#bon pasteur
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Shorthand and typing class in the "Bon Pasteur" convent of Amiens, Picardy region of France
French vintage postcard
#france#tarjeta#convent#postkaart#sepia#carte postale#ansichtskarte#typing#shorthand#briefkaart#region#photo#photography#picardy#postal#postkarte#bon pasteur#vintage#french#pasteur#class#amiens#postcard#historic#ephemera
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Il y a une dizaine de jours, je suis parti retrouver Christine à Narbonne.
Le Musée Narbo Via, dédié à la Narbo romaine (cette ville fut la première ville romaine hors d'Italie et un des 3 plus grands ports de l'Empire romain)
. Ici des sarcophages paléochrétiens :
sarcophage de type aquitain, contemporain des Wisigoths - Vème s.
sarcophage : Jésus guérissant l'aveugle Bartimée, Saint Pierre avec son coq, Saint Paul, le pommier avec son serpent… - IVème s.
sarcophage "de l'Orante" (cette orante est la femme voilée en prière, au milieu)- IVème s.
idem
Fac-simile du sarcophage du "Lege Feliciter" : mélange de paganisme (les dieux Hélios et Séléné) et de symboles chrétiens. Une Victoire au milieu gravant "LEGE FELICITER" = "Que la lecture t'apporte le bonheur" - IVèm s.
sarcophage paléochrétien - IVème s.
sarcophage ''du Bon Pasteur'' - IV-Vème s.
#narbonne#aude#languedoc#archéologie#narbo via#narbo#romain#rome antique#gallo-romain#paléochrétien#sarcophage#orante#bon pasteur#brebis#wisigoths
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BON PASTEUR
#bon pasteur#Homélie#dimanche#Evangile#aujourd'hui#du jour#youtube#vigilancespirituelle 10.#prière et foi#homélie du dimanche#messe#priere
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The Monastère du Bon-Pasteur building caught fire on 5/25/2023 and remained out of control for 18 hours.
The heritage building was constructed in 1847. It housed a seniors’ residence, a housing co-operative, a daycare and condos.(via The Montreal Gazette, photos by Isabelle Douailly-Backman and John Kenney)
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Alexandre Pasteur : Les véhicules suiveurs ne sont pas autorisés dans ce chemin blanc, Thomas Voeckler n’a donc pas pu y pénétrer
Thomas Voeckler (au loin) : On y est ! On y est !
Alexandre Pasteur : Parfois on entend encore sa voix.
#cycling#road cycling#Tour de France#TdF24#Thomas Voeckler#Alexandre Pasteur#bon pour être honnête je crois pas qu’on ait entendu Voeckler dans le chemin blanc#donc a priori il n’y était vraiment pas et see « on y est faisait référence à autre chose#mais c’était trop drôle 😂
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Logement étudiant
Le bâtiment des Soeurs du Bon-Pasteur s’ajoute à l’offre de résidence du Cégep de Chicoutimi Continue reading Logement étudiant
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"Le batelier", c.1938 and "Le Bon Pasteur", c.1930 by Antoine Carte (1886–1954). Belgian painter. oil on canvas
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Activités
(Il n'est pas possible de réserver de rôles pour l'instant, ceci est une liste non exhaustive à but informatif. Dans la liste, vous pourrez voir que certains rôles sont limités, car considérés comme "essentiels" mais ne nécessitant pas non plus d'être multipliés.). A Derry, le temps s’organise différemment qu’à l’extérieur. La coutume veut que l’on donne une partie de son temps à la communauté en générale dans une activité utile à la survie quotidienne. Il est ensuite possible d’occuper le reste de son temps à des activités jugées non essentielles à la survie, mais qui agrémentent la vie. Il n’est pas rare que la population de Derry occupe plusieurs rôles en fonction des saisons ou de l’absence de travail.
