#groupe les républicains
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Aurélien Pradié, ancien vice-président du groupe L.R. à l'Assemblée nationale, a annoncé ce matin en direct d'Europe 1 son intention de voter la motion de censure transpartisane du LIOT. Il dit co-signer avec « une quinzaine » d'autres députés du groupe Les Républicains. Peut-être pas suffisant pour que la motion passe mais leurs électeurs s'en souviendront probablement aux prochaines législatives...
#aurélien pradié#motion de censure#groupe LIOT#groupe les républicains#assemblée nationale#motion de censure transpartisane#greve20mars#grève du 20 mars#ouestmacron#où est macron ?#49-3#47-1
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Y a un message WhatsApp de Marine Tondelier aux chefs de parti qui circule sur Twitter et je sais que l'heure est grave et tout mais ça me tue d'imaginer le groupe WhatsApp avec Mélenchon, Roussel et cie.
LFI qui exclut les gens qui s'opposent à Mélenchon et qui ne maintient pas Quatennens mais qui ne mettra personne en face de lui, vas y je me contiens mais faut brûler Mélenchon après les législatives.
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![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/36bceebbcbfebcdaca543b4ee81d7b91/ef6b0156f83a46c2-7d/s640x960/9b9f566ca035cc7a4015a9ce3354581fe7ce3f16.jpg)
J’arrive un peu après la bataille pour en parler ? Tant mieux, je n’ai pas grand chose à en dire, ni rien à ajouter qui n’ait déjà été hurlé. Pour être honn��te, je ne l’ai pas regardée, la consensuelle et inclusive Cérémonie. Ayant entendu une courte interview du metteur en chaines, j’avais anticipé un certain nombre de tableaux wokisto-tapetto-parisiens et la seule idée d’avoir à subir cette débauche de connasses pailletées et de dondons à testicules et faux-cils était au-dessus de mes forces. En revanche, je n’ai pas pu éviter les résumés, c’est à dire la mise en lumière des scènes de crime. Et je n’ai pas été déçu.
• L’italo-américaine Lady Gaga pour chanter Zizi Jeanmaire avec un accent US à couper au couteau, pourquoi pas ? On a déjà eu Joséphine et ses bananes pour faire swinguer la France d’avant-guerre. Et comme il est vrai qu’on manque de chanteuses en France...
• Les bateaux-moches en promène-couillons des quatre coins du monde, pourquoi pas ?
• Cette pauvre Marie-Antoinette. Sur les lieux même où la torture morale arriva à son paroxysme... Eh bien, la république ne reculant devant aucun sacrifice, c’est à la Conciergerie qu’elle a exhibé le corps étêté et sanguinolent – cela se voulait drôle, parait-il – de la Reine de France. Pire, elle lui fit chanter “ah, ça ira !”, en oubliant que la suite : “les aristocrates à la lanterne” aurait pu faire blêmir Manu et Jean-Bri, le couple passant souvent ses fins de semaine au très versaillais domaine de la Lanterne... qui ne présente, hélas, aucune potence improvisée.
• Aya Nakamura, la gouailleuse des banlieues qui a tant de mal à aligner trois phrases audibles dans la langue de NTM, a secoué son cul de basse fausse face à l’Académie afin d’apprendre la samba à la Garde Républicaine, régiment réputé d’élite qui s’est ainsi couvert d’une honte durable car décarbonée.
• La flamme était portée par le quasi personnage d’Assassin’s Creed – autant dire un partenariat Ubisoft, tandis que l’artisanat français (savoir-faire, excellence et tout le baratin habituel) était incarné par les malles Vuitton, partenaire obligé, incontournable, incontestable, imposé.
• Autres sponsors, très implicites, les sites de cul qui vous vendent à longueur de plateformes de la bisexualité pratiquée en groupe, ce qui en mode restreint s’appelle un “trouple”. Cette élégante appellation – qui n’est pas sans rappeler le son franc et frais d’une flatulence post-sodomite – s’est vue illustrée par une coquine séquence qui, c’est l’évidence, a tout à voir avec l’olympisme.
• Enfin, la Cène façon Michou, rassemblement d’obèses, d’invertis, d’apprentis-satanistes ou supposés tels, ces trois qualités étant cumulables à l’envi, qui offre à la France, fille aînée de l’Église façon François-l’Embrouille, une occasion de souligner son exemplarité morale et la force de son credo chrétien.
Voilà. J’en oublie sûrement, et cela vaut mieux. Aujourd’hui, la France a clairement montré qu’elle avait choisi son camp, qui se caractérise par une concentration inouïe d’hominidés dégénérés aux commandes du pays, servis par un aréopage de tarés, de déviants ou de simples ambitieux dont le principal souci est de bien montrer au reste du monde – celui qui croit en quelque chose de transcendant – que laïcité et vaseline font excellent ménage. L’exception française deviendra-t-elle la source d’un isolement durable ? J’en suis personnellement convaincu. Et c’est très bien ainsi. Quand on porte la peste...
J.-M. M.
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L' « extrême centre » est une notion forgée par Pierre Serna, professeur à l’université Paris-I Panthéon Sorbonne et membre de l’Institut d’histoire de la Révolution française. Elle vise à décrire les gouvernements qui apparaissent après des périodes politiques marquées par des violences ou des instabilités fortes, qui se revendiquent de la modération et souhaitent se débarrasser du clivage gauche-droite. Napoléon Bonaparte dira par exemple en 1799, après le coup d’État du 18 Brumaire : « Ni talon rouge, ni bonnet rouge, je suis national. » D’après Pierre Serna, auteur de L’extrême centre ou le poison français : 1789-2019 (Champ Vallon, 2019), cette politique survient notamment en France en 1793, en 1799, en 1815, en 1851 ou encore en 1958, avec le retour au pouvoir de Charles de Gaulle, qui se présente alors comme au-dessus des partis. Depuis 2017, Emmanuel Macron « coche toutes les cases de l’extrême centre », assure l’historien. Pour Les Jours, Pierre Serna analyse à l’aune de cette notion la naissance du macronisme, son héritage et ses dérives. Entretien.
Qu’est-ce que l’extrême centre ?
C’est un concept historique qui m’est apparu parce que je n’arrivais pas à nommer les événements historiques qui se sont produits entre 1790 et 1815, surtout durant Thermidor, le Directoire et le Consulat. L’extrême centre est la réunion de plusieurs phénomènes. Lors de cette période, l’ensemble de la classe politique s’était beaucoup dédit et avait prêté moult serments à tous les régimes, de 1789 à 1815. Il y avait donc toute une série de personnages qu’on peut appeler « girouettes ». Ensuite, dans les périodes suivant des moments d’intenses violences politiques, ce groupe revendiquait la rhétorique de la modération pour revenir au calme et à une forme de réconciliation, de compromis. À partir de là, ces gens se légitimaient eux-mêmes dans leur changement d’avis, mettant leur positionnement politique au-dessus de leurs principes. Pour justifier cela, il fallait qu’ils se situent dans un échiquier politique déjà clairement défini depuis la Constituante : au centre. Ils vont alors comprendre que la conquête du pouvoir exécutif est ce qui compte le plus. Et bien souvent, leur usage du pouvoir exécutif va être particulièrement dur, particulièrement répressif et sévère, tant du point de vue politique que militaire. C’est donc cette pensée oxymorique qui m’a donné envie de donner un titre à cette mouvance jamais nommée.
Ces personnes qui tiennent le pouvoir ne le lâchent pas, au nom du fait que les autres sont des extrêmes. Mais ce sont eux qui les qualifient d’« extrêmes ». C’est donc un centre qui a une radicalité de par son absence idéologique et par sa capacité à utiliser les forces de répression de l’État qui sont à sa disposition.
[reste de l'article sous le trait parce que c'est long - mais très intéressant ! ]
En quoi Emmanuel Macron en est-il un représentant ?
