par les Bourguignons (une faction française opposée aux Armagnacs qui soutiennent Charles VII), qui la vendent aux Anglais. Accusée d'hérésie, Jeanne d'Arc est jugée lors d'un procès ecclésiastique, qui la condamne à mort. Jeanne d'Arc périt ainsi sur le bûcher à Rouen en 1431. Elle sera toutefois réhabilitée par la suite et complètement innocentée. Ses actions héroïques et son destin tragique sont à l'origine d'une iconographie très importante, de multiples œuvres artistiques adaptant toute ou partie de sa vie, et donnent également parfois lieu à des théories abracadabrantesques sur sa possible survie au bûcher. D'autres plaques commémoratives en son honneur peuvent être trouvées en France, en particulier à Orléans mais aussi à Tours.
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lepartidelamort · 2 months ago
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Ce 11 novembre avait un singulier goût de pisse.
Et autres considérations sur la nécessité de se débarrasser des lubies incapacitantes.
Hier, Barnier a posé un acte fort en souvenir des poilus.
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Il y a des enthousiasmes qui laissent perplexe.
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S’il ne devait rester qu’un boomer, ce serait celui-là
Ce n’est pas le drapeau européen sur lequel j’ai bloqué instinctivement.
Les souverainistes qui préfèrent les hommes, si.
Philippot était déchaîné.
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Et pas que.
Pas un, ne remarque l’océan de boue.
C’est le petit flonflon qui suscite les colères jalouses.
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Les boomers à emojis du Frexit, c’est un calvaire dans le calvaire. Aucun de ces vioques n’a jamais envisagé ce qui se passerait concrètement si demain matin l’UE cessait d’exister.
Rien, c’est-à-dire.
Les Nègres et les Arabes seraient toujours là, tout comme leurs mosquées.
Si un drapeau a été sévèrement bousculé par la charcuterie de masse de 14-18, c’est bien le drapeau tricolore. C’est avec ça qu’on a justifié l’entreprise criminelle des démocraties – déjà – contre les états autoritaires, exception faite de la Russie que les juifs dévorèrent en temps et en heure, mais seulement une fois la viande dûment prélevée.
D’ailleurs, c’est bien à l’ombre du tricolore que les premiers Nègres et Arabes ont afflué en France. Il faudrait voir à ne pas l’oublier trop opportunément.
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« Le drapeau des troupes noires qui décimeront les troupes prussiennes ». Ils ne sont jamais repartis et à présent ce ne sont pas des Allemands qu’ils déciment, mais les chattes des Françaises. Ils se paient sur la bête sous le sourire ébahi de ces cons de boomers. 
L’autisme des uns répond à celui des autres et nous, pendant ce temps, voyons la marée de boue monter imperturbablement.
Le petit peuple a docilement suivi, avec la foi patriotique du charbonnier, pour finir la gueule écrasée. Pour les 20-27 ans, 30% de tués, autant de blessés, le tout rendu fou et alcoolique (2 litres de vin par jour, souvent le double). Un charnier de près d’un million et demi de morts, 700,000 orphelins privés de père, terreau de tous les désastres traumatiques, du féminisme et du marxisme.
Aussi victorieuse que fut la France sur le papier, le pays fut fatalement frappé par la perte d’un sang déjà en voie raréfaction. Un simple coup d’oeil sur les troupes françaises permet de constater l’extraordinaire qualité raciale de la paysannerie gauloise de 1914 et, par contrecoup, la phénoménale dégénérescence biologique qui a suivi depuis cent ans sous l’effet d’une ignoble contamination immigrée.
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Cruelle comparaison avec les créatures molles et difformes dont les faciès débiles et la peau à la couleur d’eau vaseuse donnent le haut-le-coeur.
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Le salaire du crime fut la prolifération intense des métèques de Méditerranée, en légions. Il fallait remplacer dans le lit des Françaises les Émile, Jean ou Charles morts quelque part dans une plaine de l’Est, la moitié du visage enlevée par un obus ou une grenade. Le juif, dans cette entreprise, fit montre de ses talents de négociant, non seulement en déversant un ghetto de Pologne ou de Roumanie après l’autre dans les villes de la France dépeuplée, mais encore en important des renforts d’Arméniens, de bicoïdes ou de ritals rouges évincés par Mussolini dès 1922.