Occupations :
Artisanat :
Apprenti·e :
Couturier·e :
Ébéniste :
Forgeron·ne / maréchal ferrant (0/1) :
Fromager·ère :
Homme / femme à tout faire :
Maçon·ne :
Menuisier·ère :
Meunier·ère :
Potier·ère :
Réparateur·ice :
Tanneur·euse :
Vie quotidienne :
Agriculteur·ice :
Apprenti·e :
Boucher·ère :
Boulanger·e :
Bucheron·ne :
Eleveur·euse : staff
Employé·e à l’abattoir : staff
Maraîcher·ère :
Soins :
Herboriste :
Médecin / infirmièr·e (0/3) :
Croque-mort (1/1) : staff
Vie communautaire :
Adjoint·es du shérif (0/2) :
Employé·es du diner (1/2) : staff
Gérant·e de l’épicerie (0/1) :
Gérant·e du bar (0/1) :
Pasteur (1/1) : PNJ
Professeur·e d’école (0/1) :
Shérif (1/1) : PNJ
Autres :
Arpenteur·euse de la zone (0/2) (en forme physiquement, dotés d'un bon sens de l'orientation, qui disparaissent souvent sans qu'on sache s'ils n'ont pas réussi à rentrer avant la nuit ou qu'autre chose les a eus (on retrouve parfois leurs corps... ou des morceaux), ils tournent régulièrement avec d’autres personnes leur but est de chercher des objets, ferrailler, cartographier, peut-être aussi trouver des explications) :
Parasite :
Activités en plus (pas des activités communautaires à plein temps mais qui sont utiles au quotidien) :
Aide au culte :
Apiculteur·ice :
Brasseur·euse :
Chasseur·euse / trappeur·euse :
Fabriquant·e de talismans (0/2 - 1 par groupe) :
Pêcheur·euse :
Activités non essentielles :
Artiste :
Artisan·e bijoutier / accessoires :
Ecrivain·e public :
Coiffeur·euse :
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This site compiled their addresses here though Barère's page is missing (here are some of his addresses), Lindet's address is different than the one give here, and though some mail was sent to Couthon where Robespierre lived, I think he had another address too? (Hérault is also just not listed but the site is centered around Thermidor.)
Copy-pasted below for convenience. I added their birthdates and astrological signs (for those who care about that):
Jean-Baptiste Robert Lindet
Age : Né à Bernay (Eure), 48 ans en thermidor. [2 mai 1746 ♉]
Adresse : 68, rue de la Sourdière.
Métier : Avocat
Fonctions : Député de l’Eure, membre du Comité de salut public du 6 avril 1793 au 7 octobre 1794
Antoine Louis Léon de Saint-Just
Age: Né à Décize, 26 ans en Thermidor an II [25 août 1767 ♍]
Adresse: 3, rue Caumartin, 2ème étage (depuis mars 1794), à la même adresse que Thuillier. Il demeurait auparavant à l’hôtel des États-Unis, rue Gaillon.
Fonction(s): Député de l’Aisne à la Convention depuis le 5 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 10 juin 1793.
Georges-Auguste Couthon
Age : Né à Orcet, 38 ans en thermidor [22 décembre 1755 ♑]
Adresse : 366, rue Saint Honoré
Profession : Avocat
Fonction(s) : Elu député du Puy-de-Dôme à la Convention le 6 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 10 juin 1793 au 9 Thermidor an II.
André Jeanbon, dit JEAN BON SAINT-ANDRÉ
Age : Né à Montauban, 45 ans en thermidor [25 février 1749 ♓]
Adresse : 7 rue Gaillon
Profession : Marin, puis pasteur
Fonction(s) : Elu député du Lot à la Convention le 5 septembre 1792, membre du Comité de salut public depuis le 10 juin 1793. Fréquemment en mission pour superviser les opérations maritimes, il est absent de Paris le 9-Thermidor.
Pierre-Louis Prieur, dit PRIEUR de la MARNE
Age : Né à Sommesous (Marne), 37 ans en thermidor [1er août 1756 ♌]
Surnom : Appelé Prieur de la Marne (pour le différencier de Prieur de la Côte-d’Or)
Adresse : 11, rue Helvetius
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de la Marne à la Convention depuis le 3 septembre 1792, membre du Comité de salut public du 10 juillet 1793 au 13 thermidor an II (31 juillet 1794), puis à nouveau du 15 vendémiaire au 15 pluviôse an III (6 octobre 1794-3 février 1795).
Absent de Paris au moment du 9-Thermidor.
Maximilien Marie Isidore de Robespierre
Age : Né à Arras, 36 ans en thermidor. [6 mai 1758 ♉]
Adresse : 366 rue Saint-Honoré (numérotation actuelle : 398)
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention nationale depuis le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 27 juillet 1793
Claude-Antoine Prieur-Duvernois, dit PRIEUR de la CÔTE-d'OR
Age : Né à Auxonne, 30 ans en thermidor [22 décembre 1763 ♑]
Surnom : Appelé Prieur de la Côte-d’Or (pour le différencier de Prieur de la Marne)
Adresse : 5, rue Caumartin
Profession : Ingénieur militaire
Fonction(s) : Elu député de la Côte-d’Or à la Convention le 5 septembre 1792. Membre du Comité de salut public du 14 août 1793 au 16 vendémiaire an III (7 octobre 1794).
