#françois beaulieu
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écoutez . l’heure est venue . je poste les preuves du couple toja x beaulieu .
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La Comédie-Française de 1961 à 1987 edition
#tag game#la comédie française#jacques toja#genevieve casile#françois chaumette#claude winter#georges descrières#catherine hiegel#françois beaulieu#christine fersen
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bon je suis passé sur l’ina et bien évidemment j’ai cherché le nom de génovèse
j’ai trouvé plusieurs spots d’infos sur le phèdre d’anne delbée, avec martine chevallier et françois beaulieu, et les costumes MAGNIFIQUES faits par christian lacroix
je vous ai sélectionnés les moments qui m’intéressent (vous comprendrez pourquoi je le suppose)
avant sur ce compte je vous avais dit que génovèse de ses 30 à 40 ans c’était sa bad bitch era, À RAISON parce que lui en perruque longue maquillage de scène à la limite du drag et une cigarette à la main c’est un niveau de cuntiness trop élevé pour être envisagé par des instruments de mesure. only britney spears could compete
GRMRMGLL MARTINE CHEVALLIER.
GMRMRLRMM BEAULIEU.
mon chéri qu’est-ce que c’est que ces cheveux. since when
je respecte grandement delbée d’un point de vue mise en scène. mais alors la diction. ça me fout des violentes plaques d’urticaire PARLEZ NORMALEMENT POUR L’AMOUR DE TOUT CE QUI EST SAINT EN CE MONDE
l’esthétique de ce shot me plaît
conceptuellement cette image me fait rire. like go off king give us. the floor
on peut dire ce qu’on veut, c’était quand même un des plus beaux twink de paris
#éric pourquoi….pourquoi les moulinets de bras les pas de danse et les syllabes hachées#pourquoi. c’est moche.#mais bon en vrai rien que pour le trio là je serais prêt à regarder#phèdre#comédie française
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Sur Tartuffe : adaptations
Commençons donc avec ce qui a le moins à voir avec la pièce, une version écourtée de la pièce, mise en scène par Maurice Béjart en 1981.
Casting : Cléante - Bernard Dhéran, Mme Pernelle - Catherine Samie, Orgon - Michel Aumont, Elmire - Geneviève Casile, Tartuffe - Michel Duchaussoy, Dorine - Virginie Pradal, Valère - Raymond Acquaviva, Damis - Guy Michel, Mariane - Marcelline Collard
Mise en scène classique, mais saupoudrée de Béjart (donc décors un peu spéciaux, maquillage très marqué pour les personnages doubles comme Tartuffe). Super performance de Michel Aumont, qui donne à voir un Orgon complètement hypnotisé par Tartuffe (et c’est là qu’@aramielles me dit que c’est normal d’être hypnotisé par le talent de Michel Duchaussoy). J’avoue que je n’arrivais pas à déterminer si Elmire était un peu intéressée par lui ou si elle était juste extrêmement saoulée (merci m’dame Casile). Une déclaration d’amour à l’acte III qui est désespérée comme je les aime. Oh nevermind ??? Elmire intéressée ??? OH MY GOD. Orgon qui s’agenouille devant Tartuffe et lui baise la main rien que pour lui dire bonjour. Béjart I love you. Imagerie chrétienne homoérotique, on apprécie. Globalement le Tartuffe de Duchaussoy est un bon petit connard manipulateur, il jette un regard méprisant sur Orgon à ses genoux, franchement une excellente pétasse qui sied bien pour le rôle.
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Deuxième version, celle de 1975, mise en scène de Jacques Charon.
