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Black Jack is now hunting me for sport for putting him in a onsie but it was worth it.
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Être Avec Toi - Kate Bishop
Marvel Masterlist
Résumé : Après avoir fait un cauchemar dans lequel tu mourais, Kate a peur que tu ne sois pas en sécurité avec elle, mais elle ne sait pas comment t'en parler.
Warnings : mort de personnage en rêve, mention de la mort de Natasha, anxiété, angst, hurt/comfort, fin heureuse, dites-moi si j'en ai oubliés d'autres.
Nombre de mots : 2.7k
Version anglaise
Channson qui m'a inspiré : Talk Too Much par Reneé Rapp
La peur se lisant sur son visage, Kate a les yeux grands ouverts posés sur toi. Son arc armée d’une flèche, elle ne sait pas si elle doit tirer ou trouver une autre solution pour te sauver. Au bord du toit d’un immeuble, Wilson Fisk a son bras autour de ton cou alors que son autre main tient un pistolet contre ta tempe. Ton corps tremble et tes yeux sont remplis de larmes alors que tu regardes Kate, complètement apeurée.
-Tu devrais m’écouter, Kate, et me donner ce que je veux ou tu peux dire adieu à ta copine, menace Fisk d’une voix dure. Si tu l’aimais vraiment, tu l’aurais déjà sauvée.
-Je ne vais rien vous donner.
-Tu en es sûre ? dit-il avant de te tirer dans la jambe pour prouver à Kate qu’il est sérieux.
-Lâchez-la ! s’écrie Kate suite à ton cri de douleur.
-Tu sais ce que tu as à faire pour que je la laisse en vie.
-Je vais vous le donner, laissez-la partir.
-Kate, non ! cries-tu alors que Fisk resserre son emprise autour de ton cou.
À contrecoeur, Kate détend son arc avant de le poser délicatement au sol tout en te regardant comme pour essayer de te rassurer. Kate enlève le sac à dos qu’elle porte et le balance vers Fisk. Un sourire machiavélique sur le visage, Fisk relâche sa prise, mais il ne laisse pas partir pour autant. Tu arrives à respirer un peu plus facilement quand Fisk te balance d’un coup sur le côté et se saisit du sac. Tu hurles en te sentant partir vers le vide. Ton corps passe de l’autre côté quand une main saisit la tienne. En relevant la tête, tu vois Kate te tenant de toutes ses forces.
-Ça va aller, je te tiens ! Je vais te remonter. Tiens bon, te rassure-t-elle en essayant de te remonter alors que Fisk fuit les lieux.
-Kate, j’ai plus de force.
Une larme coule sur ta joue en disant ta phrase. Tu es physiquement épuisée. Fisk t’a enlevé une journée entière pour tendre un piège à Kate et il n’a pas été tendre avec toi. Il est reconnu pour sa cruauté et tu en as fait les frais. Toutefois, tu mets toutes tes forces pour aider Kate à te hisser, en vain.
-Je vais trouver une solution. Je vais te remonter. Je vais y arriver, répète Kate autant pour se réconforter elle que toi.
En plus de la peur, l’acceptation prend possession de ton corps. Tu sais qu’elle n’y arrivera pas, Kate a beau être forte, tu sens tes mains lentement glisser des siennes alors, tu la regardes tendrement avec un sourire qui se veut rassurant.
-Ça va aller, Kate. Je t’aime.
La panique de Kate se stoppe en entendant ta phrase, c’est la première fois que tu dis “je t’aime”. Vous n’êtes ensemble que depuis trois mois et jusqu’à cet instant, vous n’aviez pas osé dire ces trois mots.
-Je vais réussir à te remonter, je t’ai dit ! Ne me dis pas ça comme si…
-Kate, c’est pas grave, dis-tu doucement.
-Non, arrête. Je…
Kate n’a pas le temps de finir sa phrase que tes mains lui échappent et tu tombes de l’immeuble. Elle hurle ton prénom à s’en déchirer les poumons, la vision de ta chute se gravant dans sa mémoire. Le bruit de ton corps percutant le sol retentit et Kate n’arrive pas à détourner les yeux de toi.
Kate prend une grande inspiration en s’asseyant sur son lit, la respiration haletante. Une main posée sur sa poitrine, elle essaye de se remettre de ce cauchemar. Le réveil brutal de ta petite amie t’a sorti de ton sommeil. Tu te retournes et vois Kate agitée. Tu t’assois et pose une main sur épaule, la faisant se tourner vers toi brusquement, la peur quittant ses yeux pour être remplacée par le soulagement. Tu as à peine le temps de voir une larme couler sur sa joue que Kate se jette dans tes bras.
-Qu’est-ce qui ne va pas ? demandes-tu, inquiète.
-Tout va bien, tu es là.
-Tu n’as pas l’air bien.