Depuis, la mécanique, froide et régulière, n’a fait qu’aller au Sud, toujours plus au Sud, pour sortir de l’histoire les descendants des types dont les noms figurent sinistrement sur les monuments des places, en acte d’accusation rétrospectif. Ils feraient tous une bien drôle de gueule s’ils sortaient de leurs tombes pour flâner dans les rues.
C’est bien à l’ombre du tricolore de Valmy que les Français se sont faits mortellement enculer. Les préventions consécutives quant au bastringue cocardier sont aussi légitimes que de bon conseil. Privilège de notre époque, ce que jamais un petit Français de 1916 n’aurait pu imaginer, nous pouvons le voir avec nos yeux : les développements postérieurs complets de la guerre hyper patriotique, préparée pendant 40 ans avec l’entêtement, la hargne et ce qu’il faut de connerie par toute une nation pour foncer vers le suicide géant.
Qui peut imaginer aujourd’hui, accoutumé qu’il est à la lie raciale ambiante, que Paris fut une ville non seulement blanche, mais française, aussi française qu’un village de la Meuse ?
On en faisait des tableaux.
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Sitôt la guerre gagnée sur le papier, la France de Dreyfus retourna à sa république et à sa démocratie pourrissante. L’immense meurtre avait accouché d’un pet, à peine couvert par une tonitruante Marseillaise. La marée multicolore commença alors pour de bon. Dans les années 1920, les bicots semaient déjà la terreur dans les villes.
À Marseille, on pouvait sentir le début du cataclysme. Putes blanches et maquereaux nègres se rencontrèrent pour une farandole qui ne devait plus cesser.
Cairn :
Dans l’immédiat après-guerre, une dizaine de souteneurs noirs, vivant des activités de prostituées blanches, apparaissent clairement dans les sources comme ayant bénéficié de ce climat propice aux entreprises illicites. Ils sont désignés comme « nègres », certains semblant avoir constitué de véritables bandes ou avoir à tout le moins entretenu des liens de solidarité dans les activités illégales. Les archives de presse, très allusives, laissent souvent planer le doute. Le « nègre Laroussi Amar », blessé rue Mazagran par sa logeuse et compagne Lucie Puech, après avoir tenté de l’étrangler, est peut-être son souteneur mais rien ne le prouve . De même, « le Sénégalais Gana Guye [sic], navigateur », blessé par balles par un inconnu en fuite dans un bar de la rue Bouterie, après une discussion « avec une femme de mœurs légères », peut avoir été un simple client. L’incertitude est identique concernant le « pauvre nègre » retrouvé tué à coups de revolver rue Saint-Laurent, lui aussi après « une discussion avec une femme de mœurs légères, […] tragiquement solutionnée par un individu qui est activement recherché  ». Le recoupement avec les archives judiciaires ne laisse en revanche aucun doute sur les activités d’autres individus impliqués dans des assassinats.
