#relation à distance
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À la machine
La conversation plastique, Écran bleu de désarroi, Clôt le drame numérique, Les signaux mixtes chauds-froids D’une imprécise liaison À proxémie émotive, Ne guettant que l’horizon, Naviguant à la dérive.
Je me sens un vieux torchon, Emmêlé dans mes bobines, Presque à chanter du Souchon Et l’amour à la machine. Faut-il que je sois maso, Gravant mes amours onciales Sur d’asynchrones fuseaux, Distanciation asociale.
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Comment maîtriser ses sentiments d'amour ?
Comment maîtriser ses sentiments d'amour pour être indépendant ? Cet article explorera diverses stratégies pour maîtriser ses sentiments d'amour, en s'appuyant sur des exemples concrets pour illustrer chaque point.
Introduction Comment maîtriser ses sentiments d’amour ? La maîtrise de soi est une compétence cruciale dans de nombreux aspects de la vie, notamment dans les relations amoureuses. La capacité à gérer ses sentiments d’amour est essentielle pour éviter de se faire manipuler et pour devenir indépendant émotionnellement. Cet article explorera diverses stratégies pour maîtriser ses sentiments��
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Conseils pour raviver la flamme et reconquérir son ex
Le marabout Jean Legbavinon a des dons naturels qu’il a hérité de ses ancêtres également marabouts.En effet ces dons lui permettent de venir en aide à ces prochains. Il peut donc résoudre tous les problèmes pour les gens qui se posent les questions comme comment attiser la flamme pour recuperer ma femme. Il résout tous les problèmes que les personnes normales peuvent rencontrer dans tous les…
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Expert et spécialiste en Retour affectif
Vous êtes nombreux à souhaiter rencontrer un bon marabout, fiable et expérimenté, apte à retourner une situation préoccupante à leur avantage. De toute façon, Medium Djemey fait revenir l’être aimé quel que soit le degré du problème. Il réalise des puissants rituels d’amour avec ou sans photo, des rituels de magie blanche ou magie noire. Vous retrouverez absolument votre bien aimé. COMMENT…
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Comment raviver la flamme de l'amour avec un retour affectif puissant?
Lorsque les flammes de l’amour commencent à vaciller, il est naturel de vouloir raviver la passion et retrouver l’être aimé. Le retour affectif puissant offre une approche spirituelle pour restaurer les liens émotionnels et retrouver une relation épanouissante. Dans cet article, nous explorerons différentes techniques et rituels de retour affectif pour vous aider à retrouver l’amour perdu. 1-…
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Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance
Comment Rompre et Mettre Fin à une Relation à Distance Le professeur Badou est un professionnel reconnu du maraboutage africain. A votre écoute et à votre service, Il est l’homme de confiance qui sera en mesure de vous apporter une aide précieuse afin de résoudre les divers problèmes de votre existence : les conflits familiaux, le retour d’un être aimé, des révélations sur les événements futurs…
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saga: Soumission & Domination 385
La France
Le retour en France me replonge dans ma réalité.
En vrac :
les annexes sont terminées et les habitants installés dedans. Jona et François sont trop contents de leur appart dans l'annexe 1. Jalil passe la plupart de ses nuit dans leur seconde chambre mais aussi au Blockhaus dès que la triplette y est.
Jona mène d'une main de directeur compétant ma société, organisation du personnel, prises de rendez-vous, recrutements et gestion des physiques. Le fait de loger sur place lui gagne du temps et lui permet d'être dispo à toute heure pour mes escorts.
Mes amours qui m'ont finalement plus manqués que je ne l'avais pensé au départ. La nuit de mon retour c'est à peine si nous avons dormis une heure. Il y en avait toujours un qui bandait et que les autres devaient purger !
Mes petits, Enguerrand, Max et Nathan toujours aussi jeunes dans leur enthousiasme, sont maintenant collés de Jalil.
Jalil que j'ai du mal à reconnaitre, changé par mes insupportables gamins, coiffure mode, vêtements idem, un vrai petit européen ! Il s'est vite étoffé à suivre le régime culinaire et sportif du Blockhaus. Du coté de ses études par correspondance, PH a finalement décidé avec le suivit du CNED d'aller jusqu'au BAC en Auditeur libre et de le lui faire passer en 2 ans (au lieu des 3 années du dernier cycle, seconde, première et terminale). Les cours dispensés par les uns et les autres portent leurs fruits et les devoirs reviennent de correction avec des résultats très satisfaisants. Les " médecins " qui suivent la partie scientifique (math, physique, SVT) sont contents de leur élève même si ce dernier est plutôt littéraire. Ça, m'est confirmé par Sosthène.
Pour le sexe, d'après ce que je comprends il se limite à mes trois petits frères et ce n'est pas faute d'en faire bander plus d'uns lors des séances sport. Les 4 mois d'entrainement aux différents sports de combat dispensés par Jona, PH et João l'ont changé aussi. Son naturel effacé et timoré a laissé place à un abord franc et ouvert. Là, ma " thérapie " maison a fait son office.
Avec son père les relations se sont renouées d'autant plus facilement qu'avec la distance, il n'y a plus la barrière de son " état ".
Enguerrand me confie que de temps en temps il s'isole avec lui pour parler de ses 3 années au service sexuel des intégristes. C'est par vague que cela lui revient et, à ces moment-là, il lui en parle et uniquement à lui qui a connu aussi ce genre de contrainte.
Je comprends, c'est ce qui lui était arrivé et c'est sur mon épaule qu'Enguerrand venait alors poser sa tête et pleurer un coup. Je le serre fort dans mes bras pour le remercier de ce qu'il fait pour Jalil. J'ai droit à un " déconne, je peux pas faire moins, on l'aime tous trop ". Ça me va bien ces réactions et pas seulement parce que ça en fait un petit groupe de baiseurs. Ça remet Jalil dans un cursus de développement normal.
Marc que je n'ai pas assez vu pendant ces 6 derniers mois a droit à une vraie salope dans son lit quand il revient d'Asie. Il me finit dans le donjon réaffirmant sa domination sur moi. Ça m'avait manqué ça aussi. J'aime les rapports de force avec lui comme maître. Il se rattrape de ces derniers mois où nous ne nous étions vus qu'un WE. mais c'est évident que je ne suis plus le gamin de 18ans qu'il a dépucelé dans sa douche à moitié terminée et qu'il dominait totalement. Physiquement je dois être au moins une fois et demie plus large et plus musclé, psychologiquement j'assure même si je ne me suis jamais caché que j'aimai me faire enculer grave dès qu'il m'a fait subir ma première sodomie. Mais l'évolution que j'ai suivie m'a fortement muri, surtout les responsabilités envers les jeunes de ma société. Mais je crois que c'est à la triplette élargie, dont je considère les membres comme les petits frères que je n'ai pas eu la chance d'avoir, que je dois ma plus grande transformation psychologique.
Emma pareil, nos retrouvailles se font en simple duo avec une tendresse que je ne me connaissais pas. Sans me rappeler les premiers pas de notre relation (tarifée à l'époque), le fait d'être en tête à tête tranche avec ces dernières années où nous avons surenchéris dans la stimulation sexuelle. Le summum ayant été réalisé quand nous avons été 4 à la pénétrer en même temps (chose possible que grâce aux 24cm d'Ernesto). On en rit alors que, couchés côte à côte après l'amour, nos regards perdus dans notre reflet, (le plafond est recouvert de glace), Emma résume l'évolution que je lui ai apportée. Quand je lui demande si elle regrette, elle roule sur moi et me dit que jamais de sa vie elle n'avait vécu aussi intensément que depuis que je suis entré dans sa vie. Ça lui vaut un câlin qui termine avec pénétration c'est évident ! Là, je lui prends le cul et lentement l'amène à une troisième jouissance qui la laisse pantelante.
Pablo nous fait un repas de fête avant que j'aille lui faire ma propre fête avant de quitter cette maison. Ses 24cm me font patienter la prochaine remontée de son petit frère Ernesto mon 4ème amour et ses 24cm à lui. La tête sur son oreiller, je vois à l'envers les trois toiles que nous lui avions offertes lors de son installation, je lui demande s'il est heureux. C'est lui qui me prend dans ses bras, m'écrase gentiment les côtes et m'assure que c'est le cas. Je lui demande s'il ne regrette pas de ne pas avoir son propre restaurant. Il me répond qu'il a tous les avantages sans les inconvénients. Il peut créer ce qui lui passe par la tête, avec les diner d'Emma, il a le plaisir de voir que ses créations plaisent et ça sans les lourdes responsabilités d'un établissement à faire tourner. Il a négocié avec Julien pour mettre ses meilleures recettes dans sa boutique de traiteur. Ça + ses prestations extérieures suffisent à le distraire et il a la possibilité de prendre du plaisir avec des mecs sans que cela porte à conséquence pour son taf. Il redescend sur Barcelone quasiment quand il veut et son petit frère devient un vrai homme et ça lui plait aussi.