Casting : Orgon - Jacques Charon, Robert Hirsch - Tartuffe, Jacques Toja - Cléante, Michel Duchaussoy - Monsieur Loyal, François Beaulieu - L’Exempt, Jean-Noël Sissia - Damis, Bernard Alane - Valère, Denise Gence - Mme Pernelle, Claude Winter - Elmire, Françoise Seigner - Dorine, Catherine Salviat - Mariane, Denise Pezzani - Flipote
Encore une mise en scène classique, on aime. Cet Orgon a l’air un peu con (spécialité de Charon). Tartuffe, coupe au bol absolument ridicule (la laideur comme laideur de l’âme ? C'est un lieu commun que je repère parfois dans Tartuffe, où un Tartuffe moche est souvent joué comme ridicule, alors qu’un Tartuffe qu’on embellit physiquement est joué comme plutôt charmeur). Légèrement précieux, doucereux, on est carrément dans la première façon de jouer le rôle, c’est-à-dire en gros cliché, et on ne comprend presque pas comment Orgon peut être à ce point aveugle pour ne pas voir qu’il est double. Il est aussi carrément graveleux lors de la déclaration d’amour, et franchement il m’évoque plus une espèce de cancrelat qu’on a envie d’écraser qu’un manipulateur de génie (super performance d’Hirsch cependant). Une Elmire magnifique (merci m’dame Winter) et oh ! Un François Beaulieu sauvage apparaît en fin de pièce pour faire L’Exempt.
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Troisième version, de 1960, mise en scène de Louis Seigner (encore une classique).
Casting : Tartuffe - Louis Seigner, André Falcon - Damis, Paul-Emile Deiber - Orgon, Louis Eymond - L’Exempt, Henri Rollan - Cléante, Jean-Louis Jemma - Valère, René Arrieu - Monsieur Loyal, Berthe Bovy - Mme Pernelle, Andrée de Chauveron - Dorine, Annie Ducaux - Elmire, Nagali de Vendeuil - Mariane, Janine Dehelly - Flipote
L’Orgon de Deiber a l’air un peu neurasthénique, sans avoir l’air con il n’a pas l’air complètement dépendant, ça me donne l’impression bizarre que cet Orgon aurait pu se défendre de tout s’il avait prêté un peu plus attention à ce qu’il se passe chez lui (même si Tartuffe, quand on l’accuse une première fois, use énormément d’ironie pour se qualifier de pécheur, et Orgon prend ça premier degré). Tartuffe-Seigner est parfaitement jouissif à regarder, mais on reste exactement dans le schéma classique d’un personnage ridicule. Succulente Elmire, drôle à souhait (merci Annie Ducaux). Bref, ici la bonne vieille pièce familiale, quoi.
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Quatrième version, de 1971, mise en scène de Marcel Cravenne (une autre mise en scène classique)
Casting : Michel Bouquet - Tartuffe, Delphine Seyrig - Elmire, Jacques Debary - Orgon, Luce Garcia-Ville - Dorine, Madeleine Clervanne - Mme Pernelle, Claude Giraud - Cléante, Edith Garnier - Mariane, Bernard Alane - Valère, Jacques Weber (ô surprise) - Damis, Paul Le Person - Monsieur Loyal, Robert Party - L’Exempt, Christine Chicoine - Flipote
C’est marrant, cet Orgon là a plus l’air amusé en début de pièce de Tartuffe, plutôt que de dépendre de lui. Quand on accuse Tartuffe, il réagit plutôt comme si on avait donné un coup de pied dans son chiot préféré. (grmrgmrmg le Cléante de Giraud. Cet homme me rend fou depuis Les Rois Maudits). Petiot Weber, il est pitchoune. Ah, Delphine Seyrig…La fée des lilas à jamais pour moi, mais quelle bonne Elmire (et quelle belle femme jésus seigneur). Un Tartuffe très intéressant, puisqu’il n’est pas ridicule car il n’a pas l’air faux lors de sa déclaration, il a juste l’air un peu dégueulasse ; mais surtout, il brise l’apparent fil rouge de l’interprétation de ce rôle en étant enlaidi par le costume et les postiches, mais en étant totalement manipulateur.
