#galerie d’art
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La fille de Lugano. Ticino suisse 🇨🇭 Oeuvre d’art de Pierre Montillo.
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“𝗡𝗢𝗧𝗥𝗘 𝗚𝗥𝗔𝗜𝗡 𝗤𝗨𝗢𝗧𝗜𝗗𝗜𝗘𝗡” - 𝗘𝗫𝗣𝗢 𝗛𝗨𝗠𝗘𝗥𝗢𝗦𝗘 / 𝗕𝗘𝗥𝗡𝗛𝗘𝗜𝗠
“𝗢𝗨𝗥 𝗗𝗔𝗜𝗟𝗬 𝗗𝗥𝗘𝗔𝗗” - 𝗛𝗨𝗠𝗘𝗥𝗢𝗦𝗘 / 𝗕𝗘𝗥𝗡𝗛𝗘𝗜𝗠 𝗘𝗫𝗛𝗜𝗕𝗜𝗧
𝐿𝑎 𝐶𝑎𝑏𝑖𝑛𝑒𝑟𝑖𝑒 - 𝐴𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑢𝑒𝑠 𝐺𝑟𝑖𝑚𝑜𝑢𝑥 / 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑒𝑙𝑙𝑜 - 𝐹𝑟𝑖𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔
𝐿𝑎 𝐶𝑎𝑏𝑖𝑛𝑒𝑟𝑖𝑒 - 𝐶𝑜𝑟𝑛𝑒𝑟 𝑜𝑓 𝑟𝑢𝑒 𝐺𝑟𝑖𝑚𝑜𝑢𝑥 / 𝑟𝑢𝑒 𝑀𝑎𝑟𝑐𝑒𝑙𝑙𝑜 - 𝐹𝑟𝑖𝑏𝑜𝑢𝑟𝑔
Depuis plus de deux ans les deux auteurs s’envoient chaque jour une photographie. L’exposition montre un vaste choix de leurs échanges en 2023.
For over two years, the two authors have sent each other a photograph every day. The exhibition shows a wide selection of their exchanges in 2023.
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Galerie d’art Rive Gauche
Namur, Belgique
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!Uitdagingen te over!
Er wachten weer keramische uitdagingen op me in het Italiaanse Gubbio. Met o.a. een uitdaging door de heilige Franciscus en een wolf. Of wat te denken van een halve meter hoge UOVO's, ei-vormen? En niet te vergeten een reeks borden om op te avonturieren.
Voor de vijfde keer! Voor de 5e keer alweer verkeer ik een aantal weken in deze ruimte: het atelier van Rampini Ceramiche d’Arte in het Italiaanse Gubbio. Die prachtige middeleeuwse stad in Umbrië. Een jubileum-verblijf zogezegd. Had ik dat kunnen bedenken toen ik hier voor ‘t eerst in 2019 belandde door deelname aan een expositie? Nee dus.Toen was ik nog volledig keramiek-onschuldig, nu staan er…
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Galerie d’art de Saint-Rémy-de-Provence…
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Musée Jacquemart André. Superbe musée à Paris.
À quelques pas des Champs-Élysées, la demeure des époux Jacquemart-André présente la plus belle collection privée d’œuvres d’art de Paris, associée à l’atmosphère d’une grande demeure du 19e siècle. Les salons de l’hôtel particulier accueillent objets d’art et tableaux de maître : Uccello, Mantegna, Botticelli, Van Dyck, Rembrandt, Fragonard, Reynolds...
En ce moment, Chef-d'œuvre de la Galerie Borghèse, jusqu’au 5 janvier 2025.
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King Charles' first official portrait since his coronation has been vandalised by an animal rights group. June 11 2024
Le portrait officiel de Charles III dégradé par des militants animalistes Réalisé le mois dernier par l’artiste britannique Jonathan Yeo, ce portrait se trouve dans une galerie à Londres.