Je fais la connaissance de la recrue de Côme, Grégoire. Débarrassés de ses poils en trop, il ne fait pas honte à mon écurie. Pas farouche, alors que je l'ai convoqué pour un entretien avec son Boss, c'est tout juste si ce n'est pas lui qui me viole (en passif bien sûr). Quand je lui demande son parcours, il me décrit aussitôt son dépucelage par un élève ingénieur agricole en stage dans l'exploitation de son père. Comment ce dernier, en 6 mois, lui avait fait aimer le sexe et particulièrement en position passive. Il me sous-entend que ce n'était pas le seul sexe mâle de la ferme à avoir défoncé sa jeune rondelle. Et donc mes clients, malgré leurs dimensions hors normes ne lui avaient pas posé plus de problème que ça. Il me dit qu'il appréciait aussi l'ambiance que j'avais su créer avec tous les escorts et qu'il aimait aussi beaucoup se les prendre par deux pour entretenir sa souplesse anale.
Comme je m'inquiète qu'il ne soit trop " détendu ", il me prouve le contraire aussitôt. Venu s'assoir sur mes cuisses, il a eu vite fait de faire glisser ma bite raide sur le coté de mon shorty et de la kpoter d'une main experte avant de s'assoir dessus. Ok, sa rondelle est restée ferme et résistante. Je m'enfonce dans son intimité mais tout en sentant une bonne compression. Tout en me chevauchant, il m'explique que son " initiateur " lui faisait contracter son anus sur son petit doigt après chaque défonce. Et le temps d'exercice était proportionnel au diamètre de la bite qu'il venait de recevoir. Je le fais taire en prenant sa bouche et en lui enfonçant ma langue dedans. Il attend de m'avoir fait juter dans ma kpote pour laisser sortir son sperme sur mes abdos. Là il décule rapidement et vient lécher sa production. Naturellement ma main est venue caresser ses cheveux. Il ne s'offusque pas de cette marque de domination. Je vois même qu'il continu à me lécher alors qu'il n'y a plus rien à ramasser.
Quand je lui dis qu'avec lui j'ai une bonne recrue, il m'assure qu'il peut faire pour moi et mes clients des plans Zarbi si besoin. Il était sûr que certains seraient plus qu'intéressés par ses capacités spéciales. Je creuserai plus tard.
En attendant il me remercie d'avoir accepté qu'il rejoigne mon écurie et m'assure qu'il va se donner à fond pour moi. Je tempère son enthousiasme en lui rappelant qu'il n'était pas question que ses études en pâtissent.
Jalil me demande un rendez-vous. Je ris un peu de le voir aussi protocolaire. Nous nous isolons et là, il me fait sa proposition. Il veut intégrer mes escorts pour me rembourser son entretien. Je suis étonné. Du coup je lui demande si c'est vraiment ce qu'il veut, s'il ne préférait pas rester avec ses 3 nouveaux amis et piocher au besoin, parmi tous ceux qui passent au blockhaus s'il avait besoin de nouveauté. Il insiste que ça va faire plus de 4 mois qu'il encombre ma maison et que PH refuse qu'il nous dédommage alors que son père approvisionne son compte suffisamment pour ça. A mon tour je refuse. Je lui explique que je n'ai pas besoin de son argent et que cela ne le met pas pour autant mon débiteur. Je voulais juste qu'il retrouve non pas son innocence, mais au moins une joie de vivre. Là, il me remercie et me dit que j'ai réussis ça. je clos la conversation et le chasse de mon bureau avec ordre de s'amuser et surtout de se faire plaisir, l'immeuble permettait ça.
Arrivé à la porte il se retourne, traverse l'espace qui nous sépare et se jette sur moi pour coller ses lèvres sur les miennes. Je suis si surpris que je mets un peu de temps à réagir, surprenant non ? J'ouvre la bouche pour protester mais le coquin en profite pour y enfoncer sa langue. Direct je bande ! Je le repousse à bout de bras. Là, il me fixe dans les yeux et me sort qu'il ne veut pas être le seul des 4 à ne pas voir fait l'amour avec moi. Après avoir posé sa main sur mon entrejambe, il ajoute que j'en ai envie.
Je ne sais pas mais j'ai une certaine réserve avec lui. Il le sent, sa voix baisse d'un ton et il me demande pourquoi je le rejette. Il me cueille et je le reprends dans mes bras où il se love avant de me tendre ses lèvres.
Je craque ! Ma langue envahi sa bouche et nous nous roulons un patin d'enfer. Mes mains parcourent son corps et je sens qu'il bande comme un fou lui aussi. Je reprends mes esprits, le repousse à nouveau. Là, il me dit qu'il a grave l'envie de faire l'amour avec moi et que ses trois nouveaux copains l'ont assuré que j'étais un super coup. Il ajoute qu'Enguerrand lui a confié que c'était grâce à moi qu'il avait pu surmonter son épisode " esclave, sado-maso " et puis même sans ça, je le faisais trop kiffer.
Je lui demande s'il veut qu'on fasse ça tous les deux ou s'il ne préférait pas avec ses trois autres amis. Je le vois hésiter. Il finit par me dire qu'il aimerait bien m'essayer tout seul.
On se prend la première chambre après mon bureau. Je le pousse sur le lit et le vois se tortiller pour s'extraire de son marcel et de son short. Je l'aide.
Putain qu'il est beau ! Il a gardé sa tête d'ange mais en dessous il est nettement plus beau qu'à son arrivée. Ses os se sont entourés de muscles qui commencent à élargir sa silhouette. Toujours imberbe, les aisselles rasées et le pubis à notre mode, il est plus que baisable ! Il se redresse et m'aide à me mettre nu. A genoux sur le lit alors que je suis debout devant lui, il me caresse. Je le laisse faire le tour du propriétaire. Mon cou, mes bras, mon torse sont parcourus pas ses mains jusqu'à ce qu'il empoigne fermement mes 20cm qui n'attendaient que ça. Sa tête plonge en avant et je sens sa bouche recouvrir la totalité de ma queue. Le nez écrasé sur mes abdos, il joue de sa gorge pour compresser mon gland coincé entre ses amygdales. Je ne veux pas savoir où il a appris ça mais c'est trop bon. Je le lui dis et mes mains sur sa tête, je l'aide ou plutôt je maitrise. Inconsciemment, pendant qu'il me suce, il cambre ses reins et fait ressortir ses fesses. Puis il roule des hanches. Alors que je suis doux dans mes mouvements, il me recrache le temps de me dire que je peux y aller plus hard avec lui. Pour me le prouver, il devient plus brusque dans ses mouvements et cherche à s'étouffer avec mon gland.
Ok j'ai compris. Je lui tiens la tête entre mes mains et utilise sa bouche comme d'un cul. Je lui lime la gorge sans me soucier (enfin si quand même) de sa respiration et s'il émet une forte production de salive gluante je ne m'arrête pas pour autant. Raide comme la justice, la queue hyper lubrifiée de cette salive de fond de gorge, je le retourne pour qu'il me présente son cul.
Il a compris ce qui l'attend et les genoux légèrement écartés, il attend. J'ai à peine posé mon gland sur sa rondelle que d'un brusque coup de rein, il recule dessus jusqu'à ce que ses fesses s'écrasent sur mon bassin. Un ha de soulagement sort de sa bouche. Il commence alors à se déchainer sur ma bite. Je le laisse faire 5mn puis reprend la main. Je bloque ses mouvements alors que je suis bien au fond de son cul. Je le pousse jusqu'à ce qu'il soit couché sur le lit et là, mes chevilles bloquant ses jambes, mon bras gauche en travers de son cou, je m'emploi à lui limer la rondelle avec la totalité de mes 20cm. Je ressors à chaque fois et de temps en temps j'attends qu'il me supplie de le défoncer pour le sodomiser à nouveau. Je surveille qu'il kiffe ma façon de lui faire l'amour. Malgré mon poids, il réussit à se remettre sur ses genoux et à ruer du cul pour " brutaliser " ma sodo.