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Cinquième version, de 1980, mise en scène de Jean Pignol (encore et toujours une mise en scène classique)
Casting : Tartuffe - Michel Galabru, Orgon - Bernard Fresson, Elmire - Yolande Folliot, Dorine - Micheline Dax, Cléante - Pierre Gallon, Mme Pernelle - Germaine Delbat, Mariane - Nathalie Serrault, Valère - Eric Legrand, Damis - Jean-Renaud Garcia, Monsieur Loyal - Georges Montillier, L’Exempt - Pierre Negre, Laurent - Georges Sayad, Flipote - Sonia Laurent
Wow un opening directement sur la petite famille en train de prier avec Tartuffe ? Innovative ! On dirait que Tartuffe est d’abord le dealer d’Orgon parce qu’il est très, très calme au début. Ou alors il est homosexuel, au vu de la façon dont il dit “il venait d’un air doux tout vis-à-vis de moi se mettre à deux genoux”. Le Tartuffe de Galabru est bon mais grâce à l’acteur plutôt qu’au rôle lui-même, parce qu’il lui donne justement ce côté double et ridicule (les cheveux bien gras, on pourrait utiliser la moumoute comme friteuse). Opinion tout à fait personnelle, j’aime pas le jeu de Fresson . Et définitivement, Galabru joue beaucoup sur le côté dégueu et graveleux qu’on peut facilement donner à Tartuffe. Une version, ma foi, pas la meilleure, mais pas un échec non plus.
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Sixième version, de 1997 (retour au Français !), mise en scène de Georges Bensoussan (à quand autre chose qu’une mise en scène classique ?)
Casting : Dorine - Catherine Ferran, Orgon - Jean Dautremay, Mariane - Anne Kessler, Tartuffe - Philippe Torreton, Monsieur Loyal - Igor Tycska, Elmire - Cécile Brune, Mme Pernelle - Nathalie Nerval, Cléante - Christian Blanc, Valère - Olivier Dautrey, Damis - Eric Ruf, L’Exempt - Bruno Raffaelli, Flipote - Stéphanie Labbé, Laurent - Patrick Olivier
Décors blancs, un peu art contemporain, innovative ! Chaque costume est une couleur vive (sauf Tartuffe et Orgon, en noir, et Cléante, en marron), mais qui permet d’identifier immédiatement les personnages et surtout les fait ressortir sur le fond blanc. Jumpscare de Ruf avec une perruque absolument horrible. Aww, mini Anne Kessler, elle est pitchoune. Ô surprise, Ruf a un jeu décent ? (je le respecte en tant que metteur en scène, et je ne m’y connais pas assez en histoire du Français pour dire si c’est un bon administrateur, mais comme comédien…Il m’excusera mais je ne supporte pas son jeu). Je trouve qu’on revient à l’Orgon soit con, soit qui s’en fout un peu en début de pièce. Quoique, on pourrait dire que c’est un Orgon qui commence à développer un autre courant d’interprétation du personnage, celui de la dépendance affective forte (Tartuffe qui lui fait des petites caresses sur l’épaule ???). Dépendance affective de fou ou homosexualité cachée, c’est vous qui voyez. Torreton est jouissif, pétasse à souhait, ironique quand on l’accuse, au physique affreux avec sa perruque graisseuse (leitmotiv chez les costumiers ?). Chose intéressante, la confession de Tartuffe semble désespérée, mais elle est tellement teintée de fausseté qu’on n’y croit pas du tout. Cécile Brune (dieu quelle femme) fait une Elmire hautaine devant Tartuffe que j’A-DORE. Nouveau jumpscare de Ruf qui sort d’une fenêtre cachée haut dans le mur au lieu de sortir d’un cabinet. Bon dieu Cécile Brune, quelle femme, Elmire joue la carte séduction à fond pour l’acte IV. Tartuffe qui commence à se foutre à oilp ??? Ok why not. Costume très très très pailleté pour Tartuffe en fin de pièce. Écoutez, une mise en scène intéressante, des comédiens pas trop tartes, moi je dis que ça fait une bonne pièce.