De 2017 à la dissolution de 2024, Emmanuel Macron, dans sa version la plus « pure », coche toutes les cases de l’extrême centre. D’abord, il est passé de la gauche jusqu’à une politique au moins de centre droit, voire délibérément de droite. Emmanuel Macron est donc une figure de girouette et pousse les autres à le devenir : que ce soit les membres du Parti socialiste ou des Républicains qu’il entraîne avec lui. Il pousse donc à un « girouettisme » de masse qui déstabilise tout l’équilibre politique existant.
Deuxièmement, il se positionne comme quelqu’un qui n’est pas dans la rhétorique de l’extrême ni dans l’idéologie, avec un discours conciliant. Autre exemple, plus récent : alors qu’il a mis un désordre effroyable dans les institutions avec la dissolution, il demande une trêve olympique. Il appelle donc régulièrement à des formes de modération parce qu’il en a besoin pour qualifier ses deux adversaires principaux. Des adversaires qu’il a d’ailleurs contraints à se radicaliser parce qu’il prenait de plus en plus de place au centre.
Troisième élément, enfin : il a fait preuve d’une surutilisation, documentée et dénoncée par des instances internationales, des forces policières, voire des adjuvants militaires, pour maintenir l’ordre lors des moments de contestation et de désapprobation de sa politique. On coche donc les trois éléments structurants de l’extrême centre, dont il est une figure en continuité avec l’histoire de France.
L’extrême centre a donc toujours existé. Emmanuel Macron s’est pourtant présenté comme en rupture avec « l’ancien monde »…
Il est parfaitement dans la continuité d’une politique qui correspond à un des cadres évidents de la politique française née pendant la Révolution. Cela pourrait être irritant pour lui, parce que là où il se veut un homme moderne, il est en fait l’incarnation d’une très vieille recette thermidorienne.
Vous dites qu’Emmanuel Macron contraint ses adversaires à se radicaliser. C’est donc lui qui provoque la radicalité de la gauche et de l’extrême droite ?
Pas exactement. La gauche radicale et l’extrême droite sont évidemment antécédentes à Emmanuel Macron. Dans le même temps, les partis de droite et de gauche républicains étaient eux aussi antécédents et avaient la main sur l’échiquier politique de façon majoritaire. Mais il faut qu’il y ait une crise de ces forces traditionnelles pour qu’un homme se plaçant au-dessus des partis sorte de l’anonymat, s’il en a la force, le charisme et les soutiens financiers. Dès lors, à partir du moment où les forces traditionnelles sont plus faibles et que lui occupe un centre de plus en plus important, les forces radicales, de droite et de gauche, doivent « surexprimer » leurs volontés de passer par une conquête du pouvoir législatif pour exister face à celui qui a le pouvoir exécutif. On assiste donc à une radicalisation de ce discours aux extrêmes de façon mécanique. Ainsi, ces radicalités préexistent à l’extrême centre, mais sont encore plus fortes lorsque celui-ci est présent dans la vie politique française.
Le pouvoir exécutif est donc l’objectif de l’extrême centre, au détriment du législatif. Emmanuel Macron a-t-il donc quitté l’extrême centre en prononçant la dissolution de l’Assemblée nationale qui remet, de facto, le Parlement au centre du jeu politique ?
On se trouve dans une confusion intégrale. Emmanuel Macron est désormais un avatar d’extrême centre parce qu’il n’a plus la possibilité de gouverner comme il le souhaiterait. La décision de dissoudre l’Assemblée nationale un soir d’élection où il y a eu un raz-de-marée de l’extrême droite et où moins d’un Français sur deux a voté est choquante, en ce sens qu’elle crée un choc historique (lire l’épisode 1, « Macron, maboul de cristal »). Soit le Président est prêt à gouverner avec l’extrême droite mais il ne le dit pas, soit il envisage une possibilité d’alliance entre son parti et la droite. Les deux ont échoué. Il n’est donc plus dans une figure d’extrême centre, mais bien dans une situation particulièrement délicate : tant qu’il ne peut pas gouverner comme il le désire, c’est-à-dire imposer par l’exécutif quelque chose au législatif, il ne nomme pas de Premier ministre. C’est pourtant à lui de le nommer et de faire appel à la force politique qui est majoritaire, fût-elle relative à l’Assemblée, pour lui demander de gouverner. Il y a là un abus d’autorité et des moyens institutionnels et constitutionnels que lui confère l’hyperprésidentialité de la Ve République (lire l’épisode 42, « “Nous risquons d’entrer dans une zone de turbulences” »).
L’extrême centre n’est-il pas voué à disparaître avec l’impossibilité qu’a Emmanuel Macron de gouverner ?
L’extrême centre n’est jamais appelé à durer. En politique, à droite ou à gauche, il y a des invariants politiques, des marqueurs idéologiques. Le seul invariant de l’extrême centre, lui, est la crise politique qui l’a fait naître, non l’idéologie. Il y a donc deux moyens de « terminer » l’extrême centre : soit aller vers une droite autoritaire, soit aller vers une recomposition totale du paysage politique. Et là, il faut un événement qui dépasse notre quotidien. Concrètement, soit la France suivra le modèle d’une mondialisation brune, soit il y aura un événement dramatique, comme un conflit extérieur qui pourrait changer la donne politique et sociale, comme on l’a vu après 1918 ou 1944. Je ne nous le souhaite pas, mais je constate qu’avec mes outils d’historien je ne peux pas dire quelque chose d’autre.
Quel pourrait-être l’héritage d’Emmanuel Macron ?
À mon avis, il laissera un héritage très fort. D’abord parce que les périodes d’extrême centre ne sont jamais anodines. Elles sont liées généralement à une personne qui est capable d’incarner une désidéologisation. Il laissera donc un héritage fort qui exigera une recomposition en fonction de ce qu’il a été. Celui-ci me semble peu commenté. Il apparaît clair, quand on lit son programme Révolution (XO, 2016) pour 2017, qu’il veut transformer la France à la manière d’un État américain. C’est-à-dire défaire et déconstruire totalement la puissance de l’État social, sortir complètement de ce qui a été une des particularités fortes de la France : un État keynésien et protecteur, à la pointe des avancées sociales et sociétales, capable d’intégrer des populations immigrées. Je pense que la déconstruction de l’État et des services publics, la volonté de faire de toute une jeunesse des autoentrepreneurs, le jeu d’un libéralisme total et la politique sociétale, qui, malgré une rhétorique de façade, renvoie à un rétrécissement et un resserrement de chacun sur soi à la condition d’une hypersécurité, nous conduisent à cela.
Que penser du refus de nommer à Matignon Lucie Castets, pourtant désignée par le Nouveau Front populaire ?
Le Président abuse de ses prérogatives institutionnelles. Il fut un temps, lors de la crise de mai 1877, quand naissait la IIIe République, où le conflit entre le Parlement et le Président se solda par un renforcement du pouvoir législatif. Dès lors, le Président fut obligé légitimement de se « soumettre ou se démettre » une fois que le suffrage universel avait parlé. Aujourd’hui, Emmanuel Macron refuse cette règle républicaine en refusant de nommer une personne, en l’occurrence Lucie Castets, grande servitrice de l’État et des services publics, dont il redoute par-dessus tout la probité et la cohérence. Il semble que le Président ajoute de la confusion à la confusion en s’enfermant dans une forteresse vide, l’Élysée, au lieu d’accepter démocratiquement sa défaite.