Peut-être que c'est ce qui lui manque avec ses 3 complices ! Surtout s'ils l'ont converti à " l'actif " pour bien profiter de sa grosse bite.
Je l'attrape par les hanches et le fais pivoter sur ma bite. Je plaque son dos sur le matelas. Il écarte ses jambes quasiment au grand écart, c'est chose faites quand de ses mains posées sur ses chevilles il les tire en arrière.
Trop beau le tableau ! Sa rondelle est légèrement écartée par la position qu'il a adoptée, ses 22x6 raides de plaisir collent son ventre et recouvrent son nombril.
Je me jette sur lui et ma bite, direct, le défonce alors que je me couche pour pouvoir lui rouler un patin. Ses bras viennent autour de mon cou, retenir ma tête. Ses jambes se replient et me bloquent aux reins. Il me garde sans bouger le temps de me glisser dans l'oreille de la baiser hard (sa rondelle).
Je me redresse, mes mains viennent prendre appuis sur ses cuisses et mes pieds fixé au sol, je lui défonce la rondelle à grands coups de bite qui ébranlent à chaque fois le mur. Ses gémissements se transforment en petit cris qui s'achèvent dans un râle alors que, sans se toucher, sa queue se met à expulser de grands jets de sperme. Il se couvre les pecs, son cou, quelques éjaculations atteignent son visage. Je tapisse l'intérieur de son boyau, stimulé par ses compressions anales, avant de m'écraser sur lui.
Ses yeux fermés s'entrouvrent et je n'y vois que du bonheur, ouf !
Je sors ma langue et viens récupérer sur ses joues les larmes de sperme que sa jouissance a déposé là. Je me replace et il comprend. Il ouvre la bouche et je dépose dedans ma récolte. Il m'attrape par le cou et me tire vers lui, collant nos deux bouches on se la partage.
Une fois nos esprits retrouvés, je lui demande si j'avais été assez brutal pour lui.
Réponse : " beaucoup moins que les combattants de la foi, mais juste ce qu'il fallait pour son plaisir ".
Sous les douches, c''est à mon tour de le caresser avec mes mains savonneuses. Je lui fais la remarque que j'ai l'impression qu'il a grandi. Il me le confirme et ajoute que ses répétiteurs médecins n'en sont pas étonnés. Les mauvais traitements avaient dû perturber sa croissance et il se rattrapait maintenant.
Jardinier
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J’ai appris qu’on ne peut pas forcer quelqu’un à nous aimer. Tout ce que l’on peut faire, c’est être quelqu’un qui peut être aimé. Le reste leur appartient. J’ai appris que peu importe à quel point je me soucie de quelqu’un, certaines personnes ne s'en soucient pas en retour. J’ai appris qu’il faut des années pour établir la confiance et seulement quelques secondes pour la détruire. J’ai appris qu’on peut se débrouiller grâce au charme, pendant environ quinze minutes. Après cela, il vaut mieux que tu saches quelque chose. J’ai appris que soit tu contrôles ton attitude, soit elle te contrôle. J’ai appris que peu importe à quel point une relation est chaude et torride au début, la passion s’estompe et il vaut mieux qu’il y ait quelque chose d’autre pour la remplacer. J’ai appris que parfois, les personnes dont on s’attend à ce qu’elles te donnent un coup de pied quand tu es en bas sont celles qui t’aident à te relever. J’ai appris que parfois, quand je suis en colère, j’ai le droit d’être en colère. J’ai appris que la véritable amitié continue de grandir, même sur la plus longue distance. Il en va de même pour le véritable amour. J’ai appris que ce n’est pas parce que quelqu’un ne vous aime pas comme vous le souhaitez qu’il ne vous aime pas de tout son cœur. J’ai appris que la maturité dépendait davantage des expériences que vous avez vécues et de ce que vous en avez appris qu’elle dépendait moins du nombre d’anniversaires que vous avez célébrés. J’ai appris que votre famille ne sera pas toujours là pour vous. J’ai appris que peu importe la qualité d’un ami, il vous fera du mal de temps en temps. J’ai appris qu’il ne suffit pas toujours d’être pardonné par les autres. Parfois, il faut se pardonner à soi-même. J’ai appris que peu importe à quel point votre cœur est brisé, le monde ne s’arrête pas pour votre chagrin. J’ai appris que notre passé et nos circonstances peuvent avoir influencé qui nous sommes, mais nous sommes responsables de ce que nous devenons. J’ai appris que ce n’est pas parce que deux personnes se disputent qu’elles ne s’aiment pas. Et ce n’est pas parce qu’elles ne se disputent pas qu’elles s’aiment. J’ai appris que nous n’avons pas besoin de changer d’amis si nous comprenons que les amis changent. J’ai appris que deux personnes peuvent regarder exactement la même chose et voir quelque chose de totalement différent. J’ai appris que peu importe comment vous essayez de protéger vos enfants, ils finiront par être blessés et vous le serez aussi dans le processus. J’ai appris que votre vie peut être changée en quelques heures par des personnes qui ne vous connaissent même pas. J’ai appris qu’il est difficile de déterminer où tracer la ligne entre être gentil et ne pas blesser les sentiments des autres et défendre ses convictions.
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"Ma belle âme.
C’est parce qu’il y a cette distance entre nous que j’ose te dire les mots les plus amoureux, avouer mes élans, comme si un invisible gardien des secrets m’empêchait d’en parler quand tu es auprès de moi.
Je t’aime du bout du monde comme un navigateur désespéré qui saurait qu’il n’y a plus de côte, plus de terre où accoster, mais qui cherche encore et encore l’étoile du Nord…
Tu es cette étoile, une étoile tombée du ciel pour me séduire et rendre brillant tout ce qui se voile d’ombre et d’opacité. Je t’aime de cette manière désordonnée car je sais que le monde est fait de morales de circonstance, alors, autant les oublier et redéfinir pour soi et pour l’autre les codes du bien et du mal, laisser monter en nous la force d’aimer et la force de mal aimer, comme si elles étaient des lois écrites pour nous seuls, innocents et purs, choisis par un dieu n’aimant pas les relations publiques, pour que nous n’ayons pas à répandre la nouvelle de cela…
J’ai tellement espéré une femme qui ait la force d’une femme et la naïveté d’une jeune fille, que… c’est cela que je voulais te dire : cette espérance à trouver un visage et une âme, et ils te ressemblent.
De si loin, mon cœur bat pour vous."
Yves Simon
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Comment rendre un homme fou amoureux à distance par SMS ?
Comment rendre un homme fou amoureux à distance par SMS ou en ligne ? Découvrez comment rendre un homme fou amoureux à distance par SMS ou en ligne grâce à des techniques efficaces de communication, de mystère et de connexion émotionnelle.
cet article est un complément de l’article précédent : Comment rendre un homme fou amoureux ? Introduction Avec l’essor des technologies et des réseaux sociaux, il est devenu plus courant de développer des relations à distance. Cela peut sembler un défi de faire naître et entretenir des sentiments forts uniquement par des messages. Cependant, avec les bonnes stratégies, il est tout à fait…
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Il m'a dit ce qu'il estimait le mieux à faire pour nous, notre relation, durant mon voyage. Il m'a dit son point de vue de manière si neutre, sans émotion. Je n'ai pas compris, ça m'a donné envie de pleurer. J'ai arrêté de le regarder, j'avais besoin d'accuser le coup. Je lui ai dit que j'avais l'impression qu'il s'en foutait totalement. Ça l'a choqué. En fait, il ne voulait pas penser à tout ça. Il a été froid pour prendre de la distance avec ses émotions et ne pas se laisser submerger. Je commence à le comprendre. Il a horreur d'être dans les émotions, il essaye toujours d'être objectif et factuel. Quoiqu'il en soit, quand je lui ai dit que j'avais l'impression qu'il s'en foutait, je l'ai vu réfléchir. Puis les larmes lui sont montées aux yeux. J'ai embrassé délicatement ses joues et il s'est effondré. À partir du moment où il a commencé à pleurer, il n'arrivait plus à s'arrêter. Ça m'a vraiment choqué et brisé le cœur. J'arrête pas de me refaire la scène. On s'est pris tellement de fois dans les bras. J'avais envie de le serrer tellement fort, c'était jamais assez. Puis il m'a dit "viens on y pense plus, on profite tant qu'on est là à 2". Il a voulu me jouer "Blackbird" des Beatles et dès les premières notes, c'est moi qui me suis effondrée en larmes cette fois. J'avais réussi à ne pas craquer jusque là mais ça a été le déclencheur. On s'est fait des câlins en pleurant tous les 2 cette fois. Puis je lui ai demandé de recommencer à la jouer. Mes larmes ne s'arrêtaient pas mais c'était super beau.
