#relation à distance
Explore tagged Tumblr posts
Text
À la machine
La conversation plastique, Écran bleu de désarroi, Clôt le drame numérique, Les signaux mixtes chauds-froids D’une imprécise liaison À proxémie émotive, Ne guettant que l’horizon, Naviguant à la dérive.
Je me sens un vieux torchon, Emmêlé dans mes bobines, Presque à chanter du Souchon Et l’amour à la machine. Faut-il que je sois maso, Gravant mes amours onciales Sur d’asynchrones fuseaux, Distanciation asociale.
#french poetry#poésie#poesie#poème français#poètes sur tumblr#écrire#nanowrimo 2024#napowrimo#cendres#rupture#relation à distance
2 notes
·
View notes
Text
Comment maîtriser ses sentiments d'amour ?
Comment maîtriser ses sentiments d'amour pour être indépendant ? Cet article explorera diverses stratégies pour maîtriser ses sentiments d'amour, en s'appuyant sur des exemples concrets pour illustrer chaque point.
Introduction Comment maîtriser ses sentiments d’amour ? La maîtrise de soi est une compétence cruciale dans de nombreux aspects de la vie, notamment dans les relations amoureuses. La capacité à gérer ses sentiments d’amour est essentielle pour éviter de se faire manipuler et pour devenir indépendant émotionnellement. Cet article explorera diverses stratégies pour maîtriser ses sentiments…
#Comment maîtriser ses sentiments amoureux#confiance en soi#déception amoureuse#Développement personnel#Gestion des émotions#maîtrise de soi#maîtriser ses sentiments#relation à sens unique#relation amoureuse#Relation amoureuse à distance#Relation matrimoniale#relation toxique
0 notes
Text
Conseils pour raviver la flamme et reconquérir son ex
Le marabout Jean Legbavinon a des dons naturels qu’il a hérité de ses ancêtres également marabouts.En effet ces dons lui permettent de venir en aide à ces prochains. Il peut donc résoudre tous les problèmes pour les gens qui se posent les questions comme comment attiser la flamme pour recuperer ma femme. Il résout tous les problèmes que les personnes normales peuvent rencontrer dans tous les…
View On WordPress
#c’est quoi l’envoutement#Comment attiser la flamme pour récupérer ma femme#comment envoûter un homme avec sa photo- comment envoûter une femme avec sa photo#comment envoûter une femme pour qu&039;elle vous aime#comment envoûter une fille a distance#comment envoûter une fille pour coucher avec elle#comment envoûter une fille qu&039;on aime#comment envoûter une personne#comment envoûter une personne a distance#comment envouter un homme a distance#comment envouter un homme avec sa photo#comment envouter un homme avec son nom#comment faire pour qu&039;il revienne de lui même#comment faire pour que ma femme m&039;aime#comment faire revenir lêtre aimé avec une photo#comment faire revenir quelqu&039;un avec une photo#comment faire revenir son ex avec du sel#comment faire revenir son ex avec une photo#comment faire revenir son ex à distance#comment faire revenir son ex par la pensée#comment faire revenir son ex rapidement#comment faire revenir son ex sans lui parler#comment faire revenir un homme par sms#Comment maintenir la flamme dans une relation longue durée#comment prouver son amour à un homme blessé#comment raviver la flamme par sms#comment récupérer son ex copain#comment récupérer son homme en 1 semaine#comment récupérer son mari ou sa femme#comment récupérer un homme qui ne veut plus de vous
0 notes
Text
Expert et spécialiste en Retour affectif
Vous êtes nombreux à souhaiter rencontrer un bon marabout, fiable et expérimenté, apte à retourner une situation préoccupante à leur avantage. De toute façon, Medium Djemey fait revenir l’être aimé quel que soit le degré du problème. Il réalise des puissants rituels d’amour avec ou sans photo, des rituels de magie blanche ou magie noire. Vous retrouverez absolument votre bien aimé. COMMENT…
View On WordPress
#combien de temps pour un retour affectif#COMMENT AMÉLIORER SA VIE AMOUREUSE ?#Comment augmenter l’amour dans un couple à distance#Comment booster sa vie de couple ?#comment entretenir l’amour dans un couple#comment entretenir une relation amoureuse à distance#Comment faire de la magie rouge ?#comment faire des efforts dans un couple#Comment faire pour améliorer une relation amoureuse ?#comment récupérer son ex après l’avoir fait souffrir#comment reconquérir son ex même si la situation est désespérée#comment reconquérir son homme après l’avoir déçu#Comment renforcer une relation amoureuse ?#comment savoir si il est possible de récupérer son ex#GAGNER LE COEUR D&039;UNE PERSONNE SECRET#récupérer son ex en 24h#récupérer son ex quand tout semble perdu#reconquérir son ex#retour affectif qui fonctionne#retour affectif qui fonctionne avis#Spécialiste Mondial du Retour d&039;Affection
0 notes
Text
Comment raviver la flamme de l'amour avec un retour affectif puissant?
Lorsque les flammes de l’amour commencent à vaciller, il est naturel de vouloir raviver la passion et retrouver l’être aimé. Le retour affectif puissant offre une approche spirituelle pour restaurer les liens émotionnels et retrouver une relation épanouissante. Dans cet article, nous explorerons différentes techniques et rituels de retour affectif pour vous aider à retrouver l’amour perdu. 1-…
View On WordPress
#amour retour#Astrologie et retour affectif#Combien de temps faut-il pour obtenir un retour affectif#Comment faire revenir son ex#Conseils pour raviver la flamme dans une relation#L&039;importance de la visualisation dans le retour affectif#Magie blanche pour le retour de l&039;être aimé#maitre marabout#marabout africain#marabout medium voyance#marabout puissant#marabout voyant medium#Prière pour le retour de l&039;amour#Recettes de sorcellerie pour retrouver son partenaire#Retour affectif à distance : est-ce possible#retour affectif immediat#Retour affectif puissant#retour affectif serieux#retour de l&039;être aimé en 24h#retour de l&039;être aimé prière#Rituel de retour affectif#Sortilège de retour affectif#Symptômes et signes d&039;un retour affectif réussi#Témoignages de réussite en retour affectif#Techniques de retour affectif efficaces
0 notes
Text
Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance
Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance Le professeur Badou est un professionnel reconnu du maraboutage africain. A votre écoute et à votre service, Il est l’homme de confiance qui sera en mesure de vous apporter une aide précieuse afin de résoudre les divers problèmes de votre existence : les conflits familiaux, le retour d’un être aimé, des révélations sur les événements futurs…
View On WordPress
#briser un couple rapidement#briser un couple témoignages#célèbre marabout medium en Belgique#Comment arrêter une relation sans avenir#comment briser l’amour#comment briser le couple de son ex#comment briser un couple avec la magie#comment briser un couple facilement#comment briser un couple rapidement#comment briser un couple sur facebook#comment casser un couple#comment envouter une personne a distance#comment faire pour briser un couple#comment faire revenir son ex avec une photo#comment faire revenir son ex copine#comment faire revenir son ex qui est en couple#comment faire revenir son ex sorcellerie#Comment mettre fin à une relation virtuelle#Comment rompre à cause de la distance#comment rompre les liens de l’amour#Comment savoir quand il faut rompre une relation à distance#comment savoir si un retour affectif fonctionne#détruire un couple a distance#faire revenir l&039;être aimé par la pensée#faire revenir son ex avec bougie blanche#faire revenir son ex magie avis#faire revenir son ex par la pensée#faire-revenir-son-ex-magie-marocaine#forum retour d’affection qui fonctionne#grand voyant medium africain
0 notes
Text
turkey day • jules koundé one shot
SYNOPSIS: Jules experiences his first American Thanksgiving.
WARNINGS: cursing, family stuff, and abundance of thanksgiving food, fluff, boyfriend!jules
PAIRINGS: Jules Koundé x Maya Richardson (fc @/Ebonee Davis)
TAGLIST: @hopefulromantic1 @lettersofgold @sinflowersugar @mauvecherie-writes @queenshikongo3 @perfecttrashface @alika-4466 @peyiswriting @leilaxaliel @serpenttines-library @certifiedlesbianbaddie @niahxo @julescpu @jack0357 @chaoticcoffeequeen @greedyjudge2 @yeea-nah @saturnville @taytropicana @trentswrld @cranberryjulce @vile-harlot @2serenity0 @elyseesarchive @peaceiswonderful
A/N: I will be gone/offline on Thanksgiving so I figured to write something for y’all for Jules. Also thank you for 2,500 followers!!! This is insane 💕
Jules Koundé checked his watch for the third time in as many minutes, his carry-on Rimowa suitcase beside him as he waited in the private terminal of Barcelona-El Prat Airport. The early morning November air was crisp, and his mind wandered between the upcoming match against Las Palmas and the whirlwind journey he was about to embark on. Forty-eight hours in Atlanta – just enough time to experience his first American Thanksgiving with his girlfriend Maya's family before rushing back for the game.
"You know you don't have to come," Maya had said when he first suggested the trip. "My family will understand." But Jules had insisted. After dating for a year and a half, mostly long-distance while she finished her PhD in International Relations at Oxford, he wanted to meet the family she spoke about with such warmth and humor in their late-night FaceTime calls.
The private jet, arranged by the club, would make the tight schedule possible. As he settled into his seat, Jules pulled out his phone to reread Maya's latest text: "Daddy's already planning to show you 'real' football 😂 Just smile and nod, baby. Just smile and nod."
The flight passed in a blur of sleep, movies, and light training exercises in the cabin. When they touched down at Hartsfield-Jackson, Maya was waiting in a private lounge, wrapped in a cream-colored pullover that complemented her dark skin perfectly. Her braids were styled differently than when he'd last seen her three weeks ago in Barcelona, now arranged in an elegant updo.
"Bienvenue à Atlanta," she said with an exaggerated French accent that made him laugh as he pulled her into an embrace then kiss to her temple.
"Your accent is terrible," he murmured into her hair, breathing in the familiar scent of her Shea Moisture hair products.
"Yeah, well, your English was terrible when we first met, so we're even," she teased, leading him toward the parking garage where her car waited.
The drive to her parents' house in the affluent suburb of Cascade Heights took them through Atlanta's ever-changing landscape. Maya pointed out landmarks from her childhood – her old high school, the church where her grandfather had preached for forty years before retiring, the soul food restaurant where her family gathered after every major event.
"Now remember," she said as they turned onto a tree-lined street of impressive homes, "my Daddy's gonna try to intimidate you because that's just what he does. Mama will try to feed you until you burst. And my brothers..."
"Will try to determine if I'm worthy of their baby sister," Jules finished, having heard this warning before. "And your grandfather will question my profession."