#upthebaguette#article copié en entier car réservé aux abonnés#(je tiens à préciser que je suis pas abonné.e à mille trucs j'ai accès à ces articles via ma fac)#french#en français#emmanuel macron#french side of tumblr#bee tries to talk#france#histoire
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Greg Owen at LGBTQ Nation:
Across France on Sunday, thousands rallied for trans rights in the wake of calls by right-wing senators to ban hormone therapy and puberty blockers for trans youth. A coalition of LGBTQ+ activists, left-wing members of parliament, trade unionists, and young people joined protests in Paris, Lyon, Marseille, and Montpellier, the Ministry of the Interior reported. Over 10,000 demonstrators turned out, with the largest group gathered at Paris’s Place de la République, an 8.4-acre public square popular for protests. “Anti-patriarchy, anti-capitalism, solidarity with trans people all over the world!” protesters chanted in the French capital, according to Le Monde. The Socialist Party and left-leaning La France Insoumise party were among more than 800 groups and individuals calling for demonstrations.
[...] Anti-trans legislation has appeared in the French Parliament in the wake of a report on trans minors commissioned by fringe lawmakers in the right-wing Les Républicains party, the French publications Le Figaro and Le Point reported on March 18. The legislation calls for a ban on gender-affirming hormone therapy and puberty blockers, commonly prescribed to trans youth to combat gender dysphoria. Most major American medical associations consider such care safe, effective, and necessary for the well-being of trans minors.
Senator Jacqueline Eustache-Brinio called gender-affirming care for trans youth a “growing phenomenon in the media and in public life,” while claiming “all��� foreign countries are rejecting the life-saving treatments. Their claim is untrue. “Today, it is done too quickly, young people are steered toward a transition too quickly. Instead, they need to be accompanied regarding their unease and encouraged to seek psychiatric care,” the senator said. The aforementioned report, written by the Observatoire de la Petite Sirène (“Little Mermaid Observatory”), an organization notoriously opposed to gender-affirming care for minors, is replete with alarmist language, calling the practice a “health scandal,” and “social contagion,” while highlighting painful “de-transitions.”
Pro-trans protests erupted all over France on Sunday over a proposed ban on gender-affirming care, in which the proponents of the proposed ban justify its proposal with pushing baseless canards, such as the nonexistent “social contagion” myth.
#France#World News#LGBTQ+#Protests#Anti Trans Extremism#Gender Affirming Healthcare#Social Contagion Myth#Hormone Replacement Therapy#Puberty Blockers#Place de la République#Observatoire de la Petite Sirène
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First official appearance of H.I.M Emperor Napoléon V and Charlotte
By Point Royal
Emperor Napoléon V and his fiancée, Charlotte de Mortemart, enter Paris City Hall © Francesim Presses
H.I.M, accompanied by his fiancée, went to meet the Pope Gregorius XIX, who had come to Paris to celebrate the couple's imminent religious marriage. Once again, they showed just how well matched they are.
Having just returned to the capital for the final preparations for their wedding, the future imperial couple welcomed the Pope to French soil. As godchildren of His Holiness, the Emperor and his fiancée were granted a rare honour: the right to wear white clothes. In fact, in the presence of the Pope, interlocutors and guests are not normally allowed to wear white. Clearly, there is a good relationship between the Pope and his imperial godson.
Emperor Napoléon V shakes hands with His Holiness, Pope Gregorius XIX of the Holy See © Francesim Presses
Emperor Napoléon V spoke French to the Pope, who had a perfect command of the language. By republican tradition, the sovereign did not kiss or bow to the Pope, unlike his fiancée, who did not yet have the title of Empress.
Emperor Napoléon V is concerned about His Holiness, Pope's safe journey to Francesim © Francesim Presses
Charlotte bows before His Holiness, meeting him for the first time © Francesim Presses
The group didn't stay long at Paris City Hall, just thirty minutes or so. The Christians therefore did not have the opportunity to see the Pope. The Emperor ensured that his prestigious guest quickly returned to the Tuileries Palace, no doubt to discuss marriage and politics.
The Emperor's fiancée, Charlotte, in conversation with the Mayor of Paris © Francesim Presses
During their trip, the Mayor of Paris approached His Majesty's fiancée to tell her about the gift made by Francesim's officials: a set of jewellery for the imperial wedding. The future Empress Charlotte asked the Mayor of Paris not to order the set, and to devote the sum allocated to the gift to charity. This generous gesture did not go unnoticed, and the news was widely reported by all the journalists.
Traduction française
Première apparition officielle de l'Empereur Napoléon V et Charlotte
Par Point Royal
L'Empereur Napoléon V et sa fiancée, Charlotte de Mortemart, entrent à la mairie de Paris © Francesim Presses
Sa Majesté Impériale, accompagné de sa fiancée, vont à la rencontre du Pape, venu à Paris afin de célébrer le très proche mariage religieux du couple. L'Empereur et sa promise ont à nouveau démontré à quel point ils sont bien assortis.
Tous juste rentrés à la capitale pour les derniers préparatifs du mariage, le futur couple impérial accueille le Pape sur le sol français. Etant le filleul de Sa Sainteté, l'Empereur et sa fiancée se sont vus accordés un rare honneur : pouvoir porter des vêtements blancs. En effet, en présence du Pape, les interlocuteurs et invités ne sont normalement pas autorisés à porter du blanc. De toute évidence, il existe une relation chaleureuse entre le Pape et son impérial filleul.
L'Empereur Napoléon V serre la main à Sa Sainteté, le Pape Gregorius XIX du Saint-Siège © Francesim Presses
L'Empereur Napoléon V échange en français avec le Pape, qui maîtrise parfaitement cette langue. Par tradition républicaine, le souverain n'embrasse ni ne s'incline devant le Pape, contrairement à sa fiancée qui ne possède pas encore le titre d'impératrice.
L'empereur Napoléon V se préoccupe du bon déroulement du voyage de Sa Sainteté le Pape en Francesim © Francesim Presses
Charlotte s'incline devant Sa Sainteté, elle le rencontre pour la première fois © Francesim Presses
Le groupe n'est pas resté longtemps à la mairie de Paris, une trentaine de minutes. Les chrétiens n'ont donc pas eu l'occasion d'apercevoir le Pape. L'Empereur s'est assuré que son prestigieux invité rejoigne rapidement le palais des Tuileries, certainement afin de discuter mariage et politique.
La fiancée de l'Empereur, Charlotte, discute avec le maire de Paris © Francesim Presses
Durant leur déplacement, le maire de Paris a approché la fiancée de Sa Majesté afin de lui faire part du présent réalisé par les fonctionnaires de Francesim : une parure pour le mariage impérial. La future impératrice Charlotte a demandé au maire de Paris de ne pas commander cette parure, et de dévouer la somme allouée à ce cadeau pour des œuvres de charité. Ce geste généreux n'est pas resté inaperçu, et l'information fut vivement relayé par tous les journalistes ayant assisté en direct au refus de Charlotte.
#simparte#ts4#ts4 royal#royal simblr#sims 4 royal#sim : louis#sims 4 fr#sims 4#sim : charlotte#sim : pope#royal duties#paris#ts4 royals#ts4 royal family#ts4 royal simblr#ts4 royalty#sims 4 royalty#sims 4 royal story#ts4 royal legacy
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French President Emmanuel Macron appointed Veteran politician Michel Barnie as prime minister on Thursday, September 5, after almost two months of deadlock following legislative elections that produced no clear majority in Parliament.
At 73, Barnier is the oldest premier in the history of modern France and has been tasked with forming "a unifying government in the service of the country," the presidency said in a statement. In a striking contrast, the former foreign minister succeeds Gabriel Attal, 35, a man less than half his age and who served only eight months in office.
A right-wing former minister and European commissioner, Barnier was the European Union's negotiator on Brexit. He has been all but invisible in French political life since failing to win his party's nomination to challenge Macron for the presidency in 2022.
France had been without a permanent government since the July 7 polls, in which the left formed the largest faction in a hung parliament with Macron's centrists and the far right comprising the other major groups. Amid the political deadlock Macron, who has less than three years of his term remaining, ran down the clock as the Olympics and Paralympics took place in Paris, to the growing frustration of opponents.