-Je vais bien, ne t’inquiète pas. J’ai juste fait un rêve, ment-elle en reculant légèrement et avec un faux sourire.
-Tu veux qu’on en parle ? Il a l'air de t’avoir secoué.
-Pas besoin. Ce n’était rien. C’était un rêve débile, il ne représentait rien. Je vais bien, dit Kate rapidement avant de se lever du lit. Je dois partir, j’ai entraînement dans peu de temps. Tu peux rester là, si tu veux ou tu peux faire autre chose, comme tu veux, mais je vais sûrement rentrer tard. Fais attention à toi et appelle-moi s’il y a quoique ce soit de bizarre.
Kate finit sa tirade en t’embrassant chastement avant de fuir sa chambre comme s’il y avait le feu. Tu regardes par où elle est sortie, complètement perdue. Malgré ce qu’elle a dit, tu as vu clair dans son jeu et tu sais que ce cauchemar l’a perturbée. Tu te dis que tu essayeras de lui en reparler plus tard quand elle sera calmée.
Les jours suivants, le cauchemar de Kate continue à la hanter et elle n’ose toujours pas t’en parler. Son rêve l’a fait se remettre en question, surtout sur votre relation. Bien qu’elle ne l’ait jamais dit à voix haute, elle t’aime et elle ne veut pas te perdre. Cependant depuis qu’elle est devenue une justicière après sa rencontre avec Clint Barton, elle doit prendre en compte les nouveaux dangers. Clint lui a déjà un peu parlé de Natasha et même si Natasha n’est pas décédée dans les mêmes circonstances que toi dans son cauchemar, le fait est que les Avengers sont en danger perpétuels et par extension leur proches. Et puis, depuis que la mère de Kate est partie en prison, elle a de plus en plus peur de perdre ceux qu’elle aime.
Kate a pris conscience de tout ce que ça représente d’être avec elle et elle n’est pas sûre que tu le saches. Kate a peur de causer ta perte à cause de ses choix de vie donc elle veut t’éloigner, mais elle veut également te garder auprès d’elle, même si elle sait que ça serait égoïste de sa part. Elle devrait t’en parler, cependant si elle le fait, elle partira dans une spirale en disant trop et probablement en rompant avec toi, car ses peurs grandissent de jour en jour donc elle préfère rester silencieuse.
Bien évidemment, ce changement de comportement n’est pas passé inaperçu. À de nombreuses reprises, tu as tenté de la mettre à l’aise sans être trop directe, de peur de la braquer, mais elle a toujours évité le sujet.
Elle ne mentionne pas son cauchemar même une semaine plus tard et elle reste perdue dans ses propres pensées. Ça la tue de prendre ses distances avec toi. Tu essayes de parler avec Kate autant que tu le peux, mais c’est comme parler dans le vide et pourtant, tu continues à lui parler, même si Kate ne semble pas y prêter attention.
Un jour, pendant que vous marchez dans la rue, tu racontes à Kate comment s’est passé ton dernier examen. Comme à ton habitude, quand tu discutes, tu ne regardes pas où tu vas, te focalisant sur ton interlocutrice. Alors que tu parles de ton ressenti général sur le partiel, tu sens juste Kate te tirer violemment en arrière puis tu vois une voiture bleue rouler vite et klaxonner.
-Ça va ? Tu n’as rien ? questionne Kate, inquiète, en cherchant une potentielle blessure.
-Grâce à toi, je vais bien.
-Tu dois vraiment apprendre à regarder devant toi quand tu parles, surtout dans la rue ! rétorque-t-elle, agacée. Si je n’avais pas été là, tu aurais pu avoir un accident ! Il roulait hyper vite, il aurait pu te renverser, tu t’en rends compte ? Comment tu peux être aussi insouciante ! Tu m’as fait peur ! Imagine si je n’avais pas vu la voiture, tu serais morte devant moi !
-Mais tu l’as vu à temps et tu m’as tiré avant qu’elle me percute. Je vais bien, Kate, il y a eu plus de peur que de mal, affirmes-tu calmement, espérant faire redescendre la pression.
-Parce que tu as eu de la chance ! Tu n’en auras pas toujours, il peut t’arriver quelque chose à n’importe quel moment.
La respiration de Kate se fait de plus en plus haletante et tu comprends que ça va plus loin qu’un chauffard qui aurait pu te renverser. Tu forces Kate à te regarder avant de dire sur un ton rassurant :
-Kate, respire. Je vais bien, tu vas bien, on va bien toutes les deux.
-J’ai eu peur.
-Je sais. Viens, on va chez moi, l’invites-tu en commençant à l’amener dans la direction opposée.
-Mais tu voulais t’acheter ton nouveau livre, proteste Kate, perdue.