"Exactly. And with all my cousins coming..." She glanced at him apologetically. "It might get a little overwhelming."
Jules reached over to squeeze her hand. "I play in front of 90,000 people at Camp Nou. I think I can handle your family."
Maya's laugh was cut short as they pulled into a circular driveway where several cars were already parked. "We'll see about that."
The door opened before they reached it, and a statuesque woman who could only be Maya's mother emerged, arms outstretched. "This must be Jules!"
Dr. Angela Richardson, a respected cardiothoracic surgeon, enveloped Jules in a warm hug before he could even attempt a formal greeting. "Come in, come in! Everyone's dying to meet you!"
By "everyone," she apparently meant the small crowd gathered in the two-story foyer. Maya's father, Miles Richardson, stepped forward first – a tall man with graying temples and an athletic build that suggested his college football days weren't too far behind him. His handshake was firm but not challenging, his smile genuine if slightly reserved.
"Welcome to our home, young man. Maya tells us you play... soccer?" The slight pause before "soccer" made Jules bite back a smile.
"Yes, sir. For Barcelona and the French national team."
"Hmm," was all Miles said, but Jules caught the slight widening of his eyes at the mention of the national team. From what Maya had told him, her father had made it to the NFL combine before a knee injury ended his career, so he at least understood the significance of representing one's country.
The introductions continued in a whirlwind: Maya's twin brothers Miles Jr. ("MJ") and Michael, both successful attorneys; their wives; a handful of young children who regarded Jules with wide-eyed curiosity; and finally, her grandparents.
Reverend Richardson, Maya's paternal grandfather, was a commanding presence despite his advanced years. "So," he said, peering at Jules over his glasses, "They call it football over there. Is that true?"
"Yes, sir."
"Well, we're about to watch some real 'football'. Lions versus Bears. Traditional Thanksgiving game. You might learn something."
Maya's grandmother, Ernestine, swatted his arm. "James, leave that boy alone. He's tired from his flight." She turned to Jules with a warm smile. "You just ignore him, sugar. Now, have you eaten? You look too skinny."
Before Jules could respond, Maya intervened. "Grandma, he's a professional athlete. He has to maintain his weight."
"Professional athlete?" came a new voice as one of Maya's cousins entered the foyer. "Man, what you bench press?"
Jules exchanged an amused glance with Maya. This was going to be interesting.
The next few hours passed in a blur of activity. The women congregated in the kitchen, putting final touches on tomorrow's feast, while the men gathered in the massive family room around a television that seemed larger than some movie screens Jules had seen. The Bears-Lions game played out before them, and Jules found himself genuinely interested in the strategic elements of American football, even if the constant stops and starts felt foreign to him.
"See, now that's football," Reverend Richardson commented during a particularly impressive touchdown play. "None of that running around for ninety minutes without scoring."
"Actually, Papa," Maya's brother Michael chimed in, "I looked up some of Jules' highlights. Man's got skills." He pulled out his phone and pulled up a compilation video of some of Jules' best defensive plays and goals for Barcelona.
The room fell silent as they watched Jules execute a perfectly timed sliding tackle before launching a counterattack that led to a goal. Even Reverend Richardson leaned forward in his seat.
"Well, I'll be damned," he muttered, then quickly corrected himself. "Lord forgive my language. But son, that was impressive."
Jules ducked his head modestly. "Thank you, sir."
The evening wound down with a lighter dinner of soup and sandwiches, everyone saving room for tomorrow's feast. As they prepared for bed – Jules in the guest room, Maya down the hall in her childhood bedroom, her father's rules being what they were – Maya slipped in to say goodnight.
"You survived day one," she said, perching on the edge of his bed.
"Your family is wonderful," he replied honestly. "Loud, but wonderful."
"Just wait until tomorrow when everyone else shows up."
The next morning dawned bright and clear. Jules woke early, maintaining his training schedule with a light workout in the Richardsons' home gym, where he found Maya's father already on the treadmill.
"Early riser?" Miles asked.
"Have to be, sir. Game day or not, routine is important."
Miles nodded approvingly. They exercised in comfortable silence until Maya appeared in the doorway, still in her pajamas, looking between them with suspicious amusement.
"Y'all better get ready. Mama's already in the kitchen, and the first wave of family will be here in two hours."
Jules showered and dressed carefully in dark chinos, a teal cashmere sweater, and polished brown dress shoes. When he emerged from the guest room, he caught Maya staring.
"You clean up nice," she said, drinking in the sight of him. She'd changed into a burgundy wrap dress that made Jules momentarily forget about football, family, and everything else. "I can say the same about you, bébé."
She giggled as he pulled her in for a kiss. Her lips slanted against his, feeling pillowy soft and addictive as usual. Jules let out a satisfied groan as he felt her fingers caress his chest, but it dissolved quickly to a huff when she pulled away.
"My family, baby," was her response and she fixed his sweater. "We can’t get too carried away."
True to Maya's warning, the house soon filled with extended family. Cousins, aunts, uncles, and family friends streamed in, each carrying dishes and each wanting to meet "Maya's French soccer player." Jules lost count of the handshakes, hugs, and variations of "Boy, you really got an accent, don't you?"
The Thanksgiving meal itself was a revelation. Jules had researched American Thanksgiving traditions, but nothing had prepared him for the sheer abundance of food or the specific traditions of a Southern Black family's celebration. Before eating, everyone joined hands as Reverend Richardson said grace, a lengthy prayer that touched on everything from family bonds to the state of the world to blessing "this young man who's traveled so far to be with us today."
The food was unlike anything Jules had experienced: deep-fried turkey ("Better than that dry oven-baked stuff," Maya's uncle insisted), collard greens, cranberry sauce, fresh homemade biscuits, mac and cheese that three different aunties claimed was their specialty, yams, and dishes whose names Jules couldn't quite catch but whose flavors exploded on his tongue.
"You got to put hot sauce on those greens," Maya's cousin Brandon advised, sliding a bottle of Crystal hot sauce his way. "Trust me."
Throughout the meal, Jules found himself fielding questions about his career, his family back in France, and his intentions toward Maya. The last topic came primarily from her brothers and male cousins, delivered with smiles that didn't quite hide their protective instincts.
"So, when you planning to make an honest woman of our Maya?" her cousin Marcus asked, causing Maya to choke on her sweet tea.
"Leave them alone," Maya's mother intervened. "They're young, they're taking their time."
But Jules caught the interested glance she threw his way and made a mental note to speak with Maya's father at his next visit. The small velvet box hidden in his home back in Barcelona suddenly felt more real.
After the meal, while the women managed the cleanup with military precision ("Don't you even think about helping, baby," Maya's grandmother shooed him away), Jules found himself in the family room surrounded by Maya's cousins. They'd shifted to sports talk, with him explaining the Champions League system to increasingly interested listeners.
"So it's like March Madness, but for a whole season?" one of Maya's cousins, Amir, asked.
"Kind of, yes," Jules nodded. "But with the best clubs from all over Europe."
"And you play for one of the best ones?"
"Barcelona is... yes, one of the best," Jules admitted modestly.
"My man!" Several of the cousins exchanged high fives and daps, apparently deciding that dating a player from one of Europe's elite clubs made Maya's choice acceptable.
"Alright, alright, you listen to music, Jules?” another one of Maya's cousins, DeAndre, leaned forward, a mischievous glint in his eye. "What rappers you listening to?"
Jules straightened up, an amused smile playing on his lips. "Probably the same as you."
This got a round of laughs, but Trey, who'd been quiet until now, smirked and said, "Well, I guess old Kanye was right – 'niggas do be in Paris.'"
The room erupted in laughter, and Jules couldn't help but join in, appreciating how quickly they'd made him feel like part of the family. Marcus then leaned forward, squinting at Jules intently.
"You know, now that I'm really looking at you... you look just like J. Cole."
MJ walked in at that moment, balancing his second helping of sweet potato pie. "Man, just because he's light skin and got dreads doesn't mean he look like J. Cole," he said, shaking his head as he settled into an armchair. "So, Jules, how you liking Atlanta so far? First time here, right?"
"Yes, but my best friend Aurélien visited before. He said he loved it." Jules nodded, shifting in his seat. "I'm enjoying it a lot," he continued, choosing his words carefully. "I really like how Black it is here. It's different from Europe. Though I'm disappointed I won't get to see Maya's alma mater, Clark Atlanta, this trip."
"Man, you gotta come to Homecoming next year!" DeAndre exclaimed. "That's when Atlanta really shows out."
Jules smiled, genuine interest crossing his face. "I'll check my schedule. The football calendar is pretty rigid, but maybe during the international break..."
"So what did your boy Aurélien think about Atlanta?" Trey asked, a knowing look in his eye. "What spots did he hit up?"
Jules scoffed, shaking his head as memories of his conversations with Aurélien from three years ago flooded back. He tried his best to censor himself, careful with his words. "He, uh... he really enjoyed the food. Especially the lemon pepper wings..."
The cousins and Maya’s brothers exchanged knowing looks, immediately catching the careful way Jules was choosing his words. Marcus started laughing first.
"Magic City’s wings, huh?" he said, wiggling his eyebrows.
"The wings..." Jules maintained diplomatically, though a smile tugged at his lips. "Aurélien has a... particular appreciation for certain aspects of Atlanta culture."
"Oh, you mean big booties," Trey said plainly, causing everyone to burst out laughing again.
MJ nearly choked on his sweet potato pie. "Y'all are terrible. Don't go telling our grandparents about your friend's 'cultural appreciation.'"
Jules raised his hands in mock surrender. "Listen, I just came for Thanksgiving dinner and family time. What Aurélien did on his own time..."
"Man speaks facts," DeAndre nodded approvingly. "But for real though, when you come back for Homecoming, we're gonna show you the real Atlanta. The clean version," he added quickly as MJ shot him a look. "Can't have Maya coming for our necks."
The next morning brought another new experience: Black Friday shopping. Maya insisted it was a crucial part of the American Thanksgiving experience, though Jules suspected she just wanted to see his reaction to the chaos. They joined her mother and sisters-in-law at the crack of dawn, fighting crowds at Lenox Mall.
"This is... intense," Jules commented as they watched two women nearly come to blows over a discounted designer bag.
"Welcome to America, baby," Maya laughed.
The shopping expedition was followed by service at Reverend Richardson's old church, where Jules found himself the center of attention once again. The congregation welcomed him warmly, though more than a few elderly church ladies sent meaningful looks Maya's way when they noticed the way Jules' suit fit him.
All too soon, it was time to leave on Saturday morning. Jules had a flight to catch, a match to prepare for. As they said their goodbyes, each family member hugged him like they'd known him for years rather than days.