Lazare Nicolas Marguerite Carnot
Age : Né à Nolay, 41 ans en thermidor. [13 mai 1753 ♉]
Adresse : 2 rue Florentin
Métier : Mathématicien, physicien, militaire
Fonction(s) : Elu député du Pas-de-Calais à la Convention nationale le 5 septembre 1792 ; membre du Comité de salut public depuis le 14 août 1793, il le quitte le 7 octobre 1794 mais y siège à nouveau un mois plus tard, jusqu’au 6 mars 1795.
Jacques-Nicolas Billaud, dit BILLAUD-VARENNE
Age : Né à La Rochelle, 38 ans en Thermidor an II [23 avril 1756 ♉]
Adresse : 40 rue Saint-André-des-Arts
Métier : Avocat
Fonction(s) : Député de Paris à la Convention depuis le 7 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793
Jean-Marie Collot, dit COLLOT d'HERBOIS
Age : Né à Paris, 45 ans en Thermidor an II [19 juin 1749 ♊]
Adresse : 4 rue Favart (3ème étage)
Métier : Acteur, directeur de théâtre
Fonction(s) : Elu député de Paris à la Convention le 6 septembre 1792, membre du Comité de Salut Public depuis le 5 septembre 1793.
#the csp#committee of public safety#comité de salut public#antoine saint just#maximilien robespierre#robert lindet#lazare carnot#claude antoine prieur#jacques nicolas billaud varenne#collot d'herbois#georges couthon#andré jeanbon saint andré#pierre louis prieur#prieur duvernois#prieur de la côte d'or#prieur de la marne#jeanbon saint-andré#bertrand barère
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Rue du Bon Pasteur, Marseille 2e (Bouches-du-Rhône). Décembre 2023.
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[🎙 CONFERENCE ABBÉ RAFFRAY]⠀
« Contempler Dieu c’est le contempler dans la nature puisque Dieu est l'auteur de la nature, c’est le contempler évidemment dans sa grâce; c’est-à-dire dans sa présence intérieure par ce chemin intérieur de l'âme vers la source de la beauté. Et c'est le contempler dans la présence réelle de Dieu, dans l’eucharistie, puisque c'est la manifestation la plus parfaite, la plus belle de Dieu dans Sa créature.»
👉 Academia Christiana reçoit l’Abbé Raffray, prêtre de l’Institut du Bon Pasteur, docteur en philosophie et théologie, enseignant et écrivain.
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BANLIEUE SUISSE GENEVE LE LIGNON Grands Ensembles Les Cités-dortoirs https://www.rts.ch/.../8406972-vivre-au-lignon-une-cite... C'est en 1962 que l'Etat de Genève décide de construire, sur le domaine agricole du Lignon une nouvelle cité aux lignes futuristes. Avec ses deux tours de 26 et 30 étages, ainsi que la barre d'immeuble de 15 étages d'une longueur de plus d'un km comme le sillon de st Herblain, la cité du Lignon est le plus long bâtiment du monde. Petite ville en soi, la cité du Lignon a tout d'une grande. On y trouve une école, deux églises, un centre commercial offrant de nombreux services aux habitants. Un club de boxe, un centre médical ainsi que des installations sportives complètent les infrastructures. Deux centres de loisirs reçoivent les jeunes, La Carambole et le Jardin Robinson, un club accueille les aînés. Le projet sera confié à Georges Addor, Dominique Julliard, Louis Payot et Jacques Bolliger. Les travaux débutent en septembre 1963 et la première phase du chantier s'achève quatre ans plus tard. 1'846 appartements sont alors construits et les premiers locataires viennent s'y installer dès décembre 1965. Une seconde étape entre 1967 et 1971 porte le nombre de logements à 2'780. Conçue pour 10'000 habitants, la cité abrite actuellement environ 7'000 résidents de 120 nationalités différentes. Ponctuée par deux tours la barre du Lignon offrent à tous ses habitants des appartements traversant sans aucun vis-à-vis. Un soin particulier a également été porté aux équipements extérieurs. La plus haute tour est équipée sur son toit de deux piscines et l'aménagement des terrains de jeux, cheminement et autres espaces verts ont été élaborés par un paysagiste. En 1975, le Lignon fête ses 10 ans d'existence et accueille environ 8'000 personnes. L'émission Un jour une heure dresse un portrait touchant de la cité à travers le témoignage de ses habitants. Liberté, campagne, lieux de rencontres pour les jeunes comme pour les moins jeunes, le "village" du Lignon est une banlieue où il fait bon vivre. En 1995, la cité du Lignon a trente ans ! Mais dans la bouche de ses habitants, toujours le même propos, au Lignon règne une insoupçonnable douceur de vivre même si la cité n'échappe pas