-J’irai un autre jour. On devrait rentrer, loin des voitures, dis-tu avec un petit sourire, mais Kate n’est pas d’humeur à rigoler. Trop tôt ?
-Oui, deux minutes après ton presque accident, c’est trop tôt.
-Désolée. Allez, viens, dis-tu en prenant la main de Kate.
Vous faites le chemin inverse jusqu’à chez toi tandis que tu caresses sa main avec ton pouce pour la réconforter. La réaction de Kate te confirme que tu dois la faire parler, même si tu dois la forcer. Quelque chose ne va pas, elle est angoissée, surtout par rapport à toi et tu ignores la raison.
Quand vous arrivez dans ton appartement étudiant, tu la laisses s’installer sur ton canapé pendant que tu prépares des chocolats chauds ; peu importe la saison, Kate adore les boire. Tu espères que la boisson chaude la mettra plus à l’aise pour parler. Une fois les chocolats chauds prêts, tu la rejoins sur le canapé. Tu la laisses boire quelques gorgées avant de prendre la parole :
-Kate, on doit en parler.
-Je ne veux pas en parler, déclare-t-elle en évitant ton regard.
-Tu es clairement stressée par rapport à quelque chose, tu ne peux pas rester dans ta peur seule. Parle-moi.
-Je…, commence Kate avec hésitation, je me demande si tu sais vraiment de quoi tu t’es engagée en sortant avec moi et si ce n’est pas le cas alors je me demande si tu voudras encore de moi quand tu le réaliseras.
-Pourquoi tu dis ça ?
-Tu es morte, annonce-t-elle de but en blanc.
-Kate, la voiture ne m’a pas renversé.
-Dans mon rêve.
-Celui de la semaine dernière ? Pourquoi tu m’en as pas parlé ? demandes-tu, commençant à comprendre la situation.
-Tu es morte et c’était de ma faute.
-Je suis sûre que ce n’est pas vrai.
-Si, ça l’est, insiste Kate, les larmes aux yeux. Fisk m’avait retrouvé et il voulait mon sac, j’ignore ce qu’il y avait de si précieux dedans, mais il ne lâchait pas l’affaire et pour me forcer à le lui donner, il t’a enlevé. Il t’a tiré dans la jambe et quand je lui ai enfin donné le sac, il t’a balancé du haut de l'immeuble - parce que oui, on était sur le toit d’un immeuble - et j’ai essayé de te retenir, mais je n’avais pas assez de force pour te remonter et… et tu es tombée, raconte-t-elle, la voix se brisant à sa dernière phrase. Tu es morte et c’était de ma faute. Si j’avais écouté Fisk plus tôt, si j’avais eu plus de force…
-Kate, ce n’était qu’un rêve, l’interromps-tu en prenant sa main dans la tienne.
-On aurait pas dit un rêve, ça avait l’air réel et ce rêve m’a fait réfléchir, rétorque Kate en posant sa tasse sur la table basse. À n’importe quel moment, il peut être réel. Maintenant que j’ai travaillé avec Hawkeye et avec ma mère qui était dans les affaires de Fisk, je peux être une cible à tout moment et je ne veux pas que tu sois blessée par ma faute. Je tiens trop à toi pour te perdre, surtout si c’est de ma faute. Et même si je ne suis pas Spider-man ou Captain America, avec le temps, je pourrai avoir des ennemis encore plus redoutables que Fisk et Fisk est déjà assez horrible. Ce rêve a été comme un déclic, je peux pas être avec toi, car ça veut dire que tu es en danger et tu te mets déjà assez en danger quand tu parles dans la rue sans regarder où tu vas. Qui marche sans regarder où il va sérieusement ? divague-t-elle avant de reprendre son cheminement de pensées. Le fait est qu’en sortant avec moi, tu te mets en danger et c’est quelque chose qu’il faut que tu gardes en tête, ajoute Kate avant de prendre une grande inspiration. Bref, maintenant que je t’ai dit tout ça, est-ce que tu veux encore être avec moi ? Parce que moi, je veux être avec toi, peut-être même pour toujours, merde, peut-être pas pour toujours. Ce que je veux dire ce n’est pas “pas pour toujours”, ajoute Kate en te laissant pas une seconde pour répondre. En fait, je ne sais même pas ce que je veux dire. Tu m’en veux parce que je te pousse à rompre avec moi à cause d’un stupide cauchemar ? Tu m’en veux, c’est sûre et je comprends si c’est le cas, je m’en fiche. C’est juste qu’avec ce rêve, j’arrête pas de me demander si ce n’est pas un signe, comme un rêve prémonitoire, tu vois et si c’est le cas, je m’en voudrais de ne pas t’avoir protégé en te donnant une porte de sortie quand il était encore temps. Et, oh mon Dieu, je crois que je parle trop, se dit Kate à elle-même. Je parle trop, hein ? C’est sûr, je devrais te laisser parler. Comme t’as dit, on devrait parler et… Ah! Ferme-la, putain ! crie-t-elle, frustrée.