"You come back soon, you hear?" Maya's grandmother said, pressing a container of leftover sweet potato pie into his hands. "And don't you worry about your figure just this once."
Reverend Richardson shook his hand firmly. "Next time, we'll teach you about real football properly," he said with a wink. "But I suppose your kind of football isn't so bad either."
Maya's father pulled him aside for a moment. "You take care of our girl," he said simply. "And maybe next time, stay a little longer."
In the car on the way to the airport, Maya was unusually quiet.
"Everything okay?" Jules asked.
"More than okay," she smiled. "They love you. Even Daddy, though he'll never admit it directly. And Papa actually watched some more soccer highlights after you went to bed last night."
Jules laughed. "Your family is... they're special."
"Special crazy or special good?"
"Special perfect," he said, taking her hand. "Though I might need a week to recover from all the food your grandmother insisted I eat."
"Please, I saw you getting seconds of that mac and cheese. Don't even front."
As the plane took off a few hours later, Jules thought about the whirlwind visit. He'd faced some of the world's best strikers, played in front of massive crowds, dealt with intense media scrutiny. But somehow, winning over Maya's family felt like his greatest victory yet.
His phone buzzed with a message from Maya: "Daddy just said he might come watch one of your games sometime. I think that means you're officially family now 😘"
Jules smiled, already thinking about his next visit. Maybe by then, that little velvet box wouldn't be hidden away in Barcelona anymore. But first, he had a match to win against Las Palmas. After all, he couldn't disappoint his new American family who might be watching.
#emjayewrites#jules lore#jules kounde#jules kounde x black reader#jules kounde x black oc#jules kounde fanfic#jules koundé fan fiction#footballer x black reader#football x reader#footballer x reader#fc barcelona fanfic
109 notes
·
View notes
Text
Ménage à Trois-eight
*credit to whoever created the gif. found on google/pinterest*
Pairings: Steve Rogers x Bucky Barnes x Reader
Warnings: SMUT!! 18+ only please, swearing, angst, fluff. M/F/M relations.
Summary: Bucky has a proposition for Reader, something involving Steve. This trio, however, never expected for their lives to change after that night the way it had.
A/N: Phew, just filthy smut ahead ;) Tags are open!
Tags(open): @matisse030502 @buckystevelove @floral-recs @inlovewithametalarm @buckies-dolle @cjand10 @matchat3a @kamaria-sweet-writes @pono-pura-vida @miikayywhocares @kunaikunari @mousee555 @akmenia @pono-pura-vida @ezraa-the
My feet paced my apartment back and forth, my heart racing with so much worry I kept running my hand through my hair. It had been a few hours since I last saw Steve before he ran off after the shooter. I had little time to react to what happened because Colonel Philips whisked me away in the car telling the driver to take me straight home. Whatever questions I had gone unanswered in the haze of the chaos.
Dr. Erskine was dead. That was the first time I had seen a dead body and his lifeless eyes stared back at me before Colonel Phillips wrapped an arm around me, pulling me away.
The shooter escaped, not before taking the last vial of the bright blue serum. Both Steve and Peggy ran after him to do only god knows what. I understood Steve cared for the Doctor but he shouldn’t have gone after the shooter. Even if he was a super soldier now, he did not know how the serum affected him yet.
What if he fainted and was lying in the street?
What if the serum had failed, and he got shot?
I shook my head at the thought and forced myself to stop pacing, taking in a deep breath before letting it out low and slow.
Steve would be fine, I thought to myself. He’s a super soldier now. He’ll be alright.
Suddenly, the door to my apartment busted open, and I walked a very pissed-off Steve. Any anger I had built up ready to attack him faded the moment I saw how sad his eyes were.
“Oh, Stevie,” I sighed.
When his eyes landed on me, everything bad that was weighing heavily on his shoulders faded away and he closed the distance between us in two very large steps. Strong arms wrapped around my back and I breathed in his scent. My hands sprawled over the large muscles in his back and given any other circumstances, I would have marveled at the way they felt beneath my fingertips.
“Are you alright?” Steve asked into my hairline, leaving a few kisses there.
I nodded while pressing my face deeper into his chest. “Yeah, I’m okay. Colonel Phillips put me in a car right away and I’ve been here the last couple of hours.”
He breathed. “Good.”
I peered up at him, not being used to the sudden change in height. Before, I would stand a few inches over Steve. Now, he was the one towering over me.
“What happened?” I asked.
His muscles tensed with anger but my soft touch eased it slightly.
“The shooter killed himself,” Steve said.
My eyes doubled in size. “Why the hell would he do that?”
Steve shrugged. “I’m not sure. But once I got back, Peggy forced me into a chair so they could take my blood. Fucking filled up eight vials so they can use it hoping to recreate Erskine’s serum.”
“What?” I gasped. “Steve, that’s a lot of blood to lose. How are you even standing right now?”
My hands cupped his cheeks so I could look into his eyes but he reassured me with a soft kiss to the inside of my palm. “I’m alright.”
We stayed in that position for a few more moments and much to Steve’s dismay; I pulled away slightly. A whine erupted from his throat so I linked fingers with him and began leading him to the bedroom.
“Stay with me tonight?” I asked as we passed through the doorway.
He eagerly nodded. “Nowhere else I would rather stay, doll.”
Even with the sly smirk, I knew Steve was hurting about Dr. Erskine’s death but I didn’t want to push him yet on how he was feeling. He would tell me if he wanted to.
Once in the bedroom, I motioned for Steve to sit on the bed. It was late in the evening and his eyes shone with exhaustion.
“I’ll find something of Bucky’s for you to where,” I said.
Before I could turn around, Steve linked fingers with mine and pulled me into his lap. My squeal echoed off of the walls. With his large hands grappling my hips, he buried his face into the crook of my neck.
“I don’t know what I would have done if you were the one who got shot,” Steve admitted with a shaky breath.
My heart sank low into my stomach, hearing how wrecked his voice was.
“I’m alright,” I rubbed his shoulders. “I’m right here.”
“Buck would have buried me alive if that happened,” he said with a dry chuckle.
As much as I wanted to deny it for Steve’s sake, I knew he was right.
I lifted his chin to look into my eyes. “He’s going to lose his mind when he finds out what you did.”
Steve nodded. “I know.”
“He’ll get over it once he sees how handsome you look,” I giggled while pressing our foreheads together.
He breathed me in, hands bringing me in closer to him. I let out a soft moan when my core rubbed against his cock. It wasn’t hard, still soft, but I could tell the action had the same effect on him. I ignored it, however, knowing that tonight probably wasn’t the night for sex.
So instead, I motioned towards the hallway. “I’m going to take a shower. Do you need anything?”
Without a word, Steve pressed his lips to mine in a gentle, slow kiss. The serum must have changed his lips because now they were fuller and tasted so fucking sweet on my tongue. I groaned into the kiss and wrapped my arms around his neck to deepen it.
“Doll,” he sucked on my bottom lip. “Don’t go.”
I giggled once more in his embrace. “I’m only going to take a shower.”
At the mention of me taking a shower, Steve’s now hard cock pressed against my core. I was still wearing my dress from earlier and with how I was sitting on his lap, the dress had ridden up giving his clothed cock access to my pussy that was still covered by my underwear.
“Steve,” I moaned.
“I need you, Y/N. Please.”
My stomach burned with desire at the way his voice begged for me and I felt my panties dampen with my wetness.
All he needed was a nod from me before Steve had my dress on the ground and laid me on the mattress. I stared up at him in nothing but my black panties and his eyes raked over me with such hunger it made my entire body shiver.
Steve’s lips were on my skin in a flash, leaving kisses and bite marks where ever he wanted to claim me. I didn’t mind, the feeling of his teeth biting into me brought a fire sensation straight to the middle of my legs and I moaned out his name when his tongue brushed across one of my nipples.
“Steve,” my hand scratched at his hair.
He worked my nipple for a few minutes, pulling the perky bud between his teeth before soothing the pain with his tongue. Below, his fingers grazed my slick folds over the confines of my panties and I raised my hip into his hand needing some kind of friction.
“Please,” I begged.
Steve’s mouth left my nipple before kissing his way up the valley between my breast, over the pulse point on my neck then he dragged his nose up over my chin and I leaned my head back into the pillow.
“Tell me what you want,” he groaned.
“I want-,” my voice gave out.
The sound of skin on skin bounced off the walls and I screamed out in pleasure, Steve smacking my ass once more.
“What do you want?” He grunted.
“I want you to eat me out,” I breathed out in one fast breath.
Steve’s smile faltered a bit. “I’ve never done that before.”
Suddenly, I remembered that he still wasn’t well versed in sex; me being in first.
“It’s like you’re fingering or touching me down there but with your tongue. Whatever you want to taste or do with it, go for it.”
I guided him with a hand to his head and shivered when his hot breath fanned over the wetness in between my legs. So slowly, Steve pulled down my panties before tossing them to the floor.
“Don’t overthink it, Stevie. Just do,” I said when I felt him tense under my touch on his shoulder.
And he did just that. A loud groan of pleasure crawled out of my lips when I felt the tip of his tongue press hard into the sensitive nub, tracing circles. My fingers raked through his hair while my hips raised into his mouth, needing more.
“Faster,” I panted. “You can lick faster.”
Steve obeyed, but it wasn’t quite enough. I needed more.
“Finger me,” I begged. “Please.”
This time, he didn’t hesitate. He dove right in; literally. With one finger buried deep between my walls and his tongue pressing those hard circles over my clit, I covered my face with my hands not wanting my orgasm to wash over me yet. I wanted to enjoy this feeling longer.
“Oh, fuck,” I moaned when Steve slipped another finger into me.
The new thickness was what my body needed to reach my climax, the blinding white orgasm crashing into me and I rode it out on Steve’s fingers and tongue. His name fell from my lips repeatedly in broken moans.
I lightly tapped his head to let him know he could stop but frowned when I felt the fullness of his fingers leave my pussy.
“Shit,” he muttered while licking my orgasm off of his lips. “Bucky always said you tasted so sweet. I thought he meant your kisses.”
My heart smiled at his innocence but now, innocence was gone. The only thing that filled the room was our pure desire for one another. Grabbing his fingers that were once inside me, I brought them to my lips and sucked off my juices, moaning around them.
“Fuck,” Steve cursed. “Doll, that’s the hottest thing I’ve ever seen.”
I let his fingers go with a pop before smiling up at him with hazy eyes. “You have seen nothing yet, Stevie.”