aux problèmes de son temps. En 1967, l'émission religieuse Présence protestante visite le Lignon. La première phase de construction de cette immense cité s'achève alors et les habitants prennent leurs marques. Pourvue de nombreux équipements communautaires, la cité du Lignon compte également un temple protestant. Pensé par son pasteur comme un lieu de rencontre, il est ouvert à tous. Niché dans un des immeubles du Lignon, le centre social se trouve au coeur de la cité. Regroupant plusieurs services, il vient en aide aux habitants du quartier. En 1967, Madame TV qui consacre son émission au métier d'assistant social, part à la rencontre de celui du Lignon. Désigné pour aider les familles, il a contribué à la mise en place du club du jeudi, un espace ouvert pour les enfants. Des appartements réservés aux personnes âgées, c'est la formule adoptée dans la cité du Lignon. En 1967, la cité du Lignon organise une course à pied dans sa plus grande tour qui compte 30 étages. Au départ, les courageux sportifs semblent peu impressionnés par la hauteur du bâtiment. Tranche de vie au Lignon. En 1972 dans l'émission Courrier romand, c'est en grande pompe que la fanfare du Lignon et ses majorettes offrent aux habitants de la cité-satellite un spectacle haut en couleur. Le mal de ville L’augmentation de la population, les contraintes de la mobilité entraînent une transformation rapide du paysage urbain. https://www.rts.ch/.../temps.../5704817-le-mal-de-ville.html
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Je reviens ENCORE une fois à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ). On est en 2017 et comme ce blog est né en 2017, j’arriverai donc au bout de cette présentation.
Marseille en juillet. Au MuCEM, il y a l’expo “Aventuriers des Mers” :
- “Le Bon Pasteur" en ivoire - Goa, XVIIe s.
- bézoard (concrétion animale) sur filigrane d'or - Goa, XVIIe s.
- les 2 suivantes : table de communion en bois de rose et ébène - Gujarat, 1600
- les 3 dernières : “Arrivée de Vasco de Gama à Calicut" - soie et laine - Tournai, XVIe s. (des chameaux, des autruches, une licorne ?!)
#souvenirs#marseille#MuCEM#expo#aventuriers des mers#renaissance#inde#goa#portugal#bon pasteur#ivoire#bézoard#concrétion#or#table de communion#marqueterie#bois de rose#ébène#gujarat#tournai#vasco de gama#calicut#tapisserie#licorne#chameau#autruche
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Jessica Biel for Cosmopolitan France - August 2007
ELLE A 25 ANS, UN CORPS DE REVE, LE COEUR DE JUgTIN TIMBERLAKE, UNE CARIERE EN PLEINE EXPANSION. VERIFIEZ-LE DES LE 29 AOUT DANS “QUAND CHUCK RENCONTRE LARRY ». Par Marie Henrio
EIle est belle, blonde, sportive, souvent en bikini et de plus en plus près de Justin Timberlake... Non, ce n'est pas Cameron Diaz, et Hollywood n'a pas attendu pour la repérer qu'on la voie dans les photos floues des paparazzi : Jessica Biel enchaine les films. L’an dernier, le magazine americain Esquire, l'a sacrée « Femme la plus sexy du monde», et ce mois-ci elle s'affiche en maillot de bain trés hot en couverture de GQ». Ce qui aurait ete difficile, Justin, c'etait de la louper. Justin? Juste un ami... Pendant cinq ans, on a bcaucoup vu Jessica avec l'acteur Chris Evans (les 4 Fantastiques »). Mais, depuis leur premiere rencontre, en decembre dernier, Justin et Jessica ne se quittent plus. Ils ont le même age, adorent le sport, les fiestas arrosées entre amis, et aucun d'eux ne rêve de mariage. D'ailleurs, ils tiennent à ce que les choses soient claires : Nous ne sommcs que de tres bon amis!» Excellents, même. Debut janvier on les a vus proches lors d'un concert du chanteur à San Diego. Une semaine plus tard, ils apparaissent colles-serres à la fete des Golden Globes. A la fin du mois, ils partagent la même suite au Festival de Sundance. Surement pour des questions d'organisation. Ou plutot un petit ami? C'est donc tout seul que Justin part en tournée en Europe. "Je n'ai pas le temps de jouer au joli cceur. " N'empêche que Jessica le rejoint en mai, à Manchester. Fin juin, les paparazzi les debusquent au grand hôtel The Dylan d'Amsterdam, ville romantique par excellence. Balades sur les canaux, restaurants gourmands, avant de partir pour Oslo, où Justin loue un yacht. Après le dejeuner à bord, enfin, les deux amoureux ne se cachent plus. Promenades main dans la main, baisers en public, plus personne ne peut