-J’ai rien dit ! réponds-tu en levant les mains en l’air innocemment.
-Pas toi, désolée, je voulais dire moi, se corrige Kate, un air coupable sur le visage. Je voulais dire que je devrais me la fermer et te laisser parler.
-Je peux y aller ? demandes-tu après l’avoir laissée respirer tranquillement, quand elle hoche la tête, tu reprends la parole : Kate, je comprends que ton cauchemar t’a secoué, mais ça ne veut pas dire qu’il se produira. Et puis, je savais dans quoi je m’engageais en sortant avec toi - tu t’es vantée d’avoir travaillé avec Hawkeye pendant notre premier rendez-vous donc, je savais pour le côté justicier, potentiels ennemis et j’ai quand même accepté de faire un deuxième rendez-vous avec toi. J’ai conscience de tout ça et malgré tout, je ne veux pas qu’on se sépare, surtout pas à cause d’un rêve, ajoutes-tu d’un ton doux, mais ferme. Et puis, je ne voudrais pas te laisser seule. Être une justicière est déjà assez compliqué, tu ne peux pas t’isoler. Tu dois me parler quand ça ne va pas, surtout quand c’est au point où ça te rend malade. Je veux rester avec toi. Je ne sais peut-être pas tirer à l’arc ou me battre, mais je peux être là pour toi. Je veux être là pour toi. T’auras beau essayer de me donner toutes les portes de sortie du monde, je veux encore être avec toi. Je t’aime Kate, confesses-tu en la regardant dans les yeux.
-Tu m’aimes ? questionne Kate, étonnée.
-Bien sûr.
-Wow, je pensais pas qu’on avait atteint ce stade dans notre relation et je pensais surtout pas que tu le dirais pendant qu’on a ce genre de conversation. Enfin, techniquement dans mon cauchemar, tu me l’as dit avant de mourir, mais on devrait oublier ce cauchemar. Enfin bref, j’imaginais que tu le dirais pendant qu’on ferait quelque chose de plus romantique. Mon Dieu, je divague encore, n’est-ce pas ?
Tu rigoles légèrement en posant tes mains de part et d’autre du visage de Kate avant de l’embrasser. En sentant tes lèvres sur les siennes, les peurs de Kate se calment enfin. Le baiser dure seulement quelques secondes afin de permettre à Kate de se concentrer sur autre chose, mais il n’en est pas moins rempli d’amour et de tendresse. Quand tu brises le baiser, Kate te fait un sourire que tu trouves mignon.
-Je t’aime aussi, dit-elle en caressant ta main droite encore posée sur sa joue.
-Je t’aime et je veux être avec toi, Kate Bishop, peu importe ce que tu peux dire pour m’en dissuader.
À tes mots, le sourire de Kate s'agrandit, contente d’avoir pu trouver quelqu’un d’aussi compréhensive et gentille que toi. Elle n’aurait pas pu rêver une petite amie plus adorable dans ce monde de brute.
Marvel Masterlist
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'The Artist Gravante' as drawn in 1912 by French etcher and lithographer Alexandre Lunois (1863- 1916). For much more about this image and the artist who created it please left click here.
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1927 Ann Gravante's grandfather in Brooklyn, New York. From Ann Gravante, FB.
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Interesting Papers for Week 7, 2024
Targeted memory reactivation in human REM sleep elicits detectable reactivation. Abdellahi, M. E., Koopman, A. C., Treder, M. S., & Lewis, P. A. (2023). eLife, 12, e84324.
Dynamics of cortical contrast adaptation predict perception of signals in noise. Angeloni, C. F., Młynarski, W., Piasini, E., Williams, A. M., Wood, K. C., Garami, L., … Geffen, M. N. (2023). Nature Communications, 14, 4817.
Continuous odor profile monitoring to study olfactory navigation in small animals. Chen, K. S., Wu, R., Gershow, M. H., & Leifer, A. M. (2023). eLife, 12, e85910.
Object representation in a gravitational reference frame. Emonds, A. M., Srinath, R., Nielsen, K. J., & Connor, C. E. (2023). eLife, 12, e81701.
Metacognitive judgments during visuomotor learning reflect the integration of error history. Hewitson, C. L., Al-Fawakhiri, N., Forrence, A. D., & McDougle, S. D. (2023). Journal of Neurophysiology, 130(2), 264–277.
Temporal scaling of dopamine neuron firing and dopamine release by distinct ion channels shape behavior. Juarez, B., Kong, M.-S., Jo, Y. S., Elum, J. E., Yee, J. X., Ng-Evans, S., … Zweifel, L. S. (2023). Science Advances, 9(32).