We made quick work of shedding his clothes and when he kneeled on the bed in nothing but his bareness; I took a few moments to take in his new body. His arms and chest were thicker, with more muscles. His abs rippled with definition under the light from the end table, his things were so fucking huge, they could probably suffocate me. But where my gaze lingered longer than the rest of his body was his now larger cock.
Even if he wasn’t hard, the size change was different. No longer was he short and thick but now he was longer and thicker; almost thicker than Bucky.
Hell, I had to admit it. He was thicker than Bucky.
“Oh fuck me,” I exasperated. “You’re fucking huge.”
Steve blushed. “I’ve never realized how dirty your mouth is, doll.”
I pushed him onto his back and straddled him. “Well, you’ve got a lot to learn.”
“What do you want?” I asked him now, wondering what he desired most at the moment.
Steve’s hand gripped the back of my skull, forcing me to look up at the ceiling while he sat up, teeth dragging over the skin of my neck.
“I want to fuck that pretty little pussy.”
I swear in that moment, I came a little over his cock with only his words.
“Well,” I cleared my throat. “I stand corrected. It seems as if you learned quite enough.”
Steve gave me a devilish grin before bending over to the end table and rummaging for a condom. He made quick work of it, ripping the wrapper open with his teeth and sliding the condom over his dick. I let out a low whistle.
“The new Steve has a lot of confidence, eh?”
All he did was give me a look and when I nodded, he slid into me and I hissed at the new pain.
“Are you alright?” Steve asked, halting his thrust.
I nodded quickly. “Yeah, keep going. I’ll get used to the size.”
He did what I said and listened intently to my moans. First, it came out strangled as I bit my lip, eyes closed tight. Then my hips moved in sync with his until finally a groan of euphoric bliss fell from my lips as I started riding his cock faster.
“So good,” I breathed.
Steve leaned against the headboard and then dug his nails into my hips, undoubtedly leaving marks. “You’re so tight, Y/N.”
Our movements were slow at first, enjoying the feeling almost as if it was our first time all over again. It was. The new Steve, the super soldier, was now losing his virginity.
Soon, our slow languid movements became fast and erratic. Steve wrapped an arm around me and pulled me closer to his chest.
“Can you handle it?” He muttered his question into the divet where my shoulder met my neck.
“Yeah, don’t worry about me,” I assured him. “I’m used to Bucky.”
That’s all Steve needed to hear before he slams up into me, the head of his cock hitting that spot. The veins on his cock scratched at my inner walls and I squeezed around him, a mess of curses and moans spewing from our lips.
“Fuck-so-good,” I breathed.
“You-take-me-so-well-doll,” Steve gritted out through each thrust.
My nails scratched at his shoulders. “Harder.”
He obeyed and with his cock slamming into me and his mouth working at the pulse point in my neck; I felt myself come undone all over him. My wetness spread all over his thick cock and I screamed out in pleasure, my orgasm wrecking through me.
“That’s a good girl. I’m so close,” Steve nibbled at my earlobe.
Exhaustion crashed into me but I didn’t let him know, I needed him to cum. With my head resting against his shoulder, I rolled and rocked my hips over him. The feeling made Steve lean his head back against the headboard, our movements causing it to slam against the wall behind us.
Great, can’t wait for my neighbors to complain about the noise.
“Cum for me, Stevie. I need you to cum for me,” I panted in his ear.
He did; so hard and fast I could feel him cum into the condom and I moaned.
“Yes,” I hissed, riding out his orgasm with him.
When his body stilled, I pulled away from his shoulder and cupped his cheek, looking into his eyes.
His once lust-blown pupils returned to their normal blue, and I smiled fondly at him. “That was good.”
Steve grunted in response, squeezing his arms around me, and slowly pulled himself out of me. We both sighed at the sudden loss of warmth. As he busied himself by running into the bathroom to dispose of the condom, I laid on the comforter, fatigue creeping up into me.
It had been such a long day, so many emotions and things went unsaid about what happened, then with the great sex, my body couldn’t fight sleep any longer. I was fast asleep before Steve came back into the room with a washcloth. He cleaned me up and then slide in behind me. He tossed the blanket over our exposed bottom half and then shut off the light, darkness encasing us.
“Sweet dreams, doll,” he muttered into my hairline.
The only response he received from me was my deep snores.
#stucky x reader#steve rogers x reader#bucky barnes x reader#bucky barnes#steve rogers#james buchanan barnes#captain america#chris evans#marvel#sebastian stan#james buchanan barnes x reader#bucky barnes fluff#bucky barnes fanfiction#bucky x reader#bucky barnes angst#steve rogers fanfiction#steve rogers smut#bucky barnes smut#stucky smut#stucky x reader smut
733 notes
·
View notes
Text
"Ma belle âme.
C’est parce qu’il y a cette distance entre nous que j’ose te dire les mots les plus amoureux, avouer mes élans, comme si un invisible gardien des secrets m’empêchait d’en parler quand tu es auprès de moi.
Je t’aime du bout du monde comme un navigateur désespéré qui saurait qu’il n’y a plus de côte, plus de terre où accoster, mais qui cherche encore et encore l’étoile du Nord…
Tu es cette étoile, une étoile tombée du ciel pour me séduire et rendre brillant tout ce qui se voile d’ombre et d’opacité. Je t’aime de cette manière désordonnée car je sais que le monde est fait de morales de circonstance, alors, autant les oublier et redéfinir pour soi et pour l’autre les codes du bien et du mal, laisser monter en nous la force d’aimer et la force de mal aimer, comme si elles étaient des lois écrites pour nous seuls, innocents et purs, choisis par un dieu n’aimant pas les relations publiques, pour que nous n’ayons pas à répandre la nouvelle de cela…
J’ai tellement espéré une femme qui ait la force d’une femme et la naïveté d’une jeune fille, que… c’est cela que je voulais te dire : cette espérance à trouver un visage et une âme, et ils te ressemblent.
De si loin, mon cœur bat pour vous."
Yves Simon
22 notes
·
View notes
Text
Comment rendre un homme fou amoureux à distance par SMS ?
Comment rendre un homme fou amoureux à distance par SMS ou en ligne ? Découvrez comment rendre un homme fou amoureux à distance par SMS ou en ligne grâce à des techniques efficaces de communication, de mystère et de connexion émotionnelle.
cet article est un complément de l’article précédent : Comment rendre un homme fou amoureux ? Introduction Avec l’essor des technologies et des réseaux sociaux, il est devenu plus courant de développer des relations à distance. Cela peut sembler un défi de faire naître et entretenir des sentiments forts uniquement par des messages. Cependant, avec les bonnes stratégies, il est tout à fait…
#Comment rendre un homme fou amoureux#Comment rendre un homme fou amoureux par sms#Comment séduire un homme ?#relation amoureuse#Relation amoureuse à distance#Relation amoureuse en ligne#techniques psychologiques
0 notes
Text
Il m'a dit ce qu'il estimait le mieux à faire pour nous, notre relation, durant mon voyage. Il m'a dit son point de vue de manière si neutre, sans émotion. Je n'ai pas compris, ça m'a donné envie de pleurer. J'ai arrêté de le regarder, j'avais besoin d'accuser le coup. Je lui ai dit que j'avais l'impression qu'il s'en foutait totalement. Ça l'a choqué. En fait, il ne voulait pas penser à tout ça. Il a été froid pour prendre de la distance avec ses émotions et ne pas se laisser submerger. Je commence à le comprendre. Il a horreur d'être dans les émotions, il essaye toujours d'être objectif et factuel. Quoiqu'il en soit, quand je lui ai dit que j'avais l'impression qu'il s'en foutait, je l'ai vu réfléchir. Puis les larmes lui sont montées aux yeux. J'ai embrassé délicatement ses joues et il s'est effondré. À partir du moment où il a commencé à pleurer, il n'arrivait plus à s'arrêter. Ça m'a vraiment choqué et brisé le cœur. J'arrête pas de me refaire la scène. On s'est pris tellement de fois dans les bras. J'avais envie de le serrer tellement fort, c'était jamais assez. Puis il m'a dit "viens on y pense plus, on profite tant qu'on est là à 2". Il a voulu me jouer "Blackbird" des Beatles et dès les premières notes, c'est moi qui me suis effondrée en larmes cette fois. J'avais réussi à ne pas craquer jusque là mais ça a été le déclencheur. On s'est fait des câlins en pleurant tous les 2 cette fois. Puis je lui ai demandé de recommencer à la jouer. Mes larmes ne s'arrêtaient pas mais c'était super beau.
(30/08/2024)
20 notes
·
View notes
Text
Reading the official French translation of volumes 8 and 9 has made me realize that this is supposed to be Akane repeating what Aqua once said to her:
It's way more obvious in the French translation, because they draw a parallel between both dialogues:
Aqua: Notre relation n'est pas réelle... elle est née pour les besoins d'une émission télé... Our relationship isn't real... it was born for a TV show.
Akane: Notre couple est né pour les besoins des caméras... Our couple was born for the cameras.
The French translation also goes extra hard when it comes to Aqua's monologue about Akane:
Here is how it goes in French: Je dois aussi réfléchir à mon avenir avec Akane... maintenant que je sais que mon père est mort, je n'ai plus besoin de la garder près de moi... Je pourrais exploiter son intelligence sans m'attacher à elle de façon égoïste, seulement... Non... Voilà justement pourquoi... Je ne peux pas rester attaché éternellement à cette fille, une fille jeune et pleine d'avenir.
While the beginning is pretty much identical, here is a literal translation of the rest: I could use her intelligence without selfishly getting attached to her, but... [Aqua thinks about the hug] No... That's precisely why... I can't stay forever attached to this girl. A young girl with a bright future ahead of her.
I bolded the lines that stood out the most to me. I feel like the French translation makes it extra clear that one of the reasons why Aqua wanted to put some distance between them is because he was already attached to Akane, and perfectly aware that if he kept her near, he wouldn't be able to stop himself from getting even more attached to her.
This is another one I really liked in French. Je ne peux pas... t'obliger à rester avec moi plus longtemps...
Which would give us: I can't... make you stay with me any longer...
#aquakane#not meta but#my aquakane meta#looking forward to how they translate the phonecall in volume 10#I think it comes out in February? gotta make a mental note to check that out#fandom: onk
50 notes
·
View notes
Text
Destinée Ensorcelée
Chapitre 4 : Le procès d'Alice
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Le matin était arrivé, baignant le paysage d'une lumière douce et dorée. Les rayons du soleil filtraient à travers les feuilles des arbres, créant des ombres dansantes sur le sol. Ivana, le regard perdu dans le lointain, s'éloignait lentement, ses pas feutrés sur le sol recouvert de rosée. Chaque pas semblait être une tentative de fuir non seulement Agatha, mais aussi les émotions tumultueuses qui bouillonnaient en elle.