(30/08/2024)
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"De leurs griffes à tes bras"
Résumé : Alex, brisée par des relations abusives, tente de fuir après une nuit avec Spencer. Il la retient, patient et aimant, tandis qu’elle affronte les souvenirs d’un passé marqué par la soumission et la douleur. Peu à peu, il lui montre qu’elle mérite mieux.
Avertissements :Thèmes de traumatismes passés, relations toxiques, consentement, et reconstruction émotionnelle.
--- La chambre était plongée dans une douce pénombre, seulement troublée par la lueur vacillante des bougies.
Alex se redressa lentement, laissant glisser ses jambes hors du lit. Elle tira le drap autour d’elle, son esprit en proie à des pensées confuses.
Elle connaissait ce schéma par cœur : la passion, suivie de la distance, puis le départ inévitable. Pourtant, cette fois, alors qu’elle s’apprêtait à quitter la pièce, une voix douce, empreinte de chaleur, l’arrêta.
« Alex. » Elle se figea, ses épaules se crispant légèrement. Spencer était éveillé, ses yeux reflétant une tendresse teintée d’inquiétude.
« Tu vas où ? » demanda-t-il doucement en s’asseyant dans le lit, la couverture glissant sur ses hanches. Elle détourna le regard, serrant un peu plus le drap autour d’elle.
« Je... Je pensais te laisser un peu de temps. » Spencer tendit une main vers elle, son ton calme mais insistant. « Du temps pour quoi ? »
Alex hésita.
« Pour partir », murmura-t-elle, évitant son regard. Il attrapa délicatement son poignet, l’attirant doucement vers lui. « Je ne vais nulle part, » souffla-t-il, ses yeux cherchant les siens.
Elle resta immobile un instant, tentée de reculer, de fuir comme elle l’avait toujours fait. Mais il ne la laissa pas s’échapper, l’entourant de ses bras d’une étreinte rassurante.
Elle pouvait sentir la chaleur de son corps, la sincérité dans chacun de ses gestes. « Pourquoi es-tu encore là ? » murmura-t-elle, sa voix tremblante.
Spencer posa une main sur sa joue, son regard ne vacillant pas. « Parce qu’après ce qu’on vient de vivre, je veux être là. Pas seulement pour le plaisir, mais pour ce que nous sommes ensemble. »
Ces mots déclenchèrent en elle un flot d’émotions qu’elle ne pouvait plus contenir. Des souvenirs qu’elle avait si longtemps enfouis refirent surface.
--- **Flashback :**
Elle était assise sur le siège passager d’une voiture luxueuse, le cuir froid contre sa peau. L’homme à côté d’elle lui adressait un sourire condescendant. « Tu es vraiment mignonne quand tu te tais, » avait-il dit en posant une main possessive sur sa cuisse. Elle avait voulu protester, mais les mots étaient restés coincés dans sa gorge. « Tu veux me faire plaisir, n’est-ce pas ? » Le regard insistant, les attentes implicites, la peur de décevoir... Elle s’était figée, obéissant sans réfléchir.
--- **Présent :**
« Je n’ai jamais eu de relations comme celle-ci, » murmura-t-elle, sa voix à peine audible. Spencer fronça légèrement les sourcils. « Qu’est-ce que tu veux dire ? »
Elle inspira profondément. « Les hommes avec qui j’ai été... tout était toujours à leur manière, pour leur plaisir. Moi, je n’étais qu’un moyen pour eux. »
Spencer sentit une colère sourde monter en lui, mais il la ravala, serrant doucement la main d’Alex dans la sienne.
« Tu n’étais pas un moyen, Alex. Tu es bien plus que ce qu’ils t’ont laissé croire. » Elle baissa les yeux, submergée par un mélange de honte et de soulagement.
--- **Flashback :**
Une chambre d’hôtel impersonnelle, la lumière tamisée. Elle était allongée, fixant le plafond, son cœur battant trop vite. L’homme au-dessus d’elle ne cherchait ni à comprendre ni à demander. « Ce sera vite fait, » avait-il murmuré avant de se pencher sur elle. Elle avait fermé les yeux, attendant que ça passe, s’efforçant d’effacer chaque sensation.
--- **Présent :**
Alex frissonna malgré la chaleur environnante. « Je pensais que c’était normal. Qu’on devait toujours dire oui. »
Spencer posa une main rassurante sur sa joue. « Ce n’est pas normal, et tu ne dois jamais te sentir obligée.
Tu comptes, toi, avant tout le reste. » Elle hocha la tête, les larmes perlant au coin de ses yeux. « Je sais… mais les souvenirs restent là. »
Spencer l’attira doucement contre lui. « Tu n’es plus seule. Et tu n’auras plus jamais à affronter ça seule. »
--- **Flashback :**
Le claquement sec d’une ceinture qu’on retire. Le bruit du cuir tombant sur le sol. Elle, assise au bord du lit, incapable de bouger. ---
Un sanglot lui échappa, et Spencer l’enveloppa dans ses bras, murmurant des paroles apaisantes.
« C’est fini, tu es avec moi. Ici et maintenant. » Peu à peu, ses tremblements s’apaisèrent, et elle releva lentement la tête vers lui.
« Pourquoi es-tu différent ? » demanda-t-elle, sa voix emplie de vulnérabilité. Spencer sourit doucement, caressant sa joue.
« Parce que je tiens à toi, et je veux que tu comprennes que tu mérites le respect et l’amour. »
Il l’embrassa avec une douceur infinie, et elle sentit son cœur s’ouvrir un peu plus à la possibilité d’un avenir différent.
--- Plus tard, lorsqu’ils étaient allongés dans le silence, Alex traça des cercles sur la peau de Spencer du bout des doigts.
« J’ai peur, » avoua-t-elle doucement. Il serra sa main.
« Je sais. Mais on prendra notre temps. Je suis là, et je ne vais nulle part. » Un léger sourire apparut sur ses lèvres. « Merci... pour tout. »
Spencer l’embrassa sur le front, puis sur les lèvres, mais cette fois, il n’y avait ni précipitation ni besoin d’aller plus loin.
Il y avait juste eux, et la promesse d’un lendemain sans ombres. Dans la chaleur de ses bras, Alex sentit que, peut-être, elle pourrait enfin se reconstruire.
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Reading the official French translation of volumes 8 and 9 has made me realize that this is supposed to be Akane repeating what Aqua once said to her:
It's way more obvious in the French translation, because they draw a parallel between both dialogues:
Aqua: Notre relation n'est pas réelle... elle est née pour les besoins d'une émission télé... Our relationship isn't real... it was born for a TV show.
Akane: Notre couple est né pour les besoins des caméras... Our couple was born for the cameras.
The French translation also goes extra hard when it comes to Aqua's monologue about Akane:
Here is how it goes in French: Je dois aussi réfléchir à mon avenir avec Akane... maintenant que je sais que mon père est mort, je n'ai plus besoin de la garder près de moi... Je pourrais exploiter son intelligence sans m'attacher à elle de façon égoïste, seulement... Non... Voilà justement pourquoi... Je ne peux pas rester attaché éternellement à cette fille, une fille jeune et pleine d'avenir.
While the beginning is pretty much identical, here is a literal translation of the rest: I could use her intelligence without selfishly getting attached to her, but... [Aqua thinks about the hug] No... That's precisely why... I can't stay forever attached to this girl. A young girl with a bright future ahead of her.
I bolded the lines that stood out the most to me. I feel like the French translation makes it extra clear that one of the reasons why Aqua wanted to put some distance between them is because he was already attached to Akane, and perfectly aware that if he kept her near, he wouldn't be able to stop himself from getting even more attached to her.
This is another one I really liked in French. Je ne peux pas... t'obliger à rester avec moi plus longtemps...
Which would give us: I can't... make you stay with me any longer...