Radical left leader Jean-Luc Mélenchon declared the "election has been stolen," after Barnier's appointment was announced. "It's not the Nouveau Front Populaire, which came out on top in the [legislative] elections, that will have the prime minister and the responsibility of standing before the deputies," reacted the La France Insoumise leader on his YouTube channel on Thursday.
Socialist leader Olivier Faure decried the decision as the beginning of "a regime crisis" in a post on X. "The democratic denial has reached its apogee: a prime minister from the party that came fourth and didn't even take part in the republican front [against the far right]. We're entering a regime crisis."
Macron's centrist faction and the far right make up the two other major groups in the Assemblée Nationale, finishing second and third respectively.
Far right to judge 'on evidence'
Conservative ex-minister Xavier Bertrand and former Socialist prime minister Bernard Cazeneuve had been seen as favorites in recent days. But both figures fell by the wayside with the mathematics of France's new parliament stacked against them. Both risked facing a no-confidence motion that could garner support from both the left bloc and the far right.
Macron appears to be counting on the far-right Rassemblement National of three-time presidential candidate Marine Le Pen not to block the appointment of Barnier. "We will wait to see Mr Barnier's policy speech" to parliament, said Le Pen, the leader in parliament of the RN, the party that holds the most seats in the lower house following July snap polls. RN party leader Jordan Bardella said Barnier would be judged "on evidence" when he addresses parliament.
Greens leader Marine Tondelier countered: "We know in the end who decides. Her name is Marine Le Pen. She is the one to whom Macron has decided to submit."
Record-length caretaker government
Never in the history of the Fifth Republic – which began with constitutional reform in 1958 – had France gone so long without a permanent government, leaving the previous administration led by Prime Minister Gabriel Attal in place as caretakers.
To the fury of the left, Macron refused to accept the nomination of a left-wing premier, arguing such a figure would have no chance of surviving a confidence motion in parliament. France's left-wing New Popular Front alliance had demanded that the president pick their candidate Lucie Castets, a 37-year-old economist and civil servant with a history of left-wing activism.
The new prime minister will face the most delicate of tasks in seeking to agree legislation in a highly polarised Assemblée Nationale at a time of immense challenges. An October 1 deadline is now looming for the new government to file a draft budget law for 2025. With debts piling up to 110% of annual output, France has this year suffered a credit rating cut from Standard and Poor's and been told off by the European Commission for excessive deficits.
Barnier's "task looks tough, but difficulty has never scared him," said former prime minister Edouard Philippe, who earlier this week announced he would seek to succeed Macron in the next presidential election. Speaking to Le Figaro and using rugby parlance, Attal expressed hope his successor could "convert the try" of the policies whose implementation he could not complete during his time in office.
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Entourée de kippas, Knafo triomphe chez « Inoun »
Vive la Vronze !
Knafo a organisé sa bar mitzvah chez « Inoun ».
Cette juive d’Algérie évolue avec confiance et aplomb au sein de son groupe communautaire, remerciant les shabbat goyim déployés par le régime républicain pour assurer la protection de la numéro 2 du Likoud en France.
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Peu importe ce qu’ils font, les réflexes culturels de ces séfarades rejaillissent.
Je le souligne régulièrement, mais la surexposition médiatique dont la femme Knafo bénéficie est si extravagante qu’on doit conclure à une opération décidée par les instances suprêmes du Sanhédrin.
Elle est partout, quand bien même elle est la seule élue de son « parti ».
Depuis début janvier, Knafo en est déjà à deux passages sur les grands médias français et une mise en scène d’une complaisance répugnante par Le Figaro.
Je l’ai aussi dit régulièrement ici, mais Marine Le Pen n’est que tolérée. Son monopole électoral froisse les juifs. Peu importe ses actes de soumission, les juifs y sont indifférents : tant qu’un membre du peuple élu n’est pas aux commandes, ils souffriront d’insomnie.
Au sein de la droite la plus juive, on tente de se donner de la visibilité pour faire de l’ombre au RN et c’est en ces termes qu’il faut voir la présence de l’insignifiant Retailleau au ministère de l’Intérieur.
Ce type est déjà candidat à la candidature, voulant s’imposer contre un autre minable, quoique plus servile encore, Wauquiez.
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Je hais les gaullistes.
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C’est sans oublier la créature sans race de Darmanin dont personne ne sait au juste pour quelle raison il est ministre.
Et donc, par acquis de conscience, les juifs font flotter Knafo et Zemmour par la seule force de leur tyrannie médiatique, pour mordre les chevilles du Rassemblement National pendant toute l’année que durera la campagne électorale de 2026-2027 (elle commence en juin en général).
Le RN dispose de quelques chiens d’attaque pour faire face à ces manoeuvres.
Ciotti pourra occuper le terrain contre quel tocard désigné par LR et Marion Auque pour affronter Knafo sur son terrain.
Hélas, le principal handicap du RN n’est autre que Mariama Le Pen, mais une divine inéligibilité pourrait forcer le parti à désigner Bardella. Bardella n’a pas de réelles convictions, mais c’est un homme et en toutes circonstances un homme est toujours préférable à une femme en politique, surtout une femme comme Mariama. Mais bien entendu, c’est très loin de l’idéal.
Démocratie Participative
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Depuis le 7 juillet dernier la France offre une très jolie séquence de lutte des classes. Dès 20 heures, à l’annonce de la « défaite » du RN à qui les sondages avaient promis 100 députés de plus, les 10 millions de Français qui leur avaient apporté leurs suffrages étaient instantanément vaporisés.
La magouille électorale qui avait vu LFI se précipiter pour réélire le flic Darmanin et la destructrice des retraites Élisabeth Borne avait fonctionné, avec au passage une remise en selle du PS.
Donc, à la niche les prolos qui à tort ou à raison font confiance au RN. Sur les plateaux de télé il n’était question que des futurs arrangements pour tenir les ouvriers et les employés à l’écart.
Par la suite, la petite bourgeoisie des métropoles réclamait son dû à Macron et du haut de ses 27 % prétendait à tous les pouvoirs. Fausses oppositions, accusations de violation de la constitution, insultes, le théâtre et le simulacre reprenaient tous leurs droits. Voilà maintenant qu’il faut « installer » l’Assemblée nationale. Et ça recommence, exit à nouveau les 10 millions d’électeurs, le premier groupe parlementaire avec ses 140 députés, les 34 % du premier parti de France, tout ce petit monde à la trappe. De façon très démocratique LFI, toujours soucieux de ne jamais respecter le moindre principe, veut à nouveau les invisibiliser et rappeler à tous ces horribles prolos représentés par le RN, qu’ils n’ont pas voix au chapitre.
« Arc républicain oblige », les députés qu’ils ont élus doivent s’asseoir dans l’hémicycle et fermer leur gueule. Foin des principes chez LFI, mais il est quand même savoureux de les entendre hurler au putsch anticonstitutionnel de Macron pour ne pas leur donner Matignon, en même temps que leur exigence de d’éviction des parlementaires RN. Piétinant allègrement l’article 10 du règlement de l’Assemblée nationale : « l’élection des vice-présidents, des questeurs et des secrétaires a lieu en s’efforçant de reproduire au sein du bureau la configuration politique de l’assemblée. » Pour les amis de Mélenchon, il faut violer les règles républicaines, sinon c’est nazisme, retraite aux flambeaux et construction de chambres à gaz.
Mais, il y a un problème.
Pour sauver Macron, LFI s’est prostituée et réclame à grands cris depuis, l’accès aux salons de la république pour le prix de sa passe. Mais ses petits copains de NFP complices de l’arnaque électorale, ne l’entendent pas de cette oreille. Ils ont parfaitement compris qu’il fallait mener le sauvetage de Macron, jusqu’au bout et font tout pour reconstituer le bloc central avec les macronistes. La proposition de Laurence Tubiana au poste de premier ministre, en est une illustration caricaturale. Voilà quelqu’un qui est financée par les officines américaines (dont Soros et Blackrock !) et a participé à toutes les magouilles antidémocratiques de Macron. Le psychopathe de l’Élysée ne serait guère contrarié.