Elle ne voulait pas rester à ses côtés, la colère l'envahissant comme une marée montante. Elle pouvait sentir son cœur battre plus vite, une pulsation irrégulière, comme si son corps savait que la confrontation était inévitable.
Le vent frais du matin jouait avec ses cheveux, les ébouriffant autour de son visage, mais elle ne se souciait guère de son apparence. Elle avait besoin d'espace, de solitude pour réfléchir, pour apaiser cette tempête intérieure. Chaque souffle semblait lourd, chargé de tension, et elle se sentait à la fois coupable et déterminée. La distance entre elle et Agatha grandissait, mais la colère persistait, comme une ombre insidieuse prête à surgir à tout moment.
Agatha détestait profondément le fait qu'Ivana s'éloigne d'elle. Chaque pas qu'Ivana prenait pour s'éloigner était comme un coup de poignard dans le cœur d'Agatha. Elle ressentait un mélange de frustration et de tristesse, son visage se crispant alors qu'elle observait Ivana s'éloigner.
Elle avait essayé de l'appeler, de briser le silence qui s'était installé entre elles, mais Ivana était restée froide, ses mots se heurtant à un mur invisible. Agatha pouvait voir la détermination dans le dos d'Ivana, une silhouette qui semblait se détacher. Cette indifférence affectait Agatha bien plus qu'elle ne voulait l'admettre. Son cœur se serrait à chaque instant, et elle pouvait sentir une boule d'angoisse se former dans sa gorge.
Ne pouvant plus supporter cette distance, Agatha prit une profonde inspiration, déterminée à agir. Elle se leva, son esprit en proie à un tourbillon d’émotions. Chaque pas vers Ivana était chargé de l'espoir de réparer ce qui avait été brisé. Agatha se fraya un chemin à travers l'herbe encore humide du matin, ses pensées s'accélérant. Elle savait qu'elle devait faire face à la situation, qu'elle ne pouvait pas laisser la colère et le silence définir leur relation.
Lorsqu'elle atteignit Ivana, elle sentit son cœur battre la chamade, une combinaison d'appréhension et de détermination. Agatha s'arrêta à quelques pas d'elle, cherchant les mots justes, prête à tout pour renouer le lien fragile qui les unissait.
Agatha, le cœur battant, s'approcha d'Ivana avec détermination. Elle attrapa doucement son bras, la dirigeant vers un coin tranquille, à l'écart des regards curieux. Les feuilles des arbres bruissaient doucement au gré du vent, créant une atmosphère presque intime.
Une fois à l'abri des autres, Agatha se tourna vers Ivana, plongeant son regard dans le sien. Elle pouvait voir la confusion dans les yeux d'Ivana, une lueur d'inquiétude mêlée à une pointe de défi.
« Qu'est-ce qui te prend ? » demanda Ivana, les sourcils froncés, sa voix trahissant une légère irritation.
Agatha ne put s'empêcher de lâcher un rire léger, presque nerveux. « C'est plutôt à toi de répondre à cette question, tu ne trouves pas ? » dit-elle, sa voix teintée d'une mélancolie douce. « Tu es si froide qu'on dirai la reine de glace»
Ivana, le regard défiant, croisa les bras devant elle, comme pour se protéger des mots d'Agatha. « Qu'est-ce que ça peut bien te faire ? » demanda-t-elle avec une voix teintée de mépris, sa posture raide.
Agatha, un mélange de frustration et de tristesse dans les yeux, répondit calmement. « Je te rappelle que c'est toi qui es venue me voir pour avoir de l'aide, Ivana. » Sa voix était ferme, mais elle essayait de garder une douceur, espérant apaiser la tension.
Ivana lâcha un soupir, presque exaspérée. « Oui, j'avais besoin de ton aide, mais ça ne veut pas dire que je dois être proche de toi. » Elle détourna le regard, comme si elle ne voulait pas admettre la vérité de ses propres sentiments.
« Et puis, je sais que tu vas finir par me trahir, » ajouta-t-elle, les mots sortant avec une amertume palpable.
Agatha, blessée par cette accusation, sentit son cœur se serrer. « Pardon ? Alors la c'est injuste. »
Ivana, toujours sur la défensive, ne répondit pas tout de suite. Elle semblait perdue dans ses pensées, mais Agatha pouvait voir la lutte intérieure dans ses yeux. C’était un moment chargé, où la confiance et la trahison se mêlaient dans un équilibre précaire.
Ivana éclata d'un rire amer, un son qui résonna dans l'air comme une note discordante. Elle s'avança d'un pas, son regard perçant fixé sur Agatha.
« C'est toi qui parles d'injustice ? » lança-t-elle, sa voix pleine de défi. « Tu m'as abandonnée, tout comme ma mère l'a fait. Et tu oses dire que c'est moi qui suis injuste ? »
Ses mots étaient chargés de colère, mais derrière cette colère se cachait une profonde tristesse. Ses yeux brillaient, trahissant une douleur qu'elle ne pouvait plus contenir. Agatha, face à cette explosion d'émotions, sentit son cœur se serrer.
Agatha observait Ivana, son cœur lourd de peine. Elle pouvait voir la colère sur son visage, mais c'était la tristesse dans ses yeux qui la touchait le plus. Chaque mot qu'Ivana avait prononcé résonnait dans son esprit comme un écho douloureux.
« Ivana, je… » commença-t-elle, mais elle hésita, ne sachant pas comment exprimer ce qu'elle ressentait.
Elle s'approcha lentement, cherchant à établir un contact, mais Ivana se détourna, son regard perdu dans le vide.
« Tu ne comprends pas, Agatha, » murmura Ivana, sa voix tremblante. « Ma mère m'a laissais, elle a choisi de sauvé le monde au lieux de sauvé sa famille et la seule personne vers qui j'aurai pus me retourné m'a laissais tomber. Et ne me parle pas du sors, tu as toujours été Agnes. Tu aurai pus resté à mes cotés au lieu de jouer les détectives. » Elle prit une inspiration et continua «Je ne sais même pas pourquoi je t'en parle. Ce qui est fait et fait.»
Agatha plongea son regard dans celui d'Ivana, et un frisson d'inquiétude parcourut son corps. Leurs yeux se rencontrèrent, et Agatha sentit son cœur se serrer à la vue de la détresse d'Ivana. C'était comme si chaque émotion de la jeune femme se reflétait dans ses prunelles, et cette vulnérabilité la touchait profondément.
Elle s'avança doucement, chaque pas semblant peser lourdement sur son âme. Les battements de son cœur résonnaient dans ses oreilles tandis qu'elle tendait la main, hésitante, pour replacer une mèche de cheveux qui tombait sur le visage d'Ivana. Ses doigts frôlèrent la peau douce et fragile de son visage, et Agatha ressentit une chaleur inexplicable à ce contact.
À cet instant, elle se rendit compte qu'elle appréciait cette proximité, cette intimité qui les unissait dans un moment si délicat. Mais une voix intérieure lui murmura qu'elle ne devrait pas ressentir cela. La douleur d'Ivana était palpable, et la tendresse qu'Agatha éprouvait se mêlait à un sentiment de culpabilité. Elle savait que ce moment était à la fois précieux et tragique, un équilibre fragile entre le désir de réconforter et la peur de franchir une ligne qu'il ne fallait pas traverser.
Agatha, le cœur lourd, se décida finalement à s'éloigner. Elle prit une profonde inspiration, essayant de masquer la tempête d'émotions qui l'envahissait. D'un ton sec, elle déclara :
« Tu viens de le dire, ce qui est fait est fait. » Ses mots résonnèrent dans l'air, tranchants comme une lame, et elle pouvait presque sentir le choc sur le visage d'Ivana.
Elle recula, laissant un espace entre elles, un espace qui semblait à la fois nécessaire et douloureux. Ses yeux ne quittaient pas Ivana, observant la manière dont la jeune femme absorbait ses paroles. Agatha savait que sa méchanceté était un bouclier, une façon de se protéger de ses véritables sentiments, mais cela lui coûtait cher.
« Allez, on a du chemin à faire, » poursuivit-elle, sa voix plus douce mais toujours empreinte d'une certaine froideur.
Elle se détourna légèrement, comme si l'acte de se retourner pouvait l'aider à échapper à la vulnérabilité de ce moment.Ivana, visiblement blessée, ne savait pas quoi répondre. Elle regarda Agatha s'éloigner, ressentant un mélange de tristesse et de confusion. Les mots d'Agatha, bien que durs, étaient une tentative maladroite de masquer ce qu'elles ressentaient toutes les deux.Agatha se força à avancer, mais chaque pas lui rappelait à quel point elle avait peur de ce qu'elle ressentait vraiment.
☆○o。 。o○☆
Le coven avançait lentement sur la route, les silhouettes des membres se découpant dans la lumière pâle du crépuscule. Les arbres, sombres et menaçants, semblaient murmurer des secrets à mesure qu'ils s'approchaient d'une vieille maison isolée, dont la façade était recouverte de lierre. Les fenêtres, obscures et poussiéreuses, donnaient l'impression que la maison était abandonnée depuis des décennies.
En s'approchant de la porte d'entrée, un frisson parcourut le groupe. Accrochée à la porte, une lune rouge brillait d'une lueur sinistre, illuminant les visages inquiets des membres du coven. Agatha, le cœur battant, comprit immédiatement que c'était l'épreuve d'Alice. Elle se tourna vers la jeune femme, cherchant du soutien dans ses yeux.
Alice, les mains tremblantes, observa la maison avec une expression de terreur. Ses yeux s'écarquillèrent en voyant la lune rouge, symbole de ce qui l'attendait à l'intérieur. Elle se tourna alors vers les autres, son visage marqué par la détermination mais aussi par la peur.
« Non, hors de question ! » s'exclama-t-elle, sa voix résonnant dans l'air frais du soir.
Les membres du coven échangèrent des regards inquiets, certains murmurant des mots d'encouragement. Jen s'approcha d'Alice, posant une main réconfortante sur son épaule.
« Alice, nous sommes tous avec toi. Tu n'es pas seule dans cette épreuve, » dit-elle doucement, essayant de lui insuffler un peu de courage.
Alice secoua la tête, ses yeux pleins d'émotion. « Je ne peux pas faire ça ! »
Le silence s'installa un moment, chacun ressentant la tension palpable. La lune rouge continuait de briller, comme un phare menaçant, attendant la décision d'Alice.
Alice se tenait là, figée, le regard perdu dans le vide. La douleur de la perte de sa mère, consumée par un feu criminel, lui pesait sur le cœur comme une lourde pierre. Chaque souvenir de sa mère, chaque éclat de rire, chaque moment de tendresse, se mêlait à une angoisse sourde qui l’envahissait.