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Septième version, de 2022, mise en scène Ivo van Hove (youpi ! une mise en scène moderne, histoire de changer un peu)
Casting : Cléante - Loïc Corbery, Orgon - Denis Podalydès, Mme Pernelle - Claude Mathieu, Damis - Julien Frison, Dorine - Dominique Blanc, Tartuffe - Christophe Montenez, Elmire - Marina Hands, Flipote - Héloïse Cholley, et pas de M. Loyal ou d’Exempt ni de Laurent, apparemment ?
Peut-on vraiment dire que je l’ai vue ? Non, je n’ai pas vu cette pièce au cinéma. Mais j’ai des photos et des extraits, de là je pose mon jugement. J’aime beaucoup les mises en scène de van Hove, qui sont souvent minimalistes et font ressortir tout le jeu des comédiens, aussi en posant une sorte de centre de scène où tout se passe. Les costumes noirs tranchent avec la pâleur des comédiens, et le carré blanc en plein milieu de la scène ressemble à un ring où les personnages s’affrontent. Autre lieu commun chez van Hove, on relève la brutalité et la violence et du texte et des personnages en eux-mêmes : tout le monde s’empoigne, se bat, se hurle dessus, c’est une famille complètement disloquée qu’on nous présente. Dominique Blanc en Dorine est parfaite. Corbery est un Cléante désillusionné, à la limite du désespéré de voir son beau-frère comme ça. Julien Frison, lui, campe un Damis qui semble moins furieux, plus un petit garçon qui voit son père s’éloigner de lui. Ma seule question est : comment envisagent-ils la pièce sans Mariane ? Est-elle juste citée ? Le moment très comique entre Orgon et Dorine serait simplement coupé ? Je n’aurais sûrement jamais la réponse, à moins que cette pièce vienne un jour sur le site de l’INA. Marina Hands est une Elmire qui floute complètement la ligne séparant deux interprétations : Elmire qui joue un rôle pour empêcher le mariage entre Tartuffe et Mariane et confondre Tartuffe à l’acte IV, ou une Elmire véritablement intéressée par Tartuffe. Une scène assez éloquente est visible dans la bande-annonce, qu’on peut replacer justement à l’acte IV, et Elmire ne semble pas beaucoup se défendre d’un Tartuffe qui lui embrasse la nuque. Mais les deux personnages les plus intéressants sont ici Orgon et Tartuffe. Pour Orgon, Podalydès joue complètement sur l’ambiguïté constante entre Tartuffe et Orgon : apparemment complètement dépendant affectif, le “il en va de ma vie” semble très vrai ; et certaines images donnent à penser que van Hove introduit dans sa mise en scène un certain homoérotisme malsain entre ces deux personnages (et encore de l’imagerie chrétienne mise au service de l’homoérotisme, merci m’sieur van Hove). Mais pour moi, le personnage le plus fascinant est Tartuffe (Christophe Montenez mon dieu quel talent incroyable). Si il est dans “le modèle Jouvet”, c’est-à-dire un Tartuffe charmant, séduisant même, et surtout très sincère dans sa déclaration à Elmire, et qui pense croire à tout ce qu’il dit sur le Ciel, Montenez a une approche différente du personnage. Il est malsain ; quand il rentre dans une pièce, on a comme un frisson de gêne : le costume (chemise blanche, cravate blanche, mais veste noire à certains moments), la coiffure (des cheveux coupés très ras) et le maquillage (qui lui donne une pâleur mortelle et un visage émacié) n’aident pas à nous le rendre sympathique. Le ton doucereux (méprisant lorsqu’il parle à Dorine) contribue à cette impression. Surtout, c’est un Tartuffe violent, qui arrive à l’Acte III la chemise tachée de sang, due à la mortification qu’il s’est imposé (en début de pièce, apparemment ? la bande-annonce ne permet pas de le situer). Bref, une mise en scène brutale et légèrement subversive, typique du metteur en scène, qui je crois serait très intéressante à voir.