Ce 11 juin 2024 à l’instar de militants écologiques qui ciblent des œuvres d’art, le portrait officiel du roi Charles III a été vandalisé par des militants animalistes d’Animal Rising qui ont mené cette action, pour protester contre la Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals (RSPCA). Cette organisation soutenue par le monarque britannique lutte pour le bien-être animal mais est accusée par Animal Rising de cruauté. Deux militants, filmés par leur organisation, ont donc fait irruption dans la galerie Philip Mould à Londres, où le portrait, dévoilé le mois dernier, est exposé pour le moment. Et ils ont collé la tête du personnage Wallace, de la série animée Wallace et Gromit, sur celle du roi, avec un message dans une bulle de bande dessinée : « Pas de fromage Gromit (son chien). Regarde tous ces traitements cruels qui ont lieu dans les fermes de la RSPCA ! » (« No cheese, Gromit. Look at all this cruelty on RSPCA farms ! »)
Portrait du roi Charles III
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performance of yves klein’s anthropométries de l’époque bleue [anthropometries of the blue epoch], galerie internationale d’art contemporain, paris, march 9, 1960.
photo by shunk-kender.
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Montolieu est l’étape idéale pour les amoureux du livre
Montolieu (Aude) constitue une agréable escapade à quelques kilomètres de Carcassonne. Ce « Village du Livre & des Arts » rassemble 17 librairies et a séduit de nombreux écrivains par son charme. L’occasion d’une belle balade littéraire dans les rues du bourg.
C'est l'un des 8 villages du livre recensés en France. On y trouve des libraires de livres anciens et d'occasion mais aussi des professionnels des arts et des métiers du livre : relieurs, doreurs, graveurs, calligraphes, enlumineurs, fabricants de papier, imprimeries artisanales, éditeurs.
Dans les 17 librairies du village, on trouve principalement des livres d'occasion, avec du vécu… une histoire. Certaines sont spécialisées en livres jeunesses ou encore en littérature anglaise : il y en a pour tous les goûts.
Après avoir visité Carcassonne et sa fameuse Cité médiévale, une étape par Montolieu (Aude), charmante commune située à une quinzaine de kilomètres, s’impose. Il s’agit d’un « Village du Livre & des Arts », autrement dit un bourg rural où sont installés des librairies et des commerces d’artisanat autour du livre.
Riche d’une longue histoire, puisque occupé depuis la Préhistoire, Montolieu est devenu un village du livre en 1990, à l’initiative de Michel Braibant, relieur belge installé à Carcassonne, explique l’office du tourisme du Grand Carcassonne. Son rapport avec les écrivains est toutefois plus ancien encore : le village en a inspiré beaucoup, comme l’autrice Anna Gavalda, qui a vécu à Montolieu quelques années.
Au total, aujourd’hui, cette commune de 800 habitants compte 17 librairies de livres anciens, neufs ou d’occasion. « Certaines librairies ont justement des spécialités (BD, jeunesse, art, revues, journaux anciens…) », détaille l’office du tourisme. Les visiteurs peuvent aussi arpenter les 15 galeries ou ateliers d’art du village. Le bourg dispose par ailleurs d’un Musée des Arts & Métiers du Livre, où il est notamment possible de s’initier aux arts graphiques.
Mais plus généralement, ce bourg pittoresque est l’occasion d’une agréable balade. Au détour de ses ruelles fleuries et de ses maisons anciennes, il est possible de découvrir l’église Saint-André, un édifice du XIVe siècle classé aux monuments historiques, l’ancienne manufacture royale de draps, ou encore la chapelle Saint-Roch, qui offre un magnifique panorama sur les environs.
Situé sur les contreforts de la Montagne noire, au beau milieu des vignes, Montolieu ouvre sur de nombreux itinéraires de randonnée dans les gorges de l’Alzeau et de la Dure, avec ses ponts et ses moulins. « Oliviers, cyprès, variétés de cactus et arbustes fleuris mettent sublimement en beauté le paysage », assure l’office de tourisme.
Daily inspiration. Discover more photos at Just for Books…?