Le 30 octobre 1918, la fille soumise Antoinette Sereni, née à Sartène en Corse, âgée de vingt ans, est l’enjeu d’une querelle entre proxénètes noirs. Son amant Cyprien Sodonou, embarqué comme navigateur, a confié la surveillance de sa maîtresse à son ami Bernard Niamby . Elle s’est pourtant placée successivement sous la protection de deux Martiniquais, Henri Aline puis Gilles Saint-Paul. Au retour du navigateur, une vive discussion a eu lieu, chez Sereni et en sa présence, entre l’ancien et le nouveau protecteur et leurs amis respectifs : Niamby et François Lazare du côté de Sodonou, Gilbert Urbano pour Saint-Paul. Saint-Paul a utilisé la menace pour contester le choix de son rival par la jeune femme : accompagné d’Aline, il a suivi les deux amants dans la rue. Sodonou, prêt à céder, a proposé « d’abandonner le lendemain même la femme Sereni à son rival s’il la désirait ». Mais les deux Martiniquais les ont attaqués derrière la Bourse, blessant mortellement la jeune fille et grièvement Pascal Straboni, un jeune Corse qui cheminait avec eux. Sodonou passe lui aussi en jugement parce qu’il a réussi à s’enfuir et a tenté d’abattre Aline à coups de revolver. Dans cette affaire, Sodonou est peut-être l’amant de la jeune femme et pas son souteneur. La police a sur lui de « mauvais renseignements », elle le décrit comme un individu « violent, querelleur et de moralité douteuse », mais ne porte pas d’accusation de proxénétisme. Le fait qu’il ait chargé son ami Niamby de surveiller son amante rend pourtant crédible ce soupçon. Celle-ci affirme d’ailleurs qu’elle aurait « préféré rester avec Saint-Paul » mais qu’elle a « eu peur » de Sodonou. Niamby, qui n’a pas hésité à la frapper, est blessé deux ans plus tard d’un coup de revolver par un navigateur de 25 ans : sa participation à des activités illicites semble évidente. En 1938, Sodonou, vivant avec Lucie Tedesqui, reste mal noté par la police lors de sa demande de naturalisation. S’il « a toujours navigué régulièrement en qualité de garçon et maître d’hôtel » et « tire ses ressources du produit de son travail », « sa femme exploite le bar sis 8, rue Coin de Reboul, établissement mal famé, dont la clientèle habituelle se compose de filles soumises et de souteneurs ». « Bon travailleur », Sodonou se trouve néanmoins « en relation avec de nombreux repris de justice et autres individus sans aveux ». Saint-Paul, quant à lui, est un « souteneur redouté ». Aline, qui a tué la jeune femme, a « subit [sic] plusieurs condamnations, pour souteneur, fausse monnaie et port illégal d’uniforme dans son pays natal ». Urbano, dit « Jules », est « détenu à la prison Chave pour une autre tentative de meurtre  ». Quand Sereni sort un couteau et tente de se suicider, « se sentant menacée par tous ces noirs », il la désarme et il est blessé à la main. Il attend alors la jeune femme à la sortie de son immeuble et brandit un revolver en menaçant de se venger .
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Marseille, fièrement française
L’Allemagne, encore jeune démographiquement et le dos au mur, put défier les démocraties et la barbarie communiste une dernière fois, mais la France, saignée et suffocante, ne put que bouillir à petit feu dans son apéritif, ses élections, triturée par les juifs et leur marxisme.
Mais ça n’était pas assez. Avec la renaissance inattendue de l’Allemagne débarrassée des juifs, la France fût convoquée pour un dernier carnage, que dans les synagogues on aurait espéré aussi long que le premier, pour rétablir à Berlin la juiverie dans sa position dictatoriale. Déception et choc des Bernard-Henri Lévy de l’époque quand le soldat français ne fut pas aussi glorieusement voué à la mort qu’en 1914.
« La petite saloperie met crosse en l’air ! »
Les victoires théoriques avaient eu comme un effet curatif.
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Pétain, effrayé par l’abîme béant, se précipita pour sauver la race française de l’anéantissement imminent. Trouver une entente avec l’Allemagne, aussi dure à avaler fut-elle pour l’homme de Verdun, et clore par tous les moyens le cycle génocidaire en train d’engloutir la France.
Qu’un tel homme s’avança à ce moment-là pour tendre la main à l’Allemagne suffit à dire la gravité de la situation de la France, mais aussi de l’abnégation et du courage individuel de Pétain que les juifs insultent depuis 80 ans sans discontinuer.
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Les Français l’écoutèrent avec foi et lucidité, et d’abord les survivants du charnier de 1914.
Et pour cause, ils étaient les premiers rencardés.
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Mais les juifs ne s’avouèrent pas vaincus. Pas une nation, et surtout pas la nation française, ne pouvait se défiler aussi facilement aux heures critiques.