Alice savait que cette épreuve, symbolisée par la lune rouge sur la porte de la maison, l'obligerait à affronter cette réalité qu'elle avait tant tenté de fuir. Elle ferma les yeux un instant, espérant que, dans l'obscurité, elle pourrait échapper à cette vérité. Mais la réalité était là, implacable, et elle ne pouvait pas l'ignorer.
« Pourquoi maintenant ? » murmura-t-elle, sa voix tremblante trahissant son désespoir. Elle se sentait comme une enfant perdue, confrontée à un monstre qu'elle n'était pas prête à affronter.
Les souvenirs de sa mère, douce et aimante, l'assaillaient. Elle se revoyait, petite, blottissant son visage contre son épaule, écoutant les histoires réconfortantes qui la faisaient rire. Mais maintenant, ces souvenirs étaient teintés de douleur, et chaque pensée la ramenait à cette nuit fatidique.
Alice savait qu'elle devait faire face à ses peurs, mais l'idée de revivre cette douleur lui était insupportable. Elle se tenait là, le cœur battant, confrontée à l'ombre de son passé, prête à plier sous le poids de ses émotions.
Lucillia s'approcha doucement d'Alice, ses pas légers sur le sol comme si elle craignait de briser le fragile silence qui les entourait. Lilia, un peu en retrait, observait la scène avec un regard perplexe, ses sourcils froncés.
Lucillia, avec une tendresse palpable, posa une main douce sur l'épaule d'Alice. Ce geste, bien que simple, était chargé de réconfort. Alice tourna lentement la tête, ses yeux embués de larmes rencontrant le regard chaleureux de Lucillia.
« Alice, » commença Lucillia d'une voix apaisante, « je sais que c'est difficile. Mais tu n'es pas seule dans cette épreuve. Nous allons toutes surmonter ça ensemble. »Lucillia serra doucement l'épaule d'Alice, son regard plein de compassion. « Chaque jour, nous ferons un pas. Parfois, ce sera un petit pas, et d'autres fois, ce sera un grand. Mais nous serons là, main dans la main. »
Jen, toujours en retrait, s'avança enfin, ses bras croisés, mais son visage s’adoucit. « Tu sais, Alice, il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de ressentir. Prends le temps qu'il te faut. Nous serons là pour t'écouter. »
Alice sentit un léger réconfort à ces paroles, mais l'angoisse demeurait. « Et si je ne suis jamais prête à affronter ça ? »
Lucillia secoua la tête, un sourire encourageant sur les lèvres. « Tu es plus forte que tu ne le penses. Et même si cela prend du temps, sache que nous serons toujours à tes côtés. »
Une fois rentrée dans la maison, le coven découvrit avec stupéfaction que c'était la réplique parfaite de la maison d'enfance d'Alice. Les murs étaient peints dans des teintes pastel, et chaque détail, du mobilier aux rideaux, semblait avoir été soigneusement reproduit. Les sorcières, ébahies, parcouraient les pièces, leurs regards scrutant chaque recoin à la recherche d'indices.
«Je crois que c'est ma maison d'enfance » s'exclama Alice
Les autres sorcières s'approchèrent, intriguées. « C'est troublant, » murmura Ivana en frissonnant légèrement. « Pourquoi cette maison ? Que signifie tout cela ? »
Agatha, qui observait la scène avec un air désinvolte, finit par croiser les bras et soupirer. « Franchement, c'est une perte de temps, » déclara-t-elle d'une voix acerbe. « On tourne en rond ici. Rien ne se passe. »
Lorsque Agatha eut à peine fini sa phrase, un cri perça l'air, un cri aigu et désespéré qui fit sursauter tout le monde. Alice, les yeux écarquillés, se débattait contre un nuage scintillant qui l'engloutissait. Ce nuage, d'un bleu luminescent, tourbillonnait autour d'elle, émettant des éclats de lumière qui dansaient sur les murs de la maison.
« Alice ! » s'écria Jen en avançant d'un pas hésitant, son cœur battant la chamade. « Que se passe-t-il ? »
Alice, la voix tremblante, parvint à articuler avant d'être aspirée : « Je... je ne sais pas ! Il m'aspire ! »
Ivana, observant la scène avec une lueur d'inquiétude dans les yeux, tourna son regard vers Agatha. « Tu portes vraiment l'œil, toi, Agatha, » lança-t-elle, la voix teintée d'ironie, mais avec une pointe de peur.
Agatha, les bras croisés, haussant les épaules, répondit d'un ton désinvolte : « Eh, j'y suis pour rien. Je ne contrôle pas ce qui arrive. »
Mais son regard trahissait une nervosité croissante. Les autres sorcières, bien que préoccupées par le sort d'Alice, ne purent s'empêcher de remarquer la tension dans la voix d'Agatha.
« On doit faire quelque chose ! » s'exclama Jen, en se tournant vers Ivana. « Si ce nuage est une sorte de magie, peut-être que nous pouvons l'inverser ! »
Ivana hocha la tête, déterminée. « D'accord, mais comment ? »
Lucillia, le cœur battant, leva les yeux et aperçut un livre posé sur une étagère, un livre qu'elle n'avait jamais remarqué auparavant. La couverture était ornée de motifs en relief, scintillant légèrement à la lumière tamisée de la pièce. Intriguée, elle s'approcha, ses doigts effleurant la surface du cuir usé.
« Qu'est-ce que c'est ? » murmura-t-elle pour elle-même, avant de le prendre délicatement dans ses mains.
Elle l'ouvrit avec précaution, et à sa grande surprise, les pages semblaient vibrer d'une énergie mystérieuse. Les mots s'inscrivaient sous ses yeux, décrivant la scène qui venait de se dérouler, comme si le livre était le témoin silencieux de leur histoire.
« Regardez ça ! » s'exclama Lucillia, ses yeux pétillants d'excitation. Elle se tourna vers le groupe, brandissant le livre avec enthousiasme. « Ça raconte ce qui vient de se passer ! »
Lilia, attirée par l'enthousiasme de Lucillia, s'approcha rapidement, posant une main réconfortante sur son dos. «Fait voir » dit-elle, la voix douce mais pleine d'émerveillement.
Lucillia, sentant le soutien de Lilia, se mit à sourire « Regardez, » continua-t-elle en feuilletant les pages.
Les autres sorcières, rassemblées autour d'elles, se penchèrent pour mieux voir. Chacune d'elles était fascinée par ce livre mystérieux qui semblait les relier à leur destin.
« C'est comme une chronique de se que Alice est entrain de vivre. » murmura Lilia, son regard fixé sur les mots qui dansaient sous ses yeux.
Pendant ce temps, Alice, à l'intérieur de ce cercle, était plongée dans un monde à la fois doux et douloureux. Les images de son enfance défilaient devant elle, comme un film nostalgique. Elle revivait des moments précieux avec sa mère, les rires résonnant dans son esprit comme une mélodie familière. Elle se voyait courir dans un champ de fleurs sauvages, les rayons du soleil caressant son visage, alors que sa mère l'appelait avec tendresse.
Les souvenirs étaient si vivants qu'Alice pouvait presque sentir la douceur de la main de sa mère sur son épaule, entendre sa voix douce lui parler, lui raconter des histoires. Chaque image était une vague d'émotion, la joie et la tristesse se mêlant en un tourbillon d'affects. Mais, malgré la beauté de ces souvenirs, il y avait une ombre, une prise de conscience que tout cela n'était qu'un rêve, un piège destiné à l'empêcher de s'échapper.
Chaque seconde qui passait semblait s'étirer, le sort d'Alice suspendu entre le passé et le présent, tandis qu'à l'intérieur, elle continuait de revivre ces doux souvenirs, piégée dans un bonheur illusoire qui l'empêchait de voir la réalité.
Alors qu'Alice était immergée dans ses souvenirs, une vision sombre et terrifiante surgit soudainement. Elle se retrouva face à une scène cauchemardesque : sa mère, entourée de flammes dévorantes, hurlait de douleur. Le feu dansait autour d'elle, embrasant ses vêtements et illuminant son visage d'une lueur sinistre. Alice, horrifiée, se mit à crier, son cœur se brisant à la vue de cette image insupportable. Elle ne voulait pas voir cela, elle ne pouvait pas.
Mais au fond de son esprit, une voix mystérieuse s'éleva, douce mais insistante. « Regarde, Alice. Comprends que ce n'est pas de ta faute. » Cette voix résonnait comme un écho, l'invitant à affronter la réalité de ce qu'elle voyait. Tremblante, Alice détourna le regard un instant, mais la voix persistait, lui disant de ne pas fuir.
Finalement, rassemblant son courage, elle fixa à nouveau sa mère. Les flammes dansaient toujours, mais quelque chose changea dans l'air. Les yeux de sa mère, bien que remplis de souffrance, étaient pleins d'amour et de compréhension. « Alice, ce n'est pas de ta faute, » lui dit-elle, sa voix à la fois réconfortante et désespérée. « Ne te blâme pas pour ce qui est arrivé. »
À chaque répétition de ces mots, Alice sentit une chaleur douce envahir son cœur, remplaçant peu à peu la douleur par une lueur d'espoir. Les larmes coulaient sur ses joues, mêlées à la chaleur des flammes, mais elles portaient aussi un sentiment de libération. Elle commença à croire sa mère, à comprendre que la culpabilité qu'elle portait n'était pas la sienne. La voix de sa mère, répétant encore et encore que ce n'était pas sa faute, devenait une mélodie apaisante, un mantra qui lui permettait de se libérer du poids de la honte.
Alors que les flammes continuaient de lécher l'air, Alice réalisa qu'elle pouvait choisir de laisser cette douleur derrière elle. La vision de sa mère, bien que tragique, se transforma en un symbole de pardon et d'amour inconditionnel. Dans ce moment de révélation, Alice se sentit plus forte, prête à affronter la réalité et à se libérer de son passé et c'est à ce moment précis quelle se retrouva alors dans la même Piece que les autres membres du coven elle venait de réussir l'épreuve.
☆○o。 。o○☆
Le groupe poursuivait sa route, les membres avançant avec précaution, leurs pas feutrés sur le chemin de terre. Les bruits de la nature les entouraient : le chant des oiseaux, le murmure d'un ruisseau à proximité, et le bruissement des feuilles dans le vent. Le soleil, filtrant à travers les branches, créait des jeux de lumière dansants sur le sol, ajoutant une touche de magie à l'atmosphère déjà chargée d'énigmes.