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La lumière sous la porte
Les livres ont une grande place dans mon cœur. J’aime les lire, les toucher, les sentir. J’aime les exposer, voir leur couverture même si je ne les ai pas encore lus. J’aime les livres mais à trop en acheter, ils prennent de la place. J’en ai stocké dans des cartons, qui à leur tour, se sont imposés dans mon petit appartement. Je ne savais plus quoi en faire. Pas question de m’en débarrasser.
J’ai eu cette idée après avoir visité Amsterdam. A mon retour de voyage, j’ai réalisé qu’une pile de livres ressemblait beaucoup aux maisons hollandaises. Du coup, je me suis amusé à créer des rues, utilisant chaque bouquin pour faire une maison ou un petit immeuble de deux étages. Avec différents papiers, j’ai dessiné puis découpé des portes et des fenêtres. Je me suis appliqué à décorer de volets, des rideaux ainsi que des dormants et des impostes de portes. Je confectionnais des toits à l’aide de carton.
Chaque dos de livre devenait l’entrée d’une maison ou la devanture d’un vieux magasin Je me suis tellement appliqué que mes amis furent fascinés par mon travail. Ils parlaient d’œuvre d’art. Ils me proposèrent d’exposer car d’après eux, mon talent devrait être connu. Au début, trop méfiant et voulant éviter de participer à un diner de cons, je me contentais de donner une seconde vie à des livres que j’ai tant aimés lire. Cependant, j’eus un tel succès que je dus me résigner à accepter leur proposition. Dès lors, après avoir exposé dans une galerie, je me suis mis à vendre des piles de livres décorés et refaits en petites rues.
Je garde mes préférés dans une bibliothèque particulière. En effet, elle ne contient que des livres décorés. Chaque étagère représente une rue. J’ai même ajouté quelques petits pavés devant les livres pour donner un côté plus réaliste aux maisons. J’aime les observer le soir avant d’aller me coucher. Parce qu’elles ont une apparence féerique et j’imagine des habitants vivre dedans. Je les imagine en train de marcher, ouvrir les fenêtres ou les portes et vivre paisiblement ; une ménagère à la fenêtre étendant un drap, un homme rentrant du boulot.
Un jour, en les admirant de nouveau, je remarquais quelque-chose d’étrange. Sur le moment, je pensais à un reflet lié à la lumière de mon salon. Mais en approchant, je découvris de la lumière sous une porte. C’était une porte décorée et collée par mes soins, comment de la lumière pouvait apparaitre ? Je pris le livre, l’ouvris mais ne constatais rien de particulier entre les pages qui se dépliaient correctement. Dès lors, je replaçais le livre et retournais à mes occupations. En éteignant la lampe de la salle, je constatais un petit fil lumineux sous cette même porte. La lumière était réapparue !
Je ne savais son origine. Je pouvais prendre le bouquin, l’ouvrir, le secouer, tourner les pages. Rien n’y faisait, dès que je le rangeais, la lumière réapparaissait. Je cognais de l’index sur la porte ; bien entendu, personne ne répondit, personne n’ouvrit.
C’était étrange que de voir cette lumière sous cette porte fictive. Tous les soirs, je constatais qu’elle apparaissait pour disparaitre uniquement au lever du jour. Je passais les semaines suivantes à surveiller cette anomalie, d’autant qu’elle était la seule porte à laisser passer de la lumière. Même la fenêtre en plastique, collée au dos de ce livre ne montrait rien.
J’aurais pu me débarrasser du livre, le vendre ou simplement le donner. Néanmoins, ma curiosité insistait à surveiller ce phénomène. Je regardais donc ce livre, dont je ne me souvenais plus de l’histoire, laisser passer cet étrange trait de lumière. Et puis, je découvris de la lumière sous la porte d’un autre recueil. Hier soir, la lumière traversait la fenêtre, comme si quelqu’un habitait dans ce livre.
J’ai doucement frappé à la fenêtre et à la porte. Je n’ai vu personne, pas de petit bonhomme ou autre farfadet magique. Je suis resté bêtement à observer cette lumière qui scintillait dans le noir. Mais ce soir, je déposerai quelque-chose devant ce livre. Un petit morceau de pain ou, une demi-fraise, histoire de sympathiser. En espérant que la porte s’ouvre et qu’il y ait un habitant.