De Gaulle, Bayard des juifs, poussa la carcasse gémissante dans un ultime effort vers le vétérinaire de Judée qui l’attendait avec sa dose létale. C’est ça, le héros des souverainistes, le Don Quichotte de Colombey assoiffé de sang français, ticket d’entrée infaillible à tous les spectacles judéo-démocratiques.
Les juifs ont une solide mémoire. La tentative d’esquive de 1940 leur laissa une vilaine impression, d’autant plus amère que les Français exprimèrent une très réelle envie de leur rentrer dans la gueule pour prix de toutes leurs souillures, une envie qui couvait depuis longtemps, mais que justement la victoire de 1918 avait contenu par l’euphorie illusoire du triomphe.
Le juif s’est vengé.
Le juif continue de se venger, à coups de millions de métèques armés de couteaux, dûment mandatés pour terroriser ce qu’il reste de la France française, la bolcheviser politiquement et racialement par ses supplétifs. Ce n’est plus les Français que le juif achemine au front par wagons entiers, mais des Nègres et des violeurs d’Orient, par air et par mer.
C’est ça, la mobilisation générale de notre temps.
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Un Sedan en août 1914 nous aurait épargné un lent siècle de déploiement de ces atrocités. Les Allemands à Paris en septembre, la paix signé en octobre, et la race était sauve du carnage pour une affaire dont personne n’aurait plus compris quoi que ce soit 20 ans après.
Mille morts par jour pendant quatre ans. Si on étalait tous les cadavres français de 14-18 en une longue ligne, on pourrait faire Paris-Moscou, soit 4 mois de marche.
Jamais peuple ne sacrifia tant pour si peu.
Quelle farce de cauchemar.
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L’élite raciale française engloutie, qui peut s’étonner de voir la France contemporaine peuplée pour l’essentiel de lâches, de dégénérés et de traîtres ?
À présent que nous avons le cul dans la merde et que nous mijotons dans la pisse juive jusqu’à la jugulaire, le premier devoir est de ne pas rester totalement cons de la formidable enculerie dont nous sommes les victimes.
Cela suppose de ne plus se faire chier dans le crâne à flux tendus et de ne pas répéter les insanités mortelles qui nous ont conduit dans la fosse à purin.
Non, les Français ne sont pas morts pour échapper à l’allemand LV1, ni pour la France. Ils sont morts dans le grand jeu géopolitique bancaire des démocraties juives pour laquelle la douce France de Dreyfus devait consentir à l’impôt sanglant.
Que les droitardés adeptes des charniers juifs gardent leur Nègre totémique.
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Démocratie Participative
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alain-keler · 10 months ago
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JOURNAL D’UN PHOTOGRAPHE / SPÉCIAL BNF / J-2
L'exposition "La France sous leurs yeux." Deux cent regards de photographes sur les années 2020, à la Bibliothèque Nationale de France, site François Mitterrand, du 19 mars au 23 juin 2024.
Après une si longue absence 
L’Auvergne est la région qui m’a vu naitre et dans laquelle j’ai vécu jusqu’à l’âge de onze ans. L'Auvergne, dans la zone libre, fut aussi la région de refuge de mes parents et de mes grands-parents pendant la seconde guerre mondiale. Mes grands-parents, chassés par l'antisémitisme et la pauvreté en Pologne sont venus y chercher un refuge. Refuge éphémère puisque la déportation les rattrapa. Pour eux un voyage sans retour. Pour moi une Histoire de vie, de mort. Une histoire d’une certaine France, celle de mon enfance.
Extrait de mon journal : L’étang de Montmazot. Première vraie halte de mon travail. Il y a la maison de Madame Conchon où j’allais tout petit, je ne devais pas avoir six ans. 
L’étang me paraît aujourd’hui tout petit, en fait il était grand quand j’étais tout petit enfant. Je continue sur Montaigut en Combraille, à quatre kilomètres. Dans la grande rue, qui en fait elle est toute petite et étroite, tous les commerces sont fermés, ou presque. Ça fait ville sinistrée. C’est dans cette rue que nous allions à pied de l’étang avec Madame Conchon pour m’acheter Tarzan. Et sans doute d’autres choses.