l'ignorer, ces deux-la s'aiment. Mais qui es-tu, Jessica? Fille d'un conseiller en entreprise et d'une mère au foyer, la petite Jessica se destine à une carriere de chanteuse. A 9 ans, on la remarque dans des spectacles musicaux comme « Annie » ou « la Belle et la bete ». A 12 ans, elle gagne un concours de top models et commence a travailler comme mannequin. Quelques pubs suffisent attirer l'oeil du producteur Aaron Spelling, qui lui offre un rôle dans sa série tele «7 à la maison». Elle joue la fille ainée du bon pasteur Camden, une ado modèle qui defend les grandes valeurs morales americaines. Un tabac aux USA et une formidable opportunité pour la gamine de 14 ans qui, du fond de son Colorado, revait de cinema et de gloire. Mais, au bout de cinq ans, la jeune fille de 19 ans se sent etriquee dans le personnage trop lisse et trop previsible de Mary. Contrairement a elle, je ne suis pas un ange, j’étais devenue une jeune femme pleine de vie et on me faisait jouer une fille coincée. Si je l'avais croisee dans la rue, je lui aurais filé deux claques pour la faire reagir. Je voulais que le public comprenne que nous sommes deux personnel totalement differentes. J'avais envie de montrer mon cote sexy, sauvage... » Et, quand Jessica decide quelque chose, elle fonce. « Je ne baisse pas les bras facilement. Il faut parfois oser dépasser les limites pour obtenir ce qu'on veut vraiment. » Quitte a se mettre totalement à nu. En mars 2000, elle pose topless et sur des talons aiguilles pour le magazine « Gear ». Aaron Spelling demande à son actrice de revenir dans le droit chemin. Jessica ne veut rien entendre: «Il m'a dit : "Tu m'appartiens !” Mais je ne suis la propriete de personne!» Jessica fait son cinema. Elle quitte le petit écran pour le grand. Jessica sera une bimbo delurée dans « les Lois de l'attraction », puis la proie en tee-shirt mouille du tueur de « Massacre a la tronconneuse ». L'ex-teen-idol a gagne sa liberte et ne fera plus que quelques apparitions dans «7 a la maison. Au cinema, elle investit le creneau du « je suis belle mais je sais faire mal » avec un role de tueuse de vampires toute de cuir vetue dans « Blade 3 » (2004) et de pilote d'hélico en treillis sexy dans « Furtif». Par plaisir.« J'aime les roles physiques. Petite, j’étais un veritable garcon manqué. J'ai pratique beaucoup de sports et j'ai même été pendant six ans milieu de terrain dans une équipe de foot. Tout en faisant de la danse. » Aujourd'hui, Jessica dépose les armes et s'illustre dans un registre plus varié. Une comedie romantique, « Rencontres a Elizabethtown », aux cotes d'Orlando Bloom, un film en costumes, « l’illusionniste», avec Edward Norton, et pour la premiere fois une comedic, avec « Quand Chuck ren-contre Larry >>. Elle joue une avocate qui defend les droits des homosexuels et tombe amoureuse d'un de ses clients (Adam Sandler), qui feint de vivre en couple avec son meilleur ami, pour des raisons fiscales. « Cela correspond mieux a mon caractere. Je ne suis pas seulement la fille sexy des magazines.» Que ce son Clair. •
=> Ses parents, ses amis et ses partenaires l'appellent Jessie. Elle a des originns allemandes, amerindiennes, anglaises et... francaises.
=> Pour entretentr sa ligne, elle fait de la gym trois ou quatre fois par semaine, du yoga, et promene sa chienne, un pit-bull nomme Tina.
=> Elle a achete une cabane au Colorado, son lieu prefere.
=> Elle deteste se montrer nue a l'ecran et se fait doubler dans ses films.
=> Elle sera bientôt à l'affiche de Home of the Brave de Winkler, aux côtés de Samuel L. Jackson.
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Demain l’apocalypse
Le ciel est barbouillé de cinquante nuances de gris. Une épaisse purée de pois a effacé la ligne d’horizon. Le soleil et la lune se sont éclipsés. Pour rentrer chez lui, l’homme perd son chemin et ses clés en coupant par l’intérieur. Les médias regorgent de meurtres, d’adultères, de beuveries, d’éruptions volcaniques, de séismes sur l’échelle de Richter et d’autres catastrophes. En Afrique du Sud, où il pleut rarement, les gens médusés ont vu une pluie de grenouilles ou de crapauds. En tout cas de batraciens anoures. En Westphalie, un pasteur allemand s’est fait mordre par un berger. Allemand lui aussi. En Arabie saoudite, la mise bas des chamelles est retardée, comme le prévoit le Coran en signe précurseur de la fin du monde.