Alex@r60 – août 2023
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Le style Pierre Montillo ne laisse pas indifférent. Tout en peu de traits le noir pour plus de lumière
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Pierre Restany Ailleurs
Alex Mlynarcik
Galerie Lara Vincy Paris,Galerie Nationale Slovaque 1984, 287 pages, 800 ex., 21,5x32,5cm, ISBN 80-886-86-03-2
Signed by Pierre Restany with dedication to Andrea Branzi.
euro 150,00
email if you want to buy [email protected]
Né en 1930, Pierre Restany est critique d’art, philosophe et commissaire d’exposition. Sa vie a été faite de rencontres passionnées avec des artistes, notamment Yves Klein en 1955 par l’intermédiaire d’Arman. En 1960, il publie le premier Manifeste du Nouveau Réalisme en prévision d’une exposition à la galerie milanaise Le Noci et fonde en 1961 la galerie J. Restany participe à de nombreuses recherches qui l’entraînent à publier divers ouvrages. De 1999 à 2003, Pierre Restany préside le Palais de Tokyo.
16/04/24
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JASMINE GREGORY – Si je ne peux pas l’avoir, toi non plus / Capc Musée d’art contemporain (FR)
Si je ne peux pas l’avoir, toi non plus
VEN 17 NOV 2023 – DIM 28 AVR 2024
Vernissage JEU 16 NOV 2023 19:00
Jasmine Gregory, artiste américaine vivant à Zurich, présente sa première exposition personnelle Si je ne peux pas l’avoir, toi non plus en France au Capc Musée d’art contemporain de Bordeaux en collaboration avec le CCS. Jasmine Grégory propose dans le cadre de cette exposition de déconstruire son rapport à la peinture. Celle-ci apparaît dans différents états, pour multiplier les points de vue permettant d’aborder ce médium chargé d’histoire. La peinture est mise sous vitrine ; des jeux de lumière la font apparaitre et disparaitre ; elle s’étend sur les murs pour devenir architecture. Autant de gestes qui invitent à se déplacer pour regarder la peinture autrement.
Dans son travail, Jasmine Gregory cherche à aller à la marge de la peinture. Elle utilise des restes, des déchets, des rebuts de la peinture et les expose. La peinture ne s’arrête donc pas au cadre (ni de la toile, ni de l’exposition), elle s’étale et dégoute, déborde, sort de son espace pour mieux s’interroger sur son propre sort, sa propre finitude et sa propre mort. C’est dans ce monde d’après que l’artiste pense sa peinture. Au même titre que des figures pop comme Lana Del Rey sont fantasmées et iconisées, Jasmine Gregory s’interroge sur ce qu’il reste d’une icône quand elle n’est plus qu’une carcasse. Consciente de vivre à une époque qu’elle considère être les débris d’un monde déjà mort, elle envisage la peinture dans cette dimension critique –ce medium de l’Histoire de l’art par excellence, célébré, déclaré mort et ressuscité maintes fois. Usée, manipulée, inscrite dans une histoire patriarcale et capitaliste, il n’en reste au même titre qu’un souvenir mortifère qu’elle tord jusqu’à épuisement.
Au lieu d’accepter une situation qui semble inéluctable – la fin de l’art -, Jasmine Gregory parle la langue du collage, un assemblage étrange de références au capitalisme tardif (peintures reprenant des images publicitaires provenant du monde bancaire), afin de les transformer. La peinture est ici déconstruite sous différentes formes, théâtralisée dans certaines salles de l’exposition comme pour évoquer une tragédie, ou au contraire surexposée sous une lumière extrêmement blanche comme pour l’ausculter. Une peinture vide puis trop pleine, chargée de signes qu’elle efface aussitôt.