© Alain Keler /MYOP/Grande commande photojournalisme
#Grandecommandephoto #RadioscopiedelaFrance #BnF #ministeredelaculture #Photojournalisme #photographie#France #lafrancesousleursyeux
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duxvonzazer · 2 years ago
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🔴 Berzé-le-Châtel, un castrum du Xème siècle en Bourgogne
Constitué d’un donjon primitif en bois et d’une chapelle carolingienne en pierre, le castrum de Berzé est attesté dans un cartulaire de Cluny datant de l’année 991, en faisant la plus ancienne baronnie du Mâconnais.
Intégré au réseau de défense de l’abbaye de Cluny dès le Xème siècle, le château prend une importance considérable au XIIIème siècle. En 1229, le sire Hugues de Berzé bénéficie d’un prêt de l’abbaye lui permettant de transformer le château en place forte. Berzé devient ainsi en l’espace de quelques années la plus grande forteresse militaire de Bourgogne du Sud, principal château de défense de l’abbaye. Cluny est alors à son apogée et accueille près de mille moines à l’année.
Au cours de la guerre de Cent ans, le château devient un enjeu disputé et convoité entre les Armagnacs et les Bourguignons. Donné aux Bourguignons en 1417, il est pris par les Armagnacs en 1420 lors de leur attaque du Mâconnais. Après quatre ans d’occupation, il est finalement repris par Philippe le Bon grâce à la présence d’un tunnel souterrain reliant le château à une tour de garde située sur une colline voisine. En 1471, il est à nouveau la cible d’une attaque royale, celle de Louis XI, cette fois infructueuse.
Durant la renaissance, le rôle militaire de la forteresse devient plus secondaire, cette dernière se trouvant pourtant au cœur du conflit déchirant alors le royaume : la guerre des ligues. Catholiques et protestants s’affrontent à travers des escarmouches mettant le pays à feu et à sang. Le duc de Nevers à la tête de la ligue catholique porte un assaut considérable en 1591. Forte de 1100 hommes, 100 chevaux et d’une série de canons portatifs, l’armée du duc vient à bout des défenses de la forteresse qui cède après deux mois de siège.
Après l’attaque de la ligue et l’expulsion de ses propriétaires, le château est laissé à l’abandon pendant près de deux siècles. Lieu de pâturage pour le bétail durant la révolution française, il est malgré quelques dégradations relativement épargné par les vagues de destructions révolutionnaires. Déclaré tout comme l’abbaye de Cluny bien national, il entre dans la propriété de l’Etat mais n’est pas réinvesti. Le château subit alors les affres du temps…
En 1817, les descendants des anciens propriétaires rachètent le château, celui-ci redevenant alors un bien privé. Ayant subi de nombreuses dégradations de par son inoccupation prolongée, le château nécessite alors de nombreuses restaurations : charpentes, toitures et planchers doivent être rénovés afin d’assurer la sécurité du lieu. La famille Thy de Milly agrandit peu à peu les fenêtres, rénove le logis seigneurial et entretient les jardins, permettant bien des années plus tard de l’ouvrir au public afin de partager et donner à voir ce monument remarquable du patrimoine.