Evidence for a common mechanism supporting invigoration of action selection and action execution. Kita, K., Du, Y., & Haith, A. M. (2023). Journal of Neurophysiology, 130(2), 238–246.
Causal evidence for the processing of bodily self in the anterior precuneus. Lyu, D., Stieger, J. R., Xin, C., Ma, E., Lusk, Z., Aparicio, M. K., … Parvizi, J. (2023). Neuron, 111(16), 2502-2512.e4.
Long- and short-term history effects in a spiking network model of statistical learning. Maes, A., Barahona, M., & Clopath, C. (2023). Scientific Reports, 13, 12939.
State-dependent coupling of hippocampal oscillations. Modi, B., Guardamagna, M., Stella, F., Griguoli, M., Cherubini, E., & Battaglia, F. P. (2023). eLife, 12, e80263.
Expectations about precision bias metacognition and awareness. Olawole-Scott, H., & Yon, D. (2023). Journal of Experimental Psychology: General, 152(8), 2177–2189.
Not what u expect: Effects of prediction errors on item memory. Ortiz-Tudela, J., Nolden, S., Pupillo, F., Ehrlich, I., Schommartz, I., Turan, G., & Shing, Y. L. (2023). Journal of Experimental Psychology: General, 152(8), 2160–2176.
Altered oculomotor flexibility is linked to high autistic traits. Pomè, A., Tyralla, S., & Zimmermann, E. (2023). Scientific Reports, 13, 13032.
Dissociation of vicarious and experienced rewards by coupling frequency within the same neural pathway. Putnam, P. T., Chu, C.-C. J., Fagan, N. A., Dal Monte, O., & Chang, S. W. C. (2023). Neuron, 111(16), 2513-2522.e4.
Ventrolateral prefrontal neurons of the monkey encode instructions in the ‘pragmatic’ format of the associated behavioral outcomes. Rozzi, S., Gravante, A., Basile, C., Cappellaro, G., Gerbella, M., & Fogassi, L. (2023). Progress in Neurobiology, 229, 102499.
Testing the generalization of neural representations. Sandhaeger, F., & Siegel, M. (2023). NeuroImage, 278, 120258.
A neural mechanism for terminating decisions. Stine, G. M., Trautmann, E. M., Jeurissen, D., & Shadlen, M. N. (2023). Neuron, 111(16), 2601-2613.e5.
Subtle adversarial image manipulations influence both human and machine perception. Veerabadran, V., Goldman, J., Shankar, S., Cheung, B., Papernot, N., Kurakin, A., … Elsayed, G. F. (2023). Nature Communications, 14, 4933.
Distinct roles of the orbitofrontal cortex, ventral striatum, and dopamine neurons in counterfactual thinking of decision outcomes. Yun, M., Nejime, M., Kawai, T., Kunimatsu, J., Yamada, H., Kim, H. R., & Matsumoto, M. (2023). Science Advances, 9(32).
Alternating capture of attention by multiple visual working memory representations. Zhang, L., & Yamada, Y. (2023). Scientific Reports, 13, 13029.
#neuroscience#science#research#brain science#scientific publications#cognitive science#neurobiology#cognition#psychophysics#neurons#neural computation#neural networks#computational neuroscience
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#ahome
La lumière douce d’une fin d’après-midi baigne une maison de banlieue modeste, un peu trop calme pour être chaleureuse. On entend une vieille chanson pop des années 90 en fond, se mêlant aux murmures étouffés de conversations oubliées. C’est dans ce cadre qu’a grandi Yayra, un garçon à la beauté angélique mais dont le regard trahit une tristesse insondable.
L’Absent Présent
Le père de Yayra est une figure fantomatique dans sa vie. Physiquement présent, il n’a jamais été une véritable influence. Pour lui, Yayra n’était qu’un nom sur une liste de responsabilités non assumées. Il se tenait souvent à distance, se cachant derrière le silence et la façade de son rôle de parent. Yayra se sentait comme un étranger dans sa propre maison, et très vite, il a appris à ne rien attendre de cet homme. Il se voyait comme un orphelin de père, une idée qu’il a fini par accepter et intégrer à sa propre identité. Les rares moments de contact qu’ils partageaient étaient ternes et froids, comme des scènes d’un film noir où deux acteurs n’ont aucune alchimie.
La Mère qui ne Pouvait Aimer
Yayra a grandi sous l’ombre d’une relation toxique avec sa mère. Cette femme, autrefois belle et pleine de promesses, s’est retrouvée accablée par le poids de ses regrets. Elle n’avait jamais voulu être mère ; chaque regard qu’elle posait sur Yayra semblait charger l’air d’un jugement silencieux.