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Je vous ai réservé ma mise en scène préférée pour la fin, huitième version, de 2021, théâtre à la table, direction artistique d’Eric Ruf (qui compte comme une mise en scène moderne ?)
Casting : Mme Pernelle - Claude Mathieu, Tartuffe - Eric Génovèse, Elmire - Clotilde de Bayser, Cléante - Hervé Pierre, Monsieur Loyal, Un Sergent, et L’Exempt - Nicolas Lormeau, Orgon - Didier Sandre, Damis - Laurent Lafitte, Dorine - Anna Cervinka, Mariane - Clémentine Billy, Valère - Antoine de Foucauld
C’est pas ma version préférée pour rien : la proximité de la table permet de transformer la pièce en huis clos, les vêtements des comédiens, sombres pour la plupart, permettent de relever leurs visages, et la caméra capture d’autant mieux leurs visages qu’elle est proche. Anna Cervinka est une Dorine hilarante qui tranche avec le sérieux des autres ; le Damis de Lafitte est très abrasif ; Cléante par Hervé Pierre use toujours d’un ton extrêmement raisonnable ; les deux petits jeunes sont un couple prometteur. Comme d’habitude, je me suis concentré sur les trois personnages centraux : Elmire, Orgon, Tartuffe. Didier Sandre, trônant en bout de table en patriarche, est un Orgon qui joue sur son âge pour apparaître peut-être plus fragile, qui s’il est moins dépendant que l’Orgon de Podalydès, lui semble extrêmement attaché ; sa colère à l’accusation de Tartuffe est assez violente. Elmire, elle, si elle n’est absolument pas intéressée par Tartuffe (madame moi je veux bien prendre votre place si vous ne voulez pas de lui), aime jouer la carte de la séduction pour parvenir à ses fins, et disons-le, Clotilde de Bayser est charmante. Et Tartuffe…Là encore, pas mon Tartuffe préféré pour rien. Eric Génovèse reprend un Tartuffe qu’il avait déjà joué de cette manière (je donnerai TOUT pour voir la mise en scène de 2005 de Marcel Bozonnet). Il est tout en douceur, la déclaration à Elmire est MAGNIFIQUE et DÉSESPÉRÉE comme il sait les faire, et il est totalement dans le modèle Jouvet d’un Tartuffe qui croit à 90% ce qu’il dit. Chose que je n’avais jamais vu faire avant, le “je tâte votre habit” et ce qui s’ensuit est joué comme une excuse en mousse, comme s’il n’avait vraiment pas fait exprès de poser la main sur le genou d’Elmire, et qu’il tente de rattraper une bourde faite dans l’émotion de l’instant. Tartuffe mis en opposition d’Orgon dans le placement autour de la table le pose en second maître de maison ; sa réponse à son accusation à l’air tellement sincère qu’on y croirait presque. Retournement de comportement à l’acte IV, regard de braise et scène un peu olé-olé (si sage comparée à la mise en scène de Bozonnet où lui et Florence Viala ont failli faire leur affaire sur scène) ; c’est un autre Tartuffe qui retire son masque, celui d’un homme extrêmement froid et calculateur. Bref, pour moi l’interprétation la plus intéressante (sans prendre en compte mon admiration personnelle pour ce comédien). Une pièce que je trouve “redécouverte” par le biais du théâtre à la table qui donne toujours un éclairage autre.