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lounesdarbois · 2 years ago
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La racaille est un nemesis. Les destructions ont visé pour le moment des marques et des structures qui ont speculé sur la persécution des Blancs depuis 20 ans : - Five Guys (Obama) - Foot Korner (pro-racailles) - Action (produits plastiques ultra-discount sur le modèle americain) - Lidl (regardez la clientèle d'un Lidl) - Chatelêt (sans commentaire) - Macdo - Centres des impôts - Concessions Yamaha (T-Max) - Zoo (symbolique du singe lâché) - Mediathèques (livres débilisants pour enfants lus par grosses dames vengeresses) - Mairies - Écoles (école obligatoire 2023 = gynécée autour d'un octogone de MMA, présence obligatoire) - caméras de surveillance
Voilà. Qui veut bouger pour défendre ces moyens de coercition? Toutefois il faut raison garder. Les récentes algarades nocturnes sont le fait de très parcimonieux dilettantes racailles. Il n'y a là rien qui annonce "la vraie grande pluie qui balaie les trottoirs" (Taxi Driver). Tous ces paresseux se sont excités sur ce qu'ils avaient à portée de main mais ils ne sont pas "allé chercher" hors de leur zone de confort (ce sont des bourgeois) les vrais leviers de vrai pouvoir, et ils n'en n'ont même pas seulement eu l'idée (ce sont des primitifs): - Skyrock - CAF - Sièges de banques agressives style Goldman Sachs, Rotschild - Sièges de partis politiques - Journaux, presse, TV, médias (un seul journaliste de Libé dépouillé de son appareil photo, c'est ça une "jeunesse révoltée en lutte"?) - Les fourrières - Les Influenceurs - Les fauteurs de guerre - Les gens qui ont touché au business de la pornographie. - ambassades étrangères - dépôts de carburant
C'est dire comme ces remueurs de merde estampillés lutteurs pour la justice sont loin du compte. Zéro conscience politique, cent pour cent cerveau reptilien.
Quand à la police lâchée par sa hiérarchie elle a pris grand soin de ne pas abîmer la racaille alors qu'elle mutilait exprès les Gilets Jaunes en visant la tête ("a voté") pendant 2 ans.
Les Gilets Jaunes d'ailleurs, doivent ne surtout pas sortir du bois. Dès lors qu'il y aurait 2 fronts le pouvoir se débrouillerait pour les envoyer l'un sur l'autre. C'est là une des grandes prédictions de Roger Holeindre, Dieu ait son âme: "si on descendait dans la rue le pouvoir armerait les banlieues dans le quart d'heure pour sauver la république", et on peut croire sur parole cet homme dont chaque mot fût payé par des actes dans sa vie, et quels actes!
Il ne faut pas s'affoler pour 3 supermarchés pillés, 2 caméras sciées et quelques infrastructures de parc à bestiaux momentanément endommagées. "Y a tchi" comme on disait à Grenoble. Est-ce cela le chaos? Mais alors l'ordre public est cent fois pire avec sa mort lente unanimement admise, le "bah c'est la vie hein c'est comme ça" de tous les mouligasses qui y sont rois, qui vous imposent leur sale rythme et vous rendent faibles.
L'ordre public, "l'apaisement", pour quoi faire ? Pour que des trans éduquent des racailles dans les écoles ? Pour que des dindes masquées DRH virent des pères de famille de 55 ans? Pour que des prédatrices fanatisées dépouillent par divorces des acharnés réglos bosseurs pacifiques? Tous ceux, police et braves gens qui essaient d'empêcher le nemesis de faire son œuvre, se battront à leurs risques et périls pour la parité, pour le "mois des fiertés", pour les foules sorties du néolithique il y a 2 semaines et qui frappent à la porte, pour le masque et l'asepsie, ils se battront pour ce qui les tue et cela au profit de la syna, des loges, des bourges, et de toute la nomenclature hispano-romagnole "européenne" des Nunez/Hidalgo/Valls/Castaner.
Les masques tombent, y compris ceux des états "alliés" algériens, américains. Lisez leurs récentes circulaires officielles concernant nos malheurs. La manière dont ces fissdep entassés devant le KFC en flammes suent d'impatience de grapiller quelques chicken wings dans la curée promise est le plus merveilleux tombé de masque en plein jour depuis Yalta. Ils n'ont pas compris que l'histoire de France a toujours précédé l'histoire de leurs nations: 1776, 1830, etc. Et l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne... s'il arrive malheur à la France ce qu'à Dieu ne plaise toutes ces nations qui la jugent se mangeront l'onde de choc comme sous Bonaparte. La France, faute d'être aidée et aimée, est la nation "seule contre tous" mais tous ceux de l'intérieur et de l'extérieur qui ricanent de la voir sans défense se trouvent un jour fort dépourvus lorsque confrontés à de surprenants nemesis.
"Je vais dormir tranquille maintenant car je sais que mon pire ennemi veille sur moi"
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