“Tu n’étais pas censé être là,” lui disait-elle parfois, son ton à peine voilé d’amertume. Pour Yayra, ces mots étaient des coups invisibles, gravant en lui la conviction qu’il était un problème, un fardeau qu’elle n’avait jamais demandé.
Leurs interactions étaient une danse complexe d’attentes déçues et de reproches implicites. Elle l’aimait, à sa manière, mais son amour était comme une corde raide : tendue, instable, prête à se briser à tout moment. Elle oscillait entre des éclats de colère, où elle projetait sur lui sa propre amertume, et des moments de silence glacé, comme si sa simple présence la dérangeait. Yayra, cherchant désespérément l’approbation qu’elle ne pouvait donner, sombrait encore plus dans l’idée qu’il n’était rien d’autre qu’une erreur.
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À la machine
La conversation plastique, Écran bleu de désarroi, Clôt le drame numérique, Les signaux mixtes chauds-froids D’une imprécise liaison À proxémie émotive, Ne guettant que l’horizon, Naviguant à la dérive.
Je me sens un vieux torchon, Emmêlé dans mes bobines, Presque à chanter du Souchon Et l’amour à la machine. Faut-il que je sois maso, Gravant mes amours onciales Sur d’asynchrones fuseaux, Distanciation asociale.
#french poetry#poésie#poesie#poème français#poètes sur tumblr#écrire#nanowrimo 2024#napowrimo#cendres#rupture#relation à distance
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Ràdio Vilablareix: D'emissora local a nacional programant música només en català
Una “ràdio descentralitzada” de Barcelona amb la cultura com a pilar fonamental El control de Ràdio Vilablareix amb l’estudi a l’altre costat de la peixera i el seu director, Dídac Romagós, gravant algune dels espais que té l’emissora. Ràdio Vilablareix (Gironès) ha passat de ser una emissora local a una de nacional en tan sols una dècada de vida i apostant per una programació de música…
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30. Au revoir / Écrire
On est le trente du mois, la parenthèse enchantée se ferme, les rideaux du théâtre de pourpre et d'éloges clos. J'aimerais tenir ce fameux livre à l'histoire interminable entre mes mains. Impossible, attendre une année, contrat renouvelable à vie peut-on croire. Un CDI d'écriture. Une dernière fois, sourire aux touches du clavier qui s'agitent frénétiquement, gravant des mots dans l'immensité du web. Une dernière fois, s'épancher à vif, anatomie d'une vie insignifiante, bravant les plus intemporels déboires. Quelque chose de beau est en cogitation. Je signe mon nom en bas de page, je tire ma révérence. (Ai-je seulement tout dit ?)
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Il y a une dizaine de jours, je suis parti retrouver Christine à Narbonne.
Le Musée Narbo Via, dédié à la Narbo romaine (cette ville fut la première ville romaine hors d'Italie et un des 3 plus grands ports de l'Empire romain)
. Ici des sarcophages paléochrétiens :
sarcophage de type aquitain, contemporain des Wisigoths - Vème s.
sarcophage : Jésus guérissant l'aveugle Bartimée, Saint Pierre avec son coq, Saint Paul, le pommier avec son serpent… - IVème s.
sarcophage "de l'Orante" (cette orante est la femme voilée en prière, au milieu)- IVème s.
idem
Fac-simile du sarcophage du "Lege Feliciter" : mélange de paganisme (les dieux Hélios et Séléné) et de symboles chrétiens. Une Victoire au milieu gravant "LEGE FELICITER" = "Que la lecture t'apporte le bonheur" - IVèm s.
sarcophage paléochrétien - IVème s.
sarcophage ''du Bon Pasteur'' - IV-Vème s.
#narbonne#aude#languedoc#archéologie#narbo via#narbo#romain#rome antique#gallo-romain#paléochrétien#sarcophage#orante#bon pasteur#brebis#wisigoths
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Cette scène se répétait, quel que ce soit l’endroit, où j’étais debout, seule, dans ce couloir, ou sous la pluie, sous la nuit, sous le soleil, vous regardant partir au rythme de vos pas ainsi qu’avec toute votre prestance. Puis toute cette peine refaisait surface en moi, ma respiration se coupait, une boule dans la gorge se nouait et j’éprouvais là, dans ces instants précis, cette envie de vous retenir. Mais je ne fis rien, je repartais de mon côté, en gravant dans ma mémoire, chaque détails de votre visage.
Être éloigné de vous était pour moi une véritable torture.