L'homme mystérieux, dissimulé dans l'ombre d'un vieux chêne, observait avec une attention soutenue. Ses yeux, d'un noir profond, brillaient d'une lueur calculatrice. Dans sa main, le miroir magique pulsait d'une lumière argentée, révélant non seulement son reflet, mais aussi les secrets que le groupe tentait de cacher. Puis, le miroir capta un éclat particulier : le collier que Lucillia portait. Ce bijou, orné de pierres précieuses scintillantes, était un chef-d'œuvre d'artisanat, chaque gemme capturant la lumière d'une manière envoûtante. Lucillia, insouciante, jouait avec une mèche de cheveux, ignorant l'importance de ce qu'elle portait. Mais pour l'homme, ce collier était bien plus qu'un simple accessoire ; il était le symbole d'un pouvoir ancien, un artefact qu'il avait perdu et qu'il était déterminé à récupérer.
À la vue du collier, une rage sourde monta en lui. Ses sourcils se froncèrent, et un rictus de détermination se dessina sur ses lèvres. « Ce collier est à moi », murmura-t-il d'une voix basse et menaçante, chaque mot chargé de menace
☆○o。 。o○☆
Le crépuscule s'était installé, enveloppant la clairière d'une douce lumière orangée. Le feu crépitait doucement, projetant des ombres dansantes sur les troncs des arbres environnants. La chaleur du feu contrastait avec la fraîcheur de la nuit qui s'installait lentement, et l'air était chargé d'une odeur boisée et légèrement sucrée, émanant des branches qui brûlaient lentement.
Autour du feu, le groupe de sorcières était disposé en un cercle presque sacré. Jen, Alice et Lilia dormaient paisiblement, leurs visages détendus et sereins. Jen avait une expression de tranquillité. Alice, était enroulée dans une couverture, un léger sourire flottant sur ses lèvres, comme si elle rêvait d'un monde enchanté. Lilia, avait trouvé un coin confortable, sa tête reposant sur un coussin fait de feuilles et de mousse, son souffle régulier et apaisant.
Cependant, Lucillia, à quelques pas du feu, ne partageait pas ce calme. Son sommeil était agité, son corps se tordant sous les draps de fortune qu'elle avait rassemblés. Ses sourcils se froncèrent à plusieurs reprises, et un léger murmure s'échappa de ses lèvres, comme si elle luttait contre des visions troublantes. Ses yeux, parfois ouverts, scrutaient l'obscurité, cherchant à percer le mystère qui l'entourait.
Le feu, dansant et crépitant, semblait réagir à l'état de Lucillia, projetant des éclats de lumière qui illuminaient son visage inquiet. Les ombres des arbres se mouvaient, créant des formes étranges qui s'étiraient et se recroquevillaient, comme si elles prenaient vie. Un léger vent faisait frémir les feuilles, ajoutant une mélodie douce et mystérieuse à la nuit, mais pour Lucillia, cette musique était un appel lointain, une promesse de secrets à découvrir.
Lilia se réveilla lentement elle se redressa, frottant ses yeux encore embrumés de sommeil, et observa autour d'elle. Le feu crépitait doucement, projetant des ombres dansantes sur le sol, mais c'était le murmure inquiet de Lucillia qui attira son attention.
Lucillia était là, à quelques pas, son visage marqué par l'angoisse. Elle se débattait dans son sommeil, ses lèvres bougeant rapidement alors qu'elle marmonnait des supplications à voix basse. "Laissez-moi tranquille... s'il vous plaît..." répétait-elle, sa voix tremblante trahissant la profondeur de ses cauchemars. Ses traits, d'habitude si sereins, étaient maintenant tordus par l'inquiétude, et une fine couche de sueur brillait sur son front.
Lilia, le cœur lourd à la vue de la jeune femme en détresse, se leva doucement. Elle s'approcha de Lucillia, veillant à ne pas faire de bruit, comme si chaque pas pouvait briser le fragile fil de la nuit. Ses pieds nus effleuraient le sol frais, et elle pouvait sentir l'odeur terreuse de la forêt qui l'entourait.
En s'approchant, Lilia observa les détails du visage de Lucillia : ses longs cils qui frémissaient, son souffle irrégulier, et la façon dont ses mains se crispaient. Elle se pencha légèrement, cherchant à apaiser sa protégé. "Lucillia, c'est moi, Lilia," murmura-t-elle doucement, sa voix teintée de compassion. Elle tendit une main réconfortante vers le visage de Lucillia, espérant que ce simple geste suffirait à la ramener à la réalité.
Lilia ressentait une profonde connexion avec Lucillia, une envie de la protéger de ses démons intérieurs.
Lucillia était toujours prisonnière de son cauchemar, ses traits marqués par la peur et l'angoisse. Sa respiration devenait de plus en plus rapide, chaque inspiration semblant plus difficile que la précédente. Lilia, observant la détresse de Lucillia , sentit son cœur se serrer. Elle savait qu'elle devait agir pour aider Lucillia à retrouver la paix.
Avec douceur, Lilia s'allongea à côté de Lucillia, veillant à ne pas la brusquer. Elle glissa un bras autour de son épaule, la prenant délicatement dans ses bras, comme pour lui offrir un cocon de chaleur et de sécurité. La chaleur de son corps contrastait avec le froid de la nuit, et Lilia espérait que ce contact pourrait apaiser les tourments de Lucillia.
Une de ses mains se posa doucement sur le dos de Lucillia, exerçant une pression rassurante, tandis que l'autre main s'égara dans ses cheveux soyeux. Lilia commença à caresser les mèches délicates avec tendresse, ses doigts glissant lentement à travers les boucles, comme si elle tissait un fil de calme autour de sa protégé. Elle murmura des mots doux, des promesses de sécurité et de réconfort, espérant que sa voix douce parviendrait à percer le voile de l'angoisse qui enveloppait Lucillia.
Les cheveux de Lucillia, parfumés d'une légère senteur florale, glissaient entre les doigts de Lilia, et elle se concentra sur chaque mouvement, chaque geste, pour créer une atmosphère apaisante. Elle pouvait sentir la tension dans le corps de Lucillia, mais peu à peu, avec chaque caresse, elle sentait également un léger relâchement, comme si les cauchemars commençaient à s'évanouir sous l'effet de sa présence réconfortante.
Lucillia, dans un moment de douceur inattendue, trouva enfin un apaisement immédiat. Alors qu'elle était toujours plongée dans son sommeil troublé, un instinct profond la poussa à se rapprocher de Lilia, la sorcière âgée qui veillait sur elle. Dans un geste instinctif, elle plaça son nez délicatement dans le cou de Lilia, cherchant la chaleur et le réconfort que seule sa présence pouvait offrir.
Le parfum de Lilia, un mélange d'herbes et de fleurs, enveloppa Lucillia comme une couverture apaisante. Elle pouvait sentir la douceur de la peau de la sorcière contre son visage, et cela lui apportait une sensation de sécurité inégalée. Chaque respiration qu'elle prenait était une bouffée de tranquillité, éloignant les ombres de son cauchemar.
Dans ce geste tendre, Lucillia se laissa aller complètement, ses tensions se dissolvant lentement. Elle pouvait sentir le rythme régulier du cœur de Lilia, un battement rassurant qui lui donnait l'impression d'être ancrée dans un monde où rien ne pouvait lui faire de mal. Ce contact intime lui procurait une chaleur réconfortante, et elle se sentit protégée, comme si tous ses soucis s'évanouissaient dans la nuit.
Les bras de Lilia, bienveillants et forts, l’enveloppaient, créant un cocon de paix autour d'elle. Lucillia se laissa aller à cette sensation de bien-être, oubliant les angoisses de son esprit. Dans ce moment suspendu, elle trouva une sérénité qu'elle n'avait pas connue depuis longtemps, bercée par la présence rassurante de la sorcière.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
9 notes
·
View notes
Text
J'aime trop les explications des gens sur pourquoi le vouvoiement est important pour eux et je suis d'accord avec beaucoup de réponses. Je rajouterais qu'en tant que littéraire, je trouve que le tutoiement et le vouvoiement rajoutent une nuance très intéressante à beaucoup de relations et ça peut être une façon formidable de caractériser un personnage.
J'avais un personnage qui ne supportait pas qu'on la tutoie sans qu'on lui demande la permission (et elle refusait en général lol) parce que c'était une manière pour elle de se protéger et de garder ses distances. J'avais écrit un passage où un antagoniste la tutoie "de force" et c'était vraiment vécu comme une violation de ses barrières, même s'il ne se passait rien de physique.
Il y a cette scène EXTRAORDINAIRE dans Andromaque (Acte IV, scène 5) où Hermione alterne entre un vouvoiement poli et un tutoiement passionné enverd Pyrrhus, montrant son instabilité émotionnelle et la complexité de ses sentiments envers un homme qu'elle déteste et adore à la fois.
Et évidemment, il y a la question du vouvoiement/tutoiement dans la traduction d'œuvres anglophones. Dans Sherlock (BBC), Holmes et Watson se vouvoient dans le 1er épisode et se tutoient dans les autres. S'ils étaient français, il y aurait eu une scène du genre "Bon on peut se tutoyer maintenant, on est collocs." Lestrade vouvoie Sherlock, mais est-ce qu'il le tutoie à la fin de la série ? Et même, si on va plus loin, et c'est peut-être audacieux de ma part, mais le vouvoiement entre Holmes et Watson dans la traduction des livres pourrait être remis en question, surtout dans les dernière enquêtes - le tutoiement est moins courant à cette époque là mais des amis peuvent l'utiliser, même de la haute société (cf Balzac, Proust, Maurice Blanc...)
Il n'y a aucune bonne réponse et c'est ça qui est fascinant, parce que ça nous donne un nouvel outil d'analyse pour disséquer des personnages.
11 notes
·
View notes
Text
J'ai un sentiment bizarre concernant mon entourage et les relations que j'entretiens. Ma sphère amicale a complètement changé et c'est normal, mais j'ai beaucoup de mal à l'accepter. Depuis la fin des études -- voire même pendant --, on a tous commencé à s'éloigner car on ne partageait plus les mêmes centres d'intérêt, les amitiés se font et se défont. Et c'est pire depuis que j'ai emménagé dans le sud. J'ai changé, j'ai perdu de ma lumière et je m'efface.