Alors à l’Assemblée, les macronistes veulent profiter de l’occasion et de la perche tendue par les mélenchonistes avec leur proposition. En s’asseyant tout autant sur les règles républicaines, ils veulent exclure symétriquement le groupe LFI des postes institutionnels. Glapissements et cris d’orfraie chez les copains de Mélenchon.
« Invisibiliser les ouvriers et les employés, c’est normal, c’est même nous qui l’avons proposé, mais faire de même avec les petits-bourgeois des métropoles, c’est carrément un crime contre l’humanité ! »
Karl Marx, qu’on ne connaît pas chez LFI, disait : « l’'histoire ne fait rien à moitié et elle traverse beaucoup de phases quand elle veut conduire à sa dernière demeure une vieille forme sociale. La dernière phase d'une forme historique, c'est la comédie. » Ne serait-ce pas plutôt un cirque camarade ?
Source X regis de castelnau)
Comme prévu, on assiste à l'implosion du NFP, pour construire l'extrême centre, allant des LR à EELV, incluant le PS voire le PC autour de Ensemble. Reléguant le RN et LFI au statut de partis radicaux et "indignes de la République". Qui disait que Macron avait loupé sa manœuvre ?
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20241110 GA: A Political Balancing Act With a Side of Steak Frites
Similar to the 80% of Renaissance sympathisers, I love Gabriel Attal. He is quite handsome, charming, hard-working and capable. The sad truth is, that efforts will not always proportionally materialise into fruits and even I've got to admit, that our loved ambitious leader of the EPR parliamentary group, is finding himself in a bit of a pickle. Imagine juggling hot potatoes while riding a unicycle on a tightrope – that’s basically his life right now!
Macronists: Gloom and Doom, Pass the Wine!
“Gigantic spleen” is an understatement! Our poor Macronist MPs are wandering the halls of the Assemblée Nationale like lost souls. The once-mighty party is now forced to share its power with Les Républicains (LR). It is safe to say not everyone is so satisfied...
Empty chairs, empty hearts? Attendance at group meetings is dwindling, and even a fancy dinner with Bruno Retailleau, the new Minister of the Interior, can't seem to lift their spirits. Honestly, you'd think they lost their favourite baguette recipe with all the long faces.
Speaking of Retailleau… He's trying to win them over, even admitting that he can be "a little bit caricatured" at times. But some Macronists are sceptical. Can you really trust a former rival who’s been giving you heartburn for years?.
Coalition Cuisine: Mixing Oil and Water?
Desperate times call for desperate measures! To bridge the gap between the Macronists and LR, everyone suddenly become best friends over fancy dinners and power lunches. Risotto and dorade, anyone?.
It's all smiles and "cohérent" talk , but behind the scenes, it's clear that these two groups are about as compatible as snails and peanut butter. . They're constantly bickering over policy, with LR pushing their agenda, leaving the Macronists feeling like they've sold their souls.
Meanwhile, Back at the Ranch (Err, School):
His reserved domain Anti-bullying is Gabriel Attal's signature promise. He mentioned it as his main goal at his inauguration as the Minister of National Education. He just launched the anti-bullying organisation Faire Face.
But now, this Lindsley case, however small it is, might risk tainting his records. In May 2023, 13-year-old Lindsay took her own life after suffering from severe bullying. Attal met with Lindsay's mother, Betty Gervois, offering support and making personal promises, such as expediting the accreditation process for her anti-bullying association, “Les ailes de Lindsay.” Now, She’s accusing him of empty promises and political opportunism. Apparently, after a brief moment in the spotlight, he's gone completely silent on the issue of school bullying, she claimed.
While this is not the case, as we all know, this isn't a good look for Attal. Not only is he facing internal rebellion, but now he's also being called out for insensitivity and a lack of follow-through..
Can Gabriel Pull a Rabbit Out of His Beret?
Attal's got a tough road ahead. He needs to revive the spirits of his disheartened Macronists, find a way to work with the LR folks (good luck with that!), and regain the public’s trust after the Lindsay debacle.
With the 2027 presidential elections on the horizon, the pressure is on. Can he do it? Only time (and maybe a really good bottle of wine) will tell. And this bulletin shall eagerly hope so.
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French conversation starters…
if you like your coffee with lots of cream and sugar in it
est-ce que vous pouvez rajouter du lait s’il vous plaît ?
c’est possible de mettre plus de sucre ?
vous faites autre chose que des expressos ?
un café crème, merci
→ bonus point : your friend wants to make you coffee!
moi j’aime bien quand y a beaucoup de lait et de sucre
rajoute un peu de lait…
tu peux me passer du sucre s’il te plait
if you’re afraid of making mistakes in french
je parle pas super bien français (i don't speak French that well)
corrige-moi si je me trompe, mais… (correct me if i’m wrong, but)
je vais sûrement dire une connerie, mais… (i’ll probably say something dumb, but)
j’ai commencé le français y a pas longtemps (i started learning French not long ago)
… putain mais c’est dur aussi comme langue! (it is a hard language, for fuck’s sake!)
(note de la rédaction : never apologise for making mistakes, but if you really made a huge mistake, like if you misgendered bread, you can just say “désolé.e”)
if you want to impress your friends and order in french at the restaurant
alors du coup, euh, (-> gap fillers are important too) moi j’vais prendre (insert name of food on menu), avec juste de l’eau en carafe (tap water)
c’est quoi le plat du jour? (what’s the meal of the day?)
mon ami.e va prendre des tagliatelle (my friend is taking the tagliatelle, pronounce /ta-KLI-a-t-è-l/, sorry Italians)
le pain, il est gratuit? (is the bread free?)
le poisson, il est d’aujourd’hui? (is it the catch of the day?)
et vous le faites en végan? (do you have a vegan version?)
on peut r’avoir de l’eau ? (more water please)
le café gourmand, y a quoi avec? (what sort of mignardises/pastries/sweetmeats do you put with the expresso?)
ah bon… on va prendre le moelleux alors je pense… ah vous faites juste un fondant, bah va pour fondant alors… (so, uhm, I think we’re gonna take the spongy chocolate cake, ah you only do a chocolate fondant, well, we’ll go with the chocolate fondant then…)
on peut avoir l'addition ? (could we have the bill?)
(note de la rédaction : always say s’il vous plaît, it doesn’t hurt a fly to say it, so say it! even if the waitress/waiter doesn't seem very nice, they have to deal with French people on a daily basis, show some kindness…)
if you go to thrift shops
c’est quoi la taille ? (what’s the size?)
elles sont à combien les lunettes/bagues ? (how much for the glasses/rings)
ils sont à combien les bérets/bonnets/bijoux/foulards/pin’s ? (how much for the berets/beanies/jewelry/scarf/pin’s)
vous la/le faites à combien ? (how much for this?)
vous auriez des salopettes ? et des pattes d’eph ? et des dos nu ? (do you have dungarees? flared trousers? halterneck?)
regarde ce que j’ai chopé en fripe l’autre jour! (look what i got at the thrift shop the other day!)
if you like to talk about politics
t’as vu les infos ? (did you check the news?)
putain t’as vu ce qu’il a dit (insert name of Minister, President, MP, political figure) ? (did you see what they said?)
ce projet de loi c’est n’importe quoi de toute façon (this bill is nonsense anyway)
c’est qui les candidats aux :
Européennes (for the European Parliament)
Municipales (Local)
Régionales (Local too)
Sénatoriales (Parliament, but with the old white men)
Législatives (Parliament, but with the younger white men)
Présidentielles (also white men)
c’est quand la prochaine manif ? (when’s the next protest?)