#aquakane#not meta but#my aquakane meta#looking forward to how they translate the phonecall in volume 10#I think it comes out in February? gotta make a mental note to check that out#fandom: onk
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Destinée Ensorcelée
Chapitre 4 : Le procès d'Alice
⚝──⭒─⭑─⭒──⚝
Le matin était arrivé, baignant le paysage d'une lumière douce et dorée. Les rayons du soleil filtraient à travers les feuilles des arbres, créant des ombres dansantes sur le sol. Ivana, le regard perdu dans le lointain, s'éloignait lentement, ses pas feutrés sur le sol recouvert de rosée. Chaque pas semblait être une tentative de fuir non seulement Agatha, mais aussi les émotions tumultueuses qui bouillonnaient en elle.
Elle ne voulait pas rester à ses côtés, la colère l'envahissant comme une marée montante. Elle pouvait sentir son cœur battre plus vite, une pulsation irrégulière, comme si son corps savait que la confrontation était inévitable.
Le vent frais du matin jouait avec ses cheveux, les ébouriffant autour de son visage, mais elle ne se souciait guère de son apparence. Elle avait besoin d'espace, de solitude pour réfléchir, pour apaiser cette tempête intérieure. Chaque souffle semblait lourd, chargé de tension, et elle se sentait à la fois coupable et déterminée. La distance entre elle et Agatha grandissait, mais la colère persistait, comme une ombre insidieuse prête à surgir à tout moment.
Agatha détestait profondément le fait qu'Ivana s'éloigne d'elle. Chaque pas qu'Ivana prenait pour s'éloigner était comme un coup de poignard dans le cœur d'Agatha. Elle ressentait un mélange de frustration et de tristesse, son visage se crispant alors qu'elle observait Ivana s'éloigner.
Elle avait essayé de l'appeler, de briser le silence qui s'était installé entre elles, mais Ivana était restée froide, ses mots se heurtant à un mur invisible. Agatha pouvait voir la détermination dans le dos d'Ivana, une silhouette qui semblait se détacher. Cette indifférence affectait Agatha bien plus qu'elle ne voulait l'admettre. Son cœur se serrait à chaque instant, et elle pouvait sentir une boule d'angoisse se former dans sa gorge.
Ne pouvant plus supporter cette distance, Agatha prit une profonde inspiration, déterminée à agir. Elle se leva, son esprit en proie à un tourbillon d’émotions. Chaque pas vers Ivana était chargé de l'espoir de réparer ce qui avait été brisé. Agatha se fraya un chemin à travers l'herbe encore humide du matin, ses pensées s'accélérant. Elle savait qu'elle devait faire face à la situation, qu'elle ne pouvait pas laisser la colère et le silence définir leur relation.
Lorsqu'elle atteignit Ivana, elle sentit son cœur battre la chamade, une combinaison d'appréhension et de détermination. Agatha s'arrêta à quelques pas d'elle, cherchant les mots justes, prête à tout pour renouer le lien fragile qui les unissait.
Agatha, le cœur battant, s'approcha d'Ivana avec détermination. Elle attrapa doucement son bras, la dirigeant vers un coin tranquille, à l'écart des regards curieux. Les feuilles des arbres bruissaient doucement au gré du vent, créant une atmosphère presque intime.
Une fois à l'abri des autres, Agatha se tourna vers Ivana, plongeant son regard dans le sien. Elle pouvait voir la confusion dans les yeux d'Ivana, une lueur d'inquiétude mêlée à une pointe de défi.
« Qu'est-ce qui te prend ? » demanda Ivana, les sourcils froncés, sa voix trahissant une légère irritation.
Agatha ne put s'empêcher de lâcher un rire léger, presque nerveux. « C'est plutôt à toi de répondre à cette question, tu ne trouves pas ? » dit-elle, sa voix teintée d'une mélancolie douce. « Tu es si froide qu'on dirai la reine de glace»
Ivana, le regard défiant, croisa les bras devant elle, comme pour se protéger des mots d'Agatha. « Qu'est-ce que ça peut bien te faire ? » demanda-t-elle avec une voix teintée de mépris, sa posture raide.
Agatha, un mélange de frustration et de tristesse dans les yeux, répondit calmement. « Je te rappelle que c'est toi qui es venue me voir pour avoir de l'aide, Ivana. » Sa voix était ferme, mais elle essayait de garder une douceur, espérant apaiser la tension.
Ivana lâcha un soupir, presque exaspérée. « Oui, j'avais besoin de ton aide, mais ça ne veut pas dire que je dois être proche de toi. » Elle détourna le regard, comme si elle ne voulait pas admettre la vérité de ses propres sentiments.
« Et puis, je sais que tu vas finir par me trahir, » ajouta-t-elle, les mots sortant avec une amertume palpable.
Agatha, blessée par cette accusation, sentit son cœur se serrer. « Pardon ? Alors la c'est injuste. »
Ivana, toujours sur la défensive, ne répondit pas tout de suite. Elle semblait perdue dans ses pensées, mais Agatha pouvait voir la lutte intérieure dans ses yeux. C’était un moment chargé, où la confiance et la trahison se mêlaient dans un équilibre précaire.
Ivana éclata d'un rire amer, un son qui résonna dans l'air comme une note discordante. Elle s'avança d'un pas, son regard perçant fixé sur Agatha.
« C'est toi qui parles d'injustice ? » lança-t-elle, sa voix pleine de défi. « Tu m'as abandonnée, tout comme ma mère l'a fait. Et tu oses dire que c'est moi qui suis injuste ? »
Ses mots étaient chargés de colère, mais derrière cette colère se cachait une profonde tristesse. Ses yeux brillaient, trahissant une douleur qu'elle ne pouvait plus contenir. Agatha, face à cette explosion d'émotions, sentit son cœur se serrer.
Agatha observait Ivana, son cœur lourd de peine. Elle pouvait voir la colère sur son visage, mais c'était la tristesse dans ses yeux qui la touchait le plus. Chaque mot qu'Ivana avait prononcé résonnait dans son esprit comme un écho douloureux.
« Ivana, je… » commença-t-elle, mais elle hésita, ne sachant pas comment exprimer ce qu'elle ressentait.
Elle s'approcha lentement, cherchant à établir un contact, mais Ivana se détourna, son regard perdu dans le vide.
« Tu ne comprends pas, Agatha, » murmura Ivana, sa voix tremblante. « Ma mère m'a laissais, elle a choisi de sauvé le monde au lieux de sauvé sa famille et la seule personne vers qui j'aurai pus me retourné m'a laissais tomber. Et ne me parle pas du sors, tu as toujours été Agnes. Tu aurai pus resté à mes cotés au lieu de jouer les détectives. » Elle prit une inspiration et continua «Je ne sais même pas pourquoi je t'en parle. Ce qui est fait et fait.»
Agatha plongea son regard dans celui d'Ivana, et un frisson d'inquiétude parcourut son corps. Leurs yeux se rencontrèrent, et Agatha sentit son cœur se serrer à la vue de la détresse d'Ivana. C'était comme si chaque émotion de la jeune femme se reflétait dans ses prunelles, et cette vulnérabilité la touchait profondément.
Elle s'avança doucement, chaque pas semblant peser lourdement sur son âme. Les battements de son cœur résonnaient dans ses oreilles tandis qu'elle tendait la main, hésitante, pour replacer une mèche de cheveux qui tombait sur le visage d'Ivana. Ses doigts frôlèrent la peau douce et fragile de son visage, et Agatha ressentit une chaleur inexplicable à ce contact.
À cet instant, elle se rendit compte qu'elle appréciait cette proximité, cette intimité qui les unissait dans un moment si délicat. Mais une voix intérieure lui murmura qu'elle ne devrait pas ressentir cela. La douleur d'Ivana était palpable, et la tendresse qu'Agatha éprouvait se mêlait à un sentiment de culpabilité. Elle savait que ce moment était à la fois précieux et tragique, un équilibre fragile entre le désir de réconforter et la peur de franchir une ligne qu'il ne fallait pas traverser.
Agatha, le cœur lourd, se décida finalement à s'éloigner. Elle prit une profonde inspiration, essayant de masquer la tempête d'émotions qui l'envahissait. D'un ton sec, elle déclara :
« Tu viens de le dire, ce qui est fait est fait. » Ses mots résonnèrent dans l'air, tranchants comme une lame, et elle pouvait presque sentir le choc sur le visage d'Ivana.
Elle recula, laissant un espace entre elles, un espace qui semblait à la fois nécessaire et douloureux. Ses yeux ne quittaient pas Ivana, observant la manière dont la jeune femme absorbait ses paroles. Agatha savait que sa méchanceté était un bouclier, une façon de se protéger de ses véritables sentiments, mais cela lui coûtait cher.