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Le soldat qui rêvait de lys blancs
Il rêvait de lys blancs, D’un rameau d’olivier, Des seins de son aimée épanouis le soir. Il rêvait, il me l’a dit, d’un oiseau Et des fleurs de l’oranger. Sans compliquer son rêve, il percevait les choses Telles qu’il les ressentait… et les sentait. Une patrie, il me l’a dit, C’est savourer le café de sa mère, C’est rentrer à la tombée du jour. Et la terre ? Je lui demandais. Il répondit : Je ne la connaissais pas. Je ne sentais pas qu’elle était ma peau et mon cœur, Ainsi qu’il est dit dans les poèmes. Mais soudain je la vis, Comme on voit une boutique��� une rue… des journaux Je lui demandai : L’aimes-tu ? Il répondit : Mon amour est une brève promenade, Un verre de vin… une aventure. — Donnerais-tu ta vie pour elle ? — Non ! Je ne suis lié à cette terre que par un éditorial… un discours enflammé ! On m’a enseigné à aimer son amour. Mais je n’ai pas senti son cœur se fondre avec le mien. Je n’ai pas humé l’herbe, les racines et les branches… — À quoi ressemblait son amour ? Brûlant comme les soleils… la nostalgie ? Il fît front : — Ma voie à l’amour est un fusil, Des fêtes revenues de vestiges anciens, Le silence d’une statue antique D’époque et d’origine indéterminées ! II me parla de l’instant des adieux, De sa mère Pleurant en silence lorsqu’on l’envoya Quelque part sur le front… De sa voix éplorée, Gravant sous sa peau un souhait nouveau : Ah ! si seulement les colombes grandissaient au ministère de la défense… Ah ! si les colombes !… …Il fuma une cigarette, puis il me dit Comme s’il s’échappait d’un marécage de sang : J’ai rêvé de lys blancs, D’un rameau d’olivier… D’un oiseau étreignant le matin Sur la branche d’un citronnier… — Qu’as-tu vu ? — Mes actes, Ronces rouges explosées dans le sable… les poitrines… et les entrailles. — Combien en as-tu tué ? — Difficile de les compter… Mais je n’ai été décoré qu’une fois. Je lui demandais, me faisant violence : S’il en est ainsi, décris-moi un seul cadavre. Il rectifia sa position, caressa son journal plié Et me dit comme s’il me chantait une ritournelle : Tente de vent sur les gravats, L’homme enlaçait les astres brisés. Une couronne de sang ceignait son large front Et sa poitrine était sans médailles, Puisqu’il s’était mal battu. Il avait l’aspect d’un paysan, d’un ouvrier ou d’un marchand ambulant. Tente de vent sur les gravats… Il mourut Les bras jetés comme deux ruisseaux à sec. Et lorsque j’ai cherché son nom dans ses poches, J’ai trouvé deux photos, L’une… de sa femme, L’autre… de sa fille… Je lui demandai : En as-tu été attristé ? Il m’interrompit : Mahmoud, mon ami, La tristesse est un oiseau blanc Étranger aux champs de bataille. Et les soldats Commettent un péché, s’ils s’affligent. Je n’étais, là-bas, qu’une machine crachant un feu rouge Et changeant l’espace en un oiseau noir. Plus tard, II me parla de son premier amour, De rues lointaines, Des réactions après la guerre, Des fanfaronnades à la radio et dans les journaux. Et lorsqu’il dissimula sa toux dans son mouchoir, Je lui demandai : Nous reverrons-nous ? Il me répondit : Dans une ville lointaine. Au quatrième verre, J’ai dit, taquin : Ainsi tu partirais… Et la patrie ? Il me répondit : Laisse tomber… Je rêve de lys blancs, D’une rue qui gazouille et d’une maison éclairée. Je quête un coeur bon, non des munitions, Un jour ensoleillé, non un instant de folle victoire… fasciste. Je quête un enfant souriant au jour, Non une place dans la machine de guerre. Je suis venu ici vivre le lever des soleils, Non leur coucher. Il me fit ses adieux… Il était à la recherche de lys blancs, D’un oiseau accueillant le matin Sur un rameau d’olivier. Il percevait les choses Telles qu’il les ressentait… et les sentait. La patrie, il me l’a dit,
C’est boire le café de sa mère Et rentrer, à la tombée du jour, rassuré."
Mahmoud Darwich extrait de: "La terre nous est étroite et autres poèmes."
Découvert chez::"Danger Poésie"
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Ôzine Micro-festival N°4 au ChapitÔ (Bègles)
MERCREDI 26 JUIN DE 14H30 à 20H
C’est officiel ! Ôzine lance sa troisième édition au ChapitÔ ! Lors de cet événement, nous avons le plaisir de mettre à l’honneur le fanzine et sa pluralité. Disparate propose au public des ateliers, des initiations, des rencontres et des expositions autour du livre fait-main.
• Atelier : Gravure sur Tetra Pak Disparate et l’artiste Velours Noir vous invite à découvrir la technique de la gravure. Cet art consiste à réaliser un visuel en creusant ou en incisant à l'aide d'une pointe sèche une plaque qui servira de matrice. Après encrage, celle-ci est imprimée sur du papier. L'œuvre finale qui en résulte s'appelle une estampe. En notre compagnie, venez réaliser une estampe unique et originale en gravant sur du Tetra Pak (emballage de boissons) ! Imprimée sur place, chaque participant.e repart à la fin de l'atelier avec son estampe et sa matrice.