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2022 - Philippine Leroy-Beaulieu - Delvaux ©François Goizé @francoisgoize
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Graphic Novel Review: Outpost Zero
Outpost Zero: The Complete Collectionby Sean McKeever, Alexandre Tefenkgi (Illustrator), Jean-François Beaulieu (Illustrator) 3 out of 5 stars Alea has grown up in the Outpost, a massive spaceship that crash-landed on a frozen planet generations ago. So much time has passed that Alea’s generation has forgotten how to use most of the technology their ancestors had, and much of the spaceship is…
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#book#book review#books#graphic novel#graphic novel review#read#reading#review#sci fi#sci-fi#science fiction#scifi books
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"Maquettes de Bijoux" anonymes (XXIe siècle), "Maubant dans le Rôle de Don Carlos" par l'Atelier Nadar (1877) et "Bressant dans le Rôle de Don Carlos" par Louis Bacard (1867) pour "Hernani" de Victor Hugo (1830) et "François Beaulieu dans le Role de Ruy Blas avec Geneviève Casile dans le Rôle de la Reine" anonyme pour "Ruy Blas" de Victor Hugo (1838) mis en scène par Jacques Destoop (1979) à l'exposition "Bijoux de Scène de la Comédie-Française" dans les nouveaux locaux de L’École des Arts Joailliers à l'Hôtel de Mercy-Argenteau, Paris, juillet 2024.
#expos#inspirations bijoux#illustrations#Maubant#Nadar#Hugo#Bressant#Bacard#Beaulieu#Casile#Destoop#EcoleVanCleef&Arpels#ComedieFrançaise
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The Battle of Rivière-Ouelle
In 1690, Québec's Governor Frontenac sent ships to raid English settlements in New York and New England. British General Phips of Boston retaliated by sending ships to attack Acadia. Caught by surprise, Acadia was taken on May 21, 1690. Phips’ next target was Québec.
On his way up the St. Lawrence River, Phips decided to burn and loot villages, one such being Rivière-Ouelle.
Rivière-Ouelle, and below, a map showing individual inhabitants listed by name.
According to 19th century writer, H. R. Casgrain:
“One morning in the month of October 1690, a considerable detachment of Canadian settlers, armed for war, strode through the forest of spruce, fir and maple trees that still shade the edge of the River Ouelle.
The leader of the militia was none other than the parish priest, Father Francheville, a fifty-year old of fiery and impetuous character. "My friends," he told the men of the village earlier, "the news is about war. I just learned by letters from Québec, the English intend to seize the country to avenge the defeats we have inflicted upon them. It seems that a fleet of over 30 sails will soon appear. Already M. de Frontenac has sent detachments of militia to both sides of the river to prevent the enemy from making any landing. It must be believed that our governor is relying on your courage, since he sent none of his soldiers here. I would not recognize you were you to be so cowardly as to allow these Bostonian miscreats to land without firing a shot. You know what awaits you if you allow them to succeed: they will burn your houses, your church, desecrate what's holy as they have already done elsewhere, and they will drag everyone into captivity, you, your wives and children. Take arms and be ready for the first signal. "
Thus prepared, the inhabitants of Rivière-Ouelle opened fire when the British disembarked, killing and wounding many British and causing the remainder to retreat back to their ship. Similarly, Governor Frontenac, who was awaiting the British further up the St. Laurence, used forces to repell further attacks, destroying nine British ships in the process.
Some of the Canadians who successfully defended the small settlement of Rivière-Ouelle that day were:
Robert Lévesque
Pierre Hudon dit Beaulieu
Charles Miville
Jean Miville
Galleran Boucher and his two sons, Pierre and Philippe
Michel Bouchard and his three sons, Étienne, François and Pierre
Pierre Dancosse
Guillaume Lisot and his son, Claude
René Ouellet and four of his children, Abraham, Mathurin-René, Grégoire and Joseph
Jean Pelletier
Jean Lebel and his son, Jean-Baptiste
Pierre Emond
Mathurin Dubé
Jean Mignot dit Labrie
Noël Pelletier
Jean Gauvin and his son, Jean
Pierre de Saint-Pierre
Nicolas Durant and his son, Nicolas
François Autin
Sébastien Boivin
Jean de Lavoye
Sources:
#french canadian#genealogy#family history#canadian history#battle#quebec#warfare#ancestors#ancestry#family photos#nautical history#history#canada#saint lawrence#british history#american history#english history#french history#New France#family stories#family
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MOM - Releas Date March 2024
Mom's cast and crew photograph with Philip Kalin-Hajdu, Albert Melamed, Pascal Et Jérémie, Adam Myette O'Brien, Emily Hampshire, François Arnaud, Cat Lemieux, Erika Rosenbaum, Valérie Doucet, Benoit Beaulieu, Maude Pascale Moisant, John Feifer, and many others
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Martin Villeneuve – Demo Reel 2023 from Martin Villeneuve on Vimeo.