« Allez, on a du chemin à faire, » poursuivit-elle, sa voix plus douce mais toujours empreinte d'une certaine froideur.
Elle se détourna légèrement, comme si l'acte de se retourner pouvait l'aider à échapper à la vulnérabilité de ce moment.Ivana, visiblement blessée, ne savait pas quoi répondre. Elle regarda Agatha s'éloigner, ressentant un mélange de tristesse et de confusion. Les mots d'Agatha, bien que durs, étaient une tentative maladroite de masquer ce qu'elles ressentaient toutes les deux.Agatha se força à avancer, mais chaque pas lui rappelait à quel point elle avait peur de ce qu'elle ressentait vraiment.
☆○o。 。o○☆
Le coven avançait lentement sur la route, les silhouettes des membres se découpant dans la lumière pâle du crépuscule. Les arbres, sombres et menaçants, semblaient murmurer des secrets à mesure qu'ils s'approchaient d'une vieille maison isolée, dont la façade était recouverte de lierre. Les fenêtres, obscures et poussiéreuses, donnaient l'impression que la maison était abandonnée depuis des décennies.
En s'approchant de la porte d'entrée, un frisson parcourut le groupe. Accrochée à la porte, une lune rouge brillait d'une lueur sinistre, illuminant les visages inquiets des membres du coven. Agatha, le cœur battant, comprit immédiatement que c'était l'épreuve d'Alice. Elle se tourna vers la jeune femme, cherchant du soutien dans ses yeux.
Alice, les mains tremblantes, observa la maison avec une expression de terreur. Ses yeux s'écarquillèrent en voyant la lune rouge, symbole de ce qui l'attendait à l'intérieur. Elle se tourna alors vers les autres, son visage marqué par la détermination mais aussi par la peur.
« Non, hors de question ! » s'exclama-t-elle, sa voix résonnant dans l'air frais du soir.
Les membres du coven échangèrent des regards inquiets, certains murmurant des mots d'encouragement. Jen s'approcha d'Alice, posant une main réconfortante sur son épaule.
« Alice, nous sommes tous avec toi. Tu n'es pas seule dans cette épreuve, » dit-elle doucement, essayant de lui insuffler un peu de courage.
Alice secoua la tête, ses yeux pleins d'émotion. « Je ne peux pas faire ça ! »
Le silence s'installa un moment, chacun ressentant la tension palpable. La lune rouge continuait de briller, comme un phare menaçant, attendant la décision d'Alice.
Alice se tenait là, figée, le regard perdu dans le vide. La douleur de la perte de sa mère, consumée par un feu criminel, lui pesait sur le cœur comme une lourde pierre. Chaque souvenir de sa mère, chaque éclat de rire, chaque moment de tendresse, se mêlait à une angoisse sourde qui l’envahissait.
Alice savait que cette épreuve, symbolisée par la lune rouge sur la porte de la maison, l'obligerait à affronter cette réalité qu'elle avait tant tenté de fuir. Elle ferma les yeux un instant, espérant que, dans l'obscurité, elle pourrait échapper à cette vérité. Mais la réalité était là, implacable, et elle ne pouvait pas l'ignorer.
« Pourquoi maintenant ? » murmura-t-elle, sa voix tremblante trahissant son désespoir. Elle se sentait comme une enfant perdue, confrontée à un monstre qu'elle n'était pas prête à affronter.
Les souvenirs de sa mère, douce et aimante, l'assaillaient. Elle se revoyait, petite, blottissant son visage contre son épaule, écoutant les histoires réconfortantes qui la faisaient rire. Mais maintenant, ces souvenirs étaient teintés de douleur, et chaque pensée la ramenait à cette nuit fatidique.
Alice savait qu'elle devait faire face à ses peurs, mais l'idée de revivre cette douleur lui était insupportable. Elle se tenait là, le cœur battant, confrontée à l'ombre de son passé, prête à plier sous le poids de ses émotions.
Lucillia s'approcha doucement d'Alice, ses pas légers sur le sol comme si elle craignait de briser le fragile silence qui les entourait. Lilia, un peu en retrait, observait la scène avec un regard perplexe, ses sourcils froncés.
Lucillia, avec une tendresse palpable, posa une main douce sur l'épaule d'Alice. Ce geste, bien que simple, était chargé de réconfort. Alice tourna lentement la tête, ses yeux embués de larmes rencontrant le regard chaleureux de Lucillia.
« Alice, » commença Lucillia d'une voix apaisante, « je sais que c'est difficile. Mais tu n'es pas seule dans cette épreuve. Nous allons toutes surmonter ça ensemble. »Lucillia serra doucement l'épaule d'Alice, son regard plein de compassion. « Chaque jour, nous ferons un pas. Parfois, ce sera un petit pas, et d'autres fois, ce sera un grand. Mais nous serons là, main dans la main. »
Jen, toujours en retrait, s'avança enfin, ses bras croisés, mais son visage s’adoucit. « Tu sais, Alice, il n'y a pas de bonne ou de mauvaise façon de ressentir. Prends le temps qu'il te faut. Nous serons là pour t'écouter. »
Alice sentit un léger réconfort à ces paroles, mais l'angoisse demeurait. « Et si je ne suis jamais prête à affronter ça ? »
Lucillia secoua la tête, un sourire encourageant sur les lèvres. « Tu es plus forte que tu ne le penses. Et même si cela prend du temps, sache que nous serons toujours à tes côtés. »
Une fois rentrée dans la maison, le coven découvrit avec stupéfaction que c'était la réplique parfaite de la maison d'enfance d'Alice. Les murs étaient peints dans des teintes pastel, et chaque détail, du mobilier aux rideaux, semblait avoir été soigneusement reproduit. Les sorcières, ébahies, parcouraient les pièces, leurs regards scrutant chaque recoin à la recherche d'indices.
«Je crois que c'est ma maison d'enfance » s'exclama Alice
Les autres sorcières s'approchèrent, intriguées. « C'est troublant, » murmura Ivana en frissonnant légèrement. « Pourquoi cette maison ? Que signifie tout cela ? »
Agatha, qui observait la scène avec un air désinvolte, finit par croiser les bras et soupirer. « Franchement, c'est une perte de temps, » déclara-t-elle d'une voix acerbe. « On tourne en rond ici. Rien ne se passe. »
Lorsque Agatha eut à peine fini sa phrase, un cri perça l'air, un cri aigu et désespéré qui fit sursauter tout le monde. Alice, les yeux écarquillés, se débattait contre un nuage scintillant qui l'engloutissait. Ce nuage, d'un bleu luminescent, tourbillonnait autour d'elle, émettant des éclats de lumière qui dansaient sur les murs de la maison.
« Alice ! » s'écria Jen en avançant d'un pas hésitant, son cœur battant la chamade. « Que se passe-t-il ? »
Alice, la voix tremblante, parvint à articuler avant d'être aspirée : « Je... je ne sais pas ! Il m'aspire ! »
Ivana, observant la scène avec une lueur d'inquiétude dans les yeux, tourna son regard vers Agatha. « Tu portes vraiment l'œil, toi, Agatha, » lança-t-elle, la voix teintée d'ironie, mais avec une pointe de peur.
Agatha, les bras croisés, haussant les épaules, répondit d'un ton désinvolte : « Eh, j'y suis pour rien. Je ne contrôle pas ce qui arrive. »
Mais son regard trahissait une nervosité croissante. Les autres sorcières, bien que préoccupées par le sort d'Alice, ne purent s'empêcher de remarquer la tension dans la voix d'Agatha.
« On doit faire quelque chose ! » s'exclama Jen, en se tournant vers Ivana. « Si ce nuage est une sorte de magie, peut-être que nous pouvons l'inverser ! »
Ivana hocha la tête, déterminée. « D'accord, mais comment ? »
Lucillia, le cœur battant, leva les yeux et aperçut un livre posé sur une étagère, un livre qu'elle n'avait jamais remarqué auparavant. La couverture était ornée de motifs en relief, scintillant légèrement à la lumière tamisée de la pièce. Intriguée, elle s'approcha, ses doigts effleurant la surface du cuir usé.
« Qu'est-ce que c'est ? » murmura-t-elle pour elle-même, avant de le prendre délicatement dans ses mains.