Tout porte donc à croire que cette fois c’est la fin. Les Juifs pensent que le Messie est sur le point de revenir. Il était déjà revenu plusieurs fois, notamment dans la personne de Sabbataï Tsevi en 1666, nombre de la Bête de l’Apocalypse. Cette année-là, les temps messianiques étant arrivés, les gens se mirent à vendre tous leurs biens et donnèrent le reste aux pauvres. Ce ne furent que brocantes, vide-greniers et marchés aux puces. Tout le monde comptait suivre le Messie en Palestine, où selon la prophétie les douze tribus d’Israël devaient se retrouver. Or l’échéance dut être reportée, parce que Monsieur Tsevi, menacé de la peine capitale par le sultan ottoman, renonça à son rôle messianique et sauva sa tête en se convertissant à l’islam. Ce ne fut donc que partie remise.
Aujourd’hui le calcul est réamorcé. Et c’est plus sérieux. Avec les guerres, les pandémies, le dérèglement climatique, comment ne pas croire à l’apocalypse ? C’est donc pour un de ces jours. La seule question qui reste, c’est quel jour, quelle date sur l’almanach. Afin d’en avoir le cœur net, j’ai consulté un cartomancien émérite. Il a bien voulu me tirer les tarots, a caressé sa longue barbe et m’a regardé d’un air consterné, comme s’il hésitait à révéler ce qu’il lisait dans son brelan. Il m’a même demandé si je persistais à vouloir connaître l’avenir. Sinon, on pouvait s’arrêter là et se quitter bons amis. Il ferait payer la séance à un tarif préférentiel. Mais comme j’insistais, il a de nouveau regardé ses tarots, a hoché la tête comme pour refuser sa vision, et m’a dit d’une voix de confessionnal : « C’est pour bientôt ! » Et comme si cela faisait partie de la même prophétie, il a ajouté, avec le verbe au futur : « Ce sera cinquante euros ! »
Ravi de savoir que les tarots de Marseille confirmaient mon appréhension, j’ai pourtant voulu obtenir quelques précisions sur ce « bientôt ». Pris dans son sens habituel, le mot dénote un avenir proche, une date qui exclut en tout cas une remise aux calendes grecques. Je suis donc allé voir Madame Irma, qui est une pythonisse hors pair. Elle n’a pas son pareil pour lire dans les astres, le marc de café et les lignes de la main. Ne pouvait-elle me donner une date plus précise, pour que je puisse rédiger mon testament, régler mes affaires en suspens et embrasser une dernière fois les miens ? A ma question « Est-ce pour bientôt ? » les oscillations de son pendule répondirent par l’affirmative. Sa lecture dans le marc de café confirma ce délai rapproché, sans qu’elle permît de cocher une date sur l’agenda. En déployant ensuite un éventail de thèmes astraux, elle perçut une avalanche de cataclysmes ultimes dans un avenir relativement proche. Restait enfin sa boule de cristal. Lorsqu’elle l’ausculta en plissant les jeux, elle y discerna un spectacle affreux, qui fit apparaître l’épouvante sur sa figure. Une même épouvante me saisit en apprenant le coût de la séance divinatoire. A payer en espèces !
Ne connaissant toujours pas la date ni l’heure, j’interrogeai les passants dans la rue. Car on a beau faire, l’homme aime bien croire au changement définitif. Rien ne lui est plus ennuyeux que le train-train quotidien. Dites-lui que vous voulez changer la vie, il votera pour vous. Annoncez-lui la fin des temps, il est prêt à vous suivre. Il lui faut des prophéties, des quatrains de Nostradamus, des calendriers Maya. C’est pourquoi aujourd’hui encore, il n’en démord pas : cette fois la chose est certaine. Dès lors une question se pose : faudra-t-il se réfugier sur le mont Ararat, où accosta jadis l’arche de Noé ? Ou sur un col de troisième catégorie du Tour de France ?
En attendant cette heure funeste, préparons-nous comme Noé. Mais au lieu de construire une arche, fabriquons un bateau à pédales ! Ou, mieux, un pédalo ! Car comme l’avoue la réclame : « Depuis des années, le pédalo est l’embarcation la plus fun sur tous types de plans d’eau. » Et des plans d’eau, s’il faut en croire la météo, il y en pleuvra comme à Gravelotte. Un seule consolation néanmoins : si nous sommes parmi les élus, il nous sera donné, comme à Brassens dans sa supplique, « de faire du pédalo sur la vague en rêvant ». Et de passer notre mort en vacances ?