Cirque du Soleil alumnus and TED speaker Martin Villeneuve is a Montreal-based screenwriter, director, actor and producer. With a strong background in advertising, he has directed numerous commercials for Cirque du Soleil, in addition to music videos, short films and series. His feature film debut, the pioneering sci-fi romance “Mars & April,” starring Caroline Dhavernas (“Hannibal”) and internationally renowned stage director Robert Lepage, cost only a stunning $2.3 million CAD to produce. The film received 10 nominations including one for “Best Adapted Screenplay” at the Canadian Screen Awards, and toured in 20 festivals worldwide, starting with a World Premiere in Karlovy Vary. “Mars & April” has been described by io9 as “one of the most beautiful, and immersive, sci-fi worlds ever put on film.” Also, it brought Martin to TED where he became the first (and so far, the only) speaker to come out of Quebec, and the third filmmaker to give a TED Talk after James Cameron and J.J. Abrams. His talk has been subtitled in 33 languages and viewed more than a million times. In 2014, he won an award for his performance in his short film “Imelda”, for which he shot two sequels released in 2020. His second feature film, “The 12 Tasks of Imelda” – starring Robert Lepage, Ginette Reno, Michel Barrette, Lynda Beaulieu, Antoine Bertrand, Marc-François Blondin, Anne-Marie Cadieux and Yves Jacques – had its world premiere at the QCFF, and hit theaters across Quebec on October 28th, 2022. Among other projects, he is currently writing and directing the “Red Ketchup” animated series, to be aired on Adult Swim in 2023.
Watch Martin Villeneuve’s TED Talk: ted.com/talks/martin_villeneuve_how_i_made_an_impossible_film
SOURCES:
• Item 7 – “Aquarica” Animated fantasy feature film, currently in development, in collaboration with European comic book masters François Schuiten & Benoît Sokal.
• Prends ça court ! – “Imelda 2: the notary” & “Imelda 3: Simone” In these two sequels, Martin Villeneuve reprises the role of his grandmother, alongside co-stars Robert Lepage & Ginette Reno (2020).
• Prends ça court ! – “Imelda” Award-winning comedy short film starring Martin Villeneuve as his own grandmother (2014).
• TED Talks – “How I made an Impossible Film” Martin Villeneuve’s TED Talk about “Mars & April,” the sci-fi spectacular he made with virtually no money over a seven-year stretch (2013).
• Moment Factory – “AC Dreamin’” Mapping show projected on Boardwalk Hall in Atlantic City (2013).
• Mars et Avril Inc. & Alliance Vivafilm – “Mars & April” Quebec’s first true science fiction feature film starring Robert Lepage, Caroline Dhavernas, Paul Ahmarani, Jacques Languirand, Jean Asselin, Stéphane Demers, Jean Marchand, Kathleen Fortin, Marcel Sabourin, André Montmorency and Gabriel Gascon (2012).
• Sid Lee & Cirque du Soleil – “Zumanity,” “KÀ,” “Corteo” Advertising (2003-2013).