•• Exposition : VELOURS NOIR Membre du collectif Sapin, illustratrice et tatoueuse, Velours Noir expose une sélection de ses illustrations. En présence de l’artiste. Velours Noir www.instagram.com/veloursnoir_cza www.facebook.com/veloursnoircza/
••• Stand : Les fanzines et archives de la librairie Disparate Disparate installe son stand de micro-éditions et vous fait découvrir une sélection de fanzines d’illustrations issus de sa librairie et de ses archives. ♫ De 17H30 à 20H Dj set de DJ DONNA du collectif Medusyne
+ session tatouages éphémères avec des flashs de Velours Noir
Gratuit / sans inscription Atelier accessible à partir de 8 ans
ChapitÔ, Le Ô lieu 17-19, Rue Robert Schuman - Esplanade des Terres-Neuves 33130 Bègles
En partenariat avec le ChapitÔ et le Centre Social et Culturel de l'Estey
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PARMI LES FRÈRES ET LES SŒURS, TRÈS NOMBREUX SONT CEUX EN QUI LA BONNE SEMENCE NE DEMEURE PAS & NE GRANDIT PAS;
CE, JUSQU'À ATTEINDRE LA MATURITÉ D'UNE RESSEMBLANCE À L'IMAGE DU CÉLESTE, LE SECOND ADAM, L'HOMME NOUVEAU!
& TRISTEMENT, ILS NE MARCHENT PAS À SON EXEMPLE, SUIVANT SES TRACES, DE RENONCEMENT & DE MORT À SOI, EN NOUVEAUTÉ DE VIE, SELON L'ESPRIT & NON PLUS SELON LA CHAIR, AU MOYEN DE LA FOI!
- À QUOI LES RECONNAIT-ON, À LEURS FRUITS MAUVAIS, DE LA CHAIR ET NON DE L'ESPRIT, SELON LE MONDE & NON SELON LE ROYAUME DES CIEUX, SELON LE DIABLE & NON SELON CHRIST, LA VÉRITÉ QU'ILS N'ONT PAS REVÊTU, & QUI N'A DONC PAS PU PRODUIRE EN EUX, LA SAINTETÉ, LA JUSTICE & SURTOUT L'AMOUR DIVIN;
CAR UN MAUVAIS ARBRE NE PORTE PAS DE BONS FRUITS, LES SIENS SONT DU TERRESTRE, LE PREMIER ADAM!
- ILS SONT & DEMEURENT, BIEN QUE NÉS DE L'ESPRIT, DES ENFANTS DU DIABLES PAR NATURE, PAR LEUR NATURE INCHANGÉE;
- PAR CHOIX, PAR NÉGLIGENCE OU PAR RÉBELLION ET DONC INCRÉDULITÉ!!!
1 Jean 3:7 à 10
Petits enfants, que personne ne vous séduise.
Celui qui pratique la justice est juste, comme lui-même est juste.
Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement.
Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable.
Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui; et il ne peut pécher, parce qu'il est né de Dieu.
C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère.
ILS SONT NÉS DE L'ESPRIT, OUI, MAIS N'AYANT PAS ÉTÉ ENGENDRÉS PAR LA PAROLE, LA SEMENCE, LA PAROLE VIVANTE, QUI NE LES A PAS RÉGÉNÉRÉ, ILS NE SONT PAS NÉS DE DIEU;
C.À.D DE L'ESPRIT D'ADOPTION & ENSUITE DE LA PAROLE, QUI SEULE LEUR DONNAIT LE POUVOIR DE DEVENIR ENFANT DE DIEU, CE, EN SE GRAVANT SUR LEUR CŒUR, AINSI DEVENU NOUVEAU, D'UNE NOUVELLE CRÉATION, À L'IMAGE DU FILS DE DIEU!
Frère Thierry
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Natalyna: "Honey" è il nuovo video
Honey (Etichetta: Joseba Publishing) è il nuovo singolo di Natalyna, un brano che racconta la storia di una rottura sentimentale e che celebra la forza interiore e la libertà ritrovata dopo una relazione difficile. Il testo sottolinea l’importanza di godersi la vita, dando priorità al proprio benessere. Arrangiamento, mix e master sono a cura di Matteo Giannaccini Gravante, la direzione artistica…
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⛔️ Condono edilizio in area vincolata: diniego illegittimo se manca il parere della Soprintendenza
✅ Il rilascio del #condono è subordinato al parere vincolante dell'amministrazione preposta alla tutela del vincolo gravante sul bene
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