c’est des polémiques à la con (these are bloody stupid controversies)
moi, je suis d’accord/pas d’accord avec :
les verts (green MPs, called EELV)
les insoumis (“the unsubmitted” from “La France Insoumise”, they’re a left/far-left leaning group, and the biggest left-wing group at the Parliament atm, called LFI)
les macronistes (Macron’s group, right-wing liberals)
les républicains (traditionally, they're the right-wing group, called LR)
les communistes (pretty transparent, they're call PCF)
les socialistes (same here, called PS)
le RN ("Rassemblement National", the far-right group, heirs of the French version of the Nazis and Vichy France)
les macronistes et républicains sont d’accord sur (insert typical right-wing policies)
les députés RN sont des fachos, t’es pas d’accord ? (the National Rally MPs are fascists, don’t you agree?)
j’ai écouté (insert name) à la télé/radio/sur twitch/au meeting, c’était pas bête quand elle/il a dit que…
if you want to chat in French with your cat
t'as déjà mangé tes croquettes toi ? (did you eat your kibble already?)
t'es trop mignon comme potichat (internet slang for "petit chat") toi ! (you're too cute a kitty)
il est où ce sale chat ?! (where's the bloody cat?!)
descends de là Félix/Biglouche/Garfield/Caramel/Noireau/Tigrou/Gribouille/Minette/Blanchette/Mistigri/Minou/add other typical French names for cats ! (get down from here!)
miaou (meow)
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/c2d9d21ed76fcd45c8be7fae535e977b/cc5e4b91509e05b7-9e/s540x810/9bf0cec7711134a6ddd965bc19bcb2fcb7055145.jpg)
à la prochaine!
#french#langblr#language learning#french vocab#slang#colloquialism#french politics#french restaurants#coffee#cat#thrift shop#french fashion
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Voilà les daubes qui vont prendre place après la disparition des merdes que sont C8 et NRJ12... Réel TV une chaîne soutenue par un milliardaire tchèque dont l'agenda n'est pas très clair et dont l'ambition est de faire du débat tout en pratiquant la concentration dans les médias. Gageons que cela va surtout se concrétiser par une propagande parée des atours de la pensée et de la démocratie inspirée par le printemps républicain et toute la clique de faussaires qui y collaborent, Barbier, Enthoven , Fourrest, Gisbert alias demi couille molle et bien d'autres merdeux clairement positionnés sur l'islamophobie, le sionisme, le libéralisme économique, l'instrumentation des services publics à des fins privées, l'antiracisme à géométrie variable et le néo colonialisme. Ça promet....
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Ouverture des JO Paris 2024
J’aimerais revenir sur la cérémonie d’ouverture des JO Paris 2024 annoncée comme un évènement stupéfiant. Au final, j’ai été déçue par certaines prestations, et j’ai trouvé qu’il y avait trop de longueurs voire même des passages ennuyeux.
Les points noirs :
Djadja avec la garde républicaine, j’ai trouvé cela un peu exagéré. J’aurais préféré que la garde républicaine accompagne Céline Dion pour le grand final. Je pense que c’était plus que mérité qu’elle soit aux côtés de cette grande artiste.
Philippe Catherine, sérieux qu’est ce qu’il foutait là ? Aussi ridicule qu’Arielle Dombasle.
Par contre pour moi le meilleur spectacle fut le groupe de métal interprétant le chant révolutionnaire aux côté de la chanteuse lyrique Marina Viotti, enflammant la Conciergerie (là où fut emprisonnée Marie Antoinette). Cette simulation du sang sur les façades était époustouflante. J’ai adoré.
Ces dix statues dorées rendant hommage aux femmes qui ont investi leur vie pour une cause et marqué l’histoire, c’était très émouvant. Je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas eu Marie Curie qui a révolutionné le monde médical. Dans cette société, on ne laisse pas assez de places aux femmes qui ont fait avancer l’histoire.
Le final, notre merveilleuse Céline Dion, après quatre ans d’absence qui nous a offert une prestation à couper le souffle. Le monde entier s’est arrêté ce soir là, vibrant et pleurant à l’entente de cette voix magnifique, qu’elle a retrouvée. Même si par moment elle semblait fatiguée ou obligée de forcer, elle était extraordinaire.
C'est une fierté que cette cérémonie ait rendu hommage à toutes les catégories sociales et culturelles. La France se veut le pays de la
Pour le plaisir des yeux
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Emmanuel Macron saying since it's young people on the streets it's the parent's role to keep them at home. Dupont-Moretti, our minister of Justice saying he wants a "swift, firm and systematic" response to urban violence, even for minors, and their parents. Like the parents are not the problem... they're just trying to make it sound like kids in the banlieue are acting out just because they see an opportunity to break some things.
Eric Ciotti (Les Républicains, from the historical mainstream right that lost so many voters to Macron or Lepen it's basically become irrelevant) saying France is on the brink of civil war and calling for "a merciless fight against violence", as if systematic police violence wasn't what caused this in the first place.
The police unions (UNSA & Alliance) calling for the fight against the "savage hordes" and the "vermin" (that's "horde sauvage" and "nuisibles" in French).
Marine Lepen trying SO hard to find the right balance between her "our party is mainstream now and you can vote for us i swear everything will be fine when the Front national is in power" policy and giving her voters what they want by letting her minions say all the hateful stuff for her.
And Zemmour is of the same opinion as Ciotti, it's a war, except of course he's always just a bit more evil so it's a racial war and the root cause is all these foreigners we're letting in you see.
And of course basically everyone saying it's the left's fault (Mélenchon, etc.) because they're the only ones who have the guts to say our violent policing doesn't work, and is killing people, and our police is infected by racists and fascists. which we knew in 2005 when two kids died in Seine-Saint-Denis, and which we knew in 2020 when a journalist published a book on all he saw and heard as he worked as a policeman to see how it is from the inside, and when a black police officer got access to a secret whatsapp group where his colleagues insulted him and black and arab people, and and and...
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par curiosité quels sont les membres du PCF et de la nupes que tu trouves intéressants ? Parce que je suis très souvent en accord avec tes idées et prises de position, alors ça m’intéresse de savoir…
Euuuh...
Sébastien Jumel, voilà :
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/6f499447eaab831135fa5ec26ea591b3/75f3b2e956aab272-89/s250x250_c1/99ed3311cc7c8dc28b4eaf75b38bd522f783f143.jpg)
Il a des cheveux rigolos et il est député des Alpes-Maritimes. Accessoirement, j'aime assez ses prises de position à l'Assemblée, son engagement auprès de ses constituants à l'époque des cahiers de doléances et son soutien aux Gilets-Jaunes.
Fabien Gay, aussi :
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/55f5f44726da7a2c9c74a7cce76aa3c9/75f3b2e956aab272-c2/s500x750/81a7479d117e1374dfc9e85be935c027d8b2de30.jpg)
Non mais regarde-moi cette bouille ! Sénateur (on sait : la cantine à Gégé est trop bonne.) de Seine-Saint-Denis et directeur de l'Huma. J'aime beaucoup les propositions qu'il a faites et qu'il signe, sur la laïcité, la pénurie de médicaments, la transparence sur le salaire et la retraite des sénateurs, le développement du rail, la lutte contre les violences pornographiques... Je conseille à tout le monde de consulter l'activité parlementaire des députés et sénateurs, d'ailleurs, c'est toujours intéressant de voir de quoi l'on discute au Parlement.
Au sujet de la guerre israélienne actuelle, je note que le groupe parlementaire Gauche Démocrate et Républicaine dont fait partie le P.C.F. s'est illustré par un communiqué honnête et sans ambiguïté en soutien aux civils quels qu'ils soient.
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/167cc1fe814c9dcc85c763b682177fae/75f3b2e956aab272-29/s250x250_c1/e8f0ba515996e29992998018843fb378059f39d9.jpg)
Hubert Wulfranc parce que 1) la moustache, 2) prof d'Histoire-géo, 3) excellentes interventions lors de la réforme des retraites.