Elle l'ouvrit avec précaution, et à sa grande surprise, les pages semblaient vibrer d'une énergie mystérieuse. Les mots s'inscrivaient sous ses yeux, décrivant la scène qui venait de se dérouler, comme si le livre était le témoin silencieux de leur histoire.
« Regardez ça ! » s'exclama Lucillia, ses yeux pétillants d'excitation. Elle se tourna vers le groupe, brandissant le livre avec enthousiasme. « Ça raconte ce qui vient de se passer ! »
Lilia, attirée par l'enthousiasme de Lucillia, s'approcha rapidement, posant une main réconfortante sur son dos. «Fait voir » dit-elle, la voix douce mais pleine d'émerveillement.
Lucillia, sentant le soutien de Lilia, se mit à sourire « Regardez, » continua-t-elle en feuilletant les pages.
Les autres sorcières, rassemblées autour d'elles, se penchèrent pour mieux voir. Chacune d'elles était fascinée par ce livre mystérieux qui semblait les relier à leur destin.
« C'est comme une chronique de se que Alice est entrain de vivre. » murmura Lilia, son regard fixé sur les mots qui dansaient sous ses yeux.
Pendant ce temps, Alice, à l'intérieur de ce cercle, était plongée dans un monde à la fois doux et douloureux. Les images de son enfance défilaient devant elle, comme un film nostalgique. Elle revivait des moments précieux avec sa mère, les rires résonnant dans son esprit comme une mélodie familière. Elle se voyait courir dans un champ de fleurs sauvages, les rayons du soleil caressant son visage, alors que sa mère l'appelait avec tendresse.
Les souvenirs étaient si vivants qu'Alice pouvait presque sentir la douceur de la main de sa mère sur son épaule, entendre sa voix douce lui parler, lui raconter des histoires. Chaque image était une vague d'émotion, la joie et la tristesse se mêlant en un tourbillon d'affects. Mais, malgré la beauté de ces souvenirs, il y avait une ombre, une prise de conscience que tout cela n'était qu'un rêve, un piège destiné à l'empêcher de s'échapper.
Chaque seconde qui passait semblait s'étirer, le sort d'Alice suspendu entre le passé et le présent, tandis qu'à l'intérieur, elle continuait de revivre ces doux souvenirs, piégée dans un bonheur illusoire qui l'empêchait de voir la réalité.
Alors qu'Alice était immergée dans ses souvenirs, une vision sombre et terrifiante surgit soudainement. Elle se retrouva face à une scène cauchemardesque : sa mère, entourée de flammes dévorantes, hurlait de douleur. Le feu dansait autour d'elle, embrasant ses vêtements et illuminant son visage d'une lueur sinistre. Alice, horrifiée, se mit à crier, son cœur se brisant à la vue de cette image insupportable. Elle ne voulait pas voir cela, elle ne pouvait pas.
Mais au fond de son esprit, une voix mystérieuse s'éleva, douce mais insistante. « Regarde, Alice. Comprends que ce n'est pas de ta faute. » Cette voix résonnait comme un écho, l'invitant à affronter la réalité de ce qu'elle voyait. Tremblante, Alice détourna le regard un instant, mais la voix persistait, lui disant de ne pas fuir.
Finalement, rassemblant son courage, elle fixa à nouveau sa mère. Les flammes dansaient toujours, mais quelque chose changea dans l'air. Les yeux de sa mère, bien que remplis de souffrance, étaient pleins d'amour et de compréhension. « Alice, ce n'est pas de ta faute, » lui dit-elle, sa voix à la fois réconfortante et désespérée. « Ne te blâme pas pour ce qui est arrivé. »
À chaque répétition de ces mots, Alice sentit une chaleur douce envahir son cœur, remplaçant peu à peu la douleur par une lueur d'espoir. Les larmes coulaient sur ses joues, mêlées à la chaleur des flammes, mais elles portaient aussi un sentiment de libération. Elle commença à croire sa mère, à comprendre que la culpabilité qu'elle portait n'était pas la sienne. La voix de sa mère, répétant encore et encore que ce n'était pas sa faute, devenait une mélodie apaisante, un mantra qui lui permettait de se libérer du poids de la honte.
Alors que les flammes continuaient de lécher l'air, Alice réalisa qu'elle pouvait choisir de laisser cette douleur derrière elle. La vision de sa mère, bien que tragique, se transforma en un symbole de pardon et d'amour inconditionnel. Dans ce moment de révélation, Alice se sentit plus forte, prête à affronter la réalité et à se libérer de son passé et c'est à ce moment précis quelle se retrouva alors dans la même Piece que les autres membres du coven elle venait de réussir l'épreuve.
☆○o。 。o○☆
Le groupe poursuivait sa route, les membres avançant avec précaution, leurs pas feutrés sur le chemin de terre. Les bruits de la nature les entouraient : le chant des oiseaux, le murmure d'un ruisseau à proximité, et le bruissement des feuilles dans le vent. Le soleil, filtrant à travers les branches, créait des jeux de lumière dansants sur le sol, ajoutant une touche de magie à l'atmosphère déjà chargée d'énigmes.
L'homme mystérieux, dissimulé dans l'ombre d'un vieux chêne, observait avec une attention soutenue. Ses yeux, d'un noir profond, brillaient d'une lueur calculatrice. Dans sa main, le miroir magique pulsait d'une lumière argentée, révélant non seulement son reflet, mais aussi les secrets que le groupe tentait de cacher. Puis, le miroir capta un éclat particulier : le collier que Lucillia portait. Ce bijou, orné de pierres précieuses scintillantes, était un chef-d'œuvre d'artisanat, chaque gemme capturant la lumière d'une manière envoûtante. Lucillia, insouciante, jouait avec une mèche de cheveux, ignorant l'importance de ce qu'elle portait. Mais pour l'homme, ce collier était bien plus qu'un simple accessoire ; il était le symbole d'un pouvoir ancien, un artefact qu'il avait perdu et qu'il était déterminé à récupérer.
À la vue du collier, une rage sourde monta en lui. Ses sourcils se froncèrent, et un rictus de détermination se dessina sur ses lèvres. « Ce collier est à moi », murmura-t-il d'une voix basse et menaçante, chaque mot chargé de menace
☆○o。 。o○☆
Le crépuscule s'était installé, enveloppant la clairière d'une douce lumière orangée. Le feu crépitait doucement, projetant des ombres dansantes sur les troncs des arbres environnants. La chaleur du feu contrastait avec la fraîcheur de la nuit qui s'installait lentement, et l'air était chargé d'une odeur boisée et légèrement sucrée, émanant des branches qui brûlaient lentement.
Autour du feu, le groupe de sorcières était disposé en un cercle presque sacré. Jen, Alice et Lilia dormaient paisiblement, leurs visages détendus et sereins. Jen avait une expression de tranquillité. Alice, était enroulée dans une couverture, un léger sourire flottant sur ses lèvres, comme si elle rêvait d'un monde enchanté. Lilia, avait trouvé un coin confortable, sa tête reposant sur un coussin fait de feuilles et de mousse, son souffle régulier et apaisant.
Cependant, Lucillia, à quelques pas du feu, ne partageait pas ce calme. Son sommeil était agité, son corps se tordant sous les draps de fortune qu'elle avait rassemblés. Ses sourcils se froncèrent à plusieurs reprises, et un léger murmure s'échappa de ses lèvres, comme si elle luttait contre des visions troublantes. Ses yeux, parfois ouverts, scrutaient l'obscurité, cherchant à percer le mystère qui l'entourait.
Le feu, dansant et crépitant, semblait réagir à l'état de Lucillia, projetant des éclats de lumière qui illuminaient son visage inquiet. Les ombres des arbres se mouvaient, créant des formes étranges qui s'étiraient et se recroquevillaient, comme si elles prenaient vie. Un léger vent faisait frémir les feuilles, ajoutant une mélodie douce et mystérieuse à la nuit, mais pour Lucillia, cette musique était un appel lointain, une promesse de secrets à découvrir.
Lilia se réveilla lentement elle se redressa, frottant ses yeux encore embrumés de sommeil, et observa autour d'elle. Le feu crépitait doucement, projetant des ombres dansantes sur le sol, mais c'était le murmure inquiet de Lucillia qui attira son attention.