L'abandon, c'est terrifiant. La solitude, si on ne la choisit pas, c'est une souffrance. Je vis mal la rupture des liens, des amitiés. Ça me rend triste et nostalgique. J'ai comme modèle ma belle-mère -- la compagne de mon père -- qui a un cercle amical grand et malgré les distances qui les sépare, rien n'a changé. Et de voir que je n'arrive pas à entretenir ce même modèle me termine. Avec les réseaux sociaux, on aurait tendance à se dire que pourrait faciliter les choses mais non. "Loin des yeux, loin du cœur" comme on dit mais je refuse, c'est trop facile. J'ai essayé de garder du lien avec certain.e.s mais ce n'était pas concluant. On m'a oublié et je les ai oublié. À partir du moment où je suis partie, les gens m'ont peu à peu oublié -- et j'ai fait de même fatalement --. Mais j'essaye de reprendre contact avec quelques uns mais ça s'essouffle, j'essaye de créer du lien mais ce n'est jamais suffisant du coup je suis en colère et je m'isole davantage. C'est un cercle vicieux dont j'aimerai sortir mais ... il y a un truc qui cloche. Et j'en ai marre de me dire que c'est moi. Ça me fatigue et j'estime que les torts sont partagés. Ce n'est pas aux personnes qui ont choisi de partir (géographiquement) de porter à bout de bras la relation. C'est un travail d'équipe.
7 notes
·
View notes
Text
tw; manipulation, mensonges, menaces, harcèlement. (et autres sûrement)
bonjour à tous,
je n’ai jamais fait de post discussion sur mon tumblr, que je réserve uniquement au graphisme mais il me semble que c’est du devoir de tous de prévenir d’un potentiel danger pour protéger la communauté; c’est vraiment une première pour moi, et pour conserver l’anonymat des victimes, leurs prénoms seront remplacés.
en revanche, je n’ai aucun mal divulguer la véritable identité de cet homme, qui s’appelle benjamin (de pseudo sano/benji quand nous l’avons connu; individu dans la trentaine). il est fort probable qu’il se fasse appeler autrement maintenant, mais il a un mode opératoire repérable puisqu’il reproduit le même schéma. si vous remarquez des similitudes avec une personne de votre entourage, je laisse à votre discernement le soin de l’identifier.
pervers sans aucun doute, cet homme approche des femmes de tout âge, la plus jeune étant âgée de 20 ans. de même, il n’hésite pas à viser des femmes mariées, ou en relation depuis longtemps. mais il semblerait qu’il jette principalement son dévolu sur celles qui traversent des passes difficiles. celles qu’il imagine, à tort ou à raison, « vulnérables » (mais nous le sommes tous après tout, dans une mesure différente j’imagine)
ça commence avec une drague inoffensive, un jeu de séduction léger qui rapidement évolue vers des exigences plus malsaines. l’une de ses victimes, qu’on nommera mélissa, a subit une pression rapidement pour quitter son compagnon et venir emménager avec lui. ne répondant pas positivement à ses avances, il menace dès lors de contacter ses proches pour prétendre qu’elle est en relation avec lui depuis plusieurs mois, qu’elle lui a envoyé des sextos/nudes. à savoir qu’elle n’avait donné aucune information personnelle mais qu’il aura été capable de trouver sur internet son lieu de travail, des informations sur ses proches et son conjoint. de même, les nudes n’étaient pas les siens mais il semblerait que ce malade a compris que ce n'est pas nécessaire d’être dans le vrai pour faire du mal. et avant tout pour effrayer.
cette mélissa avait un très bon contact avec une joueuse que l’on nommera ici estelle. estelle fût elle aussi une victime de benjamin, qui prétendit à cette dernière que mélissa était très insistante avec lui mais qu’il refusait ses avances. entre temps mélissa a été effrayée par les menaces du joueur et a quitté le forum sans donner d’explications, puisqu’il lui faisait croire qu’elle serait très mal reçue et qu’elle était déjà détestée de ma communauté (faux, évidemment). après avoir gâché cette amitié, il a rapidement profité de l’état dépressif d’estelle qui se confiait sur son mal être. une vulnérabilité qui ressemble à une porte ouverte pour un malade comme lui j’imagine.
lui envoyant cadeaux par la poste et mots d’amours; prétextant qu’il voulait faire sa vie avec elle, qu’il voulait l’épouser. mais refusant toujours d’officialiser leur relation, fermement, au point où il se disputera avec elle quand elle me mettra dans la confidence de leur union. finalement la relation se termine après plusieurs semaines d’un commun accord à cause de la distance.
estelle, très bien entourée irl, finira par apprendre par ses amis qui ont fouillés facebook (que benjamin prétendait ne pas avoir), qu’il était en réalité en couple depuis dix ans avec une femme, et qu’ils avaient même une maison. elle le confronte, il nie, prétend qu’ils sont séparés mais que rien n’a été officialisé auprès de leurs parents respectifs et qu’il n’en parlait pas pour ne pas la faire fuir. si elle ne le croit pas, elle finira cependant par lui envoyer une lettre dans laquelle elle se confie sur ses sentiments et émotions suite à cette altercation.
la conjointe de benjamin tombera sur la lettre avant lui et contactera estelle pour avoir des explications; suite à une conversation téléphonique entre les deux femmes, benjamin se retrouvera célibataire, et évidemment il le prendra mal et réagira avec violence.
en parallèle, cet homme discutait avec une joueuse que l’on appellera julie. cette julie a été elle aussi, hélas, manipulée par ce pervers. qui lui aura prétendu qu’estelle se faisait des films sur eux, qu’elle voulait forcer une relation et que s’il ne lui donnait pas gain de cause, elle menaçait de se suicider. évidemment, pas besoin de préciser que ce mythomane a tout inventé. mais julie un matin me contacte en me disant qu’elle est très inquiète pour estelle parce qu’après cette lettre envoyée à sa compagne, il l’a perdu et qu’en représailles, il souhaite divulguer des photos compromettantes d’estelle sur la toile.
de là j’ai contacté des proches gendarmes pour savoir quelles mesures pouvaient être prises pour calmer ce grand malade. ils m’ont demandé de pousser estelle à porter plainte parce que je ne pouvais, hélas, à mon échelle, rien faire de plus. elle semblait déterminée à le faire, mais à ce jour je n’ai plus de nouvelles d’elle donc je ne sais pas ce qu’il en est.
j’apprends aujourd’hui par mélissa, que ce fou furieux prétend à mon sujet (malgré la situation j’ai pas mal gloussé) qu’il aurait refusé d’interpréter mes scénarios parce que je lui faisais des avances. alors que plusieurs pourront l’attester, je lui ai refusé les rôles moi-même. pour diverses raisons dont son instabilité sur le forum, donc vraiment aucun rapport. je précise que je n’ai jamais causé à ce type autrement que pour discuter de liens possibles. pas d’ambiguïté, encore moins de drague.
il faut savoir aussi, comme je l’ai dit plus tôt, qu’il s’est montré très insistant auprès d’une joueuse qui lui avait fait part de son jeune âge. il faut croire que rien ne l’arrête.
inutile d’ailleurs de préciser que des mesures ont été prises et qu’une sanction immédiate est tombée. bannissement définitif, évidemment.
je vous demanderai à tous, s’il vous plait, de rester vigilants sur internet. ce n’est pas parce que vous partagez un rp et des échanges discord avec un joueur que vous le connaissez. aussi, divulguez le moins d’informations possibles à votre sujet et surtout, je vous recommande fortement d’éviter d’envoyer des photos exposants votre nudité à de parfaits inconnus via internet. on ne sait jamais sur qui on tombe et ce qu’ils pourraient en faire. (d’une façon générale je ne peux que vous aviser de ne jamais le faire).
j’appelle aussi à votre courage, si vous ressentez une quelconque pression de la part d’un joueur (je parle au masculin mais ça concerne tout le monde hein), si vous trouvez ses requêtes déplacées, si vous trouvez qu’il va trop loin… parlez-en à un administrateur (ou au moins à d’autres joueurs qui pourront eux, remonter l’information). j’ai conscience que parfois c’est difficile, qu’on se dit qu’on sera mal reçus (et on peut l’être, c’est vrai) mais si jamais vous êtes sur un forum et que vous n’avez pas l’impression que vous pourrez être protégé par les fondateurs et modérateurs.. sans vous dire quoi faire, je vous conseille de remettre en question votre présence sur ce rpg.
je sais qu’en tant qu’admin, et pour l’être d’un très gros forum d’ailleurs depuis un moment, nous n’avons pas à vocation d’être juge ou flic. mais je (à titre personnel, donc, notez bien l’emploi de la première personne du singulier avant de monter sur vos grands chevaux) pars du principe que créer un forum vient avec son lot de responsabilités. je ne cherche pas à ouvrir un débat sur la nature de ces devoirs, j’imagine que chacun gère ça comme il veut. pour certains il s’agira juste de créer un univers et de laisser les joueurs se débrouiller entre eux. je ne dénonce aucun admin. ce n’est pas le but de ce post. et j’ai franchement la flemme d’ouvrir une discussion à ce sujet, vous faites bien comme vous voulez. mais je sais qu’il est important d’être entouré de personnes à qui on peut se confier si une histoire comme celle-ci nous arrive et je vous souhaite sincèrement d’être sur un forum avec une équipe qui saura être à l’écoute mais aussi, qui sera capable d’intervenir.
malheureusement je vous rappelle aussi qu’à part bannir (ou faire des posts de prévention comme celui-ci) l’individu nous ne pouvons pas faire grand chose de plus. dans des cas comme celui-ci, sachez, qu’il est fortement recommandé d’aller voir les autorités compétentes pour en discuter. pour connaître très bien le milieu de la gendarmerie notamment, je vous assure qu’à moins de tomber sur un abruti fini (et dans ce cas allez juste dans un autre poste) il vous aidera à gérer ce cas. si vous ne trouvez pas le courage en vous de le faire, ou que vous avez tendance à minimiser ce qui vous arrive : parlez-en à votre entourage, et à autant de personnes qu’il le faudra pour qu’elles vous montrent que la situation n’a rien de normal. et qu’elles vous encouragent à faire le nécessaire.
j’ajouterai que si vous avez besoin de me contacter par messagerie privée ou sur discord; je reste à votre disponibilité pour ce cas ou un cas similaire. on fait parti de la même humanité, de la même communauté. et malgré les différences et divergences d’opinions, je serais disponible et ouverte, même si vous ne faites pas partie de mon forum.
et enfin, je termine pour vous dire que ce post n’a aucun autre but que celui de dénoncer cet individu. j’ai pas la prétention de dire que je sais ce qui est bien/mieux, je suis personne pour vous dire ce qui l’est de ce qui ne l’est pas. j’ai ma morale, vous avez la votre. tout comme vous avez votre histoire et que j’ai la mienne. ici, je vous partage seulement un extrait de mon point de vu personnel (j’ai essayé d’être la plus neutre possible tho).
bonne journée à tous, et restez vigilants.
204 notes
·
View notes