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La pédagogie à toutes les sauces ( II ) : exemples vécus...
Deux traumatismes récents, le covid et les retraites, ont avec ''la pédagogie'', un point commun : le premier a été ''traité'' par une stratégie de la terreur, de ces peurs reptiliennes, paralysantes, que la civilisation avait réussi à calmer en nous. Il a réussi au delà de tout cauchemar... alors que le second –qui correspond, lui, à un véritable besoin-- a fait appel à l'intelligence et à la réflexion-- et il a complètement ''foiré'' ce qui est inquiétant : les gouvernants savent, désormais, sur quel sentiment s'appuyer pour imposer leurs lubies destructrices et leurs caprices mortifères...
1- Le covid, d'abord. C'était une nouveauté : jamais un fait aussi ''in-important'' et quasi-rituel (''une maladie'', plutôt moins mortelle que bon nombre d’autres) n'avait entraîné une débauche de folies indéfendables, et qui pourtant ont été suivies et acceptées... au point que les preuves de la perversité des mesures injustifiables imposées s'accumulant jour après jour, n’ont rien changé, en surface : des gens, parfaitement normaux par ailleurs, continuent de réciter des mantras démontrées fausses et de croire à leur bien-fondé, ce qui est inexplicable ! Nul doute que ce coup de folie sera étudié par les générations futures comme un cas d'école de la bêtise et de la crédulité de l'espèce humaine... s'il reste quelques humains pour se pencher sur les causes de ce ballon d'essai du suicide assisté de l'humanité...
Constat terrible : il ne se passe pratiquement pas de jour sans qu'on n'apprenne (parents ou amis), un décès, un accident imprévisible (?), ou le réveil d'une maladie jusque là calme... Aucun signe précurseur et un ciel sans nuage qui, soudain, tombe sur la tête, et comme par hasard dans les jours qui suivent une 5 ème ou une 6 ème injection de ce produit qu'une grosse entourloupe sémantique permet désormais de désigner par ''vaccin'' (NB - C'est simple : il suffit de décider que le mot ''vaccin'' va désigner autre chose que ce qu'il voulait dire depuis Pasteur ( = ne pas attraper, ne pas transmettre, protéger le récepteur et le donateur dans tous les cas possibles, sans la moindre exception possible)... et le tour --de con-- est joué !). De plus en plus de gens se demandent ''in petto'' s’il pourrait exister un lien de cause à effet entre les deux membres de cette même séquence, mais refusent de l'évoquer tout haut : ils ne veulent pas voir... ce qu'ils voient !
Le processus dit ''pédagogique'' (en fait : la terreur) a réussi à faire croire que le fait d'enfermer des malades et des ‘’bien portants’’ dans une pièce close allait sauver les uns et protéger les autres... Au nom d'une anti ''science'' anthropophage portée par des pontifes aussi nuls que galonnés (qui rappelait parfois la ''science'' de Mengele, de Lissenko... ou Mister Hyde), on nous a privés des libertés les plus élémentaires (aller et venir, acheter, échanger, avoir un visage, se parler, sourire, embrasser sa vieille maman de 96 ans)... On nous a convaincus (dur, dur, de ne pas écrire ça en 2 mots !) que le virus attaquait toute personne assise sur le sable de la plage, mais pas ''debout''... qu'il était moins dangereux de faire la queue dehors, sous la pluie, dans le froid, que d'être plus de 2 dans une boutique... que pour soigner une détresse respiratoire, il fallait ''intuber'' les patients, ainsi devenus ''des condamnés''... que, pour aller jeter un Kleenex dans la poubelle à 20 mètres ou ''faire pisser Mirza'', il fallait s'écrire à soi-même une ''Autorisation dérogatoire'' rigoureusement inutile... qu'il était obligatoire d'assassiner ''les plus vulnérables'' au Rivotril (après quoi ils n'étaient de fait, plus vulnérables, puisque tout-à-fait morts !) Cette éclipse de toute raison et cette interdiction de toute intelligence ont contraint les français à endurer un ‘’Concours Lépine’’ d'idées imbéciles et inutiles, souvent mortifères... Et pourtant, la majorité a obéi à ces folies... voire milité en leur faveur... avant de tout oublier, très vite ! Je ne sais pas comment une seule personne a pu croire, une seule seconde, à tant d'absurdités !