Je suis tentée de rajouter Elsa Faucillon qui a notamment bossé sur la question kurde mais elle copine avec Clémentine Autain qui me fait l'effet irrésistible d'un broccoli humain.
Sinon, à part les cocos... Bon, je honnis déjà l'intégralité des Verts, étant pro-nucléaire et pro-chasse (hinhinhin.) mais j'aime beaucoup, beaucoup un membre historique du P.S. qu'est le délicieux, le charmant, l'adorable Gérard Filoche :
![Tumblr media](https://64.media.tumblr.com/ff4a12eaf23ee36b54b9d51c8b402b4b/75f3b2e956aab272-ef/s540x810/5ba9b1d96d13430fdfcca6e3f3f4a9fd4d84a156.jpg)
Filoche, ce n'est pas un élu mais un militant, et du genre vénère. C'est vrai qu'il s'accroche à son étiquette socialiste comme une bernique à son rocher, mais ça fait un certain plaisir de le savoir exister en marge du P.S. en improbable statue du Commandeur. Ancien inspecteur du Travail, il s'est illustré par son opposition farouche autant que pédagogique à la loi El-Khomri dite loi Travail, puis à la réforme des retraites. C'est un ancien du P.C., faut dire.
#j'ai réussi à en citer cinq quand même dont un socialo#allez la prochaine fois j'inclus généreusement piketty#gallomancy#raiponces#anonymoustachus
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"Que peut-il y avoir de plus dévastateur pour une mère, pour un père, que la perte d’un enfant ? Tant d’espoirs partis en fumée, tant de rêves transformés en cauchemars, tant de projets engloutis. Nul ne peut vraiment mesurer cette tragédie s’il ne l’a pas vécue. Et chaque parent tremble à l’idée de recevoir un appel téléphonique l’informant d’un tel drame. Cette calamité peut résulter d’une maladie, on ne peut blâmer alors que le « destin » ; d’un accident, on peut accuser le chauffard, s’il est responsable ; d’un acte « terroriste », qui frappe ici une école, ailleurs un supermarché, là un simple passant. Qui blâmer alors ? Le terroriste, naturellement, qui d’autre ?
Et pourtant… Nous sommes le 4 septembre 1997, rue Ben-Yéhouda, en plein centre de Jérusalem. Trois kamikazes du Hamas se font exploser, tuant cinq personnes, dont une jeune fille de 14 ans prénommée Smadar, sortie de chez elle pour acheter un livre. Elle porte un nom prestigieux en Israël. Son grand-père, le général Mattityahou Peler, a été l’un des artisans de la victoire de juin 1967, avant de devenir une « colombe » et l’un des protagonistes de ce que l’on a appelé les « conversations de Paris », premières rencontres secrètes entre des responsables de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) et des Israéliens « sionistes ». En cette année 1997, M. Benyamin Netanyahou était déjà premier ministre et avait promis de détruire l’accord d’Oslo signé en 1993, ce qu’il réussira à faire. Il connaît aussi la mère de Smadar, Nourit, une camarade d’école et une amie de jeunesse. Quand il l’appelle pour lui présenter ses condoléances, elle lui rétorque : « Bibi qu’as-tu fait ? », le tenant pour responsable de la mort de sa fille (1).
« Pour moi, il n’y a pas de différence entre le terroriste qui a tué ma fille et le soldat israélien qui, en plein bouclage des territoires, n’a pas laissé une Palestinienne enceinte franchir un barrage pour se rendre à l’hôpital, si bien qu’elle a finalement perdu son enfant. Je suis persuadée que si les Palestiniens nous avaient traités comme “nous” les traitons, “nous” aurions semé chez eux une terreur cent fois pire. » Dans son texte, Nourit termine en qualifiant M. Netanyahou d’« homme du passé » ; elle s’est malheureusement trompée puisqu’il demeure le visage de la politique israélienne. Malgré les critiques qui le visaient depuis des mois en raison de son projet de réforme de la justice, la grande majorité de la société s’est regroupée derrière lui pour justifier la politique criminelle — selon le droit international — qu’il mène à Gaza (lire « Fragile union sacrée en Israël »). Dans les décombres fumants de cette enclave grandit la prochaine génération de combattants palestiniens, plus déterminée que la précédente, le cœur rempli de rage et d’une inextinguible haine.
L’action des commandos-suicides des années 1990 et 2000 comme l’assaut du 7 octobre du Hamas allié aux autres organisations palestiniennes sont constitutifs d’un crime de guerre, comme le sont le blocus et les bombardements de Gaza. Ils posent une nouvelle fois la question du terrorisme et de sa définition. C’est un exercice laborieux tant les groupes rassemblés sous la rubrique « terrorisme » sont hétérogènes (2). Peut-on ranger sous le même label la milice américaine d’extrême droite qui a commis l’attentat d’Oklahoma City, le 19 avril 1995, Al-Qaida, l’Armée républicaine irlandaise (IRA) ou encore le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) ? Cette incrimination implique de considérer ces mouvements comme l’incarnation du Mal absolu, avec qui tout compromis est impossible et contre laquelle la seule stratégie serait l’éradication pour assurer la victoire du Bien. Pourtant, l’histoire a souvent prouvé, que ce soit en Irlande ou en Algérie, que les « terroristes d’hier » sont les dirigeants de demain.
Quand des journalistes somment quiconque intervient sur Gaza de dénoncer le Hamas comme « organisation terroriste » (lire Clara Menais, « En direct des chaînes d’information en continu »), ils oublient que cette désignation, entérinée principalement par l’Union européenne et les États-Unis, n’est adoptée ni par les Nations unies, ni par de nombreux États qui maintiennent des canaux de communication avec cette organisation. Même Israël a, pendant des années, entretenu des contacts avec elle et autorisé le Qatar à convoyer des centaines de millions de dollars vers Gaza en espérant ainsi « acheter » le mouvement. Peut-on croire qu’une formation qui a recueilli environ 44 % des suffrages parmi les Palestiniens lors des élections législatives de 2006 peut être purement et simplement éradiquée ?
L’inscription du Hamas sur la liste des organisations terroristes par l’Union européenne au début des années 2000 à la suite de la seconde Intifada avait suscité bien des débats. La France, convaincue qu’il valait mieux pouvoir échanger avec le mouvement islamiste, souhaitait le dissocier des Brigades Izz Al-Din Al-Qassam, qui figuraient déjà sur la liste, comme les Brigades des martyrs d’Al-Aqsa avaient été distinguées du Fatah, la principale branche de l’OLP. Paris a finalement cédé à la pression de ses partenaires mais rejette toujours l’inscription du Hezbollah sur cette liste, le mouvement étant un parti politique présent au Parlement libanais et un acteur majeur de la politique intérieure du pays du Cèdre (3).
Le cas du PKK condense les contradictions des politiques occidentales. Il figure sur les listes des organisations terroristes établies par l’Europe et les États-Unis, et il est ainsi possible d’être inculpé d’apologie du terrorisme si on le soutient verbalement. Pourtant, en 2014-2015, les Occidentaux lui ont transféré des armes pour arrêter l’offensive de l’Organisation de l’État islamique (OEI) en Irak et défendre la ville syrienne de Kobané avec un héroïsme qui fut largement salué à travers le monde (4).
On peut tomber d’accord sur le fait qu’il existe des « actes terroristes », ceux qui visent ou qui touchent principalement des civils. Cette méthode de lutte a été utilisée par nombre de mouvements de libération, à une échelle plus ou moins grande selon les circonstances. Avant de s’en indigner, il faut rappeler qu’ils affrontaient des armées modernes, dotées d’avions, de chars, de missiles, dans un combat totalement inégal. Et que la terreur quotidienne, invisible pour les colonisateurs, parfois exterminatrice, frappait depuis des décennies les populations sous occupation, créant colère, frustration et rage.