Lucillia était là, à quelques pas, son visage marqué par l'angoisse. Elle se débattait dans son sommeil, ses lèvres bougeant rapidement alors qu'elle marmonnait des supplications à voix basse. "Laissez-moi tranquille... s'il vous plaît..." répétait-elle, sa voix tremblante trahissant la profondeur de ses cauchemars. Ses traits, d'habitude si sereins, étaient maintenant tordus par l'inquiétude, et une fine couche de sueur brillait sur son front.
Lilia, le cœur lourd à la vue de la jeune femme en détresse, se leva doucement. Elle s'approcha de Lucillia, veillant à ne pas faire de bruit, comme si chaque pas pouvait briser le fragile fil de la nuit. Ses pieds nus effleuraient le sol frais, et elle pouvait sentir l'odeur terreuse de la forêt qui l'entourait.
En s'approchant, Lilia observa les détails du visage de Lucillia : ses longs cils qui frémissaient, son souffle irrégulier, et la façon dont ses mains se crispaient. Elle se pencha légèrement, cherchant à apaiser sa protégé. "Lucillia, c'est moi, Lilia," murmura-t-elle doucement, sa voix teintée de compassion. Elle tendit une main réconfortante vers le visage de Lucillia, espérant que ce simple geste suffirait à la ramener à la réalité.
Lilia ressentait une profonde connexion avec Lucillia, une envie de la protéger de ses démons intérieurs.
Lucillia était toujours prisonnière de son cauchemar, ses traits marqués par la peur et l'angoisse. Sa respiration devenait de plus en plus rapide, chaque inspiration semblant plus difficile que la précédente. Lilia, observant la détresse de Lucillia , sentit son cœur se serrer. Elle savait qu'elle devait agir pour aider Lucillia à retrouver la paix.
Avec douceur, Lilia s'allongea à côté de Lucillia, veillant à ne pas la brusquer. Elle glissa un bras autour de son épaule, la prenant délicatement dans ses bras, comme pour lui offrir un cocon de chaleur et de sécurité. La chaleur de son corps contrastait avec le froid de la nuit, et Lilia espérait que ce contact pourrait apaiser les tourments de Lucillia.
Une de ses mains se posa doucement sur le dos de Lucillia, exerçant une pression rassurante, tandis que l'autre main s'égara dans ses cheveux soyeux. Lilia commença à caresser les mèches délicates avec tendresse, ses doigts glissant lentement à travers les boucles, comme si elle tissait un fil de calme autour de sa protégé. Elle murmura des mots doux, des promesses de sécurité et de réconfort, espérant que sa voix douce parviendrait à percer le voile de l'angoisse qui enveloppait Lucillia.
Les cheveux de Lucillia, parfumés d'une légère senteur florale, glissaient entre les doigts de Lilia, et elle se concentra sur chaque mouvement, chaque geste, pour créer une atmosphère apaisante. Elle pouvait sentir la tension dans le corps de Lucillia, mais peu à peu, avec chaque caresse, elle sentait également un léger relâchement, comme si les cauchemars commençaient à s'évanouir sous l'effet de sa présence réconfortante.
Lucillia, dans un moment de douceur inattendue, trouva enfin un apaisement immédiat. Alors qu'elle était toujours plongée dans son sommeil troublé, un instinct profond la poussa à se rapprocher de Lilia, la sorcière âgée qui veillait sur elle. Dans un geste instinctif, elle plaça son nez délicatement dans le cou de Lilia, cherchant la chaleur et le réconfort que seule sa présence pouvait offrir.
Le parfum de Lilia, un mélange d'herbes et de fleurs, enveloppa Lucillia comme une couverture apaisante. Elle pouvait sentir la douceur de la peau de la sorcière contre son visage, et cela lui apportait une sensation de sécurité inégalée. Chaque respiration qu'elle prenait était une bouffée de tranquillité, éloignant les ombres de son cauchemar.
Dans ce geste tendre, Lucillia se laissa aller complètement, ses tensions se dissolvant lentement. Elle pouvait sentir le rythme régulier du cœur de Lilia, un battement rassurant qui lui donnait l'impression d'être ancrée dans un monde où rien ne pouvait lui faire de mal. Ce contact intime lui procurait une chaleur réconfortante, et elle se sentit protégée, comme si tous ses soucis s'évanouissaient dans la nuit.
Les bras de Lilia, bienveillants et forts, l’enveloppaient, créant un cocon de paix autour d'elle. Lucillia se laissa aller à cette sensation de bien-être, oubliant les angoisses de son esprit. Dans ce moment suspendu, elle trouva une sérénité qu'elle n'avait pas connue depuis longtemps, bercée par la présence rassurante de la sorcière.
‿︵‿︵ʚɞ『FIN』ʚɞ‿︵‿︵
Merci à tous d'avoir pris le temps de lire ce chapitre. Si vous avez des idée pour le prochain je prend !
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J'aime trop les explications des gens sur pourquoi le vouvoiement est important pour eux et je suis d'accord avec beaucoup de réponses. Je rajouterais qu'en tant que littéraire, je trouve que le tutoiement et le vouvoiement rajoutent une nuance très intéressante à beaucoup de relations et ça peut être une façon formidable de caractériser un personnage.
J'avais un personnage qui ne supportait pas qu'on la tutoie sans qu'on lui demande la permission (et elle refusait en général lol) parce que c'était une manière pour elle de se protéger et de garder ses distances. J'avais écrit un passage où un antagoniste la tutoie "de force" et c'était vraiment vécu comme une violation de ses barrières, même s'il ne se passait rien de physique.
Il y a cette scène EXTRAORDINAIRE dans Andromaque (Acte IV, scène 5) où Hermione alterne entre un vouvoiement poli et un tutoiement passionné enverd Pyrrhus, montrant son instabilité émotionnelle et la complexité de ses sentiments envers un homme qu'elle déteste et adore à la fois.
Et évidemment, il y a la question du vouvoiement/tutoiement dans la traduction d'œuvres anglophones. Dans Sherlock (BBC), Holmes et Watson se vouvoient dans le 1er épisode et se tutoient dans les autres. S'ils étaient français, il y aurait eu une scène du genre "Bon on peut se tutoyer maintenant, on est collocs." Lestrade vouvoie Sherlock, mais est-ce qu'il le tutoie à la fin de la série ? Et même, si on va plus loin, et c'est peut-être audacieux de ma part, mais le vouvoiement entre Holmes et Watson dans la traduction des livres pourrait être remis en question, surtout dans les dernière enquêtes - le tutoiement est moins courant à cette époque là mais des amis peuvent l'utiliser, même de la haute société (cf Balzac, Proust, Maurice Blanc...)
Il n'y a aucune bonne réponse et c'est ça qui est fascinant, parce que ça nous donne un nouvel outil d'analyse pour disséquer des personnages.
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J'ai un sentiment bizarre concernant mon entourage et les relations que j'entretiens. Ma sphère amicale a complètement changé et c'est normal, mais j'ai beaucoup de mal à l'accepter. Depuis la fin des études -- voire même pendant --, on a tous commencé à s'éloigner car on ne partageait plus les mêmes centres d'intérêt, les amitiés se font et se défont. Et c'est pire depuis que j'ai emménagé dans le sud. J'ai changé, j'ai perdu de ma lumière et je m'efface.
L'abandon, c'est terrifiant. La solitude, si on ne la choisit pas, c'est une souffrance. Je vis mal la rupture des liens, des amitiés. Ça me rend triste et nostalgique. J'ai comme modèle ma belle-mère -- la compagne de mon père -- qui a un cercle amical grand et malgré les distances qui les sépare, rien n'a changé. Et de voir que je n'arrive pas à entretenir ce même modèle me termine. Avec les réseaux sociaux, on aurait tendance à se dire que pourrait faciliter les choses mais non. "Loin des yeux, loin du cœur" comme on dit mais je refuse, c'est trop facile. J'ai essayé de garder du lien avec certain.e.s mais ce n'était pas concluant. On m'a oublié et je les ai oublié. À partir du moment où je suis partie, les gens m'ont peu à peu oublié -- et j'ai fait de même fatalement --. Mais j'essaye de reprendre contact avec quelques uns mais ça s'essouffle, j'essaye de créer du lien mais ce n'est jamais suffisant du coup je suis en colère et je m'isole davantage. C'est un cercle vicieux dont j'aimerai sortir mais ... il y a un truc qui cloche. Et j'en ai marre de me dire que c'est moi. Ça me fatigue et j'estime que les torts sont partagés. Ce n'est pas aux personnes qui ont choisi de partir (géographiquement) de porter à bout de bras la relation. C'est un travail d'équipe.
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