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François Mayoux (Vida y obra)
Tal día como el 24 de junio de hace 141 años nació François Mayoux, el 24 de junio de 1882 en Beaulieu-sur-Sonnette, Charente, Poitou-Charentes, (Francia) y murió 21 de julio de 1967 en La Ciotat, Bocas del Ródano, Provenza-Alpes-Costa Azul, (Francia) a los 85 años. Fue un profesor de francés que, a su vez, se convirtió en socialista, comunista y sindicalista revolucionario (anarcosindicalista).
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Ils me font peur.
#la comédie française#jacques toja#françois chaumette#françois beaulieu#francis huster#claude winter#genevieve casile#georges descrières#michel duchaussoy#christine fersen#catherine hiegel#pierre dux#jean le poulain#jean paul roussillon
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Some memes about La Comédie Française de 1979 à 1983
#la comédie française#jacques toja#genevieve casile#françois chaumette#francis huster#georges descrieres#christine fersen#françois beaulieu#jean-pierre vincent#jean le poulain#jack lang
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Sudden death of New Brunswick's top energy regulator called 'tremendous loss'
François Beaulieu, the chairperson of New Brunswick's Energy and Utilities Board (EUB), died suddenly on the weekend and is being remembered as an important leader who will be missed.
from CBC | New Brunswick News https://ift.tt/g4qvwFC
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DEJA VU from Olivier Labonté LeMoyne on Vimeo.
A young woman meets with her best friend in a local diner to tell him about the fantasy she recently accomplished. But when a mysterious man enters, she is struck by a feeling of deja vu. Everything around her starts to resemble a nightmare she has had.
Ariane : Ariane Castellanos Nico : Nico Racicot The Intruder : Pierre-François Bouffard The Waitress: Annie Valin The couple : Myriam Debonville, Alexis Lemay-Plamondon Le Cook : Jérémie Jacob Loubot Landreville Man with newspaper : Robert Boulanger The Customers : Max Houle, Elia Abdulahad, Dominique Florent, France Labonté
Written and Directed by : Olivier Labonté LeMoyne
Produced by : Carolyne Goyette
Assistant Director : Alexandra St-Michel
Director of Photography : Ménad Kesraoui
Set Designer : Thomas José Salaun
Set Designer Assistant : Amélie Cusson
Stylist : Frédérique B. Ste-Marie
Soundman : Francis Desgagné
Hair & Makeup : Tania Guarnaccia
Camera Assistant : Pierric Soucy
2nd Camera Assistant : Camille Baduraux
Gaffer : Hugo Roy
Key Grip : François Comte
Swing : Louka Boutin
Swing Helper : Tom Parisé-Cormier
Production Assistants : Alvin Mazariegos, Dominique Dickner, Wenda Zahabi
Night Surveillant : Robert Gauthier, Surveillance Omega
Catering : Bande de Traiteurs
Editing : Olivier Labonté LeMoyne
Post-production Services : BLVD
Post-production Executive Producer : Jason Breton
Post-production Producer : Josée-Anne Choquette
Post-production Coordinator : Éric Lavoie
Audio Coordinator : Sophie Champagne
Sound Design and Mix: David Beaulieu
Online : Cadie Desbiens-Desmeules
Colour Grading : Cristel Bergeron
Music by: Alder & Ash
Thank you : Andres Norambuena Denis-Éric Pedneault Sid Lee Studio Harold Beaulieu Laurie Caron Stéphane Klopp Sébastien Girard Restaurant Hot Dogs à la Canadienne Parco-Maître 424 inc.
©2017 Les Films 4c productions and Olivier Labonté LeMoyne
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Why so many duplicates on television?
In STATthe patient Mélodie Beaulieu, played by Émilie Lajoie, breathed her last in the arms of her parents, under the gaze, both benevolent and angry, of the oncologist Pascal St-Cyr (Normand D’Amour). Posted at 7:15 a.m. Suffering from a dazzling brain cancer, Mélodie, known as Mélo, has renounced traditional medicine, fucking radiotherapy, and flirted with the quackery of Dr Labrie (François…
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