« Il est facile de ne pas remarquer la terreur, notait l’écrivain Manès Sperber. Elle se cache sous l’indifférence de ceux qui ne sont pas concernés, c’est-à-dire l’écrasante majorité (5). » Il parlait de la terreur fasciste dans l’Europe des années 1930, mais la terreur coloniale restait encore plus invisible pour l’écrasante majorité des populations des pays colonisateurs, qui s’étonnaient de la « barbarie » en retour des colonisés.
La lutte sud-africaine ne se réduit pas à un « pacifisme » bien intentionné
Le terrorisme n’a pas occupé la même place dans tous les mouvements de libération et certains ont réussi à en limiter l’usage. Le cas sud-africain est exemplaire, même si sa lutte ne se réduit pas, comme beaucoup le croient en Occident, à un « pacifisme » bien intentionné. Le Congrès national africain (ANC) a aussi utilisé la violence et, de manière ponctuelle, le terrorisme. Les conditions de sa lutte ont facilité un choix de modération. L’ANC disposait d’alliés solides à l’échelle internationale, engagés concrètement avec lui dans son combat. Il pouvait compter sur le soutien de l’URSS et de ses pays affiliés, d’un mouvement des non-alignés déterminé et du puissant mouvement de boycott en Occident — que personne ne songeait à criminaliser et qui ébranla l’apartheid et les soutiens du capitalisme sud-africain. Enfin, l’intervention militaire cubaine en Angola, et notamment la bataille de Cuito Cuanavale en janvier 1988, quand l’armée de Fidel Castro porta un coup fatal à la machine de guerre de Pretoria, constitua, selon Nelson Mandela, « un tournant dans la libération de notre continent et de mon peuple (6) ». Dans ce contexte, il était possible d’éviter le recours au terrorisme. Au contraire, aujourd’hui, ce sont les Palestiniens qui sont abandonnés à leur sort, y compris par plusieurs gouvernements arabes (lire Hasni Abidi et Angélique Mounier-Kuhn, « Riyad - Tel-Aviv, coup de frein à la normalisation »), et c’est Israël qui dispose du soutien inconditionnel des Occidentaux. La position de ces derniers ne sera même pas affectée par l’arrivée au pouvoir à Tel-Aviv de ministres fascistes, « suprémacistes juifs » (7).
Pour comprendre les dilemmes propres à l’OLP et à ses composantes, il faut revenir sur la lutte palestinienne qui a suivi l’occupation de 1967. Après une période d’euphorie marquée par l’extension de l’action des fedayin (combattants) palestiniens, ceux-ci furent expulsés de Jordanie en 1970-1971 (8), tandis que s’affermissait le contrôle israélien sur les territoires occupés. C’est alors l’existence même de la lutte palestinienne qui était en danger et avec elle tout espoir de libération. On assista ainsi à une multiplication d’actions violentes transnationales, avec la création de l’organisation Septembre noir, qui s’illustra dans la prise d’otages d’une partie de la délégation israélienne aux Jeux olympiques de Munich de 1972. Comme l’expliquera Abou Iyad, ancien numéro deux de l’OLP, « l’organisation a agi en auxiliaire de la résistance, à un moment où cette dernière n’était pas en mesure d’assumer pleinement ses tâches militaires et politiques. (…) Ses membres traduisaient bien les profonds sentiments de frustration et d’indignation qui animaient tout le peuple palestinien face aux tueries de Jordanie et aux complicités qui les ont rendues possibles (9) ». Parallèlement, le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), dirigé par le Palestinien chrétien Georges Habache, multipliait les détournements d’avion et organisa, avec l’Armée rouge japonaise, l’attaque contre l’aéroport de Lod (Tel-Aviv) le 30 mai 1972.
Qu’est-ce qui amena l’OLP à arrêter ses « opérations extérieures » ? D’abord une reconnaissance croissante des pays non alignés et des pays socialistes, ce qui lui permit d’accéder à une légitimité internationale et se traduisit par l’invitation de Yasser Arafat à l’Organisation des Nations unies (ONU) en 1974. Elle commença à être associée au jeu diplomatique et ouvrit ses premières représentations officielles en Europe, notamment à Paris en 1974. La France, qui condamnait évidemment le terrorisme, joua un rôle majeur pour persuader ses partenaires que la clé de la solution du conflit était la fin de l’occupation israélienne et qu’elle passait par la reconnaissance du droit des Palestiniens à l’autodétermination ainsi que par la négociation avec l’OLP (déclaration européenne de Venise de 1980). À l’époque, le premier ministre israélien Menahem Begin accusa les Européens de vouloir le forcer à négocier avec le Fatah, dont « les textes résonnent comme le Mein Kampf de Hitler ». Un parallèle que reprend M. Netanyahou pour stigmatiser le Hamas. Cette avancée européenne ouvrit une fenêtre diplomatique et amorça un processus politique. Un court moment, les Palestiniens purent espérer concrétiser leur rêve d’un État, et ils parièrent sur la paix.
Des combattants criant « Ceci c’est pour mon fils ! »
Il n’est pas question ici de refaire l’histoire de l’échec du processus d’Oslo, mais il est incontestable qu’il joua un rôle dans la victoire électorale de 2006 du Hamas. Ce qui va, pendant des décennies, continuer à nourrir la violence, c’est la situation concrète des Palestiniens, l’extension de la colonisation, la répression de toute activité politique, l’emprisonnement de masse et la violation systématique du droit international. En Cisjordanie, où l’activité du Hamas est réduite, l’action israélienne est-elle plus « modérée » ?
Israël applique cette maxime d’un expert allemand de la fin du XIXe siècle : « Le droit international ne devient plus que des phrases si l’on veut également en appliquer ses principes aux peuples barbares. Pour punir une tribu nègre, il faut brûler ses villages, on n’accomplira rien sans faire d’exemples de la sorte (10). » Cette terreur, souvent invisible pour les Occidentaux, qui ne s’émeuvent que quand meurent des Israéliens, est le sort quotidien des Palestiniens. Elle est marquée dans leur chair. Des vidéos circulant après le 7 octobre ont montré des combattants criant « Ceci c’est pour mon fils ! [que vous avez tué] », « Ceci c’est pour mon père ! [que vous avez tué] » (11).
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Alain Gresh - Directeur du journal en ligne Orient XXI, coauteur (avec Hélène Aldeguer) d’Un chant d’amour. Israël-Palestine, une histoire française, Libertalia, Montreuil, 2023 (nouvelle édition mise à jour).
(1) Lire Nourit Peled-Elhanan, « Bibi qu’as-tu fait ? », Le Monde diplomatique, octobre 1997.
(2) Lire l’éditorial de Dominique Vidal dans Manière de voir, n° 140, « Vous avez dit terrorisme ? », avril-mai 2015.
(3) Nathalie Janne d’Othée, « Liste des organisations terroristes. Quand l’Union européenne s’emmêle », Orient XXI, 10 janvier 2022.
(4) Lire Dora Serwud, « Les héros de Kobané », dans Manière de voir, n° 169, « 1920-2020, le combat kurde », février-mars 2020.
(5) Manès Sperber, Et le buisson devint cendre, Odile Jacob, Paris, 1990.
(6) Lire « L’Évangile selon Mandela », Le Monde diplomatique, juillet 2010.
(7) Lire Charles Enderlin, « Israël, le coup d’État identitaire », Le Monde diplomatique, février 2023.
(8) Lire « Mémoire d’un septembre noir », Le Monde diplomatique, septembre 2020.
(9) Abou Iyad, Palestinien sans patrie (entretiens avec Éric Rouleau), Fayolle, Paris, 1978.
(10) Sven Lindqvist, Exterminez toutes ces brutes !, Le Serpent à plumes, Paris, 1999.
(11) Ramzy Baroud, « A day to remember : How “Al-Quds Flood” altered the relationship between Palestine and Israel forever », The Palestine Chronicle, 10 octobre 2023.
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