Pire encore : nos ''savants'' –malfaisants et pervers-- nous ont interdit de visiter nos vieux parents de 90 ans et plus, qui en sont morts de désespoir (ce qui est moins grave que de mourir du covid)... Vingt fois par jour, des médecins dits ''chefs de...'' –donc des praticiens, pas des chercheurs sauf rares exceptions-- perdaient leur temps en paradant à la ''télé'', ressassant les mêmes âneries majuscules et nous saoulant de conseils débiles (se laver entre les doigts (de pied ?), n'éternuer que... dans son genou, porter un masque dont les mailles de 300µ bloqueraient un virus de 15µ, etc...). Que ne nous ont-ils dit, comme conneries absurdes, superfétatoires et sans objet ! Et un Pouvoir dépourvu de la moindre culture scientifique et de tout bon sens a couvert ces imbécillités de mots qu'il croyait valorisants : ''la science'', ''les expert'', ''la médecine'', ''les spécialistes''... puis a décoré les responsables de tous ces malheurs (mais il a ''black-listé'' ceux qui disaient des paroles sensées !).
In cauda venenum : depuis que tous ces scandales éclatent, nos Nuls-bâtés continuent à ânonner les mêmes contre-vérités, maintenant démontrées fausses. Le monde entier intente des procès aux menteurs et aux falsificateurs... pendant que nos ''responsables-coupables'' à nous persistent ''à emmerder'' ceux qui ont eu raison sur à peu près tout... Et pour pouvoir accuser ces visionnaires d'être des ''complotistes-sic'', ils fomentent des complots énormes, mais vrais, eux. Hier encore, par exemple, sur plainte du Parisien, la justice a contraint et forcé le gouvernement à rendre public un rapport (RETEX) de l'IGAS (Inspection Générale des Affaires Sociales) qui étrille la gestion macronienne de la soi-disant crise du covid, pendant que des hyènes et des charognards qui se disent journalistes continuent de fouiller les poubelles, puantes de ne plus être ramassées, pour tenter en vain de salir la belle image de ceux qui ont vu clair dès le début et ont osé le dire... Comme ils ne trouvent rien, ils fabriquent des bobards énormes. Pédagogie, dites-vous ? Les mots, décidément, ont vraiment changé de sens...
Comment, en cette ''Octave de Pâques'', ne pas penser à Saint Luc : ''Comme votre cœur est lent à croire��!'' (Lc 24-25) et, plus encore, à la Parole de Jésus à Thomas : ''Cesse d'être incrédule, et sois croyant !'' (Jn 20-27). Tout est dit, en une phrase : on savait, dès le début... mais certains, devant les preuves, continuent à préférer un faux légalisme mensonger à la ''vérité vraie'', et à condamner les messagers (c'est bien le cas de le dire !) qui en sont porteurs !
2- La réforme des retraites : ce second ''cas'' va aller plus vite, d'abord parce que il est encore loin de son dénouement, la décision du Conseil constitutionnel présidé par Fabius –con-fraternité oblige-- n'étant qu'une étape dans la lutte que le peuple français mène, avec le désespoir des ''dernières chances'', contre un pouvoir qui se fout pas mal de lui, dans sa poursuite de dystopies sinistres (et on ne rappellera jamais assez que ''sinistre'' veut dire ''de Gauche'' !), et ensuite parce que c'est sans doute la dernière fois qu'on va voir l'appel à l'intelligence être utilisé dans ce genre de techniques de viol des foules, cette forme de ''pédagogie--sic'' ne fonctionnant ostensiblement pas... alors que la trouille basique a été démontrée si efficace !
Le soi-disant Grand-œuvre des progressistes, modernistes, mondialistes, et autres ''serial-killers'' dystopistes, est en vérité un cauchemar : couper l'homme de toute structure ''à taille humaine'', au profit --pour personne-- d'une impossibilité de rattachement, ce qui le laisse désarmé, à la portée des prédateurs transhumanistes qui rêvent de le voir réduit à... ce qu'il n'est pas. Et une poignée de vampires ultra puissants, ultra riches, ultra pervers et ultra inhumains régneraient alors sur le milliard et demi d'humains (contre 8 aujourd'hui !) à qui ils laisseraient un droit de vivre... (NB - Leur rêve fou s'appelle ''the great reset'', la grande réinitialisation, et il est en vente partout, au prix de 18€50 –ce qui n’est, au fond, pas cher, pour savoir quand est la fin d'un monde et ce que des dingos envisagent, pour le remplacer)..
Mais là... il n'est plus question de ''pédagogie'' : le ''top-départ'' de la phase qui va organiser l'étape finale de la fin de l’Homme avec un grand H doit être tenu secret. Et n'était quelques ''complotistes'', personne n'en aurait rien su. Pas grave ! Ceux-là, on va les museler : leur voix résonnera dans un désert médiatique : l'homme, une fois privé de son âme, se vend aussi facilement qu'il s'achète. Triste époque !
H-Cl.
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