Centre culturel suisse. On Tour à Bordeaux
Capc Musée d’art contemporain
7 rue Ferrere Bordeaux
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Geen ReisKunst-verhaal maar een verhaal over Kunst-op-Reis met nr.18 van KvhJ24
Dubbel-expositie, dubbel-interview, dubbel-advertentie. En dat allemaal aan de Côte d'Azur, in Nice, vanwege twee exposities van Toos van Holstein daar. Lees en zie 't allemaal in TOOS&ART van deze week. #art #kunst #expositie #tentoonstelling
Beetje raar, die titel? Ongetwijfeld. Maar toch goed uit te leggen. Want vorige week donderdag verscheen hier nog een ReisKunst-verhaal over De Leergierige Chinese bij de Gaslamp. Maar op die donderdag was ik ook zelf op reis. Op weg naar de Côte d’Azur, naar Nice. In m’n Citroën Berlingo busje vol met kunst. Bedoeld voor twee verschillende maar wel aan elkaar gekoppelde exposities. Een…
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#Antwerpen#Associations Néerlandaise du Midi#atelier Hans Van Dijck#Avignon#éditions La Diane Française#Côte d&039;Azur#Citroën Berlingo#DNC Côte d&039;Azur#expositie#galerie Quadrige#handpers#Kunstenaar van het Jaar 2024#L&039;art au carré#litho#livre d’art#Middelburg#multiple#Nice#oplage#Palais de Venise#Palais des Papes#steendruk#tentoonstelling#verkiezing#Werelderfgoedlijst Unesco#Zeeuws
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Le TOC
Je regarde mon chat qui me regarde. Ses grands yeux verts me scrutent. Je ne sais pas à quoi il pense. Il a le regard vif, il y a clairement bien des choses qui se passent dans cette petite caboche adorable. Lui, il ne se doute pas des pensées qui traversent mon esprit à chaque millième de seconde.
Des pensées qui virevoltent, qui se bousculent. Ma tête est Times Square un samedi soir. Les touristes ne sont pas les plus bienveillants dans ce cerveau-là. Ils polluent l’atmosphère en criant des injures, en peignant des portraits irréalistes, en créant des scénarios qui relèvent de la folie furieuse.
Ce sont les pires artistes que j’ai rencontrés.
Et ils s’invitent comme ça, dans ma tête, en me montrant leur art désastreux en boucle. Sans cesse. Sans relâche.
Ils vont puiser leur créativité dans mes failles, mes travers, mes doutes. Leur plus grande inspiration demeure ma confiance en moi. Cette partie si fragile de ma personnalité leur donne du gaz à l’année. Une mine d’art.
À chaque pensée se dessine une image plus défaitiste de moi, ils me donnent une vision sans futur. L’un d’eux est en train de me convaincre que je suis fondamentalement laide. Dans tous les sens du terme, de long en large. Que je ne suis pas drôle, que je suis moche, que je ne m’habille pas bien, que j’ai pris du poids et que c’est mal, très mal, ça. Vieux grossophobe. Que je ne mérite pas l’attention des gens, moi, l’attention whore.
Ce sont les maîtres de l’horreur et je ne suis qu’une visiteuse dans cette galerie de mauvais goût.
(Remarquez que j’utilise seulement le masculin dans cette explication.)
Et moi, je suis là.
Au beau milieu de ce brouhaha qui me fait perdre l’horizon, au détriment de ma santé mentale. Je les regarde faire, je les observe m’enlever des bouts de moi qui me sont chers, vitaux. Je les regarde piétiner mon art, celui de me faire une vie où il fait bon vivre. Ils élisent domicile dans un havre de paix qui ne leur appartient pas. Ils font un sit in sans cause.
Je les regarde, parce que se battre contre eux à chaque seconde de ma vie devient épuisant. Ils ne gagneront jamais même s’ils gagnent du terrain à certains moments. Je dois simplement cohabiter avec leur essence malveillante.
Ils ne me définissent pas.
Ils sont là pour me nuire. Mon art, la vie que je me crée, ce texte que j’écris à l’instant, est plus fort que toute cette merde qu’ils produisent à la chaîne.
Que leurs portraits ne sont pas des miroirs.
Que mon art et moi, sommes les seuls qui méritent d’être exposés.
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